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·I--·-~ --------------------_ F./ECNAD HOC.MTP/9 .. : NATIONS UNlES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE PROJET DE PLAN A MOYEN TERME 1992-1997 .. ~ Distr. : LIMITEE EIECNAD HOC.MTP/9 9 aout 1989 FRANCAIS Original; ANGlAIS COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE Reunion du Comite ad hoc sur Ie plan a moyen terrne 1992-1997 .• Addis-Abeba (Ethiopie) 9-11 Detobre 1989 PROJET DE PLAN A MOYEN TERME 1992-1997 , , E/ECA/AD HOC.MTP/9 TABLE DES MATIERES Pages INTRODUCTION 1-35 1 PREMIERE PARTIE - ORIENTATION GENERALE ET OBJECTIFS DU PROGRAMME 11-35 4 DEUXIEME PARTIE - DESCRIPTION DES SOUS PROGRAMMES 36-387 13 SOCS-PROGRAMME 1 1. Direction executive et administration 36-·10 13 2. Politique, planification et programmation du developpement agricole 41-48 15 Mise au point de systemes de production agricole viables 49-56 17 Mise en place d'institutions et d'infrastructures agricoles 57-63 20 Transformation structurelle et developpement des zonE'S rurales 64-69 22 Ressources en eau et ressources biologiques marines 70-78 24 Analyse, planification et projections socio-economiq ues 79-85 28 Pays les mojns avances, pays sans littoral et pays insulaires d'Afrique 86-91 30 Cooperation et integration economiques en Afrique 92-99 32 Planification, mise en valeur et utilisation des ressources humaines 100-113 34 11. Developpement social en Afrique 114-122 38 I') Systemes d'information pour Ie developpement en Afrique 123-127 40 L 1environnement en Afrique 128-134 42 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 13. i E/ECA!AD HOc.MTPf9 H. Etablissem"nts humains en Afrique. 135-146 15. Developpement industriel 147 158 16. .Developpement du commerce "t cooperation comrnercialc 1i. E'!1 Afl'iqut' Politiques et strategies monetaires Bt flnancieres 166-171 53 Ressources minerale", tel're~tres, ressources marines non organiqucs. et asped!'. 5urid\ques des affaires de la fliP!" 172-182 55 19. ReSSOlll'CeS en eau 183-191 58 20. Energie et developpement en Afrique 192-204 60 21. Population en Afrique 205-218 63 "n Administration et finances publiques Afrique 219-227 67 23. Science et technique en ,\frigue 228-251 70 24. Promotion de la femme en Afrique 252-259 7T 25. Societes transnational"" en Afrique 260-265 79 Afrique 266-288 81 27. Transports en Afrique 289-297 87 28. Communications en Afrique 298-309 89 29. Tou risme E'n }\.fi'ique ~nO-322 92 technique 323-335 95 Planification, programmation. budgetisabon, contro3e et evaluatiun 336-342 99 32. Services de conference 343-373 102 33. Services administratif" et communs 374-387 108 18. 22. 26. 30. 31. Dev~loppelnent nE'" 13. !:~tatjstique en Gestion des activites de cooperation ii E/ECA/AD HOC.MTP/9 INTHODUCTlOl, 1. Conformement aux dispositions pertinentes du lieglement et ues regles regissant Ja planification des prsgrammcs, les aspects du budget qui ant trait aux programmes, Ie contrale de l'execution et les methodes d 'evaluation (ST/SGB/PPB!'1E/Rules 1 (1987), Ie projet de programme sur la cooperation regionale pour Ie developpement economique de l'Afrique du plan a moyen terme pour la periode 1992-1997, qui doit etre execute Pi:il' la Commission economique pour l'Afrique, est presente au Co mite ad hcc c;rc~e je'a,' la Conference des ministres de la CEA pour examiner Ie projet et faire des recommandations. 2. II con"ient de rappeler que ~ur une recommandation faite en 1987 par Ie Comite du programme et de la coordination, l'_'\ssemblt~e generale, par sa resolution 42/215, a prolonge jusqu'en 1991 Ie plan it moyen terme en cours (1984-1989), condition que des ameliorations soient apportees a la structure, au contenu et a la presentation du prochain plan i3.. moyen terme:. A la suite d'a.utres recommandations faites par Ie Comite en 1988, dans Ie cadre de I'exan:en au projet d'introduction au prochain plan a moyen terme IA/43/329 i et du projet. de calendrier des consultations pour la preparation dudit plan :A/43/329/Add.1), I'Assemblee generale, dans sa resolution 43/219 du 21 dec:erabre 1988, a, entre autres dispositions, pris les decisions ci-apres : Ie prochain plan a mo,~en terme de l'Organisation des Nations Unies portera sur la periode 1992-1997; les organismes gouvernementaux sont invites, lorsqu'i!s examineront, ell 1989, les parties pertinentes du projet de plan a moyen terme pour la periode 1992-1997, a porter toute I'attention voulue a la structure let plus appropriee a donnel' aulx) grand(s) programp;els) et aux programmes Gt sOlls-programmes sGumis a leur examen, en la comparant avec la structure actuelle et en tenant compte de I'analyse des objectifs, ten dances et orientations generales decoulant des mandats des organes intergouvernementaux, que presentera Ie Secretaire general. a 3. Les propositions preliminaires (h~ S~rq~;L_l.i,-'e ger.e.cal sur 1.3. nouyelle structure du plan a moyen terme pour la periodE 1992-1997 figUl'ent aux paragraphes 33 a 35 du projet d'introduction audit plan (.'1./43/329, annexe). E:Jes sont destinees a ramener Ie nombre des grands programmes ct des programmes GU plan a moyen terme en cours, de 31 a 4 et de 148 a environ 40, respectivement. Par la suite, une structure de programme revisee et des informations supplt:~mentaires, compte tenu des observations des Etats membres de',an, Ie Comit" de la coordination des programmes et Ie Conseil economiqu0 et social ainsi que des resultats des consultations menees sur la question au sein du Secoret2.riat, o"t et!' fou~'nie~ a la Cinquieme Commission de l'Assemb1.ee generE~le, a sa qEarante-tl'oisieme session, dans un document de seance IA/C.5/43/CRP '! i, q',j est ~ollmis au Comite ad ho'c comme document d'information. 4. Pour lui faciliter l'examen du -PI0j~-~t 'J,.~ pr061'1l.Jl1n:e sur la cooperation regionale pour Ie developpement ecol'1cmique de l'Afriqne sous LOU:S ses aspects) Ie Comite ad hoc sera egalement sais; du pl'oJet J''''~l"C'~L'~c,cn au prochain plan a moyen terme (A/43/329) et des parties pertinentes du rapport du Comit6 du programme et de la coordination sur sa vingt-huitieme session (,\/43/16 (Partie 11)), E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 2 5. Dans Ie plan it moyen terme pour la pel'iode 1984-1989 (prolonge jusqu'en 1991), les activites menees par la CEA proviennent de 15 grands programmes distincts et sont l'egroupees en 15 programmes et 1-19 sOlls-programmes. Bien entendu, ces programmes et sOlls-programmes ne eompl'ennent pas les activites d'appui et les services qui, bien que nen conformes a la structure de programme du plan en cours, sont inscrits a.u budget-programme camme programmes et sousprogrammes. Les activites en question portent sur les domaines suivants : direction executive et administration, services de conference, gestion des activites de cooperation technique, a.dministration et services communs. Au total, el1es constituent respectivement quatre et 18 programmes .et sous-programmes supplementaires. Dans la nouvelle structure de progl'amme proposee pour Ie plan it moyen terme 1992-1997, aussi bien lcs activites principales que 1es activites d 'appui seront couvp.rtes; les activites corl'€spondantes devant etre menees pe.r la CEA seraient regroup(~es en un seul grand programme (Grand programme VI : Cooperation regionale pour Ie developpement economique et social) et en un selil programme, a. set-voir Ie programme 33, qui comprend 33 sous-programmes. La nouvelle structure de programme n'irnplique pas l'elimination d'activites B'ctorisees. Comme indique dans Ie projet d'introdudion au procham plan et dans Ie document A/C.5/43/CRP 4 susmentionne, les llOuvelle" structures de programme et de sousprogramme ont pour objet de corriger certaines des principales faiblesses du plan actuel et de rendre Ie nouveau plan plu~:; transparent et moins esob§riqne pour les organismes gouvernementaux s'occupant des questions de fond. On espere ainsi faciliter les relations entre ces organismes et ceux qui ont un role central dans la p1anification, la programmation et l'etablissement du budget. Les administrateurs de programme auraient egalement l'occasion de revoir en prof8ndeur lenrs programmes arin d'evaluer les activites deja menees et 1a fayon dont elles ont ete menees, de fixer des oojectifs realistes et acceptables par l'ensemble des Etats membres et de proposer des strategies appropriees pour atteindre ces objectifs. L'objectif ultime est de faire en sorte que Ie plan JOUE' Ie double role qui est Ie sien : d'une part,servir de principale dil'ecti'\,"e de politique g~nera.le des Nations Unies et, d'autre part, etre un des instruments operationneis pour un processus de gestion integree des activit.es entreprises par l'OND, les aucres instruments etant Ie budget-programme, les rapports sur l'execution des programmes et les rapports d'evaluation. 6. Le projet de programme du prochain plan devant etre execute par 1a CEA est divise en deux grandes parties. La premiere est intitulee "Orientations generales et objectifs du programme"; la seconde presente h:! projet de programme en 33 sous-programmes. 7. Le prochain plan it moyen terme (1992-19971 sera dans un premier temps execute grace au budget-oro gramme de lot periode bienna1e 1992-1993. En presentant ce projeL de programme, on a pose comme hypothese que les reformes du systeme des }'ations Unies lancees par l'Assembl<;e dans sa resolution 41/213 seraient menees a bien, que la crise financiere 4.L~"; ~Laverse l'Organisation serait passee et qu'en ;olus des ressources du budget ordinaire, on disposerait de res sources extrabudgetaires d'nn montant suffisanl et prevbible. Si ces hypotheses se revelaienl fausses, il faudrait alors reviser Ie plan pour tenir compte de la situation du moment. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 3 8. Le plan a moyc'n t:p','~ri.';_> \.:'rl CUUI'~'::' (I.J:~·o10.i.1!~e Jusqu:en 1]91) ne compol'te pas un ordre de priQrih~ entre les SOlls-prograf..1mes pertlnenLs. Conformement au Reglement et aux regles regissant la planification des pl'ogrammes, l'etablissement de ces prioriles par les organlsmes inter~'ouyernemenu-lux competents est necessaire, carnme reaffirme par l'Asscmblee generaJe dans ses resolutions 41/213, -12/215 et 43/2IS. Le Comlte ad hoc est done invite a etaolir un ordre de priorite entre les differents suus-programmes. Ce faisant, Oil devra garder a l'esprit les dornaines prioritaires definis dans 1e P!'og'ramme d)acUo':1 des Nations lrnies pour Ie redres~ement eccn'Jmiqu" l,t )", developpement d~ l'Afriq"", 1986-1990, notamment l'alimentation et l'agrlculture, les secteurs d'appui a rag'r-iculture. la secheresse el la desertification, la mise cn valeur, la planification et l'utilisation des ressources humaines, les reformes de poliLiques. A travers les mesures et les decisions qu'ils ant prises lors de recentes reUnIOnS intergouvernementales J les Etat!=i. membres ant egalement souligr,e la necessite d'accorder une attentior: particuliere it d'autres domaines tels que la cool>eration ec l'integration economiques, l'environnement, les ressources naturelles, en particulier l'eau et les ressources minerales, Ie developpement social. En outre) lcl'S de l'eAi1r.• (~n de 1:::1. question des priorites entre les sOlIs-programmes, il faudra §';'ardel' .?:t l'esprit que- 1e plan a moyen terme peut etre re-'ase tous les deux ans. Ainsi, e. la vingt-septieme session de la Commission/dix-huitieme reunion de la Conference des ministres de la CElt prevue en 1992, la Commission aur.:: 1'o('ca~~>:.n dc:' ; ".:: . .-i,SP1' le c'")nt~nu et la structure du programme aillsi que I'ordre de priorite entre 1eE. sous-programmes. 9. Les recommandations failes par Ie Comi::'2 ad hoc seront Pl'ises en compte par Ie Secretaire genera.1101'squ':11''{·,-isera le present p:toj~t pour soumisslon au Comite du programme et de la coordination, au Conseil ecollomique et social et a j'Assemblee generale a sa qua.rante-cinquieme session pl'e~'u~ en 199rJ. Ga structure et Ie contenu du projet ae programme sunt prcYlsoires et pourl'aient changer apres la revision du present projet.. (;o~nme cfe;,;;:.~ le cas [Jour h~ budget-programme, l'approbation du_ plan i '1!oyen LpJ'me Pft, l.li~e ~'J"'r;).'J?'~iti"\-E' (~e r.\ssemblee generale. Questlons pl'ooosee.s d. l'examen du Comite 10. En tenant compte des informi.llions donnees ci-dessu5, IE: Cornite ad hoc souhaiterait peut-etre faire des observations ct d~s j'ecommandations sur les points suivants , al Les objectifs et les strategies propos<:"~8 pour Ie prochain plan a moyen terrne (1992-1997), a.i~ll:d_ que It:"s modifications appo.::·'.:,~~:s i:1 1--:1 structuri;: et au nombre des sous-progr.::lmmE:s; b) L'ordre de prioriU'! entre lf~8 S0us-pro.gramn:es. conformement aux articles 3.15 el 3.16 d~~ Reglement et des regles n~;i8~ant 13 planification des programmes et a la Iurn'iere des parties pertinentes du pt'ojet. d'introduction du ~ecretairp ~en€ral au prochain plan a mo:yen term(~; et c) Les nouvelles activites proposees pour 1e prochain plan it moyer. termf'. E/ECA/AD HOC.MTPN Page 4 11. Au cour~_, de J:1 decc;:Hl1P '1F:<-~ at1n(~\-;::: -'0. l".r-c-FL:';1f"'( d .... c ic-:cteul's aggravants tels clue, tj2,n.3 it: domaifle ]n,t~~rleul'. je~c. '2jT~(:,:', d-~~ !J. se,-hcce:;se sane, pr.:icedent, un tau x de Cl'Oissd.nCf:' d6mc'_~rfipb_ique mOY{'Jl dep:'ls:;.:;arJt 1.'lrgerI1en.t Ie ta.u:... dp croissance de la pl'(Jdu-:-ti.J.n dllp'l~c.i.ta~l'~~: e d,:;s polit.i1c.'Je.3 ~;,t~ ?;;-et.:tivfl f·~_·(;nc:..~miqu ~ ~£.nera.lement deficientes (:t, dalis 't"" Ck-'1'L~~inE (;':t( rit:.:ur, L',=,"fcrj~~H~!"lr:>nt c!es COUTS je::~ Pl'OQUlts d'~xporL~tion aI1'1::-_"!Jn.:;, L. d~ te-·'j':-T8.f,iL'D (}.;,:3 tf-rml:'f:; de rech~;lnge, llne ten dance a la baisse E:'rl Y~l.ieur re-;:lh: .'~'::': dP;::'Ot't:e, de l'~:tid[ .:.)l;.r·li-<':tuc au de-veioppement, un protecticnni;::;me generali::~_", (je:.;:, L:~,llX ci'inLer'';:'t eJe',,-e3, (le8 ituctuations mOTi.etaires et un lourd f'u'deau d~' Jd. ,j(:\..-~e t"-!. de SGr: :;(:"YicC'!, ,;:~nt1'8 autl'("sj s\-=:.:st S\lperpOsee aux eff,-'>ts nr0td.::.tc:6 (,l,~coui(-l.nL (k l;-t frar:jlit(": d'_-,~, .::i":UCtU::"f:3 s.()cio-~conomiqu.e3 de l'Afri'-iue. ;_ ~_,\friLJlu,; ~\ dr;-l":":': r:orlstit'J,<;5 un main'):t tres ti\iLlf- rl.e Ja chaine des relation3 e('onIJmiC]L~-'~-; DC'r-l-'.i;:-lk~s i..'t ~\Si~ C0"v enUf, en Ldt in. i'egi:J1J. I=-I'i<)ritaire pour les Nati(.'n~", Cnic::.. PUlSl-,UV ~;i_ -~-U,::~st..lon f<),l.::in.nl". :tl.tak~ de la l'egi~)n eLlit la survie et Ie redres,:,;p.'ller1L. r 12. lJnE; ;;(:1'Je d ·i'"1:...:.iatjv',-~,~~. !y)litiquc~ resol.u,:,'s onl. -.~te prisE's par les gouvernement3 ::-l..friL.-u.in~ r: L L.-,_-;}L:lt;\;'~'-:.tl(,:': CY~!m\lnr~ut:':.~ internationaie dura.nt Ia deuxieme Ploit-ie df: 12 ,j~~cr~nni\·! des annees 2~~' pour redresser 1.3.. situati.on et reIanc8l' l~lll.itjati·;-. l,'Ol.1r 1...'n.;~ Cl'C;i3Sc.nce a lon_;~ ~_.(,l'ntc ct unE' ~iycrsification socioeconomiqup \:ornnn' -2n i:6moignaif~.nt lr- PTDft~Ll:Ymtt2 ;':lriorita-i.t'e de redl'essement economlqut.~ c[,:_' J'.\~-l'lqU2 l~)Fb-l:,',y\l. k --::=-~:·~.'(l~_'d.mrle d.'action 'leE:-: Kations l~nies pour Ie rear:--;SS2m~,"nt t~C()nOmlq1l2 vL 1,.:: dE·ye.l=-,ppt"J':lRl--;,t :1('; ljAfl~lql..te, 198C-:'990 2, la Dl~c1araticn d( 1<.1 :,ij,:t0U:!1 : -V('!,'3 uL,~ :1. pr;. roc he- du _c,=,d:~·es:;Enh.---"nt coclo-{'co!1omique et du dt:-"Yt~lo1'lJem,::nt (~n Af:riq~E:' centl'£:t:- ~-UL l-homr;!e J , 1.3. pec~3.l'ati0n dE: ~~iamey a l'occasion ,:J;.l trer,tit";p:e .J.rlnj'\_r';'_-~·S<:1:1'[ rl.? ;_::1 CUf1mi--::::'i i. (:c()a~)rr:ique p~!u-::-, l',-,\frique--! et Ie Cadrr.> .1fr;-'=-,'-~ 1'1 H- Tl 'jC ,; }.;'jl: :',' ic-.:: ~A'l"Y':':J..'-'_-(.LJ rtlL>: c.' '3. J ' .Steillc::nt str-,l,,:,turel en ,'c_-' L ;- - vue du r!,-:,r:.!.~,_~:..;,~,.em':·nt. 9t' de L! ~r::tn:3f()rlT::_~.~it;-:" ~('cj!.\-/-c_)rY~!rli:_';.i",~S (C'.\YLi'i. . S;:;. 13. I.e'" dire,>. .l'.•,;-, ',>'.ut,:JH(c.o ,Lr,s ,-c:S C10cuIlle'1t:; (;""tent 8\ jc!el;lI:lent con~ues pour accf::l="e:c rE:X6'=-Ut~c'~1 (~L 2~ar: j','tC'...iu_"-i. ('.t La.i'~''J::- c.-I; -,'-ue ::i2 l:'"~. fj,Ise ·?n OeUVl'E de la Strategie :1e r'1:::Hll~,)\-_i,j, r0ur Ie d€-;"T("l:')ppemeL:: ,~'conomi\lUe de l'.--\frique, 19802000 et de IJJ..'.:tl.: f(rwl de L:.igo:~c i...e chapILl'E _c'.l ['\.11 ')!'3..ct.i'YI .1e r~,a.;~'s n::Iatif aux fRmmes a 6t& I').t.::~::dblernent renforcf p-':1::' les pohLi...:.Jues adopteel;) d.:1.ns le cadre de la t\/40/G60. 2 A/S-13/2. Annexe, 3 • E/198S!37 5 E!ECA/eM.1E/B/Rsv.3. 1 AiS-ll:1~. E/~CA;CM.14/·!2, Annexes 1 et II. Anrexe III. E/ECA/AD HOC.MTP /9 Page 5 Decennie des Nations Unies pour la femme: egalite, developpement et paix. Alors que la Deeennie pour la femEI" prenait fin en 19[;5, les Strategies prospectives de Nairobi pour la promotion de la femme adoptees la me me annee etaient censees prolonger, au-dela de la Deeenme, les politiques adoptees pour mieux assurer l'integration de la femme dans Ie processus de developpement, 14. Camme il etait devenu evident apres l'examen et J'evaluation a mi-parcQurs de la mise en oeuvre du Programme d'action des Nations Unies pour Ie redressement economique et Ie developpement de l'Afrique effeetues par l'Assemblee generale it sa quarante-troisieme session en 1988, les acquis decoulant de la mise en oeuvre du Programme en matiere de redressement economique et social et de croissance comme base d'une tra.nsformation et d'un developpement accel€~res des economies africaines conformement au Plan d'action et it l'Acte final de lagos ne peuvent etre consideres que comme un debut utile et appreciable, La realisation des buts et des objectifs du Programme d'action des Nations Unies ainsi que de ceux de toutes les autres strategies et approches t'etenues au niveau regional, definies et appliquees au cours des dernieres annees et contenues dans les documents intergouvernernentaux precites doit certainernent se poursuivre dans les anllees 90. En consequence, ces buts et ces objectifs constituent la base ,juridique generale du Plan it moyen terme pour Ie pI'ogramme sur la cooperation regionale pour Ie developpement en Afrique. II y a bien sil!- leE diverses resolutions et decisions de la Commission, du Conseil economique et 60cial et de l'Assemblee generale qui sont egalement refletees dans l'orientation du programme. 15. II est devenu de plus en plus clair que Ie probleme fondamental auquel fOllt face les economies africaines est celui dlengager et de maintenir des processus de developpement econcmiqu2 -~t _,:,::cbl yiables, '\in~iJ ,::::'Jmme indiquE- dans Ie Cadre africa.in de referene-e pour les programmes d'ajustement structurel en v"ue du redressement et de la transformation socio-economiques, des mesures doivent certes etre prises pour faire face aux problemes it court terme des desequilibres internes et externes tels que les deficits budgetaires et de la balance des paiements, cependant ces mesures devraient etre adoptees dans Ie cadre des objectifs it long terme du redressement et de la transformation socio-economiques. Le principal deii durant les annees 90 sera done de prornouvoir la diversification economique et la croissance auto-entr8tenue grace a des changements fondamentaux des structures socio-economiques fondes sur Ie renforeement resolu des infrastructures economiques et. socia~es, en particulier les biens d'equipement, les capacites de recherche, Ie savoir-faire technologique, la combinaison et l'utilisation judicieuses des reSSQurces humair.es, des res sources naturelles et des competences. Un tel renforcement sera eta} e par une interaction croissante entre les divers secteurs, une expansion progressive et une rationalisation des marches interieurs grace a une plus grande integration econornique nationale et regionale. 16. Deja, la commuraute inte-rnationale a pl'is consciencE:: que des solutions durables devront etre trouvees aux graves contraintes exogenes sur lesquelles l'Afrique n'a aucune prise puisque leur persistance reduira a IH~ant Ies efforts des pays africains. Pour qUt eeUe str3.tegie regionale soit effectivement recherchee et appliquee, l'engagement de la communaute internationale decoulant du contrat qu'elJe a passe avec le~ pays africains dans Ie cadre du Programme d'action des Nations Unies devra etTe respecte et maintenu au cou!'s des annees 90. Ainsi, E/ECA/AD HOC.MTP /9 Page 1'\ durant la periode du plan a moyen terme, une cooperation intensifiee et amelioree comportant un accroissement sensible des flux df~ ressources exterieures sur une base previsible et assuree ei des mesures efficaces visant soulager Ie rtlrdeau insupportable de la dette seront particulierement importantes pour permettre aux pays africains d 'essayer de se degager de lOetreinte du sQus-developpement. A eet egard aussi, un environnement exterieur plus favorable caracterlse par de meilleures rnodalites d 'octroi de l'aide et de Fassistance techni'lue, une croissance soutenue, equitable et non inflationniste, des politiques commerciales liberales et un rneilleur acceR aUK marches, surtout -pour les pl'oduits tropicaux et les produits manufactures origin aires du tiers rnonde, serait souhaitable. a. 17. Dans les domaines specifiques d'a.ctivite, Ie defi lance aux Nations Unies et Commission economique pour rAfrique en pu.rticulier a de quai decourager. Dans Ie domaine de l'acquisition, du developpeOlent et de l'utilisation rationnelle des facteurs de productlon essentiels en 'vue de saute nil' un processus de developpement et dp croissance dynamique et diversifie, la mise en valeur et l'utilisation des ressources humaines doivent etre l'etenues comme priorite absolue si ron veut promouvoir les capacites de tous les groupes de populations, en particuli~r les col1ectjvib§s rurales et assurer la formation accrue de cadres moyens et superieurs et de tech!101ogues neccssaircs, specialement pour la transformation des matieres premieres industdel1es ]or.:ales en produits semi-finis et finis. A cet €gard, une attention sera accordee au role essentiel des entrepl'ises concernant An particulier Ie t.,ansf" rt et ]a mis" o.u point de technologies et les problemes du chomage generalise. La question de l'emploi d'2vra elle-meme etre per<;ue et abordee par rapport aux facteurg determinant 1a croissance et la compClsition de la population et l'incorporliLion de ces facteurs dans les processus de planification ct de programmatk'n D,:)l)r 6lpvl?r Ie TI)"'I.'C"{"'.\-u de yie. Un ri'lement E::ssentiel d'activite dans ce domaine sera un programme sensiblement p1.1.rgi pour l'integration des femmes, en pa.rticulier les femmes ruraies, dans 1e de'i."eloppement avec un accent accru sur la promotion de l'emp1oi, les ressources productives et le revenu des femmes ainsi que In participation des femmes dauB h prise de decisions, dans Ie processus d'industrialisation et dans Ie secteur non structure. a la 18. Dans les processus de croissance et de diversification souhaites, l'essentiel est evidemment l'applicabilite des ressourCes humaines, des competences eL du savoir-faire au domaine des ressourees naturelles pour satisfaire les divers besoins de 1a population. A cet cgard, 1es gouvernements africains auront besoin d 'une assistance accru(' en YU~ de l'extension dRS capa(;ites nux niveaux national, sousregj.onal et regional po:...p· l'exploration, l'evaluation, l'extraction et. l'utilisation des immenses ressources na.Lurelles connues et potentielles de la region dont notamment les miner-aux, les eaux (:{e surface et sQuterraines J les ressources enel'getiques, les forets, les ressources minerales et biologiques de 1a mer, Ie patrimoinc zootechniyue etc •• Un element essE;nUel de cette a.ssistance sera Ie soutien lars des negociations avec les soejetes privces ctrangeres eL locales. La necessite de renforcer la base scientifique et technologiq ue, noiamment en matiCre de cartographie et de teledetection, sera particulierement cruciale dans ce domaine ~urtout conoernant l'accroissement de l'efficacite de l'infrastructure scientifique et technique, la satisfaction deF>.' besoins en personnel nec.e:::.tsaire en matiere de transfert et d'adaptation deteohnologie etant donne qu'il.s se rattachent aux objectifs des divers secteurs et l'amelioraUon de la base institutionnelle pour la recherche - E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 7 developpement en vue d'accrOltre I'incidence locale et ]'utllite de la recherche developpement. 19. II n'y a actuellement aucun doute que Ie quasi-effondrement des economies africaines vers Ie milieu des annees 80 etait principalement d-G aux eehecs retentissants du secteur agricole. La crise alimentaire qui en est resultee et ses consequences ant ete sans precedent dans I'histoire de la region. La priorite accordee a ce secteur durant ces dernieres annees doit done se poursuivre. La Commission et la commuL.~ute intel'national~ D.uront, dans Ie c~dre du prochain plan a moyen terme, a faire face aux questions essentielles ci-apres ; a) Renforcement des capacites pour une amelioratIOn de la planification, de I'analyse des politiques et de la programmation dans Ie secteur aliroentaire et agricole; b) Mise au point, adoption et/ou transfert de technologie appropriee pour l'amelioration de la productivite dans Ie domaine des cultures de base et des cultures d'exportation, de l'elevage, de 1a peche et des ressources forestieres; cI Amelioration des structures, des systemes et des institut.ions concernant les petits 8.griculteurs. l'accent etant mis sur la production alimentaire, les pertes alimentaires, la securite alimentair'2, la recherche et la technologie, la main-d'oeuvre et Ie developpement rural; d) Transformation struc:turelle du secteur rural grace a l'elaboration, l'execution, Ie suivi et l'e-·,raluation des programmes de developpement rural integre, l'accent etant mis c:.ur l'autosllff'tsanee et lel participation populaire. 20. Parmi les facteurs de production necessaires a la croissance et au developpement, Ie fait de dIsposer rapidement de ressources et de biens d'equipement locaux doit 0tre considere comme Ie plus important. Le defi lance a I'indnstrie au cours des Ilnnees 90 sera done d'etablir une base solide pour une industrialisation autosufiisante et auto-entretenue '3n mettant desormais l'accenL sur les industries a base de ressources et les industries meeaniques de base, les industries alimentaires textiles, forestieres et du bois, 113. metallurgie, la mecanique, les industries chimiquE'S et petrochimiques et des materiaux de construction dans Ie cadre de la deuxieme. Decennie du developpement industriel de l'Afrique plutot que sur les industriec de biens de consommation d€'pendant des importations. L'adequation du reseau des s~rvices essentiels comprenant principalement les services de consultation industrielle el les institutions d'appui aux entreprises est une condition necessaire a'l developpement des industries des biens d~equipement. Au cours des annees 90) il conviendra done de concentrer de nouveaux efforts sur l'amelioration de 13. quali-Le et de l'orientatiol1 de ce l'eseau, particuHerement en ce qui cone erne les besoins des entrepreneurs operant surtout dans la petite industrie et Ie foncti.1nnement Edficace des entreprises privees eL publiques. L'accent sera egalement. mls ,sur l'adoption par les pays africains de politiques, de plans et de programmes. industriels judicieux, la mise en place d'institutions et la mise en valeur des ressourees humaines, en particuliel' les capacites technologiques et de gestion. l E/EcA/AD HOC.MTP/9 Page 8 21. La r;:;forme de la structure de la demande n'est pas seulement essendelle au dev,,\oppement d"" facteurs de production internes, elle constitue egalement une au tre condition necessaire a une croissance ""r;eleree et: a. la diversification. II en decoule la necessite urgente de reformer les structures du marche et de promouYoir une cooperation multinationale plus efficace, A eet e:sard, iI faudra deployer de plus grands efforts pour profiter des aVClntages des complementarites entre pays grace a. l'intensification des echanges intra-africains. La necessite de re!'lforcer les diverses organisations et. institutions financieres intergouvernementales multisectorielles et orientees yel'S les echanges cost claire a eeL egaI'd. n faudra cependant t1:"OUvo,: de nouveaux moyens pour I'enforcer la capacite d'ex,§cutior. de eel'> organisations et institutions et les transformer en i.nstrument" efficaces d'integration economique et d'autonomie collective moyennant la mise en oeuvre de programmes et de prnjets conjoints plus pniUques et plus imaginatifs dans Ie cadre de groupernents sous-regionaux dans Ie domaine du commerc.f' intra-africain et de la coopet'ation monetaire et financiere. 22. S'il condent de mett!''' a nouveall l'accent sur les mesUres propl'es a ameliorer les arr:mgcmcnts pour l'obtention de capitau:<. pllls importants grace 11 une campagr:e de promotion des exvortations plus agrPcssive en faveul' des entrep1.~i5eS industrielles africaines, naissantes, 1& reforme du systeme monetaire international et a l'accroissement d"" ,,['ports "" l'aide publique au developpement., on ne de\"rait. pas pOur autant negliger au cours des annees 9G la facon clont 1" region est progressiv<;ment affaiblie par la rapidite avec ldqllelle d'importantes quantites de devises sont recyclees pour payer leB bienS' et services qut'! la region peut, avec quelque effort, produire PC,Ul' elle-meme. Les problernes de I'accumulation cle \a dette et clu service de 111 dette, les cransferts et, les rapatriements de capitaux par les societes trpnsn:1tict;D.J;:;:: r 1: i,-,~ C'P?,r:?'p!'ise:? ! les paiements des services de commitants, les fl"ais de gestion ainsi que j'acquisition de la technologie et d'autres serVIces dont Passurance, ]e transport maritime, l'aviation civile, }a, distribution interne, Ie commerCe exterieur etc. devront etre examines et abordes du point de Vtle de 10 capacite interieure ~ fournir ces biens et servlces* Une question cOnnexe devant etre aborde" avec une egale detern,illation est la mobilisatlon et l'utilisation rationnelle des ressources financieres interieures, a 23. L'infrastructure pOur un developpement .. t une croissance economique autosuffisanLs et diversifies porte sur uno vasto gamme d'institutions, do services et de structures materielles eSBentieis, Une attention partleuliere devra cependant "'tre accol'd"e a !'influence des transports et des communications sur 1a nature et l'evolution des !:larches inh?rieurs et a 1a & f~et egard d'une integration effective d""3 economies nationales et multinational"", L'execution du programme de la deux;"me Decennie des Nations CniE'S pour les transports et les communications en Afrique de\-rait servir d" cadre ut.ile a cet egard. Le potentiel propre au tourisme pour 10. prornction de la cooperation intra-africain€' et nil de"eloppcment devra egalement etre aecru grace au d0veloppement du tourisme intra-africain, it !'etablissement de circuits touristi:lues interct;3.tiques d Ci In formation des competences techniques requise~l. 24. L'interaction des t.ransports et des etabhssements humains constitue un autre domaine necessitant un appui massif au programme, en particulier en ce qui concerne la transformation du sccteur rur,,] grace surtout it In planification spatiale l;;!ECA/AD HOC.MTP /9 Page 9 rurales Pindustri"-'.1i.,:,.a.t-:--..,r. rapporc. avec ~'dl'C"-~~, L~'! ,-:;-j ,,':tt'·..JL:. 'J~! 1~ "fjl'~'l' f>S' ~?>-- - .:~ lTp~-,:_'rn(nt sritiq .. p:; dans 19. l-/·gl'-'~; J..~rjt-::.,_''!.-::'" l.-',- _<-~1 ir.. '::. ::'!i~ ~ik,tM~;':_'_ d'L ,:,llLtt !:'<::.:nicl.'me',:: 1:1. 1r1 Stratfg;lf:' nl(·njJ.!:11,~ d,~; kn~:;·:,ueu:~ ju.squ'i\. 1':.H. ':::_";f~{ :1',;::Vl '11!; etrE: mise:::; ~u t:<nnt -pour de Is les fY~~'::': e.i':'ic~in; ,lib! l_i~:ij.-: :"),11.:",(:fI0 t'<:r~j:tlckr ~llc-ml-;;lt ..IE" 1 Ii': f~:" ; '1 ",l'anL ::-l'nl,~'. dcn .\'~\ n'tl",.:: lie-: P·J:'"l7:: l"i:)tu~-~-·Hem(lnt etre i,o: '--::-t~t-\; <.:'-': i_l':)<r.:-;~nt:,.:,~ nlU::~i.-:_'s l}::J L~> i(; __-I-::".sioppement rU1\~1l qui couvrit'f:j t")us !t'E~ ~'e'~ 7.'~'Ul';::, eh :.lY',1.11 t. !) ~L::f.'· n ~e bes:nl1 ...::r,lclal de r'l'(:;,h.:t1..)n dv '~J;; r",'. 1.t\.)".n0ment, E:~~ L,li~.:.' C.,'~8 ~i.0~.i-:~'t~S ',:.o'xr ,_o!!.linlI21' a lut-ter 2.0!ltre In Z;{<::hCl r.}~'.:/.-:: t::,t L~ (1t:',?'i;-';l't!~~;_'"'1tl':>~I~ _J irJlr"' . H't€ paJ·tir:.~hl=-'~',"'-':n~nt (it: de\-;?Jopper ~t d-::: l'CL.t'01' .. :t r !e::', ('al:'i.;v:~iL.',:" jL...:tit _l.;-L::H1J!,;"lk.=-- et h_ UllLiil",·"s. {j';:'Fel't::l' '~ln ch;:ln~'~:::ment d\OI·jt~tdA)' iGr'o pr)lJtJq1l<:' ~{, ;_~ "".;J:' J,_ ~ m~C8.;L",:Llei:-> !,i;:':.:l:~tli.:. (-1, ~.0.mi~Il:;C.>tratif2 2;:-,. :)' :1.-t~t.l'("~,() 3CtJ't.-"1 f-S :::; CCnyHf;~ e:.. ':'.xc'(",:b~~·:p. C::J:l::. w , 28. 's:agi~sL~ll l'A-C'cent SvClt:.1 EO'.\.' ,:'c::~n::,.: '-:le.s 3,:::PE"':':'t. t.r,· r~,'~\ ek--r'!-J' Ul-~Jt\, 3.p}!r:.)r·!'~t' imr6:,,-~'.Jli:: et cit:·::;: d(-~~ C'h'l.n:;~'i;H-"~-tt~ [:A.... ~-.:i.c·,.l e'--{G.iL::: .. blt: :.. U pl.;~!l 1"1\..-,_;\'" i,i ' ..',t' ; .?, t&Ct:.rl ... m1t.;l.1€S, (1) ,·k '. mettra ue ·j!;Jfl en\iil'onnern!~nt L',:, Lt j)lC:tection socjale et 1(' bien-t:3:'j't' lndi'r,;lJLlel, Le P:');;;l'arnrne ",,"';"1'1,,1 r Gur 1.;: .ie'\:ek ppemeLt social dan;;-; )f73 anntZeE, 90 \,'I':;'I;'~r8 v. ILii:' l::S~·tt(·c llOIi: ,':t.n'3.:~:~» int\:·l".Jlsciphnaire. 13cOhlpreil(;llSica fit. 1'~;ic dv!r1. iti<-lIV:' :::-:0c!.::dt:' t. t, cL· iii pi.:..'.If,i)jr:atioL socialE-· 011 "'in.i.e d~ l'allt"~':.·'m'~'J~':: (~:?- ~a P<l.tl. "('L: 5:?,C-"ler:j· ",,;;: :::', :1f5 pr~\'\..:,tlC'n t,;t ct>:> rcjjn~ination de-s dt'~si'Jufl1bef::;:, c't (1:'5 Jis :.t;. L(:~.L~!'t:"Hcs .:<-'.11 ;e!'~I:l.ijt ~ .. ;; Sect~'!:irs '.lrbain tt l'Ul';;.l 0t h}, narik i::;:.:1tL-;t 'J'S 'l'ff~:·I:r:'1t.s £::;}"');tT',.?f, ,~-- ':)',JpuLn '::l::..~ pr,)c€ssns de deveLo-pp€n:f.:~lt 'l.\-ec. que lc<:, fC"mrrlc j cc·lj\;l;es impol h: g une attl.-?fl--',.:icn ~L·u 'J~" '". ,Ii~'.;:, L.::tn~t'6 L>.ll't:U::Ui1.::::.: (~flUX g~'~'uve:::, h~~-, ~:d'J.-S -:::1,,=,fayori~es tei~ r" '!';;-;onn·- i:. ).:> '2'~ .li:1.;)C /'~':;.':_'t:- - co ·l:L~'!.::;: clue de:::. n.irC"clL", ..:n vue Ll·d.','<:~illeur'':'" P,)t-J;']Utti'.Ifl Cl.flaiflt: 11:..';:, tr3SS .. 11'e~ '.;:n{': 1~'['~r;~('jJ~';1t~~>n pk:l.!E· '. T Lffi,,·,tx (" <;,j -":l.-- d. r'l":'[ 8'3:;li;:-j jL' ,,~~'telor,pem~rlt global 12'"', un part.~·:~;_, c(Lui~,::tbJ.· I'-c) ':--.t.",-,:,;''.: ,<IF" ':;';:-~.:-:.:.c<lt:l\. (l(:: 1:. ,'," f.:li.!aU0n. \)n se pt:rtcht:ra &ghlemt--nt Hur d(,s nlC$ures (,ffic;'-ic,::s P')Ul pl'e\"t-,nl~ 1 'J.:'::Gl'Olsst:Iaeni de la '.::rimlnL\(itf~. llVt..;:...mr;}cnt ~"'H"~":;: ,::,::::-:: r:l' <_'I'~:::' ' .... ; ' ;:::',t; . . uJ. 'Jt<~ L'~ .........'''11 mettl'0 sur pied un s:,·:=;.t.sme d.:" Ja':)tl('8 p':jllalt- .... '- Lee c-han~·:.:nH2nt::: ~n8.Liel'f' v:l all n1ve~lu interne d.f, , j't.JrJ! .s :::rr et UfH." doah'r:'\:' ~~~)pl'{A»ncii·,: J'0 politiques ,::, l"'eVal011:sC\.!:;c·n elf"::' ~"1 i:tapl niH, :.;"',d lHi,::t'osectol'lt. ,is et int:.t:'!;:,>!"L;, k: iKliti!jl;>;' ~. ,!~, t.:,:..::~e;;:;'.0 .L:', L)~"')~n·3.mmes u ::C:' 3d run;;. 1'(,( L(~1·(: h. c .~ ":C,;t" -;.-)..;0;.1 ~'n,;'; uc Ct:"":ltH1Ue ,l\':'(:or\':"'lnie vt :;~." L ,SCC1~;,,': t;>!\ VUF. 'e~s.t:ure.:· des ur::' ~", :)::'1(~ni.c'.U011 ';:'1]K~;:,i(.jUF; et uIIe d~:. .1V:tLUi,j{;l:i parliculh::,r l'eclh":f;, t2f~~i·,-;r. F''0: . • 1/"'~3 t·it~l.:. ~i',::a.t,k·n S~' ;-.V;':)lC:'" ;'..-:;:_:':.,;:H tl ,,::(' ~:·:w nt> :"i:·:r:2;"'.~' eC()L~)ndes -<l!!-ic::l..!:}e£. 1\1.,\~,111,i:"lt-i.:'_ f': rL'~,tinLte ;.:u r(.!~f s~~ l'i~'1tR.hiljte. r:lrr.::l1;y:'ab.011 ~;;,':! :,;. __ ::' 'jt-'"E; .. C·1"t}':~11~eI.t, r',':,rjfica .lC'):"; '>~n::"~~1"; d"s '~": ct m[)n~','.~'u~t:; t2!';l ,.1 ';--l(:mt>rtt lnjp0rl,;J):,;.. .23. j:':':)ti;: gt;.'·sticn eJes CU de 'j(; ·.'l ':::l;~l'~-::- '..-~H rec:'l'.J".:rlC C7, ,,~'C.L,,'·. ,', .. :;' •• 0r";t' ~'jd ";",< j~--'-C:;'':::';':;'?:l':::d.tJl-:.:; vB ~a :_.t,t ':~;<.lTd sout .LJ:::: :\:t.~lXC I: ~Ll~'~' '.:::n ~_ ue d~,~n> tl ~"~'r ~, _ "jn ,~rfit,;fh..:ite {->t ~f':,,:: D"au~res :jl)r:,,~ .. ines jmp':::)l';:,.:J.>',~~ decent ;::..rc'l.:islon ti:.S \ ?r::'3.-bles it' rtsultnt.:: .:h-.s :':<'r\'h:ef r'ULilC':; a;'[u J(~ !:l~-'; Ui'H:,"r:'~;-' ,.:.'. ,.. ; ,;'i. (,~t~'er-~'i::;;':3 J.--,I~;!"ql:'>:::<, _~ 1a . .:el(':"llle dez 1--·, .,cL",·i,,,"- 'if' dt'Y'l.:;iol,)pement E/ECA/AD HOC.N"1'P/9 Page 10 et Ijadopllon de IDt,:,sures F:l-l)p}.~P~, Z-t. en·.:'OLlnJ.~,;-!?r 1(1 ~J8rU'--'-lpat~()n jE;s ent!."-:r-reneu:c's nation~u:{ au deye!)pperrl!~n~ de"" E.'..::cte'J~~S -i..Jl·i~:'6 et I';lhlic: de' re(;cfY);ni\~. 11 f'::lUd::.',s. egalcment. ·--i\':~I....:rc):.!~e L~ "-':::;'\.U:-fiL '--'<" ,Y.l,:'e~ L~'~d:l __ '!' publi'l\;t-:'~ .i.n.t£l'i'~l~n::'-s mobilisees ~.!.·2"(;e 1.1 rarne~i0ration Jes SYi?,t21.Dr_'.s~ dC's pohli:-iU2::, et de 1'~·.dffiini·:·,tl'~1"tiorl daps l~o. dDni~-"ine fi~u'i]. [1,:11 ~~ h-:bu!. dF l-:ror.:o;~'. '~ll' j·uLili~..iti-'J~'" €:f~'i~ace des rt..·S8ul~t'Ce~ et Ije :!>(~duir'_ l'? ~:"~l&l.)ill.l~;·e e~ i_'.. n:':,':J ," ,~'" r~p::lrtitio;l I.:!.es i'E.: S8.0li rc cS, il f3Udl'f--llt 2'1alen~":.<Jt renf:)i~c-21' 1t?~, s <;3tr~meS "t t' :::V1f;lilli8trali~1"';. budgetai!-'es (> g,)U \/ ern'~n.c~l t3.dX. 23. ~.~-r. !:"':".:;~C.-";:::SJT~e de J~0tabJeIn~·'r~r. :1"mf~Ji:")l'( s et ,jt_,pv,s,.:l' "JI:..i 0:8 ttl forrna:tisE-p es.-... E: v 1den~.::.e. l.e ;3YSt2-~h-;S ~:,:tatjsLjqU·":'.::o et. _,~1Y' urJ'_' l~'~U::~ .~- L'~l - ·oj;:· ~lL~i ":Clt.ion jr:~ La C L·mml.:;:-:ic n et bur~ ;':,(,(;,"i2taridt in:'oliiJutiq;les If-l ~.""'chnclG~'i(' iOlvcnt CO!1tinu.:!' G. fOul·;.lir l<~ -:..ulltien requ-i~~ dan2 Cf.: dGTUain'?-. L~,:,~ ':>\'_L::'r::~ JE.. ~J()ue~,ur":l'!Jnt prl.l'ticul:el' da.ns L:~:.; dOlll.liLI;:.'S d.;:; 1'ei." g.':ini~":ati:'Y1 -,:~de\T2. !~t.f'e .:l"cc:t·dci2 d 1.::.-; cClh::ct:!. au traitcfllent e"c. :. ~13Ei.lly;:,.(; de ionnee::' d'infc!lTilatiGns et :, la ':·,~,--..tiGn d\.. ne i':1~1:~St! 1.1\'l.dl·L .::'-:"'::'it_\sLlCllH:· :·-,(..'l~rlE· 1..1 2, 1"U:; "':n de I.::·t les El.aL:: n1eJnb-:'us. et des i'C\:\~::' globaux. i:!:~:':,l.lJaiJ'~s 3E:'1' __ ll:t l'(':::',.~.ltll-''''<;. ~.~ ::3 J . [I U ran t 1.]. ",---> ,·lod (,~ ri; l pi;::1 n ':'i. If,':) ".",'" !~~ t e :., IT: P 1 :.-'S·-!-· 198 -:I \~::; -cul('11 g~:':t: j iJ S q U 'en 1991}, 1a CEA. a ccnce11tl'~ ses 2fro~·t,s 8ur :\:h~,---·j(L,;,~ 1un oes "O!!CeptS. L~. fO~_l1'nitu-;~e dllnfo.!:.~m(T:.ion:::; .::;~ rIt2'~J~~' d"2 :',L.t. [:lr::llil.")l"-;:->·I' )".,~~,Ftll)n rl':-~,,-?t.i';i-'--,e.;' j'f formation et de I'eUf1.i<)n::' 1..i1Lt.;rs(.~~" r~.;:'~l~i:Jt;rL<'1.1c2 tc':1 ·~'Lt'__ ' [":',2 ,;,:;'OiULt'::tLl'P de;:~ gu,~::;tL-ns de fourrr!_tup':> d.jl~lle a::._~.i.st3.nC:f- t,:"l'":'tlD'!li llP et ck se r T: CE':::; cor~ ,-:,u} L~t~ ·It-.-; speL'iiiq nes a certains iLa~,s mem(";res, .h. p_rL~mct-!OTl d ;UL '~l_j_'r:t.ll ;-1,--, de"-,--etup;)E;-meaL ,J'institutioIlS a:ppr0prieC:'s a:L81 qu.c i'_idf:'-I-:-:jfi~:,a:_1011 e~; J )(-: '-;' -~-c '_1 t l~) 1.l coo pe ra~ion ;~tchniqllt" .:.cu. ]Jl'Cl'tt ctin~ct d.,_'s .r..t:-H.:::. Ij.~C Pol 0 1', :'niormations Jisponibles montrer::.t:, b ~~li,,-,(-'ssite d,,: rt~nf()l'CC r ces .:lPT'J_'ocl-le3 ;_t ~;!..l'clle~:i(·s. LJ_~ c(;n.s~<ll1ence, meffiE:: S:L r:=tcct:.."n:,: '-i':'~1'ie d un _pl'ogl'amOl~..: a UI, fldUo'(' .:,..: n~me .....:·e:.::=~ app::3.!'aiL cbjremenl dc-'_DS 1.:1. dcscl'ip1ic.n dpo;. ~UU8-P!.~C',:5::.'c'.mme.-;:;, "C,,:: .:::,r~·'i':::··::-!a--":: e';: '?\l'LlU'~gjes visant a s01.~te(lir lts cffort~ deplG>'f~::-: r;.ar h:-::::. Etdts m:::.-mLre~, _:Jlt indhddueilement, soit collecthremer.t. p·/Ill· :'ff:t'·_n!~l' .j"ec succc-s 12t..~·' pl'C'bleme3 de de--n:-loppement cconomi '=i.lH:' ,_::--~~ social d8\.··;'~G(lt. etl e .c€-nf~)l"~2E:-S d '.1 ran t. 10. pe-r.i.()(]e j'j92-1907. Lans e-e ('~jntt:."'.\;~:i·, '_'.:.:'1(:' [i;~:,e;lL':Jfl partie ~Hi~..::'i~e ::;,-,cn-:'l :::~::';2G}'dr~.::. :;'1..~X ·._ff'ol't'--', vlsCi'1~_ <3. l)I'cn1ouYoir ct C-I. s.)ut~nir la eoopc;'rLi.dcn :0' ... l·intt~·g:!.'atlCJn eC.)liOm -'-iU(:t:. .g'r.ice l'identification et ,.t 13. i'L..,'l'!1:uh.1.tL:'dl de ]Jl"'ojt'(":.. d1inL'·gr,:,:ti.orl md!ti~-;ectol'i.L"lle au niyeau s()uE,-regional dans Gf.'S .':-,:cleiJrs ~~u8si es::s-ntiels qLe l',:-:dirncnt:.:-.ti,JIl L'l... r3.~ri'.::ultul'e! findustl'ie, ~\,ner~if, ]'::5 transporTJc C't cClr"'j~I;,.~r:L;..ttic.'ns (~:: L~ prc.;I'...·.ticn dE.' l'utilisntion <2ffectiv.~ d0S institut.h)HS. a E/ECA/AD HOC.MTP /9 Page 11 32. C'est un fait elementaire que la complexite accrue des aetivites dans les SQUSprogrammes techniques conduira inevitablement a une demande accrue en matiere de gestion et d'autres services d'appui du secretariat de la Commission. En con~equence, durant la periode du plan it moyen terme 1992-1997, il faudra dev~lopper et rendre plus efficaces les activites dans les domaines des services d'appui essentiels com me la direction executive eL l'administl'ation, la gestion des activites de cooperation technique, les seryices de conference, d'administration et les ,services communs. En particu1ier~ les services de p!anification, de prr)grammation, de suivi et d'evaluation devront etre ameliores. Et en matiere de plani:ication, de programmation, de .suivi et d 'evaluation, une attention particuliere devra etre donnee au suivi et a i'eyaluation en raison de leurs effets mult.iplicateul's sur la planification et la programmation en ;seneral et sur l'utilisation judicieuse des ressources en particulier. Dans Ie domaine de l'administration et des services C'ommuns, une attention continue devra etre accordee it I'utilisation de techniques modernes de traitement de donnees et it la necessite qui en decoLlle de l'automatisation afin de se debarras:::;er des methodes surannees et de lellrs effet8 l1egatifs sur les resultats. 33. La CEA a <'tahli une pl'ogrammation conjointe et des liens de travail formels avec un certain nombre d'ingtitutions specialisees et d'autres organes du systeme des nations Unies, en particulier la FAO et l'ONL,'DI avec lesquclles elle administre respectivement deux divisions mixtes, l'linesco avec laguelle elle reahse des programmes communs harmonises grace it des reunions de concertation regulieres entre les deux secretariats, Ie FNUAI\ Ie PNUE, Ie eel, Ie Centre des Nations Unies pour le3 etablissements humains et Ie Centre des Nations l'nies sur les sociE~tes transnationales qui fournissent des fonds pour certaines de ses actiyites dans leurs domaines d'interet respE"ctifs, l'OACl, l'Organisation maritime internationale, l'UIT et l'UPU dans Ie domaine des questions concernant la Decennie des Nations Unies pour les transports et les communications en .\frique, la BIHD, Ie BIT, Ie PAH et l'UNICEF dans des activites relatives it J<:-1 planification, CL la mise en valeur et a l'utilisation des ressources hurnaines et dans d'autres domaines; l'O!\'fS tout com me Ie PNUD dispose d 'un bureau de lie.ison avec la CE,\ ..'little au siege de la Commission. 34. La cooperation de la CEA avec Ie ~NeD dans le cadre de la mise en oeuvre de la resolution sur la restructuration a ete dec riLe pC=.tr beaucoup comme etant peutetre la plus etroite que 130 Commission entretienw'" avec aur~une autre institution. Cette cooperation s'est developpee non seulement du point de yue du nombre de projets executes pa.r la CEA au :lom du PNVD mais egalement, et ce1a est particulierement important pour la CE1\, du p0int de vue de l'a.ction menee par Ie PNUD au nom de la Commission en taut que 'lc.:::-ntre de de-veloppement et °centre d'animation" en prornouvant des accords entre les secretariats et ent.re les gouvernements africains ct l'<i.ppui de ces secretariats et ~ouvernements pour la determination de l'orientation et des priorite.g pour ses programmes de cooperation economique et techniq"u€ regionaux et multlnationaux. E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 12 35. Tous ces liens ainsi que pilisieurs autres etablis avec des institutions n'appartenant pas au systeme des Nations Unies telles que l'Organisation de I'unite africaine, la Banque africaine de developpement et d'autres programmes multilateraux et bil:3.teraux seront progressivement renforces afin de promouvoir la programrnation conjointe integre.e pour l'execution du programme. On aura davantage recours aux equipes speciale6 interinstitutions au niveau du s~rsteme pour coordonner l'execution du prograrnme. De meme, la Commission continuera de participer efficacement aux anal~rses interorganisations des programmes et a l'execution deS plans a moyen terme au niveau du systeme. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 13 DEUXIENE PAETH-; - DESCPlPTlOh DES SOllS-PROGRAMMES SOliS-PROGRAMME 1 : DlRECTION EXECUTIVE E1" AmlIMSTRATION 36. Les textes portant t.lutori'3("..tinll des tl'."ivaux de ce sous-prograrnme sont Ie mandat de la COmrflISS;On 1 lci t.;ircul--.tire ST/SGu/Organizht!on/Section K(I\/)Rev.l) les resolutions et documents suivants de l'Assemblee generale : 32/1\;; paragraphe 7 et annexe, 33/20:':. 35/56, A/S-]1/ 14 annexes 1 et II, 39/29, ..],0/40 paragraphe 9, A/40/666 Section Y paragruphe 3, Section VI paragraphe 1. 5-1/2 et annexe et 43/27 et annexe, E't 1a resolution 67-1 (XXI"-.,! de la CommIssion. 37. Les objectifs de ce SOUS-pl'ol;(l'amme sont les suivltnts : guider ia formulation des politiques, strategies et programmes de developpement socio-economique adoptes au njveau regional: su pervlS01' et 15erer leg programmes techniques et operationnels de la Commission dinsi que ses serVICeq d'appui; faire en Borte que la communaute intel'nationale appqi~ :eB activites de la CommissIon; superviser et c00rdonner les arrangements stututaires et les procedures legislatlves de la Commission et de ses or~dnes subsidjaires, et (:e, avec les gouvernements, les institutions specialisBes et autres organlsrnes des NatIons Unies et d'a.utres organisations intergouvernementales; informer Ie public des activites de la Commission en particulier et des Nations Dnies en general . .18. La situation economique et sociale difficile que traverse l'Afrique exige que la Commission pre nne des mesures efficaces pour aldel' les Etats membres a redresser la barre et a. relancer Itinitiativ€ en vue d 'une croissance et d 'un developpement a long terme dans )a region. L'adoption de ces mesures devra etre guidee pal' Ie souci de Ill. l'<'ntabilite. d) St,rategie Wen}' 16. periode 1992-1997 i} §ituation a 18. fin~ 1991 39. A la fin rl:e 1991, la Commission aura examine les progt'es accomplis dans I'execution du Plan d'action et de PAct", final de Lagos et dalls l'application des directives en vue de la mise en oeu \Te du Plan et de l'Act" fin,'l1 pou~ Ie reste de la periode. On a11ra egalement cern'> aVec plus de precision les incidences operationnelles du Cadre africain de I'ef<§rence pour 1",15 hll'ogrammes d'ajustement structurel en vue du redressement et ae la transformation socio-economigues (CARPAS). E/ECA!AD HOC.MTP/9 Page 14 ii) 40. Periode 1992-1997 La strategie prevue pour 1a periode comprendra les objectifs suivants : a) Guid~r l'applicaLion concrete des strategies regionales africaines, notamment Ie Cadre africain de l'eferen~e pour les programrne.s d'ajustement structurel; b) Intensifier Ie:::> conta,cts et les consultaLions a.vec les gouvernements africains dans Ie but de reVOlT les politiques, les strategies et. les operations 1a lumiere de l'evoiutioll de 1ft Hituation dans la rf~gion; a c) Intensifier les efforts visant a mobiliser da.vantage de ressources exterieures en faveui' des activites du secretariat, en particulier grace a des visites et a d'autres contacts avec lcs organismes de financement bilateraux P,t. multilateraux; d) Assurer une plus grande efficacite dans l'utilisation des ressources de la Commission; e) Faire en sarte que la Commission partieipe aux processus de prise de decision du systeme des Nations Unips: f) Intensifier les contacts avec les chefs de secretariat des organismes et des organisations des Nations Unies efl vue d:·unp plus grande harmonisation des activites du systeme en Afrjque; g) technique Intensifier la collaboration avec I'OUA et lui apporter un appui aCCl'Uj h) Intensifier Jes efforts visant it renforcer les organisations et Ips institutions er.onorniquEs regionales d 'Afrique; il Guider la formulation et l'execution des politiques, strategies et programmes de la CommiRsion; j) Guider et.. 1:::luperviser toutes If's activites de la Commission, y compris Fensemble des ac:tivites techniques et de::=: services d'apFui; k) Assurer la liaison avec les gouvernements, les institutions specialisees et autres organisrnes des Nations Onies et d'autrBs organisations intergouvernementales ct non gouvernementales, en ce qui cancerne les activites de la Commission; 1) Examiner et eva1uel' la gestion et Ie fonctionnernent du secretariat: m) Assurer les arrangements organisationnels et administratifs pour les reunions ahnuelles de 1[1 Conference des ministres et du Comite technique preparatoire plenier; E/ECA!AD HOC.MTP/9 Page 15 pi Assurer la suivi des activites et des decisions de l'Assembh.'e generalt, du Conseil economiquE: et social "t des autres organe~ de I'ONIJ dans Ie but de les porter Ii l'attention de la Commission et suiYr~ I'application de ces deci3ions et resolutions; 0) Informer Ie pUblic des activites de la Commission ,,\ de l'ONU grace it des communiques de presse, it des brochures et a d'autres supports. SOUS-PROGRAM~IE a) 2 : POLITIQUE, PLANlFICATlON DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET PROGRAMMATION DU Textes portant a.utot:isation des travaux 41. Leg textes portant autorigation des travaux de ce sous-programme sont les suivants : mandats de la FAO et de 1& Commi~sioll: rE?SOlutlOn ,lI7R d", 1<1 FAO; paragraphe 1 de la J'esolution 351 IXIV) de J" Commission; par-e,gl'''phe 5 de 1a resolution 35/64 de l'Assemblee generale et resolution 5-13/2; paragraphes 5 et 6 de la Declaration de Harare de la FAO en date d~ jUillBt 1984: pal'agraphe <1 b j de la resolution 548 (XX) et paragraph~ 11 de lit resolution 565 (XXIl de Ill. Commission; et paragraphe 3 de Ill. resdutivn 41/191 de l'AssemblE'", generale. b) Objectifs il Ob iE!ctifs des organes int~J:g9uver"ementaux 42. Les desillusions des annees iO et du debut des annees tiO relatives au d€veloppement de i'agriculture en Afrique rendent neccssaire l'adoption de politiques dE> developpement plus appropriees par les p",.vs africains afin d'accelerel' Ie processus de developpement et de renVEcrser les ten dances passees. A eet cgard, l'objeelif des gouyernements au (OO1Il'8 des anlH2es 90 sera dE" developper et de renrorcer leurs capacites a lormuler et a appliquer des politiques et des strategies appropriees dans Ie domaine de l'alimentation et df! I'agriculture en vue de ia realisation de I'autosuffisance alimentaire en Aft'!que. A cet cffet, les Etats membl'es devraient continuer a. mettre en oe-uvre les politiqucs ma.cro-economiques et sectorielles necessail'es, y compris les programmes d'ajustement structurel dans Ie cadre du "Cadre africain de reference pour les programmes d'"justement structureI en yue du redressement et de la transformation socio-economiques" a.vec un accent particulier sur la rehabilitation et la leconstl'uGtion du secteur de I'alimentation et de l'agriculLure. ji) Oll i~,QJJfs du secretariat 43. Continuer it apporte!' une assistance et 11 f) appui t(,chnique adequat aux Ftats membres de 1" CEA et aux organisations intergouvernementaleg dans les efforts qu'ils deploient ponT mettre en oeuvre des pohtiqUt~ appropriees en vue d'une amelioration du rendement du ~ecteur de l'aliroentation et de l'agl'icultLlr~ et pour renforcer leur capacite et leur efficacite dans Ie domaine de la formulabon, de la planification et du SUlV; des politiques de .:It'·ve1oppem,,nt agl'iccle, y compris I'exaroen sectoriel periodiqu.,. E/ECA!AD HOC.MTP/9 Page 15 c) Probleme trait'; -!4. L'une des plus grandes faibJesses du continent est son incapacite a formuler et a appliquer des politiqneB et plans coherents dans Ie domaine agricole et leur programmation en ce qui cone erne Ie developpement technique, institutionnel et infrastructure! dans la mesure oll ils ont trait ," l'accroissement de la production et de la productivite alimentaires. Le principal prob.leme a resoudre par consequent consiste a remedier ~l l'orientation peu appropriee des politiques y compris des politiques relatives aux questions budgetaires et monetaires et leur incidence sur Ie secteur rural et agricole. L 'absence de statistiques agricoles fiables destinees a l'usage des planificateurs et decideurs agricoles constitue egalement un probleme. Le present sQus-progranl.me traitera de ces problemes. d) Strategie pour la pel'iode i) 51tuatlon a 1992-19~'i la fin de, 1991 45. Au terme du plan it moyen oerme actuel (1984-1991), Ie secteul' de l'agriculture occupera toujours la premiere place dans les economies africaines. A la fin de 1991, l'efficacite des politiques, plans et programmes d'investissement agricoles en cour.s aura ete determinee. LE"S domaines critiques ayant engendre des difficultes dans la mise en oeuvre des programmes prioritaires, y compris les lacunes decoulant des problemes budgetaires, I'insuffisance du personnel technique eL de gestion de me me que de la cooperation inter- Etats dans Ie domaine des strategies de planification et d'action aUl'ont eli' identifies et analyses. Le programme mondial de recensement de l'agl'iculture de 1990 aura egalement He realise, rendant disponible une banque de donnees strudul'elles considerables sur l'agriculture • .Jo6. Heureusement, les pays africain;;; --:.ontinueront d 'adopter des strategies pour l'amE!lioration de ce secteur ~r compris des mesures pour la diversification de leur production et de leurs marches et l'etablissemcnt de ljens etroiLIS enLre l'agriculture et les autres secteurs de l'economie. 47. Le groupe d'experts ruultidisciplinaires pour Ie suivi et l'evaluation de la mise en oeuvre dec resolutions 35/64 et 5-13/2 de l'Assemblee generale des Nations Unies aura formule une evaluation ohjt·~ctive de la s.ituation et des recommandations appropriees pour mesure8 a prendre. Les conLraintes ct difficultes entravant Ie fonctionnement efficace des systemes de statistiques agricoles et des institutions s'occupant de 1a mise en valeur et de l'exploitatlcn rationnelle des ressources naturelle~ seront de venues plus identifiaLles. ii j Periode 1992-1997 48. Les problemes a resoudre au cours de la jA:ri.;de 1992-1997 seront traites gr'ace a une analyse approfondie dont les conclusions et recQmmandutions Lluront communiquees aux Etat.s membl'es de la Commission et aux org'anisations intergouvernementales par yoie de seminalres, d'atehers, de services consultatifs, de publications techniques, etc., en vue d'ameliorer Jeurs ca.paciLes en matiere de planification, dE: pl'o,gl'ammation et de gestion du SE:cteul' de l'alimenta.tion et de ete E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 17 I'agriculture. 11 y aura egalement un examen continu des politiques et une assistance dans la mis':' en oe,>"Te des plnns 8t strategies de deve]oppemem; agricole et, partant, dans l'identlficalion des difficultes. Plus Fpecifiqnement, la strategie sera a.~ee sur les questions ci-apres : I'll Soutien technique anx ELals membres dans leurs efforts visant a relancer et it identifier des politiqnes appropl'iees, et des strategies de planification en vue de promouvoir la production agricole ainsi que la transf'3rmation et Ie developpement des structures rurales, ~' compris les agro-mdustries en vue d'accroitre la production et les revenus et de rEiduire la pau"rete; bI Assistance dans Ie renforcement des capacites des organisations gouvernementales et inte1·gouvernementales dan;, Ie domaine de la planifkation et de la programmation agricoles et dans l'analyse des politlques ains; que la formulation, Ie suivi, l'liva.luation tet la gestion dps programmes et projets grace a des services consultatifs it court terme; c) Suivi de la mise en oeuvre des composantes alimentation et agdculture du Plan alimentaire regional pour l'Afrique, du Plan d'action de Lagos et des programmes d'ajusternent structurel et de stabilisation; dl Programmes de formation afin d'am;;!iorer et de me ttl'S en valeur les capadres analytiques et administratives de la main-d'oeuvre en vue de l'acquisition des aptitudes requises dans Ie domaine de la planification et de l'analyse des politiques, en particulier pour les petits exploitants a"l'icol<05; f'} /\pPu.: t:::",:-,hni':ll~:' c.1.:1n:.::. 13 :'::l'e;:lticn 'jL ~ntegres de statistiques agrlcoles en vue du renforcement de I'analyse des informations sur I'alimentation et I'agriculture et de la formulation des politiqw"s agricoies. Ceci inettra en exergue la collecte permanente et systematique de donnees, I'amelioration de la banque de donnees sur les femmes, la formation E!t la misE! au point de systemes d 'alerte avancee; et f) Assistance technique dans !'elaboration de programmes nationaux et inter-Etats de d<§veioppement de I'alimentation et de I'agriculture dans Ie cadre des programmes d'ajustement structurel pour Ie redressement et. la transformation socio-economiques en Afl'lqu>?. SOUS-PROGRAHME al "" ,. ;,IISE ,\U POINT DE S YSTEI1ES DE PRODUCTION AGRICOLE VIABLE Iextes pOl'tant autorisation des tra,'aux 49. !>landats de la Commission et de 10. FAO et resolutions 264 (XII), 351 (XIV), 462 (XVIII), 565 (XXI) et 6-11 (XXIII) de la Commission; resolution 1 de la Conference mondiale sur l'alimentation; recommandations des treizieme, quatorzieme et quinzieme conferences regionales de la FAG pour l'Afrique; resolutions 35/64 sur Ie document A/S-ll/14 et S.13/2 0.nnexe de l'AssembJee genel'ale. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Pag', 18 bI OQjectifs i) Ob iectif§_des or£:rtnes Inter~OUVE'rnemenLaux 50. Promouvoir Ie developpement viable des prinGipaux systemes de production du "ecteur agricole en Afrique, Ilotamment l'agriculture, l'elevage et la sylviculture, et adopter des politiques appropriees pour atteindre l'autosuffisance dans les domaines des produits agricoles, de l'elevage et de la sylviculture. Les Etats rnembres devront egalement prendre des meSUl'es prDpl'eS a. accroitre les capacites et les possibilites nation ales et regionales en vue d'une amelioration soutenue de la prod uetion. iii .Ohjectif du secretariat 51. Les objectifs assignes au E.€cretariat consistent a fournir des services consultatifs et 'Jn~ assistance technique .:lUX gouvernements, a l'eehelon tant sousregional que regional, par Ie biais des centr"" multinationo.ux de programmation et d'execution de projets (HULPOC) et des orga.nisations intergouvernementales, dans Ie but d'ameliorer la production et Ie rendement agricoles. L'accroissement de la production agricole sera encourage gl'ace a des recommandations de politi que generale portant sur les changements appropries it introduire dans la structure de la production des petits exploitants et des eleveurs et qui devraient entrainer une utilisation accrue rFintrants agricoh~s ameliores et l'adoption de mesures de protection des cultures et du cheptel. c) Problemes tr.~jtes 52. En Afrique, la base de production est caracterisee par la faiblessc des relations intci'sectorielles. I.e principal problem" que rencontrent de nombreux pays de la region est l~inexii3tenc~ ou l'in~apa{.;ite d 'appliquer des politiques appropriE~es propres [-1 a.ssu rer une croissance 8outen\l~ du rendement agricole grace aux progres techniques, qui sont si indispensables it l'accroissement de la production agricole. Les principaux problemes a traiter sont les suivants : a) I.'absence de coordination de la l'echerche agricole. y compris Ie transfert de technologie, en parr.iculier en faveur des petits exploiants; b) L'application de politiques inadapt,oes en ce qui cooncerne I'utilisation d'intrants agricoles te]s que les engrais, les pesticides, les semences ameliorees, l'outillage et les machines agricoles et lcs intrants d 'origine animale; c) L'application de politiques inadaptees se soldant par l'utilisation et la conservation irrationnelles des terres de culture. de I'eau et des res sources comestibles de la faune et de la flot'e; et d) Des politiques inadaptees concernant l'application de mesures de protection des cultures et du cheptel. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 19 il 53. A la fin de la periode biennaie 1980-19Sl. les Etats membre auront adopte et introduit pll.sieurs reformes de politique dans les domaines de la recherche agricole appliquee (en particulier sur ]"s cerealesi, des services d'appui agricoies aU" paysans, aUK petits ellploitant.s et aux eleveurs, de la formation et de la mise en place d'infrastructures. Les reseaux en ,:our8 d'illstal1ation dans les differentes sous-regions et pOl'tant sur les eultureE -""ivrieres de base seJ'ont devenus operationnelz. Plusieurs pays auront adopte des politiques et programmes de developpement de I'eleyage et pJusieurs projetl', destines 11 accroitl'e leg produits de l'elevage et la production 1aitiere grace i la cooperation sous-regionale ou rcgionale, auront menes bieD. Plusieurs pa~vs auront adopte des politiques et des programmes destines a reduire let; perLes aiimentairt?sl et 1e ret:ours a des ressources alirnentaires non tradiLioT,Dt:lles sc !:_,: ?':' - <7'~l'alise. Les programmes et les activite6 visant a acct'oitr('_~ Ie l'ble et ja participation deB femmes it la production de cereales, de tubercules et de procluit» 1altiel'S seronr. Lres avances. a ii) Pe:'iode 1992-199'; 54. Le secteur alimentaire agricule continuera d\2tre lln ciomaine prioritaire au cours de la periode 1992-1997. Les institutions spec\a1isees des l'.ations linies et les organisations regionales devront accroitre leur aide et leur participation, conformement a la resolution 32/197 de l' Assemblee generale et aux recommandations du Groupe d"s 18 concernant la restructuraUon du Secretariat. 55, Des mesures s'imposeront pour ameliorer la production et Ie rendement agricoles grace a l'accroissement dt? la nroduction locale, it l'utilisation d'intrants agricoles et il une meilJeu,.e protection des ressourCeH de I'elevage, de ia foret et de I'alimentation non tl'aditionnelle, En ce qui COllcel'ne !'autosuffisance alimentaire, les politiques adoptees mettront l'accent sur la recherche d'un equi1ihre entre Ie secteur vivri"r et la production de cultures d 'exportation. On encouragera I'adoption de mesures visant a renverser la tendance actuelle consistant a appliquer des politi4ues qui tendent, en pal,ticuller pour ce qui est du soutien des prix, it favoriser les produits agricoles d'exportation au detriment des cultures vivrieres. 56. Le sous-programme aura egalement pour abjectif de promouvoir la recherchc et la formation dans \."8 domaines de I'agriculture et de La sylviculture, A eet egard, on fournil'a des publications techniques et/ou des services consultatifs sur Ie aeveloppement durable de 1'lI.frique, en particulier pour Ge qui ,"st de 1a miSe en valeur et de Ja gestion amelioree des ressoul'c('s natnrdles dn continent, y comprts la promotion de la mise en valeur efficace et de i'utilisation l'ationnelle des ressoUrces forestieres et (;onnexes. On npportera egah~ment un COnCOlil'S la mise en place et au renforcement d'institutions for(;stieres, notamment dans les domaines de la recherche et de ]a formation, en vue d'accro.tl'e les capacites nationales en matiere d'elaboration et de gestion de programmes et de plans &yant trait a la sylviculture, a E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 20 SODS-PROGRAMME .f al MISE EN PLACE D'INSTlTUTION'S ET D'INFRASTRuCTURES ACiRlCOLES Textes portant autorisation des tray.'3.U~: 57. Les textes portant aut-,ol~isation dE' ce SQus.-programme sont les suiyants : mandats de la Commission et de la FAO; resolutions 35/64 concernant Ie document A/S-l1/14, 43)190 et ,13)191 de j'Assembee gellcrale; recommandations des quatorzieme et quinzieme conferences regionales de la FAO pour l'Afrique. b) ab jectii,', il OP-.k'ctjfs des org3.nes inter~ou\·~ernementau_:,'<; 58. Formuler des politiques propres a assurer IE' fonctionnement efficace des institutions creees pour appuyer Ie sp.cteul' flg'rieole. iil Ob jectifs du sCG.l'etariat 59. Aider les Etats membres et les organismes intergouvernementaux a mettre en place et a develop per des institutions, des infrastructures et des services agricoles aux niveaux national, sous-regional et regional. 11 s'agira egalement pour Ie secretariat de les aider ameliorer au a. accelerer la mise en place d'infrastructures adequates, notamment dans Ie SQus-secteur de 13. commercia.lisation, et 8. instaurer une cooperation intl'a-regionale operationnelle eo efficace pour ce qui est des efforts visant a ameliol'er les services d 'appui agricole et 13. commercialisation des produits alimentaireR et autl'p,s produits agricoles ainsi qu'b.. reduire les pertes apres reeolte dans Ie but d'ameliorer la ~ecul'ite a.limentaire. a c) Pl'oblcmes tl'c>ites 60. En Afrique, Ja plupal't des institutions et des infrastructures ae;ricoJes, Russi blen publiques que privees, qui fournissent des services economiques au secteur agricole et qui influent directement ou indil'ectement sur la marc he du secteur agricole, ne fonctionnent pas de maniere effieace. II importe d'identifier les goulets d'etranglement dans ces institutions et structures Et de formuler des politiques permettant de les eliminel'. Plus precisement, Ie secteur agricole est actuellement confronte aux principaux problemes ci-aprcs : a) Les zones de production mo.nquenl d'infrastructures telles que les routes d'acces, les marches, les magasins de stockage de produits et d'intrants et les installations de traitement de base; b) Les pertes aJimentaires restent tres eJevees et d'importantes quantites de denrees aJimentaires et d'autres produits agricoles se deteriorent rapidement, en particulier les denrees les phJS pp-rissables tellc.::-. r....tue 1(:8 l'acine[:> et tubercules, les fruits et legumes; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Pagtc 21 c} L"'l.l'f)<;'n~,;" ,i" ·.:~:~,:t?,\r:)',~~ 'jf.-,- (" .•. ' .••.'; ,-, .·;:1(,", (;'.1 >:1 :: Jflcui"!..c ues conditions J1rtcces au:,\, pl'\,,'LiS emp';::,ctle les pcodtl.(';o.?"ur:.:; Cl 1.'_:.:s ',:()mm':'J'(L.:.nV:: d'lrf\restH' dans: In mise e.n p:c:Cf' de sl-,~'~il't\B'e;:-; dt~ ~'1i:_3{' '1r-f'-~·Oj"L>i,.>_':.:s; d) Lf'S servi{~c:::; de "'tuJ~:~fl'jsation reSLerr~ ~nsuf.tjS::lntB des poifltF.. de vue dE' la d(:;T'.2.)7.i·, de lCi. CO:l\;€:·:~__ tLr,:~ ,:'"t :1.: h- quaJHi:; ':]':'8 :~:( i',\ iet- S t:.'.'(-"h~LfiUt;S 0ffel'ts: et cd ["-:'5 in~,titut~:~,!.-s ~ld,tj-_-;·;:.k~~ de: l':';j';!!7.',,:}-H...' .:l.~~i·:_;-:-ul.;: tr:_-~\::.. . :lIe!t1 de !aG'Jn et n'ont I)ClS ~te 0I:! ITteStu'e de rH';'oljf,h-C' lec~ i?11p':;ru1.nts Pi'C,l.:.lBme::; lu;'s 2i. 111 production d\~0 t l'aui 'L1C nnel i(;. ,"'l:Hn.F_~d~:.., t~(: L'd2,':;: :J.lilS; qLlC k:s PJ'ci;l!'~'T!': ,;:. r:,:v:;;;i~~(;ulture de i1 6.1. La crise' socio-~con,)ITJl'~~lt: '>n _i\f!'iCLt'-, !'t l'itlS :-)0.1 Ur:-UJi01'( r!i:'nt 1;_1, crise alimeniaire, .3 occujJe i(- t,~e\·'':1.nt j(' 1a ;3.:~nt-' trd.t~rH ltT:Yiall:; ':'Jd .~'(',lA c' r:h . .; c:u1nees BO. C0ttt:' C':lse a pr'Jl)lllss' h' ,~e(;t.eur ,ejir);(·nl<-1.in:': .:'<tl pre:hi,::;-l' r_-:;,IH~ des pr':'Q(;,·.;~~pations et les EL'1ts 1Il.f'-rllltres ailU;,t (! \h~ } (:-:;:; (; ~'g.).n5;::i.·,:()G~' lnl..l2"l' "1aLic ni.~h::s dcc0rd:::nt davantagt: d'atten:jcn au dC-Vc:-~v;',-'per.J'jnt d{~ l' J~ri'----:ult-l'.·e '-_'L ~)h~s lJL:~·t.;cl-tlj0:1'ement au t-iecteur :l.lime nt,al 1'(' el~ h .se,;. .s:.'__'1'\-iCe3 d~,':iJ?Pui. 62. En d.epit de,s e:'fo~:t:"· lO-....I~cLbll;';s d,:'p)oy-:·'-"'} f'!rt \-'~i(: ;j!:\~tE':ir";l" "·:'I.'utosuffi.s.ance alim>?ntaire, 1a ''.dtuatic;n ~'\ L::", rtD dt-' 1991 st:'r:.:i. '-;:!.:-trElctt"ri:-~e'2 pa~~ Ie faibh.~ rend€'ment de l!a'll'icu~[urf':: j l'_'\d~ticrJ.;'t'a-:: i.:t h.-,.~· i1inc~'~;~cv:-it< )1: !ill'::;;~nc(' df-f', princ-ipaux 3"r';ici:~ d'apPll' i ','l,l",t"stiLlC''', cr<'>t:lt, j:1L;'"n: '>, H'ch",<:h" ilduPl'itIVO')' Etant donne· ~l\.;e h,:· f';lrdean de L. 'lette .:fd\.'_<J.:ne it( -::eS8f~ 'l' ~,':~d<.;;J,r:Jll' F':t que les p r"OfP'::1rn :1~"!8 d I :::~5Uf.t 0':;12"'1':- :.,I,1'ttcture'j j, :--.--'i.(',~Ynisf.' "it. 1~1 r, '0 U· :ncrJ d~~'2 depenses publiqueS 1 1(' $eGtet~l' '~ontlnllf..:-_~';~ t,:( ':'~Hl.ffch' d'ttr,e J,nbl.lffisance des in'i,.-8Gti8sementr;: (:U'l h~1 :·,..;rt -:'.n,.~f,' d'exister 3.1 de 1a T.l: ~J-'.U:; J.~ "-:,'cL:,:.sJr_':t'; d-:: !J l)";'c-:d',I\.,I-. '-,I: '..:.qm~,;·-t l~rt::' f.'£'9.,'"'::r':\ 2. 1Jeill€' ct.:>iui popul2..Lion~ L~s circuit::: de C ommercialisatiorl agricoies, ::. ten ·~~u ~a;.":t:1t c.i"!..\_~ :'.nH:'ljO·l~"~5 d; ..tl;: pla.n precedent, he Ser0!lt DS,S c;uffisan:s les c-.:..u~rE"S bE'l'vices CJ 'appui al) ~::,,!," (1<' \a periode du t-JC til , assurer dE' .';,1:ljt-~t'e c0nvendb:....:: l:'t cora:LJ1cn..:i~Lt..:;;a.tiG·l' je;, (>::lrt":~' ':'-I.~:i:h:'nL,J.~l":::'~ '..>L de::~ auices pr::')c:uits agrju.)!o:'_'~ in~nffis;.:lnts pl~odllct:ft)l: ,;'-t . (:1" lcs fje,'to2;:; alil':cnL..I..ircs f':,u<jeul.:erement en ce (,(I..t ;:tinCCJ r1v l-:;~ d~:Ht~>~f':S .i'rc,its ;0t 1>-H h..:~~.tmc_:>: la l'Bc:;lt('s, plus pt::·rJt::;s0l.blf:.r:; tElle:-s qllC'...' it'-s racine&, CiV·A.~.1t \'t pour i1.uglllenter .:;lpr(;~. 1(;::.~ le~ tubel:(~uJ"-'~'f ,;2$ j j Lc--'.s :'~C:~.'-;" It <' " ;:!~ ;' ~c her~~h.~ J.~ ~'jcoll;! <on ti:n:..V"':--l'<.:ll ci 'ep.r'ouver des diffieultes h mettn: all p<j~nt des te,::i1niqu('s plus 8ophL;;tiquees et Economiques qUi; ~':.'~lc~ ql":;-: ~-unt (,.ctu'.2i!.;'m •.::nL utili.secs par la maJ,Jrj-Le deE ,::;,gt"iCtdteurs af:dcains; E!8CAjAD H~!C.i"-'L :)/:j Page 22 L(~. :-:;OO[:{l.'··.'.lCn. F.1.lltirl-".".r~»n;jl';' e) d'institt1~~i0n~::-. ~~:'ri(:ui';"'5\ Comrnissi8n, Li i::;lCt~P '.1'; cnUJ.''3 de. r (k >; ii, 1':1 1'." \:',''S ~~spPC'ts j'i' de (ilj Of? la mise en place CL'~~l l·~,c:,:ed,'?nt par Ta i:-'/\'O '_'_ Jj::\"!,l!"~.c, ul'g;::~ ~l.::J:':'L~){J::-; ,,'C":I~)l2h nt':!:~J JH':'c:::';3s:te t?nc;'~lre d'etre renfon./e. 63. L'::-t:~ t:::'dtegj,~ P()~.ll~ L1 rf(~ ric. d,·;. 1 ~YY2- 199'7 S~,? i'a ;;'\...I.; ee ;~ u r la lJl~()motjon Fautosuffi8,:.t;:lC'-: -::C 0,:" 1:, bccul'itl; ,"~li!rt!~J\~:.lires, ,~ra.:.,(-;, C.:iU.\. rne:::'UI't' S ~-;ui"\-J.ntes : -:.:' nc.;U t'~l ge r 1\i ;}CT' tio:'~ ch: pc.'iiti.(i1..lf;';.., ap i; 1'C r'r i(~es de commerciajisation~ -ic T'0,,:,h,--ri_,!!,'. :!t:' c.peG~,t '-.::t dl:. fOld'jiJtUfe d'i.:'l;:'l'ar.ts ·'1ins"1 que de ,'"""; ) de de vulgal'is;~Lo~1~ meSUI'E:2 'j'incLt:8.Licn '::;:)':.11' 3.:T'l"'jt~.'c la FI.'c,dGl:t..iOIl. ct 1.:1 consommat~on de denrees alimen L::til'~::'->: bi d'intr·'3,nts "\"H"h'l C ! " C ' ,"l'ClELnletu:-e," "",2'1co\,,:': ainsi q "tt':' 1a iourniture {~'L 1".'~~ 2":'ryi,:f's ::r~u')r'ld ~":'1 f.':l'·el~r riP _; Pf,t,its ~--.:xploit.:'ints; c} ~; '~omou -voir el i---:nc':)1.l,I'c..-1:~t:· e leA jiii::,.p !'-'rl de Ia D::~in-d'·.J'_-·UY n:; a;.;~'jccJ~-:-, ..,;r:~i1>:: 21 de:: ('ouri.'; ,i,::; Journees ,:1 't~..:u,:i\?' \.-;j.! "= .ll' C t 1\\ tilj satian rationnelle des '3eminail't~s et des {c,rrr~::tt..ion, d,l Enco'1Y'[l~1.-::'·· l't promGl.)\'ci~:' d",:-c progt'clrnmc-';'.:, 'ie l"e(,:he~'Che dc:.stinee a mettre au pOInt d(--!!:-.; tf:chniqu~.>s '3.P::,H·()PI'i(-;E:::'~ PC..1U?.' b, f..'l:oductioTl, 1a transformation et la pl'!i";E'r"':..:.ti~~'n d,_~~·, Jcnl'~~~; .: , .:J.j.irr..,.-,;nL,~~iJ.'e::-; (J~ 03~~t:: (-'t 1:'" ni·duc:jon des pel'tes ec du gac:.::piliag(::, ,,::-, pr0mouV:)~1' dc''':; ;Jiote~ Lnv10gj.e~ t: 11 Le!1£..l:1t d_umer:.t comptl:" de leur ,;jabilitl~- !::t d.::· J.eur l!":cid<-!':c(-; "'?':,:oDomic;.ue ::1 iong V:-rmp SUi' 1'_ ~rlCl.lit,UI·':.' africaine; (:) Enccuragel' ct Pl';.)lTI()I.Jvoir ]'h2r'P.10nlE,E'-.L!CTl (>'-, la c(")ordin;u.ion des prix agricoles aux nr,-e.:l\;~\. n::ld':)c-2L "',Ls-n::F:lo:':j e, ' t ".,_.;';.~L ~i i~'ontl:bu(·!-:( re:'~~"<.:uti_L'H je~ P!"I.)gr<lf::lT:",( de 10. periv,jr..: ci'l I:'L.'.'~ i?r(;c\':·u!·.~nt appropriE:r~~:; pou,' ta :"r::~n3f .::~.t'f:1ht.K!l base ain~.i que la l'\:'dl.~ctic'n rj':?f3 .t. Jes i-1l'o,iets idenbfies. lors 3.U point des techniques (h;'.:: den:;:s.cB ~~:im'~ntaJ.l'es de ,,·t df·:tL;.~O:;·, ~l nl>;\~tl'e ct k, pr~scr"\·t'.U:Jn pel't<..:3 '.:~t ,-=iLl s3".s~ilii\.--:;-J.:. TRANSFGRMAT',~STn;'CT~PELLEETDE\-~LOPPEMENTDES 64. _Mundats de l,t Cu;Hmi.::sicn ...-t. de 1;:", F/iO, resQluticm~...:. 34/1..:1, J3/54 concel~nant Ie document .'\/S-Jl/.l~l (,;il-..r:+:-,~,:e {, i_(;,llG t.:~., ::',-L~/::: ,'."-'.n,nC:ie de 1),-1.3sP''Jlbl,.~~e g'er.\:~ralc, r'~Eolution l.1l"""'f'i/:"'J\] <In <_"Gl':'~)f;il .' .... '~ln-=':11l(-lq.;c. E."L ;_,uL"io.l ('r. l'~?SOlutlons sui\:.:intE.'~, de la Commisskn : ]~/,:\'Il r;E; 19C4. l:~~'\lX' d';J 19(:::1) J211XElJi dr' .l171J 2~;?t.\I\") de 1979 et 601t=\:X11l de 1:1t"::. E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 23 i) 0b Jectifs des organes inlergouvel'nementaux 65. Pl'omouYoir l'ajustement et la transformation structurels de l'Afrique "insi que Ie relevement de la qualite de ]a v-ie rurales grace a l'anH~liorati()n de sa base socio-econolllique programmes de develoPl'ement rural ecologiq uement r"bonnel ii) des secteurs ruraux de ses populations par l'execution de et autosuffisant. Ob jectifs du secretariat 66. Aider les Etats membres a analyser leur experience nationale dans I'execution des programmes de developpement rural integre et a concevoir, executer_ suivre et evaluer ces programmes. Le secretariat aidera les Etats membres a concevoir et executer des programmes locaux de developpement rural dans lesquels les beneficiaires pourraient participer directement a la definition et a. l'execution des activites de dev-eloppement qui influent sur leurs conditions d'existence. A cette fIn, Ie secretariat veillel'.:l tout particulierement a accroitre l'experience et 1a capacite des pays membres en matiel'e de conception, d'execution, de suiyi du deroulemenl et d'evaluation des programmes locaux de developpement rural integre. Cette option explicite supposera une orientation systematiq ue de la conception des programmes/projets de fa<;:on it refleter I'adoption de mesures tendant a renforcer la capacite locale de p"oduire des recettes et d'ameliorer l'infrastructure sociale et economique sur tIne base autonome. Les Etats membres beneficieront d'analyses, de principes directeurs, de rClpports ·et d 'une assistance afin de les aider a surmonter ies problemes mentionnes plus bas et a atteindre les objectifs de I'ajustement structurel accompagne de transformation et de developpement rural autosuffisant dans la participation. c) 67. Prohlemes Les problemes a) a. tl',qit~s traiter sont les suiv-ants : Lacunes dans les politiques et la planification; b) lnegale repartition des ressources, des chances et des avantages dans les zones rurales; c) Absence de participation des populations locales au processus de prise de decisions en milieu rural; d) Necessite d'UIl SUIVl rigoureux projets/programmes de developpement; d\~quite et d'une evaluation e) Absence f} Insuffisance de l'infrastructul'P socio-economiqup pn milieu rural; des sociale au sein de la population rurale; g) Participation insuffisante aux plans de cn,dit qui profitent aux pauv-res des zones rurales; et E/ECA/AD HOC.MTP/v Page 24 h} Absence d'esprlt d'autosuffisance au sein des collectivites rurales et trop forte dependance 8. l'\':'gard de l'asf:.:;i~lance exterieure. d) Strategie pour la periode 1992-1997 il Situation a la Iin de 1991 68. En 1991, l.lne proportion important" de la populatIon rurale africaine continuera de vivre dans ]3. paUV1'ete, et son acces aux ressources productives rcstera limit.e. La repartition du revenu en milieu rural restera desequilibree, l'infrastructurc socio-economique sera toujours inadequate et l'ensemble des membres de la population rurale n'y auront pas un acces egal. Les programmes d'ajustement structurel n ~a\}ront pas etc pleinement rnenes a. bien. iii Periode 1992-1997 69. La strategie pOUl' la periode 1992-1997 consistera en des travaux de des etudes et l:"ELPPOl'ts en vue de uefinir des solutions appropriees la stagnation et aux dispaeit8s socio-pconomiques des zones rurales de fAfrique, ainsi que de fournir des avis sur les points ci-apres : possibilitcs d'action, reforrne structurellc, crealion d'institutioEs, organismps ruraux popula.ires, amelioration de la situation rips petits cxploitants, technologie rurale 7 medias ruraux, cooperatives de production et SerVic.2R C'ooperatifs, plans de credit rural et programmes d'execution de travaux ruraux et assistance dans 10. formuli:1tion et l'exeClltion des progrcullmes de deyeloppement rural integre. Figurera egalement dans la strategie la creation d'un reSeau africain englobant les institutions de devp.loppement rural en )'~fr~'1u·,"o, ~fiL -1:;:- l~ :;cr.:_-t-Ll'~~ .iU';; [ '.. c:;,,S I;.it-'[d:~'n?s ...F£-changel' nfg'ulierement des informations et des donnF'es d 'experience avpropriees en matiere de developpement. rural. a recherche~ SOUS-PROGRAMME li a} HESSOURCES MARINES Textes portant .:.~utoriRatioll EN EAU ET RESSOURCES BIOLOGIQUES des tra\'aux 70. II s'agit des manriats rie h Commission et de la F ;\0; du paragraphe I de la resolution 37/66 de l'Assemblee general" ,'elatif au Programme d'action des Nations Unies pour Ie redressc-!ment, economique el le deveL'";ppement de CAfl'ique, 19861990; des resolutlOns 332 (XlVi. 3.l0 (XTV) et ~;8 IX,'IIll de ttl CommiSSion; ainsi que de It< resolution 1 de la Conference mondiale sur l'"limentatioIl et des recommandations des treizieme, quatorzieme et quillziE~me conferences regionales de la FAO pour l'Afrique. b) Ob jectifs il Ob ]ectifs des organes intergouvernernentaux 71. Promouvoir Ie developpement de s~'Btemes perfectionnes visant au developpement des ressources halieutiques notammenl I'aquiculture et formuler des E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 25 mesures coheren~es en vue de repondre aux besoins de la population d" l'Afrique en aliments et en proteb'es. iii Ob lecbis du secretariat 72. Le role du secretariat dans la mise en oeuvre du sous-programme consiste assister les gouvernements mem bres aux niveaux national, sous-regional et regional, et ce, par I'intermediaire des MCLPOC et des diverses organisations intergouvernementales char gees d'amp.liorer Ie rendement et la productivite du sous-secteur de lapeche et de I'aquiculture. a 73. A la difference du secteur agricole, les ressources haiieutiques proviennent d'un ecosysteme que l'homme n'est pas capable de controler entierement ni de l'adapter a ses besoins. En consp-quence, Ie role du secretariat est egalement d'aider les Etats africains a exploiter rationnellement, aux niveaux national et .regional, les ressources biologiques de la llltl les ressources en eau afin d'optimiser les benefices sur les plans economique, de ]a production et de l'emploi. Co 74. A cette fin, Ie secretariat fournirait I'assistance dans la mise au point de methodes .perfectionnees de collecte de donnees fiables et coherent"s ainsi que dans l'evaluation des ressources halieutiques dispollibles, en particulier celles qui sont explojtees en cornmun par plusieurs Etats. A ce propos, .il serait essentiel d 'encourager la mise en oeuvre des pl'ojets faVDyisant la cooperation sousregionale. c) ProLlemes rencontres 75. La production en Afrique est caracterisee par la faiblesse des relations intersectorielles. Le principal probleme auquel ont de confrontes certains pays africains est celui du manque de politiques appropriees et, partant, de l'incapacite d'ameliorer laproductivite et d'adopter de nouyelles technologies. 76. Parmi les problemes les plus serieux auxquels iI faudrait s'attaquer en priorite figurent : a) L'insuffisance de I'exploitation des ressources halieutiques malgre leur importance nutritionnelle et leurs bas prix; b) L'absence de politiques coherentes et soutenues; c) Le manque de developpement parallele des secteurs connexes, notaulluent ceux de la recherche, de la formation et de l'evaluation des res sources disponibles; d) La faiblesse du rendement de l'exploit.:::'cll1 des ressources halieutiques pratiquee dans les eaux cotieres, en particulier celui des pecheurs traditionnels, ainsi que l'obsolescencc des moyens existants mis <~ 18. disposition des pecheurs (filets, bateaux moteur, commercialisation, etc.); a E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 26 el L'insuffisance des co-entl'eprises ou des accords avec les flottes de peche etrangel'es pou' developpel' la peche hautu t'iere clans Ie cadre de projets sous-regionaux {en pal'ticulier celle des especes migratrices en haute mer); f) L'absence d'indc;stnes destinees d halieutiques aux niyeaux national au regional, 8conomiquement rentables; et I'exploitation des reSSQurces meme 8i ces industries sont g) L'incoherence observee de temps a .::1utI'e dans certains projets mis en oeuvre par diverses organisation~; internationales dans Ie meme SQllS-secteur. dl Str~tegie il pour 1:1 SHuation a p~l'iocle 1992-·1997 la fin de 1991 77. Un certain nDmbrc dl~ politiq1les concernant . . . e sous-secteul' auront eU; acloptees par les pays atrlcams. Cepenclant, ces pays possedent d'enormes ressources halieutiyues dont Ie sy-steme d'exploitation actuel ne permettra pas rl'obtenir des resultats optima.. En effet~ certaines de ces ressources seront exploitees par des flottes cle peche <'tran"':;,,e:; en echange de paiements compensatoires minimes allX pays leur permettant de pecher dans leurs zones economiquE:s exclusives. Grace aux connaissances scientifiques 8t au savoir-faire technologique acquis en Afrique, l'exploitation de ces l'eS::;ources pourrait contribuer sensiblement au dey-elopp(~ment socio-economique de la region. periode 1992-1991 iil 78. Durant la periode 1992·-1997, Ie sous-programme permettra d'assister les pays membres et les organisations gouvernementales dans les domaines Buivants : a) necessaire bI grace Le a la renforcement d'...i C",~l'c: lES:-":i.tutionnel formulation de politiques coherentcs'; et structurel connexe L'approfondissement de la recherche scientifique et techno]ogique a: j) L'estimation des r'2ssources disponibles dans la zone economique exclusi'i/e de chaqv8 pa;,--s et a l'inyentaire des differentes espec€s df~ poissons ct de crustaces; iii L'evaluation des ressources biologjques marines ei d'eau douce communes en collaboration aVeC les pays voisins, en particulier eeux la p~chc est une activiie traditionnelle; ou iii I L'introduction de technologies adaptees a la peche ] 'aquiculture (bateaux, tcchniy ..... t,,:, u.t 1 umigation, etc.); et a E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 27 iv} La creetion d!un<: base (lo GG1Ha;E;d relatives dUX differentes activites d'evaiuation, et ee. en vue de renforcer les connaissances teChnIques et scientifiqu(:;:s des Etats membres dans les domaines conce.rnant la pEh.::.he et I"aquiculture; c) La creation de possibilites de formation en matiere de mise en valeur et de gestion des ressources en eau et des ressources biologiques marines, et .:e, aux trois niveaux suivanLs : il Un haut niveau destine il. aSBurE"r I".ux pays africains Ie plus tot possible Ie strict minimum de capacite dans ce domaine au niveau national; iiI Un niveau intermediaire destine it assurer la formation de techniciens de niveau moyen non seulement dans Ie domaine de I'exploitation des ressources halieutiques, mals egalement dans des domaines connexes (moteurs, refrigeration, etc.); iii) Un niveau modeste qui permet aux pikheul's d'acquerir une formation sur Ie terrain et de se familiarise!' avec Ie maximum de heux de peche, en particulier Ie long des cotes; d) Vodroi de I'assistance, en etroite collaboration avec les differents pays, les agents d'execution et les donateurs concernes, dans Ie domaine de l'elaboration des proJets d'in\'estissement, en particulier pour ce qui est de : i) L'analy,;;e des contraintes conjoncturelies et sous-secteur; structurelles erlb'?1'":. ,';.nL L- ,J<.~'\<._"!loIJpement de Ge ii) La l'ehabilitation dps flottes de peche ,~t des moyens logistiques existants en introduisant de nouveaux facteurs de production (amenagements portuail'es, chambres frigorifiques) au lieu de se contentE'l' de nouveaux investissements qui ne tiennent pas compte de l'infrastruGture dl')jil en place; iii) La promotion de programmes d'investissement communs pour l'exploitation des ressources halieutiqLles communes 01.1 exploitees en communi iv) Le perfectionnement. et la v"lgarisation des techniques de traitement du poisson, en mettant l'accent sur la formation des femmes, etant donne Ie role vital qu'elles jouent dans Ie developpement de ce sous-secteur; v) Le fait de favoriser les operations d'investissements communs dans la production et Ie commerce des produits de la mer entre les pays africains et les pays developpes; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 28 ",ri) La 1[1is(; en place -:;"une etroiLe collaboration synergetique avec les diverses organisations sous-regionales creees par la CEA et les autres institutions des Natjons Unies dont les activites concernent ce sQu::;-secteu.r; eL VIi) L'ameliuration rl", la production et des methodes de traitement et de commercialisation des ressources marines. SOUS-PROGRAMHE 7 : ANALYSF., PLANIFTCATION ET PROJECTIONS SOC1O- ECONmUQliES a) Textes portant autoris8.tion des traVf.1UX 79. Les textes portant auLorisation des travaux du present sous-programme sont les resolution3 ci-apres de l'Assemhlee generale : 3281 (XXIX), 3201 (S-VI), 3202 (SVI), 3508 (XXX), 35/64 concernant les annnexes I et II du document A/S-l1/14, .'\/S-13/A (annexe), 40/100, 40/207, 41/142, -H/I74, 43/182; les resolutions 1986/51 et 1987/48 du Conscil economique et social de I'Assemblee generale; la resolution 1987/48 du Conseil economiquE' et social; les resolutions --160 (XVIII), 501 (XIX) et 601 (XXTI i de la CEA. b) Oh jectifs i) pb jectifs des organes intergouvcrnementaux 80. Promouvoir Une comprehension continue du processus de developpement et de croissance economiq ues et sociaux pn Afrique; encourager une approche unifiee de l'analyse eL de la planiJica.tio:c. liu ci8veloppemf::I:"L. ii) Ob jectif,c. du secrptari:1t 81. Entreprendrc de maniere continue dES analyses et des syntheses intersectorielles approfondies des qnestions de devcloppement et identifier, pour soumettre ii l'attenlion des gouvcl'nements des Etats membres et de leurs -partenaires du devcioppement, les questions economiques et sociales d'interet pour l'Afrique et la communaute internationale; prepareI' et publieI" des etudes annuelles sur les condjtions econorniques et sociales en Afrique; promouvoir la formulation de politiques eeonomiques et sociales appropriees; mettre au point et diffuser des techniques de planification, y compris des projectluns adaptees a la situation economique et sociak;; en Afrique; organiseI' et assurer Ie service des activites de la Conference commune des planificateur:s, statisticiens et demographes africains; organiser et assurer Ie service des activite.s ciA la Conference des ministres africains des affaires sociales et de la Conference des ministres des PMA d'Afrique. 82. Afin de permettre au" gouvernements et autres centr~s de prise de decision de suivre la performance de l'economie et les changements survenant dans la societe et d'adoptel' des politiques appropriees, i1 est necessaire de pouvoir compter sur des informations continues emanant d'analyses approfondies de l'economie et l',/ECA/i',D HOC.MTP/9 Page 29 et f',l.:,1'2J,eg:i~s eCC-rl(~I-'liq:')2~ l\:~r~ ~L ,",oc,,~~"I,h--':":' ,-, deux princir'al.l:... l'int6~ri1LL~n :::'~Gt:~lH'S. ,~'" iin"-'l;;" C(~l,j-_;,ll~l':' i1'-~S2':FIi}ihl'~;~ actu'..:l:::: coop(ir;.Lion E'~. f..:. . ' V ' 1.:- r:: ccnditi~)n-~, nece8sitent un'~ (\.utosuffis.3,nce collective, i1 (:st ;"1,:':cl-33ajl'e d'ayojr elf'S InfoJ"mativnz sur Ltt"!c bflse c.'mpnr':l·.'l',". I:a.'~:~ 1,,-,::; T'('\ ,:"; '-(;\·;-i t,.;:, , 11:' tC:1vnil '-lna,lytique ne.ces?::lirF:' est .,.:;:e . .11-';'nieme:-tt rf-,-'1.~i~-~() P'J..1' (iE".-~ r'2~lJ-:"(I~1:;~)"bles gou-vel'l1PIuenLJux 2t. par ceux qui tra";aiHer.t (1::'..1"'3 ],,-,_:, ~~~,-:1,.b;i~-,s~':n-=-'nt", d,~ '_::Chf~! ::-:-.2, '_ilU"-:,Sl bl'-:H v_d\res L;ne public.::.. Aif:'3!, Ll. C'S_\.. 0!l LUll JU'::::" centre i-:n:inci1-Jcu P')l,\' L: liE-\;~'t~pp8m21lL e,:;on-::::lI~J.lq:',2 E--f-.. :'J_,_1.::1 ,'l!':!;t',:l, (r~l ~'~' Fi'~:m·~ _'~e \'IL.'<,' L~> r r;J: -' f<) iT l1_:;'frLC~UC:,_ ;:.1. l'll role r;(Al::Hdi,~l~abl~ 3 jou-::,I.' P':"'ll~l' co!nbler C"c";'(te lc,,-,'une. J l ,L 11 incombc. dans 1<2 cadre de son r(jle Gt';' j.:,ro\i1oLk-"'l dr ].' ·:::(),)per~';,tJ:':-:l i,t j" L;:;,' ~\",~~_L t..c,n (-:,c;,')n;)1",~; 'j:Jes, de pn?~pal'er egah-'J!H';n1. de:=:; l~tUcjf-S SL1:--,dyt,i·:;u.e-::: c.omp~~r::1.th·t-"s. Finci.l':':'ment, t3tallt donne entl'e 0c~)nomi -1;.[(" ;., '-1[';-L' iU8i,''', (,-1F1 !j. '~-~",._ c,r,'~ -: ,_,)"1 j,"_'OfUCyu-,/:ytr h-~ je ! 1, .;< que If"S t~t\ide'-c. ":-,n.;;:Jytiq',10;;, <",- ,:,~ (':"",ud,_,:': lJ_ L" h,r:if~\._'et-_lll\ GU :-j·>,-elopprc!Ifl',)Et s-:>nt inlime-rnenL _!h;es et 6t,?:.:·t donn{ :Jue :,:1 :.::.i'_-,l.r-l.LiGn, e:;'_iut C,-.'r.,Ct}_'np l;j, ,~al.-iacite des EtatiS memb1'0S i rret.t:l'p ,"'-!\' pcin.L ct ,'> u-,:,ihst.'l' ]f'3 L,:,ci-llj (~l[t;:' !--eq'!':::~~:.'> ?::,t, encorE trt->s pl'~_caire, L.1 CE~, cst eg.'J.,iePlt!_nt (,har~''':-''--' d't'~~1CC.((~'-" c. ,~ tE'(:i-~rj(p,.;'~·s I,";~ d',_dd~-=-r _l_e8, EtaL.3 mee.,bre.3 it le-:~ l!l<:~i~_rt-:.("~-'. 83. L'elaL01'aLon dE' tJ-:)\j,,-el:e:, po~Fjqup;" ;/)tl1' 1(,' r'1)i;lnC au centl'P dcS', 1_'l'E:o-.,:cupatLHi:::: d'a.Ju8~emenL s.LrucL~l't'l ~C'rc 'Ire~l.l: i-'t'Ot~l·ai1l.ffieS dc's ~ r::i,\~~:'jh. .\ins1. des etudE:s ;~er()nt peaiiG~~e~ '::""-1.' ,jC~ ,;"-:;Li,_,,,ne:.:; L,\~~:-:> 1 -ia :n(1~ilisation rh:s reSEource::; enOl'meS d-_l ::-_;f . ;;:"k~Ul~ porl 3t1.'1.~ctlln", 1-:.1. f.:: - ~~i_un ::'If''::: l"~-':3~_~-\"(>S elf-:, dev13(~s, la mi;:-'.(: en n=-,Uf:f d'::.'s LJl'obh~rnes a\"::.-Lt ~_l"~.lt_ ,~ 1.<:, L-_'l;lI1()L~c';) de,:,; cxpor-L.:ltior:..s, A 1a reduction dt~~--: "irnj..J(;rL-~"c:..or:f-'7 L Li:." ~_~.:,<;.I-i·, ,:'l. des fuitr:'8 d''! de'~ (~:(" \., ,~ . J'i-,~acl,-': Ell promotion df'S T,r\tit~Clu._,,'i atten":_i-~'r 1:'1. r'Ll.d~~r('te 1.:".:. b:-r. t:quitabk fT·trr:' t"J\.I~',;:::, de-v81oppemen.t" I-',t ;:1;, 3l'r . d? ' ~_cl. r'l'r -:, ,~d.Tn (:-'_' :H-l. .-'_:0hb-i)]e D;it'_-,,' !_te,:' ')t~6G.'~_~:~-Jll·f'.S ~t rnG!letaires C·J~l-l_,. '-ie_-=: "-~lLl'C>~' ,'3 __'i'Ol-;t. ·'~~.~_~2Sf, pUG>' la k~ ':: rd ;~ (,(,_,t~-c, :"r'l-i-:',~::L!C'n [~;X-~'ll(: :er, l",,'".nt d:2;_. l.'·J1JuL:'\'t:;c;~i:; "',: prcrncu I '"OJl' lILl'~Y.JtiL) 'Hil,: 1'-_' pour repal'tition de 34, A 13 fin de ~ 98l: .11! :!lO!E:.., !TO]::; etude~ .:,.\nnuejh-~s a.cditiojlncHes jp~~ conditions economiques et s')cid.1e~; -'~1' .\h';que aurorlt ete ~")r,-~p':'1._ceef:.:, .-'r1VirOil --·jnq 1},:1;'iT3 de 1a reE':L()r! :1.UrClnt ·JP!:'Oyt(, 111)-- :-l~-;S':c:t(~"C(:: dt.~ dc--ux 8f;:1:=~.:()r~"" (lan_----: 1:_'. :::t~c-:'.t;on d·' ;:1Dd~1_es '.i~:' <-::-ee"i:~ion; Ie Conf':renct' dl?~~ rnill~st.-res '1fricaJns dE'S affaires 8.o('i8.1,~s et d"uno 2\..I_tL·f~ rl~L[j~Of\ de ):-;1, CClnL':-'1'e_'-~C(:· CC·t:1lnUnf, dE:-S ';)lanificateurs, 8t.::1b~,ti('iens e-:'" dCr-Ki.:sl-,-:tl'h-_~ ~tfric3.ins ,.ura £te di::';'-~Ul'e; ct de nCm,Dl'eUX 3e~_'vices (on-=- l~t3.-'--l1.~ ["u,~:,)nt c5L\~ t<)i.!.rc,--,~ 3~1l If;:'- ~:tL.:Jes c, le d(-,-'.:Jcl:Jpem:'"'lIt social et se:::·v_k:.e diC:' 1.:=-~ eCOn(;f!i~"JUC: L<'"~UlEhH~ aiL~"; y;.J_~' ~.~li.1' b firl~tlc- 1-d~'i.nifl_(:2;tj01L ctu df;'~ehJPr,)(~m,=-'nt. L'e\-~a]uation du PnJ;e;l'amme Dr:ol'i~..;au-"~_· dE l',=-d?-,ess~mpnt eco:)c:"miqu'? de l'Afriquf': 198619:.10 ,:~t du Pror.::r~u:.!w .ract.:.::;n d'~,:2. :".,.-d.. ~'_-·n~; :;'t':::", . ._'C;U::" l~ ..;'E:;OrE-_.:-,3emt::fr!:, economique -ct Ie lk"\'-d':"ppempr:L ~~ l','\": LiU , irE/i-:" I':' ---"- -,,:.' , :,_,t,..:; :'(~'-.,'iD.2t:. ·~"211~t"folS. -9.-insi que }'pxpP"'ience 1'.:"(, I'!_~CUY2 l'p~~eT!tm~~nt~ l! "3, <'~"':in:_; -lire <jU'2 Q(~ n':)'Ilbrel~X IX:!":"-S afdcains [1(: seJ_'crll t(-ujc)I:r':, POLS ei) r:-,'---:'~-,lll';:-~ d'·~ntr'::';lJrendl·e- _~"'tna17st-; _n,:~qtll:.:;e :--12s politi.ques eL :=::'·1l';)J): tou_-irJl,rs tJ!~_~,(;ln <.~ 'une .q,.sG~.sL..inc.e '_"), t.;i-l"if<':~rl-'; it eet eg2.rd. E/ECA/AD HOC.MTP/J Page 30 L(l phlr-<"u'L des .".(;,[1\ '~e~_' I..if:· C(: t:.·.)U~-:_ r,;g'; ·.i.iil'L:~ s·")n-c.. cODL~l'U~';. .Ainsi, ilU caul'S de: 111 perJeiL-" lY'~_,-l~:~!f, ;'-, !':"~_~""..:' :-ht:' ~1l'1{;~? ,C~~'.\..j_i·:-; .ff;'::':::'-d:.t l'(_~c:.onGmie eL la siL.lation s(·ei8.L- ,:-or' "~fl·l\..jU': s::-' PC,i:-:"',C;;;l'i 1';) t~\-· ;;:~:m':' \ple 1.:1 ~~r~palation et 1a pu blica.tio.,'l de] 't'· '.. U (J >-_' ':'i n ~-j 'J(;~! (:' S t.ll' ~';;-3 C :,)'''FL tio:c 3 > .,. rriq :",2-; E';. :-::.'.)cl.:ileS i-:,n Afriq u e et du ~~ar,po!.·t f;c)ll'),nL:u.i: ~~r.n1,el L ··-~~3h'J .. 'j,jj., '_f 1-. rar~plicc:-~jjon (L~ techniques j,-:! plaIliflcatJOf.'., E'F r-q_:'~k'l_!iC'r daLs 1!~ c.~ldye d".Hl rje\'elDppemE'Dt socLd t~t ·2conomique equi1ibn~' et d-,' la. ~~t:()per.::Li()n 5c~)f!'Jmi_'_luel '2t l·,:- sui\--'i de" Ja ndse f:;:~ oeL'\Te de ia StrateAl'C:' l:-lte~~naL.:.')nal(~ cll.. '18'_ .:-1_'_.)pp!:omE:.:nt :"o(~ ~ L. J'l~.::.ttnem(; Decsn::tie 3.'-::-,3 .l:\C,(.tions Unies p'o~:r -Ie c!C.',-.;::!cI:'peri,:. . :1.1:, du FL".n ,.--I':lcLicn d(: L,o-jgos en V-:"lE -je h. mise en OeU\-"lt; rh:_· l:-;! :::,:'.r[~.!.,e~~ic je- 'tOlll'(Jvii:_, pou::.-· ]'2 dtJ -..:'!C'j.:-r;!~:m,"rd. E'COnJlrjqu8 :je' l'Afrique et df- ll,_\:~·tc Lna: l~' L-'L~JS {.-J~:i-lj/l~, ;:Lnr;~-'.\e,e:: I et H), .:h.1 ~;3.(~l'e :::-i,Lticain de referen('e pCUl' 1-..:5 ;)l'(;£c:'alLmt~. d',"ljtl ....--::-.C-'ITl-:;'nt ~~Ll'uctXLl'Ej 2.L. de t-JU-:~C c\.utn,; .-.:;trategie 4lli p·_)url':lit. ,:·tJ'~_' cdcT)t:. t:- 1'11' I,} r~,;(ic.)n 3f;~~'~aL:~,:::' d.:::-_n:s h'_'s J.nnees 90 .seront entre1-':d:~. L.1 lOL,>? au },:~;lI-,-t ('t :i'.iI-:p)i':_d.ti.J 1 1 d~' L·,.:!cLIl)·:jlll.:S ue plani:f~cation, en parti:':::!lij'''t' d,l!l·~ k [';:L:~~e d:_' L ,~OC(_'':'1'L1L_0n (--'t j"~ i i.nt:~::~~'aLi.',)n t'~cono;niqL~eR seront inten[:i:ie,~s. La plus hZ(ute pl'ic::ntc- s~~r,1. aCCCrl'd0e ~'\ la £'Ol'ITlation c1 'eXF,el'ts africains en pLL-lifL:atkr'., tA,Jil,;' 1.3. priPT!:':.-;.:-.LOl'l d~-:, ~~l·~t;l:~.~ L~ 'n ... lit:i.i~:,'~ de;::. '::echnl\-lue£ 2t methode~~ d(' I.Ili~.~'~':: en oeU",rre, L -' ;-;(:['Tdc:r.::; dt."s 1'~unjcms de .'3 snf~rence des mini.:::;t.1'eE ;_iJrh:3.in~~ .::!---:::~:; .:.i~ of; ·n·'.-'~. ::;ocl::ile:::~ t:'t dt--- L.;. :0nfer:eLt::e '~~o~nmune d~s planific&t.E:'urs. S~cl':...istiC.li-":L3 f.-:t ,:~;r';i..J~~l"a~·:i1.( ~ ,... f! ~2'-L~'1::' '~~f..:;'<::~ ~·\L:3:..;t·8, 85. SOUS-PROGR)Y'jL S Les tox.\.es jlcrt.:lnt =~ >1.(;l'i~.d'.:.i(>:-1 (h:::~; ~'.', . "'-';<1\L'':: '.~U p:·ef.:,ent sou:c::;-r.·r'.:..-gramme sent documents 8L:.lV[.l.,nt~:' rJt.; l'f:.I.~';:;(:'!".j~_'!·_:';'-; .s.:/·r:r·-··,i" l"~ J:-::t:.olu_U:):.c :';5/G·i SUl' l'annexe I de A/:::'~-J..t!11·; i~s IJC:.l':t",:'..--l.l·iL.-,,:- 11-1}~ d-: L, ~'e~~,,--,~ution 3~!2'.....~~ If":s p3ragn'\iJhes 2:,)24 de la l".::so]u'·i::oJ--;' :3·S/ 1 ~n :"t >: l.lEf':''!':,r:.' pLI;~ lC ., .... J.'. l~·;~:;;.,:·],~/.::icn :}'j/J 74; 1)ann,~xe de 3fj/2:1; L:l.nne:;~e- dE.- S-·J~~ '~: fa r(~,:,c,11.1~j'\n t:('/J':!; if' .P,:d'.q~:l'(),pl-Je 2 d.,~ L1. ~'ps-olutlon ~lS'7 (XVn) de 12 r:'om:n.~-;::::-:iOfl; 86. les 87. Sl..liv"!'E"' ]e:; econornie:::, des ~-)r;,:7:: lf~s ITIGiTl8 a:I,:<:'H!c?-~S d_,:!-~ des PClY~" 1I1.8ui.:-J.il'es -,r_\t't'l('_U~:: tot 1,T::::mcl~v()j-r' (11:".':' '\--(!iidq_~ef. transformatior. ell vue d\)-t ':L~\~(:d':'i)p(;-Iri€~'lt 3utO-(-.'1l:ret'2nu. pays .:::ans littoral et ,j,pp~oprlees pour leur 88. L'objectif assigne a~_: ::.,(,r::'rctE'iriat. con:-..;jst·:.~ ':~_ :Lid-?l' Jes }',D._YS les TI101nS ayances, les pays san:.; littor,j.l et L'.E 1:::'I-:' ;:., inSU1.:.li_2t~~ ,:i.'),l·"l.'-lu_e dcll1.S leurs effcrts de planification E't de p.~~cq'ra;~!'!:rl3.tjon '-·n ·'VLt~· de ~'!:~I'pii_c~lUO:;:; '1u n-:)uveau Programme subsLan~i(:'l d':-.!.cLion t~'-d '''::'.. 1'1.1 .,38r:.;. re-" !3{ ;;'Iou.r L~'s :lnn~-es JO.. " cC t:'~':c~rd, de:::.: efforts SE'!'ont dl~P:Q:'I--t'>S er "'J.e d·.~ : E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 31 a) L'evaluation des efforts internationaux dans l'application du NPSA en vue de promollvoir les changements strt!cturels necessail'es pour perrnettl'e aux pays de surmonter leurs difficultes economiques et d'"tteinctre des niveaux de vie adequats et acceptables sUr Ie pian international. Dans Ie cadre du NPSA, des efforts seront deployes pour ameliore,- les modalites de l'aide, ajuster Ie volume de l'aide et son role en vue de n§pondre aux besoins de developp~ment des pays et formu]er les changements appropries dans les pro~rammes d'aide; bj La realisation des etudes qui permettront d 'aider les ~ays les mains avances, les pays sans littoral et les pays in~ulail'~s d'Afrique dans In formulalion de plans et de programmes Sllr la base de methodes de planification appropriees en vue de la transformation de leurs economies; c) La prestation d'une assistance aux pays les mains avances, aux pays sans littoral et aux pays insulaires d'Afrique pL""' l'ceotention d'une aide d'urgence en cas de catastrophes naturel1es; d) La realisation d'etudes sur une gestion macro-economique efficace; l'adaptation de la conception, des conditions l'equises et des eriteres d~executi()n des programmes d'ajustement structurel et de stabilisation caracteristiques particuliers a.la situation particuliere des PMA; l'integratioD de ces programmes aux objectifs de developpement socio-economique national a moyen et a long terme des PMA; e) La realisation d'etudes sur Ii' mobilisaticn et l'aftectation efficaces dec. ressources locales, y compris ]e. mise en valeur C't l'utilisation dE's ressources humaines; et f} Le service de8 reunions de la Conference des ministres des pays les moins avances, ou celles des pays sans lIttoral et des l)ays insulaire~ de la region. c) Problemes tl-aites 89. Les pays les moins avances, les pays S,'lns littoral l':t les pa:vs insulaires d'Afrique ont tous les caracteristiques suivantes : rever.u par habitant tres faible; majorite de la population vivant au-dessous des seuils acceptabled; productivitc agricole extremi'ment faible "t institutions d'appui it l'agriculture insuffisantes; part insignifiante de l'industrie manufacturiere dans Ie FIB; sous-exploitation. manifeste des ressources naturelle8~ en particulier des mlneraUX et des ressources energetiques; faible volume des exportations par habitant; penurie aigiie de personnel qualifie a tous les niveaux; infrastructure institutionnelle et physique in~uffisante, en particnlier dans Ie domaine des transports et des communications. d) SLrat8gie i) paUl' Situation la per-iode a la 1~92-1997 fin de 1991 90. Des etudes plus approfondies sur les economips des pays les moins avances, des pays sans littoral et des pays insulaires d'Afriyue en tant que groupe auront E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 32 ete realisees. Les dispositions institutionnelles pour Ie suivi de ['application du nouveau Programme substantiel d1action auront egalement ete adoptees et des services consultatifs techniques auront ete fournis SOllS forme d'appui dans la p[anification, la programmation et 1'"laboration de projets de meme que la coordination a travers Ie Comite interdivisions du secretariat sur les pays les moins avances, les pays sans littoral et les pays insulaires d'Afrique. ii) Periocie 1992-1997 91. Les services consllitatifs techniques seront assures, sur demande. pour permettre aux pays africains les mains avances, les pays sans littoral et les pays insulaires d'Afrique de formuler des plans et prQj~rammes sur la base de methodes appropriees. D'autres etudps 8.pprofondies sur le:urs economies seront entreprises au COUI'S de la periode du plan a moyen terme. Des pro jets de cooperation technique seront identifies et presentes aux donateurs pour financement. Les pays africains les moins avanc~s, enclaves ct Insulaires aurcnt 1a priorite dans les projets de cooperation technique inter-pays. Des efforts concertes seront deployes pour Ie suivi, la surveillance, l'examen et l'evaJuation periodiques de l'application effective du NPSA tel qu'actualise pour 1a prochaine Decennie, suite a son examen et a son evaluation globaux en 1990. Le service des reunions annuelles de la Conference des ministres des pays africains IE's moins arances et de leurs experts sera assure. SOUS-PROGR..".MME 9 : COOPERATION ET INTEGRATION ECONOHIQGE EN AFRIQUE a) Tex-tes portant autprisation des travaux 92. Les texte3 portant autol'isation des travaUK de ce sous-programme sont les resolutions 311 (X!V) et 355 (XIV) de la CEA; 33/134 de l'Assemblee generale sur Ie Plan d~action de Buenos Aires pour la promotion et la mise en oeuvre de la cooperation techniqu.e entre pay6 t~il d~,,~elc.ppement; 35/61 de l'Assemblee generale sur Ie Plan d'action de Lagos IA/S-/11/H annex" I) et A/S-lJ/2 de l'Assemblee generale. i) ot iectifE des on~anes intergouvernementaux 93. Promouvoir l'etablh"sement (Fun InPcanism.8 int.ergouvernemental viable pour la formulation et la mise E'n Of'1.l'Te d'actiyites de cooperation et d'integration economiques au niveaux sous-regional et 1'6:gional; determiner des domaines possibles de cooperation entre l'Afriquc et les autres regions en developpement; et promouvoir sa mise en oeuvre. HI Ob ject.ifs dll scc:retariat 94. Renforcer la capacite des crganisations intergoll.Yernementales africaines en tant qu'instruments efficaces d'un devcloppement aUl:osuffisant et autonome; aider les pays africains et leurs organisat-jons intergouvernementales a identifier et a mettre en oeuvre des projets d'integraLion; promouvoil' la cooperation Sud-Sud afin E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 33 de renforcer la cooperatjon c< ]'inti~·6rati(jn cc,:,no;rriques en Afrique; et faire des propositions pour I'harmonisation et la rationalisation des activites d'integration des diverses organisations intel'gouvernementales. c) Problemes traiteE. 95. L'exigulte des economies afri::aine3, la faiblesse des revenus par habitant et la predominance de la production de sUbsistanee imposenl de serieuses contraintes sur Ie deve\oppement d'unites de production viable" et limitent les possibilites de developpement. Ce\a rend necessaire la cooperation et l'int&gration economiques. Cependanl, leg efforts visant a etablir des arrangements d'integration efficaees sont entraves, entre autres, Pill' dC's insuffisances en ruatieres d'institutions et d'infrastructures. Les plans de developpement ne sont pas encore coord.onnes sur une base multinationales, sous-n\gionale et regionale. Les pays n'ont pas encore incorpore lea arrangempnts de coop~ration et d'integration dans leurs politiques nationales. Vabsenr:e de rationalisation et de coordination des activit€5 des organisations intergouvernementales existantes ayanl des programmes identiques ou similaires empeche Ie regroupement des forces OU la formulation de projets conjoints d'assistance mutuelle. En fail, on ne l'arvient pas ii. executer des projets d'integration economique, en pClrticulier des projets multinationaux. 96. En realite, let principale difficult.:' que connait I'integ/'ation economique sousregionale en Afrique est I'absence de volonte politi que chez Ie" pays membres pour mettre en oeuvre des projets corumuns. Cette absence de volonte de cooperer provient du fait que les pa~·s membres ne croient pas aux a...-antages susceptibles de decouler des projets economiques sous-regionaux, En fait J'obstacle ii. la cooperation economiqut' est Ie manque de ressources necessail'es a la realisation d'etudt:,s 02sentieHes gl"')iJalc:':' 21. gectol'ieHes p0Uvant mOnLl'er les .intel'ets que chaque pays membre a,... participer pleinement aux pl'ojets d'integration economique et indiquant que les avant.agt'g de Ia cooperation economique sent equitablement partages entre les pays participants. dl Q.trategie il 11.OIlt' la periode J992-199.7 Situation." Ie. fin de l[l91 97. Dans chaque sous-region, les projets d'integration economique devraient donner la priorite au developpement de I'infrastructure et d'un systeme de transport integre au niveau sous-regional; h I,;, production et au transport de l'energie hydro-electrique; ;1 l'etabhsBement d'un s,ysteme de production sousregional afin d'accroltl'e Ia productivite all;ricole et de creer »ne base industrielle pour moderniser les secteurs prioritaires; et enfin, a l'integration des marches nationaux. On espere "galement qUI> des decisions auront ete pl'ises pour rationaliser les programmtS des or~anisation8 intergouyernementales sousregionales en Afrique dp I'Quest, du C~ntre, de l'Est et -en Afrique australe afin d 'assurer un developpement harmonieux entre Jes sous-regions et que les activites pour la creation d'une zone d'echanges prefet'entie]s pour l'Afrique du l:iol'd auront &le achevees. On espere aus8i que l'OtJA, la CEA et la BAD aideront les diverses organisations intergouvernementales it coordonner et it harruoniser leurs activites sectorielles et it faire progressp:r la creation d'un marche commun africain et. d'une E/ECA/ AD HOC.MTP 19 Page 34 communaute econornique '::,fl';c::.i_r.r-:>, C'~ e'2p~~'C- cn[in qu(;', gr3:.ce J. l'assistance de la CEA el de la BAD. des accords seront signes pour executer des projets interregionaux all ni"'l.Tp.au des di':erse::,; organisations intergouvei~nementales en Afrique de l'Ouest, dlJ Centre, dp PEst et en AfriquE' austra.le dons les dUTIli:Lines essenLiels que sont les routes, lp.s chemin3 de fer, les reseaux electl'iques, etc. afin de renforcer les relations cconorniques entre les differentes sous-regions. ii! Periode 1992-1997 98. On continue ra a deployer des efforts pour renforccr les organisations SQUSregionales existantes en matiere d'execution des projets sectoriels integres tout en prenant des meSUrf:fi vjsant a coordonner et a rationaliser leurs activites afin de creer un marc he sons-regional ullique dans chaque sous-region. En collaboration avec l'OllA et la BAD, la CEA assistera les gl'oupements d'integration econornique dans l'adoption de programme!":' viables pour la periode consideree. En premier lieu, un plan directeur detaille pour les transports et les communications, l'energie, les ressources en eau, les secteurs industriels et les ressources humaines sera realise afin de constituer la base d'un developpement autosuffisant et autonome et, en second lieu I des projets multinationaux concrets .scront identifies dans Ie cadre des plans directeurs sectoriels ct des etudes de faisabilite seront etablies pour leur mise en oeuYrc. DuranL '2ette periode, des projets intraregionaux couvrant les principales Rous-regions du r:ontinent seront 6galement i<..lentifies et executes. A cet egard, une attention particuliere sera accordee aux reseaux routiers, ferroviaires et eleclriques continentaux· pour .l'exploitation des ressources naturelles de l'Afrique ~i a dRs projets de co.ractere regional, en particulier dans Ie domaine des industries des biens d'equipement. 99. L'execution o.~ Pl·".Jjsi~:;.: d\.11ciust:r.i0:": de bah!.,::; eL des biens d'equipement necessitera Ie lancement d'un important programme de CTPD (cooperation technique entre pays en deyeloppement) aux nivea.ux sQtls-n§:gional et regional. 50US-PROGRAMiVlE 10 : a) PLANIFICATION, MISE EN VALEUR E1' l'TILISATION DES RE;;;SOl'RCES llUMAItiES Textes portant autorisation des tl'aY1l.tlx 100. Les textes portant autorisation des travaux de ce sous-programme sont la resolution 43/219 de l'Assemblee general" et Ie rapport adr"sRe par la cinquieme Commission a l'A~sembIee pV§niere tel qu'il figure dans l'annexe au document A/C.5/43/CRP.4, "insi que les resolutions -495 (XIX), 5-±6 {XXi, 569 (XXII, 614 (XXII), 631 (XXIII), 633 (XXIII), et 644 (XXIII) de la Conference des ministres de Ill. CEA. i) 101. Ob jectifs des organes intergouvernementaux Les objectifs au niveau intergouvernemental consistent a. promouYoir :;:/E'~',\/,"D HO'~.~!TP/J Pag,' 35 dcveloPPf'm',:.:nt n~l t'iC~l,-tl~~; f eCOTIOInlque t.li 'ClC'i_~ d,=-~: l~'-" bUlr:our e~- n~'C.'ef:~:~a,ir8~_: .3. Lin t-::t ~oci,,-~l i.iccel'?n:~ rians tout', le:s sec:-;:eul'S de l'ec'Jnomie t Le rt'oi:'oI""C'n1f'pt d~·'s ca,pw::it<.::s :?C 1 '. 11 "l'- LC") r :-:'ic :lti'Jn, lr'.. mi~:;(' :';-!: vEth~>.tr -b J et l'utili.<.;ati·.:m d(~s r<:::f; ':.(-u r\>.' ~~ \1. -J 'I.,~ : r,l." 3 c'n 'Vl':C d' c ~):,i ·lL:,~~8.' l...J cor~tr_~ t. ressou.t·CC:':; .::il .• d(·Y~l-:;r..:'p(:,:,~nvn'·. sc::::i()-(~(',-.';:')lr:ic·',·: d;o· .1:.11; rl'_:qlJ~~ . '-' bot; des dit,es ., (>:<1 J·~,;';C':j·. '-\'.!l'er l't t5Y8I.tJ.eJ: h-.'urE politiqL!CS et pl'ogrEtmmes de p]anific:-",tion. d,· rrl;2:~' .. n '-.-!.l'_ul' '2t d\ltillsatior: J: .....: ; l'e~_;:;o~u'c>_~~: hUfn::LiIlf3 '::'L >,'-uc de faire des r'T"p'..JGICOn3 l~oLcn::'tc's pour l'dabol'utio!l el·· p01lti(tue;~ ,,-:;t r;:,.I'o';;ra.mnH-);:: phlS -pertinO;:-;tt:.:.; ,ie~-..:t.l~':"S ;.,'i.tjsf~~irc: lei be3.)-~nS .:.~n ~':"!~-~ti~:~'~e Jc dj~yp.k)rt)2r::lcnt nd~iona1; planii'lcc::UCJIl "t i~ut~LsJ.tj_~)n ct'~· let moin-rj'o'~·U\~~ 1'har;r•. ~)ni::;atlon "t Lt coe'rdind;-,lO;) ~;n l.:~ m:.1U(~~ '_': -,~ eO ma.tif'~·2 l't::n:'::"::-;~!.lem<?r.t {:~-, l'ep;pLcL ct d(~ fOY'Tfl3.tion, de Dlanifi:::,';i,lj';)1l 1:.:: :i-ldin-'.-i'aeuvre et ,·.C.' :'j " d~eJl;::;.eiD;npm-:::.'nL l'end.rl~ jp e~ JT)'leu.\ pI; d,:) :t'orL;<)~lcn ~?t fcdr'~ '.ci:Jplf~S ii,\_~-;-, bGsGin:~ . . i(·s 2',::<::.omm.1DJ,:'1.ticns ':~ur 1:{ nalio::l.AuY, ,': )l.'i,:::-PCC"lCmlqu':,:s_ ;n~~I'jel'~ ,_~~-, 1,;8 102. deC' l:Lil\ :du~ donr lE~;-:; '~-:)n,r '~-::',~'nr.::E'..''':, n(~ ':.,0 ~,0ni:. 1.13-:'. '_L-"l-t~f'';;: d l::-'.. :)e:-.c:Ci~1S de d8vej'Jppemer.t Imnl~~'d.i:1'U:" :,;,":'tt,~ di:::;,P3.l'H..t~ decOUie d,t faii '~Ui? !\~ \-:;I.'-:'Iltenll d·.:::-s ,)l'),CnU-: . ',- r;;:; pro;:::- ..;lmmer matjf:J"~' ~. ;ci:::n tiflques. techniquec et U:'"C!lllOlc,Lqncs. :\t:~~:~;i lr- i)OI;1bl'(' ce:::- C:10HlE:lT2 p;~rmi Ie':' ;;oTli::nLs '"~L>~, c;."'~:.e'3 pri:-nairp et seCondc.Ll:~E.' [:v'~\~~31 blcf (_lllc..' 1(',::, diplomes dJuni'.~e!>~~~ l(~rnr'?'l la penU:'ie c:: )""·l~L-.:i·!)eUvre spi:ci3.Jisee c-t bautt~mc'nt i]l;~lih,:,'(~ (~O'lt~r:n~: d-: ::-~ I~.l \.1" ~;r,C::;.~I.' " ..-, ':~1)i ,1.T:!c-ne de plus en [Jill{5 ':p~, T-:',:.1',t;1 co!-'~'12airH: :_';. L.t:>'· ~-~n,::o:::; ;i:.'['_V'~' ·:'.ppi~'':' p(trticuJi'~l' d iJ~~.; l·-·~" (.L)ma:LnC'·,,dP.~lt,fiq'Li':'--'~' t,-·('hlli~-;'~(:'f': .~~. t.",~',h:'1,)'h;!'i'.(:1"'>s '2t pour ~c<~ ,":::-r.'ice; (~, (~,'l:::.t.L~,a.;.l.-' r·)..l' ;iilL'Ll:";~~ lu. ·:.:,,;:.·:u.I,_~1 ;~.'. i~>"L: :r .;-tlir'ie et ~,peciaE,s(; ::-ont','nL;,' J,r <"!Uitb_l ~(> (':Jnl:i:'~':'~H en 11~':::(' .1·.:.>.n"l» rla.~·~.'. 1"';:-, pays dE'Y,--; ic' p pi·~.;. 104. Les ~galemr:nl 1acunt-'.~ i:a.ns h'i 0'-1 t.enCL1.11C· pOil. r):',it€'r..t Llp I}CrtE: l.' IJ 3. ::1. :'lDniflcatjr;~. d:---' ,':~ n.,lin·-d '.,)f~'.:\, ::':'C ~';[,j~.c' 1,-::,~'Tl"':.l"~"r;,,~i'-::;l'1 _~1J.f' jC~_ la \.: rcissance f;conOlil;,(! ue ('1 ·<~li-~ : it:' l,~ \'"2tn1,l<Ji ont ':-:'·)\.11(>(;~ hUf:Hilne:::. {:;t '.-," i .) .:)i~)'-::' :\,,',::' ~t t socJC)- ;1'\fj'ic t L2 iLJ-'n::::,~_L( ).;:-_ Cf'lD:-t,'-; i\ ,-,:'l~12~" J!T\-!:'~-,':-'.:'r !~:~ \.kndaIice L1. l~,::.>x()d~· des COf!lpeten,:c~::ij ,:!~:.Ie!},: 1n::iT,:t'_~e .--:L::~:~ j~)··:,,~u:.'; s ~~d.n ~ '_'~ndl'e eC0nomi,q:.~c. :-n"pol~tr~' ~lUf' E/ECA/ AD HOC."ITPh\ Page 36 (-::t le~, ~'--:;":J;i\~~) ; i;:"OUlJ·'_'tu's. T~ ., -,,,,,-~.--:; "al~ ;:'Llsc"i rac-::o~"-leY' 1& priorite 1'1 f("J'I:1at.ion d;~ Sl:J2cli'llistes d.:~.n8 1(':3 d()m.:~iDc;:- d'2' !~E-Jn:)C'ration ~,t de 1\';yaluatiGn de:-: p~,·l_'~ ..'[:..rnme::i 1'1. ~ '" J l;,nrf~c:.\-_\,,·n Ot" :'1 .. , l"O-. _;';~1. 1':: et cO"~lE'ctc: "t dc"' l'~l~i[d;-,-,::>(; de'::- li,;ru (~~:;;:: l :jl" J !, f'e' -tiel. ::~.:.; r -:,r~ les a l'a;-)aLrie~-:; lOG. ~·~)tlr :C'::,-;jl~:',nt ~-;T.',1 di·-i·:, '_~-, 20 pa~'s )Gint des .'3.'] "'~, dJ('_''':(lI!~C'n dc_''':: programlIlf'E, dll;"n'3·::,i:sneC:lent~ d'2hb"::"j'J.i:.)r: Cl.- i:;,--'v,:\ll_dti~);: {~-.: ':';'.-2: r'l'C,,?1',1 mm·:',c,, d\ 'a..luLltion c0II1p4tenC"2E' fLCl.tie~'\; f:,L' p" CT. .je nLlilif' c ,"1 l ~O]' desdits J.'ros.r~:'f'1P1·:j-'::'! d~' "..:cH'''c,t·-· ~" J':~.r''''ll :-:..r 1'" de rn:-itt_~rl(:>.I_ '2t l;'~~(i\_n;.,:.·ene;lj l_)~~;'L!_::-,J;:;'i.qw-::':; ,l.i,-: des pAy':; dpvc~L)ppe:~. 1()6. leur Gampu~' univl?~.'sit6;3 jc·~=: (,(IlL>:;" '.>~ !'e_k'\"'; r '?t .J::.' formaL1(J:l ;~rl; JL~ (:~il;l.lit-(i (h" 1:-: P8.I'f~iliement, U:",:_ p:'oy?t CCm;:1i;--i1.~ ~', PNCD L''::;d]':; d'-··:,,:~~-" ;.1 tlU,j), s':"'l-Jtl ,! necessite li anportt2!' :1':s r:-'l.;l:ldC 1;'~: l -:O~1tr~f'"3 ,'ur,s] "'~{'l.e ,.::te -.3:: '~\;E~:liclrcT rfnG~ jgnem~~'llt "(--'('ht-rc~-ie '.\:. e-t ,i1'?::' .~, d :-, son r:ise ."'"tu po-tnt ~';i;.!Ldr·2 1.::,~ ,j'-";l."rendan.ce [, l\~g~-'f..rd Clt,j~t ser'i.-iCe~3 ()e dans les \'::(~'nstlltaI1t. rUl'!csc:J et. finance par 1e ;lU con.tinent la ::i'~:pal'gLI-::-r C:·t...:Llt ::::.:las32- 107. ~ (j ~)3y ,-; _ =L-",,'..·,:-; . dcITIE'nL 1..1-=_:, • ';'L - '~~''-:'-!' ~..:'::.: 'l!:-...::e '''_~'' .~lr· ;'~ r,i~Y: eel·" ,- ~" l)d..\ .:-' d·.-'~ ~',JUS-l'~'~'ions de '·:h:_'l:'':OU ill. r' d:::' r,,\,:"r~:_;""l(-. d·' ~,r>-~t"i()r,..::, \'~~i,-:.."_; chi. Cn.,J:::'':' ,,-!u J'0ur 1,-, t'nd~'pssE-rnen'~ .:h- l·;iE'T'f-'r-'.:.:' pou~~ a?~'ic.?.ir; l~e(L'E:ss~;r '~'r_:t a.IH'~-il ~·le n-~-~:::' rautc":i'...:ffL:::.ancc ressourcp<; 1 V0. [if"::" tc'n (J ::1._:1(' ,:_- !c J'''l lH1'':: t;':i;}:-:-.ftJrm.J..t.l..J~i: 1.C~:U1Litl;J;-\ SOC;()-,:"conor~llqu_e:::- et 3tructurel en vue (C,'·FP.-.Si. :::onn.:l . .s:::'_EV:::C2 j·S -. (-!':?I,cti8n des 'CElt">n.!:: C,'~ l'~\Jriqlj.e ::-j'u,'u::o;lpml':.~r't 0~i(;1'~;'.;"'> Jr~~}:,'lcy,~s -X:-~'CU~lon l'accent et sur ::l.ku.r .~J- d\·tiiis<J.tiun des l'epineuse relatiJ au ,J.th1 d l"Lf"l 17:_1,;::; .\\.1. menn::;. ;l.ul'Llient l'~e~<"-1.mine (~t 0-\lalu~' h-~ur mecanisme •.:oIl maL(?i'C ci;~ m_:i-:'.f\-c_}oPU'i:"'(- ::-1.. ~o,tcd-:;:i au relancc '::::E.' m~canisn~e pour L'U CU1< l'Larmonisn'tiC:h '-:::t la coordination de la ;nise (~r~ d!.:s L· _, -,'-··hr n DlL.:.th;]"',:: ',~(- P~,l~l fi.::'-Lijc~"1, :ic :-,~_::.,\' {,'~l '_',()nc~ J' l:I",:::UtU:~,OLrel "'\~'~;~<" -I- ](~3 f,!'G_g"-"'drr·;=', l:)rogramme .j U Pr~:;gl':~~m~'.le hu.m3.in~c. ql:_atr·,:" 11C:. C'--~ ;~t;l ,.:'c·:'~\vr:Lq\F adopte des ('1:;\ l.< is ~:,e :11(- nt? l' :~fl'lCJue ~e l'Gue:;t. U{ ;,_\. ~!v,-"::.:.i;-.:r~t ~t:<, :\--d.;)·'::' 1..--. r~:;f-:SOU1"~·\.;'S ,:~_,~·,.::j0U (~\'L~i mini:'':'\.-'.~~'I:' hum:.:inf'::',. :,:n ':)lJt;,~e, --:'-,-lleul·,' des reSSI)Ul'CE;t:-, humaines, ,:.hJ.rg{: d,:', 1a mi~;~ <:.'n v::.letu' (.{ d.e l~utiLsation les ~ta.blb.sements d!ensei~~n('ment superieur E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 37 au niveau national et les instit"ubons p3.rrainer::s par Is CEA nux niveaux sousregional et regional auraient revitalise leur role dans la production de maind'oeuvre specialisee et quaUfiee pour Ie redressement socio-economique de I'Afrique, notamment dans les domaines de la science, de I'informatique et de la technologie industriel!e, de la conception et de I'evaluation des programmes, des services de c:msultant, etc .. ii 1 Periode 1992-1997 111. Les activites au titr() de ce sOlls-programme consisteront en des mesures et des strategies destinees a aider les Etats membres dans la planification, la conception, la gestion, Ie 8uivi ~t 1't~valu3.tion en matiere de mise en valeur et d'utilisation des res sources hurnaines et revetiront les formes suivantes : a) stages de formation, seminaires et conferences aux niveaux national, sOlls-regional et regional a l'intention des cadres gouvernementaux et du personnel des secteurs prive et semi-public; b1 services consultatifs aupres des Etats membres afin de les conseiller quant a la planific[ttion de la main-d'oeuvre et de I'emploi, a 1a creation/relance du mecanisme institutionnel pour h mise en valeur et I'utilisation des res sources humaines et a. I'evaluation d-es programmes d'enseignement et de formation; et c) etudes sur l'etat, la mise en valeur et l'utilisation des res sources humaines dans les pa~cs africains et examen de ces etudes a des conferences et seminaires regionaux et Sous-!'egionaux. 112. Les efforts SA pourRuiyrai_ent ''lfin d~dttirer dans Ie continent les Africalns travaillant dans les pays developpes grace: al it I'intensification du programme conjoint CEA/CIH pour Ie retour des competences en Afrique; et b) a la mise en place de programmes de formation de main-d'oeuvre specialisee dans les etablissements africains etant donne que la. formation a l'exterieur s'est revelee etl'e l'une des causes de l'exode des competences. 113. De meme, une attf'ntion particuliere sera consacree aux domaines de l'enseignement et de la formaLion par 1a fourniture de services consultatifs aux Etats membres et l'execution de tra:vaux de recherche sur la mise au point et l'evaluation de programmes d 'enseignement, l'institutionnalisation des services de consultants locaux et sur I" pl'oduction de manuels et de materiel pedagogiques. Les Etnts membrE:-s seront egalement aides a elaborer des programmes d'ense-ignement de type non scolaire pour completer au renforcel' l'enseignement classique dans la production de main-d 'oeuvre qua!ifiee. Cet objectif sera atteint grace a l'organisation de stages et de seruinaires nationaux au cours desquels des mesures et strategies appropriees seront examinees et formulees. De surcl'oit, des publications techniques pour 1" diffusion des idees, des ',onnaissances, des informations, des resultats des recherches, des techniques novatric~s en matiere d'enseignement, de formation et d'utilisation des ressources humaines ainsi que sur E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 38 l'elaboration et l'ev<.llunti.c'I d,<:~. Pl'C6~~,J.Wr,::2S seront produitps et largcment diffusees aupres de diverse,; institutions et des gouvernf'ments dans les pays membres. On s'efforcera. egalement d'evaluer les lncidences du programme de mi:::;e en valeur et d 'utilisation des reSSQurces hurnaines de la CEA au r:ourE: de In periode d'execution du piA.n en mcnallt des evaluations de ce programme dans certains pays africains. SODS-PROGRAMME 11: a) DEVELOPPEMENT SOCIAL EN AFRIQUE Textes port-ant autorisation lies tra\Tau~ 114. Les textes portant autorisation des travaux de ce sous-programme sont les suivants : resolutions 609 (XXII) et 631 (XXIII; de la Conference des ministres de la CEA; resolutions ci-apres de l'Assemblee generale : 5-13/2 annexe, 39/26 (paragraphes 7 et 9), 40/17 (paragraphes 1 ct 21. 40/31 (paragraphe 13), 40/32 (paragraphe 10), 40/33 ipara"raphes 10 et 13), 40/34 (paragraphes 5 et 9), 40/35 (paragraphe 4), .)1/97 iparagraprles 2 et 41, '11/98 (paragraphes 1 et 2), 41/99, 41/107 (paragraph" 2), 41/149 (paragraphe 9), ·12/64 (paragraphes 2 et 3), 42/55 (paragraphes 1,2 et 31, 42/58 (paragraphes 7, 8 ct 111, 42/59 (paragraphes 2, 4 et 9), 43/93 (paragraphes 8, 10 et 151, 43jq4 Iparagraph"s 1, 2 et 3), 43/98 (paragraphes 3 et 6) et ·1.)/99 i paragraphes G d 8); resolutions ci-dessous du Canseil cconollliqu<, et socinl : 1985/35 (paragraphes 1 et 3), 1986/13 (paragraphe 2), 198G/10, 1980/16 (paragraphes 1, 2 et 3), 1987j,P iparagraphes 2 et 31,1987/51 (paragraphe 2), 198.3/11 (paragraphe 2), 1988/44 (paragraphe G) et 1988/45 (paragraphe 3). bI Ob iec.tifs i) Db jectifs des or ganes intergouvernementaux 115. Promouvoir l'elabol'atjon, l'adoption et i'application de politiqnes, programmes, strategies et services approprit~s pour nne integration ct u ne participation efficaces des jeunes, des handicapes ct des ptTSOnnes agees au processus de developpernent, ce en vue de la prevention du crime et de 1a delinquance juvenile ainsi que de l'administration de 1.'1 justice p6nale. iii Objectifs rill secl'eLario.l 116. Soutenil' les efforts des Etab membl'cs en les aidant dans la conception, l'application et l'evalualiofl de politiques, programmes, strategies et services appropries pour une integration el une participation efficaces des jeunes, des handicapes et des 'per-sonnes a.9.ees a la vie soclale ct economique en vue d'une prevcntion efficace du crime et. de la d6;inquancc juvenile ainsi que de l'administration de la justice penale dans Ie contexte du developpement national global. c) Problemes traites 117. Les projections demographiques indiquent que la proportion des jeunes dans la population des pays africains depasseJ'a de loin d'id a la fin du siecle Ie taux EjECA/AD HOC.MTPj9 Page 39 actuellement estime de 20 %, ce qui rien0te 1a jeuness~ de la population arricaine. II res sort des donnees disponibles que les meSures prises jusqu'ici en matiere de politiques et programmes pour faire face aux besoins, aux aspirations eL aux pl'oblemes des jeunes dans la region sont loin d'ih:re suffisantes. En consequence, Ie chomage, Ie sous-emplo; et l'analphabetisme des jeunes, I'exode rural. la delinquance et 18 criminalite juveniles sont toujours en hausse dans Ja plupart des pays africains. La crise economiqu(:'; et socjale des annees 80 a aggra,"e cette situation et a rendu la jeunesse beaucoup piu~ ,"uln<irable. Aussi convient-il d'appliquer des politiques et programmes opportuns et, equilibres afin de reduil'e au minimum 18 gaspilla~e de l'eSF.ources humain€;s du reservoir largemont inexploite de l'Afrique. 118. On denombrc en Afrique environ 50 millions de cas d'invalidite. Les programme~ inadequats de soins et de p"ervicez de sante pl'imaire, les epidemies, Ia malnutrition, la faim et 1a famine, les catastrophes natUt'elles, les atteintes l'environnement y compris dh-el~ses formes dY:1C',:;iC!. 'nt:::t les conflits arme.s, les guer:::'es civiles et les guerres de liberation Bont Bll 1l0l:ubl'e des causes principales de l'invalidite et de seB sequelles. Des mE'sures efficaces s'lmposent done pour prevenir Ies cas d'invalidite, pour la. reeducation des personnes nandicapees et pour lea faire particlper et les integrer davantage a 10. '.'ie sociale et econorniqne de leur pays. a 1196 Dans la familie africaine traditionnelle, les personnes iigees jouissent du respect et ant une position privilegiee dans la societe. Toutefois, Ie processus de modernisation, ('3racterlse par des fact,E:urs teis que l'urbanisation, l'industrialisation, Ie rythme eleve dE" la migration des campagnes vers le3 yilles, l'evolution des structures sociaif:s et Pavenement de la. famille nucleaire, est en train de modifier progressivement cette position 2xceptionnelle des personnas agees dans la societe* Cependant, la situatlcIl demographiqlle, sociale eL economique de la population en pleine croissance dans les payg africains est pen connUe. Des mesures s'imposent cet egard pour permettre de planifiel' et d'appliquer des politiques et programme;" 1't1'prol'ries. a 120. Les taux croissants de 10. criminalite, tant de type cla.:;sique qUe sous ses formes nouvelles, representent une grave menace au bien-etr0 E·conomique et social des P{3,YS africains. Outre qu 'elle amoindrit 1:1 ql(alite de la ....-ic, la Griminallte gene, voire reduit a neant. certains des acqui2; du deYt~l()ppement. Gherement payes par l'Afrique. De ce f('l,it, deR politiques et programm~~s c)pportuns ct appropries da,ns le domaine de la prevention du crimE' E'L dE, l'adlllinistrati"n de Ia justice penale sont indispensab les. dl "SLrab"gie il POUI' Situation ]a period", a la fin lQ~f:-1997. de 1991 121. II est escompte que d'ici it 1991, les chides, seminaires, servic:es consultatifs et r~unions organjses par 12 secretariat pour traib.H' lE::s questions que constituent la jeuncsse, l'invalidite, Ie vieillissement ains.i que In pl'ever,tion du crime et la justice penale auront donn" une idee de la situation des ,]eunes dans 1,,8 campagnes comme dans If'S villes, de I'etendue de la delinquance ju'enile et de ses E/ECA/AD HOC,MTP/9 Page 40 consequences sociales et economiques, des causes, des types et de l'ampleur des handicaps et de l'invalidite dans les pays africains, de la disponibiHte d'institutions, d'installations et de services pour lei; ha:ldicapes et les personnes age-es, des politiques et mesures existantes au .nh-eau national en matiere de pre\-ention du crime et de justice pena~e ainsi que de l'incidence de la criminalite sur Ie developpement social et economlque des pays africains, Etant donne que ces questions n 'auraient pas t~te suffisamment traitees, les pays africains ant toujours besoin d 'une assistance dans la conc~ption de mesures d'intervention app:ropriees. ii i ?'~riodc 1992-1 ~~j' 122. Afin d'atteindre les objectifs declares dE: ce SOlls-programme, un certain nombre d 'activites seront entreprises clonl les suiv-antes: a) R.ec.hp'l'che orientt~f~ verB l'action PTl -Vll~ de 111 formulation, fie l'applica.tion et de l'evaluatlon de politiques, prO?~r,mmes, strategies et services sociaux efficaccs -2t appropries a~'-ant trait a la jeunesse, a la prevention du crime et a la justice penale. aux invalides et aux personnes agees; b) COllI'S de formation. ateliel's~ seminaires J r6uniolls d 'experts, voyages d'Stude, reunions constituant des in::,;tances pOUt' l\~change d'idees et de donnees d'experience el pour la formulabon d'2 .strategies COD1lr,Unes; c} Appui a l.q cri'ation ~t au renforcement .':lU plan national des organisations, associations, orgaDo:!s et structures de coordinatio:!1 approprie:'3: d) Services consultatifs techniques .'lUX Etats membres aill1 de les aider dans la formulation, Fappl-Lcation ~~t i'c.valuation de politiques, programmes et seryices sociaux approprieg dans le domaiYle de la jeunes;:,e, de ],'l prevention du crime et de la jllstice penale, ainsi qu'a l'intention des handicapes et des personnes agees; ei directeurs: Publication de rapport.s technique:,;, de repertoires et de principcs f) PromotJon d{:~ strategies communes et de la cooperation, sout.ien techniqus aux institutions regionales telles que l'lnstltut africain de reeducation et l'Institut regional africain pour 1a prevention dll crime et 1E: traitement des delinquant~ (UNAFRl) grace a de.s activites operaLionnelles. et cooperation dVec ces institutions; et g) Services de publicite et d'informadon, SOUS-PROGRAMHE 12 a) SYSTEHES D'lNFORHATlON POlm LE DEVELOPPEHENT EN ,-\FHIQUE Textes portant <1utorisation dps trayClUX 123. Les textes portant autorisation des trav3UX dt-~ ce sous-programme sont les resolutions ~i-apres de la "ommission : 53·. lX:\), 581 (XXI), 600 (XXII) et 668 (XXIV), E/ECAI AD HOC.MTP /9 Pag'p. 111 h) 12 L nUffil)riquL's pelL!' 6L\..Jckab;_~ ':.'. C;1."l L . . iJLi ,j~, 11_ni'(Jrnl,~:\.t:011 ;:-)u1' i\":: J.e'l •.::~lc.,pf')(;rrll-'TJ'l aU}i fins d·~chan;.;E"s d'informa;:io::..:--, a-",-f'\...' les Etats jTjt-';,nbJ"~s; f~J.r lj(~l> .Ll >::-l's-~)f!n'_~l de-s Etats memtrc-;:: d~_;n 1-':1 ;:,':' ~bon Lnfoi't:.';lr,i;: E':" co.:; ,jo (dh"'\:'; E:. :;::.Ul' lr-~ ,-1e\-~l')Pl-,ellleHt; 3.H1e1' k:--. jn~-_~~ltl.\tjf)ll.-:: ~;;·,)1L:;:'*·l·~:~S'L:Jll.ii:~~. t:t l'egional,--":,:; :~., :ntrod ..dre et l Uti1.i:::-~E r de.?':::: n-·(~th(:;r~(:~ r:,":-I.!;~ITl'_ 2 6,·,::, lr~;,itp[\lent ~,t d,-· diffll~ic'n_ 1,:, r,:in,"Ol'p.1.1.tion; et m.::·tt~~~-~ <:111 P')U',r. '-.:1 ,;l\'·UU1·a~(-~r raCCt'pt3.ticn Qt': C'~it~'rE'::_: ,,-,t de riOl':n'-;s lA2'Ur l'hal'IT1on saL.!:.)I; ct,_ ki. ,J-:~~< ir\H?'n~,ahotl et. d'-, rLn['o~'rr"di~l(::'l ~:;ur 1c cie"\.c,loPPPIUcnt. le~; EVlts IIIemb~'!-:!~",. ;',ec' crlt'l'{'\j 'J; :::, -, ;;-; l ia ri.£li:a!~eur'-:: r:~_lt':.:. i,'e:;;,porJ.s;'1.bl(--~-~ dali~' les Et.:lts Tll(;E1br-es );;\;1 'Jt,_on: ~:('u~'--reglonal,:.'s (-!l ] ..:~r~ionh}('~"" de oe-ve_lcppement ne i ''.In °wc;:;~_ i' .cil(~ 1'infcrm:li.ic'i dont it::' (;nt. b~"SOlrl [,(JUt' la pl-~~n~h~~-:;!-;,)''''\ dlJ ',~(v-;_'L}'1Y" '::JV"":':: ':',1I1SE' r,o'.-_;:_rn:"'''~'Ji~ .-!(: la P('ll'.J!'it ~~(: p(:rs f )nnel qU(1.1ifL<; ,:i;-;l.~i.I~ I:) :5'-::Sl j'lll (Ie ,I )Ltd ;_Tt'TIlation, des methl)d~'3 Derim(;;'?:[-·, dl::' t;'ait.e!nt'n~ et de 12;). qiJ>?' h:" dis-pose]';t ~~\~" BIn8l ~l.:.ffu2-io~l '_lE" '!'-;r,f()j'~l:: .... /") cl d"" !'~;lb3' r< (L t'rn~(-;'rc-:., ;"L. ~J:' :"1u:.'n::.2S pour l'h.irmonisi:tt_ic·) \_k~ J-- d,)c;Unl":ntdtk'n ,:;t ,.12 J'infor-matinr :;ur 1,--;> .-ievplc:ppenIent. Tout ceci d,:)il {~~,1~"-_: ~'·'->;jta:·.;,· J"'LY: L· cO;1'1 (-x1(;. dl~ 1\~\- <!lll-JOt! ;"lp'dt:' jr' t:-'t LechnologiE.' Of:: 1 rinfor111atiun :lU ~:'\ n-:'Jl:dl:.A.l r[;ve;:-.l.H ,te- ·;.:.n :,__ ~'iL2 ;~~C1CP;,l()!; p.;lX l'Afriquf'. 1; B8aucoup d 'act~\--it::.-',-; de r_~.:-~.rli.\·w~Jti:-;-i. (Iu \l~'\-':"iopp~ment. c-':::;Ltil':ueror,t d er,re ,ian lC<, Lta~,3 ffiC (_C:'-, !'( :~; a!'ri(';al~~; \-;;}:l;;.> C-:)flnr-',?,":- f't i.nf:)rm·ltio~,s suffisant8~;; d[~ns h. plupal't ~e -C_'.: ~;'1, :_i-~,)dc,?, r;::'1:\.- ;'-0.(' ,~t.r~i~~:t-Tj(~(ll dt: "information .:\ Ie::. moy(::ns H-I"-'cani',_!lh:'S de dlt"fus _ bn de !'inf0rmatiO!) Gont.JtluE:'l'onl j"etxe utilises. 12G. lDfC>npeS f"( Cr: "l:_:J.1.A~·''l ~\'--,nn-.- ,l'i' l';,nforna-ci,)Y'. I~"rb'_~f:l seronl, -j{~n2 (T~ j 1 ]'-'_.-: i1': 'i'lL:::. dd.n::: ;1".-: :l1f(jl(H.ie~: :utl'm;lti~~9'e.:-, c;'p ges-jon d(' Ln- '-:"i~r-~:_:l_",-:z- r'Cl'" ~(:' "_,,::,(';!)(nr. de l'';'ni'o1'mation !Jsal?_(~. i,.-.. contl-ixtt: lLlquE::jJf:; U. 11 ;;(. (J~:' ,;,3.- ~>l_J(,.i'.\ti.;~l f~-,jl ,-"-t-_·\" ,-I~l ;_-):-,;~;!\X1VI U( ;_:iL:>.!t;:,("m(~nt dL< Sy"tcrn(" an:1.1rJC3iL 1\ Se!,Y1_LL~~. ::.,-:()n::...; \_tl ta,Lif s (h;vf-_dcpp;~meIl"t, ;::'tl' Il:,'~ b, r(~gjonal\_'s {?'-\l~,:_::'l FClrmatioIi d ~-_.nt: 1('~: (~~ t",:: i. Pt:;I'c:~OT;l1t:'l :::;;'--3t..eme ~;a:t;J.Jricain 1" ir: ,·'::_:'!:fll-3.I.iOl1 sur 1,:: h n,-:,lo1S-iE:: d:-~ r inform3.tion~ \It-S hl'3Lil\1~iuns n{;ltionah~s, ~,ou:.-r(;'gionaies pi t·,.(:~1r.j4.Le~, (Iv, t:r;j>..;en~:n;, ClF'..; :'~0nnep:" ~n_L::L·md.li3eee, ·-~t JeE, mt~t.hod;---,i,).c;j-~:-. ,t_ l'utijis(.::l,tlor, j:l 1'· _ ;~;e(--l.,_t du P.A.DIS; l'hlrm:)r.isatiun de::- ;-}Cl'"!'!'kS E/ECA/ AD HOC.MTP IS 31.1j' It: oeveloppemc·nt oUCIQ-eCOnonnq u.:;o c'n Afr'_'] ue. f-l: ut] Ll.:;;ant urle l'infcr!l~a1.jc\n '-"dW~\l'.)rF~~ nout' un o?" ht:":::c'-.'.'~ ,·rir,f'CiJ"n1e,t I,)!'"l:: '3-·/f.C 1<:'"? nUIlh-.'l'jq ,le3 Lt'ch!101c~i,:, (::e.<nL'i<:; d.~ p~~_-rL:,>r,_~rt::- '-~ ~;-:;.lU,-" ,-,- FuL\LjcutJ~Jn '_:i d· ',,1,)': :1_,-,'!.- r:-1J.:. . Jk -~Ui)I''':;:,; l_~C::::', \.r~ills:J.h_ltl·;c diffu:-io,) .Lt'tus,C'ri l~e_'~lo':~~(l;:': c! "-~.:-\Hl,; -'~'-'m. !":tiO G":; L.J.r~,_;'3 j( ,': donn~'t~'.;; ~t U'<:lIJtr<':"'3. ~}t"c,dui~,G ,k· !"inf(H~8i.;.tion i'-~ST",S _~'i'"-:' c,"1,se,_ d~:· dQnll..{~':s jont lett!": lr: C.~2J'-\'C.lj: "i PAULS; et f" A,,:L'--:.~~c"·s t:r ~(\~)pf-'rLlt .:)~; :'-h?1jq~_U" C',-~ 'p"s j';t.:l+-.S nY~'n';;re':"_ pour 1123 aider i::\ ,~m(:l.i\Jrel' 1'-L ;.:;psticr't j,,~ ~';llf()r~llaUOil ;J .Jr 1·, d~~,- ·.:lo3.:·pemenL a:J.ssi bien J-,our Ie devekpI-J<=;111P!It. l~ t·.)r,,'zJ ~'llH~: pC".: <1e--::: dr)i::·_tlr.·.:':o '·f'-;_GJ'il_:J.il"~:;: 81y~cjfi(tlt'2~ commf" celu.i 11\1 rC/tf:' tiP li:::1 f~·[!,n,8 u:,r~~:. le- .i ·1'·,,'lc;Yi:'.fCf'l(·,n[, sous- P);OGhA'jNE L:I : ] 2.3, Le:::, t..ex1:,eS II',-,rti."l. '~t resolutionr:', 2:3:;;(:.l. ;.~! ~~08!,.\1.;J}, ::.~._: ~\~:.1J ...j·l~~(X\.·.;'i , 63f",(~':_Xlj' i) >;'" ",-' L', 1 ~_, J6/1~ln, ~=/lc:~. ,. J: 0_' tI!~, L·~j. ~I ce w.~ 'I-' \1 ! I .'-.. j '. :-(', '.- 1, " '{. +q ~ ., I .) _J' \.,;" j , .. , ! \ ~" ;~/.L<~, -' • 1 ,~ .(i' Xl' i I I'-~,/ princi·pe<.:: {2·3.cl.:i,)):.; asp(~ct::', : ,:.: ,' 1" • en l1,.tiC'ldi, ::.:r~lj~-r~~<:. ..t0i.J.~J i,;-'~ liH~C;;ipi~->;n!_', tt~isb,tif.-:::" C,l: eCr)h)~,jLJ~;t:s d.evelopp~::;rn\:'nt ·l'l\;e.~l:'. d:':.:n~ ;::):\i~·:~.LF:, " ", '-' ,-, P'':'',illt d'':'.'n'.,-iT(J.!__ lnf'.-lm,~r~~ .;ll.~>:: 3(lnt h:..,~-. 30!-3-:XiII), ::>Ot.;.,~-pl'og~.';~lmme ~t\~ulo_n: ... (: I, J('~'; pb.r::~ ::'(,'C~,11lX ,'-in ~~t matiere les p'_ :.,ur jq,:::orporer les <"'::ic;--~::tli ;1:.::.t.ratii'~...:. <:'(.,.jn,~,.'ll}ques 11otami11t~nt ".~IJ ,,-u.::' d'un ni.:tiono.l lq;','1i.;.l-::; h:' Prl.")mc'l \-0']' '.ttl;·, c::nl'lserv.'3.tir:)ll :::~~.::-: n'-'::;..::>:~n.lJ·I~".::!B l':< 'c:' t1<:' n r: .Lil:fl n.:-lh: '.:ir;,: 1'en \'i L'OnnerDt':nt p()Llr Ul ,IUE (! '.1.il dc!veJDpperrw·nt social n~~.i,t'l'~.:lk:::" la et l;'~O'fl,)n',_' :UC. :i\::t iJ.Ji(;~ .) l:':"H!r';'Ji\ 2vHeu ::t~van; ITt,,! t;J.pre.s !--,l' .. dt -lU L.> ':'.,ct:y:t!..--:>. ,h"' ~l' ·:.,ont.l'c· ia ~jollutiorl, pn particulier mOUYE"mo::-nf' transfrontalier dE'S dpchets dcmgereux c,t des '!'{., pc'r.:e ~'ltie lle'!"~'!(> n t. ~()A= '1 L~~-'"S. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 43 ii) Ob jectifs du zecretnrinl 130. Les objectifs du secretariat consistent i'>. aider les Etats membres it elaborer et renforcer, aux niveaux nationa.l, sOlls-regional et regional, les capacites necessaires POlll' la gestion. revaluation et la conservation de l'environnement. L'accent sera mis sur Ie developpement des moyens insti'tutionnels et en maind'oeuvre, y compris les principes d'action: les mecanlsmes legislatirs et administratifs pour une gestion ratioDnelle de l'el1vironnement et 1a conservation des ressources naturelles, la \utte contre la pollution et la promotion de la prise de conscience en matiere d 'environnement. 131. Les evenements sur-venus au cours des 10 dernieres annees en Afrique secheresse, desertification et recemment deversement de dechets dangereux - ont mis en excrguc 1'importancc de la gcstion -.:]" ~. -'"lvironnement en VUE> d'un developpemetJt ecologiquernent l'ationnel et durable. Les Etals membres ont exprime, pe.. r les diverses resolutions susmentionnees, l'urgente necessite d'une assistance pour Ie developpement des capacites nationaj,es, sous-regionales et regionales en vue d'appliquer des programmes visant it realiser un developpement durable par une geslion saine du point de vU,e dE.' l'cnvironnement. i) .s.ituation it la fin de 19;}1 132. A la fin de 1.991. Ie niveau de l'activite en matiere d 'environnement se sera considerablement eleve par suite de l'assistance fournie aux Etats membres, en collaboration avec les organisme~ des _"lations Unies et d'R.utres organisations internationales operant dans les questions d'environnen-lent en Afrique, en particuliel' dans les domaines ci-apreE : a) Cooperation technique pour developper Ips d"environnement, notamment les moyens en rnain-d:oeuvl'e; moyens en matiere b) Evaluation et 15estion de l!environnement eu egal~d aux inci.dences sur lui du developpement. et de ]'utilisation des ressonrces naturelles, et lutte cont!'e la pollution. 133. Durant la periode 1992-1997, des services consultatifs, des ateliers, des seminaires et, si possible, des bourses et des vo:;.'ages d;etude £E~ront arranges a l'intcntion des responsables el des decideurs afin de les aider a mettrf: au point et/oH renforcer les capacites de 'leur pa.;v--s da-nR Ie domaine d~ la gestion, de l'evaluation et de 1a conservation de l'r'n\~ironnement, en vue d'un developpemenL durable. Des publications et des rapports d'actiyite seront elabore~ afin de promouvoir une prise de cOllscienc,e dec~ questions d'environnernent. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 44 134. En outre, des etudes seront effectuees et d'autres etudes sur Ie terrain seront menees dans Ie domalne de la gestion et de la conservation des ressources natureiles ainsi que de la Iutte c~ntre la pollution. Ces activites viseront a etablir des principes directeurs en vue de I'elaboration d'etudes sur les incidences des activites de developpem'?-nt SllJ.' l'errv·h~onnement. SODS-PROGRAMME 14 : ETABLISSEMENTS HU!'L.',Il-i3 EN .WRIQUE a) J'extes portant autorisation des travaux 135. Les textes portant a utorisation des travaux de ce sous-programme sont les resolutions 32/162 et 42/191 de l'Assemblee generale, les resolutions 316 (XlIII et 408 (XYII de la Commission ainsi que la J·esolulion ,sur les etablissements humains adoptee par Ia quatrieme reunion du Comite regional i:r.1tergouvernemental mixte des etablissements humains et de l'environnement et ies recommandations de la cinquieme reunion du meme Comite. i) 136. .Qb jectifs des organes intergouvernementaux Les objectifs de ce sOlls-programme au niveau intel'gouvernemental sont : a) Promouvoir Ie developpement d'une ba.se de donnees sur les questions de developpement des etablissements humains; b) PromouYoir ]a transformation rurale et amelioi'e!" la qualite de la vie et Ie cadre de vie des poplliations; c) membres; Renforcer et developper des programmes de formation dans les Etats dI Formuier des politiques, des programmes et des projets pour corriger les disparites existant entre les .zones urbaines ct les zones rurales et accelerer l'integration de l'economie rurale dans Ie proceSSllR national de developpement economique; e) Preparer et executer des projets de logement en vue d'accelerer la mise en oeuvre de la Strategie mondiale dll loge-ment jusqu'a 1'an 2000; f) Promouvoir Ie developpement et 1a gestion efficace du sectf~ur de 1a construction au niveau national, notamment 1.:1. production de materiaux de construction locaux dans un enYll'onnement administratif et financier propice snsceptible d'attir'?r des capitaux dans ce secteur; g) Mobiliser des ressources pour l'eXecLtiAu.1l de programmes et de pro jets sur les etablissements humains et pour la planification et la conceptlOn de I'infrastructure en Afrique. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 45 137. Aider les Etnts membres ninsi que des organisations et des institutions a formuler et a mettre en oeuvre des politiques, des programmes et des projets coherents au niveall regi.onal afin 1.1 'assurer: al enclaves b) La decentralisation des activites econGmiques et la restructuration des rurales~ L'affectation de ressources plus importantes au secteur rural pour la fourniture d'installations et de services en rapport avec 1" role de soutien que Ie milieu rural devrait jauer dans ]'economie naticnale; c) L'integration Of'- ]'er:onomie rUT ale dans Ie processus de developpement global qui mettra en lumiere la fonction de zones l'urales specifiques dans Ie plan de developpement global et done l'emplacement et Ie type d·infrastructures et de service-s a foui~nir ainsi que lcs rcssources a affecter tt ]'arriere-pays rural; d1 La creatopm et/ou Ie renforcement du secteur de la construction local, dont In. mise au point de Illl:tt~riaux de construction locaux dans un cadre administratif et financier decentralise susceptible d'intensifier la participation du secteur prive et de la pOPlllation locale a la fourniture d'infrastructures et de services; e) La promotion d 'un environnement propice en conformite avec la Strategie mondiale dll logement Jusqll'a ran 2000; f) L\~chf1.ngp syst€m<1ti.qll{~ d'lnformations et de donnees d'experience entre les Etats mem bres dans Ie domaine elu domaine du developpement des etablissement3 humains. 138. En outre, Ie secretariat aidera les Ctats membres a mobihser les ressources pour I'execution de programmes et de projets en matiere d'etablissements humains ainsi que pour la coordination du deve]oppemenL de leurs programmes de formation dans Ie domaine de I'amenagement dll territoire et de la gestion et des techniques de construction. c1 Pl'oblemes traites 139. En raison de la situation economique defavorable et du manque d'amenageurs et de personnel qualifies, la situation actuelle des etablissements humains dans les pays africains ne devrait pas beaucoup evoluer d'ici Ie debut de la periode du plan. 140. La penurie d'infrastructures et de services en milieu rural et la concentration du processus de prise de decis]OnR dans les capitales ant provoque un exode rural massif. La faiblesse d2 la dc-nsite demographique et la dispersion du mode d'habitat dans les zones l'lJrales d'Afrique qui en ont resulte sont en grande partie responsables df> la baiss(> de la productivite. L'economie rurale a ain~i ete isoh~e du processus global du developpement national. Simultnncment, les villes et les principales agglomerations ont connu un surpeuplement et des E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 46 conditions de vie tamentab12~.. Lf' ch6rr,agf') ie ~,'.ou:;.--emplol, et. la penurie de ressources ont empeche If's autorites municipales de s'occuper de la fourniture de l'infrastructu.re et des services. La conjonction des manx u:cbains ct des privations rurales affeeLe toutes les couches sociales de la plupart des pays africains et reduit a neant tOllS les efforts de develQPpement. Le manque de pel'sonnel qualifie dans le domaine de l'amenagement du et des ser,·~ic-es de vulgarisation pour la mise en oeuvre des activites prevues constitue une contrainte majeure au processus de developpement en Afrique. 141. territoir~ dI Stra.tede iI POll l' 1a periode 1992~ 1997 Situation it la fin de 1991 142. Taus les pays africaine ont certes elabor? des programmes relatifs aux etablissements humains, mais ils ont cependant neglige J'amenagement integre du territoire. La complementarite entre les secteurs rural et urbain n 'a pas ete mise en relief. L'economie urbaine est pre~que entierement dependante des biens manufactures et des. services ainsi que de competence::; et de facteurs de production importes pour les biens de consommation produits sur place. La dependance it l'egard d'entreprises de construd;cm et d'expcrts etrangers a rendu plus difficiJe l'action de transformation rurale et de renouveau urbain. 143, L'ecr'lsante mHjot'ite de la population vile et continuera de vivre en milieu rural au ]es matieres premieres et les potentialit~s agricoles res tent encore incxploitees. La population rurale est en marge du processus general de developpempnt prIis.0,'t 1 f2 1.'1 JxS.'1.urir: '.i'infraslructures et de services la prive de marches pour ecoulel' sa production et satisfaire ses besoins les plus urgents. L'enclavement de l'economie qui en resulte est en grande pal'tie responsable de la mediocrit.e des eesultats economiq ues de la majl1l'ite des pays africains. 144, La Strategie mondiale du logement jusqu'a l'an 2000 aura aide les Etats membres a. formuler des strategies, des programmes et des projets en matiere de logernent jusqu 'a Fan 2000. 145. Cependant, l'insuffisance de services et d'institutions de formation pour l'amenagement du territoirp pt Ie secteu]" de la construcLion est un obstacle majeur it la capacite des Etats membres ii amenager leurs territoires de fa«on coherente et it executer des projets de transformation rurale et de renouveau urbain de fa«on efficace. Le manque cl" personnel qualifle constiluera egalement un obstacle majeur la mise en oeuvre de la Strategie mandiale du logenwnt jusqu'it l'an 2000. a ji) 146. Periodc 1992~ 1997 Les activites seront essentiellement axees sur: a) L'organisation d'ateliersj la fOU1~niture, SUI' demande, de services consultatifs, 1a preparation d'etudes, de rapports et de pu·blications techniques en vue d'aider les Etats membres it formuler et a ex"cuter des politiques, des prngramrnes et dc-s pr~!j~"r"s 3Ut' 1:'::::(n,:'nag'0uH'nt ,~;_~ ;'!'~~ltoil'':-: l E/E~"/ AD HO(: .~!TP /9 ... Iuge 47 r,l'.-t:.'1.U P.iJJVllictG.J, :l":'j qui dt-?,,-t"cIDln,-'c,'j, f-ei1;p':"2i, .. \:.-;~n·-!Jl "~(;'t. liifl'''iSi..rqcLu,''<~~ ~r dct:". se;:",:!,~'~j L:-, ~·\:;);.l.Ttitj_)n judicieu;,.J,? de<, ac;jy .:--t dt's p0~'_ll<'tt.L.JL:: <-tinFd 4',/:1,: ':c,n! .-::.1!,11rll, b:'atif t·1. {inane if~t· !:n "F~~f:' d 'unc- 1 "J Lt-·rts: fi, !=;'U~)_ 1 :J\lne dE~c0ntral1;:;ation de~: prir.:,::ipaies \-jU~,~\. L:~ 'J<::~ :-e-__ ~(.';l::!<;.·t.:_,::tv;n. \'l ~. \}l':.il€ <:,cct'-:~t;:;T:at ~UG.l~-'·era ,':'8 ·::t It-ats memL 1'0~: uan activjte:~~ in\ --·3ix:'>3c~:·!e':_t rr-,1:~--; :'p:,S/.:JC)) .I,::> techniques) rl\?tu ic--:~ :lE <:~ 'l;;;"i(t;; 'i~:;;. d';.;.leiJer., ;'.. l'lntt:;n'jon Q<,- foncti0'lna!1'es: d'c~nt,l'( p1:r~l!"::'L', ',; " ~..l (.1 "::) \'C ,,:;;)r ",1' 1~:1r:, '.lit :rti<-'C'~au inEtit.'-.itiQnE: fillancikrt-<~; ctinr-j '~IUC p 't1.L' h_ ;t)u:""iL. jocal q'u'in:"f'l"nbtlcna! J>.)ljj k: pt'::..mH)ti.::;.r·, ,.,rUL :;('Cf....(;',ll no.Licr :~: 'k i.:.. 'w,':;f;2-tl'U,~t:c;-J.. notannnent 18.. producti<)~-I h: _::)j' ("Jr:<:.t.r c!~' 'F'Ul enVll'or,nement favorab e t=r;\ ,1. ('l, Hn "1::ln~ L pal'ticipi:ttion des c011ecbvit{s i<,)cJ..l·.---:;".; ;j L"~D,-',~St...U,CC ,"\tl2\ d\rtstltutj'Jl1S J~; E-Jal:~ i\itrLl'Jl',:,';... fOn'.naU0li jars £,pp-cia1ts"~s, centres d compc-tence pc ll' La forma!:ion ri'"tmE ni:;~~::"U1"S l'exet.ution des .'lctivi,tes p10';,ues: '::\', L ;)l'c-rJ',)[;1t)tl d::>~n' cr-,:.J.::":'.l'-1- d" J_:-: ci L donn VI'';!:'; Jf:llh ie -J01)1<:t!t'e deB etab'ji'::;:;eDi':.."11L; h'I1~')-tln:_; J;:ins i~ de dannee;2. re:;;:~0naJe (lui fou~'nll'-'l a.t;'~ t::taL~ '_H~ d'cxpf>denc<: F::t des inJOrTrt,lLicl"[18 I'L'(~Clt::I.l~-;·":">'::_•• f:10:,Y'-;J-: (;,.;~.: t ~':.:t'~ lLll 147. . ,\ \ p;: ,'," 0'<"""" resoiutiOTlf' --t~;L ,:1,\; i"':'1' , .." _ ',:,- ;; ~ : ;, "1 5; et 3B:i I~": \~I..~; par'-;l_s ~~rt.plj\_ \. tm " 1< ,," j, ,,:, 1;:<;' .i , L HI , , CommissioIl; l(:s r(- .:;(.l'----, '-..io' ~ 5 ;-:;-. --: ; , ,':,Xtn :~d' j 0-f, ,, , I l'j , generalt:. , u' _.-j,ri-:...--.aL:()! ,?our ~_,u-t ,J":'tabtil' nnc); ba.se :1.'''~_:h3.n~(,--:!' "j; it:' ,1c'Plnine tie ,::-J"I'l r,::::':;;eau c.:..r.:',f', ~.).:-; ~ . c', e d,.-:.'>; :1 )nnc"':;s f - '1, parag'raphe _t ;~ 'L' ~'l de la -1.-· J ~_--\ss'_~mb h~e f' ) :) l':"}H, f-l'crnCl!~\'0,ll' un dv \'I;-lo~') u'._::tH_'n.t lntlH,,: t 1'-~~,l -j~X::,(I'-., '--' f..~-13anL et. ::luto-enr.retenu aUK niveaux nation'~Ll, ~.;,()u;,::-n·:lK'n..;,:<: pc. let;;.,] ;:r:...:-~,_" a :1 C0u~.pr3d0n ;ndust:rtelle; arr'clicI'er 1"2 r{\'2.111~':'dU; du .;;("('1- 1,1;" ~0(~tU',,;_-· ..... : ,_-_'_~i :h-\ ",L ,~()lk:' ~L -ci.c:' <ie· I;f'.:"t,;"ur de Ll ct'Gi;;~;,'J.n·";t; ;';,,, c--nll.'alT:er- 1.-.. . t;,~:·~nsfor!.l.3..t;Gr:.. ~1:t'1.:_c~_\_a'pjl..F' j,--;~-;; .,\f ;"icdjnes; J('S ''::i::•..l,'nc.it(:;s t,()ut j""i_L.. [,f)l.'l:'hJil d( Fuht'qu_;:'S, s cL ute' plans fC ':1.1(: d,~' j'j:..lc:·,dficat..i::h! dr' 1:.:- pr-??J .. ·-:~tj()n c',';" ;j(; p:'( E/ECA/AD HOC.MTP(9 Page 48 industriels 113.tion,":UlX c:t l,H1~~']r;ftt~')!1,:'U~ petE' -. . 1 ;'_"_<f!:uj,J.Clun (/t l\.:rGan-:sation de programmes de formdbon eD m3tic'l'f, ~(: :~'~·-)(it:·_'tic:n, ,jt-' gestion et de commercialisatiGn; ~-:t,d.)lir de;..:; r!jJ~'_ ~uli[-m'2:s ·n~::.'~iT,'l_j\»lr,;'-:L~ ::~!)'):'op~_'t::~ '-"(; \~ue de promouv"oir l~i r~·~habr'--lt:-1UC:~, ;~t L~, J"a_U().i1:-1:~ .. ;'~':i .;; ,:;.-::-~ -.. l-··'.ll"_:-::-·:;:: (_~\iE;tant.0s et 13. creation d 'j nd u ,:Jxies de ba~'~ 'I d' ;i~;rd-i.:, J. I1S tri?'s ,--< 1:2 'lI'..:j L:;~~t des CUl ,:,sii~; J"es uV-ec des liens soli des f.'ntrf:; SOll;:.!-3CCtCU;~~-:i il)d;lst~~i,;-Js ,---: _7.1C E-:- i_\:1duc:triE: E-::~ l~"-(:; autres secteul'S a.u~~ ll.t"",,-·,::~u.:-,: nat.icnal1 ~()U~- ~'(,:~:i'::\L.: ,'-P'SluruJ; et promouvoir la cooperati0n -i.nd1.Jstl';E'._lle I,:, ·:isveluJ_Jpenlcnt te::~linol()~iqUto) la maintenanCt? r~t 13. maind'oeu-vre techniqlF: f-'~~ irl'~I1;~'~l ;-211\-:"!, l 149. Aider lea ~'·.Ju v(:,rnt_'n~',::'rtf !::t 1<.:_':':; organjsalionr: ilp. .ergouvernemf.:!"tales a de,:elopper ~t ,3. prolI;o'U'.'-oir l~f, ea}J:J.ci~\..\s dE' ±crm1l1-;l~jGr: dE' [!olitirJuf';" d'~ plans et de stratcgiE-::'J iudustrieis ':'l,~\_t:::~ Sl~!,' la rf:haJ'dlita::iol"! indust::.'iellf-;, ]jam~lIoration de la productiyitt; in,ju.31:ri.::::,'lL· f:l ls' l'aj-.lc·naIi:::.[:,jjun c..:.: Ja, ·;t.~~lJ.ctlj_l'E' iTldt:;;:,tl'io::lle existante; promol.l\;--oi:::- d"'-:'$ progj:"qmm,_'~ c-L :J'~;':' f,)j'ojet:.' lndt_L:.:L·j~-_·!.-;;;, \ i::;ant ;~.t ~_~~e'~L' dE;~, il-ldustries mecaniqu{'s de base 0..11.\ Li\-:-:;t{.l_t~·~ f1at.lona~ ,-,u rl~ullin.:-__ l.lO:-l':'.:; prOTW)UV(J;l' d(~s (',;J.pacites techno]o~;i'_~Uo:-:8 (~t d·~ ~'?stiO[\ 'J\-:,n1re:t:ll·I.::-C;-; ~~p~~I:::-!r:-,.ll;-:rn'~nt l."!-..)ur l~l P'~tjLi? in_dustl'ic; aider 12. '='l't;_~lt..-i·-:)n eL au 1·~:~llrcr·.·E,rr:errJ, d~inf;tit.'.1ticl'i·> :'::'~)llS-l'~g~:)·:,,_~~,-::;,.• -:t :_'e,q:iunall2s pour h:: c.e--.;. -eioPl:lement 1p.'l ut,·,tr.lt:· 1. dCln~;. ief:; do Li,---dnC':· r.l'----' I_'J Lcchnoio.>.:de. de 18. normaljc;at:i.on, ,]\'>. 18. pr0dlA~"i<;r' >~~~.. ~'~" :;,-":"_1,-\ L (·-,o:...l"--t,~-,-, ~-j c(;nr~:;:ibu":.ic\!1 du secretariat au. -le\relnppemeLL ;:"dl}~tt'lo:'l (~n ,~.fl-l(~-n:· (1:J9F~JSJ~)G~. a 150. Les politiqUf~::' I~~~ le;~ stratE~.e:~CS i-~'du'.:;tri\~l:e~ :;,at.iGn,:,le~.::-, E~)u.s'-l'egionales et regionales el~1boree::; 21 l-:'l. '~~ilJ2 ':1::",'3 }lV_1pp.:,nd:i,~1~_~es C'!lt pnJ?endre la creation d 'ind ustri,?s h f()l't(~ inte n..:; il\.~ d 'impo r-lc.t10ns ,:?" tc c ~lrl(Jj(.'s·i q UCTI1e Lt de l)en dantr:::-s d2.ns ]a plupal't des PdYE afn('.:~ __ ~n:;::. CF-' ~'Ju:::., },'1 r1:<._ .' >:..es ind·.t'~~ric--,- n'etaient pas con~UeS pour '-::-..H.iE;td.iP':" .''':'::~ :::(>~<,,_ ;,,_n::j ci"u.[l~ lJ<:ll t. i.,111Yvn.:.arl'.e {-:u marcne uJterie!Jr. En conseguenc~:', IJ.Orl 2.f> u:e lr;~~nt h-·::. ; 1"J(~1~ str l(;:':' J-._' ~:;lS;' teHe::o ·~uc J..::'::-; inti ustl'ics chimique::::.., me;~;':::-tni·_F..J.f~~~ f't. P".~t.:JjJlt'?'inl.~E'<~ :1 \v:~l ~--\";.. ' rel:n -;':'c)ute ~':l.,tten-~i·:1I1 l'equi'3e dans la I::.1upart de3 ;;::1:'0' :-; E-l.fr1C3ins, Tnais la_ dl~pe~dD. f';c\:.~ 2xce::.s.l·'Ie a l'pg8.rd des facteurs de p~'::::duct~on ;.mpC:l'tt-··~ COIU~:Jll-(':P a ~:~~:·.-)i\.\ -".-:.- de _!,--,- J;:ma.r;(~e effecsive ant transforme de rV)1:lbr21.tBer;;, jilJust~~i(':- e;l 0r,t-l'!.:'·'J"isf-:'8 non reTlt.::ll.,lcs.. AtHSi, on assistait a un,:,; imp()rlallV~ "':'oLls-uLiL.satlon ~~: 1.:.1. ·.:::ap.~cit.f· lnst3.1l.;,~·: ':')~l 31::-;, fermetul'c de nombreusE';'-'S lndustries. Er,: olltn:::'1 b petiU.: i_lJ.duet-;"ie CllL :l~:_--:·~c. ~>,:-;,~'_.E..-,:,\ '::1;'ee>r des emplois et contl'ihl.lr:r ;,:;c-ll::1_bJ.c:~~:t'~ a:~ d:~-.ce:ci_'1>-:;1~_T'~ ~t :~. ~concn~ics a.fricaines n'etait pas enco]'!;:: bic:r~ J~~v-.;lurl)-.~f. 11,\: ::t Cl.t.L;:::-::i q'~:0 lc' sect(.::U1' indu~triel ~ia pas rellssi 8. eV:lbLir un lie!~ d~ ~l<-lm:qUt:· ':'l.VC<..: Ie SF:c.t·'t.;.~: ~,":;'rl:':c..j,,,. 151. Les reunions 30u,,-::;~-rCl?;L,.JILJ.\~, J,-- SUL\ -; ~;;lii' Lt, ll~:'~Juiotk:i.l QC Is. .::ooperation industrielle intl:a-a.frlc.:line d~~_ll':_, ~';", L·~dl·t:.' oj, I i :i.·<\"-'~':i; ",i:;' (It.i d~~v~lopper.-1ent industriel de L':\.friqut: J J ~~~IRO- _: n~_u a ~;()l~ ~~lt'OCt :1 I ·;;v::tU<.l~iSaLi\..;rJ, (~,es pr0jets deja identifies ou [t l'ldent.:.flcatioll de nouvei;'i.UX projl:'"t.E lL.l.llS la C::Ll.egorip de~, industries E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 49 de base. En le faisant, on tiendra pleinement compte des experiences et des contraintes passees pour que les pro jets concernes soient biens de finis ainsi que certains aspects tels que les marches, les facteurs de production, la technologie et les besoins en main-d'oeuvre. On espere aussi que Ie role de l'industrie dans la transformation structurelle des economies africaines sera mieux reconnu et entierement pris en consideration Jans les programmes et les plans nationaux et sous-regionaux. 152. Le developpement de la petite industrie, de l'industrie artisanale et des industries rurales se voit de plus en plus accorder la priorite par les gouvernements africains. Aim;i, a. la fin ue 1991, il y aura une plus grande prise de conscience du role que 1" petite industrie sera appelee it jouer dans l'etablissement d'une base industrielle Bolide et auto-ent.retenue caracterisee par l'existence de relations au sein du secteur industricl et entre l'industrie et les autres secteurs. Cependant, Ie developpement de la petite industrie sera confronte en 1991, it des problemes tels que l'absence de capacites en matiere de gestion d'entreprises, les difficultes d'acces aux facteurs de production essentiels et aux financements, la faiblesse de l'appui institutionnel el l'insuffisance de l'infrastructure malerielle. Le sops-secteur continuera., dans unp. certaine meSUl'e, de fonctionner sans entretenir de relations avec Ie secteur industriel et les autres secteurs de l'economie. 153. S'agissant des agro-industries et des industries fOl'estieres, les services consultatifs fournis aux gouverneIllents et les changements de politiques introduits par ces memes gouvernements confornH~ment au ProgrammE: d'action des Nations Unies pour Ie redressement economique et Ie developpeIllent de l'Afrique pourraient 5e traduire it la fin de 1991 par la rehabilitation de la plupart des industries alimentaires existantes et l'identification de nouveaux projets. A cet egard, on espere qUe de nombreux pays se seront enga):5'es dans des politiques de securite alimentaire dans lesquelles les industries alimentaires joueraient un role capital. ii) Periode 1992-1997 154. Des etudes et des publications techniques sur les problemes que connaissent les industries africaines seront preparees et des services consultatifs seront fournis aus. Etats membres en vue de develop per ct de promouvoir les c<.!pacites pour la formulation de politiques et de strategies industrielles axees sur la restructuration et la rehabilitation du secteur industriel aux niveaux national, sousregional et regional. Des atE:liers et des seminaires a. l'intention de fonctionnaires et d 'entrepreneurs seront organises en vue de prornouYoil' la petite industrie et de veillel' a ce que celle-ci soit integree dans 1e processus de devE:loppement pour satisfaire les besoins essentiels et etllblir des relations interinJustl'ielles verticales. Des programmes de formation seront egalement prepares et appliques afin d'ameliorer et de renforcer les ca.pacites en matierE- de planification et de programmation industrielle; d'identification, de planification, d'exarnen, de mise en oeuvre, de suivi et d'evaluation de projets 1 de rehabilitation des industries existantes et d'accroissernent de la cap~cit.?- d'utilisation dans Ie cadre des groupements economiques 6ous-regionaux; et les activites de conception et de fabrication techniques seront organiseRS en collaboration a\'ec l'InstituL africain de developpement economique et de planification iIDEP), Ie Centre regional africain de E/ECAI AD HOC. MTP 19 Page 50 conception et de fabrication techniques, Ie Centre regional africain de technologie (CRAT) et rOrganisation r6>;ionale africaine de normalisation IORAK). 155. Des etudes seront prepar"es dans des domaines tels que I" developpement de competences techniques et en matiere de gestion, l'apyrovisionnement en matieres premieres, Ie choix des gammes de production, la commercialisation et la distribution en vue de proposer de::;. mesures approprh~es pour la promotion de la petite industrie 11992-1997). Ces "tudes indiqueront egalement Ie type de relations dcvant etre eLablies entre la petite industrie et les autrcs industries et la maniere dont eHes peuv~nt etre integ'reps dans les economies nationales. Des etudes porteront egalement sur les rnoyens les plus efficaces de fournir des infraslructures materiellC'f; a la petite el ;\ la moyenne industl'ie dans les domaines de l'eau, de l'electricite, de la construction (pal' exemple les zones industrielles) ct des routes. Des repertoire:? de prafils de projeLs fandes aussi bien sur des activit~s pratiques que sur des ~,tudef! theoriques seront prepares sur une base sous-r.egionale, COUvTant l'information technC-0conomique, y compris les produits fabriqupr, la descri.pt:ion des procedes de fabric-aLion, la capacite et les caracteristiques techniques des installations ct des rnachines,les matieres premieres et leG autres fat:leurs de production. Les seminail'es, ateliers et voyages d'etude, y compris la formation en caul'S d'emp]oi seront utilises de fa<;.un inLensive pour ameliorer les capacites des p~tits ~ntreprencurs. a 156, Dans Ie domaine des i.ndust.rif~s de base, les activites porteront sur la fourniture de se!''' ices consultatlfs "t de l'assistance technique dans la pr~paration 1 l'evaluation et la promotion de pro jets jdentifie.s dans les industries de base et les industries connexes. Tout en accordant la prll)rite allX acth-ites relati\-es la rehabilitation et a la ration<:'.1isation des indu~tries de base existantes durant la period€: 1992-1997, on s'attachera egalement, pendccnt cette periode, it promouvoir de nouveaux projets qui devrc1l1t 0tr'?; C'hai~is dans les programmes integres sousregionaux revises. a 157. LeG activites susmentjonnees scront complelees par des reunions de consultation el de negociation au niveflll des organisations gOllYE'rnementales et intergouverncmentaJes en vue d 'al'rh.Tcr ,9. de!; decisions S11r la mise en oeUVI'e des projets en termes de marches, de ressources n,~-lturelles, d'f:~tlldes de prcfaisabilite et de faisabilite ainsi que des reunions sur les inv·estis8ements avec les partenaires et bailleurs de fonds potentip]s. L'objectif princ:ipal est de permettre aux pa~'s concernes et ,3, leurs partenaires de s'entendre pour rehabiliter en commun une industrie existante ou lancer un nouyeau projeL D'a.utres activites porteront. sur l'organisatiun d 'ateliers et ·de voyages d'etudB et sur la formation ~n entreprise. 158. Les principales aGtivites dan" 1" domaine des agro-indLlsLries et des industries foresti<eres comprendronL : !a preparation d'E'tud8s techniques et la fourniture dA services consuliatifs lechniques aux gouvernements sur la rehabilitation et.ta revalorisation de certai.nes des ageo-industries et des industries forestieres identifiees (1992-199;]); Pidentiflca.tIol1, la pI~eparation, l'examen et la promotion de projets visant a developpc--r leE industJ.. ics de cOllservation et de transformation des prod uits alimentaires i 1992-1997 ); j 'org'a.nisation de stages de formation, df' seminaires ct de '~oYRg:es d'Btude sur la. .'5'cslion des agro-industries et des industries forestieres, un accent particuliE"l' ctant mis sur la conservation, E/ECA/ AD HOC.l>ITP /9 Page 51 la transformation et Ie stock,,;;,"' dE:c pr0duit3 alimentaires (1992-1997); et l'organisation de consultations entre gouvel'nements africains et d" reUniOnS de promotion entre le5 gOllvernements afl'ic",ins et le3 bailleurs de fonds potentiels 11992-19971. SOUS-PHOGRA:vI~1E a) 16 DEVELOPPEMENT CONNERCIALE DU COMMERCE ET COOPERATION Textes podant autorisatiQU ..,1",.£; travaux 159. Les textes portant Clutol'isation dC's trayaux du present sous-programme sont: la resolution 35/64 de l'A"semb!t~e generale sur Ie document A/S-11/14, I'annexe de S-13/Z, la resolutkm 127 IV) de Ill. CNDCED et les resolutions 54 (XX) et 568 iXXI) de la Commission. b) Objedifs ., L yb jectifs des organes intergouvernementaux 160. Promouvoir les perspectiveB de denlloppement social et economique en Afrique grace a l'adoption de mesures, politiques et strategies appropriees pour Ie developpement des echanges interieurs et intra-afrilOains; developper ou renforcer les institutions pour Ill. cooperation eommerciale sous-regionale en les rendant plus operationnelles et plus sensibles am; besoins de l'Afrique en matiere de commerce; et formuler une position commune en vue des negociations dans toutes les conferences internationales sur 1e commerce* , , 11. 161. Entrepl'endre, sur nne base l'eglllii~re, des examens et analyses des situations, politiques et problemes commerciaux des pays africains aux niveaux national, intra-africain et international en vue de proposer des strategies appropriees; fournir J'appui teehnique, les services consulta.tifs et la direction intellectuelle necessaires aux Etats membres dans la mise en oeuvre de leurs programmes pour Ie developpement des echanges, la promotion des echanges et la cooperation commerciale au cours des conferences et negociations internationales. cJ ProbIEm,e.;; traites 162. Le faible niveau des echanges nationaux est dii it l'application de politiques peu appropriees en matiere de distribution et de commercialisation; politiq ues en vertu desquelles existent paralliHement, dans une me me economie. une sousconsommation de biens et de denrees alimentaires et d.es excedents; Ie rang de priorite peu ,,'leye accorde aux zones rurales dans les sen-ices et informations commerciaux ainsi que dans Ie domaine du financement et du credit; Ie role et l'importanee, en dec]in, des echanges intra.-africains dans Ie processus de developpement et l'absence de gains significatifs visibles decoulant de l'existence des institutions et mecanismes de cooperation commerciale intra~africaine, auxquels s'ajoutent des problemes relatifs aux techniques de commercialisation; Ie maintien de barrieres tarifaires et non tarifaires prohibitives aux echanges intra-africains, E/SCA/AD HOC.MTP/9 Page 52 meme dans ks cas ou de~ ~,l''1jtps d0 coop0r-;;ttion preconisent de ma.nieTe explicite la liberalisation des echanges au sein des zones d'echanges preferentiels; Ie probleme de l'amelioration d\.l secteur exterieur africain face a. la predominance continue des exportations dp matie-res premieres duns les echanges extcrieurs africains et la. manh~re de diversifier ces echanges gra.ce a l'accrolssemenL des exportations de produits manufactures, finis et semi-finis; et comment promouvoir les echanges entre les pays africains et autres pays en developpement conformement aux strab~gie!:> visant a assurer la djversification des echanges et la substitution aUK irnpoetatiohS. L'absence d!~ statistiques et d'informations ac;tuaHs';es et fiables sur les <'changes r.insi gu," l'existence de strategies de commercialisation et de techniques d'exportation peu appropriees conRtituent egalement un probleme i: traiter en priorit6. d) Strategie pour \a periode 1992-1997 iI Situatian it la fin de 1891 163. En raison de la rigidite des gtructures africaincs de production et des echanges, b situation commerciale f' la fin de 1991 sera toujours decevante. Les echanges nationaux n'Eluront enregistre qu'une leg-ere amelioration dans la mesure ou les priori"es continueront d'etl''' accordecs aux echanges exterieurs. Cette situation sera aggravee par Ie faible pouyoir d 'achat des populations rurales, en particulier dans les secteurs non structures et vivriel's. Au niveau continental, certes, des institutions de cooperation commerciale intra-africaine auront cite creees dans toutes lea sous-reg'ions, y compris ]a sous-r(~gion de l' Afrique du Nord, mais l'absence d'un engagement reel et de ressources entravera Ie fonctionnement de ces institutions. En consequence, la part des echanges intra-africains dans les echanges 00 l'Afr:'lue :--·.I~ 3it~1'.:'~·.·-'1 tcuJcurs, 1211 mCY'~:l1ne, cn-der;a de 5 %; toutefois, dans des cas individuels, tels qtle la Zone d'echanges prefel'entiels des Etats de I'Afrique de l'Est et de l'Afrique austral" IZEP), \a Far-t des "changes au sein de l'organisation aura augment" beaucoup plus vite que la part de 5es echanges avec Ie reste de l'Afrique. Les exportations de produits de base continueront d'occuper \a premiere place dans les efforts d'exportation des pays africains en 1991 et la nouvelle Convention CEE-ACP aura tres peu sel'vi a reorienter la structure de la production Vel'S la diversification. Le nouveau march" unique europeen qui sera realise en 1992, r~duira In possibilite pour les produits africains de penetrer en Europe ou de maintenir la part actuelle du continent dans les echanges, par suite de la concurrence plus feroce provenant des autres regions en developpement, en particulier des pa~-s nouvellement industrialises. 164. Lcs exceptions comporteront quelques pays (Zimbabwe, Kenya, Cameroun, Nigeria, Cote d'Ivoire, Egypte, Tuniste, Algerie et Maroc) qui ont la capacite et les rnoyens d'assurer une dnrerFiifieation rc~elle des echanges. Le tableau que presentent les pays africains les moins a.vances dans Ie domaine du commerce sera encore plus sombre du fait des problemes epineux tels que les difficultcs en matiere de ressources pour le financement de la production et des echanges. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 53 165~ La strategie pOl:r le. a p1~:~io;:!e 1992-1937 ~:':?cn cO:-~bicit'i'~-'.t-l.~m<:,n[ diff(rente dt;: celles des plan:'=; moy,:-:r. t,'"!'iIl'_" 1--'.::~c -1\~!itS d~,r",l~ iUoins: deu:z m:t!llt:'res~ En premier lieu, la periode de creation d'instituticr:.f> pc)ur la. I>1'OL."1otion et ltl cooperation commerciales aura pris riP eJ de nouveaux eff,:)1'~,:· ~:P:f':)."'.\...jl.~ylo;.--es: f'n \'ue de les renforcer et de les rend,.e o"';r"tj0nneU",,, L'52cr;·:l Heu, ie, l'cliliques visant it restructurer Ie secteul' exterieur grftce St la fabri":.c.ti')r; ct ~ lti n.'anSfOl'fnation des produiLs de base d€:~'I"'Jnt et1'0 \. i..;oureu~ement -,-tlypllqut', ~_:. il est egalement peu probable que lcs prh: de rlombreux proQuits de -:::"d!'~ P:J.1SS011t augmenter et atteindre un niveau adequat pOUl' eta"yet" Ie d,,~\ f:i:)pr';'~I!.::n.:A P,::tT G'::.'nsequent" les pays africainf> n'ont d'atL~'~; chol.\. qu;? ,:rndcnter ..it.:.'".:' r:)r('_~ran~nF'~ (·t stl'ati§gies dJajustement structul~el qui puissent i-U::',BUl~';r ur~ aCCTOlSSem8:!1C d.c :t:>ur part dans les echanges mondiaux de l;::(t"orfuits. manufactures. ipd·,-H;tTiei~. 0't fi:llS. La strategie pour cette periode sera axe':' sur' dt:s mes"u.l'-.::.",X olien(.i:t:'~ "P!<.s l'interiehl' en vue du developpement et de l'expausion de;..:; echtlng,::s n:,.t!Ci~.au:v >-.:"1" Intr:')-afI'1t:~1i~1s et E'H vue du renforcement des. capf1.G~tef,'l instltuti()~lnl'iles ~;- ;-_'€l.:.:t-..ive~ qui poul'raient eventuellement ser"'.:ir dl? ba~;0 pour do:::: nou1,.'\:;.<.~.:-:' t't'-'sati':!os (:/)rnmel'('ial~s exttSrie:\.u~~g. Ceci devrait etre etaye par def~ technh:lu.~.3 aprY~"GprlE:'E:.s f:n '.Jue de la promotion, de 1'information et de let c()mm0!'cL'3.h~.:ation dans Ie domaine commercial. SOUS-PROGRAHHE Ii' : 166~ Les textes pOl'lanL aut..'()J'isatl0n Jes trLl . .,,-~".:.UX dl/ pre8~rlt sous-programme sont : Ie paragraphe 11 de le rc'.;;oluti)h j3/1J,f: de r .J,.s:;~:!mb12"~' 1.~4n0rale et 1a resolution 54 (XX 1 ,je 11' '"<OD1~ljs"io',. 167. Les objectifs d€ Ce SOHS-p:cogran1faf' au ni 'n:'flll intcl'gou\"t"jrnemental consistent promouvoir une C(01)Cration wO>H~taire f·e Lna:;.::if?t~,.,,~ fi{?r.:t.ive et efficace aux niveaux sous'~regional et re~ional en tant q i.I \')t'.ti! poe;,r assurer une meilleure gestion des ressources ;; compy!E'. la dE.:ttt: extel'leure; !'€'niot'Ger Ie mecanisme institutionnel €xistant pUl1r Ia cOol-'eraticn Lot lL~ C()ll;3"". t1t?tL)1'} €>r. :::1ccroitre les echanges d'informat.ionr:: sur 1'2 ii!i':'~lf.l':'('i.",~-P~ d'..l d< .''2l0ppeI!1ent et les investissements; creer, 1e eas echeant, dE's in::;nrutions souf"-r(~gionales et regiona.les monetaires et fina.nciee~s f~t en P,",H tj'2ulit~r 1<'7 Fcn-1s Dl0nr:l.a.ir£ a.fricain et une union africaine de paiements; ?t fc·nnuler Ul'.;: 130s1L',on commUlle pCUt' 1(>:;:;, negociations monetaires et financh3r(~S intel'nationales f;'t autres torums. a ji) 168" Les objectifs du se(:rt.tE~rl3.' 00tlRlst.::nt it ase,Ul'er ded services consultatifs pour les pay3 africains dans la defmitlOn c·t 1a formul".tion de politiques moneta.ires et financieres. y compris l'~lJ-:jpHon de meHle\~C't, systemes de gestion des: ressourCeS nationales et exterieures, notamment. 13. dBtte exierie1Are; aSS}stel' leE; inst.itu tions E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 54 .';-r monetaires <:: L nn:'::,]"...:,' '~', . "'::' d.,'u,'_"" L'i~r:-riUfic::,~i:::n et 1a misE' en oeuvre dE: poiit.ique~, strategies et programmes \-i~.;:...nt a. promoln~oir 01..1 renforce~' L:-c Cc-op(~:r;_:ti()n G:.H',::, ,.:t- don:,;,in '~JI'i~ce ;'1:L:t~-',Ll :J-.:''.=h: l. i'1"J2 :lecc.::'saire :lUX pays afri.cClins questionE 1>"ndfl-nt m()n(:'~~:\.il·es et ~f_"'- l~'..:.,;!ni\;n::: :::'U '('~'i::~t,j,-!n ': )r::A~;!.'n'-i:.~orlale? sur Ie::. financi~:_rf>::_. Au CDU~:__ . des _Ulr;E-p.:::o· Sel j l::~ :::~it.IJati::::Jn ;n~;;: _l_2.ir~ .> LnallC.i..'~!'t~ i:\.:n,,2cUne s\§-teit ;,-,',1 I</d.lt qUi: 1..=;s ;)01i~.;Qu(·s, RtriJ~'t.ur~::~ ,_ t i!; ~;jt!'-,~ic;n:::. c)jstantes etaiellt incap;j"bh~s d(" g~~'n;Tl'\' Jet ta'L{ ,.~,e ·,-:~'oi~ s,,:..rJ'::p t t (i'~ dt>,-r:l0ppen~ent rai.sonnables et soutenu:~. All cour,:; o:,:,~, P'~l'j<JC;C .l9J2-J 'JYi' chJ r>.lfl :-t 'llo~<'n terme~ i'accent sera place nOT,::.::.mment sur: l't~liml!:i.;~ti(.'n 0\.1 Ie t"enVel's·::went dll desj.~qui1ibl"" ("2'2::=; ~cilanges internes e'; ext.f:~·!1es, defa.t_·(lr~i.blE<~ nnx paJs .q.f~'ic?tin<:;) le rf'.l1'.-(;r:.:.·~m€nt des tendances :1 1a L'J.isse D..~~; f1.'X:-~ de l".~S,"3(,'l~H'C>.~S. en 'JrtrciClllier d·:",,s f}JIX (ies conditions dr:: f:::1.vel..·~r ,:t :';~;':'1'et :1,., j"'l \~li~.e dt":':.:; capit.Ju.';. .l] f;:.:,udra trou\-el' de nou'/f'l1.:~s ;·;olutions ell.:s i·~.'a.~ic;u.;:.'s I,.'t. p)1.;8, in~lcvo..lTir.::es fleer iaire face au remb01Jrl::;e'ilt;?'"'L du s~:r,:i~:c u(., 1:4 (.I',':"U,~~ ~~;tE!·l"l.ll.·e~ c~')rjpl'is le~~ ,-'.lTieres ascuIDlll('s et pour dC'..":ro::'l".l'p J(,: .. r'~·cc't",i:.;;::. l \':'\.porLli:,icHl n~:~·: P:'l. ys africa] ns. _'\l~X niveaux nationtl.l et S()";.iS-l'f"·;iOdd.::! ~l f ·\,.IUP\. t.~'()I."":el' f:1C::; soluticn'~""; nux l)rol:,lemes de l'insuffi~';..:tnc:-t' ':1 u finc.n·.:emenl y cOl;ri?ri~' l jin~~ xffL: an".::e .:Ie 1\~'P:.~l'!'~ne in.ter~e u-ee. Bien que de !!omr)rell.Sef ·i1l2titutL-:·,l)s I"i~·J,."nci.,~:"r(::3... :.~~ ·:i<.;r'''--;':'.::''j:'~.~: :~,;v,~-!t 6te Cl'eee3 et SOJent operat.ionnE'.:;ll'2s. 1!:'~) £t.:.-tt.:; i:J'·-·itH':"S< pa:'anoxalemen~-r n';.: }'ec r )Ure!lt pl'::lsiquement paE pour obten-ir l'nr)~)ui tech'·llqUt: \.} :.,.'.'-; SE": '"".-iu-:'" ,: ;.:Y[,l.suit..:..-ttifs necessaires dans ce domaint:. l<-ll" C()n.~":>;~r-l~:en[; 1:' i'l"..J~~r:tr!lT:_t:' 3,Ul'fI .~~:].lell1ent p'.:'ur objectif d'entre!)l·endl,~(C. UP'~ ·,~iU'1.t],)rl ·\l)p·~·'o~'or,d," ~if \.-:2i: i1",-st·~tul·.i(Jns en \-U(2 ·-je recommalldet' J'2S i')oijLi(]1.H'~·; Cf, meSUrf.~3 ....1::- r:·lJ~~f< f!D oeuvr8 pIllS pratiqlJeS pour promouv<J1r une pius g!'an:jl: '::onfiHJ1Ce ct",I]lS l~.)? i.nRLltu:'10ns. rnon~!taire8 et financieres nati.cnales et 30u:':'--I'·.';~i0naii:::,;, (lU.i (_'n:~ t V '.:l',§E:,c':' pou (' Sl:':r~.rii' les pa:fs dans ce domaine pt p . .")ur r:,TT\('·'I'..'"i" :".~;~; F:"::'.:'~) In'::':'· hr· i·~"f U.t-;llc,'F.1." da.·,,'1:ntngE, 169. de.terior~~e a 1) a 1.3. fin ;:ie 1 ~191 at'; ]'.1:)]) 1a situaLion moru2tail'~~' r:-t fin:l.nci{~re africe..inp. se sera degradee .'1,\ F'C un deficjt r·lus impol'ta?lfc a["~n:-: J"." ,.i·?IDaine du financement du d~\Telor·peID~:::nl,~,. uno ph1S 55::a.nd~' lCCi..1J:1uL.,tion. ;")2:5 1"!.':,..'L,2res de paiement du ser"'nl-:e ch' b, ,.l.':?'tte ,:·,t dl1. p!.':ir;ci;:.'El.l, ('I- til:':' In(~-::.pacit·;' ~'.5n"~'1',,::Je a, faire face :~ \IE cli!Ilat monetail'r? 2;:. fiLallric·l' inl;erl'at.ionat :1--:- plll8 Fn r·lu~,; ·j('faY·orable. Toutefois, a'.Te'~ C.C nC\',l.,'~",l;r,: prog:r:"lIDl:]eS d l,=,jI...13teTI1e;1t ,-:.t':'\.H::t,urel elabores d'un commun 3.':..<c<)rd , les L:~iiJ;cu;·.s d~ fonds Duennr vraiE;(:.:mbl3..bj,en,'~n\ <:'""'.l.d;[:!f.~nte leurs engagementF linancit;f's Yis-~t'-'.~i::, de:' pa::3 af';.'1G.:lillS, i,:::n p.-ll'L}c'..J.1iE<~~ jes 1=-]us pauvrF!s. L'""""'~. institution::.:. monetc:.ires €-t fi-:1anClerer: 5oL'-s-rt:gion.c. .les, E:J) p2.l'ticulier les mecani3mes de paiement ;~t G.8 comp,=,nsaLi~)n 8p.l'unL t":'1COr(' trop fa.ibl':~8 et. peu efficaces pou.r apportel' aux EL~ts :r.1embr~s r'ippui necessalre dans c\..,,: dOp.lO.iI'.e. Des prog'res auror:t !'::'te r:~alis("~ dJ.llS L'i ~.{~·~·,t.l:x'" .'J:_~-;-: l··;~SF:,01.J.l'Ce,:, ;YJ,."Cionalf'E. grace a l'adopLor. de 111'·S'.lrcs d).3.l1ste·ritr.; tou"tefDis. i1 '~3t peu r'l'!)t,llLk: que des .::iugmentaU.ons sL~·n~fjca~i"".-c~:::: des ep~~r~ne3 naLionales aienl :ite enl·eglstn?es. 170. -'~ .~iJuatiCJn Ie fin genera1em(~nt E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 55 171. La strategie comportera une combinaison de po1itiques et de mesures monetaires et financieres it court et moyen termes vi6ant il. traiter les problemes les plus pressants. II s'agira notamment : al D'une evaluation des incidences programmes d'ajustement structurel; monetaires et financieres des b) D'llne evaluation approfondie des incidences des evenements exterieurs sur les economies africaines, en particulier des nouvelles dispositions monetaires dans Ie systeme monetaire europeen en 1992; cl Du renforcement des institutions existantes pour ]a cooperation monetaire et financiere intra-africaine et de la creation -et du fonctionnement d'un Fonds moneta;re africain; d) De programmeE et politiques plus intensifs pour la gestion des res sources nationales et exterieures, y compris en particulier celie de la dette exterieure; e) De nouvelles mesures pour attirer les investissements etrangers directs, specialement pour les projets et programmes sous-regionaux et regionaux; et fj Des mesures visant a promouvoir une autosuffisance accrue en matiere de financement du developpement. SOUS-PROGRAMME 18: a) RES SOURCES MINERALES TERRESTRES, RESSOURCES MARINES NON ORGANIQUES ET ASPECTS JURI DIQUES DES AFFAIRES DE LA MER Textes pOl'tant autorisation des travaux 172. II s'agit des resolutions 3 201 (S-VI) paragraphes 4 el, fl, g) et j), 3 202 (SVI) paragraphe 1.1, Iv eJ et 37/66 paragraphe 7 de l'Assemblee generale; de la Convention SUr Ie droit de Is. mel', sections 3 et 4 de 1a partie XI et annexes III et IV; du document A/S-ll/l'! paragraphes 79 et 80; du Programme d'action de Lusaka concernant In mise en v:':\leur et l'utilisation des ress:;:;.urces minerales en Afrique (mars 1985) et du Programme d'action de Kampala concernant la mise en valeur et l'utilisation des ressources minerales en Afrique (juin 19881. i) Objectifs des Orf5aneS intergouvernementaux 173. Ces objectifs consistent a restaurer la viabilite des industries extractives africaines et leur c'Jmpetitivite sur Ie marche international, grace il. I'elaboration et l'execution de strategies et de programmes destines a Ja revitalisation et a la modernisation de ce secteur. Cec.' necessite: la promotion du developpement des E/ECA/AD HOC.HTP /9 Page 56 capacites ned::~ssaire8 a l'ev[l~Hatiol\, a la gesUon, Pi la mise en valeur et a l'utilisation rationnelle8 des ressourc"s terrestres et des tonds marins, ainsi qu'" leur integration progress.ive dans Ie:; industries d lava.l; la valorisation des ressources minerules classiques ec celles des fonds marins grace a l'inventajre des matiet'es premieres llecessaires :::IU fonctionnement des industries nationales et a l'approyisionnement des ;r,al'ches internationaux; \11. promotion de I'hal'monisation des politiqaes ,:(ollvernem"ntcies avec les programmes de developpement, et l'encouragement du finanCRment de la mise en \,aleur des ressources nlinel'aies, y ccmpris celles qui sont pal' ]'Entreprise l'econnue en tant qu'organisation exploitant les ressources rninerales des fcn(h mO.l'lrt2 80US Je controle de ]'Autorite internat-ionale de"} for::ds mal"ins, ii) Ob jccctiXs du secretariat 174. Ces objectlfs consistent il. 8.ccsiste,. les Etats membres dans les efforts qu'ils continuent a deplo~"er afin d'obtenil" de meilleurs resultats e~ de mieux controler la production et la commel'cullisation de leurs mincraux el mecaux,et ce, dans Ie but d'obtenir davantag", de benefices nets de ce 3ecteUI'; par consequent, ils vi sent promouvoir la creation et la mise en oeuvre des activit;}s de cooperation multinationale relatives a l'exploration, I'exploitation, la mise en valeur et l'utilisation des ressourccs terrestres '?t des fonds des mel'S; it aider les Etats membres de la l'fgion a am6liorer ieul's connaissances en ce qui concerne les reSSO~l'ces mineralee l'entahles, leur mise en valeur et leur exploitation; et. a aider les pays membl"es renforcer ]f'urs capacites inslitutionnelles en vue d'une exploitation rationnelle de leurs riches;;"" minerales, qu'elles soient terrestres, situees da.ns les fonds marins ou dans lES Lones eeonc,miques exclusives~ a a 175~ Etant ,lonne 1'importa.nt.e cOI1t.ribution des ressources minerales au developpement socio-ec0~1'-'IlJ.~~-~lt:: d·:; 1'~·l.friq·J.(.1 Ct, en prenant en consideration les aspirat.ions legitillles de la region deyenil' plus etroitement engagee dans toutes les activites relatives a la illise en valeur des ressources minerales aUBsi bien terrestres que situees dans les fonds marins, iJ y a heu de renforcet' leo systemes nationaux de documenLCltioll et d'information sur tous les aspect~ du secteur des ressources minerales, lesquels systemes sont encore f['agiles malg;l~e les efforts fournis jusqu'ici par certains pays, ai!lsi que de develop pel' les activites des centres multinationaux de mis" en valeur des reS80urces minerales en ce qui concerne les points suivants: la collecte et J:\ di.ffu~ion des informations geologiques; Ie rythme accelerc. des inventairet; des r€ssoUrCeB rnluerales de la region et de ses zones economiques exclusives; l'ex~clltlon des progra.mmes d'exploration; la mocie"lIisation des technoiogies d'extl'a.ction et de traitement, ]'acquisition de> techniques de n<2gociation, la formulation des politiques; et la creation de centres sOll,,-regionaux de mise en valeur des ressources mineraJes, de geologie marine et de genie oceanologique, a 176. Au vu de la tendance ala baisse de la consommation des produits mmeraux, la preoccupation de l'Afrique sera d'ameliorer l,.~ rendement economique .des exploitations exist.antes, Afin de divers~fier la gamme classique des mineraux communs, ferreu;;: et ncn ferl'eux, I'accent doit etre davantnge mis sur • • R/EChl~D , l-lOC.NTf' /i) Page 57 l'augmentation de la production <lans Ie secteur des meraux et des mineraux precieux, des meta.ux communs, des minbraux a usage industriel et des matieres premieres fertilisantes, afin de repondre aux besoins nationaux croissants et mettrp. en place dans la region une industrie des ressources nnneraies plus solide. d) Strategie pour la periode 1992-l997 il Situation a la fin de 1991 177. La be.isse du rendement du secteur des industries extractives dans les pays africains en developpement, qui est due essentiellemE'nt au surapprovisionnement, au manque de competitivite des industries ·extractives africaines par rapport aux autres et Ie recul de la consommation mcmdiale des mineraux et des metaux ainsi que leur remplacement progressif par' des produits synthetiques ont rendu plus necessaire que jamais la revitalisation acceleree de l'ensemble du sec;teur des ressources minerales. De meme l'insufflaance des capacites techniques et juridiques permettant de participer a l'exploration, a l'exploltation, a la mise en valeur, a l'utilisation et ii. la gestion des ressources marines non organiques limite la possibilite pour les pays africains de participer en temps opportun aux activites de ce nouveau domaine. 11 ~- a lieu d'evaluer les politiques et les pratiques adoptees actuellement et qui se sont averees insuffisantes pour permettre de se mettre au rythme des progres techniques, et ce, en vue de mettre a jour les politiques nationales de mise en valeur des res sources minerales. encourageant ainsi l'exploration des ressources minerales et l'application de nouvelles technologies pour leur exploitation et leur traitement, et permettant au secteur des ressources minerales en Afrique de relever les defis qu'il a connus de puis Ie debut des annees 80. Certains progres ont ete faits par les Etats membres dans la consolidation de leurs connaissances techniques concernant leurs ressources minerales. Cette situation permet de comprendre la necessite de restructurer au plan national la politique de mise en valeur des reSSOUl'ces minerales, "fin de revoir et d'ameliorer l'ensemble de la politique d'exploration. En outre, une strategie visant au developpement du secteul' des metaux et des mineraux pl'ecieux doit etre elaboree. Elle concernerait l'evaluation du potentiel de la mise en place de petites industries extractives pour ce3 mineraux et metaux; l'evaluation de l'etat actuel des petites industries "!xtractives pour les mineraux precieux et semi-precieux en Afrique, que leur extraction soit illegale ou non; et l'examen des systemes legislatif et fiscal auxquels sont soumises les petites industries extractives de mineraux et de metaux precieux et semi-precieux, afin de lutter c~ntre l'ec:traction illegale qui a atteint des dimensions si preoccupantes que les mesures gou\-el'nementales et les moyens juridiques mis en place n'ont pas pu ell vEnir ii. bout, et de permettre aux pays africains de preserver leurs ressources minerales et d'en assurer l'exploitation de fa,on rationnelle. iiJ Periode 1992-1997 178. Le secretariat s'efforcera d 'assister les Etats membres dans leurs efforts tendant a rehabiliter Ie secteur de leurs ressources minerales en aidant leE: gouvernements a Haborer les politiques necessaires et ii. mettre au point de£ programmes de rehabUitation qui re5pedent les priorites nationales et ticnnent comptent des tendanees mondiales favorables suseeptibles de mieul< 3e1"'i1' les , ,, E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 58 interets nationaux. S()US-reglonaux et re.gJ.onfiLlx. Dc tclleE activite6 concerneront les ressources minerales tel'l'estl'es et des fonds marins et tiendl'ont compte de tous lee aspects juridiques rel5.tifs aliX pL'oblemes rencontres dan:::: leur mise en valeur et leur exploitation. Le secretarIat aidera egalement les Etats membres a consolider leur connaissances techn.iques en matiere de ressources mineraies, it entreprendre des etudes techniques Iconcernant taus les aspects de la mise en valeur et de l'eXiJloitation) de certain>':: mineraux tels 'lue les produits communs, et les minel'dUX ferreux, non ferreu:\ au fp.rtilisants, et a compiler des informations sur les inventaires des ressources miner3.1es. 179. La CEA inciter a a l'exploitatiun il petite echelle des ressources minerales terrestres et a la mise en place de projets peu couteux qui sont a. la portee des moyens financiers nationallx: afin dt:' promotn,-oir ces petites exploitations parallelement flllX gl'andes exploitations de,;a exisiantes. 180. Dans Ie cadre des service" consultatifs rend us aux pays et aux institutions multinationales, la CEA espere par ailleurs aider les gouvernements africains it reduire a un minimum les .:lctivites illegales d'extraction de metaux precieux ainsi que des pierres precieuses et ·serni-precieuses. 181. Concernant Ie developpement d"s capacites natlOnnles et multinationales en ce qui concerne les produits mineraux, la CEA organisera des activites interafricaines dp formation grace a des ateliers, des seminaires, des voyages d'etudes qui portent Sur les aspects relatifs a I'e,plcration et a l'exploitation des ressources mineralcs tel'restres eL des fonds marins. Une assistance sur les plans technique ct de la gestion sera fournie aux deux centres sous-regionaux de mise en valeur des reSoOUl'ces mm21'a.ies crees Ie premier en Afrique centrale et Ie second dans la sous-region de l'Afl'iql1e de l'Est ei' de l'Afriq"" australe. LaCEA entreprendra egalement cet·taines demarches en vue de la creation d'un troisl;;'me centre en Afrique de l'Ouest. 182. En cc qui concern? la diffusion des informations, la recherche et Ie developpcment, il sera procede ii. des etudes aboutissant it la production de publications techniques sur des sujets l'elatifs au financement, la commercialisation, a l'augmentation de In production et aux previsions concernant la consommation nationale et internationale des mineraux produits dans la region. Ces informations aideront les Etats membres a fOl'muler leurs politi'lues et leurs a strategies d'in,:estissement et de developpement sous- PHOGRAM~IE a) 19 : a tong terme. RESSOt:RCES EN EAt' Textes portant autorisation des tl'avaux 183. II s'agit de la resolution S-13/2 de l'A&semblee generale. de la resolution ES2/1 de la Commission et de la resolution 1985/-19 du Cunseil economique et social. F/ECA/AD HOC.MTP/9 ?H.ge 59 184-. Promouvoil' rC:'laborotioL cl ]'8:,-6cu!:I0!l d(-: ~'.::l·::,tl.:: ;o·,teS c~ cL· [-Tof,'l'6.mmes Dptirna pour l'evaluation, 1;.'1. n~'~(~ l-_~l ",~,;tk'l!l' ,,:-,~ rp._-'\.pl,)-iL--~~'·-·L ~-~'S i'~,:,:::JUl'C~-::::: \~n eau; et l'adoption des mesur~3 [!J::'Pl'ot)1~i/"es }-l..)UI' cit~.I>l;.l( !c::; (::'ffe"t"s cl-:,s inCindotil)IlS et de la sec:heressC'. et CE:, pn y:~te d'i::"\melior~='r lE-s -:cn'jLti':;:1:;'- f';'c\:::'n':)mi'~ju(,,: ,~;t .:;:ociales dans la rc~~ion. 185. Assister Ie, pays dEe ia "c";ol) ,i",!s ;'acquisition d,<, "')nnajssJn~"s neCeSsail'es sur lee rc ~~;>Ju.rt:e;,; t-.:'1: t?a:,l.;': ·je su ~'::a'>:' ec 2L. e.:it:x sout,e:_'r:;line;~.~ '-'n ::unelk)ranL 125 capacites naLiona1E:::s r-::-1:-1tiv['!.:-::. ;~; ~\-~:'·:}JiO_lt.:.t:-jOE -~.t.. \. r1Jt~li3aL-jon de:;, t _~:'3S~)1.1~'Ce5 en eau sur Ie plan naticnaL; prcmollv . . )ir b . ....::oope':ation re;;k.lnaie ct ,S(,u::::-1'~';L--":131e ,~3.n3 le dornajne de ]'uUli,-;.']tion dl.'s l'e;-:f',OlJrce~,~ pn 08.1..X:':, :>2lf11r~~~Ues; IT<>V.l\:' ,~d T---,oint une strategi.c regiOlli..de r'OUl' ac::;c:let'el' dans k',::' _'tnn2f.;::-: '::1',; 1': :lp~~;ll(~a.tiOTJ lifE recommandations de ~a. C;onferencc dv-:s 1\,::ltiol1, 'C.tlic:·~ :"'ur l\-:<p~ "'-i: ~'o;_irr~ll' ane assist':-lnce danG Jt:~ dCHlIainc dc's ,?ch::tn!5C's dlinfcn~;~,at.l(:.n;_~ ~---,t de d'.;tl~it::;'es d"::,,~rH~rie~,-=e en rnaLiere d't::xp~oiLatj()n dE-S l:·'~~sources. f:'n ectU :_:H! profIt lu dC\'f:;}oypemert 30ClOeconomique. 186. L'3 J..!lan lra,-'tio:~ dl'-~ !'-'l'-IT .jcl Pla.ta dt-: Id Co,"'-.deL't'~I.LCt: (1977;' r::ontlent deE' rer:.'Jrli.manUa'tlGn-S 'Je- ~randc l.!l..)],~ee (~PS Nat;ion~ t"lles ':'~llr I'eau de'! la mise FU't~ r':\C(:..~~;~_cc"t:rJn en valeur des ,'e!:;50ur(~'-''3 -"n ;~·.'11.l \~n Afriq'_,;;, Cc-::- n-'...:cmj,l13.!l'JLiLo~l::3 ':.i.:::'..it'-'I", ::.uJuptee:::, en tant que str<Jteg:i.c r~~€::~0naJ,::, d.1DS .It:' pl_3.n ;J'ac;joll :ie- lA-'/os en l.'·)~O. Jusqu'a present,les prcC:n::'~ faits ~h.rl:;;; C'':: ;j':.'m3i~.,' 'yr';:: '-'~\ ., ~':eup,u'12nt --':'l'_;'·lVi~S l?ar la crise economiyue et Ie S Cd.L'-::"o trophc~; natu re_~les q u j .:::m ~ Sf.'\'-] rl u l'a [~t l~::.s ann2E-S 3d, Les prog6.'s r~3.lise~,; d~1.n3 le ~J.\.lr(~ d~ L-t uec~:nllie in~l:l nationa:t: ~~e :\'-ELI -votable et de l~hssainissemo?-nt e!1 \f~,'ir:l~~e 11981-1~·)9I)j ,-'nt ~-::t,:- "~~l',~npnT dt:-cP"V:lnt~, etant donne qu'~ 1.P-:~ trois quarts de k: populati·)n nl.':'a.l~· r")lyl toujour:;:--. U'U d.'3.cces a l'eau pot3b1e :::>'d ne disposenL PdS d'i:lsLtli~-1tions ,i'3_s:::-;:iin:i_ssl~me:, __ . 187. La proc:h.EjnE: d€G\~rl.nit, verret les pcpulations urbo.irlf~~~ <::J..u~r.'.~ntcr r,s.pidement, ce qui exerC~l'a unl- enor'm-; P!'CSSiC:'1 S,X:~ ;C5: ,:;;crv'lces ::i.-?Cl,-~~U.':, dGL·.:lr.-i:I~t"nt CfUX de la di.~-:lrit"ll~ion dJ{:'J.I..L r~ :":·:,1's. :~:,:i'fic:l~~ d'.:l.E;:,IJt (. l-~~',:':~ il:';.,rr- (~[lt:~.~, ~: t:10l)pE'ment ,» davantage p01,Jr c(: ,~:tLi ,':cst. de l,--" cadres i,1J.sti1;ut}cr:.npls <:tPJ--'rc~rrlL~s socio-economiquL' 6quLLabh. 188. L3 nllse secteurs de: en v;-:h~Ul' l!aeti\'its de:; .::ni,62 r-';n ·t-,·lar,,:' n,.'c.pS::~,lj:;'·'.,-:~, .::_ .j.'IJl'<-':- 1.:.1 y_,10r:lfi.c:.;;.Ll::,l' "()lide f::-t des j;'_Ll1 dt''I?cloPP2ment ~'~~',:;i.li:::-..:.(.tic!1 'r(-.S..3()1..-I"'i.>~~ 2fl. LJ.U ,~n .l\..i·!';qu.e 'i-'t';. ,_~, !:_~. l;E•. ;(: ]1':' ~Jlusieurs ec:~~r()liii:JHL Lout ~'n '~t<.alL C'-'-l eL (-:--rr:e rh:. . ',1)"~C necessite E/ECA/AD HOC.l'lTP/~ Page 60 syc.'temE·' dps -'<::." ](.']1':; " -. ;Tt' 1 deveL::pjx;me-n~ I~tU!ti ~e:::-~_::,:'Jl.-i, l'importar:c~ l"2/: T-, l~.· ~;-A_~~ en d.c j,- :':.. ""-1': .: '~l"n- ,':::1':.; I:' 1 ~_:Kr~ ·::.jLii.:'::: u nl'-~~3', '..::~~Ft; "c- 'F,,-e~'.:l:··~·:Tl!'L,-:::'1 'i'Jl,: l' ""' C '1'-:;:-', "t :::::,U~· h.:; s':--';..l]i~.r_c::r l"';'::,four:::es f',lU. _, t, de,,:: 1'( 3:::;·:.,'Jr: lrl. d/·finit,lcn c:or':_:~~'l'nt:.'_~ L',]: ,r' ,,;; i3 : st.,', >, \:il {-hi.l "!'. J.- -.'---':'(~:_:_(~ ,-;'Jl':U;t d.:~:~ ";'~ iJ,,·,,:,,~-:_~,"'_!i~;-, '·ilH::' r)'>~,-l' L:,::' a lW_~'_~S ~~O. -[.: ac:.n:::-~~';::~ Pi )O-~ ~nsr'.!t'J j::':'L; d ~_,'311e-'-;i ':::"1)1',;) p'JU1' 'lr.:-'.i"f'S ;J,t_::,~-l bj?l1 PCU:.' If:'~ c::".kt PRJ'S Or~ • •1 ~ qU('~..;tiOL. L,J. l·":-.:C;:letTh'~ e~, l<~'tn "': 31 ,.1'.';--; -_(Ln-:.s:tlonZ l'('lc"'-;:Hlt l111 :;CU'/~J'!"jeIllE:nt seror,t orit.;:nl6e2 ')(--'1°:': :,~ ,:::1,:_',,-] d~~ l'~'-_;'-J'l.cuti,Jr: d,; r_"2t.tc :':::l!'3,t~~g:ie, ;~,t ;:"2'1 en inL:!'mEtnt les Etat.s mel-;lhn~'F ~,_;~ !>r,)~'rl'_-'-s, d,::::--~ ",(-'lltl'Cl1nt.'::3 c. . t d.E:'::~ cha,n~:em'2!',v:', jans l"''::cl'fire de priol';:.;~ a.Hi~::: '-;u;:-~r, l-r,~\_' 'd.'n'., '_1.. :',~\-alu,,~t.:on 'v' rimj'.-_v..:'t {c, :~(___ :-:: pro~~:ramme::; et actiYl·p'3 ;:,U~' ),~, ·.-;t;_1.n -SlJCi'=--'~c.()~-,-":'I:li0Lr:. 191. 'L. \:tS,~iST,anc-~ t(-:c ;1;'.1 -F'(~- <: t membre~ d-:Cl" l~.:.·, (l(\nl.'::,Llf'-': in.st"ii.-,ut'( __ l1/-~l"~~',, ( \ ,-Jl;_c':Lc;'-j el". ,j~>E, ~?-n -,lalet1" :_:,-:>::: u''"',3 ':.;, . .~:~ ,,-()'~, ?"_::;--'t--'~: \'al.eur dl~-:::' l";~S;_ :/Ul de '...:()'~r-iiDa,ti{~;Ll et '1':' k ,:>. C)" "laniflCa'cic.I·, d,iY,=-Jc:rpemc.r_t dec; ::apaclU"s en -2.':,'_~ cL r1iJe en v::tleUr jE'::': rivier~-"s "~,':';:~';C\;_"t=(:~ J'TPPO~": '-~, ('; 1('8 PUbliC':_"J,ic·n:.:~ .J. i d-\:,:pf',,'LC~V:··~ I_~-·e:~tt:- ·'l:.,sisL'-I-!1i_:f> :l!L'-_l qq' ~TICOtl_LL?:';::"r' l\'c-'vuls'':. (.Ie "\'ues ~,llr les Gt-.:'-,/,.:l-;PL',emE'nt ::;;'fic,=' n L; t·2'!lUi'.; :?,U, Dlan if-~gi0nai de [I :''-:'Z: :'T~Ent' 192. ::1l;', r-\lt~ '_:' .-~·t l~l seront de;:;, ':1l.tj\titJ_~s ,"::e m~_s' :;'~l'c;. completee par d22 stage~ 'l,~n2. c~..::::ma~r:'3 ci(:'! la lnise en AL-,j d-_ menel' (, tkn ;-;0n role ~·.'-:~:'E:<:]ri-"ct c~,::;_tir'u·,'1.':,:- :~;'~)l;1[)~:\-,)l~'1<-:'_) (;,::,,',t~"..{',g;-:_~s .j'i'lTOrDJat.lons (JU genel\1.1e te!t~hr'..lq-ues '.=-X]:.i\"-'-'t,c: '_l['tLlnau~_ c~ -·li' l'~,:::\:,=,c.uti:Jrl r'I2,:·30urcl-'~:; '~~n '~d~l. J~ i\)!'nl..:iticl:'~ ,::~ cr_:tL'lte~~ ',"- - l;j,CUE~.:"\:;[_. ba,0i:1n3 pl'()dui~~s :.11"11--:' c..f?,S:::istc-r :\': 1':;:-:'-; St~ j'\' E:e~: «~'L,;ultatL_ s :'/..:1'(,111-, ±'<-:urnis 3,\'lX Eta ts ~i.;iy,q,_tJt:": r{/:',u1'" ~<iail'obi par:-t.~r'_~pLl ~:, ti~)l ,_:, 7 2-~ J _~ '-' ". XI sent _;,c·s ~·(::~ol \.'i Lions e~ "-:--l~' :35/64 1:2 d·: 1'Assemblee E/ECA!AD HOC.MTP/9 Page 61 bJ 0biectifs 193. Encourager la mise en __ aleur des res sources energetiques en A.frique de fayon it assurer un develoPPE:ment autonome et autosuffisant; et promouvoir la diversification des source~ d'energie afin d'elever Ie nin,au de vie dans les zones rUl'ales en faisant un rneilleur usage de toutes les sources d\~nergiej en particulier les sources d'<~nergie nouvelles 8t renou velables. iii .9...Q.ieetifs du secretanat 194. Les objectifs generaux du secretanat de !a CEA dans Ie domaine de l'energiE: sont ; 1) adopter et rnettre en oeuvre vigou reusement des meeUreS sur i'exp}oration, l'evaluation et la mise en __ aleur des sources energetiques en Afrique; iil aider les gouvernements €I integrer Ies politiques energetiques dans les politiques generales de croissance et de developpement socio-economique; et iiD promouvoir les activites de cooperation multinCition[tle lie"" it l'exploration, I'exploitation, la mise en valeur et I'utilisation des sources d'enel'gCie traditionnelles. nouvelles et renouvelables, en particulier dans les zones rurale3. c) 195. La necessite d'un developpement aceelere de l'Afrique a He soulignee dans Ie Programme d'action des Nations Unies pour Ie redressement economique et Ie developpement de l'Afrique, 1986-1990. ee document a souligne I'imperieuse necessite de pl'oceder a la planification et ;:, la mise en valeur optimale des ressOurces (.nf>rfS~t1qu0s (h:- in t''''EJ:bion~ C,~pe!1"jant, en n'a pas enCore une connaissance precise de toutes les differentes sources d'energie que recelerait la region et il existe une grav\? penurie de cadres nationaux de haut niveau et de la technologie requise pour I'exploration, l'evaluation et I'exploitation efficaces des ressources dont !'importation continue a"gr,we!'a les problemes de balance des paiements de la region et prolongera Ie temp'S m3cessaire a la realisation de l'autosuffisance et de I'autonomie collective. Les capacites pour une planification efficace de l'energie sont faibles dans de nombl'<'ux pays africams en depit des efforts fournis par la CEA pour les promouvoir grace €I la tenue de tt'ois seminaires et ateliers regionaux sur renergie durant la periode 1984-1986. II 0' a egalement une penurie d'institutions tant au nh-eall national que multinational et dent l'existence favorlserait If' formulat-jon (~t la mise en oeuvre de politiques energetiques judicieuses et la g;estion d" pr"jets energetiques viables. 196. II convient d'accorder une attention particClliere au probleme du manque d'experience des gouvernernents dans Ie domaine de electrique. Cela signifie qu'il est difficile pour les gouvel'nements d<" profiter de l'integration d" leurs plans de de,'C'bppement electrique et de t'tnterconnexion de leurs reseaux electriques et de ceux des pays Yoisins, Ces gou\"enlements auront besoin d'une assistance pour leur permettrR d'explorer, d"evaluer et de developper les capacites dans ce domaine. II importe de promouvoir rapidement la production et la distribution it petite echelle et d'accroltre }'utilisation de l'energie electrique dans les zones rurales. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 62 197. Ce qu'il faudrait e1.~iter dans L'a.venil', c'est la concentration excessive de projets dans les zones urbaines f.11J det1'1m.:::nt jiJ milieu rural. La. fournitul"'e d'energie, en particulier '" partir de sources nouvelles flt renouvelables dans Ie" zones rurales est l'une des mesu;'es requises pour corriger les disparites entre zones urbaines 0t L<.Jne:-;;: rtll'ales ~t stopper Ie deboisement croissant de ces 20nes~ d) Str::.t"gie pour la period" 1992-1997 il 198, Des services cons,"itatiC", auront ere t'o<lrnis aux g'rouoements econorniques sous-regionaux et it certains EtatB rnembr<es d'Afrique australe, d'Afrique de l'Est, du Centre et de l'Ouest et certains Etats insu!.3.ires sur les divers aspects de l'''''ploJ:'ation, de l'evaluation et de Ia mise "n valeur des sources d'energie c1assiques, nouvelles "t renouvelabics. S'a.gi"sant des sources classiques, l'accent aura ete mis sur 18 mise en v'~leur et. l'utilisation du charbon et ia possibilire d'echanges intra-aIl'icaina de eharbon aura egalement He etudiee. La meme approche aur~ adoptep conCf<rnant la mise en \ aleur et I'utilisation de sources d'energie nouvelles et l'enouvelables. Des services consultatifs auront ete fournis aux Etats membres sur l'integration de leurs act.ivites de planification dans 1a planiiication sociO-eCOllQmique glob~-de et au CRt~.. ES sur la mise en oeuvre de son pl'ogl'a.mme de tra\'ail, a 199. Lee pubiications techniques sur l'inventaire et J'eva.luation des hydrocarbul'e1', 1u charbon et des sources d'energle nouvelles et renc;uvelables et sur la creation de conditions optimales pour l'exploration, l'exploitation et j'utilisation des hydrocarbure;; ct du charbon dans certains Etats membres africains auront eliS achev""s. L'etude sur I'ener'-$ie en Afrique aura He mise jour chaque an nee" Des publicationF: t~chnique.s sur If'S aspect£. operationnels et organisationnds de l'utilisatioIl de l'hydro-electricite et des res sources en charbon a l'intention de~ agents gouvel'nementaux 3.Ul'ont egalement et€~ achevees. a 200. La formation de nombreux cherchem-s, ingenieurs et techniciens africains danB Ie domaine de Ill. planification en matier" d'enel'gie et de Ill. mise en va.leur df'S sources d'energie nouv{;'"Hcs er, l'enouvelables aura par ailleurs ete entreprise~ 20], UIl certain nombre d'ateliers sur la planification en matiere d'en,;,,.gie, les projections sur l'offre et Ja demnnde dlenergie, la gestion de l~energie et sur une utilisation accrue des: ressources en charbon en Afrique et de reunions sur lea utilisateurs pacifiques de l'energie nucleaire en Afrique let sur I.,. mobilisation de ressources financieres pour 109. mise en valeur des sources dtenergie nouvelles et renouvelables en Afrique auront etc organises. iil Periode 1992-1997 202, Le present sous-progl'amm<' sera axe sur la, mise en valeur inregree et equilibree des sources d'energie classiques et des sources d'",nergie nouvelles et renouvelables en Afrique. A eet cl'\ard, une assistance sera fournie aux Etats me-mbres et it leurs organisation" intergouvernementales dans la realisation d'un E/ECA/l\D HOC.MTP/9 Page 63 inventaire systematique et exhaustif d€s SO~Jr('es d~ener~ie classiques, nouvelles et renouvelables, l'analyse dE's conditions de leur prospection, de !eUl' exploitation, de leur distribution et de leur utilisation afin de cl'fier les conditions optimales de leur mise en valeur et la formulation de politiques energetiques inh~gn§€'s et l'incorporatlon de ceHes-ci dans les polit-iques de developpement socio-economique et de croissance economique globale.s. 203. Les act1vih~s de suivi d? la situation energ&tique, de formation d'une maind'oeuvre locale et de collecte et de dIffusion de donnees sur l'energie seront poursllivies~ A c-et egard, des 0tudf~B sur lez aspects 3tructurels et operation nels des ressources energetiques telIcs que 1e petrok et Ie gaz nature1, Ie Gharbon et la lignite, l'enel~gie h.y-drauliq\le seront effectuE'es ainsi que des l'(·cherches sur les possibilites de fubricatior, locale de materiel et c'equipemenl electriques, de pieces de rechange utilisant des sources d enet 'gie nou~. .~el1e3 et renouvelables. l 20,1. La coHccte et la mise a jour de donnees gul' l'.fnel'gie seront poursuivies ainsi que la formation de cherchetn~8, d'ing-enieUl~z; et ae technicians africains dans Ie domaine des sources d 'cinergie nouvelles et renouvelable.;. Des \roy-ages d'etude seront auosi organises pour des experts africains dans des pays df:ve-loppes et des pays en developpement ayant une experience dans l'utilisation des sources d'energie nouvelles et renouvelablf:'s. SOl'S-PROGRAHHE 21 : LA POPULATION EN AFRIQUE 205. Les textes pOl't..'int autorisation de" traV ..HlX de Cl" SQllS-programme sont la reRolution 5-1:3/2, paragraphe -t de :'Assemblee generale, la resolution 1987/71, paragraphe 3 (B) et 4 du Cons"i! econD'Uiquc' et social .'t 1a resolution 506 (XIXi, paragraphe -! de IE>. Commission. 206. Ils consistent a , a) Promouyoir Ulle approche integree en matiere de population et de planification du deveioppernent; b1 Forrnuler et mettre appropriees danE> la region; en ,'..,uvr<e ,lei'< politiques dernographiques cl Etabli,' Iln equilibre entre les taux de croissance demographique et les taux de croissance socio-ikonomiq1!e souhaitG~,; dJ Ameliorel' Jes conditions de vie dans les ZOnes rur:lles "Ifin d'il.ssurer un developpement autosuffisant pour freiner l'exode rural; E/ECA/AD HOC.MTP /9 Page 64 e) Former un personnel qualifie charge d~ la collecte et de l'analyse des donnees demo,graph:iques et des donnees connexes ainsi que de l'integration de ces informations dans la planific3.tion socio-economique; f) EtabHr des mecanismes pour assurer un flux continu d'informations demographiques necessaires a la planification du developpement socio-economique. ii) Ob jectifs du secretarie,t 207. Les objectifs du ~ecn§tariflt sonL Ie prolongement de ceux du plan en COUI'S et sont renforces par de nouveaux mand·3.ts qui soulignent l'importance de 1a population dans le devEIClppement socio-economique. Les objectifs du secretariat sont : a) Faciliter I'integration de la population dans la planification du developpement socio-econumique de b region "fin Qu'entre 1992 et 1997, deux manuels sur Fintegration de3 va.riable~: demographiques dans Ie developpement socio-economique, llotamment Sl1r l'approche sectorielle, aient ete acheves et mis a la disposition des Etats membres; fournir une assistance aux Etats membres dans 1a mise sur pied dE' cornmlssions deffiographiques et d 'unites chargees des questions de population; b) Encourager les Etats membres et les nidel' a formuler et it mettre en oeuvre des programmes et des politiquE's demographiques apprupries. et a evaluer des programmes de planification familiale. On esperE" qu'environ 15 pays recevront, a leur demande, une telle assistance' entre 1992 et 1997; c) Fournir une assistance aux E~qts membres dans l'analyse et. l'utilisation des donnees demographiques ill est pr~vu que 10 a 15 pays recevront a leur demande une t~lle assistance, entre 199<: et 19971; d) Effectuer chaque ;:mnee "'letr" 1992 et. 1997, au moins quatre etudes sur les composantes de ia dynamique de la population d leU!' relation avec Ie de'l.reloppement socio-economique et sur les progl'ammee. de planification familiale; e) PrepareI' des projections et d~~3 estimations demographiques I'intention des Et.ats membres (une fois tous les deux [ms entre 1992 et 1977); a f) Itentisifier b priE." en compte dc·s questions de population dans Ie de,\,Tcloppement socio-econornique '2:race 2-\ la diffu3ion des resultats de la recherche, a l'organisation d'atellers et de ('onterence<; (Conference commune des planificateur3, stahsticiens 8t demographes afl'icains, t.rois fois entre 1992 et 1997 si la pratique actuellp de 10.. tenir une fois tous les deux ans est maintenue); g} Assister les Etats membres dans l\~tablissement de systemes nationaux d'inforrnations deffiographiques (o p:lYS Sel'ont 3,s.s.!Sle~·, n leur demande, entre 1992 et 1997); h) Facilitel' la formation de ressortissants des Etats membres en matiere d',maiyse et de recherche demographiques tot d'int.§gratio!l de la population et du E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 'l5 developpem'C'ni nu h~_~?:.itlrc~l .frlEljtllt:'> f'()l' POt_i'::-'":~"'~.!;es (F(j:r-'S~ (1'\C<T3 t(~hana} et r. l'IHstiV;L de IOl'In::itlcn et dp. recherche d(im0~l'ap:",lqu~":::. llFOi~[:) ::It' 'r<iOUEdp {Cameroun}. '::-;nt1:y~::J ('~_ ::·0 ~~>t~~B":a~r-:<~- (!e~. '3.:0')f :~;'L' form~<3 t.:he j:l~ ~ll~rl'_-,,-' 0.31"'" chacun dt-' CeS uls:"d~ d:s. f'lltre J~;9:: {-"'t tt-9~'-' c) Bien que 1-'!' SltU3.tl rJ!1 d~; L'":\ ;-:;cHf2_.~tr~ ::if: COD LeeS d(Smc'e:~·:J,I=-,hh1U.£:3 ~e SOIl ameljoree dc\t'if; d0 nnrlbr·:tL,{ p<ty~' ,,'J.;·riC~!1r)_s d':' l'ji·~d:::J.-'C·1L·i,L~Lf-j iJ \.'C.;1\.-:<:.'Jit 208. ew.':Ol'e d'.::.~~l(':'t aGcol'd~~ un'-' plu;;; luil:. : 1;.:: ,ji.l IJuir~i de \'1.1'" tten~iCt1 dl..:(llL,::l',l,'i,.r,; ::1. l'r,.nal:-;';,;:." lltllisatlcn d:~n,':;]a OeU\Te de T'ol; \-:u.:tltt:..-Lk ({'-.I.e '_~)J'lrl;.i d'df. (j;.:t a p&S d,,-"'~ ',~or;nees dL',,)~.,:':_lj1-lJC1'AB.:; ";;'. 3"nifk::~:.ti:Jll ell! "'lev"clQr,ppm':-ll~~. fL leur £')t'TllL'L.ttiOl I·t L--, mise ell ddm!)s raIJh~.o:.'I'_F;:~" appr,")prl€'ps CL::f,':-"; h~s p;- ~-":-, ::l.fl'i<::air,::') ant E-tE: entre.veF.'s, llof~a;r,ment [)a:' if:, ~nanqu\= de d(;rn2';:c" ·::x~( te-0 ::ur LL ,'l,'·/t"tamir:;,ue d,:: popl"Jati,)n. l'r, ,;iljtJ 2: pr:,bt:::',h" ilnporL.'Tl": -; ;.T.~,i't'::~· ::.<.,t 1e ,';~d'lq~i'~' '.1'-,' 1:JcT50nnEl ',/1 :a quaHfie danE 10:5 Etatr:.: m:,'n:~;f't'"s r0lL~' l!\tt_~'{r'?l· i::."::. q,;.t'::5ti,:t:::; '1" l;upul.:1.ti(n·). et ,jf: developpement --3.1" p:oOCf'SS'u-: 1"" t=:'l:uli:icatloil du 0(:~ :'~. r,n d,F.l-'H d>:.!: L fot'mat.~on d'un (t:"!.·~air' r,oHib:'e J,::- !""'3::,~)' tl3~;anLs .j~;.s ~,-'::L;:, :::r" ,1,\;1:-- 1,' j")mal:16 d€.· l'ClnaJ:;.',:-)E' dficIT:.ogr::;phici'. . lt' PT. de l'uHHsatlon J"~.; rl:~':'\lIL:it (:!' L:t l"0Cf:~':'1'(eh€ au ',,'~l '; '::::-:b'::-l',.,1it::. fl :\~ 'i V'lf:iHe '...en besoin plu,:, grp~nti d":' ;"Jl'nWf' GU p(>r':F')nne1 ':~ri de::: p:t;.",> li;:,;o'::1.~o~.d1c-ne:.:. ,,~t lusophOD(s) ,:2 Cj\J.~ .1(:; PQ'~\':J.:!' ',,'.;\ ,;ri':'.;~ " '.",:,,:r;,: J';;':' ',:~~,ln:_~ \F~ Zu::.'matju!'1 demogrlipnlqU( des ~::!ticns T;r:i83 f'-.:n Af:ri.:; n ":. Les ~:'(;,\''S ";~':~~C::l: ';:~ "J... di3pO~ent pas d 'infrastru(~tu~"'~ l:'l'O\lr'~:"; ','. '[',:-iriE :':0:: 1'.::' t' n:; '-]'1n£( :ruaticD S dBmcftt·qphjqHE'~ n't ,J.:},1".fC'l'r'),':tlv!lF: "z,tr;('\i:~2 I:~~_dJ:~ r;'·Yf;':::,\,.;\, '::r l~' di'\~c.,;r,rp";,..:::mellt sosiO-t''".-onornlque. Ain~:'j, i~ f :l.;':~ q'..h'': l(~ ':C:Lr,:~t<.-1J.'i--:'L d!-::;st,,,, ,;c~ L.3.C.5'~ DJe:ubres O'.:J.n::: 1a creatiun (·t k renfol'cemcEt des ir:,f~t:.sL~'-'1JCtd eo:: '::: -::: Tl" 1~] ~.lfGL'.l', ,.ti::;,', 1c;ucgr;:-,l,:ph,iq ue. cours dt-'~. d~rnij~·re:. :Hln~(·';, h. de-f!l3n,J;:; ~;;:;t 101:'"'1 2G9. rrer;ent i:ne mt::~it;::;u!E' perce-pt;;)l' (h.-''; 1:1"):::': Un demogl'aphlq~p r("~ Aft:iqlj\!. Ci\';-;:>l' ,'1:1." (~'t' I}i'''':'J(' '" .' ..::.~ <:' S<;;:',', !->i ";As r'~(J1I::_'i:--.:llf:: [-:';r ".!l' -:",~, ---,"t, ,-:- ;~-pm-::nt i.e, G.c,-nci.rru''':(ll' t..," ~i;., Ja <:'t'oissance ::::0\::: :',- \( .")f'0nrjque en ::; [K'l'\1.iation et ,~,E'g rc:.I>!·'orts a~'e(; :e d~~'1.. ~h)I-';P.,::~w.:;nt ;socio-economt·.:,:11C y OD!" :1-:11',-s ~.;y ';<:<i'~:cunc if'(: sur:~, conlribu(:. E ftU1ziro...:.t c:cpr:-ndf!t;t ,.;1..;'2 If:' '::::·L'{·ret;,'H'('~l..t. :~c'rd.i~\L~(:' de lr:t-,[','~~~: ..),;,?S ;:tctivites de i'€'·C h(·2"c! II': su!:' iu dynamiq'..lC: ",h"" ! J populhti'..::rl et 3":\ c\;:'r£l:'1.tion a\rec }e d6veloppement socio-econon:iqU'~~: 1;" p <~t (:'%''3 e!f-,timations demo~:r:;iphiql;{ ' ':. K';l.. lE'" ~~;"':;"tk'?n1(;rl+; U:'j :',::'11;.' I.'~' (>:3.n:::. ::-. i;-,laniri-,:.-:;;'...;ior; g:10~ale et sectO'~.'ielle, notammc:nt ,..:·r: (':C", "{'Ji CDllc'::rnt': h.::. di:sponibilit{ ()t ta qualite dps uonnees actuC'lles. dl 2JO. A 1:'t fir: de 1991 k' s:'0c:..,etarlat o.ura l~e[!lisE' des etudt·::s concernant rar.:.aiyse cles d0nneC'~;. lee estimation~, l:t tCf::. p~'ojecli()ns dr-:-s parametres demographiques et ':1ssiste les EtatE'. I:1l::::mbrE-3 ca.:1'.:> 1,)_ for:-:lulation pt la nri:·~e en ~euvr0 d,(,) politiques et 1]''::: l:·n-.·og1"'.3.mmcs ',';"n rl.l~l,1'>n.:: j~--:; _::-)(~~. uL~~i . .;r;. C<,~ flccl\"itci."; .:::'.uront r.:.ro'\"vque un€: prise de ccn:~I~ienc' [::>ou:r '1Llen€:l~ lC'-,~ r:tat5' nlf'.'Clbn''''','3 ,:1 adop;l)l' des fl1e.sUl~e!"- '(.Jl:opr€S A irl\'(,r::-,~i:"J' 1'1 nt 6g'1',...tje.n d"s ',' ~lria.tles d~~ r:lo~'raphiq bes dElns la planifh.::atioll cin J~'~-e!()t:Fem<:;~nL :'::'::J('~,o-econom qtl,c:. Co:~p("\danL ~''''::; pro bl ':0; m>:::':J 'l~0thod01ogiques E/ECAI AD HOC.J-1TP I" Page 66 . ,- 1 -, ; rjntf-:~~'ra'jon a devC'1cpp~·",n:prJ. ;J~~8 ~. al'lc.bL~3 ,'<';~ ; .... t'~\-H clans d,emcgrdphtYl:":'S o.it'q;'. l:l.:::Lrt',c:l ~"<; ·-~t 'ta I-1 1ct: .. ificatic.n __ , :·--.tiC.i:l '.~i-"S du c,:-;-n'i~-:,h:'::,s demogl'c;phi'~UE:-:::' I.. , •.r. ~ L,' r-i.l.','l:::- (,I,.:., .l~ "'~:;_'::'T:'rr-'mr'~'+ 11' 'I'~_",~! S ':'"l.:J n;-\7eau macrob} :LI ll:'V"a:j j~J ,~e.:t:-;ljL· a:_~l'k(lh:· ::l1l'-1 (:t(; l>a'is'~~ par- Ie E;ec;,'etaL:.at econ<·m~(llL~ e~' 111 P(ij)ul:::.tj·...;.il (:-t ;j ,1 "1(_'- no:r;lbre::,\' r.:;J~,-S ('k)!-:,p":rr,~~ ''... at.-;:';:;' ~', c!:'~~(;ct:~meLt :).bo~'dt· 't ," d::'Yr':lk:-.:t, -1- h. f n ,jc l:}91 f . . t:~~.3.m~qer s'~~l'i.elJSer:~en~. ~a ,,<.'::r.~o . , ; . 'ap!"il<::;'GC:.':::: ij.pprUl!L: alol's. Je fot'mulation '3. l'dJ1<:11y:".'.n (tc ,:t.!3' 1'(~c('n~.:.,cn1e-nts n'':;I.Ul';l pr.s. ~·iJ t-'::i'mirj>::~e dans C.Cl'tG.:!.Il.S pa,~s. Pendant ce T!~m}:,s, c· .,t;:,~ir:~~ ·;:)ay:·; 2{-,~ prf;pa::!~r.-:)nt 3, L1 d\~uxP~n(; ':;,-,rie .j~ r',jC'~!L~ements (1995200.J). Ln 19:?-J, t:~l cerl.:,a-ir' nc"d t'C' d'~tudE;S ~::U:~,' It>. o;.r!'i.amiqt!e de 10. population et ses l>'J.ppcrt:-~ ::,.x·.::c I," -lp-;;::ic ~»e.t:e:,t :_;oci_o-~"CCH~iC'lniq:,H"! ,:l.uront cte n§alisees a l'intent-io:'J (k'.3 ~~,_.-:;.,L:~ '.;',C"[!~t, ~'Z<. 212. Lei phll,:,,·.. -:.'t (;~;S ~'--l: S .:i1.L::'('ilC utiE:.,A 1..::s C-.-:icili.t:.:s dt--~· fCl'ffi[-;J:.iOl1 des centres de formatY)H df'I'"lo,-;,~aph!q~!,-· J' \c-'~)''-:~~ de YaoLIH.::.e (lU d'autre,::; institutions db.ns la 1 r~gior.. ~-)u ::ll\~''fT<.lng·{·'r. (-'.:'-:'''t.:J.ln.; p'iYS rl aur0nt pc.. :~·. pleinement profite dES instituts df' fOl'DlaLic!l d':\~:cr;1 '-:~-t. c> " ;"~0unlih \ ( -;:.1'".,: ~,j~~'mc de FassisLance au.:\. payci hispanophon'2s ,:::~: lusopr..cr,{_-·s dan~.:; let formation cie kux's cadres n~,; sera pa.s resclu en 1991. L"!n:'-:" de '=oordiIl3.~jcn de PCYP...--·':;d~'.cCt r:1Ul C.c ete E'taolit, pn 1984. a enr'2~:~_'t.l'E:. '.::<..~1 t..:-uns j:Tc,:,':ref d.3Jls fi(h:..nt.ific'-Ltio!I et reta.bhsseIl12nL des centres n3tiGr~:._~,.-'" v;:~rt!c.:J!)aY\.L). i.:(':)r:~n(': 1nt, ;-!_ L f;n :.1: ":'.-~'~',~, ml~me sj ]("s tondations aUl'ont t~te j'?teco::, l-1(Jur c'!'·f.pr de' j~lf~·c~(;tructure~.:; d'i:'ltormaLic!l stir L.;--1 pop1..tiati'=-'I: dans les Etnts P1emb)',~'~:,~ j.:,:-.~ c,,:ntt·?c: n:'lh0:~~E:U:;: partirip.:'-;.nL; ·;'·':-luront PE:.S ~h; cree3 dans la majcritc (1.?~, Ft;_\~;:.: nt.'!T\br('~~. i~ ')' -'. " , ... ) .J. ej'lntE:;grer 1,2's \'ariables '.iemograriliques c1an.'3' l~' dt~"',;elo~:\pe]jl'2nt d':::'.Ti'::. c~rtains do:naines ~;eci.cri.(:ls ;;!1-r.r:',; ;:4~Y.: '.-=-t ;~'di. "_.:pc '1;.::<?~stanc(: :_~;:::'ilUnuera d'E:t.rt.. foul'nie au."( ELr--1ts memblCt' d~tn:::: 1." f',)rrr.ul.:~:(,ien ~"t lJ mi~:c ':'-1:'1 ',)E'u\-re de prcgramme~. et de politique'·- d(-:i.mo~l'2.phiqiJ.e;;:-: ;.11' ~~'l'o1-n:ies ~~:<_C(' l' Jctr()~. S'-u,C- dCDll.l.r;nc, j,,~ s('.:'l'vices consullctlif"', l>::'gionanx. ~}n(' '\,S:-~istdnc'" :':-;C'O, '~:":J.:X!l(t1.L f0~,(r:1it· (-11C',- _L-:£~ts mernbres dans In_ ""1].",: :--,,;r :;' -,,:_~ -1'lJ,nh6" (k~mogrd.phi(!.u,"-::; '~~!L; l'·-:'- bureau_x .Jc :,:-l&,n~fj:::ation et l'p.-tat,lissc'f)('!lt de r:cmmi3sion,':, d2 1a popul'::,[ion :lins'i qllf:. l·\:r~anisaL.l')n de vOY3.~:e'3 d \; .U":C~ d[ln~, d ,-:-'~ ~ .. -~ ' - ,'3 Qy,'1~1'--- l' :-u S: J i~-'\'I:-:': ))rO~;;rap1mes oe;t poiiLiques derno~rg,ph :'-::. ~i'-=::-. '2J.:J-. El..d.ot donne '-tl.t'; d_' nomi..)l'(~u~~ pays auront. effeC't.lJ.I~ des rC'cen;;ements, on espere que, danE, plu~:. de 1;_1 r:l")iti~ d'C'I1trp ·::ux. ·:ies analyses de\'ront ayoir ete faites pendant 13. jLlYA~ au pian propose. :F'OUl' -3.ctii,-~er l'ana1y,;.,':." Jes donnees ra.-sspmbl2e:~. ~:':; :-::pcret~ri.8.t l)a.naly~.t., pt l,,~tjr;~c. . tion Cevr0. cr~,... r\isf__ ': tJ.:_'·J ,:t.-eL ..:l'S 3ans ~c.-.:; ELJ.ts j11embres sur def'. :,,;'su1tats des l~f-~C'2n~,.;:-ment.s. OE poul'suivra la fOU1·O-:.tU t'o.::" d -=; s'~~r~· ic.es cc!nsult,"lLif.::, ~a f')l'ma'l,len ~'ll l:OUl'S '.:femploi et Ie;, formation cit ;,-i,~"-':':<' ::.itt,· -rmeJi.lln':! 1 l\,lh:-nUun dE'S, i:~;:ldres llation-Ltu:<. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 67 215. Des etudes seront effectuees dans lea domaines suivants: fecondite; rnort3.lite; urbanisation~ repartition et redistl'jbution de la population et migration; programmes de planification familiRle et d'espacempnt des naissances; integration des variables demographiques dans la planification du developpement; pclitiques demographiques; role et condition d.e la femme; population et environnement et leur rapport avec Ie de'\·~eloppemellt socio-economi,q ue. Des estimations et des projections demographiques seront egulement effectuees par Ie secretariat une fois au CQurs de chaque exer-cice biennIJ,l. Des s(~minaiY'es de formation sur les estimations demographiques seront egalement organises. 216. Le secretariat inLl~nsifiera se~ activites pour promouvoir la prise en compte des questions de population dans la planification du developpement grace a la diffusion de ses etudes. La Conference commune des planificateurs, statisticiens et demographes africains i um fois Lous les deux ans), des ateliers et des seminain~s ser,:il'ont ~g;alement de cadre puur 1"'!"'C'~-'--' ;~-')ir la prise en consideration des questions de populat-ion dans Ie d0v-eloppement ~0clo-economiqu€, 217. Le secretariat menera Ulle yolitiqne ag're9sive pour nne plus grande prise de conscience des questions df~ population dans la region, notamment dans Ie cadre du projet POP IN-Africa. 11. tra--o;,raillera puur c(:;la en (itroite collaboration avec les rno;.~ens d'information fl la fois au nJ\'eau national et regionc1.l. Des seminaires et des ateliers sur 10. motivaLion et la sensibilisation des u.sagl~l>S destines aux responsables, aux p]anlfic2~teun::: et a d~~s groupe::.: similaires scront tenus une fois par an. Des missions consultatiyes seront or~anispes, snr demande, pour assister les pays dans la mise sur pied de syst.emes dJinformation ou dans la formation des cadres nationaux en rnatiel'e d'informaUon sur 1a population. 218. Pour faciliter la formation ie nationClilx des Etats membres ell matiere d'analyse et de recherche demographiques et d'integration d8 la population dans la pl3,nification du developpement, le secretariat continuera, d'encourager les Etats rnembreE. a profiter des activites de formation des deux instituts de formation des Nations unies J a savoir Ie RIPS ei l'IFORD. L'2 secretal'iat encouragera egalement les Etats rnembres a manife3ter un intfiret i..--lCctll ponr les deux instituts et a leur octroyer un soutien financiel adequat. Le secretariat essaiera eg'alement d 'organiser des activites de fOrnk-l.tion pour 1es nationaux deE'> pays africains hispanophones et lusophones. SOUS-PROGR\MHE 22 : a) ADMINISTRA nON ET FINANCES P(JRLIQUES EN ..'FRIQ.UE Textes portant autorisaiio!1 des trav·3.UX 219. Les textes portant ::::t.utorisation des travaux de ce sOlls-programme SOI)t les resolutions S.13/2 du l"r juin 1986 (alinea i du parCigl'Ciphe el de l'annelCe II) et 41/182 du 8 decembre 1986 (alinea a) du pal'agrenh n 1 de i'Assemblee generale ainsi que les resolutions 1987/5" du 28 rnai 1987 (paragraphe 3) pt 1987/92 du 9 juillet 1987 (paragraphes 3 et ·1) du Con,-,eil eccnomique et social. E/ECAJAD HOC.HTP/9 Page 68 220. I1s consistp.nt a: t'cnforcer les institutions, systemes, pratiques et methodes d'administl'ation pub.illjue ell vue d\,:!meHol'12r 13. gestlOn du developpement economiquE"; accroitre la cont:t'ibution de::; chefs d'entreprise locaux tant du secteur prive que du secteur public; amp1i.orer l'cfficac.ite des entrepris€s publiques; amelivrer la gestion des fina.nces pubJiques: en l.~ue de mobilh~er, de l'epartir et de contr'oler efficacem.ent i,es ressources financieres; ~t prendre des me::;ures tendant a remedier (:t. la penurie de main-d'oeuvre qualifiee pour la gestIon des ~ervices publics. lil Ob iectifs du sccret..:lrlat 221. Soutenir les efforts des Etats memtll·es tendant a arneliorer l'efficacite de leurs services publics et de leurs societE's semi-publiques; aider a formuler des politiques p:t mesurcs financieres rationnelles pour la mobilisation et l'affectation des res sources compte tenu des priorites de devE;:loppement t ce en ameliorant respectivement les regimes [j~caus et les techniques budgetaires de l'EtaL Proposer des mesures en vue d 'un contrale '2"ffieace des ressources financieres publiques et aider b. mipux mettr,~ en valeur les ressources humaines dans l'administration et les finances publiques. c) P l'oblemes traU&~ 222. L'impcrtance et la diversite des fonctions de l'Etat dans Ie developpemcnt national ant ajovte <i{~ ;',,');_'\."c11(":::,; :~jrD~n~.,;k"ns aux roles des systemes d'administration et de gestion publiques dans les pays africains. En depit des efforts deployes par les g'ouvernem'2nts de plusieurs pa;.-~ africains pour ameliorer l'effjcacite de leurs services publics dans la gestion du developpernent, les re"ultats obtenlls sont restes negligeables CQmme en ternoig'nent les crises econQmiques des annees 70 et des annees 80. Bon nombre de problemes ant sur~i dans les domaines cruciaux comme leA. suivants: lenteur de la ionction publique africaine evoluer d'u.ne administration colonial€: figcc en une c.HJrnjnistration orientce vel'S Ie developpement; insuffisance des quallficai]ons, des connaLSSallGeS, des moyens et de 1a motivation susceptible::;; d'aider la fonction publique africaine it n~agir effi.cacement aux defis du developpement englobant la planific3-tion, l'executiQn ainsi que 1a surveillance de la producLlun et dE' In produc;t~vite. in distribution du produit detj activites economiques ct l'administrution df-S politiques economiques et sociales, la gestion des problemes tenant aux risques encourus par !'el1vironnement ainsi que diverses catastrophes politiques et natul'elles imprevues et des crises telles que 1a. secheres~:.e et la fam.ine. n faut pr'2ndrc des l1leSUl'es afin d'amener les services pUblics africains relevt=;r ce~ dE,fis. a a 223. La contribution du secteur des entrepl'isps publiqucs all processus de developpemcnt economique n~a pas r&pondu a l'attente. Les soci6tes d'Etat qui etaient cpnsees apportcr un excedent financier au budget de l'Etat ont souvent exige de lourrlps subventions, dev~nant de CE: fait un fardeau financip.r pour l'economie nationa1e. Les entreprises publiques 8fl'icaines n'ont pas atteint les E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 69 objectifs ou buts non commerciaux qui leur etaient n:<:es. Leur statut, leur mode de fonctionnement et leurs resultats aevront etre evalues et des meSlIl'es devront etre adoptees pour ameliorer leur efficacite et alleger Ie fardeall qu'elles l'epresentent pour Ie bud national. 224. Les etablissements et programmes de formation destines a former des administrateurs n'ont pas He a~es sur la gestion du deveioppement economique et social et ont par consequent amoindri \'efficacite des services publics. 225. Les ressources financier"s interieures destinees a financer Ie" budgets de fonctionnement et d"'~quipement n'ont pas ete sufH:;;amment mobilisees. Celte situation a donne lieu 11 un lourd endettcment public avec Ie service du fardeau de In dette qui en est la consequence. Les facteurs 'lui ont contribt:'; a eet etat de choses ont et6, entre au.:res, {'etl'oite assiette de l'imp6t dans les pays afl'icains et son inelasticite face il l'evolution des objeetifs et programmes socio-economique et de developpement. Pour ce qui est de ]a programmation des (hipenses, les priorites en matiere de programmfJs ,,'ont pas iite conYfJnablement arretees. compt0 tenu des objectifs de developpement. pour \ 'affectation des ressources financieres, ce qui a entrain;; Ie gonflement des depenses pour des programmes ,..t projets qui ne cQntribuent pas a 1a crois2ance ct- GU de-v2ioppetnent. Le iait qU€ les budgets de l'Etat dans la majol'ite des pays afl'lcains sent toujour's et'tblis sur la base de pastes de depE'ns€ et non ,1(;: progx ;J.nunes et Je manque d 'harmonisatIon du budget et du plan ont contribue dacos lme me sure Lon neglig(:able it ]a mau.,,,is": repartition des ressources. d) "trll~6gie ii pour 8ituaLion i,!-~8riodc a laJ'inde El92-199,( 1991 226. A la fin de 1991. I"s gouvernement:;: africains a.uraient, par suite des crises economiqu€s des annees :0 ~0L deb &,nEt;t,s B~), ree-onnu 4.ue leurs institutions et systemes publics d'administration ont toujouJ's em role vital a jouet dans Ie processus de developpemenL et que I" succes d'un den~lop1>em,..nt economique et sOCla! soutenu depend en part,,, de l'efficacite, de la ffioti-,-ation et de l'integrite des services publics ainsi 91..1"'-" dot, t)on!; resultats des cntreprises pub1iqucs~ 11s se seraient egalement rendu compte de la necessite d'une m~,bilisatic-n adequate des ressources financieres inb:~l'ieurf"s grace h l)amelioratiori des regimes. fiscaux et de leur administration ainsi qu la une affectation effi':::ace d~? ces ressQUrces compte t~nu des pl'loriti's de devi'loppement et dC's contraintes qui s'imposent au:" ressources financif.res jnt~rieures disponibles. ii) a} Proposition, par l"intel'mediail'e de serVlce;;; eonsultatifs et a la demande des Etats membres, de mesures cendant it ameliol'el' l'efficaclte des service c publics et des sociftes &emi-publique.", dans Ie processus de dev(~loppement dE' meme que diverses autrcs mesures tendant a ameliorel' 18 gestion deq finances publiques; E/ECA/ AD HOC. MTP 19 Page 70 b) Execution et pu blication d 'etudes tht~oriques sur les moyens d 'ameliorer l'efficacite des entreprises et des services publics; budgetisation par programmes et prodllits en vue cl'une meilleure affectation des ressources~ restructuration des regimes fiscaux pour une mobilisation adequate des ressources interieures et :::I.doption de mesurc.3 efficacf..:::; iJour contraler leG depenses publiques; c1 Diffusicn, a.u sein des £Stats membees, des etudes faites devant donner des indications visant :3. arrH~liorer les ser"vicps publics et 1a gestlon des ressources financieres }>ubliques; d) EX:J.lnen des etudes lo~~s de COllrs de fGrmation, de seminaires et d'ateliers nationaux, sous-regi.onnux: et regionaux a organiser en collaboration avec les Etats qui en font la demande 8 l'intention de lCHt's administrateurs publics; e) Fourniture aux paYSt grace a des etudes et des services consultatifs, d 'une assistance pOUl' le renfol'c,pment, aux niveaux national et BQus-regi.onal, des m05T£"ns des etablissementE de formation et de recherche ainsi que des associations s'occupant de ram211or::ttion des SYSb2ffics, po1itiques et meLhodes dans les domaines de l'administration et de 1a gestion publiques, dll budget ct du fisc. sncs- PROGRMI"!E 228. 23 : SCIENCE ET TECHNIQUE EN ,\FRIQUE Le present sou3-programme comprend lee sections 1, 2, et 3 . .Section 1: a) Polili.ques et institutions pour le developpement et l'application de 1a science t'-~(, de 1a t.echnique Jexles Dortant [lutorisation des tra',raux 229. Le::. textes portant. autorisation des travav:\. de la pre-sente section Bont : les resolutions 2cl8 (XII, 332 (XI\), ~:G3 :~~{/-' ,:!t ~E;5 (XV1TI de la Commission; les resolutions 336" is-VII), 3,,07 (XXX! et 34/218 de l'Assemblee generaie; et la resolution 1083 (XXXIX) et 1900 (LVII) da Conscil (~conomiquc et social. bI Obipctif" i) Ob ·jeQtifs des organf:'S intergouvel'nefficnt3.'Jx Promouvoir l'etahliss-em!:-'nt des. organe:s n(~Cf::6saires a la formulation de politiques pt de plans g'oLlvernementallx pour 1e deyeloppement ~t l'utilisation de la science et de 1a techniqup FiU ?ervice du dcycloppement economique et social et a la mise en place d'infragtructures :-}lappui ~L la science et a la technique en matiere de politiques~ d'in:?,Litut-.icns l de main-d'oeuvre et de services technologiq ues. 230. ii) Ob )ectifs du secretariat 231. Promouvoir la comprehen3ion du l'cJl€; de la science f't de la technique dans Ie devC'loppcment economique <::'t social c::drisi. que l.a nat"lre 4?t les niyeaux d'inLervention possibles afin d'assurer Is. rertiisation des strt:itegies de developppmpnt choisies; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 71 realiser des etuues sur If-S politiqueE. et les pla.ns nationaux en matiere de technologie; favoriser Ie developpement de competences dans la formulation de politiques et de plans na.tionaux dans Ie domain" de la science et de la technique et dans I'cvaluation de la technologie. Mettre au point et diffuser des directives et des methodologies pour Ja formulation et Ja planification de politiques en matiere de science et de technologie qui deyrollt etre achevees a 1a fin de 1993. c) Problemes tr:;J.ites 232. Ell depit de la recClnnaissance SOllvent affirmee du role de la science et de la technique dans Ie developpement, les plans nationaux de developpement n'accordent pas it ce domaine toute la place qui lui l'evient. L'absence de strategies speclfiques pour I'acquisition des technologies >:equises it taus les stades d'execution des plans conduit a la non-execution de nombreux aspects des plans de developpement, La plupart des pays africains n'ont pas de politiques explicites pour la science et la technique et les initiatives sporadiques et souvent non coordonnees dans ce domaine ne permettent pas une action concertee a cet egard. La faiblesse de l'infrastructure scientifique dans de nombreux pays de la region, I'insuffisance des liens entre Ie secteur productif et les institutions scientifiques et techniques, I'absence de strategies pour acquerir les technologies necessaires aux secteurs essentiels constituent des problemes exigeant une action concertee. d) Strategie pour la periode 1992-1997 il Situation it la fin de lCl91 233. A la fin de 1991, il est preyU que la plupart des pays africains auront Habli au considerablement rpnforce leu·l~s m<.~ca.nismes nationaux de coordination des activites scientifiques et techniques et que des politiques et des plans scientifiques et techniques explicites figureront dans les strategies d'un certain nombre de pays de la region. 234. Des politiques sous-regionales en matiere scientifique et technique auront He adoptees sur la base des actiyites des groupes de travail du Comite intergouvernemental d'experts pour 1e developpement de la science et de la technique. Des technologies rurales specifiques pour la transformation des produits alimentaires et. la. produclion de I'energie a partir du modele asiatique auront ete vulgarisees et reprod uites dans la region. 235. A la fin de 1991, les Etats membres auront pleinement pris conscience des potentialites d'un systeme regional d'information scientifique et technique ainsi que du reseau ATAS-Afrique pour Ie ,.enforcement dc: la cooperation entre los Etats rnembres. Des capacjtes supph~rnentaires allr\lnt ete acquises pour les negociations et I'acquisition de techno10gie. ii) Periode 1992-1997 236. Le sous-programme sera axe sur les domaines suivants E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 72 Appui tecr_miqU!~ avx Lnstitutio:1s r(~gjona.L;E et sous-regionalcs oeuvrant aI dans Ie domaint"'> dp la science et de la technique, savoir le Centre regional africain de technolo.;ie! l'Organisaticn regiQnale africaine de normalisation, l'Organisation regionale afric"ine de Ja propri"t" industriellc (pend"nt toute 13. duree du pl,m); a h) )I..ssietance au::,\: gou-"'Jernements dans la creation au le renforcement de centres nationaux, sous-regionaux et regionaux de technologie, notamment Ie systeme d 'alerte avancee sur les technolo$?jes Ipendant toute la duree du plan}; a c) Vulgarisation de la sdence et de la technique grace des mecanismes intergouvernementaux, des seminaires. des ateliers sur les sujets Ruivants: principes et methodologies pour IE' devel6ppement des c.omposantes scientifiques ct techniques des plans nationaux de developpement I demarrant au cours de la seconde anm;" de la premiere periode biennale); mobilisatiDn du secteur de la R-D locale pour resoudre les pl'obl'>IllCS critiques que connaissent lee, petits producteurs de denrees aliment.aires; evaluation technologique (deuxiemp et troisieme periodes biennales ); dI Etudes sur les sujets suiyants: principes d'eluboraticm de politiques et de planification technique au service du developpement; evaluation lechnologique lors d" I'acquisition de la technologie (premii're p,:riode b,,,nnale); e) Promotion de la diffusion, de l'application et de la commercialisation des de ]a recherche par l'intermediaire de societes de developpement (durant toute la periode du plan}; r~sultats f) :-l~ssi8tance <lUX g'ouvernCDleIlts d.:;,ns l't!laboratiQn et l'execution de projels multinationaux identifies par les groupes de travail sous-regionaux du Comite intergouvernementai d'e'Cpel'ts pour Ie developpement de I" science et de la technique (durant toute la durec du plan). Section 2 a) Renforcement des capadtes scientifiques et techniques endogenes T~xtes portunt aulorisalion des trava~n~ 237. Les textes portant aulorisation des travaux de Ill. pnlsent,e sec Lion sont : les resolution 8 1083 (XXXIX) et 1155 (XLI) du Cons"il economique et social; les resolutions 2318 (XXIl), 3-4/213 sectIOn 1, 35/6-4 Sill' Ie document A/S-11/14 annexe. paragraphes 129-144, 3-1/2 annexe de l'Assemblee generale; et les resolutions 158 (VIII), 238 (XI) el J32 (XIV) sections I et II, paragraphc 7 de la Commission. b) Ob jecLifs il Objectiis des organes intergouvernementaux 238. Promouvoir aussl "!'lpidement que possible Ill. formation du personnel necessaire dans les differentes categories de la science et de la technique et l'utilisation effective de ses competences dans Ie renforcement des capacites E/gCA/AD HOC.MTP/9 Page 73 nationale" dans Ie domaine de 18. scienet' et de la technique en fourniss8.nt l'infrastructure pour les divet's progrhmmes d'education et de formation. ii) 239. pb iectifs du secretariat IIs consistent a a) Assister les Etats ll1embres et leurs organisations intergouvernementales dans III. formation et l'utilisation dn personnel scientifique et technique l'equis grace a des programmes d'enseignement et de formation appropries; bI Diffuser les techniques dans les methodologies pour l'evaluation technologique, formuler et executer des plans de recherche - developpement fandes sur les besoins (un au cours de chaque period" bienllale du plan); et c) Expliquer aux Etats membre" l'utilisation et l'adaptation de modeles de technologies rurales en usage dans des pays cn de'.·eloppement. cl 240. L'un des probJemE's critiques que connaissent de nombreux pays africains est la penurie de ressources necessail'es a la creation d'une illfrastructure scientifique et technique, a la formation de la main-d'oeuvre, a l'ac;quisition de connaissances, de competences et de c8pacites novatrices et productives pour, d'une part, assimiler, adapter et applique!' l€s technologies etrangeres et, d'autre part, meHre au point au niveau local dE'S technologies en vue de l'explOltation des ressources naturelles, La production des scientifiques et des technolagues est entravee par l'insuffisance de l'infrastructure maLerielle et III. penu!'i" de specialistes dont on a besoin pour un enseignement sci(mtifique et technique valable. ce qui limite Ie contingent d'etudiants et enlralne ~galemt':nt l'absencc de cours dans plusieurs domaine.s essentiels. Le caractere tres theorique de certains CaUl's et leur inadaptation .'lUX besoil.s dt> milieu se traduisent par 1a formation de diplomes incapables de faire face aux defis techniques de leurs societes. Des conditions de travail peu satisfaisar;tes et La marginalisatioll de la contribution du personnel technique local dans son propre pays onc entrain," un exode des competences et l'aggravation subsequente de la situation de la main-d'oeuvre. 241. L'e:dgult,£ des economieg de la plupart des pays afrieains et Ie manque de ressaurces empechent les pays africains de develop per la vast~ gamme de cl9..pacites scientifiques el techniques necessaires Ii la realisation de leurs objectifs de d.§veloppement. Ii eon Vlent done que ces pays Gollaborent entre eux et avec d'autre-s pays en developpement IJU mem"'?' avec des pays developpes pour acquerir ces capacites en tant que complement npcessaire des efforts nationaux. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 74 d) StrategiE: pour la period" 1992-1997 i: Situation a 10'3. fin de 199~ 242. A la fin de 1991 plusieurs institutions de formaLion auront introduit des innovations pour ame!iorer la formation pratique dans les programmes scientifiques, pour If' developpeoment des capacites de production locale du materiel scientifique did:J.ctique et pour Je traitcment de I'information scientifique et technique. 243. A la fin de 1991 quelqueE Etats membres auront adopte des politiques pour Ie developpement du secteur technique non structure. ii) Period" 1992-1997 244. L'execution du preSeJlt sOLIs-programme portera essentiellement sur les activites suiv3.ntes : a) Assistance aux pays africains dans l'amelioration de la qualite de 1a main-d'oeuvre scientifique et technique et ~'orientation des programmes de formation vers les secteurE produdifs de I'ecor'"omie ipendant toute la duree du plan); b) Des etudes sur les mesures visant fJ. accroitre les chances des femmes da.ns les domaines scientifiqu2 et techniquf-=-· aussi bien dans les instiLlltions de formation que dans l'emploi (premiere periode biennale) ; c) Des scminaires, des ateliers sur Ie d6veloppement et I'utilisation des capacites scientifique3 et. techniques locales dans ]a conception et l'execution de projets techniques (pendant toute la dure€' du plan); d) Etudp. des rnesures proprcs a accroitre let pri~e de conscience et la comprehension du role de la science et de la tlechnique dans Ie developpement de I'Afrique (deuxieme periode biennale); e) Des etudes sur I'importance de I'exode des competences dans Ie doma.ine des strategies en matiere de main-d'oeuvre scientifique et techniqup. des pays africains (troisieme periode biennale); f) Des seminaires et des ateliers sur Ie transfert de technologie entre pays africubs grace a un echange des resultats de la recherche, d'informations et de personnel scientifique (pendant tout.e la duree du plan); gl Des etudes sur la promotion d'associations techno!ogiques sousregionales et regionales et d'institutions de servict:'C;: professionnels en Afrique dfin de promouYoil' Ie developpement de 18.. reg'ion (pendant toute 12. dUl·ee du plan); h) L'organisation de voyages d 'etude en Afl"ique et a l'etranger, a I'intention d'experts africains pour am61iorer leurs qllalifications dans la mise au E/ECA/.\!) HOC.MTP/'l Page 75 pojnt et l'ut.il'.-,,:J.t :'-,L ':1' c,·'chn· ,}. )'~-: ic~~:> tl'oisiemE- pf;rjr'de,s bir::·nnah·~::,- . r_~ 'J:, LE:S tPxtes -P01L·1~-.it ;:\'l(_)_>-h~'aU');l it·::.: lTT·,~i1.n"{ d,-~ 12 ;l"_~~sente S;~C~lcn sorlt 'Ies rcsoiutior1f; ::(ji._d 5'_ll' L; d'JL>;';)i~::r:1: '\./:::3- L' l"-i ;('l·ld, ~,-"j":'1/2 ,_:t: 2ii,rrexc' ,j,_- r,-\ssemblee genpraJE:, et Li l't:'s0_h.n.lcn GC}~ L\'\Ul .:10::.' 1a (omrni;~;Sl(iIL 245. j . I 1, 246. teledet.t:"r:'ti·::.::r: d::1r.s ;t::~ r(','" l.r~ i d:~~) ;-~/Lrl '.:1U'..!.s l'-:i - '-~'n: z,t!'p '~_\J.-,::'.::;uf.~';_sants en satisfaisant 1"u1'5 t'~~sJins fr)rJ(~ __.... r,lenL311_"" daIJ.~. leE) Qeu). di~:civbnes, daDs 112 cuntexte d u dt"~velopp~m0nt :.-)uCic'-·~i ',,) t}Oil:l-l u.:,; L: ~n'.X~i.L~ .:!,,;;: ('l' L· t";~n f'~, "ceT\le nt ( '2,';. ;:::''-'rV1ces nationalL\ d,~ cartogra!-,bi,-_, (,:,' df::' toi-J d\>te'.:::, ti(-:. 1"_, e ldder 1:~_'=" ~ouv,~rrF.mC'Elt':: j,:::~ pa~,-::-o -::1~n\r'-!'Pi ,-1, ;:,'-_,'r_du!'C-eT lc'ul's institutions . S'Jus-l'egi,on,_~d ~t r~~,;'i(-'::::1;JJ~,'3 (lp -:_-r:·I_:.;graphiE -r de L~lC:detection: et ~U-l.b1ir des in:::;ti:::uuo:';,~; n,=-~U'.);l<~h:::,:~ 1,\ (11~ 2; ie:~ r..:·(;::\:i~;~:'-'L l P;:\.s', ~-Olil'DiJ.' !jE:S dir(:cti"cJ';s :.:.u::~ ELlt~_ nH-~m b.::eE pUll r l' f-:" L::1 'r'lisst;:-:lh-::l~, t .J' ,J :-l l·P;':;\'.- _'"U :, ;~l,.Hlal d ~ inf:.Jrmations l5e0gr.:.:.phiclUf;"'~ pour tra_'>.'_'T -1~::; ':rL ~:!: )\~ t(.:~e~~ ,:. ..._~,_ :~i'l'Fe:)tail'e, 10 '_planificdtiofl, la mi..::e en \:.J._tCll j' et 1a <'2-~l::: ~:iO:1 des !~\~;-;::;Clll. ',~'C';S _r18t \ll'~-) tr';:;- lr.t 3U t"."eillance de -_,t 1,0 de(3- -~l':,i.fi(:ation, et la l' en vi Tr; n ilP f'le 11 'oj r~o"'~;-n -~\ ':,' 1\ :. ., \j _~ ,-, -, -: t,·:Ool" L-i ";"--'L'-l_-= -... ~)l'o'~~r.'1mme~ (~fricauls ,ie p](;lT!.ificE~tjon R08io-eCODumi q UF' ~'10 bq i e; t"tab It. .leE ~kI\1)f:'t:3 gf~oce;:"ill11~S, d'un res r: 3."j '3,r-'::'i-~.:.~,~n (~'...":' r:c:r':)~~:~i.::-,-::."t=-_ r, d,:<-: r)(:~1 ,.-~ '..o.:-~·j'.-lr,-!'::'ti·j(t',_:.,,:::: '2t --l~~ )":' Lorn!ahsation des specification:::: de~ C:-~ll'~,e:~ tQvographiqth:;~'~ -~n ,Ij"-"]('[')~~'; et ':::·on.stit:..;~_'l' un ':' nsemble campier. d,:..' cad~;s d>2 t:.<~r :)~'\.fri,_;,'~lC ,:.JI1:_-] ~l_, 11: :-~';;J.~':-"..: 'JI~ ,j'-..Jcl:m("!l.Ldti':ln. 247. nHtional~:~F e' J :'>J2. L'in::ii..lffif-;:::"I'J''::' dp::~ d 'ent1'Q~ier L: ut ressources J'l~t:nL'r';~,->~-, cartor~ra,phif;C' ct (to:: inst:.i~utJon:" {f~Lablie_" nivean r::c-:,ntrc-d. ~rl;_'o]:,"1wt.!.unE:, ct dv~ -J.~ J'lll':-: -; ~~1l~-_i::'2:-'-~~'..lJhi()'.l'-:-2 continuE' dlcic- us,.::- ,'I t,'::11 d d,; i"; e by> pt.' '1Y'--,n ,'atioan.:l des d'_! C'_;:-l'-jn~,--:;t. 1:1:. ::'l'P,Ej ll<'rL,t:_-r ~(' ",:'nJ'-;L: de levfC:'s, de ,_~::a!--:~f !C-TL ~)i )U U~l:::dt':,tc.)ct)(in a l\;L::1..jit~,c~·. en j, _-\f~")4LF' !~(~~' con~.-in'_lt,riL in~~,Utu'j,)n:; ~,'i:-_Lr~: (-~~>:!cute;~ par des r~::' Funt 1--JdE coc-rdonnt'ies au 1:;-11 ·:(~n'~2quClh:e. leS dc.'Tlrh>e::; ,,:·'J.rtGfl:r8phiq,.... ·',;.':, oont. \-'.lks dis~)osent sur J')..friqu( sone incomp]r;.tes et i'ragluentair',,_:::,. l!(':-' -l~PS, (iu t'.dt de 11incxistencp. de specifications unifcl'we,3 >::'t J'une h.:).',,,;[' c. 'Ii,]!'].!!,::: C' oonru<'H:; ~'odcb'iQl~ec.:" il esr, impussiblf' d\:::~ploi~_cl-l'2 m.-__!tt::ttd_ ,_,:.:"'l'lCJ~~L,l;dl'';''_li':~ d\:~'1>';~- ,bL ~'Cl,-tr Li UL. /~lf~cation de projets d;-:: .j(\'-eJoppement 1<t!.londu~ ,jU rnll~l.,irhlt . . (;~\~:- ;" .':'_~"F:,c,p~(,:;t6 ie-,s l<)]itiques et des m,(~can>,mes Tla. L:on~1us :j ':_i,,~2P C.:-: t' li-_l :'_-,(_'j'Ci-:ncl,Ll-:Ht d,.:·: '1C i_I \--, '~,:-;S c.J.rtu ~rap hiq ues a cnnctu-it ;'1 une rppt:tit.i0i1 des '~l'iry'ts et aOJ"'I,':" '"" -\!0-~:cl'::)i:'::;ue~'Y!t'J',t do::;'s _'Gti-'_, .: :- de~. leves. E/ECA/ AD HOC.MTI' /9 Page 76 carto~raphie depa8Bc Jrn'gen1"~'_nt if:5 capHcite',;: Jecalr-s -Stant dCI)l1e la sltuation fel rL"::lt~on ;.l~-:iSU re8 it actueUc' en ;n--ltj':';"f-"-:;' ·(lnfra',;::;-_~':J.'~tun::· et de ~r.,:u,:;- l '( ('U -.--1 ':~. l'eirangcr n est" !.~l~'_·. 1.1 :-'iUll::,...l'l J,,<: ',,·or..y1,t: .<.' cddrc.'s ni de~ in1p(-:".lc'\'~if~ 'J!::: pl~c·du~--::tiO.i1 d ':--::, p5;' ':': 249. I.E tr·in.;:-,fcJ_t'rr~;:lt.LJL geode;::i'~11e _:~1. .-! t:_~-': Tn2th();-): (")01';1-: 'n n'2P::: li'':IJ_,j~~-·r -J \!. Pr') (_~r.J. fJ:l'C (_n S~Tr,\~;,~\"3 ,;1,fr lee i n de ~C.'::iitir)nneml'-_ Et d;? CdD!_'do;"J.flee:::; ~t Pintegr.l,tic.:!H d€'"; ~Jbse;-:!--:'..t-:on';: ,ie~::; r.~~~(:nt_~.;:, g.L-~vi'r:..(~trlquc:s r13IV, le~ l'eseaux gUl\iI1etrlqucs nat,kdviU).. ,:iUY',:')i, ~_-,~/, ache-"j,s. t,(-.::; a"~r:-:lic~,L'('~ P(,1st~A,_)U:::) sur les appliCJ.t-inn:-~, dp~ 1t,,\ C~ c:c-,;.:-d'~'sir;tL':~O (~', ~~r;--_~'- ;ric~+-,l'l'-!LC;-" l:-i. lJlc,:!l.ifi.catic-n <:!t au develGPpemt~'_~}t <ltirc,nt ,_ J ~1':'U.. ]\-'~·,~:1i(' ,L:,l" i<>:: i;lfc,"r;~c:.tloll;S ct 1<::::3 d()nneE'E geogr::q~LiTU":::S ~,i":l'r'l:t t'}'i.i<Flr",: (';';::'ufti::'d.:!C<=;<:; r'()j,!. LI '-)1.,,,: ri.fic".~~ion -:c't ].-:~3 i-'ps<:Jlns tle l>-"lY n.:~:~l....::.n.c:hi~~ a devel'.1pp~!llent d'_~,-~ eC()nCrn~f';::, n('S Et::lts Hlt":r:h-;"'..:,,:::.. L'_":"-frl'~;ll.(, ':::'U1"_'l d.C'ODtc des specifi(;aLbns ncrmd.lis(-i'-~<~ ~~'("\I:;:- t,::;; ',_irle~: L')P~-;::'~"::;,n1'i.ql.z'-::;;' :i l_'~~("r-~eJ~e ou ~_.:)O 000. La septicme COltf~rencp ca1.'tcs.:raph:quf: !,(~g'l,,)nn';;,:, j.--,:'_: I'-,,::,tions U:Ji(~s povr l'i\.frique aura 0U lieu. :)n ,::--:,u ::-a <'.onnJCPCf {'1. PJ"~ndre j(;~,,~~ d~~;lJc:~:,itlO:lf P2iJl h.t ten ue de ta huitielllC' (_;ullferep..:;c. LE'. P:Yr.l; 'c.:-' -.:il[h)~"l , j "'-_'_Ll., -;, T·iu-\-,--,i.t~-:-lre ,.:artographique pour l',\frJquc i:\.~J.rl v' _1,'2:[-:-:''. --,~ et djffu.sf~.,:, ,l~-L:-l,: }?,,:": ~~l·,d},S LL-:mbre:::. Les preparatifi::; ,!L ',ill/'_' '_._c- .,.\ r,(j~jll' ,::'~Jc-n d~: ~ ceL'J.".=;m:: :oitilin (j·2 l)atla.:.; auront commelJ_ce, L\:;-~ tl'~·;ya'..-,_--.;: ,"'. l:~ r<;-' T~ld:L~:_:u:,;"n IJ'~ ,::'I,~~ ~,,~:::. Sl~'~"-'~Li<:::~Li(jLS ~)Ollr Ll c[lrt()~l';':;pLk ~-,0pc':'::':~·~~i<1,_\..;_,\_ ~l j \.'-,L~""" .~:,( ~i.tjL, '::. ,~t-'~2 . lG., l':'i,Ln_ifica~jDLl l'estE.',r,')nt. ~lh'orn .,' ~ L-~~:1' L \~LJ. tJ ~-~ t- S,,_'T!.-;e: H j ".-1 r ('~'S::': . . l· :-,1 i.'~{-'"',lL :1,; LC ~~rn:--l~L;lt1C.:·~ d·_''-~ points gl'c.v'imec'·!(llF"M pcnr )e 2:r<1)ie -::t l;-"t r>t'l::·j.--':"1r.~,-I-~cn -j,:,,:= ':::."'.rLcc; ne:-'E'ssai!'es 2, l~-::t mise en vrdpur dt~E' )-'eE~:JurCE'8 aU;';-j ,,-~ ,,' n"i-:-r)(~ ~~ bir-'II. I1F'.L<;: di~termin':lb;::I:1. d)(::~,-'''' h'··s'::"' '~,tl'nH;'1' (If' rj'Jn't'<" ::::n r!.·_~,u-=-''':'' pas '':'ncul'e acheve la pour 1',<1.frigue. Le 1.:-:\ L.~ i,~deLect]::)n ill sf-,in d u ~'::.:.! '~l '~;-'qUE',,::' pro~':;n:unn,e d u ~:,~, ~t,C-D.JL- t·.~ ;'.(i,T. I. ,',-'1 (! -in lorn:.a durl-'.3 :::0 tl..L· d'int"ormaL:jI1s ~eog·"'~,.. pnl-~J'J.I.:S &-.11'3. c(j--;:~menc-(-'- ;:',,2.1-tS tc.,,--,tc;fou_: fonctionn'-"l. rC't::"~,':lU :250. ,_on s~ir:j!llir'_~~vo',-::1.~::'- ,_r,~'l_udf" ,~ti·,~, ,~ntlerement :.1r;:"!_,1~(" '_-:1.\:,: vl.::.nifh>:t:/.:.~,~r~.:-;t .1._1X r~sponsable5 n (' arLo ~ '_~;! P '!'I I;,~'~ de 1a to. 1t:; d{~ t(~('ticn dans Ie de-':7eroC'-;J("'ra~-'nl dJl'a f_~:,e or',:';.~rLSe. L ·;>,'~-lh;<J.tior, d~' .'In',~ldepc'=' :l.e~; politiques nation::,.1es c-or','_-:-(-,f'l1clnt 18, P~.\1C€; ,j -, 1..:1 L',hl'tU.i4::.' l-::-\hj_~, f-"-. rL:, L:--1 b:':'l~detectioL l)arrni Ies ufrica,~n s E:-t ~C:;j",::t ;..~ 'Jt; ~ Pl"_l\,.l['i!.P:-:, n.;,Uu[l<.-,;,l',:;; L'~~l)L,; •" r6L~ ,~, r:: pe,? ::j'- :fff,chli-: t' ,':i\~'renc,-' Le C>:-r.~TC ~.:-:: -l0C1.JmeGtati',)!1 et de care,) '1. l';--l_PIllC Ui.::'E a,\I ~.';..\ plJ. bHf" llj)E ~~ditJon ~~6V13e( ,:hl c:-':. :"'c.iug'ue de Ia docnmoeILtaUcn -\X1L JJ '_lL--:'V':-:'-" n !.T·_~__ t·l'I.Ld~·!?' ~',l ~'. r(;:1I1wC! c:::tclastral et les p(. . ~itk; ,le:;; J. \)CC u ;,yjliull ,ie,'", ~,t-:-:'re~-,: en \ YrH_F,p, 5\',11: Ut-;,s propo51tjons pour Ie dcv~"lopp,~m~;,t, ;:~\~ ~-:Y3' ~"~I~'~: tlinfcl'r.1':::JLO~S ,.l~r~irt:s '.linsi q~le ~ur des directives P():U.' hi c"~atlc:1 ri'q"-:e- l-Ja:J -'ufiU}lU!'I,--:- (11::" d,-n1!'ler,~S gcodeslquef, 'pour l'Afrique aura ~t.S p;-.i":1it:::, (",I=:"p~~d,J,nt, rnaIgr'':: l.,out(.'~_ d::S {~ction:::.., h:-s problemes susmentionnes n'rtl1rc.nt tt(j '-1.1.1,' i)·l.rtiellem~nL r·e~(,lll~. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 77 " \ n, 251. Le secretal'iat continuera de faurnir des services consultatifs techniques aux Etats membres afin de sensibillser davantag'e leurs institutions nationales a leur s besoins nationaux en cartographie et lAledetection pour 1a planification et Ie developpprnent. Par suite des preparat-ifs menes durant la periode precedente ainsi que de la strab§gie a long t.-.=!rme pour Ie redressement de la situation economique precaire de l'Afrique lors de 18. decennie passee, la strategie mettra I'accent sur: a) Une plus grande coordination dans la formulation et I'execution de projets de cooperation tels que l'etablissement de normes geodesiques et de specifications cartograplliques communes etc.; b) La fourniture de conseils aux institutions regionales et sous-regionales pour stimuler leur croissance et leur developpement; et I'assistance dans la formulation de projet.s viables; c) La creation d'une base de donnees et d'informations geographiques grace la collect" de cartes et de graphiques pour Ie Centre de documentation et de reference cartographiquE's servant de cartotheque regionale; ces seryices comprendront l'assistance dans 1e developpement des capacitps pour acquerir et en faire la synthese des informations et des donnees geographiques en vue d'une exploitation des ressources nnturelles et de leur gestion: a d) L'organisation d 'une reunion d 'expprts sur les specifications normalisees pour les cartes topographiques aux echelle" suivantes : 1:25 000, 1:200 000 ou 1:250 000; e) I}organisation d'un seminaire-voyage d'etude sur la reproduction cartographique, d'un atf~lier sur If.'s Rpplications gravimetriques pour des recherches techniques et geologiques, et de deux conferences cartographiques regionales des Nations Unies pour I'Afrigue; f) Les services cartographiques techniques pour repondre aux besoins specifiques du secretariat en cartes, graphiqucs, etc .. SOUS-PROGRAMME 24 : PROMOTION DE LA FEHl-!E EN AFRIQUE a) Textes portant autorisation des travaux 252. Les textes portant autorisation des tra\'aux du present sous-programme sont: les resolutions '1;</62 (paragraphes 2 et 3), '12/l78 I paragraphe 3), '13/101 (paragraphes 2 et 3) de l'Assembl?e generale; la resolution 533 (XX) (paragraphe 4) de la Commission, E/ECA/AD HOC.MTP/9 'Page 78 b) Ob iectifs ,I ab jectifs des organ,,:; intergcuverncmentaux 253. Ameliorer les conditions socio-economi'luE's promouvoir sa contribution au developpement. iii 9jJj~ctifs de In femme af"icaine et du secretariat 254. Dans Ie cadre du plan a moyen terme a l'echeUe du systeme pour la femme et Ie developpement (1990-1995) et des strategies d'Arusha pour la promotion de la femme en Afrique f>.ll-dela de la Decennie des Nations Unies pour la femme, l'objectif global consiste a aider les Etats rnembres Ii ameliorer la participation de la femme au developpement socio-economique du continent. Plus specifiquement les objectifs consistent a : promouvoir l'emploi, les reSSQurces et les revenus pour les femmes; accroitre 1a participation des femmes a la prise de decisions; ct renforcer la banque de donnees sur la femme et Ie deve!oppement et les reseaux d'information pour In formulation de politiqlles et programmes en faveur des femmes. c\ Problemes traites 255. Il est certes vrai que I'egalite jllddique EU!'" Ie rnar'che d\l. travail est une condition prealable sine qua non pOUl' promouvoir l'emploi des femmes; toutefois, SOllvent, enes ne poss0dent pas Ies qualifications et la formation requises pour les emplois disponibles. Les femmes qui son t employee" dans les secteurs productifs tels que I'agriculture ont un rendement faibl" car elles n'ont aeces ni a la formation, ni 3,U c.redit, rli allX techfl1yuc'S. Dans les agro-industries, Ie niveau de I'emploi de la femme cst bas, en particulier aux positions c!es et techniques en raison de sa formation scipntifique f't tpchnigue p"u approprit§e, voire inexistante. Les conditions sanitaires des femmes rurales en particulier sont des obstacles a la participation effective des femmes en tant que main-d'oeuvre. a 256. La participation des femmes la pris" de decisions n'est pas proportionnelle a leur puissance numerique. Elles apparaissent tl'("is peu dans le processus de prise de oecisions politiques, la formulation des politiques, I'affectation des ressources ainsi que dans 1a conception de 1<'1 planifh;aLion du developpernent. L'egalite n'a pas ete aSSUl'ee dans ces domaines. 257. Dans le cadre des tendanccs socio-economiques emergentes en Afrique, il est necessaire de renforcer 1a ban que de donnees sur les femmes en vue de la formulation des politiques et programmes. Les reseaux d'information doivent etre renforces et les systemes publics d'information et autres medias doivent etre mis contribution pour la diffusion des donnees sur les femmes. a E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 79 il Situation a la fin de 1991 258. II sera davantage tenu compte des questions relatives aU sexe dans la planification du developpement dans les Etats membres grace Ii I'utilisation des directives etablies par la CEA. Une certaine amelioration aura ete enregistree dans la diffusion des donnees sur les femmes africaines grace aux services de la ban que de donnees sur la femme et Ie developpement. Les donnees recueillies et les ateliers organises sur Ie role de la femme dans Ie secleuI' non structure aideraient les gouvernements it formuler des politiques et des programmes d'action sur cette question. Les donnees de base sur les femmes et les filles en Afrique face a. l'enseignement scientifique et technique auront He recueillies. 1I n manuel sur 113. creation de peti'.;es entreprises pour les femmes aura et,s mis ii. la disposition des Etats membres. En conclusion, la prise en consideration des questions relatives au sex€, au niveau le plus eleve, aura enl'egistre qVE'1cr~0B p!"'ogl'es. iii Periode 1992-19;)7 259. L'analyse globale et sectorielle des tendances socio-economigues naissantes et leurs incidences sur la femme africaine sera realisee, grace ii. la mobilisation des reseaux d'information; la cooperation des Etats membres en vue de la sensibilisation des systernes publics d'information sera reeherchee pour la diffusion des donnees; la promotion des possibilites ci'emploi des femmes dans les agl'o-industries se poursuivra avec les projets experimentaux dans des pays selectionnes; dans Ie sec-teur agl'icole, I'amelioration du role de la femme dans Ie controle des services productifs et de distribution sera recherchee grace it 1.'1 formation et it l'acees aux facilites de credit. Des efforts de formation seront deployes pour aider les femmes a participer a la prise de decisions en ce qui concel'ne la formulation des politiques agricoles et industrielles. Des rapports de suivi ser'ont publies sur la participation des femmes a la prise de decisions dans Ie sec:teul' public aux niveaux national et regional. SODS-PROGRAMME 25 ; a) SOCIETES TRANSNA TIONALES EN APRIQUE ;rextes pOl:ltlnt autorisation des travaux 260. Les textes porLant autol'isation des travaux de ce sous-programme sont les resolutions suivantes du Conseil ,iconomique et social: 1913 (LVII), paragraphes 4 et 6, 1961 ILIX), H!80/GO paragraphes 2, 3, 5, 7 et 9, 1" resolutions 35/56 annexe, paragraphe 70 de l'Assemblee 'lenerale et la resolution 3-17 (XIV), paragraphes 1, 2 et 3 de la Conference des ministres de la CEA. bi Ob jectifB il 261. Eliminer ou reduil'e au minimum ks effets negatif& des activites des societes transnationales; promouvoir la contribution positive des 50eietes transnationales aux E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 80 efforts de developpement des pays afl'icains; renforcer les moyens des pays a.fl'icains face aux questions liees aux societes transnationales. ii) Ob iectifs dLl secretariat 262. Fournir un appui fonctionnel pour l'application. la surveillance et l'examen des arrangements et accords en Afrique ayant trait aux societes transnationales; aider les gouvernements africains en analysant les activites des societes transnationale8 ainsi que les effets de ces actiyites sur les pays africains compte tenu en particulicI' du Programme prioritaire de redressement economique de l'Afrique J du Programme d'action des Nations Unie.s pour Ie redressement economique et Ie developpement de l' Afrique et des programmes d'ajustement structurel; organiser. dans 1a region ai'ricaille, des sfiminaires et d~autres reunions visant diffuser les conclusions des travaux de recherche ct des analyses sur les activites des societes transnationales; aider les gouvernements africains quant aux questions jUl'idiques J financiel'es, economiques ~!. operationnelles !iees a. des arrang~ments precis comm·~ les coentl'eprises, les con.['rats de licence et d'auLres arrangements contractuels passes avE'C les soclete5 transnationales. a c) Problc,mes traite,,! 26.'3. Bon nombre de pays af'rlcains ont certes ado pte des codes des investissements, des politiques et strategies liberales pOllr attirel' les investissements et la technologie de l'exterieur, mais ils se heurtent toujours a un endettement croissant et a. une penurie aigue de flux de ressou!'ces. La c:apacite des pays africains a. maximiser la contribution des societes transnationales a leurs objectifs de developpement [;st amoindrie par Ie manque de connaissances techniques face aces societes etant donne la gamme des questions en jell.. Les interets et les objectifs des societes transnationales ne cOlncidant pas neces8airement ou automatiquement avec ceux des pays africains, les gouvernements promulguent actueHement des politiques et des lois nat.ionales ~nin de couv-rir t.oute la gamme possible des questions liees a c:es f.".ocietes. La communaute Internationale a, en maintes occasions, fait appel pour que CeS efforts nationaux soient appuyes d'urgence grace a une assistance directe sou,:" la forme de services consultatifs, de programmes de formation et d'information. d) Strate,de pour 18 periode 1992-1<)97 264. Au cours de 10 periode 1890-1991, des trdvaux de recherche seront entrepris sur les societes transnationales dans Ie cadre do Programme d'action des Nations Unies pour Ie redressement economique et Ie d';"e!oppement de l'Afrique. Des services consultatifs et des programmeti de formation seront assures darls les Etats membres sur des question:::; ayant trait aux soci€:t.el" j·xansnationales. ii) Periode 1992-199, 265. La strategie au CaUls de la periode 1992-1997 comprendra les elements suiva.nts : E/ECVAD HOC.MTP/9 Page d1 a) ~lultlpJ.k~;·itj0n d,-_~s d'a.ccroitr0 lelll-s m()y-erl.';! i)c\ce ~)l intetlSifkdt.1. l n l'int(~ntion eff(:r~,3 "tflTl d·71~-.:?l~tt--) .--jl"':> d.es Eta:s IT,eir:brep; cl f""l'tlltule inter ~(1t~ vern~_~mer :.a'JX d'inlo1'm,--.. . r.i,_P.. ::::.~n_· ie:.> consl;l, ';L:i:.~ :cu:'ni:~ SE.- n,-:('0.s ,QllX P:l.,,\;S nfl'icnins .:.ii'::fl (ttl-'\. ~ccieter-j U:·AJ1;:.rw.tlona~es; t_'_E:>:_~ 3Ey\--jc~_:-: :if; formation ': :.- ~t d'u: soutiell for') I-icflllc't d'.J. d8velol peIl;ent d.-:;;;-'i UCCUp.1Jlt aux ol''5"3.niGmr:::s :' yst(:'m~~; no,tion&.ux ;_~.< t;'<t!1:::,.nc;:jo:1..ilIC s~ 266. 267. i: ;,~-~_:tnnt ,_'e':llvTilqd,' d' :lctior. --if.': "_; 19 :.:,<: 11/14, cl.nn,'''€ \ i -.. -. ,1';' ,h: r~\fj·:·__:u,;-. _:0'_:'rj,:~-~-aiE', e,!1 0(:\,\ :'"t j~::; ~')la;'d:~ d'.: d::?'. e!oppemerlt H'cw\.)uvoi' UJ \-,ar;t,J..~e Ie de"'ploppement et l''lmBli0r&t~o1~ de l'iLfr8,.r.>t~")n':~irf' SL':ii :~;"-:.lC,'d';:' ':.b,:;;::; It:_'. ~~LL:"~; l;lt::'mbl'E'2; a':::3urer 18 2€H. Promc:.lVOL;' I;·;. stat1stiqu,:. P ',: let::-' j','V:V: (l;':'r:~Lt'c 1:.7. mi:::;! f< {·~tiit'::--tiql]~O$ r8'21~iv!,< ': :'":"n";:H(:_~_:>'nl.:::'r-;-:: _~n.si. J~,(: '1~:3 ;;;:;,'ste!U(;s dc., staL-sU'lL",:: ,it" 1'I.'';":.1l i..:.-':-' .;"t F<'.~omolJv()il' (~n OlJtre >·)\.':;to L-''-l\,lqtU::' de;_" :,--'IL;):.3:S r,J,l''k:,ru:...I.I-. _->1', \'l..lI_: \l:l d0veloppement -;"'i 'ic~__ 3Ul;:;~~::..i/, ,leg ·:c.O;;\l)TI"-'l·~e,':.~ de t)df'J·. ,i.'s dettJo·;;'r . '1. ~;r .£q1al'.c,t1Jc n 8t r_n.:-~~-:::{ ~~l<'h~<:--, d\:~t 1'. elY\!. t,"L l,;l c()11e·~...,~·.:- 1\ ta~') li.;s.-:"rr.e n lnLe~':r= et t d,:~ L\ \~:OI:lT'()~iU'.:n ':~~2 a<,"~l-:iL:::s 1~1; n" 'f" tl'-:l .. ",0!W"::::1', (::C''-'UOUIHJ W',;:-,: l'.':lt(: ~~·r(:._~s L:",,'C,:~>:.~ l'_~ _t ___:-_i::tLhi\H:'::'~ d(: i et/cu l.a c!.'evtion d~une l'-1aalys" ;..:(:~ donnees ''::1)::- les es: ,.-'.iJ· !l~~C,- S~ .....lC't S t i , ~- 1:..;~~ I'~l, ,~', '.J.,DC:1'3.Lh:J.f"l ah··icd,ilU;' ,~;,- l.h: E10C1PJ sl;snilic..:Hifs; de',,'fJcPPE>:' k," ..;ap~,~c.it~;.:; l:UJi~-..:~' ::':"U' j~t la leurs LU!' des il.('nCtg(>,.; l?n"vil'':-)iL'-;f-[:'tcnt j"11 , "I.e ,::( lJ,::cL-' ,i,:- -iOi'_:"'C't..''? ;'1~ r~y:;s(i'rd:-ler Jcs dOiP.1C".:.2 d::- li:'~ <.I .. L,~,,:,__ :i',~:-i :.. ·~L~ ,,.:u,' i·.'s i"'m].!.':::::, h-:: ~ t-:n~DrlLE. !~-~ hEtndlc,;.'1 T_ien;::nn~",'~: . Vl-L1SL'lU: ~ et <-·f ':(,1~ti::11':" t'S ~0t'c'}Pf:::-::.. ~p\.·.c!.'C;:"',l.-" e t, 1·'.':" (;--" c..C,UE'.:U:. t~t:,.: bas,; eont.inut' d.es dun0.\:"'9s dar,,:; 1-:1 C0liecte dE'~: (ionnees .i.cononnq·ue et :!~c,,'~8.;.aires POU1' produire ::::tati:3h',j:.IE'S (.-~n '':~le -:le la de\'-t:.'lopppnlC~-1t ;::;j:lll.ificL,:,i:.:>rr. :tlJ Buh'1, .... de r~valuatl0P des p~'o,g~~(:s F<o"i.:·~ux ct econcn~lql:If'S; et E/ECA/AD HOC.MTP/9 r,,,g c' pl·;lJl-.lltV'. 'I' l..~ )!t ,.-",·'fit:.liCL ~2' '-"t';, .Li:,-.'::'-, \'~: ':,_ ]>n<L·_'.'::, t-i,_:-s di 3,i~~ j ' _L...I.[.lls.:;eweI,L clOnneec. rassemblees dans leE pays. de d(~s et de ta Gompsrahilite 27L. -:_.'_,i,fJ'lCjUe 1''1\'(;(= un r:o\:-'~)r':: tClt:::l.l d ~)3 f-'::-:- ~ '~L~ ':3b:·.~ ,_'sr t::-{ l', ;;:ic.{ ;~Ul ccn;.pt-e 1(" 11us grand nO;~·tbr:.:- dr,: pa.:\'l::' ciC"-';3t'S jXll'mi .\:s u(~ Lny, ;_--t""\,~;: nee!3. lJ' d/:\-<::lcPiJemt:nt d.es sLs:.L:;t;1u.Ut'S ·L:;.r;s l.~-l.- -; Cg-kl'-l t~S;-, enCU1'0 l-'Cll sati:·;f:-llS:-\E:" en d(~p:+-' ,i .... nt-' '::ert.:-t!ne Elm0hoT'-:;\..t ion 2'nn-~,:-,; i.:::-,tn~ <.:.' UU cou,~,'s de~. (h~ u.x: d ~rLi.~:::I";s dh:;-:' n ni~:-~. ;- l'e:-. pi.; u de J:)dY:~ "-~.'nt '-'L.cnt~ ')1t-: ~-. ,x'crJo '.n-:< ,A~U~' 11:" d\~Yeici;J1;'c~n':2rjt "',~l\.i,:;t.>~tl~e ,~,t. uri r.ombre i'-hlS r?:"\l:ii~. rli8P()~~'~r't. do plans de dt~v~'lc'pr,'(::,me!lt nalicna l,I.).: '-ju: tiefl'1eLt: CCHll[)t>': '~,~l ,j·3<,;·,-i)pJ."';:nr2r'l C\?'" ,;;It.)L,~Uq:.Jct::. 1."l '.::,:is+.7 i.l.ne Vel.iUI'1C ;J'--:,rsi,::;t3.nt'~ dt:: :,:.taliL.t:icitn.::' qU·),ilfj'.:~3 ~:;t c~:;m;J\~L'~llL;:) d Ul:~ b(':'n~":l!'~r- De )),::<Y5 .::.tf1'lcc:tin.:.:" Ju lJersOLliet :;. ci. E: fG~"m~'; LJu:':'t,.-;[c:i.:::, ] ',·:xc,;j,.-' c-i ,::',,: 1.'om~j(~te.:1C2.s_ lloL~m::H:,nt 31.[ nj"\ -;-:1't ~u;_>i','ieLi:":' ;::)cst (;C'2 f'!tC'lr~~ pOllr~uiv1. r;~J J'u:n t~qu~)"Jl:ment ll"'~'C'1::Ti~.iti·~lH: e~ de \... c.)lle·~t(:· de",,:. ,j.'-~{\n;~\-,~, et i~ pd.blicatioll des l'~sull,n,Ls ,:st tCU.jOl~l's t1'OP l(~r'j>1;, Les or1n·:ir'd:e:.:', e3.1S0nS C,-j. '~~Or:J-:: : -l perlul'ie de staListtCl'ens l-1(rjf:)~J3nt L::-, i'1f:tLlL.le_~ :aCGc-, r;F.','~, C.LL'j_~> 1t; ·.JI..',main<-: d,-! tlHjt:::'me!lt des dLnnt:"e~ ,t cell,c: ric ~.t.-)e.('i[.. E:.:,t,,:-) ,~,-:~~:·Jl~-:-'. ·'n t.r~l~,'...i:.::"mer:i:. d'2 dOIl!-l'-'-'2'-5 "in .; '-.l"t.',E: IE, n:.V'J.,~ll in~-;~lff1saDt (~P e'o!',iin'3.t.lcn e-rl.l:-1'(· ccs ciP':'-'-:_Ed~st.>2 ·:~l 1(~' [n:'ormC!,'jclens. pl~ls loglcjels d0'pii., :...k L:~ pe"f")~'ln:l,n',~)~ inlSf:' 2Jl sel"nCi-; ie ,:8,3.1 \ n"r,~ Clf-::-,,_, 'jor,n·£':, mj'.-S;:'.t.ion, p3.rth;ulir."',' ';!l enr~gj8trt?-.;:.'s ,lan~::. '.,' ~-:1,U F'n:,~r;lillll1'~> ~--\.f~'jc-:4.~n ~~n:lp:t:::::) 12 p'-'!.~v; il c~: n":~ll ~)'::)I_ll' (>~ qu:~ e'·'t df.<~ 'l ::.::~L C'::Tt.,.:;;; \ ral dGfi1c..·;,rlf'. L~ ,"'f)nCernh,Ilt j{r.1c-;J':J..phiqtll::'s, qlli conCf~rne !S dhponibdite d'2 tv..:...'- nd.ttc~ 1n" I;:):)l't.::.uiLE-:: t:t 1a c::..u~c':, el 8ffl"ts d.':,s tendances CJ ;,:.:~ :~C~ .[::,a,\-8 [\.1.:.'i',;'-liI15 (Jnt adhel'~ D d\~n:::lll(:'te 'sur mi'::0 .::n l·h.cc ric ctispc>::;iti.fs L'i :'e.r.:, -i'Jn. Bien ,~( U,,":: '.:>-:rtair/l--"f-:. ;:. \T,:lJ ~t;3ti",-·,n::-; :1 .. 1'envircn llt::nlt.:HC ,'uent ),:-I::_~,i'r:ce ::,,~,_~ C~!):::l'Unli1~';OL uLill':\:::1~L'\..U 3- ~72, ILl. ·L.i~"~ '·d-jt.'-~nce ,' ,It-: ('olk,:t.2, .sur ~)c :1<,m')~',?UX }.;~t:"S ,),:'l'ic.:'..ll1b l'lt; ·ommUl'-:,G;,.l::o.:~· J.~ liJe{:ani~ i'-.1eS ~.Juss~d'2nt p<1.;:> \~n:·::-.1~·t-'· .:L" ::"t.'ltL2,t!q~l'2~ d~ de base: I, Gomm'2~'ce, l'ind'..1st::.-"h:. r~·rH:rg"!e, lcs h'acsports, les ,;t lc :_; T 1':..... l/(.::::: con:l;.tes r'!,lti')n,~dX ()(IL . t(~ d!:t. s:· t:?b ~;,~ :..rait.es sur ~~OUl' le_ J_'<'ly:s;j, L. !,~o:.'SJ~)n, majs fE'S c:.'Jnnees L~ ,:'omr·ta~i":l'--2 rlu:"i ..."')nak: sc~r,-t lir:li~F(?S, ~~t_ 'Ja).E:~ le' pluD(i~~t ,.1es o..:'a.:s (-ies mo·::it~lE'S lx,"::; ~,>~TJ',:l','!.u:\. h. >,T::anletl'eS ba::'::' E'l'.l'r-. uLiljs,-;3 :73. el~~ entre Ie::;. l~agrl~lJ.i~.u'''e, diif'~.:~~nt·,E"·:: pl'r-;/~d~s p("l'.lr r'p8.{ iq~~~.::m':'nl tf)\,;,c ',10 les ~(,Ir,:;ur~ pa~ ·llO'il1S que c(' fH'or;'...',')"rnillt-' n'f!st OPi":~t'dt,l.·~,f\~J qL't:'. dan::> /etnbHssemer\t je pOllt' -\'.3.1:.. 'r h;~:--, 1.ctivh:,e::, tOl(t :-i f:-,-," :.lJ]!·~EGraU,cn~ r)a-~' r t.CU.;Olit'S V11e l.C: L'. :-1::-',:,::" Z }X1.E' :)r;~,(: .if: .!~"poct i:v.'~ eOlvent (~lffpJ"pnles. L:J '~CU\-('1'tlir~, i~ Cl\.(,-JJt(~ (~.\. l'."'~J (h~L:.ds d't~tablissement econoIIllques .,:j~< '-='1T\'l~·c'nnr·i1j(!lU-:.l ~"'J insuffisantes des statistiques socio- !.it- lei- :'e~ic>n al.E'unt elll~egistrp un~: cf.'l'taine .'1'-: derJlll l:;e::.: .JnneE;~·_, l~S:)~ nean;l1oins. elles ne seront .i'l d.ct~>:Jis(:'es pour fcu]'nir '.inr.: 1)ase '1pprop!'if:~e en d,:c:'·.',iU1".,.":, tiu ~uivi ,:~t de l'(~~valu,~ti0n ch~s J,~ci8ions. L 'utilisation dt~i..F(i.lJt:('''; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 83 des progiciels sLatistJqUE:2,t eli r>klf'ticulic:l' '_":b.!13 Ie domaine d<;::s sciences sociaies, aura augmente, bien que de maniere peu sIgnificative. 274. Les programmes d'enquete integres pour la colled" des donnees de base, de preference aux enquetes "!Q. hoc, auront ete mis en oeuvre dans environ 1'-1 pays. Des progres aur'Jnt ete realises dans la mise en place des capacites nation ale" pour 180 collecte et la mobilisation des donnees primaires et secondaires. L'accent continuera a etre place sur la creation de nouvelles series de donnees de base et sur l'amelioration des series existantes en vue de leur incorporation dans leB chiffres estimatifs de 180 comptabilite national",. a 275. Pour certains pays, Ie,; statistiques relatives aux produits de base, I'energie et aUK comptp!> nationauK ne "eront toutefo]" )Jas apPl'opriees et les donnees relatives aux prix pour revaluation des conditions economiques, l'evaluation des ten dances de la prodlldion et ""lle de I'information seronL loin d 'etre completes. 276. Les 15 centres de formation statistique participant au Programme de formation statistique pour l'Afrique (PFSA) dont sept sont anglophones et hult francophones auront forme en moyenne 700 personnes qualifiees par an aUK niveaux professionnel et intermediaire. Quelque 20 formateurs participant aux programmes de formation en COUl'S d~eIf1ploi de niveau intermediaire auront ete formes g:-ace aux ateliers. En depiL de tout ceci,ia demande de &tatisticiens qualifies n'aura pas lite satisfaite. La formation de t.roisieme cycle devr" eLre renforcee davantage et les activites de recherche devront etre ameliorees dans les centres. 277. Pratiquement tous les pays africains auront elabore des programmes de recensements d6mOffro.phiqu-::::, et dt: Tl<)mbreux pays seroni, Hctivement en train d'elaborer ou de renforcer des programmes d'enquetes contmues sur les menages et d'entreprendre des programmes experirnentaux pour I'amelbration de leurs systeme!; d'etat civil eL de statistiques de l'etat civil. L'examen des pratiques en vigueur dans la collecte, k traitement, l'analyse et l'application de donnees demographiques et socio-economiques d'ins les pays afl'icains sera entrepris. Un certain nombre de pays de la region se seront lances dans la colleete de statistiques de l'environneID"nt,dans Ie cadre de leurs acti,ites ordinaires ayant trait aux statistiques; mais, les capacites conceptuelles, institutionnelles et techniques devront fitre developpees davantage afin de fournil' aux planificaLeUl'S des informations appropriees sur I'environnement. 278. Des aclivites de formation (formation en cours d 'emploi, senllnaires, ateliers et groupes de travaill visant i>. d,~vebpper los aptitudes conceptuel!es et methodologiques du personnel statistique nat.1onal au rant He organisees. Afin d'ameliorer leurs l'esultats, ces ",ff0rts deyronL toutefois i',tre intensifies. ii) 279. La strategie Eeriod'L1992-1997 a. adopter pour Ie prochain plan 'l. moyen terme est 180 suivante: a) Une assistance sera apportee aux Etats membres dans Ie maintien et Ie renforcement de leur eadre institutionnel pour la fourniture de donnees en vue E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 84 de la planlficatiQn int(~gre~~ les dC:.lllaln r-;!;,-: C,}U\;ei:Us :::,ompl"C~ntlroIlt le:s uonnees demographiques, sociales et economiques, en particulier sur les menages et la composition des menages, ainsi que les Etatistiques de l'environnement; b) Une serie de pl'incipes directeurs sera preparee, en particulier concernant les aspects ci-apres l'acquisition d'installations et sen-kes informatiques, y compris des micro-ordinateurs et de lEouI's logiciels, la collaboration verticale et horizontale en matiere de traitement de donnees entre les differentes unites administratives des bureaux nationaux de st...qtistiqllE:; les applications et l'analyse des donnees, parLiculicrement pertinentes pour la region; et l'utilisation de l'information statistique pour Ie suivi de l'execution des plans de developpement nationaux; c) Le materiel de calcul statistique pour J.a formation en "ours d'emploi et la formation classique de statisticiens dans lea centres de formation statistique sera fourni; d) Une sene de serninaires et d'ateliers de formation sera organisce en vue des objectifs suivants : examiner les besoins cOllceptuels et administratifs en vue de l'amelioration des programmes nationaux, sous-regionaux et regionaux relatifs aux statistiques socio-economiques et environnementaJes; promouvoir les echanges de donnees d'experience entre les pays de la region dans Ie domaine des statistiques; et rnettre davantage en valeur la competence professionnelle des participants. Ces ateliers et seminaires seront axes sur les points ci-dessous ; l'informatisalion des donnees statistigues; les recensements demographiques, avec un accent particulier sur les ~roupes spec:iaux de ia population; les systemes d'etat civil et la. collecte de statistiques de l'etat civil; les enquetes sur ies menages; les statistiques de Fenvin)nnemenL; If;,C;: s-t-.;:tti.stiqu~s du commerce interna.tional; les enquetes sur les entreprises; les statistiques economiques de base; et les comptes nationaux. Une serle de docuTfH~nb7, techniques S(:I.'.3, elaboree sur les sujets susmentionnes et ces documents seront ameliores afin de fournir aux Etats membres les methodologies statistiquP.R .'ldaptees it leurs besoins. Section 2 a} Jextes portant autorisation des travaux 280. Les textes portant autorisation des trava.UK de cette seetion sont les suivauts: le Plan d'action de Sagos pour Ie developpement economique de l'Afrique, 19802000 (A/S-ll/l1, annexe); la resolution 5-13/2 de rAssembl<~" generale sur Ie Programme d'action des Nations Unles pour Ie t'edressement economique el Ie developpement de l'Afrique, 1986-1990; et la 5trategie internationale du developpernent pour la quatrieme Decennie des Nations Unies pour Ie developpernent. b) Objectifs ii Ob iectifs des or ganes il1tergouvernementaux 281. Ameliorer la portee, la pel·tinence, les delais d'etabUssement, 1a fiabilite et la rentabilite des statistiques eeonomiqnes, sociales, dernographiques et de ---, IVECA/AD HOC.MTP/9 Page 85 Itenvironnement, nationales et internationales, afin d'ameliorer 1a planification, le suivi et I'evaluation du developpement; encourager les pays a affie!iorer Ill. eou\'erture et Ie contenu des recensement.s de la population, des enquetes sur les menages et des systemes d'etat civil; et pl'omouvoir Ie developpement des bases de donnees eomprenant les statistiques de I'environnement, les comptes nationaux et autres statistiques econcmiques de base;. 282. Promouvoir la capacit<§ des Etats membres dans la collecte, la pl'<§sentation, I'analyse et. la diffusion des statistiques economiques, sociales, demographiques et de I'envil'onnement; accroitre Ie niveau d'autosuffisance des pays en leur apportant un appui 'Continu pour 18 developpement des capacites nationales en matiere de traitement des donnees. en particulier en ameliorant I'utilisatioll des microordinateurs; accroitre lao disponibilite et alJ1Ediorcl' l'acces aux banques de donnees nationales, sous-l'egionale:~ et regionales; fournil' aux utilisateul's, sur une base continue, des donnees economigues, 30ciaJes~ demographiques et environnementales comparable" sur Ie plan international. 283. En depit des progres considerables realises dans I'organisation et la production statistiques, lao pol'tee. la quatit,; et Panal:>se deg statistiques en Afrique repondent difficiJement aux besoins les plus elementaires en matiere de pla.nification et de prise de decisions. Les lacunes constatees dans les series statistiques de base <"manant des recensements f"t enquetes sont sou vent dues aux problemes de gestion ",t de planifkCltion, ''''x goulot.s d 'etrangiement dnns Ia pbase de traitement des donnees et aux problernes relatifs a l'analyse et it la diffusion des donnees. Suite a la rotation frequente de personnpistatistique qualifie, de nombreux services statistiques nationaux ne disposent pas des competencC';s necessaires pour entreprendl'e les recensements et les enqnetes, pour mener ~~gi.ilement ~e traitement et l'an.;.lyse .Ct temps des donnees, rassembler et analyser les donnees sur les conditions environnementales et estimel' Ies chifh'es de la comptabilite nationale. Un nombl'e considerable de recueils de statistiques sont l?ublies avec beaucoup de retard aYec comme resultat Ie fo.it qu'il~ ne presentent plus qu'un interet histurique. Ces incunes poul'l'aient Sf' tl'adujl'e par des colits enormes si les facteurs quj sOlls-tendent IBs crises socio-eeonomiques et environnementales demeul'ent inconnus 8t pal' c'Jnsequent non traites. dl Stl·9.te~our il situation la periode 1992-1997 a la fin d 'c 199J 284. Une ",'aluation de l'ftat de disponibilit" des stati&liques economiques, soeiales t demographiqut3's et r:nvironnementales de base dans la n~glon aura ete reaHsee. des recommandaticns (iuront ,5te formulees et de;,-: programmes visant a com bIer les lacunes en matiere de donnt~es seront ~ll cours dans un certa:n nombre de pays. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 86 285. La base de donnees statistiques regionales aura ete informatisee et developpee da,-antage. Elle aura ete etendue pour contenil' des donnees sur les statistiques de l'environnement, avec un accent particulier sur la secheresse et let desertificabon et sur les reSSOUl'ces naturelles. Toutefois, Ie developpement integral de cette banque de donnees qui a ete entrave, par Ie passe, par la crise financiere de l'ONU, dependra des ressources disponibles et de la quantite et de la qualite des reSSQurces emanant des centres d1appui nationaux et sOLLs-regionaux. C'est leur croissance qui determinera par consequent l'ampleur et l'importance de la banque de donnees au niveau regional. 286. Les pays auront acquis plus de micro-ordinateurs, avec pour consequence un temps de traitement plus rapid"" llne plus grande capacite de stockage et des couts plus faibles. Il existera un besoin accru d'assister les pays dans la creation de sysb2mes nationaux informatises de statistiques economiques, sociales, demographiques et environnementales intE~grees. 287. Des etudes auront ete realisees et des l'ecornmandations auront ete forrnulees concernant III capacite nationalc de traitem~nt des donnees statistiques, Ie developpement de 13. base de donnees statistiques et l'utilisation des progiciels dans Ie traitement de ces donnees. Toutefois, ces recomrnandations n'auront pas ete pleinement mises en oeuvrc. Un certain nombre de publications statistiques sur la collecte, Ie traitement, l'anabrse et l'a}:;-plication de donnees economiques, sociales et demographiques dans les pays africains aUl'ont ete preparees et diffusees. Ces publications t8chniques auront po"r objectif d'aider les gouvernements nationaux a consolider les realisations pass\~es et assurer ainGi Ie caraclere durable des mecanismes de callecte de donnees qui ant 6te ou qui sont en train d'etre mis en place. ii) 288. La stro.t.egie l'eriode 1992-1997 a adopter pour 1e plan a moyen terme est la suivante a) Des services consultatifs seronL assures pour les pays en ce qui concerne les aspects suivflnts : la formulation de pl3.ns statistiques, y cornpris les calendriers de production, les programmes de formation et les besoins detailles en matiere de traitement des dor..nees; la mise en place de comite d'utilisateurs en vue d'optimiser l'utilisation des disposiLifs centl'aux de traitement des donnees; et Ie developpement et Pentretien dE.- :sy-sternes inl'ormatises integres de statistiques economiques, socialeR, demo.g'l'aphiques et ~nvironnpmentales; b) Des servjces consultatifs seront egalement assures a la demande des Etats membres dans 1e dOlll;"l.ine des recensemenis de la population, des registres d'etat civil, des enquetes stir les menages, des statistiques de fenvironnement, de la comptabilite nationale, dee statistiques commerciales et des statistiques industrielles. Us consisteront essentielleI!lent " nromouYoir l'autosuffisance du personnel na.tional dans le domaine des statistiques et i1s mettront ~)ar consequent l'accent sur la format jon en caul's d'emploi~ c) La b-3.se de donnl~es statistiques e-xistan te au niveau regional sera etendue en vue de la diffusion d'informations statistiques detaillees et actualisees E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 87 a l'intention des utiEsat(:uJ:s, ;.- comrris. dE's donnees bien docurnentees emanant d'autres banques de donnees internationales et de sources nationales; d) Des etudes methodologiques seronl entreprises dans les domaines specifiques des statistique£ economiques, sociales, demographiques et environnementales. Ces "tudes auronl deux objectifs principaux : identifier et analyser les lacunes de:s statistiques de base .J.U niveau national d 'une part et, d'autre part, servir de principes diredeurs techniques pour les Etats membres afin de les aider dans leurs efforts visant it ameliorer la qualite et les delais d 'etablissement des donnees recueillies. SOl'S-PROGRAl'IME 27: a) TRANSPORTS EN AFRIQUE Textes portant autorisation des travdUX 289. Les textes portant autorlsation des travaux du present sous-programme sont les resolutions 3fi/64 concernant Ie document A/S-11/14, S-13/2 et 43/179 de l'Assembke generale et la resclution 639(XnIl de la Commission. b) ab jectifs i) ab iectifs des organes intergouvernementaux 290. Les efforts des gouvernements des Etats m8mbres seront axes sur la formulation de politiques, la mobilisation des ressources et la mise en place des capacites necessaires en vue de reali3er les objectifs ci-apres : a) Unc iLpproch€ :iJt{gr<:;,c d.f' ja IJlal1ification du secteur des transports grace a la planification multimodale et a la coordination des activites de transports aux niveaux regional, sou8-r~~;ional et international; b) Une efficacite accrue des services cte transports, y compris les politiques en vue d'une fixation appropriee de prix pour les differents modes de transports, la modernisation et I'utilisation optimale des infrastructures de transports ainsi que la mise en valeur et la formation de la main-c'oeuvre; c) La facilitation du tl'afic inter-Etats avec un accent particulier 3ur l'amelioration de la classification et de la nOl'malisatior, des procedures relatives au traf5c et l'adhesion aux con"\Tentions internationales r(c~gissant dl Des systp.mes coordonnes de tl·ansports visant sans littoral et autrE'S regions isolees; et a. les flux de tl~afic; desenclaver les pays e) Des mecanismE's etablis pOllr les transferts et Ie developpement de technologies requises pour I'entretien, la modernisation, I'expansion E't l'utilisation des reseaux. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 88 Ii) 291. L'objeetif principal au secn:Lariat sera d'aider Ies Etats memb"E!s dans leurs efforts visant a instaurer une cooperation pratique, sur une base multinationale, dans Ie domaine des trane;ports, en particulier en Ce qui concerne la facilitation du trafic inter-Etats, Ie developpement et I'entrelien des lnfrastructures et la creation de systeme" appt'opri~s de gestion des. rcssources humaines. Le secretariat a egalernent ['intentioll de jolter son role d'or,.ani6me directeur, en coordonnant et en suivanl la mise en oeUVrE! de 1.'1 dpuxieme Decennie des "ations Unies pour les transports et los communications en Aft'iqut;, 1991-2000. c) 292. L'absence d'une planification ;nte/Srcie en Afri'l.ue a engendre des complications dans de nombreux domaines, complications qui ant ent.raine des investissements insuffisant.s dans Ie domaine des transports, I'absence de coordination entre les differents modes de tl'ansports, les lacunes au n;veau de la gestion, une utilisation peu rationnel1e du materjel disponible, une exploitation peu rentable, de faib!es niveaux d., productivite, un d6veloppement technologique lent et un developpement institutionne) insuffisant. 293. De nombreux pays de 1.'1 region n'ont pas ete capables d'adoptel' ou d'appli,{uer deB politiques de developpement de'; transports. Ils cennaissen~ generalement des dlffkultes clans l'ecoulement continu du tl'afic inler-Etats, meme dans Ie. deja en place. En outre, seuls quelques r£seau;;c de transports sont bien .:;eres alors que la plupa,rt sont mal entretenus pt mal repures et que la qualite des .services !ah;se generalement a desireI'. L'infra",tl'llcture des reseau:'\ africains ('st nell s.culement insuffisiinte mais eHe repond egalement des norrnes inferieures. 1,<"", liaisons inter-Etuts de transports sont egalement entravees p{lr lin manquE de coordination "ntr" le3 instituti.)ns, les l'eglement.'l.tions, les procedures et pratique;;, La tendance qu'ont leg pays africains ii. faveriser les liaisons traditionnelles aveC' d'autl'cs regions n'ccppartenant pas au continent constitue un handicap au developpement de nouvelles liaisons inter-Etats au sein du continent. 11 existe un besoin r"(>] de personnel plus qualifie et d'installations et services de forma.tion. a 294. En depit des tentatives faites au cours de 1a periode 1984-1991 pour developper les aspec.ts multimodaux de transports, essentiellement la conteneurisation, aUeUn PI''Jgr"" significatif n'a ete enregistl'e. Les efforts n'ont egalement pas about! en ce q11i concerne la creation d'institutions en general, compte tenu, dans une grande mesul'€', de l'incapacite: au du manque de volente des Etats membres 9. frmrnir Ie type d'appui pratique m,cessaire pour maintenir les organismes intergouvernementaux deja crees. Des resuitats peu satisfaisants ont eLe egalemenL enregistres dans Ie domaine de b mise en valeur de la main-d'oeuvre, essentidlement en raison de I'absence ou de l'insuffisance des systemes de gestion de ressources humaines. '::/":C ' j £\D HOC .MTF /9 :Page 89 22;,). ~~'1 1991 l~ t:,,'<:n::t.fJT. :,t, ' ,', it ·r: ' f f' ; ' , :1. ;-',,,' f' es C: '. u a;~::::' .-, U l' l~-: 2; pC-it, t,s .::. uh~ants ; Pha::"Il1.onisation ,,-,t. 1,::1- cOuI'diru::l, tc,r~ t,J"':';'. ~j U\'f, j'i. r '.E- n:ocj"2~ '~lI::'" '. '!."'i.?',.E V'-"'~"'[-; J. -~ pri!1cipes dil'ectclll'S p'JUY ;:~ tvl'T!Lll~1tk';1 c!~ t 'i" __ 'IJ:: _It i::--; E-t !;ro~:l"::iLll~:f;'-; J't:" :tifs : .. ,,'1. m';lin--d'oeu',-re C.-~;.LS lc d·:_'r:~::<',:;ll -J',":. t: L",;-,- ,,' t; -:.of 1';:-' -,on ,~,::-~:..:,p')rj-_ \r~turit:·s t sur 1(:3 bescins '2'l';' t:i811.-tj'O<:u· P:-' r;t, f()nr:a.t,',-,p .~f('~ -_;~lE": 1c'>,2, .:):.:.'1 ...\3 £.,t ~-\rojt;?-t~ exist3nts, ,,-isant c\ [,1-orr'<)l' \'C.il- le d;:-VL'ir)ppem·~'nt 1~ UT" \',Jmp(.'sanlc i'htlH.;tlielle . du secteur des tr.s.T1SpGrts '::on ,\frF'l.,~-". \\,,?\":ilfJ,~tt'j('p :,'hn,l'IT10ni,s;t.Uon dS3 I-,l'clbques et .l r<:'gk~m(:'ntC'..tLons J.Gt,('l~!la1'.i.on,,,,je~ ~n m,l.L~l·': de U·?~nSllol't~·: et des p_eif"L{~i;/_~s direeteurs }Y.Jur ,;,'" f;3',~11jt,"~tic.,n d\.' U',JJic .,lin,;',: yU€: 1,' pr'ofl"..<)tic)1'l d,:, L:~ (>Y_"P-~l',-l,tlOr) H.'-lltJnat10nale JanE C!, l'Ldl,S d0n.';{:',~L''':::S ,->:2;';: \J!'-:,:: ,~:t~...;o~:· (t"-! l~,~n:- [1(')"':"Z. }y~, i'_',ci.i'Itt"-:';'" pl'epara+-~o)rcs l (C-u:<',\.in~c,:l1:--J·~~~ en ,"..f!"ci\.-~e ,:,>;,:;~"nL l;.:\.r!(,8'r..)f'-r:~ ~-,,~,"ficj-:-l CiU 'f'! 'T~1'<1r:lm'''' (h~ dar:~ lrt l:, r~;i?S ri',:'Ul~ 1~:l';L:.t~ it-'S fi:lal:: t1'i__ I1::::.})r_,t t~ l""rldc'.::..t et 'Po~;;sib!(- Ie d,:::uxi~""rrH': LJ(·l'7nni~~. ii) ctl.;d·;s .~:t ,:.;; :ti\:-~V;3 ";n~~>(: au cour~-.; du ~:l£"'~j \ TIll:} ,';; term\.' 198·;·-1:)91, a sa'i.,Toir In L::1/'ilitation du trni:i;: :nt(c>'n;;,tiu:l1tL 1:-\ .11 Li (' cr: \ .~ieql '1<:' L\ ir:alrJ.-j·Ot~·u'\';,,'e E,t ia I..'rorrot,l;x) d'tFle In:1 1JstI'ie ix[--,'k:.:'lln<" en Inf.ltl,fyr, d0: tl"-1n;"l,'Ol't;:;. Lr: C"(,'P5E"_:p.lE-;nce, des f?fforts ~,tisanr: a in;:,taurer 1,;nc; cooper'lti(lJ; nl'Cltj',H'>':' i~l.tra-,-3.-,"ric:.tinF: seront inter- ;;ifh.~,<;" 8f' tf':rme :Iv r; :1.l'th: .1x3 ~)roJc~b:~f lctivitE-S et mecanismE'S c·p",:-ra~.:ionnEJE con,:l'~:"tS relatlf5 JU.'<: A'·pC\,:."; ,;-:",?, ~: Ie. t').<:Hitation du trafl!:: :'p;}tretie~{ ;:,t la u,]s~" ':'n ;>l.::1c,,::- d..:'s i,~!ft-::l::tHLI~i.ur··:>;;; j:~\n:> ;'-,: dOlUil-lne des tr:':.!n3}:nrtb ;-"\~':'; :-tf-, ,-~ccent Dc,rh\.'ul:~"r ';,:-il' :t;-:; :i',i:..,,~)r,,:::: n:'>"'l'-,ft,,:t:;; t'L h::s -cGu~oir:.::, de tr:Hl,:,ji, ';:l :-111 --:.,' \"';1 -;';).:'}":€ Q{': -=::-T;-:!)~Tl:~S cit-; ~~,.suon (;':~"" l'eSS:JU1TA~ :'1uf:.lain-"-:s d3nS touter:; h:s jnstitution,::' :it:-' ~!"~;.d15PC::r1~: j.--- t':'~\"";!<): J)f:r~H"nr cL l'''·:·,);oit.c"'~,.:.')n ,::ommune des S('~'\"\CH~" ,j.::- t.ransJ"""r"t:; duY'':-' i,,::,\'~ "'':." c~;<;'l, '3~~":':,).:t !.'ecLjL~3J,::.1·~:: et le deY"·'~iopDem~("i ni' b f,-,.f'r~',;,7,t"Jn n.'':;· l.'H,:{.:_,jrl(";;;.~ i';,"r~:::~tY',i'f ':;E.. ue~ Les acth'il,C,,~, r",lt..tht'.o;;; ., ;". ," "f1,d();-'· <,-":jr18"~~tj,jt:j,.:,f'1~ P~'. ·t'\·(1':,·{!rt6c,-; TJ j.:.rofit du l'enfol,,::·;c;l.!'n(-;t;L (L J(> ,b. l-,.l;:'l~)L...i.ll,~8.t.k}l') J2S in~~nt1J'c'j(dl~::; ;;}d~-:;L:dP:'P'~;. 297. L1; ~~tr;3.t.·'::J:12 cQrnportera e~alerv;~:.\t -i'~"~: l'E-~'!",tnk,'n':;" dl~S t'HPporLs c:t-_ d'2E acti\"ih~6 d·;' coopel"atlcn ~t::'chnl(Jl.Ih 6'" int,t"l'rlitlon;J.ie-~', [;(~ .; Cr)nsultat.ionG; (~\-(!c ,51a.ut.t'(~:::;:; ,:-::-or:p·ttcrtc ',J-'r'-:,rlt l)-OUl'S'J..i'vi·:;-;-l SiV,"~; (IUA~li0n~~ .j,·:..att'r'~t C".JJT!nFl~l: ('r1 ,.-"t.u~ jtHl".C' E'~', regionales d .. ; -..:j,;;.,_u,;cr. S11r des J'!ine '.:ctordinaticn dans ces (loIT1(dn1,"s, ii >23t (SCG-PlPt.,_ qtlL' It':'-} d(,,:, jou(~r pL:i f:t"m ~ ~'~t ~';'-' t" ;:'ok'- ~C-~1 l' {~(: dp 1:::', rc;_:1hsatlon d·; _:, " j 1",:". 298. U s~agiL ainsl que ,1-r(~solutio!l --i::-: cb,-i,=,':.~iif? ?-" ·::t :~,:;,9 1'\:'..111; 1;:' IJ. Cor.lnnssion t.!i)t:ti.J:i..::nt ':,JS-ll/' t -:t Je 1a. E/ECA/AD HOC.NTP/.i Page 90 a InPtt.l'E-' glo~,&l ,:~():~t~~lSU.~· 299. bO~lnf'" pa1,::;St.:'i' par d·_<~ r'3.j-:~- ~"~; _ dho::: ,~d":u'_~, d'assur',:-r la ':Jui:.ten:,_r!f-C '_:p.i }-,~~"::: (1~' l',.lJriq~H::' r{«':::ur~ des te.h~CJmmUniCatlO{I':; \F'.::~\\V:'1iL) exp1()itatlon:. tout en f:·~ei.i(i;.;tnt ,-U 8n p~, 1,::1':: pCT'ne'i:.tfCtL t'J~~ ,~LnEi x,:x-,{ [l 'C,,:.~ rE.~li·~.n-j('" ..)'" <1.-),. le,<.:.· 'lllliIl 'i(_-','~""" jr:fraGtruc;\l~'es elements manciu:.ints au nou\.~ellc>s teCh'1lquC>S ,jf;~ r:~·;cr.lll 1.:J. (1,' ,j~- ~),J.S_ LJ-~;,dh·_c<:.~in \..l'~~._j~i_-"lio:::'f-r.-:-:;,IL-- I,:.::. (;f)nmUnlCi:tti()n:,; ('xL:;\:'ll\t>:~, metLr(:- I'.J..>;" l.F"! EL ill':i.n-l\c'l P ~-, .1£_, ~<::'Jr .J.orcGtj:r',-eo; ,;·...:.t,:- teicC0ri1muni':.:~)L,-,n8. 300. efficacement Ies r,~S(J,~) ~_,-,~" v (I ~ L~ d_~~·;'-.L;:;~)n (-::t des efficacernent les n()u\~q lles tl"'-- hr:i'-11 12.:,de::; ;;'::L.l'+!,->,_,··.i;-;rt--~\-rh:·n~, ill~purtant ,-L: ;:l., ';!'. p.lace ies If's ~~.:. j:~.:.:. l'.~'S'''':'<c~:X JJ.atioll(.uJ~"; Ir:tTi)dUll'e 1.::-1 piu.: ~f:l~'::l~-.t:: de::...:. or¥:anisatiolls e:' l-'n.melior·;,tiort ,1t:'S politirn.u-_' ,3; JrOITlC'l:\-()l!-' k~ r~::s·-i·',K"..,uJ'aEoD ,:·nc.(jl;.r~--;l£:t~'1:- 1;,; J'.';-';;t.·~oppement du secteur d(~~ CQmmunh.;:-:.tlGIi~: ~~i[;:-.l "11.; ;,:" ':':"'.', '(:;~r_2 11--' ,~CljV21'l,&.nt; e.melior~l' l'achemincment ,~t tc~ d.;.'::tri\-)uLor:. du CQU_Y'rif~l': renfc. .l~( Ie'S ':::,-~'-r,;'lc{'s rle:--:; c(.rurrlers eXl:res t2~~ e;ectroni'lu" ":::. Jt'3 ("(>j"1L;,'ef.: cif" t.:. -i:1;-~:_t ';\.: 71\':Jdel"{;lse:r: h:s serviceE firw,ncjr;:~~s Jt: sYSL(-'ffiC po;:; Lal: sc;n'-;ibilis'?l' rOp_IllF':-l )J~_;~ ~-!-.,-:L1L::ut'f<3 -!d'::-"fll'ent a 1a "1'" ~-;ocipt~ Ip~. :~~ery(ce~:. parall~!r:~mer';t faveur (:"_-:- a ce]]e CI::-;,;} Pl'E~~,q,lt d J. JeVS!OPlA'[flI; :'J~ !..tnicI;!Gionc; d,'1JlS 'u>, :~'t !)l'Jfr;)I~-' .::-il~ ,~tc.=(jrrj:·, .H:- 1.:1 l'CoOpel'ali:.)n :>')oL~'f:rot:.]0n '-~;TPD!CEPD u ::,:,J.l~i'....Jnnelle en '_'ic~'; G(;~E;lur.k.c:.Lc_-;;:-: '?n _;1 ;:-j';:::.iJ.e. Te1e'::.orrlnE{nicalio)1_~: L-' _~_::rDb1t~;}lt;;,- f',};lda_m'~rl:,:d c~,,~- ,,'e~ui -ie c'::'--'v-cil' 2xploiter, maintenir ~n bon t"t.'lt (i- ri~:!',~el()':' )ei' l"i!:Fras:.l'lL t H"~-,' --Je:~ t',:;lecom;':1u_n~caLDn8 en place et y intrt.)dnire -jes te'_:!"'.'t1.lqa'>s m':...)de.nv'~'> \-L118:'c Jf:-'~-:;, pro~r:·e.;;:. eonsiderables qui. ant (~t{ reaEsl':'~' 'i'}_:'~~,; dc·m<:'li;Ic-:(' 3 :spcn~:lbh--'s ;j:(rlcains des ~e~·':'c-cmlP1Ur!jc":...t:GJl:':;_ S,-,:r:ll L.~)U)Oll1'S i·~)'1f.!'ur.h:'-,~ h ''':.... -'--'iu~ prubh?m('3 fonuamentaux, a sn"y-':J1l" ; lC:'s ,_:t):-JLr'::Linl,-~s :.'ldminisi...ratiVt;;;:) et organisationneliE:s qni liD',itr~nt 1a capacite dE' fQurnir ct gel.'c'· <:-ffi'::.J.Ct)Ili<::nt l'<.~"-::iU_!l>;:'lle ,t ;:': lro___(~ St~r'--lces Je ~ase des 301. tel~cQrnmur;icatior~~_-: i'iLS~,~·-:,,:,_';:':..(L-':: .• int(:'l'_:Ll •. l. ___ :Fi.~ _t""~"c 1(~ l:'(·.':}e;'t:_~ P',.i':c\.FIEL; Ie dia·.:,cords F,",-l::-:' l'_-,l'g.-'lnj!",,:--tt:)·'::'n iu !:::::lfic ~-:t, 1,. ' !,'. i--=,._r~f·o ~~(.;~-ionaiJ:x.; l'l.rt.,:uffisa.'1ce du mal'l\etir;g I~t i;(-:: ir~jtiaL'i\ toG dl-' l)f'IJfflotion "~~S&l~L 2. ",:,xp1ul:el' p[ficaccmerlt les sel''''iLC!2~ existntll.::'.; h:, ;-ue:.D'Iue d\"~ 1,"~S~',ou~'('es :llLIlal!li:';s '~li';;llifie2.s Cdn:~~ It." ,.iomaine des telecommunications; l'insuffisnncp ..-if' 1a m::l.intcndnCe t~l. d·,~ i'exp}ci'tation des n:)seaux esistants; ]\i.~)8enCe de '2f:_ct,-~jnc:s c()LrkxloTls (-;t 1e ;tl,'j._::-,q:"lE> d'indus-t:xil2s africaines prod"l~.-isal1t. je'-.:: ffi.Elteriels d,.;. ·20P,ini.Ul1lcat.ll..>Jls. :30~. i-1.J.dicui:"fusio!1 et tele-d:fjuf-.ioQ- ; L ;infl'~l.::.J:' Ll(;~,Ul'~ neceSSail"C a 1'8m~ssion, ':11a t ransr~llsr-:L.~n et.. A 1a 1";~C('l)tl,.)n ,ies informa.tIon;::, t":<.diod~ft\lSe€~·~ 0U t61eyu36es en A.Jr-ique 3ub.:.iah3.ri2nri2 n~ebt iKl.S s8u1eme:nt in8uffisante mais (·~:a1ement m3.1 repartie. E/ECA/ AD HOC.MTP/9 Page 91 Les emissions sont essentiellement captees dans les zones urbaines e-t periurbaines, carla reception dans les zones rurales pose de seriellx problemes dus d'une part au manque d'flectricite et de pilEs et de l'autre aux prix eleves des postes de radio et de b~h~vision, ainsi qu'a l'absence de cenlres communautaires de reception de programmes radiodiffuses ou tt~levises. 303. Services postaux : De maniere generale, les services postaux africains sont caracterises par Ie manque d'efficacite sur les plans de l'organisation et de l'exploitation. Les services postaux actuels sont insuffisants, inefficaces et lents. Malgre les efforts deployes par certains pays africains, les progres obtenus dans ce domaine durant la decennie pas see ont ete relativement limites. Les services postaux des pays africains laissent encore heaucour a desirer par rapport aux services post..'1.uxd'autres pays du monde. d) _Strategies pcur la Pliriode 1982-1997 iJ Situ2.tion .'1 ia fin de 19'11 304. A la fin de 1991, les pays africains auront en principe acheve la mise en place des arteres principales du reseau PANAFTEL. Au plan national, les reseau~\: auront ete etendus et alll'ont beneficie de l'introduction dEs technologies les plus modernes. L'autoIP..atique interu.rbain, Ie service automatique international et les services telex automatiques seraient dieponibles dans la quasi-totalite des pays africains. Les interconn£xions du reseau PANAFTEL et des reseaux nationaux de telecommunications avec les reseaux internationaux auront augmente. Cependant, les services mis a la disposition des ZO!leE'. l'urales seraient encore Iimites malgre les efforts qui ituront ete deployes dans ce sellS. L 'etude de faisabilite sur Ie Systeme regional africain de communications par satellite aura ete achevee, et si la Conference des ministres de la CEA parvier:t D. une uecision energique, les activites preparatoires a la mise sur orbite du satellite regional de communications auront progresse. 305. Les services de radiodiffusion et de leJediffusion continueraient a beneficier essentiellement aus principales zones urbaines et periurbaines J laissanl la rnajorite de la population rurale avec peu au pas de moyens d ly acceder. 306. Les services postaux continueraient a etre insuffisants, en particulier dans les zones rurales. Bi~n qu'on s'attende:\ CE: que ces t-;ervices soient pIns ou moins satisfaisants dans les zones urbaines, Ie nombre de bureau de poste serait bien en dega de l'objectif - un bureau de poste pour tous les 6 000 habitants - fixe dans Ie cadre dt:~ la precedente Decennie de~,) Nations Unie.s pour les transports et les communications en AfriquE,. Le manque de locaux ien p'l.rticulier les centres de tri) et de cadres superieurs et moyens qualifies affecteraii encore tous les pays africains. 307. Le secretariat assistera les services de telecommunications et de radiodiffusion des Etats membres de la CEA dans la !'estructuration de leurs reseaux, la mise au poir,t de leurs politiques et l'adoption de meilleures methodes E/ECA, AD HOC.MTP/9 Page 92 de gestion, et ee, en vue de les aider a exploiter davantage les possibilites de leurs infrastructures, a, ameliorer leurs services ainsi qu 'a perfectionner et a mieux utiliser les ressources humaines dans ce secteur. Le secretariat entreprendra egalement des etudes et des recherches sur les methodes les plus economiques dans l'extension des services de telecommunications et l'adiodiffusion aux zones rurales. Toutes ces activites seront poursuivies dans Ie cadre du plan a mo~~en terme. 308. Le secretariat, en collaboration avec les institutions specialisees des Nations Unies et les organisations africaines, et en etroite cooperation avec d'autres partenaires internatioDaux, continuera a assister les Etats membres dans la mise en place du Sysb2me regional africain de communications par satellite et poursuivra l'elaboration dtun rapport detail1e sur les plans a long ct a court terme visant ala creation de centres de recherche fondamentale et de developpement en matiere de communications, ainsi que d'industries regionales, sous-re;£ionales ou nationales qui puissent repondre aux besoins de ce sectelU'. 309. Le secretariat, en collabol'f''l.tion avec l'Union postale universelle et les organisations inter,gou'vernementales africaines concernees sp concentrera sur l'EJaboration d~s politiques et la gestivn, ct ee, en vue d'ameliorer l'efficacite des services et des administrations des postes. II fournira ega1ement son assistance dans l'amelioratioIl -:ies services de tri et des centres de transit africains et dans la solution des problemE::3 d'achemiTlement du courrier qui sont dus au manque de coordin:ltion entre les administrations des postes et les compagnies de transports maritime et aerien. 11 ~nlreprendra aussi deS etudes sur ia creation de caisses d'epargne postaIes et assistera dans l'extension deR services postaux aux zones rurales. SOUS-PROGRAMME 29 : TOURIS~fE EN AFRIQUE 310. Les textes portant autorisation des tJ'ayaux de ce sous-programme sont les resolutions 567 (XXI) et 6:10 (XXII, de lEt Commis::3ion. b) Objectifs i) OD jectifs des organes intergoLl vcrncmentaux 311. Les objectifs de ce SOUs-pl'ograrnme au ni--,,~eau intergouverncmentaI sont les suivants : promouvoir l;c.x:ploitc..tion rationnelle des l'Rssources et des potentialites en matiere de tourisme; favoriser ]a cooperat:ion et une integration harmonieuse des politiques et programmes dans Ie domaine du tourisme et du developpement; et renforcer la cooperation jntra-afrieaine en matiere de tourisme, par la c.reation de circuits inter-Etats, par deE. efforL; collect-ifs de promotion du tourisme et des programmes multinationau>. de formation professionneile. ii I 312. .ot hectit's du seneta,'iat Les objectifs du secretariat figul'cnt ci-dessous E/ECA/ AD HOC.MTP/9 Page 93 Oil FournjtUr'F rJ'lJne :'lssi:::LtI1CC: .-tUX ~tat,s m.f.;'mbl~e;,: dans la formulation de politiques et programmes nationaux et sous-regionaux pour Ie developpement du tourisme, y compris la fm'mation du personnel techmque pOUI' j'industrie touristiq ue; b) Promotion des echanges d'informatlOns developperoent du tourisme; sur les tendanees et Ie c) Promotion de l'integration regionale et sous-regionale par I'execution de programmes en vue de l'h"r~onisation et de la standardisation des methodes de gestion h6teli<~re, de programmes pour la formation a la planification et a l'analyse, la mise en place de systemes efficaces de formation professionnelle ains; que de mecanismes pour la concertation entre les professionnels du tourisme en Afrique, et fourniture d'une assistance aux Etats membres dans la creation de circuits tourist.iques inter-Etats et de mecanismes pour les exploiter efficacement. c} Problemes trait;'s 313. L'industrie touristique en Afrique se heurte a des problemes de fonctionnement el de gestion. CeUe situation est aggravee par J'insuffisance de l'infrastruclure et de~ services dans certains pays et par un manque de personnel qualifie et d'etablissem'mt3 de formatiof" dans la region. 11 faudrait iigalemenl corriger Ie caractere exo~ene du tourisme en Afrique en developpant les activites touristiques intra-africaines et en mettant au point des competences en gestion. La gestion des produits touristiques devrait de meme etre assuree par du personnel qualifie de la .. egion afin de h-einer 111 sortie massive de reSSOllI'CeS pouvant servir au deveioppement global et de mieux maitriser Ie developpement da tourisme dans la r0~ion" 314. En ce qui concerne la formation professionnelle, l'Afrique dispose deja de 30 centres de formation. Toutefois, il existe une penurie d'installations de formation de cadres de tous les niveaux. En Qutre, il faudrait harmoniser les programmes de formation afin d'assurer une meilleure integration dans Ie domaine de la formation et un meilleul' echange d'informations, d) Strab§gi~ll 1) pour la periode 1992-199} i::iituation a La fin de 1991 Les succes enregistres I'ont He dans Ie domaine de la consolidation de 315. cooperation intra-africaine en matiere de tourisme et de I'etablissement "programmes de tourismel! au sein de certains organismes sous-regionaux developpement economique ainsi que de mecanisrues administratifs pour cooperation en matiere de tCU1'h~me. la de de la 316. II ressort d'informations recueillies par l'Organisation mondiale du tourisme que ceUe industrie se developpe sans cesse et que d'ici ,i Fan 2000, Ie secteur des services sera la principale branche d'activite du monde, avec Ie toorisme comme premier sous-secteur. Cette ten dance s'est confirruee en Afrique ou Ia croissance du sous-secteur s'est poursuivie en depit des crises que Ie continent a traversees E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 94 ces 10 dernie1'8S annee::::. Au COUi'S elf! l.:~, pi't'io'JB 1;:)8:';-1988) Ie nombre de touristes internationaux est passe de 8,1 millions a 12 millions, les recettes passant elles de 2,6 milliards a 4,5 milliards de dollars des Etats- U nis. Durant la meme periode approximatiYement (l98~ il 1987 J, Ie nombre de chambres a progresse de 265 000 300 O~~. Avec la dereglementation du trafic A.eriell et Ja reglementatiun sur l'uniformisaiton de l'espac.e aerien europeen, cette evolution devrait continuer, etant donne qu 'un nombl'e croissant de pays afl'icains consacrent des ressources substantielles au developpement du t.ourisme. a 317. Par ailleurs, les organisations intergouv<el'nementales sous-regionales s'occupant de developpempnt et d'integration font une place de plus en plus large aux "programmes de tourisme f!, 318. nest pscompte que les activites effectuees durant la periode 1984-1991 permettront d'etablir des mecanismes dp cooperation intra-africaine pour Ie developpement du tourisme aux niveaux regional ct sous-reglOnal, que les Etats membres auront adopte des directives concernant la formation de main-d'oeuvre et la creation ott la rationalisA.tion des etablissements de formation, l'etablissement de mecanismes nationaux pour Ie developpement du tourisme, Ie deyeloppement des circuits touristiques inter-Etats et la modernisation des methodes de gestion hoteliere. a a 319. Le cadre global d'ici 1991 se pretera une amelioration considerable de la situation, notamment pour ce qui est des <jomaines prioritaires indiques plus haut dans le cadre de l'orientation gpnerale du souiS-progn.i.mme. ii) Feriode 1992-1997 320. Le secretariat continuera d'aider les Etats membres a reuliser leurs.objectifs par Ie biais de services consultatifs, l'organisation d'ateliers et de seminaires sur Ie tourisme, I'etude ct 1'§valuaUon continues des polentialites touristiques, la determination des besoins en formlltjon ains; que la collecte et la diffusion des informations touristiques afin que d'ici a la fin de 1997, la plupart des pays africains aient acquis les connaissances techniques requises dans Ie domaine du tourisme. 321. Un projet intitule "Formation" est en cours de negociation avec les bailleurs de fonds. Son but cst la mise en place de systemes et d'installations pour la formation en gestion hoteliere dUl'ant la periode 1992-1997. 322. Afin d'appuycr ees efforts, il faudrait de plus en plus s'attacher a faciliter les voyages et les sejours touristiques en Afrique. Cette tache ne saurait etre accomplie sans Ie renforcemcnt des echanges dans Ie cadre de la cooperation intraafricaine. ~ni.:MAD HOC.MH/9 P"ge 85 323. texte~: prrtallt a,-::,ol'~sati'::T! d~f i-:rd.:~:aux <.-:0 ce "3fYlls-pr'")gramn : t"::s0iu f -.i'J[l 3?/1':17, 8.:.:.ne:. ::>~,·, ~'_~tlcn~~ ~:/ ':.-:" :UI, r;-=-/~i./::': ;""8:'{~~- Les SU~v3nt'5 p ::~ont 1-::::: .t ec :>!/2Lf:', PtJ"l";l.l:;/rapt.e-~ 1 ~,:_ " do:.::~ l'A_",s-'!r:~:,1':::' ';,prn-;J.'a.ie; reS':)HJt1<)n p.:;tragL1})hclS :. 3 et ,! du C·or,seiJ t_'cQn~~-n;j'p.!,:-· et ,'S.O(~lal ·~,t 'Iut iva '_::H [\:rr! I dt~ Confer>?n;:':p. de::" ntilljc::.tr'~5 de 13. C :~~_I\ i-:i 324. que la cr{)iss~_n(:p econom':"j Jf':I I~, 1 :~om'h~\);~ avec Ips :nstituLJons d1as.::ristancp tf\ch:,1FIUc- c"t ti)':-lcl(; donateur~_ [lOll!' !::.;~ for:udti':':>fl. 1·,: technjqu~-' et d'aid(' J.l~ d0Y I ::k 2v~vre i)) ....,' r:;!n~"-plp C<"-O))<: l'at,,()n '::U~l pOUrB1j:te d,.>s -; j:,-'_~fllLl c., l J':':"!lS la L--:,. r·;,C';!C,tic:r:. de la COOPf~:~-'j.r-,l( V0DicT ressou"ces dc;~ d) :' 11 ::1'08 oPPc''''''",\u: t·t ~?lr'!_;:JL'~'>:': -;c's '~-"'T-'f).)r':. l-aY3 benciiiclai.!:ps t:t (lPI'; ;~c;tHTP<" ck· 1'ln,-lnCE"T.!Y"r:r:.. tflGt.nique 'ri U'-'r:\;~':" 115 cousistent .1; --t(. :..,i'n -c.'_'~ de .::coperat.ion -.i::'pr.j'Ji'l·,:,:--" .~. l'intf':',Lon dE-S /2... ;\ P P-)l'tr-f" 01C' ~::;:-lstan'.:e Lecn r jqu:-"'- '::';1 \-'\1::; d; l deYe[0p~:'j("IflHll c()ordonne ct intc:'ii!re des l:taLs mE"!Ttt)r:~f- l~rl entcepl.'enant des fYf.)er'-----:L'JT.I;" (F8Ssist,d.ncc 1r ·;':::J-.ruque englobanL 1-9. '>.::,]'(r,.;('-ptUtJi::-.,'_~uo.:"t. eX~l'?-,-udB· ~~U-\..:l'':~-~ re;";'lOna(lX <>::': l'Eg\0IL'.U:::; reSS,J1,;]'C(,.; ~;:'-l PC'UY pITLhl'ad.::':1 J"'.';<"T.t:ic.:n -ct ,_ -triP. mtJbi~lsation active des de lJr',}"if':t.';: !r:teesectorl,:.:\s '!.ous- t'l ':'-:-I::'i.(rel'.:;1 c·j,.:r.jinh~l'Jn d,\_'llseCJb1e, t'0:.:.eCl-ltlon (,t 1;) <:estiQn des ticLiyites (1,,--~ J':::Qopfrat-,;cn l,·c h-:-,;,i·,ln,--. ~1..fin r; __', r;:tt'iO:"~:-tljsC'r 'i'''_~ ,I'.:t '\' it ·:)s de d·5veioppernt'nt 80.,-';: 1l.lV':~3.. U:;': r.§e:i.or";....-:,~, sou;;-r~;';-:>~~cn;--ll f;¥ nauoHel '- t ,1 .., une 'llUL.;::t"j':'(J '_:,~timcJ, /j~·'e reS:S;.·)U1Yt-·:~; d.·~[',"]':"\:'nibl(;3 ;>onr r:qf.:;' -!.f.':, Ptats P-l€,'1.1br,?t;:;.:;::1 tirE'nt l<~ me:-;1,1lU~;,1 '''lV~Jntagf':: P~1!_,.31i-:,!(=;-\ :t!t;2,j .:;UC ;j~ n:.erH?l', d,:L;': :('l,l b ns C't h' ... E/ECA/AD HCI,,:'M'1'F'/S Page 96 (de la CE\), POt dt:::,,; c,jn:_t'·:.:U~i'")'1'" 3.\J< l'oP: ·-=-'r~·. ~:., :.":>:''''i.';l'.'';'~ tl11 du PNtD, au V(:rJdl"!PTIV ~1t c!2 ~a. '~c!Op61",TL"LO';' ',e:-:,-lj~-li·.I!....C :0':)111 Ie eel (Corpi:' comlr'tlfi j'i::13PF":"~1"r;) <,;";t d,~ :-:f:;":~'(;:";'.~lC '.;;'~::\...~l;1.~r~ ',·,'r. d) apprCp1'1eE'S Sf.;~:.:.·'§~.,:.i:"2 gener·11. d'~-.-t.~1cr'r·?uent, du C::J:':H'c::,'nr1 F'r f't U)'ltrc-)lci' 1·· g'c.~:3L'Jn 'le- rf.' ';SOtD:CC,? (,t tf',n-;l' d,::,':, dotln,5-e'~; ::iUl' )t.;:.::, Pl,:),Je;.~ c:\::cc- lL .. ~c., ':)81"" la .=L~_' !::i:)Ut. me,ttre ell '.')t-;l:'".~l·:·. rnaL~.::.'(~ 1~·;~.3 .::-1 U \'":...:r LUJ' :s JE' Cn§d:t2 au budget orjinnire. }x:;ur ClCC~'Olt::.':; .it':': i.-·''-:2;::::''bi~jt~·s j'~.li:...~eJ ~;'C3 EtcL'~S membTf:~, 3. b...:lrmonh.,:jl' ,::,t ~ rf'·:.:dlSC~:' le Dl'oce:;:.su:- :.:L: d~:'. .·t:l()PJ.)·::r;)\··)t /t>:\1"}r.rr>:(I\~{" ~insi qu'a acc~;lerE::l' rint~gl' . . 'tior~ ~cc,nonii'':lu~ LJe':"~"[ I~.nt:n' l:::.'·3 rec..:;o~a"~':"":,; ou bu,j.~:e~ ordin,;!.l.l'c ~..>t C!.:>1~<;'_'3 nc-c'.?s,S(j.it,,-::,s pC'..li~ jouer L: ;""~(:> a:~,',I'.'rl;1l~ c{u. ,-::';ect·t"=>.xrl,n: pOl\.~' la solution d0S [Tf,.h1c.·me;;o l~"".l L.,i\~i.m:~n:.:,i.0nne~:3. ";'c d\~:'\ e1.(Yl';·ert\("'~t ::,:)c1u-(.cdnc,rni'(Jue ,·i.e Sf'S Ftats membn?s n'a: Ftm.,)L~ 6~l~ (,r n:" ;-,E'1'G ·;:,,:.:L,·,>t:'ll·::; ::3.-'1:1·1i -=-~ ',::or;bLi; ij -_":'...11. me7i.H~ s'elargjr en l'3.'lSOn ie ia C :'OlSSan('c :i01'lt ';C' ou ~l!.~LL l;;i 1.)uc>~'C,:~, 32(\. Le se-cret.3.1'ic_t ci{',:-·ir,:.. limitef;S f op6I·atio":n.t?-l}.e~' cOll;..~bt~I·~;ll- l'aecomplissemer..t bl!dg pt, Dc C'r(~inCtii.'0. eontribuc:.'! ,', ,1D saU.l::a::\ t.'], '~=ul'n:l' {:~lt~ment d"-':L;,,;:ll,·h·,. rr,")o~li~,:l~i\.Jn >;,:'\'J<~ c10r~~, ;:1.. 1,:- ,,( \-iLd d,:,)nt li1r.itees dll fc.:'"i:.t~A2,b~,;c~:"~,~':,!:li'-~-',::; ':-:.oit done 'l"i1~(,t';;' '...H)i'·-1.'"it:'l"()'~'nt c,-:- U';-: )'')Jl.'~',) dp!":' Yl :'O~P ,l:'(~cicJ l.'eS:";OL't'·::'.~-:; (.~:,·;t_.':,1.~1; ~ Jouer .<:>or~ 1'01<..':' (~:::- fa~cn ~fi'iC::::'C:c~. 32E. ,"::'.i ;'0n .,t:.""t, '_lCC~l'Oltr', i'fri:',:,c';:H..:lt:~~ dt:::~ ::1::( 'J':~ d"; ,.~~)ol>.T'''':'~lc~';1 ""(:-chnl:.;ue dans 1a 5:\tisfi:l:~t.i;)1l 6:."3 :)e.3(..~r ;e'" ,,~t.''.~; :':e::tibi"'':'~'' ';".i.~ !'l. ". "d\. . ~~-n«G '''''''l ';'f. (,:::I~le,~·ti\rement en J 'absence d) '_<1"1 n:S~,011rCI":S m~cani::';;i;~'; i:',.C (A I ""[,'U.i.(: ~~·t r..l p,)ur ~a '(;':'iVS1"j.~ ~{..:!' 1'f'<iI}-,lC" cl.ltl.U j('lJ s~',-3,§rl(:.ltlqLle~, des a~:tivi(es u) '~. b 1'" emp} :·i nefa~:·.b.! dans les ::,ffo1.'t~~ ct !'~Q, f'e~"S:.:)\t:::·C':"'3 q!.n abClttLr"-',it ~ 1''1. dlT'":inu1jon ':"}l'ogi'pssive des fonds extl'abudgetaires l~j'! CCIilpt,:~ t9J1l'i uE',~ i'~".:;t.ri:-::t.Lc·n:; TU:'~ :)L.YertUl"..:'s de ered,its a.u btld~et cr(~:r"t:).il."':) .,.~. 'c;(-.'niii. ·~n\:"_tr.l::r :c.;, C.3.1'::'i.h-lt·~ 'c:"" 1 D:::·:·0;hi.l;j~-~, ~:',l,(',)nt 1a CEA et ses .Etacs fii'2:mbrr-...;; ,j'.s.U>·lrlUl'\: L~::-:; obj!'~ctiL; -.il. "h-,",,·'eloflP;.'::ment. '"::-t ,( .,,~ ( L'es~~euti'.)n de I..'IU~' j,::, lOO 1)";'<..:j'2L: c·:i~'c '-in :-n.·-:o·:a~'-::::m~~ i::offi,,:,"),:'e de cJrttrole des depE.·nses et ,j,,~ c!cH 1 n6",·',; rTt~ci,:::" :::' .sLli~ 1-:,::: :pI'cdu.;':,c.' ::.'C?aL5t:';:'-, au titn" des proJets de ~8~1C' "-lue l!·,:·labor.'l,::L:n dE.: l:ai::}Y)1'"I':: lr"l'l':'l'~'j(~~' l.'~lL':..!"":tion dec. I:ti_:tl:.; :;u8mbl'es 329. et des in~:Ljtut~on;:: Einarh~;!.).r.~"',. HutCln1; d::: fa'~;'\'~llt'~:' D~'l,1Jr'=-,~ uaf:';:-~ rexecutlon jl-:'':~' 3,ct:ivites d!C': eoope:',~_"!.ti()n t..-?chn.Lqu.e. :33U. Jet-) fon r:r:.: t-)uugeL ordina'ir(' 13:\ 'x . .:dn: :~ll. r'~Ti( d .~l "l/~',Cr()l'rl'C l'efficacite ·~:'"lJ,I';""' -; ,:;e l~'\c"n tan t 'C: ,''\'"1 ron 3S :<:' dl:':s ~'P:~;SC !.treE'S d u ~!(ld 1" l' f'Xt"cution d es acti'~ites de cooperation ,-:.7.. ;-=- to !'ile bi1iS0;'~ E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 97 technique. Ces acti,,'"ites d\:~Ir!nl'l'l~eS :J.U mili(:."u des anneEs 80 auraient commence porter des fruits dans les Et~~ts mE'mbres. a 331. Coordination el gestion de plus de 100 projets de cooperation techniquE' finances sur les ressources extrabudgetaires. 332. La CEA veillerait, en sa qualite d'agent d'execution, ii. ce que les projets soient executes tels qu'ils ont ete prevus. En particulier, la gestion des fonds des projets conformement aux re.gles de g"stiol1 financiere serait strictement contralee. 333. En outre, il serait fourni aux Etats membres et aux organismes donateurs des rapports precis sur les activites menees au titre des projets de cooperation technique. ii) 334. Periode 1992-1997 Ci-dessous figure la strategie pour la periode d'execution du plan: al Accroitre ou, tout au moins, mainlenir au meme niveau les fonds extrabudgetaires en intensifiant les contacts avec les institutions de financemem:, traditionnelles et les gOllvernements des pays donateurs et en etudiant, par Ie biais de missions de mobilisation de fonds, des possibilites de financement aupres d'autrt;s donateurs potentiels; b) Renforcer les moy,ms de 11'1 CEA dans Ie domaine de I'identification et de 11'1 formulation des projets afin d 'ameliorel' la qllalite de ses descriptifs de projet et de susciter I'interet des sources de financement; c) Renforcer les moyens de 11'1 Commission dans Ie domaine du contrale et de l'evaluation des activites de cooperation technique indiqllees au titre des projets et dont Ie nombre depasserait 100; d) Accroitre I'association, I'attachement et la participation des Etats membres Ii. I'execution des projets de cooperation technique grace l'analyse et I'evaluation des cadres instilutionnels des projets; a a e) Renforcer Ie mecanisme de gestion financiere des projets en mettant l'accent sur Ie controle des depenses; et f) FOllrnir aux sources de financement 8t aux Etats membres des rapports appro pries sur les projets de ]a CEA en tant qu'agent d'execution. e) 335. Fonctions permanentes Ci-apres figurent les fonctions a caractere permanent: a) Analyser Ie programme d'aide au deveioppement en faveur des Etats membres afin d'etablir des liens appropries et les compiementarites necessaires entre les projets nationaux et regionaux; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 98 b) Elaborer If's pl'oJets de c')oper."'J.ticn tee bnique en consultation avec les divisions organigues; c) Entreprendre des negociations avec les institutions de financement tl'aditionnelles et potentielles ainsi gU 'avf'c IE's pays donateurs pour la mobilisation de ressources flnancif.>res en faveur des projets de cooperation technique et prepareI' les accords de base et les accords specifiques appropries concernant ces projets; d) Preparer ia documentation necessaire pour la conference d'annonce de contributions au Fonds d'affectation speciale des NatIOns Unies pour Ie developpement de l'Afrique, organiser ladite conference et en assurer Ie service fonctionnel; e) Proceder it des controles, il. des examens et a. des evaluations periodiques et imperatifs des projets de cooperation technique et des activites regionales a. caractere consultatif; f) Pn;parer des rapports sur l'etat des projets 3. l'intention des Etats membres, des organismes de flnancement ainsi que des institutions et PtiJS donateul's; gI Preparer le pian regional de gestion des projets; h) projets; Participer aux reunions pour l'examen tripartite i) et l'evaluation des S'asEurer du bien-fondtS des depenses au titre des projets; j) PrepareI' IE programme programmes (frais generaux); k) Vemer extrabudgetaires; 3. l'exactiLude d'utilisation des Etats des depenses financiers relatifs d'appui aux aux fonds !) PrepareI' les apports de la CEA aux rapports sur la cooperation technique du Secretaire general, du Secretaire executif, de l'Administrateur du PNUD, du FNUAP, du Departement de la cooperation technique pour Ie developpemellL, du Gel, etc.; et m) Examiner la situation contractuelJe ec les conditions d'emploi de6 experts bHateraux et des conseillers regionaux et form.uler des recomrnandations a ce sujet. E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 99 SOUS-PROGRAMHE 31 a) PLANIFICATION, PROGRAMMATION, CONTROLE E'T EVALu ..\TIO:l BTTDGETISATION, Texte" portant autorisation de ce sous-programme 336. II s'agit des resolutions 3042 IXXVtJl; 31/93 paragraphe 5; 32/197 paragraphe 3 et annexe; 33/202, section IV paragraphe 8, section V paragraphes 3 et 4 et section VI paragraphe J; 34/229 paragl'aph0 2; 35/64 concernant Ie document AlS11/14 annexes I et II; 36/228 section VHI; 37 /234 panusraphes 1, 3 et 6 et annexe; 38/277 A; 38/227 section II p·3.ragraphe 1 et section III paragraphe 2; 40/40 paragraphe 9; A/40/6/6, 8-13/2 anne1:c;Il/213 section II, paragraphe 2; et 43/219 sections I, 11 et III, Coutes de l'Assemblee generale, d des resolutions 508 (XIX) paragraphe 6, et Si6 IXXIVl de Ill. Commission. bl 337. Us consistent a: a) Formulel', adopter, coordonnel' et suivre jes politiques et strategies essentielles en faveur du continent africain en tenant compte de l'~~Yolution des tendance5 socio-economiques generales tant A l'interif'ut' qu'& l'€'xteri~ur de l'Afrique; bI Etablir les plans a moyen tel'me de Ja CEA et for-mule .. les aspects du budget qui onc trait aux programmes: cl Rationaliser Ie" activite!; dc' Ill. eEA grace a j'etablissement d'un ordre de priorite pour les sOlis-programmes devant servir de base pour Ill. budg"tisation des programmes; dI Ameliorer l'efficacite d'J secretariat dans l'ext~cution de son programme de travail et ordre de priGrite, I?t la renfol"cer griice 'lei controle et a I'evaluation, et ee, en vue de veiller a ce que les activites dE' 13 Commission repondent aux besoins des Etats membl'es, ii) 338. Ob iectifs du s,'creta.ril1t Ce sont les suivan ts ; a) Formult!r ios pl'incipes dil'ccteurs, ies propositions et ies recommandations concernant les politiques et les strategies de ba3e en faveur du developpement, et ee, pour adoption par les E:lat:; membres; coordonner et harmoniser les activites relevant du secretal'iat avec celles des autres institutions, particulierement en CE' qui Goncerne la mise en oeuvre de ces politiques et strategies de base, conformement au role de la Commi8sion en tant que principal centre destine pat' Ie systeme del' :\ations enie:;; au developpement economique et social general de I' Afriq ue; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 100 b) Impulser et coordonner au ~ein du secretariat l'elaboration et 1a revision des plans moyen terme, des aspects du budget qui ont trait aux programmes et des budgets-programmes biennaux a faire examiner par la Conference des ministres de la CEA, Ie Comite de la planification et de la budgetiEation des programmes, Ie Comite du programme et de la coordination, Ie Conseil economique et soc.ial et l'Asscrnblee generale; a c) Ameliorer l'effica.cite du secretariat dans l'execution de son programme de travail et ordre de priorite et la renforcer en assurant l'application integrale des reglements et l'egles regissant la planification des programmes, les aspects du budget qui ont trait au" programmes, 1e contrale de l'execution et les methodes d'evaluation, ainsi qlte cel1e des recommandations du ('amite du programme et de la coordination; d) Executer Ie budget dam', les !imites concernant les tableaux d'effectifsl ouverts par 1e (du Siege), et des ressources extrabudgetaires, et financier et aux reg1es de gestlon financiere et Controleur. c) des credits (y compris ceux Bureau des services financiers ee, conformement au reglement aux pouvoirs delegues par Ie ProblCmes traites 339. Etant donne la nature de plus en plus ::;ompiexe du developpement economique et social de l'Afrique, i1 y a lieu de suivre 8t d'analyser continuelJement les changements des orientations politiques a I'interieur et a l'exterieur de l'Afrique ainsi que les decisions prises dans. 1e8 fora internationaux, et ce, en vue d'interpreter ces politiques et strategies et les concretiser au profit des Etats membres, du secretariat et des organisations internationales. Au sein du secretariat, la coordination et 1~orientation suivies .30nt necessaires et essentielles pour s'assurer que la formulation et J'executlol1 des activites techniques et operationnelles entreprises par leh diverses divisions organiques Ie sonl conformement aux orientations et a la strategie al'reb~es et selon J'application stricte dn reglement financier et des ['c,glps de gestion financiere. 340. Le contrble et l'evaluation systematiques de l'e~ecution des activites programmees consideres camme l'objectif recherche, ainsi que la determination de leurs opportunite, efficacite et incidence a la lumiere des buts et objectifs fixes, et en vue d'ameliorer Jeurs execution, planification et programmatl0n, commencent a peine a donner des resultats en ma.tiere de formulation et d'execution des programmes. Par consequent, il y a lieu d'intensifier les efforts dans ces domaines afin d'assurer une utilisation efficace et suivie des ressources. d) StrategieiLflour 1<1 periode 1992-1997 i) Situation it 1a fin de 1991 341. A la fin de 1991, les diverses initiatives prises ces toutes dernieres annees pour relancer la croissane.e et Ie developpement. long terme en Afrique auront commence a porter leurs fruits. Les pays africains seraient alors en mesure de poursuivre avec beaucoup plus de determinatiJn la restructuration et la a diversification de h'lurs (;'2o:Y,)ITri08 ,:'dnfc:'r,;/ rx ;-It /rq:~ (}b.je'c+..ifs. prt-~mlel'.:; ciu Plan d'action de Labos et de L'Actl2' f~nal dr~ La~:()s. ~" ,C'Lli::::HZl.tjOq jE- Ll '-:')~Iif',-~tt:;nce ;:;t des ressour<2es dt:~ la COmm)~lsjO:1 cit'" 1'::i paTt de'; ~-:t.'}tt':- 111trrd:;t'--:<·: J-,'0111 -?d~ '-=:_Jk:-'.:~ k's aLi{~ .~ ::"'.,:d.:.taqUe::: <.:t.'lX pl"')bhr::c':< l.~,a:::' i':l r!;;;:;Ct':..L't"tJ!,-:.,-;.t'C-Il LL la j~'.'·~'l'sif~cali0n serait deyenu(~ PLUS Pl".;~sf>antE.'. e3;. inctlspen:5;::l.Lif: que 1~ r,::'l;:' qUi;- '---'Gnstl~.uellt l'anaiy'se dt.~s l::ol-:ti:F.u.,'::.~ 'L::. plCLrt:~h;s.tio~:~ t:::1 b.}d '>·n :-::t lo;. .---:':-:'on1in:'hlon j0S protzrammes , .p..jns: Cjue l~dr conL'ce:l!-, ,::,.~ )0:\tn {<:;,~tlJ _:'::..:-' d~,yi_enne ~,!n: ;,(": P,',U$ \:~ta1 si la CommissIon \ (~ut rencir--} c,--.t.tC> .~.sfL::'.t:lj)Ce phlS ,,:='ffi::"'2'_'e~ n a) Fair'; cor~tinu-2ileln(:nt t\~nal;-;O:t':; d-~& l" .~,i;lt.;,-t~;.. ,~:(':: ~)C,'~r.Hl'lf;S f:!" strategies tA'gionale-s su!:' Ie:' pIa!) OpE-T::{tionnf:l. 1;' D1:: ,: (,l'H' c( ;_hc: d,;~' d[~Cj'310nS de l'Assembh?·e g~nertl.lL', du Ct)n~t:':Ll ~.~CO!lOmi1t~e ct soci..:"d. du '_:·Co';'l;it,-: ":'v j\o::51'anllllz' f't de 1ft cocrdinat:1c:n, d~;s r)r~,;'rlnes de d~·..2isions ck: l'"l CE,"~, 't,<-,) -Jr~~/\re::, ,if:-Ht.f'I'snts (p:s institutions. '~peci;j,li5(~eE dC:8 .'\'atiJns l_ni~3~ Ch.3 r-\.ul,r'-'~ il!stii(t~i)r,:~, di,::,~ !'-L1Lk'nE L'Ules et de FOrg.:\r;IS;.ltloll ::!.:-~ i'unHf afric-::-·.ln~:'. eL l: ':. -::'n 'V;Jt: dr. .i:'<..ure d,-:::: r·t":;·ol:;,;n·~tndaL:l!:.>ns sur Ie!; mesut'es pl'atiqlJ(~:::.. :"l Pt";";-ndrE' pal' Ie ~:.('Cl.".;t~H'jr,~, p: b}f', ( :·~:,:;,n.;:;s 'je1:U::er8,nts de la C;ommisslc)!"l; b) ,;'\;:-)Sl.E~c!l· dE' m·~-i.i1jc~:(· c'Jntinu(' l~ :::',UiYl ("t', 1.:', :::001 ,i";s que~t1or:s qui S(~ pO::o0nt aux .gouv;·rrH:ments ::.t ];.) '~olldb0,L'(ir.i,c'n :-l\'C'C; Iv }. . ?r~.cnnel du secret:ll'iat ch;:;rg'S dt:s -:.,,---:(-; ,,-'ii, 0r"~r~,,:,;o~'~r)"'ll',-::J, ,:1 l'<:::;',;~F,l':i:: CL d' B:ilt:j qul~i. w. pprticq:xlt!f:'~-' ~H1X :tcU-"-~·"it,.::;. >.k n~, ;::i'],": l.nH\Jnis[.. tic~n des progr:.:<.mrned in te!'organi:.sat:.cn2 et j nter0 ivis; ~l n~:, r:t U i' ,)l~ g .tL : ,:':,i.L , r: '~'''; ":~mL:1.aires et d!,~1..tpli('rs lO<::.2,,1)_, ,_.t:"! 0r \-1_;<;:-' d,_ ".'(,,::<:"U"~~'1' <:,,1~'" ',"".:'.~ ::li,h:"",;;CDS h:.nt bien int~gre ..~s caps ~23. a.,:d,~' ~L~:-: G',? pi;:"nifjcation~ d,; IJJ'(P:11 ;jffiillat!;)n ('t j 'e""ah.::,'tlon et de djsPOSF:1' d,:"~ int\Jr.'nd~jc'\'::. ']" ","I; ,;~:::'ir;.:<: 'iP ,"1"-; Ct'-'ite:;.) C! Co~-)rdur-,-ni. .T Confel'ence d;"8 (:lJ mini;::,t1":;; "\sBlJ,:rer de l:-:.,;c '.1;: 8'::1'\;;(":'<:; 1.1 {'l~(:n t:r;:,,;r~,;~~,,!':s Ct:.' \. . t d(' c:,,"'nt'~!J.le ~:';;'1 C :-Il.:L' l',I1:::'~:S ,It'''~i ~8 J[nl.I.'::~;' iJ.l1~1.'..i(:lL·s r:r;::>p~"!':;l+,Q;!'1::'> ~,f'C 1· niq Ui-.... ,'ies .(Iit·t:<~~...::ur,\ I';t; du de 1a P h~nier; qersonn~l char~';!s d'2- J:1 5:E'stion de:s proitramme~; JL.[n,.,'1~-:-::1-,.::'t?hon ''::1.'- rF~9Jf·njl::nl". et reg-leE" regissdnt la planific,,;ati.on d(:':;..; pl'ogr(imI!lt'3, Ies ctspect.;:; C.·,l bud;~ct ":'.l.i.ll ont trait aux progl"'anlIn(~!;~ 1(-: r;OHt~'oJe de i IttiOh t2'L h'~ m.:~thode.2 'J\'v~.'\'F:.Li0;-! -<_:t - ~-":...:r expliquer les ir'._,structktH::, !'el&lives 1 1es b:~,lgt.:ts-~n'')2,j~'1mfnt:;''''' dUX l'~·,'ision~:: du plHD mc.';?-:>!" t.-:--rm,s f.':: it 1:::. t'~,)(:rrti.r\atiOI: 02 la pnE~~'ar.~t~ ion d~s ,]o<=u.mertts ~' relaUi.::, nec~:8sajl'eg ;;.t,S, d'i ': ;' 1':') ;'::T;::/ anF:"S (~;'::1iL~ r:1n1.:'-': a (~) (:,tudc~'; fl~aut0-"'~Y:i'~Ju;}tion ains:l <ll..F: l'8valLlaLicn approfondie ,.:onfot'lIit!fmetll au,:.: '...:alcndriers e1:ab1is~ Des m'E!:'-;u ees s(:!ront pl'ises POttt' assurer que -j8~ f"esuItat2 du ,::ontrolf:' et de l'eva1uation sont prompter:1ent ct systemaLlqUE'IT!ent exploiteR dans 1a ~estjon '?t ~H prIse t1e. d,-0cision l particuii.;:>l'\:~m~nt e.r! LC '1 1,:1 ·~c.>tl:':::E;Yn;:. L.:t pl'{~paratiol--' de.s pl'{'m:l".:ce et 3c'conde re'ViSIOll<; du ~:.:lp.. n a mO~';('L termt.:' .o:-:t :'etq,b1i::;seme!1t. de~ ~>lj p~'ogramUles bi8ntlcH:x. Dc' ll:J, le~: :tcti,.'-ttes 0':.' suivi ,,'t t~t. etudt:C,::' 3ur -!e~: .I:eBuILc~ts dLl contrale el de i 'evalu.:::.ticL ct t~S l't"conl1llanciatioES :/ l'-:..::13tives seront ,:;ntTt;Drlscs. Dc~~' etudes des F.[,~il'e dt."2 f,r)US-pr0g'r~lmmes E/ECA/AD HOC.MTP/J Page 10::: d\~valuat;oL ad .he;;; ~,,'Y'f)i'Jl- (- _~ S ;~t-,_~_~ qLl 1 nth'ale ..... et/ou In ';onrer,-ne2 de., minist;-ec. de h CE. , dans l'utilisat1cn d0t" l·-_'::';::::;_.Y~il'\-.e;·_~_ -,~u neCr::'S0ail~f~":' ':'1, It(\_,:'.:-;{;~;~·~c--' tn.-;dget Gl'din,:}:f,- ~,~-::. ~';(~:}::"'diJnl'.:'S ':c t-~-:~-;i.~~--·2' ': _'-;~~xr;. ~'; ,:!U0 ~k.>~~ o·-~t :e:J :iepE-nSE::S dans les limiteB (·tP .J.:lcJ\H~';:;R. af-s t:'"huir,l.tt'S D\.:ci)::JLIl!reS pou:: t1:";.1'1""lL-,~ti_<)} c-·n .""t: '1--·, p;;;:.s'::'\lrCE~-; ~:::,:",!',').bu(Jg6tan<.;:'s .l'c) , '_.'. sc)jent f~nf;Hgt(·S pC:...Ll:' le-S n~?1':v-it ~;h Hu.xquel]~'3 __ ~'~C'! ce~ t:.'t h::s. qu~ '-c·~:::(-t;-I·-' n;'l~! :~t.f.5 8~, ,."'-:: p('~n:"-;,,,, 343. Les f_)tlctior:s 1'1.1.\ :;1'<,C,2('?'nt ?'Ji~S-Til'<):~l"'lf:'J':1C: "ilint jJ?-cdt~e2 (~rUL3 ia ,-:irculaire ST/SGB/Or:£:l.!1J'sa,chn ,tt: 0','C!:'t: ,,~1r'::-'l:, :::<'ct,'Ol,; 1\ ! :"'.; h::.:.'\", 1 t~t cL::'"r ~ t'2 robglement inb~T'ietn' j;::; 16., l'o:;lmis:';~ior: \<,"),L~,::'j0,-,~ ~,;L 3~ ,:t ':C;L a! Plan:Jier ,-,t coo'~'dQnn0'l' senUnall'E-f, t.:t lee t"ttejel':? ";';':. L...".. " :\':? ,-j, conf~r2nCt :' cOL:1pris les L:-':,~~U.'-: Z-.. Ll ~ler(e a ..:il::dis-,"'bf~ha ou ~tc o~'-:l~pc, O;limis,'3k'r a l'e-xtericu :.:: '\,':,S;.tI't::e 1,':;. rl'e~)L:'n~i0;'-1 ~-"_l·e_\~i.·'(_:u,~.~,~,)'-t it, hi et \a pre,t:.al':).t ior: de :'ft'P: .~;:_,~ tenues h(n's dr:" son '/,J.l"~·':'~ l! ):'kC01'ds '~.:oord0nner pt, '~llr'~',t'~~'isc:r dl ,JYPC !,( .,' .l:;:, 1,"'3\:;:::11 :;,'(l~':C1,:11IC annuc! de t~llnions r'd,:/c.., ,i\t_C'c>!:.::il jJOUJ h:s r-eunions (~{,f tl\~ductf:urs concractuels et inJepe!ldanL~; {':','nil' unA lJi n1iotbE'CJ a(" sommuire I:OItSl.j.tUt:~c n~f6rEnc(' \ t d,:· j)ub~i2at~on~ 0,vant t.r:.-:l'l.- :It• .', ::".c.-::i\-.,t{s ~,:, c: \'U 'i.'T::.j,~I:~~, ,5en,'?l'aux de 1.::.. C:.)'mm~s;21on et jestines au,'{ sp-;'vlc'p':; d,:--- i-rqd 1;l( t~o:_:' [} rC\~"'r;iJ' ,iOCUT:H-Dt3 :"lSUl' i-... :1 ',F- ::,,_ ''''-it,,;;:. ~'; \'G;1;(n'~!ir;·:--::; et ',l'1r!,prir:~'::\' ,:''lX'.' r:::1'1'~f' ipS rC:~in:Gn::: ;:t (h, ::".>(':1.,2 {'(:tt;' ,',ll or fset ;::.t ,10 roneo des l=,0Ur ips public.:lci:)r..s tech-tllques; e\. '~\ a llexU~rieur. Et.Jl.lir 'tes f\.'>1.l"'~:~' d,',s ': ~:~:;J.v:1GX ,:.;"~dces d0 dnet~·lu::;:;£4phk: d ~ im nriffi€ .::ie effectues e-t de carre-etlan d 1 epreuves E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 103 c) Problemes traiLes 345. Au fil des ans, Ie nombre de points inscrits a I'ordre du jour des l'eunions des organes d€,liberants et des reunion3 ministerielles sectol'ielles de la Commission s'est accru, entrainant une augmentation du voh\me de travail des services de traduction et de reproduction. L'un des pl'oblemes auxquels fait face Ie secretariat est d 'assurel' Ie service des reunions dLH1S les delaLs et de fa~on efficace. Des difficultes sont rencontrees dans la tenue et la mise a jour des !istes d 'adresses. Depuis I'adoption pal' l'Assemblee generale de la resolution 32/197 sur la restructuration et la decentralisation des activites, Ie travail organique de la Commission s'est considerablement accru, entrainant une intensification des activites de service alors que les r,,=ssources allouees n'ont pas suivi. A cet egard, I'insuffisance des effectifs n. tous les ni...-eaux et I'obsolescence du materiel constituent deux problemes majeurs auxquels Ie secretariat est confronte. De plus, les installations de conference sont insuffisantes et la qualite de I'entretien a souffert du fait des restrictions budgetaires. 346. S'agissant des services de traduction, la penurie d'effectifs aigue dans les trois groupes de langues a affecte plus particulierement Ie groupe arabe. Ce dernier manque habituellement de traducteurs capables de traduire a partir du fran9ais et les autres groupes ne disposent pas de traducteurs capables de traduire a partir de I'arabe. Ceci provoque des goulets d'etranglement dans la traduction. 347. Des problemes supplcmentaires decoulent de la soumission tardive des documents et de I'absence de previsions fiables concernant Ie volume de travail. Les arrangements informels concernant Ie controle des documents actuellement en yigueur sont loin de permettre un approvisionnement assez harmonieux et previsible des services de traduction. Les encombrements qui en decoulent provoquent des reta"ds aux niveaux des ref,srencee" de la traduction, de la dactylographie, de la correction d'eprpuves, de I'impression et de la distribution ne laissant souvent aux deiegations que tres peu de temps pour prepareI' serieusement des reunions importantes et cela compromet tous les efforts deployes dans I'organisation des reunions. 348. L'absence d'un service du controle de la redadion a la CEA constitue un probleme particulier empechant la production de documents de qualite. 349. T"e Groupe des references est confronte a un grave probleme d'espace. Tout son materiel est conserve sous forme de publications et Ie seul moyen de repertorier les documents qU'il detient eEt de les mettre sur fichier. Li n'a aucun lien direct ni avec Ie service de distribution des documents (pour obtenir des exemplaires des documents courants), ni avec la bibliotheque centrale (pour les documents moins cOUl'ants). Avec les methodes actuelles, Ie systeme de reference par renvoi applique aux publications qu'il re90it du monde entier s'avere particulierement difficile. Pour cette raison, certaines des informations specialisees disponibles dans des documents moins courammE'nt consultes sont negligees et il en resulte une baisse de la qualite. E/ECA/AD HOC.HTP/9 Page 104 350. Durant les cinq derniel'es annpp.s. h~ volu.me de t.rav:lll dans le Serv-ice des documents et des publications a plus que double tandis que leA effectifs ont He reduits. La plus grande partie du materiel disponible est depassee et certains elements sont hors d'usage et n'ant pas ete remplaces. Les pieces de rechangp. ne sont pas disponib1"R s\lr Ie march'; loc'~l et ce!a signifie que les machines ne peuvent pas §tre facilement reparees. 351. L'enclroit tenant actuellement lieu d'imprimerie et qui se trouve au sous-sol, est etroit, desordonne, peu pratique et humide; la superficie de stockag" pour Ie papier, les fournitures ou 1(:8 plaques usages qu'on pourrait nouveau traiter est faible. Plusieurs articles utilisables ont du etre ri'formes par manque d'espace permettant d" les utiliseI' sans risque. a 352. Il y a une demande excessive de documents offset et de tlragf'S que ne justifient nullement les besoins reels. Les couts en matiere de facilites sousutilisees, de fournitures pt de stocl,age de copies superflues sont importants. Certaines fournitures pour Ie papier offset, qu'i! cst difficile voire impossible de se procurer sur place~ doivent etre importees et eela. a('.croit les couts et entraine des retards dan~ la production de documents importants. Faute d'un service d'edition, les dactylographes et les correcteurs d'epreuves sont pratiquement amenes a faire du travail d'edition, d'uniformisation des formats, de mise en page et eventuellement de correction de l'pxpression. d) Strategie pour la periode 1992-1997 i) Situation it b fin de 1991 353. Les efforts e!ltI'epri~ en 1939 cn vup d'a,ssul'er la cooruination et la planification judicieuse des conferences, reunions et seminaires grace au Comite ad hoc eharge des conferences, reunions, seminaires et ateliers comprenant ie Service de la coordination des politiques et. deH programmes, Ie Bureau du Secretair~ d~ Ia Commission, Ie Service des operations et de In coordination de l'assistance technique et les services de conference ont commf'nce it produire des nisultats. Des restrictions ont ete imposees aus. responsables de la gestion des programmes pour qu'ils limitent Ie noml)re des reunions it programmer. Les premieres mesures visant it moderniser Ie materiel du Central dactylographiqLle et dLl Groupe de la reproduction ont ete pl'ises. Les groupcs anglais et arabe des services de traduction fonctionnent avec des effeclifs reduits. et tous les trois groupes de langues (al'abe, anglais, fran<;,:ais) souffrent de l'abspnce de services dJedition et de revision. 354. En 1988 et 1989 des efforts or,t .ote raits pour ,'ecrutel' les trois candidats admis a l'issue du Programme de formation de traducteurs en Afrique pour remp\acel' les traducteurs francophones transfenes it New York en 1987. Le Groupe fran<;ais pouvnit ainsi disposer de six traducteurs. De meme, la sitm,tion des effectifs du Groupe arabc s'est amelioree avec deu); traducteurs au lieu d'un seul comme c'etait Ie cas en 1986 f't 1987, E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 105 355. L'utilisation de micro-ordinateurs p011Y les trois langues de travail de I" Commission au Central dactylographiqllc a, d,ms ll!''' certame mesure, r.§duit les reLards decoulant de la transcr;ption dps cassettEs de", traductEurs. 356. Le Service des documents et des publications a connu une importante accumulation de textes Ii imprimer surtout pour l'impression en offset. II 6tait difficile d'~'tablir des priorites du fait que les services d'origine exigeaient tous la reproduction rapide dp, leurs documents. Trois petites presses offset sont l'estees inutilisees plus d'un an apl'es leur Iivl'lliscn raute de fournitures essentielles. Le Service ne disposait pas d 'assez de personnel qnalifie pour fmre fonctionner tout son equip€'ment offset de fayon optimale. Toutes Ie,; operations d'assemblage etaient toujours effectuees it la main, faute d'espace permettant l'utilisation des grandes assembleuses. Du materiel a ete comn",ande pour ameJiorer Ie fonctionnement de l'iruprimerip.~ L/introduction de machines Ii taper 11 dernier crF pour l'anglais et Ie franQais permet de reduire Ie temps n€cessaire a Ia mise au net des documents edites et revises, mais ne doit etre cons)deree ::lue comroe un pis-aller en attendant l'et,,.blissomcnt d'un s~cst,,"'" inte"r" de traitement de textes. 357. Pour 1992 et au-dela Ie role de coordination du Comite ad hQQ charge des conferences, reunions, seminaires et ateliers sera renforce compte tenu de la resolution 39/68 de l'Acssembh,e ;jenerale en date du 13 decembre 1984 dan" laquen", celle-ci "reaffirme qu'iI faudrait tE'nir compte 0. I'av"nir, 101's de I'etablissemer,t du calendrier des conferences et reunions, de la capacite .iu &eo'etariat quant au traitement des documents et des dates auxquel1es les organtS subsidiaires de l'Assembl<~e generale ila Commission) doivent soumettl'e leurs rapports". II est prevu d'achever 10. transformation du Central dactylographigue en unite de traitement de textes. Le Gt·oup<: d,' la r'3productlOn devr" etr" equipe de nm.teriel moderne. L'informatisaUon de la production et de 1£1 distribution des documents sera poursulvip~ On cherchera a accroitre l'€ffica(~ite des services de documentation et do traduction grik.p a }'amclioration du fonctionnement des groupes de controle des documents ct des r6ferences. Le but sera d'utilise,' Ie tr.':'\.1tement des textes pour fourn:l' un service de tel'minologie au personnel linguist.ique d d'actualisel' regulierement les glol<saires et les bulletins de terminoJogie. Les services de traduction devl'ont etl'e renforces grace au reCl'ulement d'editeurs et dc- reviseUl'S taut r~n '/l?iUa_nt a poul".:-oir les postes vacants on prenant des mesures d'incitation pour faire d'Addis-Abeba. un lieu d'affectation plus attrayant. L 'extension prevue des installations des services de conference ameliorera. les conditions dE' truvail at la production. 358. On continuera d'offdr !.'lUx anciens tradu<:teurs issus du Pro~ramme de formation Poccasl0n d'aller ;5uivl'e des stages ulautorevision et de rovision dans des lieux d'affectation plus impOI'tants; l'autorevision sera progressiyem8nt introduite afin d'abaisser Ie ratio reviscur/traducteUl'S un niveau en rapport avec celui des autres endroits du Secretariat. a 359. Les tradur.teurs se verront offrir la possibiliL,~ d'&tudier d'autres langues afin d'ameliorer IHs cQmbinaie:otls linguii:';tiqu.es e'Xistant ala CEA. Dans certains cas eela pourrait neeessiter des etudes en dehors d'Addis-Abeba. E/ECA/ AD HOC.MTP /9 Page 106 360. La constitution forme lie d'un groupe du contr61e des documents (plut6t que de travailler conjointement avec un service d'edition permanent) ou'\rrira la voie a un centrole plus rigmn'pux de 1a longueur, de la qualiLe et. des delais de sou mission des documents devant etre traduits. Un controle des documents plus rigoUl'eux combint::: a une planification integree de taus les services d~ conference devrait permettre de rationaliser Ie flux de travail soumis aux services de traduction et de reduirc a:insi au minimum le recours <i du personnel temporaire et ,a. des heures suppiementaires pOUl' la traduction, la dactylol<raphle et la reproduction. 361. L'introduction ct'un sysV~me 50phistique de traitement de texte6 (compatible avec ceux deja en usage a New York et ailleurs dans Ie Secretariat) au Central dactyiographique aura Of'S avantages considcrables. L'efflcacite du Central sel'a evidemment accrue; il sera alOl's plus raisonnable d'~' centraliseI' la frappe definitiv(:l, ce qui n'est p~s Ie ca8 actuellernent ~t H sera plus facile d'uniformiser les normes d'edition et de presentation, L'utilisation d'un systeme de traitement de textes entrain era au.loruatiqucment l'<.~tabllssement d 'archives, en partie indexees par sujet et pa.r 8ource~ de donnees produites ou traitees a 1.9. CEA; IJinstallation d'un mudule accessoire dans Ie Groupe des references permettl'a un acces immediat a toutes ces donni~es, eliminant ainsl la ;)ecessitp dE' stocker d'autrcs publications dans Ie Groupe rneme et cela d"vTait l'endre Ie travail de reference plus rapide et plus approfondi. L 'utilisation de glossaires mi:-J il.Ll point pour ]es systemes de traitement de textes a Nev.~ York et Geneve d"vrait E'galement reduire I" temps que les traduetellrs et Ie personnel des references passent a vp.rifier les titre.:; et les termes consacres, permettant ail1si d'allouer davantage de temps a la traducUon proprement dite. 362. En fill de compte, on espere que les echangres d'archives dans Ie cadre du sysV2me de traitement de te}:tes avec d'autre.s lipux d'affectation, soit par envoi regulier de disquettes par 1a valise, salt par transmission par liaison satellite dont l'(;tablissement est. propose perm("ttr~_'nt dU Groupe ,je;s refci-rences - et a la CEA dans son ensemble .- d'une part. d'::lvoir acces a une gamme plus etendue de donnees faci1ement utilisables et, ,j 'autre part de ['(:~duire considerablement les frais actuels d 'envoi par valise et de sLoc kage des public·3.tions. a63. On espere que dl~rf:lnt 1a periode du plan, 1a construction de nouvenes installations de conf03rence serCi rea.Usee afin de permettre de reloger Ie personnel de l'imprimerie . .t'.l. ]'hpure actuelle, 10. CEA a reCO"UTS 8, des agents rontractuels pour entretenil' son materiel dJimprimerie dont l'etaL laissc beaucoup ii desil'er en raison de 1a gloave degradation des cOl1naissances te::::hniqur:'s au lieu d'affectation. A.us:::;i est-il envisage de c.onstituel' des COOlPt.~t!,'}nces inu",rnes pour l'entreti~n. 364. On s'efforcera egalement d'obtenir des [ournitures fiables de produits essentiels a. des prix competitifs; clans de numl;n-;ux caSt ceia signifiera des achats hon', d'Ethiopie. 365. Des procedures seront cngagees, en colla.boration avec Ie Grcupe ctu controle <ies doculllents et Ie Groupe <if' 12 distribution, pour que les tirages repondent ala demunde prevue r.:..'Our chaq lH~ document et quP le-s ciemandes d'impression :solent conformes au budget-programme en \.'igueur. Dne mejlleure liai.son avec Ie controle E!ECA./AD HOC.MTP!9 ", 1", des dDcuments et ]e ·';lph',I._ C:;:':~t.:t'·:.\1 1 -·c.;·::><t-;·,·~ ~ux ;;r:,'\'k€s d1equilibre.l' 10' \:cluffic '.12 L~·:::"·""ilf. pGi..H' k,;. r;::..prc-1th.::ion 1·Gfl·20 {-t au r:drd:nu',rJ l!? t ·n,'p~~. >i':' -,'" -.' ·;~~~·~-.c,u;:":t- ~~(.>;-j. '---"-". ,_i'<1, -\tl dE> ':;c-nference ;.)ff3~t afin de reduir\;~ 366. Avt;c h h~oderr;F,.(lticn de ltimpril~l;:'rie, 103 Lcaux i,L~~:;tjn(~s au perf)onnel seront egalernE'nt ·:irJ{~i(>l'es.. l'instaHdLi0n df' ventil.:\ti('~! deja ind foul'niss('l:t 367. j H l:~s actl~-f'l ~,s-)L;8 r{, Sf':.1 -,'r de reVi3lGn) prevoiRnt d,;:-;c;. ~r\:C)lY .-,' d:~' d'~:'uch;;~-s, ttL cc..lajr2.~e et nne , \"nc meilh:ure ins(Jnol'lSDti0o et -un J./~c,es plus facile. ,::::omm'2" l.'·r't'\-'u. q";(' k:;:; 1101,n*::1;«.: j'--;.2L:l:lcl~·.~OI·U':. d·,'~s ~('n, ic(-:'~, j.> .::!~rlf';'rencf:> e;·~_ fa("LJtr:-'- l,'autrJm3USclth,;.n mont:J~E', possib dans fl:' I.e:::. ::",,1P ~-..:-:ti'_,\l'r;!: ;\V-';:".::: :t:',I'':::: ;A"~ 'j, pro'::;"'t:;;;~i\'f'J c'::.:'; \",,Ji,: vail":" l'~.kt(-,1:·nv,l;,;c d;:· 1,1 (.::-('mi,>.:;;;:·,~t:ion eI du dans 10. me-sure du (tf' 1-r-:-:tes en (::c)tJr'S .:rinsta.i.lation r~~qU:pCc!l;e'1.: . .::hOif:i '0-81'c, 1 coml--';}.tib!.::: a,\'!7;.~ he, dt' ti..·£r:L,:;~::en!, p'''<'·':.X ~;11me d'E'.'u::.on:J.LsDl..:,:,::r.• Gadr:.:: :'l~ ,:'lOl,,\::':Hl,,,, 'J,U S'::l"vlc." dt3 'J,ilL,vftl;'; 1 10. f1::''';'11-,pe des n.:'T":--ne~; :~t8.Dli(';.., 369. leE E:--t(·:;:: d'-:ldrE-:-f;'?~-:, ::".;j'(fytt. progress1"t.:::mt.:;tS mis!:'s Ei, jOtU' f_'t 1a demanc€ effecti-,,-e pour cha(l.',t~:: pubiic~'tt~.Jn dp Ja Cf>\ ~\':"1"1 J:'0-E-'XUfl:llnce. L'et14uetagE" s€.'ra ><:ntier€rr.ent infol'J:lfiLlse: ',A: ;;';: ,~<::::::.br:t/ te 'C~:);;':::' i.l~'3;;' Foperat.L)n d'etiqu·::t:::::gf: ~.~ 2(' Jr: !t~ 3.utomatlCr'.~C' f't. d.c },,;:..ff:".:·L!,lChi£:?,enlent :lfin de red uire l.:t Fl'~SSJOn l:'es.:!-n '" :~.ll r lP ,:; n)·,J Pl--' 'j •.:" J;:\ \--[~: i~~: d ;',';0["''' I.e::; 1~::.:~ ~,'_~ J '(1'::11 ';:3S'?'~' ::.\.",t ·d,'d~S0-:. ~> ,(c'n c.. '~l '~E; :::-.to'0 $ er::. ('(: lldboratiofl ay(-:c It~~ Group>2 d.! <>.:J;:tr61e fie>::'" dc\·:....~:en;.~.~ et ;,'-- \~;~.',)Up€ (t"'; ~;i :.·(>pn;duGti.,~r. P01J:;: la quantit.~ des tLrage'~" p:)u":" c:es docu:11<:, nts ~~-::: t.'·..';r,i0 na!::.\l1'( 'l.fn; ':.C rr,inlnnse:r la sous-prouL..cnon et :::-;urpl~orluC'tjon et Ie::; COtltS "'-l,U' r;"'1 Cl,I}:':"(),J.t1--:r:r, 370. 371. stockage GL '::h~ {"~is~ri:-:uL:,o;- :..-:.,.-,.~ (~=,c'-J:n(~:-d;.,· :'<TO[;;: ::>,·.-r';::tni,':.~'2 pe'...:r t'-3t.,,)nalise-r l'utilis::ttion de 1\~~'Ph'~_'.E dr,pC)iih;e; i\<) s',~'~2't;'m\;";;, :_i")/';~::.::.::.~~~'\'-·' t:'t d? re-che:::'cne 3ercnt adapLl?3 au systeme ,it:, tLli:;;.em-cnl. de "i2,\t.e;':' du ~:~n~r8.l (j;;tctyl.o~rnp'1h·lue et. s'i! y a lieu, 1':"0 lJ;'>~ t·t ~,,_<~ ;-,l.plt':':, '1s ·ie :.:~ lJ,.~lL·,.: s ::'"..::r'("FPt. ;~t.X,:,:·i>S l' ,mp:','lTI1t'r}'j afin que les documents ,,-,enan.t I:! :n::tDquel' r:U~SS":l1t 12(1'(' r'Jrr,lE').ndes. 't ncUVf'uU r.::":.pidement et sans 372. di~fJculte. JJ s'agit dr::s SUiV:'H~L fll POllf'i.'ch' teu::" Ir.~:..::. -i)Ctste.s., vac,;u.lS d3.DS h:s t;r::rvice<:.: d--.;: tr:'lductton ::.vant, fin 19U2; rJ [tn,biu: ~:Ol'r:1·~nement l;n grc-up''': de cont,1'6k rjr-;s document..:; di8posant du personnel €t des fa,.:.;llltes d~app~li nt,>(;0~8~:.i.ce.s [("(tnt, fin 1S'J2; E/ECA/AD HOC,Ml'P/9 Page 108 ~j ,... Ir:~~.t:il!(-·r ,.:e;-.-;.' -·r"( .J'. 1'; -,,' .. _ n' dacty-lographj':.-{ue diEPOSa.-;l"L d:: teI'ml1\[!1.t~~ aux:~,,"t'_l':'." au contrt).:e dl<.. d0c:\-,:_f;'2'ij·~;c •. ,', a.: \ fin .J.. 1•1 ,}'.:; ~.<';~:t~2' n'J ~:l 1 et fl .e>::;Y-;_Si'-':-l! ~'(:';:-JOl'l\j -;:, Fc t 1:1('1" _ll,'.-.tl.·' ~~-,·'·!Cti.0;:n,C:l"-c~,-c, ':1< ,:1.,1.1',;"';': f onc~ic Jt rH:: r::ip..~·d: .:112.-' ,t? 1'!'l :>Jz.,f', 5 (. ~'fi"r:t :-.": ,:..r:: i f i 'j Centr~l -:1E';:::: 1'(:f61'C-l1Ces ~\.:"~ L.iDl'-:=: r::t-JUPI'::~ t'l afin que €'[j cv >J',i (;t~O'!fj':)"'" :.i et de l'9.ngues 1'::1 demandp t01,!_1_'l;H:.r'le .'lU:,( ~echni'lue-s de 1,~:2:~, 373. 'r,'~p;:;tI'u_~-.i!,~~1 .j~ l)'"C ."C ;. \~~ -j aux rl::~U 1. . i '.::' '~~L,<)~~ nic:ns;, ,":k:", ;j-;U,~" L-,::::, pu~.-}Lca::-i0 37'1, LI- ~','_;us-prr;::p"an:rrf d~: 13. ':':'e'·,;tL"n, :'~'J'>:i:t~ ,1(,' 3erY,1(,0~. f~eheraUi.., c'Jmrtucdlite (.\ l:'l \::lini~u(. ~'i5. AL. ~,l ! '.'(",,-; :::' -P?'lI' de s r,iunions ,'\ '.:ecur ,-~<.JtL'.:-~ d~; lEt ;T'J~-3.l: ;' '1~' <:: 1mtrli~~r;t'~1t:f;:;, fjr,LJ'1(":'::"n:, Ics .:::,;'t'Vlc0t::: fi 1,:\n('i~,11 d,; [EJ" !e::, d 0 s docl.''llep,;:s destines ...-:tffll..;lf-..-'ll:.::, -:tc..; ~'(l~~j: at,:': S( l'Y1Ct:~; nrjm;,tU2-,tl'n4 :1~'l ...:r!lh:,~~>rT,'1ti;':'D ~e, d coe"(':pc~d..:ir!.e 'S. Jc 13 J'{'taL.1L:.>s2!'1'.;~l': ::}':-. ~',i.J ;;c~'t,~." f;:.; .;:'L :':':Ol!li:YL,HtS L: ,·'0mmL7;;.o;JOn. n est charge e0 1.p.TC les ia budgetisat.ion, 1a i.:-s .;er,\wices d r " bibliotheque, ~;(;r\-iees du pers..:Jnnel ct les ':,> pt:-:;-''-hjv'~ ,_:,~ _~l::'":,, 'l~-,.::, .:;L,~,tL.;) ci",~, t,el'\'lC,eS ~:dmL1jstr:ltus pSff~nti,;Ll'~'i:;~f':1t .:"XP-"", r~'lj' jnt'~s..:< j'~,,-, ,:.:)"(1(, J1~_-.< :-J~ :-_-,<-: ~ seront 1f,-:'....l.:Ci'[~:...h" ati0L j.:-::-: t".:J>+~·li:.:(:'~: d,:;- :"":\'::\~t''-:;t&.ri:'t:. ,f-de svsteme '~"LU' ,:,t, la r~a1l1fi(;;)'IiorL .;:",;;,suret'ont jl~t1t,l'oduction du dtlrrl()rn:n.Li,.j;; <it; :::'- E/ECA/AD HOC.MTP/9 Pa.ge 109 personnel, service des :lch·s.t~·: <:1: .:\ppt'oyisionn;";Jr;f'Ht~:, securite cl service d~s biitiments et maintien d'lln service des archives. Par ailleurs, l'organisation de cours de langues et la formation et la mise en ;-aleur du personnel se poursuivront en tant que partie integl'ante des activit~s susm(:;ntionnees et. SE'l'"ont intensifiees. al 375. Les texLes portant autorisation des travaux du present sous-programme emanent, du reglement finand(~ .. de I'OKU, du St.atut et dll reglement du personnel de l'ONU et de la resolution 3043 [XXVII) de l':\ssemblee generllle. 377. Les objectifs du sotts-programme consistent a: a) Planifler, coordonner, sUlvre et evaluer la gestion des services administratifs; b1 Assurer la prestation de fonctionnement du secretariaL de la CEA; c) Planifier) 61aborer automatise de base de donnees; J mettre services en oeuvre auxiliaires At pour Ie bon entretenir Ie systeme d1 Assurer une formulation rationnelle des aspects budgetaires du programme de travail biennal; e) Ten ir l~ com-ptuoilitc du <;tcr6tadat et prendre des actions opportunes en ce qui concerne les paiemel1ts et l'Hablissement de rapports; f) Recruter du personnel et mettre en oeuvre Ie reglement appropne en ce qui concerne la gestion du personnel, dans Ie cadre d'un rnecanismp consnltatif conjoint ayant trait a certains aspects de ['administration du personnel; Assurer eL administrer des services centraux pour les voyages du personnel et les transports de fret et assurer l'appro,dsionnement du secretariat d'une manic,-e rentable; g) h) Assurer les servicor:; du courrier et des archives; il Assurer Jes services de reference et cl'information pOUt' Ie personnel de la CEA charge des activite6 de recherche et poursuivre la constitution d'une documentation appropriee et detaillee sur I"s economies des pays ufncains; j) Assurer des services medicaux: et fournir lee installations medicalcs necessaire1l pour les membres du personnel et les personnes reconnUeS comme etant a leur charge; E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 110 k} Assurer, au.:\: mewbres du personnel et aLiX personnes reconnues cornme etant a leur charge et pour les biens de j'Organisation des l"ations Vnies, les services requis dans Ie domaine de la securite et de I" sllretk. c) Problemes traitks 378. Parmi les proolemes les ['Jus graves entravant Ie bon fonctionnement des services administl'atifs du secretariat de In CEA figure Ie manque de materiel moderne. All sein du Secretariat, tout enlier de I'ONl', Ill, CEA est I'organisme qui a Ie materiel de bureau Ie plus vetuste. II est certcs vrai que quelques progres timides ont cote realise~ avec Ill, fourniture d 'un maU;del de traitement de textes au central dactylographique. il n'en demeure pas moins que Ie reste du secretariat continue d 'utiliser de vieilles machines. II existe par consequent un oesoin urgent d'automatiser les services de secretariat de toute In Commission, y compris les cinq bureaux sous-n,gionaux (MULPOC). 379. Le' secretariat a, jusqu'& present, utilise Ies services du PADIS - un proj"t finance pur les donateurs - pour traiter certaines d:mnees reiaLi\'es aux finances et au personnel. Le gros de !'information est traite manuellement, 11 g'ngit la d'une situation qu'iJ convient de corrig'er de toute urg'ence si Ie secretariat doit fonetionner de maniere efficaee. 380. D'autres unit.. " du secretariat de la CEA telles que les statistiques, la population, etc. dependent du PADIS dans la mesure de la capacite limitee qU'il peut mettre it leur disposition. En outre, cette capacite limitee qui est disponible pour Ie moment est menacee de disparition par Ill, decision apparente des bailleurs de fonds d'arreter tout soutien au PADIS. Par consequent, ce dont Ie secretariat a besoin, c'est de metlre er. .t:lace un systtmlf~ integral de traltement electronique de J'information pour repondre it ses propl'~S besoins. 381. En ce qui concerne les services de securite et de Buret", une fois de plus, Ie probleme majeur qui Be pose est Ie manque de matkt:'iel. Le service a besoin de toute urgence de materiel mod erne de controle et de detection y compris d'un circuit ferme de television dans Ie centre de conferences. 382. Au cours de l'exercice biennal actuel, il est preVll au budget un post., pour 1a modernisation du systf,me t.~lephonique' de la CEA. Toutefois, il est crucial que la modernisation envisagee du systeme telephonique tienne compte de Ill, necessite pour la CEll. d" devenir autonome uinsi que 1'" amplement prouve J'experience. A eet efiet, la fourniture d'un satellite serait hautement souhaitable. 383. S'agissa.nt du service des biitiments, les efforts de Ia. CEA en vue d'atteindre des normes a.cceptables sont serieusement entraves par une penune aigue de maind'oeuvre qualifiee et de maLeriel. On se ~OUVi0ndl'a qu'cn reconnaissance des pl'obU,mes que connalt Ie secretariat dans ce domaine, l'Assemblee generale a adopte 1a resolution A/39/7 Add.2, dans laquclle elle e"prime sa preoccupation face aux norme" deplorables d'entretien des locaux de Ill, CEA et a instamment demande qu'll sait pl?oced€ a une amelioration. En applieaLion de cette resolution, Ie Siege de I'ONU a, en accord avec 1a CEA, nom me un consultant qui a notamment souligne In nikessite de renforcel' Ie 110mbre et la qualite du personnel des biitiments de la E/ECA/AD HOC.MTP /9 Page 111 Malheureusement, ancune des recommandations majeures n'a ete mise en Par consequent~ au conI'S de .ia perlode d'execution du plan, i1 est prevu de prendre des mesures pour redresser 1" situation. CEA. oeuvre~ di Strategic pour la periode 1992-1997 384. 11 est escompte qu'" la fin de 1991, It, situation financiere de l'Organisation sera toujours tone qu'cHe n~cessitel'a Ie maintien d1une a<Jsterite budgetaire ma.'(imale. 385. Cependant, il cst prevu que la situation en ce qlli con".~erne les V.:lcances de postes sera redevenue plus ou phiS normale. En outre, Ies reductions de:; pustes auront pri" fin et l'"utomat.isatiotl des bUt'enu:,,; qui <l~lra introduite en 19901991 continuera d'amelioreI' l'efficacit6 des op.crations en de:pit de la reduction du personn~l. Parallelemenl. d'autl"es matf:riels d'J bureau, gen-§ralement trcs vetustes devl'ont f.tre remplaces. C·2tte (lctivit.e couvrL'a Ie de la CEA ~t Addis-Abeba et los MULPOC~ En ce qui concerne 1a pl'f'sllition Ql:.' see services informatiques, k· secrf'tariat continuel'li de dependl'e dEc l'equipement H0wlett "'lckard 3(,00(68 du PADIS dont l'acqlJ.isitiQD a et .~ financee par de~ fonds 8.:{trfLlJudgetaireb t:t dont Ie remplacernent devra intf.>rvenir d1icl a 1 H9L He l 386. Pour ce t11.d e3t de 1:;.. maintenance, 13. modernisation d.as trois a,scenS0urs duo nQuveau b.:a.tirnent aura \,~te realisee. Touterois~ les norm6S ~enerales de maintenancE' des locau.x de \", CE.l, vont ,cl'aisembhblemf'nt se degradcer par suite rle 1.<"1 redu<;tion draconienne des fonds Pi'eVUS " cet efff>t pour l'c-xercicE' biennal 1990-1991. 387. IJes services administrat.ifs Gonduuervnt. dli;trf: ::tSSllI'€S d:J.ns domaines de l'admmistratlon et de la coordination generales, de la gestlon du personnel, de Ia climque, d(' In et de la surei<:" de la bibliotheque, des finances, des services gene raux et du service des batiments. Des mesures seront prises pour ameliorer les dispositions relatives au plan d.e sec«lrite et pour assurer un fonctionnement ef:icace dn pl,:l.n. Liintroduction d'ul.l nouvc;l ordinat-eur centra.l, dans le cadre du systeme d'information de ge~;tion, sera cntreprise. La formation en cours d'emploi des membres du personnel de\Ta etre int"n5ifit~e, en particulier la formatten des utilisat.'urs <en vue du ronctionllemer,t du ~ysteme integre d'inform'ltion de L~automatisati;.)n des bureau:"\ dli secretariat sera etendue am: bureaux n'a:r~ant pas it;; couverts la fin du plan 1986-1991. L'interconnexion des micro-ordinab;~'urs ,;,t des r'-3seaux locaux se p(Il.lrsu-:'vra. Les systemes et procedures de \~omptcd)ilit~ 31::.ront t.'.·xamineg pour en amelioeer Pefficacite. Les etats de paie seront entP·l't"ruenr. info.rmatises~ La coordination et Ia sU1"-.fei11anc~"J des bu}:'eaux. sQtls-rdgjonuux sel'ont renfoecees afi.n d'eUrniner Ies proble-rues dans 18. gestion financjere. un f'lan d 01 :5u,Ill..:.::ati(ln des ':;<:~rrit,:~res sera (~labore et illi:::; en oeuvre en GonSQqueIlcE'. L'inrormatisation et Pautcmatic-abon de toutes les Actiyites biblicgraphiques r:oml)~is lE'£ :lcqll:isitions~ les services techniques les servicf>:s au:\: J.ectetLrs:, les lister::: rec;Jpitul;3.tiy(~'S sel'ont r8dlisees. Les servkes d'approvisionnement, de COflt1'01e des ;rJ'"'/E'ilta:l'E's! de la gestion des stocks, e' j ;;' E/ECA/AD HOC.MTP/9 Page 112 des reservations aupres des compagnies cV2riennes seront egalement automatises. Des appareils de lecture - agrandisseurs de microfiches et de microfilms seront l1chetes. Les politiques relatives it ]'amortissement et au remplacement seront strictement appliquees en ce qui concerne les vehicules officiels de la CEA. Compte tenu de la penurie de biens et ser-v-ice5 sur le marcht:, local, il existera toujours une forte dependance vis-a-vis des importations au COlU'S de la periode du plan. Ceci a son tour necessitera un recours conLinu au port de Djibouti pour la plupart des expeditions maritimes et il sera par consequent neces3aire de Dommer un transitaire au port de Djibouti.