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CCQ Nord-Centre-Est
Saint-Mandé
2 novembre 2016
Compte-rendu
Préambule
Le présent document constitue le compte-rendu des échanges
et des productions écrites de la réunion du Comité Consultatif
de Quartier Nord Centre Est du 2 novembre 2016, salle des
Conférences à Saint-Mandé.
La réunion a duré de 19H35 à 21H40, ainsi séquencée :
 Introduction – travaux et projets : 15’
 Questions / réponses : 45’
 Atelier thématique : 45’
 Restitution : 20’
30 personnes étaient présentes pour cette nouvelle formule de CCQ
divisée en deux parties : une réunion « classique » avec une
présentation sous forme de diaporama des projets municipaux majeurs
en cours ou récents (une nouveauté) et un atelier participatif sur table
(une première) autour de 4 thématiques :
 La sécurité/ tranquillité publique/ vigilance
 Le cadre vie / espace public
 La vie associative et animations
 Les manques observés à Saint-Mandé
Intervenants / Participants

Animateur : Pascal Beaumard, consultant en concertation Etat
d’Esprit Stratis

Intervenant principal : Philippe Le Tymen, maire-adjoint à la
citoyenneté

Autres intervenants : Emmanuel Gilles de la Londe, Directeur
des services techniques et Romuald Garin, Responsable de la
Police Municipale.
CR / CCQ – Saint-Mandé / 2 novembre 2016
1
Introduction
Pascal BEAUMARD, Agence Etat d’Esprit Stratis : Bienvenue et merci
d’être venus ce soir assister à ce comité consultatif de quartier nord centre et
est. Avant de passer la parole à M. Le Tymen, maire-adjoint, je vais me
présenter. Je suis Pascal Beaumard, consultant en concertation dans une
agence spécialisée « Etat d’Esprit Stratis », mandatée par la ville de SaintMandé pour l’accompagner à repenser, rationaliser, redynamiser les
différentes actions de concertation que mène la Ville, à commencer par le
conseil consultatif de quartier de ce soir et celui du 8 novembre, le conseil des
seniors qui va devenir progressivement une instance de concertation. Enfin, le
23 novembre, une réunion sur les finances municipales est également prévue.
Mon rôle est d’animer, de vous écouter, de conseiller la Ville pour que ces
actions de concertation soient vraiment des moments d’échange, de partage
mais aussi de propositions. C’est en cela que ce soir ce sera un peu différent
des autres soirs. Rassurez-vous, c’est un changement dans la continuité, on
fait évoluer la formule sans la révolutionner.
Nous serons ensemble pendant environ une heure et demie. Une présentation
des principaux projets que mène la Ville sur le territoire de Saint-Mandé vous
sera faite par M. Le Tymen. Ensuite, nous aurons un temps d’échange puis un
travail en atelier participatif sera effectué.
C’est une évolution que l’on a proposée à la Ville de Saint-Mandé, qui s’est
montrée très intéressée, de travailler en atelier participatif. Vous êtes dans
votre rôle de citoyen en écoutant, posant des questions, faisant des
remarques et dans un rôle contributif en participant à un atelier participatif.
Vous n’êtes pas observateurs passifs mais citoyens actifs.
On peut faire des tables de 6 personnes. Vous devrez remplir des grilles
thématiques par l’intermédiaire d’un rapporteur et faire différentes
propositions d’amélioration des espaces collectifs publics, sur la sécurité et la
vigilance. Vous pourrez aussi faire part des manques que vous observez à
Saint-Mandé et proposer d’autres thématiques.
Le but n’est pas seulement de poser des questions ou de faire des remarques
ou des récriminations, ce qui est tout à fait louable et valable, mais au-delà
des récriminations il y a aussi les propositions que vous pouvez faire à la Ville
de Saint-Mandé.
La Ville de Saint-Mandé, dans les différentes actions de concertation, les
différentes réunions, vous dira ce qu’elle a retenu et en quoi elle a pu agir
grâce à vos remarques ou ce qu’elle n’a pas retenu, et pourquoi.
Je reviendrai sur ce deuxième temps de soirée en vous expliquant bien les
attendus.
Vous
aurez
tout
ce
qu’il
faut
pour
faire
des
propositions (gommettes, grilles de travail, plans de Saint-Mandé, crayons…).
J’en prendrais note et ferai un rapport à la Ville de Saint-Mandé.
L’atelier participatif durera environ 45 mn et ensuite nous aurons une
restitution de 15 mn faite par les rapporteurs.
2
Je passe la parole à M. Le Tymen, qui va vous présenter les grands projets
actuels, passés ou en cours à Saint-Mandé.
Philippe LE TYMEN, Maire-adjoint à la citoyenneté: Je voulais tout
d’abord vous saluer et vous remercier d’être présents ce soir pour la énième
édition de ces comités consultatifs de quartiers. Je souhaiterais saluer
également la présence de notre police municipale, présente à chaque réunion
de ce type pour répondre à vos questions, je n’ai pas la science infuse, je ne
connais pas tout, ces personnes sont sur le terrain et sont au quotidien auprès
de vous. Je voudrais remercier la direction générale des services, par
l’intermédiaire de Hélène Blondeau et Emmanuel Gilles de la Londe, Directeur
des services techniques qui va m’assister dans mes réponses. Je suis sûr
qu’avec l’ensemble de ces personnes dans cette salle, vous aurez un
maximum d’informations.
En préambule, je voudrais dresser un panorama de ce que fait la ville au
quotidien, ce qui a été fait, ce qui est en cours pour vous donner une image
plus globale et positive de votre ville.
Ces derniers temps, il y a eu des réalisations importantes.
Voiries :
•
Avenue Foch, route départementale, à laquelle le département a donc
apporté sa contribution financière ;
•
Avenue de la Pelouse (revêtement, trottoirs, jardinières) ;
•
Rue Poirier (trottoirs, entourage d’arbres) ;
•
Place Gallieni (quatrième et dernière phase de réfection de cette place).
Aménagements des voiries :
•
Réfection des bornes podotactiles avenue du Général de Gaulle ;
•
Nettoyage au Karcher de l’ensemble des jardinières de la Ville ;
•
Réaménagement du terre-plein place Gallieni Nord ;
•
Installation de nouvelles bornes « arrêt minute » (7 et 100 avenue Charles
de Gaulle, avenue Joffre).
Equipements publics :
•
Ravalement du centre Pierre Cochereau ;
•
Accueil unique à la mairie ;
•
Travaux dans des équipements sportifs (centre Roger Vergne) ou scolaires
(marquage au sol à l’école Charles Digeon).
Acquisition de matériel communal :
•
1 Chariot élévateur ;
•
4 aspirateurs de déchets urbains et industriels (1 ou 2 appareils
supplémentaires seront proposés au budget en 2017).
3
•
Opérations « coup de propre » :
Ces opérations centrées principalement sur le nord de la ville auront lieu
jusqu’en fin janvier 2017. Elles consistent à vider totalement la rue pour
procéder à un nettoyage intégral haute pression, à la réfection des traçages,
au nettoyage et au remplacement du mobilier urbain, au nettoyage de la
végétation, au désablage des caniveaux.
L’information est faite en amont : planning précis publié dans « Saint-Mandé
Infos », distribution de prospectus dans les boites aux lettres des riverains
concernés et apposés sur les voitures en stationnement.
Prochaines opérations : 7 novembre rue Quihou, 21 novembre rue Fays, 28
novembre rue des Vallées et Gallieni, ensuite en décembre rue Mongenot et
avenue Sainte-Marie début janvier, rue de la 1ère Division Française Libre,
l’impasse Bir Hakeim.
La rue Plisson fait-elle partie de ce programme ? Cette rue ne figure pas sur la
liste du programme d’ici janvier 2017. Néanmoins, ces opérations devraient
être étendues en 2017.
•
Installation des lanternes LED
Le changement de l’ensemble des lanternes de la ville, travaux démarrés le 19
septembre 2016, devrait se terminer fin décembre 2016. Cette opération à
visée écologique et dans le but également de diminuer notre consommation
d’énergie concerne 650 points lumineux de la ville. Saint-Mandé devrait être la
première ville totalement équipée en LED. C’est un investissement
extrêmement important de 420 k€, subventionné par le SIPPEREC (Syndicat
Intercommunal de la Périphérie de Paris pour les Energies et les Réseaux de
Communication) à hauteur de 50%, il reste une charge pour la ville de 227 k€.
Cette opération devrait être amortie sur 30 à 36 mois, les économies
attendues sont de 80 K€ par an (diminution de la consommation d’énergie et
entretien pris en charge par le fournisseur pendant 8 ans).
Echanges
Martine POTHIN, Amicale des locataires de la Cité rose : Quelles sont les
dates prévisionnelles des travaux rue Pasteur ?
Emmanuel GILLES DE LA LONDE, Directeur des services techniques :
Le bulletin municipal « Saint-Mandé Infos » mentionne les projets proposés
notamment sur cette zone. La rue Pasteur est concernée par le sud de
l’opération IGN. Il s’agit de racheter à l’Etat la moitié du terrain occupé par
IGN, les bureaux ont déjà été vidés. Dans cette zone, les travaux devraient
commencer globalement mi-2017 pour se terminer mi-2019. L’ensemble
immobilier de bureaux réalisé mi-2019 sera suivi des travaux de réhabilitation
de la rue Pasteur.
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Même si nous pouvons tous souhaiter que la réfection de la rue Pasteur
intervienne de façon plus précoce, même si nous avons d’ores et déjà des
idées pour la réfection de cette rue, notamment concernant les arbres, les
itinéraires cyclables, compte tenu des travaux qui auront lieu dans cette rue, il
est important d’attendre la fin du programme immobilier de bureaux et de
l’équipement communal économico-socio-culturel pour réhabiliter entièrement
la rue Pasteur.
Georges PENNEQUIN, avenue Foch, Saint-Mandé : Concernant les
travaux de la rue Poirier, 4 arbres sciés à hauteur de 70 cm n’ont pas été
remplacés. Je suppose que l’on attend la fin du mois pour remplacer ces
arbres. Pouvez-vous me le confirmer ?
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : Très justement, Monsieur, la période de
plantation des arbres s’effectue traditionnellement en mars ou en novembre.
Nous avons préféré faire les travaux de voirie de la rue Poirier cet été pour
limiter la gêne des riverains. Lorsqu’on a besoin de remplacer un arbre, on
l’abat en laissant une petite partie du tronc dépasser du sol, pour des raisons
de visibilité et de dangerosité. L’objectif est de remplacer ces quatre arbres.
Georges PENNEQUIN : Ce seront les mêmes espèces d’arbres ?
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : On restera bien évidemment dans des
essences similaires, car il n’est jamais évident de trouver strictement la même
essence.
Georges PENNEQUIN : En tant que président de copropriété avenue Foch,
j’ai eu des retombées extrêmement positives. Le revêtement retire
pratiquement 50% des nuisances sonores, la rue est devenue quasiment
sourde. La différence entre les revêtements précédents et ce type de
revêtement bituminé est extraordinaire, raison pour laquelle je reviens sur la
rue Poirier, la bande de roulement avec les dos d’âne est très esquintée et n’a
pas été refaite, sera-t-elle faite de la même manière ?
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : On peut toujours envisager, et je parle
sous le contrôle de nos élus, de proposer à l’arbitrage du budget 2017 ce
tapis. Sur la rue Poirier, on avait prévu initialement une intervention moins
importante. On a finalement choisi de traiter les pieds d’arbres, les trottoirs,
de refaire les caniveaux, car c’était tout à fait nécessaire. Je vous rejoins, si on
le peut le proposer au prochain arbitrage budgétaire, on le fera.
Philippe LE TYMEN : Plus généralement, et vous devez vous en rendre
compte certainement, dans Saint-Mandé, depuis des années tous les ans deux
rues en moyenne sont complètement refaites. Le choix est fait en fonction de
l’état et de la nécessité à le faire.
Georges PENNEQUIN : Dans ces conditions, la rue Poirier sera totalement
terminée et tout à fait acceptable, alors qu’elle ne l’est qu’à moitié
visuellement.
Philippe LE TYMEN : Un jour, toutes les rues seront refaites. Les services
techniques de la voirie remontent l’état des rues et la priorité éventuelle à
donner, des arbitrages sont faits. On va rentrer dans la période de préparation
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budgétaire, les réunions auront lieu en décembre et en janvier. Les services
techniques vont y travailler. On fera comme tous les ans, on défilera
l’ensemble des rues, la priorité à donner. Ce n’est pas pour faire plaisir à l’un
ou à l’autre, mais pour que la ville soit assez cohérente.
On en refait régulièrement depuis le début de cette mandature, et même les
précédentes, régulièrement elles sont faites. Refaire une rue coûte beaucoup
d’argent, des centaines de milliers d’euros. C’est fait en fonction des finances,
des priorités. De toute façon, une ville doit être refaite très régulièrement.
Pour l’instant, les arbitrages ne sont pas encore faits et les décisions ne sont
pas encore prises, mais ce sera fait un jour.
Georges PENNEQUIN : Je reviens aux trottoirs de l’avenue Foch. J’en avais
parlé il y a quatre ou cinq ans, et cela ne se fait toujours pas, cela concerne
plutôt le domaine de la ville et non du département. Face au 14 avenue Foch,
des trous sur les trottoirs font à peu près 15 cm de diamètre. C’est parfait
pour s’y tordre les pieds, c’est de la responsabilité de la ville.
Les tours d’arbres sont pratiquement tous abimés. Face au 5 avenue Foch
notamment, des pavés qui entourent les arbres sont descellés, ils peuvent
servir de projectiles.
Je me permets d’attirer votre attention sur l’état lamentable des trottoirs de
cette avenue. Ils sont craquelés et usés. Autant la rue est très bien pour les
automobilistes et pour nos oreilles, mais en ce qui concerne les trottoirs, c’est
une des rues les plus moches de Saint-Mandé.
Philippe LE TYMEN : Ce n’est pas pire que la rue Pasteur !
Georges PENNEQUIN : Le passage de cette avenue est largement supérieur
à celui de la rue Pasteur.
C’est l’une des avenues les plus intéressantes de Saint-Mandé, avec l’avenue
Charles de Gaulle et l’avenue Victor Hugo, le système de l’enrobé rouge ne
convient absolument pas avec le temps. Dès qu’il y a une intervention, c’est
mité et on n’a jamais la même teinte de rouge, on voit des emplâtres partout.
Si l’on pouvait faire la même chose qu’autour de la mairie ou ce qu’a fait la
ville de Vincennes, en pierre, ce serait tout à fait autre chose. On pourrait
mettre des jardinières, car beaucoup de gens empruntent l’avenue Foch,
beaucoup plus que par la rue Pasteur, pour aller au bois.
Notamment le dimanche, alors que jusqu’à 12h30, il y a très peu de
circulation, les cyclistes roulent sur les trottoirs et des piétons se font heurter.
Il faut vraiment l’interdire. Je soulève fréquemment le problème, je
souhaiterais que l’on sévisse. Mettre des jardinières, comme autour de la
mairie, dissuaderait les cyclistes, d’utiliser les trottoirs de 3 m de large de
chaque côté de l’avenue.
Pascal BEAUMARD : Vous avez encore d’autres questions, Monsieur.
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Georges PENNEQUIN : Non, mais je tenais à vous le dire, car ce sont
toujours les mêmes que je répète chaque année, sans aucun résultat. De
même, il faut refaire et revoir le goudronnage. Quand allez-vous le faire ?
Philippe LE TYMEN : Je ne pourrais pas vous donner une date ce soir, car il y
a beaucoup de sujets génériques dans vos propos (trottoirs, enrobé rouge,
dalles de Vincennes, cyclistes).
Georges PENNEQUIN : Est-ce programmé avenue Foch ?
Philippe LE TYMEN : Aujourd’hui non. Nous sommes en réflexion sur de
nombreux sujets, dont des pistes cyclables.
Georges PENNEQUIN : On devient excédé après un certain nombre
d’années.
Philippe LE TYMEN : Nous notons avec intérêt tout ce que vous nous avez
dit.
Brigitte FREYCHE, rue du Chaussée de l’Etang : Je circule à vélo sur la
chaussée et jamais sur le trottoir. Saint-Mandé devient l’exception, entre
Vincennes et Paris, elle n’a pas mis en place de circulation à contre-sens pour
les vélos, ni de panneaux permettant aux cyclistes de passer au feu rouge et
de tourner à droite ou aller tout droit dans certains cas. La mise en place d’un
tel système serait appréciable et faciliterait beaucoup les circulations douces.
Philippe LE TYMEN : Ce n’est pas le choix de la ville, la rue de la chaussée
de l’étang est beaucoup trop dangereuse.
Brigitte FREYCHE : Je ne ciblais pas la rue de la Chaussée de l’étang mais
toutes les rues de la ville en sens unique.
Philippe LE TYMEN : Je pense que c’est extrêmement dangereux. Dans
Paris, j’ai peur de me faire renverser par des vélos qui roulent n’importe où,
n’importe comment dans n’importe quel sens, en remontant les sens interdits.
Nos rues ne sont pas équipées pour accueillir ce genre de choses. C’est mon
point de vue, il faut que chacun puisse partager l’espace urbain intelligemment
entre les piétons, les vélos et les voitures. Là, c’est l’anarchie.
Brigitte FREYCHE : Lorsque c’est aménagé, cela se passe très bien.
Philippe LE TYMEN : La largeur de nos rues ne nous le permet pas.
Brigitte FREYCHE : C’est possible dans les rues du Marais, à Vincennes aussi,
pourquoi ne pourrait-on pas le faire à Saint-Mandé ?
Philippe LE TYMEN : Ils font ce qu’ils veulent dans le Marais. A Paris, ils
veulent retirer toutes les voitures, c’est un choix.
Brigitte FREYCHE : J’ai compris, merci.
Philippe LE TYMEN : Ne me dites pas que Chaussée de l’étang, ce ne serait
pas dangereux.
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Brigitte FREYCHE : Je ne parle pas de la Chaussée de l’étang mais des rues
où ce serait possible, et c’est forcément réalisable dans certaines rues de la
ville, si c’est possible dans les rues de Paris et celles de Vincennes.
Philippe LE TYMEN : C’est une proposition à faire dans les ateliers.
Brigitte FREYCHE : Je trouve étonnant qu’on écarte cette proposition au
moment où je la fais.
Pascal BEAUMARD : On va prendre le temps d’examiner la faisabilité
technique de cette proposition et on reviendra vers vous.
Michel TABARD, rue Plisson : A quoi servent les bandes blanches créées ?
Les personnes âgées risquent de glisser et tomber en marchant sur ces
bandes.
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : De nombreuses personnes posent cette
question. Il y avait entre la mairie et l’Institut le Val Mandé un chemin de
courtoisie (deux bandes symbolisant un passage). On souhaite maintenant se
mettre aux normes, cet aménagement réalisé permet aux malvoyants de
s’orienter. On peut reconnaitre que cette bande est un peu plus épaisse que la
précédente, et que l’on doit être vigilant en marchant, mais c’est un
aménagement actuellement adapté aux malvoyants. Ce choix a été fait
compte tenu de la spécificité de l’Institut le Val Mandé rue de Mongenot.
Michel TABARD : L’institut le Val de Mandé en est-il satisfait ?
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : On a rarement des retours positifs,
même si j’ai noté avec très grand plaisir, et on ne se gênera pas pour le
communiquer au département, la satisfaction des riverains sur le tapis de
l’avenue Foch. On pourra les solliciter et recueillir leur avis.
Michel TABARD : Le feu permettant la traversée de l’avenue du Paris
(BNP/kiosque à journaux) est très court, les personnes âgées n’ont pas le
temps d’effectuer toute la traversée.
Romuald GARIN, Responsable de la Police Municipale : La temporisation
des feux sur la voie départementale est prévue par le département. La
traversée à Gallieni de la BNP vers le kiosque doit se faire en deux temps,
raison pour laquelle il y a un ilot central de protection, le piéton n’est pas
censé d’aller d’un bord à l’autre en une seule fois, d’autant plus s’il a une
marche relativement lente, d’où l’aménagement de la niche centrale pour la
protection des piétons.
Régine TABARD, 18 rue Plisson : Il y a une mauvaise synchronisation du
feu rue Joffre.
Romuald GARIN : On va demander à la société prestataire de vérifier la
temporisation des feux piétons.
Régine TABARD : Le gabarit du camion benne à ordures ménagères a changé
et il ne peut pas prendre le virage à l’angle de la rue Plisson et de l’avenue
Quihou. J’ai attiré l’attention depuis deux ou trois ans sur ce problème.
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Maintenant, la solution trouvée consiste à ne plus ramasser nos poubelles rue
Plisson, que nous sommes obligés de porter avenue Joffre.
Nos poubelles se promènent sur les trottoirs de l’avenue Joffre, rue Plisson,
avenue Quihou. Les éboueurs doivent ramener les poubelles devant la porte
de l’immeuble, mais de ce fait comment peuvent-ils suivre le camion et
ramener les poubelles à bonne destination ? C’est la pagaille trois fois par
semaine. On ne parle pas de l’hygiène dans la rue. On avait manifesté notre
mécontentement par rapport à l’hygiène de Franprix, des progrès ont été
réalisés.
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : On verra avec le prestataire
Derichebourg. Depuis le 1er mars 2016, nous avons changé de prestataire,
Derichebourg utilise des bennes au gaz naturel de ville, elles sont un peu
différentes des bennes de la SITA.
Le passage de l’angle Plisson/Quihou a toujours été un peu compliqué.
Néanmoins, j’ai bien pris note de vos remarques et on va regarder avec le
prestataire comment régler ce problème. Si un container est décalé pour son
enlèvement, l’entreprise doit le remettre en place. On va solutionner ce
problème avec notre prestataire très vite. Je vous concède aisément que ce
n’est pas normal. L’objectif de ces réunions consiste à souligner ces petits
soucis de la vie quotidienne qui peuvent être des tracas importants. On va
s’efforcer de les résoudre très rapidement.
Régine TABARD : J’ai une solution, supprimer le stationnement devant le 19
avenue Quihou pour que les camions puissent passer.
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : C’est toujours la même problématique,
le stationnement à Saint-Mandé est très contraint. J’entends cette proposition
que nous allons regarder.
Régine TABART : C’est une place de supprimée pour le bénéfice de combien
d’autres habitants !
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : On avait résolu ce problème avec des
bennes plus petites, maintenant que les bennes sont de taille différente,
j’entends qu’il faut retravailler ce sujet.
Samy MARSAUD, rue du Lac : Je m’interrogeais sur l’action de ce comité
consultatif, va-t-il dépasser la seule consultation et collecte d’informations sur
des problèmes très ponctuels et pragmatiques de stationnement ? Comment
peut-on dépasser ce stade ?
Pour avoir participé à plusieurs instances de participation en Isère et travaillé
pendant quelques années dans ce domaine, des thématiques comme la
propreté reviennent souvent en premier, on a du mal à dépasser à ce stade
les déjections canines ! A part ces problèmes, comment peut-on repenser
quelque chose de plus fort et de plus sociétal ?
Contrairement à ce que pense ce monsieur, je trouve que la Ville de SaintMandé est relativement propre, les sols ne sont pas aussi cassés que cela.
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Dans les quelques échanges que l’on a eus, on met en opposition les usagers,
tels que les cyclistes versus les piétons. On parle des cyclistes qui utilisent le
trottoir avenue Foch, mais on ne repense pas la place de la voiture, la
question quotidienne des mobilités des gens. Il faut peut-être repenser plus
largement cette question.
Pascal BEAUMARD : Grenoble est très en avance sur la démocratie
participative !
Il est important que vous puissiez faire part du retour terrain de votre
environnement immédiat. L’objet de cette réunion, c’est aussi que la ville vous
montre ses projets sur l’ensemble du territoire et que vous soyez force de
propositions à travers les ateliers qui vont se dérouler après ce temps
d’échange. Il faudra dépasser la thématique concernant son territoire
environnant et faire des propositions globales pour la ville.
Samy MARSAUD : Quel est le budget relatif aux opérations « coup de
propre » et du nettoyage ?
Philippe LE TYMEN : Comme c’est fait en régie par le personnel communal,
ce n’est pas spécifiquement chiffré, cela fait partie des frais de fonctionnement
de la mairie. Il n’y a pas d’investissement complémentaire.
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : Votre question est intéressante, mais
nous n’avons pas encore le recul nécessaire. Nous avons commencé ces
opérations en septembre et nous devrons faire un bilan sur une année pleine
ou au moins sur les six premiers mois.
Viviane TALLOU, 14 allée des acacias : L’accès à la piste cyclable de
l’avenue Victor Hugo à double sens sur le trottoir de gauche est extrêmement
dangereux. En tant que cycliste, je préfère utiliser la rue pour ne pas couper la
route des véhicules pour rejoindre cette piste.
Il avait été prévu que le RER soit couvert pour éviter les nuisances sonores et
les vibrations Cité rose. Les fissures des habitations s’agrandissent, des
morceaux de murs tombent, cela devient très dangereux. Où en est-on de ce
projet ? Le financement a-t-il été prévu ?
Les nuisances sonores du Chalet du lac ont aussi beaucoup augmenté, ce qui
perturbe la tranquillité des riverains. Que pouvez-vous faire pour nous aider ?
Philippe LE TYMEN : La couverture du RER date depuis belle lurette. Une
association de riverains se bat sur ce sujet. Cela ne dépend pas directement
de la Ville, mais elle actionne et encourage l’association dans ce but. Les
travaux sont extrêmement importants et coûteux. Techniquement, on n’est
même pas certains qu’ils soient réalisables. Récemment encore, un courrier du
maire a alerté la présidente de région sur ce phénomène et je ne sais pas si
des réponses pertinentes ont été apportées. Peut-être que Claire qui fait partie
de cette association a des informations.
La mairie agit mais elle n’a pas les moyens de le faire. On parle de 20 à 30
millions d’euros, ce sont des sommes considérables et techniquement on n’est
pas sûr que ce soit réalisable.
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Une association s’est créée contre les nuisances du chalet du lac. La mairie
appuie également l’action de cette association. En complément, on a fait des
interventions. La police municipale est régulièrement interpellée.
Romuald GARIN : Le Chalet du Lac sur le territoire de Paris 12ème a encore
fait parlé de lui ce week-end dans le cadre de la fête d’Halloween. Il a déjà
reçu un avertissement de la part des services du 12ème arrondissement en
matière de nuisances sonores. Suite à cet avertissement, ils ont ouvert une
procédure en direction de la préfecture de police de Paris afin que
s’accumulent les éléments au sein du dossier et d’obtenir éventuellement une
fermeture administrative temporaire à titre de sanction et d’imposer un certain
nombre de travaux, ou du moins de règles sur l’émission de musique
amplifiée. Parallèlement, Monsieur le Maire a obtenu un extrait de la
convention passée entre le Chalet du lac et la ville de Paris, sur lequel nous
nous penchons afin de vérifier si nous ne pouvons pas apporter d’autres
éléments à la Ville de Paris, en leur prouvant que cet établissement ne
respecte pas la convention au titre de la location du local.
Ce dossier avance, tout le monde y travaille sérieusement et dans une bonne
entente. Même si la solution n’est pas imminente, c’est en cours d’exécution.
Cédric BACH : J’habite dans le sud de Saint-Mandé. Mon intervention est
aussi relative à la propreté. Notamment le jour des encombrants, les poubelles
étant fouillées régulièrement, les trottoirs étant petits, on retrouve des
détritus partout. Des bouts de bois sont jetés contre les voitures, la mienne a
été rayée il y a peu de temps. J’aimerais savoir si des choses vont être faites
en la matière.
Philippe LE TYMEN : On peut même le constater ce soir, puisque demain
matin on aura le ramassage des encombrants. Que peut-on répondre M.
Garin ? On connait le problème, on sait que ce sont les personnes qui sont le
long du périphérique du côté de Montreuil qui viennent fouiller les poubelles. Y
a-t-il des verbalisations, des rappels ? Que fait la police ?
Romuald GARIN : Je vais donner deux axes à ma réponse. Je vais
m’adresser aux gentils administrés que vous êtes, plus vous respecterez les
heures et les jours de collecte, et moins les encombrants resteront à
l’extérieur sur le trottoir, moins ils seront fouillés. Si vous faites le tour de la
ville maintenant, la moitié de la population a déjà sorti les encombrants, alors
qu’ils passent le jeudi. Idem pour les containers à ordures, moins de temps ils
restent à l’extérieur, moins il y a de chance qu’ils soient fouillés.
On travaille au quotidien, on essaie plus ou moins de faire entendre raison aux
populations qui s’adonnent à ce type d’activités. Eu égard aux types de
populations, à leur désocialisation, à leurs conditions d’existence, la menace
de la verbalisation car elles ont jeté les détritus parterre à 17 € n’est pas
impressionnante. L’échange verbal n’est pas toujours simple, on est confronté
à la barrière de la langue, de la culture. Ils n’ont pas eux-mêmes l’impression
de dégrader la qualité de vie, le fait qu’il y ait quelque encombrants parterre
leur semble très insignifiant.
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La solution la plus efficace consiste déjà à respecter les règles des heures et
jours de sortie des encombrants et des poubelles, ce qui réduirait nettement le
problème.
Claire PAILLIERE : Je reprends les propos de ma voisine concernant le vélo.
On ne peut pas évacuer les choses en disant que c’est dangereux. Dans toutes
les communes où l’on roule à contresens, c’est organisé et ainsi les voitures
roulent moins vite. C’est un sujet d’atelier très intéressant à traiter. Je
constate que je ne suis pas la seule à être cycliste et on est de plus en plus
nombreux.
Concernant le Chalet du lac, j’avais l’impression que c’était plus calme, mais je
devais être absente lorsqu’il y a eu du vacarme.
Romuald GARIN : C’était plus calme, la dernière grosse soirée était la fête
d’Halloween.
Claire PAILLIERE : La mairie va-t-elle organiser le repas du bel âge au
Chalet du lac cette année ? Leur donner de l’argent dans les conditions
actuelles…
Philippe LE TYMEN : Visiblement, oui.
Claire PAILLIERE : Les riverains apprécieront, sauf ceux qui ont l’âge d’aller
manger au Chalet du lac !
Philippe LE TYMEN : Pour une fois, les Saint Mandéens se rattraperont, ce
seront eux qui font du bruit !
Claire PAILLIERE : Les deux côtés de la rue ont été nettoyées lors de
l’opération « coup de propre » Chaussée de l’étang. Par contre, lorsqu’il y a
des problèmes d’éclairage, on dit que c’est la Ville de Paris. Les habitants n’y
comprennent plus rien. Parfois, c’est éclairé le jour et noir la nuit, c’est
d’ailleurs le cas ce soir.
Emmanuel GILLES DE LA LONDE : Sur Chaussée de l’étang, avenue
Daumesnil et boulevard de la Guyane, l’éclairage public est géré par la Ville de
Paris. Sur Chaussée de l’étang, une convention nous fait partager une partie
des frais. J’insiste bien, autant la rénovation de l’éclairage public sur
l’ensemble des rues de Saint-Mandé, comme l’a précisé M. le Tymen, va nous
permettre d’avoir un éclairage totalement neuf et d’être vraiment tranquille
pendant de nombreuses années (et j’en forme vraiment le vœu). Autant sur
Chaussée de l’étang, on bute avec la ville de Paris, et ce n’est pas faute de
leur écrire plusieurs fois par an, au besoin je tiens à disposition aux services
techniques les dossiers, que ce soit Mme la Maire du 12ème, Mme Barrati-Elbaz
ou Mme la Maire de Paris, Mme Hidalgo.
Il y a des investissements à réaliser et la Mairie de Paris n’a pas du tout envie
de les faire. Des armoires d’éclairage vétustes devraient être remplacées.
Malgré nos demandes insistantes, ces travaux ne sont pas réalisés. Pour ne
rien vous cacher, on va leur proposer de reprendre en gestion ces trois voies,
en leur transmettant des devis pour passer en LED et avoir un éclairage
économe sur le reste de la ville. Je formule le vœu que la Ville de Paris nous
12
laisse gérer ces voies. Effectivement, cela ne les intéresse pas, il ne faut pas
se voiler la face.
Jacques GUIMEZANES : Je représente la rue du Parc, petite rue de SaintMandé, très passante. Tous ceux qui rejoignent le Chalet du lac empruntent
cette rue depuis le métro. Cette rue comporte des déjections canines assez
considérables. Y a-t-il toujours un agent communal affecté au balayage de
cette rue ?
Jusqu’à un mois ou deux, un employé communal devait soi-disant balayer la
rue. J’ai des témoins et je suis d’ailleurs venu aux services techniques pour
protester à ce sujet. Ce balayeur considérait qu’il ne devait pas s’occuper de
ces déjections puisque ce n’était pas ses chiens, ni de ramasser les feuilles des
arbres, car ce n’était pas sa faute si les feuilles tombaient. Maintenant, il y a
une machine.
La mairie dispose d’une caméra rue du Parc et pourrait donc constater le
nombre de chiens dans cette rue.
La machine qui nettoie la rue pourrait élever les projections d’eau afin
d’éliminer les traces laissées à hauteur, pour éviter aux autres chiens de sentir
la trace laissée par les précédents.
Disposant d’une lance à incendie, nous nettoyons devant chez nous, ce qui
nous a déjà valu des invectives d’un agent communal ; idem pour ma voisine.
Une remarque à l’attention des services de sécurité : cette rue est à
l’abandon. Toutes les poubelles de Franprix sont sur la rue. Un arrêté incorrect
a été changé. Il y a des poubelles en permanence sur 7 m. Des gens viennent
fouiller les poubelles, de la viande y est déposée alors que c’est interdit (et j’ai
des pris des photos). Le sol est souillé, cette rue est un dépotoir.
Des gens n’ouvrent plus leurs volets ni leurs fenêtres, car depuis qu’il y a ces
arbres, jamais la mairie ne les a fait tailler. Certaines branches touchent les
volets.
Philippe LE TYMEN : Merci pour toutes ces remarques. Je suis un peu
choqué, car si cette rue était vraiment le furoncle de Saint-Mandé, cela se
saurait, on nous l’aurait dit. Il y a forcément quelque chose à faire, on ne peut
pas laisser les choses en l’état. Il faut que vous vous sentiez bien chez vous et
que vous puissiez ouvrir les fenêtres. Pour moi, l’élagage d’arbres se fait tous
les ans, je ne sais pas pourquoi cette rue n’est pas faite et il n’y a pas de
raison qu’elle ne le soit pas. A mon avis, il doit y avoir une anomalie.
On a un planning de tous les nettoyages tous les jours ou tous les deux jours
selon les rues, le passage. On a de la traçabilité. Si quelqu’un n’est pas passé
depuis un mois, on va le savoir. On va surveiller.
Vous avez raison, cette rue est toute petite, on doit savoir ce qui s’y passe. Si
Franprix fait le bazar, et Mme Garin note précisément ce point, il faut le
regarder car ce n’est pas normal. On sait que les grandes surfaces ont des
choses à jeter, mais il y a des règles à suivre et il faut les faire appliquer. Je
suis tout à fait d’accord. Merci pour ces remontées.
13
On va enquêter là-dessus. Il faut qu’on s’engage à ce que cette rue soit
normalement entretenue, même si en ce moment il y a un peu plus de feuilles
que d’habitude.
On tient compte de vos remarques.
Pascal BEAUMARD : Je vous propose maintenant de contribuer, faire vos
remarques en collectif et faire des propositions concrètes écrites.
5 tables sont à votre disposition, comme nous sommes 30, je vous suggère de
composer des tables de 6 personnes.
On va travailler autour de quatre grandes thématiques :
•
•
•
•
Sécurité, tranquillité publique, vigilance
Cadre de vie, espace public
Vie associative et animation
Manques observés à Saint-Mandé
Eventuellement, vous pouvez ajouter d’autres thématiques.
On a un peu dérapé sur le temps prévu, on se donne une bonne demi-heure
voire plus pour travailler autour des tables. Ensuite, on fera une restitution de
vos propositions.
Restitution / Conclusion
Pascal BEAUMARD : On voit que les uns et les autres se sont pris au jeu de
l’atelier participatif, ce sont autant d’éclairages utiles pour la Ville de SaintMandé. Je vais demander à chaque rapporteur de venir faire la restitution des
différentes tables.
 TABLE 1 : SECURITE/ TRANQUILLITE PUBLIQUE/ VIGILANCE (rapporteur : M.
Guimezanes)
Jacques GUIMEZANES : Cette table représentait la rue Plisson, l’avenue
Joffre et la rue du Parc.
Pascal BEAUMARD : Avez-vous contribué pour vos rues ou par la ville ?
Jacques GUIMEZANES : D’abord pour les rues, nous avons bien sûr
considéré que c’étaient des rues représentatives de la ville, ce qu’on a pu y
trouver, on le trouvera peut-être ailleurs.
Pascal BEAUMARD : Etes-vous dans l’ordre de la remarque ou de la
proposition d’amélioration ?
14
Jacques GUIMEZANES : Ce sont des propositions, nous nous sommes
abstenus de faire des remarques, sinon nos deux feuilles n’auraient pas suffi !
 Résoudre les inconvénients de la benne ordure rue Plisson/avenue Quihou
(4 personnes étaient concernées autour de la table)
 Possibilité d’interdire le stationnement à l’angle pour permettre le passage
normal de la benne (problème important pour les résidents de la rue
Plisson)
 Ce n’est pas mal sur Saint-Mandé
 Pas de proposition
Vie associative et animations
 Ce n’est pas mal non plus en tout cas par rapport à il y a 20 ans
 Rue Plisson : dégradation des dalles en zone piétonne devant les sorties de
l’école maternelle et de la crèche. Je ne reviens pas sur la responsabilité de
la ville en cas d’accident de personnes.
 Avenue de Paris : des trous dans la chaussée ont été occasionnés lors de la
réfection du revêtement, notamment des pieds de tréteaux de
commerçants ont été installés à l’extérieur alors que le revêtement n’était
pas sec. J’ai vu des gens se tordent les pieds à cet endroit-là, car il y a 5
ou 6 trous sur 3 m, surtout les jours de marché. Ces trous sont à l’air libre.
 Rue du Parc : élagage des arbres, qui n’a jamais été fait. Cela ferait plaisir
à des personnes âgées habitant en rez-de-chaussée sur deux immeubles
de pouvoir ouvrir leurs volets et leurs fenêtres.
 18 rue Plisson/angle Quihou : arbres non élagués, les résidents ne peuvent
pas ouvrir.
On n’a pas eu le temps d’aborder les éventuelles autres thématiques.
Pascal BEAUMARD : Merci de vous être déjà concentrés sur les principales
thématiques. Ces propositions seront reprises dans mon compte rendu.
TABLE 2 : CADRE VIE / ESPACE PUBLIC (rapporteur : M. Donatti)
Michaël DONATTI : Je suis nouvellement arrivé dans la ville de Saint-Mandé,
depuis six mois, rue de l’Amiral Courbet.
Pascal BEAUMARD : Vous allez restituer votre table, peut-être avec votre
regard nouveau.
15
Michaël DONATTI : Je vais essayer de restituer correctement. J’étais
accompagné de : Alexandra Desvaux, Cédric Bach, Jean-Claude Bonnard,
Jacques Cabantous et Laurent Chomette.
Journées du patrimoine : la Ville de Saint-Mandé présentait des atouts
intéressants qui méritaient d’être davantage mis en valeur (cimetière nord,
IGN, Institut Val de Mandé). Des personnalités ont dû vivre à Saint-Mandé,
cela pourrait être l’occasion d’organiser un parcours historique dans la ville.
Peut-être sommes-nous passés à côté de choses qui ont déjà été faites, mais
nous trouvions intéressant de mettre en lumière différemment la Ville de
Saint-Mandé.
La vie associative est assez dynamique, mais avec l’envie d’organiser des
événements un peu plus fréquemment et de réunir les Saint-Mandéens, tels
que la Fête de la pomme, plutôt appréciée par les habitants de Saint-Mandé.
Pourquoi pas essayer de reproduire ce type d’événements à d’autres moments
(Pâques, Noël), d’y associer notamment les commerçants et l’association des
commerçants ?
Le manque de commerces de proximité en descendant vers le sud se fait
sentir comparativement au passé. On a assez peu de restaurants au sein de la
Ville de Saint-Mandé. De quelle manière est-il possible de stimuler et
d’encourager ces activités ?
Bornes de recharge panneaux solaires (cela existe dans d’autres communes).
Distributeur de sacs à crottes. Etant dans un comité de quartier, il faut
évoquer ces thématiques et de plus c’est très bien si cela peut contribuer au
bien-être de l’ensemble des citoyens.
Pas de proposition sur ce thème, tout le monde avait l’air plutôt satisfait.
Fréquence du ramassage des poubelles : n’y a-t-il pas une inadéquation sur
les rythmes d’enlèvement des poubelles ? C’est assez compliqué et pas
forcément facile à appréhender.
Compost : Saint-Mandé est une ville fleurie (2 fleurs). Pourquoi ne pas
organiser un point de collecte pour le compost des matières organiques au
sein de la ville qui pourrait à la fois servir aux services de la ville pour mettre
en valeur notre ville, mais aussi aux Saint-Mandéens pour essayer d’égayer
leurs balcons, cela fait toujours plaisir ?
Amélioration du stationnement devant la crèche rue Poirier.
16
Contribution des scooters au stationnement. Certains scooters qui ne font pas
l’effort de se garer correctement prennent des places considérables.
Pascal BEAUMARD : Merci beaucoup, je garde vos contributions
précieusement. Lors du prochain comité consultatif, on aura peut-être un peu
plus de temps d’atelier. Néanmoins, toutes les propositions que vous avez
faites, en peu de temps, sont très intéressantes.
TABLE 3 : VIE ASSOCIATIVE ET ANIMATIONS (rapporteur : Mme Pallière)
Claire PALLIERE :
Planning de l’enlèvement des ordures ménagères : demande d’explications sur
la complexité, sur le passage récurrent et de bonne heure.
Difficulté de circulation et stationnement près du zoo de Vincennes le weekend. (ce point a été évoqué par une personne de l’avenue Daumesnil).
Circulation des vélos sur le trottoir Avenue Foch.
Nécessité d’un schéma de circulation douce avec une continuité entre Paris,
Vincennes, Montreuil et Saint-Mandé, fait en collaboration avec les cyclistes.
(les cyclistes sont mieux à même d’appréhender l’agencement des pistes
cyclables).
Est-il envisagé de réduire l’éclairage public la nuit ? Cela se fait dans certaines
villes, une réflexion nationale est menée pas seulement pour des questions
budgétaires mais aussi environnementales.
Mise en place d’hôtels à insectes, composteurs collectifs
Distribution de bulbes excédentaires aux usagers
Gestion des encombrants : valoriser les ressourceries, collecte des
encombrants faite sur rendez-vous pris à la mairie plutôt qu’à jours fixes. Il
n’y a peut-être pas qu’une verbalisation à faire, mais penser différemment la
collecte des encombrants.
Ordures ménagères : poubelles et palettes des différents magasins Franprix,
présence de rats
Mise en place de bancs, notamment pour les personnes âgées qui circulent
difficilement sur des longs trajets sans pouvoir s’asseoir, et aussi pour les
familles ou les jeunes pour discuter.
Mise en place de Jardins partagés
17
Pourquoi n’y a-t-il pas de conseil des 16-30 ans ou 16-25 ans alors qu’il y a un
conseil de jeunes et un futur conseil des seniors.
Journées d’activités parents, jeunes et enfants
Ateliers parents de la Maison de la famille : changement d’horaire et/ou
enregistrement des conférences et diffusion sur le site de la Ville.
Que peut apporter le nouveau territoire métropolitain (T10 : Paris Est, Marne
et Bois) au niveau culturel, sur l’harmonisation des tarifs ?
 Circulations douces
 Retour de commerces discount et création de magasins bio
Démocratie participative
 L’horaire des réunions, comme celle de ce soir, exclut un certain
nombre de personnes (celles rentrant tard du travail, celles qui doivent
s’occuper des enfants…). C’est trop tôt.
 Mise en ligne des comptes rendus et pas seulement envoyés aux
participants. Il faut intéresser toute la population
 Connaitre le devenir des propositions faites (en réunions et en ligne)
 Proposer un budget participatif pour des projets collectifs
Autre thématique
 Devenir de la maison du gardien du cimetière nord
 Gestion de la reprise des concessions centenaires et perpétuelles à l’état
d’abandon (une personne du groupe regrettait ce manque)
Pascal BEAUMARD : Merci beaucoup pour toutes ces propositions. Il faudra
nous laisser un peu de temps pour faire le compte rendu et nous verrons avec
les services de la mairie les modalités de diffusion.
TABLE 5 : LES MANQUES OBSERVES A SAINT-MANDE
(rapporteur : Mme Pothin)
Martine POTHIN :
Sécurité/ tranquillité publique/ vigilance
Limitation de la vitesse route de la Tourelle (de nombreux enfants empruntent
le passage piétons pour rejoindre l’école)
18
Révision des pistes cyclables avenue Victor Hugo (traversée dangereuse,
pavés mouillés, vitesse excessive des véhicules)
Réflexion sur l’aménagement cyclable (extension, convivialité)
Installation d’un miroir à la sortie de parking au 2 bis rue Pasteur permettant
d’observer l’arrivée des véhicules et des piétons. Cette sortie est en pente et il
faut une forte accélération pour sortir, ce qui peut s’avérer extrêmement
dangereux.
Solutionner les nuisances du RER A. Il semblerait que Vincennes et Fontenay
auraient obtenu des travaux d’insonorisation, à suivre.
Dégradation des bâtiments cité Pasteur : des panneaux entiers de 15 kg se
décrochent. Les vibrations sont ressenties essentiellement la nuit. Si l’on pose
4 verres près d’une glace à 1 h du matin, tout vibre. Ce phénomène n’est pas
observé uniquement sur les bâtiments en première ligne du RER, mais sur
l’ensemble des bâtiments et en sous-sol.
Chalet du lac : visiblement ce problème va se résoudre.
Parkings pour les voitures, les motos, les vélos (avec des zones sécurisées).
Réfection rapide de la rue Pasteur
Nettoyage plus fréquent des trottoirs
Régulation du stationnement lié à la fréquentation du Chalet du Lac. Cela dure
depuis des années, on chevauche la bande blanche route de la Tourelle, car
les voitures sont stationnées en double file. J’avais saisi à l’époque le
commandement de Paris qui m’avait dirigé vers le maire, visiblement on ne
tenait pas trop à ce qu’il y ait des sanctions concernant la fréquentation du
Chalet du lac. En appelant Vincennes, on nous dit « on va regarder ce qu’on
peut faire ». Le rond-point en bas de la rue Pasteur n’est pas sur Paris, le
stationnement se fait autour et sur le rond-point la nuit.
Insuffisance de pénalités sur les déjections canines. Une opération « coup de
poing : non déjections » ferait réfléchir certains.
Pascal BEAUMARD : Merci pour vos contributions. Claude-Edouard Crochet,
directeur de cabinet de la Ville de Saint-Mandé, distribue un formulaire
facultatif sur lequel vous pouvez mentionner vos remarques individuelles.
Vous vous êtes pris au jeu de l’atelier participatif, vous avez fait des
propositions intéressantes, que la Ville de Saint-Mandé va étudier et elle
reviendra vers vous lors du prochain comité consultatif.
19
Parlez-en autour de vous, sachez que le comité consultatif de quartier est ce
moment où l’on peut à la fois poser des questions mais aussi travailler autour
d’une table et faire des propositions. On va s’améliorer de réunion en réunion,
en essayant à chaque fois de dépasser la focale de la rue et l’étendre à une
focale Saint-Mandé, et pourquoi pas métropolitaine un jour.
•
En tout cas, c’est un début d’opération qu’on va poursuivre. On va se
retrouver le 8 novembre à 19 h 30 à l’école Charles Digeon.
•
Le Conseil des seniors, instance permanente de concertation pour les
personnes qui ont plus de 60 ans voulant donner leur avis et faire des
propositions sur l’ensemble des politiques publiques de la ville, se
réunira le 8 novembre et le 6 décembre 2016 à 15 heures.
•
Si vous voulez nous rencontrer au marché le dimanche 20 novembre
entre 9h30 et 12h30 (métro Saint-Mandé, près de la BNP), en
compagnie de M. Claude-Edouard Crochet, peut-être de M. Philippe Le
Tymen et d’autres élus (nous y étions déjà le 30 octobre), venez nous
retrouver, on peut échanger d’une manière très informelle. C’est tout à
fait convivial. Cela fait aussi l’objet d’un compte rendu. C’est aussi le
début de quelque chose qui va sans doute perdurer par la suite.
•
Une réunion se tiendra le 23 novembre 2016 à 20 heures à la salle des
Conférences sur les finances municipales. Cette réunion sera tout à fait
pédagogique et très intéressante, on travaille sur ses modalités pour
qu’elle soit la plus éclairante possible sur un sujet qui vous est très cher
(utilisation de l’argent public, projets de la ville…).
Le dernier message avant de passer la parole à M. Le Tymen : la ville de
Saint-Mandé souhaite que ces réunions soient vraiment des lieux d’échange et
de contributions. Faites-le savoir autour de vous, si cela vous a plu, afin que
nous soyons de plus en plus nombreux à ces réunions. Claude-Edouard me
disait qu’on était plus nombreux que d’habitude, ce qui est déjà un signe, on
va essayer de continuer.
Philippe LE TYMEN : Ma conclusion sera très courte pour vous remercier de
votre participation. J’espère que ce format vous a plu, sinon faites-nous le
savoir, nous sommes à votre écoute. Merci aux services de la ville qui nous
ont aidés et merci Pascal pour cette intervention.
Ces comités existent, mais si au quotidien vous rencontrez des difficultés,
n’hésitez pas à contacter les services de la mairie. Les portes de la mairie et
de la police municipale sont ouvertes, les services techniques et les élus, nous
sommes là pour répondre quotidiennement à vos préoccupations en dehors de
ces comités plus formels.
Merci à vous, très bonne fin de soirée! Au revoir !
(Applaudissements).
20
Productions écrites collectives
4 tables occupées sur 5 prévues :




Table
Table
Table
Table
1
2
3
5
(rapporteur
(rapporteur
(rapporteur
(rapporteur
:
:
:
:
M. Guimezanes)
M. Donatti)
Mme Pallière)
Mme Pothin)
THEMATIQUES
•
Sécurité/ tranquillité
publique/ vigilance
(CONSTATS &) PROPOSITIONS
Table 1
 Résoudre les inconvénients de la benne à ordures
Rue Plisson/ Avenue Quihou : possibilité d’interdire le
stationnement à l’angle pour permettre le passage
normal de la benne
Table 2
RAS
Table 3
 Diffuser un planning / zonage de ramassage des
ordures ménagères
 Zoo : c’est « infernal » le week-end à cause du
stationnement encombré et pour traverser la rue
 Vélo sur le trottoir Avenue Foch
 Concevoir avec les cyclistes un schéma de
continuité de circulations douces : Paris/ SaintMandé/ Vincennes/ Montreuil
Table 5
 Solutionner la problématique de la vitesse des
voitures sur la Route des Tourelles à hauteur du
passage clouté situé au droit de la rue de la Chaussée
de l’Etang (passages d’enfants fréquents en période
scolaire)
21
•
Cadre vie / espace
public
Table 1
RAS
Table 2
Fréquence
inadéquate

de
collecte
des
poubelles
jugée
 Compost : pour des points de collecte de compost
dans la ville à disposition des habitants
 Demande d’un stationnement devant la crèche Rue
Poirier
 Stationnement / scooters : pourquoi la gratuité ?
Table 3
 Est-il envisagé de réduire l’éclairage public la nuit
comme dans certaines villes ( NDLR : c’est déjà le
cas)
 Installer des composteurs publics / des « hôtels à
insectes »
 Mettre à disposition des habitants les bulbes
usagers des espaces verts
 Installer des bancs pour les personnes âgées et
pour la sociabilité
 Encombrants : valoriser le service, faire connaître
le numéro de téléphone ad hoc
 Attention aux rats des poubelles du Franprix +
palettes non rentrées
Table 5
 Il est urgent de revoir la piste cyclable de l’Avenue
Victor Hugo : la traversée s’avère extrêmement
dangereuse. Il serait souhaitable de faire tester cette
portion cyclable (pavés mouillés = danger assuré)
 Les aménagements cyclables sont à repenser
22
 2 bis Pasteur : la sortie du parking est très
dangereuse. Il faut installer un miroir permettant
d’observer l’arrivée de piétons et de véhicules dans la
rue Pasteur
 Il faut solutionner le problème de nuisances du
RER A à l’identique des villes mitoyennes (Vincennes,
Fontenay-sous-Bois)
•
Vie associative et
animations
Table 1
RAS
Table 2
 Journée du Patrimoine : imaginer un parcours
historique reliant le cimetière nord / IGN/ Institut des
Aveugles / maisons de personnalités
 Vie associative dynamique malgré le tropisme
parisien
 La fête de la Pomme est un moment sympathique :
imaginer d’autres moments festifs à Noël, à Pâques…
 Concevoir une charte des commerçants
Table 3
 Mettre en place un conseil des jeunes 16/30 ans
Organiser
des
journées
d’activités
intergénérationnelles : parents/ jeunes/ enfants

 Atelier Parents à 19h la Maison de la Famille : c’est
un mauvais créneau… Sinon enregistrer et diffuser les
vidéos des conférences…
 Que peut apporter la métropole (territoire Paris Est
Bois Marne) au niveau culturel ?
Table 5
 Satisfaisant dans l’ensemble
•
Les manques
observés à SaintMandé
Table 1
 Rue Plisson : dégradation des dalles devant les
sorties de l’Ecole Maternelle et de la Crèche (zone
piétonne)
23
 Avenue de Paris : trous sur la chaussée provenant
des pieds des tréteaux de l’épicerie
 Rue du Parc : élagage des arbres jamais fait et
donc à réaliser
 18 Rue Plisson, angle avec l’Avenue Quinhou :
arbre non élagué (les résidents ne peuvent ouvrir
leurs fenêtres)
Table 2
 Un vide d’animations et de commerces au sud de
Saint-Mandé : y implanter des restaurants ?
 Des bornes solaires de recharges électriques à
installer
 Des bornes canines (avec sacs à déjections) à
installer également
Table 3
 Attention aux circulations douces : tourne-à-droite
et contresens à autoriser dans les voies à sens unique
 Concevoir des jardins partagés : Route de la
Tourelle / Jardin David Neel
 Il manque des magasins discount et des magasins
bios (il n’y en a plus)
Table 5
 Il manque des parkings pour les voitures, motos,
vélos…
 Le nettoyage des trottoirs est à améliorer
La régulation du stationnement
fréquentation du Chalet du Lac est à faire

liée
à
la
 les pénalités sont insuffisantes concernant les
déjections canines
•
Thématiques autres :
 Démocratie participative : repenser les horaires
(il exclut les familles), développer la participation en
ligne, mettre en ligne les comptes-rendus, faire
connaître
le
devenir
des
propositions…
des
participants… Et pourquoi pas mettre en place un
budget participatif ?
24
 Cimetières : maison du gardien du cimetière nord
à l’abandon… Quid de l’action de la ville quant à
l’abandon des tombes, de la reprise des concessions
centenaires et perpétuelles à l’abandon également…
Productions écrites individuelles
•
Forme du CCQ
 Format agréable, merci pour cet échange !
 S’abstenir de la séances de questions / réponses au profit travail
en atelier pour lequel il faut consacrer plus de temps
 Mettre en place en complément une consultation sur le web pour
ceux qui ne peuvent venir en réunion le soir et participer à la vie
de leur ville
 Qu’un conseil des 20-30 ans débatte des mêmes thèmes et des
mêmes enjeux que ceux qui sont débattus lors du Conseil des
Séniors : les jeunes ont aussi une capacité d’analyse de la ville.
•
Remarques et suggestions
 Instaurer des places de parkings payantes pour les scooters : ce
la éviterait que les places pour les voitures soient monopolisées
 Pour une ville plus verte : peut-être une ville sans sac en plastique
avec l’instauration d’une charte des commerçants qui s’engagent
dans ce sens
 Je souhaite une vraie réflexion sur un projet environnemental pour
Saint-Mandé : composteurs, jardins partagés, ressourceries…
Comment voulons-nous vivre demain à Saint-Mandé ?
25

Télécharger le compte-rendu du 2 novembre - Saint

Transcription

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