Gl3!@BALE ,, S/lO902 12 mars 1973 FRANCATS ORIGINAL :~A
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Gl3!@BALE ,, S/lO902 12 mars 1973 FRANCATS ORIGINAL :~A
Gl3!@BALE,, S/lO902 12 mars 1973 FRANCATS ORIGINAL :~A.lYGL.AIS - ,-- -* - LETTREDU 22 M!lRS3373 ADRESSEEAU PRESZDJi!NT DU CONSEIL DE SIXURITE PAR LE REPRESENTANT PERXAKEBTDE L'EGYPTE AUPRESD&' LfORGJQJISATX&J DES NATIONS UNIES , i A&s avoir lu la lettre (S/l$895) que le représentant permanent aiIsraël vous a adressée J.e 5 mars 19’73 & propos la mort de 108 personnes ) je tiens de 1 1avion civiL â attirer votre libyen attention qui sur a 6té les abattu, points entraînant suivants 1. 11 Suffit de Se reporter iL la conférence de presse tenue le 22 février 1973 par le gii;n&al Hod, en P&ence des deux pilotes israéliens qui ont commis le crime odieux d’abattre un .avion civil, pour s’assurer des fa%& exacts que la lettre isra,élienne, essaie de camoufler, - Le pilote a dit : “On pouvait quand j’ai atteindre d6jà apercevoir le tiré sur les ailes la côte, ” Canal, qui n’était qu’à pour Je forcer à. atterrir Tirer sur les ailes d’un Boeing ne Deut ‘signifier fa-ire ex$toser l’avion en vol; un pilote de chasse raffinements du meurtre en plein ciel ne peut pas Sait, à savoir que les r6Servoirs de carburant des fus elage . 2. Reportons-nous encore même conf&ence de presse, cockpit, et $ trois reprises qu’une à qui ignorer Boeing une minute de vol &/, want qu’il puisse chose, : qu’on entend on a appris tous leS ce que tout le monde se trouvent dans Je à oe qu’ont dit les auteurs du crime. Lors de la l’un des pilotes a dit : “Je volais très près du, nous avons &hangé des signaux de la main.” SanS mettre en doute Les alJ&ations des Israéliens, selon lesquelles i.1 y aurait eu des signaux de la main, il Para?ît bien extraordinaiPe, pour ne pas dire plus, que les piiotes, de ,chasse isragliens ne connaissent pas leurs propres m&thodes d’interception , qui ont pourtant Été communiquGes à ~~Organisation de lvaviation civile internationale (OACI) 2/, D’apr& ces appliqU6eS &/ L'~~ion 2/ L'OACI par avait changé de cap et se dirigekit vers veille à ce Sue chaque Etat membre soit les autres Etats membres ‘en distribuant Le Caire. au courant des méthodes leur description. : L , <’ S/U?902 , Français Page 2 -, méthodes, les ordres de %a .main a/. : aux avions Il ressort donc clairement a tir6 sur cet avion civil les signaux d*avartissement : interceptés des déclarations dans lvintcntion apPrapriés A/. . ne se donnent pas par des s%Xnaux , officielles de l'abattre israéliennes Que l'on et SSAIS UfXiliser ‘. j : .i 'I' : Ces deux faits essentiels 'suffisent à prouver la responsabilité israélienne ou distorsion des faits ne Pourra dans cet hc~rlble crime, et aucune falsification disculper Isr&l. Je VOUS prie de bien vouloir faire distribuer comme document officiel du Ccnseil de Sécurité, le texte de %a présente lettre LsAmbassadeur, --Rep&entant permanent de l'J%vpt@ auprès de lsOrganisation des Nations Unies-, (Signé) A. Esmat ABDEL MEGUID .. c--c-P - . , A/ AI$ Israel used bx inteqepting - RAC 2, 3, -1 "Pracedures and visual'signs and intercepted aircraft" (Méthodes et'signes vGGm=yés par les~~&~efs intercepteurs et les a6ronefS interceptés). Les méthodes employées par IsraZl ont ét& recemment modernisées, et le texte pertinent a 6t6 distribué en janvier 1972. k/ D'aprss Aviation Weck and Space Technology (5 mars 1973), le délai moyen nécessaire à un pilote de chasse pour effectuep une ,sZ%.e de signawr aériens est dvenviron ,25 minutes. L9incident a dur& en tout neuf minutes,