Programme Manapany Surf Festival (Fichier PDF - 1.8 Mo)

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La billetterie
http://sakifo.com
10 ans
Les 24, 25 et 26 septembre 2010
À Manapany-les-Bains
Saint-Joseph
Nous y voilà. Le Manapany Surf Festival et le club Les Trois Peaks soufflent cette
année leurs dix bougies. Dix ans de fête sur le plus célèbre « Ti coin charmant » de la
Réunion, dix ans de musique où cuivres et chansons se mélangent harmonieusement, dix ans
de vagues et de glisse. Une combinaison qui fait l’identité originale du « Manap », comme le
souligne Maxence de la Grange, président des Trois Peaks. « Pierre Macquart nous a concocté
un programme dont il a le secret et pour le plaisir des bodyboarders nous invitons le 1er
mondial. Il est réunionnais, Amaury Lavernhe, et nous fait l’amitié de sa présence. Nous
aurons également un second invité du circuit international, et tous deux viennent avec la
ferme intention de se surpasser devant leurs fans réunionnais ».
Pour célébrer l’événement comme il se doit, l’édition 2010 repart donc sur trois jours
avec une ouverture en « apéro fanfare » vendredi 24 septembre, sous le village banian. Petite
évolution sur la grande scène du Ti Coin Charmant : la programmation a été étoffée pour
proposer une soirée inédite le dimanche. Du coup, les deux soirées (samedi et dimanche)
seront payantes (l’ensemble des autres scènes reste gratuit), et nous avons mis en place un
« pass forfait » pour les fans.
À noter que le chapiteau de la scène Latérit, dont l’espace a été réaménagé par la
municipalité de Saint-Joseph, reste en place pour palier à d’éventuelles intempéries.
Mais de toutes façons, il fera beau pour les écoutilles…
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Association Les Trois Peaks de Manapany
109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Sommaire
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Page 2 - Présentation générale
-
Page 3 - Sommaire
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Page 4 - Concerts
Invités
Page 4 – La Rue Kétanou
Page 5 – Les Fils de Teuhpu
Page 6 – Washington Dead Cats
Page 7 – Poutrelles Fever
Page 8 – Batignolles
Page 9 – Florent Vintrigner
Locaux
Page 10 – Afromachin
Page 11 – Andemya
Page 12 – Byin mayé
Page 13 – Do Pagaal
Page 14 – Fabrice Legros
Page 15 – Foldire
Page 16 – Giloo & Tribaloya
Page 17 – Jaboticaba
Page 18 – Le Bruit de la Passion
Page 19 – Le Pain des fous
Page 20 – Les 109
Page 21 – Letoyo
Page 22 – Mélanz Nasyon
Page 23 – Mélodia (jeune public)
Page 24 – Rocksteady Sporting Club
Page 25 – VerZonRoots
Page 26 – Waki Band
Page 27 – Wonder Brass
Page 28 – Z’Oreilles Dehors
-
Page 29 - Surf
Compétition
3
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Page 30 – Programmation
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Page 31 - Infos pratiques
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Page 33 - Équipe – Remerciements
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La Rue Kétanou
http://www.larueketanou.com/
« Mélanges, voyages, rencontres, échanges, vive la vie ! C’est leur credo, leur raison et
leur manière naturelle d’exister ».
Citoyens du monde, ils jonglent déjà pas mal à eux trois avec les racines : marocaines (Mourad
Musset), portugaises (Olivier Leite), belges (Florent Vintrigner). C’est au Théâtre du Fil que tout
commence en 1996 : Florent a vingt-quatre ans, Mourad et Olivier dix-neuf. Branché chanson
française, le premier a commencé à écrire ; accordéon en bandoulière, il fonce l’été en Bretagne en
compagnie d’Olivier (à la guitare et aux percussions) tester ses compos dans la rue et aux terrasses des
cafés.
Été 98, île de Ré. Pour mieux accrocher les passants lors de leurs pérégrinations estivales, Florent et
Olivier décident de monter un petit spectacle théâtral et appellent leur pote Mourad en renfort. Ledit
spectacle s’intitule La Rue Kétanou (selon la fameuse formule « C’est pas nous qui sommes à la rue /
C’est la Rue Kétanou ! ») et le trio n’imagine pas sur le coup qu’il vient d’accoucher d’un groupe…
Résultat, en 2000, La Rue Kétanou sort son premier disque, En attendant les caravanes…, produit par
Salut Ô Productions de Tryo, groupe qui les prend en ouverture de son Olympia et d’une vingtaine de
concerts. Enregistré à l’état de maquette, l’album explose de générosité, conjugue fibre tzigane, esprit
bohême et flamenco dans le sillage de grands cousins nommés Négresses Vertes et Têtes Raides. On
connaît mieux la suite : après avoir fait son apprentissage dans des salles de cinquante places, La Rue
Kétanou va passer dans celles de deux ou trois cents, puis s’offrir une longue tournée (avec une
chaleureuse escale parisienne à La Cigale) autour de son second album, Y’a des cigales dans la
fourmilière, en 2002. Là, entre petites chroniques, portraits, récits qui dénoncent une société antifraternelle, c’est un humanisme sans discours, un sens du partage et un esprit festif qui dominent, dans
un métissage musical réaffirmé, saxophone et violoncelle en prime. Dingues de la vie, mais pas dupes,
les trois dansent comme des diables avec leur public mais l’invitent à garder les yeux grands ouverts :
« C’est pas nous qui marchons pas droit / C’est le monde qui va de travers. »
La tournée de l’automne 2003 est couronnée au début de l’année suivante par la parution d’Ouvert à
double tour…, un live en forme de petit livre comportant de nombreux inédits, et préfacé – excusez du
peu – par Charles Aznavour, Fred Mella, Loïc Lantoine et Allain Leprest. (…) Les tournées
s'enchaînent en 2005, et en 2007, avec d’impressionnantes soirées, comme celle du Havre, avec les
Ogres de Barback et quelques 4 500 spectateurs en délire.
Aujourd’hui, à l’instar de l’Album Blanc des Beatles, l’album rose de La Rue Kétanou offre le
meilleur d’un groupe soudé comme jamais, qui, devenu son propre producteur, enregistre toujours à la
maison et constate : « Ce disque-là, c’est un renouveau avec les bases du départ ». Rien de plus vrai :
porté par ces voix brutes, belles de leur fibre voyageuse informatable, le flamenco y épouse comme
d’hab’, la chanson, le rap et les accents tziganes au détour des quatorze morceaux qui ne parlent au
fond que d’amour. Honneur aux femmes d’abord et tendresse surtout (Todas las mujeres, Germaine,
Derrière ses cheveux longs), ce qui n’exclut ni l’humour tendre (Ton cabaret), ni le fabuleux rap à
fromage (Maître Corbeau), ni la main fraternelle tendue aux sans papiers (Les Derniers Aventuriers),
ni, of course, l’hymne permanent à la vie (Prenons la vie, 80 tours de la terre). À Contresens du terme
galvaudé de morale, La Rue Kétanou préfère son anagramme planétaire : el amor.
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Les Fils de Teuhpu
http://www.myspace.com/lesfilsdeteuhpu
« Les cuivres s’envolent dans les morceaux instrumentaux comme “Afro”, “Ritournelle” ou
“Petit ska”, tout s’agite, virevolte et tourbillonne, faisant la part belle à un esprit fêtard et
entraînant. »
L’aventure a commencé il y a dix ans déjà quand, après avoir battu pendant quelque temps le pavé, les
Teuhpu ont imaginé une fanfare déjantée et rock’n’roll, une autre façon de jouer, dans tous les sens du
terme avec les cuivres, les percussions et les cordes. L’esprit a perduré et, dix ans, après, avec ce
nouvel opus “Camping sauvage”, le groupe plante le décor - ou peut-être la tente - au carrefour de
plusieurs univers. On retrouve en effet la tonalité fanfare des débuts avec l’omniprésence rassérénante
des cuivres à laquelle se mêle des notes souvent gouailleuses qui ne mâchent pas leurs mots,
stigmatisant et piquant un monde qui passe son temps à faire la guerre.
Mais, François, Rodolphe, Poumtchak, Gésir, Kader et Benjamin aiment aussi jouer sur la corde raide
et, à l’image du son distordu qui ouvre l’album, ils n’hésitent pas à torturer les clichés, à donner dans
une ironie salvatrice, dans un humour parfois noir mais, nonobstant, revigorant. L’album se révèle
truffé de références, “Bubar”, un des morceaux les plus irrévérencieux, commence sur l’air du “Lycée
papillon”, à la mode des chansonniers. Les textes souvent corrosifs n’ont rien à envier à cette tradition,
à ceci près qu’ils sont assaisonnés façon roots et rock’n’roll et s’envolent souvent dans un délire de
cuivres et, grande nouveauté, de guitares, pour le plus grand plaisir de l’auditeur. Quelques autres
petites surprises titilleront les oreilles les plus attentives à commencer par les samples malicieux qui
jalonnent l’album ; on remarquera aussi la présence de Tryo sur “Nabab”, celle de Joseph Doherty sur
“Le fantôme du 84” et de Paola sur “Fleurys”.
Le groupe qui accuse une solide expérience de la scène avec déjà plus de 1400 concerts aussi bien en
France qu’à l’étranger, défendra cet opus sur scène avec toute la vitalité et tout l’humour qu’on lui
connaît.
Avec cette nouvelle expérience musicale sort un également un Dvd qui retrace une autre facette de
l’aventure du groupe : sa rencontre impromptue avec un acteur de légende : Buster Keaton. En effet,
depuis quelques mois déjà, Les Fils de Teuhpu tournent avec un spectacle étonnant : ils jouent une
musique qu’ils ont composée sur deux films muets de Buster Keaton soigneusement choisis. Ils offrent
ainsi à leur public mais aussi à un public qui ne les connaissait pas du tout jusque là une toute autre
dimension de leur musique : au croisement de deux formes d’art, de deux univers qu’ils ont su
rapprocher. Inventive, parfois primesautière et souvent entraînante, la musique opère une osmose avec
le film qu’elle illustre. (…)
Mais, quoiqu’il en soit, à l’image du titre de ce nouvel opus, les Teuhpu sont restés toujours un peu
sauvages et toujours un peu mordants. Pour le plaisir de leurs aficionados et de ceux qui vont, à coup
sûr, le devenir, ils entretiennent avec bonheur une alchimie délicate : la joie de jouer des parties
musicales finement ciselées doublée du plaisir de lancer un texte parfois énervé mais toujours juste
parce qu’il pique là où la société déraille et ou elle oublie finalement l’élément fondamental :
l’humain. Car, incontestablement, derrière ces musiciens hors pairs, derrière ces francs déconneurs,
derrières ces amateurs de camping sauvage sur scène et ailleurs, se profilent des gens de coeur,
terriblement humains. (Florence Marek)
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Washington Dead Cats
http://www.myspace.com/washingtondeadcats
« Méfiez vous… les chats morts ont plusieurs vies ! »
Les Washington Dead Cats apparaissent en 1984 comme une météorite dans un paysage musical où le
rock gothique tendance suicidaire à la Virgin Prunes côtoie une New Wave toute habillée de noir à la
Joy Division Mêlant rockabilly, surf music, rock garage, grigri vaudou et l’énergie du Punk rock « les
Wash » déboulent sur scène en inondant leur public de farine, poireaux et salades, transformant toutes
les salles de concerts en champ de bataille. La notoriété du groupe s’accroît très rapidement. A peine
deux ans après leur formation, ils sortent un premier album dédié au rock’n’roll et aux dieux légumes,
«Go vegetables Go ! ». Ils jouent à l’Élysée Montmartre devant 1 500 personnes, ravagent plusieurs
plateaux TV (canal +, la 5..), se font interdire de concerts dans certaines villes, asseyant ainsi une
réputation de groupe imprévisible et sans concessions. Leur implication dans la scène punk et ses
revendications sociales les conduit à signer sur Bondage records, devenant ainsi un groupe
incontournable de la jeune scène alternative.
Ils enchaînent les tournées et en 1988 sortent leur deuxième album, « Gore a Billy Boogie ». Ils jouent
deux soirs au Bataclan et en Angleterre ou en Hollande dans les premiers festivals psychobilly. Leur
énergie punkabilly les rapprochent de cette scène européenne en pleine explosion. L’histoire continue
jusqu’en 1991 et après quatre albums et 500 ou 600 concerts, ils décident d’arrêter pour se consacrer à
d’autres projets musicaux. Le chanteur Mat Firehair et le batteur Seaweedyo montent le label « Made
In Heaven », rééditent les 101ers (premier groupe de Joe strummer) et signent de jeunes groupes dont
« Les Snails ».
En 2001, les W.D.C se retrouvent et Lord Fester, guitariste et chanteur des défunts Snails, rejoint le
groupe pour quelques concerts de soutien. En 2004 sort l’album « Treat me bad », suivi du cinq titres
« Lady Satana v/s super héros » et de l’album « El Diablo is Back ! ». Ils enchaînent 300 dates en
Europe jusqu’en 2007. En juin 2006, après quatre Maroquinerie « sold out », les Washington Dead
Cats décident de s’amuser et montent une revue burlesque avec Juliette Dragon, « La flamme fatale ».
Ce concert unique « Live in the City of Sins » sera filmé et sort aujourd’hui sur un DVD comprenant
l’intégrale des clips les plus cheap de l’histoire du rock, une galerie photo, l’album «El Diablo is back
» en 5.1, les affiches de Mat Firehair, un concert à l’Élysée Montmartre de 1989… 3 heures au total).
Il est accompagné d’un best of CD de 23 titres incluant 5 inédits. Les images parlent d’elles-mêmes :
un groupe énergique et imprévisible, généreux et attachant. Ils ne sont pas un combo rock’n’roll, ils
sont le rock’n’roll !
Leur nouvel «album « For the love of Ivy » est sorti version vinyl rose 25cm en collector de 500
exemplaires et sa version numérique sortira en septembre 2010.
Le groupe
Croonin' & Yellin' : Mat Firehair
The cyberockabillysurfin' Guitarist : Lord Fester
The diabolic bass player : El Guanako
The voodoo drummer : Seaweedyo
The 'Devil Deluxe' horns section (Trumpet, Sax, Trombone) : The Mols, Kallhim G.G., El Senor Igor
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Poutrelles Fever
http://www.myspace.com/poutrellesfever
« Proverbe poutrellien : Avant de regarder la paille que ton voisin a dans l’œil, regarde la
poutrelle que tu as dans le c… !! »
Poutrelles Fever, c’est la rencontre entre un Kaiser Sauzé fan des Stray Cats et un looser cheveux
gominés boit-sans-soif, une danse entre un manouche joueur de poker et un officier de police
corrompu, un baiser éperdu d’une strip teaseuse donné à un gangster dans un Chigago des années 60.
Et si, le temps d’un songe, Michigan Avenue et sa pègre se situaient dans le Bugey…
Mais qu’est-ce que le phénomène Fever vient s’associer à une poutrelle me direz-vous ??!! Quel est le
rapport ?? Où est la cohérence ?? On connaît la légendaire Saturday Night Fever pour ses pas de
danses endiablés, l’effet Cabin Fever (sentiment d’enfermement) connut des Inuits pendant le long et
sombre hiver polaire ou encore les Chase Fever représentés par ces chasseurs de violentes tempêtes en
quête d’adrénaline !! Et bien à présent, il faudra s’accoutumer à l’effet Poutrelles Fever.
Sextet né d’une rencontre alchimique durant le printemps 2008 dans cette fameuse contrée du Bugey
(01), Les Poutrelles Fever compose une musique empreinte d’une spontanéité électrique et
contagieuse. Il faut se faire à l’évidence.
Leur répertoire est teinté d’une ambiance chanson passée à la moulinette rock’n’roll des VRAIES
années rock’n’roll et agrémenté d’un assaisonnement boosté par un swing cuivré des plus
athlétiques !! Renforcé par ce savant cocktail, le chant quant à lui interprète et vit tout de bon ses
histoires du quotidien et de sentiments universels. Car le ton évoque des propos engagés avec dérision
et gravité sur le monde dans lequel nous vivons. Bref, il n’est pas ici question d’un reportage tv, mais
bien de la réalité. Et la réalité est bien là. Moins d’un an après leur naissance, les 6 musiciens ont déjà
un nombre considérable de concerts à leur actif ; signe plutôt manifeste de perspectives… Tel des
kidnappeurs de décibels, leur unique rançon sera d’accéder le plus possible à la scène afin de révéler
toute la mesure de leur franche énergie EXPLOSIVE !!
Route droite, freins débloqués, en route pour un shoot rock’n’swing manoucho-populaire…
Le groupe
Julien : voix lead/accordeon
Alex : batterie
Clem : guitare/voix
Jérémy : basse
Xav : sax ténor
Slim : trombone
Pims : sonorisation
Julien : lumière
Miguel : road/manager
Le Cop : historien et philosophe sur la place du rock dans le monde
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Batignolles
http://www.myspace.com/batignolles1
« Du rock’n’roll métissé, mâtiné de musette, spontané et généreux sans se prendre au sérieux,
ça pose un problème ? Y a pas d’problème ! »
C’est dans une rue de Cahors que les contours de Batignolles se sont dessinés. Il y a quatre ans,
Olivier Leite (fondateur et membre actif de La Rue Kétanou, quitte Paris (et son quartier, les
Batignolles) pour le Lot. La sagesse aurait dû le pousser à stopper net ses aventures musicales, lui qui
a mis sens dessus dessous tant de salles de concert et agité bien trop de têtes! Mais c’était mal
connaître cet amoureux de la chanson…
Dans ses cartons de déménagement qu’il déballe à Cahors, Olivier Leite a des textes et des musiques,
des arrangements. Un jour, par hasard, il croise Olivier « Koka » Cocatrix, qu’il avait perdu de vue.
Quelques bœufs plus tard, l’idée de lancer un nouveau projet se précise.
« Cette histoire a commencé en toute simplicité. Au départ on voulait juste prendre l’accordéon et la
guitare pour aller sur les guinguettes du coin, raconte Olivier Leite. Et puis on a chanté un soir au
Pottok à Toulouse nos premières ébauches de chansons. Koka a appelé Alex, un copain batteur de
Toulouse, et comme il nous manquait un accordéon, il a aussi fait venir Thierry Roques. »
Cet élan de belles rencontres entre esprits agités du Sud-Ouest ne pouvait pas s’arrêter là.
L’un des premiers morceaux que le groupe joue est une reprise très rockabilly de « A Batignolles », de
Bruant. Batignolles, justement, renvoie au XIXe siècle et à une période qu’Olivier Leite apprécie, celle
de la Commune de Paris, de la naissance de l’anarchisme, des « baloches »… Autant de bonnes
raisons pour que ces sans-culottes du XXIe adoptent ce nom et prennent le pari, réussi haut la main, de
relooker des textes de Bruant (« Dans la rue ») et de Bernard Dimey (« Les Rats »), des poésies qui
traversent le temps.
C’est dans un lieu lui aussi évocateur que l’histoire continue : le studio Barberine, du grand Nino
Ferrer, à Montcuq, dans le Lot. Le groupe y enregistre son premier album, avec Olivier Leite (chant,
guitare, percussions), Thierry Roques (accordéon, clavier), Olivier Cocatrix (basse et accordéon), Alex
Roger (batterie, percussions) et Loïc Laporte (guitares). Aujourd’hui c’est Benjamin Roques qui
remplace ce dernier et sur scène Thierry Roques laisse parfois sa place à Grégory, Paco ou Pierrot, le
violoniste de Vaguement la jungle.
Après avoir tourné tout l’été, Batignolles fait sa rentrée en fanfare avec cet album qui transpire et qui
respire, rempli d’une énergie rock artisanale. « Y a pas d’problème ! » chansons à l’écriture rythmée et
percutante, interprétées par un chanteur au charisme indiscutable (sortie prévue le 11 octobre
prochain).
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Florent Vintrigner
http://www.myspace.com/florentvintrigner
« J’aime le côté intemporel de la chanson. J’aime qu’une chanson n’appartienne pas
entièrement à son époque, qu’elle la représente sans dépendre d’elle. »
Avec « L’Homme préhistorique », Florent Vintrigner signe un album dans lequel on entend clairement
l’écho de notre monde actuel – les migrations du désespoir, la précarité, la crise du logement, les
figures contemporaines de l’amour… Mais ses chansons s’entendent aussi de toute éternité, ici et
ailleurs, à l’époque des filles en noir et blanc autant que dans les mythes d’avant l’écriture, maintenant
et pour le siècle à venir…
Mots vifs, mots pudiques, mots crus, mots envolés : Florent est du pays de Georges Brassens, d’Allain
Leprest, de Richard Desjardins, du pays où les mots vont à la rencontre de l’âme autant que du réel. «
Je pars souvent d’une phrase. Mais le thème de la chanson peut changer en cours de route. J’imagine
que quand le sculpteur attaque une pièce de bois, il ne sait pas encore si elle va lui livrer une forme
abstraite ou un hibou. Je découvre au fur et à mesure ce qu’il y a dans les mots et la musique y
participe : l’accordéon ou la guitare accompagnent souvent l’écriture, même si ce n’est pas la mélodie
que je vais conserver. »
Florent a travaillé aux chansons de cet album dans la foulée de celles de l’album A contresens de la
Rue Kétanou, et enregistré entre sa propre tournée et celle du groupe. « Nous avons eu deux résidences
pendant lesquelles nous travaillions les nouvelles chansons la journée et jouions en concert le soir. »
Puis suivront seize jours d’enregistrement avec ses musiciens de scène (Sébastien Bennett aux
guitares, Jean-Louis Cianci à la contrebasse, Jean-Baptiste Maillet à la batterie), dans l’élan des
concerts et avec la liberté que donnent l’expérience et la profondeur d’un compagnonnage.
Ainsi, l’étourdissant solo de guitare de Sébastien Bennett dans En pensant à vous : « Il est à l’aise dans
tous les styles, guitare électrique, manouche, flamenca. Là, je lui avais demandé de me faire un truc un
peu comique, un solo de comédie. Ça a été bon tout de suite. » Car, avec les musiciens qui
l’accompagnent depuis belle lurette en tournée, l’enregistrement est plutôt simple : « Ils ont beaucoup
d’idées. Après avoir fait tourner le morceau, on enregistre vite, chacun apportant ce que lui inspire le
thème. Et on a souvent gardé ce qui est sorti d’emblée. Après, on continue à travailler et à chercher
mais une bonne partie du disque vient des premières prises. »
Treize chansons, donc. Treize chansons dans lesquelles les sentiments ne sont jamais tièdes,
paresseux, passifs. « Georges Brassens disait qu’on écrit toujours sur les mêmes thèmes – l’amour, le
temps qui passe. Moi je suis obsédé par les frontières, par l’impossibilité de bouger ou de voyager, par
l’appel du voyage. Quand je pense à ceux qui sont partis découvrir l’Amérique ou les Indes, mus par
l’envie de découvrir, d’aller plus loin, de passer de l’autre côté de la colline, puis de la montagne, puis
de l’océan… ».
Le groupe
Florent Vintrigner (chant, accordéon, guitare)
Jean-Louis Cianci (contrebasse, cajon)
Sébastien Bennett (guitares manouche et électrique)
Jean-Baptiste Maillet (batterie)
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Afromachin
« Avec la version Afromachin du Machin, ça va groover ! »
Vous connaissiez peut-être la version funky du Machin qui a pu vous faire danser sur les plus grands
tubes funk... Et bien, cette année, la machine déboule au Manapany Surf Festival avec sa formule
afrobeat, et ça va déménager ! Les douze musiciens de l’Afromachin vont vous transporter sur les
terres nigériennes de Fela Kuti, principal inventeur de l’afrobeat.
Cette musique est une fusion des éléments afro-américains du funk, du jazz, de la musique d’Afrique
occidentale, de la musique traditionnelle nigérianne et des rythmes yorubas.
Le cœur basse-batterie-percussions de l’Afromachin insuffle un groove des plus puissants, précis et
syncopé. La section cuivres brasse de l’air chaud sur une rythmique implacable soutenue par un
clavier aux sonorités 70’s et une guitare qui cocotte gentiment.
Le groupe
Pierre Safran : clavier
Samuel Hoareau : batterie
Nicolas Poulet : percussions, chœur
Didier Levenez : guitare
Bruno Robert dit Nono : basse
Glen Jallet : trombone
Philippe Bartle : trompette
Arnaud Legall : saxo ténor
Dave Jones : saxo alto
Julien Grégoire : flûte traversière, chant, guitare
Daniela Silva et Cochard Magalie : shekere et claves
Yann Costa au son
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Andémya
http://www.myspace.com/andemya
«Du rock-maloya endémique »…
Andemya a été formé à la Réunion à l’initiative de Gillles Lauret (auteur-compositeur, chanteur),
Ludovic Nativel (bassiste), Olivier Mounoussamy (percu) et Freddy Saint-Ange (guitare solo, chœurs,
compositeur) en novembre 2004.
A l’occasion du tremplin « La clameur des Bambous » où Andemya parvient en finale, le saxophoniste
Eric Hoareau, séduit par la couleur unique du groupe, les rejoint avec son talent et son énergie. Puis
c’est au tour de Jean-Mathieu Batty de rejoindre la formation, où il prendra la batterie. Egalement
auteur-compositeur, Jean-Mathieu apportera quatre belles compositions, enrichissant encore l’univers
musical d’Andemya. Enfin, Yann du Kaloubadia Studio, flashe sur le groupe et décide d’apporter son
talent et son expérience en prenant en main le son.
Dès lors, « l’ovni » Andemya écume les bars musicaux de l’île et participe aux tremplins locaux :
premier à l’unanimité du Carrefour Jeunes du Tampon en 2005 (avec à la clé la première partie du
groupe emblématique Baster), premier également du Rougail Rock au Palaxa de Saint Denis en 2006
(grâce auquel Andemya fera la première partie de Parabellum), enfin premier de la finale Sud du Bato
Fou et troisième de la super-finale derrière Lansiv et Jaboticaba… Andemya a ainsi fait la première
partie de Pause, et après une participation distinguée au Sakifo Festival 2008, le groupe s’envole dans
la foulée pour une tournée de deux semaines dans les Landes où ils prendront plaisir à faire voyager
leur nouveau public.
Au fil des représentations, le groupe jouit aujourd’hui d’une belle reconnaissance sur la scène locale
où il a pu fidéliser son public, un public qui lui ressemble : éclectique et métissé.
Agés en moyenne de 27 ans, les musiciens d’Andemya viennent d’enregistrer sous la houlette de Yann
et Captain’ leur premier album au Kaloubadia Studio.
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Byin Mayé
http://byinmaye.com/
« On ne présente plus la fanfare Byin Mayé, tout simplement parce que cela fait maintenant
10 ans qu’elle écume les scènes et les rues de la Réunion et de l’océan Indien ! »
Fanfare électrisée d’une trentaine de musiciens, Byin Mayé prend forme en 2000 à l’île de La Réunion
(océan Indien), pour promouvoir dans la bonne humeur les musiques du monde : réunionnaise
(maloya…), malgache (salegy), africaine (afro-beat), jamaïcaine (ska, reggae), funk, musique
d’Europe de l’Est et de France (rock…). Le tout influencé par Alain Peters, Fela Kuti, Fémi Kuti,
Jaojoby, The Jb’s, The Skatalites, YoungBlood Brass Band.
Le groupe
Des soubas, des trompettistes, des trombonistes, des saxophonistes, des flûtistes, des clarinettistes, des
bassistes, des batteurs et des percussionnistes.
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Do Pagaal
http://www.myspace.com/dopagaal
« Do Pagaal : deux fous, en hindi »
Do Pagaal, deux fous alliés qui se croisent sur un échiquier, Raghoonauth, poète performer et
Automat, compositeur électro. Ils nous racontent, « les palais, les vaches reines, la lutte des classes, les
golden boy, la mondialisation sauvage » tel un road movie métaphorique. Poèmes incandescents,
tendus, d’ici, de là-bas, déclamés ou chantés, portés par la musique, qui est quant à elle, chargée des
nombreuses influences de Do Pagaal, à la fois, électro, dub, trip hop, rock, hip hop. Do Pagaal se veut
sans barrière de style. Ce set nerveux provoque quelques montées d’adrénaline, ici ou ailleurs, c’est le
même leitmotiv : Survivre dans la Machine. Bon Voyage !
Performance Poésie - Machines (Maurice, Réunion) Voix / Textes de et par : Raghoonauth Laptop /
Machines : Automat Création 2008-2009
Sélection île de La Réunion - Découvertes 2010 du Printemps de Bourges et de la FNAC
Extrait de « Maux croisés »
« Où tu te situes, engrainé dans la machine,
Pareil au même, les mêmes cris convergés,
Où tu te situes, engrainé dans la machine,
Les maux croisés s’insultent en post-scriptum
… No man’s land,
Patriotes errants aux frontières des horreurs,
Mère patrie pétrifiée a enfanté des zombies.
La montagne avance sur la pointe des pieds en talons aiguilles.
Pur sang au pays des sans nom,
Cent pas dans une cage, bien engorgée
On attend, que la poule… »
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109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Fabrice Legros
http://www.myspace.com/fabricelegros
« Avis aux amateurs de World music et des rythmes de l’océan Indien… »
Auteur, compositeur interprète du Tampon né le 20 Novembre 1969, à Saint-Pierre de la Réunion. Dès
le début de sa carrière Fabrice Legros évolue avec les groupes phares de la Réunion, notamment
Baster groupe avec lequel il participe à plusieurs tournées à la Réunion mais également en Europe.
Entre 1995 et 1996, il quitte la Réunion pour Paris dans le but d’approfondir ses connaissances
musicales et s’inscrit au Centre d’Information Musicale (CIM).
Fabrice Legros a collaboré avec de nombreux groupes populaires à la Réunion : Baster, Tifock,
Meddy Gerville, en tant que saxophoniste et choriste.
Il s’est récemment produit en première partie de la chanteuse Olivia Ruiz mais a eu aussi le privilège
de jouer en première partie de Tété à la Réunion ainsi que Danyèl Waro (figure du Maloya dans l’île et
internationalement).
Riche de toutes ces expériences, Fabrice vient de sortir son premier album: "Nénin", résultat d’un long
voyage artistique à travers les métissages du Maloya dont « Trafik » et « Roulèr » en sont extraits.
Fidèle à ses racines et joueur avec ses influences : Sting, Chet Baker, Sabouk, Fabrice Legros chante
aux côtés d’autres, le Maloya métiss’. Tous ses amis musiciens lui prédisent un avenir artistique très
prometteur.
Quelques temps fort de sa carrière :
Direction Artistique pour la pièce « Foutor Va »
Réalisation de l’album de Miguy Pétrel « Saya »
Festival de Jazz à St Gilles 2006 avec Meddy Gerville
Tournée européenne avec Baster « La Réunion des Musiques » au Zénith
Tournée avec Tisours (France)
Concert avec Kèr Maloya
Concert avec Kayambé au Festival Créole des Seychelles
Première partie de Johnny Clegg avec Baster en Italie
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Foldire
http://www.myspace.com/foldire
« C’est la rencontre de musiciens avec des textes, interpréter un personnage sur son chemin
et la musique qui l’enveloppe. La lettre est pour celui qui la reçoit… » (G.Boyer, JIR)
Naissance d’un duo guitare-voix en décembre 2007 (Fabrice Martineau-Stéphane Guézille)
Le duo se produit alors avec un programme de reprises de chansons françaises comme J.Brel, M.
Jonasz, Bénabar, Fersen… Rencontre avec le percussionniste et pianiste Benoît Serrier, ainsi que la
violoniste Marina Fuhrer pour se transformer en quatuor.
Le groupe continue de se produire dans les différents lieux de l’île (Cap Ouest, Jazzy bar, le Bistrot
des lilas, Chez Hil, Les Récréateurs,…)
Septembre 2009. La version « finale » du groupe prend forme avec l’arrivée du bassiste Rahiss
Mohamed et le batteur Fred Tolar. Leur programme fait place entière à la création et aux compositions
originales du groupe. Foldire présente sa nouvelle formule lors d’un concert privé à l’Ecole Artistique
de l’Ouest (Possession) en décembre 2009, puis lors d’un déjeuner-concert « Chez Hil » en février
2010.
Ainsi, un public s’est crée autour de Foldire pour ses textes faits d’humour et d’ironie et l’univers
qu’ils proposent. Les thèmes sont autant de tranches de vie, inspirés de faits d’hiver ou d’été, d’ici et
d’ailleurs, sans pour autant que cela ne prenne la tête. Façon d’écrire ces maux en se jouant des mots.
D’autres textes sont plus volages, tout autant habillés de métaphores. Suite logique, un premier album
de 15 compositions est en prévision pour fin 2010.
Le groupe
Fabrice Martineau : voix, auteur-compositeur-interprète
Stéphane Guezille : guitares, musicien dans différents groupes (Tapok, Kom Zot, Small Pleasure,
Step’in Jazz, Tibwa)
Benoît Serrier : percussions-claviers, le technicien son et informatique
Marina Fuhrer : violon, musicienne à l’Orchestre Régional de la Réunion
Rahiss Mohamed : basse, musicien dans différents groupes (Meddy Gerville, Davy Sicard, Toguna,
Tibwa)
Fred Tolar : batterie, musicien du groupe Batker
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Giloo & Tribaloya
http://www.myspace.com/giloo974
« Giloo veut porter loin ses racines, son métissage, sa culture et la musique Réunionnaise
dont il est fier et inspiré. Il entend bien partager ce chemin en musique avec un maximum de
dalons, sans qui la route serait un peu plus longue, et beaucoup moins belle... »
La musique est pour lui une évidence. Giloo est auteur, compositeur, interprète, un brin guitariste.
Autodidacte il arrange lui même ses morceaux. C’est la naissance du groupe Skarpediem, fin 2006, qui
aura été déterminante dans l’écriture de sa propre partition. D’une très belle aventure humaine,
musicale et scénique, est née une passion pour la création musicale par le chant, la guitare, mais aussi
l’expérience unique de la scène, l’échange avec le public, ses musiciens et l’art de l'improvisation sans
bornes ! Alors qu’il écrivait à ses débuts principalement des chansons festives en français, il évolue
ensuite spontanément, porté par ses racines, vers des rythmes et des compositions plus métissées.
L’inspiration des textes vient alors naturellement en créole pour des morceaux qu’il ressent plus
proche de la terre et de l’âme. Un créole riche de musicalité, des textes qui restent en nous comme des
hymnes, sur des rythmiques accrocheuses et entrainantes.
Fin 2008, la réalisation d’un album d’une partie de son répertoire est lançée. Gagli s’occupe de la
partie technique (Rec, Edit, Mix, Mastering), Jérémie Lapra dirige les arrangements. Beaucoup
d’artistes, aux oreilles enthousiasmées, viennent partager le micro d'un "home studio" construit pour
l’occasion. Notamment Ludo N’hollé, batteur de Tiken Jah Fakoly, Mounawar, Didier Dijoux de
Baster, les chœurs de la chanteuse malgache Nikki, caroline Faber et Ricco (Le Pain des Fous). Illustré
par l’artiste peintre Mahiou, l’album « Gran Mer Kal » est un très bel objet dans les bacs depuis
septembre 2009.
En parallèle de l’album, Giloo s’est très bien entouré pour la scène avec Youric Delacuvellerie
(guitares), Ziia (chœur,guitare), Nicolas Poullet (section rythmique) et Captain (basse). Yann Hernot et
Sergent sont alors aux boutons! C'est le début de la formation TRIBALOYA. L’artiste peintre Mahiou
s’inspire de morceaux de Giloo pour proposer sur scène, le temps du concert, des créations picturales
en live ! L’alchimie artistique est là et l’énergie scénique est au rendez-vous pour une vingtaine de
dates sur l’île : L’îlot, CocoBeach, Fête de la musique du Tampon, L'Endroit… En juillet dernier, à
l’occasion du festival des musiques Réunionnaises de Seignosse (Landes), Giloo & Tribaloya assurent
avec brio la 1ère partie de Davy Sicard. S’en suit une tournée de 13 dates sur le département. Une
expérience qui consolide la formation et qui augure de belles possibilités à l’export. Rechargée à bloc,
la formation continue depuis septembre à marquer les esprits un peu partout sur l’île : la diffusion de
l’album "Gran Mer Kal" mais surtout le plaisir de la scène! Le 211, le Théâtre Vladmir Canter ou la
salle Kerveguen à St-Pierre (aux coté de Oussanousava), leur répertoire s’étoffe et s’enrichit très vite
d’afrobeat, de rock ou même d’une valse! La création est permanente et beaucoup d’autres projets sont
à venir.
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Jaboticaba
http://www.myspace.com/jaboticaba
« Jaboticaba est devenu un arbre dont les solides branches abritent les nouvelles
compositions et revisitent les anciennes »
Jaboticaba tisse avec passion le fil de son folk aux accents créoles. Des compositions intimistes qui
nous plongent dans le cœur de la Réunion où la base du répertoire a été concoctée. Des textes qui
capturent des instants de vie, bonheurs fugaces, parfois cruels. Des mots qui embrassent une nature
déployée où l’homme cherche sa place. Portée par une voix puissante et des arpèges aériens,
l’acoustique se met au service d’une émotion toute électrique. Jaboticaba est né de la rencontre entre
Julien et Virginie, au hasard de leur quête d’un pied à terre à Salazie - le "bon refuge" en malgache.
Nous sommes au cœur de l’île de la Réunion, nous entrons dans l’été austral, fin 2005. Très vite,
textes et mélodies s’échangent, Virginie et Julien s’accordent. Après 6 mois de collocation, la base
d’un répertoire est créée. Une phase de composition intense, inattendue, qui a vu le jour dans la
tranquillité et l’intimité d’une case en bois. Le groupe s’appellera Jaboticaba, le nom d’un arbre qui
semble tout droit sorti d’un étrange rêve...
L’aventure se poursuit en 2007 avec la sélection pour les Découvertes du Printemps de Bourges, à la
Réunion les premières parties de Davy Sicard et Emilie Loizeau, le Sakifo Festival, et quelques scènes
en métropole (Toulouse, Liévin, Nimes, Montpellier). La jeune pousse Jaboticaba a su très vite
convaincre avec son blues-folk intimiste profondément créole. Plus que tout, c'est le dialogue entre la
voix touchante de Virginie et les guitares de Julien qui enluminaient des chansons simples et
évidentes comme des morceaux de vie. Après une année de remise en question, ce dialogue s’est
affiné et le jeu s’est élargi. Contrebasse, clarinettes, batterie… Le songwriting fin de Julien et Virginie
trouve une assise, un groove, qu’on découvrira dès le mois d’avril sur leur premier opus. Dédié au
cirque de Salazie qui a vu le groupe naître, l’album « Soalazy » sera réalisé par Yann Costa et devrait
donner des ailes à Jaboticaba. Après une année de développement auprès de Yann Costa, Soalazy,
premier album du groupe Jaboticaba, sortira fin avril à la Réunion, en novembre en France
métropolitaine. Fruit du travail effectué sous le label Bi-(P)ôle, vous pourrez découvrir Soalazy sur
scène dès le 3 novembre.
Le groupe
Marie Louise Virginie : lead vocal
Barnoin Julien : guitares, vocal
Maillet Nicolas : clarinettes, flûtes, saxophone, vocal
Faivre Cyril : batterie
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Le Bruit de la Passion
http://www.myspace.com/lebruitdelapassion
La fanfare « Le Bruit De La Passion » basée à Saint Louis est née de la rencontre entre musiciens
venant d’horizons divers. Se produisant sous différentes configurations – musique de rue, concerts,
défilés, mariages... –, elle partage depuis deux ans sa bonne humeur au gré des publics rencontrés. Son
répertoire très varié, allant du séga au New Orléans, funk, reggae et autres thèmes connus,
enthousiasme tous les publics.
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Le Pain des Fous
http://www.myspace.com/lpdf
« Diagnostic et résultat… Le résultat est… inattendu ! Irrationnel, en fait ! Musicalement,
c'est un voyage !!! »
Alors, Le Pain des Fous ? Mais c’est quoi (ça) ?
Surtout, n’allez pas croire que c’est une recette à base de farines (même animales) !
Ce sont 8 allumés, des passionnés de musique qui officient secrètement dans l’enceinte de « l'Ilot » de
Saint-Louis de la Réunion (pour ne pas le nommer...).
Cette équipe de joyeux drilles, déjà rompus aux exercices de la scène réunionnaise depuis quelques
années, profitent et vous font profiter de leur énergie d’une façon qui leur est très… personnelle.
Nourri à un sein musical « old school », ce groupe pratique le métissage de leurs savoirs et de leurs
influences afin de vous offrir ce trésor… aussi étrange qu’efficace, que l’on nomme :
Le Pain des Fous (lpdf) !
Musicalement ?
Leurs compositions vous invitent dans des histoires ; leurs histoires, réelles ou imaginaires, dans des
ambiances franchement teintées de Rock & Roll (de qualité SVP), de Ska-Reggae (qui réveil le Lion
dans le Zion), de Hip-Hop (pas piqué des hannetons), du Punk (un tantinet mono-maniaque), et de
Chansons (qui s’chantent) ! Véritable OVNI musical, Le Pain des Fous est composé d’une section
cuivres de premier ordre :
Loïc : clarinette / sax alto
Charlou : flageolet / sax-baryton/ soprano
Glen: trombone
Ces 3 énergumènes apportent à cette formation une chaleur et une puissance qui n’ont d’égal que leur
enthousiasme naturel ! Pas de risque de se laisser abattre, parce que le tout pue la bonne humeur !
Additionnons à tout cela une section rythmique impeccable, servie respectivement par :
Kap10 : la basse
Youric : batteries
Le tout prend vie, grâce aux mélodies, aux influences et à la créativité de Romain, qui gère d’une main
de maître, le manche de ses guitares. Donc :
Romain : guitares / chant /chœurs
Rico : percu / chant /chœurs
Une sacrée troupe en vérité, qui ne serait complète sans :
Sergent : l’homme de l’ombre, l’indispensable ingénieur du son.
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Les 109
http://www.les-109.com/
« Sur la planète pop rock, nous avons du bon son qui nous arrive de la Réunion ».
C’est sur ce petit caillou de l’océan Indien que « Les 109 » voient le jour en 2003.
Emmené par Nico Paillet (guitare, chant) artiste connu et reconnu de l’île, fondateur, avec Rodolphe
Legras de Planète Zong, groupe dans la mouvance pop rock, il traîne ses guêtres auprès de Patrick
Persée et Afatia (figures de la musique réunionnaise).
1996 est l’année du succès avec Toulkou, groupe que Nico forme en 95, « Ding dingue Dong »
chanson composée par Nico déferle sur les ondes réunionnaises : c’est un des gros cartons de l’année
96. Incontournable «fidèle lieutenant», Gérard Constantin (guitare chœur), dit Mister G, est un éternel
teen-ager, ingénieur du son et « touche à tout » de son état. Militant acharné, plutôt « skate-rock » que
« glamour », il est le ciment du groupe et allez savoir pourquoi « il a toujours voulu s’appeler John, ou
Paul, ou George, ou Ringo !!! ». Mais aussi, Jimmy, Pete, Keith, Ritchie, Angus, ...
Les «Rythmics twins», Fred Lallemand (Basse, chœur) et Jean Max Lallemand (Batterie), rejoignent
«les 109» début 2007. Les « brothers » sont issus de la MAI, école de musique de Nancy, ils sont
revenus sur l’île mettre leur savoir-faire au service du rock « péï ».
« L’Opium du Peuple », album autoproduit, cristallise l’univers poétique des chansons composées par
Nico Paillet, et écrites par Daniel Vaxelaire et Rodolphe Legras, amis et partenaires de longues dates.
Bénéficiant d’un mastering de haute volée, le CD contient un 1er clip, réalisé par Nicolas Guéniot. Il
s’agit de « l’Opium du Peuple » titre éponyme. (le CD est distribué par Discorama Entertainment)
Le groupe
Nico Paillet (Guitare/Chant)
Mister G (Guitare/Chœurs)
Fred Lallemand (Basse/Chœurs)
Jean Max Lallemand (Batterie)
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Letoyo
http://www.myspace.com/letoyo
Letoyo, auteur - compositeur – interprète, transmet un message à travers son reggae aux
sonorités plus africaines que jamaïcaines, métissé de musicalités de l’océan Indien. Il ne fait
pas d’infidélités à la Jamaïque, il suit simplement son chemin après avoir expérimenté de
nombreuses influences. Il appelle sa musique le World Afro Reggae Indian Océan.
Aujourd’hui, après plusieurs années à officier comme compositeur pour d’autres, après quelques
expériences en groupe, Letoyo a trouvé sa voix, et le public commence par la même occasion à le
retrouver. En Octobre 2003, il enregistre une première démo 3 titres dans son Home Studio. En
Octobre 2005, Letoyo sort une deuxième démo 3 titres qui lui permet de se faire connaître. En Mars
2006, sa sélection pour le Best Of de la Clameur des Bambous du 1er décembre au Bato Fou
représente une nouvelle étape.
Lead vocal et guitariste, il va commencer à faire de plus en plus de scènes avec son groupe
(s’agrandissant selon les circonstances), constitué d’un noyau dur. En Avril 2006, ils participent au 3e
Festival Reggae à la Ravine St-Leu. En Mai, ils rendent hommage à Bob Marley lors du Festival
Reggae de Duparc - Ste-Marie. En Juin, ils sont lauréats d’un concours organisé au Palaxa, et tout au
long de cette année 2006, Letoyo a tourné dans de nombreux cafés concerts (Cyclone café, Gueule de
Bois, Coco Beach, l’Ilot Concerts…) ainsi que sur des podiums à but humanitaire (Collecte pour
enfants défavorisés, Téléthon). En 2007, Letoyo enregistre son premier album en autoproduction et
entre donc dans un intense travail en Home Studio. Prises de sons, de voix, arrangements [amateurs de
« bon son », ils n’hésitent pas à faire appel à Masterdisk Europe, un studio réputé basé sur Paris].
Toute l’année est consacrée à la préparation de l’album, où se croisent démarches et quelques concerts.
Ils assurent la première partie du mythique groupe Oussanousava au Bato Fou ainsi que celle d group
Natty Dread et jouent sur la grande scène de l’Expobat.
2008, une année riche qui débute par la participation à la compilation « World!Pluriel N°17 » avec le
titre « Assou Ma Dawn », un morceau au rythme du Saleghy produit et démarché par le Pôle Régional
des Musiques Actuelles de l’île de la Réunion ; suit la participation à la compilation « Nouveaux
Talents » produit par le label Antenne Reunion Muzik, qui assure à Letoyo la promotion du titre « Lé
pi Là » (un seggae en hommage au chanteur mauricien Kaya ); à la télévision et à la radio par le biais
de jingle, concert live et interview sur la scène du Kabardock, diffusé en direct sur Antenne Réunion.
Des propositions qui lui permettent déjà de promotionner son album au titre évocateur « Ecoute…».
En fin d’année, l’album « Ecoute » est fin prêt, forts de leurs expériences et pleins d’espoirs,
avec l’ambition de trouver distributeur et tourneur, Letoyo et son groupe souhaitent diffuser et
continuer de faire connaître leur musique, sur l’île et Ailleurs…
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Association Les Trois Peaks de Manapany
109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Mélanz Nasyon
http://www.myspace.com/melanznasyon
« Très investis du devoir de promouvoir la musique traditionnelle de notre île, nous allions
musique d’ambiance, textes engagés, ballades et maloya kabaré ».
Une bande de copains issue d’un quartier difficile prend refuge dans la musique de ses ancêtres et
exploite tous les objets qui lui tombent sous la main pour en faire naître des sons : bacs en plastiques,
fers blancs, tout est prétexte à la musique. Le groupe tire son originalité de sa capacité à allier les
différents maloyas. Le maloya est un moyen de rester en accord avec ses racines et ses ancêtres afin
d’avancer dans la vie. « Pour nous notre musique reste un moyen d’expression très fort. Il nous ouvre
de nouvelles portes tout en préservant son originalité et son authencité ».
La jeunesse du groupe, qui n’a d’égale que son talent, favorise une évolution du maloya, les membres
du groupe ouvrent des nouvelles portes, montrent leur capacité à évoluer dans le style traditionnel.
Le groupe
Thomas Medor : lead vocal
Françoise Payet : choriste
Marie-Paule Payet : choriste
Sandy Nida : rouler
David Assing : piker
Yannis Therezo : kayamb, doum-doum
Sébastien Carpaye : congas, djembé
Jhonny London : triangle, chœur
Ludovic Nida : sati
Ali Fida : djembé, yabara
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Association Les Trois Peaks de Manapany
109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Mélodia
http://www.myspace.com/babasifon
Spectacle en musique à deux voix.
Créé en 2008 par la Cie Baba Sifon, sous la direction de Léone Louis, ce spectacle « tout terrain »
raconte l’histoire de Mélodia, une petite fille qui s’ennuie toute seule sur « son île partition ». Un jour,
elle décide de partir en voyage chercher des amis, grâce à un talisman donné par son grand-père. C’est
comme cela qu’elle rencontre… 4 instruments de musique de la zone océan Indien : Bobr, Kayanm,
Kabosy et Roulèr.
L’équipe
Laurence Beaumarchais, chanteuse-parolèz. Elle chante le Jazz et les musiques populaires, depuis sa plus tendre enfance ! Diplômée en chant, du Musician Institute de Los
Angeles, elle effectue de nombreuses tournées nationales et internationales entre 1992 et 1999.
Passionnée de théâtre, elle a joué et tourné avec de nombreuses compagnies réunionnaises.
Gautier Lajoinie, musicien-parolèr. Dans son maloya, Gautier expérimente des fusions de divers
instruments et rythmes traditionnels tout en insufflant une sonorité moderne et électrique. Il excelle
dans l’improvisation et nous surprend par sa capacité à créer des sons avec ou sans instruments… !
Léone Louis, Directrice artistique, comédienne, conteuse. Elle fonde la Cie Baba Sifon en 2004. Elle
voyage du conte au théâtre, de l’Afrique à l’île Maurice. Les arts de la parole rythment sa vie !
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Association Les Trois Peaks de Manapany
109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Rocksteady Sporting Club
http://www.myspace.com/rocksteadysportingclub
« Groupe de scène qui a faim de concerts, le Rocksteady Sporting Club est tout entier dédié à
deux musiques nées à la Jamaïque dans les années 60, le ska et le rocksteady ».
Un répertoire détonnant à l’énergie très communicative, porté par des cuivres, des claviers et des
guitares ainsi que par un duo vocal des plus efficaces. Ainsi le Rocksteady Sporting Club livre un
répertoire en anglais de morceaux hétéroclites, dont le point commun semble être l’énergie intrinsèque
et l’esprit festif resté intact.
Au rayon des influences on peut citer des Jamaïcains bien sûr, d’Alton Ellis en passant par les
Skatalites, Lee Perry, Desmond Dekker, Prince Buster, Stanley Beckford, Toots & The Maytals... mais
aussi des Britanniques, Madness ou The Specials. Le groupe passe allègrement d’un standard rock
steady à un morceau de Stevie Wonder, des Beatles ou à une musique de film.
Sur scène, le groupe déploie des arrangements de qualité.
La rythmique basse-batterie-guitare-claviers est impeccable, avec breaks, accélerations et
décélerations de rigueur. Les cuivres arborent un look à la Blues Brothers avec chapeaux et lunettes
noires, esquissant quelques pas de danse pour battre la mesure. C’est David au saxophone, pas
maladroit, qui prend la plupart des solos.
Julien et Manou sont les chanteurs du groupe. Partageant le lead vocal et jouant sur leurs tonalités
complémentaires, ils cultivent un goût certain pour la bonne humeur et les incitations à la fête.
(L’AZENDA)
Le groupe
Manou la "Gueuze" (chant, choeurs)
Jul "Jenlain" (guitare, chant, choeurs)
Manu "McGuiness" (basse)
Loïc "THB" (batterie)
Fab Finger "Phoenix" (clavier)
David "Dodo" K (sax alto & tenor, guitare, choeurs)
Pat "Pelforth" (euphonium)
Phil "Fisher" (trombone)
Charlou "Chouffe" (sax bariton)
Sonorisation: Gégé. Ancien membre : Thomas (chant, guitare, batterie)
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Association Les Trois Peaks de Manapany
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VerZonRoots
http://www.myspace.com/verzonroots
« Partaz la mizik ek tout domoun »
Quand vous lui demandez qui sont ses plus grandes idoles, il vous répond sans hésiter: « Bob Marley,
Alain Peters, Henri Madoré, Serge Gainsbourg, Henri Salvador », et il pourrait poursuivre avec
Maxime Laope ou encore Lénine. Lorsque vous pensez à ses idoles, vous comprenez que le style
musical de Kristof Fruteau est aussi varié que l’engagement de ces grandes figures dans la musique.
Amour, liberté d’expression, égalité, Kristof Fruteau milite, lui aussi, pour ces valeurs et n’a qu’un
seul souhait « partaz la mizik ek tout domoun ».
Leader du groupe Verzonroots, Kristof gratte sa guitare au rythme du reggae, un reggae métissé
influencé de maloya, séga et de bossa nova. Récemment, il a sorti son 3ème album, intitulé « Ver in
Zon’ pli Roots » dont le titre phare s’appelle « Respect », une chanson dédiée aux travailleurs de
l’environnement et au respect de dame Nature. Ses chansons retracent son expérience, ses rencontres
et ses souvenirs. Aujourd’hui, il projette d’exporter toujours plus sa musique en organisant des
tournées comme celles déjà effectuées en Métropole, à Madagascar ou encore en Jamaïque. La
musique représente pour lui « in plézir é in lonér », le plaisir de chanter ce qu’il aime et un honneur de
jouer devant un public, quel qui soit.
Le groupe
Kristof Fruteau de Laclos : auteur, compositeur, interprète, guitare, kayanm
Frédérique Célestin : congas, percussions,
Jean-Lou Cornez : saxophone, flûte
Eric Acadine (Macmalamann Rico) : basse, voix, technique (leader de Positives Vibes)
Judex Baboukarimbacasse : batterie
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Association Les Trois Peaks de Manapany
109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Waki Band
http://www.myspace.com/wakiband
« Le Waki Band est le fruit de la rencontre de musiciens réunionnais ayant, entre autres
passions avouables, le goût (peut-être le mauvais…) des vieilles sonorités bourbonnaises
(séga, maloya et autres) ».
Le Waki Band ??? Un vocable cherchant difficilement à évoquer (par des clins d’œil nostalgiques) le
quartier du Waki (ou Ouaki, ou encore Woaki) à La Rivière (au sud de la Réunion, pour ceux qui ne le
savaient pas encore. Le Waki Band essaye (parfois laborieusement) de renflouer le passé déjà bien
enfoui des belles heures de la « musique en cuivre » réunionnaise en explorant notamment le
répertoire des formations de ces cinquante dernières années. Un observateur inspiré notera que Waki
(déformation de Maki) désigne aussi le lémurien (un singe quoi...) commun que l'on rencontre à
Mayotte et Madagascar. L'idée de se retrouver à "faire le singe" à certainement participé à l'éclosion
de ce groupe, voilà quelques années déjà...
Le Waki Band, après avoir écumé les bals de mariages et les défilés populaires commence
véritablement à prendre son envol depuis 2008, avec un répertoire à tête chercheuse, invitation à un
voyage permanent dans un processus de créolisation musicale. Doté d'une base fixe et d'une périphérie
à géométrie variable, le Waki Band accueille de notables et vénérables baroudeurs comme Nénésse au
Trombone, Jean Max Rivière au Sax Alto, Faldo Dubard au Sax Ténor, ainsi que de "jeunes"
aventuriers comme Jérôme Vannier à la Trompette, Ti Coq "Rousseau" à la Grosse Caisse et Sully
Fontaine à la Trompette ; sans oublier les "guest stars" des grands rendez-vous tels Ti Jean "Nativel",
virtuose de l'Accordéon "boutons" et Frédéric Piot, véritable figure montante dans le monde de la
percussion locale, à la Caisse Claire. …
Le groupe
Groupe à géométrie très variable, le Waki Band accueille pour le moment 2 trompettistes (Jérôme
Vannier, Sully Fontaine – Tp Bb), 2 saxophonistes (Jean-Max Rivière, Faldo Dubard – alto & ténor), 1
accordéoniste (Jean Nativel, dit « Ti-Jean »), 1 grosse caisse (Georges Rousseau, dit « Ti Coq »)…
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Association Les Trois Peaks de Manapany
109 bd de l'Océan – Manapany-les-Bains – 97480 Saint-Joseph – Ile de la Réunion
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Wonder Brass
http://www.myspace.com/wonderbrassreunion
Le « sound painting » est un langage qui s’adresse à plusieurs disciplines artistiques…
Wonder Brass est né en 2006 dans le sud de l’île sous la houlette de PierreWekstein, qui arrange et
compose un répertoire éclectique pour un ensemble de 20 musiciens (musique peï – freilekhs klezmer
et autres compositions). L’ensemble, composé de quatre percussionnistes, trois trombones, trois
trompettes, trois clarinettes, six saxophones, trois tubas et une flûte, va vite ajouter une corde à son
arc : le « sound painting » (Walter Thomson).
Le « sound painting » permet, par le biais d’un code gestuel très précis, de diriger l’orchestre afin de
Déranger/Réaranger la musique dans l’instant, sans préparation préalable. De l’improvisation
collective en direct… les musiciens étant alors toujours tenus en éveil. Tout pouvant être chamboulé
sans prévenir.
Dès 2007, le groupe intègre rapidement des éléments de ce code pour une utilisation en live.
En 2008, Wonder Brass joue dans les cafés concerts et dans les salles de l’île.
Début 2009, le répertoire est bien rodé. Pierre Wekstein forme de nouveaux directeurs pour l’orchestre
en vue d’assurer la relève. Il compose une suite pour Piwek (devenu depuis KOCKI HORA), Armand
Clotagatilde (textes, chants, didgeridoo, chants diphoniques), et Wonder Brass, ces derniers entourant
le public.
En juin 2009, Pierre Wekstein s’en va mais le groupe reste en contact, et il fournit toujours de
nouveaux arrangements et compositions…
La relève est assurée par Nicolas Maillet, Julien Grégoire, Loïc Simon et Jean François Lanciaux à la
direction. Toute la troupe se mobilisant pour gérer l’association et les projets.
En vue : un enregistrement et des collaborations avec des vidéastes, grapheurs, danseurs voire
comédiens. Affaire à suivre…
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Z’Oreilles Dehors
http://www.myspace.com/zdehors
« Chansons françaises écrites au gasoil des rues tropicales et dans les flaques des trottoirs de
Paname. »
A l’origine du groupe, Fabien Giuliani, auteur, compositeur, chanteur et guitariste. Originaire de Lyon,
sa guitare l’entraîne vite à Paris, puis à l’île de la Réunion où il restera 7 ans. Son groupe, à l'époque
Bab’s Child, est associé au PRMA (Pôle Régional des Musiques Actuelles) et à No Yes Madma,
mouvement rock et subversif. Il joue souvent au Palaxa, au Bato Fou, et dans les bars concerts de l’île.
Mais Paname étant toujours Paname, il y revient en 2002. S’entourant alors de nouveaux musiciens, il
fonde les Z’oreilles Dehors. Le groupe se produit très régulièrement sur Paris et sa région.
Aujourd’hui, le groupe Z’oreilles Dehors rassemble 4 musiciens: Fabien Giuliani (auteur,
compositeur, chanteur, guitariste), Olivier Hurtu (batteur), Serge Baudry (bassiste) et Laure Bruger
(violoncelliste). Sur les grosses dates nous invitons notre frère Diabolo.
Olivier Hurtu étudie la flûte traversière et la musique classique au Conservatoire National de
Montreuil. Puis virage à 180 degrés façon Rock'n Roll: il craque pour la batterie. Apprentissage du
tambour et dépucelage des poignets avec le batteur Doudou Weiss. Avec ses proches il forme le
groupe Monkey Toon (Rock progressif) puis le groupe John Barlécorne. Il travaille aussi avec le
chanteur Chelsea, le bluesman Bill Thomas, le groupe Extra Ball, etc. Olivier Hurtu devient le batteur
des Z’oreilles Dehors en juin 2008; il apporte une méthode de travail rigoureuse et un groove de haute
volée.
Après des études de violoncelle au Conservatoire, Serge Baudry tombe amoureux de la basse
électrique. Il intègre un groupe de jazz-rock, Les Cosmiques Terroir, en 1994, où il tiendra la basse 10
ans durant. Attiré par le milieu de la chanson, il devient bassiste des Choraleurs (chorale rock et
chanson); il travaille avec l’auteur-interprète Audrey Robin. Serge Baudry rejoint les Z’oreilles
Dehors en mai 2009. Il est un accompagnateur passionné et ses lignes de basse sont une évidence.
Laure Bruger commence l’apprentissage du violoncelle à l’âge de 7 ans et suit durant plusieurs années
une formation classique au Conservatoire National de Mantes-la-Jolie. Sa soif de liberté la conduit à
expérimenter d’autres styles musicaux. Elle va jouer dans des groupes d’inspirations diverses (Soan,
Cirrus...) qui vont lui permettre de développer l’improvisation. Laure Bruger rencontre les Z’oreilles
Dehors en septembre 2009 : son violoncelle nous apporte une ouverture mélodique et atypique.
Diabolo est un harmoniciste de légende. Il a soufflé et aspiré pour la plupart des auteurs, compositeurs
et interprètes de la variété et de la chanson française. La liste est longue et nous allons donc la
résumer. En 1983 il est découvert par Jacques Higelin avec qui il joue durant 5 années. Dans les
années 90, Diabolo joue avec le groupe Cyclope, Manu Dibango, les ballets de Maurice Béjart, Didier
Lockwood, Johnny Halliday... 1998 : rencontre avec Pascal Mathieu, grand magicien des mots avec
qui Diabolo fait entre autres les Francofolies. De 2000 à 2002, il joue avec Vannina Michel et Denis
Van Ecke, écrit une méthode d’harmonica (Harmonica Road) et participe à 2 longs métrages (3-zéro
de F. Ontoniente et Le plus beau pays du monde de M. Bluwal). En 2003 il joue et fait une grande
tournée acoustique avec le chanteur Christophe. De 2004 à 2005: tournée mondiale de 216 dates avec
Patricia Kass. À partir de 2005, Diabolo apporte sa collabaration à l’enregistrement de différents
albums. Mars 2009: 3 Olympia avec Christophe. Diabolo se joint aux Z’oreilles Dehors en septembre
2008. Il nous apporte sa virtuosité, son expérience et son amitié.
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Manapany Surf Festival… côté glisse
Oyé oyé ! Surfeuses et surfeurs de l’île ! L’association « Les Trois Peaks » vous invite cette
année à fêter les 10 ans de compétitions acharnées sur le site de Manapany. Venez partager
notre passion commune et passer un agréable moment sur le littoral de « Manap’ » en
compagnie de sa mascotte, le gecko vert de Manapany ! Durant cette période le Manapany
Surf Festival a pu bénéficier des meilleures conditions mais aussi des pires. Cependant, à
chaque fois, votre présence et votre motivation nous ont donné envie de remettre les pieds
dans le plat pour vous offrir le meilleur.
10e année de rapprochement entre surf et musique, cela se fête ! Pour 2010, notre association
souhaite qu’une bonne houle accompagnée d’un bon gros vent OFFshore viennent agrémenter
ce moment de glisse pure. Océane entends-nous !
Tous les surfers de ce spot mythique vous attendent pour cette occasion, afin de donner le
meilleur de vous-même et de dompter cette vague qui, en ses meilleurs jours donne aux
locaux des sensations « hawaïennes ». Vague creuse et puissante, lors des bons swells, la
vague a un fort penchant pour la biscotte de Tom Morey, mais elle n’en reste pas moins
accessible pour les représentants du « duke’s » qui ont les « corrones » bien accrochées !
Reef, caillou et eau profonde (mais pas trop quand même), font de cet endroit un lieu unique
et magique où la vague déferle 300 jours par an, les meilleures conditions étant le matin et le
soir avec une houle est-sud-est, de préférence 1m50 à 2m, offrant des bowls en V d’enfer !
Le vainqueur de l’édition précédente en bodyboard open, local du spot, remet son titre en jeu
et advienne que pourra. Et cette année, cerise sur le gâteau, la présence de deux invités VIP,
dont AMAURY LAVERNHE, premier du Championnat Mondial de Bodyboard…
La compétition débutera comme d’habitude le samedi à 8h (inscriptions) pour finir à 17
heures.
Le dimanche par contre, la première série débutera aux alentours de 7h... Hé oui, messieurs
dames, c’est relativement tôt que les meilleures conditions de ride sont réunies pour offrir un
spectacle à la hauteur de l’événement ! De plus cette année l’intégralité de la compétition sera
diffusée sur le nouveau site des 3peaks : www.3peaks.fr, offert par notre partenaire
NETINFOSECURE.
La remise des prix se fera juste avant le concert des « Washington Dead Cats » le dimanche à
partir de 17h.
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Programmation concerts
(sous réserve de modifications indépendantes de notre volonté)
Vendredi 24 septembre 2010
Samedi 25 septembre 2010
Dimanche 26 septembre 2010
Village Banian - gratuit
19h : Waki Band
20h : Byin Mayé
21h : Les Fils de Teuhpu
Scène Lézard Vert - gratuit
14h : Z’Oreilles Dehors
15h : Giloo & Tribaloya
16h : Do Pagaal
17h : VerZonRoots
Scène Lézard Vert - gratuit
12h : Les 109
13h15 : Andemya
14h30 : Batignolles
Scène Latérit - gratuit
15h30 : Rocksteady Sporting
Club
16h30 : Letoyo
17h30 : Le Bruit de la Passion
18h30 : Afromachin
Scène Ti Coin Charmant
20h : Poutrelles Fever
21h : Wonder Brass
22h : Les Fils de Teuhpu
23h : La Rue Kétanou
Scène Latérit - gratuit
13h : Mélodia (jeune public)
14h : Fabrice Legros
15h : Foldire
16h : Florent Vintrigner
17h : Remise des prix Surf
Scène Ti Coin Charmant
17h15 : Mélanz Nasyon
18h15 : Jaboticaba
19h15 : Le Pain des Fous
20h : Washington Dead Cats
BONUS
Parmi les stands installés sur le boulevard de l’Océan pendant le Manapany Surf Festival, vous pourrez découvrir
l’association Z’artsmayés qui présentera l’exposition d’une dizaine d’artistes, animera des ateliers artistiques et
réalisera une performance sur les trois jours du festival.
Programmation Surf
Samedi 25 septembre 2010
Dimanche 26 septembre 2010
Spot de Manapany-les-bains
8h-17h : compétition body-board - surf
Spot de Manapany-les-Bains
7h-16h : compétition body-board - surf
Scène Latérit
17h : Remise des prix
Comme l’année dernière, les compétiteurs bénéficient d’un espace réservé, à quelques pas du spot, qui
leur permet de se reposer et de se changer. Ce « village surf » est aménagé dans l’enceinte de l’école
maternelle de Manapany-les-Bains, rue Martin Luther King, à l’entrée du site du festival.
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INFOS PRATIQUES
Tarifs Concerts
Samedi 25 septembre 2010, scène « Ti Coin Charman » :
- Pré vente : 15 !
- Sur place, à partir de 18h : 17 !
Dimanche 26 septembre 2010, scène « Ti Coin Charman » :
- Pré vente : 12 !
- Sur place, à partir de 15h : 14 !
Forfait pour les deux jours quelque soit la date d’achat : 25 !
(entrée gratuite pour les enfants de moins de 10 ans accompagnés)
Attention, pour l’édition 2010 du Manapany Surf Festival : toute sortie est définitive
Les concerts des scènes « Lézard Vert » et « Latérit » sont entièrement gratuits, samedi 25 et
dimanche 26 septembre 2010, ainsi que la soirée d’ouverture vendredi 24 septembre 2010, qui
se déroule au « Village Banian ».
Billetterie :
Le Manapany Surf Festival est à l’ère de la dématérialisation.
Voici le principe : vous achetez vos billets en ligne (sur Internet) sur le site de Tiképéi (cf
adresse ci-dessous), vous imprimez vos billets sur une feuille A4 classique, en couleur ou en
noir et blanc. Ce document, édité avec des codes barres sera scanné par des douchettes à
l’entrée du site « Ti Coin Charman » en deux secondes à peine.
LITIGES
Ça pourrait arriver que votre billet ne puisse pas être scanné pour diverses raisons (mal imprimé, code-barres
illisible, etc). Dans ce cas le responsable de la billetterie se fera un plaisir de trouver la meilleure solution.
CE QUE DIT LA LOI
C’est la première personne qui passe au contrôle avec son billet électronique qui a raison. En clair, les petits
malins qui auraient l’idée d’imprimer un billet à volonté risquent bien d’avoir des surprises ! L’association Les
Trois Peaks de Manapany et Tiképéi.com se désengagent de toute responsabilité pour ce genre de cas.
- SUR INTERNET
http://www.sakifo.com (rubrique « Billetterie »)
- PAR TÉLÉPHONE : 0262 32 11 29
Surf
Le montant de l’inscription est de 20 ! et donnera droit, en plus de la participation à la
compétition à un tee-shirt, une invitation au concert « Ti Coin Charman » du samedi soir, et
un repas suivant le jour de passage du compétiteur.
L’inscription se fera par les clubs pour les licenciés et par email pour les autres :
[email protected] - Date limite d’inscription : samedi 18 septembre 2010, 18h.
Comment Venir ?
- De Saint-Pierre
Emprunter la RN2 direction Saint-Joseph, à Manapany-les-Bains, prendre l’entrée sur la
droite puis suivre le sens de circulation.
- De Saint-Joseph
Après le rond-point nord (fast food), prendre l’entrée sur la gauche puis suivre le sens de
circulation.
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Où Manger ?
Divers stands de restauration rapide vous sont proposés sur le site, avec un système de
tickets (le ticket coûte 2!) :
- 1 ticket = 1 boisson
- 3 tickets = 1 repas
Où Dormir ?
Possibilité de réserver des hébergements sur Manapany-les-Bains et ses environs.
Contact : Le Pays d'Accueil du Sud Sauvage
Centre nautique
3 rue Paul Demange à St Joseph
Tél : 0262 37 37 11
Mail : [email protected]
Manapany Vert
Dans un souci de protéger et respecter l’environnement, le Manapany Surf Festival vous
proposera cette année, en étroite collaboration avec « Éco Manifestation », deux concepts
écolos : les gobelets réutilisables et les toilettes sèches. Les modalités d’utilisation seront
indiquées sur place. Pour plus d’infos : www.ecomanifestation.re
Et encore plus d’informations sur : www.manapanysurfestival.com ou www.clicanoo.com ou
www.3peaks.fr
Et n’oubliez pas que vous pouvez retrouver et écouter l’ensemble des groupes locaux présents
au Manapany Surf Festival 2010 sur le site de notre partenaire www.akout.com
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L’EQUIPE DU FESTIVAL
Programmation : Pierre Macquart - [email protected]
Production : Sylvie&Sylvie – [email protected]
Communication : Valérie Koch (0692 65 10 49) – [email protected]
Régisseur général : Bruno Ronchetti (0692 40 80 95) – [email protected]
Association Les Trois Peaks de Manapany
Président : Maxence de la Grange
Trésorier : Jean-René Vienne
Secrétaire : Aude Guerlotté
REMERCIEMENTS
Le Conseil Régional
Le Conseil Général
La municipalité de Saint-Joseph et l’ensemble des services municipaux
L’OMS de Saint-Joseph
Le PRMA
La Sacem
La Ligue Réunionnaise de Surf
L’école de Surf du Sud Oxbow
Phœnix - C2
L’Effet Péi
RFO
Le Journal de l’Ile de la Réunion
L’Azenda
Akout.com
Les riverains de Manapany-les-Bains pour leur compréhension
Une grosse pensée pour Josef Cebollero, notre chargé de production,
qui nous a quitté brutalement au début de la préparation de cette 10e édition
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