Seul rien n`existe
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Seul rien n`existe
J'ai pas le temps pour enterrer les mouches d'espérance. l’ essor du merchandising de la palourde1,2 considère le nombre de marées aux alentours d’une poétique lune et ronde et grise ― crier quand-des rochers vénérables arrachées 1 2 pa marine concomitance spongieuse 58 c’est l’histoire du renard chassé fox vient par ici, viens gentil fox, viens te faire tuer pour me nourrir, remplir le creux du ventre, le creux de l’âme, nourrir ma soif d’horizons encore, tuer le petit spartiate trop affamé de Plutarque, encore, encore une fois ― préférer à l’aveu se faire dévorer l’estomac, mourir c’est toujours mourir. Un à-engendrer dans le ventre d’un fox, lui-même étant dans l’estomac du jeune spartiate, crée, n’est-ce pas ?, une mise en abîme ― comme queue de renard flamboyante dans ventre est univers fétoileux : cela : petite mise en abîme, comme enfant est mise en abîme, comme, comme la mort d’un proche est mise en abîme se situant là où le Spartiate, pas 15 ans, mort de faim, avait caché le renard, mort de faim, l’estomac dévoré de l’estomac dévoré. Lui, c’est un renard qui a plusieurs renards dans le ventre. Lui, c’est le renard qui s’est mis cinq fois dans son ventre ― peutêtre davantage. J’ai contemplé deux fois les renards du renard. Ils parlaient à mes renards, mais je ne suis pas, pas encore, renarde, je résiste pour ne le devenir, voulant devenir la renarde, voulant que nos renards discutailleurs sans se taire se calment, nous empêchant d’être l’ironie à crever, nous laissant vivants, conscients nos renards mais, please, que ceux-ci ne nous dévorent. Le renard se niche en boule dans son terrier brun. Le renard s’endort avec panache, complètent roussi. Le renard s’insinue sans peur sans pour dérober et qui… Mais, mais, renard si tu étais renard pleurerais-tu de voir des renards de ton ventre pousser ? Renard n’est-ce donc pas que le brun du terrier ne te fascine point trop encore ? N’est-ce que, Renard, tu n’es pas déjà totalement enterré ? Je voudrais que ce renard essaie de ne plus s’engendrer lui-même, qu’il cesse d’engendrer des renards dans son ventre de renard ; je désire si fort que ce renard cesse de vouloir être prométhéen ! Ce renard-ci se débat sans cesse : il serait tellement simple de lui succomber. Sait-il ce renardisant Prométhée, sent-il déjà son foie arraché au rocher étant? Le renard mord mord mord mord mord se détachera ; j’aimerai que le renard s’en détache de ce rocher et vienne, fulgurant et fumant, encore, par hasard, encore tant par hasard, m’embrasser terrible, qu’enfin, flamboyant nous puissions nous enrouler ensemble sur la faim des nos renards calmée... « Un toutou Capitaine ? « Non du tout mon Général ! Un ta-tou !!!! « Un ta, un tapir Capitaine ? « Non ni toutou ni tapir un tatou mon Général ! « Le tatou se tenait-il tapi sur le terrain de bataille, Capitaine ? « Non, le tatou tranquillement traînait dans nos tranchées, tant et si bien que terrorisés les troufions détalèrent… « Est-il intentable aux troupes ennemis ce tatou Capitaine ? « Du tout, le tatou est apparu tout d’un coup, traîtreusement dirais-je, terrifiant tous les nôtres. « Trouant ! Titanesque ! Trouver son terrier et le détruire est une priorité telle l’était de tirer sur les teutons. Non ! Tentons autre chose ! Tenez, si vous le détapissez de sa cachette, transformez le tatou en atout : tunellez jusqu’aux tranchées teutonnes et tirezleur dans leurs pattes le tatou ; si ma théorie est exacte, leurs troufions trembleront tels les nôtres… Voilà ma tactique : les teutons seront tels des termites devant le tatou ; ils détaleront dans toutes les directions, nous tendant là l’occasion d’une trouée décisive dans leurs fronts d’attaque ! Tel un tapis une bataille sans tempête s’étalera nette, titaditada, étêtée de toutes défaites inconvenantes et insuspectées. « Tôt ce matin certes il a été aperçu trois fois mais depuis… le tatou est transparent, intangible, fantomatique… « Des fantômes étreignant les tranchées troublant le trépas de tout un chacun, Capitaine, tant que vous voudrez. Mais un tatou fantôme, vous vous foutez de moi ? « Non mon Général, je tiens à ma tête mon Général… « Comment un tatou aurait-il atterri au milieu de votre tranchée ? « Peut-être un aviateur distrait, détestant lire les gros titres, ne sachant pas la bataille tempétueuse qui se trame ici, transférait le tatou d’Ethiopie à Trafalgar ? Mais touché, il s’est abattu, le tatou seul bête survivante, ne se serait-il carapaté de la carcasse ? « Grotesque Capitaine ! Trouvez le tatou ! « Mais si, éventuellement, le tatou s’était volatilisé ? « Alors sur votre tête, Capitaine, nous tatouerons un tatou, un toutou et un tapir tandis que vous dégraderez au rang de troufion. plus onirique tu meurs : c’est désir incarné dans la contraction de son -, telle à ce point seule l’envie peut mettre le ton derrière les dents chevauchant la langue - qu’en fait de val-, il devient voilure ; ses plis engouffrent les consœurs les sonantes à en à entendre dans la cassure du déploiement entier - car si les apparences crues n’allument de leurs brindilles œillées la soif d’être liquide, ce doit être alors l’empire d’une im- image vous regardant être pénétré de la musicalité sus- de son -, Apprendre c’est V.S. qui s’y colle, bouche accoudée au duodénum (je ne vous apprends ici rien, je n’apprends ici rien (je fais s’écouter des vers solitaires morts (tentant par hasard de disjoncter (l’enjeu (ce serait se faire anneler des mots sans suites en tranches sections parts côtes dissidences rondelles fragments jajas jonctions sentiers falariques fanions ) ) ) ) ) ()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()( feu importe pinalement la langueur longue d’un ver solitaire ce qui compte nombre membré, les ventes d’pestannelides qu’occure le ly or-boyal des rangeales frondaisons ) = le nombre de révolutions du ver dans la page Le cleptoparasitisme est une pratique courante des Cuculinae. d’aucuns diraient vampires - sont d’ici à entendre être cucul quand cleptoparasite l’on naît, un pas, valse allegra chassée ça serait, peut-être, ouvrir de tiroirs dans les branchages, tendre des nasses et récupérer, grand bec ouvert criant pourmoapourmoapourmoapourmoapourmoapourmoa puis quand fortifié (tours, crénelles, pont-levis) amoaamoaamoaamoaamoaamoaamoaamoaamoaamoaamoa je garde tout, rétention abstraite, revendiquer oubliant la tresse de Réponse à faire, pour, entre deux pigeons voyageurs (desquels ici ne s’agit, pauvres hères) qu’encore cuculs puissent tour à tour entonner le premier et le second chant sur des disharmoniques de bon aloi (corde à linge) se nourrir sans trop faire crever ? si ! pousse toi que je me d’aile lancée la forme que prendra - Non mais dis dis discute et dis moi ce que tu penses sans pousser, sans gripper ta princesse, allright tierce opposée, triangle joliment équilatéral abats tes cartes sans bataille, ouvrir (ouvre-boîte)(Wahrol) (la démonstration par l’exemple) et glisser citation oblige, reconnaissances sans courbette mais précisant e de liens en ((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((((( ouvertes, entrez-donc, on partage, le pont-levis baise l’huile est froide, c’est de la margarine venez banqueter !!! et nous, nous Cuculinae que nous ne volons plus (ventre à terre, trop soupé de) car l’offre, la demande, voyez-vous c’est pris net dans les jardins du domaine (presque) public (encore des pelouses interdites) ‘pincée riant toujours, heureuse, belle folle amoureuse chantant chantant en chantant N’en restera-t-il que des mots ?, question lue il y a quelques temps dans le métro, une affiche, Lutter contre la disparition de la biodiversité animalE, de cette question se rapprochait (j’étais passablement ivre, c’était une fin de soirée, un début de matin, c’était le premier métro du petit matin) de cette question N’en restera-t-il que des mots ? se rapprochait le calligramme que je décryptais être ours polaire, un ours polaire sur la banquise, la banquise qui elle aussi bientôt aura disparu, d’ailleurs n’aurait-il fallu que chaque détail de ce paysage balayé par les vents glacés ne soient aussi par les concepteurs graphiques calligrammatisés ?, la rencontre de cette question N’en restera-t-il que des mots ?, de ce calligramme de l’ours polaire s’opérait, très entremêlé de brouillages théoriques qu’à l’alcool incombe, qu’aux discussions de la soirée, de soirées précédentes mais aussi à cause d’une discussion qui aurait lieu plus tard mais qui déjà, dans des vapeurs d’aquavit polonaise, me renvoyait à questionner le personnage de celui qui manie les mots et les idées et de celui qui soutient qui manipule mots et images, de celui qui ose se tremper les pattes dans l’eau la plus glaciale (je rêvais alors d’un bain fumant) de celui qui sait nager trois jours durant entre deux icebergs et ne se fait dévorer par aucun orque tant sa confiance est grande dès lors le choix de se mettre à nager pour ramener à sa famille un bon beefsteak de phoque a été pris, tout cela était déjà compris tant dans des réminiscences qu’en de futures discussions eues, que j’étais alors certaine d’avoir, certitudes avérées, de futures discussions à propos de la disparition effective, de laquelle ne resterait plus que peu de mots, car la défense du mot est aussi dangereuse que la banquise, que la défense de la banquise, que se défendre contre l’orque si la confiance bardée ne protège totalement, oui, la disparition effective d’une conception d’un engagement bien singulier, pourtant tout en prise avec le réel, à tel point que l’utopie est emprise dans la conception appliquée ; le métro arriva, mettant en abîme par une saccade lumineuse, l’apparition de cette affiche métaphorique ; je rentrais chez moi tentant de ne tituber sur tous les écueils du langage (c’était le premier métro du petit matin) de ne tituber sur les écueils, prise dans les vents glacés du langage qui auraient pu être propager par la formulation là, de cette stase déjà close. Dans la jarre d’eau flotte Une fourmi Sans ombre Seishi Ce jour. Celui daté, d'un rendez-vous avec mon amie Michelle Porte, vue par moi seule, ce jour-là sans heure aucune, une mouche était morte. Au moment où moi je la regardais il a été tout à coup trois heures vingt de l'après-midi et des poussières: le bruit des élytres a cessé. La mouche était morte. Cette reine. Noire et bleue. Celle-là, celle que j'avais vue, moi, elle était morte. Lentement. Elle s'était débattue jusqu'au dernier soubresaut. Et puis elle avait cédé. Ça a peut-être duré entre cinq et huit minutes. Ça avait été long. C'était un moment d'absolue frayeur. Et ça a été le départ de la mort vers d'autres cieux, d'autres planètes, d'autres lieux. Je voulais me sauver et je me disais en même temps qu'il me fallait regarder vers ce bruit par terre, pour quand même avoir entendu, une fois, ce bruit de flambée de bois vert de la mort d'une mouche ordinaire. Oui. C'est ça, cette mort de la mouche, c'est devenu ce déplacement de la littérature. On écrit sans le savoir. On écrit à regarder une mouche mourir. On a le droit de le faire. Écrire (1993), Marguerite Duras F.M entendu promenade au Ensuès La Redonne Calanques V.W entendu promenade où entendu promenade où entendu promenade où entendu promenade où FLLLL deux étoiles de mer vivantes ont essayé d'aspirer ()a paume légère vive singulière bravant--t immortelle lente forme essdence fossile l’énergie l’huître : in une perle au brillant d’humeur noirâtre very mél anlcolik 30 ¬ forêt Le Blanc-seing (habitat, idéal, mat) où y plane polatouche badant le surrée l bardée de tous ses outi ls ( de n ts, griffes, patagium) glanant du réel son rée l ¬ ¬ 2 Gengis Khan lu Tchingiz Khan écrit ce russe faceface steppes, 45 km du bord des débuts, pieds pris dans la steppe rouge, là où surgit un enfant jouant à poursuivre le rouge steppe surgit du fantôme de Tchingiz Khan lu Gengis Khan droit sur son cheval, sa vie accensive, pied calés dans les bottes feutrées crissantes de papier journaux ; il écrit Tchingiz Khan je lis son emprise je lis Gengis Khan il écrit l’empire, l’empire chevauché, l’empire le plus lacet : l’empirisme rouge sur rouge c’est perspective grand s’étalant de mon plaineux pays à la langue perdue à la peine permise perdue de ses rivages Yakoutes il écrit Tchingiz Khan chevauchant le monde, le monde en connaîtra-t-il jamais encore de tels dans lequel l’homme qui me glisse entre deux interlignes écris ricochet : leurre écris moi murmure sans ses lèvres décelées seul là-bas seul face au moi français rapporté dans son sac posé face à la steppe face aux îles aux arbres noirs de vase et de remugles -- les barrages n’ont pas encore méprisés la beauté ensevelis sous l’eau des crues crues colletd’arbres : piège des magnifiques histoires face à la steppe rouge de cet homme qui de Tchingiz Khan lu Gengis Khan n’a ni l’allure ni les traits et dont le cheval jamais ne relira tous points du constellaire territoire corcule tus chus scu : sculpture : quand le regard se porte jusqu’au cheval de Tchingiz Khan main fantôme flattant à l’encolure, hennit, rue tranquillement, s’approchant alors jusqu’aux doigts de qui écrit écris moi, paume à paume leghold : c’est : réunir pour parallèles fendre ortho, réunir deux oroscqueenesquement le cœur en deux, en trois, en l’empire conibear : mort c’est taire squelette peau peau morcellaire plus immense encore qui dès mort tombe, fine immense HA ! poussière d’argile arrachée à la steppe rouge, sur laquelle Gengis 45 Khan lu Tchingiz Khan ne cesse de chevaucher d’entre les multiples bouches s’embrassant glorieuses quand païenne elles prononcent Gengis Khan lu Tchingiz Khan : c’est une course tranquille où en un même instant son nom à chevaucher c’est s’éprendre dans la steppe rouge de la rencontre, théorique barycentre de la constellations corcule où l’un aborde en reviensmoi quand l’autre imagine en dilettante, coinçant la stase mélancolique sous un menton qui ne sait à quelle icône il appartient : se sentir décelée car d’entre cuisses effective fosseabsence : peur de chuter, de la chaleur du cheval fantôme de Gengis Khan lu Tchingiz tombe, remonter, cheval – qui décide qui paie dis-moi ? Khan ; et quand j’entends écris moi, à qui vais-je le regard s’estille d’un autre empire si proche, trop à cheval sur moi. 64 c’est si lent ici… De loin au loin, je t’envoie mon épervier chanceux érigé : ne titube ni chancelle ni recule ni ne danse : l’œil sur le paysage cyclique ( – arbres, mâchoires, hommes) ( – fredaine) océan vertical (Katarina) sas : colliers de dents accérélantes : bombe (lieu clos temps trépide) mâchoire : : pièce osseuse unique : quatre pigeonneaux morts, des mouches à merde, un camélia, un sac plastique bleu nous somme la mort du pigeon, la merde de la mouche, le bleu du plastique là, cage de notre mainatemaintenant mort balance membralottes droite gauche droite flottantes gauche droite gauche droite siccission accord toi droite, moi gauche, joue, pas de lèvres jamais méduse s’ empoulper : encre non – oui : o par d’at en att pieuvre que le sc. scu. Existe ! i d’un boa étranglée, c’est la jouissance serpentine qui d’une cuisse marmoréenne déjà accouchée, jupitérienne, créa mille douleurs innommées, cela sans son souffle reprendre, car, assassiner c’est s’endormir flanc à flanc de la mort donnée ; qui mérite sommeil engourdi c’est plénitude, qui – Ô, dévoile deux sourires en quinconces où de leurs dents venimeuses perlent, mordues l’une de l’autre, forcloses du don, s’arracheront elles-mêmes, ici-même, leurs résistances imméritées, écrire succomber au charme pupillaire, pétillant, dévastateur et arrogant ; savourer la chute, toutes les chutes, toutes les tonnelles couvertes de roses fanées, sous lesquelles passent encore amours dépris, mains allitérantes dénouées, ouvertes sur l’espace infime n’existant plus, et s’il existe encore, sa teneur n’est qu’emplie, succédanés de sifflements, de la beauté d’une triste langue lilas boursouflée, oh, cesse ; la facilité pourrait tant, boa muse, s’étrangler elle-même, dernier hymne, oui, dernier : l’encre tache l’iris et le pistil avant, passionnés, de retourner conquérir des territoires extérieurs où ramper n’est permis, ni se glisser côtes à côtes car la colonne d’Hérodote ne face temps finalement ; c’est apprendre toujours, genoux calleux, cuisses grasses, la forme aura prise sur le temps, et restera champs de bataille pour (croire encore aux cadavres dont les charognards se régalent) compte à compte en goutte à pervertir le cœur savant ; fondations où jeter l’exil en outre-part, du Léthé contemplent la verdoyante éphéméritude d’une mort plus tard, plus tard déjà, âme pour qui se battre, se battre non, colonne droite, droiture verticale, tous les mythes s’y serrent s’enroulent plusieurs cerbères ; c’est le panthéon pris à la gorge, plateau servi, où une corolle quetzacoaltienne se découpe sur fond d’eau de mer, mer de nuit belle, quand l’horizon n’existe que pour les yeux pleurant plissés, s’étire, tentant de retenir si ce ne sont des larmes, des canines alors ?, au fusil aiguisées, devant chacun des nouveaux suicidés contemplés, giguant décomposés, boyaux dépliés en ressac jusqu’aux pieds inexistants du boa enroulé sur lui-même, n’hibernant jamais, soleil lézardant sa peau, les craquelures maculant déjà, contemplées, sourcent d’une diatribe échoïque, au flux incessant, et pourtant, pourtant, dire meurt il faut : beaucoup beaucoup beaucoup de troncs = une forêt comme ça : ||||||||||| ||||||| ||||||| ||||||||||||||||||| = quelques clairières : des orées aux alentours pour, cher, en Ardèche par exemple, sous ses yeux d’enfant sur ses fesses nues, blanches, nacrées, la trace de la terre et meuble et noire, d’un cours surprendre fuyant des modèles réduits entêtés m’enchantant, et entendre la mélodie doucement affreuse du désir (ne dire, ne dire, ne dire, taire) (ne jamais surprendre) (l’image violentée) L'algonquin est une langue algonquienne proche de l'ojibwé. En algonquin, on dit wapathemwa, pour désigner ce qui ressemble le plus à un artiste : nocture avec des ongles longs à leurs pieds préhpenseurs ils mangent les plus petits qu’eux (oh ! quelle mauvaise caricature !) dit didélphide : oraculeux à défaut de mi vit virginiellement dans ce bel état des USA ET A BOUFFÉ TOUTES LES ESPECES INDIGENES EN NEWZEALAND = SPORT NATIONAL = LES TUER Elle est parlée, parallèlement au français et dans une certaine mesure à l'anglais, par la nation des Algonquins du Québec et de l'Ontario. L'éponge, elle vit près d'un lavabo, comme souvent les éponges. Elle se repose, elle sèche travaille, elle travaille, elle se mouille. Elle se repose. Elle sèche. Elle travaille. Elle se mouille. Puis se repose et sèche. Puis travaille et se mouille. Puis, encore, elle se repose et elle sèche. Puis à nouveau, elle travaille et encore une fois, elle se mouille. Alors, une fois de plus, elle se repose et une fois de plus, elle sèche. Courageusement, elle travaille et se mouille. Et doucement, elle se repose et lentement, elle sèche. Courageusement, elle travaille et elle se mouille. Et doucement, elle se repose et lentement, elle sèche. Avec l'énergie du désespoir, elle travaille. Avec abnégation, elle se mouille. Avec nécessité, elle se repose. Avec patience, elle sèche. Pour travailler, elle travaille, Pour se mouiller, elle se mouille. Pour se reposer, elle se repose. Pour sécher, elle sèche. Et même, pour se reposer, elle travaille, Et même, pour se sécher, elle se mouille. Et même, pour travailler, elle se repose. Et même, pour se mouiller, elle sèche. Et encore, et encore et encore et toujours. Et des fois, l'éponge vivant près du lavabo, celle qui travaille, celle qui se mouille, celle qui se repose, celle qui sèche, des fois, elle mélange tout. Elle se mouille en se reposant. Elle sèche en travaillant. Elle se repose en se mouillant. Elle travaille en séchant. Et le temps passe. Elle respire ... Elle respire ... Lentement ... Doucement ... Elle respire. Travailler, se mouiller, se reposer, sécher --respiration-- Travailler, se mouiller, se reposer, sécher --respiration-- Travailler, se mouiller, se reposer, sécher --respiration-- respiration-- --respiration-- Travailler, se mouiller, se reposer, sécher, travailler --respiration-- Travailler, se mouiller, se reposer, sécher, travailler, se mouiller --respiration-Travailler, se mouiller, se reposer, sécher, travailler, se mouiller, se reposer --respiration-- respiration-- Travailler, se reposer, sécher, travailler, se mouiller, se reposer, sécher -- Travailler, sécher….. Des fois, l'éponge vivant près du lavabo, elle oublie de respirer. C'est l'histoire d'une éponge, qui vit près d'un lavabo. jesuisuneéponge,jevisprèsd'unlavabo,jerespire,jesuisuneéponge,jevis prèsd'unlavabo,jerespire,jesuisuneéponge,jevisprèsd'unlavabo,jerespi rejesuisuneéponge,jevisprèsd'unlavabo,jerespire,jesuisuneéponge,jev a contrario sou- du doux ventre beige caché POMPOKO (efficacité) Comme on vient du soleil les prunelles explosées on s'installe dans l'noir et attendre. S'habituer. N'est ce pas? Même les tigres clignent les yeux, n'est ce pas? Les enfants en rêvent! Devant un tigre traquenardé qui cligne les yeux. Et la nuit il sort lui, les griffes sous les portes huilées sort. En descendant dans les villes comme un drapeau dans la nuit bouge calmement - comme ça il descend notre tigre. le poisson-pilote c’est de l’amour sacré ; la rémora des grecs anciens était ainsi animal porte chance ― porte ouverte au bonheur ? bonheur rayonnant de l’œil fin de terribles siphons? porte-chance pour gros animaux prédateurs, cétacés, requins et bateaux d’humains ? conduire à bon port ! usurpateur de son nom commun, cet animascule charognard vit au dépend de celui qui ne l’écoute même pas ni ne le cite quand il doit dire je suis l’hôte de ces mers, bois ! rame à mort dans son désir d’expérience propre, ne sait qu’enseigner cela à ses enfants : il faut écouter les puissants et de la puissance écopant quelques attributs, fanions, ornions, les agitent sous le nez de petites rémoras-apprenties frétillantes planquées entre les algues et les méduses : ‘faut comprendre suivre ; suivant c’est survivre : mais évident : s’entraîner sur des leurres ; le poisson-pilote c’est l’amour sacré ; ça montre la vitesse et les grandes traversées, océans par milliers, chamarres de voyages tropicaux ; les dangers chatoyants desquels ils se sont protégés ― leurs âmes seules en danger, jamais leur physique intègre ne trempe, lancenien, dans un autre désagrégement que la fluidité : perçoivent les formes de l’amour sans savoir les nommer ou pouvoir pouvoir les vivre car les grands prédateurs ― d’avec lesquels la symbiose est parasitique – quel vecteur ? ― avalent et écrasent dans leurs pierrpaillleurs estomacs les illusions miroitantes des désirs de leurres ; poisson-pilote, amour sacré ; aventureux des grands fonds rémora n’a pu devenir, cœur trop pur, le requin, le cétacé, le bateau d’humain ; rêve de rêve s’accrochant au rêve ? le poisson-pilote, plus beau encore, aurait du projeter sa forme future sur le mur d’une autre grotte, une autre, encore une autre, devenir, devenir ? particule élémentaire résistant mal, peu, pas à l’attraction des lumières de la ville, pressions écrasantes, n’a su s'en extraire qu’en cette forme contrainte de l’amour sacré, petite rémora accrochée à l’estomac de cétacés, de requins, et de bateaux d’humains ; perle œil du poisson rémora qui eut pourtant compris de l’abstraction concrète la forme, comment ne pas pleurer sur cette forme détruite de l’amour qui aurait du être dans un cénacle protégée, encore, qu’enfin, de l’amour sacré pour une rémora, la réalité ductile et piquante, ne disparaisse au profit du poisson-pilote charognard ? son élan instar .. aigrette3 .. hormisant l’élégance sus désignée sa finesse altière s’arquesûre dans les bras sinueux de belles estilles rivières aux voix hautes et chantantes –– mais : quelle tristesse quand fonforme ne s’aiment à se fondre en un alliage dur bec à fendre ! 3 laissez à droite le siège du parti communiste français, dépassez le concessionnaire jaguar, laissez-le lui aussi à droite, … cet enchaînement se suivant, ça ne s’invente pas ! C.V.- 13/3/8 peur terrible du lézard caché sous un semblant de peau humaine en mau ais caoutchouc effet spécial made in 80’s un peu cheap mais qui quand on a 10 ans et pas encore l’habitude de la peur isuelle du monstrueux : ça marche à fond ce sont les canaris les souris gobés, les langues bifides qui sortent d’une bouche humaine c’est l’apogée de la résistance contre, c’est le ciel de toutes les capitales remplies de plats et intergalactiques ce sont des réser 133 aisseaux es de iande humaine, c’est la ue de l’apocalypse gout IIIème Reich croisé Big Brother ; c’est le paradigme du désespoir et de l’horreur, ce sont les sou enirs de cauchemars inénarrables avec pour toile de fond des accouchements d’êtres incroyables jumeaux chimères ; c’est le constat du devenir de l’image après 56 Entremêle pour aboutir, lyrique, à la forme ; en astronomie, le paramètre de Tisserand : sert de critère de similarité lors de l'étude des comètes ; c’est elle aime aime aime ; ce serait passer, idiomatiquement, du coq à, dans une série de notes d’intentions déceptives, de vous à, avoir à être dans l’attente de l’événement qui n’aura sans doute pas lieu, mais qui pourrait, peut-être, malgré tout, à un moment, par inadvertance, se déclencher, alors que lassés, peut-être, nous, nous face à, regardions ailleurs, de côté, sans qu’il n’y ait eu de coq, justement, pour nous signaler le lever du jour, la tombée de la nuit, ou tout autre miracle miracolo, plus merveilleux encore et plus, plu comme plus et plus, et moins et davantage, tout mêlé si, face à une foule dispersée, disparate, seul l’orateur regarde ce qui est à voir, tant les méandres dans lesquelles il se serait lui-même perdu, l’aurait amené à bon port face à, alors qu’encore la flottante invitation, à regarder une direction, la merveille de ce désir d’intention, oubliant l’objet, ce sont ces feux croisés, pour un observateur incertain, lointain, assis sur une colline, qui voit fuser, ce coq à, sous le langage tu par la distance, mais, mais cette stase, tripartite, incertaine, insoluble, insolvable, inconsolable, belle de tous les soupirs engrangés, déployés, là, là du coq à, , jaune couleur fétiche comme un // tous bi-portraitisés // du charme pépiant d’avec lequel il s’accorde à la question de la rencontre ||||||| sur un tas d’interrogations perché - j’ignore tout // conséquences retrait rencontre possible mais |||||||| distance distance // allongées longues pattes fines = c’est danser tout entier // là où questions portent (peut-être) et pépiements reprennent – rencontre, rencontre, talisman // un comme fétiche couleur jaune, zür voilà he was alone sur une lost island wer wasser schwarm ist ; an enormous beast : it not he or she aber es ist nicht un gorille mais plutôt une gorillazienne – und 99% genetic patrimoine ist in common : so what ? it ? he ? she ? man sagt à un WOF, WAF, OUAF pets, in english “bon garçon”, so, in this way, c’est légitime to question die du neutre sexualitischkeit . « Accablant Capitaine qu’un canidé… « Plus qu’un canidé, un caniche mon Général ! « Qu’un caniche se soit casé comme mascotte de notre escadrille ! Quelle catastrophe ! Inacceptable69 ! Yaka l’équarrir et l’accommoder avec quelques carottes : voilà un encas capable de calmer ces incapables quelques jours… « Ne serait-ce coupable ? Quasi cannibale mon Général ? « Capitaine ce caniche a-t-il acquis la connaissance du caquetage articulé ? Est-il conscient de sa condition d’animal à quatre pattes ? Le canin n’est humain Capitaine ! « .. Et qu’en disent les prédicateurs cathares ? « Croire à ces cacophoniques acouphènes Capitaine ? « Que nenni mais qu’en temps de conflit, Mon Général, une mascotte, quand bien même canidé, caniche, ne doit cuire car les combattants la croient complètement protectrice. Aucune peur d’aller au carbon mon Général, quelques soient leurs carrures… Constat complémentaire : moins de côtes cassées ni de cataractes… conclusion : une mascotte … bien que canine … conduit toujours à un succès clair… « Capitaine on croirait entendre une catherinette… « Comme vous y allez. Les croyances quelles qu’elles soient convainquent et calvanisent mon Général, c’est bien connu ! Qu’en comptant sur elles contempler une victoire n’et plus une complaisance stratégique, politique mon Général car les combattants acquiescent calmement…. « Qu’en conclure qu’une mascotte est une excitante camomille excitant les ardeurs de nos catcheurs ? « Quand bien même c’est un caniche, oui, mon Général ! « Incroyable que ces incapables de bras-cassés casaniers … « Ces incapables, comme vous les consacrez mon Général comptent comme cascadeurs et casse-cous carrément décorés quatre fois…. « Les décorations sont aussi des67 mascottes Capitaine ! Des carottes Capitaine ! Mais moins grotesques qu’un caniche écarlate contrefait plaqué sur une pancarte croûtesque, gravé sur leurs calottes, décalqué sur leurs capotes … Et l’écraser le canidé avec un tank, cocasse et efficace conclusion… qui n’incrimine personne… Actez Capitaine ! 70 (…) MORT AUX VACHES (…) 23 8 8 la procession mortuaire de morses flottant, encadrant, dérivant rectilignes, deux fois quatre, leurs ventres blancs nacrés, leurs défenses en arceaux découpées, tout luisant face soleil, désincarnés : documentaire en superd’une sculpture formaliste à la dérive abstraite : lissitude molle tendue + lissitude dure érigée et + fond outre-mer méditerr + gouttelettes suspendues = au creux des vagues l’h ygrométrie trop élevée, quand on y nage, on s’y noie. est chances -> + de de survie si s’y passe en mer jaune 35 71 118 ------------------------------------------------------------------------------------sou terrains conquis ------------------------------------------------------------------------------------planté des pièces d’or que l’arbre sème Midas mangé par les RACINES choux-diamantx (fleurx ----------------------------------------------------) ------------------------------------------------------------------------------------TAUPE ------------------------------------------------------------------------------------TAUPE ------------------------------------------------------------------------------------TAUPE 96 ------------------------------------------------------------------------------------so romanesco ! ------------------------------------------------------------------------------------- fourrurex - manteaux ------------------------------------------------------------------------------------Q en rizhomm si pro fondeur fondement ³ = _______ -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------