psychologie de l`adolescent à l`age adulte

29 octobre 2009 S1 UE 1.1 C6 Psychologie de l’enfant de l’adolescent a l’âge adulte I.
La problématique liée à l’adolescence A.
Transformations physiologique liées a la puberté La puberté est une réalité hormonal, corporel, c’est le premier tremblement de terre de la vie de l’adolescent, ses sécrétion hormonal qui vont agir comme une révolution. Sous l’impulsion de l’hypophyse (progestérone, testostérone) qui va bouleverser l’apparence physique et permettre à l’adolescent d’accéder a la sexualité génitale et a la reproduction 1.
Chez la fille Dès 9 ans il y a quelque chose qui se passe au niveau des sécrétions surrénales. Vers 11‐12ans apparait les 1e oestrogénique et antrogénique. Il y a la modification des seins qui sera achevé en 2 ou 3 ans. Survenu des règles un peu plus tard vers 13‐14ans. Pousser de croissance importante (taille). L’apparition de la pilosité axillaire et pubienne. 2.
Chez le garçon Il y a une importante pousser de testostérone vers 13‐14ans (signe est la 1er « pollution nocturne » première éjaculation nocturne). Il y a modification de la verge, testicule, volume, couleur et pilosité. Il y a un élargissement des épaules. La puberté est un tremblement de terre. B.
Les modifications psychologiques Il y a quelque chose qui change au niveau du regarde de l’enfant. 1.
L’accession à la génitalité Possible car l’adolescent(e) est armé pour la sexualité. Possibilité d’avoir des relations et des jouissances sexuelles vont modifier leur relation avec leurs parents. Il n’y aura pas de vie amoureuse possible. On va faire le point par rapport de se qui c’est passer au cours œdipien. C’est l’aboutissement de se qui c’est passer à l’œdipe. A l’adolescence il y a un réaménagement œdipien. C’est l’interdit de l’inceste, pas de possibilité d’avoir des relations avec ses parents, l’ado est équipé pour avoir des relations avec leur parents ce qui provoque en eux un rejet de leur parents. Il y a une distanciation qui doit se faire a se moment la. L’inceste est une limite à ne pas dépasser, elle fait sauter la structuration et entraine la sexualité débrider ou blocage. L’accession à la génitalité, est possible qui si l’enfant fait le deuil de sa première relation d’amour (œdipien). Plus les parents refuse la séparation de l’enfant plus l’enfant va être violent dans son besoin de séparation. Si il n’y a pas possibilité d’hétéro‐agression il y aura auto‐agression c'est‐à‐dire qu’il va se mutilé voir même se suicider. 2.
La problématique du corps Le corps est un repère spatiale pour chacun de nous (c'est‐à‐dire de mon corps je sens les limite). Il y a au niveau de la transformation corporelle, le repère spatial va changer. Il y a une expérience de déréalisation transitoire (normale les l’ado, mais attention a se terme car anormal chez les schizophrène). On y fera attention pour éviter le basculement dans la 1 29 octobre 2009 S1 UE 1.1 C6 psychose. Dans la rue le regard va changer (difficile et grisant). Le regard est quelque chose qui se teinte avec le sexuel et est difficile a supporter. Il va être effectif chez les parents (change leur regard sur leur enfant) mais aussi des copains, copines et même les étranger vont nous regarder différemment, l’image change. L’adolescent va sentir cette aliénation (ce changement de regard) de façon aigue. Dans ce corps ce joue aussi des conflits (il traduit un conflit) entre l’intérieur et l’extérieur, la réalité et les désirs, soi et ses parents, cette espèce de différence entre l’âge et le corps. L’ado se retrouve sur le marcher du désir (il a la cote ou non). Manière de s’habiller, trouble alimentaire, retouche sur les photos… le suicide est également une façon de s’exprimer. Le suicide est souvent un sacrifice. Tatouage, piercing pour embêter les parents pour leur dire « c’est mon corps ». Le fait de prendre un toxique même en très grande quantité ne provoque pas mais est plutôt un facteur favorisant dans la décompensation. 3.
Le travail de deuil C’est capital dans l’adolescence. C’est le deuil de l’objet archaïque. Freud « trouver l’objet c’est le retrouvé » Le deuil est la morosité dans l’adolescence. Les parents peuvent faire plaisir mais ne peuvent plus satisfaire. Sale correspond a l’ennui, l’insatisfaction chronique. Il faudra être particulièrement attentif à la dépression. Il y a de très grave dépression à l’adolescence, arrêt de la vie scolaire, sociale. 1 signe de la dépression : anédonie : ne pas prendre plaisir à quelque chose, aucun intérêt de pris. 4.
Les moyens de défense L’intellectualisation et l’ascétisme (renoncer à tous les plaisirs de la vie). Grande passion pour la grande cause. Hyper‐investissement de la sphère intellectuel Le clivage est cette façon qu’a l’ado de dire qu’il veut être indépendant mais des revendications opposé Mécanisme associer au clivage est l’idéalisation primitive, enthousiasme extraordinaire pour des personnes ou des causes qui peuvent complètement changer du jour au lendemain. Sensation persécutrice. La mise en acte, conduite de prise à risque, elle est poussée à l’extrême facilité par la technologie actuelle 5.
Narcissisme et idéal du moi Il est complètement exacerbé. Il y a les identifications I et II. A l’adolescence, il va s’identifier a des symboles (joueurs de foot, star…) tout va être focalisé sur l’apparence, cette question est fondamentale.ces identification permettent la constitution de son identité selon 2 tendances : Ö Hyper‐préoccupation de soi : désintérêt de l’autre Ö Désintérêt de soi : enfant qui ne se lave pas, ne prend pas soin de soi Le narcissisme est articulé autour de l’image de soi. Ce narcissisme est totalement nécessaire et parfois il est dissimuler (apparence de désintérêt, qui n’est que de l’apparence). L’idéale du moi est l’héritier de l’adolescence. C’est ce qui garantis une identité et une identité sociale. il y a une énorme différence entre ce qu’on est et ce qu’on montre. 2 29 octobre 2009 S1 UE 1.1 C6 II.
Névrose psychose perversion 3 structures Freud les à défini. Ö La névrose : est une structure défensive contre la castration (on manque tous de quelque chose) on est tous névrosé (normale) mais il y a en psychopathologie des névroses grave par exemple la névrose obsessionnel (le souci de détail, répéter les gestes qui perturbent la vie sociale, sa les soulage) la névrose phobique (éviter certaine situation ou certain objet), la névrose hystérique (très féminine). La névrose est celle qui est de meilleur qualité, mais sa ne veut pas dire que ce n’est pas pathologique. Ö Psychose : (différent de névrose) c’est un rapport a l’autre et la réalité est tronqué, le psychotique n’as pas accès a l’altérité. Il n’y a pas eu accès au renoncement au 1e objet œdipien, a la génitalité. Le père est absent du discours, fusion avec sa mère. Le psychotique délire, il voit, entend des choses. Il n’y a aucune culpabilité chez le pervers. Ö Perversion : c’est une passion humaine qui vise à traiter l’autre comme l’objet de son plaisir. Il n’y a pas de bord commun avec la névrose et la psychose. Il y a un déni de la castration. (par exemple peut importe la femme qui porte la chaussure il se focalise sur la chaussure) 3