Le voleur de bicyclette - Centre d`Animation des Couronneries

Le voleur de bicyclette
A. Bouloux
Ces textes ont été écrits par les enfants de la classe de CM1/CM2 de l’école Alphonse Bouloux
(Poitiers). Ils font suite à la projection du Voleur de Bicyclette de Vittorio de Sica, film du programme «Ecole et Cinéma, les enfants du deuxième siècle».
Je suis allé au Théâtre, jeudi 7 janvier, voir «Le voleur de bicyclette», un film en noir et blanc de
92 minutes, réalisé par Vittorio De Sica en 1948.
C’est l’histoire d’un homme (Ricci) qui a été embauché comme colleur d’affiches, mais le problème c’est qu’il n’avait pas de bicyclette alors sa femme a vendu tous les draps de la maison
contre de l’argent pour acheter une bicyclette au Mont-de-Piété. Le lendemain, Ricci est allé
chercher des affiches, un pot de colle et une échelle. Et pendant qu’il était en train de coller une
affiche, un homme lui a volé sa bicyclette. Ricci courut après mais ne réussit pas à le rattraper.
Ricci continua ses recherches avec l’aide de ses amis et de Bruno, son fils.Un jour, il vit le voleur
qui parlait avec un vieux. Il courut mais là encore, il ne réussit pas à rattraper son voleur. Alors il
essaya de retrouver le vieux; il alla à la messe et le retrouva; il lui demanda où habitait le jeune et
lui dit de venir avec lui mais le vieux s’enfuit. Ricci, en sortant de l’église, revit le voleur...
Arthur M.
Jeudi 7 janvier, nous sommes allés au Théâtre voir un film italien de Vittorio De Sica : «Le voleur
de bicyclette». C’est un film en noir et blanc.
Ce film se passe en 1948 (fin de la deuxième guerre mondiale). Beaucoup de personnes sont au
chômage. Antonio Ricci trouve un emploi. Il est colleur d’affiches, mais il lui faut une bicyclette
et la sienne est au Mont-de-Piété (c’est un endroit où on laisse des objets contre de l’argent.
On peut les récupérer après en payant les intérêts). Sa femme, qui s’appelle Maria, décide de
prendre tous les draps de la maison et de les échanger contre le vélo.
Ricci rentre chez lui tout content. Le soir, Bruno, son fils de 10 ans lui lave la bicyclette. Le matin, en bicyclette, il conduit Bruno à son poste et il va travailler. Un camarade lui explique comment il faut travailler.
A son retour, Ricci colle avec ardeur une affiche quand tout à coup un jeune homme lui vole sa
bicyclette. Il crie «au voleur !». Il le poursuit, mais le jeune homme s’échappe. Il demande alors à
ses amis de l’aider.
L’un d’eux lui conseille d’aller au marché le matin. Aidé par ses amis, il cherche partout son vélo
mais il ne le trouve pas. Soudain, il reconnaît son voleur. Ricci lui demande alors de lui rendre sa
bicyclette. Mais le voleur dit qu’il ne la pas volée. Il se bagarre avec lui.
Tous les hommes du quartier accourent, mais ils sont tous pour le voleur parce qu’ils prétendent que le voleur est un honnête homme.
Pendant ce temps, Bruno est allé chercher un gendarme. Le gendarme fouille toute la maison
mais il ne trouve pas la bicyclette. Mais Ricci n’a aucune preuve que le jeune homme est le
voleur. Ricci ne se laisse pas décourager. Il continue de chercher. Après ils vont au restaurant
manger une pizza. Ce restaurant n’en fait pas, alors ils prennent une mozzarella. Bruno imite
une petite fille riche qui est en train de manger.
Kim
Au milieu de Rome, un homme ne trouve pas de travail; son fils Bruno, lui, a déjà un travail. Un
beau jour, un homme appella «Ricci !». Ricci alla le voir et l’homme lui donna un travail; il était
très content mais l’homme a dit qu’il lui fallait une bicyclette. Ricci dit «oui» est il rentra chez lui.
Là, il le dit à sa femme qui lui demanda pourquoi il avait pris cet emploi. Ricci dit «il fallait bien
nourrir la famille».
La femme va dans sa chambre et celle de leur fils et prend tous les draps de la maison puis elle
et son mari vont au Mont-de-Piété. Quand ils sont arrivés là, la femme de Ricci vend tous ses
draps pour 7500 lires. Ensuite, Ricci alla récupérer sa bicyclette.
Et le lendemain, il partit tout content coller ses affiches; mais à peine monté sur son échelle, il
se fait voler sa bicyclette. Ricci cria «Au voleur !»
Ricci chercha le voleur dans tout le quartier. Ricci le dit à ses amis. Ses amis, lui et puis Bruno
allèrent sur le marché et regardèrent tous les vélos. Ricci vit un homme qui mettait de la couleur
sur des vélos. Ricci demanda s’il pouvait voir le numéro du cadre...
Emilie
Jeudi 7 janvier, on est allé au cinéma pour voir «le Voleur de bicyclette», un film réalisé par Vittorio De Sica en noir et blanc et dont la durée est de 92 minutes.
Ce film a été tourné en Italie, en 1948 après la seconde guerre mondiale et le chômage règne.
Ricci veut travailler... mais pour travailler, il lui faut une bicyclette.
Or, dès le premier jour, Ricci se fait voler sa bicyclette, alors il part à sa recherche mais il ne la
trouve pas ou alors il tombe sur des mauvaises personnes.
Un jour, il tombe sur le bon voleur mais personne ne voulait le croire. Alors avec Bruno, son fils,
ils sont allés dans la rue pour voir s’ils ne trouvent pas le vélo. Ils ne le trouvent pas. Alors ils
en ont assez et à son tour Ricci vole une bicyclette mais là, tout le monde le voit alors il se fait
arrêter !
Moi, je trouve que le film était bien, mais c’est bête que Ricci n’ait pas retrouvé sa bicyclette.
Lucie N.
Jeudi 7 janvier, je suis allé au cinéma, au Théâtre, voir «le Voleur de bicyclette» fait après la seconde guerre mondiale, en 1948. Le film dure 92 minutes.
Ricci qui cherche du travail, trouve un emploi de colleur d’affiches mais il lui faut une bicyclette
aussi il en achète une.
Le lendemain, il colle une affiche où il y a une jolie femme et à ce moment là, il se fait voler la
bicyclette qu’il avait achetée. Après, il court pour rattraper le voleur; il prend une voiture ou un
bus pour le rejoindre mais il se trompe de monsieur. Alors il revient tout énervé parce qu’il ne
retrouve pas sa bicyclette et il donne des coups de pied dans le seau de colle.
Emmanuel
Jeudi 7 janvier, je suis allé au cinéma voir «le Voleur de bicyclette» qui est un film italien réalisé
par Vittorio de Sica.
Ça raconte l’histoire d’un monsieur qui a trouvé un travail de colleur d’affiches mais pour avoir
ce travail, il lui faut une bicyclette, alors Maria, sa femme décide d’échanger tous les draps
contre la bicyclette.
C’est la joie ! Ricci a enfin du travail, la vie va pouvoir changer.
Bruno, leur fils, aide son père à réparer la bicyclette. Le lendemain matin, pendant que Bruno
rejoint son poste car il travail déjà dans une station service, Ricci va coller ses affiches. Quand
Ricci monte sur l’échelle, on lui vole sa bicyclette. Il cherche son voleur mais il ne le trouve pas.
Ricci qui est désespéré, finit par voler une bicyclette. Mais il se fait tout de suite attraper. Le
propriétaire voit le petit garçon pleurer alors il laisse partir Ricci.
J’ai bien aimé ce film sauf la fin car c’est bête que Ricci ne retrouve pas sa bicyclette.
Yohan
Le jeudi 7 janvier 99, la classe de Marie-Paule est allée au cinéma voir «le Voleur de bicyclette».
Ce film se passait en Italie et a été tourné à Rome en 1948. C’est un vieux film en noir et blanc et
sous-titré. Je n’ai pas beaucoup aimé le film mais il y avait des moments amusants.
Ce que j’ai aimé c’est quand Bruno et son père étaient au restaurant et que l’enfant mange son
beignet au fromage. C’était amusant quand il regarde son papa.
Quand on lui vole son vélo, Ricci le recherche et il ne le retrouve pas. Plus tard, il fait une tentative pour voler un vélo mais on lui a couru après et Bruno regardait son papa. Dommage, il n’a
jamais, enfin je crois, retrouvé sa bicyclette.
Sophie
Jeudi, nous sommes allé voir «le Voleur de bicyclette» avec toute la classe. C’est un film qui se
passe à Rome en Italie. L’histoire se déroule entre 1947 et 1948 (fin de la guerre). Les hommes
chôment et essaient de trouver du travail. Un jour, Ricci (le personnage principal du film) trouve
un emploi (colleur d’affiches). Mais, pour cela, il lui faut une bicyclette et il n’en a pas. Alors, Ricci et sa femme prennent des draps pour aller les échanger contre de l’argent. Ensuite, ils vont
racheter leur bicyclette avec l’argent qu’ils ont récupéré.
Le lendemain matin, Ricci emmena Bruno son fils dans la station essence où il travaillait déjà.
Ensuite, Ricci lui dit de l’attendre où il l’avait déposé et qu’il reviendrait à 19 heures.
Alors Ricci partit coller ses affiches et c’est alors que quelqu’un lui vola son vélo. Il chercha son
vélo jusqu’à 19H30. Quand il revint à l’endroit où il avait dit à Bruno de l’attendre, celui-ci s’étonna de ne pas le voir avec sa bicyclette. Puis aidé par son fils Bruno, Ricci se lança à la recherche
de son vélo. Le soir, il rentra chez lui.
Le lendemain, il chercha désespérément jusqu’à midi où il alla au restaurant avec Bruno. Après,
Ricci partit se promener avec Bruno et il aperçut un vélo. Il regarda l’agent et quand il eut le dos
tourné, il courut voler le vélo mais les gens du coin l’avaient vu et lui coururent après.
Josselin
Jeudi, nous sommes allés au cinéma voir «le Voleur de bicyclette» un film situé à Rome après la
deuxième guerre mondiale, en 1948.
Ricci, le principal personnage de l’histoire avec son fils est au chômage. Le film commence avec
une réunion, où un employé de la mairie donne des emplois à certains. Et l’homme appelle Ricci
pour lui donner un travail de «colleur d’affiches» mais pour cela, il lui faut une bicyclette. La
sienne est au Mont-de-Piété. Donc sa femme vend tous les draps de la maison pour racheter la
bicyclette. Le lendemain, avant de partir, son fils lave le vélo. Mais quand Ricci est en train de
coller les affiches, on lui vole sa bicyclette pendant qu’il est sur l’échelle. Alors Ricci monte dans
une voiture et dit au chauffeur de suivre le monsieur, mais une fois qu’il a rattrappé le jeune, il
s’aperçoit que ce n’était pas le voleur. Alors Ricci va se plaindre à la police.
Ensuite, le lendemain, il apprend la nouvelle à tout le monde et ses amis l’aide à retrouver le vélo
sur une place où les voleurs revendent les vélos volés. Ricci ne le trouve pas, alors il s’en va avec
Bruno, son fils. A un moment Bruno en a assez alors son Père lui demande ce qu’il a, et il a faim.
Ils vont donc au restaurant.
Esther
Jeudi 7 janvier, notre classe est partie au cinéma regarder «le Voleur de bicyclette». Ce film qui
est en noir et blanc a été tourné en Italie, en 1948 (donc après la deuxième guerrre mondiale).
Ça raconte l’histoire de Ricci un homme qui est au chômage depuis deux ans. Enfin, il trouve
un emploi : colleur d’affiches, mais le problème c’est qu’il lui faut une bicyclette et justement la
sienne est au Mont-de-Piété. Maria, sa femme, en colère prend tous ses draps et les échange
contre le vélo. De retour à la maison, Bruno, son fils de 10 ans l’aide à réparer la bicyclette.
Le lendemain matin, Ricci prend sa bicyclette, installe Bruno dessus monte et part. En chemin,
il laisse son fils à son poste car il a déjà un travail et part lui-même travailler.
Mais, catastrophe : pendant qu’il était en train de coller une affiche, un jeune lui vole son vélo et
le pire c’est que non seulement il n’a plus de vélo mais il n’a pas non plus de témoins ! Donc, il
recherche son vélo avec ses amis et son fils. A un moment Ricci et Bruno se séparent. Pendant
que Ricci cherchait de son côté, il entend :
«De l’aide ! De l’aide : un noyé !!!»
Plus vite que l’éclair, il court vers la rivière. Avec impatience, il voit enfin le visage du noyé. Ouf !!
Ce n’était pas son fils. Dès qu’il eut retrouvé celui-ci sain et sauf, ils repartirent.
A un moment, comme Bruno parlait trop, Ricci lui donne une gifle...
Aloïs
Jeudi 7 janvier, nous sommes allés au cinéma voir un film réalisé par Vittorio de Sica.
L’histoire se passe en 1948 à la fin de la deuxième guerre mondiale, à Rome où beaucoup de
gens sont au chômage.
Au début du film, un homme s’appelant Antonio Ricci trouva un emploi : colleur d’affiches, mais
pour ça il lui fallait trouver une bicyclette. Il en avait une mais elle était au Mont-de-Piété. Maria,
sa femme, décida tout de suite d’échanger ses draps contre le vélo. Mais arrivés au guichet, on
leur dit que les draps étaient usés. L’employé les accepta et proposa 6000 lires et Ricci supplia
et on lui donna 6500 lires. Quand on lui rendit sa bicyclette, elle était en mauvais état, alors son
fils, Bruno, bricola le vélo.
Dès le premier jour, alors qu’il collait une image, on lui vola sa bicyclette; furieux, Ricci partit à
sa recherche avec son fils. Ricci demanda aussi à des amis de l’aider.
Le soir, un ami de Ricci lui dit que les voleurs se mettaient sur une grande place pour vendre les
objets volés. Là, on vit le voleur de Ricci qui demandait à un petit vieux de lui acheter pour 100
lires, mais le vieux refusa et s’en alla. Ricci courut après le voleur mais celui-ci était déjà loin.
Alors Ricci retrouva le vieux et lui demanda si il connaissait le jeune homme. Le vieux répondit
non.
Bruno commençait à avoir faim, alors ils sont entrés dans un restaurant et mangèrent tous les
deux une mozzarella. A la fin Ricci demanda à Bruno de rentrer par le tramway.
Kévin
Le voleur de bicyclette : c’est un film en noir et blanc de Vittorio de Sica que nous sommes allés
voir le jeudi 7 janvier.
Ça parle de Ricci, un homme est au chômage depuis deux ans et pourtant, un jour, il reçoit
un travail : colleur d’affiches. Le seul problème est qu’il lui faut une bicyclette. Alors Maria, sa
femme donne tous ses draps pour que Ricci récupère sa bicyclette au Mont-de-Piété.
Mais là, dès le premier jour de travail, un gros malheur arriva; quand il collait une affiche
quelqu’un lui vole sa bicyclette. Ricci crie «au voleur, au voleur» mais le complice du voleur lui
indique une fausse piste. Alors Ricci va récupérer Bruno son fils en retard, à 19h30 au lieu de
19h00.
Le lendemain, Ricci, Bruno et des amis de Ricci partent à la recherche du vélo. Mais personne
ne la retrouve cette belle bicyclette Fidès. Un homme ramène Ricci et Bruno avec son camion,
mais tout à coup il se met à pleuvoir. Le camionneur les dépose et repart. Bruno et Ricci vont se
protéger de la pluie.
Quand la pluie cesse enfin, ils s’apprêtent à s’en aller quand Ricci aperçoit leur voleur qui essaie
de vendre quelque chose à un vieux monsieur mais le vieux refuse et il s’en va; le voleur fait de
même et Ricci essaie de le suivre mais il n’y arrive pas. Alors il rattrape le vieux et lui fait dire où
habite le voleur. Deçu, il demande à son fils s’il veut manger. Celui-ci répond oui. En sortant du
restaurant, Ricci aperçoit de nouveau le voleur, il lui court après et le rattrape.
Arrivé chez lui, le voleur se fait attraper mais les villageois se retournent contre Ricci et le voleur
fait une crise d’épilepsie. Bruno appelle alors un gendarme. Le gendarme fouille la maison et ne
trouve rien.
Alors Ricci essaie de voler un vélo mais le propriétaire l’attrape tout de suite mais il le laisse
quand même partir libre.
Jérémie
Jeudi 7 janvier, je suis allé au cinéma avec ma classe voir «le Voleur de bicyclette». C’est un film
en noir et blanc de Vittorio de Sica. Ce film a été joué par des acteurs non professionnels. L’histoire se passe à Rome en 1948.
Un homme appelé Antonio Ricci qui était au chômage, trouve enfin un emploi de colleur d’affiches. Pour travailler il lui faut une bicyclette; malheureusement, la sienne est au Mont-de-Piété; alors sa femme, Maria, décida d’échanger tous les draps contre la bicyclette.
Quand son fils, Bruno, l’a remise à neuf; Ricci le dépose à la station service où l’enfant travaille.
Aussitôt fait, Ricci va coller ses affiches mais il se fait voler sa bicyclette. Ricci et Bruno partent
alors à la recherche du voleur...
A la fin du film, Ricci vole lui-même une bicyclette mais il se fait attraper. Grâce à Bruno, Ricci
repart libre.
J’ai bien aimé sauf la fin. J’ai surtout rigolé quand Bruno pile net devant une voiture puis il
avance et il recule devant une autre voiture. Je n’ai pas aimé quand Bruno regarde toujours
son père. Les personnages principaux sont Ricci, le voleur d’affiches, Bruno le fils qui aide sont
père, et un peu Maria la femme de Ricci.
C’est injuste (dans le film) car dès que Ricci se fait voler sa bicyclette, personne ne l’aide sauf
deux personnes, alors que dès qu’il en vole une, un quartier entier le poursuit !
Ensuite, nous sommes rentrés à l’école, nous avons parlé du film et on a fait notre sac.
Benjamin
Hier, nous sommes allés au cinéma pour regarder «le Voleur de bicyclette». J’ai aimé ce film
parce qu’on a volé la bicyclette de Ricci alors qu’il avait trouvé un travail enfin grâce à un monsieur.
Au début il n’avait pas de bicyclette alors sa femme vend des draps pour en avoir une. Le lendemain Ricci va travailler avec sa bicyclette mais quand il travaillait, on lui a volé sa bicyclette
alors il part à la recherche du voleur mais il est trop tard, il va donc continuer son travail.
Le lendemain, avec son fils, il va chercher sa bicyclette. Un moment il va se mettre à pleuvoir et
ils courent sous la pluie, mais son fils tombe par terre alors il demande à son père un mouchoir
pour essuyer ses jambes et sa tête. Dès que la pluie s’arrête ils vont continuer la recherche du
vélo. Un moment, Bruno a faim, alors son père, Ricci, décide d’aller au restaurant. Dès qu’ils
sont arrivés au restaurant, Bruno regarde derrière lui; il y avait une fille qui était moche et pendant qu’il mangeait, il ne faisait que de la regarder. Dès la sortie du restaurant, ils continuent de
la chercher.
A la fin, Ricci, à son tour, vole un vélo; comme on allait lui faire mal et l’emmener, les gens le
laisse partir en voyant le chagrin de son enfant.
Marlène
Le jeudi 7 janvier, on est allé au Théâtre pour voir un film en noir et blanc qui s’appelle «le Voleur
de bicyclette»; c’est un film italien qui a été tourné en 1948; il se passe à Rome (Italie).
Antonio Ricci vient d’avoir un travail, il est colleur d’affiches; son patron lui dit d’avoir un vélo à
tout prix. Alors quand Ricci rentre chez lui, sa femme qui s’appelle Maria prend tous les draps
de la maison, et en échange récupère la bicyclette qui était au Mont-de-Piété.
Le matin vers 6h30, l’homme doit aller travailler, il prend son fils Bruno et le dépose à la station-service où celui-ci travaille et lui dit de l’attendre car il viendra le chercher à 19h00.
Mais alors que Ricci collait une affiche, un jeune lui vola sa bicyclette et quand Ricci voulut monter dans la tram pour aller chercher son fils, un monsieur lui dit de faire la queue, et il arriva à
19h30 au rendez-vous.
Au marché Victorio, le lendemain, un ami de Ricci qui l’aidait à retrouver le vélo volé avait vu
un cadre, alors il appela Ricci qui demanda à voir le numéro inscrit dessus, le marchand refusa
alors Ricci alla appeler un policier; et après avoir vu le numéro du cadre, Ricci dit qu’il s’était
trompé.
Un autre ami accompagna Ricci et Bruno à un deuxième marché et là, la pluie commença à
tomber, Bruno et Ricci filèrent pour aller s’abriter. Ricci reconnu alors le voleur qui parlait avec
un vieux; ils coururent après lui mais ils le perdirent de vue. Ricci rattrapa le vieux qui refusa
d’abord de parler, mais après, il lui dit l’adresse; Ricci alla voir le jeune mais celui-ci fit l’innocent
et il eut une crise d’épilepsie.
Comme Ricci ne retrouvait pas sa bicyclette il décida d’en voler une mais on l’attrapa puis on le
laissa partir libre.
Henri
Jeudi après-midi, ma classe et moi, on est allé au cinéma voir un film en noir et blanc, qui s’appelle «le Voleur de bicyclette», et qui a été fait par Vittorio de Sica. Il était bien. En fait c’est
l’histoire d’un monsieur qui est au chômage, d’ailleurs presque tous les hommes sont au chômage à cause de la deuxième guerre mondiale, car le film se passait en 1948. Et lui, ce monsieur
qui s’appelle Antonio Ricci trouve enfin un emploi de colleur d’affiches, mais pour qu’il fasse ce
métier, il lui faut une bicyclette.
Sa femme, Maria, décide d’échanger les draps de la maison contre une bicyclette, et les gens
chargés de l’échange lui ont donné une bicyclette. Ricci et Maria étaient très contents. Maintenant Ricci a un travail.
Mais c’était trop beau, Ricci, au travail, s’est aussitôt fait voler sa bicyclette quand il était en
train de coller une affiche. Il va alors chercher son fils...
Maud
Jeudi 7 janvier, c’est la date à laquelle nous sommes partis en bus voir «le Voleur de bicyclette».
C’est un film en noir et blanc réalisé par Vittorio de Sica, dont le scénario est de Cesare Zavattini et l’histoire tirée d’un roman de Luigi Bartolini. Le film a été fait en Italie en 1948.
Ricci cherche désepérément du travail. Un jour, par miracle, on l’appela pour un poste de
colleur d’affiches, mais il doit s’y présenter avec une bicyclette. Comme se bicyclette est au
Mont-de-Piété; il faut une certaine somme d’argent pour la récupérer; Maria, sa femme, décide de prendre tous les draps de la maison contre 1500 francs. Après avoir repris la bicyclette
l’homme se présenta à son travail.
Ando
Le jeudi 7 janvier, nous sommes allés au cinéma pour voir «le Voleur de bicyclette». C’est un
film italien, en noir et blanc, de Vittorio de Sica.
En 1948, à Rome à la fin de la deuxième guerre mondiale, Antonio Ricci trouve du travail comme
colleur d’affiches, mais pour ça il lui faut sa bicyclette qu’il a donné au Mont-de-piété contre de
l’argent. Alors, sa femme prit tous ses draps pour les échanger contre de l’argent. Avec ça, il
put reprendre sa bicyclette et commença à travailler.
Le jour suivant, alors qu’il collait ses affiches, un jeune homme lui vola sa bicyclette. Ricci courut après mais il allait trop vite. Aidé par ses amis et surtout par Bruno, son fils, Ricci reste en
ville à la recherche de son vélo.
Plus tard, le père et le fils allèrent au restaurant où ils prirent une mozzarella. Peu après, Ricci
retrouva le voleur mais tout le monde était contre lui. Alors Ricci à son tour vole un vélo. Mais
lui, il se fait tout de suite attraper. Le propriétaire du vélo voulut le mettre en prison mais il vit le
chagrin du petit garçon, il laissa partir Ricci libre.
Lucie M.
Jeudi 7 janvier avec Ciné-Gamin, nous sommes allés voir «le Voleur de bicyclette»; c’est un film
en noir et blanc qui a été fait en 1948.
A Rome après la seconde guerre mondiale, Antonio Ricci trouve un travail mais pour y aller, il lui
faut tout de suite une bicyclette. Sa femme échange tous les draps de leurs lits au Mont-de-Piété contre une bicyclette. Ricci a enfin du travail, il est content. Bruno son fils aide beaucoup son
père; il l’aide à remettre en état son vélo.
Le matin, quand Bruno son fils est déjà à son poste (il travaille à une station service) Ricci colle
ses affiches. Quand il veut monter sur l’échelle, un jeune garçon lui vole son vélo; il lui court
après pour le récupérer mais impossible de retrouver le voleur. Un monsieur lui court après
aussi car il croyait l’avoir vu passer. Ricci essaie de le retrouver dans toute la ville. A la fin, Ricci vole lui aussi une bicyclette mais il se fait attraper, car lui, il ne sait pas voler les bicyclettes.
Tous les gens l’entourent, lui donnent des claques, lui tirent les cheveux. Le petit Bruno a du
chagrin. Le propriétaire du vélo regarde Bruno et voit bien qu’il a du chagrin, alors il dit aux
autres de lâcher Ricci. Nous ne savons pas si Ricci retrouve sa bicyclette ou pas.
Anthony
Jeudi 7 janvier, la classe de Marie-Paule Dautel est allée voir un film de Vittorio de Sica : «le Voleur de bicyclette».
L’histoire se passe à Rome après la deuxième guerre mondiale et le chômage touche pratiquement tous les hommes. Ce jour là, Antonio Ricci, un homme qui porte toujours un chapeau sur
la tête, trouve un emploi de colleur d’affiches, mais il lui faut absolument un vélo pour aller plus
vite.
Arrivé chez lui, il annonce la nouvelle à sa femme mais il lui dit qu’il ne peut pas accepter ce travail car son vélo a été échangé au Mont-de-Piété pour un peu plus d’argent.
La femme, sans hésiter, prend tous les draps de la maison et va avec Antonio au Mont-de-Piété
pour les échanger contre un vélo. Arrivés la-bas, ils échangent les draps contre un vélo de la
marque Fidès, qui, à mon avis, était celui qu’il avait déjà échangé contre l’argent.
Le lendemain, il va dans la salle où on doit savoir ce qu’on va coller comme affiches et le patron
lui dit qu’il commencera à 6h45 du matin.
Quand il revient de là-bas, il demande à Bruno son fils de 10 ans, qui lui, avait déjà trouvé un
emploi dans une station-service, de laver son vélo (mais il était déjà propre).
Le jour J, on lui apprend à coller les affiches, ensuite il y va tout seul, alors il monte sur son
échelle et, toc ! Dès sa première affiche, on lui vole son vélo.
Il porte plainte auprès d’un policier mais le policier s’en désintéresse. Alors, il va chez une
voyante qui lui dit que c’est tout de suite ou jamais qu’il retrouvera son vélo. Alors, il se met tout
seul à sa recherche.
Après bien des péripéties, il trouve le coupable, mais Antonio est rejetté.
Alors, à son tour, il trouve un vélo, monte dessus et pédale à toute allure mais on le rattrape,
c’est alors que le propriétaire de ce vélo le laisse partir car il a vu Bruno pleurer.
Je n’ai pas aimé le côté injuste du film, mais en tout cas j’ai bien aimé le moment où toutes les
bicyclettes des colleurs d’affiches partent en tournée ! En conclusion, ce film m’a bien plu.
Medhi
Jeudi 7 janvier, avec ma classe, nous avons été au Théâtre voir un film. Il a été tourné en 1948, à
Rome. Ça s’appelle «le Voleur de bicyclette». Nous y sommes allés en car. Une autre classe est
montée avec nous. Le film était en noir et blanc.
Ce qui est bien dans le film, c’est que les mots étaient traduits dessous mais on comprenait
quand même. Le film a été réalisé par Vittorio de Sica.
Dans le film, je n’ai pas aimé le fait qu’à la fin, on ne sait pas si le personnage retrouve sa bicyclette ou non.
Le petit garçon joue bien; quand il rentre dans le grand restaurant, il prend son couteau et sa
fourchette mais il ne peut pas couper, alors, pour aller plus vite, il mange avec ses mains. Une
fille se retourne horrifiée; elle, elle mange proprement. Ils se regardent. Un moment, Ricci veut
voler une bicyclette mais on l’a vu; des gens lui ont couru après et il n’a pas pu s’échapper avec
la bicyclette.
Jocya