Bib-55192

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Bib-55192
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--------------------_
F./ECNAD HOC.MTP/9
..
:
NATIONS UNlES
COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE
PROJET DE PLAN
A MOYEN TERME
1992-1997
..
~
Distr. : LIMITEE
EIECNAD HOC.MTP/9
9 aout 1989
FRANCAIS
Original; ANGlAIS
COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE
Reunion du Comite ad hoc sur Ie plan
a moyen terrne 1992-1997
.•
Addis-Abeba (Ethiopie)
9-11 Detobre 1989
PROJET DE PLAN A MOYEN TERME
1992-1997
,
,
E/ECA/AD HOC.MTP/9
TABLE DES MATIERES
Pages
INTRODUCTION
1-35
1
PREMIERE PARTIE - ORIENTATION GENERALE ET OBJECTIFS
DU PROGRAMME
11-35
4
DEUXIEME PARTIE - DESCRIPTION DES SOUS
PROGRAMMES
36-387
13
SOCS-PROGRAMME 1
1.
Direction executive et administration
36-·10
13
2.
Politique, planification et programmation du developpement agricole
41-48
15
Mise au point de systemes de production agricole viables
49-56
17
Mise en place d'institutions et
d'infrastructures agricoles
57-63
20
Transformation structurelle et developpement des zonE'S rurales
64-69
22
Ressources en eau et ressources
biologiques marines
70-78
24
Analyse, planification et projections
socio-economiq ues
79-85
28
Pays les mojns avances, pays sans
littoral et pays insulaires d'Afrique
86-91
30
Cooperation et integration economiques
en Afrique
92-99
32
Planification, mise en valeur et
utilisation des ressources humaines
100-113
34
11.
Developpement social en Afrique
114-122
38
I')
Systemes d'information pour Ie developpement en Afrique
123-127
40
L 1environnement en Afrique
128-134
42
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
13.
i
E/ECA!AD HOc.MTPf9
H.
Etablissem"nts humains en Afrique.
135-146
15.
Developpement industriel
147 158
16.
.Developpement du commerce "t cooperation comrnercialc
1i.
E'!1
Afl'iqut'
Politiques et strategies monetaires
Bt flnancieres
166-171
53
Ressources minerale", tel're~tres,
ressources marines non organiqucs.
et asped!'. 5urid\ques des affaires de
la fliP!"
172-182
55
19.
ReSSOlll'CeS en eau
183-191
58
20.
Energie et developpement en Afrique
192-204
60
21.
Population en Afrique
205-218
63
"n
Administration et finances publiques
Afrique
219-227
67
23.
Science et technique en ,\frigue
228-251
70
24.
Promotion de la femme en Afrique
252-259
7T
25.
Societes transnational"" en Afrique
260-265
79
Afrique
266-288
81
27.
Transports en Afrique
289-297
87
28.
Communications en Afrique
298-309
89
29.
Tou risme E'n }\.fi'ique
~nO-322
92
technique
323-335
95
Planification, programmation. budgetisabon, contro3e et evaluatiun
336-342
99
32.
Services de conference
343-373
102
33.
Services administratif" et communs
374-387
108
18.
22.
26.
30.
31.
Dev~loppelnent
nE'" 13.
!:~tatjstique
en
Gestion des activites de cooperation
ii
E/ECA/AD HOC.MTP/9
INTHODUCTlOl,
1.
Conformement aux dispositions pertinentes du lieglement et ues regles
regissant Ja planification des prsgrammcs, les aspects du budget qui ant trait aux
programmes,
Ie
contrale
de
l'execution et
les
methodes
d 'evaluation
(ST/SGB/PPB!'1E/Rules 1 (1987), Ie projet de programme sur la cooperation regionale
pour Ie developpement economique de l'Afrique du plan a moyen terme pour la
periode 1992-1997, qui doit etre execute Pi:il' la Commission economique pour
l'Afrique, est presente au Co mite ad hcc c;rc~e je'a,' la Conference des ministres de
la CEA pour examiner Ie projet et faire des recommandations.
2.
II con"ient de rappeler que ~ur une recommandation faite en 1987 par Ie
Comite du programme et de la coordination, l'_'\ssemblt~e generale, par sa resolution
42/215, a prolonge jusqu'en 1991 Ie plan it moyen terme en cours (1984-1989),
condition que des ameliorations soient apportees a la structure, au contenu et a la
presentation du prochain plan i3.. moyen terme:. A la suite d'a.utres recommandations
faites par Ie Comite en 1988, dans Ie cadre de I'exan:en au projet d'introduction au
prochain plan a moyen terme IA/43/329 i et du projet. de calendrier des
consultations pour la preparation dudit plan :A/43/329/Add.1), I'Assemblee generale,
dans sa resolution 43/219 du 21 dec:erabre 1988, a, entre autres dispositions, pris
les decisions ci-apres : Ie prochain plan a mo,~en terme de l'Organisation des
Nations Unies portera sur la periode 1992-1997; les organismes gouvernementaux
sont invites, lorsqu'i!s examineront, ell 1989, les parties pertinentes du projet de
plan a moyen terme pour la periode 1992-1997, a porter toute I'attention voulue a
la structure let plus appropriee a donnel' aulx) grand(s) programp;els) et aux
programmes Gt sOlls-programmes sGumis a leur examen, en la comparant avec la
structure actuelle et en tenant compte de I'analyse des objectifs, ten dances et
orientations generales decoulant des mandats des organes intergouvernementaux,
que presentera Ie Secretaire general.
a
3.
Les propositions preliminaires (h~ S~rq~;L_l.i,-'e ger.e.cal sur 1.3. nouyelle structure
du plan a moyen terme pour la periodE 1992-1997 figUl'ent aux paragraphes 33 a 35
du projet d'introduction audit plan (.'1./43/329, annexe). E:Jes sont destinees a
ramener Ie nombre des grands programmes ct des programmes GU plan a moyen
terme en cours, de 31 a 4 et de 148 a environ 40, respectivement. Par la suite, une
structure de programme revisee et des informations supplt:~mentaires, compte tenu
des observations des Etats membres de',an, Ie Comit" de la coordination des
programmes et Ie Conseil economiqu0 et social ainsi que des resultats des
consultations menees sur la question au sein du Secoret2.riat, o"t et!' fou~'nie~ a la
Cinquieme Commission de l'Assemb1.ee generE~le, a sa qEarante-tl'oisieme session,
dans un document de seance IA/C.5/43/CRP '! i, q',j est ~ollmis au Comite ad ho'c
comme document d'information.
4.
Pour lui faciliter l'examen du -PI0j~-~t 'J,.~ pr061'1l.Jl1n:e sur la cooperation
regionale pour Ie developpement ecol'1cmique de l'Afriqne sous LOU:S ses aspects) Ie
Comite ad hoc sera egalement sais; du pl'oJet J''''~l"C'~L'~c,cn au prochain plan a
moyen terme (A/43/329) et des parties pertinentes du rapport du Comit6 du
programme et de la coordination sur sa vingt-huitieme session (,\/43/16 (Partie 11)),
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Page 2
5.
Dans Ie plan it moyen terme pour la pel'iode 1984-1989 (prolonge jusqu'en
1991), les activites menees par la CEA proviennent de 15 grands programmes
distincts et sont l'egroupees en 15 programmes et 1-19 sOlls-programmes.
Bien
entendu, ces programmes et sOlls-programmes ne eompl'ennent pas les activites
d'appui et les services qui, bien que nen conformes a la structure de programme
du plan en cours, sont inscrits a.u budget-programme camme programmes et sousprogrammes.
Les activites en question portent sur les domaines suivants :
direction executive et administration, services de conference, gestion des activites
de cooperation technique, a.dministration et services communs.
Au total, el1es
constituent respectivement quatre et 18 programmes .et sous-programmes
supplementaires. Dans la nouvelle structure de progl'amme proposee pour Ie plan
it moyen terme 1992-1997, aussi bien lcs activites principales que 1es activites
d 'appui seront couvp.rtes; les activites corl'€spondantes devant etre menees pe.r la
CEA seraient regroup(~es en un seul grand programme (Grand programme VI :
Cooperation regionale pour Ie developpement economique et social) et en un selil
programme, a. set-voir Ie programme 33, qui comprend 33 sous-programmes.
La
nouvelle structure de programme n'irnplique pas l'elimination d'activites B'ctorisees.
Comme indique dans Ie projet d'introdudion au procham plan et dans Ie document
A/C.5/43/CRP 4 susmentionne, les llOuvelle" structures de programme et de sousprogramme ont pour objet de corriger certaines des principales faiblesses du plan
actuel et de rendre Ie nouveau plan plu~:; transparent et moins esob§riqne pour les
organismes gouvernementaux s'occupant des questions de fond. On espere ainsi
faciliter les relations entre ces organismes et ceux qui ont un role central dans la
p1anification, la programmation et l'etablissement du budget. Les administrateurs
de programme auraient egalement l'occasion de revoir en prof8ndeur lenrs
programmes arin d'evaluer les activites deja menees et 1a fayon dont elles ont ete
menees, de fixer des oojectifs realistes et acceptables par l'ensemble des Etats
membres et de proposer des strategies appropriees pour atteindre ces objectifs.
L'objectif ultime est de faire en sorte que Ie plan JOUE' Ie double role qui est Ie sien
: d'une part,servir de principale dil'ecti'\,"e de politique g~nera.le des Nations Unies
et, d'autre part, etre un des instruments operationneis pour un processus de
gestion integree des activit.es entreprises par l'OND, les aucres instruments etant
Ie budget-programme, les rapports sur l'execution des programmes et les rapports
d'evaluation.
6.
Le projet de programme du prochain plan devant etre execute par 1a CEA est
divise en deux grandes parties. La premiere est intitulee "Orientations generales
et objectifs du programme"; la seconde presente h:! projet de programme en 33
sous-programmes.
7.
Le prochain plan it moyen terme (1992-19971 sera dans un premier temps
execute grace au budget-oro gramme de lot periode bienna1e 1992-1993.
En
presentant ce projeL de programme, on a pose comme hypothese que les reformes
du systeme des }'ations Unies lancees par l'Assembl<;e dans sa resolution 41/213
seraient menees a bien, que la crise financiere 4.L~"; ~Laverse l'Organisation serait
passee et qu'en ;olus des ressources du budget ordinaire, on disposerait de
res sources extrabudgetaires d'nn montant suffisanl et prevbible.
Si ces
hypotheses se revelaienl fausses, il faudrait alors reviser Ie plan pour tenir compte
de la situation du moment.
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8.
Le plan a moyc'n t:p','~ri.';_> \.:'rl CUUI'~'::' (I.J:~·o10.i.1!~e Jusqu:en 1]91) ne compol'te pas
un ordre de priQrih~ entre les SOlls-prograf..1mes pertlnenLs. Conformement au
Reglement et aux regles regissant la planification des pl'ogrammes, l'etablissement
de ces prioriles par les organlsmes inter~'ouyernemenu-lux competents est
necessaire, carnme reaffirme par l'Asscmblee generaJe dans ses resolutions 41/213,
-12/215 et 43/2IS. Le Comlte ad hoc est done invite a etaolir un ordre de priorite
entre les differents suus-programmes. Ce faisant, Oil devra garder a l'esprit les
dornaines prioritaires definis dans 1e P!'og'ramme d)acUo':1 des Nations lrnies pour Ie
redres~ement eccn'Jmiqu" l,t )", developpement d~ l'Afriq"", 1986-1990, notamment
l'alimentation et l'agrlculture, les secteurs d'appui a rag'r-iculture. la secheresse el
la desertification, la mise cn valeur, la planification et l'utilisation des ressources
humaines, les reformes de poliLiques. A travers les mesures et les decisions qu'ils
ant prises lors de recentes reUnIOnS intergouvernementales J les Etat!=i. membres ant
egalement souligr,e la necessite d'accorder une attentior: particuliere it d'autres
domaines tels que la cool>eration ec l'integration economiques, l'environnement, les
ressources naturelles, en particulier l'eau et les ressources minerales, Ie
developpement social. En outre) lcl'S de l'eAi1r.• (~n de 1:::1. question des priorites entre
les sOlIs-programmes, il faudra §';'ardel' .?:t l'esprit que- 1e plan a moyen terme peut
etre re-'ase tous les deux ans.
Ainsi, e. la vingt-septieme session de la
Commission/dix-huitieme reunion de la Conference des ministres de la CElt prevue
en 1992, la Commission aur.:: 1'o('ca~~>:.n dc:' ; ".:: . .-i,SP1' le c'")nt~nu et la structure du
programme aillsi que I'ordre de priorite entre 1eE. sous-programmes.
9.
Les recommandations failes par Ie Comi::'2 ad hoc seront Pl'ises en compte par
Ie Secretaire genera.1101'squ':11''{·,-isera le present p:toj~t pour soumisslon au Comite
du programme et de la coordination, au Conseil ecollomique et social et a j'Assemblee
generale a sa qua.rante-cinquieme session pl'e~'u~ en 199rJ. Ga structure et Ie
contenu du projet ae programme sunt prcYlsoires et pourl'aient changer apres la
revision du present projet..
(;o~nme cfe;,;;:.~ le cas [Jour h~ budget-programme,
l'approbation du_ plan i '1!oyen LpJ'me Pft, l.li~e ~'J"'r;).'J?'~iti"\-E' (~e r.\ssemblee generale.
Questlons pl'ooosee.s d. l'examen du Comite
10.
En tenant compte des informi.llions donnees ci-dessu5, IE: Cornite ad hoc
souhaiterait peut-etre faire
des observations ct d~s j'ecommandations sur les
points suivants ,
al
Les objectifs et les strategies propos<:"~8 pour Ie prochain plan a moyen
terrne (1992-1997), a.i~ll:d_ que It:"s modifications appo.::·'.:,~~:s i:1 1--:1 structuri;: et au nombre
des sous-progr.::lmmE:s;
b)
L'ordre de prioriU'! entre lf~8 S0us-pro.gramn:es. conformement aux
articles 3.15 el 3.16 d~~ Reglement et des regles n~;i8~ant 13 planification des
programmes et a la Iurn'iere des parties pertinentes du pt'ojet. d'introduction du
~ecretairp ~en€ral au prochain plan a mo:yen term(~; et
c)
Les nouvelles activites proposees pour 1e prochain plan it moyer. termf'.
E/ECA/AD HOC.MTPN
Page 4
11.
Au cour~_, de J:1 decc;:Hl1P '1F:<-~ at1n(~\-;::: -'0. l".r-c-FL:';1f"'( d .... c ic-:cteul's aggravants
tels clue, tj2,n.3 it: domaifle ]n,t~~rleul'. je~c. '2jT~(:,:', d-~~ !J. se,-hcce:;se sane, pr.:icedent, un
tau x de Cl'Oissd.nCf:' d6mc'_~rfipb_ique mOY{'Jl dep:'ls:;.:;arJt 1.'lrgerI1en.t Ie ta.u:... dp croissance
de la pl'(Jdu-:-ti.J.n dllp'l~c.i.ta~l'~~: e d,:;s polit.i1c.'Je.3 ~;,t~ ?;;-et.:tivfl f·~_·(;nc:..~miqu ~ ~£.nera.lement
deficientes (:t, dalis 't"" Ck-'1'L~~inE (;':t( rit:.:ur, L',=,"fcrj~~H~!"lr:>nt c!es COUTS je::~ Pl'OQUlts
d'~xporL~tion aI1'1::-_"!Jn.:;, L. d~ te-·'j':-T8.f,iL'D (}.;,:3 tf-rml:'f:; de rech~;lnge, llne ten dance a la
baisse E:'rl Y~l.ieur re-;:lh: .'~'::': dP;::'Ot't:e, de l'~:tid[ .:.)l;.r·li-<':tuc au de-veioppement, un
protecticnni;::;me generali::~_", (je:.;:, L:~,llX ci'inLer'';:'t eJe',,-e3, (le8 ituctuations mOTi.etaires
et un lourd f'u'deau d~' Jd. ,j(:\..-~e t"-!. de SGr: :;(:"YicC'!, ,;:~nt1'8 autl'("sj s\-=:.:st S\lperpOsee
aux eff,-'>ts nr0td.::.tc:6 (,l,~coui(-l.nL (k l;-t frar:jlit(": d'_-,~, .::i":UCtU::"f:3 s.()cio-~conomiqu.e3 de
l'Afri'-iue.
;_ ~_,\friLJlu,; ~\ dr;-l":":': r:orlstit'J,<;5 un main'):t tres ti\iLlf- rl.e Ja chaine des
relation3 e('onIJmiC]L~-'~-; DC'r-l-'.i;:-lk~s i..'t ~\Si~ C0"v enUf, en Ldt in. i'egi:J1J. I=-I'i<)ritaire pour
les Nati(.'n~", Cnic::.. PUlSl-,UV ~;i_ -~-U,::~st..lon f<),l.::in.nl". :tl.tak~ de la l'egi~)n eLlit la survie et
Ie redres,:,;p.'ller1L.
r
12.
lJnE; ;;(:1'Je d ·i'"1:...:.iatjv',-~,~~. !y)litiquc~ resol.u,:,'s onl. -.~te prisE's par les
gouvernement3 ::-l..friL.-u.in~ r: L L.-,_-;}L:lt;\;'~'-:.tl(,:':
CY~!m\lnr~ut:':.~ internationaie dura.nt
Ia deuxieme Ploit-ie df: 12 ,j~~cr~nni\·! des annees 2~~' pour redresser 1.3.. situati.on et
reIanc8l' l~lll.itjati·;-. l,'Ol.1r 1...'n.;~ Cl'C;i3Sc.nce a lon_;~ ~_.(,l'ntc ct unE' ~iycrsification socioeconomiqup \:ornnn' -2n i:6moignaif~.nt lr- PTDft~Ll:Ymtt2 ;':lriorita-i.t'e de redl'essement
economlqut.~ c[,:_' J'.\~-l'lqU2 l~)Fb-l:,',y\l. k --::=-~:·~.'(l~_'d.mrle d.'action 'leE:-: Kations l~nies pour
Ie rear:--;SS2m~,"nt t~C()nOmlq1l2 vL 1,.:: dE·ye.l=-,ppt"J':lRl--;,t :1('; ljAfl~lql..te, 198C-:'990 2, la
Dl~c1araticn d( 1<.1 :,ij,:t0U:!1 : -V('!,'3 uL,~ :1. pr;. roc he- du _c,=,d:~·es:;Enh.---"nt coclo-{'co!1omique
et du dt:-"Yt~lo1'lJem,::nt (~n Af:riq~E:' centl'£:t:- ~-UL l-homr;!e J , 1.3. pec~3.l'ati0n dE: ~~iamey a
l'occasion ,:J;.l trer,tit";p:e .J.rlnj'\_r';'_-~·S<:1:1'[ rl.? ;_::1 CUf1mi--::::'i i. (:c()a~)rr:ique p~!u-::-, l',-,\frique--!
et Ie Cadrr.> .1fr;-'=-,'-~ 1'1 H- Tl
'jC ,; }.;'jl: :',' ic-.:: ~A'l"Y':':J..'-'_-(.LJ rtlL>: c.' '3. J ' .Steillc::nt str-,l,,:,turel en
,'c_-'
L
;-
-
vue du r!,-:,r:.!.~,_~:..;,~,.em':·nt. 9t' de L! ~r::tn:3f()rlT::_~.~it;-:" ~('cj!.\-/-c_)rY~!rli:_';.i",~S (C'.\YLi'i. . S;:;.
13.
I.e'" dire,>. .l'.•,;-, ',>'.ut,:JH(c.o ,Lr,s ,-c:S C10cuIlle'1t:; (;""tent 8\ jc!el;lI:lent con~ues
pour accf::l="e:c rE:X6'=-Ut~c'~1 (~L 2~ar: j','tC'...iu_"-i. ('.t La.i'~''J::- c.-I; -,'-ue ::i2 l:'"~. fj,Ise ·?n OeUVl'E
de la Strategie :1e r'1:::Hll~,)\-_i,j, r0ur Ie d€-;"T("l:')ppemeL:: ,~'conomi\lUe de l'.--\frique, 19802000 et de IJJ..'.:tl.: f(rwl de L:.igo:~c i...e chapILl'E _c'.l ['\.11 ')!'3..ct.i'YI .1e r~,a.;~'s n::Iatif aux
fRmmes a 6t& I').t.::~::dblernent renforcf p-':1::' les pohLi...:.Jues adopteel;) d.:1.ns le cadre de la
t\/40/G60.
2
A/S-13/2. Annexe,
3
•
E/198S!37
5
E!ECA/eM.1E/B/Rsv.3.
1
AiS-ll:1~.
E/~CA;CM.14/·!2,
Annexes 1 et II.
Anrexe III.
E/ECA/AD HOC.MTP /9
Page 5
Decennie des Nations Unies pour la femme: egalite, developpement et paix. Alors
que la Deeennie pour la femEI" prenait fin en 19[;5, les Strategies prospectives de
Nairobi pour la promotion de la femme adoptees la me me annee etaient censees
prolonger, au-dela de la Deeenme, les politiques adoptees pour mieux assurer
l'integration de la femme dans Ie processus de developpement,
14.
Camme il etait devenu evident apres l'examen et J'evaluation a mi-parcQurs
de la mise en oeuvre du Programme d'action des Nations Unies pour Ie redressement
economique et Ie developpement de l'Afrique effeetues par l'Assemblee generale it
sa quarante-troisieme session en 1988, les acquis decoulant de la mise en oeuvre
du Programme en matiere de redressement economique et social et de croissance
comme base d'une tra.nsformation et d'un developpement accel€~res des economies
africaines conformement au Plan d'action et it l'Acte final de lagos ne peuvent etre
consideres que comme un debut utile et appreciable, La realisation des buts et des
objectifs du Programme d'action des Nations Unies ainsi que de ceux de toutes les
autres strategies et approches t'etenues au niveau regional, definies et appliquees
au
cours
des
dernieres
annees
et
contenues
dans
les
documents
intergouvernernentaux precites doit certainernent se poursuivre dans les anllees 90.
En consequence, ces buts et ces objectifs constituent la base ,juridique generale
du Plan it moyen terme pour Ie pI'ogramme sur la cooperation regionale pour Ie
developpement en Afrique. II y a bien sil!- leE diverses resolutions et decisions de
la Commission, du Conseil economique et 60cial et de l'Assemblee generale qui sont
egalement refletees dans l'orientation du programme.
15.
II est devenu de plus en plus clair que Ie probleme fondamental auquel fOllt
face les economies africaines est celui dlengager et de maintenir des processus de
developpement econcmiqu2 -~t _,:,::cbl yiables, '\in~iJ ,::::'Jmme indiquE- dans Ie Cadre
africa.in de referene-e pour les programmes d'ajustement structurel en v"ue du
redressement et de la transformation socio-economiques, des mesures doivent certes
etre prises pour faire face aux problemes it court terme des desequilibres internes
et externes tels que les deficits budgetaires et de la balance des paiements,
cependant ces mesures devraient etre adoptees dans Ie cadre des objectifs it long
terme du redressement et de la transformation socio-economiques. Le principal deii
durant les annees 90 sera done de prornouvoir la diversification economique et la
croissance auto-entr8tenue grace a des changements fondamentaux des structures
socio-economiques fondes sur Ie renforeement resolu des infrastructures
economiques et. socia~es, en particulier les biens d'equipement, les capacites de
recherche, Ie savoir-faire technologique, la combinaison et l'utilisation judicieuses
des reSSQurces humair.es, des res sources naturelles et des competences. Un tel
renforcement sera eta} e par une interaction croissante entre les divers secteurs,
une expansion progressive et une rationalisation des marches interieurs grace a
une plus grande integration econornique nationale et regionale.
16.
Deja, la commuraute inte-rnationale a pl'is consciencE:: que des solutions
durables devront etre trouvees aux graves contraintes exogenes sur lesquelles
l'Afrique n'a aucune prise puisque leur persistance reduira a IH~ant Ies efforts des
pays africains. Pour qUt eeUe str3.tegie regionale soit effectivement recherchee
et appliquee, l'engagement de la communaute internationale decoulant du contrat
qu'elJe a passe avec le~ pays africains dans Ie cadre du Programme d'action des
Nations Unies devra etTe respecte et maintenu au cou!'s des annees 90. Ainsi,
E/ECA/AD HOC.MTP /9
Page 1'\
durant la periode du plan a moyen terme, une cooperation intensifiee et amelioree
comportant un accroissement sensible des flux df~ ressources exterieures sur une
base previsible et assuree ei des mesures efficaces visant
soulager Ie rtlrdeau
insupportable de la dette seront particulierement importantes pour permettre aux
pays africains d 'essayer de se degager de lOetreinte du sQus-developpement. A eet
egard aussi, un environnement exterieur plus favorable caracterlse par de
meilleures rnodalites d 'octroi de l'aide et de Fassistance techni'lue, une croissance
soutenue, equitable et non inflationniste, des politiques commerciales liberales et
un rneilleur acceR aUK marches, surtout -pour les pl'oduits tropicaux et les produits
manufactures origin aires du tiers rnonde, serait souhaitable.
a.
17.
Dans les domaines specifiques d'a.ctivite, Ie defi lance aux Nations Unies et
Commission economique pour rAfrique en pu.rticulier a de quai decourager.
Dans Ie domaine de l'acquisition, du developpeOlent et de l'utilisation rationnelle
des facteurs de productlon essentiels en 'vue de saute nil' un processus de
developpement et dp croissance dynamique et diversifie, la mise en valeur et
l'utilisation des ressources humaines doivent etre l'etenues comme priorite absolue
si ron veut promouvoir les capacites de tous les groupes de populations, en
particuli~r les col1ectjvib§s rurales et assurer la formation accrue de cadres moyens
et superieurs et de tech!101ogues neccssaircs, specialement pour la transformation
des matieres premieres industdel1es ]or.:ales en produits semi-finis et finis. A cet
€gard, une attention sera accordee au role essentiel des entrepl'ises concernant An
particulier Ie t.,ansf" rt et ]a mis" o.u point de technologies et les problemes du
chomage generalise. La question de l'emploi d'2vra elle-meme etre per<;ue et abordee
par rapport aux facteurg determinant 1a croissance et la compClsition de la
population et l'incorporliLion de ces facteurs dans les processus de planification ct
de programmatk'n D,:)l)r 6lpvl?r Ie TI)"'I.'C"{"'.\-u de yie. Un ri'lement E::ssentiel d'activite
dans ce domaine sera un programme sensiblement p1.1.rgi pour l'integration des
femmes, en pa.rticulier les femmes ruraies, dans 1e de'i."eloppement avec un accent
accru sur la promotion de l'emp1oi, les ressources productives et le revenu des
femmes ainsi que In participation des femmes dauB h prise de decisions, dans Ie
processus d'industrialisation et dans Ie secteur non structure.
a la
18.
Dans les processus de croissance et de diversification souhaites, l'essentiel
est evidemment l'applicabilite des ressourCes humaines, des competences eL du
savoir-faire au domaine des ressourees naturelles pour satisfaire les divers besoins
de 1a population. A cet cgard, 1es gouvernements africains auront besoin d 'une
assistance accru(' en YU~ de l'extension dRS capa(;ites nux niveaux national, sousregj.onal et regional po:...p· l'exploration, l'evaluation, l'extraction et. l'utilisation des
immenses ressources na.Lurelles connues et potentielles de la region dont notamment
les miner-aux, les eaux (:{e surface et sQuterraines J les ressources enel'getiques, les
forets, les ressources minerales et biologiques de 1a mer, Ie patrimoinc zootechniyue
etc •• Un element essE;nUel de cette a.ssistance sera Ie soutien lars des negociations
avec les soejetes privces ctrangeres eL locales. La necessite de renforcer la base
scientifique et technologiq ue, noiamment en matiCre de cartographie et de
teledetection, sera particulierement cruciale dans ce domaine ~urtout conoernant
l'accroissement de l'efficacite de l'infrastructure scientifique et technique, la
satisfaction deF>.' besoins en personnel nec.e:::.tsaire en matiere de transfert et
d'adaptation deteohnologie etant donne qu'il.s se rattachent aux objectifs des
divers secteurs et l'amelioraUon de la base institutionnelle pour la recherche -
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Page 7
developpement en vue d'accrOltre I'incidence locale et ]'utllite de la recherche developpement.
19.
II n'y a actuellement aucun doute que Ie quasi-effondrement des economies
africaines vers Ie milieu des annees 80 etait principalement d-G aux eehecs
retentissants du secteur agricole. La crise alimentaire qui en est resultee et ses
consequences ant ete sans precedent dans I'histoire de la region. La priorite
accordee a ce secteur durant ces dernieres annees doit done se poursuivre. La
Commission et la commuL.~ute intel'national~ D.uront, dans Ie c~dre du prochain plan
a moyen terme, a faire face aux questions essentielles ci-apres ;
a)
Renforcement des capacites pour une amelioratIOn de la planification,
de I'analyse des politiques et de la programmation dans Ie secteur aliroentaire et
agricole;
b)
Mise au point, adoption et/ou transfert de technologie appropriee pour
l'amelioration de la productivite dans Ie domaine des cultures de base et des
cultures d'exportation, de l'elevage, de 1a peche et des ressources forestieres;
cI
Amelioration des structures, des systemes et des institut.ions
concernant les petits 8.griculteurs. l'accent etant mis sur la production alimentaire,
les pertes alimentaires, la securite alimentair'2, la recherche et la technologie, la
main-d'oeuvre et Ie developpement rural;
d)
Transformation struc:turelle du secteur rural grace a l'elaboration,
l'execution, Ie suivi et l'e-·,raluation des programmes de developpement rural integre,
l'accent etant mis c:.ur l'autosllff'tsanee et lel participation populaire.
20.
Parmi les facteurs de production necessaires a la croissance et au
developpement, Ie fait de dIsposer rapidement de ressources et de biens
d'equipement locaux doit 0tre considere comme Ie plus important. Le defi lance a
I'indnstrie au cours des Ilnnees 90 sera done d'etablir une base solide pour une
industrialisation autosufiisante et auto-entretenue '3n mettant desormais l'accenL
sur les industries a base de ressources et les industries meeaniques de base, les
industries alimentaires textiles, forestieres et du bois, 113. metallurgie, la mecanique,
les industries chimiquE'S et petrochimiques et des materiaux de construction dans
Ie cadre de la deuxieme. Decennie du developpement industriel de l'Afrique plutot
que sur les industriec de biens de consommation d€'pendant des importations.
L'adequation du reseau des s~rvices essentiels comprenant principalement les
services de consultation industrielle el les institutions d'appui aux entreprises est
une condition necessaire a'l developpement des industries des biens d~equipement.
Au cours des annees 90) il conviendra done de concentrer de nouveaux efforts sur
l'amelioration de 13. quali-Le et de l'orientatiol1 de ce l'eseau, particuHerement en ce
qui cone erne les besoins des entrepreneurs
operant surtout dans la petite
industrie et Ie foncti.1nnement Edficace des entreprises privees eL publiques.
L'accent sera egalement. mls ,sur l'adoption par les pays africains de politiques, de
plans et de programmes. industriels judicieux, la mise en place d'institutions et la
mise en valeur des ressourees humaines, en particuliel' les capacites technologiques
et de gestion.
l
E/EcA/AD HOC.MTP/9
Page 8
21.
La r;:;forme de la structure de la demande n'est pas seulement essendelle au
dev,,\oppement d"" facteurs de production internes, elle constitue egalement une
au tre condition necessaire a une croissance ""r;eleree et: a. la diversification. II en
decoule la necessite urgente de reformer les structures du marche et de promouYoir
une cooperation multinationale plus efficace,
A eet e:sard, iI faudra deployer de
plus grands efforts pour profiter des aVClntages des complementarites entre pays
grace a. l'intensification des echanges intra-africains. La necessite de re!'lforcer
les diverses organisations et. institutions financieres intergouvernementales
multisectorielles et orientees yel'S les echanges cost claire a eeL egaI'd. n faudra
cependant t1:"OUvo,: de nouveaux moyens pour I'enforcer la capacite d'ex,§cutior. de
eel'> organisations et institutions et les transformer en i.nstrument" efficaces
d'integration economique et d'autonomie collective moyennant la mise en oeuvre de
programmes et de prnjets conjoints plus pniUques et plus imaginatifs dans Ie cadre
de groupernents sous-regionaux dans Ie domaine du commerc.f' intra-africain et de
la coopet'ation monetaire et financiere.
22.
S'il condent de mett!''' a nouveall l'accent sur les mesUres propl'es a
ameliorer les arr:mgcmcnts pour l'obtention de capitau:<. pllls importants grace 11 une
campagr:e de promotion des exvortations plus agrPcssive en faveul' des entrep1.~i5eS
industrielles africaines, naissantes, 1& reforme du systeme monetaire international
et a l'accroissement d"" ,,['ports "" l'aide publique au developpement., on ne de\"rait.
pas pOur autant negliger au cours des annees 9G la facon clont 1" region est
progressiv<;ment affaiblie par la rapidite avec ldqllelle d'importantes quantites de
devises sont recyclees pour payer leB bienS' et services qut'! la region peut, avec
quelque effort, produire PC,Ul' elle-meme. Les problernes de I'accumulation cle \a
dette et clu service de 111 dette, les cransferts et, les rapatriements de capitaux par
les societes trpnsn:1tict;D.J;:;:: r 1: i,-,~ C'P?,r:?'p!'ise:?
! les paiements des services
de commitants, les fl"ais de gestion ainsi que j'acquisition de la technologie et
d'autres serVIces dont Passurance, ]e transport maritime, l'aviation civile, }a,
distribution interne, Ie commerCe exterieur etc. devront etre examines et abordes
du point de Vtle de 10 capacite interieure ~ fournir ces biens et servlces* Une
question cOnnexe devant etre aborde" avec une egale detern,illation est la
mobilisatlon et l'utilisation rationnelle des ressources financieres interieures,
a
23.
L'infrastructure pOur un developpement .. t une croissance economique
autosuffisanLs et diversifies porte sur uno vasto gamme d'institutions, do services
et de structures materielles eSBentieis, Une attention partleuliere devra cependant
"'tre accol'd"e a !'influence des transports et des communications sur 1a nature et
l'evolution des !:larches inh?rieurs et a 1a
& f~et egard d'une integration
effective d""3 economies nationales et multinational"", L'execution du programme de
la deux;"me Decennie des Nations CniE'S pour les transports et les communications
en Afrique de\-rait servir d" cadre ut.ile a cet egard. Le potentiel propre au
tourisme pour 10. prornction de la cooperation intra-africain€' et nil de"eloppcment
devra egalement etre aecru grace au d0veloppement du tourisme intra-africain, it
!'etablissement de circuits touristi:lues interct;3.tiques d Ci In formation des
competences techniques requise~l.
24.
L'interaction des t.ransports et des etabhssements humains constitue un autre
domaine necessitant un appui massif au programme, en particulier en ce qui
concerne la transformation du sccteur rur,,] grace surtout it In planification spatiale
l;;!ECA/AD HOC.MTP /9
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rurales
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~t d-::: l'CL.t'01' .. :t r !e::', ('al:'i.;v:~iL.',:" jL...:tit _l.;-L::H1J!,;"lk.=-- et h_ UllLiil",·"s. {j';:'Fel't::l' '~ln ch;:ln~'~:::ment
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dan;;-; )f73 anntZeE, 90 \,'I':;'I;'~r8 v.
ILii:' l::S~·tt(·c
llOIi: ,':t.n'3.:~:~» int\:·l".Jlsciphnaire. 13cOhlpreil(;llSica fit. 1'~;ic dv!r1.
iti<-lIV:' :::-:0c!.::dt:' t. t, cL· iii pi.:..'.If,i)jr:atioL socialE-· 011 "'in.i.e
d~ l'allt"~':.·'m'~'J~':: (~:?- ~a P<l.tl. "('L: 5:?,C-"ler:j· ",,;;: :::', :1f5 pr~\'\..:,tlC'n t,;t ct>:> rcjjn~ination de-s
dt'~si'Jufl1bef::;:, c't (1:'5 Jis
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r~p::lrtitio;l I.:!.es i'E.: S8.0li rc cS,
il f3Udl'f--llt 2'1alen~":.<Jt renf:)i~c-21' 1t?~, s <;3tr~meS "t t' :::V1f;lilli8trali~1"';. budgetai!-'es
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iOlvcnt CO!1tinu.:!' G.
fOul·;.lir l<~ -:..ulltien requ-i~~ dan2 Cf.: dGTUain'?-.
L~,:,~ ':>\'_L::'r::~ JE.. ~J()ue~,ur":l'!Jnt
prl.l'ticul:el' da.ns L:~:.; dOlll.liLI;:.'S d.;:;
1'ei." g.':ini~":ati:'Y1 -,:~de\T2. !~t.f'e .:l"cc:t·dci2 d 1.::.-; cClh::ct:!. au traitcfllent e"c. :. ~13Ei.lly;:,.(; de ionnee::'
d'infc!lTilatiGns et :, la ':·,~,--..tiGn d\.. ne i':1~1:~St! 1.1\'l.dl·L .::'-:"'::'it_\sLlCllH:· :·-,(..'l~rlE· 1..1 2, 1"U:;
"':n
de
I.::·t
les
El.aL:: n1eJnb-:'us.
et des i'C\:\~::'
globaux.
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[I U ran t 1.]. ",---> ,·lod (,~ ri; l pi;::1 n ':'i. If,':) ".",'" !~~ t e :., IT: P 1 :.-'S·-!-· 198 -:I \~::; -cul('11 g~:':t: j iJ S q U 'en 1991},
1a CEA. a ccnce11tl'~ ses 2fro~·t,s 8ur :\:h~,---·j(L,;,~ 1un oes "O!!CeptS. L~. fO~_l1'nitu-;~e
dllnfo.!:.~m(T:.ion:::; .::;~ rIt2'~J~~' d"2 :',L.t.
[:lr::llil.")l"-;:->·I' )".,~~,Ftll)n rl':-~,,-?t.i';i-'--,e.;' j'f formation
et de I'eUf1.i<)n::' 1..i1Lt.;rs(.~~" r~.;:'~l~i:Jt;rL<'1.1c2 tc':1 ·~'Lt'__ ' [":',2 ,;,:;'OiULt'::tLl'P de;:~ gu,~::;tL-ns de
fourrr!_tup':> d.jl~lle a::._~.i.st3.nC:f- t,:"l'":'tlD'!li llP et ck se r T: CE':::; cor~ ,-:,u} L~t~ ·It-.-; speL'iiiq nes a
certains iLa~,s mem(";res, .h. p_rL~mct-!OTl d ;UL '~l_j_'r:t.ll ;-1,--, de"-,--etup;)E;-meaL ,J'institutioIlS
a:ppr0prieC:'s a:L81 qu.c i'_idf:'-I-:-:jfi~:,a:_1011 e~; J )(-: '-;' -~-c '_1 t l~) 1.l
coo pe ra~ion
;~tchniqllt" .:.cu. ]Jl'Cl'tt ctin~ct d.,_'s .r..t:-H.:::. Ij.~C Pol 0 1',
:'niormations Jisponibles
montrer::.t:, b ~~li,,-,(-'ssite d,,: rt~nf()l'CC r ces .:lPT'J_'ocl-le3 ;_t ~;!..l'clle~:i(·s. LJ_~ c(;n.s~<ll1ence,
meffiE:: S:L r:=tcct:.."n:,: '-i':'~1'ie d un _pl'ogl'amOl~..: a UI, fldUo'(' .:,..: n~me .....:·e:.::=~ app::3.!'aiL cbjremenl
dc-'_DS 1.:1. dcscl'ip1ic.n dpo;. ~UU8-P!.~C',:5::.'c'.mme.-;:;, "C,,:: .:::,r~·'i':::··::-!a--":: e';: '?\l'LlU'~gjes visant a
s01.~te(lir lts cffort~ deplG>'f~::-: r;.ar h:-::::. Etdts m:::.-mLre~, _:Jlt indhddueilement, soit
collecthremer.t. p·/Ill· :'ff:t'·_n!~l' .j"ec succc-s 12t..~·'
pl'C'bleme3 de de--n:-loppement
cconomi '=i.lH:' ,_::--~~ social d8\.··;'~G(lt. etl e .c€-nf~)l"~2E:-S d '.1 ran t. 10. pe-r.i.()(]e j'j92-1907. Lans e-e
('~jntt:."'.\;~:i·, '_'.:.:'1(:' [i;~:,e;lL':Jfl partie ~Hi~..::'i~e ::;,-,cn-:'l :::~::';2G}'dr~.::. :;'1..~X ·._ff'ol't'--', vlsCi'1~_ <3. l)I'cn1ouYoir
ct C-I. s.)ut~nir la eoopc;'rLi.dcn :0' ... l·intt~·g:!.'atlCJn eC.)liOm -'-iU(:t:. .g'r.ice
l'identification et
,.t 13. i'L..,'l'!1:uh.1.tL:'dl de ]Jl"'ojt'(":..
d1inL'·gr,:,:ti.orl md!ti~-;ectol'i.L"lle au niyeau s()uE,-regional
dans Gf.'S .':-,:cleiJrs ~~u8si es::s-ntiels qLe l',:-:dirncnt:.:-.ti,JIl L'l... r3.~ri'.::ultul'e! findustl'ie,
~\,ner~if, ]'::5 transporTJc C't cClr"'j~I;,.~r:L;..ttic.'ns (~:: L~ prc.;I'...·.ticn dE.' l'utilisntion <2ffectiv.~
d0S institut.h)HS.
a
E/ECA/AD HOC.MTP /9
Page 11
32.
C'est un fait elementaire que la complexite accrue des aetivites dans les SQUSprogrammes techniques conduira inevitablement a une demande accrue en matiere
de gestion et d'autres services d'appui du secretariat de la Commission.
En
con~equence, durant la periode du plan it moyen terme 1992-1997, il faudra
dev~lopper et rendre plus efficaces les activites dans les domaines des services
d'appui essentiels com me la direction executive eL l'administl'ation, la gestion des
activites de cooperation technique, les seryices de conference, d'administration et
les ,services communs.
En particu1ier~ les services de p!anification, de
prr)grammation, de suivi et d'evaluation devront etre ameliores. Et en matiere de
plani:ication, de programmation, de .suivi et d 'evaluation, une attention particuliere
devra etre donnee au suivi et a i'eyaluation en raison de leurs effets
mult.iplicateul's sur la planification et la programmation en ;seneral et sur
l'utilisation judicieuse des ressources en particulier.
Dans Ie domaine de
l'administration et des services C'ommuns, une attention continue devra etre
accordee it I'utilisation de techniques modernes de traitement de donnees et it la
necessite qui en decoLlle de l'automatisation afin de se debarras:::;er des methodes
surannees et de lellrs effet8 l1egatifs sur les resultats.
33.
La CEA a <'tahli une pl'ogrammation conjointe et des liens de travail formels
avec un certain nombre d'ingtitutions specialisees et d'autres organes du systeme
des nations Unies, en particulier la FAO et l'ONL,'DI avec lesquclles elle administre
respectivement deux divisions mixtes, l'linesco avec laguelle elle reahse des
programmes communs harmonises grace it des reunions de concertation regulieres
entre les deux secretariats, Ie FNUAI\ Ie PNUE, Ie eel, Ie Centre des Nations Unies
pour le3 etablissements humains et Ie Centre des Nations l'nies sur les sociE~tes
transnationales qui fournissent des fonds pour certaines de ses actiyites dans leurs
domaines d'interet respE"ctifs, l'OACl, l'Organisation maritime internationale, l'UIT
et l'UPU dans Ie domaine des questions concernant la Decennie des Nations Unies
pour les transports et les communications en .\frique, la BIHD, Ie BIT, Ie PAH et
l'UNICEF dans des activites relatives it J<:-1 planification, CL la mise en valeur et a
l'utilisation des ressources hurnaines et dans d'autres domaines; l'O!\'fS tout com me
Ie PNUD dispose d 'un bureau de lie.ison avec la CE,\ ..'little au siege de la Commission.
34.
La cooperation de la CEA avec Ie ~NeD dans le cadre de la mise en oeuvre de
la resolution sur la restructuration a ete dec riLe pC=.tr beaucoup comme etant peutetre la plus etroite que 130 Commission entretienw'" avec aur~une autre institution.
Cette cooperation s'est developpee non seulement du point de yue du nombre de
projets executes pa.r la CEA au :lom du PNVD mais egalement, et ce1a est
particulierement important pour la CE1\, du p0int de vue de l'a.ction menee par Ie
PNUD au nom de la Commission en taut que 'lc.:::-ntre de de-veloppement et °centre
d'animation" en prornouvant des accords entre les secretariats et ent.re les
gouvernements africains ct l'<i.ppui de ces secretariats et ~ouvernements pour la
determination de l'orientation et des priorite.g pour ses programmes de cooperation
economique et techniq"u€ regionaux et multlnationaux.
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 12
35.
Tous ces liens ainsi que pilisieurs autres etablis avec des institutions
n'appartenant pas au systeme des Nations Unies telles que l'Organisation de I'unite
africaine, la Banque africaine de developpement et d'autres programmes
multilateraux et bil:3.teraux seront progressivement renforces afin de promouvoir la
programrnation conjointe integre.e pour l'execution du programme.
On aura
davantage recours aux equipes speciale6 interinstitutions au niveau du s~rsteme
pour coordonner l'execution du prograrnme. De meme, la Commission continuera de
participer efficacement aux anal~rses interorganisations des programmes et a
l'execution deS plans a moyen terme au niveau du systeme.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 13
DEUXIENE PAETH-; - DESCPlPTlOh DES SOllS-PROGRAMMES
SOliS-PROGRAMME 1 : DlRECTION EXECUTIVE E1" AmlIMSTRATION
36.
Les textes portant t.lutori'3("..tinll des tl'."ivaux de ce sous-prograrnme sont Ie
mandat de la COmrflISS;On 1 lci t.;ircul--.tire ST/SGu/Organizht!on/Section K(I\/)Rev.l) les
resolutions et documents suivants de l'Assemblee generale : 32/1\;; paragraphe 7
et annexe, 33/20:':. 35/56, A/S-]1/ 14 annexes 1 et II, 39/29, ..],0/40 paragraphe 9,
A/40/666 Section Y paragruphe 3, Section VI paragraphe 1. 5-1/2 et annexe et 43/27
et annexe, E't 1a resolution 67-1 (XXI"-.,! de la CommIssion.
37.
Les objectifs de ce SOUS-pl'ol;(l'amme sont les suivltnts : guider ia formulation
des politiques, strategies et programmes de developpement socio-economique
adoptes au njveau regional: su pervlS01' et 15erer leg programmes techniques et
operationnels de la Commission dinsi que ses serVICeq d'appui; faire en Borte que
la communaute intel'nationale appqi~ :eB activites de la CommissIon; superviser et
c00rdonner les arrangements stututaires et les procedures legislatlves de la
Commission et de ses or~dnes subsidjaires, et (:e, avec les gouvernements, les
institutions specialisBes et autres organlsrnes des NatIons Unies et d'a.utres
organisations intergouvernementales; informer Ie public des activites de la
Commission en particulier et des Nations Dnies en general .
.18.
La situation economique et sociale difficile que traverse l'Afrique exige que
la Commission pre nne des mesures efficaces pour aldel' les Etats membres a
redresser la barre et a. relancer Itinitiativ€ en vue d 'une croissance et d 'un
developpement a long terme dans )a region. L'adoption de ces mesures devra etre
guidee pal' Ie souci de Ill. l'<'ntabilite.
d)
St,rategie Wen}' 16. periode 1992-1997
i}
§ituation
a 18. fin~
1991
39.
A la fin rl:e 1991, la Commission aura examine les progt'es accomplis dans
I'execution du Plan d'action et de PAct", final de Lagos et dalls l'application des
directives en vue de la mise en oeu \Te du Plan et de l'Act" fin,'l1 pou~ Ie reste de
la periode.
On a11ra egalement cern'> aVec plus de precision les incidences
operationnelles du Cadre africain de I'ef<§rence pour 1",15 hll'ogrammes d'ajustement
structurel en vue du redressement et ae la transformation socio-economigues
(CARPAS).
E/ECA!AD HOC.MTP/9
Page 14
ii)
40.
Periode 1992-1997
La strategie prevue pour 1a periode comprendra les objectifs suivants :
a)
Guid~r l'applicaLion concrete des strategies regionales africaines,
notamment Ie Cadre africain de l'eferen~e pour les programrne.s d'ajustement
structurel;
b)
Intensifier Ie:::> conta,cts et les consultaLions a.vec les gouvernements
africains dans Ie but de reVOlT les politiques, les strategies et. les operations
1a
lumiere de l'evoiutioll de 1ft Hituation dans la rf~gion;
a
c)
Intensifier les efforts visant a mobiliser da.vantage de ressources
exterieures en faveui' des activites du secretariat, en particulier grace a des visites
et a d'autres contacts avec lcs organismes de financement bilateraux P,t.
multilateraux;
d)
Assurer une plus grande efficacite dans l'utilisation des ressources de
la Commission;
e)
Faire en sarte que la Commission partieipe aux processus de prise de
decision du systeme des Nations Unips:
f)
Intensifier les contacts avec les chefs de secretariat des organismes
et des organisations des Nations Unies efl vue d:·unp plus grande harmonisation des
activites du systeme en Afrjque;
g)
technique
Intensifier la collaboration avec I'OUA et lui apporter
un appui
aCCl'Uj
h)
Intensifier Jes efforts visant it renforcer les organisations et Ips
institutions er.onorniquEs regionales d 'Afrique;
il
Guider la formulation et l'execution des politiques, strategies et
programmes de la CommiRsion;
j)
Guider et.. 1:::luperviser toutes If's activites de la Commission, y compris
Fensemble des ac:tivites techniques et de::=: services d'apFui;
k)
Assurer la liaison avec les gouvernements, les institutions specialisees
et
autres
organisrnes
des
Nations
Onies
et
d'autrBs
organisations
intergouvernementales ct non gouvernementales, en ce qui cancerne les activites
de la Commission;
1)
Examiner et eva1uel' la gestion et Ie fonctionnernent du secretariat:
m)
Assurer les arrangements organisationnels et administratifs pour les
reunions ahnuelles de 1[1 Conference des ministres et du Comite technique
preparatoire plenier;
E/ECA!AD HOC.MTP/9
Page 15
pi
Assurer la suivi des activites et des decisions de l'Assembh.'e generalt,
du Conseil economiquE: et social "t des autres organe~ de I'ONIJ dans Ie but de les
porter Ii l'attention de la Commission et suiYr~ I'application de ces deci3ions et
resolutions;
0)
Informer Ie pUblic des activites de la Commission ,,\ de l'ONU grace it
des communiques de presse, it des brochures et a d'autres supports.
SOUS-PROGRAM~IE
a)
2 :
POLITIQUE, PLANlFICATlON
DEVELOPPEMENT AGRICOLE
ET
PROGRAMMATION
DU
Textes portant a.utot:isation des travaux
41.
Leg textes portant autorigation des travaux de ce sous-programme sont les
suivants : mandats de la FAO et de 1& Commi~sioll: rE?SOlutlOn ,lI7R d", 1<1 FAO;
paragraphe 1 de la J'esolution 351 IXIV) de J" Commission; par-e,gl'''phe 5 de 1a
resolution 35/64 de l'Assemblee generale et resolution 5-13/2; paragraphes 5 et 6
de la Declaration de Harare de la FAO en date d~ jUillBt 1984: pal'agraphe <1 b j de
la resolution 548 (XX) et paragraph~ 11 de lit resolution 565 (XXIl de Ill. Commission;
et paragraphe 3 de Ill. resdutivn 41/191 de l'AssemblE'", generale.
b)
Objectifs
il
Ob iE!ctifs des organes
int~J:g9uver"ementaux
42.
Les desillusions des annees iO et du debut des annees tiO relatives au
d€veloppement de i'agriculture en Afrique rendent neccssaire l'adoption de
politiques dE> developpement plus appropriees par les p",.vs africains afin d'accelerel'
Ie processus de developpement et de renVEcrser les ten dances passees. A eet cgard,
l'objeelif des gouyernements au (OO1Il'8 des anlH2es 90 sera dE" developper et de
renrorcer leurs capacites a lormuler et a appliquer des politiques et des strategies
appropriees dans Ie domaine de l'alimentation et df! I'agriculture en vue de ia
realisation de I'autosuffisance alimentaire en Aft'!que. A cet cffet, les Etats membl'es
devraient continuer a. mettre en oe-uvre les politiqucs ma.cro-economiques et
sectorielles necessail'es, y compris les programmes d'ajustement structurel dans Ie
cadre du "Cadre africain de reference pour les programmes d'"justement structureI
en yue du redressement et de la transformation socio-economiques" a.vec un accent
particulier sur la rehabilitation et la leconstl'uGtion du secteur de I'alimentation et
de l'agriculLure.
ji)
Oll i~,QJJfs du secretariat
43.
Continuer it apporte!' une assistance et 11 f) appui t(,chnique adequat aux Ftats
membres de 1" CEA et aux organisations intergouvernementaleg dans les efforts
qu'ils deploient ponT mettre en oeuvre des pohtiqUt~ appropriees en vue d'une
amelioration du rendement du ~ecteur de l'aliroentation et de l'agl'icultLlr~ et pour
renforcer leur capacite et leur efficacite dans Ie domaine de la formulabon, de la
planification et du SUlV; des politiques de .:It'·ve1oppem,,nt agl'iccle, y compris
I'exaroen sectoriel periodiqu.,.
E/ECA!AD HOC.MTP/9
Page 15
c)
Probleme trait';
-!4.
L'une des plus grandes faibJesses du continent est son incapacite a formuler
et a appliquer des politiqneB et plans coherents dans Ie domaine agricole et leur
programmation en ce qui cone erne Ie developpement technique, institutionnel et
infrastructure! dans la mesure oll ils ont trait ," l'accroissement de la production
et de la productivite alimentaires. Le principal prob.leme a resoudre par consequent
consiste a remedier ~l l'orientation peu appropriee des politiques y compris des
politiques relatives aux questions budgetaires et monetaires et leur incidence sur
Ie secteur rural et agricole. L 'absence de statistiques agricoles fiables destinees
a l'usage des planificateurs et decideurs agricoles constitue egalement un probleme.
Le present sQus-progranl.me traitera de ces problemes.
d)
Strategie pour la pel'iode
i)
51tuatlon
a
1992-19~'i
la fin de, 1991
45.
Au terme du plan it moyen oerme actuel (1984-1991), Ie secteul' de
l'agriculture occupera toujours la premiere place dans les economies africaines. A
la fin de 1991, l'efficacite des politiques, plans et programmes d'investissement
agricoles en cour.s aura ete determinee. LE"S domaines critiques ayant engendre des
difficultes dans la mise en oeuvre des programmes prioritaires, y compris les
lacunes decoulant des problemes budgetaires, I'insuffisance du personnel technique
eL de gestion de me me que de la cooperation inter- Etats dans Ie domaine des
strategies de planification et d'action aUl'ont eli' identifies et analyses.
Le
programme mondial de recensement de l'agl'iculture de 1990 aura egalement He
realise, rendant disponible une banque de donnees strudul'elles considerables sur
l'agriculture •
.Jo6.
Heureusement, les pays africain;;; --:.ontinueront d 'adopter des strategies pour
l'amE!lioration de ce secteur ~r compris des mesures pour la diversification de leur
production et de leurs marches et l'etablissemcnt de ljens etroiLIS enLre l'agriculture
et les autres secteurs de l'economie.
47.
Le groupe d'experts ruultidisciplinaires pour Ie suivi et l'evaluation de la mise
en oeuvre dec resolutions 35/64 et 5-13/2 de l'Assemblee generale des Nations Unies
aura formule une evaluation ohjt·~ctive de la s.ituation et des recommandations
appropriees pour mesure8 a prendre. Les conLraintes ct difficultes entravant Ie
fonctionnement efficace des systemes de statistiques agricoles et des institutions
s'occupant de 1a mise en valeur et de l'exploitatlcn rationnelle des ressources
naturelle~ seront de venues plus identifiaLles.
ii j
Periode 1992-1997
48.
Les problemes a resoudre au cours de la jA:ri.;de 1992-1997 seront traites
gr'ace a une analyse approfondie dont les conclusions et recQmmandutions Lluront
communiquees aux Etat.s membl'es de la Commission et aux org'anisations
intergouvernementales par yoie de seminalres, d'atehers, de services consultatifs,
de publications techniques, etc., en vue d'ameliorer Jeurs ca.paciLes en matiere de
planification, dE: pl'o,gl'ammation et de gestion du SE:cteul' de l'alimenta.tion et de
ete
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 17
I'agriculture.
11 y aura egalement un examen continu des politiques et une
assistance dans la mis':' en oe,>"Te des plnns 8t strategies de deve]oppemem; agricole
et, partant, dans l'identlficalion des difficultes. Plus Fpecifiqnement, la strategie
sera a.~ee sur les questions ci-apres :
I'll
Soutien technique anx ELals membres dans leurs efforts visant a
relancer et it identifier des politiqnes appropl'iees, et des strategies de planification
en vue de promouvoir la production agricole ainsi que la transf'3rmation et Ie
developpement des structures rurales, ~' compris les agro-mdustries en vue
d'accroitre la production et les revenus et de rEiduire la pau"rete;
bI
Assistance dans Ie renforcement des capacites des organisations
gouvernementales et inte1·gouvernementales dan;, Ie domaine de la planifkation et
de la programmation agricoles et dans l'analyse des politlques ains; que la
formulation, Ie suivi, l'liva.luation tet la gestion dps programmes et projets grace a
des services consultatifs it court terme;
c)
Suivi de la mise en oeuvre des composantes alimentation et agdculture
du Plan alimentaire regional pour l'Afrique, du Plan d'action de Lagos et des
programmes d'ajusternent structurel et de stabilisation;
dl
Programmes de formation afin d'am;;!iorer et de me ttl'S en valeur les
capadres analytiques et administratives de la main-d'oeuvre en vue de l'acquisition
des aptitudes requises dans Ie domaine de la planification et de l'analyse des
politiques, en particulier pour les petits exploitants a"l'icol<05;
f'}
/\pPu.: t:::",:-,hni':ll~:' c.1.:1n:.::. 13 :'::l'e;:lticn 'jL
~ntegres de statistiques
agrlcoles en vue du renforcement de I'analyse des informations sur I'alimentation
et I'agriculture et de la formulation des politiqw"s agricoies. Ceci inettra en
exergue la collecte permanente et systematique de donnees, I'amelioration de la
banque de donnees sur les femmes, la formation E!t la misE! au point de systemes
d 'alerte avancee; et
f)
Assistance technique dans !'elaboration de programmes nationaux et
inter-Etats de d<§veioppement de I'alimentation et de I'agriculture dans Ie cadre des
programmes d'ajustement structurel pour Ie redressement et. la transformation
socio-economiques en Afl'lqu>?.
SOUS-PROGRAHME
al
"" ,.
;,IISE ,\U POINT DE S YSTEI1ES DE PRODUCTION AGRICOLE
VIABLE
Iextes pOl'tant autorisation des tra,'aux
49.
!>landats de la Commission et de 10. FAO et resolutions 264 (XII), 351 (XIV), 462
(XVIII), 565 (XXI) et 6-11 (XXIII) de la Commission; resolution 1 de la Conference
mondiale sur l'alimentation; recommandations des treizieme, quatorzieme et quinzieme
conferences regionales de la FAG pour l'Afrique; resolutions 35/64 sur Ie document
A/S-ll/14 et S.13/2 0.nnexe de l'AssembJee genel'ale.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Pag', 18
bI
OQjectifs
i)
Ob iectif§_des or£:rtnes
Inter~OUVE'rnemenLaux
50.
Promouvoir Ie developpement viable des prinGipaux systemes de production
du "ecteur agricole en Afrique, Ilotamment l'agriculture, l'elevage et la sylviculture,
et adopter des politiques appropriees pour atteindre l'autosuffisance dans les
domaines des produits agricoles, de l'elevage et de la sylviculture. Les Etats
rnembres devront egalement prendre des meSUl'es prDpl'eS a. accroitre les capacites
et les possibilites nation ales et regionales en vue d'une amelioration soutenue de
la prod uetion.
iii
.Ohjectif du secretariat
51.
Les objectifs assignes au E.€cretariat consistent a fournir des services
consultatifs et 'Jn~ assistance technique .:lUX gouvernements, a l'eehelon tant sousregional que regional, par Ie biais des centr"" multinationo.ux de programmation et
d'execution de projets (HULPOC) et des orga.nisations intergouvernementales, dans
Ie but d'ameliorer la production et Ie rendement agricoles. L'accroissement de la
production agricole sera encourage gl'ace a des recommandations de politi que
generale portant sur les changements appropries it introduire dans la structure de
la production des petits exploitants et des eleveurs et qui devraient entrainer une
utilisation accrue rFintrants agricoh~s ameliores et l'adoption de mesures de
protection des cultures et du cheptel.
c)
Problemes
tr.~jtes
52.
En Afrique, la base de production est caracterisee par la faiblessc des
relations intci'sectorielles. I.e principal problem" que rencontrent de nombreux
pays de la region est l~inexii3tenc~ ou l'in~apa{.;ite d 'appliquer des politiques
appropriE~es propres [-1 a.ssu rer une croissance 8outen\l~ du rendement agricole
grace aux progres techniques, qui sont si indispensables it l'accroissement de la
production agricole. Les principaux problemes a traiter sont les suivants :
a)
I.'absence de coordination de la l'echerche agricole. y compris Ie
transfert de technologie, en parr.iculier en faveur des petits exploiants;
b)
L'application de politiques inadapt,oes en ce qui cooncerne I'utilisation
d'intrants agricoles te]s que les engrais, les pesticides, les semences ameliorees,
l'outillage et les machines agricoles et lcs intrants d 'origine animale;
c)
L'application de politiques inadaptees se soldant par l'utilisation et la
conservation irrationnelles des terres de culture. de I'eau et des res sources
comestibles de la faune et de la flot'e; et
d)
Des politiques inadaptees concernant l'application de mesures de
protection des cultures et du cheptel.
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Page 19
il
53.
A la fin de la periode biennaie 1980-19Sl. les Etats membre auront adopte et
introduit pll.sieurs reformes de politique dans les domaines de la recherche agricole
appliquee (en particulier sur ]"s cerealesi, des services d'appui agricoies aU"
paysans, aUK petits ellploitant.s et aux eleveurs, de la formation et de la mise en
place d'infrastructures. Les reseaux en ,:our8 d'illstal1ation dans les differentes
sous-regions et pOl'tant sur les eultureE -""ivrieres de base seJ'ont devenus
operationnelz. Plusieurs pays auront adopte des politiques et programmes de
developpement de I'eleyage et pJusieurs projetl', destines 11 accroitl'e leg produits
de l'elevage et la production 1aitiere grace i la cooperation sous-regionale ou
rcgionale, auront
menes
bieD. Plusieurs pa~vs auront adopte des politiques
et des programmes destines a reduire let; perLes aiimentairt?sl et 1e ret:ours a des
ressources alirnentaires non tradiLioT,Dt:lles sc !:_,: ?':' - <7'~l'alise. Les programmes et
les activite6 visant a acct'oitr('_~ Ie l'ble et ja participation deB femmes it la production
de cereales, de tubercules et de procluit» 1altiel'S seronr. Lres avances.
a
ii)
Pe:'iode 1992-199';
54.
Le secteur alimentaire agricule continuera d\2tre lln ciomaine prioritaire au
cours de la periode 1992-1997. Les institutions spec\a1isees des l'.ations linies et
les organisations regionales devront accroitre leur aide et leur participation,
conformement a la resolution 32/197 de l' Assemblee generale et aux recommandations
du Groupe d"s 18 concernant la restructuraUon du Secretariat.
55,
Des mesures s'imposeront pour ameliorer la production et Ie rendement
agricoles grace a l'accroissement dt? la nroduction locale, it l'utilisation d'intrants
agricoles et il une meilJeu,.e protection des ressourCeH de I'elevage, de ia foret et
de I'alimentation non tl'aditionnelle, En ce qui COllcel'ne !'autosuffisance alimentaire,
les politiques adoptees mettront l'accent sur la recherche d'un equi1ihre entre Ie
secteur vivri"r et la production de cultures d 'exportation.
On encouragera
I'adoption de mesures visant a renverser la tendance actuelle consistant a appliquer
des politi4ues qui tendent, en pal,ticuller pour ce qui est du soutien des prix, it
favoriser les produits agricoles d'exportation au detriment des cultures vivrieres.
56.
Le sous-programme aura egalement pour abjectif de promouvoir la recherchc
et la formation dans \."8 domaines de I'agriculture et de La sylviculture, A eet
egard, on fournil'a des publications techniques et/ou des services consultatifs sur
Ie aeveloppement durable de 1'lI.frique, en particulier pour Ge qui ,"st de 1a miSe en
valeur et de Ja gestion amelioree des ressoul'c('s natnrdles dn continent, y comprts
la promotion de la mise en valeur efficace et de i'utilisation l'ationnelle des
ressoUrces forestieres et (;onnexes. On npportera egah~ment un COnCOlil'S la mise
en place et au renforcement d'institutions for(;stieres, notamment dans les domaines
de la recherche et de ]a formation, en vue d'accro.tl'e les capacites nationales en
matiere d'elaboration et de gestion de programmes et de plans &yant trait a la
sylviculture,
a
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Page 20
SODS-PROGRAMME .f
al
MISE EN PLACE D'INSTlTUTION'S ET D'INFRASTRuCTURES
ACiRlCOLES
Textes portant autorisation des
tray.'3.U~:
57.
Les textes portant aut-,ol~isation dE' ce SQus.-programme sont les suiyants :
mandats de la Commission et de la FAO; resolutions 35/64 concernant Ie document
A/S-l1/14, 43)190 et ,13)191 de j'Assembee gellcrale; recommandations des
quatorzieme et quinzieme conferences regionales de la FAO pour l'Afrique.
b)
ab jectii,',
il
OP-.k'ctjfs des org3.nes inter~ou\·~ernementau_:,'<;
58.
Formuler des politiques propres a assurer IE' fonctionnement efficace des
institutions creees pour appuyer Ie sp.cteul' flg'rieole.
iil
Ob jectifs du sCG.l'etariat
59.
Aider les Etats membres et les organismes intergouvernementaux a mettre en
place et a develop per des institutions, des infrastructures et des services agricoles
aux niveaux national, sous-regional et regional.
11 s'agira egalement pour Ie
secretariat de les aider ameliorer au a. accelerer la mise en place d'infrastructures
adequates, notamment dans Ie SQus-secteur de 13. commercia.lisation, et 8. instaurer
une cooperation intl'a-regionale operationnelle eo efficace pour ce qui est des
efforts visant a ameliol'er les services d 'appui agricole et 13. commercialisation des
produits alimentaireR et autl'p,s produits agricoles ainsi qu'b.. reduire les pertes
apres reeolte dans Ie but d'ameliorer la ~ecul'ite a.limentaire.
a
c)
Pl'oblcmes tl'c>ites
60.
En Afrique, Ja plupal't des institutions et des infrastructures ae;ricoJes, Russi
blen publiques que privees, qui fournissent des services economiques au secteur
agricole et qui influent directement ou indil'ectement sur la marc he du secteur
agricole, ne fonctionnent pas de maniere effieace. II importe d'identifier les goulets
d'etranglement dans ces institutions et structures Et de formuler des politiques
permettant de les eliminel'. Plus precisement, Ie secteur agricole est actuellement
confronte aux principaux problemes ci-aprcs :
a)
Les zones de production mo.nquenl d'infrastructures telles que les
routes d'acces, les marches, les magasins de stockage de produits et d'intrants et
les installations de traitement de base;
b)
Les pertes aJimentaires restent tres eJevees et d'importantes quantites
de denrees aJimentaires et d'autres produits agricoles se deteriorent rapidement,
en particulier les denrees les phJS pp-rissables tellc.::-. r....tue 1(:8 l'acine[:> et tubercules,
les fruits et legumes;
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Pagtc 21
c}
L"'l.l'f)<;'n~,;" ,i"
·.:~:~,:t?,\r:)',~~ 'jf.-,- (" .•. '
.••.'; ,-, .·;:1(,", (;'.1 >:1 :: Jflcui"!..c ues
conditions J1rtcces au:,\, pl'\,,'LiS emp';::,ctle les pcodtl.(';o.?"ur:.:; Cl 1.'_:.:s ',:()mm':'J'(L.:.nV:: d'lrf\restH'
dans: In mise e.n p:c:Cf' de sl-,~'~il't\B'e;:-; dt~ ~'1i:_3{' '1r-f'-~·Oj"L>i,.>_':.:s;
d)
Lf'S servi{~c:::; de "'tuJ~:~fl'jsation reSLerr~ ~nsuf.tjS::lntB des poifltF.. de vue
dE' la d(:;T'.2.)7.i·, de lCi. CO:l\;€:·:~__ tLr,:~ ,:'"t :1.: h- quaJHi:; ':]':'8 :~:( i',\ iet- S t:.'.'(-"h~LfiUt;S 0ffel'ts: et
cd
["-:'5 in~,titut~:~,!.-s ~ld,tj-_-;·;:.k~~ de: l':';j';!!7.',,:}-H...' .:l.~~i·:_;-:-ul.;: tr:_-~\::.. . :lIe!t1 de !aG'Jn
et n'ont I)ClS ~te 0I:! ITteStu'e de rH';'oljf,h-C' lec~ i?11p':;ru1.nts Pi'C,l.:.lBme::; lu;'s 2i. 111
production d\~0
t l'aui 'L1C nnel i(;.
,"'l:Hn.F_~d~:..,
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L'd2,':;:
:J.lilS;
qLlC
k:s
PJ'ci;l!'~'T!': ,;:.
r:,:v:;;;i~~(;ulture
de
i1
6.1.
La crise' socio-~con,)ITJl'~~lt: '>n _i\f!'iCLt'-, !'t l'itlS :-)0.1 Ur:-UJi01'( r!i:'nt 1;_1, crise
alimeniaire, .3 occujJe i(- t,~e\·'':1.nt j(' 1a ;3.:~nt-' trd.t~rH ltT:Yiall:; ':'Jd .~'(',lA c' r:h . .; c:u1nees BO.
C0ttt:' C':lse a pr'Jl)lllss' h' ,~e(;t.eur ,ejir);(·nl<-1.in:': .:'<tl pre:hi,::;-l' r_-:;,IH~ des pr':'Q(;,·.;~~pations
et les EL'1ts 1Il.f'-rllltres ailU;,t (! \h~ } (:-:;:; (; ~'g.).n5;::i.·,:()G~' lnl..l2"l' "1aLic ni.~h::s dcc0rd:::nt
davantagt: d'atten:jcn au dC-Vc:-~v;',-'per.J'jnt d{~ l' J~ri'----:ult-l'.·e '-_'L ~)h~s lJL:~·t.;cl-tlj0:1'ement
au t-iecteur :l.lime nt,al 1'(' el~ h .se,;. .s:.'__'1'\-iCe3 d~,':iJ?Pui.
62.
En d.epit de,s e:'fo~:t:"· lO-....I~cLbll;';s d,:'p)oy-:·'-"'} f'!rt \-'~i(: ;j!:\~tE':ir";l" "·:'I.'utosuffi.s.ance
alim>?ntaire, 1a ''.dtuatic;n ~'\ L::", rtD dt-' 1991 st:'r:.:i. '-;:!.:-trElctt"ri:-~e'2 pa~~ Ie faibh.~ rend€'ment
de l!a'll'icu~[urf':: j l'_'\d~ticrJ.;'t'a-:: i.:t h.-,.~· i1inc~'~;~cv:-it< )1: !ill'::;;~nc(' df-f', princ-ipaux
3"r';ici:~ d'apPll' i ','l,l",t"stiLlC''', cr<'>t:lt, j:1L;'"n: '>, H'ch",<:h" ilduPl'itIVO')'
Etant
donne· ~l\.;e h,:· f';lrdean de L. 'lette .:fd\.'_<J.:ne it( -::eS8f~ 'l' ~,':~d<.;;J,r:Jll' F':t que les
p r"OfP'::1rn :1~"!8 d I :::~5Uf.t 0':;12"'1':- :.,I,1'ttcture'j j, :--.--'i.(',~Ynisf.' "it. 1~1 r, '0 U· :ncrJ d~~'2 depenses
publiqueS 1 1(' $eGtet~l'
'~ontlnllf..:-_~';~ t,:(
':'~Hl.ffch' d'ttr,e J,nbl.lffisance des
in'i,.-8Gti8sementr;: (:U'l h~1 :·,..;rt -:'.n,.~f,'
d'exister
3.1
de 1a
T.l:
~J-'.U:; J.~
"-:,'cL:,:.sJr_':t'; d-:: !J
l)";'c-:d',I\.,I-.
'-,I: '..:.qm~,;·-t l~rt::'
f.'£'9.,'"'::r':\
2. 1Jeill€' ct.:>iui
popul2..Lion~
L~s circuit::: de C ommercialisatiorl
agricoies, ::. ten ·~~u ~a;.":t:1t c.i"!..\_~ :'.nH:'ljO·l~"~5 d; ..tl;:
pla.n precedent, he Ser0!lt DS,S c;uffisan:s
les c-.:..u~rE"S bE'l'vices CJ 'appui
al) ~::,,!," (1<' \a periode du
t-JC til , assurer
dE' .';,1:ljt-~t'e c0nvendb:....:: l:'t cora:LJ1cn..:i~Lt..:;;a.tiG·l' je;, (>::lrt":~' ':'-I.~:i:h:'nL,J.~l":::'~ '..>L de::~ auices
pr::')c:uits agrju.)!o:'_'~
in~nffis;.:lnts
pl~odllct:ft)l:
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alil':cnL..I..ircs
f':,u<jeul.:erement en ce (,(I..t ;:tinCCJ r1v l-:;~ d~:Ht~>~f':S
.i'rc,its ;0t 1>-H h..:~~.tmc_:>:
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diffieultes h mettn: all p<j~nt des te,::i1niqu('s plus 8ophL;;tiquees et
Economiques
qUi; ~':.'~lc~ ql":;-: ~-unt (,.ctu'.2i!.;'m •.::nL utili.secs par la maJ,Jrj-Le deE ,::;,gt"iCtdteurs af:dcains;
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Page 22
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renfon./e.
63.
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la lJl~()motjon
Fautosuffi8,:.t;:lC'-: -::C 0,:" 1:, bccul'itl; ,"~li!rt!~J\~:.lires, ,~ra.:.,(-;, C.:iU.\. rne:::'UI't' S ~-;ui"\-J.ntes :
-:.:' nc.;U t'~l ge r 1\i ;}CT' tio:'~ ch: pc.'iiti.(i1..lf;';.., ap i; 1'C r'r i(~es de commerciajisation~
-ic T'0,,:,h,--ri_,!!,'. :!t:' c.peG~,t '-.::t dl:. fOld'jiJtUfe d'i.:'l;:'l'ar.ts ·'1ins"1 que de
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Journees ,:1 't~..:u,:i\?'
\.-;j.!
"= .ll' C t 1\\ tilj satian rationnelle
des '3eminail't~s et des
{c,rrr~::tt..ion,
d,l
Enco'1Y'[l~1.-::'·· l't promGl.)\'ci~:' d",:-c progt'clrnmc-';'.:, 'ie l"e(,:he~'Che dc:.stinee a
mettre au pOInt d(--!!:-.; tf:chniqu~.>s '3.P::,H·()PI'i(-;E:::'~ PC..1U?.' b, f..'l:oductioTl, 1a transformation
et la pl'!i";E'r"':..:.ti~~'n d,_~~·, Jcnl'~~~; .: , .:J.j.irr..,.-,;nL,~~iJ.'e::-; (J~ 03~~t:: (-'t 1:'" ni·duc:jon des pel'tes ec
du gac:.::piliag(::, ,,::-, pr0mouV:)~1' dc''':; ;Jiote~ Lnv10gj.e~ t: 11 Le!1£..l:1t d_umer:.t comptl:" de leur
,;jabilitl~- !::t d.::· J.eur l!":cid<-!':c(-; "'?':,:oDomic;.ue ::1 iong V:-rmp SUi' 1'_ ~rlCl.lit,UI·':.' africaine;
(:)
Enccuragel' ct Pl';.)lTI()I.Jvoir ]'h2r'P.10nlE,E'-.L!CTl (>'-, la c(")ordin;u.ion des prix
agricoles aux nr,-e.:l\;~\. n::ld':)c-2L "',Ls-n::F:lo:':j e, ' t ".,_.;';.~L
~i
i~'ontl:bu(·!-:( re:'~~"<.:uti_L'H je~ P!"I.)gr<lf::lT:",(
de 10. periv,jr..: ci'l
I:'L.'.'~
i?r(;c\':·u!·.~nt
appropriE:r~~:; pou,' ta :"r::~n3f .::~.t'f:1ht.K!l
base
ain~.i
que la l'\:'dl.~ctic'n
rj':?f3
.t. Jes i-1l'o,iets idenbfies. lors
3.U point des techniques
(h;'.:: den:;:s.cB ~~:im'~ntaJ.l'es de
,,·t df·:tL;.~O:;·, ~l nl>;\~tl'e
ct k, pr~scr"\·t'.U:Jn
pel't<..:3 '.:~t ,-=iLl s3".s~ilii\.--:;-J.:.
TRANSFGRMAT',~STn;'CT~PELLEETDE\-~LOPPEMENTDES
64.
_Mundats de l,t Cu;Hmi.::sicn ...-t. de 1;:", F/iO, resQluticm~...:. 34/1..:1, J3/54 concel~nant
Ie document .'\/S-Jl/.l~l (,;il-..r:+:-,~,:e {, i_(;,llG t.:~., ::',-L~/::: ,'."-'.n,nC:ie de 1),-1.3sP''Jlbl,.~~e g'er.\:~ralc,
r'~Eolution l.1l"""'f'i/:"'J\] <In <_"Gl':'~)f;il .' .... '~ln-=':11l(-lq.;c. E."L ;_,uL"io.l ('r. l'~?SOlutlons sui\:.:intE.'~, de la
Commisskn : ]~/,:\'Il r;E; 19C4. l:~~'\lX' d';J 19(:::1) J211XElJi dr' .l171J 2~;?t.\I\") de 1979
et 601t=\:X11l de 1:1t"::.
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 23
i)
0b Jectifs des organes inlergouvel'nementaux
65.
Pl'omouYoir l'ajustement et la transformation structurels
de l'Afrique "insi que Ie relevement de la qualite de ]a v-ie
rurales grace a l'anH~liorati()n de sa base socio-econolllique
programmes de develoPl'ement rural ecologiq uement r"bonnel
ii)
des secteurs ruraux
de ses populations
par l'execution de
et autosuffisant.
Ob jectifs du secretariat
66.
Aider les Etats membres a analyser leur experience nationale dans I'execution
des programmes de developpement rural integre et a concevoir, executer_ suivre
et evaluer ces programmes. Le secretariat aidera les Etats membres a concevoir et
executer des programmes locaux de developpement rural dans lesquels les
beneficiaires pourraient participer directement a la definition et a. l'execution des
activites de dev-eloppement qui influent sur leurs conditions d'existence. A cette
fIn, Ie secretariat veillel'.:l tout particulierement a accroitre l'experience et 1a
capacite des pays membres en matiel'e de conception, d'execution, de suiyi du
deroulemenl et d'evaluation des programmes locaux de developpement rural integre.
Cette option explicite supposera une orientation systematiq ue de la conception des
programmes/projets de fa<;:on it refleter I'adoption de mesures tendant a renforcer
la capacite locale de p"oduire des recettes et d'ameliorer l'infrastructure sociale et
economique sur tIne base autonome. Les Etats membres beneficieront d'analyses,
de principes directeurs, de rClpports ·et d 'une assistance afin de les aider a
surmonter ies problemes mentionnes plus bas et a atteindre les objectifs de
I'ajustement structurel accompagne de transformation et de developpement rural
autosuffisant dans la participation.
c)
67.
Prohlemes
Les problemes
a)
a.
tl',qit~s
traiter sont les suiv-ants :
Lacunes dans les politiques et la planification;
b)
lnegale repartition des ressources, des chances et des avantages dans
les zones rurales;
c)
Absence de participation des populations locales au processus de prise
de decisions en milieu rural;
d)
Necessite
d'UIl
SUIVl
rigoureux
projets/programmes de developpement;
d\~quite
et
d'une
evaluation
e)
Absence
f}
Insuffisance de l'infrastructul'P socio-economiqup pn milieu rural;
des
sociale au sein de la population rurale;
g)
Participation insuffisante aux plans de cn,dit qui profitent aux pauv-res
des zones rurales; et
E/ECA/AD HOC.MTP/v
Page 24
h}
Absence d'esprlt d'autosuffisance au sein des collectivites rurales et
trop forte dependance 8. l'\':'gard de l'asf:.:;i~lance exterieure.
d)
Strategie pour la periode 1992-1997
il
Situation
a la
Iin de 1991
68.
En 1991, l.lne proportion important" de la populatIon rurale africaine
continuera de vivre dans ]3. paUV1'ete, et son acces aux ressources productives
rcstera limit.e. La repartition du revenu en milieu rural restera desequilibree,
l'infrastructurc socio-economique sera toujours inadequate et l'ensemble des
membres de la population rurale n'y auront pas un acces egal. Les programmes
d'ajustement structurel n ~a\}ront pas etc pleinement rnenes a. bien.
iii
Periode 1992-1997
69.
La strategie pOUl' la periode 1992-1997 consistera en des travaux de
des etudes et l:"ELPPOl'ts en vue de uefinir des solutions appropriees
la stagnation et aux dispaeit8s socio-pconomiques des zones rurales de fAfrique,
ainsi que de fournir des avis sur les points ci-apres : possibilitcs d'action, reforrne
structurellc, crealion d'institutioEs, organismps ruraux popula.ires, amelioration de
la situation rips petits cxploitants, technologie rurale 7 medias ruraux, cooperatives
de production et SerVic.2R C'ooperatifs, plans de credit rural et programmes
d'execution de travaux ruraux et assistance dans 10. formuli:1tion et l'exeClltion des
progrcullmes de deyeloppement rural integre. Figurera egalement dans la strategie
la creation d'un reSeau africain englobant les institutions de devp.loppement rural
en )'~fr~'1u·,"o, ~fiL -1:;:- l~ :;cr.:_-t-Ll'~~ .iU';; [ '.. c:;,,S I;.it-'[d:~'n?s ...F£-changel' nfg'ulierement des
informations et des donnF'es d 'experience avpropriees en matiere de developpement.
rural.
a
recherche~
SOUS-PROGRAMME li
a}
HESSOURCES
MARINES
Textes portant
.:.~utoriRatioll
EN
EAU
ET
RESSOURCES
BIOLOGIQUES
des tra\'aux
70.
II s'agit des manriats rie h Commission et de la F ;\0; du paragraphe I de la
resolution 37/66 de l'Assemblee general" ,'elatif au Programme d'action des Nations
Unies pour Ie redressc-!ment, economique el le deveL'";ppement de CAfl'ique, 19861990; des resolutlOns 332 (XlVi. 3.l0 (XTV) et ~;8 IX,'IIll de ttl CommiSSion; ainsi que
de It< resolution 1 de la Conference mondiale sur l'"limentatioIl et des
recommandations des treizieme, quatorzieme et quillziE~me conferences regionales de
la FAO pour l'Afrique.
b)
Ob jectifs
il
Ob ]ectifs des organes intergouvernernentaux
71.
Promouvoir Ie developpement de s~'Btemes perfectionnes visant au
developpement des ressources halieutiques notammenl I'aquiculture et formuler des
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 25
mesures coheren~es en vue de repondre aux besoins de la population d" l'Afrique
en aliments et en proteb'es.
iii
Ob lecbis du secretariat
72.
Le role du secretariat dans la mise en oeuvre du sous-programme consiste
assister les gouvernements mem bres aux niveaux national, sous-regional et
regional, et ce, par I'intermediaire des MCLPOC et des diverses organisations
intergouvernementales char gees d'amp.liorer Ie rendement et la productivite du
sous-secteur de lapeche et de I'aquiculture.
a
73.
A la difference du secteur agricole, les ressources haiieutiques proviennent
d'un ecosysteme que l'homme n'est pas capable de controler entierement ni de
l'adapter a ses besoins. En consp-quence, Ie role du secretariat est egalement
d'aider les Etats africains a exploiter rationnellement, aux niveaux national et
.regional, les ressources biologiques de la llltl
les ressources en eau afin
d'optimiser les benefices sur les plans economique, de ]a production et de l'emploi.
Co
74.
A cette fin, Ie secretariat fournirait I'assistance dans la mise au point de
methodes .perfectionnees de collecte de donnees fiables et coherent"s ainsi que dans
l'evaluation des ressources halieutiques dispollibles, en particulier celles qui sont
explojtees en cornmun par plusieurs Etats.
A ce propos, .il serait essentiel
d 'encourager la mise en oeuvre des pl'ojets faVDyisant la cooperation sousregionale.
c)
ProLlemes rencontres
75.
La production en Afrique est caracterisee par la faiblesse des relations
intersectorielles. Le principal probleme auquel ont de confrontes certains pays
africains est celui du manque de politiques appropriees et, partant, de l'incapacite
d'ameliorer laproductivite et d'adopter de nouyelles technologies.
76.
Parmi les problemes les plus serieux auxquels iI faudrait s'attaquer en
priorite figurent :
a)
L'insuffisance de I'exploitation des ressources halieutiques malgre leur
importance nutritionnelle et leurs bas prix;
b)
L'absence de politiques coherentes et soutenues;
c)
Le manque de developpement parallele des secteurs connexes,
notaulluent ceux de la recherche, de la formation et de l'evaluation des res sources
disponibles;
d)
La faiblesse du rendement de l'exploit.:::'cll1 des ressources halieutiques
pratiquee dans les eaux cotieres, en particulier celui des pecheurs traditionnels,
ainsi que l'obsolescencc des moyens existants mis <~ 18. disposition des pecheurs
(filets, bateaux
moteur, commercialisation, etc.);
a
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 26
el
L'insuffisance des co-entl'eprises ou des accords avec les flottes de
peche etrangel'es pou' developpel' la peche hautu t'iere clans Ie cadre de projets
sous-regionaux {en pal'ticulier celle des especes migratrices en haute mer);
f)
L'absence d'indc;stnes destinees d
halieutiques aux niyeaux national au regional,
8conomiquement rentables; et
I'exploitation des reSSQurces
meme 8i ces industries sont
g)
L'incoherence observee de temps a .::1utI'e dans certains projets mis en
oeuvre par diverses organisation~; internationales dans Ie meme SQllS-secteur.
dl
Str~tegie
il
pour 1:1
SHuation
a
p~l'iocle
1992-·1997
la fin de 1991
77.
Un certain nDmbrc dl~ politiq1les concernant . . . e sous-secteul' auront eU;
acloptees par les pays atrlcams.
Cepenclant, ces pays possedent d'enormes
ressources halieutiyues dont Ie sy-steme d'exploitation actuel ne permettra pas
rl'obtenir des resultats optima..
En effet~ certaines de ces ressources seront
exploitees par des flottes cle peche <'tran"':;,,e:; en echange de paiements
compensatoires minimes allX pays leur permettant de pecher dans leurs zones
economiquE:s exclusives. Grace aux connaissances scientifiques 8t au savoir-faire
technologique acquis en Afrique, l'exploitation de ces l'eS::;ources pourrait
contribuer sensiblement au dey-elopp(~ment socio-economique de la region.
periode 1992-1991
iil
78.
Durant la periode 1992·-1997, Ie sous-programme permettra d'assister les pays
membres et les organisations gouvernementales dans les domaines Buivants :
a)
necessaire
bI
grace
Le
a la
renforcement d'...i C",~l'c: lES:-":i.tutionnel
formulation de politiques coherentcs';
et
structurel
connexe
L'approfondissement de la recherche scientifique et techno]ogique
a:
j)
L'estimation des r'2ssources disponibles dans la zone economique
exclusi'i/e de chaqv8 pa;,--s et a l'inyentaire des differentes
espec€s df~ poissons ct de crustaces;
iii
L'evaluation des ressources biologjques marines ei d'eau douce
communes en collaboration aVeC les pays voisins, en particulier
eeux
la p~chc est une activiie traditionnelle;
ou
iii I
L'introduction de technologies adaptees a la peche
] 'aquiculture (bateaux, tcchniy ..... t,,:, u.t 1 umigation, etc.);
et
a
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 27
iv}
La creetion d!un<: base (lo GG1Ha;E;d relatives dUX differentes
activites d'evaiuation, et ee. en vue de renforcer les
connaissances teChnIques et scientifiqu(:;:s des Etats membres
dans les domaines conce.rnant la pEh.::.he et I"aquiculture;
c)
La creation de possibilites de formation en matiere de mise en valeur
et de gestion des ressources en eau et des ressources biologiques marines, et .:e,
aux trois niveaux suivanLs :
il
Un haut niveau destine il. aSBurE"r I".ux pays africains Ie plus tot
possible Ie strict minimum de capacite dans ce domaine au niveau
national;
iiI
Un niveau intermediaire destine it assurer la formation de
techniciens de niveau moyen non seulement dans Ie domaine de
I'exploitation des ressources halieutiques, mals egalement dans
des domaines connexes (moteurs, refrigeration, etc.);
iii)
Un niveau modeste qui permet aux pikheul's d'acquerir une
formation sur Ie terrain et de se familiarise!' avec Ie maximum de
heux de peche, en particulier Ie long des cotes;
d)
Vodroi de I'assistance, en etroite collaboration avec les differents
pays, les agents d'execution et les donateurs concernes, dans Ie domaine de
l'elaboration des proJets d'in\'estissement, en particulier pour ce qui est de :
i)
L'analy,;;e
des
contraintes
conjoncturelies et
sous-secteur;
structurelles
erlb'?1'":. ,';.nL L- ,J<.~'\<._"!loIJpement de Ge
ii)
La l'ehabilitation dps flottes de peche ,~t des moyens logistiques
existants en introduisant de nouveaux facteurs de production
(amenagements portuail'es, chambres frigorifiques) au lieu de se
contentE'l' de nouveaux investissements qui ne tiennent pas
compte de l'infrastruGture dl')jil en place;
iii)
La promotion de programmes d'investissement communs pour
l'exploitation des ressources halieutiqLles communes 01.1 exploitees
en communi
iv)
Le perfectionnement. et la v"lgarisation des techniques de
traitement du poisson, en mettant l'accent sur la formation des
femmes, etant donne Ie role vital qu'elles jouent dans Ie
developpement de ce sous-secteur;
v)
Le fait de favoriser les operations d'investissements communs
dans la production et Ie commerce des produits de la mer entre
les pays africains et les pays developpes;
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",ri)
La 1[1is(; en place -:;"une etroiLe collaboration synergetique avec
les diverses organisations sous-regionales creees par la CEA et
les autres institutions des Natjons Unies dont les activites
concernent ce sQu::;-secteu.r; eL
VIi)
L'ameliuration rl", la production et des methodes de traitement et
de commercialisation des ressources marines.
SOUS-PROGRAMHE 7 :
ANALYSF.,
PLANIFTCATION
ET
PROJECTIONS
SOC1O-
ECONmUQliES
a)
Textes portant autoris8.tion des
traVf.1UX
79.
Les textes portant auLorisation des travaux du present sous-programme sont
les resolution3 ci-apres de l'Assemhlee generale : 3281 (XXIX), 3201 (S-VI), 3202 (SVI), 3508 (XXX), 35/64 concernant les annnexes I et II du document A/S-l1/14,
.'\/S-13/A (annexe), 40/100, 40/207, 41/142, -H/I74, 43/182; les resolutions 1986/51
et 1987/48 du Conscil economique et social de I'Assemblee generale; la resolution
1987/48 du Conseil economiquE' et social; les resolutions --160 (XVIII), 501 (XIX) et 601
(XXTI i de la CEA.
b)
Oh jectifs
i)
pb jectifs des organes intergouvcrnementaux
80.
Promouvoir Une comprehension continue du processus de developpement et
de croissance economiq ues et sociaux pn Afrique; encourager une approche unifiee
de l'analyse eL de la planiJica.tio:c. liu ci8veloppemf::I:"L.
ii)
Ob jectif,c. du secrptari:1t
81.
Entreprendrc de maniere continue dES analyses et des syntheses
intersectorielles approfondies des qnestions de devcloppement et identifier, pour
soumettre ii l'attenlion des gouvcl'nements des Etats membres et de leurs
-partenaires du devcioppement, les questions economiques et sociales d'interet pour
l'Afrique et la communaute internationale; prepareI' et publieI" des etudes annuelles
sur les condjtions econorniques et sociales en Afrique; promouvoir la formulation de
politiques eeonomiques et sociales appropriees; mettre au point et diffuser des
techniques de planification, y compris des projectluns adaptees a la situation
economique et sociak;; en Afrique; organiseI' et assurer Ie service des activites de
la Conference commune des planificateur:s, statisticiens et demographes africains;
organiser et assurer Ie service des activite.s ciA la Conference des ministres
africains des affaires sociales et de la Conference des ministres des PMA d'Afrique.
82.
Afin de permettre au" gouvernements et autres centr~s de prise de decision
de suivre la performance de l'economie et les changements survenant dans la
societe et d'adoptel' des politiques appropriees, i1 est necessaire de pouvoir compter
sur des informations continues emanant d'analyses approfondies de l'economie et
l',/ECA/i',D HOC.MTP/9
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et f',l.:,1'2J,eg:i~s eCC-rl(~I-'liq:')2~
l\:~r~
~L ,",oc,,~~"I,h--':":' ,-,
deux princir'al.l:...
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,~'" iin"-'l;;"
C(~l,j-_;,ll~l':' i1'-~S2':FIi}ihl'~;~ actu'..:l::::
coop(ir;.Lion E'~.
f..:.
. ' V ' 1.:- r:: ccnditi~)n-~,
nece8sitent un'~ (\.utosuffis.3,nce collective, i1 (:st ;"1,:':cl-33ajl'e d'ayojr elf'S InfoJ"mativnz
sur Ltt"!c bflse c.'mpnr':l·.'l',".
I:a.'~:~
1,,-,::; T'('\ ,:";
'-(;\·;-i t,.;:, , 11:' tC:1vnil '-lna,lytique
ne.ces?::lirF:' est .,.:;:e . .11-';'nieme:-tt rf-,-'1.~i~-~() P'J..1' (iE".-~ r'2~lJ-:"(I~1:;~)"bles gou-vel'l1PIuenLJux 2t. par
ceux qui tra";aiHer.t (1::'..1"'3 ],,-,_:, ~~~,-:1,.b;i~-,s~':n-=-'nt", d,~ '_::Chf~! ::-:-.2, '_ilU"-:,Sl bl'-:H v_d\res L;ne
public.::..
Aif:'3!, Ll. C'S_\.. 0!l LUll
JU'::::" centre i-:n:inci1-Jcu P')l,\' L:
liE-\;~'t~pp8m21lL
e,:;on-::::lI~J.lq:',2 E--f-.. :'J_,_1.::1
,'l!':!;t',:l, (r~l ~'~' Fi'~:m·~ _'~e
\'IL.'<,' L~> r r;J: -' f<) iT l1_:;'frLC~UC:,_ ;:.1. l'll
role r;(Al::Hdi,~l~abl~ 3 jou-::,I.' P':"'ll~l' co!nbler C"c";'(te lc,,-,'une. J l ,L 11 incombc. dans 1<2 cadre
de son r(jle Gt';' j.:,ro\i1oLk-"'l dr ].' ·:::(),)per~';,tJ:':-:l i,t j" L;:;,' ~\",~~_L t..c,n (-:,c;,')n;)1",~; 'j:Jes, de
pn?~pal'er egah-'J!H';n1. de:=:; l~tUcjf-S SL1:--,dyt,i·:;u.e-::: c.omp~~r::1.th·t-"s. Finci.l':':'ment, t3tallt donne
entl'e
0c~)nomi -1;.[(" ;.,
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inlime-rnenL _!h;es et 6t,?:.:·t donn{ :Jue :,:1 :.::.i'_-,l.r-l.LiGn, e:;'_iut C,-.'r.,Ct}_'np l;j, ,~al.-iacite des
EtatiS memb1'0S i rret.t:l'p ,"'-!\' pcin.L ct ,'> u-,:,ihst.'l' ]f'3 L,:,ci-llj (~l[t;:' !--eq'!':::~~:.'> ?::,t, encorE
trt->s pl'~_caire, L.1 CE~, cst eg.'J.,iePlt!_nt (,har~''':-''--' d't'~~1CC.((~'-" c. ,~ tE'(:i-~rj(p,.;'~·s I,";~ d',_dd~-=-r _l_e8,
EtaL.3 mee.,bre.3 it le-:~ l!l<:~i~_rt-:.("~-'.
83.
L'elaL01'aLon dE' tJ-:)\j,,-el:e:, po~Fjqup;" ;/)tl1' 1(,' r'1)i;lnC
au centl'P dcS', 1_'l'E:o-.,:cupatLHi::::
d'a.Ju8~emenL s.LrucL~l't'l ~C'rc
'Ire~l.l:
i-'t'Ot~l·ai1l.ffieS
dc's
~ r::i,\~~:'jh.
.\ins1. des
etudE:s ;~er()nt peaiiG~~e~ '::""-1.' ,jC~ ,;"-:;Li,_,,,ne:.:;
L,\~~:-:>
1
-ia :n(1~ilisation rh:s
reSEource::; enOl'meS d-_l ::-_;f . ;;:"k~Ul~ porl 3t1.'1.~ctlln", 1-:.1. f.:: - ~~i_un ::'If''::: l"~-':3~_~-\"(>S elf-:, dev13(~s,
la mi;:-'.(: en n=-,Uf:f d'::.'s LJl'obh~rnes a\"::.-Lt ~_l"~.lt_ ,~ 1.<:, L-_'l;lI1()L~c';) de,:,; cxpor-L.:ltior:..s, A 1a
reduction dt~~--: "irnj..J(;rL-~"c:..or:f-'7 L Li:." ~_~.:,<;.I-i·, ,:'l.
des fuitr:'8 d''! de'~ (~:(" \.,
,~ . J'i-,~acl,-':
Ell
promotion df'S T,r\tit~Clu._,,'i
atten":_i-~'r 1:'1. r'Ll.d~~r('te 1.:".:. b:-r.
t:quitabk fT·trr:' t"J\.I~',;:::,
de-v81oppemen.t"
I-',t
;:1;, 3l'r .
d?
' ~_cl. r'l'r -:, ,~d.Tn (:-'_' :H-l. .-'_:0hb-i)]e
D;it'_-,,' !_te,:' ')t~6G.'~_~:~-Jll·f'.S ~t rnG!letaires
C·J~l-l_,. '-ie_-=:
"-~lLl'C>~' ,'3 __'i'Ol-;t. ·'~~.~_~2Sf, pUG>' la
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pour
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de
34,
A 13 fin de ~ 98l: .11! :!lO!E:.., !TO]::; etude~ .:,.\nnuejh-~s a.cditiojlncHes jp~~ conditions
economiques et s')cid.1e~; -'~1' .\h';que aurorlt ete ~")r,-~p':'1._ceef:.:, .-'r1VirOil --·jnq 1},:1;'iT3 de 1a
reE':L()r!
:1.UrClnt ·JP!:'Oyt(, 111)-- :-l~-;S':c:t(~"C(::
dt.~
dc--ux
8f;:1:=~.:()r~""
(lan_----: 1:_'.
:::t~c-:'.t;on
d·'
;:1Dd~1_es '.i~:' <-::-ee"i:~ion;
Ie
Conf':renct' dl?~~ rnill~st.-res '1fricaJns dE'S affaires
8.o('i8.1,~s et d"uno 2\..I_tL·f~ rl~L[j~Of\ de ):-;1, CClnL':-'1'e_'-~C(:· CC·t:1lnUnf, dE:-S ';)lanificateurs,
8t.::1b~,ti('iens e-:'" dCr-Ki.:sl-,-:tl'h-_~ ~tfric3.ins ,.ura £te di::';'-~Ul'e; ct de nCm,Dl'eUX 3e~_'vices
(on-=- l~t3.-'--l1.~ ["u,~:,)nt c5L\~ t<)i.!.rc,--,~ 3~1l If;:'- ~:tL.:Jes c, le d(-,-'.:Jcl:Jpem:'"'lIt social et
se:::·v_k:.e
diC:'
1.:=-~
eCOn(;f!i~"JUC: L<'"~UlEhH~ aiL~"; y;.J_~' ~.~li.1' b
firl~tlc-
1-d~'i.nifl_(:2;tj01L ctu df;'~ehJPr,)(~m,=-'nt.
L'e\-~a]uation
du PnJ;e;l'amme Dr:ol'i~..;au-"~_· dE l',=-d?-,ess~mpnt eco:)c:"miqu'? de l'Afriquf': 198619:.10 ,:~t du Pror.::r~u:.!w .ract.:.::;n d'~,:2. :".,.-d.. ~'_-·n~; :;'t':::", . ._'C;U::" l~ ..;'E:;OrE-_.:-,3emt::fr!:, economique
-ct Ie lk"\'-d':"ppempr:L ~~ l','\": LiU , irE/i-:" I':' ---"- -,,:.' , :,_,t,..:; :'(~'-.,'iD.2t:. ·~"211~t"folS. -9.-insi que
}'pxpP"'ience 1'.:"(, I'!_~CUY2 l'p~~eT!tm~~nt~ l! "3, <'~"':in:_; -lire <jU'2 Q(~ n':)'Ilbrel~X IX:!":"-S afdcains
[1(: seJ_'crll t(-ujc)I:r':, POLS ei) r:-,'---:'~-,lll';:-~ d'·~ntr'::';lJrendl·e- _~"'tna17st-; _n,:~qtll:.:;e :--12s politi.ques
eL :=::'·1l';)J): tou_-irJl,rs tJ!~_~,(;ln <.~ 'une .q,.sG~.sL..inc.e '_"), t.;i-l"if<':~rl-'; it eet eg2.rd.
E/ECA/AD HOC.MTP/J
Page 30
L(l phlr-<"u'L des .".(;,[1\ '~e~_' I..if:· C(: t:.·.)U~-:_ r,;g'; ·.i.iil'L:~ s·")n-c.. cODL~l'U~';.
.Ainsi, ilU
caul'S de: 111 perJeiL-" lY'~_,-l~:~!f, ;'-, !':"~_~""..:' :-ht:' ~1l'1{;~? ,C~~'.\..j_i·:-; .ff;'::':::'-d:.t l'(_~c:.onGmie eL
la siL.lation s(·ei8.L- ,:-or' "~fl·l\..jU': s::-' PC,i:-:"',C;;;l'i 1';) t~\-· ;;:~:m':' \ple 1.:1 ~~r~palation et 1a
pu blica.tio.,'l de] 't'· '.. U (J >-_' ':'i n ~-j 'J(;~! (:' S t.ll' ~';;-3 C :,)'''FL tio:c 3 >
.,. rriq :",2-; E';. :-::.'.)cl.:ileS i-:,n Afriq u e
et du ~~ar,po!.·t f;c)ll'),nL:u.i: ~~r.n1,el
L ··-~~3h'J .. 'j,jj., '_f 1-. rar~plicc:-~jjon (L~ techniques j,-:!
plaIliflcatJOf.'., E'F r-q_:'~k'l_!iC'r daLs 1!~ c.~ldye d".Hl rje\'elDppemE'Dt socLd t~t ·2conomique
equi1ibn~' et d-,' la. ~~t:()per.::Li()n 5c~)f!'Jmi_'_luel '2t l·,:- sui\--'i de" Ja ndse f:;:~ oeL'\Te de ia
StrateAl'C:' l:-lte~~naL.:.')nal(~ cll.. '18'_ .:-1_'_.)pp!:omE:.:nt :"o(~ ~ L. J'l~.::.ttnem(; Decsn::tie 3.'-::-,3 .l:\C,(.tions
Unies p'o~:r -Ie c!C.',-.;::!cI:'peri,:. . :1.1:, du FL".n ,.--I':lcLicn d(: L,o-jgos en V-:"lE -je h. mise en
OeU\-"lt; rh:_· l:-;! :::,:'.r[~.!.,e~~ic je- 'tOlll'(Jvii:_, pou::.-· ]'2 dtJ -..:'!C'j.:-r;!~:m,"rd. E'COnJlrjqu8 :je' l'Afrique
et df- ll,_\:~·tc Lna: l~' L-'L~JS {.-J~:i-lj/l~, ;:Lnr;~-'.\e,e:: I et H), .:h.1 ~;3.(~l'e :::-i,Lticain de
referen('e pCUl' 1-..:5 ;)l'(;£c:'alLmt~. d',"ljtl ....--::-.C-'ITl-:;'nt ~~Ll'uctXLl'Ej 2.L. de t-JU-:~C c\.utn,; .-.:;trategie
4lli p·_)url':lit. ,:·tJ'~_' cdcT)t:. t:- 1'11' I,} r~,;(ic.)n 3f;~~'~aL:~,:::' d.:::-_n:s h'_'s J.nnees 90 .seront
entre1-':d:~.
L.1 lOL,>? au },:~;lI-,-t ('t :i'.iI-:p)i':_d.ti.J 1 1 d~' L·,.:!cLIl)·:jlll.:S ue plani:f~cation, en
parti:':::!lij'''t' d,l!l·~ k [';:L:~~e d:_' L ,~OC(_'':'1'L1L_0n (--'t j"~ i i.nt:~::~~'aLi.',)n t'~cono;niqL~eR seront
inten[:i:ie,~s. La plus hZ(ute pl'ic::ntc- s~~r,1. aCCCrl'd0e ~'\ la £'Ol'ITlation c1 'eXF,el'ts africains
en pLL-lifL:atkr'., tA,Jil,;' 1.3. priPT!:':.-;.:-.LOl'l d~-:, ~~l·~t;l:~.~ L~ 'n ... lit:i.i~:,'~ de;::. '::echnl\-lue£ 2t
methode~~ d(' I.Ili~.~'~':: en oeU",rre,
L -' ;-;(:['Tdc:r.::; dt."s 1'~unjcms de .'3
snf~rence des
mini.:::;t.1'eE ;_iJrh:3.in~~ .::!---:::~:; .:.i~ of; ·n·'.-'~. ::;ocl::ile:::~ t:'t dt--- L.;. :0nfer:eLt::e '~~o~nmune d~s
planific&t.E:'urs. S~cl':...istiC.li-":L3 f.-:t ,:~;r';i..J~~l"a~·:i1.( ~ ,... f! ~2'-L~'1::' '~~f..:;'<::~ ~·\L:3:..;t·8,
85.
SOUS-PROGR)Y'jL S
Les tox.\.es jlcrt.:lnt =~ >1.(;l'i~.d'.:.i(>:-1 (h:::~; ~'.', . "'-';<1\L'':: '.~U p:·ef.:,ent sou:c::;-r.·r'.:..-gramme sent
documents 8L:.lV[.l.,nt~:' rJt.; l'f:.I.~';:;(:'!".j~_'!·_:';'-; .s.:/·r:r·-··,i"
l"~ J:-::t:.olu_U:):.c :';5/G·i SUl' l'annexe
I de A/:::'~-J..t!11·; i~s IJC:.l':t",:'..--l.l·iL.-,,:- 11-1}~ d-: L, ~'e~~,,--,~ution 3~!2'.....~~ If":s p3ragn'\iJhes 2:,)24 de la l".::so]u'·i::oJ--;' :3·S/ 1 ~n :"t >: l.lEf':''!':,r:.' pLI;~ lC ., .... J.'. l~·;~:;;.,:·],~/.::icn :}'j/J 74; 1)ann,~xe de
3fj/2:1; L:l.nne:;~e- dE.- S-·J~~ '~: fa r(~,:,c,11.1~j'\n t:('/J':!; if' .P,:d'.q~:l'(),pl-Je 2 d.,~ L1. ~'ps-olutlon ~lS'7
(XVn) de 12 r:'om:n.~-;::::-:iOfl;
86.
les
87.
Sl..liv"!'E"' ]e:; econornie:::, des ~-)r;,:7:: lf~s ITIGiTl8 a:I,:<:'H!c?-~S
d_,:!-~
des PClY~" 1I1.8ui.:-J.il'es -,r_\t't'l('_U~:: tot 1,T::::mcl~v()j-r' (11:".':' '\--(!iidq_~ef.
transformatior. ell vue d\)-t ':L~\~(:d':'i)p(;-Iri€~'lt 3utO-(-.'1l:ret'2nu.
pays .:::ans littoral et
,j,pp~oprlees
pour leur
88.
L'objectif assigne a~_: ::.,(,r::'rctE'iriat. con:-..;jst·:.~ ':~_ :Lid-?l' Jes }',D._YS les TI101nS ayances,
les pays san:.; littor,j.l et L'.E 1:::'I-:' ;:., inSU1.:.li_2t~~ ,:i.'),l·"l.'-lu_e dcll1.S leurs effcrts de
planification E't de p.~~cq'ra;~!'!:rl3.tjon '-·n ·'VLt~· de ~'!:~I'pii_c~lUO:;:; '1u n-:)uveau Programme
subsLan~i(:'l d':-.!.cLion t~'-d '''::'.. 1'1.1 .,38r:.;. re-" !3{ ;;'Iou.r L~'s :lnn~-es JO..
" cC t:'~':c~rd, de:::.:
efforts SE'!'ont dl~P:Q:'I--t'>S er "'J.e d·.~ :
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 31
a)
L'evaluation des efforts internationaux dans l'application du NPSA en
vue de promollvoir les changements strt!cturels necessail'es pour perrnettl'e aux
pays de surmonter leurs difficultes economiques et d'"tteinctre des niveaux de vie
adequats et acceptables sUr Ie pian international. Dans Ie cadre du NPSA, des
efforts seront deployes pour ameliore,- les modalites de l'aide, ajuster Ie volume de
l'aide et son role en vue de n§pondre aux besoins de developp~ment des pays et
formu]er les changements appropries dans les pro~rammes d'aide;
bj
La realisation des etudes qui permettront d 'aider les ~ays les mains
avances, les pays sans littoral et les pays in~ulail'~s d'Afrique dans In formulalion
de plans et de programmes Sllr la base de methodes de planification appropriees en
vue de la transformation de leurs economies;
c)
La prestation d'une assistance aux pays les mains avances, aux pays
sans littoral et aux pays insulaires d'Afrique pL""' l'ceotention d'une aide d'urgence
en cas de catastrophes naturel1es;
d)
La realisation d'etudes sur une gestion macro-economique efficace;
l'adaptation de la conception, des conditions l'equises et des eriteres d~executi()n
des programmes d'ajustement structurel et de stabilisation caracteristiques
particuliers a.la situation particuliere des PMA; l'integratioD de ces programmes aux
objectifs de developpement socio-economique national a moyen et a long terme des
PMA;
e)
La realisation d'etudes sur Ii' mobilisaticn et l'aftectation efficaces dec.
ressources locales, y compris ]e. mise en valeur C't l'utilisation dE's ressources
humaines; et
f}
Le service de8 reunions de la Conference des ministres des pays les
moins avances, ou celles des pays sans lIttoral et des l)ays insulaire~ de la region.
c)
Problemes tl-aites
89.
Les pays les moins avances, les pays S,'lns littoral l':t les pa:vs insulaires
d'Afrique ont tous les caracteristiques suivantes : rever.u par habitant tres faible;
majorite de la population vivant au-dessous des seuils acceptabled; productivitc
agricole extremi'ment faible "t institutions d'appui it l'agriculture insuffisantes; part
insignifiante de l'industrie manufacturiere dans Ie FIB; sous-exploitation. manifeste
des ressources naturelle8~ en particulier des mlneraUX et des ressources
energetiques; faible volume des exportations par habitant; penurie aigiie de
personnel qualifie a tous les niveaux; infrastructure institutionnelle et physique
in~uffisante, en particnlier dans Ie domaine des transports et des communications.
d)
SLrat8gie
i)
paUl'
Situation
la per-iode
a la
1~92-1997
fin de 1991
90.
Des etudes plus approfondies sur les economips des pays les moins avances,
des pays sans littoral et des pays insulaires d'Afriyue en tant que groupe auront
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 32
ete realisees. Les dispositions institutionnelles pour Ie suivi de ['application du
nouveau Programme substantiel d1action auront egalement ete adoptees et des
services consultatifs techniques auront ete fournis SOllS forme d'appui dans la
p[anification, la programmation et 1'"laboration de projets de meme que la
coordination a travers Ie Comite interdivisions du secretariat sur les pays les moins
avances, les pays sans littoral et les pays insulaires d'Afrique.
ii)
Periocie 1992-1997
91.
Les services consllitatifs techniques seront assures, sur demande. pour
permettre aux pays africains les mains avances, les pays sans littoral et les pays
insulaires d'Afrique de formuler des plans et prQj~rammes sur la base de methodes
appropriees. D'autres etudps 8.pprofondies sur le:urs economies seront entreprises
au COUI'S de la periode du plan a moyen terme.
Des pro jets de cooperation
technique seront identifies et presentes aux donateurs pour financement. Les pays
africains les moins avanc~s, enclaves ct Insulaires aurcnt 1a priorite dans les
projets de cooperation technique inter-pays. Des efforts concertes seront deployes
pour Ie suivi, la surveillance, l'examen et l'evaJuation periodiques de l'application
effective du NPSA tel qu'actualise pour 1a prochaine Decennie, suite a son examen
et a son evaluation globaux en 1990. Le service des reunions annuelles de la
Conference des ministres des pays africains IE's moins arances et de leurs experts
sera assure.
SOUS-PROGR..".MME 9 : COOPERATION ET INTEGRATION ECONOHIQGE EN AFRIQUE
a)
Tex-tes portant autprisation des travaux
92.
Les texte3 portant autol'isation des travaUK de ce sous-programme sont les
resolutions 311 (X!V) et 355 (XIV) de la CEA; 33/134 de l'Assemblee generale sur Ie
Plan d~action de Buenos Aires pour la promotion et la mise en oeuvre de la
cooperation techniqu.e entre pay6 t~il d~,,~elc.ppement; 35/61 de l'Assemblee generale
sur Ie Plan d'action de Lagos IA/S-/11/H annex" I) et A/S-lJ/2 de l'Assemblee
generale.
i)
ot iectifE des
on~anes
intergouvernementaux
93.
Promouvoir l'etablh"sement (Fun InPcanism.8 int.ergouvernemental viable pour
la formulation et la mise E'n Of'1.l'Te d'actiyites de cooperation et d'integration
economiques au niveaux sous-regional et 1'6:gional; determiner des domaines
possibles de cooperation entre l'Afriquc et les autres regions en developpement; et
promouvoir sa mise en oeuvre.
HI
Ob ject.ifs dll scc:retariat
94.
Renforcer la capacite des crganisations intergoll.Yernementales africaines en
tant qu'instruments efficaces d'un devcloppement aUl:osuffisant et autonome; aider
les pays africains et leurs organisat-jons intergouvernementales a identifier et a
mettre en oeuvre des projets d'integraLion; promouvoil' la cooperation Sud-Sud afin
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 33
de renforcer la cooperatjon c< ]'inti~·6rati(jn cc,:,no;rriques en Afrique; et faire des
propositions pour I'harmonisation et la rationalisation des activites d'integration des
diverses organisations intel'gouvernementales.
c)
Problemes traiteE.
95.
L'exigulte des economies afri::aine3, la faiblesse des revenus par habitant et
la predominance de la production de sUbsistanee imposenl de serieuses contraintes
sur Ie deve\oppement d'unites de production viable" et limitent les possibilites de
developpement. Ce\a rend necessaire la cooperation et l'int&gration economiques.
Cependanl, leg efforts visant a etablir des arrangements d'integration efficaees sont
entraves, entre autres, Pill' dC's insuffisances en ruatieres d'institutions et
d'infrastructures. Les plans de developpement ne sont pas encore coord.onnes sur
une base multinationales, sous-n\gionale et regionale. Les pays n'ont pas encore
incorpore lea arrangempnts de coop~ration et d'integration dans leurs politiques
nationales.
Vabsenr:e de rationalisation et de coordination des activit€5 des
organisations intergouvernementales existantes ayanl des programmes identiques
ou similaires empeche Ie regroupement des forces OU la formulation de projets
conjoints d'assistance mutuelle. En fail, on ne l'arvient pas ii. executer des projets
d'integration economique, en pClrticulier des projets multinationaux.
96.
En realite, let principale difficult.:' que connait I'integ/'ation economique sousregionale en Afrique est I'absence de volonte politi que chez Ie" pays membres pour
mettre en oeuvre des projets corumuns. Cette absence de volonte de cooperer
provient du fait que les pa~·s membres ne croient pas aux a...-antages susceptibles
de decouler des projets economiques sous-regionaux,
En fait J'obstacle ii. la
cooperation economiqut' est Ie manque de ressources necessail'es a la realisation
d'etudt:,s 02sentieHes gl"')iJalc:':' 21. gectol'ieHes p0Uvant mOnLl'er les .intel'ets que
chaque pays membre a,... participer pleinement aux pl'ojets d'integration economique
et indiquant que les avant.agt'g de Ia cooperation economique sent equitablement
partages entre les pays participants.
dl
Q.trategie
il
11.OIlt'
la periode J992-199.7
Situation." Ie. fin de l[l91
97.
Dans chaque sous-region, les projets d'integration economique devraient
donner la priorite au developpement de I'infrastructure et d'un systeme de
transport integre au niveau sous-regional; h I,;, production et au transport de
l'energie hydro-electrique; ;1 l'etabhsBement d'un s,ysteme de production sousregional afin d'accroltl'e Ia productivite all;ricole et de creer »ne base industrielle
pour moderniser les secteurs prioritaires; et enfin, a l'integration des marches
nationaux.
On espere "galement qUI> des decisions auront ete pl'ises pour
rationaliser les programmtS des or~anisation8 intergouyernementales sousregionales en Afrique dp I'Quest, du C~ntre, de l'Est et -en Afrique australe afin
d 'assurer un developpement harmonieux entre Jes sous-regions et que les activites
pour la creation d'une zone d'echanges prefet'entie]s pour l'Afrique du l:iol'd auront
&le achevees. On espere aus8i que l'OtJA, la CEA et la BAD aideront les diverses
organisations intergouvernementales it coordonner et it harruoniser leurs activites
sectorielles et it faire progressp:r la creation d'un marche commun africain et. d'une
E/ECA/ AD HOC.MTP 19
Page 34
communaute econornique '::,fl';c::.i_r.r-:>, C'~ e'2p~~'C- cn[in qu(;', gr3:.ce J. l'assistance de la
CEA el de la BAD. des accords seront signes pour executer des projets
interregionaux all ni"'l.Tp.au des di':erse::,; organisations intergouvei~nementales en
Afrique de l'Ouest, dlJ Centre, dp PEst et en AfriquE' austra.le dons les dUTIli:Lines
essenLiels que sont les routes, lp.s chemin3 de fer, les reseaux electl'iques, etc. afin
de renforcer les relations cconorniques entre les differentes sous-regions.
ii!
Periode 1992-1997
98.
On continue ra a deployer des efforts pour renforccr les organisations SQUSregionales existantes en matiere d'execution des projets sectoriels integres tout en
prenant des meSUrf:fi vjsant a coordonner et a rationaliser leurs activites afin de
creer un marc he sons-regional ullique dans chaque sous-region. En collaboration
avec l'OllA et la BAD, la CEA assistera les gl'oupements d'integration econornique
dans l'adoption de programme!":' viables pour la periode consideree. En premier lieu,
un plan directeur detaille pour les transports et les communications, l'energie, les
ressources en eau, les secteurs industriels et les ressources humaines sera realise
afin de constituer la base d'un developpement autosuffisant et autonome et, en
second lieu I des projets multinationaux concrets .scront identifies dans Ie cadre des
plans directeurs sectoriels ct des etudes de faisabilite seront etablies pour leur
mise en oeuYrc. DuranL '2ette periode, des projets intraregionaux couvrant les
principales Rous-regions du r:ontinent seront 6galement i<..lentifies et executes. A
cet egard, une attention particuliere sera accordee aux reseaux routiers,
ferroviaires et eleclriques continentaux· pour .l'exploitation des ressources
naturelles de l'Afrique ~i a dRs projets de co.ractere regional, en particulier dans
Ie domaine des industries des biens d'equipement.
99.
L'execution o.~ Pl·".Jjsi~:;.: d\.11ciust:r.i0:": de bah!.,::; eL des biens d'equipement
necessitera Ie lancement d'un important programme de CTPD (cooperation technique
entre pays en deyeloppement) aux nivea.ux sQtls-n§:gional et regional.
50US-PROGRAMiVlE 10 :
a)
PLANIFICATION, MISE EN VALEUR E1' l'TILISATION DES
RE;;;SOl'RCES llUMAItiES
Textes portant autorisation des tl'aY1l.tlx
100.
Les textes portant autorisation des travaux de ce sous-programme sont la
resolution 43/219 de l'Assemblee general" et Ie rapport adr"sRe par la cinquieme
Commission a l'A~sembIee pV§niere tel qu'il figure dans l'annexe au document
A/C.5/43/CRP.4, "insi que les resolutions -495 (XIX), 5-±6 {XXi, 569 (XXII, 614 (XXII),
631 (XXIII), 633 (XXIII), et 644 (XXIII) de la Conference des ministres de Ill. CEA.
i)
101.
Ob jectifs des organes intergouvernementaux
Les objectifs au niveau intergouvernemental consistent
a.
promouYoir
:;:/E'~',\/,"D HO'~.~!TP/J
Pag,' 35
dcveloPPf'm',:.:nt
n~l t'iC~l,-tl~~; f
eCOTIOInlque
t.li 'ClC'i_~ d,=-~: l~'-"
bUlr:our e~- n~'C.'ef:~:~a,ir8~_: .3. Lin
t-::t ~oci,,-~l i.iccel'?n:~ rians tout', le:s sec:-;:eul'S de l'ec'Jnomie
t
Le rt'oi:'oI""C'n1f'pt d~·'s ca,pw::it<.::s :?C 1 '. 11 "l'- LC") r :-:'ic :lti'Jn, lr'.. mi~:;(' :';-!: vEth~>.tr
-b J
et l'utili.<.;ati·.:m d(~s
r<:::f; ':.(-u r\>.' ~~ \1. -J 'I.,~ : r,l." 3 c'n 'Vl':C d' c ~):,i ·lL:,~~8.' l...J cor~tr_~ t.
ressou.t·CC:':; .::il .• d(·Y~l-:;r..:'p(:,:,~nvn'·. sc::::i()-(~(',-.';:')lr:ic·',·: d;o· .1:.11; rl'_:qlJ~~ .
'-' bot; des dit,es
.,
(>:<1 J·~,;';C':j·. '-\'.!l'er l't t5Y8I.tJ.eJ: h-.'urE politiqL!CS et pl'ogrEtmmes de
p]anific:-",tion. d,· rrl;2:~' .. n '-.-!.l'_ul' '2t d\ltillsatior: J: .....: ; l'e~_;:;o~u'c>_~~: hUfn::LiIlf3 '::'L >,'-uc de
faire des r'T"p'..JGICOn3 l~oLcn::'tc's pour l'dabol'utio!l el·· p01lti(tue;~ ,,-:;t r;:,.I'o';;ra.mnH-);:: phlS
-pertinO;:-;tt:.:.; ,ie~-..:t.l~':"S
;.,'i.tjsf~~irc: lei be3.)-~nS .:.~n ~':"!~-~ti~:~'~e Jc dj~yp.k)rt)2r::lcnt nd~iona1;
planii'lcc::UCJIl "t i~ut~LsJ.tj_~)n ct'~· let moin-rj'o'~·U\~~
1'har;r•. ~)ni::;atlon "t Lt coe'rdind;-,lO;) ~;n l.:~ m:.1U(~~ '_':
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ma.tif'~·2
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102.
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,)l'),CnU-: . ',- r;;:;
pro;:::- ..;lmmer
matjf:J"~' ~.
;ci:::n tiflques. techniquec et U:'"C!lllOlc,Lqncs.
:\t:~~:~;i lr- i)OI;1bl'(' ce:::- C:10HlE:lT2 p;~rmi
Ie':' ;;oTli::nLs '"~L>~, c;."'~:.e'3 pri:-nairp et seCondc.Ll:~E.'
[:v'~\~~31 blcf (_lllc..' 1(',::, diplomes
dJuni'.~e!>~~~
l(~rnr'?'l la penU:'ie c:: )""·l~L-.:i·!)eUvre
spi:ci3.Jisee c-t bautt~mc'nt i]l;~lih,:,'(~ (~O'lt~r:n~: d-: ::-~ I~.l \.1" ~;r,C::;.~I.' " ..-, ':~1)i ,1.T:!c-ne de plus en
[Jill{5 ':p~, T-:',:.1',t;1 co!-'~'12airH: :_';. L.t:>'· ~-~n,::o:::; ;i:.'['_V'~'
·:'.ppi~'':'
p(trticuJi'~l' d iJ~~.; l·-·~" (.L)ma:LnC'·,,dP.~lt,fiq'Li':'--'~' t,-·('hlli~-;'~(:'f': .~~. t.",~',h:'1,)'h;!'i'.(:1"'>s '2t pour
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E/ECA/ AD HOC."ITPh\
Page 36
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de:-: p~,·l_'~ ..'[:..rnme::i 1'1. ~ '" J l;,nrf~c:.\-_\,,·n Ot" :'1 .. , l"O-. _;';~1. 1':: et
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-X:-~'CU~lon
l'accent
et sur
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l'epineuse
relatiJ au
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d l"Lf"l
17:_1,;::; .\\.1. menn::;. ;l.ul'Llient l'~e~<"-1.mine (~t 0-\lalu~' h-~ur mecanisme
•.:oIl maL(?i'C ci;~ m_:i-:'.f\-c_}oPU'i:"'(- ::-1.. ~o,tcd-:;:i au relancc '::::E.' m~canisn~e pour
L'U CU1<
l'Larmonisn'tiC:h '-:::t la coordination de la ;nise (~r~
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hum:.:inf'::',.
:,:n
':)lJt;,~e,
--:'-,-lleul·,'
des
reSSI)Ul'CE;t:-,
humaines,
,:.hJ.rg{: d,:', 1a mi~;~ <:.'n v::.letu' (.{ d.e l~utiLsation
les ~ta.blb.sements d!ensei~~n('ment superieur
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 37
au niveau national et les instit"ubons p3.rrainer::s par Is CEA nux niveaux sousregional et regional auraient revitalise leur role dans la production de maind'oeuvre specialisee et quaUfiee pour Ie redressement socio-economique de
I'Afrique, notamment dans les domaines de la science, de I'informatique et de la
technologie industriel!e, de la conception et de I'evaluation des programmes, des
services de c:msultant, etc ..
ii 1
Periode 1992-1997
111.
Les activites au titr() de ce sOlls-programme consisteront en des mesures et
des strategies destinees a aider les Etats membres dans la planification, la
conception, la gestion, Ie 8uivi ~t 1't~valu3.tion en matiere de mise en valeur et
d'utilisation des res sources hurnaines et revetiront les formes suivantes :
a)
stages de formation, seminaires et conferences aux niveaux national,
sOlls-regional et regional a l'intention des cadres gouvernementaux et du personnel
des secteurs prive et semi-public;
b1
services consultatifs aupres des Etats membres afin de les conseiller
quant a la planific[ttion de la main-d'oeuvre et de I'emploi, a 1a creation/relance du
mecanisme institutionnel pour h mise en valeur et I'utilisation des res sources
humaines et a. I'evaluation d-es programmes d'enseignement et de formation; et
c)
etudes sur l'etat, la mise en valeur et l'utilisation des res sources
humaines dans les pa~cs africains et examen de ces etudes a des conferences et
seminaires regionaux et Sous-!'egionaux.
112.
Les efforts SA pourRuiyrai_ent ''lfin d~dttirer dans Ie continent les Africalns
travaillant dans les pays developpes grace:
al
it I'intensification du programme conjoint CEA/CIH pour Ie retour des
competences en Afrique; et
b)
a la mise en place de programmes de formation de main-d'oeuvre
specialisee dans les etablissements africains etant donne que la. formation a
l'exterieur s'est revelee etl'e l'une des causes de l'exode des competences.
113.
De
meme,
une
attf'ntion
particuliere
sera consacree aux
domaines
de
l'enseignement et de la formaLion par 1a fourniture de services consultatifs aux
Etats membres et l'execution de tra:vaux de recherche sur la mise au point et
l'evaluation de programmes d 'enseignement, l'institutionnalisation des services de
consultants locaux et sur I" pl'oduction de manuels et de materiel pedagogiques.
Les Etnts membrE:-s seront egalement aides a elaborer des programmes
d'ense-ignement de type non scolaire pour completer au renforcel' l'enseignement
classique dans la production de main-d 'oeuvre qua!ifiee. Cet objectif sera atteint
grace a l'organisation de stages et de seruinaires nationaux au cours desquels des
mesures et strategies appropriees seront examinees et formulees. De surcl'oit, des
publications techniques pour 1" diffusion des idees, des ',onnaissances, des
informations, des resultats des recherches, des techniques novatric~s en matiere
d'enseignement, de formation et d'utilisation des ressources humaines ainsi que sur
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 38
l'elaboration et l'ev<.llunti.c'I d,<:~. Pl'C6~~,J.Wr,::2S seront produitps et largcment
diffusees aupres de diverse,; institutions et des gouvernf'ments dans les pays
membres. On s'efforcera. egalement d'evaluer les lncidences du programme de mi:::;e
en valeur et d 'utilisation des reSSQurces hurnaines de la CEA au r:ourE: de In periode
d'execution du piA.n en mcnallt des evaluations de ce programme dans certains
pays africains.
SODS-PROGRAMME 11:
a)
DEVELOPPEMENT SOCIAL EN AFRIQUE
Textes port-ant autorisation lies
tra\Tau~
114.
Les textes portant autorisation des travaux de ce sous-programme sont les
suivants : resolutions 609 (XXII) et 631 (XXIII; de la Conference des ministres de
la CEA; resolutions ci-apres de l'Assemblee generale : 5-13/2 annexe, 39/26
(paragraphes 7 et 9), 40/17 (paragraphes 1 ct 21. 40/31 (paragraphe 13), 40/32
(paragraphe 10), 40/33 ipara"raphes 10 et 13), 40/34 (paragraphes 5 et 9), 40/35
(paragraphe 4), .)1/97 iparagraprles 2 et 41, '11/98 (paragraphes 1 et 2), 41/99,
41/107 (paragraph" 2), 41/149 (paragraphe 9), ·12/64 (paragraphes 2 et 3), 42/55
(paragraphes 1,2 et 31, 42/58 (paragraphes 7, 8 ct 111, 42/59 (paragraphes 2, 4
et 9), 43/93 (paragraphes 8, 10 et 151, 43jq4 Iparagraph"s 1, 2 et 3), 43/98
(paragraphes 3 et 6) et ·1.)/99 i paragraphes G d 8); resolutions ci-dessous du
Canseil cconollliqu<, et socinl : 1985/35 (paragraphes 1 et 3), 1986/13 (paragraphe
2), 198G/10, 1980/16 (paragraphes 1, 2 et 3), 1987j,P iparagraphes 2 et 31,1987/51
(paragraphe 2), 198.3/11 (paragraphe 2), 1988/44 (paragraphe G) et 1988/45
(paragraphe 3).
bI
Ob iec.tifs
i)
Db jectifs des or ganes intergouvernementaux
115. Promouvoir l'elabol'atjon, l'adoption et i'application de politiqnes, programmes,
strategies et services approprit~s pour nne integration ct u ne participation efficaces
des jeunes, des handicapes ct des ptTSOnnes agees au processus de developpernent,
ce en vue de la prevention du crime et de 1a delinquance juvenile ainsi que de
l'administration de 1.'1 justice p6nale.
iii
Objectifs rill secl'eLario.l
116. Soutenil' les efforts des Etab membl'cs en les aidant dans la conception,
l'application et l'evalualiofl de politiques, programmes, strategies et services
appropries pour une integration el une participation efficaces des jeunes, des
handicapes et des 'per-sonnes a.9.ees a la vie soclale ct economique en vue d'une
prevcntion efficace du crime et. de la d6;inquancc juvenile ainsi que de
l'administration de la justice penale dans Ie contexte du developpement national
global.
c)
Problemes traites
117. Les projections demographiques indiquent que la proportion des jeunes dans
la population des pays africains depasseJ'a de loin d'id a la fin du siecle Ie taux
EjECA/AD HOC.MTPj9
Page 39
actuellement estime de 20 %, ce qui rien0te 1a jeuness~ de la population arricaine.
II res sort des donnees disponibles que les meSures prises jusqu'ici en matiere de
politiques et programmes pour faire face aux besoins, aux aspirations eL aux
pl'oblemes des jeunes dans la region sont loin d'ih:re suffisantes. En consequence,
Ie chomage, Ie sous-emplo; et l'analphabetisme des jeunes, I'exode rural. la
delinquance et 18 criminalite juveniles sont toujours en hausse dans Ja plupart des
pays africains. La crise economiqu(:'; et socjale des annees 80 a aggra,"e cette
situation et a rendu la jeunesse beaucoup piu~ ,"uln<irable. Aussi convient-il
d'appliquer des politiques et programmes opportuns et, equilibres afin de reduil'e
au minimum 18 gaspilla~e de l'eSF.ources humain€;s du reservoir largemont inexploite
de l'Afrique.
118.
On denombrc en Afrique environ 50 millions de cas d'invalidite.
Les
programme~ inadequats de soins et de p"ervicez de sante pl'imaire, les epidemies, Ia
malnutrition, la faim et 1a famine, les catastrophes natUt'elles, les atteintes
l'environnement y compris dh-el~ses formes dY:1C',:;iC!. 'nt:::t les conflits arme.s, les
guer:::'es civiles et les guerres de liberation Bont Bll 1l0l:ubl'e des causes principales
de l'invalidite et de seB sequelles. Des mE'sures efficaces s'lmposent done pour
prevenir Ies cas d'invalidite, pour la. reeducation des personnes nandicapees et
pour lea faire particlper et les integrer davantage a 10. '.'ie sociale et econorniqne
de leur pays.
a
1196
Dans la familie africaine traditionnelle, les personnes iigees jouissent du
respect et ant une position privilegiee dans la societe. Toutefois, Ie processus de
modernisation,
('3racterlse
par
des
fact,E:urs
teis
que
l'urbanisation,
l'industrialisation, Ie rythme eleve dE" la migration des campagnes vers le3 yilles,
l'evolution des structures sociaif:s et Pavenement de la. famille nucleaire, est en
train de modifier progressivement cette position 2xceptionnelle des personnas agees
dans la societe* Cependant, la situatlcIl demographiqlle, sociale eL economique de
la population
en pleine croissance dans les payg africains est pen connUe.
Des mesures s'imposent cet egard pour permettre de planifiel' et d'appliquer des
politiques et programme;" 1't1'prol'ries.
a
120. Les taux croissants de 10. criminalite, tant de type cla.:;sique qUe sous ses
formes nouvelles, representent une grave menace au bien-etr0 E·conomique et social
des P{3,YS africains. Outre qu 'elle amoindrit 1:1 ql(alite de la ....-ic, la Griminallte gene,
voire reduit a neant. certains des acqui2; du deYt~l()ppement. Gherement payes par
l'Afrique. De ce f('l,it, deR politiques et programm~~s c)pportuns ct appropries da,ns
le domaine de la prevention du crimE' E'L dE, l'adlllinistrati"n de Ia justice penale sont
indispensab les.
dl
"SLrab"gie
il
POUI'
Situation
]a
period",
a la fin
lQ~f:-1997.
de 1991
121.
II est escompte que d'ici it 1991, les chides, seminaires, servic:es consultatifs
et r~unions organjses par 12 secretariat pour traib.H' lE::s questions que constituent
la jeuncsse, l'invalidite, Ie vieillissement ains.i que In pl'ever,tion du crime et la
justice penale auront donn" une idee de la situation des ,]eunes dans 1,,8 campagnes
comme dans If'S villes, de I'etendue de la delinquance ju'enile et de ses
E/ECA/AD HOC,MTP/9
Page 40
consequences sociales et economiques, des causes, des types et de l'ampleur des
handicaps et de l'invalidite dans les pays africains, de la disponibiHte
d'institutions, d'installations et de services pour lei; ha:ldicapes et les personnes
age-es, des politiques et mesures existantes au .nh-eau national en matiere de
pre\-ention du crime et de justice pena~e ainsi que de l'incidence de la criminalite
sur Ie developpement social et economlque des pays africains, Etant donne que ces
questions n 'auraient pas t~te suffisamment traitees, les pays africains ant toujours
besoin d 'une assistance dans la conc~ption de mesures d'intervention app:ropriees.
ii i
?'~riodc
1992-1 ~~j'
122. Afin d'atteindre les objectifs declares dE: ce SOlls-programme, un certain
nombre d 'activites seront entreprises clonl les suiv-antes:
a)
R.ec.hp'l'che
orientt~f~
verB
l'action
PTl
-Vll~
de
111
formulation,
fie
l'applica.tion et de l'evaluatlon de politiques, prO?~r,mmes, strategies et services
sociaux efficaccs -2t appropries a~'-ant trait a la jeunesse, a la prevention du crime
et a la justice penale. aux invalides et aux personnes agees;
b)
COllI'S de formation. ateliel's~ seminaires J r6uniolls d 'experts, voyages
d'Stude, reunions constituant des in::,;tances pOUt' l\~change d'idees et de donnees
d'experience el pour la formulabon d'2 .strategies COD1lr,Unes;
c}
Appui a l.q cri'ation ~t au renforcement .':lU plan national des
organisations, associations, orgaDo:!s et structures de coordinatio:!1 approprie:'3:
d)
Services consultatifs techniques .'lUX Etats membres aill1 de les aider
dans la formulation, Fappl-Lcation ~~t i'c.valuation de politiques, programmes et
seryices sociaux approprieg dans le domaiYle de la jeunes;:,e, de ],'l prevention du
crime et de la jllstice penale, ainsi qu'a l'intention des handicapes et des personnes
agees;
ei
directeurs:
Publication de rapport.s technique:,;, de repertoires et de principcs
f)
PromotJon d{:~ strategies communes et de la cooperation, sout.ien
techniqus aux institutions regionales telles que l'lnstltut africain de reeducation
et l'Institut regional africain pour 1a prevention dll crime et 1E: traitement des
delinquant~ (UNAFRl) grace a de.s activites operaLionnelles. et cooperation dVec ces
institutions; et
g)
Services de publicite et d'informadon,
SOUS-PROGRAMHE 12
a)
SYSTEHES D'lNFORHATlON POlm LE DEVELOPPEHENT EN
,-\FHIQUE
Textes portant <1utorisation dps trayClUX
123.
Les textes portant autorisation des trav3UX dt-~ ce sous-programme sont les
resolutions ~i-apres de la "ommission : 53·. lX:\), 581 (XXI), 600 (XXII) et 668 (XXIV),
E/ECAI AD HOC.MTP /9
Pag'p. 111
h)
12 L
nUffil)riquL's pelL!' 6L\..Jckab;_~ ':.'. C;1."l L . . iJLi ,j~, 11_ni'(Jrnl,~:\.t:011 ;:-)u1' i\":: J.e'l •.::~lc.,pf')(;rrll-'TJ'l aU}i
fins d·~chan;.;E"s d'informa;:io::..:--, a-",-f'\...' les Etats jTjt-';,nbJ"~s; f~J.r lj(~l> .Ll >::-l's-~)f!n'_~l de-s
Etats memtrc-;:: d~_;n
1-':1 ;:,':' ~bon Lnfoi't:.';lr,i;: E':" co.:; ,jo (dh"'\:'; E:. :;::.Ul' lr-~ ,-1e\-~l')Pl-,ellleHt; 3.H1e1'
k:--. jn~-_~~ltl.\tjf)ll.-:: ~;;·,)1L:;:'*·l·~:~S'L:Jll.ii:~~. t:t l'egional,--":,:; :~., :ntrod ..dre et l
Uti1.i:::-~E r de.?':::: n-·(~th(:;r~(:~ r:,":-I.!;~ITl'_ 2 6,·,::, lr~;,itp[\lent ~,t d,-· diffll~ic'n_ 1,:, r,:in,"Ol'p.1.1.tion; et
m.::·tt~~~-~ <:111 P')U',r. '-.:1
,;l\'·UU1·a~(-~r raCCt'pt3.ticn Qt': C'~it~'rE'::_: ,,-,t de riOl':n'-;s lA2'Ur
l'hal'IT1on saL.!:.)I; ct,_ ki. ,J-:~~< ir\H?'n~,ahotl et. d'-, rLn['o~'rr"di~l(::'l ~:;ur 1c cie"\.c,loPPPIUcnt.
le~; EVlts IIIemb~'!-:!~",.
;',ec' crlt'l'{'\j 'J; :::, -, ;;-; l ia ri.£li:a!~eur'-:: r:~_lt':.:. i,'e:;;,porJ.s;'1.bl(--~-~ dali~' les Et.:lts Tll(;E1br-es
);;\;1 'Jt,_on:
~:('u~'--reglonal,:.'s (-!l ] ..:~r~ionh}('~"" de oe-ve_lcppement ne
i ''.In °wc;:;~_ i' .cil(~
1'infcrm:li.ic'i dont it::' (;nt. b~"SOlrl [,(JUt' la
pl-~~n~h~~-:;!-;,)''''\ dlJ ',~(v-;_'L}'1Y" '::JV"":'::
':',1I1SE' r,o'.-_;:_rn:"'''~'Ji~
.-!(: la P('ll'.J!'it ~~(: p(:rs f )nnel
qU(1.1ifL<; ,:i;-;l.~i.I~ I:) :5'-::Sl j'lll (Ie ,I )Ltd ;_Tt'TIlation, des methl)d~'3 Derim(;;'?:[-·, dl::' t;'ait.e!nt'n~ et de
12;).
qiJ>?' h:"
dis-pose]';t ~~\~"
BIn8l
~l.:.ffu2-io~l
'_lE" '!'-;r,f()j'~l:: .... /") cl d"" !'~;lb3' r<
(L
t'rn~(-;'rc-:.,
;"L. ~J:'
:"1u:.'n::.2S pour
l'h.irmonisi:tt_ic·) \_k~ J-- d,)c;Unl":ntdtk'n ,:;t ,.12 J'infor-matinr :;ur 1,--;> .-ievplc:ppenIent. Tout
ceci d,:)il {~~,1~"-_: ~'·'->;jta:·.;,· J"'LY: L· cO;1'1 (-x1(;. dl~ 1\~\- <!lll-JOt! ;"lp'dt:' jr' t:-'t LechnologiE.' Of::
1
rinfor111atiun
:lU
~:'\
n-:'Jl:dl:.A.l
r[;ve;:-.l.H
,te- ·;.:.n
:,__
~'iL2 ;~~C1CP;,l()!; p.;lX
l'Afriquf'.
1;
B8aucoup d 'act~\--it::.-',-; de r_~.:-~.rli.\·w~Jti:-;-i. (Iu \l~'\-':"iopp~ment. c-':::;Ltil':ueror,t d er,re
,ian lC<, Lta~,3 ffiC (_C:'-, !'( :~; a!'ri(';al~~; \-;;}:l;;.> C-:)flnr-',?,":- f't i.nf:)rm·ltio~,s suffisant8~;;
d[~ns h. plupal't ~e -C_'.: ~;'1,
:_i-~,)dc,?, r;::'1:\.- ;'-0.('
,~t.r~i~~:t-Tj(~(ll dt: "information
.:\ Ie::. moy(::ns H-I"-'cani',_!lh:'S de dlt"fus _ bn de !'inf0rmatiO!) Gont.JtluE:'l'onl j"etxe utilises.
12G.
lDfC>npeS
f"(
Cr: "l:_:J.1.A~·''l ~\'--,nn-.- ,l'i'
l';,nforna-ci,)Y'.
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1
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'i'lL:::. dd.n::: ;1".-: :l1f(jl(H.ie~: :utl'm;lti~~9'e.:-, c;'p ges-jon d('
Ln- '-:"i~r-~:_:l_",-:z- r'Cl'" ~(:' "_,,::,(';!)(nr. de l'';'ni'o1'mation
!Jsal?_(~.
i,.-.. contl-ixtt:
lLlquE::jJf:;
U.
11
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~;a:t;J.Jricain
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h n,-:,lo1S-iE:: d:-~ r inform3.tion~
\It-S hl'3Lil\1~iuns n{;ltionah~s, ~,ou:.-r(;'gionaies pi
t·,.(:~1r.j4.Le~,
(Iv, t:r;j>..;en~:n;, ClF'..; :'~0nnep:" ~n_L::L·md.li3eee,
·-~t JeE, mt~t.hod;---,i,).c;j-~:-. ,t_ l'utijis(.::l,tlor, j:l 1'· _ ;~;e(--l.,_t du P.A.DIS;
l'hlrm:)r.isatiun de::- ;-}Cl'"!'!'kS
E/ECA/ AD HOC.MTP IS
31.1j' It: oeveloppemc·nt oUCIQ-eCOnonnq u.:;o c'n Afr'_'] ue. f-l: ut] Ll.:;;ant urle
l'infcr!l~a1.jc\n '-"dW~\l'.)rF~~ nout' un o?" ht:":::c'-.'.'~ ,·rir,f'CiJ"n1e,t I,)!'"l:: '3-·/f.C 1<:'"?
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-~Ui)I''':;:,; l_~C::::', \.r~ills:J.h_ltl·;c
diffu:-io,)
.Lt'tus,C'ri l~e_'~lo':~~(l;:':
c!
"-~.:-\Hl,; -'~'-'m. !":tiO G":; L.J.r~,_;'3 j(
,':
donn~'t~'.;; ~t U'<:lIJtr<':"'3. ~}t"c,dui~,G ,k· !"inf(H~8i.;.tion i'-~ST",S _~'i'"-:' c,"1,se,_ d~:· dQnll..{~':s jont
lett!":
lr:
C.~2J'-\'C.lj:
"i
PAULS; et
f"
A,,:L'--:.~~c"·s t:r ~(\~)pf-'rLlt .:)~;
:'-h?1jq~_U"
C',-~ 'p"s j';t.:l+-.S nY~'n';;re':"_ pour 1123
aider i::\ ,~m(:l.i\Jrel' 1'-L ;.:;psticr't j,,~ ~';llf()r~llaUOil ;J .Jr 1·, d~~,- ·.:lo3.:·pemenL a:J.ssi bien J-,our
Ie devekpI-J<=;111P!It. l~ t·.)r,,'zJ ~'llH~: pC".: <1e--::: dr)i::·_tlr.·.:':o '·f'-;_GJ'il_:J.il"~:;: 81y~cjfi(tlt'2~ commf" celu.i
11\1 rC/tf:' tiP li:::1 f~·[!,n,8 u:,r~~:. le- .i ·1'·,,'lc;Yi:'.fCf'l(·,n[,
sous- P);OGhA'jNE
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n~~.i,t'l'~.:lk:::"
la
et
l;'~O'fl,)n',_' :UC. :i\::t iJ.Ji(;~
.)
l:':"H!r';'Ji\
2vHeu ::t~van;
ITt,,! t;J.pre.s
!--,l' .. dt
-lU
L.> ':'.,ct:y:t!..--:>. ,h"' ~l'
·:.,ont.l'c· ia ~jollutiorl, pn particulier
mOUYE"mo::-nf' transfrontalier dE'S dpchets dcmgereux c,t des
'!'{.,
pc'r.:e ~'ltie lle'!"~'!(> n t. ~()A= '1 L~~-'"S.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 43
ii)
Ob jectifs du zecretnrinl
130.
Les objectifs du secretariat consistent i'>. aider les Etats membres it elaborer
et renforcer, aux niveaux nationa.l, sOlls-regional et regional, les capacites
necessaires POlll' la gestion. revaluation et la conservation de l'environnement.
L'accent sera mis sur Ie developpement des moyens insti'tutionnels et en maind'oeuvre, y compris les principes d'action: les mecanlsmes legislatirs et
administratifs pour une gestion ratioDnelle de l'el1vironnement et 1a conservation
des ressources naturelles, la \utte contre la pollution et la promotion de la prise de
conscience en matiere d 'environnement.
131.
Les evenements sur-venus au cours des 10 dernieres annees en Afrique secheresse, desertification et recemment deversement de dechets dangereux - ont
mis en excrguc 1'importancc de la gcstion -.:]" ~. -'"lvironnement en VUE> d'un
developpemetJt ecologiquernent l'ationnel et durable. Les Etals membres ont exprime,
pe.. r les diverses resolutions susmentionnees, l'urgente necessite d'une assistance
pour Ie developpement des capacites nationaj,es, sous-regionales et regionales en
vue d'appliquer des programmes visant it realiser un developpement durable par
une geslion saine du point de vU,e dE.' l'cnvironnement.
i)
.s.ituation it la fin de 19;}1
132.
A la fin de 1.991. Ie niveau de l'activite en matiere d 'environnement se sera
considerablement eleve par suite de l'assistance fournie aux Etats membres, en
collaboration avec les organisme~ des _"lations Unies et d'R.utres organisations
internationales operant dans les questions d'environnen-lent en Afrique, en
particuliel' dans les domaines ci-apreE :
a)
Cooperation technique pour developper Ips
d"environnement, notamment les moyens en rnain-d:oeuvl'e;
moyens
en
matiere
b)
Evaluation et 15estion de l!environnement eu egal~d aux inci.dences sur
lui du developpement. et de ]'utilisation des ressonrces naturelles, et lutte cont!'e
la pollution.
133.
Durant la periode 1992-1997, des services consultatifs, des ateliers, des
seminaires et, si possible, des bourses et des vo:;.'ages d;etude £E~ront arranges a
l'intcntion des responsables el des decideurs afin de les aider a mettrf: au point
et/oH renforcer les capacites de 'leur pa.;v--s da-nR Ie domaine d~ la gestion, de
l'evaluation et de 1a conservation de l'r'n\~ironnement, en vue d'un developpemenL
durable.
Des publications et des rapports d'actiyite seront elabore~ afin de
promouvoir une prise de cOllscienc,e dec~ questions d'environnernent.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 44
134.
En outre, des etudes seront effectuees et d'autres etudes sur Ie terrain
seront menees dans Ie domalne de la gestion et de la conservation des ressources
natureiles ainsi que de la Iutte c~ntre la pollution. Ces activites viseront a etablir
des principes directeurs en vue de I'elaboration d'etudes sur les incidences des
activites de developpem'?-nt SllJ.' l'errv·h~onnement.
SODS-PROGRAMME 14 : ETABLISSEMENTS HU!'L.',Il-i3 EN .WRIQUE
a)
J'extes portant autorisation des travaux
135.
Les textes portant a utorisation des travaux de ce sous-programme sont les
resolutions 32/162 et 42/191 de l'Assemblee generale, les resolutions 316 (XlIII et
408 (XYII de la Commission ainsi que la J·esolulion ,sur les etablissements humains
adoptee par Ia quatrieme reunion du Comite regional i:r.1tergouvernemental mixte
des etablissements humains et de l'environnement et ies recommandations de la
cinquieme reunion du meme Comite.
i)
136.
.Qb jectifs des organes intergouvernementaux
Les objectifs de ce sOlls-programme au niveau intel'gouvernemental sont :
a)
Promouvoir Ie developpement d'une ba.se de donnees sur les questions
de developpement des etablissements humains;
b)
PromouYoir ]a transformation rurale et amelioi'e!" la qualite de la vie et
Ie cadre de vie des poplliations;
c)
membres;
Renforcer et developper des programmes de formation dans les Etats
dI
Formuier des politiques, des programmes et des projets pour corriger
les disparites existant entre les .zones urbaines ct les zones rurales et accelerer
l'integration de l'economie rurale dans Ie proceSSllR national de developpement
economique;
e)
Preparer et executer des projets de logement en vue d'accelerer la
mise en oeuvre de la Strategie mondiale dll loge-ment jusqu'a 1'an 2000;
f)
Promouvoir Ie developpement et 1a gestion efficace du sectf~ur de 1a
construction au niveau national, notamment 1.:1. production de materiaux de
construction locaux dans un enYll'onnement administratif et financier propice
snsceptible d'attir'?r des capitaux dans ce secteur;
g)
Mobiliser des ressources pour l'eXecLtiAu.1l de programmes et de pro jets
sur les etablissements humains et pour la planification et la conceptlOn de
I'infrastructure en Afrique.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 45
137.
Aider les Etnts membres ninsi que des organisations et des institutions a
formuler et a mettre en oeuvre des politiques, des programmes et des projets
coherents au niveall regi.onal afin 1.1 'assurer:
al
enclaves
b)
La decentralisation des activites econGmiques et la restructuration des
rurales~
L'affectation de ressources plus importantes au secteur rural pour la
fourniture d'installations et de services en rapport avec 1" role de soutien que Ie
milieu rural devrait jauer dans ]'economie naticnale;
c)
L'integration Of'- ]'er:onomie rUT ale dans Ie processus de developpement
global qui mettra en lumiere la fonction de zones l'urales specifiques dans Ie plan
de developpement global et done l'emplacement et Ie type d·infrastructures et de
service-s a foui~nir ainsi que lcs rcssources a affecter tt ]'arriere-pays rural;
d1
La creatopm et/ou Ie renforcement du secteur de la construction local,
dont In. mise au point de Illl:tt~riaux de construction locaux dans un cadre
administratif et financier decentralise susceptible d'intensifier la participation du
secteur prive et de la pOPlllation locale a la fourniture d'infrastructures et de
services;
e)
La promotion d 'un environnement propice en conformite avec la
Strategie mondiale dll logement Jusqll'a ran 2000;
f)
L\~chf1.ngp syst€m<1ti.qll{~ d'lnformations et de donnees d'experience
entre les Etats mem bres dans Ie domaine elu domaine du developpement des
etablissement3 humains.
138. En outre, Ie secretariat aidera les Ctats membres a mobihser les ressources
pour I'execution de programmes et de projets en matiere d'etablissements humains
ainsi que pour la coordination du deve]oppemenL de leurs programmes de formation
dans Ie domaine de I'amenagement dll territoire et de la gestion et des techniques
de construction.
c1
Pl'oblemes traites
139.
En raison de la situation economique defavorable et du manque d'amenageurs
et de personnel qualifies, la situation actuelle des etablissements humains dans les
pays africains ne devrait pas beaucoup evoluer d'ici Ie debut de la periode du plan.
140.
La penurie d'infrastructures et de services en milieu rural et la
concentration du processus de prise de decis]OnR dans les capitales ant provoque
un exode rural massif. La faiblesse d2 la dc-nsite demographique et la dispersion
du mode d'habitat dans les zones l'lJrales d'Afrique qui en ont resulte sont en
grande partie responsables df> la baiss(> de la productivite. L'economie rurale a
ain~i ete isoh~e du processus global du developpement national. Simultnncment, les
villes et les principales agglomerations ont connu un surpeuplement et des
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 46
conditions de vie tamentab12~..
Lf' ch6rr,agf') ie ~,'.ou:;.--emplol, et. la penurie de
ressources ont empeche If's autorites municipales de s'occuper de la fourniture de
l'infrastructu.re et des services. La conjonction des manx u:cbains ct des privations
rurales affeeLe toutes les couches sociales de la plupart des pays africains et
reduit a neant tOllS les efforts de develQPpement.
Le manque de pel'sonnel qualifie dans le domaine de l'amenagement du
et des ser,·~ic-es de vulgarisation pour la mise en oeuvre des activites
prevues constitue une contrainte majeure au processus de developpement en
Afrique.
141.
territoir~
dI
Stra.tede
iI
POll l'
1a periode
1992~ 1997
Situation it la fin de 1991
142.
Taus les pays africaine ont certes elabor? des programmes relatifs aux
etablissements humains, mais ils ont cependant neglige J'amenagement integre du
territoire. La complementarite entre les secteurs rural et urbain n 'a pas ete mise
en relief.
L'economie urbaine est pre~que entierement dependante des biens
manufactures et des. services ainsi que de competence::; et de facteurs de production
importes pour les biens de consommation produits sur place. La dependance it
l'egard d'entreprises de construd;cm et d'expcrts etrangers a rendu plus difficiJe
l'action de transformation rurale et de renouveau urbain.
143,
L'ecr'lsante mHjot'ite de la population vile et continuera de vivre en milieu
rural au ]es matieres premieres et les potentialit~s agricoles res tent encore
incxploitees.
La population rurale est en marge du processus general de
developpempnt prIis.0,'t 1 f2 1.'1 JxS.'1.urir: '.i'infraslructures et de services la prive de
marches pour ecoulel' sa production et satisfaire ses besoins les plus urgents.
L'enclavement de l'economie qui en resulte est en grande pal'tie responsable de la
mediocrit.e des eesultats economiq ues de la majl1l'ite des pays africains.
144, La Strategie mondiale du logement jusqu'a l'an 2000 aura aide les Etats
membres a. formuler des strategies, des programmes et des projets en matiere de
logernent jusqu 'a Fan 2000.
145. Cependant, l'insuffisance de services et d'institutions de formation pour
l'amenagement du territoirp pt Ie secteu]" de la construcLion est un obstacle majeur
it la capacite des Etats membres ii amenager leurs territoires de fa«on coherente et
it executer des projets de transformation rurale et de renouveau urbain de fa«on
efficace. Le manque cl" personnel qualifle constiluera egalement un obstacle majeur
la mise en oeuvre de la Strategie mandiale du logenwnt jusqu'it l'an 2000.
a
ji)
146.
Periodc
1992~ 1997
Les activites seront essentiellement axees sur:
a)
L'organisation d'ateliersj la fOU1~niture, SUI' demande, de services
consultatifs, 1a preparation d'etudes, de rapports et de pu·blications techniques en
vue d'aider les Etats membres it formuler et a ex"cuter des politiques, des
prngramrnes et dc-s
pr~!j~"r"s 3Ut' 1:'::::(n,:'nag'0uH'nt ,~;_~
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judicieu;,.J,? de<, ac;jy
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d\rtstltutj'Jl1S
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d'cxpf>denc<: F::t des inJOrTrt,lLicl"[18 I'L'(~Clt::I.l~-;·":">'::_••
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147.
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niveaux nation'~Ll, ~.;,()u;,::-n·:lK'n..;,:<: pc.
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arr'clicI'er 1"2 r{\'2.111~':'dU; du .;;("('1- 1,1;" ~0(~tU',,;_-· ..... : ,_-_'_~i :h-\ ",L ,~()lk:' ~L -ci.c:' <ie· I;f'.:"t,;"ur de
Ll ct'Gi;;~;,'J.n·";t; ;';,,, c--nll.'alT:er- 1.-.. . t;,~:·~nsfor!.l.3..t;Gr:.. ~1:t'1.:_c~_\_a'pjl..F' j,--;~-;;
.,\f ;"icdjnes;
J('S ''::i::•..l,'nc.it(:;s t,()ut j""i_L.. [,f)l.'l:'hJil d( Fuht'qu_;:'S,
s cL ute' plans
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1:.:- pr-??J .. ·-:~tj()n
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E/ECA/AD HOC.MTP(9
Page 48
industriels 113.tion,":UlX c:t l,H1~~']r;ftt~')!1,:'U~ petE' -. . 1 ;'_"_<f!:uj,J.Clun (/t l\.:rGan-:sation de
programmes de formdbon eD m3tic'l'f, ~(: :~'~·-)(it:·_'tic:n, ,jt-' gestion et de
commercialisatiGn; ~-:t,d.)lir de;..:; r!jJ~'_ ~uli[-m'2:s ·n~::.'~iT,'l_j\»lr,;'-:L~ ::~!)'):'op~_'t::~ '-"(; \~ue de
promouv"oir l~i r~·~habr'--lt:-1UC:~, ;~t L~, J"a_U().i1:-1:~ .. ;'~':i .;; ,:;.-::-~ -.. l-··'.ll"_:-::-·:;:: (_~\iE;tant.0s et 13.
creation d 'j nd u ,:Jxies de ba~'~ 'I d' ;i~;rd-i.:, J. I1S tri?'s ,--< 1:2 'lI'..:j L:;~~t des CUl ,:,sii~; J"es uV-ec des
liens soli des f.'ntrf:; SOll;:.!-3CCtCU;~~-:i il)d;lst~~i,;-Js ,---: _7.1C E-:- i_\:1duc:triE: E-::~ l~"-(:; autres
secteul'S a.u~~ ll.t"",,-·,::~u.:-,: nat.icnal1 ~()U~- ~'(,:~:i'::\L.:
,'-P'SluruJ; et promouvoir la
cooperati0n -i.nd1.Jstl';E'._lle I,:, ·:isveluJ_Jpenlcnt te::~linol()~iqUto) la maintenanCt? r~t 13. maind'oeu-vre techniqlF: f-'~~ irl'~I1;~'~l ;-211\-:"!,
l
149.
Aider lea ~'·.Ju v(:,rnt_'n~',::'rtf !::t 1<.:_':':; organjsalionr: ilp. .ergouvernemf.:!"tales a
de,:elopper ~t ,3. prolI;o'U'.'-oir l~f, ea}J:J.ci~\..\s dE' ±crm1l1-;l~jGr: dE' [!olitirJuf';" d'~ plans et
de stratcgiE-::'J iudustrieis ':'l,~\_t:::~ Sl~!,' la rf:haJ'dlita::iol"! indust::.'iellf-;, ]jam~lIoration de la
productiyitt; in,ju.31:ri.::::,'lL· f:l ls' l'aj-.lc·naIi:::.[:,jjun c..:.: Ja, ·;t.~~lJ.ctlj_l'E' iTldt:;;:,tl'io::lle existante;
promol.l\;--oi:::- d"'-:'$ progj:"qmm,_'~ c-L :J'~;':' f,)j'ojet:.' lndt_L:.:L·j~-_·!.-;;;, \ i::;ant ;~.t ~_~~e'~L' dE;~, il-ldustries
mecaniqu{'s de base 0..11.\ Li\-:-:;t{.l_t~·~ f1at.lona~ ,-,u rl~ullin.:-__ l.lO:-l':'.:; prOTW)UV(J;l' d(~s (',;J.pacites
techno]o~;i'_~Uo:-:8 (~t d·~ ~'?stiO[\ 'J\-:,n1re:t:ll·I.::-C;-; ~~p~~I:::-!r:-,.ll;-:rn'~nt l."!-..)ur l~l P'~tjLi? in_dustl'ic;
aider
12. '='l't;_~lt..-i·-:)n eL au 1·~:~llrcr·.·E,rr:errJ, d~inf;tit.'.1ticl'i·> :'::'~)llS-l'~g~:)·:,,_~~,-::;,.• -:t :_'e,q:iunall2s
pour h:: c.e--.;. -eioPl:lement 1p.'l ut,·,tr.lt:· 1. dCln~;. ief:; do Li,---dnC':· r.l'----' I_'J Lcchnoio.>.:de. de 18.
normaljc;at:i.on, ,]\'>. 18. pr0dlA~"i<;r' >~~~.. ~'~"
:;,-":"_1,-\
L (·-,o:...l"--t,~-,-, ~-j c(;nr~:;:ibu":.ic\!1 du
secretariat au. -le\relnppemeLL ;:"dl}~tt'lo:'l (~n ,~.fl-l(~-n:· (1:J9F~JSJ~)G~.
a
150.
Les politiqUf~::' I~~~ le;~ stratE~.e:~CS i-~'du'.:;tri\~l:e~ :;,at.iGn,:,le~.::-, E~)u.s'-l'egionales et
regionales el~1boree::; 21 l-:'l. '~~ilJ2 ':1::",'3 }lV_1pp.:,nd:i,~1~_~es C'!lt pnJ?endre la creation
d 'ind ustri,?s h f()l't(~ inte n..:; il\.~ d 'impo r-lc.t10ns ,:?" tc c ~lrl(Jj(.'s·i q UCTI1e Lt de l)en dantr:::-s d2.ns
]a plupal't des PdYE afn('.:~ __ ~n:;::.
CF-' ~'Ju:::., },'1 r1:<._ .'
>:..es ind·.t'~~ric--,- n'etaient pas
con~UeS pour '-::-..H.iE;td.iP':" .''':'::~ :::(>~<,,_ ;,,_n::j ci"u.[l~ lJ<:ll t. i.,111Yvn.:.arl'.e {-:u marcne uJterie!Jr.
En
conseguenc~:', IJ.Orl 2.f> u:e lr;~~nt h-·::. ; 1"J(~1~ str l(;:':' J-._' ~:;lS;' teHe::o ·~uc J..::'::-; inti ustl'ics
chimique::::.., me;~;':::-tni·_F..J.f~~~ f't. P".~t.:JjJlt'?'inl.~E'<~ :1 \v:~l ~--\";.. ' rel:n -;':'c)ute ~':l.,tten-~i·:1I1 l'equi'3e
dans la I::.1upart de3 ;;::1:'0' :-; E-l.fr1C3ins, Tnais la_ dl~pe~dD. f';c\:.~ 2xce::.s.l·'Ie a l'pg8.rd des
facteurs de p~'::::duct~on ;.mpC:l'tt-··~ COIU~:Jll-(':P a ~:~~:·.-)i\.\ -".-:.- de _!,--,- J;:ma.r;(~e effecsive ant
transforme de rV)1:lbr21.tBer;;, jilJust~~i(':- e;l 0r,t-l'!.:'·'J"isf-:'8 non reTlt.::ll.,lcs..
AtHSi, on
assistait a un,:,; imp()rlallV~ "':'oLls-uLiL.satlon ~~: 1.:.1. ·.:::ap.~cit.f· lnst3.1l.;,~·: ':')~l 31::-;, fermetul'c
de nombreusE';'-'S lndustries. Er,: olltn:::'1 b petiU.: i_lJ.duet-;"ie CllL :l~:_--:·~c. ~>,:-;,~'_.E..-,:,\ '::1;'ee>r des
emplois et contl'ihl.lr:r ;,:;c-ll::1_bJ.c:~~:t'~ a:~ d:~-.ce:ci_'1>-:;1~_T'~ ~t :~. ~concn~ics a.fricaines
n'etait pas enco]'!;:: bic:r~ J~~v-.;lurl)-.~f. 11,\: ::t Cl.t.L;:::-::i q'~:0 lc' sect(.::U1' indu~triel ~ia pas
rellssi 8. eV:lbLir un lie!~ d~ ~l<-lm:qUt:· ':'l.VC<..: Ie SF:c.t·'t.;.~: ~,":;'rl:':c..j,,,.
151.
Les reunions 30u,,-::;~-rCl?;L,.JILJ.\~, J,-- SUL\ -; ~;;lii' Lt, ll~:'~Juiotk:i.l QC Is. .::ooperation
industrielle intl:a-a.frlc.:line d~~_ll':_, ~';", L·~dl·t:.' oj, I i :i.·<\"-'~':i; ",i:;' (It.i d~~v~lopper.-1ent
industriel de L':\.friqut: J J ~~~IRO- _: n~_u a ~;()l~ ~~lt'OCt :1 I ·;;v::tU<.l~iSaLi\..;rJ, (~,es pr0jets deja
identifies ou [t l'ldent.:.flcatioll de nouvei;'i.UX projl:'"t.E lL.l.llS la C::Ll.egorip de~, industries
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 49
de base.
En le faisant, on tiendra pleinement compte des experiences et des
contraintes passees pour que les pro jets concernes soient biens de finis ainsi que
certains aspects tels que les marches, les facteurs de production, la technologie et
les besoins en main-d'oeuvre. On espere aussi que Ie role de l'industrie dans la
transformation structurelle des economies africaines sera mieux reconnu et
entierement pris en consideration Jans les programmes et les plans nationaux et
sous-regionaux.
152. Le developpement de la petite industrie, de l'industrie artisanale et des
industries rurales se voit de plus en plus accorder la priorite par les
gouvernements africains. Aim;i, a. la fin ue 1991, il y aura une plus grande prise
de conscience du role que 1" petite industrie sera appelee it jouer dans
l'etablissement d'une base industrielle Bolide et auto-ent.retenue caracterisee par
l'existence de relations au sein du secteur industricl et entre l'industrie et les
autres secteurs. Cependant, Ie developpement de la petite industrie sera confronte
en 1991, it des problemes tels que l'absence de capacites en matiere de gestion
d'entreprises, les difficultes d'acces aux facteurs de production essentiels et aux
financements, la faiblesse de l'appui institutionnel el l'insuffisance de
l'infrastructure malerielle. Le sops-secteur continuera., dans unp. certaine meSUl'e,
de fonctionner sans entretenir de relations avec Ie secteur industriel et les autres
secteurs de l'economie.
153. S'agissant des agro-industries et des industries fOl'estieres, les services
consultatifs fournis aux gouverneIllents et les changements de politiques introduits
par ces memes gouvernements confornH~ment au ProgrammE: d'action des Nations
Unies pour Ie redressement economique et Ie developpeIllent de l'Afrique pourraient
5e traduire it la fin de 1991 par la rehabilitation de la plupart des industries
alimentaires existantes et l'identification de nouveaux projets. A cet egard, on
espere qUe de nombreux pays se seront enga):5'es dans des politiques de securite
alimentaire dans lesquelles les industries alimentaires joueraient un role capital.
ii)
Periode 1992-1997
154. Des etudes et des publications techniques sur les problemes que connaissent
les industries africaines seront preparees et des services consultatifs seront
fournis aus. Etats membres en vue de develop per ct de promouvoir les c<.!pacites
pour la formulation de politiques et de strategies industrielles axees sur la
restructuration et la rehabilitation du secteur industriel aux niveaux national, sousregional et regional. Des atE:liers et des seminaires a. l'intention de fonctionnaires
et d 'entrepreneurs seront organises en vue de prornouYoil' la petite industrie et de
veillel' a ce que celle-ci soit integree dans 1e processus de devE:loppement pour
satisfaire les besoins essentiels et etllblir des relations interinJustl'ielles verticales.
Des programmes de formation seront egalement prepares et appliques afin
d'ameliorer et de renforcer les ca.pacites en matierE- de planification et de
programmation industrielle; d'identification, de planification, d'exarnen, de mise en
oeuvre, de suivi et d'evaluation de projets 1 de rehabilitation des industries
existantes et d'accroissernent de la cap~cit.?- d'utilisation dans Ie cadre des
groupements economiques 6ous-regionaux; et les activites de conception et de
fabrication techniques seront organiseRS en collaboration a\'ec l'InstituL africain de
developpement economique et de planification iIDEP), Ie Centre regional africain de
E/ECAI AD HOC. MTP 19
Page 50
conception et de fabrication techniques, Ie Centre regional africain de technologie
(CRAT) et rOrganisation r6>;ionale africaine de normalisation IORAK).
155. Des etudes seront prepar"es dans des domaines tels que I" developpement
de competences techniques et en matiere de gestion, l'apyrovisionnement en
matieres premieres, Ie choix des gammes de production, la commercialisation et la
distribution en vue de proposer de::;. mesures approprh~es pour la promotion de la
petite industrie 11992-1997). Ces "tudes indiqueront egalement Ie type de relations
dcvant etre eLablies entre la petite industrie et les autrcs industries et la maniere
dont eHes peuv~nt etre integ'reps dans les economies nationales.
Des etudes
porteront egalement sur les rnoyens les plus efficaces de fournir des
infraslructures materiellC'f; a la petite el ;\ la moyenne industl'ie dans les domaines
de l'eau, de l'electricite, de la construction (pal' exemple les zones industrielles) ct
des routes.
Des repertoire:? de prafils de projeLs fandes aussi bien sur des
activit~s pratiques que sur des ~,tudef! theoriques seront prepares sur une base
sous-r.egionale, COUvTant l'information technC-0conomique, y compris les produits
fabriqupr, la descri.pt:ion des procedes de fabric-aLion, la capacite et les
caracteristiques techniques des installations ct des rnachines,les matieres premieres
et leG autres fat:leurs de production. Les seminail'es, ateliers et voyages d'etude,
y compris la formation en caul'S d'emp]oi seront utilises de fa<;.un inLensive pour
ameliorer les capacites des p~tits ~ntreprencurs.
a
156,
Dans Ie domaine des i.ndust.rif~s de base, les activites porteront sur la
fourniture de se!''' ices consultatlfs "t de l'assistance technique dans la pr~paration
1 l'evaluation et la promotion de pro jets jdentifie.s dans les industries de base et
les industries connexes. Tout en accordant la prll)rite allX acth-ites relati\-es
la
rehabilitation et a la ration<:'.1isation des indu~tries de base existantes durant la
period€: 1992-1997, on s'attachera egalement, pendccnt cette periode, it promouvoir
de nouveaux projets qui devrc1l1t 0tr'?; C'hai~is dans les programmes integres sousregionaux revises.
a
157. LeG activites susmentjonnees scront complelees par des reunions de
consultation el de negociation au niveflll des organisations gOllYE'rnementales et
intergouverncmentaJes en vue d 'al'rh.Tcr ,9. de!; decisions S11r la mise en oeUVI'e des
projets en termes de marches, de ressources n,~-lturelles, d'f:~tlldes de prcfaisabilite
et de faisabilite ainsi que des reunions sur les inv·estis8ements avec les partenaires
et bailleurs de fonds potentip]s. L'objectif princ:ipal est de permettre aux pa~'s
concernes et ,3, leurs partenaires de s'entendre pour rehabiliter en commun une
industrie existante ou lancer un nouyeau projeL D'a.utres activites porteront. sur
l'organisatiun d 'ateliers et ·de voyages d'etudB et sur la formation ~n entreprise.
158. Les principales aGtivites dan" 1" domaine des agro-indLlsLries et des
industries foresti<eres comprendronL : !a preparation d'E'tud8s techniques et la
fourniture dA services consuliatifs lechniques aux gouvernements sur la
rehabilitation et.ta revalorisation de certai.nes des ageo-industries et des industries
forestieres identifiees (1992-199;]); Pidentiflca.tIol1, la pI~eparation, l'examen et la
promotion de projets visant a developpc--r leE industJ.. ics de cOllservation et de
transformation des prod uits alimentaires i 1992-1997 ); j 'org'a.nisation de stages de
formation, df' seminaires ct de '~oYRg:es d'Btude sur la. .'5'cslion des agro-industries
et des industries forestieres, un accent particuliE"l' ctant mis sur la conservation,
E/ECA/ AD HOC.l>ITP /9
Page 51
la transformation et Ie stock,,;;,"' dE:c pr0duit3 alimentaires (1992-1997); et
l'organisation de consultations entre gouvel'nements africains et d" reUniOnS de
promotion entre le5 gOllvernements afl'ic",ins et le3 bailleurs de fonds potentiels
11992-19971.
SOUS-PHOGRA:vI~1E
a)
16
DEVELOPPEMENT
CONNERCIALE
DU
COMMERCE
ET
COOPERATION
Textes podant autorisatiQU ..,1",.£; travaux
159. Les textes portant Clutol'isation dC's trayaux du present sous-programme
sont: la resolution 35/64 de l'A"semb!t~e generale sur Ie document A/S-11/14,
I'annexe de S-13/Z, la resolutkm 127 IV) de Ill. CNDCED et les resolutions 54 (XX) et
568 iXXI) de la Commission.
b)
Objedifs
.,
L
yb jectifs des organes intergouvernementaux
160. Promouvoir les perspectiveB de denlloppement social et economique en
Afrique grace a l'adoption de mesures, politiques et strategies appropriees pour Ie
developpement des echanges interieurs et intra-afrilOains; developper ou renforcer
les institutions pour Ill. cooperation eommerciale sous-regionale en les rendant plus
operationnelles et plus sensibles am; besoins de l'Afrique en matiere de commerce;
et formuler une position commune en vue des negociations dans toutes les
conferences internationales sur 1e commerce*
,
,
11.
161. Entrepl'endre, sur nne base l'eglllii~re, des examens et analyses des
situations, politiques et problemes commerciaux des pays africains aux niveaux
national, intra-africain et international en vue de proposer des strategies
appropriees; fournir J'appui teehnique, les services consulta.tifs et la direction
intellectuelle necessaires aux Etats membres dans la mise en oeuvre de leurs
programmes pour Ie developpement des echanges, la promotion des echanges et la
cooperation commerciale au cours des conferences et negociations internationales.
cJ
ProbIEm,e.;; traites
162. Le faible niveau des echanges nationaux est dii it l'application de politiques
peu appropriees en matiere de distribution et de commercialisation; politiq ues en
vertu desquelles existent paralliHement, dans une me me economie. une sousconsommation de biens et de denrees alimentaires et d.es excedents; Ie rang de
priorite peu ,,'leye accorde aux zones rurales dans les sen-ices et informations
commerciaux ainsi que dans Ie domaine du financement et du credit; Ie role et
l'importanee, en dec]in, des echanges intra.-africains dans Ie processus de
developpement et l'absence de gains significatifs visibles decoulant de l'existence
des institutions et mecanismes de cooperation commerciale intra~africaine, auxquels
s'ajoutent des problemes relatifs aux techniques de commercialisation; Ie maintien
de barrieres tarifaires et non tarifaires prohibitives aux echanges intra-africains,
E/SCA/AD HOC.MTP/9
Page 52
meme dans ks cas ou de~ ~,l''1jtps d0 coop0r-;;ttion preconisent de ma.nieTe explicite
la liberalisation des echanges au sein des zones d'echanges preferentiels; Ie
probleme de l'amelioration d\.l secteur exterieur africain face a. la predominance
continue des exportations dp matie-res premieres duns les echanges extcrieurs
africains et la. manh~re de diversifier ces echanges gra.ce a l'accrolssemenL des
exportations de produits manufactures, finis et semi-finis; et comment promouvoir
les echanges entre les pays africains et autres pays en developpement
conformement aux strab~gie!:> visant a assurer la djversification des echanges et la
substitution aUK irnpoetatiohS.
L'absence d!~ statistiques et d'informations
ac;tuaHs';es et fiables sur les <'changes r.insi gu," l'existence de strategies de
commercialisation et de techniques d'exportation peu appropriees conRtituent
egalement un probleme i: traiter en priorit6.
d)
Strategie pour \a periode 1992-1997
iI
Situatian it la fin de 1891
163. En raison de la rigidite des gtructures africaincs de production et des
echanges, b situation commerciale f' la fin de 1991 sera toujours decevante. Les
echanges nationaux n'Eluront enregistre qu'une leg-ere amelioration dans la mesure
ou les priori"es continueront d'etl''' accordecs aux echanges exterieurs. Cette
situation sera aggravee par Ie faible pouyoir d 'achat des populations rurales, en
particulier dans les secteurs non structures et vivriel's. Au niveau continental,
certes, des institutions de cooperation commerciale intra-africaine auront cite creees
dans toutes lea sous-reg'ions, y compris ]a sous-r(~gion de l' Afrique du Nord, mais
l'absence d'un engagement reel et de ressources entravera Ie fonctionnement de ces
institutions.
En consequence, la part des echanges intra-africains dans les
echanges 00 l'Afr:'lue :--·.I~ 3it~1'.:'~·.·-'1 tcuJcurs, 1211 mCY'~:l1ne, cn-der;a de 5 %; toutefois,
dans des cas individuels, tels qtle la Zone d'echanges prefel'entiels des Etats de
I'Afrique de l'Est et de l'Afrique austral" IZEP), \a Far-t des "changes au sein de
l'organisation aura augment" beaucoup plus vite que la part de 5es echanges avec
Ie reste de l'Afrique. Les exportations de produits de base continueront d'occuper
\a premiere place dans les efforts d'exportation des pays africains en 1991 et la
nouvelle Convention CEE-ACP aura tres peu sel'vi a reorienter la structure de la
production Vel'S la diversification. Le nouveau march" unique europeen qui sera
realise en 1992, r~duira In possibilite pour les produits africains de penetrer en
Europe ou de maintenir la part actuelle du continent dans les echanges, par suite
de la concurrence plus feroce provenant des autres regions en developpement, en
particulier des pa~-s nouvellement industrialises.
164. Lcs exceptions comporteront quelques pays (Zimbabwe, Kenya, Cameroun,
Nigeria, Cote d'Ivoire, Egypte, Tuniste, Algerie et Maroc) qui ont la capacite et les
rnoyens d'assurer une dnrerFiifieation rc~elle des echanges.
Le tableau que
presentent les pays africains les moins a.vances dans Ie domaine du commerce sera
encore plus sombre du fait des problemes epineux tels que les difficultcs en matiere
de ressources pour le financement de la production et des echanges.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 53
165~
La strategie pOl:r le.
a
p1~:~io;:!e
1992-1937
~:':?cn cO:-~bicit'i'~-'.t-l.~m<:,n[
diff(rente dt;:
celles des plan:'=;
moy,:-:r. t,'"!'iIl'_" 1--'.::~c -1\~!itS d~,r",l~ iUoins: deu:z m:t!llt:'res~ En premier
lieu, la periode de creation d'instituticr:.f> pc)ur la. I>1'OL."1otion et ltl cooperation
commerciales aura pris riP eJ de nouveaux eff,:)1'~,:· ~:P:f':)."'.\...jl.~ylo;.--es: f'n \'ue de les
renforcer et de les rend,.e o"';r"tj0nneU",,, L'52cr;·:l Heu, ie, l'cliliques visant it
restructurer Ie secteul' exterieur grftce St la fabri":.c.ti')r; ct ~ lti n.'anSfOl'fnation des
produiLs de base d€:~'I"'Jnt et1'0 \. i..;oureu~ement -,-tlypllqut', ~_:. il est egalement peu
probable que lcs prh: de rlombreux proQuits de -:::"d!'~ P:J.1SS011t augmenter et
atteindre un niveau adequat pOUl' eta"yet" Ie d,,~\ f:i:)pr';'~I!.::n.:A P,::tT G'::.'nsequent" les
pays africainf> n'ont d'atL~'~; chol.\. qu;? ,:rndcnter ..it.:.'".:' r:)r('_~ran~nF'~ (·t stl'ati§gies
dJajustement structul~el qui puissent i-U::',BUl~';r ur~ aCCTOlSSem8:!1C d.c :t:>ur part dans
les echanges mondiaux de l;::(t"orfuits. manufactures. ipd·,-H;tTiei~. 0't fi:llS. La strategie
pour cette periode sera axe':' sur' dt:s mes"u.l'-.::.",X olien(.i:t:'~ "P!<.s l'interiehl' en vue du
developpement et de l'expausion de;..:; echtlng,::s n:,.t!Ci~.au:v >-.:"1" Intr:')-afI'1t:~1i~1s et E'H
vue du renforcement des. capf1.G~tef,'l instltuti()~lnl'iles ~;- ;-_'€l.:.:t-..ive~ qui poul'raient
eventuellement ser"'.:ir dl? ba~;0 pour do:::: nou1,.'\:;.<.~.:-:' t't'-'sati':!os (:/)rnmel'('ial~s exttSrie:\.u~~g.
Ceci devrait etre etaye par def~ technh:lu.~.3
aprY~"GprlE:'E:.s f:n '.Jue de la
promotion, de 1'information et de let c()mm0!'cL'3.h~.:ation dans Ie domaine commercial.
SOUS-PROGRAHHE Ii' :
166~
Les textes pOl'lanL aut..'()J'isatl0n Jes trLl . .,,-~".:.UX dl/ pre8~rlt sous-programme
sont : Ie paragraphe 11 de le rc'.;;oluti)h j3/1J,f: de r .J,.s:;~:!mb12"~' 1.~4n0rale et 1a
resolution 54 (XX 1 ,je 11' '"<OD1~ljs"io',.
167.
Les objectifs d€ Ce SOHS-p:cogran1faf' au ni 'n:'flll intcl'gou\"t"jrnemental consistent
promouvoir une C(01)Cration wO>H~taire f·e Lna:;.::if?t~,.,,~ fi{?r.:t.ive et efficace aux
niveaux sous'~regional et re~ional en tant q i.I \')t'.ti! poe;,r assurer une meilleure
gestion des ressources ;; compy!E'. la dE.:ttt: extel'leure; !'€'niot'Ger Ie mecanisme
institutionnel €xistant pUl1r Ia cOol-'eraticn Lot lL~ C()ll;3"". t1t?tL)1'} €>r. :::1ccroitre les
echanges d'informat.ionr:: sur 1'2 ii!i':'~lf.l':'('i.",~-P~ d'..l d< .''2l0ppeI!1ent et les
investissements; creer, 1e eas echeant, dE's in::;nrutions souf"-r(~gionales et regiona.les
monetaires et fina.nciee~s f~t en P,",H tj'2ulit~r 1<'7 Fcn-1s Dl0nr:l.a.ir£ a.fricain et une union
africaine de paiements; ?t fc·nnuler Ul'.;: 130s1L',on commUlle pCUt' 1(>:;:;, negociations
monetaires et financh3r(~S intel'nationales f;'t autres torums.
a
ji)
168"
Les objectifs du se(:rt.tE~rl3.' 00tlRlst.::nt it ase,Ul'er ded services consultatifs
pour les pay3 africains dans la defmitlOn c·t 1a formul".tion de politiques moneta.ires
et financieres. y compris l'~lJ-:jpHon de meHle\~C't, systemes de gestion des: ressourCeS
nationales et exterieures, notamment. 13. dBtte exierie1Are; aSS}stel' leE; inst.itu tions
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 54
.';-r
monetaires <:: L nn:'::,]"...:,'
'~',
. "'::' d.,'u,'_"" L'i~r:-riUfic::,~i:::n et 1a
misE' en oeuvre dE: poiit.ique~, strategies et programmes \-i~.;:...nt a. promoln~oir 01..1
renforce~' L:-c Cc-op(~:r;_:ti()n G:.H',::, ,.:t- don:,;,in
'~JI'i~ce ;'1:L:t~-',Ll :J-.:''.=h: l. i'1"J2 :lecc.::'saire :lUX
pays
afri.cClins
questionE
1>"ndfl-nt
m()n(:'~~:\.il·es
et
~f_"'-
l~'..:.,;!ni\;n:::
:::'U
'('~'i::~t,j,-!n ':
)r::A~;!.'n'-i:.~orlale?
sur
Ie::.
financi~:_rf>::_.
Au CDU~:__ . des _Ulr;E-p.:::o· Sel j l::~ :::~it.IJati::::Jn ;n~;;: _l_2.ir~ .> LnallC.i..'~!'t~ i:\.:n,,2cUne s\§-teit
;,-,',1 I</d.lt qUi: 1..=;s ;)01i~.;Qu(·s, RtriJ~'t.ur~::~ ,_ t i!; ~;jt!'-,~ic;n:::. c)jstantes etaiellt
incap;j"bh~s d(" g~~'n;Tl'\' Jet ta'L{ ,.~,e ·,-:~'oi~ s,,:..rJ'::p t t (i'~ dt>,-r:l0ppen~ent rai.sonnables et
soutenu:~. All cour,:; o:,:,~, P'~l'j<JC;C .l9J2-J 'JYi' chJ r>.lfl :-t 'llo~<'n terme~ i'accent sera
place nOT,::.::.mment sur: l't~liml!:i.;~ti(.'n 0\.1 Ie t"enVel's·::went dll desj.~qui1ibl"" ("2'2::=; ~cilanges
internes e'; ext.f:~·!1es, defa.t_·(lr~i.blE<~ nnx paJs .q.f~'ic?tin<:;) le rf'.l1'.-(;r:.:.·~m€nt des
tendances :1 1a L'J.isse D..~~; f1.'X:-~ de l".~S,"3(,'l~H'C>.~S. en 'JrtrciClllier d·:",,s f}JIX
(ies
conditions dr:: f:::1.vel..·~r ,:t :';~;':'1'et :1,., j"'l \~li~.e dt":':.:; capit.Ju.';. .l] f;:.:,udra trou\-el' de
nou'/f'l1.:~s ;·;olutions ell.:s
i·~.'a.~ic;u.;:.'s I,.'t. p)1.;8, in~lcvo..lTir.::es fleer iaire face au
remb01Jrl::;e'ilt;?'"'L du s~:r,:i~:c u(., 1:4 (.I',':"U,~~ ~~;tE!·l"l.ll.·e~
c~')rjpl'is le~~ ,-'.lTieres ascuIDlll('s
et pour dC'..":ro::'l".l'p J(,: .. r'~·cc't",i:.;;::.
l \':'\.porLli:,icHl n~:~·: P:'l. ys africa] ns.
_'\l~X niveaux
nationtl.l et S()";.iS-l'f"·;iOdd.::! ~l f ·\,.IUP\. t.~'()I."":el' f:1C::; soluticn'~""; nux l)rol:,lemes de
l'insuffi~';..:tnc:-t' ':1 u finc.n·.:emenl y cOl;ri?ri~' l jin~~ xffL: an".::e .:Ie 1\~'P:.~l'!'~ne in.ter~e u-ee. Bien
que de !!omr)rell.Sef ·i1l2titutL-:·,l)s I"i~·J,."nci.,~:"r(::3... :.~~ ·:i<.;r'''--;':'.::''j:'~.~: :~,;v,~-!t 6te Cl'eee3 et SOJent
operat.ionnE'.:;ll'2s. 1!:'~) £t.:.-tt.:; i:J'·-·itH':"S< pa:'anoxalemen~-r n';.: }'ec r )Ure!lt pl'::lsiquement paE
pour obten-ir l'nr)~)ui tech'·llqUt: \.} :.,.'.'-; SE": '"".-iu-:'" ,: ;.:Y[,l.suit..:..-ttifs necessaires dans ce
domaint:.
l<-ll"
C()n.~":>;~r-l~:en[;
1:' i'l"..J~~r:tr!lT:_t:' 3,Ul'fI .~~:].lell1ent p'.:'ur objectif
d'entre!)l·endl,~(C.
UP'~
·,~iU'1.t],)rl
·\l)p·~·'o~'or,d,"
~if
\.-:2i:
i1",-st·~tul·.i(Jns
en \-U(2 ·-je
recommalldet' J'2S i')oijLi(]1.H'~·; Cf, meSUrf.~3 ....1::- r:·lJ~~f< f!D oeuvr8 pIllS pratiqlJeS pour
promouv<J1r une pius g!'an:jl: '::onfiHJ1Ce ct",I]lS l~.)? i.nRLltu:'10ns. rnon~!taire8 et
financieres nati.cnales et 30u:':'--I'·.';~i0naii:::,;, (lU.i (_'n:~ t V '.:l',§E:,c':' pou (' Sl:':r~.rii' les pa:fs
dans ce domaine pt p . .")ur r:,TT\('·'I'..'"i" :".~;~; F:"::'.:'~) In'::':'· hr·
i·~"f U.t-;llc,'F.1." da.·,,'1:ntngE,
169.
de.terior~~e
a
1)
a 1.3. fin ;:ie 1 ~191
at'; ]'.1:)]) 1a situaLion moru2tail'~~' r:-t fin:l.nci{~re africe..inp. se sera
degradee .'1,\ F'C un deficjt r·lus impol'ta?lfc a["~n:-: J"." ,.i·?IDaine du
financement du d~\Telor·peID~:::nl,~,. uno ph1S 55::a.nd~' lCCi..1J:1uL.,tion. ;")2:5 1"!.':,..'L,2res de
paiement du ser"'nl-:e ch' b, ,.l.':?'tte ,:·,t dl1. p!.':ir;ci;:.'El.l, ('I- til:':' In(~-::.pacit·;' ~'.5n"~'1',,::Je a, faire
face :~ \IE cli!Ilat monetail'r? 2;:. fiLallric·l' inl;erl'at.ionat :1--:- plll8 Fn r·lu~,; ·j('faY·orable.
Toutefois, a'.Te'~ C.C nC\',l.,'~",l;r,: prog:r:"lIDl:]eS d l,=,jI...13teTI1e;1t ,-:.t':'\.H::t,urel elabores d'un
commun 3.':..<c<)rd , les L:~iiJ;cu;·.s d~ fonds Duennr vraiE;(:.:mbl3..bj,en,'~n\ <:'""'.l.d;[:!f.~nte leurs
engagementF linancit;f's Yis-~t'-'.~i::, de:' pa::3 af';.'1G.:lillS, i,:::n p.-ll'L}c'..J.1iE<~~ jes 1=-]us
pauvrF!s. L'""""'~. institution::.:. monetc:.ires €-t fi-:1anClerer: 5oL'-s-rt:gion.c. .les, E:J) p2.l'ticulier
les mecani3mes de paiement ;~t G.8 comp,=,nsaLi~)n 8p.l'unL t":'1COr(' trop fa.ibl':~8 et. peu
efficaces pou.r apportel' aux EL~ts :r.1embr~s r'ippui necessalre dans c\..,,: dOp.lO.iI'.e. Des
prog'res auror:t !'::'te r:~alis("~ dJ.llS L'i ~.{~·~·,t.l:x'" .'J:_~-;-: l··;~SF:,01.J.l'Ce,:, ;YJ,."Cionalf'E. grace a
l'adopLor. de 111'·S'.lrcs d).3.l1ste·ritr.; tou"tefDis. i1 '~3t peu r'l'!)t,llLk: que des
.::iugmentaU.ons sL~·n~fjca~i"".-c~:::: des ep~~r~ne3 naLionales aienl :ite enl·eglstn?es.
170.
-'~
.~iJuatiCJn
Ie fin
genera1em(~nt
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 55
171. La strategie comportera une combinaison de po1itiques et de mesures
monetaires et financieres it court et moyen termes vi6ant il. traiter les problemes les
plus pressants. II s'agira notamment :
al
D'une evaluation des incidences
programmes d'ajustement structurel;
monetaires
et
financieres
des
b)
D'llne evaluation approfondie des incidences des evenements exterieurs
sur les economies africaines, en particulier des nouvelles dispositions monetaires
dans Ie systeme monetaire europeen en 1992;
cl
Du renforcement des institutions existantes pour ]a cooperation
monetaire et financiere intra-africaine et de la creation -et du fonctionnement d'un
Fonds moneta;re africain;
d)
De programmeE et politiques plus intensifs pour la gestion des
res sources nationales et exterieures, y compris en particulier celie de la dette
exterieure;
e)
De nouvelles mesures pour attirer les investissements etrangers
directs, specialement pour les projets et programmes sous-regionaux et regionaux;
et
fj
Des mesures visant a promouvoir une autosuffisance accrue en matiere
de financement du developpement.
SOUS-PROGRAMME 18:
a)
RES SOURCES MINERALES TERRESTRES, RESSOURCES
MARINES NON ORGANIQUES ET ASPECTS JURI DIQUES DES
AFFAIRES DE LA MER
Textes pOl'tant autorisation des travaux
172. II s'agit des resolutions 3 201 (S-VI) paragraphes 4 el, fl, g) et j), 3 202 (SVI) paragraphe 1.1, Iv eJ et 37/66 paragraphe 7 de l'Assemblee generale; de la
Convention SUr Ie droit de Is. mel', sections 3 et 4 de 1a partie XI et annexes III et
IV; du document A/S-ll/l'! paragraphes 79 et 80; du Programme d'action de Lusaka
concernant In mise en v:':\leur et l'utilisation des ress:;:;.urces minerales en Afrique
(mars 1985) et du Programme d'action de Kampala concernant la mise en valeur et
l'utilisation des ressources minerales en Afrique (juin 19881.
i)
Objectifs des Orf5aneS intergouvernementaux
173. Ces objectifs consistent a restaurer la viabilite des industries extractives
africaines et leur c'Jmpetitivite sur Ie marche international, grace il. I'elaboration et
l'execution de strategies et de programmes destines a Ja revitalisation et a la
modernisation de ce secteur. Cec.' necessite: la promotion du developpement des
E/ECA/AD HOC.HTP /9
Page 56
capacites ned::~ssaire8 a l'ev[l~Hatiol\, a la gesUon, Pi la mise en valeur et a
l'utilisation rationnelle8 des ressourc"s terrestres et des tonds marins, ainsi qu'"
leur integration progress.ive dans Ie:; industries d lava.l; la valorisation
des
ressources minerules classiques ec celles des fonds marins grace a l'inventajre des
matiet'es premieres llecessaires :::IU fonctionnement des industries nationales et a
l'approyisionnement des ;r,al'ches internationaux; \11. promotion de I'hal'monisation
des politiqaes ,:(ollvernem"ntcies avec les programmes de developpement, et
l'encouragement du finanCRment de la mise en \,aleur des ressources nlinel'aies, y
ccmpris celles qui sont
pal' ]'Entreprise l'econnue en tant qu'organisation
exploitant les ressources rninerales des fcn(h mO.l'lrt2 80US Je controle de ]'Autorite
internat-ionale de"} for::ds mal"ins,
ii)
Ob jccctiXs du secretariat
174. Ces objectlfs consistent il. 8.ccsiste,. les Etats membres dans les efforts qu'ils
continuent a deplo~"er afin d'obtenil" de meilleurs resultats e~ de mieux controler
la production et la commel'cullisation de leurs mincraux el mecaux,et ce, dans Ie but
d'obtenir davantag", de benefices nets de ce 3ecteUI'; par consequent, ils vi sent
promouvoir la creation et la mise en oeuvre des activit;}s de cooperation
multinationale relatives a l'exploration, I'exploitation, la mise en valeur et
l'utilisation des ressourccs terrestres '?t des fonds des mel'S; it aider les Etats
membres de la l'fgion a am6liorer ieul's connaissances en ce qui concerne les
reSSO~l'ces mineralee l'entahles, leur mise en valeur et leur exploitation; et. a aider
les pays membl"es
renforcer ]f'urs capacites inslitutionnelles en vue d'une
exploitation rationnelle de leurs riches;;"" minerales, qu'elles soient terrestres,
situees da.ns les fonds marins ou dans lES Lones eeonc,miques exclusives~
a
a
175~
Etant ,lonne 1'importa.nt.e cOI1t.ribution des ressources minerales au
developpement socio-ec0~1'-'IlJ.~~-~lt:: d·:; 1'~·l.friq·J.(.1 Ct, en prenant en consideration les
aspirat.ions legitillles de la region
deyenil' plus etroitement engagee dans toutes
les activites relatives a la illise en valeur des ressources minerales aUBsi bien
terrestres que situees dans les fonds marins, iJ y a heu de renforcet' leo systemes
nationaux de documenLCltioll et d'information sur tous les aspect~ du secteur des
ressources minerales, lesquels systemes sont encore f['agiles malg;l~e les efforts
fournis jusqu'ici par certains pays, ai!lsi que de develop pel' les activites des
centres multinationaux de mis" en valeur des reS80urces minerales en ce qui
concerne les points suivants: la collecte et J:\ di.ffu~ion des informations
geologiques; Ie rythme accelerc. des inventairet; des r€ssoUrCeB rnluerales de la
region et de ses zones economiques exclusives; l'ex~clltlon des progra.mmes
d'exploration; la mocie"lIisation des technoiogies d'extl'a.ction et de traitement,
]'acquisition de> techniques de n<2gociation, la formulation des politiques; et la
creation de centres sOll,,-regionaux de mise en valeur des ressources mineraJes, de
geologie marine et de genie oceanologique,
a
176. Au vu de la tendance ala baisse de la consommation des produits mmeraux,
la preoccupation de l'Afrique sera d'ameliorer l,.~ rendement economique .des
exploitations exist.antes,
Afin de divers~fier la gamme classique des mineraux
communs, ferreu;;: et ncn ferl'eux, I'accent doit etre davantnge mis sur
•
•
R/EChl~D
,
l-lOC.NTf' /i)
Page 57
l'augmentation de la production <lans Ie secteur des meraux et des mineraux
precieux, des meta.ux communs, des minbraux a usage industriel et des matieres
premieres fertilisantes, afin de repondre aux besoins nationaux croissants et mettrp.
en place dans la region une industrie des ressources nnneraies plus solide.
d)
Strategie pour la periode 1992-l997
il
Situation
a la fin
de 1991
177. La be.isse du rendement du secteur des industries extractives dans les pays
africains en developpement, qui est due essentiellemE'nt au surapprovisionnement,
au manque de competitivite des industries ·extractives africaines par rapport aux
autres et Ie recul de la consommation mcmdiale des mineraux et des metaux ainsi
que leur remplacement progressif par' des produits synthetiques ont rendu plus
necessaire que jamais la revitalisation acceleree de l'ensemble du sec;teur des
ressources minerales. De meme l'insufflaance des capacites techniques et juridiques
permettant de participer a l'exploration, a l'exploltation, a la mise en valeur, a
l'utilisation et ii. la gestion des ressources marines non organiques limite la
possibilite pour les pays africains de participer en temps opportun aux activites
de ce nouveau domaine. 11 ~- a lieu d'evaluer les politiques et les pratiques
adoptees actuellement et qui se sont averees insuffisantes pour permettre de se
mettre au rythme des progres techniques, et ce, en vue de mettre a jour les
politiques nationales de mise en valeur des res sources minerales. encourageant ainsi
l'exploration des ressources minerales et l'application de nouvelles technologies
pour leur exploitation et leur traitement, et permettant au secteur des ressources
minerales en Afrique de relever les defis qu'il a connus de puis Ie debut des annees
80. Certains progres ont ete faits par les Etats membres dans la consolidation de
leurs connaissances techniques concernant leurs ressources minerales.
Cette
situation permet de comprendre la necessite de restructurer au plan national la
politique de mise en valeur des reSSOUl'ces minerales, "fin de revoir et d'ameliorer
l'ensemble de la politique d'exploration.
En outre, une strategie visant au
developpement du secteul' des metaux et des mineraux pl'ecieux doit etre elaboree.
Elle concernerait l'evaluation du potentiel de la mise en place de petites industries
extractives pour ce3 mineraux et metaux; l'evaluation de l'etat actuel des petites
industries "!xtractives pour les mineraux precieux et semi-precieux en Afrique, que
leur extraction soit illegale ou non; et l'examen des systemes legislatif et fiscal
auxquels sont soumises les petites industries extractives de mineraux et de metaux
precieux et semi-precieux, afin de lutter c~ntre l'ec:traction illegale qui a atteint des
dimensions si preoccupantes que les mesures gou\-el'nementales et les moyens
juridiques mis en place n'ont pas pu ell vEnir ii. bout, et de permettre aux pays
africains de preserver leurs ressources minerales et d'en assurer l'exploitation de
fa,on rationnelle.
iiJ
Periode 1992-1997
178. Le secretariat s'efforcera d 'assister les Etats membres dans leurs efforts
tendant a rehabiliter Ie secteur de leurs ressources minerales en aidant leE:
gouvernements a Haborer les politiques necessaires et ii. mettre au point de£
programmes de rehabUitation qui re5pedent les priorites nationales et ticnnent
comptent des tendanees mondiales favorables suseeptibles de mieul< 3e1"'i1' les
,
,,
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 58
interets nationaux. S()US-reglonaux et re.gJ.onfiLlx. Dc tclleE activite6 concerneront
les ressources minerales tel'l'estl'es et des fonds marins et tiendl'ont compte de tous
lee aspects juridiques rel5.tifs aliX pL'oblemes rencontres dan:::: leur mise en valeur
et leur exploitation. Le secretarIat aidera egalement les Etats membres a consolider
leur connaissances techn.iques en matiere de ressources mineraies, it entreprendre
des etudes techniques Iconcernant taus les aspects de la mise en valeur et de
l'eXiJloitation) de certain>':: mineraux tels 'lue les produits communs, et les minel'dUX
ferreux, non ferreu:\ au fp.rtilisants, et a compiler des informations sur les
inventaires des ressources miner3.1es.
179.
La CEA inciter a
a
l'exploitatiun il petite echelle des ressources minerales
terrestres et a la mise en place de projets peu couteux qui sont a. la portee des
moyens financiers nationallx: afin dt:' promotn,-oir ces petites exploitations
parallelement
flllX
gl'andes exploitations de,;a exisiantes.
180. Dans Ie cadre des service" consultatifs rend us aux pays et aux institutions
multinationales, la CEA espere par ailleurs aider les gouvernements africains it
reduire a un minimum les .:lctivites illegales d'extraction de metaux precieux ainsi
que des pierres precieuses et ·serni-precieuses.
181.
Concernant Ie developpement d"s capacites natlOnnles et multinationales en
ce qui concerne les produits mineraux, la CEA organisera des activites
interafricaines dp formation grace a des ateliers, des seminaires, des voyages
d'etudes qui portent Sur les aspects relatifs a I'e,plcration et a l'exploitation des
ressources mineralcs tel'restres eL des fonds marins.
Une assistance sur les plans
technique ct de la gestion sera fournie aux deux centres sous-regionaux de mise
en valeur des reSoOUl'ces mm21'a.ies crees Ie premier en Afrique centrale et Ie
second dans la sous-region de l'Afl'iql1e de l'Est ei' de l'Afriq"" australe. LaCEA
entreprendra egalement cet·taines demarches en vue de la creation d'un troisl;;'me
centre en Afrique de l'Ouest.
182. En cc qui concern? la diffusion des informations, la recherche et Ie
developpcment, il sera procede ii. des etudes aboutissant it la production de
publications techniques sur des sujets l'elatifs au financement,
la
commercialisation, a l'augmentation de In production et aux previsions concernant
la consommation nationale et internationale des mineraux produits dans la region.
Ces informations aideront les Etats membres a fOl'muler leurs politi'lues et leurs
a
strategies d'in,:estissement et de developpement
sous- PHOGRAM~IE
a)
19 :
a tong
terme.
RESSOt:RCES EN EAt'
Textes portant autorisation des tl'avaux
183. II s'agit de la resolution S-13/2 de l'A&semblee generale. de la resolution ES2/1 de la Commission et de la resolution 1985/-19 du Cunseil economique et social.
F/ECA/AD HOC.MTP/9
?H.ge 59
184-. Promouvoil' rC:'laborotioL cl ]'8:,-6cu!:I0!l d(-: ~'.::l·::,tl.:: ;o·,teS c~ cL· [-Tof,'l'6.mmes Dptirna
pour l'evaluation, 1;.'1. n~'~(~ l-_~l ",~,;tk'l!l' ,,:-,~ rp._-'\.pl,)-iL--~~'·-·L ~-~'S i'~,:,:::JUl'C~-::::: \~n eau; et
l'adoption des mesur~3 [!J::'Pl'ot)1~i/"es }-l..)UI' cit~.I>l;.l( !c::; (::'ffe"t"s cl-:,s inCindotil)IlS et de
la sec:heressC'. et CE:, pn y:~te d'i::"\melior~='r lE-s -:cn'jLti':;:1:;'- f';'c\:::'n':)mi'~ju(,,: ,~;t .:;:ociales dans
la
rc~~ion.
185. Assister Ie, pays dEe ia "c";ol) ,i",!s ;'acquisition d,<, "')nnajssJn~"s neCeSsail'es
sur lee rc ~~;>Ju.rt:e;,; t-.:'1: t?a:,l.;': ·je su ~'::a'>:' ec 2L. e.:it:x sout,e:_'r:;line;~.~ '-'n ::unelk)ranL 125
capacites naLiona1E:::s r-::-1:-1tiv['!.:-::. ;~; ~\-~:'·:}JiO_lt.:.t:-jOE -~.t.. \. r1Jt~li3aL-jon de:;, t _~:'3S~)1.1~'Ce5 en eau
sur Ie plan naticnaL; prcmollv . . )ir b . ....::oope':ation re;;k.lnaie ct ,S(,u::::-1'~';L--":131e ,~3.n3 le
dornajne de ]'uUli,-;.']tion dl.'s l'e;-:f',OlJrce~,~ pn 08.1..X:':, :>2lf11r~~~Ues; IT<>V.l\:' ,~d T---,oint une
strategi.c regiOlli..de r'OUl' ac::;c:let'el' dans k',::' _'tnn2f.;::-: '::1',; 1': :lp~~;ll(~a.tiOTJ lifE
recommandations de ~a. C;onferencc dv-:s 1\,::ltiol1, 'C.tlic:·~ :"'ur l\-:<p~ "'-i: ~'o;_irr~ll' ane
assist':-lnce danG Jt:~ dCHlIainc dc's ,?ch::tn!5C's dlinfcn~;~,at.l(:.n;_~ ~---,t de d'.;tl~it::;'es d"::,,~rH~rie~,-=e
en rnaLiere d't::xp~oiLatj()n dE-S l:·'~~sources. f:'n ectU :_:H! profIt lu dC\'f:;}oypemert 30ClOeconomique.
186. L'3 J..!lan lra,-'tio:~ dl'-~ !'-'l'-IT .jcl Pla.ta dt-: Id Co,"'-.deL't'~I.LCt:
(1977;' r::ontlent deE' rer:.'Jrli.manUa'tlGn-S 'Je- ~randc l.!l..)],~ee
(~PS Nat;ion~
t"lles ':'~llr I'eau
de'! la mise
FU't~ r':\C(:..~~;~_cc"t:rJn
en valeur des ,'e!:;50ur(~'-''3 -"n ;~·.'11.l \~n Afriq'_,;;, Cc-::- n-'...:cmj,l13.!l'JLiLo~l::3 ':.i.:::'..it'-'I", ::.uJuptee:::,
en tant que str<Jteg:i.c r~~€::~0naJ,::, d.1DS .It:' pl_3.n ;J'ac;joll :ie- lA-'/os en l.'·)~O. Jusqu'a
present,les prcC:n::'~ faits ~h.rl:;;; C'':: ;j':.'m3i~.,' 'yr';:: '-'~\ ., ~':eup,u'12nt --':'l'_;'·lVi~S l?ar la
crise economiyue et Ie S Cd.L'-::"o trophc~; natu re_~les q u j .:::m ~ Sf.'\'-] rl u l'a [~t l~::.s ann2E-S 3d,
Les prog6.'s r~3.lise~,; d~1.n3 le ~J.\.lr(~ d~ L-t uec~:nllie in~l:l nationa:t: ~~e :\'-ELI -votable
et de l~hssainissemo?-nt e!1 \f~,'ir:l~~e 11981-1~·)9I)j ,-'nt ~-::t,:- "~~l',~npnT dt:-cP"V:lnt~, etant
donne qu'~ 1.P-:~ trois quarts de k: populati·)n nl.':'a.l~· r")lyl toujour:;:--. U'U d.'3.cces a
l'eau pot3b1e :::>'d ne disposenL PdS d'i:lsLtli~-1tions ,i'3_s:::-;:iin:i_ssl~me:, __ .
187. La proc:h.EjnE: d€G\~rl.nit, verret les pcpulations urbo.irlf~~~ <::J..u~r.'.~ntcr r,s.pidement,
ce qui exerC~l'a unl- enor'm-; P!'CSSiC:'1 S,X:~ ;C5: ,:;;crv'lces ::i.-?Cl,-~~U.':, dGL·.:lr.-i:I~t"nt CfUX de
la di.~-:lrit"ll~ion dJ{:'J.I..L r~ :":·:,1's. :~:,:i'fic:l~~ d'.:l.E;:,IJt (. l-~~',:':~ il:';.,rr- (~[lt:~.~, ~:
t:10l)pE'ment
,»
davantage
p01,Jr
c(:
,~:tLi
,':cst. de
l,--"
cadres i,1J.sti1;ut}cr:.npls <:tPJ--'rc~rrlL~s
socio-economiquL' 6quLLabh.
188. L3 nllse
secteurs de:
en v;-:h~Ul'
l!aeti\'its
de:;
.::ni,62
r-';n
·t-,·lar,,:'
n,.'c.pS::~,lj:;'·'.,-:~, .::_
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y_,10r:lfi.c:.;;.Ll::,l' "()lide f::-t des
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Page 60
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orit.;:nl6e2 ')(--'1°:': :,~ ,:::1,:_',,-] d~~ l'~'-_;'-J'l.cuti,Jr: d,; r_"2t.tc :':::l!'3,t~~g:ie, ;~,t ;:"2'1 en inL:!'mEtnt les
Etat.s mel-;lhn~'F ~,_;~ !>r,)~'rl'_-'-s, d,::::--~ ",(-'lltl'Cl1nt.'::3 c. . t d.E:'::~ cha,n~:em'2!',v:', jans l"''::cl'fire de
priol';:.;~ a.Hi~:::
'-;u;:-~r, l-r,~\_' 'd.'n'., '_1.. :',~\-alu,,~t.:on 'v' rimj'.-_v..:'t {c, :~(___ :-:: pro~~:ramme::; et
actiYl·p'3 ;:,U~'
),~,
·.-;t;_1.n -SlJCi'=--'~c.()~-,-":'I:li0Lr:.
191. 'L. \:tS,~iST,anc-~ t(-:c ;1;'.1 -F'(~-
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membre~
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I_~-·e:~tt:- ·'l:.,sisL'-I-!1i_:f>
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~TICOtl_LL?:';::"r' l\'c-'vuls'':. (.Ie "\'ues ~,llr les
Gt-.:'-,/,.:l-;PL',emE'nt ::;;'fic,=' n L; t·2'!lUi'.; :?,U, Dlan if-~gi0nai de
[I :''-:'Z: :'T~Ent'
192.
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.-~·t l~l
seront
de;:;, ':1l.tj\titJ_~s ,"::e m~_s'­
:;'~l'c;. completee par d22 stage~
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c~..::::ma~r:'3 ci(:'! la lnise en
AL-,j d-_ menel' (, tkn ;-;0n role
~·.'-:~:'E:<:]ri-"ct c~,::;_tir'u·,'1.':,:- :~;'~)l;1[)~:\-,)l~'1<-:'_) (;,::,,',t~"..{',g;-:_~s .j'i'lTOrDJat.lons
(JU
genel\1.1e
te!t~hr'..lq-ues
'.=-X]:.i\"-'-'t,c: '_l['tLlnau~_ c~ -·li' l'~,:::\:,=,c.uti:Jrl
r'I2,:·30urcl-'~:; '~~n '~d~l.
J~ i\)!'nl..:iticl:'~ ,::~
cr_:tL'lte~~
',"- -
l;j,CUE~.:"\:;[_.
ba,0i:1n3
pl'()dui~~s :.11"11--:' c..f?,S:::istc-r :\':
1':;:-:'-; St~ j'\' E:e~: «~'L,;ultatL_ s :'/..:1'(,111-, ±'<-:urnis 3,\'lX Eta ts
~i.;iy,q,_tJt:":
r{/:',u1'"
~<iail'obi par:-t.~r'_~pLl ~:,
ti~)l
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7 2-~ J
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XI
sent _;,c·s ~·(::~ol \.'i Lions
e~ "-:--l~'
:35/64
1:2 d·: 1'Assemblee
E/ECA!AD HOC.MTP/9
Page 61
bJ
0biectifs
193. Encourager la mise en __ aleur des res sources energetiques en A.frique de
fayon it assurer un develoPPE:ment autonome et autosuffisant; et promouvoir la
diversification des source~ d'energie afin d'elever Ie nin,au de vie dans les zones
rUl'ales en faisant un rneilleur usage de toutes les sources d\~nergiej en particulier
les sources d'<~nergie nouvelles 8t renou velables.
iii
.9...Q.ieetifs du secretanat
194. Les objectifs generaux du secretanat de !a CEA dans Ie domaine de l'energiE:
sont ; 1) adopter et rnettre en oeuvre vigou reusement des meeUreS sur i'exp}oration,
l'evaluation et la mise en __ aleur des sources energetiques en Afrique; iil aider les
gouvernements €I integrer Ies politiques energetiques dans les politiques generales
de croissance et de developpement socio-economique; et iiD promouvoir les activites
de cooperation multinCition[tle lie"" it l'exploration, I'exploitation, la mise en valeur
et I'utilisation des sources d'enel'gCie traditionnelles. nouvelles et renouvelables, en
particulier dans les zones rurale3.
c)
195. La necessite d'un developpement aceelere de l'Afrique a He soulignee dans
Ie Programme d'action des Nations Unies pour Ie redressement economique et Ie
developpement de l'Afrique, 1986-1990.
ee document a souligne I'imperieuse
necessite de pl'oceder a la planification et ;:, la mise en valeur optimale des
ressOurces (.nf>rfS~t1qu0s (h:- in t''''EJ:bion~
C,~pe!1"jant, en n'a pas enCore une
connaissance precise de toutes les differentes sources d'energie que recelerait la
region et il existe une grav\? penurie de cadres nationaux de haut niveau et de la
technologie requise pour I'exploration, l'evaluation et I'exploitation efficaces des
ressources dont !'importation continue a"gr,we!'a les problemes de balance des
paiements de la region et prolongera Ie temp'S m3cessaire a la realisation de
l'autosuffisance et de I'autonomie collective. Les capacites pour une planification
efficace de l'energie sont faibles dans de nombl'<'ux pays africams en depit des
efforts fournis par la CEA pour les promouvoir grace €I la tenue de tt'ois seminaires
et ateliers regionaux sur renergie durant la periode 1984-1986. II 0' a egalement
une penurie d'institutions tant au nh-eall national que multinational et dent
l'existence favorlserait If' formulat-jon (~t la mise en oeuvre de politiques
energetiques judicieuses et la g;estion d" pr"jets energetiques viables.
196. II convient d'accorder une attention particClliere au probleme du manque
d'experience des gouvernernents dans Ie domaine de
electrique. Cela
signifie qu'il est difficile pour les gouvel'nements d<" profiter de l'integration d"
leurs plans de de,'C'bppement electrique et de t'tnterconnexion de leurs reseaux
electriques et de ceux des pays Yoisins, Ces gou\"enlements auront besoin d'une
assistance pour leur permettrR d'explorer, d"evaluer et de developper les capacites
dans ce domaine.
II importe de promouvoir rapidement la production et la
distribution it petite echelle et d'accroltre }'utilisation de l'energie electrique dans
les zones rurales.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 62
197. Ce qu'il faudrait e1.~iter dans L'a.venil', c'est la concentration excessive de
projets dans les zones urbaines f.11J det1'1m.:::nt jiJ milieu rural. La. fournitul"'e
d'energie, en particulier '" partir de sources nouvelles flt renouvelables dans Ie"
zones rurales est l'une des mesu;'es requises pour corriger les disparites entre
zones urbaines 0t L<.Jne:-;;: rtll'ales ~t stopper Ie deboisement croissant de ces 20nes~
d)
Str::.t"gie pour la period" 1992-1997
il
198, Des services cons,"itatiC", auront ere t'o<lrnis aux g'rouoements econorniques
sous-regionaux et it certains EtatB rnembr<es d'Afrique australe, d'Afrique de l'Est,
du Centre et de l'Ouest et
certains Etats insu!.3.ires sur les divers aspects de
l'''''ploJ:'ation, de l'evaluation et de Ia mise "n valeur des sources d'energie
c1assiques, nouvelles "t renouvelabics. S'a.gi"sant des sources classiques, l'accent
aura ete mis sur 18 mise en v'~leur et. l'utilisation du charbon et ia possibilire
d'echanges intra-aIl'icaina de eharbon aura egalement He etudiee.
La meme
approche aur~
adoptep conCf<rnant la mise en \ aleur et I'utilisation de sources
d'energie nouvelles et l'enouvelables. Des services consultatifs auront ete fournis
aux Etats membres sur l'integration de leurs act.ivites de planification dans 1a
planiiication sociO-eCOllQmique glob~-de et au CRt~.. ES sur la mise en oeuvre de son
pl'ogl'a.mme de tra\'ail,
a
199. Lee
pubiications techniques
sur l'inventaire et J'eva.luation
des
hydrocarbul'e1', 1u charbon et des sources d'energle nouvelles et renc;uvelables et
sur la creation de conditions optimales pour l'exploration, l'exploitation et
j'utilisation des hydrocarbure;; ct du charbon dans certains Etats membres africains
auront eliS achev""s. L'etude sur I'ener'-$ie en Afrique aura He mise
jour chaque
an nee"
Des publicationF: t~chnique.s sur If'S aspect£. operationnels et
organisationnds de l'utilisatioIl de l'hydro-electricite et des res sources en charbon
a l'intention de~ agents gouvel'nementaux 3.Ul'ont egalement et€~ achevees.
a
200. La formation de nombreux cherchem-s, ingenieurs et techniciens africains
danB Ie domaine de Ill. planification en matier" d'enel'gie et de Ill. mise en va.leur df'S
sources d'energie nouv{;'"Hcs er, l'enouvelables aura par ailleurs ete entreprise~
20],
UIl certain nombre d'ateliers sur la planification en matiere d'en,;,,.gie, les
projections sur l'offre et Ja demnnde dlenergie, la gestion de l~energie et sur une
utilisation accrue des: ressources en charbon en Afrique et de reunions sur lea
utilisateurs pacifiques de l'energie nucleaire en Afrique let sur I.,. mobilisation de
ressources financieres pour 109. mise en valeur des sources dtenergie nouvelles et
renouvelables en Afrique auront etc organises.
iil
Periode 1992-1997
202, Le present sous-progl'amm<' sera axe sur la, mise en valeur inregree et
equilibree des sources d'energie classiques et des sources d'",nergie nouvelles et
renouvelables en Afrique. A eet cl'\ard, une assistance sera fournie aux Etats
me-mbres et it leurs organisation" intergouvernementales dans la realisation d'un
E/ECA/l\D HOC.MTP/9
Page 63
inventaire systematique et exhaustif d€s SO~Jr('es d~ener~ie classiques, nouvelles et
renouvelables, l'analyse dE's conditions de leur prospection, de !eUl' exploitation, de
leur distribution et de leur utilisation afin de cl'fier les conditions optimales de leur
mise en valeur et la formulation de politiques energetiques inh~gn§€'s et
l'incorporatlon de ceHes-ci dans les polit-iques de developpement socio-economique
et de croissance economique globale.s.
203.
Les act1vih~s de suivi d? la situation energ&tique, de formation d'une maind'oeuvre locale et de collecte et de dIffusion de donnees sur l'energie seront
poursllivies~ A c-et egard, des 0tudf~B sur lez aspects 3tructurels et operation nels
des ressources energetiques telIcs que 1e petrok et Ie gaz nature1, Ie Gharbon et
la lignite, l'enel~gie h.y-drauliq\le seront effectuE'es ainsi que des l'(·cherches sur les
possibilites de fubricatior, locale de materiel et c'equipemenl electriques, de pieces
de rechange utilisant des sources d enet 'gie nou~. .~el1e3 et renouvelables.
l
20,1.
La coHccte et la mise a jour de donnees gul' l'.fnel'gie seront poursuivies ainsi
que la formation de cherchetn~8, d'ing-enieUl~z; et ae technicians africains dans Ie
domaine des sources d 'cinergie nouvelles et renouvelable.;. Des \roy-ages d'etude
seront auosi organises pour des experts africains dans des pays df:ve-loppes et
des pays en developpement ayant une experience dans l'utilisation des sources
d'energie nouvelles et renouvelablf:'s.
SOl'S-PROGRAHHE 21 :
LA POPULATION EN AFRIQUE
205.
Les textes pOl't..'int autorisation de" traV ..HlX de Cl" SQllS-programme sont la
reRolution 5-1:3/2, paragraphe -t de :'Assemblee generale, la resolution 1987/71,
paragraphe 3 (B) et 4 du Cons"i! econD'Uiquc' et social .'t 1a resolution 506 (XIXi,
paragraphe -! de IE>. Commission.
206.
Ils consistent a ,
a)
Promouyoir Ulle approche integree en matiere de population et de
planification du deveioppernent;
b1
Forrnuler et mettre
appropriees danE> la region;
en
,'..,uvr<e
,lei'<
politiques
dernographiques
cl
Etabli,' Iln equilibre entre les taux de croissance demographique et les
taux de croissance socio-ikonomiq1!e souhaitG~,;
dJ
Ameliorel' Jes conditions de vie dans les ZOnes rur:lles "Ifin d'il.ssurer
un developpement autosuffisant pour freiner l'exode rural;
E/ECA/AD HOC.MTP /9
Page 64
e)
Former un personnel qualifie charge
d~
la collecte et de l'analyse des
donnees demo,graph:iques et des donnees connexes ainsi que de l'integration de ces
informations dans la planific3.tion socio-economique;
f)
EtabHr des mecanismes pour assurer un flux continu d'informations
demographiques necessaires a la planification du developpement socio-economique.
ii)
Ob jectifs du secretarie,t
207.
Les objectifs du ~ecn§tariflt sonL Ie prolongement de ceux du plan en COUI'S
et sont renforces par de nouveaux mand·3.ts qui soulignent l'importance de 1a
population dans le devEIClppement socio-economique. Les objectifs du secretariat
sont :
a)
Faciliter I'integration de la population dans la planification du
developpement socio-econumique de b region "fin Qu'entre 1992 et 1997, deux
manuels sur Fintegration de3 va.riable~: demographiques dans Ie developpement
socio-economique, llotamment Sl1r l'approche sectorielle, aient ete acheves et mis a
la disposition des Etats membres; fournir une assistance aux Etats membres dans
1a mise sur pied dE' cornmlssions deffiographiques et d 'unites chargees des questions
de population;
b)
Encourager les Etats membres et les nidel' a formuler et it mettre en
oeuvre des programmes et des politiquE's demographiques apprupries. et a evaluer
des programmes de planification familiale. On esperE" qu'environ 15 pays recevront,
a leur demande, une telle assistance' entre 1992 et 1997;
c)
Fournir une assistance aux E~qts membres dans l'analyse et. l'utilisation
des donnees demographiques ill est pr~vu que 10 a 15 pays recevront a leur
demande une t~lle assistance, entre 199<: et 19971;
d)
Effectuer chaque ;:mnee "'letr" 1992 et. 1997, au moins quatre etudes sur
les composantes de ia dynamique de la population d leU!' relation avec Ie
de'l.reloppement socio-economique et sur les progl'ammee. de planification familiale;
e)
PrepareI' des projections et d~~3 estimations demographiques
I'intention des Et.ats membres (une fois tous les deux [ms entre 1992 et 1977);
a
f)
Itentisifier b priE." en compte dc·s questions de population dans Ie
de,\,Tcloppement socio-econornique '2:race 2-\ la diffu3ion des resultats de la recherche,
a l'organisation d'atellers et de ('onterence<; (Conference commune des
planificateur3, stahsticiens 8t demographes afl'icains, t.rois fois entre 1992 et 1997
si la pratique actuellp de 10.. tenir une fois tous les deux ans est maintenue);
g}
Assister les Etats membres dans l\~tablissement de systemes nationaux
d'inforrnations deffiographiques (o p:lYS Sel'ont 3,s.s.!Sle~·, n leur demande, entre 1992
et 1997);
h)
Facilitel' la formation de ressortissants des Etats membres en matiere
d',maiyse et de recherche demographiques tot d'int.§gratio!l de la population et du
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 'l5
developpem'C'ni nu h~_~?:.itlrc~l .frlEljtllt:'> f'()l' POt_i'::-'":~"'~.!;es (F(j:r-'S~ (1'\C<T3 t(~hana}
et r. l'IHstiV;L de IOl'In::itlcn et dp. recherche d(im0~l'ap:",lqu~":::. llFOi~[:) ::It' 'r<iOUEdp
{Cameroun}. '::-;nt1:y~::J ('~_ ::·0 ~~>t~~B":a~r-:<~- (!e~. '3.:0')f :~;'L' form~<3 t.:he j:l~ ~ll~rl'_-,,-' 0.31"'"
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entre.veF.'s, llof~a;r,ment [)a:' if:, ~nanqu\= de d(;rn2';:c" ·::x~( te-0 ::ur LL ,'l,'·/t"tamir:;,ue d,::
popl"Jati,)n. l'r, ,;iljtJ 2: pr:,bt:::',h" ilnporL.'Tl": -; ;.T.~,i't'::~· ::.<.,t 1e ,';~d'lq~i'~' '.1'-,' 1:JcT50nnEl
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demogrlipnlqU( des ~::!ticns T;r:i83 f'-.:n Af:ri.:; n ":. Les ~:'(;,\''S ";~':~~C::l: ';:~ "J... di3pO~ent pas
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L.3.C.5'~ DJe:ubres O'.:J.n:::
1a creatiun (·t k renfol'cemcEt des ir:,f~t:.sL~'-'1JCtd eo:: '::: -::: Tl" 1~] ~.lfGL'.l', ,.ti::;,', 1c;ucgr;:-,l,:ph,iq ue.
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rc:.I>!·'orts a~'e(; :e d~~'1.. ~h)I-';P.,::~w.:;nt ;socio-economt·.:,:11C y OD!" :1-:11',-s ~.;y ';<:<i'~:cunc if'(: sur:~,
conlribu(:. E ftU1ziro...:.t c:cpr:-ndf!t;t ,.;1..;'2 If:' '::::·L'{·ret;,'H'('~l..t. :~c'rd.i~\L~(:' de lr:t-,[','~~~: ..),;,?S ;:tctivites
de i'€'·C h(·2"c! II': su!:' iu dynamiq'..lC: ",h"" ! J populhti'..::rl et 3":\ c\;:'r£l:'1.tion a\rec }e
d6veloppement socio-econon:iqU'~~: 1;" p
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demo~:r:;iphiql;{ ' ':. K';l.. lE'" ~~;"':;"tk'?n1(;rl+; U:'j :',::'11;.' I.'~'
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sectO'~.'ielle, notammc:nt ,..:·r: (':C", "{'Ji CDllc'::rnt': h.::. di:sponibilit{ ()t ta qualite dps uonnees
actuC'lles.
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A 1:'t fir: de 1991 k' s:'0c:..,etarlat o.ura l~e[!lisE' des etudt·::s concernant rar.:.aiyse
cles d0nneC'~;. lee estimation~, l:t tCf::. p~'ojecli()ns dr-:-s parametres demographiques et
':1ssiste les EtatE'. I:1l::::mbrE-3 ca.:1'.:> 1,)_ for:-:lulation pt la nri:·~e en ~euvr0 d,(,) politiques et
1]''::: l:·n-.·og1"'.3.mmcs ',';"n rl.l~l,1'>n.:: j~--:; _::-)(~~. uL~~i . .;r;. C<,~ flccl\"itci."; .:::'.uront r.:.ro'\"vque un€: prise
de ccn:~I~ienc' [::>ou:r '1Llen€:l~ lC'-,~ r:tat5' nlf'.'Clbn''''','3 ,:1 adop;l)l' des fl1e.sUl~e!"- '(.Jl:opr€S A
irl\'(,r::-,~i:"J' 1'1 nt 6g'1',...tje.n d"s ',' ~lria.tles d~~ r:lo~'raphiq bes dElns la planifh.::atioll cin
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econ<·m~(llL~ e~'
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ce T!~m}:,s, c· .,t;:,~ir:~~ ·;:)ay:·; 2{-,~ prf;pa::!~r.-:)nt 3, L1 d\~uxP~n(; ':;,-,rie .j~ r',jC'~!L~ements (1995200.J). Ln 19:?-J, t:~l cerl.:,a-ir' nc"d t'C' d'~tudE;S ~::U:~,' It>. o;.r!'i.amiqt!e de 10. population et
ses l>'J.ppcrt:-~ ::,.x·.::c I," -lp-;;::ic ~»e.t:e:,t :_;oci_o-~"CCH~iC'lniq:,H"! ,:l.uront cte n§alisees a
l'intent-io:'J
(k'.3 ~~,_.-:;.,L:~ '.;',C"[!~t, ~'Z<.
212.
Lei phll,:,,·.. -:.'t (;~;S ~'--l: S .:i1.L::'('ilC utiE:.,A 1..::s C-.-:icili.t:.:s dt--~· fCl'ffi[-;J:.iOl1 des centres de
formatY)H df'I'"lo,-;,~aph!q~!,-· J' \c-'~)''-:~~ de YaoLIH.::.e (lU d'autre,::; institutions db.ns la
1
r~gior.. ~-)u ::ll\~''fT<.lng·{·'r. (-'.:'-:'''t.:J.ln.; p'iYS rl aur0nt pc.. :~·. pleinement profite dES instituts
df' fOl'DlaLic!l d':\~:cr;1 '-:~-t. c> " ;"~0unlih
\ ( -;:.1'".,: ~,j~~'mc de FassisLance au.:\. payci
hispanophon'2s ,:::~: lusopr..cr,{_-·s dan~.:; let formation cie kux's cadres n~,; sera pa.s resclu
en 1991.
L"!n:'-:" de '=oordiIl3.~jcn de PCYP...--·':;d~'.cCt r:1Ul C.c ete E'taolit, pn 1984. a
enr'2~:~_'t.l'E:. '.::<..~1 t..:-uns j:Tc,:,':ref d.3Jls fi(h:..nt.ific'-Ltio!I et reta.bhsseIl12nL des centres
n3tiGr~:._~,.-'" v;:~rt!c.:J!)aY\.L). i.:(':)r:~n(': 1nt, ;-!_ L f;n :.1: ":'.-~'~',~, ml~me sj ]("s tondations aUl'ont
t~te j'?teco::, l-1(Jur c'!'·f.pr de' j~lf~·c~(;tructure~.:; d'i:'ltormaLic!l stir L.;--1 pop1..tiati'=-'I: dans les
Etnts P1emb)',~'~:,~ j.:,:-.~ c,,:ntt·?c: n:'lh0:~~E:U:;: partirip.:'-;.nL; ·;'·':-luront PE:.S ~h; cree3 dans la
majcritc (1.?~, Ft;_\~;:.: nt.'!T\br('~~.
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')'
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, ... ) .J.
ej'lntE:;grer 1,2's \'ariables '.iemograriliques c1an.'3' l~' dt~"',;elo~:\pe]jl'2nt d':::'.Ti'::. c~rtains
do:naines ~;eci.cri.(:ls ;;!1-r.r:',; ;:4~Y.: '.-=-t ;~'di. "_.:pc '1;.::<?~stanc(: :_~;:::'ilUnuera d'E:t.rt.. foul'nie
au."( ELr--1ts memblCt' d~tn:::: 1." f',)rrr.ul.:~:(,ien ~"t lJ mi~:c ':'-1:'1 ',)E'u\-re de prcgramme~. et de
politique'·- d(-:i.mo~l'2.phiqiJ.e;;:-: ;.11' ~~'l'o1-n:ies ~~:<_C('
l' Jctr()~. S'-u,C- dCDll.l.r;nc, j,,~ s('.:'l'vices
consullctlif"', l>::'gionanx. ~}n(' '\,S:-~istdnc'" :':-;C'O, '~:":J.:X!l(t1.L f0~,(r:1it· (-11C',- _L-:£~ts mernbres
dans In_ ""1].",: :--,,;r :;' -,,:_~ -1'lJ,nh6" (k~mogrd.phi(!.u,"-::; '~~!L; l'·-:'- bureau_x .Jc :,:-l&,n~fj:::ation
et l'p.-tat,lissc'f)('!lt de r:cmmi3sion,':, d2 1a popul'::,[ion :lins'i qllf:. l·\:r~anisaL.l')n de
vOY3.~:e'3 d \; .U":C~ d[ln~, d ,-:-'~ ~ .. -~ ' - ,'3 Qy,'1~1'--- l' :-u S: J i~-'\'I:-:': ))rO~;;rap1mes oe;t poiiLiques
derno~rg,ph :'-::. ~i'-=::-.
'2J.:J-.
El..d.ot donne '-tl.t'; d_' nomi..)l'(~u~~ pays auront. effeC't.lJ.I~ des rC'cen;;ements, on
espere que, danE, plu~:. de 1;_1 r:l")iti~ d'C'I1trp ·::ux. ·:ies analyses de\'ront ayoir ete
faites pendant 13. jLlYA~ au pian propose.
:F'OUl' -3.ctii,-~er l'ana1y,;.,':." Jes donnees
ra.-sspmbl2e:~. ~:':; :-::pcret~ri.8.t
l)a.naly~.t., pt l,,~tjr;~c. . tion
Cevr0. cr~,... r\isf__ ': tJ.:_'·J ,:t.-eL ..:l'S 3ans ~c.-.:; ELJ.ts j11embres sur
def'. :,,;'su1tats des l~f-~C'2n~,.;:-ment.s.
OE poul'suivra la
fOU1·O-:.tU t'o.::" d -=; s'~~r~· ic.es cc!nsult,"lLif.::, ~a f')l'ma'l,len ~'ll l:OUl'S '.:femploi et Ie;, formation
cit ;,-i,~"-':':<' ::.itt,· -rmeJi.lln':! 1 l\,lh:-nUun dE'S, i:~;:ldres llation-Ltu:<.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 67
215.
Des etudes seront effectuees dans lea domaines suivants:
fecondite;
rnort3.lite; urbanisation~ repartition et redistl'jbution de la population et migration;
programmes de planification familiRle et d'espacempnt des naissances; integration
des variables demographiques dans la planification du developpement; pclitiques
demographiques; role et condition d.e la femme; population et environnement et leur
rapport avec Ie de'\·~eloppemellt socio-economi,q ue. Des estimations et des projections
demographiques seront egulement effectuees par Ie secretariat une fois au CQurs
de chaque exer-cice biennIJ,l.
Des s(~minaiY'es de formation sur les estimations
demographiques seront egalement organises.
216.
Le secretariat inLl~nsifiera se~ activites pour promouvoir la prise en compte
des questions de population dans la planification du developpement grace a la
diffusion de ses etudes. La Conference commune des planificateurs, statisticiens
et demographes africains i um fois Lous les deux ans), des ateliers et des
seminain~s ser,:il'ont ~g;alement de cadre puur 1"'!"'C'~-'--' ;~-')ir la prise en consideration
des questions de populat-ion dans Ie d0v-eloppement ~0clo-economiqu€,
217.
Le secretariat menera Ulle yolitiqne ag're9sive pour nne plus grande prise de
conscience des questions df~ population dans la region, notamment dans Ie cadre du
projet POP IN-Africa.
11. tra--o;,raillera puur c(:;la en (itroite collaboration avec les
rno;.~ens d'information fl la fois au nJ\'eau national et regionc1.l. Des seminaires et des
ateliers sur 10. motivaLion et la sensibilisation des u.sagl~l>S destines aux
responsables, aux p]anlfic2~teun::: et a d~~s groupe::.: similaires scront tenus une fois
par an. Des missions consultatiyes seront or~anispes, snr demande, pour assister
les pays dans la mise sur pied de syst.emes dJinformation ou dans la formation des
cadres nationaux en rnatiel'e d'informaUon sur 1a population.
218.
Pour faciliter la formation ie nationClilx des Etats membres ell matiere
d'analyse et de recherche demographiques et d'integration d8 la population dans
la pl3,nification du developpement, le secretariat continuera, d'encourager les Etats
rnembreE. a profiter des activites de formation des deux instituts de formation des
Nations unies J a savoir Ie RIPS ei l'IFORD. L'2 secretal'iat encouragera egalement
les Etats rnembres a manife3ter un intfiret i..--lCctll ponr les deux instituts et a leur
octroyer un soutien financiel adequat.
Le secretariat essaiera eg'alement
d 'organiser des activites de fOrnk-l.tion pour 1es nationaux deE'> pays africains
hispanophones et lusophones.
SOUS-PROGR\MHE 22 :
a)
ADMINISTRA nON ET FINANCES P(JRLIQUES EN ..'FRIQ.UE
Textes portant autorisaiio!1 des
trav·3.UX
219.
Les textes portant ::::t.utorisation des travaux de ce sOlls-programme SOI)t les
resolutions S.13/2 du l"r juin 1986 (alinea i du parCigl'Ciphe el de l'annelCe II) et
41/182 du 8 decembre 1986 (alinea a) du pal'agrenh n 1 de i'Assemblee generale ainsi
que les resolutions 1987/5" du 28 rnai 1987 (paragraphe 3) pt 1987/92 du 9 juillet
1987 (paragraphes 3 et ·1) du Con,-,eil eccnomique et social.
E/ECAJAD HOC.HTP/9
Page 68
220. I1s consistp.nt a: t'cnforcer les institutions, systemes, pratiques et methodes
d'administl'ation pub.illjue ell vue d\,:!meHol'12r 13. gestlOn du developpement
economiquE"; accroitre la cont:t'ibution de::; chefs d'entreprise locaux tant du secteur
prive que du secteur public; amp1i.orer l'cfficac.ite des entrepris€s publiques;
amelivrer la gestion des fina.nces pubJiques: en l.~ue de mobilh~er, de l'epartir et de
contr'oler efficacem.ent i,es ressources financieres; ~t prendre des me::;ures tendant
a remedier (:t. la penurie de main-d'oeuvre qualifiee pour la gestIon des ~ervices
publics.
lil
Ob iectifs du sccret..:lrlat
221. Soutenir les efforts des Etats memtll·es tendant a arneliorer l'efficacite de leurs
services publics et de leurs societE's semi-publiques; aider a formuler des politiques
p:t mesurcs financieres rationnelles pour la mobilisation et l'affectation des
res sources compte tenu des priorites de devE;:loppement t ce en ameliorant
respectivement les regimes [j~caus et les techniques budgetaires de l'EtaL
Proposer des mesures en vue d 'un contrale '2"ffieace des ressources financieres
publiques et aider b. mipux mettr,~ en valeur les ressources humaines dans
l'administration et les finances publiques.
c)
P l'oblemes traU&~
222. L'impcrtance et la diversite des fonctions de l'Etat dans Ie developpemcnt
national ant ajovte <i{~ ;',,');_'\."c11(":::,; :~jrD~n~.,;k"ns aux roles des systemes d'administration
et de gestion publiques dans les pays africains. En depit des efforts deployes par
les g'ouvernem'2nts de plusieurs pa;.-~ africains pour ameliorer l'effjcacite de leurs
services publics dans la gestion du developpernent, les re"ultats obtenlls sont
restes negligeables CQmme en ternoig'nent les crises econQmiques des annees 70 et
des annees 80. Bon nombre de problemes ant sur~i dans les domaines cruciaux
comme leA. suivants: lenteur de la ionction publique africaine
evoluer d'u.ne
administration colonial€: figcc en une c.HJrnjnistration orientce vel'S Ie developpement;
insuffisance des quallficai]ons, des connaLSSallGeS, des moyens et de 1a motivation
susceptible::;; d'aider la fonction publique africaine it n~agir effi.cacement aux defis
du developpement englobant la planific3-tion, l'executiQn ainsi que 1a surveillance
de la producLlun et dE' In produc;t~vite. in distribution du produit detj activites
economiques ct l'administrution df-S politiques economiques et sociales, la gestion
des problemes tenant aux risques encourus par !'el1vironnement ainsi que diverses
catastrophes politiques et natul'elles imprevues et des crises telles que 1a.
secheres~:.e et la fam.ine.
n faut pr'2ndrc des l1leSUl'es afin d'amener les services
pUblics africains
relevt=;r ce~ dE,fis.
a
a
223. La contribution du secteur des entrepl'isps publiqucs all processus de
developpemcnt economique n~a pas r&pondu a l'attente. Les soci6tes d'Etat qui
etaient cpnsees apportcr un excedent financier au budget de l'Etat ont souvent
exige de lourrlps subventions, dev~nant de CE: fait un fardeau financip.r pour
l'economie nationa1e. Les entreprises publiques 8fl'icaines n'ont pas atteint les
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 69
objectifs ou buts non commerciaux qui leur etaient n:<:es. Leur statut, leur mode
de fonctionnement et leurs resultats aevront etre evalues et des meSlIl'es devront
etre adoptees pour ameliorer leur efficacite et alleger Ie fardeall qu'elles
l'epresentent pour Ie bud
national.
224. Les etablissements et programmes de formation destines a former des
administrateurs n'ont pas He a~es sur la gestion du deveioppement economique et
social et ont par consequent amoindri \'efficacite des services publics.
225. Les ressources financier"s interieures destinees a financer Ie" budgets de
fonctionnement et d"'~quipement n'ont pas ete sufH:;;amment mobilisees.
Celte
situation a donne lieu 11 un lourd endettcment public avec Ie service du fardeau de
In dette qui en est la consequence. Les facteurs 'lui ont contribt:'; a eet etat de
choses ont et6, entre au.:res, {'etl'oite assiette de l'imp6t dans les pays afl'icains et
son inelasticite face il l'evolution des objeetifs et programmes socio-economique et
de developpement. Pour ce qui est de ]a programmation des (hipenses, les priorites
en matiere de programmfJs ,,'ont pas iite conYfJnablement arretees. compt0 tenu des
objectifs de developpement. pour \ 'affectation des ressources financieres, ce qui
a entrain;; Ie gonflement des depenses pour des programmes ,..t projets qui ne
cQntribuent pas a 1a crois2ance ct- GU de-v2ioppetnent. Le iait qU€ les budgets de
l'Etat dans la majol'ite des pays afl'lcains sent toujour's et'tblis sur la base de
pastes de depE'ns€ et non ,1(;: progx ;J.nunes et Je manque d 'harmonisatIon du budget
et du plan ont contribue dacos lme me sure Lon neglig(:able it ]a mau.,,,is": repartition
des ressources.
d)
"trll~6gie
ii
pour
8ituaLion
i,!-~8riodc
a laJ'inde
El92-199,(
1991
226. A la fin de 1991. I"s gouvernement:;: africains a.uraient, par suite des crises
economiqu€s des annees :0 ~0L deb &,nEt;t,s B~), ree-onnu 4.ue leurs institutions et
systemes publics d'administration ont toujouJ's em role vital a jouet dans Ie
processus de developpemenL et que I" succes d'un den~lop1>em,..nt economique et
sOCla! soutenu depend en part,,, de l'efficacite, de la ffioti-,-ation et de l'integrite des
services publics ainsi 91..1"'-" dot, t)on!; resultats des cntreprises pub1iqucs~ 11s se
seraient egalement rendu compte de la necessite d'une m~,bilisatic-n adequate des
ressources financieres
inb:~l'ieurf"s
grace h l)amelioratiori des regimes. fiscaux et de
leur administration ainsi qu la une affectation effi':::ace d~? ces ressQUrces compte
t~nu des pl'loriti's de devi'loppement et dC's contraintes qui s'imposent au:"
ressources financif.res jnt~rieures disponibles.
ii)
a}
Proposition, par l"intel'mediail'e de serVlce;;; eonsultatifs et a la demande
des Etats membres, de mesures cendant it ameliol'el' l'efficaclte des service c publics
et des sociftes &emi-publique.", dans Ie processus de dev(~loppement dE' meme que
diverses autrcs mesures tendant a ameliorel' 18 gestion deq finances publiques;
E/ECA/ AD HOC. MTP 19
Page 70
b)
Execution et pu blication d 'etudes
tht~oriques
sur les moyens d 'ameliorer
l'efficacite des entreprises et des services publics; budgetisation par programmes
et prodllits en vue cl'une meilleure affectation des ressources~ restructuration des
regimes fiscaux pour une mobilisation adequate des ressources interieures et
:::I.doption de mesurc.3 efficacf..:::; iJour contraler leG depenses publiques;
c1
Diffusicn, a.u sein des £Stats membees, des etudes faites devant donner
des indications visant :3. arrH~liorer les ser"vicps publics et 1a gestlon des ressources
financieres }>ubliques;
d)
EX:J.lnen des etudes lo~~s de COllrs de fGrmation, de seminaires et
d'ateliers nationaux, sous-regi.onnux: et regionaux a organiser en collaboration avec
les Etats qui en font la demande 8 l'intention de lCHt's administrateurs publics;
e)
Fourniture aux paYSt grace a des etudes et des services consultatifs,
d 'une assistance pOUl' le renfol'c,pment, aux niveaux national et BQus-regi.onal, des
m05T£"ns des etablissementE de formation et de recherche ainsi que des associations
s'occupant de ram211or::ttion des SYSb2ffics, po1itiques et meLhodes dans les domaines
de l'administration et de 1a gestion publiques, dll budget ct du fisc.
sncs- PROGRMI"!E
228.
23 :
SCIENCE ET TECHNIQUE EN ,\FRIQUE
Le present sou3-programme comprend lee sections 1, 2, et 3 .
.Section 1:
a)
Polili.ques et institutions pour le developpement et l'application de 1a
science t'-~(, de 1a t.echnique
Jexles Dortant [lutorisation des tra',raux
229. Le::. textes portant. autorisation des travav:\. de la pre-sente section Bont : les
resolutions 2cl8 (XII, 332 (XI\), ~:G3 :~~{/-' ,:!t ~E;5 (XV1TI de la Commission; les
resolutions 336" is-VII), 3,,07 (XXX! et 34/218 de l'Assemblee generaie; et la
resolution 1083 (XXXIX) et 1900 (LVII) da Conscil (~conomiquc et social.
bI
Obipctif"
i)
Ob ·jeQtifs des organf:'S intergouvel'nefficnt3.'Jx
Promouvoir l'etahliss-em!:-'nt des. organe:s n(~Cf::6saires a la formulation de
politiques pt de plans g'oLlvernementallx pour 1e deyeloppement ~t l'utilisation de
la science et de 1a techniqup FiU ?ervice du dcycloppement economique et social et
a la mise en place d'infragtructures :-}lappui ~L la science et a la technique en
matiere de politiques~ d'in:?,Litut-.icns l
de main-d'oeuvre et de services
technologiq ues.
230.
ii)
Ob )ectifs du secretariat
231. Promouvoir la comprehen3ion du l'cJl€; de la science f't de la technique dans Ie
devC'loppcment economique <::'t social c::drisi. que l.a nat"lre 4?t les niyeaux d'inLervention
possibles afin d'assurer Is. rertiisation des strt:itegies de developppmpnt choisies;
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 71
realiser des etuues sur If-S politiqueE. et les pla.ns nationaux en matiere de
technologie; favoriser Ie developpement de competences dans la formulation de
politiques et de plans na.tionaux dans Ie domain" de la science et de la technique
et dans I'cvaluation de la technologie. Mettre au point et diffuser des directives
et des methodologies pour Ja formulation et Ja planification de politiques en matiere
de science et de technologie qui deyrollt etre achevees a 1a fin de 1993.
c)
Problemes tr:;J.ites
232. Ell depit de la recClnnaissance SOllvent affirmee du role de la science et de
la technique dans Ie developpement, les plans nationaux de developpement
n'accordent pas it ce domaine toute la place qui lui l'evient. L'absence de strategies
speclfiques pour I'acquisition des technologies >:equises it taus les stades
d'execution des plans conduit a la non-execution de nombreux aspects des plans de
developpement, La plupart des pays africains n'ont pas de politiques explicites
pour la science et la technique et les initiatives sporadiques et souvent non
coordonnees dans ce domaine ne permettent pas une action concertee a cet egard.
La faiblesse de l'infrastructure scientifique dans de nombreux pays de la region,
I'insuffisance des liens entre Ie secteur productif et les institutions scientifiques
et techniques, I'absence de strategies pour acquerir les technologies necessaires
aux secteurs essentiels constituent des problemes exigeant une action concertee.
d)
Strategie pour la periode 1992-1997
il
Situation it la fin de lCl91
233. A la fin de 1991, il est preyU que la plupart des pays africains auront Habli
au considerablement rpnforce leu·l~s m<.~ca.nismes nationaux de coordination des
activites scientifiques et techniques et que des politiques et des plans scientifiques
et techniques explicites figureront dans les strategies d'un certain nombre de pays
de la region.
234. Des politiques sous-regionales en matiere scientifique et technique auront He
adoptees sur la base des actiyites des groupes de travail du Comite
intergouvernemental d'experts pour 1e developpement de la science et de la
technique.
Des technologies rurales specifiques pour la transformation des
produits alimentaires et. la. produclion de I'energie a partir du modele asiatique
auront
ete
vulgarisees et reprod uites dans la region.
235.
A la fin de 1991, les Etats membres auront pleinement pris conscience des
potentialites d'un systeme regional d'information scientifique et technique ainsi que
du reseau ATAS-Afrique pour Ie ,.enforcement dc: la cooperation entre los Etats
rnembres. Des capacjtes supph~rnentaires allr\lnt ete acquises pour les negociations
et I'acquisition de techno10gie.
ii)
Periode 1992-1997
236. Le sous-programme sera axe sur les domaines suivants
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 72
Appui tecr_miqU!~ avx Lnstitutio:1s r(~gjona.L;E et sous-regionalcs oeuvrant
aI
dans Ie domaint"'> dp la science et de la technique,
savoir le Centre regional
africain de technolo.;ie! l'Organisaticn regiQnale africaine de normalisation,
l'Organisation regionale afric"ine de Ja propri"t" industriellc (pend"nt toute 13.
duree du pl,m);
a
h)
)I..ssietance au::,\: gou-"'Jernements dans la creation au le renforcement de
centres nationaux, sous-regionaux et regionaux de technologie, notamment Ie
systeme d 'alerte avancee sur les technolo$?jes Ipendant toute la duree du plan};
a
c)
Vulgarisation de la sdence et de la technique grace des mecanismes
intergouvernementaux, des seminaires. des ateliers sur les sujets Ruivants:
principes et methodologies pour IE' devel6ppement des c.omposantes scientifiques ct
techniques des plans nationaux de developpement I demarrant au cours de la
seconde anm;" de la premiere periode biennale); mobilisatiDn du secteur de la R-D
locale pour resoudre les pl'obl'>IllCS critiques que connaissent lee, petits producteurs
de denrees aliment.aires; evaluation technologique (deuxiemp et troisieme periodes
biennales );
dI
Etudes sur les sujets suiyants: principes d'eluboraticm de politiques
et de planification technique au service du developpement; evaluation lechnologique
lors d" I'acquisition de la technologie (premii're p,:riode b,,,nnale);
e)
Promotion de la diffusion, de l'application et de la commercialisation des
de ]a recherche par l'intermediaire de societes de developpement (durant
toute la periode du plan};
r~sultats
f)
:-l~ssi8tance <lUX g'ouvernCDleIlts d.:;,ns l't!laboratiQn et l'execution de
projels multinationaux identifies par les groupes de travail sous-regionaux du
Comite intergouvernementai d'e'Cpel'ts pour Ie developpement de I" science et de la
technique (durant toute la durec du plan).
Section 2
a)
Renforcement des capadtes scientifiques et techniques endogenes
T~xtes
portunt aulorisalion des
trava~n~
237.
Les textes portant aulorisation des travaux de Ill. pnlsent,e sec Lion sont : les
resolution 8 1083 (XXXIX) et 1155 (XLI) du Cons"il economique et social; les
resolutions 2318 (XXIl), 3-4/213 sectIOn 1, 35/6-4 Sill' Ie document A/S-11/14 annexe.
paragraphes 129-144, 3-1/2 annexe de l'Assemblee generale; et les resolutions 158
(VIII), 238 (XI) el J32 (XIV) sections I et II, paragraphc 7 de la Commission.
b)
Ob jecLifs
il
Objectiis des organes intergouvernementaux
238. Promouvoir aussl "!'lpidement que possible Ill. formation du personnel
necessaire dans les differentes categories de la science et de la technique et
l'utilisation effective de ses competences dans Ie renforcement des capacites
E/gCA/AD HOC.MTP/9
Page 73
nationale" dans Ie domaine de 18. scienet' et de la technique en fourniss8.nt
l'infrastructure pour les divet's progrhmmes d'education et de formation.
ii)
239.
pb iectifs du secretariat
IIs consistent
a
a)
Assister
les
Etats
ll1embres
et
leurs
organisations
intergouvernementales dans III. formation et l'utilisation dn personnel scientifique
et technique l'equis grace a des programmes d'enseignement et de formation
appropries;
bI
Diffuser les techniques dans les methodologies pour l'evaluation
technologique, formuler et executer des plans de recherche - developpement fandes
sur les besoins (un au cours de chaque period" bienllale du plan); et
c)
Expliquer aux Etats membre" l'utilisation et l'adaptation de modeles de
technologies rurales en usage dans des pays cn de'.·eloppement.
cl
240. L'un des probJemE's critiques que connaissent de nombreux pays africains est
la penurie de ressources necessail'es a la creation d'une illfrastructure scientifique
et technique, a la formation de la main-d'oeuvre, a l'ac;quisition de connaissances,
de competences et de c8pacites novatrices et productives pour, d'une part,
assimiler, adapter et applique!' l€s technologies etrangeres et, d'autre part, meHre
au point au niveau local dE'S technologies en vue de l'explOltation des ressources
naturelles, La production des scientifiques et des technolagues est entravee par
l'insuffisance de l'infrastructure maLerielle et III. penu!'i" de specialistes dont on a
besoin pour un enseignement sci(mtifique et technique valable. ce qui limite Ie
contingent d'etudiants et enlralne ~galemt':nt l'absencc de cours dans plusieurs
domaine.s essentiels.
Le caractere tres theorique de certains CaUl's et leur
inadaptation .'lUX besoil.s dt> milieu se traduisent par 1a formation de diplomes
incapables de faire face aux defis techniques de leurs societes. Des conditions de
travail peu satisfaisar;tes et La marginalisatioll de la contribution du personnel
technique local dans son propre pays onc entrain," un exode des competences et
l'aggravation subsequente de la situation de la main-d'oeuvre.
241. L'e:dgult,£ des economieg de la plupart des pays afrieains et Ie manque de
ressaurces empechent les pays africains de develop per la vast~ gamme de cl9..pacites
scientifiques el techniques necessaires Ii la realisation de leurs objectifs de
d.§veloppement. Ii eon Vlent done que ces pays Gollaborent entre eux et avec
d'autre-s pays en developpement IJU mem"'?' avec des pays developpes pour acquerir
ces capacites en tant que complement npcessaire des efforts nationaux.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 74
d)
StrategiE: pour la period" 1992-1997
i:
Situation
a 10'3.
fin de
199~
242. A la fin de 1991 plusieurs institutions de formaLion auront introduit des
innovations pour ame!iorer la formation pratique dans les programmes scientifiques,
pour If' developpeoment des capacites de production locale du materiel scientifique
did:J.ctique et pour Je traitcment de I'information scientifique et technique.
243. A la fin de 1991 quelqueE Etats membres auront adopte des politiques pour
Ie developpement du secteur technique non structure.
ii)
Period" 1992-1997
244.
L'execution du preSeJlt sOLIs-programme portera essentiellement sur les
activites suiv3.ntes :
a)
Assistance aux pays africains dans l'amelioration de la qualite de 1a
main-d'oeuvre scientifique et technique et ~'orientation des programmes de
formation vers les secteurE produdifs de I'ecor'"omie ipendant toute la duree du
plan);
b)
Des etudes sur les mesures visant fJ. accroitre les chances des femmes
da.ns les domaines scientifiqu2 et techniquf-=-·
aussi bien dans les instiLlltions de formation que dans l'emploi (premiere periode
biennale) ;
c)
Des scminaires, des ateliers sur Ie d6veloppement et I'utilisation des
capacites scientifique3 et. techniques locales dans ]a conception et l'execution de
projets techniques (pendant toute la dure€' du plan);
d)
Etudp. des rnesures proprcs
a
accroitre let
pri~e
de conscience et la
comprehension du role de la science et de la tlechnique dans Ie developpement de
I'Afrique (deuxieme periode biennale);
e)
Des etudes sur I'importance de I'exode des competences dans Ie doma.ine
des strategies en matiere de main-d'oeuvre scientifique et techniqup. des pays
africains (troisieme periode biennale);
f)
Des seminaires et des ateliers sur Ie transfert de technologie entre
pays africubs grace a un echange des resultats de la recherche, d'informations et
de personnel scientifique (pendant tout.e la duree du plan);
gl
Des etudes sur la promotion d'associations techno!ogiques sousregionales et regionales et d'institutions de servict:'C;:
professionnels en Afrique dfin de promouYoil' Ie developpement de 18.. reg'ion
(pendant toute 12. dUl·ee du plan);
h)
L'organisation de voyages d 'etude en Afl"ique et a l'etranger, a
I'intention d'experts africains pour am61iorer leurs qllalifications dans la mise au
E/ECA/.\!) HOC.MTP/'l
Page 75
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rcsoiutior1f; ::(ji._d 5'_ll' L; d'JL>;';)i~::r:1: '\./:::3- L' l"-i ;('l·ld, ~,-"j":'1/2 ,_:t: 2ii,rrexc' ,j,_- r,-\ssemblee
genpraJE:, et Li l't:'s0_h.n.lcn GC}~ L\'\Ul .:10::.' 1a (omrni;~;Sl(iIL
245.
j
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1,
246.
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;t::~ r(','" l.r~ i d:~~) ;-~/Lrl '.:1U'..!.s l'-:i - '-~'n: z,t!'p '~_\J.-,::'.::;uf.~';_sants en
satisfaisant 1"u1'5 t'~~sJins fr)rJ(~ __.... r,lenL311_"" daIJ.~. leE) Qeu). di~:civbnes, daDs 112 cuntexte
d u dt"~velopp~m0nt :.-)uCic'-·~i ',,) t}Oil:l-l u.:,; L: ~n'.X~i.L~ .:!,,;;: ('l' L· t";~n f'~, "ceT\le nt ( '2,';. ;:::''-'rV1ces
nationalL\ d,~ cartogra!-,bi,-_, (,:,' df::' toi-J d\>te'.:::, ti(-:. 1"_,
e
ldder 1:~_'=" ~ouv,~rrF.mC'Elt':: j,:::~ pa~,-::-o -::1~n\r'-!'Pi ,-1, ;:,'-_,'r_du!'C-eT lc'ul's institutions
. S'Jus-l'egi,on,_~d
~t r~~,;'i(-'::::1;JJ~,'3 (lp -:_-r:·I_:.;graphiE -r de L~lC:detection: et
~U-l.b1ir des in:::;ti:::uuo:';,~; n,=-~U'.);l<~h:::,:~ 1,\ (11~ 2; ie:~ r..:·(;::\:i~;~:'-'L l P;:\.s', ~-Olil'DiJ.' !jE:S dir(:cti"cJ';s
:.:.u::~ ELlt~_ nH-~m b.::eE pUll r l' f-:" L::1 'r'lisst;:-:lh-::l~, t .J' ,J :-l l·P;':;\'.- _'"U
:, ;~l,.Hlal d ~ inf:.Jrmations
l5e0gr.:.:.phiclUf;"'~ pour tra_'>.'_'T -1~::; ':rL ~:!: )\~
t(.:~e~~ ,:. ..._~,_ :~i'l'Fe:)tail'e, 10 '_planificdtiofl,
la mi..::e en \:.J._tCll j' et 1a <'2-~l::: ~:iO:1 des !~\~;-;::;Clll. ',~'C';S _r18t \ll'~-) tr';:;- lr.t 3U t"."eillance de
-_,t 1,0 de(3- -~l':,i.fi(:ation, et la
l' en vi Tr; n ilP f'le 11 'oj r~o"'~;-n -~\ ':,' 1\ :. ., \j _~ ,-, -, -: t,·:Ool" L-i ";"--'L'-l_-= -... ~)l'o'~~r.'1mme~
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~kI\1)f:'t:3 gf~oce;:"ill11~S, d'un
res r: 3."j '3,r-'::'i-~.:.~,~n (~'...":' r:c:r':)~~:~i.::-,-::."t=-_ r, d,:<-: r)(:~1 ,.-~ '..o.:-~·j'.-lr,-!'::'ti·j(t',_:.,,:::: '2t --l~~ )":' Lorn!ahsation
des specification:::: de~ C:-~ll'~,e:~ tQvographiqth:;~'~ -~n ,Ij"-"]('[')~~'; et ':::·on.stit:..;~_'l' un ':' nsemble
campier. d,:..' cad~;s d>2 t:.<~r :)~'\.fri,_;,'~lC ,:.JI1:_-] ~l_, 11: :-~';;J.~':-"..: 'JI~ ,j'-..Jcl:m("!l.Ldti':ln.
247.
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1:;-11 ·:(~n'~2quClh:e. leS dc.'Tlrh>e::; ,,:·'J.rtGfl:r8phiq,.... ·',;.':, oont. \-'.lks dis~)osent
sur J')..friqu( sone incomp]r;.tes et i'ragluentair',,_:::,. l!(':-' -l~PS, (iu t'.dt de 11incxistencp.
de specifications unifcl'we,3 >::'t J'une h.:).',,,;[' c. 'Ii,]!'].!!,::: C' oonru<'H:; ~'odcb'iQl~ec.:" il esr,
impussiblf' d\:::~ploi~_cl-l'2 m.-__!tt::ttd_ ,_,:.:"'l'lCJ~~L,l;dl'';''_li':~ d\:~'1>';~- ,bL ~'Cl,-tr Li UL. /~lf~cation de
projets d;-:: .j(\'-eJoppement 1<t!.londu~ ,jU rnll~l.,irhlt . . (;~\~:- ;" .':'_~"F:,c,p~(,:;t6 ie-,s l<)]itiques
et des m,(~can>,mes Tla. L:on~1us :j ':_i,,~2P C.:-: t' li-_l :'_-,(_'j'Ci-:ncl,Ll-:Ht d,.:·: '1C i_I \--, '~,:-;S c.J.rtu ~rap hiq ues
a cnnctu-it ;'1 une rppt:tit.i0i1 des '~l'iry'ts et aOJ"'I,':" '"" -\!0-~:cl'::)i:'::;ue~'Y!t'J',t do::;'s _'Gti-'_, .: :- de~. leves.
E/ECA/ AD HOC.MTI' /9
Page 76
carto~raphie
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actueUc' en ;n--ltj':';"f-"-:;' ·(lnfra',;::;-_~':J.'~tun::· et de ~r.,:u,:;- l '( ('U -.--1 ':~.
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cddrc.'s ni de~ in1p(-:".lc'\'~if~ 'J!::: pl~c·du~--::tiO.i1 d ':--::, p5;' ':':
249.
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gUl\iI1etrlqucs nat,kdviU).. ,:iUY',:')i, ~_-,~/, ache-"j,s.
t,(-.::; a"~r:-:lic~,L'('~ P(,1st~A,_)U:::) sur les
appliCJ.t-inn:-~, dp~ 1t,,\ C~ c:c-,;.:-d'~'sir;tL':~O (~', ~~r;--_~'- ;ric~+-,l'l'-!LC;-"
l:-i. lJlc,:!l.ifi.catic-n <:!t au
develGPpemt~'_~}t <ltirc,nt ,_ J ~1':'U..
]\-'~·,~:1i('
,L:,l"
i<>:: i;lfc,"r;~c:.tloll;S ct 1<::::3 d()nneE'E
geogr::q~LiTU":::S ~,i":l'r'l:t t'}'i.i<Flr",: (';';::'ufti::'d.:!C<=;<:; r'()j,!. LI '-)1.,,,: ri.fic".~~ion -:c't ].-:~3 i-'ps<:Jlns tle
l>-"lY
n.:~:~l....::.n.c:hi~~
a
devel'.1pp~!llent
d'_~,-~
eC()nCrn~f';::,
n('S
Et::lts
Hlt":r:h-;"'..:,,:::..
L'_":"-frl'~;ll.(,
':::'U1"_'l
d.C'ODtc
des
specifi(;aLbns ncrmd.lis(-i'-~<~ ~~'("\I:;:- t,::;; ',_irle~: L')P~-;::'~"::;,n1'i.ql.z'-::;;' :i l_'~~("r-~eJ~e ou ~_.:)O 000.
La septicme COltf~rencp ca1.'tcs.:raph:quf: !,(~g'l,,)nn';;,:, j.--,:'_: I'-,,::,tions U:Ji(~s povr l'i\.frique
aura 0U lieu. :)n ,::--:,u ::-a <'.onnJCPCf {'1. PJ"~ndre j(;~,,~~ d~~;lJc:~:,itlO:lf P2iJl h.t ten ue de ta
huitielllC' (_;ullferep..:;c. LE'. P:Yr.l; 'c.:-' -.:il[h)~"l , j
"'-_'_Ll.,
-;,
T·iu-\-,--,i.t~-:-lre ,.:artographique
pour l',\frJquc i:\.~J.rl
v' _1,'2:[-:-:''. --,~ et djffu.sf~.,:, ,l~-L:-l,: }?,,:": ~~l·,d},S LL-:mbre:::.
Les
preparatifi::; ,!L ',ill/'_' '_._c- .,.\ r,(j~jll' ,::'~Jc-n d~:
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dcv~"lopp,~m~;,t,
;:~\~ ~-:Y3' ~"~I~'~: tlinfcl'r.1':::JLO~S ,.l~r~irt:s '.linsi q~le ~ur des directives
P():U.' hi c"~atlc:1 ri'q"-:e- l-Ja:J -'ufiU}lU!'I,--:- (11::" d,-n1!'ler,~S gcodeslquef, 'pour l'Afrique aura
~t.S p;-.i":1it:::,
(",I=:"p~~d,J,nt, rnaIgr'':: l.,out(.'~_ d::S {~ction:::.., h:-s problemes susmentionnes
n'rtl1rc.nt tt(j
'-1.1.1,' i)·l.rtiellem~nL r·e~(,lll~.
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 77
" \
n,
251.
Le secretal'iat continuera de faurnir des services consultatifs techniques aux
Etats membres afin de sensibillser davantag'e leurs institutions nationales a leur s
besoins nationaux en cartographie et lAledetection pour 1a planification et Ie
developpprnent. Par suite des preparat-ifs menes durant la periode precedente ainsi
que de la strab§gie a long t.-.=!rme pour Ie redressement de la situation economique
precaire de l'Afrique lors de 18. decennie passee, la strategie mettra I'accent sur:
a)
Une plus grande coordination dans la formulation et I'execution de
projets de cooperation tels que l'etablissement de normes geodesiques et de
specifications cartograplliques communes etc.;
b)
La fourniture de conseils aux institutions regionales et sous-regionales
pour stimuler leur croissance et leur developpement; et I'assistance dans la
formulation de projet.s viables;
c)
La creation d'une base de donnees et d'informations geographiques
grace
la collect" de cartes et de graphiques pour Ie Centre de documentation et
de reference cartographiquE's servant de cartotheque regionale; ces seryices
comprendront l'assistance dans 1e developpement des capacitps pour acquerir et en
faire la synthese des informations et des donnees geographiques en vue d'une
exploitation des ressources nnturelles et de leur gestion:
a
d)
L'organisation d 'une reunion d 'expprts sur les specifications
normalisees pour les cartes topographiques aux echelle" suivantes : 1:25 000, 1:200
000 ou 1:250 000;
e)
I}organisation d'un seminaire-voyage d'etude sur la reproduction
cartographique, d'un atf~lier sur If.'s Rpplications gravimetriques pour des
recherches techniques et geologiques, et de deux conferences cartographiques
regionales des Nations Unies pour I'Afrigue;
f)
Les services cartographiques techniques pour repondre aux besoins
specifiques du secretariat en cartes, graphiqucs, etc ..
SOUS-PROGRAMME 24 : PROMOTION DE LA FEHl-!E EN AFRIQUE
a)
Textes portant autorisation des travaux
252.
Les textes portant autorisation des tra\'aux du present sous-programme sont:
les resolutions '1;</62 (paragraphes 2 et 3), '12/l78 I paragraphe 3), '13/101
(paragraphes 2 et 3) de l'Assembl?e generale; la resolution 533 (XX) (paragraphe
4) de la Commission,
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'Page 78
b)
Ob iectifs
,I
ab jectifs des organ,,:; intergcuverncmentaux
253. Ameliorer les conditions socio-economi'luE's
promouvoir sa contribution au developpement.
iii
9jJj~ctifs
de
In
femme
af"icaine
et
du secretariat
254. Dans Ie cadre du plan a moyen terme a l'echeUe du systeme pour la femme et
Ie developpement (1990-1995) et des strategies d'Arusha pour la promotion de la
femme en Afrique f>.ll-dela de la Decennie des Nations Unies pour la femme, l'objectif
global consiste a aider les Etats rnembres Ii ameliorer la participation de la femme
au developpement socio-economique du continent. Plus specifiquement les objectifs
consistent a : promouvoir l'emploi, les reSSQurces et les revenus pour les femmes;
accroitre 1a participation des femmes a la prise de decisions; ct
renforcer la banque de donnees sur la femme et Ie deve!oppement et les reseaux
d'information pour In formulation de politiqlles et programmes en faveur des
femmes.
c\
Problemes traites
255. Il est certes vrai que I'egalite jllddique EU!'" Ie rnar'che d\l. travail est une
condition prealable sine qua non pOUl' promouvoir l'emploi des femmes; toutefois,
SOllvent, enes ne poss0dent pas Ies qualifications et la formation requises pour les
emplois disponibles. Les femmes qui son t employee" dans les secteurs productifs
tels que I'agriculture ont un rendement faibl" car elles n'ont aeces ni a la
formation, ni 3,U c.redit, rli allX techfl1yuc'S. Dans les agro-industries, Ie niveau de
I'emploi de la femme cst bas, en particulier aux positions c!es et techniques en
raison de sa formation scipntifique f't tpchnigue p"u approprit§e, voire inexistante.
Les conditions sanitaires des femmes rurales en particulier sont des obstacles a la
participation effective des femmes en tant que main-d'oeuvre.
a
256. La participation des femmes la pris" de decisions n'est pas proportionnelle
a leur puissance numerique. Elles apparaissent tl'("is peu dans le processus de
prise de oecisions politiques, la formulation des politiques, I'affectation des
ressources ainsi que dans 1a conception de 1<'1 planifh;aLion du developpernent.
L'egalite n'a pas ete aSSUl'ee dans ces domaines.
257.
Dans le cadre des tendanccs socio-economiques emergentes en Afrique, il est
necessaire de renforcer 1a ban que de donnees sur les femmes en vue de la
formulation des politiques et programmes. Les reseaux d'information doivent etre
renforces et les systemes publics d'information et autres medias doivent etre mis
contribution pour la diffusion des donnees sur les femmes.
a
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 79
il
Situation
a la
fin de 1991
258. II sera davantage tenu compte des questions relatives aU sexe dans la
planification du developpement dans les Etats membres grace Ii I'utilisation des
directives etablies par la CEA. Une certaine amelioration aura ete enregistree dans
la diffusion des donnees sur les femmes africaines grace aux services de la ban que
de donnees sur la femme et Ie developpement. Les donnees recueillies et les
ateliers organises sur Ie role de la femme dans Ie secleuI' non structure aideraient
les gouvernements it formuler des politiques et des programmes d'action sur cette
question. Les donnees de base sur les femmes et les filles en Afrique face a.
l'enseignement scientifique et technique auront He recueillies. 1I n manuel sur 113.
creation de peti'.;es entreprises pour les femmes aura et,s mis ii. la disposition des
Etats membres. En conclusion, la prise en consideration des questions relatives au
sex€, au niveau le plus eleve, aura enl'egistre qVE'1cr~0B p!"'ogl'es.
iii
Periode 1992-19;)7
259. L'analyse globale et sectorielle des tendances socio-economigues naissantes
et leurs incidences sur la femme africaine sera realisee, grace ii. la mobilisation des
reseaux d'information; la cooperation des Etats membres en vue de la sensibilisation
des systernes publics d'information sera reeherchee pour la diffusion des donnees;
la promotion des possibilites ci'emploi des femmes dans les agl'o-industries se
poursuivra avec les projets experimentaux dans des pays selectionnes; dans Ie
sec-teur agl'icole, I'amelioration du role de la femme dans Ie controle des services
productifs et de distribution sera recherchee grace it 1.'1 formation et it l'acees aux
facilites de credit. Des efforts de formation seront deployes pour aider les femmes
a participer a la prise de decisions en ce qui concel'ne la formulation des politiques
agricoles et industrielles. Des rapports de suivi ser'ont publies sur la participation
des femmes a la prise de decisions dans Ie sec:teul' public aux niveaux national et
regional.
SODS-PROGRAMME 25 ;
a)
SOCIETES TRANSNA TIONALES EN APRIQUE
;rextes pOl:ltlnt autorisation des travaux
260. Les textes porLant autol'isation des travaux de ce sous-programme sont les
resolutions suivantes du Conseil ,iconomique et social: 1913 (LVII), paragraphes 4
et 6, 1961 ILIX), H!80/GO paragraphes 2, 3, 5, 7 et 9, 1" resolutions 35/56 annexe,
paragraphe 70 de l'Assemblee 'lenerale et la resolution 3-17 (XIV), paragraphes 1,
2 et 3 de la Conference des ministres de la CEA.
bi
Ob jectifB
il
261. Eliminer ou reduil'e au minimum ks effets negatif& des activites des societes
transnationales; promouvoir la contribution positive des 50eietes transnationales aux
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 80
efforts de developpement des pays afl'icains; renforcer les moyens des pays
a.fl'icains face aux questions liees aux societes transnationales.
ii)
Ob iectifs dLl secretariat
262.
Fournir un appui fonctionnel pour l'application. la surveillance et l'examen
des arrangements et accords en Afrique ayant trait aux societes transnationales;
aider les gouvernements africains en analysant les activites des societes
transnationale8 ainsi que les effets de ces actiyites sur les pays africains compte
tenu en particulicI' du Programme prioritaire de redressement economique de
l'Afrique J du Programme d'action des Nations Unie.s pour Ie redressement
economique et Ie developpement de l' Afrique et des programmes d'ajustement
structurel; organiser. dans 1a region ai'ricaille, des sfiminaires et d~autres reunions
visant
diffuser les conclusions des travaux de recherche ct des analyses sur les
activites des societes transnationales; aider les gouvernements africains quant aux
questions jUl'idiques J financiel'es, economiques ~!. operationnelles !iees a. des
arrang~ments precis comm·~ les coentl'eprises, les con.['rats de licence et d'auLres
arrangements contractuels passes avE'C les soclete5 transnationales.
a
c)
Problc,mes traite,,!
26.'3. Bon nombre de pays af'rlcains ont certes ado pte des codes des investissements,
des politiques et strategies liberales pOllr attirel' les investissements et la
technologie de l'exterieur, mais ils se heurtent toujours a un endettement croissant
et a. une penurie aigue de flux de ressou!'ces. La c:apacite des pays africains a.
maximiser la contribution des societes transnationales a leurs objectifs de
developpement [;st amoindrie par Ie manque de connaissances techniques face aces
societes etant donne la gamme des questions en jell.. Les interets et les objectifs
des societes transnationales ne cOlncidant pas neces8airement ou automatiquement
avec ceux des pays africains, les gouvernements promulguent actueHement des
politiques et des lois nat.ionales ~nin de couv-rir t.oute la gamme possible des
questions liees a c:es f.".ocietes.
La communaute Internationale a, en maintes
occasions, fait appel pour que CeS efforts nationaux soient appuyes d'urgence grace
a une assistance directe sou,:" la forme de services consultatifs, de programmes de
formation et d'information.
d)
Strate,de pour 18 periode 1992-1<)97
264. Au cours de 10 periode 1890-1991, des trdvaux de recherche seront entrepris
sur les societes transnationales dans Ie cadre do Programme d'action des Nations
Unies pour Ie redressement economique et Ie d';"e!oppement de l'Afrique. Des
services consultatifs et des programmeti de formation seront assures darls les Etats
membres sur des question:::; ayant trait aux soci€:t.el" j·xansnationales.
ii)
Periode 1992-199,
265.
La strategie au CaUls de la periode 1992-1997 comprendra les elements
suiva.nts :
E/ECVAD HOC.MTP/9
Page d1
a)
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l''lmBli0r&t~o1~ de l'iLfr8,.r.>t~")n':~irf' SL':ii :~;"-:.lC,'d';:' ':.b,:;;::; It:_'. ~~LL:"~; l;lt::'mbl'E'2; a':::3urer 18
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1(" 11us grand nO;~·tbr:.:- dr,: pa.:\'l::' ciC"-';3t'S jXll'mi .\:s u(~ Lny, ;_--t""\,~;: nee!3. lJ' d/:\-<::lcPiJemt:nt
d.es sLs:.L:;t;1u.Ut'S ·L:;.r;s l.~-l.- -; Cg-kl'-l t~S;-, enCU1'0 l-'Cll sati:·;f:-llS:-\E:" en d(~p:+-' ,i .... nt-' '::ert.:-t!ne
Elm0hoT'-:;\..t ion 2'nn-~,:-,; i.:::-,tn~ <.:.' UU cou,~,'s de~. (h~ u.x: d ~rLi.~:::I";s dh:;-:' n ni~:-~. ;- l'e:-. pi.; u de J:)dY:~
"-~.'nt
'-'L.cnt~ ')1t-: ~-. ,x'crJo '.n-:< ,A~U~' 11:" d\~Yeici;J1;'c~n':2rjt "',~l\.i,:;t.>~tl~e ,~,t. uri r.ombre
i'-hlS r?:"\l:ii~. rli8P()~~'~r't. do plans de dt~v~'lc'pr,'(::,me!lt nalicna l,I.).: '-ju: tiefl'1eLt:
CCHll[)t>': '~,~l ,j·3<,;·,-i)pJ."';:nr2r'l C\?'" ,;;It.)L,~Uq:.Jct::.
1."l '.::,:is+.7 i.l.ne Vel.iUI'1C ;J'--:,rsi,::;t3.nt'~ dt::
:,:.taliL.t:icitn.::' qU·),ilfj'.:~3 ~:;t c~:;m;J\~L'~llL;:) d Ul:~ b(':'n~":l!'~r- De )),::<Y5 .::.tf1'lcc:tin.:.:" Ju lJersOLliet
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des l'~sull,n,Ls ,:st tCU.jOl~l's t1'OP l(~r'j>1;, Les or1n·:ir'd:e:.:', e3.1S0nS C,-j. '~~Or:J-:: : -l perlul'ie de
staListtCl'ens l-1(rjf:)~J3nt L::-, i'1f:tLlL.le_~ :aCGc-, r;F.','~, C.LL'j_~> 1t; ·.JI..',main<-: d,-! tlHjt:::'me!lt des
dLnnt:"e~ ,t cell,c: ric ~.t.-)e.('i[.. E:.:,t,,:-) ,~,-:~~:·Jl~-:-'. ·'n t.r~l~,'...i:.::"mer:i:. d'2 dOIl!-l'-'-'2'-5
"in .; '-.l"t.',E: IE,
n:.V'J.,~ll in~-;~lff1saDt (~P e'o!',iin'3.t.lcn e-rl.l:-1'(· ccs ciP':'-'-:_Ed~st.>2 ·:~l 1(~' [n:'ormC!,'jclens.
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eOlvent
(~lffpJ"pnles.
L:J '~CU\-('1'tlir~, i~ Cl\.(,-JJt(~ (~.\. l'."'~J (h~L:.ds d't~tablissement
econoIIllques .,:j~< '-='1T\'l~·c'nnr·i1j(!lU-:.l ~"'J
insuffisantes
des statistiques socio-
!.it- lei- :'e~ic>n al.E'unt elll~egistrp un~: cf.'l'taine
.'1'-: derJlll l:;e::.: .JnneE;~·_, l~S:)~ nean;l1oins. elles ne seront
.i'l d.ct~>:Jis(:'es pour fcu]'nir '.inr.: 1)ase '1pprop!'if:~e en
d,:c:'·.',iU1".,.":, tiu ~uivi ,:~t de l'(~~valu,~ti0n ch~s J,~ci8ions. L 'utilisation
dt~i..F(i.lJt:(''';
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 83
des progiciels sLatistJqUE:2,t
eli
r>klf'ticulic:l' '_":b.!13 Ie domaine d<;::s sciences sociaies,
aura augmente, bien que de maniere peu sIgnificative.
274. Les programmes d'enquete integres pour la colled" des donnees de base, de
preference aux enquetes "!Q. hoc, auront ete mis en oeuvre dans environ 1'-1 pays.
Des progres aur'Jnt ete realises dans la mise en place des capacites nation ale" pour
180 collecte et la mobilisation des donnees primaires et secondaires.
L'accent
continuera a etre place sur la creation de nouvelles series de donnees de base et
sur l'amelioration des series existantes en vue de leur incorporation dans leB
chiffres estimatifs de 180 comptabilite national",.
a
275.
Pour certains pays, Ie,; statistiques relatives aux produits de base,
I'energie et aUK comptp!> nationauK ne "eront toutefo]" )Jas apPl'opriees et les
donnees relatives aux prix pour revaluation des conditions economiques,
l'evaluation des ten dances de la prodlldion et ""lle de I'information seronL loin
d 'etre completes.
276.
Les 15 centres de formation statistique participant au Programme de
formation statistique pour l'Afrique (PFSA) dont sept sont anglophones et hult
francophones auront forme en moyenne 700 personnes qualifiees par an aUK niveaux
professionnel et intermediaire. Quelque 20 formateurs participant aux programmes
de formation en COUl'S d~eIf1ploi de niveau intermediaire auront ete formes g:-ace aux
ateliers. En depiL de tout ceci,ia demande de &tatisticiens qualifies n'aura pas lite
satisfaite. La formation de t.roisieme cycle devr" eLre renforcee davantage et les
activites de recherche devront etre ameliorees dans les centres.
277. Pratiquement tous les pays africains auront elabore des programmes de
recensements d6mOffro.phiqu-::::, et dt: Tl<)mbreux pays seroni, Hctivement en train
d'elaborer ou de renforcer des programmes d'enquetes contmues sur les menages
et d'entreprendre des programmes experirnentaux pour I'amelbration de leurs
systeme!; d'etat civil eL de statistiques de l'etat civil. L'examen des pratiques en
vigueur dans la collecte, k traitement, l'analyse et l'application de donnees
demographiques et socio-economiques d'ins les pays afl'icains sera entrepris. Un
certain nombre de pays de la region se seront lances dans la colleete de
statistiques de l'environneID"nt,dans Ie cadre de leurs acti,ites ordinaires ayant
trait aux statistiques; mais, les capacites conceptuelles, institutionnelles et
techniques devront fitre developpees davantage afin de fournil' aux planificaLeUl'S
des informations appropriees sur I'environnement.
278. Des aclivites de formation (formation en cours d 'emploi, senllnaires, ateliers
et groupes de travaill visant i>. d,~vebpper los aptitudes conceptuel!es et
methodologiques du personnel statistique nat.1onal au rant He organisees. Afin
d'ameliorer leurs l'esultats, ces ",ff0rts deyronL toutefois i',tre intensifies.
ii)
279.
La strategie
Eeriod'L1992-1997
a.
adopter pour Ie prochain plan 'l. moyen terme est 180 suivante:
a)
Une assistance sera apportee aux Etats membres dans Ie maintien et
Ie renforcement de leur eadre institutionnel pour la fourniture de donnees en vue
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de la planlficatiQn int(~gre~~ les dC:.lllaln r-;!;,-: C,}U\;ei:Us :::,ompl"C~ntlroIlt le:s uonnees
demographiques, sociales et economiques, en particulier sur les menages et la
composition des menages, ainsi que les Etatistiques de l'environnement;
b)
Une serie de pl'incipes directeurs sera preparee, en particulier
concernant les aspects ci-apres
l'acquisition d'installations et sen-kes
informatiques, y compris des micro-ordinateurs et de lEouI's logiciels, la collaboration
verticale et horizontale en matiere de traitement de donnees entre les differentes
unites administratives des bureaux nationaux de st...qtistiqllE:; les applications et
l'analyse des donnees, parLiculicrement pertinentes pour la region; et l'utilisation
de l'information statistique pour Ie suivi de l'execution des plans de developpement
nationaux;
c)
Le materiel de calcul statistique pour J.a formation en "ours d'emploi
et la formation classique de statisticiens dans lea centres de formation statistique
sera fourni;
d)
Une sene de serninaires et d'ateliers de formation sera organisce en
vue des objectifs suivants : examiner les besoins cOllceptuels et administratifs en
vue de l'amelioration des programmes nationaux, sous-regionaux et regionaux
relatifs aux statistiques socio-economiques et environnementaJes; promouvoir les
echanges de donnees d'experience entre les pays de la region dans Ie domaine des
statistiques; et rnettre davantage en valeur la competence professionnelle des
participants. Ces ateliers et seminaires seront axes sur les points ci-dessous ;
l'informatisalion des donnees statistigues; les recensements demographiques, avec
un accent particulier sur les ~roupes spec:iaux de ia population; les systemes d'etat
civil et la. collecte de statistiques de l'etat civil; les enquetes sur ies menages; les
statistiques de Fenvin)nnemenL; If;,C;: s-t-.;:tti.stiqu~s du commerce interna.tional; les
enquetes sur les entreprises; les statistiques economiques de base; et les comptes
nationaux.
Une serle de docuTfH~nb7, techniques S(:I.'.3, elaboree sur les sujets
susmentionnes et ces documents seront ameliores afin de fournir aux Etats membres
les methodologies statistiquP.R .'ldaptees it leurs besoins.
Section 2
a}
Jextes portant autorisation des travaux
280.
Les textes portant autorisation des trava.UK de cette seetion sont les suivauts:
le Plan d'action de Sagos pour Ie developpement economique de l'Afrique, 19802000 (A/S-ll/l1, annexe); la resolution 5-13/2 de rAssembl<~" generale sur Ie
Programme d'action des Nations Unles pour Ie t'edressement economique el Ie
developpement de l'Afrique, 1986-1990; et la 5trategie internationale du
developpernent pour la quatrieme Decennie des Nations Unies pour Ie developpernent.
b)
Objectifs
ii
Ob iectifs des or ganes il1tergouvernementaux
281.
Ameliorer la portee, la pel·tinence, les delais d'etabUssement, 1a fiabilite et la
rentabilite des statistiques eeonomiqnes, sociales, dernographiques et de
---,
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Itenvironnement, nationales et internationales, afin d'ameliorer 1a planification, le
suivi et I'evaluation du developpement; encourager les pays a affie!iorer Ill.
eou\'erture et Ie contenu des recensement.s de la population, des enquetes sur les
menages et des systemes d'etat civil; et pl'omouvoir Ie developpement des bases de
donnees eomprenant les statistiques de I'environnement, les comptes nationaux et
autres statistiques econcmiques de base;.
282.
Promouvoir la capacit<§ des Etats membres dans la collecte, la pl'<§sentation,
I'analyse et. la diffusion des statistiques economiques, sociales, demographiques et
de I'envil'onnement; accroitre Ie niveau d'autosuffisance des pays en leur apportant
un appui 'Continu pour 18 developpement des capacites nationales en matiere de
traitement des donnees. en particulier en ameliorant I'utilisatioll des microordinateurs; accroitre lao disponibilite et alJ1Ediorcl' l'acces aux banques de donnees
nationales, sous-l'egionale:~ et regionales; fournil' aux utilisateul's, sur une base
continue, des donnees economigues, 30ciaJes~ demographiques et environnementales
comparable" sur Ie plan international.
283. En depit des progres considerables realises dans I'organisation et la
production statistiques, lao pol'tee. la quatit,; et Panal:>se deg statistiques en Afrique
repondent difficiJement aux besoins les plus elementaires en matiere de pla.nification
et de prise de decisions. Les lacunes constatees dans les series statistiques de
base <"manant des recensements f"t enquetes sont sou vent dues aux problemes de
gestion ",t de planifkCltion, ''''x goulot.s d 'etrangiement dnns Ia pbase de traitement
des donnees et aux problernes relatifs a l'analyse et it la diffusion des donnees.
Suite a la rotation frequente de personnpistatistique qualifie, de nombreux services
statistiques nationaux ne disposent pas des competencC';s necessaires pour
entreprendl'e les recensements et les enqnetes, pour mener ~~gi.ilement ~e traitement
et l'an.;.lyse .Ct temps des donnees, rassembler et analyser les donnees sur les
conditions environnementales et estimel' Ies chifh'es de la comptabilite nationale.
Un nombl'e considerable de recueils de statistiques sont l?ublies avec beaucoup de
retard aYec comme resultat Ie fo.it qu'il~ ne presentent plus qu'un interet
histurique.
Ces incunes poul'l'aient Sf' tl'adujl'e par des colits enormes si les
facteurs quj sOlls-tendent IBs crises socio-eeonomiques et environnementales
demeul'ent inconnus 8t pal' c'Jnsequent non traites.
dl
Stl·9.te~our
il
situation
la periode 1992-1997
a la
fin d 'c 199J
284.
Une ",'aluation de l'ftat de disponibilit" des stati&liques economiques,
soeiales t demographiqut3's et r:nvironnementales de base dans la n~glon aura ete
reaHsee. des recommandaticns (iuront ,5te formulees et de;,-: programmes visant a
com bIer les lacunes en matiere de donnt~es seront ~ll cours dans un certa:n nombre
de pays.
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285. La base de donnees statistiques regionales aura ete informatisee et
developpee da,-antage. Elle aura ete etendue pour contenil' des donnees sur les
statistiques de l'environnement, avec un accent particulier sur la secheresse et let
desertificabon et sur les reSSOUl'ces naturelles.
Toutefois, Ie developpement
integral de cette banque de donnees qui a ete entrave, par Ie passe, par la crise
financiere de l'ONU, dependra des ressources disponibles et de la quantite et de
la qualite des reSSQurces emanant des centres d1appui nationaux et sOLLs-regionaux.
C'est leur croissance qui determinera par consequent l'ampleur et l'importance de
la banque de donnees au niveau regional.
286.
Les pays auront acquis plus de micro-ordinateurs, avec pour consequence
un temps de traitement plus rapid"" llne plus grande capacite de stockage et des
couts plus faibles. Il existera un besoin accru d'assister les pays dans la creation
de sysb2mes nationaux informatises de statistiques economiques, sociales,
demographiques et environnementales intE~grees.
287.
Des etudes auront ete realisees et des l'ecornmandations auront ete forrnulees
concernant III capacite nationalc de traitem~nt des donnees statistiques, Ie
developpement de 13. base de donnees statistiques et l'utilisation des progiciels dans
Ie traitement de ces donnees. Toutefois, ces recomrnandations n'auront pas ete
pleinement mises en oeuvrc. Un certain nombre de publications statistiques sur la
collecte, Ie traitement, l'anabrse et l'a}:;-plication de donnees economiques, sociales
et demographiques dans les pays africains aUl'ont ete preparees et diffusees. Ces
publications t8chniques auront po"r objectif d'aider les gouvernements nationaux
a consolider les realisations pass\~es et assurer ainGi Ie caraclere durable des
mecanismes de callecte de donnees qui ant 6te ou qui sont en train d'etre mis en
place.
ii)
288.
La stro.t.egie
l'eriode 1992-1997
a adopter
pour 1e plan
a moyen
terme est la suivante
a)
Des services consultatifs seronL assures pour les pays en ce qui
concerne les aspects suivflnts : la formulation de pl3.ns statistiques, y cornpris les
calendriers de production, les programmes de formation et les besoins detailles en
matiere de traitement des dor..nees; la mise en place de comite d'utilisateurs en vue
d'optimiser l'utilisation des disposiLifs centl'aux de traitement des donnees; et Ie
developpement et Pentretien dE.- :sy-sternes inl'ormatises integres de statistiques
economiques, socialeR, demo.g'l'aphiques et ~nvironnpmentales;
b)
Des servjces consultatifs seront egalement assures a la demande des
Etats membres dans 1e dOlll;"l.ine des recensemenis de la population, des registres
d'etat civil, des enquetes stir les menages, des statistiques de fenvironnement, de
la comptabilite nationale, dee statistiques commerciales et des statistiques
industrielles. Us consisteront essentielleI!lent " nromouYoir l'autosuffisance du
personnel na.tional dans le domaine des statistiques et i1s mettront ~)ar consequent
l'accent sur la format jon en caul's d'emploi~
c)
La b-3.se de donnl~es statistiques e-xistan te au niveau regional sera
etendue en vue de la diffusion d'informations statistiques detaillees et actualisees
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Page 87
a
l'intention des utiEsat(:uJ:s, ;.- comrris. dE's donnees bien docurnentees emanant
d'autres banques de donnees internationales et de sources nationales;
d)
Des etudes methodologiques seronl entreprises dans les domaines
specifiques
des
statistique£
economiques,
sociales,
demographiques
et
environnementales. Ces "tudes auronl deux objectifs principaux : identifier et
analyser les lacunes de:s statistiques de base .J.U niveau national d 'une part et,
d'autre part, servir de principes diredeurs techniques pour les Etats membres afin
de les aider dans leurs efforts visant it ameliorer la qualite et les delais
d 'etablissement des donnees recueillies.
SOl'S-PROGRAl'IME 27:
a)
TRANSPORTS EN AFRIQUE
Textes portant autorisation des travdUX
289.
Les textes portant autorlsation des travaux du present sous-programme sont
les resolutions 3fi/64 concernant Ie document A/S-11/14, S-13/2 et 43/179 de
l'Assembke generale et la resclution 639(XnIl de la Commission.
b)
ab jectifs
i)
ab iectifs des organes intergouvernementaux
290.
Les efforts des gouvernements des Etats m8mbres seront axes sur la
formulation de politiques, la mobilisation des ressources et la mise en place des
capacites necessaires en vue de reali3er les objectifs ci-apres :
a)
Unc iLpproch€ :iJt{gr<:;,c d.f' ja IJlal1ification du secteur des transports
grace a la planification multimodale et a la coordination des activites de transports
aux niveaux regional, sou8-r~~;ional et international;
b)
Une efficacite accrue des services cte transports, y compris les
politiques en vue d'une fixation appropriee de prix pour les differents modes de
transports, la modernisation et I'utilisation optimale des infrastructures de
transports ainsi que la mise en valeur et la formation de la main-c'oeuvre;
c)
La facilitation du tl'afic inter-Etats avec un accent particulier 3ur
l'amelioration de la classification et de la nOl'malisatior, des procedures relatives au
traf5c et l'adhesion aux con"\Tentions internationales
r(c~gissant
dl
Des systp.mes coordonnes de tl·ansports visant
sans littoral et autrE'S regions isolees; et
a.
les flux de
tl~afic;
desenclaver les pays
e)
Des mecanismE's etablis pOllr les transferts et Ie developpement de
technologies requises pour I'entretien, la modernisation, I'expansion E't l'utilisation
des reseaux.
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Page 88
Ii)
291. L'objeetif principal au secn:Lariat sera d'aider Ies Etats memb"E!s dans leurs
efforts visant a instaurer une cooperation pratique, sur une base multinationale,
dans Ie domaine des trane;ports, en particulier en Ce qui concerne la facilitation du
trafic inter-Etats, Ie developpement et I'entrelien des lnfrastructures et la creation
de systeme" appt'opri~s de gestion des. rcssources humaines. Le secretariat a
egalernent ['intentioll de jolter son role d'or,.ani6me directeur, en coordonnant et
en suivanl la mise en oeUVrE! de 1.'1 dpuxieme Decennie des "ations Unies pour les
transports et los communications en Aft'iqut;, 1991-2000.
c)
292. L'absence d'une planification ;nte/Srcie en Afri'l.ue a engendre des
complications dans de nombreux domaines, complications qui ant ent.raine des
investissements insuffisant.s dans Ie domaine des transports, I'absence de
coordination entre les differents modes de tl'ansports, les lacunes au n;veau de la
gestion, une utilisation peu rationnel1e du materjel disponible, une exploitation peu
rentable, de faib!es niveaux d., productivite, un d6veloppement technologique lent
et un developpement institutionne) insuffisant.
293.
De nombreux pays de 1.'1 region n'ont pas ete capables d'adoptel' ou
d'appli,{uer deB politiques de developpement de'; transports.
Ils cennaissen~
generalement des dlffkultes clans l'ecoulement continu du tl'afic inler-Etats, meme
dans Ie.
deja en place. En outre, seuls quelques r£seau;;c de transports
sont bien .:;eres alors que la plupa,rt sont mal entretenus pt mal repures et que la
qualite des .services !ah;se generalement a desireI'. L'infra",tl'llcture des reseau:'\
africains ('st nell s.culement insuffisiinte mais eHe repond egalement des norrnes
inferieures. 1,<"", liaisons inter-Etuts de transports sont egalement entravees p{lr
lin manquE de coordination "ntr" le3 instituti.)ns, les l'eglement.'l.tions, les
procedures et pratique;;, La tendance qu'ont leg pays africains ii. faveriser les
liaisons traditionnelles aveC' d'autl'cs regions n'ccppartenant pas au continent
constitue un handicap au developpement de nouvelles liaisons inter-Etats au sein
du continent. 11 existe un besoin r"(>] de personnel plus qualifie et d'installations
et services de forma.tion.
a
294.
En depit des tentatives faites au cours de 1a periode 1984-1991 pour
developper
les aspec.ts
multimodaux de
transports, essentiellement
la
conteneurisation, aUeUn PI''Jgr"" significatif n'a ete enregistl'e. Les efforts n'ont
egalement pas about! en ce q11i concerne la creation d'institutions en general,
compte tenu, dans une grande mesul'€', de l'incapacite: au du manque de volente des
Etats membres 9. frmrnir Ie type d'appui pratique m,cessaire pour maintenir les
organismes intergouvernementaux deja crees. Des resuitats peu satisfaisants ont
eLe egalemenL enregistres dans Ie domaine de b mise en valeur de la main-d'oeuvre,
essentidlement en raison de I'absence ou de l'insuffisance des systemes de gestion
de ressources humaines.
'::/":C ' j £\D HOC .MTF /9
:Page 89
22;,).
~~'1 1991
l~ t:,,'<:n::t.fJT.
:,t, ' ,', it ·r: ' f f' ; ' , :1. ;-',,,' f' es C: '. u a;~::::' .-, U l' l~-: 2; pC-it, t,s
.::. uh~ants ; Pha::"Il1.onisation ,,-,t. 1,::1- cOuI'diru::l, tc,r~ t,J"':';'. ~j U\'f, j'i. r '.E- n:ocj"2~ '~lI::'" '. '!."'i.?',.E V'-"'~"'[-; J. -~
pri!1cipes dil'ectclll'S p'JUY ;:~ tvl'T!Lll~1tk';1 c!~ t 'i" __ 'IJ:: _It i::--; E-t !;ro~:l"::iLll~:f;'-; J't:" :tifs : .. ,,'1.
m';lin--d'oeu',-re C.-~;.LS lc d·:_'r:~::<',:;ll -J',":. t: L",;-,- ,,'
t; -:.of
1';:-' -,on ,~,::-~:..:,p')rj-_ \r~turit:·s
t
sur 1(:3 bescins '2'l';' t:i811.-tj'O<:u· P:-' r;t, f()nr:a.t,',-,p .~f('~ -_;~lE": 1c'>,2, .:):.:.'1 ...\3 £.,t ~-\rojt;?-t~
exist3nts, ,,-isant c\ [,1-orr'<)l' \'C.il- le d;:-VL'ir)ppem·~'nt 1~ UT" \',Jmp(.'sanlc i'htlH.;tlielle
.
du
secteur des tr.s.T1SpGrts '::on ,\frF'l.,~-". \\,,?\":ilfJ,~tt'j('p
:,'hn,l'IT10ni,s;t.Uon dS3 I-,l'clbques et
.l
r<:'gk~m(:'ntC'..tLons J.Gt,('l~!la1'.i.on,,,,je~ ~n m,l.L~l·':
de
U·?~nSllol't~·:
et des
p_eif"L{~i;/_~s
direeteurs
}Y.Jur ,;,'" f;3',~11jt,"~tic.,n
d\.' U',JJic .,lin,;',: yU€: 1,' pr'ofl"..<)tic)1'l d,:, L:~ (>Y_"P-~l',-l,tlOr) H.'-lltJnat10nale
JanE C!, l'Ldl,S d0n.';{:',~L''':::S ,->:2;';: \J!'-:,:: ,~:t~...;o~:· (t"-! l~,~n:- [1(')"':"Z. }y~, i'_',ci.i'Itt"-:';'" pl'epara+-~o)rcs
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ri',:'Ul~
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ctl.;d·;s .~:t ,:.;; :ti\:-~V;3 ";n~~>(:
au cour~-.; du ~:l£"'~j \ TIll:} ,';; term\.' 198·;·-1:)91, a sa'i.,Toir
In L::1/'ilitation du trni:i;: :nt(c>'n;;,tiu:l1tL 1:-\ .11 Li (' cr: \ .~ieql '1<:' L\ ir:alrJ.-j·Ot~·u'\';,,'e E,t ia
I..'rorrot,l;x) d'tFle In:1 1JstI'ie ix[--,'k:.:'lln<" en Inf.ltl,fyr, d0: tl"-1n;"l,'Ol't;:;. Lr: C"(,'P5E"_:p.lE-;nce, des
f?fforts ~,tisanr: a in;:,taurer 1,;nc; cooper'lti(lJ; nl'Cltj',H'>':' i~l.tra-,-3.-,"ric:.tinF: seront
inter- ;;ifh.~,<;" 8f' tf':rme :Iv r; :1.l'th:
.1x3 ~)roJc~b:~f lctivitE-S et
mecanismE'S c·p",:-ra~.:ionnEJE con,:l'~:"tS relatlf5 JU.'<: A'·pC\,:."; ,;-:",?,
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JrOITlC'l:\-()l!-' k~ r~::s·-i·',K"..,uJ'aEoD
,:·nc.(jl;.r~--;l£:t~'1:-
1;,;
J'.';-';;t.·~oppement
du
secteur d(~~ CQmmunh.;:-:.tlGIi~: ~~i[;:-.l "11.;
;,:" ':':"'.', '(:;~r_2 11--' ,~CljV21'l,&.nt; e.melior~l'
l'achemincment ,~t tc~ d.;.'::tri\-)uLor:. du CQU_Y'rif~l': renfc. .l~(
Ie'S ':::,-~'-r,;'lc{'s rle:--:; c(.rurrlers
eXl:res t2~~ e;ectroni'lu" ":::. Jt'3 ("(>j"1L;,'ef.: cif" t.:. -i:1;-~:_t ';\.: 71\':Jdel"{;lse:r: h:s serviceE
firw,ncjr;:~~s Jt: sYSL(-'ffiC po;:; Lal: sc;n'-;ibilis'?l' rOp_IllF':-l )J~_;~ ~-!-.,-:L1L::ut'f<3 -!d'::-"fll'ent a 1a
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~-;ocipt~ Ip~.
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Te1e'::.orrlnE{nicalio)1_~: L-' _~_::rDb1t~;}lt;;,- f',};lda_m'~rl:,:d c~,,~- ,,'e~ui -ie c'::'--'v-cil' 2xploiter,
maintenir ~n bon t"t.'lt (i- ri~:!',~el()':' )ei' l"i!:Fras:.l'lL t H"~-,' --Je:~ t',:;lecom;':1u_n~caLDn8 en
place et y intrt.)dnire -jes te'_:!"'.'t1.lqa'>s m':...)de.nv'~'> \-L118:'c Jf:-'~-:;, pro~r:·e.;;:. eonsiderables
qui. ant (~t{
reaEsl':'~'
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:spcn~:lbh--'s
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~e~·':'c-cmlP1Ur!jc":...t:GJl:':;_ S,-,:r:ll L.~)U)Oll1'S i·~)'1f.!'ur.h:'-,~ h ''':.... -'--'iu~ prubh?m('3 fonuamentaux, a
sn"y-':J1l" ; lC:'s ,_:t):-JLr'::Linl,-~s :.'ldminisi...ratiVt;;;:) et organisationneliE:s qni liD',itr~nt 1a capacite
dE' fQurnir ct gel.'c'· <:-ffi'::.J.Ct)Ili<::nt l'<.~"-::iU_!l>;:'lle ,t ;:': lro___(~ St~r'--lces Je ~ase des
301.
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dia·.:,cords F,",-l::-:' l'_-,l'g.-'lnj!",,:--tt:)·'::'n iu !:::::lfic ~-:t, 1,. ' !,'. i--=,._r~f·o ~~(.;~-ionaiJ:x.; l'l.rt.,:uffisa.'1ce du
mal'l\etir;g I~t i;(-:: ir~jtiaL'i\ toG dl-' l)f'IJfflotion "~~S&l~L 2. ",:,xp1ul:el' p[ficaccmerlt les
sel''''iLC!2~ existntll.::'.; h:, ;-ue:.D'Iue d\"~ 1,"~S~',ou~'('es :llLIlal!li:';s '~li';;llifie2.s Cdn:~~ It." ,.iomaine des
telecommunications; l'insuffisnncp ..-if' 1a m::l.intcndnCe t~l. d·,~ i'exp}ci'tation des n:)seaux
esistants; ]\i.~)8enCe de '2f:_ct,-~jnc:s c()LrkxloTls (-;t 1e ;tl,'j._::-,q:"lE> d'indus-t:xil2s africaines
prod"l~.-isal1t. je'-.:: ffi.Elteriels d,.;. ·20P,ini.Ul1lcat.ll..>Jls.
:30~.
i-1.J.dicui:"fusio!1 et tele-d:fjuf-.ioQ- ; L ;infl'~l.::.J:'
Ll(;~,Ul'~
neceSSail"C
a 1'8m~ssion,
':11a
t ransr~llsr-:L.~n et.. A 1a 1";~C('l)tl,.)n ,ies informa.tIon;::, t":<.diod~ft\lSe€~·~ 0U t61eyu36es en
A.Jr-ique 3ub.:.iah3.ri2nri2
n~ebt
iKl.S s8u1eme:nt in8uffisante mais
(·~:a1ement
m3.1 repartie.
E/ECA/ AD HOC.MTP/9
Page 91
Les emissions sont essentiellement captees dans les zones urbaines e-t periurbaines,
carla reception dans les zones rurales pose de seriellx problemes dus d'une part
au manque d'flectricite et de pilEs et de l'autre aux prix eleves des postes de radio
et de b~h~vision, ainsi qu'a l'absence de cenlres communautaires de reception de
programmes radiodiffuses ou tt~levises.
303.
Services postaux : De maniere generale, les services postaux africains sont
caracterises par Ie manque d'efficacite sur les plans de l'organisation et de
l'exploitation. Les services postaux actuels sont insuffisants, inefficaces et lents.
Malgre les efforts deployes par certains pays africains, les progres obtenus dans
ce domaine durant la decennie pas see ont ete relativement limites. Les services
postaux des pays africains laissent encore heaucour a desirer par rapport aux
services post..'1.uxd'autres pays du monde.
d)
_Strategies pcur la Pliriode 1982-1997
iJ
Situ2.tion .'1 ia fin de 19'11
304. A la fin de 1991, les pays africains auront en principe acheve la mise en place
des arteres principales du reseau PANAFTEL. Au plan national, les reseau~\: auront
ete etendus et alll'ont beneficie de l'introduction dEs technologies les plus
modernes. L'autoIP..atique interu.rbain, Ie service automatique international et les
services telex automatiques seraient dieponibles dans la quasi-totalite des pays
africains. Les interconn£xions du reseau PANAFTEL et des reseaux nationaux de
telecommunications avec les reseaux internationaux auront augmente. Cependant,
les services mis a la disposition des ZO!leE'. l'urales seraient encore Iimites malgre
les efforts qui ituront ete deployes dans ce sellS. L 'etude de faisabilite sur Ie
Systeme regional africain de communications par satellite aura ete achevee, et si la
Conference des ministres de la CEA parvier:t D. une uecision energique, les activites
preparatoires a la mise sur orbite du satellite regional de communications auront
progresse.
305. Les services de radiodiffusion et de leJediffusion continueraient a beneficier
essentiellement aus principales zones urbaines et periurbaines J laissanl la rnajorite
de la population rurale avec peu au pas de moyens d ly acceder.
306. Les services postaux continueraient a etre insuffisants, en particulier dans
les zones rurales. Bi~n qu'on s'attende:\ CE: que ces t-;ervices soient pIns ou moins
satisfaisants dans les zones urbaines, Ie nombre de bureau de poste serait bien en
dega de l'objectif - un bureau de poste pour tous les 6 000 habitants - fixe dans
Ie cadre dt:~ la precedente Decennie de~,) Nations Unie.s pour les transports et les
communications en AfriquE,. Le manque de locaux ien p'l.rticulier les centres de tri)
et de cadres superieurs et moyens qualifies affecteraii encore tous les pays
africains.
307. Le secretariat assistera les services de telecommunications et de
radiodiffusion des Etats membres de la CEA dans la !'estructuration de leurs
reseaux, la mise au poir,t de leurs politiques et l'adoption de meilleures methodes
E/ECA, AD HOC.MTP/9
Page 92
de gestion, et ee, en vue de les aider a exploiter davantage les possibilites de leurs
infrastructures, a, ameliorer leurs services ainsi qu 'a perfectionner et a mieux
utiliser les ressources humaines dans ce secteur. Le secretariat entreprendra
egalement des etudes et des recherches sur les methodes les plus economiques dans
l'extension des services de telecommunications et l'adiodiffusion aux zones rurales.
Toutes ces activites seront poursuivies dans Ie cadre du plan a mo~~en terme.
308. Le secretariat, en collaboration avec les institutions specialisees des Nations
Unies et les organisations africaines, et en etroite cooperation avec d'autres
partenaires internatioDaux, continuera a assister les Etats membres dans la mise en
place du Sysb2me regional africain de communications par satellite et poursuivra
l'elaboration dtun rapport detail1e sur les plans a long ct a court terme visant ala
creation de centres de recherche fondamentale et de developpement en matiere de
communications, ainsi que d'industries regionales, sous-re;£ionales ou nationales qui
puissent repondre aux besoins de ce sectelU'.
309.
Le secretariat, en collabol'f''l.tion avec l'Union postale universelle et les
organisations inter,gou'vernementales africaines concernees sp concentrera sur
l'EJaboration d~s politiques et la gestivn, ct ee, en vue d'ameliorer l'efficacite des
services et des administrations des postes. II fournira ega1ement son assistance
dans l'amelioratioIl -:ies services de tri et des centres de transit africains et dans
la solution des problemE::3 d'achemiTlement du courrier qui sont dus au manque de
coordin:ltion entre les administrations des postes et les compagnies de transports
maritime et aerien. 11 ~nlreprendra aussi deS etudes sur ia creation de caisses
d'epargne postaIes et assistera dans l'extension deR services postaux aux zones
rurales.
SOUS-PROGRAMME 29 :
TOURIS~fE
EN AFRIQUE
310.
Les textes portant autorisation des tJ'ayaux de ce sous-programme sont les
resolutions 567 (XXI) et 6:10 (XXII, de lEt Commis::3ion.
b)
Objectifs
i)
OD jectifs des organes intergoLl vcrncmentaux
311.
Les objectifs de ce SOUs-pl'ograrnme au ni--,,~eau intergouverncmentaI sont les
suivants : promouvoir l;c.x:ploitc..tion rationnelle des l'Rssources et des potentialites
en matiere de tourisme; favoriser ]a cooperat:ion et une integration harmonieuse des
politiques et programmes dans Ie domaine du tourisme et du developpement; et
renforcer la cooperation jntra-afrieaine en matiere de tourisme, par la c.reation de
circuits inter-Etats, par deE. efforL; collect-ifs de promotion du tourisme et des
programmes multinationau>. de formation professionneile.
ii I
312.
.ot hectit's du seneta,'iat
Les objectifs du secretariat figul'cnt ci-dessous
E/ECA/ AD HOC.MTP/9
Page 93
Oil
FournjtUr'F rJ'lJne :'lssi:::LtI1CC: .-tUX ~tat,s m.f.;'mbl~e;,:
dans la formulation de
politiques et programmes nationaux et sous-regionaux pour Ie developpement du
tourisme, y compris la fm'mation du personnel techmque pOUI' j'industrie
touristiq ue;
b)
Promotion des echanges d'informatlOns
developperoent du tourisme;
sur les
tendanees et Ie
c)
Promotion de l'integration regionale et sous-regionale par I'execution
de programmes en vue de l'h"r~onisation et de la standardisation des methodes de
gestion h6teli<~re, de programmes pour la formation a la planification et a l'analyse,
la mise en place de systemes efficaces de formation professionnelle ains; que de
mecanismes pour la concertation entre les professionnels du tourisme en Afrique,
et fourniture d'une assistance aux Etats membres dans la creation de circuits
tourist.iques inter-Etats et de mecanismes pour les exploiter efficacement.
c}
Problemes trait;'s
313. L'industrie touristique en Afrique se heurte a des problemes de
fonctionnement el de gestion. CeUe situation est aggravee par J'insuffisance de
l'infrastruclure et de~ services dans certains pays et par un manque de personnel
qualifie et d'etablissem'mt3 de formatiof" dans la region. 11 faudrait iigalemenl
corriger Ie caractere exo~ene du tourisme en Afrique en developpant les activites
touristiques intra-africaines et en mettant au point des competences en gestion.
La gestion des produits touristiques devrait de meme etre assuree par du personnel
qualifie de la .. egion afin de h-einer 111 sortie massive de reSSOllI'CeS pouvant servir
au deveioppement global et de mieux maitriser Ie developpement da tourisme dans
la
r0~ion"
314. En ce qui concerne la formation professionnelle, l'Afrique dispose deja de 30
centres de formation. Toutefois, il existe une penurie d'installations de formation
de cadres de tous les niveaux. En Qutre, il faudrait harmoniser les programmes de
formation afin d'assurer une meilleure integration dans Ie domaine de la formation
et un meilleul' echange d'informations,
d)
Strab§gi~ll
1)
pour la periode 1992-199}
i::iituation
a La
fin de 1991
Les succes enregistres I'ont He dans Ie domaine de la consolidation de
315.
cooperation intra-africaine en matiere de tourisme et de I'etablissement
"programmes de tourismel! au sein de certains organismes sous-regionaux
developpement economique ainsi que de mecanisrues administratifs pour
cooperation en matiere de tCU1'h~me.
la
de
de
la
316. II ressort d'informations recueillies par l'Organisation mondiale du tourisme
que ceUe industrie se developpe sans cesse et que d'ici ,i Fan 2000, Ie secteur des
services sera la principale branche d'activite du monde, avec Ie toorisme comme
premier sous-secteur. Cette ten dance s'est confirruee en Afrique ou Ia croissance
du sous-secteur s'est poursuivie en depit des crises que Ie continent a traversees
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 94
ces 10 dernie1'8S annee::::. Au COUi'S elf! l.:~, pi't'io'JB 1;:)8:';-1988) Ie nombre de touristes
internationaux est passe de 8,1 millions a 12 millions, les recettes passant elles de
2,6 milliards a 4,5 milliards de dollars des Etats- U nis. Durant la meme periode
approximatiYement (l98~ il 1987 J, Ie nombre de chambres a progresse de 265 000
300 O~~.
Avec la dereglementation du trafic A.eriell et Ja reglementatiun sur
l'uniformisaiton de l'espac.e aerien europeen, cette evolution devrait continuer, etant
donne qu 'un nombl'e croissant de pays afl'icains consacrent des ressources
substantielles au developpement du t.ourisme.
a
317. Par ailleurs, les organisations intergouv<el'nementales sous-regionales
s'occupant de developpempnt et d'integration font une place de plus en plus large
aux "programmes de tourisme
f!,
318.
nest pscompte que les activites effectuees durant la periode 1984-1991
permettront d'etablir des mecanismes dp cooperation intra-africaine pour Ie
developpement du tourisme aux niveaux regional ct sous-reglOnal, que les Etats
membres auront adopte des directives concernant la formation de main-d'oeuvre et
la creation ott la rationalisA.tion des etablissements de formation, l'etablissement de
mecanismes nationaux pour Ie developpement du tourisme, Ie deyeloppement des
circuits touristiques inter-Etats et la modernisation des methodes de gestion
hoteliere.
a
a
319. Le cadre global d'ici
1991 se pretera une amelioration considerable de la
situation, notamment pour ce qui est des <jomaines prioritaires indiques plus haut
dans le cadre de l'orientation gpnerale du souiS-progn.i.mme.
ii)
Feriode 1992-1997
320. Le secretariat continuera d'aider les Etats membres a reuliser leurs.objectifs
par Ie biais de services consultatifs, l'organisation d'ateliers et de seminaires sur
Ie tourisme, I'etude ct 1'§valuaUon continues des polentialites touristiques, la
determination des besoins en formlltjon ains; que la collecte et la diffusion des
informations touristiques afin que d'ici a la fin de 1997, la plupart des pays
africains aient acquis les connaissances techniques requises dans Ie domaine du
tourisme.
321.
Un projet intitule "Formation" est en cours de negociation avec les bailleurs
de fonds.
Son but cst la mise en place de systemes et d'installations pour la
formation en gestion hoteliere dUl'ant la periode 1992-1997.
322. Afin d'appuycr ees efforts, il faudrait de plus en plus s'attacher a faciliter
les voyages et les sejours touristiques en Afrique. Cette tache ne saurait etre
accomplie sans Ie renforcemcnt des echanges dans Ie cadre de la cooperation intraafricaine.
~ni.:MAD
HOC.MH/9
P"ge 85
323.
texte~: prrtallt a,-::,ol'~sati'::T! d~f i-:rd.:~:aux <.-:0 ce "3fYlls-pr'")gramn
: t"::s0iu f -.i'J[l 3?/1':17, 8.:.:.ne:. ::>~,·, ~'_~tlcn~~ ~:/ ':.-:" :UI, r;-=-/~i./::': ;""8:'{~~-
Les
SU~v3nt'5
p
::~ont
1-:::::
.t
ec :>!/2Lf:', PtJ"l";l.l:;/rapt.e-~ 1 ~,:_ " do:.::~ l'A_",s-'!r:~:,1':::'
';,prn-;J.'a.ie; reS':)HJt1<)n
p.:;tragL1})hclS :. 3 et ,! du C·or,seiJ t_'cQn~~-n;j'p.!,:-· et ,'S.O(~lal ·~,t
'Iut iva '_::H [\:rr! I dt~
Confer>?n;:':p. de::" ntilljc::.tr'~5 de 13. C :~~_I\
i-:i
324.
que la cr{)iss~_n(:p econom':"j Jf':I I~, 1 :~om'h~\);~
avec Ips :nstituLJons d1as.::ristancp tf\ch:,1FIUc- c"t ti)':-lcl(;
donateur~_ [lOll!' !::.;~ for:udti':':>fl. 1·,:
technjqu~-' et d'aid(' J.l~ d0Y
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c()ordonne
ct intc:'ii!re des l:taLs mE"!Ttt)r:~f- l~rl entcepl.'enant des fYf.)er'-----:L'JT.I;" (F8Ssist,d.ncc 1r ·;':::J-.ruque
englobanL 1-9.
'>.::,]'(r,.;('-ptUtJi::-.,'_~uo.:"t.
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t'l
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::iUl' )t.;:.::, Pl,:),Je;.~ c:\::cc- lL .. ~c., ':)81"" la .=L~_'
!::i:)Ut. me,ttre ell '.')t-;l:'".~l·:·. rnaL~.::.'(~ 1~·;~.3 .::-1 U \'":...:r LUJ' :s JE' Cn§d:t2
au budget orjinnire. }x:;ur ClCC~'Olt::.':; .it':': i.-·''-:2;::::''bi~jt~·s j'~.li:...~eJ ~;'C3 EtcL'~S
membTf:~, 3. b...:lrmonh.,:jl' ,::,t ~ rf'·:.:dlSC~:' le Dl'oce:;:.su:- :.:L: d~:'. .·t:l()PJ.)·::r;)\··)t /t>:\1"}r.rr>:(I\~{" ~insi
qu'a acc~;lerE::l' rint~gl' . . 'tior~ ~cc,nonii'':lu~
LJe':"~"[ I~.nt:n' l:::.'·3 rec..:;o~a"~':"":,; ou bu,j.~:e~
ordin,;!.l.l'c ~..>t C!.:>1~<;'_'3 nc-c'.?s,S(j.it,,-::,s pC'..li~ jouer L: ;""~(:> a:~,',I'.'rl;1l~ c{u. ,-::';ect·t"=>.xrl,n: pOl\.~' la
solution d0S [Tf,.h1c.·me;;o l~"".l L.,i\~i.m:~n:.:,i.0nne~:3. ";'c d\~:'\ e1.(Yl';·ert\("'~t ::,:)c1u-(.cdnc,rni'(Jue ,·i.e
Sf'S Ftats membn?s n'a: Ftm.,)L~ 6~l~ (,r n:" ;-,E'1'G ·;:,,:.:L,·,>t:'ll·::; ::3.-'1:1·1i -=-~ ',::or;bLi; ij -_":'...11. me7i.H~
s'elargjr en l'3.'lSOn ie ia C :'OlSSan('c :i01'lt ';C' ou ~l!.~LL l;;i 1.)uc>~'C,:~,
32(\.
Le se-cret.3.1'ic_t ci{',:-·ir,:..
limitef;S
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op6I·atio":n.t?-l}.e~'
cOll;..~bt~I·~;ll-
l'aecomplissemer..t
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C'r(~inCtii.'0.
eontribuc:.'! ,',
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saU.l::a::\
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Jouer .<:>or~ 1'01<..':' (~:::- fa~cn ~fi'iC::::'C:c~.
32E.
,"::'.i ;'0n .,t:.""t, '_lCC~l'Oltr', i'fri:',:,c';:H..:lt:~~ dt:::~ ::1::( 'J':~
d"; ,.~~)ol>.T'''':'~lc~';1 ""(:-chnl:.;ue dans
1a 5:\tisfi:l:~t.i;)1l 6:."3 :)e.3(..~r
;e'" ,,~t.''.~; :':e::tibi"'':'~'' ';".i.~ !'l. ". "d\. . ~~-n«G '''''''l ';'f. (,:::I~le,~·ti\rement
en J 'absence d) '_<1"1
n:S~,011rCI":S
m~cani::';;i;~'; i:',.C
(A I ""[,'U.i.(:
~~·t r..l
p,)ur ~a '(;':'iVS1"j.~ ~{..:!' 1'f'<iI}-,lC"
cl.ltl.U j('lJ s~',-3,§rl(:.ltlqLle~,
des
a~:tivi(es
u)
'~. b 1'" emp} :·i nefa~:·.b.!
dans les ::,ffo1.'t~~ ct !'~Q, f'e~"S:.:)\t:::·C':"'3 q!.n abClttLr"-',it ~ 1''1. dlT'":inu1jon ':"}l'ogi'pssive des
fonds extl'abudgetaires l~j'! CCIilpt,:~ t9J1l'i uE',~ i'~".:;t.ri:-::t.Lc·n:; TU:'~ :)L.YertUl"..:'s de ered,its
a.u btld~et cr(~:r"t:).il."':) .,.~. 'c;(-.'niii. ·~n\:"_tr.l::r :c.;, C.3.1'::'i.h-lt·~ 'c:"" 1 D:::·:·0;hi.l;j~-~, ~:',l,(',)nt 1a CEA et
ses .Etacs fii'2:mbrr-...;; ,j'.s.U>·lrlUl'\: L~::-:; obj!'~ctiL; -.il. "h-,",,·'eloflP;.'::ment.
'"::-t
,(
.,,~ (
L'es~~euti'.)n de I..'IU~' j,::, lOO 1)";'<..:j'2L: c·:i~'c '-in :-n.·-:o·:a~'-::::m~~ i::offi,,:,"),:'e de cJrttrole
des depE.·nses et ,j,,~ c!cH 1 n6",·',; rTt~ci,:::" :::' .sLli~ 1-:,::: :pI'cdu.;':,c.' ::.'C?aL5t:';:'-, au titn" des proJets
de ~8~1C' "-lue l!·,:·labor.'l,::L:n dE.: l:ai::}Y)1'"I':: lr"l'l':'l'~'j(~~'
l.'~lL':..!"":tion dec. I:ti_:tl:.; :;u8mbl'es
329.
et des in~:Ljtut~on;:: Einarh~;!.).r.~"',. HutCln1; d::: fa'~;'\'~llt'~:' D~'l,1Jr'=-,~
uaf:';:-~ rexecutlon jl-:'':~' 3,ct:ivites d!C': eoope:',~_"!.ti()n t..-?chn.Lqu.e.
:33U.
Jet-) fon r:r:.:
t-)uugeL ordina'ir('
13:\ 'x . .:dn:
:~ll. r'~Ti(
d
.~l "l/~',Cr()l'rl'C
l'efficacite
·~:'"lJ,I';""' -; ,:;e l~'\c"n tan t
'C: ,''\'"1 ron 3S :<:' dl:':s ~'P:~;SC !.treE'S d u
~!(ld 1" l' f'Xt"cution d es acti'~ites de cooperation
,-:.7.. ;-=- to !'ile bi1iS0;'~
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 97
technique. Ces acti,,'"ites d\:~Ir!nl'l'l~eS :J.U mili(:."u des anneEs 80 auraient commence
porter des fruits dans les Et~~ts mE'mbres.
a
331. Coordination el gestion de plus de 100 projets de cooperation techniquE'
finances sur les ressources extrabudgetaires.
332. La CEA veillerait, en sa qualite d'agent d'execution, ii. ce que les projets
soient executes tels qu'ils ont ete prevus. En particulier, la gestion des fonds des
projets conformement aux re.gles de g"stiol1 financiere serait strictement contralee.
333. En outre, il serait fourni aux Etats membres et aux organismes donateurs des
rapports precis sur les activites menees au titre des projets de cooperation
technique.
ii)
334.
Periode 1992-1997
Ci-dessous figure la strategie pour la periode d'execution du plan:
al
Accroitre ou, tout au moins, mainlenir au meme niveau les fonds
extrabudgetaires en intensifiant les contacts avec les institutions de financemem:,
traditionnelles et les gOllvernements des pays donateurs et en etudiant, par Ie biais
de missions de mobilisation de fonds, des possibilites de financement aupres
d'autrt;s donateurs potentiels;
b)
Renforcer les moy,ms de 11'1 CEA dans Ie domaine de I'identification et
de 11'1 formulation des projets afin d 'ameliorel' la qllalite de ses descriptifs de projet
et de susciter I'interet des sources de financement;
c)
Renforcer les moyens de 11'1 Commission dans Ie domaine du contrale et
de l'evaluation des activites de cooperation technique indiqllees au titre des projets
et dont Ie nombre depasserait 100;
d)
Accroitre I'association, I'attachement et la participation des Etats
membres Ii. I'execution des projets de cooperation technique grace l'analyse et
I'evaluation des cadres instilutionnels des projets;
a
a
e)
Renforcer Ie mecanisme de gestion financiere des projets en mettant
l'accent sur Ie controle des depenses; et
f)
FOllrnir aux sources de financement 8t aux Etats membres des rapports
appro pries sur les projets de ]a CEA en tant qu'agent d'execution.
e)
335.
Fonctions permanentes
Ci-apres figurent les fonctions
a caractere
permanent:
a)
Analyser Ie programme d'aide au deveioppement en faveur des Etats
membres afin d'etablir des liens appropries et les compiementarites necessaires
entre les projets nationaux et regionaux;
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 98
b)
Elaborer If's pl'oJets de c')oper."'J.ticn tee bnique en consultation avec les
divisions organigues;
c)
Entreprendre des negociations avec les institutions de financement
tl'aditionnelles et potentielles ainsi gU 'avf'c IE's pays donateurs pour la mobilisation
de ressources flnancif.>res en faveur des projets de cooperation technique et
prepareI' les accords de base et les accords specifiques appropries concernant ces
projets;
d)
Preparer ia documentation necessaire pour la conference d'annonce de
contributions au Fonds d'affectation speciale des NatIOns Unies pour Ie
developpement de l'Afrique, organiser ladite conference et en assurer Ie service
fonctionnel;
e)
Proceder it des controles, il. des examens et a. des evaluations
periodiques et imperatifs des projets de cooperation technique et des activites
regionales a. caractere consultatif;
f)
Pn;parer des rapports sur l'etat des projets 3. l'intention des Etats
membres, des organismes de flnancement ainsi que des institutions et PtiJS
donateul's;
gI
Preparer le pian regional de gestion des projets;
h)
projets;
Participer aux reunions pour l'examen tripartite
i)
et l'evaluation des
S'asEurer du bien-fondtS des depenses au titre des projets;
j)
PrepareI' IE programme
programmes (frais generaux);
k)
Vemer
extrabudgetaires;
3.
l'exactiLude
d'utilisation
des
Etats
des
depenses
financiers
relatifs
d'appui
aux
aux
fonds
!)
PrepareI' les apports de la CEA aux rapports sur la cooperation
technique du Secretaire general, du Secretaire executif, de l'Administrateur du
PNUD, du FNUAP, du Departement de la cooperation technique pour Ie
developpemellL, du Gel, etc.; et
m)
Examiner la situation contractuelJe ec les conditions d'emploi de6
experts bHateraux et des conseillers regionaux et form.uler des recomrnandations a
ce sujet.
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Page 99
SOUS-PROGRAMHE 31
a)
PLANIFICATION,
PROGRAMMATION,
CONTROLE E'T EVALu ..\TIO:l
BTTDGETISATION,
Texte" portant autorisation de ce sous-programme
336. II s'agit des resolutions 3042 IXXVtJl; 31/93 paragraphe 5; 32/197 paragraphe
3 et annexe; 33/202, section IV paragraphe 8, section V paragraphes 3 et 4 et
section VI paragraphe J; 34/229 paragl'aph0 2; 35/64 concernant Ie document AlS11/14 annexes I et II; 36/228 section VHI; 37 /234 panusraphes 1, 3 et 6 et annexe;
38/277 A; 38/227 section II p·3.ragraphe 1 et section III paragraphe 2; 40/40
paragraphe 9; A/40/6/6, 8-13/2 anne1:c;Il/213 section II, paragraphe 2; et 43/219
sections I, 11 et III, Coutes de l'Assemblee generale, d des resolutions 508 (XIX)
paragraphe 6, et Si6 IXXIVl de Ill. Commission.
bl
337.
Us consistent
a:
a)
Formulel', adopter, coordonnel' et suivre jes politiques et strategies
essentielles en faveur du continent africain en tenant compte de l'~~Yolution des
tendance5 socio-economiques generales tant A l'interif'ut' qu'& l'€'xteri~ur de
l'Afrique;
bI
Etablir les plans a moyen tel'me de Ja CEA et for-mule .. les aspects du
budget qui onc trait aux programmes:
cl
Rationaliser Ie" activite!; dc' Ill. eEA grace a j'etablissement d'un ordre
de priorite pour les sOlis-programmes devant servir de base pour Ill. budg"tisation
des programmes;
dI
Ameliorer l'efficacite d'J secretariat dans l'ext~cution de son programme
de travail et ordre de priGrite, I?t la renfol"cer griice 'lei controle et a I'evaluation,
et ee, en vue de veiller a ce que les activites dE' 13 Commission repondent aux
besoins des Etats membl'es,
ii)
338.
Ob iectifs du s,'creta.ril1t
Ce sont les suivan ts ;
a)
Formult!r ios
pl'incipes
dil'ccteurs,
ies propositions et ies
recommandations concernant les politiques et les strategies de ba3e en faveur du
developpement, et ee, pour adoption par les E:lat:; membres; coordonner et
harmoniser les activites relevant du secretal'iat avec celles des autres institutions,
particulierement en CE' qui Goncerne la mise en oeuvre de ces politiques et
strategies de base, conformement au role de la Commi8sion en tant que principal
centre destine pat' Ie systeme del' :\ations enie:;; au developpement economique et
social general de I' Afriq ue;
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Page 100
b)
Impulser et coordonner au ~ein du secretariat l'elaboration et 1a
revision des plans
moyen terme, des aspects du budget qui ont trait aux
programmes et des budgets-programmes biennaux a faire examiner par la
Conference des ministres de la CEA, Ie Comite de la planification et de la
budgetiEation des programmes, Ie Comite du programme et de la coordination, Ie
Conseil economique et soc.ial et l'Asscrnblee generale;
a
c)
Ameliorer l'effica.cite du secretariat dans l'execution de son programme
de travail et ordre de priorite et la renforcer en assurant l'application integrale
des reglements et l'egles regissant la planification des programmes, les aspects du
budget qui ont trait au" programmes, 1e contrale de l'execution et les methodes
d'evaluation, ainsi qlte cel1e des recommandations du ('amite du programme et de
la coordination;
d)
Executer Ie budget dam', les !imites
concernant les tableaux d'effectifsl ouverts par 1e
(du Siege), et des ressources extrabudgetaires, et
financier et aux reg1es de gestlon financiere et
Controleur.
c)
des credits (y compris ceux
Bureau des services financiers
ee, conformement au reglement
aux pouvoirs delegues par Ie
ProblCmes traites
339.
Etant donne la nature de plus en plus ::;ompiexe du developpement economique
et social de l'Afrique, i1 y a lieu de suivre 8t d'analyser continuelJement les
changements des orientations politiques a I'interieur et a l'exterieur de l'Afrique
ainsi que les decisions prises dans. 1e8 fora internationaux, et ce, en vue
d'interpreter ces politiques et strategies et les concretiser au profit des Etats
membres, du secretariat et des organisations internationales.
Au sein du
secretariat, la coordination et 1~orientation suivies .30nt necessaires et essentielles
pour s'assurer que la formulation et J'executlol1 des activites techniques et
operationnelles entreprises par leh diverses divisions organiques Ie sonl
conformement aux orientations et a la strategie al'reb~es et selon J'application stricte
dn reglement financier et des ['c,glps de gestion financiere.
340.
Le contrble et l'evaluation systematiques de l'e~ecution des activites
programmees consideres camme l'objectif recherche, ainsi que la determination de
leurs opportunite, efficacite et incidence a la lumiere des buts et objectifs fixes,
et en vue d'ameliorer Jeurs execution, planification et programmatl0n, commencent
a peine a donner des resultats en ma.tiere de formulation et d'execution des
programmes. Par consequent, il y a lieu d'intensifier les efforts dans ces domaines
afin d'assurer une utilisation efficace et suivie des ressources.
d)
StrategieiLflour 1<1 periode 1992-1997
i)
Situation it 1a fin de 1991
341. A la fin de 1991, les diverses initiatives prises ces toutes dernieres annees
pour relancer la croissane.e et Ie developpement.
long terme en Afrique auront
commence a porter leurs fruits. Les pays africains seraient alors en mesure de
poursuivre avec beaucoup plus de determinatiJn la restructuration et la
a
diversification de h'lurs (;'2o:Y,)ITri08 ,:'dnfc:'r,;/ rx ;-It /rq:~ (}b.je'c+..ifs. prt-~mlel'.:; ciu Plan
d'action de Labos et
de L'Actl2' f~nal dr~ La~:()s.
~"
,C'Lli::::HZl.tjOq
jE-
Ll '-:')~Iif',-~tt:;nce
;:;t
des ressour<2es dt:~ la COmm)~lsjO:1 cit'" 1'::i paTt de'; ~-:t.'}tt':- 111trrd:;t'--:<·: J-,'0111 -?d~ '-=:_Jk:-'.:~ k's
aLi{~ .~ ::"'.,:d.:.taqUe::: <.:t.'lX pl"')bhr::c':<
l.~,a:::' i':l r!;;;:;Ct':..L't"tJ!,-:.,-;.t'C-Il LL la j~'.'·~'l'sif~cali0n
serait deyenu(~ PLUS Pl".;~sf>antE.'.
e3;. inctlspen:5;::l.Lif: que 1~ r,::'l;:' qUi;- '---'Gnstl~.uellt
l'anaiy'se dt.~s l::ol-:ti:F.u.,'::.~ 'L::. plCLrt:~h;s.tio~:~ t:::1 b.}d
'>·n :-::t lo;. .---:':-:'on1in:'hlon j0S
protzrammes , .p..jns: Cjue l~dr conL'ce:l!-, ,::,.~ )0:\tn {<:;,~tlJ _:'::..:-' d~,yi_enne ~,!n: ;,(": P,',U$ \:~ta1
si la CommissIon \ (~ut rencir--} c,--.t.tC> .~.sfL::'.t:lj)Ce phlS ,,:='ffi::"'2'_'e~
n
a)
Fair'; cor~tinu-2ileln(:nt t\~nal;-;O:t':; d-~& l" .~,i;lt.;,-t~;.. ,~:(':: ~)C,'~r.Hl'lf;S f:!"
strategies tA'gionale-s su!:' Ie:' pIa!) OpE-T::{tionnf:l. 1;' D1:: ,: (,l'H' c( ;_hc: d,;~' d[~Cj'310nS de
l'Assembh?·e g~nertl.lL', du Ct)n~t:':Ll ~.~CO!lOmi1t~e ct soci..:"d. du '_:·Co';'l;it,-: ":'v j\o::51'anllllz' f't
de 1ft cocrdinat:1c:n, d~;s r)r~,;'rlnes de d~·..2isions ck: l'"l CE,"~, 't,<-,) -Jr~~/\re::, ,if:-Ht.f'I'snts (p:s
institutions. '~peci;j,li5(~eE dC:8 .'\'atiJns l_ni~3~ Ch.3 r-\.ul,r'-'~ il!stii(t~i)r,:~, di,::,~ !'-L1Lk'nE L'Ules
et de FOrg.:\r;IS;.ltloll ::!.:-~ i'unHf afric-::-·.ln~:'. eL l: ':. -::'n 'V;Jt: dr. .i:'<..ure d,-:::: r·t":;·ol:;,;n·~tndaL:l!:.>ns
sur Ie!; mesut'es pl'atiqlJ(~:::.. :"l Pt";";-ndrE' pal' Ie ~:.('Cl.".;t~H'jr,~, p: b}f', ( :·~:,:;,n.;:;s 'je1:U::er8,nts
de la C;ommisslc)!"l;
b)
,;'\;:-)Sl.E~c!l· dE' m·~-i.i1jc~:(· c'Jntinu(' l~ :::',UiYl ("t', 1.:', :::001
,i";s que~t1or:s
qui S(~ pO::o0nt aux .gouv;·rrH:ments
::.t ];.) '~olldb0,L'(ir.i,c'n :-l\'C'C; Iv }. . ?r~.cnnel du
secret:ll'iat ch;:;rg'S dt:s -:.,,---:(-; ,,-'ii,
0r"~r~,,:,;o~'~r)"'ll',-::J, ,:1
l'<:::;',;~F,l':i:: CL d'
B:ilt:j
qul~i. w. pprticq:xlt!f:'~-'
~H1X :tcU-"-~·"it,.::;. >.k
n~, ;::i'],": l.nH\Jnis[.. tic~n
des
progr:.:<.mrned in te!'organi:.sat:.cn2 et j nter0 ivis; ~l n~:, r:t U i' ,)l~ g .tL : ,:':,i.L , r: '~'''; ":~mL:1.aires
et d!,~1..tpli('rs lO<::.2,,1)_, ,_.t:"! 0r
\-1_;<;:-' d,_ ".'(,,::<:"U"~~'1' <:,,1~'" ',"".:'.~
::li,h:"",;;CDS h:.nt bien
int~gre ..~s caps ~23. a.,:d,~' ~L~:-: G',? pi;:"nifjcation~ d,; IJJ'(P:11 ;jffiillat!;)n ('t j 'e""ah.::,'tlon et
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d'2- J:1 5:E'stion de:s proitramme~; JL.[n,.,'1~-:-::1-,.::'t?hon ''::1.'- rF~9Jf·njl::nl". et reg-leE"
regissdnt la planific,,;ati.on d(:':;..; pl'ogr(imI!lt'3, Ies ctspect.;:; C.·,l bud;~ct ":'.l.i.ll ont trait aux
progl"'anlIn(~!;~ 1(-: r;OHt~'oJe de i
IttiOh t2'L h'~ m.:~thode.2 'J\'v~.'\'F:.Li0;-! -<_:t - ~-":...:r expliquer
les ir'._,structktH::, !'el&lives 1
1es b:~,lgt.:ts-~n'')2,j~'1mfnt:;''''' dUX l'~·,'ision~::
du plHD
mc.';?-:>!" t.-:--rm,s f.':: it 1:::. t'~,)(:rrti.r\atiOI: 02 la pnE~~'ar.~t~ ion d~s ,]o<=u.mertts ~'
relaUi.::, nec~:8sajl'eg ;;.t,S, d'i ': ;' 1':') ;'::T;::/ anF:"S (~;'::1iL~ r:1n1.:'-':
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(:,tudc~'; fl~aut0-"'~Y:i'~Ju;}tion ains:l <ll..F: l'8valLlaLicn approfondie
,.:onfot'lIit!fmetll au,:.: '...:alcndriers e1:ab1is~ Des m'E!:'-;u ees s(:!ront
pl'ises POttt' assurer que -j8~ f"esuItat2 du ,::ontrolf:' et de l'eva1uation sont
prompter:1ent ct systemaLlqUE'IT!ent exploiteR dans 1a ~estjon '?t ~H prIse t1e. d,-0cision l
particuii.;:>l'\:~m~nt e.r! LC '1 1,:1 ·~c.>tl:':::E;Yn;:. L.:t pl'{~paratiol--' de.s pl'{'m:l".:ce et 3c'conde
re'ViSIOll<; du ~:.:lp.. n a mO~';('L termt.:' .o:-:t :'etq,b1i::;seme!1t. de~ ~>lj
p~'ogramUles
bi8ntlcH:x. Dc'
ll:J, le~: :tcti,.'-ttes 0':.' suivi ,,'t t~t. etudt:C,::' 3ur -!e~: .I:eBuILc~ts dLl contrale
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d ~ im nriffi€ .::ie effectues
e-t de carre-etlan d 1 epreuves
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 103
c)
Problemes traiLes
345. Au fil des ans, Ie nombre de points inscrits a I'ordre du jour des l'eunions
des organes d€,liberants et des reunion3 ministerielles sectol'ielles de la Commission
s'est accru, entrainant une augmentation du voh\me de travail des services de
traduction et de reproduction. L'un des pl'oblemes auxquels fait face Ie secretariat
est d 'assurel' Ie service des reunions dLH1S les delaLs et de fa~on efficace. Des
difficultes sont rencontrees dans la tenue et la mise a jour des !istes d 'adresses.
Depuis I'adoption pal' l'Assemblee generale de la resolution 32/197 sur la
restructuration et la decentralisation des activites, Ie travail organique de la
Commission s'est considerablement accru, entrainant une intensification des
activites de service alors que les r,,=ssources allouees n'ont pas suivi. A cet egard,
I'insuffisance des effectifs n. tous les ni...-eaux et I'obsolescence du materiel
constituent deux problemes majeurs auxquels Ie secretariat est confronte. De plus,
les installations de conference sont insuffisantes et la qualite de I'entretien a
souffert du fait des restrictions budgetaires.
346. S'agissant des services de traduction, la penurie d'effectifs aigue dans les
trois groupes de langues a affecte plus particulierement Ie groupe arabe. Ce
dernier manque habituellement de traducteurs capables de traduire a partir du
fran9ais et les autres groupes ne disposent pas de traducteurs capables de
traduire a partir de I'arabe. Ceci provoque des goulets d'etranglement dans la
traduction.
347. Des problemes supplcmentaires decoulent de la soumission tardive des
documents et de I'absence de previsions fiables concernant Ie volume de travail.
Les arrangements informels concernant Ie controle des documents actuellement en
yigueur sont loin de permettre un approvisionnement assez harmonieux et
previsible des services de traduction.
Les encombrements qui en decoulent
provoquent des reta"ds aux niveaux des ref,srencee" de la traduction, de la
dactylographie, de la correction d'eprpuves, de I'impression et de la distribution
ne laissant souvent aux deiegations que tres peu de temps pour prepareI'
serieusement des reunions importantes et cela compromet tous les efforts deployes
dans I'organisation des reunions.
348. L'absence d'un service du controle de la redadion a la CEA constitue un
probleme particulier empechant la production de documents de qualite.
349. T"e Groupe des references est confronte a un grave probleme d'espace. Tout
son materiel est conserve sous forme de publications et Ie seul moyen de
repertorier les documents qU'il detient eEt de les mettre sur fichier. Li n'a aucun
lien direct ni avec Ie service de distribution des documents (pour obtenir des
exemplaires des documents courants), ni avec la bibliotheque centrale (pour les
documents moins cOUl'ants). Avec les methodes actuelles, Ie systeme de reference
par renvoi applique aux publications qu'il re90it du monde entier s'avere
particulierement difficile. Pour cette raison, certaines des informations specialisees
disponibles dans des documents moins courammE'nt consultes sont negligees et il en
resulte une baisse de la qualite.
E/ECA/AD HOC.HTP/9
Page 104
350.
Durant les cinq derniel'es annpp.s. h~ volu.me de t.rav:lll dans le Serv-ice des
documents et des publications a plus que double tandis que leA effectifs ont He
reduits. La plus grande partie du materiel disponible est depassee et certains
elements sont hors d'usage et n'ant pas ete remplaces. Les pieces de rechangp. ne
sont pas disponib1"R s\lr Ie march'; loc'~l et ce!a signifie que les machines ne
peuvent pas §tre facilement reparees.
351.
L'enclroit tenant actuellement lieu d'imprimerie et qui se trouve au sous-sol,
est etroit, desordonne, peu pratique et humide; la superficie de stockag" pour Ie
papier, les fournitures ou 1(:8 plaques usages qu'on pourrait
nouveau traiter est
faible. Plusieurs articles utilisables ont du etre ri'formes par manque d'espace
permettant d" les utiliseI' sans risque.
a
352. Il y a une demande excessive de documents offset et de tlragf'S que ne
justifient nullement les besoins reels. Les couts en matiere de facilites sousutilisees, de fournitures pt de stocl,age de copies superflues sont importants.
Certaines fournitures pour Ie papier offset, qu'i! cst difficile voire impossible de
se procurer sur place~ doivent etre importees et eela. a('.croit les couts et entraine
des retards dan~ la production de documents importants. Faute d'un service
d'edition, les dactylographes et les correcteurs d'epreuves sont pratiquement
amenes a faire du travail d'edition, d'uniformisation des formats, de mise en page
et eventuellement de correction de l'pxpression.
d)
Strategie pour la periode 1992-1997
i)
Situation it b fin de 1991
353.
Les efforts e!ltI'epri~ en 1939 cn vup d'a,ssul'er la cooruination et la
planification judicieuse des conferences, reunions et seminaires grace au Comite ad
hoc eharge des conferences, reunions, seminaires et ateliers comprenant ie Service
de la coordination des politiques et. deH programmes, Ie Bureau du Secretair~ d~ Ia
Commission, Ie Service des operations et de In coordination de l'assistance technique
et les services de conference ont commf'nce it produire des nisultats.
Des
restrictions ont ete imposees aus. responsables de la gestion des programmes pour
qu'ils limitent Ie noml)re des reunions it programmer. Les premieres mesures visant
it moderniser Ie materiel du Central dactylographiqLle et dLl Groupe de la
reproduction ont ete pl'ises.
Les groupcs anglais et arabe des services de
traduction fonctionnent avec des effeclifs reduits. et tous les trois groupes de
langues (al'abe, anglais, fran<;,:ais) souffrent de l'abspnce de services dJedition et
de revision.
354. En 1988 et 1989 des efforts or,t .ote raits pour ,'ecrutel' les trois candidats
admis a l'issue du Programme de formation de traducteurs en Afrique pour
remp\acel' les traducteurs francophones transfenes it New York en 1987. Le Groupe
fran<;ais pouvnit ainsi disposer de six traducteurs.
De meme, la sitm,tion des
effectifs du Groupe arabc s'est amelioree avec deu); traducteurs au lieu d'un seul
comme c'etait Ie cas en 1986 f't 1987,
E/ECA/AD HOC.MTP/9
Page 105
355. L'utilisation de micro-ordinateurs p011Y les trois langues de travail de I"
Commission au Central dactylographiqllc a, d,ms ll!''' certame mesure, r.§duit les
reLards decoulant de la transcr;ption dps cassettEs de", traductEurs.
356.
Le Service des documents et des publications a connu une importante
accumulation de textes Ii imprimer surtout pour l'impression en offset. II 6tait
difficile d'~'tablir des priorites du fait que les services d'origine exigeaient tous la
reproduction rapide dp, leurs documents. Trois petites presses offset sont l'estees
inutilisees plus d'un an apl'es leur Iivl'lliscn raute de fournitures essentielles. Le
Service ne disposait pas d 'assez de personnel qnalifie pour fmre fonctionner tout
son equip€'ment offset de fayon optimale. Toutes Ie,; operations d'assemblage etaient
toujours effectuees it la main, faute d'espace permettant l'utilisation des grandes
assembleuses. Du materiel a ete comn",ande pour ameJiorer Ie fonctionnement de
l'iruprimerip.~ L/introduction de machines Ii taper 11 dernier crF pour l'anglais et Ie
franQais permet de reduire Ie temps n€cessaire a Ia mise au net des documents
edites et revises, mais ne doit etre cons)deree ::lue comroe un pis-aller en attendant
l'et,,.blissomcnt d'un s~cst,,"'" inte"r" de traitement de textes.
357. Pour 1992 et au-dela Ie role de coordination du Comite ad hQQ charge des
conferences, reunions, seminaires et ateliers sera renforce compte tenu de la
resolution 39/68 de l'Acssembh,e ;jenerale en date du 13 decembre 1984 dan" laquen",
celle-ci "reaffirme qu'iI faudrait tE'nir compte 0. I'av"nir, 101's de I'etablissemer,t du
calendrier des conferences et reunions, de la capacite .iu &eo'etariat quant au
traitement des documents et des dates auxquel1es les organtS subsidiaires de
l'Assembl<~e generale ila Commission) doivent soumettl'e leurs rapports".
II est
prevu d'achever 10. transformation du Central dactylographigue en unite de
traitement de textes. Le Gt·oup<: d,' la r'3productlOn devr" etr" equipe de nm.teriel
moderne. L'informatisaUon de la production et de 1£1 distribution des documents
sera poursulvip~
On cherchera a accroitre l'€ffica(~ite des services de
documentation et do traduction grik.p a }'amclioration du fonctionnement des
groupes de controle des documents ct des r6ferences. Le but sera d'utilise,' Ie
tr.':'\.1tement des textes pour fourn:l' un service de tel'minologie au personnel
linguist.ique d
d'actualisel' regulierement les glol<saires et les bulletins de
terminoJogie.
Les services de traduction devl'ont etl'e renforces grace au
reCl'ulement d'editeurs et dc- reviseUl'S taut r~n '/l?iUa_nt a poul".:-oir les postes
vacants on prenant des mesures d'incitation pour faire d'Addis-Abeba. un lieu
d'affectation plus attrayant. L 'extension prevue des installations des services de
conference ameliorera. les conditions dE' truvail at la production.
358. On continuera d'offdr !.'lUx anciens tradu<:teurs issus du Pro~ramme de
formation Poccasl0n d'aller ;5uivl'e des stages ulautorevision et de rovision dans des
lieux d'affectation plus impOI'tants; l'autorevision sera progressiyem8nt introduite
afin d'abaisser Ie ratio reviscur/traducteUl'S un niveau en rapport avec celui des
autres endroits du Secretariat.
a
359.
Les tradur.teurs se verront offrir la possibiliL,~ d'&tudier d'autres langues
afin d'ameliorer IHs cQmbinaie:otls linguii:';tiqu.es e'Xistant ala CEA. Dans certains cas
eela pourrait neeessiter des etudes en dehors d'Addis-Abeba.
E/ECA/ AD HOC.MTP /9
Page 106
360. La constitution forme lie d'un groupe du contr61e des documents (plut6t que
de travailler conjointement avec un service d'edition permanent) ou'\rrira la voie a
un centrole plus rigmn'pux de 1a longueur, de la qualiLe et. des delais de sou mission
des documents devant etre traduits. Un controle des documents plus rigoUl'eux
combint::: a une planification integree de taus les services d~ conference devrait
permettre de rationaliser Ie flux de travail soumis aux services de traduction et de
reduirc a:insi au minimum le recours <i du personnel temporaire et ,a. des heures
suppiementaires pOUl' la traduction, la dactylol<raphle et la reproduction.
361.
L'introduction ct'un sysV~me 50phistique de traitement de texte6 (compatible
avec ceux deja en usage a New York et ailleurs dans Ie Secretariat) au Central
dactyiographique aura Of'S avantages considcrables. L'efflcacite du Central sel'a
evidemment accrue; il sera alOl's plus raisonnable d'~' centraliseI' la frappe
definitiv(:l, ce qui n'est p~s Ie ca8 actuellernent ~t H sera plus facile d'uniformiser
les normes d'edition et de presentation, L'utilisation d'un systeme de traitement
de textes entrain era au.loruatiqucment l'<.~tabllssement d 'archives, en partie indexees
par sujet et pa.r 8ource~ de donnees produites ou traitees a 1.9. CEA; IJinstallation
d'un mudule accessoire dans Ie Groupe des references permettl'a un acces immediat
a toutes ces donni~es, eliminant ainsl la ;)ecessitp dE' stocker d'autrcs publications
dans Ie Groupe rneme et cela d"vTait l'endre Ie travail de reference plus rapide et
plus approfondi. L 'utilisation de glossaires mi:-J il.Ll point pour ]es systemes de
traitement de textes a Nev.~ York et Geneve d"vrait E'galement reduire I" temps que
les traduetellrs et Ie personnel des references passent a vp.rifier les titre.:; et les
termes consacres, permettant ail1si d'allouer davantage de temps a la traducUon
proprement dite.
362.
En fill de compte, on espere que les echangres d'archives dans Ie cadre du
sysV2me de traitement de te}:tes avec d'autre.s lipux d'affectation, soit par envoi
regulier de disquettes par 1a valise, salt par transmission par liaison satellite dont
l'(;tablissement est. propose perm("ttr~_'nt dU Groupe ,je;s refci-rences - et a la CEA
dans son ensemble .- d'une part. d'::lvoir acces a une gamme plus etendue de
donnees faci1ement utilisables et, ,j 'autre part de ['(:~duire considerablement les frais
actuels d 'envoi par valise et de sLoc kage des public·3.tions.
a63.
On espere que dl~rf:lnt 1a periode du plan, 1a construction de nouvenes
installations de conf03rence serCi rea.Usee afin de permettre de reloger Ie personnel
de l'imprimerie . .t'.l. ]'hpure actuelle, 10. CEA a reCO"UTS 8, des agents rontractuels pour
entretenil' son materiel dJimprimerie dont l'etaL laissc beaucoup ii desil'er en raison
de 1a gloave degradation des cOl1naissances te::::hniqur:'s au lieu d'affectation. A.us:::;i
est-il envisage de c.onstituel' des COOlPt.~t!,'}nces inu",rnes pour l'entreti~n.
364.
On s'efforcera egalement d'obtenir des [ournitures fiables de produits
essentiels a. des prix competitifs; clans de numl;n-;ux caSt ceia signifiera des achats
hon', d'Ethiopie.
365. Des procedures seront cngagees, en colla.boration avec Ie Grcupe ctu controle
<ies doculllents et Ie Groupe <if' 12 distribution, pour que les tirages repondent ala
demunde prevue r.:..'Our chaq lH~ document et quP le-s ciemandes d'impression :solent
conformes au budget-programme en \.'igueur. Dne mejlleure liai.son avec Ie controle
E!ECA./AD HOC.MTP!9
",
1",
des dDcuments et ]e
·';lph',I._
C:;:':~t.:t'·:.\1
1
-·c.;·::><t-;·,·~ ~ux ;;r:,'\'k€s
d1equilibre.l' 10' \:cluffic '.12 L~·:::"·""ilf. pGi..H' k,;. r;::..prc-1th.::ion 1·Gfl·20 {-t
au r:drd:nu',rJ l!? t ·n,'p~~. >i':' -,'" -.' ·;~~~·~-.c,u;:":t- ~~(.>;-j. '---"-". ,_i'<1, -\tl
dE> ':;c-nference
;.)ff3~t
afin de
reduir\;~
366.
Avt;c h h~oderr;F,.(lticn de ltimpril~l;:'rie, 103 Lcaux i,L~~:;tjn(~s au perf)onnel seront
egalernE'nt ·:irJ{~i(>l'es..
l'instaHdLi0n df'
ventil.:\ti('~!
deja ind
foul'niss('l:t
367.
j
H
l:~s
actl~-f'l
~,s-)L;8 r{, Sf':.1 -,'r de reVi3lGn) prevoiRnt
d,;:-;c;. ~r\:C)lY .-,' d:~' d'~:'uch;;~-s, ttL cc..lajr2.~e et nne
, \"nc meilh:ure ins(Jnol'lSDti0o et -un J./~c,es plus facile. ,::::omm'2"
l.'·r't'\-'u. q";(' k:;:; 1101,n*::1;«.: j'--;.2L:l:lcl~·.~OI·U':. d·,'~s ~('n, ic(-:'~, j.> .::!~rlf';'rencf:>
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d;:· 1,1 (.::-('mi,>.:;;;:·,~t:ion eI du
dans 10. me-sure du
(tf' 1-r-:-:tes en (::c)tJr'S .:rinsta.i.lation
r~~qU:pCc!l;e'1.: . .::hOif:i
'0-81'c, 1
coml--';}.tib!.::: a,\'!7;.~ he,
dt' ti..·£r:L,:;~::en!,
p'''<'·':.X ~;11me d'E'.'u::.on:J.LsDl..:,:,::r.•
Gadr:.:: :'l~ ,:'lOl,,\::':Hl,,,,
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effecti-,,-e pour cha(l.',t~:: pubiic~'tt~.Jn dp Ja Cf>\ ~\':"1"1 J:'0-E-'XUfl:llnce. L'et14uetagE" s€.'ra
><:ntier€rr.ent infol'J:lfiLlse: ',A:
;;';: ,~<::::::.br:t/
te 'C~:);;':::' i.l~'3;;' Foperat.L)n
d'etiqu·::t:::::gf: ~.~ 2('
Jr: !t~
3.utomatlCr'.~C' f't. d.c },,;:..ff:".:·L!,lChi£:?,enlent :lfin de
red uire l.:t Fl'~SSJOn l:'es.:!-n '" :~.ll r lP ,:; n)·,J Pl--' 'j •.:" J;:\ \--[~: i~~: d ;',';0["'''
I.e::; 1~::.:~ ~,'_~ J '(1'::11 ';:3S'?'~' ::.\.",t ·d,'d~S0-:. ~> ,(c'n c.. '~l '~E; :::-.to'0 $ er::. ('(: lldboratiofl ay(-:c It~~
Group>2 d.! <>.:J;:tr61e fie>::'" dc\·:....~:en;.~.~ et ;,'-- \~;~.',)Up€ (t"'; ~;i :.·(>pn;duGti.,~r. P01J:;:
la quantit.~ des tLrage'~" p:)u":" c:es docu:11<:, nts ~~-::: t.'·..';r,i0 na!::.\l1'( 'l.fn; ':.C rr,inlnnse:r la
sous-prouL..cnon et :::-;urpl~orluC'tjon et Ie::; COtltS "'-l,U' r;"'1 Cl,I}:':"(),J.t1--:r:r,
370.
371.
stockage GL '::h~ {"~is~ri:-:uL:,o;- :..-:.,.-,.~ (~=,c'-J:n(~:-d;.,· :'<TO[;;: ::>,·.-r';::tni,':.~'2 pe'...:r t'-3t.,,)nalise-r
l'utilis::ttion de 1\~~'Ph'~_'.E dr,pC)iih;e; i\<) s',~'~2't;'m\;";;, :_i")/';~::.::.::.~~~'\'-·' t:'t d? re-che:::'cne 3ercnt
adapLl?3 au systeme ,it:, tLli:;;.em-cnl. de "i2,\t.e;':' du ~:~n~r8.l (j;;tctyl.o~rnp'1h·lue et. s'i! y
a lieu, 1':"0
lJ;'>~ t·t ~,,_<~ ;-,l.plt':':, '1s ·ie :.:~ lJ,.~lL·,.: s ::'"..::r'("FPt. ;~t.X,:,:·i>S
l' ,mp:','lTI1t'r}'j afin que
les documents ,,-,enan.t I:! :n::tDquel' r:U~SS":l1t 12(1'(' r'Jrr,lE').ndes. 't ncUVf'uU r.::":.pidement
et sans
372.
di~fJculte.
JJ s'agit dr::s SUiV:'H~L
fll
POllf'i.'ch' teu::" Ir.~:..::. -i)Ctste.s., vac,;u.lS d3.DS h:s t;r::rvice<:.: d--.;: tr:'lductton ::.vant,
fin 19U2;
rJ
[tn,biu: ~:Ol'r:1·~nement l;n grc-up''': de cont,1'6k rjr-;s document..:; di8posant
du personnel €t des fa,.:.;llltes
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Pa.ge 109
personnel, service des :lch·s.t~·: <:1: .:\ppt'oyisionn;";Jr;f'Ht~:, securite cl service d~s
biitiments et maintien d'lln service des archives. Par ailleurs, l'organisation de
cours de langues et la formation et la mise en ;-aleur du personnel se poursuivront
en tant que partie integl'ante des activit~s susm(:;ntionnees et. SE'l'"ont intensifiees.
al
375. Les texLes portant autorisation des travaux du present sous-programme
emanent, du reglement finand(~ .. de I'OKU, du St.atut et dll reglement du personnel
de l'ONU et de la resolution 3043 [XXVII) de l':\ssemblee generllle.
377.
Les objectifs du sotts-programme consistent
a:
a)
Planifler, coordonner, sUlvre et evaluer la gestion des services
administratifs;
b1
Assurer la prestation de
fonctionnement du secretariaL de la CEA;
c)
Planifier) 61aborer
automatise de base de donnees;
J
mettre
services
en oeuvre
auxiliaires
At
pour
Ie
bon
entretenir Ie systeme
d1
Assurer une formulation rationnelle des aspects budgetaires du
programme de travail biennal;
e)
Ten ir l~ com-ptuoilitc du <;tcr6tadat et prendre des actions opportunes
en ce qui concerne les paiemel1ts et l'Hablissement de rapports;
f)
Recruter du personnel et mettre en oeuvre Ie reglement appropne en
ce qui concerne la gestion du personnel, dans Ie cadre d'un rnecanismp consnltatif
conjoint ayant trait a certains aspects de ['administration du personnel;
Assurer eL administrer des services centraux pour les
voyages du personnel et les transports de fret et assurer l'appro,dsionnement du
secretariat d'une manic,-e rentable;
g)
h)
Assurer les servicor:; du courrier et des archives;
il
Assurer Jes services de reference et cl'information pOUt' Ie personnel
de la CEA charge des activite6 de recherche et poursuivre la constitution d'une
documentation appropriee et detaillee sur I"s economies des pays ufncains;
j)
Assurer des services medicaux: et fournir lee installations medicalcs
necessaire1l pour les membres du personnel et les personnes reconnUeS comme etant
a leur charge;
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k}
Assurer, au.:\: mewbres du personnel et aLiX personnes reconnues cornme
etant a leur charge et pour les biens de j'Organisation des l"ations Vnies, les
services requis dans Ie domaine de la securite et de I" sllretk.
c)
Problemes traitks
378. Parmi les proolemes les ['Jus graves entravant Ie bon fonctionnement des
services administl'atifs du secretariat de In CEA figure Ie manque de materiel
moderne. All sein du Secretariat, tout enlier de I'ONl', Ill, CEA est I'organisme qui
a Ie materiel de bureau Ie plus vetuste. II est certcs vrai que quelques progres
timides ont cote realise~ avec Ill, fourniture d 'un maU;del de traitement de textes au
central dactylographique. il n'en demeure pas moins que Ie reste du secretariat
continue d 'utiliser de vieilles machines. II existe par consequent un oesoin urgent
d'automatiser les services de secretariat de toute In Commission, y compris les cinq
bureaux sous-n,gionaux (MULPOC).
379. Le' secretariat a, jusqu'& present, utilise Ies services du PADIS - un proj"t
finance pur les donateurs - pour traiter certaines d:mnees reiaLi\'es aux finances
et au personnel. Le gros de !'information est traite manuellement, 11 g'ngit la d'une
situation qu'iJ convient de corrig'er de toute urg'ence si Ie secretariat doit
fonetionner de maniere efficaee.
380. D'autres unit.. " du secretariat de la CEA telles que les statistiques, la
population, etc. dependent du PADIS dans la mesure de la capacite limitee qU'il peut
mettre it leur disposition. En outre, cette capacite limitee qui est disponible pour
Ie moment est menacee de disparition par Ill, decision apparente des bailleurs de
fonds d'arreter tout soutien au PADIS. Par consequent, ce dont Ie secretariat a
besoin, c'est de metlre er. .t:lace un systtmlf~ integral de traltement electronique de
J'information pour repondre it ses propl'~S besoins.
381. En ce qui concerne les services de securite et de Buret", une fois de plus,
Ie probleme majeur qui Be pose est Ie manque de matkt:'iel. Le service a besoin de
toute urgence de materiel mod erne de controle et de detection y compris d'un
circuit ferme de television dans Ie centre de conferences.
382.
Au cours de l'exercice biennal actuel, il est preVll au budget un post., pour
1a modernisation du systf,me t.~lephonique' de la CEA. Toutefois, il est crucial que
la modernisation envisagee du systeme telephonique tienne compte de Ill, necessite
pour la CEll. d" devenir autonome uinsi que 1'" amplement prouve J'experience. A
eet efiet, la fourniture d'un satellite serait hautement souhaitable.
383. S'agissa.nt du service des biitiments, les efforts de Ia. CEA en vue d'atteindre
des normes a.cceptables sont serieusement entraves par une penune aigue de maind'oeuvre qualifiee et de maLeriel. On se ~OUVi0ndl'a qu'cn reconnaissance des
pl'obU,mes que connalt Ie secretariat dans ce domaine, l'Assemblee generale a adopte
1a resolution A/39/7 Add.2, dans laquclle elle e"prime sa preoccupation face aux
norme" deplorables d'entretien des locaux de Ill, CEA et a instamment demande qu'll
sait pl?oced€ a une amelioration. En applieaLion de cette resolution, Ie Siege de
I'ONU a, en accord avec 1a CEA, nom me un consultant qui a notamment souligne In
nikessite de renforcel' Ie 110mbre et la qualite du personnel des biitiments de la
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Malheureusement, ancune des recommandations majeures n'a ete mise en
Par consequent~ au conI'S de .ia perlode d'execution du plan, i1 est prevu
de prendre des mesures pour redresser 1" situation.
CEA.
oeuvre~
di
Strategic pour la periode 1992-1997
384. 11 est escompte qu'" la fin de 1991, It, situation financiere de l'Organisation
sera toujours tone qu'cHe n~cessitel'a Ie maintien d1une a<Jsterite budgetaire
ma.'(imale.
385. Cependant, il cst prevu que la situation en ce qlli con".~erne les V.:lcances de
postes sera redevenue plus ou phiS normale. En outre, Ies reductions de:; pustes
auront pri" fin et l'"utomat.isatiotl des bUt'enu:,,; qui <l~lra
introduite en 19901991 continuera d'amelioreI' l'efficacit6 des op.crations en de:pit de la reduction du
personn~l. Parallelemenl. d'autl"es matf:riels d'J bureau, gen-§ralement trcs vetustes
devl'ont f.tre remplaces. C·2tte (lctivit.e couvrL'a Ie
de la CEA ~t Addis-Abeba
et los MULPOC~ En ce qui concerne 1a pl'f'sllition Ql:.' see services informatiques, k·
secrf'tariat continuel'li de dependl'e dEc l'equipement H0wlett "'lckard 3(,00(68 du
PADIS dont l'acqlJ.isitiQD a et .~ financee par de~ fonds 8.:{trfLlJudgetaireb t:t dont Ie
remplacernent devra intf.>rvenir d1icl a 1 H9L
He
l
386. Pour ce t11.d e3t de 1:;.. maintenance, 13. modernisation d.as trois a,scenS0urs duo
nQuveau b.:a.tirnent aura \,~te realisee. Touterois~ les norm6S ~enerales de maintenancE'
des locau.x de \", CE.l, vont ,cl'aisembhblemf'nt se degradcer par suite rle 1.<"1 redu<;tion
draconienne des fonds Pi'eVUS " cet efff>t pour l'c-xercicE' biennal 1990-1991.
387. IJes services administrat.ifs Gonduuervnt. dli;trf: ::tSSllI'€S d:J.ns
domaines de
l'admmistratlon et de la coordination generales, de la gestlon du personnel, de Ia
climque, d(' In
et de la surei<:" de la bibliotheque, des finances, des
services gene raux et du service des batiments. Des mesures seront prises pour
ameliorer les dispositions relatives au plan d.e sec«lrite et pour assurer un
fonctionnement ef:icace dn pl,:l.n. Liintroduction d'ul.l nouvc;l ordinat-eur centra.l,
dans le cadre du systeme
d'information de ge~;tion, sera cntreprise. La
formation en cours d'emploi des membres du personnel de\Ta etre int"n5ifit~e, en
particulier la formatten des utilisat.'urs <en vue du ronctionllemer,t du ~ysteme
integre d'inform'ltion de
L~automatisati;.)n des bureau:"\ dli secretariat sera
etendue am: bureaux n'a:r~ant pas it;; couverts
la fin du plan 1986-1991.
L'interconnexion des micro-ordinab;~'urs ,;,t des r'-3seaux locaux se p(Il.lrsu-:'vra. Les
systemes et procedures de \~omptcd)ilit~ 31::.ront t.'.·xamineg pour en amelioeer
Pefficacite. Les etats de paie seront entP·l't"ruenr. info.rmatises~ La coordination et
Ia sU1"-.fei11anc~"J des bu}:'eaux. sQtls-rdgjonuux sel'ont renfoecees afi.n d'eUrniner Ies
proble-rues dans 18. gestion financjere. un f'lan d 01 :5u,Ill..:.::ati(ln des ':;<:~rrit,:~res sera
(~labore et illi:::; en oeuvre en GonSQqueIlcE'. L'inrormatisation et Pautcmatic-abon de
toutes les Actiyites biblicgraphiques
r:oml)~is lE'£ :lcqll:isitions~ les services
techniques les servicf>:s au:\: J.ectetLrs:, les lister::: rec;Jpitul;3.tiy(~'S sel'ont r8dlisees. Les
servkes d'approvisionnement, de COflt1'01e des ;rJ'"'/E'ilta:l'E's! de la gestion des stocks,
e'
j
;;'
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des reservations aupres des compagnies cV2riennes seront egalement automatises.
Des appareils de lecture - agrandisseurs de microfiches et de microfilms seront
l1chetes.
Les politiques relatives it ]'amortissement et au remplacement seront
strictement appliquees en ce qui concerne les vehicules officiels de la CEA. Compte
tenu de la penurie de biens et ser-v-ice5 sur le marcht:, local, il existera toujours une
forte dependance vis-a-vis des importations au COlU'S de la periode du plan. Ceci
a son tour necessitera un recours conLinu au port de Djibouti pour la plupart des
expeditions maritimes et il sera par consequent neces3aire de Dommer un transitaire
au port de Djibouti.

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