Alain Bauman (Richard Berry) est persuadé que
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Alain Bauman (Richard Berry) est persuadé que
Sébastien Thiéry Résumé 4 lignes : Alain Bauman (Richard Berry) est persuadé que sa femme Nathalie vieillit sept fois plus vite que lui. Quand il regarde sa femme, il voit une grand-mère. Leur vie en commun devient compliquée et leur sexualité impossible. Mais est-il vraiment lucide ? Est-ce Nathalie qui a changé, ou le regard que son mari porte sur elle ? Une comédie désopilante sur les dégâts que provoque la routine dans le couple. Présentation pour le dossier de presse : Une comédie désopilante sur les dégâts que provoque la routine dans le couple. Alain Bauman (Richard Berry) est persuadé que sa femme Nathalie vieillit sept fois plus vite que lui. Quand il regarde sa femme, il voit une grand-mère. Leur vie en commun devient compliquée et leur sexualité impossible. Mais est-il vraiment lucide ? Est-ce Nathalie qui a changé, ou le regard que son mari porte sur elle ? Le début de la fin ne parle pas du vieillissement physique d’une femme, mais de la lassitude du regard qu’un homme porte sur elle. Un mari qui ne regarde plus sa femme, ou plutôt qui ne la voit plus comme elle est. Au delà du rapport entre un homme et sa femme, c’est bien du rapport hommes-femmes qu’il s’agit dans cette comédie, c’est du problème du couple. L’usure du couple par usure du temps. En accusant les traits de son héros, en faisant de lui un personnage misogyne et aveugle jusqu’à la négation de la réalité, Sébastien Thiery nous livre une vision cruelle et pessimiste du couple. On retrouve ici la radicalité des situations et des psychologies chère à l’auteur de Cochons d’Inde et de Qui est Monsieur Schmitt ? Ni rémission, ni recours, ni grâce. L’amour meurt, et cette mort irrévocable renvoie avec une vérité féroce celui qui l’a tué à lui-même, dans sa solitude, son enfermement, voire sa folie. Nous rentrons là encore dans l’univers familier de l’auteur. Mais le rire nous sauve de la tragédie. C’est ce mariage entre le réalisme et son outrance qui donne sa singularité absurde et sa force comique au théâtre de Sébastien Thiery. Quinze lignes pour mecs simples : Alain Bauman (Richard Berry) est persuadé que son épouse Nathalie (Françoise Brion) vieillit sept fois plus vite que lui. Quand il regarde sa femme, il voit une grand-mère. Leur vie en commun devient compliquée et leur sexualité impossible. En effet, comment faire l’amour à sa femme quand on la voit avec trente ans de plus ? Alain Bauman qui n’en peut plus, va essayer de placer son épouse dans une maison de retraite. Mais Nathalie, qui a quarante ans, refuse cette proposition qui lui semble absurde. N’arrivant pas à se débarrasser d’elle, il va demander à Hervé, un jeune employé de son entreprise ( Jonathan Lambert) de s’installer chez lui, et de s’occuper de sa femme....Une sorte de mamie-sitting. Moyennant une promotion, le jeune homme accepte la proposition. Les quiproquos s’enchainent et la situation devient à hurler de rire, car Hervé, lui, voit Nathalie dans sa réalité...Une belle femme de quarante ans ! Le rôle de Madame Bauman est en effet joué par deux actrices, une de soixante-quinze ans et une de quarante (Pascale Louanges). Alain Bauman fera tout pour pousser Nathalie dans les bras d’Hervé, qui ne demandera que ça... Mais Alain Bauman est il vraiment lucide ? Est-ce Nathalie qui a changé, ou le regard que son mari porte sur elle ? Le début de la fin ne parle pas du vieillissement physique d’une femme, mais de la lassitude du regard qu’un homme porte sur elle. Une comédie désopilante sur les dégâts que provoque la routine dans le couple.