N°36 daté du 1er Novembre 2009 le bimensuel de yattanoel.com

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N°36 daté du 1er Novembre 2009
le bimensuel de yattanoel.com
Il semble tout à la fois malaisé de se mettre en état de méditation, un état particulier d’harmonie de
l’Homme vis-à-vis du monde, dans le monde, puis de se concentrer afin de prier Dieu. L’implorer en quelque
sorte au mieux. De l’aveu d’un certain nombre de croyants, ceci leur serait difficile tant il est vrai que d’être
en communion avec soi-même répondît au fait de l’élan de nos pulsions (elles mêmes semble-t-il défini par le
monde selon des critères archétypaux en profondeur relative lorsqu’ils nous sont appliqués en délestage
administratif par exemple, sans justice, tact ou finesse) et dans un temps parallèle, après avoir admis notre
aspect singulier, l’unicité en toute chose de par l’unicité de Dieu. Qu’il Lui plaise donc de faire entre ses
créatures ce que la fusion est à la science, le pallier suivant d’un stade d’ouverture dans le domaine
expérimental de l’Univers. Autrement nous demeurons, et devons demeurer bras tombant, des genres
inanimés et étrangers à ce que revêt comme définition le généreux collectivisme par exemple dans son
expression doctrinale, voire le communautarisme d’un point de vue déiste s’entend, au point actuel de la
fission des natures puisque nous ne devons transgresser l’ubiquité du Père par une attitude pseudo
omnisciente en matière de connaissances, nous renseignant uniquement par abords des facettes reflétant les
êtres que nous sommes mis à nu au fond pour ce que notre méthode mémorielle requit d’informations pour
« avoir » au risque de pécher. Qu’il plaise donc à Dieu de nous assembler ou pas.
Notre beau pays reste une entité stable et nos prières nous préservent encore du chaos ou d’une irréversible
éradication fut-elle spirituelle autant que géopolitique. L’institution positive de notre constitution et les
efforts constructifs dans ce qui serait des mises à jours régulières nous poussent dans l’élan avec optimisme.
Dans une certaine attente pour des confirmations/contrôle de son fait suprême soumis aux injonctions
divines, un monarque bien portant prend connaissance, au gré de leurs importances, de nos doléances tel un
César antique devant le Sénat d’une république, prenant le risque, c’est évident, d’être impalpable et sans
doute impopulaire de son vivant (?) puisque le choix de l’abnégation (que nous faisons tous ou devons tous
faire toutefois si nous préservons la mémoire de nos postes dans le tourbillon national) ignore ce que l’on
nomme « vie privée » souvent revendiquée cependant comme une propriété inaliénable pour ce que serait
l’équilibre dans le rapport des voix en terme de plébiscite par exemple.
Aussi convient-il n’est-ce pas, avec une obligeante et galante courtoisie, de reconnaître et de s’inspirer de la
patience prodiguée par nos dames à l’égard de leurs élus tenant également avec persévérance, et ce jusqu’à
la fin post moderne de l’humain et son époque à s‘afficher comme des modèles de loyauté ou de raison pour
faire valoir les esprits et les corps améliorés des légions de jeunesse qu‘il nous faut encore bien mener.
YattanoeL, Un Samedi matin de Novembre, quelque part en France
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LA PLANCHE DE LA QUINZAINE
A BAS LES TEXTILES !
par YattanoeL’s Chronicles in PUR HOLLYWOODISM
FINE
Photographies YattanoeL/Massimo Siragusa Textes et illustrations YattanoeL c Sen-YattanoeL 2009
e-meteor sur www.yattanoel.com
21, rue Edouard Vaillant
92300 Levallois
# 09 72 94 29 24
[email protected]
Crédits pour le N°36 du 1er Nov.2009 :
rédaction Sen-YattanoeL/Illustrations Maquette et publicités Sen-YattanoeL/ Photographies Sen-YattanoeL, Chanet, M.Siragusa
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Le mini dossier de la Quinzaine :
Les Dernières Illusions par Sen- YattanoeL
Lorsque par exemple la très médiatisée saga d’Harry Potter touche apparemment
l’imaginaire des enfants et des petits enfants, la sensibilité des adolescents de la sphère
occidentale et française qui nous intéresse surtout, s’échoue, entre autre, et depuis
longtemps et de manière prégnante, sur les plages où l’on toise les guitares héros ou
groupes musicaux du bestiaire rock qui ont de mythique et de légendaire que l’idée
qu’ils se font d’eux-mêmes en fonction parfois des fantasmes nourris à leur égard par
leurs fans. Ces derniers ne manquent pas de façonner eux-mêmes leur histoire en
gérant le reflet public de leurs envois favoris. Occultisme et mystères, dans un genre
intimiste ou pseudo intimiste vis-à-vis des idoles, ont pour but explicite de faire vendre
des copies d’albums et les produits dérivés de l’image des formations qui se succèdent
sur les scènes délocalisées des festivals d’été notamment. Il existe quelques ingrédients
pour faire recette y compris tout d’abord bien sur à l’échelle des compositions musicales
et rédactionnelles consignées en tablatures au mieux si elles ne le sont points en notes
de musiques classiques et traditionnelles.
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Analyse critique d’un épiphénomène de mode.
L’adrénaline des disons 12/18 ans est vampirisée en France par l’attrait des adolescents pour la culture
suburbaine comme de petits frères et sœurs qui n’ont que le hip hop ou le hard rock (et ses dérivés heavy
métal ou deaf métal ) comme accès immédiat à l’art. C’est bien la musique le point d’encrage pour
commencer à accumuler des artefacts quasi culturels pour reprendre une expression de Jean-EmmanueL
Deluxe relative au merchandising d’artiste. L’essentiel tient d’une démarche montée comme une explicite
opération commerciale de A à Z en constituant artificiellement une perspective professionnelle pour des
jeunes s‘imaginant la réussite facile et accessible par la manipulation heureuse des Lès Paul électriques de
leurs aînés dénichés au hasard dans des cagibis. Le rêve d’une reconnaissance adoubée par une consécration
artistique leur permettrait d’être riches et influents eux-mêmes se disent-ils souvent. Reste à savoir ce qu’il
convient de dire ou de faire concrètement pour y parvenir effectivement. En effet les majors, qui ne sont
majors que dans la mesure où il existe des labels kamikazes dit indépendants, laissent des directeurs
artistiques à la douteuse sincérité écumer, avec dégoût souvent, les salles de concerts où se produisent de
jeunes talent parfois devant des auditoires clairsemés. Ces chasseurs de tête n’ont pas de scrupules à
promettre monts et merveilles à des gamins volubiles et à peine audibles. Ces derniers ne se doutant au
mieux qu’approximativement de ce que la Sacem représente en se faisant piqués leurs accords ou leurs
textes pour que ceux-ci soient mis à la constitution des albums de formations dors et déjà établies dans le
sillage public très balisé par l’industrie mutante de la musique en l’occurrence. Rares donc sont les groupes
qui vivent de leurs envois tout en restant proches de la veine originale de leur sincérité et leur authenticité
d’artistes. Ce, seraient-ils capables de se souhaiter libres en demeurant en dehors des modes successives
propres à diminuer l’étendue au point d’impact de leur éventuel succès, de la renommée puis des
indispensables plans prévisionnels post notoriété le cas échéant de nature à conditionner la pureté créatrice à
laquelle une audience de moins en moins fournie mais toujours exigeante, réagira ou pas.
Nous savons que l’innovation ne paye pas, excepté pour un concepteur inconnu de toute manière pour se
préserver. Il faut avant tout respecter des règles aussi complexes finalement que l’élan représenté en soi par
l’inconscient collectif. Des comètes comme YattanoeL (artiste officiel du Rockwalk d’Hollywood en l’Eté
1987) ou Les Shades de Benjamin Kerber, signés dans un premier temps par l’intéressant Label Tricatel,
sont des exceptions qui confirment la règle de la tentative soutenue du formatage général s’appliquant à la
musique et à l’art en général, sacrifié pour une multitude profane au bon goût plus ou moins palpable,
judicieux, intelligent ou pertinent du public des démocraties à crédit dont le portefeuille serait géré en
fonction des intérêts d’hommes d’affaires qui n’entendent que le son de la rentabilité en ne faisant pas de
sentiment. Le système est-il blâmable ? Même un sociologue émérite ne ferait partiellement la lumière sur ce
sujet que moyennant de lourds honoraires puisque cela constituerait une certitude quant à l’approche d‘une
formule magique…
Intéressons-nous à une sommaire étude de comportement. A 15 ou 17 ans comme + tard à 40 et plus,
l’individu se meut socialement dans une volonté identitaire de regroupement dans une propension de
recherche à caractère normatif. L’évolution se faisant en quelque sorte d’une certaine manière comme une
succession d’étapes fondamentales, de passages obligés, il suit un parcours initiatique (expression de Chanet)
qui le mène naturellement à s’éloigner de certains modèles tels ceux des parents qui le poussent
généralement à agir de la sorte dans un objectif d’accomplissement paradoxalement personnel lorsqu’il
convient de « s’essayer » comme les autres à moult expériences inoubliables mais potentiellement
dangereuses, fixant toujours momentanément les sens en vues de pouvoir jouir de l’usufruit de repères
propres, adaptés et sur mesure. Ici on aurait par snobisme une fâcheuse tendance à céder à l’instinct dans
une grande excitation et dans un grand vacarme de décibels spécifiquement aux faits des grands messes
musicales où il convient là encore par amalgame identitaire de faire des signes sataniques les bras levés avec
la volonté nécessaire se faisant de communier avec… d’autres sois. L’opulence apparente du monde et le
champs des possibles que chante Michel Houellebecq y incitent sérieusement. Mais ceci est-il originellement
une démarche 100% personnelle ? La question reste poser. Pourtant ceci correspondrait à faire consentant,
encore, croit-on sous l‘alibi des habitudes instituées en acquis, ce, au bord d‘une franche démence crypto
omnisciente d‘ubiquité, le jeu d’une vaste manipulation, un véritable conditionnement culturel débouchant
sur l’essence fondamentale du rapport à l’argent, second des moyens après ou jusqu’au troc. Et l’Homme
rayonne à nouveau comme le dernier des pécheurs convaincu qu’ainsi préservé, il atteindra le stade de sa
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décontraction la plus fluide résolvant son anxiété psychotique et sa timidité en facilitant la communication,
jugée en l’An 2000 complexe par Géraldine Garétier, face à la société globale. On le serait à moins.
« It is not easy to face the World
Il est dur d‘affronter le monde dans les yeux»
Iggy Pop
Adolescent ou post adolescent dans le sérail familial, ne fut-ce pas aussi par plaisir et bonheur dans
la joie de vivre cette fois qu’en approchant la transgression de manière tacite, l’on fit des reliques
du passé des principes jugés ringards et inappropriés à la gouvernance de la motion nouvelle sous
un angle 2 dans le besoin d’une extrême liberté estimerait-on incontournable à acquérir et
indispensable raison de vivre ? « Born to be wild », l’éthique de vie instituée par un surplus
hormonal qui se justifie en altérant ce que serait la monotonie imposée par le rythme coercitif de
l’éducation en classe comme en vacances, sous couvert d’une attitude probablement coupable
lorsque l’on imagine les parents, encore eux, réagir à certaines des options de leurs progénitures,
avant de s’absoudre soi-même, ferait donc dans l’ordre : perdre sa virginité, fumer une puis des
cigarettes, consommer de l’alcool puis du cannabis ou de la marijuana, parfois snifer de la cocaïne
ou s’injecter de l’héroïne, choisir un mode de vie plus ou moins calé sur de matinaux retraités ou
futurs retraités pour qui les groupes fétiches de Nat par exemple, 18 ans et en terminale à Paris
(comme Pantera par exemple chantant Cowboys From Hell ou le quartet Alice In Chains)
correspondraient s’il visionnaient leurs clips sur YouTube aux sorciers bruyant et suppôts
apocalyptiques de Satan que l’on brûlaient encore sur les places au XVIIIe siècle, c’est-à-dire il y a
peu de temps, ou bien de potentiels aliénés à enfermer en isolement au surplus dans un centre de
crise au fond d’un asile de fous ! Ce que l’on recherche, sans voir de plafond dans une clairvoyance
raisonnée, ce, entre 12 et 18 ans, de + en + las des termes des cérémonies en dehors de tout ce qui ne
présente pas de caractère festif, électrise et crie parfois, c’est une assurance au prix d’une certaine
extraversion exprimée à demi conscient(e). Il faut que tout ce que l’on fasse « déchire » aux confins
mêmes de l’attitude à proprement parler qui a ses tics de langage comme des tenues vestimentaires
très étudiées dans un stylisme sophistiqué. Là, s’instituent en cadence au gré des sorties d’albums et
encore un peu plus, des majorités affamées désireuses dans un grand vide d’ignorer la vacuité de
l’existence au point de refuser l’esprit critique livrés par des auteurs sans doute plus pragmatiques
qui auront oublié de sauter en l’air sur Antisocial (Trust) s’ils le firent jamais pour l’aspect d’indébilité de l’acte... Les rifs de Fender représentent un prélude à un coma profond au mieux à la
suite duquel amoché l’on se réveille momentanément ou jamais comme des automates amnésiques
en mort cérébrale, ce passage mal connu adolescent au point que l’effroi qu’il suscite représentât
un état de peur primale, mécanique et transmissible plus réellement machiavéliques dans la
simplicité de ses tenants que réellement manichéen. Ces grands enfants qui se ruinent en places de
concerts oublient un spleen séculaire devant les performances scéniques d’un groupe emblématique
ce qui correspond souvent plus à une juste et magnifique personnalisation des idoles des premiers
temps. Ne dit-on pas que de l’aspect extérieur soit circonscrit une âme, une personnalité ? Le
chanteur des Dommi Borgi avec son accoutrement proprement infernal et ses maquillages apparaît
tel un damné, n’est-ce pas ?! Bien au-delà d’une douceur coquine qu’une admiratrice des Four Non
Blonds arborerait sporadiquement pour se remettre du vide ambiant, obstacle probable au
relationnel.
Malheureusement le portefeuille d’un artiste se renfloue toujours à la suite d’actes boursiers et
capricieux en terme d’opportunisme sans état d’âme vis-à-vis de ses fans le croiraient-ils sincère à
leur égard, ses adeptes plus que ses fans écrivons le, pris et coincés dans sa toile d’araignée au sens
propre du terme autant qu’ils furent effectivement versés dans une sorte d’aliénation financière
pour se fournir ses produits griffés. Il s’agit bien là d’une sourde abnégation à l’abord des
dernières illusions. (à suivre)
Sen-YattanoeL, starkiller
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Dégustations sur place, plats à emporter
Tel.01 47 45 30 39
Établissement recommandé par
e-meteor et
Y|Çxá YÉâÜv{xààxá wx YÜtÇvx
Association de gourmets
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Le Nu De La Quinzaine par YattanoeL
Fini ses sanguines (noires) sur ses fameux bristols désormais fixés, encadrés, plastifiés ou accrochés
pour le plaisir de l’œil dans quelques chambres, salons ou living rooms ! Les chères modèles de
ltààtÇÉxÄ ne manquent pas tandis que l’artiste ait changé de support et se soit sérieusement orienté
sur les traces de Nadar ou d’Helmut Newton par exemple avec un objectif. La démarche visuelle
high tech de ltààtÇÉxÄ plasticien en matière de photographie en bordure de la vidéo (une autre de
ses discipline d’appoint), ne produit néanmoins pas de crudités dans ses rendus propre à
démystifier sa facette d’esthète rimant, chez certains dandys authentiques, avec bon goût et beauté.
En effet si la particularité de cet art majeur qu’est la photographie qui s’est substitué à la peinture
notamment dans le rôle très technique de témoin « social », est justement de refléter la réalité sous
tous ces aspects et souvent malheureusement jusqu’à l’écoeurement, il est évident qu’avant même
le stylisme de ses sujets, ltààtÇÉxÄ sut « habiller » ses images avec un tact et une maîtrise originale.
Bagmington De Nuit En Capitale c Sen-YattanoeL 2009
Son entourage semble bien se figurer une nouvelle exposition de leur ami ltààtÇÉxÄ s’il est vrai que
ce dernier se fit rare (surtout depuis presque 10 ans pour une carrière entamée il y a plus de deux
décades et demi) dans l’hémisphère des galeries d’arts. Attachés à divers projets d’écriture de
textes pour chansons notamment ou d’ouvrages autobiographiques en ligne sur son site
yattanoel.com (YattanoeL, Paul et Mick la sortie très attendue est prévue pour Décembre).
Cependant l’année 2009 aura été extrêmement productive à en juger par le nombre d’envois.
« J’ai pulvérisé mon record de 1987 ! » précise ltààtÇÉxÄ sans dissimuler sa satisfaction.
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C’est à la terrasse de Ma Salle à Manger, depuis bientôt 8 ans le restaurant parisien et basque de Florence
Rouffet, artiste ayant sévit avec brio autrefois dans le domaine de l’architecture, que j’ai souhaité me livrer
au rituel nécessaire de la dégustation dans le cadre prestigieux de la place Dauphine sise au cœur du vieux
Paris. L’accueil y fut très chaleureux et finalement intimiste.
Mon hôte m’a recommandé comme entrée son pâté basque, une confiture fondante de terrine de canard et
ses oignons tièdes. Une douceur ! Puis je me suis fait servir ses savoureux piquillos de Saint Jean de Luz à la
luzienne, des poivrons espagnols garnis d’une brandade de morue avec une sauce au piment d’espelette, une
autre spécialité basque. Un régal ! J’ai consommé un verre de vin organique, un breuvage élevé dans le plus
grand respect de la nature d’où son bio dynamisme de vin jeune. Puis un vin rouge de Loire du domaine des
Griottes 2008 précédant un côte du Rhône du Sud, Cairane Marcel Richaud 2008 lui aussi. Le repas fut
achevé par une délicieuse panna cotta à la fraise avec les compliments du chef.
Ma note de 35€ parfaitement justifiée laisse tout à fait accessible ce plaisir de la table que nous envie le
monde entier sans détours.
Ah ! J’oubliais : le Dimanche après midi on joue à la belote à Ma Salle à Manger. Et c’est sacré !
YattanoeL
Établissement recommandé par
e-meteor et Y|Çxá YÉâÜv{xààx wx YÜtÇvx
Association de gourmets
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Carnet/Brèves
Malo lisant c Sen-YattanoeL 2009
. cyber prince Malo Côme Eric Yansane Esteoule : une treizième année amorcée - Paris, Oct. 2009
. La rock star YattanoeL serait à l’œuvre avec une formation dite de scène dans les répétitions mises au point de
l’adaptation heavy metal de ses morceaux enregistrés en sessions studio tout au long de cette décade 2000/2010,
avec ou Romain Golivet ou Chanet ou Bertrand Burgalat. Son très intéressant -Sans Titre- devrait justement être
réorchestré après une première version acoustique de son auteur à laquelle s’ajoutait une adaptation universelle
dans un style électro disco d’après Bertrand Burgalat pour le label indépendant de ce dernier, TricateL. « Ce que
j’espère, c’est d’électriser et d’être électrisé moi-même ! a déclaré YattanoeL. C’est une sensation agréable que je
partage avec NathanaëL Marcheval ou son grand ami Claude. Je me ressource aux cordes des décibels
fondamentales et originelles pour pacifier le bestiaire d’un genre avec le vœux de l’enrichir. » (à suivre)
. e-meteor a une pensée émue pour madame Dominique Joubeaud (+2009) dont la disparition ce mois-ci fut
frappante et aura endeuillé sa famille et ses nombreux et sincères ami(e)s.
e-missions 2009,l’année
Bandes dessinées
Pensées d’auteur
YattanoeL depuis 10 ans
Chansons
3 œuvres indispensables, graphiques, littéraires et musicales du grand concepteur parisien et artiste d’avant-garde
En vente dès Décembre en téléchargement payant à la carte sur la boutique de yattanoel.com