Avez-vous UN talent d`écrivain

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Avez-vous UN talent d`écrivain
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Le 22 mai 2010
Avez-vous UN talent
d’écrivain ?
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Avez-vous UN talent d’écrivain ?
Faites ce test si vous avez envie de savoir ! Quel que soit le résultat n’hésitez pas à nous
envoyer votre nouvelle pour prouver que le test aurait tort éventuellement.
COMMENT PROCEDER ?
Il vous suffit de sélectionner les couleurs dans l’ordre de vos préférences
pour cette qualification particulière, d’ajouter votre mail et d’envoyer pour
recevoir immédiatement le résultat sur votre courriel.
POUR ACCEDER AUX COULEURS
Tirez vers le bas la barre de déplacement qui se situe à l’extrême droite !
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VOS SCORES
Zone de sommeil ( score négatif) : Tous les écrivains ne sont pas des
romanciers, loin s’en faut. 4000 à 5000 romans sont édités tous les ans et on
peut considérer qu’il y a en francophonie une dizaine de milliers de romanciers
professionnels ou occasionnels qui naissent et meurent virtuellement chaque
année (un écrivain est toujours immortel). Si vous atterrissez dans cette zone
et que vous n’avez jamais taquiné votre inspiration, il semblerait que votre
talent d’écrivain soit encore dans la petite graine qui n’a pas germé au soleil de
votre créativité. Refaites le test un de ces quatre pour confirmer ou infirmer ce
premier diagnostic ! Si vous retombez dans la même zone, il faudra croire que
la chance n’est pas avec vous ou que votre talent d’écrivain serait plus récessif
que dominant. Bon ! D’accord ! Il y a toujours une marge d’erreur dans ce
genre de procédure. M’enfin ! A moins d’une triche volontaire, le langage des
couleurs traduit fidèlement la vérité de vos émotions qui n’est pas toujours en
harmonie avec celle de votre raison. C’est si bon de se raconter des histoires,
parfois ! Ceci étant posé, je dois vous confier un secret mal gardé : autrefois, je
voulais écrire un premier opus, un essai psy. C’était tellement mal torché que je
ne comprenais pas moi-même en me relisant le message que je croyais avoir
passé. Personne n’aurait parié un centime sur mon pseudo-talent d’écrivain.
Même pas moi ! Je l’ai expédié à plus de 50 éditeurs par la poste. Ca m’a coûté
« bonbon ». Tout ça pour recevoir trois lettres de remerciements polis tout à
fait décourageantes. Salut l’artiste ! J’ai remisé « mon complet bleu » dans
l’armoire et j’ai remis mon bleu de chauffe de paria en serrant les mâchoires. Et
puis, à la suite d’une maladie, disons assez sérieuse, ce talent d’écrivain s’est
révélé sans avertissement. J’ai pondu coup sur coup un essai impubliable et
deux romans qui l’ont été bien plus tard. Cet aveu vous montre à quel point le
talent que vous portez peut-être en vous est capricieux et qu’il ne faut jamais
désespérer. Si vous y croyez, tous les tests de la terre ne pourront pas semer le
doute dans votre esprit. Même les BEC !
Zone de
de la conception (0 à 4/24) : A quoi ça rime de se retrouver dans
la zone de la conception ? Cela signifie que le talent que vous pensez avoir est
peut-être bien tapi dans un coin de votre héritage génétique et que votre rêve
d’écriture n’est pas un caprice. Sauf que… pour que ce talent s’éveille comme
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la belle au bois dormant, il ne suffit pas d’être un prince très télégénique et de
poser un chaste baiser sur ses jolies lèvres vermeilles. Vous devez vous assoir
devant l’écran de votre Pc ou prendre du papier et un crayon-gomme pour
commencer à écrire ce qui vous passe par la tête. L’inspiration ne vient jamais
sur commande, elle a besoin d’une rampe de lancement pour s’exprimer. En
refaisant ce test une autre fois, si votre score progresse, ce sera le signe d’un
talent embryonnaire. Si vous vous retrouvez dans la zone de sommeil, cela
voudra dire que vous n’êtes pas prêt ou pas suffisamment disponible pour
vous lancer dans l’écriture, fut-ce celle d’un courrier amical. Inscrivez à vous à
un atelier d’écriture, ça ne peut que vous faire le plus grand bien. La création
littéraire est un exercice solitaire qui a besoin du regard critique d’autrui pour
progresser.
Parmi tous les livres que j’ai commis, certains n’ont pas rencontré le succès
escompté. Peut-être parce qu’ils ont été trop vite écrits, insuffisamment
novateurs et donc peu créatifs. Ceux qui ont remporté du succès ne sont pas
forcément ceux qui m’ont demandé un plus gros effort mais plutôt ceux dont
l’approche était innovante. Mon public me sert de baromètre. Si un livre que
j’ai adoré écrire ne fonctionne pas, c’est qu’il n’a pas enrichi les connaissances
de mes fidèles lecteurs et surtout qu’il n’a pas provoqué le buzz qui fait le
succès d’un bouquin. Donc, pas de bouche à oreille, qui est à l’origine de tous
les succès littéraires. Voilà pourquoi je vous conseille de vous inscrire à un
atelier d’écriture. Se confronter avec la réalité n’est pas toujours gratifiant mais
cela vous permet au moins de ne pas vous faire des illusions sur un talent que
vous possédez, sans doute, mais que vous n’êtes pas disposé à prendre en
charge. Car un talent est comme un enfant, il doit grandir avant de devenir
adulte.
Zone embryonnaire (5 à 7/24) : Là vous basculez dans la zone des
rêveurs qui investissent leurs rêves. Ce qui veut dire ? Un rêveur de jour
(daydreamer) ne dépense jamais d’énergie pour naturaliser son rêve en réalité.
Il rêve à perte. Le rêveur investi est un personnage qui croit en son talent mais
qui doute de ses chances de parvenir à séduire son public. Et le doute, comme
vous le savez « sans doute » est le cancer de la foi en soi. Il freine les
motivations, grignote les ambitions légitimes, se métamorphose en sens
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critique pour avoir l’air intello ou en scepticisme pour accompagner l’esprit
cynique. Si vous laissez entrer le doute dans votre cœur ou votre esprit, vous
êtes fichu. Et votre talent d’écriture aussi. Combien de manuscrits envoyés aux
éditeurs sont noyés dans ce poison ? Le doute est aussi l’antidote de la
réussite. Au point que l’audace est parfois plus payante que le talent. Au
début, du moins !
Même conseil que pour la zone précédente : direction atelier d’écriture ! « ON »
vous dira que vous n’avez aucun chance d’être édité, « ON » vous promettra un
livre à compte d’auteur, si vous avez les quelques milliers d’euros à dépenser ;
« ON » vous votera un talent de poète crotté sans avenir ; « ON » regrettera à
haute voix qu’aucune fée ne ce soit penchée sur votre berceau ; mais ne vous
découragez jamais car la muse de la poésie est capricieuse et elle ne se laisse
séduire, en règle générale, que par ceux qui ont blanchi sous le harnais. Voilà !
Maintenant vous savez à quoi vous en tenir. A propos ! Apprenez à utiliser
votre clavier en aveugle et écrivez toujours en rivant votre regard sur votre
écran. Ca aide à décapoter l’inspiration ! Quand vous écrivez à la main, vous ne
vous focalisez pas sur vos doigts, n’est-ce pas ?
Zone foetale (8 à 11/24) : La zone fœtale est une zone
annonciatrice, une zone d’éveil du talent que vous couvez à votre insu ou non.
Vous avez beau vous dire que vous vous racontez des histoires, vous êtes
parfaitement capable d’en raconter une, d’histoire, à commencer par la vôtre.
Tout écrivain en herbe se doit de dresser, a priori, un bilan de son existence
sous une forme littéraire avant de plonger dans son imaginaire pour y cueillir le
fantastique ou l’inspiration. Nous nous racontons toujours en filigrane de nos
écrits, parfois même, nous nous trahissons carrément. Ce qui vous manque
peut-être encore, c’est le carburant émotionnel qui dépend du choix des mots
et de la tournure des phrases. Trop de métaphores et pas assez de rythme ! Or,
le rythme de l’écriture est fondamental pour retourner les tripes de votre
lecteur. Des phrases courtes, impératives et, de temps à autre, une phrase plus
longue suivie en cortège de ses subordonnées. Ecrivez, ne rêvez pas ! Ecrivez
n’importe quoi, tout ce qui vous passe par la tête ! Progressivement, vos idées
se rangeront en ordre de bataille, naîtra l’ébauche d’un récit. Certes, ce ne sera
pas génial mais… ce sera. Nous avons tous débuté ainsi sans trop y croire, en
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jouant à l’écrivain inspiré, assis à une terrasse de café avec un bloc-notes. Et
refaites ce BEC dans quelques jours ou semaines pour voir si vous avez évolué
dans le bon sens des aiguilles de l’horloge du temps qui passe toujours trop
vite.
Zone d’accouchement (12 à 15/24) : Etes vous déjà de la
partie, comme on dit ? Si c’est le cas, ce score vous confirme dans votre statut
d’écrivain, quel que soit le succès de vos livres, au demeurant. Nous n’avons
pas tous le bonheur d’en vivre, ce qui ne signifie aucunement que celui qui
parvient en tirer sa subsistance est une grande plume. Tout est souvent affaire
d’opportunité et de chance avant que le talent n’intervienne vraiment. Eh !
Oui ! C’est injuste, je sais, mais la vie n’est pas toujours sympa et certains
talents qui s’y croient déjà manquent de flair, sont anachroniques ou trop
boursouflés pour plaire. Ce ne sont ni les médias, ni les critiques littéraires qui
font les best-sellers, c’est le public qui décide. Si vous n’avez pas encore publié
mais que vous avez déjà beaucoup noirci le papier, c’est qu’il vous manque un
élément pour y arriver : le genre qui vous ressemble. Ne transigez pas ! Ne
vous lancez pas dans les « chicken lit » parce que c’est la mode. Vous ne
tiendriez pas la route très longtemps. Choisissez le genre qui vous colle à la
peau sans considération de mode ou d’opportunisme ! Soyez authentique
dans votre démarche, authentique avec le sujet ou le domaine qui vous séduit
ou vous ressemble. Certains écrivains qui sévissent dans les romans de terroir
ou régionaux s’en tirent très, très bien financièrement. Ce qui compte avant
tout dans notre métier, c’est la casquette que nous portons et qui fait notre
notoriété aux yeux du public. Et cette casquette, il faut du temps pour se la
visser sur la tête. Un dernier conseil : il ne faut jamais en changer au risque de
la perdre au premier coup de blues. Je connais pas mal de confrères qui ont
perdu leur crédibilité auprès de leur lecteurs en s’essayant dans des genres
littéraires où on ne les attendait pas.
Zone de
de la naissance (16 à 19/24) : Quelques dizaines de lauréats
sur des milliers de testeurs, tel est le résultat que j’ai enregistré sur tous les
internautes qui ont fait un ou plusieurs BEC et qui ont abouti dans cette zone.
La zone de la naissance n’est pas ouverte à tous. Si vous avez l’atteinte
d’entrée de jeu, c’est que vous avez un fichu talent d’écrivain déclaré ou non.
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Encore faut-il savoir dans quel genre littéraire vous pourriez devenir
incontournable ? A ce niveau, je ne pourrai pas vous aider. A vous de dénicher
la bonne piste. Désolé. Mais bienvenue au club ! Si vous n’avez pas encore été
publié, n’hésitez à nous envoyer un témoignage sur votre vie professionnelle
ou l’histoire d’une/un collègue, un coup de foudre ou une histoire pour enfants
ou ados. Vous avez peut-être une chance faire partie des « happy few » qui
signeront leurs livres en 2011.
Zone du nourrisson (20 à 24/24) : Soit vous êtes déjà une pointure du
milieu littéraire, soit vous le deviendrez si vous réussissez à libérer votre talent
des contraintes du temps. « Disponibilité » est maître mot dans ce merveilleux
métier ! Personne ne tombe dans cette zone par hasard. La marge d’erreur
existe mais elle est infime. Vous aviez une possibilité sur 43320 de tomber sur
la signature de l’écrivain génial. A moins d’avoir une chance d’enfer au jeu ou
en trichant, vous ne pouviez pas enregistrer un pareil score par hasard. Si vous
n’êtes pas encore une plume reconnue, il vous reste à le devenir, par exemple,
en nous envoyons par mail un de vos récits.
[email protected]
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