MENTION SPECIALE au « MAESTRO » Ludovic CESSELLI
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MENTION SPECIALE au « MAESTRO » Ludovic CESSELLI
MENTION SPECIALE au « MAESTRO » Ludovic CESSELLI Même si la notion de « Maestro » ( le Maître en italien) fluctue selon les arts et ne concerne plus particulièrement que l’univers de la musique, il faut bien admettre et se rendre à l’évidence que les prestations de Ludovic CESSELLI au poste de coach des U17 (cadets -2-) entre autres, portent l’entraineur au plus haut degré de la pratique, le désignent et l’élèvent au titre de « Maestro »… En effet, aux commandes de son groupe lors du déplacement à Le Cateau le dimanche 10 février dernier, « Ludo » s’est révélé et s’est imposé une nouvelle fois en véritable chef d’orchestre ! Sa prestation n’était pas seulement d’ordre technique mais elle relevait aussi et surtout de l’interprétation. Il doit en effet suggérer à tous ses joueurs ce qu’il attend d’eux, et croyez-moi, diriger une équipe telle que nos « nos petits diables rouges », ces truculents « petits hommes » requiert inéluctablement de multiples compétences et de nombreuses qualités. Sa vision du jeu doit être en outre parfaite. Son charisme incontestable n’est d’ailleurs pas contesté, et sa volonté de parvenir au but fixé, en l’occurrence ici la victoire, a été une nouvelle fois inébranlable. Et que vous dire au sujet de ses qualités de meneur, de toute sa dimension humaine ? Eh bien, lorsque J’entends Ludovic CESSELLI, à l’autre bout de la salle, demander, à ses joueurs qui ont fait le trou au score, d’enfoncer le clou pour se mettre à l’abri d’un éventuel retour de l’équipe adverse, et ceci dans l’unique but d’ouvrir le banc et de faire entrer et faire jouer chaque membre de l’équipe afin que chacun goûte à sa part du gâteau, je dis « viva el Maestro » ! Et, lorsque j’entends Monsieur Ludovic CESSELLI demander à ses joueurs de faire la dernière passe à Dylan dans les 20 dernières secondes du match pour que ce dernier puisse marquer comme tous ses partenaires de jeu, et que j’aperçois, ce même Monsieur CESSELLI bondir de joie comme un gamin parce que son joueur vient de marquer un magistral panier à trois points dans les deux dernières secondes de la rencontre, je m’exclame et crie : « bravissimo el Maestro » ! Et merci pour tout ce beau spectacle. C’est « grandissimo » le sport lorsqu’il est pratiqué comme cela ! Merci pour tout « el Maestro » ! Le patron ne laisse rien au hasard, comme tout chef d’orchestre, il vérifie la feuille de match pour voir si la partition correspond réellement à la prestation de ses « musiciens »… A la fin du match, le « Maestro » qui a félicité chaleureusement son équipe auparavant, partage aussi avec les parents des joueurs, ses instants de joie et de satisfaction du travail accompli. GALLEPE Laurent / Février 2013