Dossier de presse Start`In Challenge 2015-do

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Dossier de presse Start`In Challenge 2015-do
 Dossier de presse 25 juin 2015 Remise des prix du concours Start’In Challenge Contact presse : Elodie Streque Ballanti, Chargée de communication Télécom Saint-­‐Etienne, 04 77 91 58 96 elodie.ballanti@telecom-­‐st-­‐etienne.fr Sommaire 1)
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Résumé Présentation du concours Présentation de l’incubateur USE’In Présentation de l’Espace partenarial R&D de l’Ecole des Mines Présentation des projets lauréats : a. E-­‐Ophtalmo b. ProTournoi c. Swap 1) Résumé La cinquième édition du concours de start’up innovante « Start’In Challenge » a remporté un vif succès. En effet, nous avons reçu cette année 8 dossiers de très bonne qualité, ce qui atteste que la dynamique de l’innovation est bien ancrée sur le territoire stéphanois et qui montre surtout une attente vis à vis des étudiants ou jeunes diplômés souhaitant se lancer dans l’entrepreneuriat. Organisé par Télécom Saint-­‐Etienne, l’IAE et Mines Saint-­‐Etienne dans le cadre de l’incubateur USE’In de l’Université Jean Monnet et de l’Espace Partenarial R&D de Mines Saint-­‐Etienne, ce concours était ouvert à tous les étudiants de l’enseignement supérieur stéphanois ainsi qu’aux étudiants de l’Ecole des Mines situés à Gardanne. 3 projets sont désignés lauréats du « Start’In Challenge » après étude des dossiers par un jury composé de représentants des établissements partenaires, de professionnels de la création d’entreprise et de personnes assurant une complémentarité de compétences. Les lauréats recevront chacun un chèque de 1000€ ainsi qu’un an d’hébergement gratuit au sein de l’incubateur USE’In ou de l’Espace Partenarial R&D . Les Start Up primées à la 5ème édition du Start’In Challenge sont : - E-­‐Ophtalmo - ProTournoi - Swap 2) Présentation du concours Le « Start’In Challenge », a été lancé à l’initiative de Télécom Saint-­‐Etienne, école d’ingénieurs de l’Université Jean Monnet et de l’Ecole des Mines de Saint-­‐Etienne, dans le but de promouvoir l’esprit d’entreprendre des étudiants, ainsi que l’innovation et le développement économique du bassin Stéphanois. La 5ème édition de ce concours à la création d’entreprises innovantes a été lancé le 20 avril dernier et à été ouvert pour la première fois à tous les étudiants de l’enseignement supérieur stéphanois (Télécom Saint-­‐Etienne, IAE, Université Jean Monnet, ENISE, ESC, ESADSE, Ecole des Mines de Saint-­‐Etienne) avec une clôture des inscriptions au 1er juin. Les candidats devaient présenter une idée ou un projet de création d’entreprise, dont l’activité s’appuie sur une technologie ou un service innovant. Créé en 2010, le challenge ne cesse d’évoluer tant quantitativement que qualitativement, le nombre de dossiers augmentant au fil des années. Le Start’In Challenge est devenu un rendez-­‐vous incontournable sur le territoire et est désormais ancré dans le processus de détection de projets du pôle entrepreneuriat « Pépites » de l’Université de Lyon. 3) L’incubateur USE’In et les projets d’incubation Télécom Saint-­‐Etienne et l’Institut Supérieur d’Economie, Administration, Gestion (IAE) ont lancé le 11 mars 2010 l’incubateur : Use’In (Université de Saint-­‐Etienne Incubation). Use’In est un dispositif destiné à accompagner des créateurs (étudiants en cours de cursus ou diplômés) de manière à leur permettre de maturer leur projet, l'objectif étant la création effective d'une entreprise avec de premiers clients. Pour être soutenus dans le cadre de Use'In, les projets doivent être porteurs d'innovations substantielles, que ce soit au niveau technologique ou au niveau des services. L'hébergement consiste à accompagner la trajectoire du créateur et à le mettre en relation avec les acteurs adéquats : parrains et anciens créateurs, juristes, financiers, organismes d'aide à la création... À ce jour, treize start up innovantes bénéficient ou ont bénéficié de l’hébergement et de l’accompagnement de l’incubateur USE’In. Parmi elles, 10 entreprises sont toujours en activités : -­‐ Craftsmen conçoit et édite des applications et services web métier sur-­‐mesure capables de s’interfacer avec des systèmes d’information existants et qui permettent une utilisation sur plusieurs supports (Smartphones, ordinateurs) et en mobilité. Les porteurs du projet Mehdi Lahmam Bennani et Kévin Chavane sont tous deux ingénieurs diplômés de Télécom Saint-­‐Etienne. Leur incubation est actuellement terminée et l’entreprise poursuit son chemin au sein de la Pépinière d’entreprises de Saint-­‐Etienne Métropôle. Mehdi et Kévin viennent de lancer le 3ème Open Device Lab de France qui fait actuellement parti de l’exposition de Design Map. http://devicelab.craftsmen.io/ -­‐ 3DNEOVISION est une entreprise spécialisée en imagerie médicale 3D créée en 2010. C'est à partir de données scannées ou IRM qu’elle reconstruit en 3D l'anatomie du patient au format numérique. L'intérêt d'un tel procédé est d'aider le praticien à mieux : -­‐ voir les interactions entre les différents éléments anatomiques du patient -­‐ planifier la chirurgie dans le virtuel -­‐ reporter les informations planifiées sur le patient L’entreprise est sortie de l’incubateur et poursuit son activité à Lyon. -­‐ Qiova propose à ses clients du conseil en marquage laser ainsi que des solutions spécifiques pour la traçabilité à travers un produit innovant : le MOV (Module Optique Vision). Ce module issu du transfert technologique des thèses des deux porteurs permet un marquage propre, sans contact, rapide, évolutif, réalisable sur de nombreux matériaux et contrôlable par relecture industrielle. Les marquages ainsi réalisés à l’aide de cette technologie auront la possibilité d’intégrer un nombre important de fonctionnalités utilisables pour la traçabilité en général : de l’identification (logos, numéros de séries, codes-­‐barres, datamatrix, Qr-­‐Codes...) à l’authentification (nanostructuration de surface, marquage spécifique...). Benjamin Dusser et Sébastien Landon, les porteurs du projet ont été lauréats du « Concours national à la création d’entreprises de technologies innovantes ». L’entreprise Qiova est sortie de l’incubateur et poursuit son chemin au sein de la Pépinière d’entreprises de Saint-­‐Etienne Métropôle. -­‐
Hydrorestore est un bureau d’étude en environnement spécialisé dans les écosystèmes aquatiques. Nous proposons des prestations de services dans l’évaluation de la qualité des eaux et de conseils en aménagement et en restauration des milieux aquatiques. L’évaluation de la qualité des eaux s’effectue par l’utilisation d’espèces, animales ou végétales, indicatrice d’un certain niveau de pollution dans les milieux naturels tels que les cours d’eau, les étangs mais aussi les zones humides. Les porteuses du projet, Marinne Schmit et Kelly Blond ont terminé leur incubation et ont monté leur entreprise à Yssingeaux. -­‐
Horse Development est une société de conseils dans le domaine de la filière équine. Les porteuses du projet Alice Torrente et Audrey Courtier aimeraient intervenir en tant que consultantes externes pour apporter un appui, une expertise et du conseil tant aux entreprises existantes qu’aux sociétés en création. Leur double compétence de « femmes de cheval » et de gestion d’entreprise leur permet de se positionner sur cette activité d’ingénierie équine, et de toucher chaque entreprise en contact avec la filière (centre équestre, haras de pur sang… mais aussi constructeurs de camions, fournisseurs de matériels hippiques…). L’entreprise a terminé son incubation et est à présent basée à Roche La Molière. Le site Travaux-­‐futes.fr, issue du projet d’entreprise Plocei, créé par Jean-­‐Christian Duc et Caroline Paillard; tous deux ingénieurs civils des Mines de Saint-­‐Etienne, spécialisés respectivement dans le web et le bâtiment; met en relation les particuliers bricoleurs avec des vendeurs de matériaux pour les professionnels. À la clef, un service de déstockage spécialisé dans les matériaux et équipement du bâtiment. L’entreprise se positionne sur le métier de l’intermédiation spécialisée et locale entre vendeur et acheteur. Le service permet au distributeur -­‐ qui conserve son anonymat -­‐ de recevoir une clientèle qualifiée. Les particuliers de leur côté apprécient de rencontrer des vendeurs professionnels qui peuvent leur apporter conseils et recommandations dans le cadre de leur projet de rénovation ou de travaux. Les particuliers accèdent également à des produits habituellement réservés aux seuls professionnels. L’entreprise est en train de terminer son incubation et devrait voir le jour très prochainement. -­‐
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Dealabs.com le site communautaire de bons plans. Créé par Hugues de Buyer-­‐
Mimeure, étudiant de Télécom Saint-­‐Etienne et Médéric de Buyer-­‐Mimeure, étudiant en classe préparatoire au diplôme de comptabilité et gestion, Dealabs est un site communautaire de bons plans sur lequel n’importe quel internaute peut partager une offre qu’il estime être bonne. Ces offres sont alors soumises aux votes des autres internautes, ce qui permet de trier les bons plans et de ne faire ressortir que les meilleurs. L’entreprise s’est désormais installée à Lyon où elle poursuit son développement. -­‐
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Teledomos, lauréat du Start’In Challenge 2013, est une jeune entreprise dynamique qui conçoit un produit de gestion d'automatisme encore inédit : un miroir interactif qui permet aux différents éléments du foyer tel que le chauffage, l’alarme ou l’éclairage de communiquer et de devenir autonomes. De plus, la musique et les photos sont disponibles partout dans la maison. Ce miroir interactif est une interface unique qui regroupe les fonctions que les gens adorent: cadre photo numérique, bibliothèque musicale, visiophone, horloge, interface domotique, éclairage d’ambiance, détecteur de fumée… Ainsi, la solution de gestion est bien globale et ne se contente pas de couvrir «des petits bouts de besoin». Par ailleurs, contrairement aux produits présents sur le marché, Teledomos ne se contente pas d'avertir l'utilisateur sur sa manière de se comporter mais agit directement sur les appareils qui nous entourent pour que la maison s'adapte à notre mode de vie. Après quelques mois d’incubation, le bilan est très positif pour Dimitri (étudiant de Télécom Saint-­‐
Etienne) et Alexis (étudiant en BTS Gestion), les porteurs du projet, qui sont actuellement en train de fabriquer le prototype de leur produit et recherchent des entreprises locales pouvant devenir partenaires de son industrialisation. Le business plan de la start’up est en cours de finalisation et la levée de fonds devrait se faire en septembre 2014. Gymini est un système de gestion des clients destiné aux coachs des salles de sport. Son fonctionnement repose sur un bracelet intelligent porté par le client, programmé par le coach, qui communique avec le smartphone du client. En salle de sport, le suivi de l’entraînement des clients se fait encore via l’impression quotidienne de feuille de papier que les clients doivent compléter au cours de leurs séances. Le caractère innovant du projet Gymini est double : d’une part par l’introduction des outils numériques dans les salles de sport, d’autre part par l’usage d’un bracelet intelligent qui détecte automatiquement les performances du client au cours de sa séance. Alexandre, Baptiste et Nicolas sont tous trois étudiants à l’école des Mines de Saint-­‐
Etienne et viennent d’intégrer l’incubateur. Entreprise Responsable propose de créer une structure de conseil en Développement Durable et Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) pour aider les petites organisations (PME, collectivités, mairies…) des Régions Rhône-­‐Alpes et Auvergne à la mise en place de politique RSE et environnementale. Thomas et Matthias, tous deux issus du Master Management du développement durable viennent d’intégrer l’incubateur. 4) l’Espace partenarial R&D de l’Ecole des Mines de Saint-­‐Etienne Espace de maturation technologique de projets de création d’entreprises, au contact des laboratoires de l’École et de ses élèves, l’Espace Partenarial de Recherche et Développement (EPRD) est un modèle original et ciblé qui fonctionne en réseau avec les dispositifs régionaux d’aide à l’entrepreneuriat. Outil de soutien au développement économique, il s’appuie sur les compétences et les ressources techniques de l’École des Mines de Saint-­‐Etienne, contribuant au développement de l’entrepreneuriat étudiant. Des conditions d’accès précises permettent d’installer une relation vertueuse avec les projets qui doivent être cohérents avec les technologies développées et mises en œuvre dans les laboratoires de l’EMSE et pour lesquels l’entreprise s’engage à entretenir des interactions avec l’École sous des formes variées (offre de stages, proposition de sujet de thèses de doctorat, contrats d’expertise, projets de recherche…). La formule originale de l’EPRD a vu le jour en 2009 sur le campus Georges Charpak de Provence (à Gardanne) et affiche désormais d’excellents résultats : 19 projets hébergés, dont 10 actuellement présents sur site: Microvitae, Encapsulix, Crosslux, Photonjet, Incas, Terradona, Nawatechnologies, Selerys, @Health et Nanop’Ink (spin-­‐off du laboratoire PS2). Au printemps 2014, l’EPRD est fier d’avoir obtenu deux projets lauréats du concours mondial de l’innovation sur 3 en région PACA, portés par Microvitae et Nawatechnologie. L’EPRD crée également un écosystème qui rapproche les formations des startups et qui favorise l’entrepreneuriat étudiant. À ce jour, 7 startups ont été créées par des étudiants ISMIN depuis la création de l’EPRD provençal en 2009. Après ces succès rencontrés par l’EPRD Provençal l’EMSE a décidé de déployer le concept original de cet EPRD sur son site de Saint-­‐Étienne. Il s’agit pour l’établissement de valoriser les recherches effectuées dans ses laboratoires, soutenir l’entrepreneuriat de ses élèves et de ses doctorants mais aussi des autres établissements du bassin stéphanois, et plus généralement des entrepreneurs de tous horizons souhaitant développer leur projet de création d’entreprise à Saint-­‐Étienne. Cette nouvelle étape concrétise l’ouverture de l’EPRD à tous les domaines technologiques développés par l’École. Elle marque aussi la volonté de mettre en place un fonctionnement en réseau des deux sites, avec une gouvernance unique pour en assurer le bon maillage. Le cœur de cet EPRD stéphanois a emménagé courant juin dans les nouveaux locaux du Centre Ingénierie et Santé, sur le site de l’hôpital nord. Imen Smaili a été recrutée en janvier pour parfaire cette installation et accompagner les premiers projets, dont potentiellement ceux qui seraient lauréats de ce concours Start’in Challenge… 5) Présentation des projets lauréats a) E-­‐Ophtalmo Mini CV du porteur du projet : Chaker Nefzaoui, inscrit en thèse de médecine spécialité ophtalmologie à l’Université de Saint-­‐Etienne, interne en dernière année d’ophtalmologie au CHU de Saint-­‐Etienne, titulaire d’un Master 2 « Sciences Biologique et Technologique pour la Santé » de l’UJM et actuellement inscrit en Master 2 « Droit des Affaires Santé » à la Faculté de droit de Saint-­‐
Etienne. Co-­‐fondateur : -­‐ Philippe Joos, ingénieur Institut d’Optique Graduate School et titulaire d’un Master 2 Optique Image Vision à l’UJM, actuellement en thèse en imagerie médicale. -­‐ Zied Khemakhem, étudiant en Master 2 “Management des Organisations de Sainté” à l’IUP Management de Saint-­‐Etienne. Résumé du projet : La rétinopathie diabétique (RD), pathologie cécitante touchant les patients diabétiques, est la première cause de cécité en France pour la population âgée de moins de 65 ans. Le dépistage de la RD, par imagerie du fond d’œil (FO), permettrait de déceler l’apparition de cette maladie à un stade précoce et la mise en place d’un traitement efficace et peu coûteux. Toutefois, la réalisation de ce dépistage se heurte à la pénurie des ophtalmologistes alors que la Haute Autorité de Santé (HAS) préconise qu’il soit fait à un rythme annuel pour les patients diabétiques. La HAS estime ainsi que moins de 50% des 3,7 millions de diabétiques en bénéficient. En 2030, la HAS prévoit qu’il y aura 6 millions de diabétiques en France. La solution à cette problématique est une évolution législative de délégation de l’acte par télémédecine. Une loi datant du mois de Mars 2014, permet à des professionnels de santé qualifiés et disponibles (les orthoptistes) de réaliser ces images du FO par rétinographie non mydriatique (sans dilatation de la pupille) et de les télétransmettre aux ophtalmologistes pour une interprétation en différé. Malheureusement, le manque de moyens en matériel, la communication difficile entre les différents acteurs et le cadre juridique complexe sont des obstacles à l’application de ce texte et au dépistage de la RD. E-­‐ophtalmo est le premier service national de télémédecine pour le dépistage de la RD. Il s’agit d’une plateforme d’intermédiation mettant en relation les différents acteurs de ce dépistage. Pour l’orthoptiste, e-­‐ophtalmo comprend un service d’accès au matériel technique et à une plateforme d’intermédiation permettant de télétransmettre les images de FO des patients diabétiques. Des ophtalmologistes conventionnés pourront ainsi en se connectant à la plateforme e-­‐ophtalmo avoir accès à ces images de FO et rendre des diagnostics. Si cette pratique se fait déjà ponctuellement en milieu hospitalier ou dans certains réseaux locaux, il n’existe pas de cadre pour l’appliquer aux cabinets des orthoptistes libéraux à un niveau national. Le service e-­‐ophtalmo tend à uniformiser l’accès à ce dépistage en garantissant la sécurité de transfert des données médicales. Le service apporté aux orthoptistes libéraux, par vacation ou conventions, les affranchissants des questions matérielles et relationnelles avec les ophtalmologistes, est une innovation. L’équipe de soin formée par les ophtalmologistes, les orthoptistes, mais aussi les généralistes qui prescrivent les examens annuels de FO, permettra d’augmenter l’efficacité médico-­‐économique du dépistage de la RD pour les patients diabétiques. Le business model de la société e-­‐ophtalmo repose sur ce service de télémédecine, mais aussi sur le développement de partenariats avec des industriels, laboratoires et mutuelles, acteurs secondaires de l’environnement médical. Les perspectives d’évolutions sont multiples en ophtalmologie avec les discussions actuelles sur de nouvelles délégations d’actes entre orthoptistes et ophtalmologistes entrant dans le cadre de la télésanté : prescription de lunettes, dépistage du glaucome, dépistage de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), etc. Chaker NEFZAOUI, jeune ophtalmologiste, Philippe JOOS, jeune ingénieur en optique spécialisé en imagerie médicale et Zied KHEMAKHEM ambitionnent de créer la société e-­‐
ophtalmo avant septembre 2015. Gymini Mini CV des porteurs du projet : Jérémie Bennegent et François Voron, tous deux étudiant en Master Informatique (Machine Learning Data Mining) à l’Université Jean Monnet Résumé du projet : ProTournoi propose un logiciel en ligne de création et gestion de compétitions sportives à destination des clubs sportifs : gestion des inscriptions, génération des tableaux ou des poules, saisie des résultats... Cliquez, jouez, on s’occupe du reste ! Déjà en version béta depuis septembre 2013, le lancement commercial est prévu pour mai 2015. La gestion d’une compétition sportive est une problématique difficile à résoudre pour les clubs et associations. Gérer les inscriptions, cr.er les tableaux et les poules est un travail long et fastidieux, particulièrement lorsque la compétition compte un grand nombre de participants. ProTournoi propose d’aider les clubs grâce à un logiciel en ligne qui automatise toutes ces tâches : gestion des participants, génération automatique des tableaux et poules avec possibilité de les imprimer, saisie des scores et publication des résultats en ligne. Tout ceci accessible de partout sur un ordinateur, une tablette ou un smartphone. Notre service est propoé sous forme d’abonnement directement depuis notre site web, donnant accès à toutes les fonctionnalités et à un nombre illimité de compétitions. Plusieurs formules sont proposées : sans engagement ou avec un engagement de 12 mois donnant accès à plus de services. En France, on compte environ 160 000 clubs sportifs, toutes disciplines confondues, avec en moyenne 150 adhérents et 32 000 € de budget annuel. Notre concurrence vient avant tout de certaines fédérations qui proposent un logiciel à tous leurs clubs : souvent complexes, les clubs s’en détournent dès que possible. Ils s’en remettent donc très souvent à des feuilles Excel ou à une gestion manuelle (papier et crayon). Nous avons deux axes pour attaquer le marché : au niveau national, par Internet, via de la publicité par mots-­‐clés ciblés et au niveau local, en prospectant les départements de la Loire et du Rhône. Notre objectif : 140 clients la première année pour atteindre 1100 la cinquième. Notre version béta est en ligne depuis septembre 2013, ce qui nous a permis de recueillir de nombreux retours. Nous préparons ainsi une nouvelle version que nous souhaitons lancer en mai 2015 avec nos offres commerciales, après dépôt de nos statuts de SAS. Nous allons nous implanter sur Saint-­‐Etienne au sein de l’incubateur Use’In et comptons embaucher un profil commercial la quatrième année, afin d’augmenter notre capacité de prospection et un assistant de direction la cinquième. Nos prévisions nous amènent à estimer un chiffre d’affaires de 29 500 € la première année et de 268 000 € la cinquième, avec un panier moyen de 220 €. Nos charges sont limitées et nos apports de 6 500 € devraient nous permettre de démarrer de manière autonome. Nous sommes deux étudiants en master informatique, âgés de 23 ans et disposons de nombreuses compétences techniques nous permettant d’assurer le développement du logiciel, y compris à long terme. Nous apportons chacun des compétences complémentaires : formation de juge-­‐.-­‐arbitre de tennis et connaissance du monde associatif et de la compétition pour l’un, expérience approfondie en infographie, PAO et web design pour l’autre. b) Swap Mini Cv des porteurs du projet : Guillaume Eberwein, Master 2 Informatique, Micro Electronique et Nouvelles Technologies. Ecole des Mines site Gardanne. Co-­‐Fondateur : Emilie Faravel, Mickaël Cabrol, Céline Robin, tous trois en Master 1 Droit des Affaires et Comptabilité et Loris Davin, Licence Communication Visuelle et Graphique. Résumé du projet : Près d’un million de personnes sont atteintes par la maladie d’Alzheimer en France, ce qui représente deux fois plus d’aidants qui consacrent leur temps et leur énergie à leur accompagnement. Cette situation génère une inquiétude constante, un sentiment d’impuissance et de solitude face à la maladie, mais aussi de la culpabilité. Notre solution? SWAP, un bracelet destiné aux personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer, connecté à une application mobile conçue pour l’aidant. Cette solution permet au malade de se sentir en sécurité et au proche d’être rassuré sur son état de santé, ou prévenu en cas de problème. Distribué par le biais de notre site internet, mais aussi présent dans certaines pharmacies, le bracelet sera disponible à la location pour moins d’un euro par jour. Le prix de revient unitaire d’un bracelet est de 95,51 €. À partir d’une évaluation réaliste de la demande, nous prévoyons un chiffre d’affaires pour la première année de 382 890,00 €. 

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