micro onde - Mam Galerie

micro onde
Centre d’art contemporain de l’Onde, Vélizy-Villacoublay
Communiqué de presse
Translation
Bernard Calet
du 18 janvier au 28 février 09
Contact presse Sophie Auger / 06 81 29 50 10 / [email protected]
Téléphone Micro Onde : 01 34 58 19 92
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Translation
Bernard Calet
Une exposition du 18 janvier au 28 février 2009
Vernissage le 17 janvier 2009 à partir de 19h
Productions réalisées pour l’exposition :
- Dé/ménage/ment, un bloc de 80 m3 de déménagement
- One to One, sculpture habitable
- Ville Figure, une série de montages dessin/photo/verre gravé présentée dans la rue
traversante
C’est un pari très ambitieux que l’artiste Bernard Calet et le centre d’art contemporain Micro
Onde à Vélizy-Villacoublay ont décidé de relever avec l’exposition TRANSLATION.
L’une des pièces phare de l’exposition a été longuement réfléchie par l’artiste qui souhaitait la
réaliser depuis près de 10 ans, cependant
il a rencontré par le passé de nombreuses
embûches, la mise en œuvre de cette pièce requérant un engagement considérable.
Dé/ménage/ment
Pour son exposition Translation, Bernard Calet réalise avec le soutien du Micro Onde et de la société
de déménagement Varillon Demeco, des œuvres qui s’adaptent à l’espace monumental de la galerie.
Connaissant ce qui a motivé l’artiste, le terme translation prend tout son sens. En effet, les trois
œuvres présentées pour l’exposition ont toute trait au déplacement. Résurgences du métier de
déménageur qu’il exerça lorsqu’il suivait ses cours aux Beaux - Arts, elles conservent le goût de
l’assemblage et du transitoire. Comme une figure se déplaçant sur la feuille, Bernard Calet transpose
ses expériences antérieures, qui deviennent des pratiques esthétiques radicales.
dé/ménage/ment a reçu l’aimable soutien de la société de déménagement Varillon Demeco
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Dé/ménage/ment consiste à présenter durant 7 semaines le mobilier d’un appartement pouvant être
contenu dans un camion de 80 m3. Cette pièce sera présentée dans la grande galerie du centre d’art,
la métamorphosant en entrepôt dans lequel serait abandonné le chargement d’un camion. Il choisit de
présenter le contenu sans le contenant, l’assemblage presque « magique » qu’arrivent à produire les
déménageurs quand il s’agit de faire tenir un appartement dans le volume d’un camion.
Fasciné par l’image de ce qu’on appelle dans le jargon les « culs de camion », qu’il photographie
depuis de nombreuses années, Bernard Calet parachève l’expérience, en concevant la réplique réelle
du chargement d’un camion. En référence aux architectures et aux collages de Kurt Schwitters, il
s’approprie l’espace du quotidien. Il met en œuvre son goût pour l’assemblage et les jeux de
construction.
C’est aussi pour l’artiste le moyen de questionner ce qui est de l’ordre de l’espace privé et de l’espace
public. Le déménagement est pour chacun d’entre nous un moment singulier, qui fait surgir de
nombreuses pensées et émotions : souvenirs, nostalgie, déception, séparation, enthousiasme,
promesse d’une nouvelle vie… C’est sur cette expérience commune et la représentation qu’on s’en
fait qu’a décidé de travailler Bernard Calet, conscient de tout ce que peut véhiculer le déménagement
et notre attachement à un lieu. L’artiste donne à voir ce moment de transition entre deux espaces de
vie. En reprenant à son compte cette architecture précaire et éphémère « des culs de camion », il
nous met fasse à l’idée d’un temps en suspens. Ici, il est encore question de déplacement ou pour
être plus précis de glissement. Entretenant un rapport ambigu à la réalité, cette œuvre sera
légèrement surélevée, détachée du sol. Comme en lévitation, elle viendra contredire les lois de la
gravité.
Bernard Calet s’interroge sur notre rapport au monde, qui aujourd’hui contraint ou incite à migrer,
même si nous gardons finalement des réflexes de sédentaires. En nous confrontant à ce que nous
pourrions nommer un non lieu, cette pièce, qui évoque la transformation en devenir, ne sera qu’un
état permanent de provisoire.
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one to one
L’image inversée de Dé/ménage/ment pourrait être une œuvre aux dimensions toutes aussi
imposantes. One To One, elle, sera présentée dans la rue traversante de l’Onde. Si Dé/ménage/ment
nous tient à distance, en nous présentant le contenu d’un camion de déménagement, celle-ci nous
invite à entrer en son sein.
Son titre fait directement référence à l’œuvre, car elle est composée de ses lettres, mais aussi dans sa
forme, car elle reprend les enseignes utilisées dans le commerce. L’expression anglo-saxonne one to
one est apparue dans les années 90 pour qualifier le concept de marketing individualisé. Cette
technique commerciale permet de cibler le consommateur et de s’adresser directement à lui en
fonction de ses goûts, ses habitudes, afin de déterminer son profil et de pouvoir s’adapter à sa
consommation. Cette technique s’est développée notamment grâce à l’utilisation d’internet. Il n’est
donc plus tout à fait incongru que l’artiste utilise l’enseigne lumineuse comme étendard de son fameux
One To One.
Ici est menée une réflexion sur le corps social à l’image de cette enseigne, qui témoigne du repli de la
figure sur elle-même et semble nous indiquer un corps qui tente de s’effacer.
Par ailleurs, l’artiste se joue d’un double sens. Si l’on traduit one to one mot à mot on obtient un à un,
seul à seul. L’artiste invite le spectateur à pénétrer dans une enseigne lumineuse. S’il l’invite, il le
contraint néanmoins à entrer seul. Cet isolement forcé l’amène à faire l’expérience du seul à seul. A
son origine, l’enseigne lumineuse est signe, elle attire le badaud pour lui signifier la présence d’un
lieu. Ici l’enseigne lumineuse ne se veut pas racoleuse, elle ne se déploie pas dans l’espace. Elle se
recroqueville sur elle-même, à l’image de son titre ONETONE, un carré autour duquel on tourne. Ce
qui fut à l’origine de ce travail est – comme évoqué plus haut – la traduction de cette expression et son
rapport au commerce.
One to one traduit aussi pour l’artiste l’idée d’un isolement. Le visiteur, en pénétrant dans l’espace
clos de l’œuvre, fait l’expérience de la solitude au sein du groupe. Cette expérience rappelle la
propension à s’isoler en présence des autres – de la foule ou de nos proches – grâce aux nouveaux
moyens de communication (mp3, téléphone portable).
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Ville figure
Enfin, l’œuvre Ville figure, qui de prime abord peut paraitre plus graphique que sculpturale, sera
accrochée dans la rue traversante. Néanmoins l’usage de matériaux spécifique au bâtiment ainsi que
le dépolissage du verre donne à l’œuvre un aspect sculptural, qu’on pourrait apparenter au bas-relief.
Il s’agit de photographies retravaillées au dessin. L’artiste conserve du médium photographique le
caractère documentaire. Les photographies témoignent de son passage dans les différents lieux où il
a exposé et des rues qu’il a arpentées durant ses voyages.
Bernard Calet choisit d’extraire des photographies un fragment, qu’il retravaille par le dessin.
Eléments frappants et constituants du projet, les personnes présentes sur les photographies-dessins
sont toujours prises de dos. Cette attitude rappelle notre position de spectateur face à l’œuvre. Ces
personnes semblent poursuivre un but et nous les accompagnons avec un pas de retard. Nous
sommes nous aussi de dos lorsque nous regardons l’œuvre, et dos au monde environnant.
Le choix du cadrage montre des perspectives tronquées, où le point de fuite se trouve hors champs,
venant insister encore sur un espace délimité et comme sans avenir. Les personnages se trouvent
comme en suspens dans ces villes qu’ils arpentent. L’emploi de la photo et du dessin donne une
impression d’apesanteur, marquant une nouvelle distance. D’un côté la photographie et sa réalité –
nous pourrions dire sa vérité -, et de l’autre le dessin et ses possibilités de transgression du réel,
écarté d’un souci de véracité.
Bernard Calet fait fonctionner cette œuvre à l’inverse des plans des urbanistes. Il ne construit pas :
son trait vient déconstruire. Ou pour être plus juste, son trait vient nous donner la possibilité de
reconstruire l’espace. De plus, l’ajout des adverbes de temps tels que : ici et maintenant, gravés sur
la vitre protégeant le dessin, semble être un indice, afin d’identifier l’artiste. Cependant, il est bien
impossible de donner les coordonnées précises de ces lieux. Car ces adverbes n’existent et ont valeur
d’information que lorsqu’ils sont attachés à un contexte. Ici, après, maintenant ne peuvent fonctionner
en eux-mêmes comme repères ni spatiaux ni même temporels. C’est le constat d’un décompte du
temps, toujours fuyant. Bernard Calet est comme ces personnages : un passant. Au sens fort du
terme, il passe d’un lieu à un autre et il ne peut témoigner que d’une présence fuyante.
De plus cette technique de gravure à même le verre donne un relief aux mots. Nous pourrions
presque appréhender cette œuvre les yeux fermés. En ne touchant que les contours des lettres
gravées, nous aurions une expérience renouvelée de l’œuvre.
Avec ces adverbes gravés en relief, l’artiste amorce une critique du langage comme toujours en deçà
de l’expérience, toujours subjectif et inopérant pour décrire l’immédiateté.
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En parallèle de l’exposition /
La boîte
Invitation faite à Dominique Ghesquière
Du 18 janvier au 28 février 09
Vernissage 17 janvier à partir de 19h
Projection vidéo, le salon
Tirage numérique, Automne
RV dans le cadre de l’exposition /
Vendredi 30 janvier / à 19h30 au Micro Onde
Rencontre avec Bernard Calet
Conversation animée par le sociologue Jean-Yves Petiteau qui s’intéresse aux questions sociologiques
inhérentes au déménagement.
Mardi 3 février / à partir de 20h30 au Micro
Onde – centre d’art contemporain
Performance et rencontre Olivier Nourisson et
Constantin Alexandrakis
Collectionneurs d’images, les deux artistes associés
aiment à compiler les clichés, afin de nous donner à voir
des cartes postales atypiques de notre univers urbain et
contemporain.
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Bernard Calet / documentation
Biographie
Bernard CALET
Né en 1958 à Charenton, vit et travaille à Tours
Depuis 2002, Bernard Calet participe au groupe d’étude “Maison, Jardin, Lotissement“, logique
d’acteurs et processus de projet, Université d’Angers, Département ESTHUA et l’École des BeauxArts d’Angers
1986, 1990 et 1999,
Bourse de l’aide à la création, Ministère de la Culture
1997
Lauréat ex æquo avec Tania Mouraud de la XIème bourse d’art monumental d’Ivry-sur-Seine
Expositions personnelles (sélection)
2009
Translation, Micro Onde – centre d’art contemporain, Vélizy-Villacoublay
2008
mais qu’est-ce qu, galerie contemporaine de la ville de Chinon, Chinon
Fluo202, atelier 202, Paris (invitation de Régine Kolle)
2007
Séjour, Emmetrop, Bourges
PVL, Plastivaloire, Langeais - exposition dans le cadre du Mécénat d’Entreprises
2006
Lieu dit, 13 bis, Clermont-Ferrant
2003
Proximité, FRAC Alsace, Sélestat
Proximité –suite, Musée d’Art et d’Histoire, Cholet (catalogue)
2000
École Supérieure des Beaux-Arts de Tours (catalogue)
La Galerie, Centre d’art de Noisy-le-Sec (catalogue)
1999
Centre d’art contemporain de Vassivière, Ile de Vassivière (catalogue)
1998
XIème Bourse d’art monumental, galerie Fernand Léger, Ivry-sur-Seine (catalogue)
1994
CCC, Tours
Lycée professionnel, Chartrie, Descartes
1993
Galerie Michel Rein, Tours
1992
Espace vigneron, Aldebaran, Baillargues
1991
Galerie Zabriskie, Paris
1990
Centre d’art contemporain de Vassivière, Ile de Vassivière (plaquette)
Le Creux de l’Enfer, Centre d’art contemporain, Thiers (catalogue)
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Expositions collectives (sélection)
2008
Cent, galerie Defrost, Paris
Tool Box, association Entre-deux, Nantes
2005
Workshop, Institut Arbeit und Wirtschaft, Universität Bremen
Artistes pages jaunes, galerie Magda Danysz, Paris
2004
Pilotis, Festival Rayons Frais, Tours
2003
Sichtfeldfiguren, Sympra, Stuttgart
2002
13 Artistes, FRAC Centre, Orléans
2001
Co-fondateur avec : Sammy Engramer, Prota(tt)trioreau, Frédéric Tétart, du site p-o-s.org
2000
Rencontres à Chinon, Chinon
ARTISTES-ARCHITECTES, une histoire de l’utopie au XXième siècle, FRAC Centre
Le Grand Réservoir, CHU du Krémelin-Bicêtre
7th international shoebox sculpture exhibition, University of Hawaï Art Gallery, Honolulu (catalogue)
1999
Pavillon témoin, Chapelle de l’Oratoire Nantes et Musée des Beaux-Arts de Saint-Nazaire.
1998
chez l’un, l’AUTRE, galerie Anton Weller, Paris
Habiter l’œuvre, La galerie, ERBA, Quimper
La ville en projet, Magasin, Grenoble (catalogue)
1997
Crossing France/Hawaii, Hawaii (catalogue)
L’espace construit, collection du FRAC Centre, Orléans
Agence d’artistes, CCC, Tours
XIème Bourse d’art monumental, galerie Fernand Léger/CREDAC, Ivry-sur-Seine (catalogue)
Bandits-Mages, 5ème Rencontres internationales des arts audiovisuels et multimédias, Bourges
(catalogue)
6th international shoebox sculpture exhibition, University of Hawaii Art Gallery, Honolulu (catalogue)
1996
Galerie Michel Rein, Tours
1995
Pièce(S) UNIQUE, Tours (avec Didier Padaillé)
Pour un couteau, Le Creux de l’Enfer, Thiers
L’espace reconverti, collection du FRAC Centre, Dreux (catalogue)
Sélestart, 22 pour suites, Sélestat
1994
L’hyper centre d’art, La Criée, Rennes
1993
Avant Centre, espace Art Brenne, Concrémiers
1992
Architectures charnières (coll. FRAC Centre), Bourges
Sest’art, la forme d’un monde, Sélestat (catalogue)
1991
Galerie Zabriskie, Paris
1990
Artzimut, Cherbourg (catalogue)
Loire-Méditerranée, Aldébaran, Baillargues (catalogue)
Galerie Pièces jointes, Orléans
Photography, Zabriskie gallery, New York
1988
Jeune sculpture, Paris (catalogue)
33ème salon de Montrouge
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1987
Ateliers, CCC, Tours (catalogue)
Hang Art, Poitiers (catalogue)
1985
Jeune sculpture, Paris (catalogue)
Commandes publiques et réalisations pour l’espace public
2005
Conception de panneaux de verre pour une salle de concert, église Saint Germain, Sully-sur-Loire
2004
îlot, réalisation d’une architecture pour le festival Rayons Frais, Tours
2003
Tapis, réalisation pour l’espace de cérémonie du Service Départemental d’Incendie et de
Secours d’Alençon, Programme “Nouveaux commanditaires“ de la Fondation de France
2002
Géographie commune, groupe scolaire Dulcie September, commande dans le cadre de la
Bourse d’Art Monumental de la ville d’Ivry-sur-Seine
1995
Labyrinthe, Hall de l’I.U.T., Chartres
1990
Sans Titre, parc de sculptures du centre d’art contemporain de Vassivière (commande du FRAC
Limousin)
Hall de l’I.U.T., Brive-La-Gaillarde
1987
Escalier de la Mairie, Châtellerault
Bibliographie
Catalogues et publications personnelles
2004
Bernard Calet, “Circulation fluide“ texte de Jean-Marc Huitorel, “Où est ici ?“ texte de Jean-Christophe
Royoux, “Architecture/Habitat“ texte d’Hélène Chouteau, “Paramaître“ texte d’Alain Katz et “Pour une
écologie de l’espace“ texte de Pascal Neveux, traduction anglaise de “Circulation fluide“ et de “Où est
ici ?“, Archibooks/legac+sautereau éditeurs, mars
2003
Tapis, publication présentant l’espace de cérémonie du Service Départemental d’Incendie et de
Secours d’Alençon, Programme “Nouveaux commanditaires“ de la Fondation de France, Tours
Géographie commune, “Où est ici ?“, texte de Jean-Christophe Royoux, Journal de la Bourse d’Art
Monumental d’Ivry-sur-Seine, n°3
2001
Bernard Calet, entretien avec Alain Coulange, École Supérieur des Beaux-Arts de Tours,
1er trimestre
2000
Bernard Calet, La Galerie, textes d’Hélène Chouteau et Jérome Diacre, Noisy-le-Sec, juin
1999
Bernard Calet, “esthétique des transferts“, texte de Paul Ardenne, Centre d’Art de Vassivière en
Limousin, 1er trimestre
1998
Bernard Calet, texte de Marie-Hélène Breuil, lauréat de la XIème Bourse d’art monumental d’Ivry-surSeine, Ivry-sur-seine
1990
Bernard Calet, “Point de vue-image“, texte de Catherine Grout, Le Creux de l’Enfer, Thiers, 4ème
trimestre
Bernard Calet, “Sans Titre“, texte d’Agnès Clerc, plaquette/affiche, Centre d’Art de Vassivière en
Limousin, juin
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1988
Sculptures-dessins, “Les Paradoxes de Bernard Calet“, texte de Jean-Luc Terradillos, Châtellerault
Catalogues collectifs
2004
Album 1983-2003, Centre d’Art d’Ivry– Galerie Fernand Leger, Ivry-sur-Seine
2000
ARTISTES-ARCHITECTES, une histoire de l’utopie au XXème siècle, FRAC Centre, mai
1998
La ville en projet, Le Magasin, Grenoble, juin-septembre
1997
6th International Shoes Box Sculpture 1997, University of Hawaii Art Gallery, Honolulu,
The Honolulu Triennal, Crossing’97 France-Hawaii, textes de Pascal Lettelier :
“Un manifeste français“, Marcia Morse : “Voyages imaginaire, Lieu d’évasion“, Giovanni Joppolo :
Petits-grands récits“, Luc Lang : “Petit lexique continental“ et “Brèves de Liverpool“, Honolulu, octobrenovembre
Festival Bandits Mages, Bourges, juin
XIème Bourse d’art monumental d’Ivry-sur-Seine, galerie Fernand Léger, Ivry-sur-seine,
1995
22 pour suite..., Sélestat, septembre-octobre
L’espace reconverti, “espace construit“, texte de Martine Le Gac et Denis Driffort, FRAC Centre,
Dreux, janvier-février
1992
Sélest’art, La forme d’un monde, Sélestat
1990
Loire-Méditerranée, “La conspiration“, texte de Vanina Costa, Espace Aldébaran, Baillargues, juin
1988
Jeune sculpture, “passage“, texte non signé, Paris, mai-juin
1987
Atelier, texte d’introduction de Philippe Piguet, CCC Tours
Hang art, “Les états poétiques de la sculpture“, texte de Pascale Cassagnau, Poitiers
1985
Jeune sculpture, “Passage“, texte de Loïc Malle, Paris, mai-juin
Articles de presse/revues (sélection)
2005
“Un îlot au cœur de Tours“, revue ARCHISTORM n°11, janvier-février
2003
Pierre Giquel, “Les décalages de Bernard Calet“, Revue 303, octobre
Laurent Charbonnier, “Périphérie incertaine“, Archistorm, n°1, juin
Philippe Piguet, “Bernard Calet, regard sur le monde“, L’œil, n°546, avril
2002
“Intervention de Bernard Calet et présentation de son travail et de son actualité artistique“ et
“Résidence“, TOUTIM, n°4, École Municipale d’Arts Plastiques, Cholet, février
2000
“Im-meuble, La Galerie, Noisy-le-sec “ (rubrique “exporama“), Art Press , n°259, juillet-août
“Déménagement“, Art Présence n°34, photographies sur un texte de Tanguy Viel, avril-mai-juin
Philippe Piguet, “Espèce d’espace“, L’œil , n°517, juin
1999
Paul Ardenne, catalogue de l’exposition au CAC de Vassivière en Limousin, février-avril
Paul Ardenne,“Centre d’art contemporaine de Vassivière en Limousin, 13 février-7 avril 1999“, Art
Press , n°245, avril
“Projet Cabane- Centre d’art contemporain de Vassivière“, Parpaings, journal d’architecture, d’art et
de paysage, n°1, janvier-février
Frédéric Bouglé, « Lumières iconoclastes / Lumières TV mises en œuvres », Art Présence, n°29,
janvier-février-mars
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1998
Paul Ardenne, « Les Habitats hybrides de Bernard Calet », VISUEL(S), n°3-4, été
Pascal Rousseau, “Domus Mobilis, La Maison portative et le Modèle de la construction automobile“,
Exposé n°3, mars, (reproductions p. 59, p. 212)
1997
Michel Rein, “De l’autre côté du miroir, Bernard Calet en habit de verre“, La Passion du Verre, n°5,
février-mars
1994
“CCC, 29 janvier-20 mars 1994 “, Art Présence, n°8, janvier-février
Ramon Tio Bellido, “Criez pour La Criée !“, El Guía, Art de l’arc méditerranéen, mars
Guy Boyer (éditorial), Beaux-Arts Magazine, n°125, juillet-août
1993
Pierre Imbert, “Le Carreleur de l’imaginaire“, La Nouvelle République, lundi 13 septembre
Pascale Cassagnau, “Galerie Michel Rein“, Art Press, n°185, novembre
1991
Vanina Costa, “ Bernard Calet “ (rubrique portrait), Beaux Arts Magazine, n°87, février
Liliane Touraine, “Des objets d’architecture pour carnet de route “, Voir, n°76, février
Pierre Giquel, “ Galerie Zabriskie, 26 janvier-28 février 1991 “, Art Press, n°157, avril
1990
Pierre Giquel, “ Sculptures pour un parc : Centre d’Art contemporain de Vassivière-en-Limousin“, Art
Press, n°153, décembre 1990
Thierry Guinhut, “Quatre points…quatre ans déjà “, Art Press, n°148, juin
1988
Kanal Magazine, n°35-36
Philippe Piguet, “Galerie Zabriskie, 2 avril-13 mai 1988“, Art Press, n°126, juin
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Micro Onde / Lieu - Programme - Actualités – Expositions à venir
Micro Onde
Centre d’art contemporain de l’Onde, Vélizy-Villacoublay
Exposition Emmanuel Lagarrigue 2007
Exposition Nouvelle Vague, Joël Hubaut, mai 2008
Lieu /
Conçu il y a 5 ans par l’architecte Claude Vasconi, le bâtiment de l’Onde accueille actuellement une salle de
spectacle (700 places), un auditorium (130 places) et le Centre d’Art Micro Onde. A l’horizon de 2 ans, le
dispositif sera complété par une salle de répétition et de spectacle d’une jauge de 200 places, essentiellement
consacrée à la création. L’Ecole de Musique de Vélizy-Villacoublay est aussi abritée par le bâtiment. Tourné vers
la ville nouvelle créée dans les années 60, l’Onde s’ouvre par une grande façade de verre ondulante sur une
vaste esplanade.
Micro Onde dispose d’un volume d’exposition de 240 m2 sous 8 mètres de haut, baigné par la lumière naturelle
de la baie vitrée.
Par la nature expérimentale de son activité, le centre d’art peut occuper d’autres espaces que la galerie
d’exposition et explorer régulièrement les lieux de circulation de l’Onde : le parvis, le hall d’accueil et la rue
traversante, le café, la mezzanine ou la façade de verre ondulée en fonction du projet défini par l’artiste.
Programme /
Après 4 ans d'activité, le centre d’art contemporain Micro Onde souhaite confirmer son engagement pour la
production et la diffusion de l'art contemporain dans une logique de lien direct avec le public vélizien et le public
amateur d’art, toujours plus nombreux d’années en années.
Au sein des services de l’Onde, le centre d’art contemporain Micro Onde produit 4 expositions par an.
Les actions de sensibilisation peuvent prendre la forme d’ateliers avec le public se déroulant à l’école, en
entreprise, en lien avec des associations ou des maisons d’arrêt, ou se présenter comme des invitations
conférences, actions, performances pouvant se réaliser sur place ou hors les murs.
La nouvelle programmation du lieu permettra d’intensifier cet engagement pour la création artistique en
diversifiant les programmes de diffusion et de production proposés aux artistes.
Ainsi, Micro Onde tentera de proposer pour ce lieu encore jeune, des espaces de liberté et d'expression pour les
artistes qui souhaitent interroger dans leurs démarches des questions sociales, de territorialité, d'urbanité, de
partage de l'autorité artistique. Les pratiques pourront s’inscrire autant dans le champ artistique que non
artistique, et auront pour projet commun la volonté de créer et de transmettre du sens.
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Expositions à venir /
du 14 mars au 7 mai 2009 / Exposition Myriam Mechita
Les semblants à découvert ou I’m an animal without fear
Vernissage vendredi 13 mars à partir de 19h30
Si Myriam Mechita aime créer des mondes parallèles animés de pièces éclectiques et précieuses,
souvent issus de pensées rêvées, c’est pour saisir le visiteur de déséquilibre, lui faire perdre les
repères de l’espace et du temps, l’inscrire dans un mirage…
En convoquant des formes très variées aux techniques les plus étendues : châteaux de cartes,
animaux ornés de perles et de miroirs, bateaux de guerres de fil, broderies de paillettes, tableaux de
perles, etc… et en collaborant avec des musiciens, compositeurs et autres plasticiens, Myriam
Mechita tentera de créer une nouvelle pesanteur dans l’espace de la galerie de Micro Onde.
Désirer la flamme avant brasier, installation, Frac Basse Normandie, 08
Micro Onde – centre d’art contemporain de l’Onde
Horaires d’ouverture
du mardi au vendredi de 13h à 19h - samedi de 10h à 16h
Et les dimanches de spectacle de 15h à 16h
Micro Onde – centre d’art contemporain
8 bis, avenue Louis Breguet
78140 Vélizy-Villacoublay
Tél : 01 34 58 19 92
Micro Onde est financé par la ville de Vélizy-Villacoublay, la Direction Régionale des affaires Culturelles d’Ile de France, le
Ministère de la Culture et de la Communication et le conseil Général des Yvelines.
Micro Onde est membre associé du réseau TRAM.
Micro Onde reçoit le soutien de la Ville de Vélizy-Villacoublay, du Ministère de la Culture Drac Ile-de-France et du Conseil
Général des Yvelines. Micro Onde est membre associé du réseau Tram Ile-de-France. Partenaires 08 : Inspection Académique
des Yvelines, Maison d’arrêt de Versailles, Sémio se Editions, Villa Saint Clair, Auchan-Vélizy 2.
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