Psychanalyse

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Psychanalyse
UE4A
Huraut
PSEDc
Psychanalyse
I Les concepts de la psychanalyse
L’inconscient :
Notre comportement répondrait à des raisons, des désirs non formulés de façon intelligible, sans que l'on ait
conscience de ces choix. C’est l’ensemble des représentations qui sont liées à des affects (échanges
émotionnels) qui ne peuvent surgir à la conscience. L’inconscient est un système dynamique qui impulse des
conduites.
Cet inconscient tend à organiser nos désirs intériorisés. La psychanalyse est, entre autres, une méthode
d'investigation des processus psychiques inconscients.
La pulsion est définie par Freud comme une poussée constante qui vise à une satisfaction. Son étude permet
de rendre compte des modalités du rapport à l'objet et de la recherche de la satisfaction.
L'idée d'une "topique" psychique est présente dans la pensée de Freud dés 1895. Freud élabore un appareil
psychique constitué de systèmes doués de fonctions différentes et disposés dans un certain ordre les uns par
rapport aux autres. On peut les considérer comme des lieux (topos =lieu en grec).
Système de l’inconscient selon la première topique
Il y a trois systèmes décrits par Freud dans sa première topique :
•
•
•
Le conscient : IL est situé à la périphérie de l'appareil psychique, recevant à la fois les informations du
monde extérieur et celles provenant de l'intérieur. C'est le lieu d'accès direct des représentations à la
conscience et en lui ne s'inscrit aucune trace durable des excitations. Ce système respecte des règles
(logique, temporalité...) pour se protéger et garantir sa survie en refoulant tout ce qui pourrait menacer
l'adaptation du sujet.
Le préconscient : Il est situé entre le système inconscient et conscient. Il est le plus souvent rattaché
au conscient et on parle alors de système perception-conscience. Il est séparé de l'inconscient par la
censure qui cherche à interdire aux contenus inconscients la voie vers le conscient.
L'inconscient : C'est le siège des pulsions innées, des désirs et des souvenirs refoulées ; c'est la partie
la plus archaïque de l'appareil psychique. Ce système ne comprend que des représentations de choses, il
ne peut pas les verbaliser. Ces représentations ne connaissent ni négation ni doute, elles ne respectent
ni les règles de la logique, ni de la temporalité ordonnée. Elles sont régies par le principe de plaisir. On
peut représenter l'inconscient comme la partie immergée de l'iceberg.
Système de l'inconscient selon la deuxième topique
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•
Le ça: Il est dans l'inconscient et il est immuable. C'est l'instance la plus primitive. Le ça est le
réservoir des pulsions de la libido, du désir sexuel mais aussi d'autres désirs tels que : le désir de
domination, de jouissance et de savoir. Le ça cherche des satisfactions immédiates.
Le Surmoi: Il est dans l'inconscient et il est immuable. Il refoule et censure de façon archaïque et
infantile. C'est l'intériorisation des désirs parentaux et des interdits éducatifs, il vient calmer les
pulsions.
Le Moi: Il est en grande partie dans la partie consciente mais il n'est pas entièrement immuable. Le
Moi s'efforce d'établir un équilibre entre les interdits et refoulements du Surmoi, les désirs du ça et
les nécessités de l'action sur le monde extérieur et de la vie sociales.
La névrose a lieu quand il y a des conflits entre les instances psychiques. La névrose est pathologie du conflit
psychique interne, qu'il s'agisse de doute, de culpabilité, de honte, etc. Sa particularité réside dans le
refoulement du conflit et dans les symptômes qui s'ensuivent.
La psychose a lieu quand le moi ne s’est pas suffisamment constitué pour identifier ce qui se passe à
l’extérieur de ce qui se passe à l’intérieur. Par opposition à la névrose, les symptômes de la psychose ne sont
pas tant conséquence du refoulement que de son échec. Chez le psychotique domine un conflit entre les
exigences pulsionnelles et la réalité.
Le développement de l’enfant s’organise en stades sexuels :
- le stade oral (1 à 2ans) avec le réflexe de succion
- le stade anal (2 à 3ans), la loi céphalocaudale et la loi proxima distal se mettent en placent,
l’enfant maîtrise petit à petit ses sphincters. Cette phase est caractérisée par le
développement du surmoi.
- le stade génital, phallique (4 à 6 ans), on découvre son sexe biologique. Cette phase est
caractérisée par le complexe d’Œdipe.
- Le stade de latence, l’enfant refoule massivement ses pulsions, c’est l’âge d’or des
apprentissages. L’enfant se développe une identité.
Rôle des parents est de ne pas trop être libertaire ni programmateur.
II L’adolescence
1. La prépuberté
Les hormones arrivent qui vont alors activer le mécanisme pulsionnel. Les pulsions sexuelles sont notamment
activées.
L’individu voit son corps changer, et peut perdre ses repères pendant un moment.
2 tendances extrêmes : - ceux qui partent à l’aventure
- ceux qui cherchent la protection des parents
2. La puberté
a) La crise d’identité et la recherche d’un nouveau model d’identification
on se positionne au niveau du mode de sexualité
on remet en cause le model des parents (conflits, angoisse…)
BIOS « l’adolescence passe par une phase d’essai identificatoire »
Ces phases sont déconcertantes pour l’adulte mais structurantes pour l’enfant.
b) Les grandes phases d’identification :
- identification aux stars avec réactivation du moi « idéale »
- identification au groupe informel pour annuler les différences
- identification aux jeunes, pour marquer le fossé entre les générations
- identification aux paires, avec le super pote
c) l’adolescence en tant que processus de maturation
Il est question d’évolution sous trois aspects :
- aspect psychologique avec pb avec parents, sexualité…
- aspect sociologique, on fait des choix avec les personnes à côtoyer
- aspect intellectuel mental (métacognition) stade des hypothèses et pensée abstraite
⇒ Ces trois aspects favorisent la phase de contestation qui caractérise l’adolescence. De plus l’enfant
connaît la dépression, l’anxiété.
Quand se termine l’adolescence ?
- engagement social (on prend une place dans la société)
- engagement familiale (on sort du berceau familiale)
III Le corps
Le corps est à la base du sentiment d’identité. C’est un révélateur de la façon dont est vécu l’adolescence
1. Deux grands types de transformation
a) modification des caractères sexuels primaires
b) modification des caractères sexuels secondaires
2. Relation schéma corporel & image du corps
Le schéma corporel est sa connaissance immédiate de son corps, de ses coordinations sensori-motrices.
A l’adolescence, modification brutale de la structure du corps ce qui entraîne une perte de sa coordination et
une maladresse accrue.
De plus l’image qu’on se fait de son corps va changé et le regard d’autrui (notamment des adultes) également.
Comment alors retrouver ses limites corporelles ? c’est le rôle du prof d’EPS
BOLOGNINI (1994) « l’identité se forge dans ses rapports au corps »
3. Le regard d’autrui
Les filles sont très dépendantes du regard des autres. Les garçons perçoivent plutôt l’adolescence comme
positif (on se muscle, on grandi…)
L’enseignant doit être garant du regard des autres dans son enseignement
4. Conduites à risques
Ce sont des signes d’alerte qui montrent que ça ne va très bien. Ce sont des mécanismes qui se mettent en
place pour éviter de tomber en dépression.
a) dimension somatique
on a peur, mal partout, comportement alimentaire déviant et comportement répétitif inhabituel.
b) inhibition psychique et motrice
on en fait le moins possible, on s’isole pour ne pas être débordé
On ne peut pas grandir sans prendre de risques. Mais le risque doit rester le plus souvent subjectif. Le risque
correspond à tout comportement qui aux yeux d’un tiers représente un danger objectif pour la santé de la
personne.
Le risque signifie se séparer, des soins, de la morale, de la dépendance des parents.
La prise de risques devient alors pathologique :
- si répétition de conduites à risque de manière fréquente. L’adolescence peut avoir de réelles
actions addictives.
- Si les conduites sont ordaliques, c'est-à-dire lorsqu’on se remet au jugement de Dieu ou du
hasard (roulette russe)
CONCLUSION
La référence à la psychanalyse permet :
- la compréhension de ce qui se joue à l’adolescence. On apprend à mieux comprendre et mieux
gérer les conflits. (l’élève peut être en conflit avec l’enseignant parce qu’il n’arrive pas à l’être
avec ses parents)
- la justification, d’où l’importance de retrouver ses limites corporelles, confrontation à la réalité
physique et psychologique. (objectifs de l’EPS)
- la conception d’un environnement favorable pour que l’enfant vive au mieux sa crise
d’adolescence. Le but de l’environnement favorable n’est pas du tout fait pour étouffer l’ado. Il
permet la personnalisation des choix, de nombreux supports d’identification, d’intégrer la loi et
la réalité
L’estime de soi
Le terme de l’estime de soi a pris de plus en plus d’importance lors de ces dernières années.
I Définitions
Estime de soi : c’est déterminer la valeur, avoir une opinion de soi
Il existe plusieurs composantes
1. La notion d’amour de soi
C’est une forme d’amour inconditionnel qu’on s’accorde, indépendamment de nos qualités et de nos défauts.
Ca nous protège du désespoir, elle est alimentée par les gratifications narcissiques de l’enfance.
2. La vision de soi
Cette une vision de soi plus objective, on est plutôt centré sur ses défauts mais aussi sur ses qualités. La
hauteur de nos ambitions se fixe lors du complexe d’Œdipe. Quel objectif puis-je me donner ? Ou doit-on me
donner des objectifs ?
3. La confiance en soi
C’est la partie immergée, elle se voit en fonction de la composante à percevoir les difficultés.
Elle est en lien avec les notions de persévérance, de fierté, de sûreté en soi. D’où l’importance fondamentale
dans tout type d’enseignement et principalement lors d’un enseignement en éducation physique.
II Fondamentaux théoriques
1. Théorie déterminante, la psychanalyse
L’estime de soi est liée à la construction de l’identité et au devenir du psychisme. La construction de l’identité
se construit dans les 1ère années de la vie avec le « je » qui apparaît vers 3ans.
- 1ère étape corporelle : le corps est le support du sentiment d’identité.
- 2ème étape le rapport à autrui : l’enfant et le rapport avec sa mère
- 3ème étape identification au model : avec le complexe d’Œdipe pour l’enfant et l’idéal du moi pour
les parents « mon enfant fera au moins ça »
Cas de l’hystérie, le désir est insatisfait, le complexe d’Œdipe n’a pas été complètement réalisé.
Cas de la névrose obsessionnelle, quand on a peur de son désir.
Cas d’une phobie, quand on a peur d’être envahi par l’autre donc on limite son propre désir.
2. Théorie évolutionniste selon JAMES
L’estime de soi est alors considérée comme le rapport entre succès (présent) et prétentions (passé)
Plus on a de succès plus l’estime de soi augmente, on s’habitue au succès et nos attentes seront de plus en plus
hautes. Mais d’autres facteurs peuvent entraver notre quête du succès toujours plus grand comme l’âge par
exemple en sport.
Pour TICE, il propose qu’on doive gérer ses aspirations comme un investissement financier.
- pour être entretenir ce capital, il doit être réinvesti régulièrement pour continuer à augmenter
son estime de soi
- les gains de l’estime de soi sont à la hauteur des risques que l’on prend. Les sujets à haute
estime d’eux-mêmes ont des stratégies bcp plus risqué que des sujets à faible estime qui ont
eux tendance à rechercher des cadres sécurisant.
3. Synthèse
MYERS (1998) lorsqu’on est mal à l’aise, ce n’est pas le moment de prendre des décisions importantes.
L’estime de soi repose dans sa genèse sur l’enfance et l’adolescence et en particulier sur 5 domaines selon
HARTER :
- l’aspect physique (est-ce que je plais aux autres ?)
- est-ce que je suis bon au sport
- la popularité auprès des paires
- la conformité sociale comportementale (suis-je considéré comme fiable par les adultes ?)
- la réussite scolaire (être bon dans le domaine que l’on juge important)
III Les effets de l’estime de soi
1.
2.
3.
4.
La hauteur de l’estime de soi
L’engagement dans l’action
La réaction à l’échec
La stabilité de l’estime de soi
cf document TD
5. Influence de l’estime de soi sur la tolérance
Estime de soi à un impact sur le rapport aux autres. On devient bcp plus critique vis-à-vis des autres. On
devient moins tolérant sur les infractions à la loi. Moins tolérant par rapport aux agressions contre son groupe
culturel.
6. Estime de soi et model d’identification
Avoir un model d’identification est un élément positif pour apprentissage. Imitation à un model.
Réflexion sur l’idéal du moi, on doit ressembler à un model quasi-inatteignable. A la fois moteur puissant et
aussi facteur de dépression lorsqu’on n’est pas à la hauteur du model.
IV Estime de soi et réussite scolaire
1. Impact de la scolarisation sur l’estime de soi
La scolarisation a un effet variable sur l’estime de soi.
L’école présente des valeurs très différentes de la maison. Ce milieu est très compétitif, il présente bcp
d’inconnus, les enseignants sont centrés davantage sur le groupe que sur l’individu. Plus il y a eu des parcelles
entre l’école et la maison (si déjà frère et sœurs à l’école), plus l’impact sera positif.
2. Influence de l’estime de soi sur la réussite scolaire
D’après LEONARDIS & LESCARRET il existe une forte corrélation entre estime de soi et réussite scolaire.
Ceux qui ont une bonne estime d’eux-mêmes arrivent à bine s’adapter au système scolaire. S’ils ont des
difficultés, ils n’hésiteront pas à chercher du soutient, remise en question sur leur fonctionnement…
A l’inverse, la faible estime de soi provoque une forme de fatalisme avec un discours auto-dévalorisant.
3. Influence du milieu scolaire sur l’estime de soi
Le milieu scolaire favorise un milieu compétitif, ce qui avantage ceux qui ont une bonne estime d’eux-mêmes.
Les méthodes de pédagogie non-directive où il y a absence de compétition, favorisent le gain d’estime de soi
pour ceux qui ont une estime de soi faible. Par contre elles auront des effets négatifs sur ceux dont l’estime
de soi haute n’est pas entretenue.
4. Attitude éducative favorable
L’apprentissage par tutorat a ses limites. En effet l’enfant doit être confronté à plusieurs échecs qui sont des
éléments prédictifs de la scolarité.
V Confiance en soi et apprentissage
La confiance
-
en soi est liée à 3 aspects :
interprétation des résultats antérieurs (bilan de ce qui a été fait)
touche aux croyances d’efficacité personnel (l’effort, être doué… ça évolue avec l’âge)
difficulté perçue de la tâche (pédagogie différenciée)
Communication et enseignement
I Définition : qu’est-ce qu’une bonne communication
Toute communication a pour but de transmettre une information par un canal de transmission par un certain
code.
Message
Emetteur
Récepteur
Canal
codage
Code
décodage
JAKOLSON
Référent
en 1963
bruit
Feedbacks
LA GARANDERIE dit que « tout individu n’a pas les mêmes perceptions cognitives (auditives, visuelles,
kinesthésique, mixte…)
● les canaux de transmission sont les supports utiliser pour véhiculer l’information (la voie, la craie…)
● le code c’est l’ensemble des symboles et des règles qui sont utilisés pour exprimer le message
(dimension lexical + notion de syntaxe + pragmatisme)
● le référent, est-ce que ça renvoi à la même chose pour les deux sujets ? (en fonction du vécu +
représentation)
● le bruit est tout ce qui va affecter la transmission du message
● les FB sont tous les comportements du récepteur dont la modification permet de juger la
compréhension du message par le récepteur
Une bonne communication c’est quand toutes les infos sont passées de l’émetteur au récepteur (=cas idéal mais
qui n’est peu fréquent).
Le but pour l’enseignant c’est d’augmenter les infos aux élèves sans augmenter le temps de communication.
II Les sources de distorsion relatives au contenu du message
1. Les distorsions liées au code
Le codage doit être systématique. Selon BATESON, les infos essentielles sont qui doivent apparaître sont :
- Qui
- Quoi
- Où
- Comment ou Combien
- Quand
Communiquer ce n’est pas seulement transmettre des infos mais c’est aussi accéder aux intentions de l’autre
Ex : expérience de GARFUNKEL avec ordinateur et conseiller d’orientation.
2. La notion de bruit est de redondance
Lorsque le bruit empêche la perception du message, il y a un risque important de manifestation d’agressivité ou
de passivité.
3 contraintes : - contrainte physiologique avec le seuil de perception (il faut le silence)
- contrainte psycholinguistique avec utilisation du vocabulaire et syntaxe
- contrainte psychologique liée aux problèmes d’intention et de
personnalité. Contrainte liée à l’émetteur si on respecte le récepteur ou
contrainte liée au récepteur si attente d’un événement par ex…
Comment limiter les effets du bruit ?
⇒ notion de redondance, ça consiste à redire le même message mais de manière différent. Le message va alors
mieux passer mais risque de saouler le récepteur qui a déjà compris…
III Les sources de distorsion relatives à la relation
1. Les 2 niveaux de la communication : contenu et relation
Selon WATZLAWICK, une logique de la communication, 1972
● contenu du message représente que 15% de la communication
● la relation c’est le reste où l’estime de soi va s’exprimer, ça concerne l’identitaire
On transmet aussi une manière de se voir dans la relation.
L’estime de soi va se refléter dans la manière de refléter les choses.
Il faut une congruence entre le contenu de la communication et la manière de transmettre le message
2. L’aptitude à métacommuniquer
Cela signifie que l’on prend en compte le besoin identitaire des intervenants.
C’est l’aptitude à confirmer notre interlocuteur dans la manière dont il se voit.
Métacommuniquer c’est reconnaître l’autre dans son identité.
On peut réagir de trois manières :
- la confirmation identitaire
- le rejet où l’on remet en cause la manière dont la personne se voit dans l’échange.
- Le déni où l’on fait comme si l’émetteur n’existait pas.
La métacommunication a un impact émotionnel et un impact de confirmation identitaire (psychologique) qui
vont jouer sur la structuration de la personnalité.
Le rejet c’est une forme de reconnaissance mais en contre, ce qui a un effet structurant mais beaucoup plus
long.
En revanche le déni a un impact beaucoup plus négatif qui puisse avoir, on est alors ignoré et ça peut aboutir à
des troubles psychologiques.
Rôle du conflit dans la métacommunication
On apprécie pas le conflit pourtant il y a quelques aspects positifs :
- le conflit peut servir à clarifier le contenu de la communication
- le conflit, au niveau relationnel est à la base d’un processus de socialisation
Selon THIRION, il existe 3 intérêts du conflit :
- le dvlpt de la conscience de soi
- établissement des liens affectifs
-
utilisation du langage favorise l’expression et la reconnaissance de soi et de l’autre
Le conflit joue aussi sur la prévention de l’agressivité.
Bilan :
La communication :
15% - transmettre des infos à un récepteur contenu
85% - relationnel aspect identitaire
Pour bien communiquer, il faut réduire la communication à son essentiel pour permettre à l’auditoire de poser
toute question sur ce qu’il l’intéresse ou non… et l’organiser pour le mieux.
Qu’est ce qui
-
permet de confirmer les élèves ?
les FB positifs
la note
adaptation de situation
Hypothèse de psychologie sociale sur le groupe.
La performance du groupe doit être
> à la perf du meilleur du groupe.