où sont passés les canards
Transcription
où sont passés les canards
OÙ SONT PASSÉS LES CANARDS ? Contributions au Grand soir de l’anthropocène Duckie project Où sont passés les canards ? Hello, Bonjour fred. Voici ma réponse à ta question «ou sont passés les canards ?» : DANS TON COIN ! Bien à toi Alex CARLIER During my class with Professor Elen Riot we tried to do brainstorming on your project and the only idea I came up with is: If you have more quantity of the ducks and you tied them up in bigger groups with their center being a buoy which will be harder to move around. When they all start floating in different directions will probably be easier to follow. I am looking forward to seeing the performance! Have a successful day, Elena Monsieur, Ma suggestion concernant les canards est qu’ils ont connu des destins divers. Certains flottent dans le bain des petits eskimos et d’autres ont rejoint l’expédition du capitaine Nemo au centre de la terre. Le vilain petit canard s’est transformé en cygne, il y a en plusieurs au parc près de chez moi et à l’Opera de Paris pas très loin. Mes étudiants et moi nous viendrons pour le grand Soir de l’Anthropocène. Je vous transfère un mail d’un étudiant qui dû se tromper d’adresse. A bientôt. Elen Dear Frederico, good morning, I am a student of Elen Riot in Neoma Business School, campus Reims and she introduces and explains your project. I know from her that you like to receive ideas and sugestions, for that, mine is a big balloon with a duck face flying through the skies of the cities where the tour develops, visible for all to see a smilling duck in the sky. The meaning of the sky is to be the planet, the universe. Wish you a nice Sunday. Best Regards Pedro Poças Bonjour, En réponse à votre appel d’Afrique : Après un long parcours dans les écoulements sous-glaciaires, on les a retrouvés chez un coiffeur chinois qui en a fait des canards laqués. Bonne journée et à jeudi prochain. Béatrice Canards de la NASA Ils sont coin-coincés. Grimonie Bernardeau En parlant de Nouvelle-Zélande En parlant de Nouvelle-Zélande, si ç’avait été un glacier de là-bas (Franz Joseph Glacier ou Fox Glacier notamment), je dirais que les canards sont retournés à l’état sauvage dans la forêt afin d’être enfin tranquilles, protégés comme leurs cousins néo-zélandais les canards bleus. Le Department of Conservation les aura classés comme espèce endémique et unique de «canard jaune souriant des glaciers» et une nouvelle vie s’ouvrirait à eux ! des touristes payant 200 $ pour prendre une photo d’eux dans le noir, surpassant la popularité de la mascotte nationale, le kiwi ! Une vie de star et non plus de traceur pour la NASA ! Sauf que je doute qu’au Groenland les glaciers soient entourés de forêts, nous sommes à trop haute latitude pour avoir des forêts pluvieuses tempérées et il n’y a peut-être pas de touristes ou de Department of Conservation digne de ce nom... pauvres canards. Ceci dit, si les canards ont suivi le cycle de l’eau (évaporation des canards suite à leur arrivée dans l’océan selon l’hypothèse n°1 de mon confrère), ils peuvent très bien se retrouver en Nouvelle-Zélande, sous forme de précipitations. D’ailleurs, comme la quantité de précipitations est de plus de 7 mètres par an dans la région des glaciers, leurs chances sont même assez importantes de, un jour, devenir le nouvel animal star du pays. Johanna Pellus Cette histoire de canards Cette histoire de canards c’est vrai et ça prouve que la Nasa fait bien souvent n’importe quoi pour être médiatisée. Je ne vois pas l’intérêt d’utiliser des canards alors qu’il existe des traceurs développés pour ça. Même si c’est un processus bien compris, il reste en effet bcq de job à faire au niveau de la modélisation de l’impact des écoulements sous-glaciaires sur l’accélération du mouvement du glacier. Mais pour les canards 3 hypothèses: i) ils sont arrivés dans la mer depuis longtemps transportés par les écoulements sous glaciaires. Et pas facile de retrouver des canards dans l’océan s’ils ne sont pas équipés de balises GPS... ii) ils sont bloqués dans un lac sous glaciaire iii) ils ont gelé dans la glace basale du glacier. Ça arrive lorsque l’eau de fonte est en surfusion (<0°C) et regèle à la base du glacier incorporant des sédiments et en l’occurrence ici des canards à la base du glacier. Si c’est le cas, les canards avancent désormais avec le glacier et ressortiront d’ici quelques années, décennies ou siècles au bout de la langue glaciaire.» Gautier Davesne Bonjour, Pour répondre à votre questions, «où sont passés les canards ?» Je vous propose la réponse suivante : « A cause des radiations de Fukushima les canards en plastique ont muté en vrais canards et se sont envolés vers d’autres terres moins hostiles pour eux! » Merci par avance, Bien cordialement, Hélène Malet Une spectatrice du Manège de Reims J’ai été sensibilisé par la disparition des 90 canards. Bonjour Frédéric, J’ai été sensibilisé par la disparition des 90 canards. Je me suis donc mis à leur recherche dès que j’ai appris cette horrible disparition. Après des semaines de recherche, j’ai enfin l’explication à vous apporter : C’est en fait un ours polaire qui a tiré la chasse et plouf les canards WC. Je suis vraiment désolé de vous apprendre cette triste vérité qui m’affecte aussi, je vous rassure. Je suis de tout cœur avec vous dans ce dur moment. Bien cordialement, Alexandre MEURICE de Trois Puits Ideas rubber ducks end Please find in the attachment the two files regarding my Hypothesis about the rubber ducks. I also would like to attend the show. Thank you, Margherita Carraro Bonjour Frédéric, Je vous remercie d’avoir mis en évidence cette incongruité voulant que des scientifiques bardés de diplômes et de compétences tout ce qu’il y a de plus sérieux s’en remettent à la paisible et ludique existence de petits canards jaunes pour témoigner du devenir de l’humanité. La compréhension de notre futur dépendrait donc d’un jouet de bain pour enfant de cinq ans... c’est pour le moins inspirant. Afin d’éviter toutes ambiguïtés, parfaitement relatives à la lecture de ce qui va suivre, comme mon amateurisme patent ne fera plus bien vite illusion, je ne suis ni géographe, ni mathématicien ou physicien, ni géologue, mais bien simplement un modeste curieux des phénomènes qui m’entourent. Puissiez-vous pardonner mes divagations somme toute fort innocentes. Concernant le devenir de ces canards en plastique, je n’ai pu concevoir que quatre hypothèses : 1. « Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme » ou la chirurgie plastique involontaire du petit canard. Partant du postulat que les écoulements sous-glaciaires sont un phénomène naturel d’une violence certaine et que ces mêmes écoulements sont connus pour leur capacité d’érosion de la matière. Partant dès lors du principe que la mécanique de ce mouvement des glaciers ainsi que la composition physique et chimique de la glace opèrent en synergie en vue de cette érosion, il est possible d’admettre trois effets érosifs des écoulements sous-glaciaires sur la matière plastique des canards : une érosion mécanique, une érosion hydraulique et une érosion chimique. Comme l’écrivait John Tyndall, physicien du 19e siècle, « il est hors de doute que le glacier se meut comme un corps visqueux. Le milieu avance plus vite que les bords, la surface marche plus rapidement que le fond ». Par cette observation, il a ainsi été démontré que le glacier se déforme et se meut par l’action de son propre poids, pareillement à la lave dévalant le flanc de volcan, gagnant en vitesse selon le taux de déclivité de la paroi. Cette mécanique du mouvement a pour conséquence une érosion mécanique violente de la matière portée par la vitesse de l’écoulement du centre vers les côtés, faisant ainsi se fracasser les canards sur les parois encore solides du glacier (sans compter sur l’action évidente des farines glaciaires et autres résidus solides pouvant accélérer la vitesse d’érosion mécanique des matériaux). La répétition de ce phénomène, augmentée par la propre érosion des parois du glacier en arrêtes saillantes et effilées, a probablement défiguré de manière durable nos 90 petits canards de la NASA. Nous conserverons ce seul phénomène pour la deuxième hypothèse que nous soulèverons... cependant, il a été avancé que cette érosion n’agissait pas seule mais conjointement à deux autres phénomènes. Pour qui a l’habitude des paysages maritimes, l’érosion hydraulique est un phénomène bien connu. Il suffit de voir cette vidéo pour s’en convaincre de son effet dévastateur :http://youtu.be/PSU3z4Ln_3o . A long terme, ce qui joue aussi facilement sur une roche calcaire ne manquera pas d’user tout aussi durablement la matière plastique, dégradant ainsi sa composition, sa forme, et entraînant une fracturation progressive des petits canards en un amas de granules de plastique se mouvant au gré des courants marins (sans compter sur le possible phénomène de cavitation provoqué par l’écoulement du liquide à haute vitesse). Enfin, selon le journal The Guardian, en juin 2012, il a été relevé dans les régions polaires une concentration anormalement élevée de dioxyde de carbone (400 ppm) comme en témoigne la carte ci-dessous. Selon cette hypothèse, ne cherchons plus les canards, ils ont été atomisés ou admettons que nous nous trouvons confrontés au plus grand puzzle que la Nasa ait créé à ce jour et que 100$, c’est bien peu cher payé le travail à accomplir. 2. Si le canard jaune est bien un met de choix, la faune du Groënland est désormais gersoise Il faut bien admettre que l’érosion mécanique ne tendrait pas à faire disparaître les canards de la surface du globe mais à les transformer en un amas de déchets plastiques déchiquetés, d’autant moins identifiables, en outre, que la réaction classique du plastique jaune est une décoloration du jaune vers le blanc. Toutefois, cet amas resterait observable. Or les scientifiques de la Nasa n’ont rien observé, ni rien retrouvé. Dès lors, que sont devenus nos particules de canards jaunes/blanc ? Cette sur-concentration de dioxyde de carbone dissous engendre des effets sur la composition chimique de l’eau, accroissant la capacité des eaux de glacier à faire fondre les matériaux (acidité et agressivité de l’eau). Cette érosion chimique, bien identifiée par les géologues, n’a, à notre humble avis, laissé aucune chance à nos pauvres volatiles régressifs et a achevé de les transformer en charpie de polymères. L’observation des lapiaz et du phénomène de cryoclastie sur les roches, si elle s’est produite dans les imperfections de nos jouets scientifiques malmenés par la nature, ne manque pas de frapper par sa violence de fracturation des matériaux. Et bien, une explication simple, certains diraient simplistes, pourrait être avancé : ils ont été malheureusement et bien tristement dévorés par la faune du Groënland. Bien qu’apparemment désertes, les régions polaires abriteraient sous leurs glaces et sur les fonds marins une riche faune aquatique et divers oiseaux marins ou migrateur des zones humides. Or, il est constant que l’un des drames les plus observables en matière environnementale est le nombre de décès de créatures animales causé par l’ingestion de particules de plastiques sur toute la surface du globe (de la baleine au plus petit poisson). Ainsi, pour retrouver nos canards perdus, les scientifiques de la NASA seraient bien inspirés d’abandonner leur sacro-saint hamburger au profit d’une bonne petite papillote de « flétan du Groënland » ou d’aiguillettes de Macareu. Je vous remercie Frédéric d’avoir pris le temps de lire mes élucubrations profanes et espère que vous y trouverez une matière appréciable pour votre Grand Soir. Bien cordialement. Loïs Cattaruzza 3. « E la nave va » ou quand les canards jaunes réinventent le mouvement fellinien perpétuel Et si les canards n’avaient pu être observés jusqu’à présent en raison de leur fabuleux esprit aventureux les poussant à voguer de-ci delà au gré des gyres océaniques les emprisonnant, à l’instar de milliers d’autres déchets plastiques, dans une perpétuelle navigation sur les océans du globe (pour peut être rejoindre au final le Vortex de déchets du Pacifique Nord, tels Ulysse condamné à l’errance par les dieux mais finissant par regagner, fourbu et amaigri, sa belle et grande Ithaque). La masse de déchets charriée dans ses gyres est telle que chercher à y observer 90 canards en plastique jaune reviendrait concrètement à rechercher un plant d’orge dans un grand champ de blé. Appel à témoin – Reims Bonjour, Nous serons présents à Reims le vendredi 22 novembre. Hypothèses « où sont les canards » : - Sous l’influence de sombres lobbys désireux de réduire la pression écologiste, les canards placés dans le glacier ont été préalablement plombés, ils sont donc au fond de l’eau ! - Récupérés par des pêcheurs non anglophones, ces canards font la joie d’enfants en bas âge… - Compressés par l’action gel / dégel, ils se sont fragmentés et dispersés. - Ils sont encore là où ils ont été déposés, dans la glace, la Nasa regrette de ne pas avoir doté ses canards de puces de géolocalisation. - Le prestataire chargé de déposer les canards a préféré s’économiser le voyage, les canards sont six pieds sous terre dans une ferme texane. A bientôt ! Christophe Elucubration sur le(s) canards 4. « fluctuat et mergetur » ou quand le canard de la Nasa rejoint les limbes océaniques Selon un article du Monde en date du 29 octobre 2012, une biologiste allemande à l’Institut Alfred-Wegner pour la recherche polaire et marine, Melanie Bergman a mis en évidence une très forte concentration de déchets plastiques dans les eaux profondes de l’arctique, dans le détroit de Fram pour être plus précis. Ces déchets seraient prisonniers des fonds marins, statiques. Nos canards perdus feraient-ils partie de ces 7710 déchets au km² ? N’auraientils donc pas bougé ces feignants ? La Nasa devra-t-elle troquer sa combinaison de spationaute au profit de celle de scaphandrier ? L’avenir nous le dira peutêtre... ou vous je l’espère. Un glacier lui-même étant le résultat de neige et la glace se compressant sous leurs propres poids, on imagine aisément les pressions gargantuesques rencontrées au coeur d’un glacier. Si les canards se sont retrouvés impliqués dans le processus de glaciation, même superficiellement, cela pourrait être suffisant à transformer le fier volatil roi de nos salles de bains en lambeaux caoutchouteux trop léger pour garder une flottaison positive face à un courant descendant. Or d’après le modèle de la circulation thermohaline de Broecker, les eaux profondes se forment aux niveau sud du Groenland, soit proche du glacier Jakobshavn. Ainsi, cette plongée des eaux auraient pu entraîner les maigres traces du canard passé vers une épopée abyssale qui durera à peine 500 ans, temps estimé pour la circulation des eaux profondes de l’atlantique nord jusqu’aux océans pacifique et indien. Cependant, étant donné l’inflation et le futur incertain de la devises $ dans un demi siècle, qui prendra le temps d’envoyer à ce moment les précieuses données pour ne bénéficier que de l’équivalent de quelques centimes d’une monnaie rendu obsolète par la Vème Guerre Mondiale, plus connue comme l’alliance canado-inuit contre l’oncle Sam oppresseur et son armée de clones moujiks. Un raisonnement simple nous amène donc à considérer cette théorie comme juste, puisque aucune preuve de son existence ne pourront logiquement nous parvenir. Bien cordialement, Théo Nasca. Une théorie pour le grand soir de l’anthropocène My thoughts on why The Rubber Ducks were never found: Bonjour Monsieur Ferrer, Analyzing on a less lighter note, there’s a chance that the rubber ducks could have been tampered by the fauna of the region. Curiosity could have gotten the better of the land and marine mammals in the area and this could be a possible reason that explains the curious case of the missing ducks. à la suite de mon petit frère Théo, je viens vers vous avec une explication quand à la situation des canards en plastique de la NASA. Tout d’abord je voudrais rappeler rapidement la qualité intrinsèque à ces canards qui leur a valu l’élection des scientifiques pour être les illustres pionniers dans cette exploration des soubassements glaciers : Ils flottent. C’est parce qu’ils flottent qu’ils ont été missionnés aux confins des glaces, livrés aux bédières au creu d’un moulin. C’est cette faculté qui devrait leur permettre de suivre l’écoulement des eaux, de se laisser emporter à travers les boyaux de la cryosphère jusqu’à la pellicule liquide redoutée séparant celle-ci du socle rocheux. En revanche, cette propriété les condamne à toujours être positionnés au faîte de ce dédale inondé, à la surface compliquée de crevasses et de rides. Autant d’obstacles à leur palmipède tribulation ! Et même dans l’hypothèse d’une paroi au poli parfait: le glacier suit tout de même la pente du terrain. Le socle rocheux ne trace pas une belle ligne droite, il a des caprices, des cuvettes et des remontées de pentes. A chaque accident du sol voilà nos canards à la merci d’un siphon. Pour conclure, il ne me paraît pas sérieux de penser qu’un objet flottant sans discontinuer puisse sortir de ce labyrinthe mouvant avant la fin de sa course. Les canards réapparaîtront alors, comme les débris du Malabar Princess que commence seulement à recracher le glacier alpin. La solution serait alors de munir les canards de vessies natatoires alternant des phases de plongées et de remontée, les libérant ainsi des embûches à mesure de leur pénible progression. Merci à vous de nous avoir fait réfléchir à cette problématique épique. Nous serons là vendredi pour le grand soir de l’anthropocène. A vendredi, donc ! Pablo Nasca The Duckie Green Exchange Hello Sir, Here’s my idea and I am going to call it,»The Duckie Green Exchange». Hello Sir, At the outset may I introduce myself as Jithu George, a student of NEOMA Business School. Currently I am pursuing my Masters in International Luxury Management. This mail is to share with you my take on the The Rubber Duck Project. Here’s the whacky version. Probably the rubber ducks ventured out into the region of the Polar bears and they thought here are some ducks, why not make ourselves a Duckie Sandwich. The other probability is The Bermuda triangle effect. Scientists have pointed out the existence of ten such spots across the globe namely: 1. Near western Mediterranean Sea 2. N.E. area in Hawaii Islands 3. North Pacific Ocean 4. Near Southern Argentina Coast 5. S.E. part of South African coastline 6. Indian Ocean point 1 (location obscure) 7. At Tashman Sea near Australia 8. Indian Ocean point 2 (Eastern region) 9. Afghanistan 10. Centre of Mediterranean Sea. There’s a probability that the ducks could have been sucked into the mystery spot where all such objects hovering about the domains disappear to. Means To Contribute To a Greener World based on The Rubber Duck Project: Here’s my idea and I am going to call it,»The Duckie Green Exchange». The cogitation revolves around the idea of a stock exchange but instead of trading stocks, here companies are bestowed points for contributing to a Greener world and also for Global Warming campaigns. It shall be a virtual domain and registered people, organizations and communities can vote for the companies enlisted in The Duckie Green Exchange. Needless to say, companies with a higher degree of votes go further up the ladder. Given the necessary popularity I believe companies would find an inherent compulsion to get listed in order to promote their «Green Brand Image» which is becoming increasingly important given the current global scenario and also capitalize on the allied free advertisement, popularity and exposure. Once enlisted there shall coexist a positive competition to stay at the top and the result, A Greener World. What the bull and the bear are to a regular stock exchange, The Rubber Duck is to The Duckie Green Exchange. Phase two: Introduce the auction of a bio degradable product line. The money raised could be used to better the scenario of the poverty stricken citizens from across the globe, contribute to further improvise the Global Warming campaigns and add more green back where it should belong. The advent of the Anthropocene calls for reforms and measures. The Duckie Green Exchange could be a solution for unlike the prevalent campaigns which are mostly localized programmes shedding out a large chunk of money, this could be a global campaign at a very nominal cost for all you need is a web platform, companies to participate and people to vote. I thank you for taking time of your busy schedule to read my thoughts. Here’s wishing you all the very best in all your endeavors forth. Kind Regards, Jithu George.