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Bibliothèque de l’École Polytechnique de Montréal Infotech 49, Mars 2009 Sommaire Mot de l’éditeur...............................1 Infotech Mot de l’éditeur Luc Foucault Bye-bye! mon Advance!.................. 2 Tendances catalogue....................... 3 Des livres traités aux petits oignons!......................... 4 Faites vos choix................................ 5 Dépôt de thèse à rendement élevé.......................... 6 L’îlot Trésor, une oasis de culture... 7 Une collection prestigieuse............ 8 Bourses CRSNG : des détails qui comptent!............... 8 En appui aux demandes de subvention!................................ 8 Les fils qui ReSStent........................ 9 Chroniques L’heure du «compte».................. 9 Échos de la boîte à suggestions............................. 10 La Bibliothèque, c’est aussi des gens................... 11 Alors que le numéro précédent commençait par le mot de l’ « ancien » directeur, c’est par le mot de l’éditeur, éditeur par intérim par surcroît, que le présent numéro débute. Au cours des derniers mois, plus précisément entre août 2008 et février 2009, la Bibliothèque était sous la gouverne de monsieur Marc Hiller. Depuis, c’est madame Minh-Thu Nguyen qui en assure la direction par intérim. Ce mouvement de personnel n’a pas empêché la Bibliothèque de progresser dans plusieurs dossiers dont deux majeurs. C’est ce que vous constaterez à la lecture de ce numéro. Premier dossier majeur, le changement de notre système intégré de gestion de bibliothèque, communément appelé SIGB. Notre actuel SIGB a atteint l’âge vénérable de 16 ans. C’est beaucoup! Quel est le travail à accomplir et quelles sont les étapes menant à l’acquisition d’un nouveau SIGB? C’est ce que vous découvrirez en lisant l’article de Greg Whitney, responsable de ce dossier. L’article suivant d’Ingrid Lecours décrit, quant à lui, les principales tendances qui existent dans le monde des bibliothèques en ce qui a trait à la partie « visible » d’un SIGB, le catalogue Web ou, si vous préférez, l’interface de recherche. Depuis l’automne, plusieurs efforts ont été déployés en vue de la mise sur pied d’un dépôt institutionnel. Idéalement, un tel dépôt contiendrait, sous forme électronique, tous les documents scientifiques et techniques produits par les membres de la communauté polytechnicienne. Naturellement, nous en sommes encore loin. Mais déjà, un projet pilote est en cours et concerne les mémoires de maîtrise et les thèses de doctorat rédigés par les étudiants du Département de génie informatique et génie logiciel. MinhThu Nguyen nous explique les dessous de cet autre dossier majeur piloté par la Bibliothèque. Comme vous le savez, depuis quelques années la Bibliothèque a pris le virage de l’électronique. Cela ne veut pas dire que nous n’achetons plus de livres imprimés. Or, ces livres n’arrivent pas sur nos tablettes comme par magie. L’article d’André Maltais démystifie le travail que nous effectuons entre la commande d’un livre et son arrivée sur nos rayons. Parlant de livres imprimés, vous savez que nous en avons qui ne sont pas dédiés aux domaines scientifiques. Sylvie Rancourt vous les fait découvrir en présentant certains titres de notre collection culturelle. Si le contenu de son article a de quoi surprendre, ce n’est rien comparé aux lectures passionnantes que vous apporteront les livres mentionnés. D’autres articles et nouvelles ainsi que nos chroniques régulières complètent ce numéro. Aussi, c’est avec plaisir que me revient la tâche, en l’absence temporaire de Lison Dallaire, éditrice de l’Infotech, de vous souhaiter bonne lecture. !FFILIÏEÌL5NIVERSITÏDE-ONTRÏAL Infotech 49, Mars 2009 1 Bye-bye! mon ADVANCE! Greg Whitney En 1994, nous avons implanté le système intégré de gestion de bibliothèque (SIGB) ADVANCE d’Infor (à l’époque Geac). Il s’agissait alors d’un système de bibliothèque à la fine pointe. Il faut cependant se rappeler que l’Internet et la technologie Web en étaient à leurs premiers balbutiements et que le seul « navigateur » disponible pour ce Web embryonnaire était Mosaïc. Depuis, le système ADVANCE a bien sûr évolué grâce à l’ajout d’un catalogue Web et d’une suite de logiciels Windows pour le personnel. Il n’en reste pas moins que l’architecture de base et les fonctionnalités du système ADVANCE datent d’une époque… lointaine et qu’elles ne répondent plus aux exigences d’autres outils, plus modernes. Par exemple, la suite de logiciels ADV développée pour le système ADVANCE qu’utilise le personnel de la Bibliothèque n’est pas compatible avec Windows Vista, ni avec le nouveau Windows 7. Autre exemple, notre catalogue actuel GeoWeb ne peut pas vous offrir les nombreux avantages dont sont pourvus les catalogues de bibliothèques Web 2.0 : des fils RSS, la navigation assistée par facettes, des suggestions « Essayez avec cette orthographe » à la Google, l’affichage de livres connexes à l’Amazon, l’intégration dans d’autres environnements externes (ex. : Moodle), etc. En 2002, notre fournisseur Infor a même reconnu l’architecture « vieillotte » d’ADVANCE, en décidant de ne plus le développer et de lancer sur le marché nord-américain un tout nouveau produit d’origine hollandaise, Vubis Smart. Puisque le remplacement d’un SIGB nécessite un investissement avoisinant les six chiffres, la planification et le moment d’une telle opération ne s’improvisent pas. Dans son plan quinquennal d’investissement, l’École a prévu un montant pour le remplacement d’ADVANCE en 2009-2010. C’est pourquoi la Bibliothèque procède actuellement à un appel d’offres auprès de fournisseurs de SIGB. Ce processus comprend plusieurs étapes : la rédaction d’un cahier des charges (liste des fonctionnalités demandées), la tenue de diverses démonstrations de système, la diffusion de l’appel d’offres, l’évaluation des réponses des fournisseurs et, bien sûr, le choix final d’un produit. La version préliminaire de notre cahier des charges comprend une soixantaine de pages. Pourquoi autant de spécifications pour un simple système de bibliothèque? En tant qu’usagers, il est tout à fait normal que vous vous posiez cette question, car la majorité d’entre vous ne voit et n’utilise qu’un seul module d’un SIGB, soit le catalogue Web. (Vous aurez d’ailleurs un aperçu des nouvelles tendances de catalogues de bibliothèques Web 2.0 en prenant connaissance de l’article « Tendances catalogue » dans ce même numéro.) Mais là ne s’arrêtent pas les fonctionnalités d’un SIGB. En effet, celui-ci sert aussi à informatiser presque toutes les opérations de la chaîne documentaire d’une bibliothèque. Il comporte plusieurs modules cachés utilisés uniquement par le personnel, mais dont, en bout de ligne, profitent nos usagers : acquisitions (gestion des achats de la documentation imprimée et électronique), périodiques (gestion des commandes de revues), catalogage (gestion du répertoriage de la documentation acquise), prêt (gestion de la documentation prêtée aux usagers), catalogue Web (interface de recherche au public), etc. Puisque notre cahier des charges doit recenser tous les besoins propres à Polytechnique, nous avons invité l’ensemble du personnel de la Bibliothèque à participer à la rédaction de ce document, qui s’est faite au cours de l’automne 2008. Achèteriez-vous une voiture sur simple présentation d’une fiche technique ou en consultant uniquement le site Web du fabricant? Évidemment non! Il en va de même pour un SIGB. On ne peut s’en procurer un en ne se fiant qu’aux réponses données par les fournisseurs. C’est pourquoi la Bibliothèque invitera quelques chefs de file du marché des SIGB à venir nous rencontrer pour nous présenter concrètement et en détail le fonctionnement de leur système. Étant donné toute la logistique de planification requise afin de bien évaluer le système en question, ce genre de démonstration peut facilement prendre une ou deux journées. de l’un ou de l’autre : la viabilité financière et la fiabilité du fournisseur, sa vision à moyen terme, les frais d’entretien du système, la fréquence des mises à jour, les expériences concrètes et la satisfaction d’autres clients dont les besoins se comparent aux nôtres, le support technique offert, etc. Il existe plusieurs types d’appels d’offres : ouvert ou public, restreint, sur invitation. La Loi sur les contrats des organismes publics, en vigueur depuis octobre 2008, oblige les universités à procéder à un appel d’offres ouvert pour tout contrat excédant 100 000 $. La Bibliothèque doit donc aussi travailler étroitement avec le Service des finances de l’École afin de s’assurer que le contenu et le processus de notre appel d’offres ouvert respectent tous les règlements établis par le gouvernement du Québec. À l’étape de l’évaluation, il nous faut regrouper tous les critères mentionnés ci-dessus dans une seule grille d’analyse et leur attribuer une pondération. Cette grille nous permettra d’évaluer tous les fournisseurs de la même façon. Chose certaine, les nombreuses étapes de ce long processus s’avèrent nécessaires, car l’achat d’un SIGB est un investissement à long terme. Après tout, on n’en change pas tous les ans, ni même tous les cinq ans. À cet égard, rappelons que la Bibliothèque possède et exploite le système actuel ADVANCE depuis 16 ans! Bref, nous désirons acquérir un SIGB qui, en plus de répondre à nos besoins actuels, est offert par un fournisseur capable d’en assurer le développement constant afin de répondre aux besoins futurs des bibliothèques. Dans un prochain numéro, nous vous tiendrons informés de notre choix et nous vous donnerons un aperçu de l’échéancier d’implantation du futur système intégré de gestion de bibliothèque. Bien sûr, en plus des fonctionnalités et du prix d’un SIGB, d’autres facteurs doivent être pris en considération dans le choix Infotech 49, Mars 2009 2 Tendances catalogue Ingrid Lecours Vous avez probablement remarqué qu’au cours des dernières années votre catalogue a déployé des efforts pour plaire à la gent polytechnicienne, que ce soit par l’intégration de la table des matières des documents à la notice bibliographique ou même par la présence de plus en plus répandue de la couverture du document, de sa table des matières originale ainsi que de son sommaire. Son dernier coup d’éclat : le nouvel habit qu’il partage avec le moteur de métarecherche sur la page d’accueil du site Web de la Bibliothèque. Votre catalogue se prépare toutefois à une transformation extrême et examine présentement les nouvelles tendances1 et, surtout, les nouvelles possibilités qui s’offrent à lui… Pour ce qui est de l’interrogation, la tendance se modernise. Le must cette saison? Une interface de recherche simple, intuitive et conviviale. Par ailleurs, il est maintenant « in » d’intégrer un système qui corrige automatiquement un mot clé mal orthographié, ou encore de suggérer une graphie différente. De même, il est de bon ton d’effectuer la recherche non seulement sur le terme saisi, mais également sur les autres termes ayant la même racine. De cette manière, si un usager entre le mot ingénieur, le système repérera, d’une part, ses variantes au pluriel et au féminin et, d’autre part, le mot ingénierie, par exemple. Figure 1 – Affiner la recherche à l’aide de facettes (North Carolina State University). En ce qui concerne l’affichage des résultats, nous assistons à une multiplication des genres. Ainsi, il est maintenant de mise d’offrir à l’usager d’affiner sa recherche à l’aide de facettes (figure 1), ou d’aspects, tels le domaine, le type de document, la langue, ou encore d’un « nuage de mots clés » ou d’un schéma heuristique2. Ces atouts visent tous le même but : diminuer le temps de recherche et éviter que l’usager ne se retrouve devant un message désolant du type « Aucun résultat ne correspond à votre recherche »! En ce qui a trait à la consultation des références bibliographiques, le catalogue se pare résolument des accessoires de la mode 2.0. En offrant aux usagers la possibilité d’insérer des marqueurs (tags), des commentaires, des évaluations, ou encore d’ajouter des références à leurs signets partagés – tels del.icio.us ou autres –, le catalogue tendance s’ouvre à eux (figure 2). De plus, s’il s’avère que la recherche effectuée débouche sur des résultats particulièrement intéressants, il est possible de faire en sorte que l’usager soit averti par un fil RSS lorsque de nouvelles acquisitions, dont le contenu correspond au sujet de sa recherche, sont ajoutées au catalogue. Figure 2 – Fonctionnalités de l’ère 2.0 (University of Washington). Enfin, sur le plan technique, l’impression, l’envoi par courriel ou par messagerie texte, de même que l’exportation de références vers un logiciel de références bibliographiques semblent être des incontournables, alors que l’intégration même du catalogue au moteur de métarecherche est on ne peut plus en vogue. Dans cette mer de styles, de couleurs et de fonctionnalités, votre catalogue magasine encore pour se refaire une beauté. Après tout, une transformation extrême de bon goût nécessite qu’on y mette le temps! 1.C.-A. Julien, « Le catalogue réinventé », Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec. [En ligne]. Disponible : http://www.cbpq.qc.ca/congres/congres2008/Actes/Atelier11_Julien.pdf. [Consulté le 27 octobre 2008]. 2.Le schéma heuristique consiste en une représentation graphique d’aspects particuliers, s’articulant autour d’une idée centrale. Par exemple, pour le mot clé engineer, soit l’idée centrale, l’usager pourrait se voir offrir les aspects suivants : scientist, inventor, degree, salary, etc. (University of Pittsburgh) Infotech 49, Mars 2009 3 Des livres traités aux petits oignons! André Maltais Toutes les bibliothèques au monde, qu’elles soient réelles ou virtuelles, doivent traiter l’information et les supports qui la contiennent. C’est une opération obligée. Sans elle, en effet, comment repérer le livre ou l’article de revue qui nous intéresse parmi des centaines de milliers, voire des millions d’autres? Le présent article vise à démystifier le traitement qui attend, dans les coulisses, tout nouveau livre qui passe entre les mains tant de bibliothécaires que de commis et de techniciennes en documentation. Chez nous, ce traitement se réalise en sept étapes, comprises entre le moment où le livre arrive aux Services techniques en provenance des acquisitions et celui où il est prêt à prendre sa place sur les rayons de la Bibliothèque. Voyons ces sept étapes. Recherches dans notre catalogue Nous faisons d’abord une recherche dans notre catalogue afin de vérifier si notre « petit nouveau » est en lien, d’un point de vue bibliographique, avec des volumes déjà traités. Ce pourrait être, par exemple, une nouvelle édition d’un livre dont la notice fait déjà partie de notre catalogue. Il sera alors avantageux d’insérer cette notice dans le nouveau livre afin d’en minimiser le travail de description dans les étapes ultérieures. En effet, dans le cas de deux éditions d’un même livre, l’auteur, le titre, la maison d’édition, les sujets, la cote, etc., resteront presque les mêmes. Seules changeront la date de publication et la mention d’édition. Éditions nouvelles, traductions, ouvrages appartenant à la même collection ou à une même conférence, etc. : dans un cas comme dans l’autre, cette recherche préliminaire a pour but de repérer des notices modèles qui nous feront économiser du temps de travail dans les étapes à venir. Recherches dans les autres catalogues Si la première recherche est infructueuse, une technicienne vérifie alors si une autre bibliothèque n’aurait pas déjà décrit le livre qu’on a en main. Le cas échéant, pourquoi ne pas profiter du travail de nos confrères et consœurs? Pour ce faire, nous utilisons un logiciel de recherche appelé Bookwhere, qui permet de chercher simultanément dans plusieurs catalogues de bibliothèques. Avant de procéder, nous avons choisi les bibliothèques répondant le mieux à nos critères (langue, rapidité et qualité de traitement, collections exhaustives en science et en technologie, etc.) et configuré le logiciel pour qu’il cherche uniquement dans ces bibliothèques. Si une notice repérée provient, comme dans la majorité des cas, d’une bibliothèque universitaire anglophone, nous adoptons tels quels plusieurs éléments de la description et nous traduisons les autres, ce qui est plus simple que de créer une toute nouvelle notice à partir du livre. Indexation L’étape suivante consiste à attribuer au petit dernier de nos livres un indice de classification (la cote) et des sujets, d’où l’importance des étapes de recherche précédentes. En effet, comme nous l’avons dit, si notre livre est lié à une édition précédente, il y a de bonnes chances qu’il traite des mêmes sujets et que sa cote soit très semblable. De même, si une autre bibliothèque a déjà décrit notre livre et lui a attribué des sujets, notre tâche s’en trouvera grandement facilitée. On n’aura plus qu’à vérifier les sujets attribués et, s’ils nous conviennent, à les traduire en français. Si nos recherches n’ont abouti à rien, l’indexeur doit examiner l’ouvrage (lire le résumé, la table des matières, l’introduction, etc.) et lui attribuer les sujets pertinents qui, par la suite, vous permettront de repérer ce nouveau livre. Quant à la cote, elle servira, d’une part, à placer l’ouvrage sur les rayons, près des autres livres qui traitent du même sujet. Elle servira aussi, d’autre part, à retrouver l’ouvrage à partir de sa notice bibliographique. Deux outils servent de guides pour choisir les sujets et les cotes. Il s’agit respectivement du Répertoire des vedettes matière de l’Université Laval et des Library of Congress classification schedules. Catalogage Les sujets ayant été déterminés, il faut les attacher à une description de notre nouveau livre, dont la rédaction s’appelle « catalogage ». Elle comporte, pour chaque livre, plusieurs éléments : l’auteur, le titre, la date de publication, le numéro ISBN, le titre de la collection à laquelle il appartient, le nom de la maison d’édition, etc. À partir de ces éléments, on alimente ensuite les index auteur, titre, collection et autres, ce qui vous permettra de repérer le livre en question lorsque vous effectuerez des recherches dans ces mêmes index. Vérification du catalogage Une fois la description créée, elle sera relue par une technicienne afin de détecter et de corriger les erreurs (fautes de frappe, mauvais codage, etc.) qui auraient des conséquences néfastes sur le repérage en modes « mot clé » et « parcourir ». Par exemple, une recherche avec le terme « nanotubes » ne repérera pas un ouvrage dont la notice contiendrait plutôt, à cause d’une coquille oubliée, le terme « nonotubes ». La personne qui lit les notices descriptives n’est jamais celle qui les a rédigées, de sorte que c’est un « œil frais » qui les parcourt, et qu’il est plus apte à en déceler les erreurs. Tables des matières L’ajout de la table des matières d’un livre dans sa notice descriptive vous permet même d’en repérer un chapitre intéressant. Cela représente un enrichissement énorme pour le catalogue, car les mots des titres de chapitres sont généralement bien plus précis que les mots du titre d’un livre. Nous pouvons généralement sauter cette étape pour les ouvrages en anglais [»] Infotech 49, Mars 2009 4 puisque nous exportons leurs notices bibliographiques à une entreprise qui, ensuite, nous les retourne enrichies de leur table des matières. Cela se fait sans toucher au volume, simplement à partir du numéro ISBN présent dans la notice. Mais il en va tout autrement des livres en français, qui n’ont pas encore la chance qu’une entreprise s’intéresse à leur table des matières. Pour ne pas les défavoriser en ce qui a trait au repérage, un commis saisit donc les titres de premier niveau de tous ces volumes. Préparation matérielle La dernière étape du traitement d’un ouvrage consiste à le préparer physiquement à affronter sa future vie de livre de bibliothèque. Il devra être bien équipé, car il va passer dans d’innombrables mains, visiter bien des sacs à dos et chambres d’étudiants, et rencontrer bon nombre « d’indésirables » tels chats, chiens, bébés humains, mains collantes et autres cafés renversés! Pour le protéger, on recouvrira le livre d’une pellicule plastique. Si besoin est, on renforcera une couverture trop molle ou on enverra carrément le volume chez notre relieur externe. On lui apposera également une étiquette de cote pour que ceux qui veulent le consulter ou l’emprunter puissent le trouver, et pour qu’on puisse lui faire reprendre sa place sur les rayons après chaque utilisation. On lui appliquera enfin une bande de détection pour que les utilisateurs « distraits » n’oublient pas de l’emprunter officiellement s’ils veulent l’apporter à la maison. Voilà, vous savez maintenant tout (ou presque!) sur le traitement d’un livre à la Bibliothèque. En résumé, traiter un ouvrage, c’est le décrire, attacher des points d’accès (sujets, cote, auteur, titre, table des matières, etc.) à cette description et préparer physiquement un volume qui sera, nous l’espérons, consulté, emprunté et manipulé le plus souvent possible. Faites vos choix Luc Foucault Depuis septembre 2008, le lien Parutions récentes sous la rubrique Quoi de neuf de notre page d’accueil vous permet de consulter des listes de livres nouvellement parus sur le marché. Préparées par nous, ces listes se présentent selon un système de classification maison : les « grands domaines », que nous vous présentions en détail dans le numéro 47. La figure ci-dessous le reprend dans ses grandes lignes. Revenons aux parutions récentes qui apparaissent dans nos listes. Il s’agit de livres scientifiques offerts sur le marché et distribués par un de nos principaux fournisseurs. Vous pouvez consulter les parutions du dernier, des trois derniers et même des six derniers mois. De plus, il arrive souvent qu’une imagette apparaisse à gauche du titre. Un clic sur cette imagette vous donne accès au résumé et à la table des matières du livre pour que vous puissiez mieux en évaluer la pertinence. Cette fonction est intéressante, car elle vous permet d’avoir accès à des éléments qui vous aideront à mieux juger du contenu d’un volume avant d’en suggérer l’achat à partir des listes (figure 2). Par ailleurs, plutôt que de vous rappeler où se trouve le lien « Parutions récentes », nous vous invitons à vous abonner aux fils RSS pour recevoir les mises à jour associées à votre champ d’intérêt directement sur votre poste de travail. N’est-ce pas formidable? Figure 1 – Liste des grands domaines. [»] Infotech 49, Mars 2009 5 L’avenir maintenant. Vous comprendrez que nous aimerions étendre ce service, notamment en ce qui a trait aux livres publiés en français. Ce que nous pouvons dire, c’est que, notre fournisseur étant également actif en sol européen, nous croyons que la couverture du livre francophone devrait s’améliorer au cours des prochains mois. Histoire à suivre… Figure 2 – Exemple d’une liste de parutions. En cliquant sur l’imagette, vous avez accès à d’autres informations qui vous permettent de mieux évaluer la pertinence du livre. Dépôt de thèse à rendement élevé Minh-Thu Nguyen Il y a environ trois ans, un comité a été mis en place pour étudier la possibilité de diffuser électroniquement les thèses et les mémoires rédigés par les étudiants de Polytechnique. Dirigé par Jean Dansereau, directeur des études supérieures à la Direction de l’enseignement et de la formation, ce comité était composé à l’origine des directeurs de la Bibliothèque, du Service informatique et du Département de génie informatique et génie logiciel. Au printemps 2008, le comité a convenu d’aligner son approche sur celle en développement à l’Université de Montréal, en adoptant le format PDF pour la diffusion des mémoires et des thèses ainsi que l’utilisation du logiciel de dépôt à accès libre Eprints, développé à l’University of Southampton, en Angleterre. technique pour une tâche qui, dans la majorité des cas, ne se répétera pas. Différence majeure par rapport à l’approche de l’Université de Montréal, à Polytechnique, c’est le personnel – et non l’étudiant – qui effectue le dépôt et la saisie des métadonnées. De cette façon, les documents sont ponctuellement déposés et disponibles, les métadonnées sont saisies de manière uniforme et sans erreur, et les étapes administratives habituelles menant à la diplomation sont effectuées sans trop de perturbations. De plus, par cette approche, on élimine la nécessité de créer un compte pour chaque étudiant qui soumet un mémoire ou une thèse, et de lui fournir un soutien Dès l’été 2008, des membres du personnel de la Bibliothèque et du Service informatique se sont affairés à monter, à explorer et à configurer le système, nommé par la suite « PolyPublie ». Au cours de la même période, le comité s’est élargi et il a élaboré une proposition officielle pour la mise en œuvre de la diffusion électronique des mémoires et thèses, ainsi que pour l’établissement des premiers paramètres d’un projet pilote. En novembre, un nouveau serveur dédié plus efficace a été installé et des tests ont débuté au sein du Département [»] Infotech 49, Mars 2009 6 de génie informatique et génie logiciel et du Registrariat. Une chaîne de travail éprouvée a été mise en place et un guide d’utilisation détaillé a été préparé à l’intention du déposant (personnel du département) et de l’éditeur (personnel du Registrariat). niques des thèses et mémoires des étudiants de ce département. Nous en sommes à valider toute l’opération. À l’automne 2009, nous prévoyons être prêts à étendre ce service à tous les départements si l’École nous en donne le feu vert. Depuis mars 2009, un projet pilote est en cours avec la participation du Département de génie informatique et génie logiciel. Le personnel affecté à ce projet a déjà effectué les premiers dépôts électro- PolyPublie est géré conjointement par le Service informatique (machine, système, sécurité, accès, etc.) et la Bibliothèque (paramétrage, configuration, normes, formation, soutien, etc.). En terminant, mentionnons que la prochaine étape sera de déterminer les modalités d’implantation du dépôt des articles et d’autres types de documents produits à Polytechnique, et ce, à la demande de la Direction de la recherche et de l’innovation. L’îlot Trésor, une oasis de culture Sylvie Rancourt Les statistiques d’utilisation de la collection culturelle – qui était demandée depuis longtemps – prouvent que le besoin existait vraiment. Les manuels de langue figurent parmi les documents les plus empruntés. Ils sont suivis de près par les guides touristiques et les romans. Par contre, certains ouvrages semblent méconnus de notre clientèle. Vous êtes-vous déjà laissé aller à imaginer tous les trésors qui se cachent derrière les points mauves de cette collection? Les amateurs de sports friands de belles photos et de statistiques pourront se régaler de textes assez courts portant sur notre sport national ainsi que sur notre équipe de hockey préférée. Ces deux volumes se trouvent respectivement aux cotes GV 846.5 M35 2006 et GV 848 C2 B78 2003. Aux usagers attirés par l’évolution des sciences, nous suggérons : « La surprenante histoire de la fée électricité », « Une histoire du temps et des horloges » ainsi que « Histoire des sciences au Québec ». Ces trois ouvrages contiennent une mine de renseignements intéressants et sauront sûrement vous captiver. La culture vous intéresse? Qu’à cela ne tienne, nous avons aussi pensé à vous! Pour connaître les 1001 films qu’il faut avoir vus dans sa vie, rendez-vous à la cote PN 1995 M55 2006; les peintures de Claude Monet vous éblouiront dans l’ouvrage classé à la cote ND 552 S24 2006 et la bande dessinée n’aura plus de secrets pour vous après la consultation du « Dictionnaire mondial de la bande dessinée ». Les passionnés d’histoire trouveront chaussure à leur pied en feuilletant la collection « Aux limites de la mémoire ». Ces quelques documents, illustrés de photos noir et blanc, racontent des pans de l’histoire québécoise selon différents angles. « L’Hôtel du Parlement : mémoire du Québec » dévoile les secrets d’un édifice prestigieux. Enfin, l’ « Atlas historique du monde méditerranéen » propose de nombreuses cartes illustrant les frontières politiques et religieuses de cette région à travers le temps. Vous désirez pratiquer une activité qui vous permettra de vivre en bonne santé physique et mentale? Empruntez « Yoga : guide complet » et le tour sera joué! Vous cherchez l’âme sœur, mais ignorez comment être certain de l’avoir trouvée? Consultez « Êtes-vous faits l’un pour l’autre? » et vous aurez votre réponse! La collection culturelle comporte aussi plusieurs « beaux livres », véritables trésors remplis de photos uniques toutes plus attirantes les unes que les autres. Certains de ces ouvrages doivent être consultés sur place, mais la grande majorité de ces documents peuvent être empruntés par toutes les catégories de personnel et par les étudiants bien entendu. Pour vous tremper dans ce beau bouillon de culture – et pour plein d’autres bonnes raisons que vous pourrez trouver –, nous vous convions à venir faire un tour dans notre aire de détente et à y bouquiner en toute tranquillité. La surprenante histoire de la fée électricité QC 507 B63 2006 Une histoire du temps et des horloges BD 632 L27 2007 Histoire des sciences au Québec Q 127 C2 C42 1987 Dictionnaire mondial de la bande dessinée PN 6707 G28 1997 Aux limites de la mémoire F 1053 A89 L’Hôtel du Parlement : mémoire du Québec F 1053 D47 2007 Atlas historique du monde méditerranéen G 1782 M42 C42 1995 Yoga : guide complet RM 727 Y64 K72 2007 Êtes-vous faits l’un pour l’autre? HQ 801 H63 2005 Infotech 49, Mars 2009 7 Une collection prestigieuse Bourses CRSNG : des détails qui comptent! Marc Hiller Madeleine Proulx Grâce à un achat collectif négocié par la CREPUQ et auquel ont participé plusieurs bibliothèques universitaires québécoises, nous sommes en mesure de vous offrir un accès électronique à tous les volumes de la collection Lecture Notes in Computer Science publiés de 1997 à 2008 inclusivement. Lors de concours pour des bourses de haut niveau, les demandes des candidats doivent permettre aux examinateurs de repérer rapidement les citations et la contribution à la recherche des étudiants dans leur liste de publications. Une demande impeccable tant par son contenu que par sa présentation peut faire toute la différence entre obtenir ou non une bourse de plusieurs milliers de dollars. Cette collection prestigieuse, publiée par la maison d’édition Springer, comprend plus de 5500 volumes publiés depuis 1973. La plupart comprennent des comptes rendus d’ateliers et de conférences en informatique. On y trouve des communications de plusieurs de nos chercheurs. Par ailleurs, les communications d’autres chercheurs de partout dans le monde publiées dans cette collection sont régulièrement citées par les auteurs de Polytechnique. Pour l’instant, les livres de Lecture Notes in Computer Science ne sont pas répertoriés dans le catalogue de la Bibliothèque. Pour y accéder, rendez-vous sur le site www. springerlink.com et choisissez « Computer Science » sous l’intitulé « Subject Collection ». Puis, sur le côté droit de l’écran, sous « Content Type », cliquez sur « Book Series » afin d’obtenir le lien qui vous mènera à la liste complète des volumes de cette magnifique collection. À l’automne 2008, la Bibliothèque a fait ses premiers pas dans le soutien accordé aux étudiants qui veulent être candidats aux bourses du CRSNG. La démarche a consisté à insérer dans le matériel d’accompagnement des demandes des exemples de citation respectant le style CRSNG. Les types de citations ont aussi été expliqués lors de l’atelier de révision animé par Marie-Ève Plamondon, agente de recherche à la Direction de l’enseignement. Quelques candidats qui en ont manifesté le besoin ont pu profiter des conseils personnalisés de Madeleine Proulx, de la Bibliothèque. Les publications d’un étudiant des cycles supérieurs exigent tellement de travail qu’il vaut la peine de soigner les moindres détails d’un dossier de candidature à une bourse pour qu’elles soient vraiment mises en valeur. Mais les quelques minutes supplémentaires que nécessite un travail bien fait peuvent rapporter gros! En appui aux demandes de subvention! Madeleine Proulx En septembre 2008, Huguette Mallet et Madeleine Proulx ont contribué à la revue de la littérature pour une demande de subvention de la professeure Catherine Beaudry déposée aux Instituts de recherche en santé du Canada. À titre de spécialistes en recherche documentaire des banques de données en sciences et en génie, ce tandem de cerveaux a enrichi la documentation déjà répertoriée par la professeure Beaudry et ses collaborateurs. Leur apport a permis de compléter la liste des sources d’information soumise à l’organisme subventionnaire et d’établir une liste de mots clés ciblant le sujet de la recherche. Si la subvention est accordée à la professeure Beaudry, cette participation se poursuivra, car les deux consœurs deviendront membres à part entière du projet de recherche. Le travail de collaboration offert par la Bibliothèque en appui au personnel, aux professeurs et aux étudiants se concrétise parfois dans des interventions originales et diversifiées dont les retombées sont appréciées! Infotech 49, Mars 2009 8 Les fils qui ReSStent Luc Foucault Depuis la parution du dernier numéro, vous avez pu prendre connaissance de plusieurs nouvelles sur le site Web de la Bibliothèque. Qu’on pense à la barre d’outils LibX pour le fureteur FireFox, qui permet à certains services de la Bibliothèque de vous suivre partout sur le Web, ou encore à E ! Science News, un intégrateur inédit de nouvelles scientifiques créé par un étudiant de l’Université Laval. Autre exemple, le site arXiv.mobi permet la consultation d’articles scientifiques sur un cellulaire. Ces informations, et bien d’autres, sont toujours accessibles à l’adresse : www.polymtl.ca/biblio/quoideneuf/nouvelles/archive2008.php Plus récemment, en janvier 2009, l’annonce des améliorations apportées au site Science.gov, portail d’accès aux ressources scientifiques et techniques officielles américaines, a aussi fait l’objet d’une diffusion. Nous avons su piquer votre curiosité ? Surtout, ne vous gênez pas pour consulter notre site. Les nouvelles y sont regroupées dans la page Quoi de neuf?. Rappelez-vous aussi que vous pouvez vous abonner à nos fils RSS à l’adresse suivante : www.polymtl.ca/biblio/quoideneuf/rss/comment.php L’heure du « compte » Marc Hiller La crise économique s’est fait sentir à la Bibliothèque depuis le début de l’automne 2008 par la dévaluation du dollar canadien. Cela s’explique par le fait que les bibliothèques scientifiques et techniques acquièrent une part importante de leurs collections auprès d’éditeurs et de fournisseurs américains ou d’éditeurs et fournisseurs autres qui utilisent le dollar américain comme devise de facturation. Le graphique suivant montre que de juin 2004 à janvier 2008 le pouvoir d’achat du dollar canadien en relation avec le dollar américain s’est accru de façon presque continue. Nous avons certes profité de cette amélioration pour augmenter nos achats de livres ou contrer les effets des réductions budgétaires pendant quelques années. Puis, jusqu’en août 2008, nous avons vécu une période de parité entre les deux devises. Depuis, c’est la dégringolade. Qu’est-ce que cela signifie pour les achats de documents cette année? Cette année, le budget des collections est de 883 000 $. Les graphiques suivants comparent la répartition prévue du budget avec celle que nous avons adoptée à la suite de la dévaluation du dollar canadien. On constate que les hausses de coûts des revues et banques de données ont grugé la moitié de la part du budget qui avait initialement été allouée aux achats de livres. Le budget des collections est maintenant épuisé. En conséquence, la Bibliothèque tente de cibler des catégories de dépenses qui pourraient être reportées à plus tard afin de permettre l’achat d’autres livres d’ici la fin de l’année budgétaire. Infotech 49, Mars 2009 9 Échos de la boîte à suggestions André Maltais Portables critiquables Apportez votre rétroprojecteur! Le nombril du retardataire « Les portables qu’on peut emprunter comportent quelques problèmes. Premièrement, ils n’ont pas la nouvelle version d’Office alors qu’elle est installée dans tous les autres labos de l’école. Il est donc impossible de lire les fichiers d’Office 2007 sur les portables. « Une salle avec des rétroprojecteurs pour que l’on puisse réviser les oraux, serait une bonne idée. » « J’ai réservé un livre qui devait revenir le 23 novembre. Nous sommes aujourd’hui le 28 et j’en ai besoin cette semaine. La personne qui ne rapporte pas ce livre n’aura qu’à payer un ou deux dollars d’amende tandis que moi j’aurai de la difficulté à faire mon travail. Pourriezvous y faire quelque chose? » Deuxièmement, lorsqu’on travaille dans Word, la police Greek est manquante et, surtout, l’objet Microsoft Equation n’est pas disponible. Il est donc impossible d’écrire des équations, ce qui n’est pas très pratique pour la rédaction des rapports qui en contiennent des dizaines! » Alors là, on a de très bonnes nouvelles pour vous. D’abord, à l’été 2008, on a entièrement renouvelé notre flotte de portables et les 25 nouveaux qu’on a achetés permettent d’utiliser les logiciels Office 2007. Nos anciens portables ont « pris le bord » puisque, trop vieux, ils ne pouvaient supporter la version 2007 d’Office (c’est comme ça, parfois, les vieux; ça ne supporte pas grand-chose!). Autre bonne nouvelle : pour donner suite à votre commentaire, un technicien a équipé tous nos portables du logiciel Microsoft Equation. Cela s’imposait, bien sûr, étant donné la nature de vos travaux (non mais parfois, on se demande où on a la tête!). Pour terminer, disons que nous n’ajouterons pas la police Greek, d’abord, parce que nous en offrons déjà beaucoup et ensuite, parce qu’il en existe une quantité infinie et que nous ne voulons pas nous embarquer dans un service d’ajout de police à la demande. Voilà. Maintenant, on aura un peu moins honte de vous prêter nos portables. « Munir certaines des salles pour le travail en équipe de projecteurs afin de pouvoir se pratiquer lorsque nous avons des présentations orales dans nos cours ou à la fin de nos projets. » Nos salles de travail en équipe ne sont pas munies de rétroprojecteurs, mais vous pouvez facilement en utiliser un quand même. Pour cela, vous n’avez qu’à réserver l’appareil au service audiovisuel (pavillon principal : B-528.1, ou pavillon Lassonde : M-1130) et demander au personnel de ce service de l’apporter dans la salle que vous avez réservée à la Bibliothèque. Ainsi, au lieu d’apporter votre vin (ce qui ne se fait pas dans une bibliothèque!), nous vous permettons « d’apporter votre rétroprojecteur ». De plus, savez-vous que trois de nos salles de travail sont maintenant équipées d’un grand écran relié à un ordinateur? Vous pouvez donc y répéter le déroulement de vos présentations en toute intimité! Votre commentaire fait parfaitement ressortir que les conséquences d’un retard sont loin de se limiter au seul désagrément, pour le retardataire, de payer une amende. En fait, les bibliothèques sont un service collectif et l’usager qui emprunte un livre doit être conscient que, durant la période du prêt, il en prive tous les autres usagers. Toutefois, outre sensibiliser les utilisateurs les plus insouciants au fait que la terre ne tourne pas autour de leur nombril, nous ne voyons pas très bien ce que nous pourrions faire d’autre, d’autant plus que, à cause de leur prix exorbitant, la Bibliothèque ne peut globalement pas se permettre d’acheter ses livres en plusieurs exemplaires. Augmenter le montant des amendes ne nous paraît pas non plus une solution envisageable puisque notre système informatique ne nous permet pas de gérer différents types d’amendes. Nous serions alors forcés d’augmenter toutes les amendes et non pas seulement celles liées au cas que vous décrivez. Fort heureusement, il n’arrive pas souvent qu’un retardataire prive un autre utilisateur du livre dont il a besoin. Alors, si cela vous arrive, vous pouvez très bien demander à rencontrer notre responsable du service de prêt, madame Lyse Bourget, qui verra s’il n’existe pas une solution de rechange pour vous prêter le livre dont vous avez besoin (emprunt à une autre bibliothèque, par exemple). On ne va quand même pas vous laisser à la merci du nombril d’un retardataire! Infotech 49, Mars 2009 10 La Bibliothèque, c’est aussi des gens… Lison Dallaire qui se perfectionnent : Marie-Hélène Dupuis, Mireille Landry et Chantal Tétreault ont assisté à la journée de perfectionnement Colombo à l’École de technologie supérieure le 4 septembre 2008; Manon Du Ruisseau a assisté, le 18 septembre 2008, à une journée « CREPUQ/ IDLS : Partenariat CREPUQ/UWO – état d’avancement des travaux, nouvelle structure de gouvernance, perspectives et horizons nouveaux »; Marie-Hélène Dupuis a assisté à un atelier précolloque intitulé « ProfeTIC : Environnements numériques d’apprentissage et bibliothèques », à HEC Montréal, le 15 octobre 2008; Manon Du Ruisseau et Ingrid Lecours ont assisté au colloque « 10 ans de TIC à l’université : Enseignement, recherche et administration », organisé par la CREPUQ et tenu à l’École Polytechnique les 16 et 17 octobre 2008; Greg Whitney a assisté aux réunions du sous-groupe de travail NST (Nouvelles solutions technologiques) de la CREPUQ le 17 octobre 2008; Madeleine Proulx a suivi une formation intitulée « La gestion de projet », donnée à l’École de technologie supérieure les 30 et 31 octobre 2008; Manon Du Ruisseau a assisté à une formation de la CBPQ (Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec) intitulée « Utilisation et production de fils RSS en bibliothèque », le 31 octobre 2008; Ingrid Lecours et Manon Du Ruisseau ont assisté à une formation de la CBPQ intitulée « Design, développement et production de capsules vidéo didactiques », le 14 novembre 2008; Manon Du Ruisseau et Huguette Mallet ont assisté à une formation de la CBPQ intitulée « Intégrer les blogues à sa pratique : atelier de création et d’exploitation », le 28 novembre 2008. qui s’impliquent : Marie-Hélène Dupuis participe aux travaux du nouveau Groupe de travail sur la gestion concertée des opérations de prêt et d’emprunt entre bibliothèques; ce groupe a été créé en mai 2008 par le Sous-comité des bibliothèques de la CREPUQ; Claire Biron a de nouveau accepté de participer à la campagne Poly-Centraide 2008; Marie-Hélène Dupuis a fait une présentation « Mieux vaut tard que jamais : les compétences informationnelles aux cycles supérieurs », dans le cadre du colloque « 10 ans de TIC à l’université : Enseignement, recherche et administration », organisé par le Sous-comité sur les technologies de l’information et de la communication de la CREPUQ et tenu à l’École Polytechnique les 16 et 17 octobre 2008; QUI OBTIENNENT UNE AFFECTATION : Claire Biron a obtenu une affectation temporaire sur un poste de technicienne en administration de décembre 2008 à février 2009; Minh-Thu Nguyen assume le poste de directrice de la Bibliothèque par intérim depuis le 2 mars 2009. présenté « Richard le jeune »; Minh-Thu Nguyen, « Richard le gestionnaire »; Claire Biron, « Richard le bâtisseur »; Lison Dallaire, « Le harem de Richard »; et André Maltais, « Richard le gars de party ». Ce survol a permis de constater, d’une part, que Richard avait accompli beaucoup de choses à la Bibliothèque et, d’autre part, que c’est une personne qui s’implique, tant dans son travail que dans les activités sociales. Par la suite, Marc lui a remis un premier cadeau, soit la « vue panoramique » qu’il avait de son ancien bureau du pavillon Lassonde… histoire de lui faire regretter un peu le beau bureau qu’il a laissé en quittant la Bibliothèque! Puis on lui a offert un beau stylo Montblanc de la part de tout le personnel de la Bibliothèque et de M. Savard. Richard a semblé très content et ému de recevoir ces deux présents. Le party s’est ensuite déplacé au restaurant Station F de Montréal, où un bon repas nous attendait. C’est donc dans une ambiance des plus amicales que s’est déroulé ce souper. Rires, plaisanteries et taquineries fusaient de toutes parts. Une belle façon de souligner que Richard était et demeurera toujours notre bien aimé patron… mais surtout notre bon ami à tous! qui font des choses : Sylvie Rancourt et son conjoint Pierre ont présenté leur miniroman Les six bras d’Alexandra au Salon du livre de l’Estrie le dimanche 19 octobre 2008 avec une séance de dédicace. Ils ont également présenté leur album Simon et le chasseur de dragons au Salon du livre de Montréal le vendredi 21 novembre 2008 avec une séance de dédicace. qui s’amusent : C’est vendredi le 26 septembre dernier que tout le personnel de la Bibliothèque ainsi que M. Gilles Savard ont été conviés à un cocktail suivi d’un souper afin de souligner dignement le départ de Richard Dumont pour l’Université de Montréal. Le tout a débuté à 17 h par un cocktail à la Bibliothèque, où plusieurs surprises attendaient notre ancien directeur! Afin de retracer le « chemin polytechnicien » de Richard, nous lui avons dévoilé cinq photos, avec explications : Marc Hiller a En terminant, un gros merci aux organisateurs de cette belle fête : Lyse Bourget, Lison Dallaire, Nathalie Dionne, Marie-Hélène Dupuis, Marc Hiller, Huguette Mallet, Minh-Thu Nguyen et Greg Whitney. Le 16 octobre 2008, histoire de déjouer la grisaille de l’automne, le Comité [»] Infotech 49, Mars 2009 11 des activités sociales (CAS) a convié le personnel à un dîner « bouffe communautaire ». Plusieurs personnes ont répondu à cette belle invitation dont le but était de partager entre collègues de petits plats froids maison. Durant le dîner, un jeu intitulé « Fais-moi un dessin » a permis aux invités de s’amuser en dessinant au tableau un titre de conte, le thème désigné pour le jeu. Trois équipes se sont affrontées : celle de Marc Hiller, Lyse Bourget, Huguette Mallet et Manon Du Ruisseau; celle de Greg Whitney, Ingrid Lecours et Barbara Sandrzyk; et celle de Madeleine Proulx, Sylvie Rancourt et Mireille Landry. Les scores ont été respectivement de 6, 16 et 12. C’est donc l’équipe de Greg qui a été consacrée championne. Aux dires des participants, ce fut une activité bien amusante. qui fêtent Noël : Le coup d’envoi du jeu « À chacun son téteux » a sonné le début des festivités de Noël pour l’année 2008. Ce petit jeu simple, mais bien amusant, a été orchestré par Nathalie Dionne. Le but du jeu était de couvrir la personne pigée de petits cadeaux ou de petites attentions, mais sans se dévoiler. Dès les premiers jours, les participants s’en sont donné à cœur joie en envoyant des messages, des diaporamas, des photos truquées, etc. Plus le jeu avançait, plus les attentions se complexifiaient. Par exemple, Chantal Tétreault a eu droit à une salutation à la radio; François Darrick, à deux chorales; Mireille Landry, à un message lu publiquement; et Manon Du Ruisseau, à un fabuleux montage. Toutefois, toute bonne chose ayant une fin, après deux semaines intensives de tétage, on a décerné trois prix. 1. .Découvrir son téteux : Il a fallu faire un tirage au sort pour déterminer le gagnant puisque André Maltais, Louise Desaulniers, Mylène Lajoie, Ingrid Lecours, François Darrick et Francine Trudeau ont découvert leur téteux. L’heureuse gagnante fut Ingrid; 2. .Meilleur acte de tétage : La gagnante fut Huguette Mallet pour avoir orchestré le message à la radio; 3. .Pour l’ensemble de son œuvre de tétage : La gagnante fut Marie-France Lévesque. Entre-temps, Barbara Sandrzyk a lancé son jeu de chansons de Noël. Le but du jeu consistait à donner le titre de la chanson à partir d’un extrait tiré d’un couplet ou du refrain. Même si ce jeu était moins spectaculaire que le premier, plusieurs personnes y ont participé, et près de la moitié ont trouvé toutes les bonnes réponses. Un tirage au sort a déterminé la gagnante, Nathalie Dionne. tout le restaurant. Placés comme nous l’étions, autour d’une table carrée, on imagine sans peine que nous n’avions pas les coudées franches! Comme l’a fait remarquer une collègue, on peut dire que cette soirée nous a tous « rapprochés » les uns des autres! Mais trêve de plaisanterie, la soirée du 18 décembre a été très agréable, la nourriture bonne et généreuse, et l’ambiance excellente. À la mi-décembre, André Maltais nous a dévoilé le troisième jeu des festivités de l’avent : le jeu des surnoms. Comme le nom l’indique, le but du jeu était d’associer un surnom à un ou une collègue de travail. Dans la liste de 24 surnoms, il y en avait des comiques (comme Barniques ou Bouboule) et des insolites (comme Q-Tips ou Maringouin). Ti-Bœuf, la personne qui a eu le plus de bonnes réponses, et P’tite abeille électrostatique, la personne qui n’a pas été découverte, ont toutes deux gagné un prix. Pouvez-vous deviner de qui il s’agit? Barbara Sandrzyk En dernier lieu, Greg Whitney nous a proposé un amusant jeu de rôles. Dès notre entrée dans la salle multifonctions, nous devions piger un petit papier contenant nos instructions. La plupart de ces papiers étaient restés blancs, sauf pour quelques malchanceux qui devaient présenter des tics. Par exemple, Nathalie Dionne devait se passer la main dans les cheveux, Madeleine Proulx, se plaindre continuellement de l’hiver, André Maltais, être fatigué parce qu’il a passé une nuit blanche. Certains tics n’étaient vraiment pas évidents, et il fallait réellement être fin observateur! Pour conclure, sur une note plus sérieuse, le Comité des activités sociales (CAS) a souligné le bon travail de notre directeur par intérim, Marc Hiller, et, par la même occasion, a voulu l’aider dans la sélection du nouveau directeur de la Bibliothèque. Pour ce faire, il lui a proposé, pancarte à l’appui, la candidature d’un homme d’une quarantaine d’années, bon leader et disponible. Cet homme se nomme Mario Dumont! Marc a promis d’étudier sa mise en candidature et d’en parler avec son patron, Gilles Savard! Le repas de Noël, le jeudi 18 décembre, est venu clore les festivités pour l’année 2008. Nous nous sommes rendus dans un charmant petit restaurant nommé Bistro des Moulins. Notre groupe, composé d’une vingtaine de personnes, occupait qui voyagent : Greg Whitney, notre globe-trotter attitré, s’est envolé pour Las Vegas, où il a séjourné du 18 au 26 août 2008. C’est sous un ciel ensoleillé et sans nuages et par une chaude température oscillant entre 43 °C et 45 °C qu’il a entrepris de belles visites dans cette ville tape-à-l’œil qui ne dort jamais. Résidant au Caesars Palace, Greg a pu admirer le style « grécoromain » de cet immense complexe très luxueux ainsi que les derniers vestiges du passage de « Céline », dans la boutique de souvenirs. Il ne lui a fallu que 3 ou 4 jours pour visiter les principaux hôtels du fameux Strip de Las Vegas : Mandalay Bay, Luxor, Excalibur, Tropicana, New York New York, MGM Grand, Monte Carlo, Aladdin, Bellagio, Paris, Ballys, Flamingo, Imperial Palace, Harrah’s, Venetian, Mirage, Treasure Island, Wynn, Riviera, Circus Circus, Sahara, Stratosphere, etc. Il a également assisté aux spectacles O, Love et Mystère du Cirque du Soleil. De plus, il a visité le « vieux Las Vegas », le centreville original datant de 1905, qui débute à l’intersection de Freemont Street et de Main Street, la rue où les premiers casinos ont vu le jour durant les années quarante et cinquante. Fait étonnant, audessus de cette rue est suspendu, à une hauteur de 30 mètres (9 étages), un toit convexe muni d’un écran géant composé de 12 millions de voyants DEL, aussi long que cinq terrains de football! Regarder un film – 550 000 watts de son! – sur cet écran super-géant est une expérience assez hallucinante, semble-t-il! Qui dit Las Vegas, dit gambling; alors Greg a joué aux machines à sous et il a gagné 250 $! Que faire d’une telle somme? Pourquoi pas se payer un bon souper au luxueux restaurant français situé dans l’autre tour Eiffel avec une vue magnifique sur le lac artificiel et les fontaines de l’hôtel Bellagio? Là où la chemise à manche longue et le pantalon long [»] Infotech 49, Mars 2009 12 sont de mise… et où, heureusement, le restaurant prête des chaussettes aux hommes lorsqu’ils sont pieds nus dans leurs sandales! À ce souper, Greg a porté une attention particulière à la bouteille de vin qu’il commandait… les prix variant en effet de quelques dizaines de dollars à quelques dizaines de milliers de dollars la bouteille! Ce qui a le plus étonné Greg? D’une part, la fumée des cigarettes et des cigares, omniprésente dans les casinos (on n’est plus habitués à cela!), et, d’autre part, le fait qu’il y a toujours deux files d’attente (VIP et Monsieur ou Madame Tout-le-monde) partout : dans les lobbys d’hôtel, les restos, les taxis, etc. En somme, un autre beau voyage « torride » pour notre grand voyageur! André chez les Bretons! Tel pourrait être le titre de la petite histoire de voyage d’André Maltais, qui s’est retrouvé une fois de plus chez ses beaux-parents Raymonde et Ronan Douérin à Locronan, en Bretagne, du 20 mars au 16 août 2008. Un long séjour de repos pour André, sa conjointe Anne et leur fils Léo. Très rapidement, notre ami André s’est fait une petite routine : joutes de pétanque au bord de l’étang, visites au Bar des Arts, petites gâteries avec Léo à la boulangerie Brien, promenades au bord de la rivière Scorff. Pour Anne, c’était un retour à la maison familiale; pour Léo, c’était l’expérience de fréquenter une école bretonne, l’école Paul-Langevin, pour y compléter sa 3e année primaire. Il s’y est fait très facilement de nombreux amis, dont Théo, qui fut le plus significatif; ils sont devenus inséparables. Léo a également fait un « Village vacances », expression française pour un camp de vacances. Il a passé une semaine à SaintJean-de-Monts, un très beau site pour les jeunes au bord de l’océan Atlantique. Il s’y est bien amusé, d’autant plus que la mascotte du village s’appelait… Léo! En somme, pour André et sa petite famille, un beau séjour de cinq mois, une belle façon de se ressourcer et de voir le temps passer en compagnie de la parenté. André se rappellera longtemps les succulents et interminables moments passés à une table autour de laquelle des convives de toutes les générations confrontaient leurs idées avec autant de passion que de bonne humeur. Décidément, Greg Whitney a « les voyages dans le sang », et toutes les occasions sont bonnes pour quitter le Québec, surtout en hiver! Cette fois, c’est Hélène et Elzo, des amis à lui qui vivent à Rotterdam, qui lui ont demandé de devenir le parrain calviniste de Heijko, leur nouveau petit bébé. Notre globe-trotter a quitté le Québec pour s’envoler vers l’Europe durant la période des Fêtes. Il a d’abord visité le sud de l’Écosse pendant une semaine, fêtant Noël à la québécoise à Édimbourg et à Glasgow. De retour sur le continent, un petit détour en Belgique s’imposait pour visiter la ville médiévale de Bruges et acheter des feux d’artifice « costauds » pour la fête du Nouvel An. Puis aux Pays-Bas, Greg a visité d’autres villes, dont Dordrecht, Gouda, La Haye, Vlissingen, Utrecht. Le soir du Nouvel An, installé au bord du fleuve Maas (Rhin), il a lancé des feux d’artifice dans les airs, comme des dizaines de milliers d’autres Hollandais qui s’y étaient rassemblés. De 23 h 30 à 0 h 30, tout le ciel de Rotterdam s’est enflammé grâce aux milliers de feux d’artifice lancés chaque minute. Greg n’oubliera jamais cet immense spectacle pyrotechnique commun improvisé, une tradition annuelle partout aux Pays-Bas. La cérémonie de baptême du petit Heijko s’est déroulée dans une cathédrale du 13e siècle nommée Grote Kerk, à Dordrecht. Greg a dû prononcer son serment de parrain en langue hollandaise… ce qui semble avoir bien fait rire les Hollandais présents, car le « gros » accent allemand de Greg s’est fait, paraît-il, bien entendre! Une magnifique cérémonie traditionnelle, malgré l’ambiance austère calviniste, aux dires de notre collègue. qui reviennent : André Dupuis est de retour à son poste de commis à la conservation des documents aux Services techniques depuis le 2 février 2009; Cynthia Lisée a été réengagée à titre de bibliothécaire contractuelle pour donner deux sections du cours ING6900 à la session d’hiver 2009, et comme correctrice pour l’ensemble des groupes de ce cours. De plus, depuis le 25 mars 2009, elle occupe le poste de bibliothécaire aux Services d’accès à l’information, en remplacement de Geneviève Gamache-Vaillancourt. qui demeurent : Barbara Sandrzyk a obtenu le poste régulier de technicienne en documentation aux Services techniques. ET QUI QUITTENT : Mélina Carelli a quitté son poste de commis des Services techniques en mars 2009; Ingrid Lecours a obtenu un poste de bibliothécaire à la Commission scolaire de Laval. Elle a quitté le poste de bibliothécaire (remplacement de Geneviève Gamache-Vaillancourt) le 25 mars 2009. Publié deux fois par année, aux semestres d’automne et d’hiver, l’Infotech est le bulletin de la Bibliothèque de l’École Polytechnique. Il a pour but d’informer la communauté sur les activités, les ressources et les services de la Bibliothèque de même que sur les diverses tendances dans le monde des bibliothèques universitaires nord américaines. L’Infotech est diffusé par courriel, en format HTML et PDF, aux étudiants, aux professeurs ainsi qu’à tout le personnel de l’École. Un comité de rédaction de sept personnes assiste l’éditrice : Éditrice : Lison Dallaire • .Comité de rédaction : Marie-Hélène Dupuis, Luc Foucault, Geneviève Gamache-Vaillancourt, Marc Hiller, André Maltais et Sylvie Rancourt • Mise en page Web : Nathalie Dionne