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SNES N°84 ! Janvier 2014 PO Sommaire : Edito Elections internes SNES - FSU Rectorat de Toulouse mauvais payeur Chantier Métier-Mission-Statut Epreuves de langues session 2014 Remplacements « De Robien » L’an IV du gel du salaire Brèves 1 2 2 3 4 4 5 6 Lettre d’information interne de la section des Pyrénées-Orientales du SNES-FSU Edito : 2014 - Maintenant ou jamais ! Ce début d’année 2014 sera sans doute décisif pour l’évolution de nos métiers, de nos carrières et de nos statuts. Le Ministre Vincent Peillon a décidé d’ouvrir des discussions à ce sujet. Ces propositions sont, à l’heure actuelle, inacceptables. Elles aggraveraient encore nos conditions de travail. Le SNES appelle donc la profession à s’emparer de ce sujet et à se mobiliser lors de la semaine d’actions du 27 au 31 janvier prochain. Il est grand temps que les métiers de l’éducation soient revalorisés. Au SNES, nous voulons profiter des « chantiers » ministériels pour obtenir ce qui nous est dû depuis longtemps : • L’abaissement de notre temps de travail : nous sommes les seuls dans la fonction publique à ne pas avoir bénéficié des 35 heures alors que notre horaire hebdomadaire est estimé par le ministère lui-même à plus de 41 heures. • L’allégement de notre charge de travail : la pression de plus en plus importante au quotidien, la multiplication des réunions et des tâches annexes rendent l’exercice de nos métiers de plus en plus difficile. • Un salaire en adéquation avec notre rôle de cadre A de la fonction publique : nous avons perdu environ 15 points de rémunération au cours de ces trente dernières années. Il ne faut pas avoir de fausse pudeur : nos revendications sont légitimes. C’est aussi à ce prix que les jeunes reviendront vers le métier d’enseignant, trop longtemps discrédité, victime d’une grave crise des recrutements. C’est donc maintenant ou jamais ! Dans un autre domaine, la fin d’année 2013 a été marquée par une libération de la parole raciste dans notre pays. Les attaques contre la ministre Christiane Taubira ou contre Miss France 2014, exemples médiatiques, montrent la banalisation de la pensée raciste dans notre société. Les réseaux sociaux permettent bien souvent d’exprimer ces idées nauséabondes en tout anonymat et en toute impunité. Quel paradoxe au moment où le monde entier célèbre Nelson Mandela ! Le SNES prône une Ecole porteuse des valeurs de la République qui doit combattre au quotidien cette dérive inacceptable. Malgré ces nuages qui obscurcissent notre horizon, le SNES 66 vous souhaite une année 2014 pleine de bonheur et de solidarité. Une année de revendications et, espérons-le, de victoires syndicales ! Marc Moliner Secrétaire départemental SNES 66 Elections internes SNES-FSU : l’exercice de la démocratie. 2014 est une année de congrès et d’élections pour le SNES. La première échéance se déroulera du 20 janvier au 7 février : nous renouvellerons les membres de la CA académique et du bureau départemental, nous devrons également nous prononcer sur le rapport d’activité national et sur le rapport annuel financier. Ces élections s’organisent dans chaque section d’établissement. Elles sont un moment fort de la vie de notre syndicat. La participation des adhérents à ce vote est primordiale pour notre démocratie interne. Le congrès académique aura lieu les 26 et 27 février à Montpellier, le national du 31 mars au 4 avril à Marseille. Liste Unité et Action Marc Moliner, lycée Jean Lurçat, Perpignan Géraldine Morales, lycée Charles Renouvier, Prades Gérard Gironell, lycée François Arago, Perpignan Isabel Sanchez, lycée Rosa Luxemburg, Canet Jean-Paul Bareil, collège Jean Macé, Perpignan Caroline Delcor, Lycée Déodat de Séverac, Céret Sébastien Latour, lycée Rosa Luxemburg, Canet. Emilia Frappat-Sanchez, collège Mme de Sévigné, Perpignan. Philippe Boumaza, collège Marcel Pagnol, Perpignan. Bastien Cases, collège Marcel Pagnol, Perpignan. Anne-Marie Delcamp, retraitée, Perpignan Liste à l’initiative d’Ecole Emancipée Philippe Gonzalez, lycée Picasso, Perpignan Gilles Birnbaum, lycée Jean Lurçat, Perpignan Christelle Zermann, lycée Jean Lurçat, Perpignan Dominique Adiba, collège Jean Moulin, Perpignan Eric Moccand, lycée Jean Lurçat, Perpignan Anne Bousquet, collège Paul Langevin, Elne Serge Valade, lycée Jean Lurçat, Perpignan Josette Monforte, collège Jean Moulin, Perpignan Jean Vila, lycée Picasso, Perpignan Gérard Alexandre, retraité, Perpignan Monique Balent, retraitée, Perpignan Le Rectorat de Toulouse mauvais payeur Nadine C., professeur contractuel , 3ème catégorie, a effectué depuis 2007 de nombreux remplacements dans l'Académie de Montpellier mais n'hésite pas à changer d'Académie lorsque les besoins l'appellent ailleurs. Depuis le 3/10/2013 elle est employée par le rectorat de Toulouse pour un temps complet au LPO Le Garros à Auch ( Gers). Or, Mme C. n'a perçu que très partiellement son traitement depuis octobre ( 542 euros pour le mois d'octobre; 1120 euros en Novembre; 225 euros le 20 décembre) alors que ses factures s'accumulent.... Les services du Rectorat de Toulouse contactés par notre collègue Emilia Frappat-Sanchez, S1 du collège Sévigné ont répondu que c'était provisoire, qu'à partir du mois de janvier tout allait rentrer dans l'ordre, qu'elle aurait dû prévoir, qu'elle savait que cela se passe tout le temps comme ça.....On ne peut que s'indigner face à un tel discours. L'assistante sociale de la Direction Départementale du Gers, alertée par mes soins, a promis, compréhensive, qu'elle étudierait son dossier avec la plus grande attention à partir de janvier pour une éventuelle aide exceptionnelle mais que pour l'instant les caisses étaient vides...Comment vivre alors décemment avec des avances de salaire multipliées à l'infini? L'ensemble du personnel de son établissement, très solidaire, a soutenu financièrement notre collègue en attendant la régularisation de son traitement.... En tant qu'élus du personnel on se doit d'apporter une aide et un soutien à cette catégorie de personnels qui souffre à cause des conditions inégales et injustes que leurs nombreux contrats leur infligent. Demandons l'arrêt de la généralisation des chaînes d'acomptes . Tout travail mérite salaire, payé en temps et en heure!! C'est le lot de tous les M.A et contractuels du public et du privé dans tous les rectorats. La presse ( La Dépêche/ Sud-ouest ) a été alertée et un RDV a été demandé au rectorat afin de régler au plus vite la situation... Le SNES local s'est saisi du dossier. A suivre.... ! Eli Sanchez #2 CHANTIER METIER-MISSIONS-STATUT Le projet PEILLON n’est pas acceptable en l’état ! A l'initiative du ministre Peillon, les chantiers sur l'évolution des métiers se sont ouverts. Deux séances ont eu lieu, pour le second degré, le 22 novembre et le 2 décembre. Vincent Peillon a dressé un bilan d’étape le 12 décembre. Nos missions : le renvoi au local et la surcharge de travail ! Le SNES a obtenu le rappel de la monovalence et de la définition de nos maxima de services hebdomadaires (15h pour les agrégés, 18h pour les certifiés, 30 heures pour les documentalistes (36-6)), ainsi que le retrait de la référence à un volume annuel de 1607 h qui pouvait être un pas vers l'annualisation de nos ser vices. Ce sont des acquis primordiaux. Mais le projet liste une série de « missions » qui deviendront des obligations de service, dont le nombre ne sont pas spécifiés et qui resteront à l’appréciation des chefs d’établissement. Le texte proposé, sous le prétexte de les reconnaître, entérine ces nouvelles obligations de service et toute une série de tâches qui alourdissaient depuis des années notre charge de travail de façon insidieuse. Ce texte graverait dans le marbre toutes ces tâches supplémentaires, sans proposer quelque compensation –horaire ou financière- que ce soit ! Certaines de ces missions seraient même accompagnées d’une « lettre de mission » dictée par le chef d’établissement ! C’est donc, en l’état, un net recul par rapport à l’existant ! Nos horaires : une logique de redéploiement pour diviser les personnels sans améliorer les conditions de travail ! EN COLLEGE : Une pondération en éducation prioritaire (1h devant élève = 1,1h dans le VS), mais limitée seulement aux établissements ECL AIR. L’annonce de 4000 postes supplémentaires pour améliorer les conditions d’enseignement en collège. SVT et Sciences Physiques : disparition de l'heure de "vaisselle" au profit d'une indemnité au montant inconnu. Disparition des heures de labo en techno, LV, HG au profit d’une indemnité (?) au montant inconnu. EN LYCEE : Disparition de l'heure de chaire remplacée par une pondération (1h en 1ères et Terminales = 1,1h / 1h = 1,25h en BTS). Disparition de la minoration de service pour effectifs élevés, remplacée par une indemnité : c'est la porte ouverte à l'explosion des effectifs par classe au delà de 36 ! Disparition des heures de labo au profit d’une indemnité (?) au montant inconnu. CPGE : Suppression de l'heure de première chaire et l'obligation de service est portée à 10h (la taille des classes ou groupes n'interfère plus). Devant la forte mobilisation des collègues de CPGE, notamment le 9 décembre dernier, le ministre a reculé et accepté de rouvrir les discussions. Rien sur nos salaires et notre pouvoir d'achat ! Le SNES-FSU est favorable à une réécriture des décrets de 50 afin que de nouveaux textes prennent en compte nos conditions de travail et de rémunération mais un nouveau décret doit absolument être porteur d’améliorations et non pas de régressions. En l’état, le texte de Vincent Peillon est donc inacceptable. Nous appelons tous les établissements à organiser au plus vite des heures syndicales et/ou AG en janvier pour alerter tous les collègues sur l’importance de ce chantier pour l’avenir de nos métiers et les fondements mêmes de nos statuts, pour diffuser les propositions ministérielles et nos analyses, pour débattre de ce projet et de ses dangers et pour décider des modalités d’action pour peser sur les discussions, empêcher toute dégradation de nos conditions de travail et revendiquer de réelles améliorations. Le SNES met en discussion le principe d’une semaine d’actions du 27 au 31 janvier. Vous trouverez sur le site du SNES : www.snes.edu les dernières évolutions du texte, les commentaires du SNES et notre pétition pour la revalorisation de nos métiers. Marc MOLINER Le nombre du mois + 397 C’est le nombre d’élèves supplémentaires qui seront accueillis dans notre département à la rentrée prochaine (collèges, Erea, LP, lycées généraux et post bac). Le SNES exige une dotation enfin à la hauteur de ces effectifs particulièrement élevés. #3 Epreuves de langues session 2014 Lors de l’audience du 10 décembre sur la question des LV au bac 2014, le SNES académique a rencontré le secrétaire général du Rectorat en présence des IPR d’anglais, d’espagnol et d’allemand ainsi que le responsable de la DAEC. Le SNES a : - rappelé et appuyé le refus des collègues d’évaluer leurs propres élèves. Le SG a accordé la possibilité de « brassage » au sein des établissements (répartition entre profs de l’établissement) mais à réitéré le refus de la mise en œuvre d’évaluations organisées dans le cadre du bassin (entre différents lycées pour échanges de profs). - demandé que l’organisation matérielle de l’évaluation soit prise en charge par les équipes de direction. Le SG a confirmé que les chefs d’établissements recevraient une circulaire concernant la mise en place des épreuves fin décembre, début janvier. - demandé la création d’une banque de sujets. Le SG a rappelé que les enseignants de LV doivent produire les sujets (cela fait partie de leurs missions !!) Les IPR ont précisé que les collègues avaient à leur disposition des sites ressources avec des exemples de sujets. - demandé le recul de la date des 2 évaluations (CO et EO). Pas d’opposition du SG à un report pour la CO qui devrait se tenir après les vacances d’hiver (1 mois plus tard donc) mais pas plus tard car la circulaire ministérielle impose qu’elle ait lieu durant le 2ème trimestre. En revanche refus catégorique pour le report de l’EO (qui doit se dérouler au plus tard le 25 avril 2014) car les collègues seront ensuite convoqués pour les épreuves de BTS qui vont immédiatement suivre après les vacances de printemps. Dans une lettre du 11 décembre adressée au ministre, le SNES a à nouveau alerté le ministre sur les épreuves de langues dont les modalités de passation actuelles ne garantissent pas l’équité et l’égalité des élèves et sur l’augmentation conséquente de la charge de travail des personnels. Il a également rappelé son exigence d’épreuves nationales et terminales. A quelques semaines des premières épreuves de compréhension orale, les modalités ne sont toujours pas définitives et laissent à nouveau les collègues dans l’incertitude. Les craintes, les demandes et la colère légitimes exprimées par la majorité des collègues de langues l’année dernière n’ont été ni entendu ni prise en compte et cette nouvelle session à l’instar de la précédente présage qu’elle ne sera pas une sinécure. Bonne année 2014 chers collègues de langues !!! Géraldine Morales Où l’on reparle des remplacements « De Robien » ! Depuis quelques temps, on voit à nouveau quelques chefs d’établissements se ressaisir du décret « De Robien » sur les remplacements de courte durée et en faire une lecture que nous pensions pourtant révolue. Ce texte, qui date de 2005, avait suscité dès sa sortie le rejet et le mécontentement de toute la profession. Nous lui reprochions de ne pas répondre aux réels besoins des établissements et entre autres, de générer un climat malsain en mettant en balance les sorties et activités pédagogiques avec l’obligation de remplacer les enseignants qui les encadrées. Ceci pouvant amener à l’abandon de projets puisqu’ils impliquaient que des collègues soient contraints d’assurer les remplacements. C’est pourquoi une autre lecture en avait été faite par les chefs d’établissements et la plupart des protocoles ne s’appuie que sur le bénévolat et fixe des règles qui évitent de transformer ces remplacements en garderie. Aussi que se passe-t-il depuis cette rentrée pour que le sujet redevienne source de conflits ? Faisant suite à l’un d’eux, un arbitrage a été rendu par le DASEN qui exprime que l’objet de ces protocoles de remplacements ne peut être que la volonté de permettre la rémunération des remplacements effectués sur la base du volontariat et non de créer des conflits dans les établissements. La majorité des chefs d’établissements fonctionnant d’ailleurs de cette manière. Ainsi donc, espérons que cette nouvelle année 2014 soit placée sous le signe de l’apaisement, sur ce thème là au moins. Nous serons vigilants et attentifs à ce qu’il en soit ainsi ! Jean Paul Bareil #4 L’an IV du gel du salaire Pour la quatrième année consécutive la loi de finance votée par le parlement entérine le gel du point d’indice, synonyme de : poursuite de la chute du pouvoir d’achat pour toute la fonction publique. Depuis l’année 2000 le pouvoir d’achat de l’indice brut a diminué de 13%, de 16% si l’on tient compte de la hausse des retenues pour pension civile ; non seulement les salaires n’augmentent plus, maintenant ils diminuent, et le calcul n’intègre pas les hausses de cotisations des caisses mutuelles santé. Le poids des rémunérations de la fonction publique est passé de 4,4% du PIB en 2000 à 3,2% en 2012 soit une diminution 1,2 points, ce qui représente en cumulé près de 18 milliards d’€ d’économies ! Dans le même temps la part des dividendes et autres revenus financiers passait d’un peu moins de 7% du PIB à environ 9% soit une progression chiffrée à près de 46 milliards d’€ ! Cela n’a rien à voir, bien évidemment, … sauf que, une étude démontre qu’il existe une relation entre l’évolution du salaire des fonctionnaires et l’évolution des salaires dans le privé(1). Cette étude établit un lien de causalité entre les politiques salariales privées et publiques. Ainsi la flexibilisation de l’emploi, la déréglementation du code du travail, la désindexation et gel des salaires, dans le privé sont présentés comme la conséquence des efforts nécessaires qui doivent être consentis par les salariés pour reconquérir de la compétitivité. Sauf que les milliards d’euros d’excédent brut d’exploitations dégagés de ce fait ne sont pas réinvestis mais redistribués vers le haut de la pyramide des patrimoines. Dans le secteur public cette politique a sa traduction : remise en cause du statut, mise en œuvre de la RGPP(2) ou de sa petite sœur l a M A P ( 3 ) , n o n r e mp l a c e m e n t d e fonctionnaires partant à la retraite, gel du captent les profits à leur convenance sur le dos du salariat privé, ils se resservent une seconde fois sur le dos des salariés du public. Il n’est plus possible de continuer à se laisser spolier ainsi par ce quarteron de rentiers et autres spéculateurs irresponsables qui font danser l’économie, et surtout nos vies, au bord d’un volcan en fusion. « Le courage c’est d’aller à l’idéal »(4) il faut se donner les moyens d’imposer un véritable changement dans le partage des richesses, et c’est donc d’une autre politique qu’il faut aujourd’hui oser parler, sans honte, ni retenue. Ainsi en ce début d’année 2014 les questions de revalorisation des salaires et du pouvoir d’achat doivent être posées fermement sur la table. Se faire entendre et imposer qu’on nous réponde favorablement permettrait d’ouvrir enfin une brèche politique majeure, et pas que dans le public, cela permettrait de repasser la marche en avant du progrès social. Gérard GIRONELL Secrétaire Départemental de la SD FSU 66 point d’indice. il s’agit d’obliger les « planqués » du public à participer à l’effort de redressement national, et de contribuer aussi à l’assainissement des finances publiques ; comme une évidence livrée en pâture à l’opinion : « la crise de la dette publique c’est la faute des fonctionnaires », évidemment ce n’est pas dit comme ça, mais ... ! La dette, qui est le cœur nucléaire des politiques « austéritaires », est détenue majoritairement par ceux-là même qui ! (1) Les traitements des fonctionnaires français 1960 2004 – la voie de la démoralisation ? -Btissam Bouzidi, Touria Jaaidane, Robert GaryBobo- TELOS (2) Refonte Générale des Politiques Publiques (3) Modernisation de l’Action Publique (4) Jean Jaurès #5 BREVES • Ras-le-bol devant l’indélicatesse de certaines organisations syndicales qui diffusent les résultats des mutations ou des avancements d’échelon avant la tenue des commissions paritaires et qui utilisent les adresses mails professionnelles sans autorisation, en dépit de la réglementation, sans tenir compte des corrections effectuées, sans respect pour les collègues … • Le cafouillage des rattrapages et le calendrier scolaire : le SNES a lu une déclaration intersyndicale SNES- Sud Education- CGT Education- FO- SNALC sur le rattrapage du 11 juin et le projet de calendrier scolaire lors du conseil supérieur de l’Education du 19 décembre. Cette déclaration sera ensuite déclinée en pétition intersyndicale. • Stages syndicaux : Plus de 30 militants réunis au lycée de Canet le 13 décembre pour une journée riche en débats. Plus de 120 collègues au stage académique sur l’évolution des métiers et des statuts … La vie syndicale est intense au SNES. Prochain rendez-vous le jeudi 30 janvier au siège de la FSU pour un stage spécial « nouveaux adhérents ». • Un bilan de rentrée toujours pas dressé, est-ce bien raisonnable ? Le traditionnel CDEN (Conseil Départemental de l’Education Nationale) ne s’est toujours pas réuni pour dresser le bilan de la rentrée 2013 … La FSU a écrit au préfet pour exprimer son mécontentement. • Double peine pour les ex contractuels : nos collègues contractuels sont particulièrement mal payés dans notre académie (non prise en compte du niveau de diplômes et de l'ancienneté). Double scandale car cette rémunération basse les empêche ensuite d'être reclassés après la réussite de leur concours ! Le SNES intervient à tous les niveaux pour faire cesser cette injustice. SNES SECTION ! ! ! ! DES PYRÉNÉES ORIENTALES 18 RUE CONDORCET 66000 PERPIGNAN TEL : 04 68 66 96 51 FAX : 04 68 50 32 31 SITE INTERNET : http://snes66.wordpress.com PERMANENCES : -- LUNDI DE 14H À 17H -- MERCREDI DU 14H À 17H #6