L`humour au service du… don de gamètes !

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L`humour au service du… don de gamètes !
INFO
sibilisation nationale, afin de rappeler les Algériens sur une certaine hygiène de vie à respecter, notamment
à travers des spots publicitaires sur
la télévision. Le Pr Zahia Boudakar
a, pour sa part, évoqué l’importance
de la sensibilisation des parents,
afin qu’ils détectent précocement
les symptômes du diabète chez leurs
enfants. Les intervenants ont, par
ailleurs, évoqué les «bienfaits» de
la nouvelle insuline, dont l’utilisation
est rapide, facile, fiable et précise.
Selon les mêmes responsables, elle
peut être prescrite aux diabétiques
mis sous insuline lente nécessitant
une amélioration de leur contrôle
glycémique, lors notamment des
repas, aussi bien chez l’adulte que
chez l’enfant âgé de plus de 6 ans.
«Elle est un parfait complément thérapeutique de l’insuline analogue
lente de Sanofi, commercialisée
depuis 2004», déclarent les experts,
qui ajoutent qu’«il s’agit d’un apport
notable permettant d’améliorer la
prise en charge de cette pathologie».
Avec ce nouveau médicament essentiel, le Groupe Sanofi élargit ainsi le
portefeuille des solutions thérapeutiques contre le diabète en Algérie.
Acteur majeur de la santé, la filiale
qui emploie plus de 670 collaborateurs, entend continuer à exercer sa responsabilité sociale. Elle a
lancé depuis 2010 plusieurs actions
d’éducation sanitaire et un large programme de formation et de perfectionnement des personnels de santé.
A titre d’illustration, le programme
d’éducation des patients diabétiques
dénommé «Diabéduc» élaboré en
collaboration avec la Société algérienne de diabétologie. Il est animé
par un réseau d’infirmiers éducateurs. Son objectif est d’accompagner des diabétiques dans une meilleure connaissance de leur maladie
L’humour au service du…
don de gamètes !
C’est bien connu, l’humour aide à communiquer, particulièrement lorsqu’on
s’attaque à des sujets « sensibles ».
C’est en partant de ce principe que
l’Agence de la Biomédecine – un organisme sérieux, s’il en est… - a choisi
l’humour pour support d’une campagne, originale, en faveur du don de
gamètes. Originale parce que l’action
est menée sur Internet. Il s’agit donc
d’une campagne ‘’virale’’, pour parler
branché…
Trois petits films, à la fois pédagogiques
et drôles – ce n’est pas incompatible -,
mettent en scène les acteurs des tout
premiers instants de la vie : nous avons
nommé les spermatozoïdes et les ovocytes. Pour dédramatiser le sujet, il n’y
a pas mieux. Ne manquez pas l’interview d’un spermatozoïde anonyme ou
un ovocyte se fait une beauté. Et vous
adorerez le spermatozoïde poète. A travers ces personnages un peu virtuels,
bien sûr, ces vidéos déclinent les éléments-clés du don de gamètes.
Objectif : sensibiliser à ce geste, généreux et encore trop peu répandu.
Internet, c’est sûr, reste le meilleur
vecteur, pour ce type de message. «La
toile est le premier lieu de recherche,
dès lors qu’il s’agit d’un sujet intime ou
personnel» glisse l’Agence de la Biomédecine. Elle représente un moyen,
performant, d’aborder le don de gamètes. Car, avant de «franchir le pas»,
celui-ci exige un temps d’information et
de réflexion, préalable.
Visibles, dès à présent, sur You
tube, Daily motion, sur les réseaux
sociaux ou, plus simplement encore, sur
www.dondespermatozoides.fr et www.
dondovocytes.fr, ces films rappellent,
également, que le don de gamètes est
un acte à la fois solidaire et anonyme.
Un acte grâce auquel il est possible «de
donner le bonheur d’être parents»
La synchronisation d’une chimiothérapie
et d’une radiothérapie permet de réduire la
récurrence d’un cancer du sein, après ablation
chirurgicale, de 35 %
Selon une étude, portant sur 2300
femmes, suivies pendant cinq
ans, la synchronisation
d’une chimiothérapie et
d’une radiothérapie permet de réduire la récurrence d’un cancer du sein,
après ablation chirurgicale, de 35 %. L’administration,
simultanée,
de chimiothérapie et de
radiothérapie, après
ablation chirurgical
du cancer du sein, à
l’opposé d’un cycle de chimiothérapie,
suivi dans le temps d’une période espacée, pour l’administration de séances
de radiothérapie, permet d’obtenir une
récurrence, moyenne, du cancer du
sein de 2,8 %, contre 5,1 %, pour les
femmes ayant expérimenté, selon le
protocole clinique, un traitement étalé
dans le temps. Les résultats de l’étude
clinique ont été présentés à Stockholm
au Congrès de la société européenne
d’oncologie par le Dr Fernando, oncologue à l’université de Birmingham,
en Angleterre
N°07 - Juin 2012
Santé-MAG
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