La SFECAG entreprend un inventaire des ateliers de potiers de

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La SFECAG entreprend un inventaire des ateliers de potiers de
La SFECAG entreprend un inventaire des ateliers de potiers de Gaule et de Germanie.
Il s’agit, pour chaque auteur concerné par la découverte ou la connaissance de ce type
d’installation, de constituer une ou plusieurs fiches documentaires en respectant une normalisation minimum dont les spécifications sont indiquées dans cette brochure.
Les notices seront éditées par la SFECAG et, tels des articles, auront valeur de références
bibliographiques ; réunies, elles constitueront un Recueil qui augmentera de volume année après
année.
Cette enquête et la constitution progressive du Recueil reposent donc sur la participation et la
bonne volonté de chacun ; cette action s’adresse à tous ceux qui sont les inventeurs d’ateliers de
potiers et aux chercheurs qui ont placé ces vestiges de l’artisanat de la terre cuite au cœur de leurs
travaux.
Le but affiché est de rassembler une documentation abondante, souvent issue d’interventions archéologiques engagés durant les trente ou quarante dernières années. Certaines de ces
données sont plus ou moins bien connues car elles ont fait l’objet de publications mais d’autres
restent dans l’ombre même si elles figurent dans des rapports de fouilles/Dfs ou dans des travaux universitaires ; d’autres encore n’existent plus que dans les dossiers personnels de leurs inventeurs.
C’est l’ensemble de cette documentation que l’on souhaiterait valoriser et sauver !
Contact
SFECAG - 8 rue Beaujour - 13006 Marseille - France
http:// www.multimania./com/sfecag/
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SOCIÉTÉ FRANÇAISE d’ÉTUDE de la CÉRAMIQUE ANTIQUE en GAULE
Association régie par la loi de 1901.
Créée en 1962 sous l’appellation G.E.C.A.G.
(Groupe d’Etude de la Céramique Antique en Gaule)
Restructurée en 1973 sous l’appellation S.F.E.C.A.G.
Présidents d’Honneur
Jean-Jacques HATT (Président-Fondateur, de 1962 à 1978)
Hugues VERTET (Président, de 1978 à 1984)
Composition du Conseil d’Administration
2002-2005
Philippe BET, Patrick BLASZKIEWICZ
Raymond BRULET, Richard DELAGE, Armand DESBAT
Martine JOLY, Thierry MARTIN, Yves RIGOIR
Lucien RIVET, Sylvie SAULNIER, Caty SCHUCANY, Christophe SIREIX,
Robin SYMONDS, Didier VERMEERSCH, Christian VERNOU
Le Conseil d’Administration a valeur de Comité de lecture
Informations légales :
ISSN 1297-8213 - Supplément aux Actes de la SFÉCAG, 2002.
Dépôt légal : décembre 2002.
Le directeur des publications : Lucien RIVET.
Coordination, mise en page : Richard DELAGE, Lucien RIVET et Sylvie SAULNIER
Imprimerie Graphot, Z.I. duBois des Lots, BP 8, 26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux - France
PRÉSENTATION DU RECUEIL
L’entreprise a pour but de recenser l’ensemble des ateliers liés à l’artisanat de la céramique et de la terre cuite (céramiques
domestiques, amphores, lampes, matériaux de construction, etc.) dans les limites suivantes :
- depuis la fin du IIe siècle avant notre ère jusqu’à la fin du Ve siècle de notre ère ;
- au sein des provinces de Gaule (Narbonnaise, Aquitaine, Lyonnaise et Belgique), alpines et de Germanie (Inférieure et
Supérieure).
Chaque “secteur de production” fait l’objet d’une notice répondant à des normes précises.
Pour remplir une notice, l’auteur peut s’aider dela trame normalisée disponible sur le site de l’association ; il peut tout aussi
bien ressaisir les têtes de rubriques dans la présente brochure.
Ces notices seront imprimées en noir et blanc et prendront place dans un classeur. Elles seront diffusées, soit annuellement,
soit par lots de 20 unités sans périodicité fixe.
LES NOTICES
Deux séries de notices sont mises en œuvre.
F Les notices simplifiées comportent moins de 3000 signes, et se composent au minimum des rubriques 1 et 2
accompagnées d’un commentaire général (rubrique 10). Elles présentent les sites d’ateliers de potiers avérés pour lesquels la
documentation est particulièrement lacunaire ou ceux qui ne sont connus que par prospections. Dans tous les cas, la présence
d’indices fiables est indispensable (ratés de cuisson, éléments de four, outils, concentration anormale de mobiliers appartenant
à une même catégorie céramique, etc.). Les simples mentions anciennes, non vérifiées ou non vérifiables, de la découverte d’un
four (3 lignes dans une revue locale) ne peuvent faire l’objet d’une notice.
F Les notices complètes concernent les sites bien documentés qui peuvent, de ce fait, être abordés selon une grille
d’analyse précise et faire l’objet d’un développement de plusieurs pages. Il s’agit là des cas les plus marquants qui se réfèrent à
la fouille totale ou partielle d’un atelier.
L’artisanat de la céramique et de la terre cuite d’une agglomération, ainsi que les entités de production rurales majeures,
peuvent être découpées en secteurs selon la qualité et l’importance de la documentation. Ces secteurs doivent être cohérents
d’un point de vue géographique et font l’objet de notices séparées. Si besoin est, un secteur comportant par exemple aussi bien
des ateliers producteurs de vaisselles que d’autres fabriquant des terres cuites architecturales peut donner lieu à la rédaction de
notices thématiques synthétisant les données liées à chacune de ces activités. Cette option ne peut être, toutefois,
systématiquement adoptée et doit être réservée à des cas particuliers, possédant une documentation archéologique riche et
précise afin d’éviter une partition trop pointue de l’information.
Exemples :
Pour la ville romaine d’Augst, par exemple, les ateliers de potiers des insulae 50 à 53 font l’objet d’une première notice, ceux de la
Westtorstrasse d’une autre, etc. Une dernière notice peut faire le bilan de l’évolution de la production au sein de la ville.
Le groupe de production d’Argonne (ateliers ruraux) est traité selon le même principe. Chacun des secteurs définis dans Feller, Brulet
1998, fait l’objet d’une notice : vallée de Biesme, vallée de l’Aire, vallée de la Buante, etc. Là encore, une notice de synthèse met en évidence
les points essentiels de cette documentation.
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Recueil des ateliers de potiers
LES AUTEURS
Il est souhaitable qu’un certain nombre de règles soient respectées afin que ce recueil ne soit pas à l’origine de conflits ou
d’enjeux bien peu scientifiques.
D’un point de vue général, l’inventeur d’un site, s’il n’est pas le rédacteur de la notice et s’il poursuit une activité
archéologique, doit être informé et impliqué dans la réalisation de celle-ci. Il en va de même de ceux qui, ayant travaillé sur le
site en question, ont produit une documentation originale encore inédite. Si ces personnes ne participent pas, il est nécessaire
que le ou les auteurs obtiennent leur accord avant toute reproduction de données (inédites) dont ils ne possèdent pas de facto
“les droits”.
RÉDACTION DES NOTICES
Recommandations générales
Il est essentiel que les auteurs ne se contentent pas de synthétiser une ou plusieurs publications anciennes sans avoir pris soin
d’en vérifier les données. Cela concerne bien entendu les vestiges archéologiques et les productions du site mais aussi les autres
informations devant figurer dans la notice sans toutefois entretenir de rapport direct avec l’activité potière. L’intérêt du projet
dépend en grande partie du soin apporté à la vérification et à la rédaction.
Exemples : le lieu de dépôt du mobilier doit être contrôlé et valide à la date de parution ; de nouvelles données sur les voies antiques,
démontrant par exemple que la “voie majeure” que l’on situait à proximité des ateliers n’est en fait qu’un chemin secondaire.
Normes
Un certain nombre de rubriques fait l’objet de commentaires dans les chapitres suivants afin de proposer une trame
rédactionnelle qui soit similaire d’une notice à l’autre. Il est conseillé de lire ces recommandations attentivement. Toutefois,
le respect de ces normes ne saurait constituer une entrave à la réalisation des notices. Plutôt que de renoncer à la présentation de
résultats peu connus ou inédits, il est souhaitable, en cas de problème, que les auteurs prennent contact par écrit avec le bureau
de la Sfécag afin de trouver une solution.
VALIDATION DES NOTICES
Une fois rédigées et adressées à la Sfécag, les notices font l’objet d’une relecture par les membres du conseil d’administration
de l’association, équivalent à un conseil scientifique. Il est possible, alors, que des modifications soient demandées aux auteurs,
avant mise en page définitive.
Par ailleurs, l’avis d’un ou de plusieurs chercheurs peut être requis. Le ou les auteurs de la notice sont alors informés de cette
démarche et sont tenus au courant des résultats. Le but n’est pas, dans ce cas, de censurer mais de conseiller et, naturellement,
de tendre à la réalisation d’une notice plus complète et plus précise, signée du ou des seuls auteurs.
MISE À JOUR DES NOTICES
Il sera possible de procéder à une mise à jour des notices dans deux cas :
- lors de découvertes exceptionnelles apportant des données modifiant radicalement celles que l’on possédait auparavant,
voire les contredisant ;
- à l’issue d’un délai de 10 ans après parution.
Cette mise à jour n’est pas obligatoire. Elle ne se justifie que si l’accumulation, par exemple de petites informations
nouvelles, finit par offrir (réellement) du nouveau.
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Recueil des ateliers de potiers
INDEXATION DES NOTICES ET BASES DE DONNÉES INFORMATIQUES
Trois séries de mots-clés thématiques doivent être proposées par les auteurs. La première série aborde le domaine
chronologique et requiert au maximum 2 références. La deuxième série concerne la définition des caractères les plus originaux
des vestiges archéologiques de production (4 mots-clés maximum). Quant à la dernière, elle permet de mentionner les
catégories céramiques dominantes fabriquées sur le site (9 mots-clés maximum).
Une quatrième série, relative à la situation géographique actuelle et ancienne des ateliers, est créée à partir des données des
rubriques 1.1b et 1.2a.
Quelques propositions, à titre indicatif, au sein de chacune des séries :
Série chronologique : Ier av, IIe, IIIe-IVe, 10/90, -20/40, etc.
Série vestiges archéologiques : tour de potier, four à deux alandiers, aire dallée pour la préparation de l’argile, outils de calibrage, compte
de potier, etc.
Série catégorie céramique : amphore, plaque Campana, cér. culinaire, cér. de type Besançon, lampe, etc.
Série géographique : France, Maine-et-Loire, Mazières-en-Mauges, province : Aquitaine, cité : Pictons.
Dans les marges des notices imprimées figureront les mots-clés des séries géographiques et catégorielles. Ceux de la
deuxième série seront placés selon l’ordre défini par le ou les auteurs.
Ce système offre la possibilité de personnaliser quelque peu le mode de classement. Les utilisateurs du recueil pourront ainsi
ranger leurs notices selon l’une ou l’autre de ces séries, voire les deux s’ils possèdent deux classeurs et deux jeux de notices. Il
est également possible de passer outre l’ordre défini pour la série des catégories céramiques, afin d’adopter sa propre
classification. Par exemple : regroupement de tous les ateliers producteurs de céramique métallescente quel que soit le rang de
ce mot-clé.
La constitution, par la suite, d’une banque de données informatique (multiformat) regroupant l’ensemble de ces index
permettra à tout un chacun, à partir du logiciel dont il détient la licence, de réaliser de nombreuses interrogations.
LANGUES
Les notices devront être rédigées indifféremment en Français ou en Anglais.
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE
Les notices constituent pour leur(s) auteur(s) des références bibliographiques qui devront être mentionnées comme suit :
ACHART (F.), GOURAND (A.) : Bussières-le-Roi (Loir-et-Cher, France), dans Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre
cuite, SFECAG, 2003, 4 p.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
RUBRIQUES D’UNE NOTICE
Nom courant du site
Mots-clés
Année de rédaction de la notice
Auteur (s)
0. INTRODUCTION
1. INFORMATIONS GÉNÉRALES
1.0 - Coordonnées géographiques
1.1 - Situation géographique
1.1a - Localisation : région/département/commune
1.1b - Géologie
1.1c - Environnement naturel
1.2 - Situations historique et archéologique
1.2a - Localisation : province/cité romaine
1.2b - Statut du site, environnement archéologique
1.3 - Données administratives
1.3a - Référencement
1.3b - Inventeur
1.3c - État du site
1.3d - Lieu de conservation des mobiliers
2. HISTORIQUE DES RECHERCHES
2.1 - Historique des recherches
2.2 - Bibliographie
3. ÉTAT DES CONNAISSANCES : ORGANISATION ET CHRONOLOGIE
4. MATIÈRES PREMIÈRES
4.1 - Origine et nature des argiles et minéraux
4.1a - État des connaissances
4.1b - Analyses physico-chimiques
4.2 - Données sur d’autres matières premières
5. VESTIGES ARCHÉOLOGIQUES IMMOBILIERS DES SECTEURS DE PRODUCTION
5.1 - Fosses et aménagements fossoyés
5.2 - Les bâtiments de travail, de stockage et d’habitation
5.3 - Les structures de cuisson et leurs aménagements
5.3a - Fours et aires de travail
5.3b - Analyses archéomagnétiques
6. MOBILIERS LIÉS À LA PRODUCTION
6.1 - Mobiliers de façonnage et de moulage
6.2 - Mobiliers de four
7. ÉPIGRAPHIE LIÉE À LA PRODUCTION
8. PRÉSENTATION DES PRODUCTIONS
9. DIFFUSION DES PRODUCTIONS
10. SYNTHÈSE ET COMMENTAIRES LIBRES
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
CONSEILS DE RÉDACTION
Le texte de chaque notice s’accompagne d’illustrations en plus ou moins grand nombre suivant la qualité de la
documentation, l’importance du site et la diversité de ses productions.
Certaines illustrations sont obligatoires, d’autres facultatives. Il est recommandé de leur accorder le plus grand soin et de
respecter des échelles normalisées (voir infra).
Dans la mesure du possible, les illustrations devront être fournies sous la forme d’un fichier vectoriel à raison d’une
illustration par fichier (tous formats : AI, EPS, CDR, etc.). Si ce n’est pas le cas, vous pouvez adresser soit une copie papier de
bonne qualité, soit un fichier bitmap de 600 dpi minimum (PCX, TIF ou autres formats universels). Les illustrations
vectorielles en couleur devront être converties en trames de gris. Veillez à ce que des différences de l’ordre de 20 % (de noir)
existent entre les trames. Les photographies ne doivent être proposées qu’en cas de nécessité (four dont il n’existe aucun relevé,
etc.).
D’une manière générale, les plans de situation et de site, ainsi que les faits archéologiques particuliers (à l’exception des
fours, voir infra), doivent être présentés de telle façon que le nord soit en haut de la feuille. Une échelle ainsi qu’un “nord”
graphiques doivent figurer obligatoirement sur toutes les illustrations de cette série.
0. INTRODUCTION
ILLUSTRATION 1 (obligatoire)
Plan du site archéologique (ensemble des vestiges liés aux ateliers de potiers, toutes
périodes confondues). Les phases d’occupation n’ayant aucun rapport avec l’activité
potière ne doivent pas être représentées sur cette illustration, y compris lorsqu’elles
s’intercalent entre deux d’entre elles.
Deux échelles peuvent être adoptées suivant la superficie des installations : 1/500 ou
1/1000.
L’introduction est importante. Elle permet d’aborder quelques notions essentielles qui seront développées par la suite. Son
but est avant tout de permettre au lecteur d’avoir en tête les idées essentielles afin que l’enchaînement des différentes parties de
la notice ne souffre pas d’informations manquantes. La rédaction (pour l’auteur) et la lecture (pour l’utilisateur) s’en trouvent
ainsi simplifiées.
Notions à aborder :
- nature des ateliers : en agglomération ou en milieu rural.
- importance (données subjectives + 1 ou 2 chiffres donnant des ordres de grandeur : nombre de potiers, superficie, nombre
de fours, etc.).
- chronologie (uniquement les informations essentielles et sûres, quitte ensuite à élargir le champ des possibles avec les
différentes hypothèses existantes).
Exemple :
Le centre de production de Lubié constitue, pour les IIe et IIIe siècles, un des sites ruraux majeurs du groupe dit du “ Centre de la
Gaule ”. Si les céramiques fines (sigillée et métallescente) constituent l’essentiel des productions, les potiers ont également fabriqué
des vaisselles culinaires. L’organisation des ateliers et leur évolution demeurent encore relativement méconnues car le site n’a fait
l’objet que de rares interventions archéologiques, essentiellement des sondages dont le principal intérêt fut d’avoir livré des lots
importants de mobiliers.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
1. INFORMATIONS GÉNÉRALES
1.0
COORDONNÉES GÉOGRAPHIQUES (données non imprimées)
Mention des coordonnées géographiques du site si celles-ci sont connues selon les systèmes les plus couramment utilisés par
les communautés archéologiques des différents pays concernés (France, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Allemagne,
Suisse).
Les coordonnées sont destinées à établir, par la suite, des cartes de répartition. Elles ne figureront pas sur les notices éditées.
1.1
SITUATION GÉOGRAPHIQUE
ILLUSTRATION 2 (obligatoire)
Carte de situation du site. Présentation du cadre géographique (relief, hydrologie).
Dans tous les cas, un “ fond de carte ” relativement simple est vivement souhaité, y
compris pour les zones de montagne.
Échelle requise 1/300 000.
1.1a
Localisation : région/département/commune
Les divisions administratives les plus importantes doivent être mentionnées. Pour la France : Région, Département,
Commune ; idem pour les autres pays en fonction de leurs divisions :Belgique, Luxembourg, Pays-Bas, Allemagne et Suisse.
1.1b
Géologie
Situation des ateliers dans leur environnement géologique proche. Seules de brèves descriptions sont requises (facultatif :
référence à la carte géologique). A ce stade, aucune mise en relation avec l’activité potière proprement dite n’est souhaitable
(cf. rubrique 4.1a).
1.1c
Environnement naturel
Situation des ateliers dans leur cadre naturel (relief, hydrologie, etc.). Seules de brèves descriptions sont requises. Penser à
prendre en considération les modifications environnementales et ce, aussi bien dans les commentaires que sur les cartes
(transformation du littoral, lit ancien de rivière, etc.).
A ce stade, aucune mise en relation avec l’activité potière proprement dite n’est souhaitable.
1.2
SITUATION HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE
ILLUSTRATION 3 (facultative)
Sur le fond de la carte précédente sont reportées des informations relatives à
l’environnement archéologique. La nature et la variété de celles-ci sont laissées à
l’appréciation du ou des auteurs (par exemple : chef-lieu de Cité, agglomération
secondaire, limites de province ou de Cité, autres sites d’ateliers de potiers, voie
terrestre, port, etc.).
1.2a
Localisation : province/cité romaine
Des commentaires sont parfois nécessaires. En effet, les limites de cités et de provinces n’étant pas toujours bien définies, il
est nécessaire de justifier ses choix, notamment en renvoyant à une ou plusieurs publications faisant autorité en la matière
(normes bibliographiques : cf. rubrique 2.2). Il convient également de préciser la localisation du site au sein de ces entités
administratives antiques (notamment en ce qui concernent les implantations en limite de cité).
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
1.2b
Statut du site, environnement archéologique
Afin de simplifier, sans dénaturer, la question de la caractérisation des sites traités dans le cadre de ce recueil, nous proposons
aux auteurs de suivre la classification proposée ci-dessous. Il va de soit qu’une simple terminologie ne peut rendre compte de la
diversité des situations et qu’il est nécessaire d’argumenter ce choix et de l’enrichir de commentaires pertinents. Dans de
nombreux cas, il ne sera guère possible de trancher. Cela ne représente pas un problème car le fait de l’écrire constitue déjà en
soit une information intéressante. Notez, également, que certaines options peuvent contribuer à la lisibilité des notices lorsque
le site pris en compte présente une évolution “complexe”. L’étude des ateliers de potiers d’une occupation tout d’abord
spécifiquement militaire, puis par la suite entièrement civile, peut faire l’objet de plusieurs notices si besoin est (la première
pour les ateliers de canabae, la seconde pour ceux du vicus).
1. L’emploi du terme “atelier(s) d’agglomération ” doit être réservé aux quartiers artisanaux ou aux ateliers isolés insérés au
sein : a. d’une agglomération secondaire aux activités artisanales et commerciales diversifiées, b. d’une capitale de cité.
Exemples : Liberchies (Hainaut, Belgique), Autun (Saône-et-Loire, France), Fréjus (Var, France), etc.
Pour ce milieu urbain ou péri-urbain, il est important de distinguer, dans l’environnement immédiat, quelles sont les
implantations contemporaines de celles qui ne le sont pas. En effet, la situation des ateliers au sein de l’agglomération dépend
parfois de cette analyse. Sans approche chronologique et si l’on tient compte de la superficie maximale de l’agglomération, les
ateliers peuvent figurer dans le tissus “urbain” alors qu’en fait, lors de leur période d’activité, ils se trouvaient implantés en
périphérie.
Dans tous les cas, un paragraphe avec références bibliographiques est nécessaire.
2. Parmi les ateliers ruraux, on distinguera dans la mesure du possible deux types d’implantations.
- Les “centres de production ruraux ” désignent avant tout des groupements d’ateliers présentant de véritables indices
d’une organisation structurée et durable. Notez que l’ensemble de l’activité du site doit être consacré à l’artisanat de la poterie
et/ou de la terre cuite. Dans certaines publications est utilisé le terme“ d’agglomération secondaire spécialisée ”. Il peut être
considéré comme équivalent au premier, mais son usage doit être réservé aux sites les plus importants.
Exemples : Lezoux (Puy-de-Dôme, France), La Boissière-École (Yvelines, France), Sallèles-d’Aude (Aude, France), etc.
Proposer une évaluation de la superficie maximale couverte par les installations potières et de la densité de celles-ci au sein
de cette zone. En cas de données lacunaires, préciser simplement la superficie connue. Ne pas évoquer dans cette rubrique la
question de la chronologie et de l’éventuelle succession des ateliers de potiers, puisque ces informations figurent à la
rubrique 7. Éventuellement, faire un renvoi à celle-ci.
Mentionner les liens des ateliers avec le territoire environnant et les autres implantations humaines (nature des sites
archéologiques présents dans un rayon de quelques km, voies de communication, etc.)
- Les ateliers insérés au sein de la zone d’exploitation d’une ferme ou pars rustica de villa constituent la seconde catégorie
des sites ruraux. Ils se distinguent des premiers par le fait qu’ils ne représentent qu’une des activités (souvent minoritaire) du
lieu auquel ils appartiennent.
Exemples : Guiry-Gadancourt (Val-d’Oise, France), Laufon-Müschhag (Bern, Suisse), etc.
Il est essentiel de ne mettre en rapport les ateliers qu’avec les bâtiments et aménagements contemporains (au moins
partiellement) de ceux-ci. Des ateliers de potiers s’installant sur les ruines d’une villa abandonnée n’appartiennent plus à cette
catégorie mais à la première (centre de production rural).
* Tous les cas litigieux ainsi que ceux dont l’environnement immédiat reste indéterminé ne feront l’objet d’aucune
distinction formelle et seront simplement dénommés “ateliers ruraux”.
3. Les ateliers “militaires”
Sont concernés les installations artisanales insérées au sein des canabae.
Exemples : Haltern (Rhénanie, Allemagne), Nimègue (Gueldre, Pays-Bas), etc.
Ne peuvent appartenir à cette séri que les fabriques contemporaines de l’occupation du camp militaire auquel elles sont
associées. La présence d’ateliers de potiers au sein de vici issus d’une implantation militaire ancienne doit être rattachée, le plus
souvent, aux “ ateliers d’agglomération ”.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
1.3
DONNÉES ADMINISTRATIVES
1.3a
Référencement
Cette rubrique permet de mentionner tous les n° d’inventaire qui ont été assignés au site dans le cadre de recensements ou
d’études de synthèse. Il s’agit en premier lieu du ou des numéros de l’inventaire national (ICAF). Les autres références
s’accompagnent de renvois bibliographiques et permettent d’établir des correspondances entre des dénominations figurants
dans des publications anciennes (désuètes) et celles employées aujourd’hui. Préciser également si le site est classé “Monument
Historique”.
1.3b
Inventeur
Le nom de l’inventeur, s’il est connu ou supposé. Justifier éventuellement par un renvoi bibliographique.
1.3c
État du site
Donner si possible une brève évaluation des zones connues et détruites ainsi que, le cas échéant, le type de protection attribué
au site.
1.3d
Lieu de conservation des mobiliers
2. HISTORIQUE DES RECHERCHES
2.1
HISTORIQUE DES RECHERCHES
S’agissant d’une synthèse, il convient de ne pas entrer dans les détails. Mentionner seulement quelques grandes étapes si le
site est connu de longue date et a fait l’objet de plusieurs fouilles, sondages ou prospections.
2.2
BIBLIOGRAPHIE
Les normes requises sont les suivantes :
Laroche 1987 : LAROCHE (C.), Aoste (Isère), un centre de production de céramiques (fin du Ier siècle avant J.-C. - fin du Ier siècle après J.-C.), fouilles
récentes (1983-1984), dans Revue Archéologique de Narbonnaise, 20, 1987, p. 281-348.
Laubenheimer, Lequoy 1992 : LAUBENHEIMER (F.), LEQUOY (M.-C.), Les amphores gauloise 12 de Normandie. Le matériel de la nécropole de
Vatteville-la-Rue, dans LAUBENHEIMER (F.) (dir.), Les amphores en Gaule, production et circulation (Table ronde Metz 4-6 octobre 1990), Annales
Littéraires de l’Université de Besançon 474, Paris, 1992, p. 75-92.
Paunier 1981 : PAUNIER (D.), La céramique gallo-romaine de Genève de La Tène finale au royaume Burgonde (Ier siècle avant J.-C. )
Ve siècle apr. J.-C.), Mémoires et documents de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Genève 9, Paris-Genève, 1981.
La bibliographie doit être classée par année (et non par ordre alphabétique d’auteurs) en distinguant les sources (données non
publiées ou édition de textes anciens, mémoires universitaires, rapports et D.F.S.) des publications. Il est possible de donner un
bref commentaire pour certains titres bibliographiques.
Pour les petits sites, il est souhaitable de donner une bibliographie exhaustive. Pour les plus importants, privilégier les titres
majeurs. Les publications traitant uniquement du mobilier doivent être écartées, hormis quelques références-clés qui proposent
de manière privilégiée des études de mobiliers issus du site de production. Tout est affaire de dosage.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
3. ÉTAT DES CONNAISSANCES :
ORGANISATION ET CHRONOLOGIE
ILLUSTRATION 4 (obligatoire sauf exception : cf. ci-après)
Séries de vignettes représentant les grandes étapes de l’évolution du site dans la
limite de 4 vignettes.
Les ateliers dont l’activité ne durent que quelques décennies seulement ou bien
encore ceux qui demeurent mal connus ne sont généralement pas concernés. En effet,
s’ils n’offrent qu’un plan d’ensemble, sans distinction de phase, cette seule vignette
serait identique à l’illustration 1.
Dans les autres cas, les distinctions opérées doivent être pertinentes et correspondre
réellement à d’importants changements dans l’organisation du site.
L’abandon d’un four au profit d’un autre, lorsque ceux-ci partagent la même aire de
chauffe, ne constitue pas un critère justifiant une nouvelle vignette. En revanche, la
présence d’ateliers du IIe siècle puis du IVe siècle au sein d’un même secteur
géographique, ou bien le passage d’une production de matériaux de construction à une
production dominante de céramique culinaire, le sont.
Deux échelles peuvent être adoptées suivant la superficie des installations potières :
1/500 ou 1/1000.
Cette rubrique doit comporter de courts paragraphes synthétiques offrant un panorama clair de l’évolution du site
archéologique. Des liens peuvent être établis avec les chapitres suivants afin que le lecteur puisse plus facilement passer de l’un
à l’autre, par exemple : de l’analyse des structures de production les plus importantes (chapitre 4) aux différentes phases
d’évolution du site et vice versa.
4. MATIÈRES PREMIÈRES
Ces rubriques ne doivent figurer dans la notice que si des études spécifiques ont été réalisées : prospections thématiques,
caractérisation pétrographique ou analyse chimique, etc. Il convient, dans tous les cas, de proposer un résumé des données
essentielles, ce chapitre ne devant pas dépasser quelques lignes.
4.1
ORIGINE ET NATURE DES ARGILES ET MINÉRAUX
4.1a
État des connaissances
Cette rubrique permet de résumer, le cas échéant, les différentes étapes de cette recherche et d’offrir un panorama des
connaissances actuelles. Des renvois peuvent être faits à la rubrique 1.1c (géologie).
4.1b
Analyses physico-chimiques
Résultats des analyses pratiquées sur les matières premières. Il convient de préciser la nature des échantillons (gisement
d’argile, argile cuite de four, céramiques, diverses terre cuites, etc.). L’interprétation des résultats doit être uniquement
mentionnée au sein de la rubrique 4.1a qui fait office de synthèse.
4.2
DONNÉES SUR D’AUTRES MATIÈRES PREMIÈRES
Bois (approvisionnement, essence), etc.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
5. VESTIGES ARCHÉOLOGIQUES IMMOBILIERS
DES SECTEURS DE PRODUCTION
ILLUSTRATION 5 (obligatoire)
Représentation des vestiges archéologiques spécifiques et des propositions de
reconstitution. Les plans des fours doivent être présentés à l’échelle 1/50 (des
adaptations sont possibles mais doivent être réservées à des cas particuliers) et
obligatoirement de la manière suivante : alandier vers le bas, salle basse ou laboratoire
vers le haut. Dans le cas des aires de travail associées à plusieurs fours, l’orientation de
l’ensemble est déterminée par la structure de cuisson la plus imposante ou encore celle
qui possède la plus grande longévité. Si aucun de ces critères ne peut être utilisé, le
“ nord ” tient lieu de référence.
L’illustration des autres faits archéologiques est facultative, conditionnée par
l’intérêt qu’ils peuvent présenter. La sélection d’un bâtiment sans aménagement
spécifique ou encore de simples fosses creusées dans le sol n’apporte aucune
information particulière par rapport aux illustrations 1 et 4. En revanche, un tour de
potier, un bassin associé à une canalisation d’eau, etc. constituent des exemples dont la
mise en évidence est souhaitable. Aucune échelle de représentation n’est proposée
pour les structures de production autres que les fours. L’auteur adoptera celle qui lui
semble apte à mettre en valeur le fait archéologique retenu, sans pour autant être
supérieure au rapport 1/20.
Des coupes stratigraphiques significatives sont également les bienvenues.
5.1
FOSSES ET AMÉNAGEMENTS FOSSOYÉS
(à l’exception des structures excavées spécifiques : cuisson, bâtiment, cave)
Brèves descriptions, analyses fonctionnelles, chronologie des éléments suivants :
- “fosses” de stockage et de préparation de la matière première
- emplacement de tours de potier
- canaux, canalisation enterrée et réseaux de drainage
- puits
5.2
LES BÂTIMENTS DE TRAVAIL, DE STOCKAGE ET D’HABITATION
Brèves descriptions, analyses fonctionnelles, mise en situation (organisation des ateliers, chronologie).
5.3
LES STRUCTURES DE CUISSON ET LEURS AMÉNAGEMENTS
5.3a
Fours et aires de travail
Brèves descriptions, analyses fonctionnelles, mise en situation (organisation des ateliers, chronologie). L’insertion de trop
nombreuses données chiffrées au sein d’une description nécessairement brève peut nuire à la qualité synthétique de celle-ci.
Aussi est-il conseillé de joindre à cette rubrique, le cas échéant, un tableau regroupant ces informations.
Exemples à titre indicatif (H : hauteur, L : longueur, l : largeur) :
a. Dimensions ou surface de l’aire de travail
b. Alandier : H, L, l
c. Canal de chauffe : H1 (partie antérieure au système de répartition de la chaleur (montées de flammes, etc.),
2
H (partie supérieure), L, l
d. Salle basse (lorsque l’alandier n’est pas prolongé d’un canal de chauffe) : H, superficie
e. Nombre et dimensions des supports de sole
f. Sole : H, nombre de carneaux
g. Laboratoire : H conservée, superficie
5.3b Analyses archéomagnétiques
Exposé de la démarche, des données obtenues et des éléments contribuant à l’interprétation chronologique.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
6. MOBILIERS LIÉS À LA PRODUCTION
ILLUSTRATION 6 (facultative)
Recueil de dessins d’outils de potiers et de mobiliers de fours (gabarit, estèque,
moule, tubulure, cale, etc.). Cette illustration ne peut excéder un cadre de 22 x 17 cm.
Échelle des dessins : 1/3.
6.1
MOBILIER DE FAÇONNAGE ET DE MOULAGE
Description des découvertes majeures de volant/girelle, tournassin, moules, divers outils, etc.
Pour les ateliers producteurs de terre cuite ou de vaisselles moulées, seules quelques-unes des formes les plus représentatives
de moules doivent être proposées.
6.2
MOBILIER DE FOUR
Description des tubulures, diverses cales, etc. Là encore, le recueil n’a pas pour vocation de publier toutes les variantes, mais
plus simplement de proposer un panorama des types les plus courants.
7. ÉPIGRAPHIE LIÉE À LA PRODUCTION
ILLUSTRATION 7 (facultative)
Recueil de dessins. Cette illustration ne peut excéder un cadre de 22 x 17 cm. Tous les
dessins doivent être présentés à l’échelle 1/1 à l’exception des comptes de potiers et des
graffiti de très grande taille qui peuvent faire l’objet d’une réduction. Bien indiquer alors le
taux adopté.
Mention de toutes les inscriptions ou marques épigraphiques ayant un lien avec l’activité de production : estampilles,
marques cursives avant cuisson sur les outils de production, compte de potiers, etc. Des listes peuvent être dressées et
succinctement commentées, particulièrement lorsque les documents sont nombreux. Il est souhaitable, dans la mesure du
possible, que les exemples les plus déterminants puissent être illustrés.
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Recueil des ateliers de potiers et d’artisanat de la terre cuite
8. PRÉSENTATION DES PRODUCTIONS
ILLUSTRATION 8 (obligatoire)
Recueil de dessins d’objets produits sur le site. L’auteur doit veiller à ce que les
catégories céramiques ou les terres cuites dominantes figurent en premier lieu. Pour
chacune d’entre elles, seules les formes les plus courantes devront être présentées.
Cette sélection peut reposer sur des quantifications effectuées à partir de l’ensemble
des mobiliers trouvés sur le site ou bien tout simplement sur des estimations. Dans tous
les cas (catégories, formes), les productions les plus marginales doivent être écartées.
Les normes en matière d’échelle de reproduction sont celles couramment adoptées :
céramiques communes et fines 1/3 ; amphore, dolium et conteneurs assimilés, 1/10
pour les formes entières, 1/5 pour les fragments ; figurines en ronde-bosse, 1/2 ;
matériaux de construction (échelle variable).
Cette sélection ne peut dépasser, pour les sites les plus riches et les plus diversifiés,
trois cadres de 22 x 17cm.
Chaque forme est numérotée de 1 à n. Un catalogue précise leur appartenance à une catégorie céramique, propose
éventuellement une brève description technique, mentionne une dénomination morphologique ainsi que, le cas échéant, une
référence typologique. Suivent des informations facultatives liées à la phase d’activité du site, ainsi que des mentions de
chronologie absolue.
Exemples :
Céramique commune cuite en mode A. Pâte rougeâtre sableuse, engobe rouge lustré. Cruche (Sellès 2407). Phase 2. IVe siècle.
Céramique sigillée cuite en mode A. Pâte rouge, non calcaire, vernis rouge mat non grésé. Coupe hémisphérique (Drag. 37). Première
moitié IIe siècle.
Pour la rédaction de ce chapitre, les auteurs veilleront à utiliser des termes définissant les différentes catégories céramiques et
matériaux en terre cuite qui ne sont pas désuets et dont l’usage est connu au-delà de la pratique régionale. Cela est
particulièrement le cas des vaisselles du quotidien. Dans certain cas devront être mentionnés des équivalents ainsi que des
références bibliographiques afin qu’aucune confusion ne soit possible.
Exemples :
Le terme de “ céramique fumigée ” doit être évité lorsque les productions visées correspondent à des terra nigra.
Le terme de “céramique noire à pâte rougeâtre (NPR)” est utilisable car le lecteur peut se référer à un certain nombre de publications qui
présentent cette catégorie céramique.
Le terme d’"imitation de sigillée ” pour désigner les productions de centre de la Gaule au Ier siècle est aujourd’hui caduque ; il doit être
remplacé par celui de “ céramique sigillée à vernis non grésé ”.
Etc.
9. DIFFUSION DES PRODUCTIONS
ILLUSTRATION 9 (facultative)
Carte présentant la diffusion des productions du site étudié. A défaut, bref
commentaire.
10. SYNTHÈSE ET COMMENTAIRES LIBRES
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