Dossier de presse

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Dossier de presse
DOSSIER DE PRESSE
Gâtons la chaise
Côme Mosta-heirt
Exposition du 14 janvier au 7 mars 2009
Vernissage : Mercredi 14 janvier à partir de 18h
©André Morin
Pour ce qui est de la chaise : « Gâtons la chaise ». Outre que ce soit un objet usuel c’est avant
tout un support de bien être, et en quelque sorte un lieu où l’on se permettra de poser ces formes (« les
jambages ») dit Mosta-heirt. Le répertoire est important et n’a pas manqué d’être exploité par
certains. Mosta-heirt va agrémenter sa proposition à ce jour pour utiliser le support même en tant
que lieu de présentation ; intégré dans l’espace mobilier.
Rappelons-nous que dans une précédente exposition à Lyon dans un appartement de la place
Bellecour, suivie d’une autre exposition à la galerie Georges Verney-Carron « l’envers du lieu est
l’endroit » 1999, Mosta-heirt avait déjà utilisé le mobilier comme support d’exposition.
On sera bien obligé de reconsidérer et le lieu et la forme : cette ambiguïté critique est bien
d’actualité.
« …La couleur change la donne ; c’est bien ça par rapport à la sculpture ancienne. La couleur crée
une perturbation au niveau simple de la logique apprise. C’est avec cette donnée que l’on est
perplexe. La couleur permet ce changement non seulement au niveau de ce qu’on pourrait dire de
la peinture, mais aussi dans la manière de traiter le volume. Cet aspect déconcertant dû justement
à la couleur… »
Extrait du texte de Beaux-Arts Magazine Juin 2007 C.M.H.
« ...Ce n’est pas la mise en forme, loin de là, mais sa disposition qui va créer l’espace libre, en
quelque sorte une liberté imaginative… »
Extrait du texte de Beaux-Arts Magazine Juin 2007 C.M.H.
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Sommaire
I /- À pro p o s de l’artiste
p. 4
II /- Bio g ra phie (sélection)
p. 5
⇒ Exposi ti ons pe rs o nn e ll e s
⇒ Exposi ti ons co l l ec tiv es
III /- Texte et interview de Côme Most a-Heirt
p. 8
⇒ Texte
⇒ Inte rvi e w de C ôm e , l e 18/02/2004, à l’ate l i e r d’Aub e rvi ll i e r s par
Do m iniqu e Lago rg e tt e
IV /- Informations pratiques
p. 13
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I /- A propos de l ’artiste
NE en 1946 - Vit et Travaille à Paris
Le travail d’artiste de Côme Mosta-heirt l’a amené à différentes réflexions sur le rapport du lieu et
sur la question du volume peint dans l’espace. La même qualité de traitement de la matière est
toujours accordée à la surface des volumes qu’elle réalise. Côme Mosta-heirt fait « monter » la
couleur en apposant des couches successives de peinture de l’ocre au rouge jusqu’au bleu. La
patine sombre obtenue, résultat d’un long travail de glacis, donne une profondeur incroyable aux
volumes qui absorbent la lumière. Suivant l’éclairage ou le point de vue, ils prennent une
multiplicité de teintes. Côme Mosta-heirt crée plus que des volumes de matière, il invente des
volumes de couleur. Néanmoins, il pratique également deux autres activités parallèles à la
sculpture, le dessin et la vidéo.
En 2007, lors de l’exposition : « Expérience Pommery à Reims, L’emprise du lieu », Côme Mosta-heirt
nous présente une œuvre minimale. Celle-ci est composée de 10 bois peints de bois peints, créant
ainsi une surprise dans cet univers minéral gigantesque. Mosta-heirt présente un ensemble
spectaculaire de bois peints. On ne se trouve ni en présence de peinture, ni de sculpture mais on
aborde une dimension supérieure qui réactualise la question de la picturalité dans l’espace. Il
ouvre ainsi un champ de possibles à la question : Comment présenter la peinture ?
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I I /- Biographie (séle ction)
N é au Havr e en 1946
Vi t e t travaill e à Paris e t à Étr e tat
⇒ E xpo sitions person nelles
1974 : Galerie Éric Fabre, Paris
1977 : Galerie Éric Fabre, Paris
1979 : C-Space, New York, États-Unis
Modern Art Galerie, Vienne, Autriche
198I : Galerie Éric Fabre, Paris
Galerie Micheline Szwajcer, Anvers, Belgique
1983 : Galerie Éric Fabre, Paris
Maison de la culture, Conflans Sainte-Honorine
1985 : Musée des Beaux-Arts, Calais
1987 : Musée des Beaux-Arts, Le Havre
1992 : La Base, Levallois-Perret
1993 : Centre d’art contemporain, Kerguehennec, Morbihan
1994 : Galerie Art’o, Aubervilliers
Centre d’art contemporain de Vassivière en Limousin
1996 : Galerie Georges Verney-Carron, Villeurbanne
1999 : Galerie Georges Verney-Carron, Villeurbanne
Site Odéon°5, Paris
2002 : CheJu, Corée
École des Beaux-Arts, Nîmes
2004 : Galerie Georges Verney-Carron, Villeurbanne
2005 : Musée de Sérignan
Prieuré de Marcevol
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⇒ E xpo sitions collectives
1970 : Galerie Jacques Bonnefoux, Paris
Maison de la culture, Grenoble
1972 : Maison des Beaux-Arts, Paris
1973 : Salon des Ars, Tunis, Tunisie
1975 : Galerie Étienne de Causans, Paris
1975/76 : Galerie Morone 6, Milan, Italie
1976 : Galerie Gérard Piltzer, Paris
Galerie Mantra, Turin, Italie
1977 : Galerie Mollet-Viéville, Paris
Galerie l’Œil 2000, Châteauroux
1977/78 : Travaux/Paris 77, Paris, A.R.C Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
1978 : ja. na. pa., 13 rue du Vieux Colombier, Paris
1979 : Drawing, Hal Bromm Gallery, New York, États-Unis
1980 : L’Espace 13, Paris
1981 : Nature du dessin, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris
1982 : Centre Culturel Américain, Paris
1983 : Diagonale, Entrepôt Montevideo, Anvers, Belgique
France/Sculpture FIAC, Galerie Éric Fabre, Paris
1984 : Extra Muros, Jardin des Plantes, Lille
Œuvres Fortes pour Coffres d’Art, Banque de la Cité, Paris
Objets, Château de Vassivière
1985 : Chapelle de la Salpêtrière, Paris
1986 : Galerie Metronom, Barcelone, Espagne
The Art Museum, The RSM Collection, Cincinatti, États-Unis
1987 : Galerie de France, Paris
1988 : Biennale de Venise, Italie
1989 : Galerie Montenay, Paris
1994 : Parc du Château de Bailleul, Seine Maritime
Museum van Hedendaagse Kunst, Gand, Belgique
1997 : Galerie Georges Verney-Carron, Villeurbanne.
1998 : Hôtel d’Albret, Direction des Affaires Culturelles, Ville de Paris
CAAC, Aix-en-Provence.
Vassivière en Limousin Centre d’Art contemporain. Bilan/Actualité (1991-1998)
2002 : Musée de l’Université Nationale, Séoul (Corée)
2007 : Expérience Pommery, L’emprise du lieu
2008 : Musée des Beaux Arts Tourcoing, Tourcoing
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III /- Texte e t interviews de Côme Mosta-Heirt
⇒ T exte
La connaissance ne passe pas par les jambes !
Cependant les jambages aiment…
Le jambage du « m » introduit l’amour,
Le jambage du « n » introduit pas la haine.
La périphérie sémiotique, travaille la langue.
Le fantasme ne cède pas à la distraction.
La jambe n’est qu’un signe dans la langue.
La multitude crée l’espace !
La majorité appartient au jeu, le je…
Reprendre donc le jeu pour étudier l’aspect ludique de la pièce.
J’ai trouvé ces formes dans la nature des arbres et je m’y suis conformé en les retournant comme les
cornes du taureau égyptien l’énergique taureau égyptien qui est devenu le « A » de notre alphabet.
Comme le bréchet de mon canard qui est devenu la corne du taureau dans « tauromachérie » petit
film entre les cuisses d’une femme je fais évoluer un taureau en terre.
Je travaillais sur l’énergie aussi dans mes cuisses arboristes.
Je reprends l’anthropomorphisme et je le retourne.
J’introduis donc un double sens ; un langage muet.
Cette succession de signes apporte un soutien à ma démarche.
Il est curieux que je passe d’un bréchet de canard aux fourches des arbres.
Extrait du catalogue Sans Jambage édité par la Galerie Georges Verney-Carron, avril 2004
⇒ Interview de C ôme, le 1 8 /02 /200 4, à l’atelier d’ A u bervilliers par
Dominique L agorgette (profes s eu r à l’ u niversité de C h ambéry )
DL : Pour commencer, dis-moi quelle question tu aimerais qu’on te pose.
C. M-H : Ce serait en fait « sans jambage, est-ce que c’est une installation ? ». En tout cas, ce n’est pas
de la sculpture ni de la peinture, alors…
DL : Alors pourquoi as-tu choisi ce medium ?
CM-H : Parce que je pense que c’est une manière moderne de réactualiser la question de la
picturalité dans l’espace. Il y a abandon, après Newman et Rothko, de la peinture – donc, c’est un
vieux démon, et je reviens à cette question. Je fais un travail complètement esthétique, classique, sur
une question redoutable : la place de la peinture. Comment réhabiliter la peinture autrement que
dans un système pictural.
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DL : Une autre question que je me pose en voyant l’exposition, c’est « que veut-il nous raconter » ?
C. M-H : C’est de l’ordre du fantasmatique ; je n’essaye pas de dire la chose, mais de travailler sur
la périphérie de la chose. Au début, ça a l’air d’éléments à apparence anthropomorphique, et
finalement cet enchevêtrement aboutit à des questions sur le langage et le retournement de
question de la métaphore. L’achoppement de cette question, c’est qu’on ne peut pas réaliser une
métaphore plastique. Donc, on ne peut que trouver des subterfuges pour changer cet ordre du
monde qui est l’approche littéraire de la métaphore. L’enchevêtrement sous-tend une question sur
la spatialité, donc on revient à des questions d’ordre plastique ; mais au fond de moi-même, ce sont
des choses d’ordre fantasmatique, pour ne pas dire intimes, que cela touche. Et puis, ce qui m’amuse
beaucoup dans cette exposition, c’est que pour la première fois, j’arrive à me détacher de la chose,
je deviens un peu plus léger. Ça tient debout, mais c’est très léger.
DL : Il faut dire que ces morceaux de bois sont assez élégants…
C. M-H : Ils ne sont pas trop lourds, et ils ont des formes absolument à l’infini. C’est ça qui me plaît. La
couleur est « somptueuse », au sens classique de monter les couleurs de l’ocre au rouge et au bleu et
d’arriver à ce sombre, à cette qualité de la peinture – c’est vraiment un travail de raffinement qui
donne quelque chose d’assez léger. Avant, j’étais un peu plus formel. Là, il y a beaucoup de lectures
possibles, alors peut-être que pour la première fois le lecteur va se sentir plus à l’aise pour choisir.
Cette exposition est peut-être bien sous le signe de la légèreté.
DL : Et de l’humour, aussi ? De la polysémie ?
C. M-H : Il y a une certaine ironie : ces espèces de jambes, ces jambages - d’où « cent jambages »,
« sans jambage » - le titre de l’exposition joue là-dessus : sans difficulté, sans achoppement. Avec aussi
le détournement du nombre : le double de 50, c’est cent. Le petit film qui accompagne cette
exposition part d’une problématique ancestrale : le taureau, l’arène. « Tauromachérie » : entre les
cuisses d’une femme, cet animal robuste, sauvage, tourne autour, à l’intérieur de cette arène tracée
par moi, dans la périphérie, un graphisme qui la signale. Alors, certes, il y a toujours quelque chose
de sexuel dans l’art – mais il faut dépasser cette question. Les jambes, au départ, on les trouve dans
la nature, « V » de la victoire retourné, et puis d’un coup on s’aperçoit que ça a à voir avec l’écriture.
Et cela m’a troublé ; ce n’est pas une démonstration, ça m’est venu en le faisant. Si ce n’était qu’un
objet, ça resterait une piètre sculpture anthropomorphique, alors que là, évidemment, ça disparaît
dans l’enchevêtrement et la multitude, et c’est cela qui crée l’espace. On revient de ce fait à une
question moderne que je pose tout le temps, et je ne suis pas le seul (Brancusi, bien avant moi, la
posait déjà), celle de l’espace environnant. Le lieu d’exposition est le lieu de la peinture, de la
sculpture. Il y a aussi l’idée que l’on ne peut plus parler ni de la peinture, ni de la sculpture : on est à
court de vocabulaire, il faut renommer la sculpture. Renommée ! Est-ce un personnage ailé à mille
visages, à mille yeux qui regarde dans tous les sens ? Il y a plusieurs lectures possibles. Renommer la
sculpture, c’est ce que j’essaye de faire, mais est-ce de la peinture ? C’est toute la difficulté, la volonté
d’originalité, de poser cette question comme cela : sur des volumes, comment peindre ?
Evidemment, le côté féminin du bois m’a bien plu.
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DL : Comment ce travail-ci s’insère-t-il dans ton travail antérieur ? Le vois-tu comme une rupture ou
une continuité ? Qu’est-ce qui crée le lien ?
C. M-H : Pour moi, c’est un prolongement. Depuis la poutre posée par terre jusqu’à « The Man hit the
ball », il y a toujours eu une réflexion sur la langue. Dans les titres de mes œuvres (« Du lit rouge et
derrière les colonnes bleues, la grenouille observe », « Trisocle soclé », « Plomb pan sein », « Les
étraves »), il y a sans cesse le jeu de mots, le jeu de mots laid. C’est une vieille histoire qui me trotte
dans la tête. Toujours la métaphore ? Jean Cassou, poète et directeur du Musée d’Art Moderne à
l’époque, avait autrefois abordé la question avec Man Ray au sujet du « Cadeau » ; cela m’a
beaucoup bouleversé et j’ai suivi avec attention ces réflexions. J’ai continué ce travail malgré
parfois du découragement : je n’étais pas dans l’air du temps aux Etats-Unis ; en France, on m’a mis
dans le registre presque d’un bûcheron qui travaillait le bois ou d’un anthropomorphe forcené –
selon les camps. Ensuite, il y a eu ce florissement de la métaphore. Ainsi, avec « parti de l’être », fait de
hêtre : je joue sur le matériau.
Ce qui m’intéresse, c’est le sens verbal. [J’avais commencé à rencontrer Louis Marin, qui travaillait
sur le sens, avant son décès, qui a été pour moi un drame, intellectuel et humain. ] « La couronne de
l’arène » , toujours écrit avec des « fautes » d’orthographe volontaires, pour faire signe. Le titre de
cette exposition même n’a pas l’air à première vue de faire sens. Mais finalement, comme dans le
langage poétique, c’est le rythme, et le rythme vient de ces entrelacs de pièces de bois. Je
m’intéresse plus au langage vu du versant psychanalytique que du versant linguistique, comme
variation de ce qui n’est pas dit. « Je dis toujours la vérité, pas toute car les mots me manquent »
disait si bien Lacan, « on n’y arrive pas et c’est dans cette impossibilité que la vérité tient au réel » Ce
sont des choses de ce type qui m’intéressent. On sait bien, depuis au moins Roland Barthes, que le
langage ne sert pas qu’à communiquer, la parole est chargée d’autres choses. J’ai parfois de ces
intuitions sur le sens, des intuitions qui m’intriguent, et je me demande alors pourquoi je fais cela :
tout d’un coup, ces enchevêtrements de jambes me surprennent. Et j’en reviens à l’aspect léger : mon
travail n’est pas pédagogique ou démonstratif. On regarde les œuvres et on s’amuse d’abord :
comment ça tient ? Ça s’appuie sur le mur, mais de temps en temps ça tient tout seul. Quand il y a un
ensemble, il paraît très curieux. Les gens vont aussi découvrir la qualité de la peinture, cette couleur
vernie, cette transparence sombre, qui a des attributs de beauté, pour moi.
DL : L’aspect est frêle, fragile : d’où te vient cette envie, par rapport à tes œuvres précédentes,
beaucoup plus massives ?
C. M-H : Le côté massif me permettait d’étendre la peinture. Il y avait cette question sur le poids de
la couleur. Là, j’ai orienté le travail vers ce qui serait plutôt de l’ordre du dessin de la sculpture. La
sculpture, dessin dans l’espace. Donc, ce sont des formes très fines, pour la plupart, et le dessin est
beaucoup plus prégnant que la forme. Avant, c’était la forme dans son aspect « poids », avec une
forte assise. L’exposition du Havre a pour moi été une épreuve redoutable car le sol était noir et je
me souviens qu’à la fin de l’installation de mes œuvres, à l’exception de la très grande estrade
posée dans un espace blanc du musée et qui fonctionnait bien, l’exposition m’a paru sombrer dans
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le noir du sol – j’avais l’impression que la couleur du sol tentait de faire disparaître une certaine
partie de mon travail. Preuve que le lieu est bien évidemment essentiel !
DL : Si tu devais résumer les points importants pour l’exposition actuelle, quels seraient-ils ?
C. M-H : Il s’agit du rapport à la peinture, du rapport à l’espace ; et la légèreté de cette pièce
introduit aussi la question du dessin. Outre les jambages, il y a aussi quelques dessins (c’est une
activité très cérébrale, le dessin) ; et la vidéo, c’est un peu ma gravure à moi.
DL : Dans le cadre du rapport à l’espace, quel est le rôle du jeu d’ombres ?
C. M-H : C’est un enchevêtrement… peut-on dire « dessinatoire » ? (rires). Dans mon travail, il y a
toujours eu de la couleur, dès les pièces de 1977. Ensuite, il y a eu cet épanouissement de la couleur
avec des matériaux. C’est comme de la peinture, sauf qu’on peut voir de tous les côtés. Parmi les
gens qui m’intéressent par leur approche, il y a Baranov-Rossinet, Zadkine (deux pièces en
particulier : « Le Sculpteur » et une qui est à Boston), Larry Bell et son cube de verre, « Le grand verre »
de Duchamp, Ellsworth Kelly… Si on reprend tout cela, il s’agit de l’aspect pictural de certains
volumes qui ne sont pas montrés. Ce rapport à la sculpture peinte m’est crucial. Il y a aussi un
rapport particulier à la transparence et à la picturalité. Il y a quelques sculptures de Picasso qui
sont comme des traverses. Ma difficulté à m’inscrire dans la scène, c’est le rapport de la peinture au
volume. On peut se demander ce qui s’est passé là, cette question demande à être travaillée. Sans
jambage.
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©André Morin
Jambages, 2008
Atelier de l’artiste, Aubervillier.
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I V /– Informations pratiques
Gâtons la chaise
C ôm e M os ta-He i r t
Exposition du 14 janvier au 7 mars 2009
V e rn issage :
M e rc r edi 14 janvi e r à parti r de 18h
G al e r i e G e o rg es Ve rn ey-Car r o n
45 quai Rambaud – 6002 Lyon
Tram T1 – Montrochet
Ouv e r t du mardi au samedi de 14h à 19h
Et sur r e ndez-vo us
Vi su e l s sur demande
C ontact pr e ss e :
Chloé Perrier
Tél : +33 (0)4 72 69 08 20
Fax : +33 (0)4 72 44 97 70
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