Téléchargez la convention LEADER du Pays de la Vallée du Lot 47
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CONVENTION Relative à la mise en œuvre de l’axe IV (Leader) du Programme de développement Rural Hexagonal (PDRH) en Aquitaine Entre La structure porteuse, Syndicat Mixte pour l’Aménagement de la Vallée du Lot 47 du Groupe d’Action Locale, Pays de la Vallée du Lot 47, ci après désigné « GAL », représenté par M. Patrick Cassany, agissant en vertu d’une délibération en date du 23 septembre 2008. Et L’Etat, ci après désigné « Autorité de gestion » représenté par le Préfet de Région, M. Francis IDRAC, Le Cnasea, établissement public, ayant son siège au 2, rue de Maupas – 87040 Limoges cedex, ci après désigné « organisme payeur », représenté par son directeur général, Michel JAU et par délégation par son délégué régional Jean-Loup QUEINEC, - Le Conseil Régional d’Aquitaine, représenté par son Président Alain ROUSSET, - Le Conseil Général de Lot et Garonne, représenté par son Président M. Pierre CAMANI. Vu le règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil du 20 septembre 2005 concernant le soutien au développement rural par le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), et notamment ses articles 61 à 65 ; Vu le règlement (CE) n° 1320/2006 de la Commission fixant les règles transitoires pour le soutien au développement rural prévu par le règlement (CE) n° 1698/2005 du Conseil ; Vu le règlement (CE) n°1974/2006 de la Commission du 15 décembre 2006 portant modalités d’application du règlement (CE) n°1698/2005 ; Vu le règlement (CE) n°1975/2006 de la Commission du 7 décembre 2006 portant modalités d’application du règlement (CE) n°1698/2005 en ce qui concerne l’application des procédures de contrôle et de conditionnalité pour les mesures de soutien au développement rural ; Vu le règlement (CE) n°1290/2005 du Conseil du 21 juin 2005 relatif au financement de la politique agricole commune modifié par le règlement (CE) n°1437/2007 du Conseil du 26 novembre 2007 ; Vu le règlement (CE) n°885/2006 de la Commission du 21 juin 2006 portant modalités d’application du règlement (CE) n°1290/2005 du Conseil en ce qui concerne l’agrément des organismes payeurs et autres entités ainsi que l’apurement des comptes du FEAGA et du FEADER modifié par le règlement (CE) n°1233/2007 de la Commission du 22 octobre 2007 ; Vu le Programme de Développement Rural Hexagonal, approuvé par la décision de la Commission Européenne C(2007) 3446 du 19 juillet 2007 et modifié ultérieurement ; Vu le décret portant sur l’éligibilité des dépenses des programmes de développement rural 2007-2013 ; 1 Vu la circulaire n°5210/SG du 13 avril 2007 du Premier ministre relative « au dispositif de suivi, de gestion et de contrôle des programmes cofinancés par le FEDER, le FSE, le FEP et le FEADER pour la période 2007-2013 », notamment l’annexe III modifiée le 26 septembre 2007 portant sur le système de gestion et de contrôle des programmes de développement rural cofinancés par le FEADER 2007/2010 ; Vu la circulaire DGFAR/MER/C2007-5024 du 30 avril 2007 relative au cadre méthodologique pour élaborer l’appel à projet régional en vue de la sélection des GAL ; Vu la circulaire DGFAR/MER/C2007-5069 du 28 novembre 2007 relative aux instructions pour la gestion opérationnelle de Leader 2007-2013 ; Vu le Document Régional de Développement Rural pour la région Aquitaine, Vu la convention cadre MAP-Cnasea signée le 20 mars 2008, Vu les statuts de la structure porteuse du GAL ; Vu la délibération du Syndicat Mixte pour l’Aménagement de la Vallée du Lot en date du 23 septembre 2008. Vu la décision de sélection du GAL prise par le comité de sélection régional le 21 avril 2008, Vu les articles L 313.3 et R 313.13 et suivants du code rural relatifs au Cnasea , Vu la délibération du Conseil Régional d’Aquitaine n° 2008-2854 adoptée en Commission Permanente du 24 novembre 2008 concernant le Programme LEADER 2007-2013 – conventions Groupes Action Locale (GAL) et paiement associé CNASEA ; Il a été convenu ce qui suit : Article 1 - Objet La présente convention a pour objet de décrire les obligations respectives des parties en ce qui concerne la mise en œuvre des dispositifs de l’axe IV sur le territoire du GAL. Article 2 – Durée de la convention La convention prend effet le jour de sa signature et court sur la durée du PDRH, soit jusqu’au 31 décembre 2015. Article 3 – Territoire du GAL 3.1 Territoire du GAL La structure porteuse du GAL intervient en tant que GAL sur un territoire d’intervention, appelé territoire du GAL, pour la mise en œuvre de la stratégie Leader. Ce territoire est défini par la liste des communes précisée en annexe 1. Cette liste précise le statut de ces communes (commune éligible sans condition, ville moyenne éligible sous condition, ville importante inéligible). 3.2 Modification du territoire du GAL Dans les cas exceptionnels où le périmètre du GAL évolue, le GAL propose ces modifications auprès de la DRAF dans un délai indicatif d’un mois après la prise de décision au sein du comité de programmation du GAL mentionné à l'article 6. L’autorité de gestion rendra une décision en accord avec les co-pilotes (Président du Conseil régional notamment). Une telle modification devra faire l’objet d’un avenant à la présente convention. Article 4 – Obligations respectives des parties 4.1 Obligations du GAL 2 Le GAL fournit l’organigramme de l’équipe technique1 à la DRAF et aux autres signataires de la convention dans un délai indicatif d’un mois après la signature de la convention. Il s’engage à informer par écrit les mêmes personnes de toute modification de l'équipe technique dans un délai indicatif d’un mois. Le GAL s’engage à maintenir tout au long de la période de mise en œuvre de la présente convention 1.5 équivalents temps plein dédiés à Leader pour assurer les tâches d’animation et de gestion. Le niveau de compétences de cette équipe minimale doit également rester au moins le même. Dans le cas où ces conditions ne seraient manifestement plus respectées, l’autorité de gestion pourra suspendre la présente convention tant que l’équipe technique n’est pas de nouveau opérationnelle dans les conditions convenues initialement. L’équipe technique du GAL assume les fonctions suivantes, sur la base des avis émis par le comité de programmation du GAL : - communiquer sur les actions soutenues dans le cadre de la démarche Leader ; - animer le territoire pour Leader ; - accompagner les porteurs de projet et les aider, le cas échéant, à monter leur projet et à remplir leur dossier de demande de subvention ; - réunir, le cas échéant, un comité technique des co-financeurs ou tout autre comité jugé opportun ; - préparer les comités de programmation mentionnés à l'article 6 et en transmettre le compte-rendu dans un délai indicatif d’un mois à la DDAF et à la DRAF ; - vérifier que l’opération présentée s’intègre dans le plan de développement du GAL ; - utiliser les modèles de documents fournis par l’autorité de gestion à chacune des étapes de la procédure ; - recevoir les dossiers de demande d’aide ; - vérifier la présence des pièces et saisir la date de dépôt du dossier dans Osiris ; - répondre à toute demande d’information ou de documents des services de l’autorité de gestion ou de l’organisme payeur ; - renseigner les informations des onglets « demandeur » et « demande » dans Osiris ; - éditer l’accusé de réception du dossier complet (via Osiris) ou la liste des pièces complémentaires à fournir si le dossier n’est pas complet, et les transmettre au maître d’ouvrage ; - transmettre le dossier complet au service référent du dispositif concerné dans un délai indicatif maximal de 15 jours à compter de la date d’émission de l’accusé de réception de dossier complet ; - accompagner le porteur de projet pour la constitution du dossier de demande de paiement ; - transmettre le dossier de demande de paiement au service référent via, le cas échéant, le service d’appui de proximité après avoir saisi dans l’onglet « réalisation » d’Osiris (sous-onglet « pièces justificatives ») les éléments nécessaires au paiement. En particulier, elle appuie le maître d’ouvrage pour qu’il fournisse les éléments permettant de renseigner les indicateurs de réalisation de l’opération. - réaliser le cas échéant la visite sur place nécessaire pour établir le certificat de service fait (certificat réalisé par le service référent) et produire un compte rendu signé de cette visite sur place qui sera transmis au service référent (NB : lors de la visite sur place le GAL peut se faire accompagner par le service référent s’il le souhaite); Le comité de programmation du GAL : - se réunit selon les modalités précisées à l’article 6 et délibère sur les demandes d'aide et leurs montants (jugement en opportunité) ; - ne peut programmer la mise en oeuvre des dossiers que si l’instruction réglementaire2 est positive. Le Président du GAL : - notifie au maître d’ouvrage la décision prise par le comité de programmation ; - co-signe la convention attributive d’aide avec le maître d’ouvrage au plus tard 1 mois après réception de cette convention éditée par le service référent. L'autorité de gestion, ou son délégataire, signera en dernier ; - co-signe les éventuelles décisions de déchéance de droit partielle ou totale avec l’autorité de gestion en cas d’anomalie confirmée suite à un contrôle sur place ayant une incidence financière. Toutefois lorsqu’elles concernent des dossiers mis en oeuvre par la structure porteuse du GAL elle-même, ces décisions sont unilatérales ; - est responsable de la bonne mise en œuvre des décisions du comité de programmation relatives aux opérations aidées, en conformité avec le plan de développement du GAL décrit aux annexes 2, 4, 5 et 6 ; 1 Par équipe technique, on entend le personnel salarié dédié à la mise en oeuvre de la stratégie Leader Par instruction réglementaire, on entend la vérification de la conformité aux règles européennes et nationales des dossiers présentés, vérification effectuée par le service référent sur le dispositif du PDRH concerné 2 3 - s’engage à utiliser les modèles de documents établis par l’autorité de gestion et adaptés le cas échéant par l’autorité de gestion avec le GAL ; s’engage à respecter les obligations communautaires, notamment en terme de publicité. L’équipe technique et les élus représentatifs du GAL s’engagent par ailleurs à participer aux actions mises en place par les réseaux ruraux régional et national. 4.2 Obligations de l’autorité de gestion L’autorité de gestion indique au GAL : -les services référents pour l’instruction réglementaire des dispositifs figurant dans le plan de développement du GAL, -le service d’appui de proximité, -le service coordinateur régional. L’Autorité de gestion, ou le cas échéant par délégation les collectivités pour les dispositifs pour lesquels elles assument certaines missions de l’autorité de gestion, signent la convention attributive dans un délai indicatif au plus tard d’un mois après réception de la convention signée par le Président du GAL et le maître d’ouvrage. L’autorité de gestion, ou le cas échéant par délégation les collectivités pour les dispositifs pour lesquels elles assument certaines missions de l’autorité de gestion, sont chargées de réaliser la sélection des dossiers à contrôler sur place selon les textes en vigueur. 4.2.1 Obligations du service référent Les services référents pour l’instruction des dossiers du GAL rattachés au plan de développement du précisé en annexes 5 et 6, sont : Fiche dispositif 111-a : service référent DRAF Fiche dispositif 111-b : service référent DRAF Fiche dispositif 121-b1 : service référent DDAF Fiche dispositif 123 a : service référent Conseil Régional Fiche dispositif 311 : service référent DDAF Fiche dispositif 312 : service référent DDAF Fiche dispositif 321 : service référent DDAF Fiche dispositif 331 : service référent DRAF Fiche dispositif 341 b : service référent DRAF Le service référent : - s’engage à répondre à toute demande d’information du GAL concernant l’éligibilité des projets, même en dehors du circuit habituel d’instruction ; - instruit le dossier complet reçu en ce qui concerne son éligibilité réglementaire, en remplissant l’onglet « instruction » dans Osiris ; - s’engage à transmettre un rapport d’instruction réglementaire au service d’appui de proximité et au GAL, trois semaines au plus après réception du dossier complet ; - assure l’engagement comptable et édite la convention attributive d’aide dans un délai indicatif de 15 jours après réception du compte rendu écrit du comité de programmation statuant sur le dossier concerné. Cette décision juridique est envoyée au GAL, qui la transmet au maître d’ouvrage, puis la renvoie à l'autorité de gestion pour signature ; - reçoit via le GAL la demande de paiement établie par le maître d’ouvrage (avec l’appui du GAL); - produit le certificat de service fait sur la base des documents préparés par le GAL et le cas échéant d’une visite sur place, au plus tard un mois après réception de la demande de paiement complète ; - complète la saisie des éléments nécessaires au paiement (calcul de la subvention…) dans le logiciel Osiris et valide la demande de paiement, dans un délai indicatif d’au plus tard 15 jours après l'établissement du certificat de service fait ; - informe, le cas échéant, en fonction des textes en vigueur et en collaboration avec le GAL, les services de l’autorité de gestion compétents en matière de contrôle sur place des éventuels dossiers à placer en contrôle orienté ; - signe également, conjointement avec le président du GAL, les éventuelles décisions de déchéance de droits partielle ou totale en cas d’anomalie confirmée ayant une incidence financière; 4 - - conduit, en lien avec le GAL, la phase contradictoire en cas d’anomalie constatée lors d’un contrôle sur place ; archive les dossiers pendant au moins 10 ans après le dernier engagement. 4.2.2 Obligations du service d’appui de proximité - Le service d’appui de proximité pour le GAL du Pays de la Vallée du Lot 47 est la DDAF du Lot et Garonne. Le service d’appui de proximité : - est l’interlocuteur privilégié du GAL ; - a une vision globale de l’état d’avancement de la mise en œuvre du plan de développement du GAL ; - accompagne le GAL du montage des dossiers jusqu’au paiement des aides. Il vérifie en particulier le respect du taux de co-financement de l’axe sur un lot de dossier au moment de l'autorisation de mise au paiement lorsque celui-ci n’est pas respecté au dossier dans le cadre précisé à l'article 5.3 ; - participe au comité de programmation ; - transmet toutes les informations utiles au service coordinateur régional; 4.2.3 Obligations du service coordinateur régional Le service coordinateur régional pour la région Aquitaine est le service régional d’économie agricole (SREA) de la Direction Régionale de l’Agriculture et de la Forêt (DRAF). Le service coordinateur régional : - pilote l’« organisation administrative » nécessaire à la mise en œuvre de Leader (harmonisation des procédures, formation…) ; - s’assure de la fluidité des procédures et assure un suivi des délais indicatifs de traitement des dossiers mentionnés dans la présente convention ; - coordonne les services d’appui de proximité et les services référents ; - organise, le cas échéant en lien avec l’organisme payeur et les services d’appui de proximité, toutes les formations nécessaires auprès des GAL sur les questions de gestion ; - coordonne la participation de l’autorité de gestion aux comités de programmation des GAL ; - assure un suivi global de l’avancement de l’axe Leader en région au regard des objectifs de consommation et de l’avancement des GAL ; - coordonne l’évolution éventuelle de l’axe Leader de la maquette financière du programme en région; - assure un suivi et une coordination des projets de coopération (transnationale et interrégionale) des GAL en région ; - informe régulièrement les GAL sur l’ensemble de la programmation du FEADER (axes 1, 2, 3 et 4) en région. 4.3 Obligations de l’organisme payeur L’organisme payeur Cnasea met en paiement l’aide du FEADER au maître d’ouvrage, dans un délai indicatif de 15 jours à compter de la présentation de la demande de mise en paiement établie par le service référent. Par ailleurs, le Cnasea est chargé de réaliser les contrôles sur place (contrôles approfondis, dit « 5% ») portant sur les bénéficiaires de l’aide et sur le GAL lui-même dans le cadre des mesures 411, 412, 413, 421, 431. Le Cnasea transmet le rapport de contrôle effectué au titre des obligations communautaires au service référent. Dans le cas où le bénéficiaire fait l’objet d’une décision de déchéance de droit par l’autorité de gestion et le GAL, l’agent comptable du Cnasea, à réception de la déchéance de droit, émet un ordre de reversement et procède au recouvrement auprès du bénéficiaire. Le Cnasea exerce des contrôles de conformité sur un échantillon de dossiers. Ces contrôles seront coordonnés dans la mesure du possible avec les contrôles de l’agent comptable. 4.4 Modalités d’intervention des autres co-signataires 4.4.1 Le Conseil régional d’Aquitaine 5 Dans le cadre de sa politique d'aménagement du territoire, la Région Aquitaine a pour vocation d'accompagner les démarches de développement territorial. A ce titre, le Conseil Régional d'Aquitaine interviendra dans les opérations du programme Leader du GAL du Pays de la Vallée du Lot 47 qui correspondront aux orientations de la politique contractuelle des pays et des politiques de droit commun de la Région. Ces interventions constitueront des contreparties nationales au financement européen. Les éléments financiers figurant en annexe de la convention sont indicatifs. Chaque opération devra faire l'objet d'une décision individuelle en commission permanente. La Région Aquitaine optera pour un paiement associé. 4.4.2 Le Conseil Général 47 : Le Conseil Général 47 pourra cofinancer des projets présentés au titre de Leader, dans le cadre des régimes d’intervention votés par l’assemblée et selon les modalités prévues. Le versement des aides se fera par un paiement dissocié. Les éléments financiers figurant en annexe de la convention ne sont qu’indicatifs. Article 5 – Aspects financiers 5.1 Montant de l’enveloppe financière L’enveloppe financière FEADER allouée au GAL du Pays de la Vallée du Lot 47 pour effectuer ses paiements sur la période 2007 – 2015 s’élève à 1 550 000 €. 5.2 Maquette financière La maquette financière figure en annexe 2. Elle se compose d’une maquette pluri-annuelle des paiements prévus par mesure et dispositif. Par ailleurs, elle comporte un profil annuel minimum de paiements FEADER cumulés (cf paragraphe 5.4.1.1). 5.3 Modalités d’intervention du FEADER Le FEADER intervient en co-financement de contre-parties publiques nationales. Seules des dépenses publiques peuvent faire l'objet d'un co-financement du FEADER. La contribution au titre du FEADER n’est par ailleurs versée que lorsque les dépenses publiques nationales sont certifiées payées. Dans le cas général, sur chaque dossier, le taux de co-financement du FEADER sera de 55% par rapport au montant total de la subvention co-financée (part nationale et communautaire). Néanmoins, dans des cas limités, s’il advenait que ce taux ne puisse être respecté sur une demande, un taux de cofinancement situé dans une fourchette de 20 à 80% de co-financement FEADER par rapport au montant total de la subvention co-financée allouée pourra être appliqué. Dans le cas d’un recours au taux variable, le GAL devra constituer des lots de demandes de paiement à présenter au paiement simultanément. Chaque lot devra respecter exactement le taux de 55%. Si un lot ne respecte pas ce taux, il ne sera pas autorisé à être mis en paiement par l’autorité de gestion, qui en contrôlera le respect. Le GAL devra prendre les précautions nécessaires lors de la programmation des dossiers, en s’assurant lors de chaque comité de programmation que le montant de contre-parties nationales engagées globalement sur l’ensemble des comités de programmation sera suffisant pour appeler le FEADER attendu au moment du paiement des lots de dossiers. 5.4 Modifications de maquettes 5.4.1 Modifications de maquettes sur décision de l’autorité de gestion 6 5.4.1.1 Respect de l’échéancier des paiements Le GAL s’engage à respecter le profil annuel minimum de paiements FEADER cumulés tel que précisé au point 2.1 de l’annexe 2. Le GAL pourra néanmoins avoir un avancement de sa consommation plus rapide. Si au 31/12 de l’année n, le cumul des paiements réels du GAL depuis le début du programme est inférieur au montant minimum de paiements cumulés attendu pour l’année n, l’autorité de gestion pourra décider d’appliquer la règle de bonne gestion suivante : l’enveloppe du GAL sera diminuée de la différence entre les deux montants. Cette modalité ne sera pas mise en application avant fin 2009. Cette décision sera proposée par le niveau régional à l’autorité de gestion du PDRH (MAP-DGFAR) sur la base d’un avis du comité de suivi régional. Par ailleurs, en cas de dégagement d’office sur le PDRH en année n, il sera vérifié que les paiements effectués par chaque GAL sont conformes au montant minimum de paiements cumulés attendu, dans les conditions exposées dans le paragraphe ci-dessus. La part du dégagement d’office global sur le programme due à un retard de consommation sur l’axe 4 sera alors appliquée à due proportion aux GAL qui ne respecteraient pas leur profil minimum de paiements FEADER cumulés. 5.4.1.2 Autres modifications possibles L’autorité de gestion en accord avec le comité de suivi régional ou un comité ad hoc associant les co-pilotes en région, pourra éventuellement décider de ré-abonder l’enveloppe de FEADER précisée au 5.1, notamment pour des actions de coopération, en fonction de la disponibilité des crédits. Un avenant à la présente convention devra alors être signé. A contrario, s’il s’avérait qu’un GAL ne consommait pas ses crédits sur la mesure coopération, son enveloppe pourrait être réduite par l’autorité de gestion en accord avec le comité de suivi régional ou un comité ad hoc associant les copilotes en région. 5.4.2 Proposition de modifications par le GAL Sur proposition du GAL, des modifications de la maquette peuvent consister à effectuer un transfert entre dispositifs. Néanmoins, le montant dédié à la mesure correspondant aux opérations relevant de l’axe 3 (413) ne pourra pas être réduit, sauf si l’autorité de gestion en région donne son accord en tenant compte du fait que d’autres GAL de la région augmentent cette mesure 413 d’un montant équivalent. Cette modification est possible dans les conditions suivantes : - s’il s’agit d’un transfert entre dispositifs entraînant une variation inférieure à 30% de la dotation FEADER du GAL (en montants cumulés sur l’ensemble des transferts effectués depuis le début du programme) : la décision est prise en comité de programmation du GAL, qui en informe la DRAF et les autres co-financeurs et leur transmet une maquette actualisée sur la base du tableau indiqué au point 2.2 de l’annexe 2. - s’il s’agit d’un transfert entre dispositifs entraînant une variation supérieure à 30% de la dotation FEADER du GAL (en montants cumulés sur l’ensemble des transferts effectués depuis le début du programme) : sur proposition du comité de programmation du GAL, la décision est prise par l’autorité de gestion en région, en accord avec le comité de suivi régional (et après accord de la DGFAR dans le cas du PDRH). Le profil annuel minimum de paiements cumulés ne peut pas être modifié à l’initiative du GAL. 5.5 Apurement et suite aux contrôles Si, lors d’un contrôle, un problème systémique imputable au circuit de gestion des dossiers est détecté, le GAL est responsable des conséquences financières pour les étapes du circuit de gestion dont il a la charge (voir article 4). L’autorité de gestion assume pour sa part les conséquences des autres étapes de ce circuit. L’autorité de gestion, de façon concertée avec le GAL, établit les décisions de déchéance de droit à l’encontre des maîtres d’ouvrage en cas d'anomalies ayant des incidences financières. 5.6 Suivi des enveloppes d'autorisation d'engagement 7 Au début de chaque année civile, le GAL s’engage à fournir à l’autorité de gestion ses besoins en termes d’autorisations d’engagement pour l’année à venir dans des délais à convenir entre les deux parties. En retour, l’autorité de gestion précisera au GAL le montant de l’enveloppe d’autorisations d’engagement qui lui est allouée pour l’année et les intégrera dans le logiciel informatique Osiris. Si, en cours d’année, le montant de l’enveloppe d’autorisations d’engagement allouée au GAL s’avère insuffisant, une demande supplémentaire peut être adressée à l’autorité de gestion, qui apportera une réponse en fonction de ses marges de manœuvre budgétaires. 5.7 Délais limites d’engagement et de paiement Le GAL s’engage à transmettre toutes les informations nécessaires aux derniers engagements comptables avant le 1er avril 2015. L’autorité de gestion s’engage à effectuer les derniers engagements comptables avant le 30 avril 2015. Le GAL s’engage à transmettre toutes les informations nécessaires aux derniers paiements avant le 30 juin 2015, sauf pour les dépenses du GAL lui-même au titre de la mesure 431 (dépenses d’animation et de gestion) pour lesquelles la date limite est le 1er novembre 2015. L’autorité de gestion s’engage à transmettre toutes les informations nécessaires aux derniers paiements à l’organisme payeur avant le 1er décembre 2015. L’organisme payeur s’engage à effectuer les derniers paiements avant le 31 décembre 2015. Article 6 – Modalités de programmation des projets par le GAL Le GAL s’engage à constituer un comité de programmation dont la composition est jointe en annexe 3. Ce comité a l’initiative des propositions de programmation des dossiers présentés par des porteurs de projet au GAL. Il examine les opérations présentées et juge de leur opportunité. Les membres privés votants doivent représenter au moins la moitié des membres votants de ce comité. Le comité de programmation du GAL se dote également d’un règlement intérieur qui comprend au minimum les rubriques décrites en annexe 4, qu’il transmet à l’autorité de gestion pour validation. Le comité de programmation ne peut délibérer que si au moins la moitié des membres votants du comité de programmation est présente et si la moitié au moins des membres présents relève du collège privé (règle du double quorum). Le GAL s’engage à établir le compte-rendu des débats de tous les comités de programmation signé du Président et à le diffuser à l’autorité de gestion dans un délai indicatif d’un mois. Toute modification de la composition du comité de programmation ou du règlement intérieur devra faire l’objet d’une information auprès de l’autorité de gestion et des autres signataires sans que cela doive se traduire nécessairement par un avenant à la présente convention. Une modification de la composition du comité de programmation ne peut en aucun cas se traduire par un nombre de membres votants privés inférieurs à celui du nombre de votants publics. Article 7 – Plan de développement du GAL Le plan de développement du GAL se compose : - d’éléments de stratégie (annexe 5); - d’éléments financiers (annexe 2); - d’un ensemble de fiches-dispositifs (rédigées par le GAL selon le modèle fourni en annexe 6). Le GAL s’engage à respecter ce plan sur la période de la convention. Toute modification de ce plan (en particulier si de nouvelles actions de coopération étaient intégrées) devra recevoir l’aval écrit de l’autorité de gestion, en accord avec le comité de sélection Leader ou tout autre comité incluant les co-pilotes. L’ajout, le retrait ou la modification d’une fiche dispositif devra faire l’objet d’une information auprès de l’autorité de gestion et des autres signataires. Un avenant à la présente convention sera mis en œuvre en cas de modifications importantes. Article 8 : Dispositif informatique 8 Les parties s’engagent à utiliser le logiciel informatique Osiris à toutes les étapes de gestion. Osiris sera mis à disposition gratuitement des signataires de la présente convention. Chacun sera destinataire pour les aspects les concernant des habilitations ad hoc , l’autorité de gestion gérant les habilitations. Le Cnasea intégrera dans son plan de formation « Osiris » les formations à apporter aux GAL en ce qui concerne ce logiciel informatique. Il nommera par ailleurs un référent « Osiris » dans chaque délégation régionale. Celui-ci pourra intervenir à la demande du GAL ou de l’autorité de gestion en fonction de ses disponibilités. Article 9 – Suivi - évaluation – Participation au réseau La mise en œuvre de l’axe Leader par le GAL sera suivie dans le cadre de l’évaluation in itinere du Programme de développement Rural Hexagonal. Une évaluation spécifique pourra être conduite à l’initiative du GAL ou de l’autorité de gestion. Les GAL pratiquent une évaluation de leur plan de développement en utilisant les moyens prévus au titre de la mesure « animation/fonctionnement » (431). Dans le cas où l’autorité de gestion en région souhaiterait mener une évaluation spécifique, les GAL seraient tenus d’y participer. L’équipe technique et les élus représentatifs du GAL s’engagent par ailleurs à participer aux actions mises en place par les réseaux ruraux régional et national. Article 10 – Contrôles Les contrôles sur place sont réalisés dans les conditions décrites à l’article 4. Les signataires de la présente convention s’engagent à se soumettre aux contrôles. Ils s’engagent à conserver pendant une période de 10 ans après le dernier engagement juridique et à mettre à disposition de tout corps de contrôle habilité tous les documents relatifs à la réception, l’instruction et le suivi des dossiers pour les étapes qui les concernent. L’archivage du dossier complet est réalisé par le service référent. Article 11 – Avenant Le GAL ou l’autorité de gestion peuvent demander un avenant à la présente convention pour les raisons suivantes : - modification de la maquette financière, dans les cas nécessitant un accord de l’autorité de gestion ; - modification du territoire du GAL ; - modification importante d’une fiche-dispositif du GAL. Les co-signataires concernés par l’article 4.4 peuvent demander un avenant s’ils souhaitent modifier le contenu de cet article. Dans le cas où les modifications introduites ne concernent pas l’article 4.4, l’avenant ne sera signé que par le GAL, l’autorité de gestion et l’organisme payeur. Toute autre demande d’avenant devra faire l’objet d’un accord des parties signataires. Article 12 – Résiliation Chaque partie signataire pourra unilatéralement mettre fin à la présente convention en cas de manquements graves par une autre partie à ses obligations fixées par la présente convention, y compris dans le cas de défaut ou d’insuffisance manifeste d'exécution des dispositions de la présente convention. Un bilan de la convention sera dans ce cas dressé à la date de résiliation. Article 13 – Litiges En cas de litige, le Tribunal compétent sera le Tribunal Administratif du ressort du siège de la structure porteuse du GAL. 9 Fait à Castelomoron sur Lot, le 18/12/2008 Le Président du Syndicat Mixte pour L’Aménagement de la Vallée du Lot 47 Le préfet de la Région Aquitaine Pour le Directeur Général du Cnasea et par délégation le Délégué Régional Le Président du Conseil Régional d’Aquitaine Le Président du GAL Le Président du Conseil Général … Annexes : - Annexe 1 : Liste des communes constitutives du GAL - Annexe 2 : Maquette financière - Annexe 3 : Composition du comité de programmation - Annexe 4 : Clauses minimales du règlement intérieur du GAL - Annexe 5 : Stratégie du GAL - Annexe 6 : Fiches-dispositifs mobilisées par le GAL - Annexe 7 : Statuts et délibération de la structure porteuse - Annexe 8 : Délais maximaux indicatifs des différentes étapes d’instruction d'un dossier 10 - ANNEXE 1 : LISTE DES COMMUNES CONSTITUTIVES DU GAL 1° Communes éligibles sans condition Communauté de communes Basse Vallée du Lot Commune Population 613 1,00% 2005 Clairac 2506 1,00% 2004 Frégimont 233 3,00% 2006 Galapian 302 0,80% 2006 Lafitte-sur-Lot 822 1,71% 2008 Lagarrigue 269 0,50% Saint-Salvy 189 0,20% 2007 2005 4934 1,17% Beaugas 346 -0,10% 2006 Cancon 1350 0,30% 2008 Castelnaud-de-Gratecambe 545 0,60% Gavaudun 286 -2,00% 2008 2004 Lacapelle-Biron 443 0,40% 2007 Lacaussade 211 2,84% Laussou 252 1,50% 2008 2004 Monbahus 660 0,50% 2005 Monflanquin 2352 0,80% 2004 Monségur 374 -0,10% 2006 Montagnac-sur-Lède 261 -0,30% Monviel 79 0,40% 2007 2006 Moulinet 203 -0,90% 2006 Pailloles 326 2,10% 2006 Paulhiac 257 2,70% 2004 Saint-Aubin 430 0,13% 2008 Saint-Maurice-de-Lestapel 112 1,08% 2008 Salles 315 2,51% 2008 La Sauvetat-sur-Lède 597 3,50% 2007 2007 Savignac-sur-Leyze 20 Aiguillon Confluent 267 -0,30% 9666 0,78% 4325 0,40% 2006 Ambrus 85 3,00% 2005 Bazens 515 0,90% Clermont-Dessous 779 1,00% 2007 2006 Damazan 1254 0,20% Monheurt 215 -2,50% 2007 2005 Nicole 275 -1,00% 2006 Port-Sainte-Marie 1896 1,60% 2004 Puch-d'Agenais 699 1,00% 2006 Razimet 216 0,11% 2008 Saint-Léger 169 0,50% 2007 Saint-Léon 293 1,60% 2007 10721 0,56% 499 0,30% 12 Fumélois Date recensement Bourran 7 Bastides et Châteaux % évolution annuelle Blanquefort -sur-Briolance 11 2005 Condezaygues 870 0,60% 2006 Cuzorm 834 -0,70% 2005 Fumel 5368 -0,10% Monsempron-Libos 2079 -0,40% 2005 2006 Montayral 0,20% 2006 Saint-Front-sur-Lémance 2971 569 -0,26% 2008 Saint-Vite 1185 -0,60% 2005 Sauveterre-la-Lémance 604 -0,60% 2004 Saint Georges 548 -0,30% 2007 Trentels 817 -0,10% 2007 16344 -0,18% 11 Lot et Tolzac Brugnac 187 1,00% Coulx 231 -1,20% 2005 Fongrave 592 0,26% 2008 Hautesvignes 163 2,10% 2006 Labretonie 171 1,00% 2006 Laparade 447 1,50% 2005 Monclar 911 1,20% 2004 Montastruc 277 -0,15% 2008 Pinel-Hauterive 495 1,40% 2004 Saint-Pastour 384 0,80% 2007 Tombeboeuf 447 0,33% 2008 Tourtrès 121 0,00% 2005 Verteuil-d'Agenais 498 -1,50% 2005 2005 Villebramar 93 -0,50% 6179 0,46% Auradou 309 1,00% Dausse 475 2,00% Frespech 280 0,00% Hautefage-la-Tour 752 2,00% 17 Canton de Penne Massels d'Agenais Massoulès 2008 2006 2,10% 2005 206 1,90% Penne-d'Agenais 2415 0,50% 2007 2006 Saint-Sylvestre-sur-Lot 2200 0,80% 2007 Trémons 364 0,77% 2008 7104 1,23% Cours 204 0,80% 2006 Granges-sur-Lot 578 1,10% 2005 Lacépède 321 3,10% 2008 Laugnac 620 1,20% 2008 Lusignan-Petit 358 2,70% 2008 Madaillan 523 0,90% 2004 Montpezat 539 -1,00% 2008 Prayssas 934 0,30% 2004 Saint-Sardos 333 4,10% 2007 Sembas 143 0,66% 2008 4553 1,40% Anthé 213 0,50% 2004 Bourlens 372 0,90% 2005 Cazideroque 250 -0,90% 2005 Courbiac 108 -0,57% 2008 10 Tournonnais 2008 2004 103 9 Canton de Prayssas 2008 12 Masquières 164 3,30% 2007 Thézac 179 1,30% 2007 Tournon-d'Agenais 808 0,90% 2007 2094 0,78% Dolmayrac 521 -0,20% 2004 Lédat 1024 2,30% 2005 Saint-Antoine-de-Ficalba 614 1,70% 2005 2007 7 Sainte-Colombe-de-Villeneuve 10 Boudy de Beauregard TOTAL 411 1,90% 2570 0,98% 383 1,00% 2006 62 794 2° Villes moyennes : le montant des opérations se déroulant dans cette unité urbaine ne devra pas excéder 20% de l’enveloppe financière pluri-annuelle du GAL Liste des communes rattachées à l’unité urbaine de Villeneuve sur Lot 47 006 - - 641 3066 2377 1754 592 3657 777 6142 972 22 447 42 425 47 027 47 049 47 054 - - 47 099 47 215 47 239 47 252 - - 47 306 - 47 323 - - - - TOTAL 3° Aucune villes importante: les opérations se déroulant dans ces villes ne sont pas éligibles. 13 ANNEXE 2 : MAQUETTE FINANCIERE 2.1 Profil annuel minimum de paiements cumulés à respecter (en FEADER) 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Minimum des paiements cumulés attendus 2% de l’enveloppe du GAL 15% 29% 44% 64% 84% 100% Montant en euros 31 000 232500 449500 682000 992 000 1302000 1 550000 2.2 Montants des paiements prévus par fiche-dispositif du GAL sur la période 2007-2013 14 ( , - 47 ) 15 ANNEXE 3 : COMPOSITION DU COMITE DE PROGRAMMATION ACTEURS PUBLICS ( 14) Noms - prénoms DE BACCO Jacqueline MASSET Michel Adresse Grenier 47 190 SAINT LEGER Rue Capuran 47 160 DAMAZAN SORESSI Jean Bernadillou 47360 SAINT SARDOS ZAMBONI Guy Thierry Camp del Miey 47 360 LAFITTE SUR LOT Mairie 47 320 BOURRAN VARNIER Jean Pierre SERRES Francis Mairie 47 320 CLAIRAC BABOULENE Christian Mairie 47260 BRUGNAC GENESTOU Bernard Mairie 47 260 CASTELMORON SUR LOT Ancien hôtel de Ville 47440 CASSENEUIL Ancien hôtel de Ville 47440 CASSENEUIL Place Georges Escande 47500 FUMEL CASSANY Patrick VENTADOU Yvon BONNEILH André COSTES Jean Louis Place Georges Escande 47500 FUMEL LORENZON Jean Pierre Mairie 47140 SAINT SYLVESTRE POUCHOU Marie Thérèse Mairie 47140 DAUSSE LACAM Jean Pierre Bourdiel 47370 TOURNON d’AGENAIS Bélier 47370 CAZIDEROQUE Mairie de Monflanquin CAVAILLE Jean Claude LABORDE Françoise Structure représentée Fonction Autre implications électives, professionnelles, associatives. Maire de Saint Léger Communauté de communes du Confluent Communauté de communes du Confluent Communauté de communes du canton de Prayssas Communauté de communes du canton Prayssas Communauté de communes de la Basse Vallée du Lot Communauté de communes de la Basse Vallée du Lot Communauté de communes Lot et Tolzac Communauté de communes Lot et Tolzac Conseillère communautaire. TITULAIRE Conseillère communautaire. SUPPLEANT Conseiller communautaire TITULAIRE Conseiller communautaire. SUPPLEANT Conseiller communautaire TITULAIRE Président comcom SUPPLEANT Conseiller communautaire TITULAIRE Président comcom SUPPLEANT Maire de Brugnac Communauté de communes du villeneuvois Président comcom TITULAIRE VP Conseil Général Adjoint mairie Villeneuve sur Lot Communauté de communes du villeneuvois Conseiller communautaire. SUPPLEANT Communauté de communes du Fumélois – Lémance Communauté de communes du Fumélois – Lémance Communauté de communes du canton de Penne D’Agenais Communauté de communes du canton de Penne D’Agenais Communauté de communes du tournonnais Communauté de communes du tournonnais Communauté de communes Bastides 1er Vice Président Comcom Titulaire TITULAIRE Président de la comcom SUPPLEANT Maire de Trentels Vice Président de la comcom TITULAIRE Maire de Saint Sylvestre Conseiller Général Présidente comcom SUPPLEANT Maire de Trémons Président de la comcom TITULAIRE Conseiller communautaire SUPPLEANT Présidente de la comcom Maire de Tournon d’Agenais 16 Elu commune de Damazan 1er adjoint mairie Saint Sardos 1er adjoint mairie de Lusignan Petit Maire de Bourran Elu commune de Clairac Maire de Castelmoron sur Lot Conseiller Général Maire de Fumel Conseiller général du fumélois Maire de Cazideroque Maire de la Sauvetat sur Lède 47150 MONFLANQUIN Secrétariat général de l’interconsulaire du Lot et Garonne 52 cours Gametta 47 007 AGEN et Guyenne TITULAIRE Centre de Gestion Interconsulaire du Lot et Garonne Membre du bureau de l’interconsulaire 47 TITULAIRE Membre du Conseil de Développement Représentant élu de la Chambre d’agriculture Secrétariat général de l’interconsulaire du Lot et Garonne 52 cours Gametta 47 007 AGEN Lycée agricole Etienne restat 47 110 SAINTE LIVRADE SUR LOT Lycée agricole Etienne restat 47 110 SAINTE LIVRADE SUR LOT 7, rue Etienne Dolet 47 000 AGEN 7, rue Etienne Dolet 47 000 AGEN Interconsulaire du Lot et Garonne Représentant de la chambre des métiers et de l’artisanat en Lot et Garonne SUPPLEANT Directeur TITULAIRE Membre du conseil en développement du Lot et Garonne Membre du bureau de la fédération unions commerciales 47. Membre du conseil en développement RABOT Sylvie Vaccari Pôle agricole de Lalande BP 75 47 110 SAINTE LIVRADE SUR LOT Chambre d’agriculture du Lot et Garonne Technicienne – conseil. TITULAIRE VULLIAMY Marise Matou 47320 LAFITTE/LOT Chambre d’agriculture du Lot et Garonne BERAL Olivier 51. rue des Acacias 47 300 VILLENEUVE SUR LOT 51. rue des Acacias 47 300 VILLENEUVE SUR LOT Maison de l’emploi Elu chambre d’agriculture du Lot et Garonne SUPPLEANT Directeur TITULAIRE ESCODO Jean DIAZ Francis BASCLE Michel BOUIGUES Laetitia VAN ANDRINGA Stéphane VO VAN Paul RAJI Hafida EPLFPA EPLFPA Enseignante – chercheur TITULAIRE CAUE 47 Architecte conseil TITULAIRE CAUE 47 Maison de l’emploi 17 Chargée de mission SUPPLEANTE ACTEURS PRIVES (16) Noms - prénoms BARRAL Bernard BRUGALIERE Alain CAMPAS Thérèse TORRES jean Emmanuel FANALS Christine GRENIER Anne FREVILLE Alain CONTENSOU Emmanuelle CROUZET Claude RASHIDI Salim GARROUSTE Maria POURCEL Patrick GAILLARD Pierre Adresse Structure représentée Fonction ZI marché gare 47 300 VILLENEUVE SUR LOT V ITAMONT Fon du Pommier 47150 MONFLANQUIN Place de la halle 47 300 PUJOLS Place de la halle 47 300 PUJOLS PROD’IAA Président PROD’IAA TITULAIRE PROD’IAA Vice Président PROD’IAA SUPPLEANT ARPE 47 46 rue de la Convention 47 300 VILLENEUVE SUR LOT 46 rue de la Convention 47 300 VILLENEUVE SUR LOT CIVAM AGROBIO 47 Présidente TITULAIRE Directeur SUPPLEANT Présidente TITULAIRE CIVAM AGROBIO47 Directrice SUPPLEANTE 48 avenue du Général de Gaulle 47 300 VILLENEUVE SUR LOT 48 avenue du Général de Gaulle 47 300 VILLENEUVE SUR LOT Pôle agricole de Lalande BP 75 47 110 SAINTE LIVRADE SUR LOT Pôle agricole de Lalande BP 75 47 110 SAINTE LIVRADE SUR LOT SUR LOT 16 rue Carlane 47 140 PENNE d’AGENAIS FASSAD/Villeneuve Directeur TITULAIRE Ferme de Lacay 47140 PENNE D’AGENAIS Cité mondiale 6 Parvis des ARPE 47 Autre implications électives, professionnelles, associatives. PCS BARRAL SA Administrateur CCI FASSAD/Villeneuve Chargée de mission SUPPLEANTE Comité Economique du Pruneau (CEP) Directeur TITULAIRE Comité Economique du Pruneau (CEP) Responsable laboratoire SUPPLEANT Office de tourisme de Penne d’Agenais Présidente TITULAIRE Office de tourisme de Penne d’Agenais Vice Président SUPPLEANT GIE fruits et Légumes Directeur TITULAIRE 18 Conseillère régionalePrésidente de L'ASSAD du Canton de Penne D'Agenais GILLE ZENON Nathalie GUIPOUY Marie José VALLET Sophie Chartrons 33 075 BORDEAUX Cité mondiale 6 Parvis des Chartrons 33 075 BORDEAUX Le bourg 47260 COULX Route de Cahors au bourg 16, rue Nationale DELPRAT Alain SAMUEL Mathier DRIFFORT Denis 16, rue Nationale 25 rue Sainte Marie 47150 MONFLANQUIN PREZ Sabrina 25 Rue Sainte Marie 47150 MONFLANQUIN ODIER Georges 36, Rue de Conlièges BP 26 47 301 VILLENEUVE SUR LOT VIALA André 36, Rue de Conlièges BP 26 47 301 VILLENEUVE SUR LOT FOURNIER 280, Rue de Alain Pechabout BP 10 174 GARDENAL 280, rue de Françoise Péchabout BP 10 174 FIGEAC Patrick Parran Haut Soubirou 47 300 VILLENEUVE SUR LOT PALACIO Fabien 24 Rue de Pujols 47 300 VILLENEUVE SUR LOT LAVOYER La ferme du Martin Chaudron Magique 47 260 BRUGNAC MARTINET Jean La ferme du louis Chaudron Magique 47 260 BRUGNAC GIE Fruits et légumes Chargée de mission SUPPLEANT ADMR Verteuil Coulx Présidente TITULAIRE Fédération Départementale ADMR Association ART CINE Association ART CINE Association d’art contemporain POLLEN Directrice SUPPLEANTE Association d’art contemporain POLLEN Directeur SUPPLEANT AIPI 47 Président TITULAIRE ADOT-AGIR LOTANACR( trésorier)ARPE47- AgenuxAFCEV-UFACMAFADE AIPI 47 Trésorier SUPPLEANT Trésorier association Nationale des retraités agricoles CER France Directeur adjoint TITULAIRE CER France Chargée de mission SUPPLEANTE Président TITULAIRE Association Intermédiaire du Pays du Haut Agenais élue mairie de Coulxadministratrice au réseau gérontologique Directeur TITULAIRE Directeur Adjoint SUPPLEANT Directeur TITULAIRE Président Arcades Editions- Co président d'Agir pour le vivant Association Intermédiaire du Pays du Haut Agenais Association touristique EVASION + Directeur SUPPLEANT Président TITULAIRE Bienvenue à la Ferme - CDT 47 - CIVAM AGROBIO 47 Association touristique EVASION + Trésorier SUPPLEANT responsable Musée du Pruneau 19 LOT Georges DIBON Alexandra LE MARECHAL Hubert AVI Thomas Moulin de Pelagat 47 190 AIGUILLON Rue Ledru Rollin 47 000 AGEN Marché gare, route de Tournon 47 300 VILLENEUVE SUR LOT CEDP Elu CEDP TITULAIRE CEDP Directrice CEDP SUPPLEANT Directeur TITULAIRE Marché gare, route de Tournon 47300 VILLENEUVE SUR LOT Régie de Territoire Régie de territoire Directeur adjoint SUPPLEANT Nombre de membres du comité de programmation : Nombre de membres du « privé » : 14 soit 46 % du comité de programmation. Nombre de membres du « public » : 16 soit 53 % du comité de programmation. Membres associés au comité de programmation : Etat (DRAF, DDAF,SGAR, Sous préfecture) Conseil Régional d’Aquitaine Conseil Général de Lot et Garonne L’agence de L’eau Adour Garonne CNASEA 20 Responsable du GLEC environnement Représentant du CNLRQ (Comité National de Liaison des Régies de Quartier) au CDIAE (Comité Départemental d'Insertion par l'Activité Economique), membre du CNRLQ, membre dela CLI ( Commission Locale d'Insertion), membre de l'observatoire de la prison d'Agen, président d'AGADES (Association de Guidage pour l'Aménagement et le Développement des Espaces Sahariens) Signification des sigles employés : Collège public CAUE 47 du Lot et Garonne : Conseil d’architecture, d' urbanisme et de l' environnement . Collège privé ARPE Association de Recherche pour une Pédagogie de l’Environnement. CEP : Comité Economique du Pruneau CEDP : Centre D'Etudes et de Découverte du Paysage OTPA : Office de Tourisme de Penne d’Agenais GIE : Groupement d’Intérêt Economique Fruits et Légumes CIVAM AGROBIO47 : Centre D’initiative de Vulgarisation Agricole et de Mutualisation agrobiologique CER France : Centre de Gestion de l’Economie Rurale du Lot et Garonne (association) EVASION + association de promotion regroupant les sites touristiques du Lot et Garonne FASSAD 47 : Fédération des Associations de Soins et de Services à Domicile ADMR 47 : Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural. AIPI47 : Association d'Appui à l'Information, la Promotion et l'Insertion. AIPHA 47 : Association Intermédiaire du Pays du Haut Agenais. POLLEN : association culturelle Monflanquin PROD’IAA : Association pour la Promotion et le Développement de l’Industrie AgroAlimentaire UTOPIE: association – maison des Jeunes et de la Culture de Sainte Livrade sur Lot. 21 ANNEXE 4 : REGLEMENT INTERIEUR DU GAL 1. Les membres du Comité de programmation (Cf. liste). Le Comité de Programmation est présidé par le Président du Groupe d'Action Locale. Le Comité de Programmation délibère valablement lorsque le principe du double quorum suivant est respecté : • • 50% des membres du Comité de Programmation ayant voix délibérante sont présents au moment de la séance ; 50% au moins des membres présents lors de la séance du Comité de Programmation appartiennent au collège privé présenté dans la liste ci-jointe. Le GAL invite systématiquement à assister à son Comité de programmation : - Le Préfet de région ou son représentant (en particulier le service d’appui de proximité du GAL); - L’organisme payeur - Les co-financeurs. Afin de ne pas nuire au bon fonctionnement du GAL, un système suivi des absences sera établi. Au-delà de trois absences consécutives , le membre du GAL devra réaffirmer son engagement et sinon sera considéré comme démissionnaire. Le Comité de programmation devra alors proposer à l’autorité de gestion le remplacement du membre. 2. Fréquence des Comités de programmation Le Comité de Programmation se réunit à l’initiative de son Président, autant de fois que nécessaire, en fonction du nombre de projets soumis et instruits par les services du Groupe d'Action Locale (au minimum une fois par trimestre). 3. Les tâches de suivi du Comité Le Comité de programmation doit : - Avoir l’initiative des propositions de programmation des projets Leader ; - Examiner et approuver les critères de sélection des opérations financées au titre de chacune des actions, eu égard notamment aux priorités retenues et aux objectifs fixés; - Se voir présenter les avis techniques recueillis par le GAL sur les projets à financer au titre de Leader et statuer sur chacun des projets ; - Evaluer périodiquement les progrès réalisés pour atteindre les objectifs spécifiques de l’intervention ; - Etablir et acter les propositions de modifications de la maquette financière ou du plan de développement ; - Examiner les résultats de la mise en œuvre, notamment la réalisation des objectifs fixés pour les différentes mesures, ainsi que l’évaluation à mi-parcours ; - Examiner le suivi financier ; Le Comité de programmation, lors de ses séances plénières, émet un avis sur l’ensemble des projets qui lui sont soumis. Il y a quatre possibilités : Avis favorable Le projet est retenu en l’état, la suite donnée à ce type de projet est l’engagement de la procédure de conventionnement. Avis réservé Le projet est retenu sur le principe sous réserve de suivre les préconisations du comité de programmation. Avis d’ajournement Le projet ne peut pas être retenu en l’état pour des raisons techniques ou autres. Le projet doit repasser en instruction avant d’être présenté à nouveau en comité de programmation. Avis défavorable Le projet n’est pas retenu, pour les raisons suivantes : - les dépenses affichées sont inéligibles au regard des règlements communautaires ; - il ne correspond pas aux priorités du programme LEADER du GAL, - sa réalisation est incompatible avec les délais dudit programme, - le porteur de projet ne présente pas de garanties suffisantes pour mener à bien ce projet, - autres motifs. 22 4. Préparation des réunions du Comité de programmation L’ordre du jour et les documents nécessaires aux travaux du Comité de Programmation seront mis à disposition des membres du Comité par le président deux semaines avant la réunion. Afin de faciliter la préparation des documents et donc le respect de ce délai, le Comité de programmation fixe, sur proposition de son président et en dernier point de son ordre du jour, la date du Comité de Programmation suivant. Il est prévu d’avoir le plus souvent possible recours au système de courriels, y compris pour la transmission des ordres du jour, des dossiers à traiter et comptes rendus des réunions du Comité de programmation. Afin de ne pas retarder la programmation des dossiers, une consultation sera faite par courrier auprès des différents financeurs pour avoir leur positionnement à priori sur les dossiers présentés. 5. Consultation écrite du Comité de programmation A titre exceptionnel et pour une opération revêtant un caractère urgent, le GAL peut, à son initiative consulter les membres du Comité de Programmation par écrit. Les membres du Comité donneront leur avis dans un délai de 15 jours ouvrables à compter de la date de réception du courrier de consultation. La proposition sera adoptée en l’absence d’objection dans ce délai. 6. Secrétariat du Comité de programmation Le secrétariat du Comité de Programmation sera assuré par la structure porteuse du GAL. Le service technique s’assurera de la préparation de la documentation, du suivi, des rapports, des ordres du jour, des comptes rendus des réunions ainsi que des états de paiements à transmettre à l'autorité de gestion et de paiement. 7. Le dossier du Comité de programmation Les membres du Comité de Programmation sont destinataires : • • • du relevé de décisions du précédent Comité de Programmation ; des projets qui seront soumis en Comité (une fiche technique par projet, cette fiche étant extraite d’OSIRIS) ; de l’avancement financier du programme (extrait D’OSIRIS). 8. Les décisions du Comité de programmation Les décisions du Comité de Programmation sont prises à la majorité des voix. A l’occasion d’un comité, si un membre du Comité de Programmation se trouve être également membre de la structure porteuse du projet présenté à l’approbation du comité, ce dernier ne pourra pas participer au vote. La décision de chaque comité de programmation sera notifiée après chaque comité de programmation par courrier. 23 ANNEXE 5 : STRATEGIE DU GAL I.C.I., un développement de qualité pour un territoire attractif Initiative – Cohésion – Identité 1- Le Pays de la Vallée du Lot : un territoire rural en recherche d’attractivité Le Pays de la Vallée du Lot est un territoire qui regroupe 105 communes et 105 000 habitants structurés en 9 communautés de communes et une ville centre, Villeneuve sur Lot qui regroupe plus de 20 000 habitants. Ce territoire aux caractéristiques très rurales possède une identité agricole marquée avec une production de fruits et légumes encore prédominante sur la zone et une production emblématique, le pruneau. Sa structure socioéconomique rurale est en voie de tertiarisation avec la disparition progressive d’un secteur industriel en crise notamment dans le bassin fumélois et un secteur économique qui repose sur des unités agroalimentaires de moyennes tailles et un tissu de petites entreprises. Le territoire tel que dessiné aujourd’hui s’est structuré historiquement par un besoin de développer l’offre touristique en lien avec l’aménagement de la Vallée du Lot, axe géographique majeur du territoire. Par la suite avec la mise en place du Pays au sens de la loi de 1995 ce sont l’ensemble des enjeux de développement qui ont été pris en compte dans le cadre de ce périmètre, entrainant la mise en place successive de programme de développement locaux tels qu’un contrat de Pays sur la période 20052007, un Pôle d’Excellence Rurale sur la Qualité des Fruits et Légumes par une gestion raisonnée eau et énergie. Le programme LEADER du Pays de la Vallée du Lot a donc été perçu comme une opportunité pour compléter et renforcer les politiques de développement déjà engagées sur le territoire. La stratégie choisie par le territoire étant d’utiliser l’outil LEADER comme un moyen de favoriser des actions innovantes, exemplaires et de qualités dans les domaines considérés comme prioritaires par les acteurs locaux. 2- Une stratégie axée sur l’émergence de projets de qualité et exemplaire La stratégie : des projets de qualités pour renforcer l’attractivité Compte tenu du profil du territoire, la stratégie du territoire a été de privilégier les axes de développement suivants : - Le soutien à la dynamisation du tissu économique des petites entreprises et des entreprises agroalimentaires du territoire. Le développement d’une agriculture novatrice par le biais de procédés de productions plus respectueux de l’environnement. Le maintien, le développement et l’adaptation des services à la population. Et de mettre au cœur du programme les valeurs de développement suivant : • La qualité du territoire, notion multi-facette mais récurrente : paysage, eau, patrimoine architectural, historique et vernaculaire… ; • Le bien-être des habitants, le « bien-vivre ensemble », la solidarité entre les habitants et notamment entre les générations ; ainsi, à la qualité du territoire répond la qualité de vie sur ce territoire ; 24 • La prise en compte exemplaire de l’environnement, dans les pratiques de production, mais aussi dans le bâti, l’aménagement urbain… Ces pratiques peuvent concerner aussi bien la gestion de l’eau, les paysages, les énergies, le sol et le sous-sol, la biodiversité…; • La qualification des acteurs, dans une recherche d’amélioration des pratiques économiques et sociales et d’élévation de la qualité de l’offre territoriale ; l’objectif de qualification touche ainsi un large public : élus et techniciens des collectivités, agriculteurs, chefs d’entreprises et leurs salariés, opérateurs de services, accueillants touristiques, responsables et animateurs associatifs… ; • L’innovation, la créativité, l’initiative individuelle et collective, qu’elles soient d’ordre économique, sociale, culturelle, citoyenne… ; • La valorisation des potentiels endogènes de développement, qu’il s’agisse des ressources du sol, des savoir-faire et des métiers locaux, du patrimoine naturel et culturel… 3- Un plan de développement pour atteindre les objectifs stratégiques : Pour répondre à son ambition de qualité et d’exemplarité des pratiques et faire de LEADER un outil clé au service de l’attractivité du territoire, le Pays de la Vallée du Lot choisit d’organiser son plan de développement autour de quatre objectifs stratégiques : OBJECTIF I : LA DIVERSIFICATION ET LA MODERNISATION DE L’ECONOMIE ET DES SERVICES Ce premier objectif réunit les projets matériels concourant à l’atteinte de la stratégie. Ils répondent à une ambition de démonstration par l’exemple de l’intérêt de pratiques ou d’investissements plus respectueux de l’environnement, plus axés sur les potentiels locaux et contribuant plus directement au renforcement des solidarités entre les individus, entre les générations et entre les territoires, c’est-à-dire participant pleinement d’un développement durable du territoire. L’objectif I se décline en trois mesures opérationnelles : Mesure 1.1. : Favoriser une agriculture novatrice Mesure 1.2. : Soutenir la modernisation des entreprises Mesure 1.3. : Développer l’offre de services à la population OBJECTIF II : LA L’ENTREPRENARIAT QUALIFICATION A LA GESTION ENVIRONNEMENTALE ET A Le second objectif est entièrement consacré à l’élévation des connaissances et des compétences des acteurs locaux. Les actions de qualification soutenues seront ciblées sur trois dimensions répondant à des besoins forts du territoire et directement en lien avec les projets de l’objectif I. Ces trois dimensions se traduisent à travers trois mesures opérationnelles : Mesure 2.1. : Former à la gestion environnementale Mesure 2.2. : Développer l’esprit d’initiative Mesure 2.3. : Favoriser l’accueil des nouvelles populations OBJECTIF III : LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET 25 Le troisième objectif rassemble les actions d’animation et de gestion du programme. Au-delà de ses fonctions – obligatoires dans la mise en œuvre d’un tel dispositif – il est voulu comme une contribution de plein exercice à l’ambition générale du projet et doit ainsi se traduire par des pratiques exemplaires et démonstratives de l’intérêt pour le territoire d’une "bonne gouvernance". La mise en œuvre du projet s’appuiera sur les mesures suivantes : Mesure 3.1. : Mettre en place un management exemplaire du projet Animation et gestion Suivi et évaluation Mesure 3.2. : Etre acteur du "laboratoire" LEADER Capitalisation Communication Mise en réseau OBJECTIF IV : LA COOPERATION Le Pays de la Vallée du Lot souhaite s’engager pleinement dans la coopération, gage d’ouverture et d’enrichissement des pratiques de développement. Son ambition est de conduire sur la durée du programme des actions de coopération interterritoriale aussi bien que transnationale. Une seule mesure-cadre traduira cet objectif : Mesure 4.1. : Mise en œuvre d’actions de collaborations territoriales 26 ANNEXE 6 : FICHES - DISPOSITIFS DU GAL MESURE 1.1 : FAVORISER UNE AGRICULTURE DYNAMISATION DU SECTEUR SYLVICOLE. NOVATRICE ET LA Dispositif 111 a : formation des actifs des secteurs agricole, sylvicole et agroalimentaire Dispositif 111 b : information et diffusion des connaissances scientifiques et des pratiques novatrices Dispositif 121 b1 : Plan Végétal pour l’Environnement Dispositif 311 : Diversification vers des activités non agricoles Dispositif 111a : Formation des actifs des secteurs agricole, sylvicole et agroalimentaire Place dans la stratégie Mesure 1.1. : Favoriser une agriculture novatrice et la du GAL dynamisation du secteur sylvicole. Axe 1 : Compétitivité des secteurs agricoles et forestiers Axe de rattachement Article 21 du Règlement (CE) n°1698/2005. Base règlementaire Règlement (CE) n°1974./2006, annexe II point 9 européenne Contexte / objectifs : Pour les acteurs et les habitants du Pays de la Vallée du Lot 47, le maintien d’une agriculture diversifiée dynamique est le premier garant du maintien de la qualité du cadre de vie, notion qui couvre aussi bien le développement économique que les aspects paysagers (diversité, qualité..). Conscient de l’importance de la valorisation de l’atout que constitue une agriculture de qualité respectueuse de l’environnement, le Pays de la Vallée du Lot s’est d’ores et déjà engagé dans la voie de l’innovation et de la modernisation de son agriculture en mobilisant les acteurs agricoles autour du Pôle d’Excellence Rurale (PER) « Qualité des fruits et des légumes par une gestion raisonnées des ressources eau et énergies ». Cette première expérience n’était qu’expérimentale et le Pays entend élargir cette approche à l’ensemble de la filière agricole en incluant les acteurs de l’agroalimentaire, les agriculteurs et les forestiers et à d’autres domaines que l’eau et l’énergie. La formation sera le premier outil qui permettra aux acteurs agricoles et forestiers de se familiariser avec les techniques environnementales qui ont été développées dans le cadre du PER et avec les nouvelles qui pourront être expérimentées via le programme. Bénéficiaires et public visé Bénéficiaires du dispositif : coordonnateurs de formation : collectivités locales, association, consulaires.. Organismes de formation publics ou privés. Public visé par les formations: Les formations sont destinées aux personnes actives dans les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt. Actions envisageables : - Agriculteurs : formations aux techniques novatrices en matière d’itinéraires techniques, de conduite de l’irrigation, de la gestion de l’énergie, etc. dans un souci de préserver (quantitativement et qualitativement) les ressources naturelles que sont les sols, l’énergie et l’eau voire d’améliorer les sols supports de la production et des paysage - Agroalimentaire : ex : formations sur les économies d’eau et d’énergie dans la transformation agroalimentaire. - Forestiers : ex : techniques innovantes pour la gestion durable du massif forestier Réalisation de stages de formations ou achat de formation auprès Dépenses éligibles d’organismes de formation. Sont pris en compte les dépenses suivantes : - le coût d’achat des sessions de formation supporté par les organismes coordonnateurs, au prorata du nombre d’heures stagiaires assuré - les dépenses directement et exclusivement rattachées aux actions de formation supportées par les organismes de formation bénéficiaires de subvention - les dépenses directement et exclusivement liées aux actions d’ingénierie de formation liée à l’étape de construction de la formation ou de l’évaluation de la formation. (ex : définition des démarches pédagogiques, 27 conception des documents pédagogiques liés à la formation….) - Le cas échéant, la prise en charge, sur la base des réglementations nationales et communautaires en vigueur, des coûts liés aux prestations de service rendues nécessaires par l’absence des stagiaires et supportés par eux-mêmes ou leur employeur du fait de la participation aux stages de formation. Cette prise en charge ne s’applique pas aux formations conditionnant la contractualisation de certaines mesures agroenvironnementales pour lesquelles la rémunération du temps passé par l’agriculteur pour la recherche et le suivi de la formation est prise en compte au titre des coûts induits des mesures agroenvironnementales. Dans tous les cas la liquidation de ces dépenses interviendra sur la base des dépenses réellement encourues par le bénéficiaire. Taux d’aides publiques : maximum 100 % Intensité de l’aide FEADER : 55 % de la dépense publique FEADER sollicité Conseil Général : 13 500 € Cofinancements Conseil Régional : 13 500 € ciblés Objectifs quantifiés : Type Indicateur Cible d’indicateur 60 à 120 Nombre de participants Réalisation 30 Nombre de jours de formations Nombre de thèmes différents abordés en formation Résultats Evolution des pratiques des agriculteurs et forestiers ayant participé aux formations 28 3 Qualitatif Source GAL/ Bénéficiaires Bénéficiaires Bénéficiaires Bénéficiaires Dispositif 111b : Information et diffusion des connaissances scientifiques et des pratiques novatrices Axe 1 : Compétitivité des secteurs agricoles et forestiers Axe de rattachement Place dans la stratégie Mesure 1.1. : Favoriser une agriculture novatrice et la dynamisation du du GAL secteur sylvicole. Article 21 du Règlement (CE) n°1698/2005. Base règlementaire Règlement (CE) n°1974./2006, annexe II point 9. européenne Contexte / objectifs Pour les acteurs et les habitants du Pays de la Vallée du Lot 47, le maintien d’une agriculture diversifiée dynamique est le premier garant du maintien de la qualité du cadre de vie, notion qui couvre aussi bien le développement économique que les aspects paysagers (diversité, qualité..). Conscient de l’importance de la valorisation de l’atout que constitue une agriculture de qualité respectueuse de l’environnement, le Pays de la Vallée du Lot s’est d’ores et déjà engagé dans la voie de l’innovation et de la modernisation de son agriculture en mobilisant les acteurs agricoles autour du Pôle d’Excellence Rurale (PER) « Qualité des fruits et des légumes par une gestion raisonnées des ressources eau et énergies ». Cette première expérience n’était qu’expérimentale et le Pays entend élargir cette approche à l’ensemble de la filière agricole en incluant les acteurs de l’agroalimentaire, les agriculteurs et les forestiers et à d’autres domaines que l’eau et l’énergie. Le Pays de la Vallée du Lot souhaite promouvoir via ce dispositif la diffusion de nouvelles connaissances issus d’expérimentations qui seront menées auprès des agriculteurs et des forestiers et assurer une information au plus proche de l’agriculteur ou de l’exploitant forestier de ces nouvelles pratiques environnementales. Bénéficiaires et publics visés Bénéficiaires du dispositif : Tout établissement public (dont les organismes consulaires) ou privé, ou toute association ou organisme intervenant dans les champs de la diffusion des connaissances sur les pratiques environnementales en agriculture et exploitation forestière. Ex : chambre d’agriculture, CIVAM, centre d’expérimentation, fédération départementale des CIVAM… Public visé par les formations: Les formations sont destinées aux personnes actives dans les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt. Actions visées : -Opérations de diffusion visant à promouvoir les connaissances acquises dans le cadre d’expérimentations menées sur le territoire et dont la préoccupation est la réduction de l’impact environnemental de la production agricole. Les actions de diffusion porteront notamment sur les thématiques suivantes : économies d’eau, lutte contre l’érosion des sols, semis sous couverts végétal, zéro labour, méthodes alternatives de lutte contre les nuisibles, agriculture biologique, utilisation de nouvelles sources d’énergies dans les exploitations agricoles, approche environnementale de gestion de la forêt. - Réalisations de diagnostics : -Dans les exploitations agricoles, réalisation de diagnostics globaux visant à mesure l’impact environnemental de l’exploitation sur le milieu naturel (eau, air, sol, énergie) et à formuler des préconisations pour réduire l’impact. -Chez les exploitants forestiers, diagnostics visant à sensibiliser les forestiers à la gestion durable de la forêt fuméloise. La priorité sera donnée à des projets partenariaux ou inter-filière. Taux d’aides (financement public) pouvant aller jusqu'à 100% du coût réel de Intensité de l'action. l’aide Dépenses éligibles FEADER sollicité -Frais afférents à l’installation du dispositif de démonstration, à son entretien et à son suivi dans la limite de 20 % du budget global de l’action. -Frais liés à l’organisation de l’action de démonstration en elle-même (conception et impression de documents pédagogiques, rémunération des intervenants, ingénierie pédagogique amont liée directement à l’action). -Dans le cadre de la réalisation des formations actions diagnostics : ingénierie liée à l’élaboration du diagnostic. FEADER : 55 % de la dépense publique Conseil Régional : 54 750 € Conseil Général : 48 750 € 29 Objectifs quantifiés : Type Indicateur d’indicateur Nombre de participants à une action d’information ou de diffusion relative à l’agriculture/sylviculture Réalisation Nombre de journées de diffusion des résultats Résultats Cible Source 100 Bénéficiaires 20 Bénéficiaires Nombre de diagnostics réalisés 60 Bénéficiaires Evolution des pratiques des agriculteurs et forestiers ayant participé aux actions de diffusion Nombre de thématiques de diffusion et d’information Qualitatif Bénéficiaires 5 Bénéficiaires 30 Dispositif 121-b1 : Plan végétal pour l’environnement Axe 1 : Compétitivité des secteurs agricoles et forestiers Axe de rattachement Place dans la stratégie Mesure 1.1. : Favoriser une agriculture novatrice du GAL Article 26 du Règlement (CE) n°1698/2005 Base règlementaire Articles 17, 43 et 55 du Règlement (CE) n°1974/2006 et Annexe européenne II point 5.3.1.2.1. Article 3 du règlement (CE) N° 1320/2006 Contexte / objectifs : Pour les acteurs et les habitants du Pays de la Vallée du Lot 47, le maintien d’une agriculture diversifiée dynamique est le premier garant du maintien de la qualité du cadre de vie, notion qui couvre aussi bien le développement économique que les aspects paysagers (diversité, qualité..). Conscient de l’importance de la valorisation de l’atout que constitue une agriculture de qualité respectueuse de l’environnement, le Pays de la Vallée du Lot s’est d’ores et déjà engagé dans la voie de l’innovation et de la modernisation de son agriculture en mobilisant les acteurs agricoles autour du Pôle d’Excellence Rurale (PER) « Qualité des fruits et des légumes par une gestion raisonnées des ressources eau et énergies ». Cette première expérience n’était qu’expérimentale et le Pays entend élargir cette approche à l’ensemble de la filière agricole en incluant les acteurs de l’agroalimentaire, les agriculteurs et les forestiers et à d’autres domaines que l’eau et l’énergie. Il souhaite également pouvoir soutenir pour les agriculteurs qui s’engagent dans une démarche globale de diagnostic environnemental de l’exploitation, l’acquisition de matériels par des exploitants et/ou des groupements d’agriculteurs permettant la mise en pratique des techniques innovantes promues dans le cadre de LEADER notamment dans les domaines concernant la maitrise de l’utilisation des pesticides, travail du sol simplifié et économies d’eau. Bénéficiaires : Peuvent bénéficier de l’aide : • Les exploitants agricoles individuels ; • Les propriétaires bailleurs de biens fonciers à usage agricole ; • Les sociétés ayant pour objet la mise en valeur directe d’une exploitation agricole ; • Les fondations, associations, établissements d’enseignement et de recherche agricoles mettant en valeur une exploitation agricole ; Champs et action Acquisition par des bénéficiaires éligibles d'une dizaine d'équipements figurant dans la liste nationale mais non retenus en région Aquitaine (récupérateur d'eau de pluie, outils de travail du sol simplifié, outils permettant de raisonner les apports d'engrais (épandeur à pesée automatique, etc.)… La priorité sera donnée à ceux qui ont réalisé un diagnostic environnemental global de la leur exploitation. Cf. liste ci-dessous des investissements éligibles au PVE. National et Dépenses éligibles non éligibles au niveau régional. Taux d’aides publiques : 20 à 50 % selon les choix de répartition des Intensité de l’aide crédits opérés dans le cadre du GAL. FEADER : 55 % des dépenses publiques. FEADER sollicité Cofinancement ciblé Conseil Général : 27 000 € Autofinancement privé : 90 000 € Type d’indicateur Réalisation Résultats Objectifs quantifiés : Indicateur Cible Source Volume total des investissements 20 GAL Nombre d’exploitations aidées 15 GAL Qualitatif GAL Type d’investissements effectués (eau, phytosanitaire …) 31 Liste des investissements éligibles à LEADER au titre du dispositif national PVE et non éligibles au titre du PVE Régional. 8-1 Lutte contre l’érosion Matériel améliorant les pratiques culturales Matériel pour casser les croûtes de battance sur les cultures en place Matériel permettant de limiter l’affinement de surface lors de semis et matériels de ce type ayant le même objet et équipant des semoirs. Effaceurs de traces de roues pour en limiter les amorces de formation de ravines. Matériel adapté sur planteuse permettant la formation de micro buttes empêchant le ruissellement de l’eau. Matériel spécifique pour l’implantation et l’entretien de couverts, l’enherbement intercultures, ou pour les zones de compensation écologique. Matériel de semis d’un couvert végétal des sols dans une culture en place Matériel de semis adaptés pour le semis de cultures intermédiaires dans un couvert végétal. Matériel spécifique pour l’entretien par voie mécanique des couverts et de l’enherbement interrangs. 8-2 Réduction des pollutions par les produits phytosanitaires Réserves de collectes des eaux de pluies et réseau correspondant.(équipements à l’échelle de l’exploitation). 8-3 Réduction des pollutions par les fertilisants Pesée embarquée des engrais Pesée sur fourche, pompe doseuse Système automatisé de préparation et de recyclage des solutions nutritives avec traçabilité pour le secteur horticole et maraicher. Matériel visant à une meilleure répartition (système de débit proportionnel à l’avancement) et à moduler les apports. Localisateurs engrais sur le rang (bineuse, semoir spécifique ou sur la planche) et système de limiteur de bordures. Acquisitions d’outils d’aide à la décision (GPS-logiciel de fertilisation…) 8-4 Réduction de la pression par les prélèvements de la ressource en eau Réserve de collecte des eaux de pluies et réseau correspondant (équipements à l’échelle des bâtiments d’exploitation) Système d’arrosage maitrisé pour le secteur agricole, arboricole et maraicher (système de goutte à goutte, rampes d’arrosage, gaines goutte à goutte, planteuse manuelle spécifique permettant de limiter l’arrosage à l a plantation) Système de récupération et de stockage en vue de la récupération des eaux pluviales et de leur utilisation Système de recyclage et de traitement (dégrilleur, décanteur, traitement biologique…) des eaux de lavage utilisées pour certaines productions spécialisées. Machine de lavage pour certaines productions économes en eau. 32 Dispositif 311 : Diversification vers des activités non agricoles Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie Mesure 1.1. : Favoriser une agriculture novatrice du GAL Articles 52.a.i et 53 du Règlement CE 1698/2005 Base règlementaire européenne Article 35 du Règlement d’application CE 1974/2006 (définition du ménage agricole) Objectifs : Pour les acteurs et les habitants du Pays de la Vallée du Lot, le maintien d'une agriculture diversifiée dynamique est le premier garant du maintien de la qualité du cadre de vie. Ce secteur encore prédominant sur le territoire doit faire face pourtant aux évolutions du marché si les exploitations agricoles souhaitent se maintenir. Le Pays de la Vallée du Lot souhaite encourager le secteur agricole à se démarquer en favorisant des productions de qualité et en développant des techniques de production plus respectueuses de l’environnement. Ils souhaitent également encourager le développement d’activités agritouristiques, source complémentaire de revenus en incitant les agriculteurs à l’aménagement d’hébergements mais également à la mise en place de démarches collective de vente. Bénéficiaires : Seuls les membres d’un « ménage agricole » sont éligibles à cette mesure, c’est-à-dire toute personne physique ou morale ou groupe de personnes physiques ou morales exerçant une activité agricole (hormis les salariés agricoles). Si un membre du ménage agricole est une personne morale ou un groupement de personnes morales, il doit exercer une activité agricole sur l’exploitation au moment de la demande de soutien. Sont éligibles à cette mesure, les personnes physiques et les personnes morales qui exercent une activité agricole telle que définie ci-dessous : - le chef d'exploitation ou d'entreprise agricole, à titre exclusif ou principal, bénéficiaire des prestations de l’AMEXA (nouvel installé ou non, les co-exploitants, les chefs d’exploitation en GAEC, …), - le chef d’exploitation à titre secondaire affilié à l’AMEXA ou rattaché au régime de protection sociale de son activité principale non salariée non agricole, - les personnes morales de formes civiles ou commerciales (EARL, SCEA, SARL,…). Sont éligibles également les conjoints collaborateurs d’une personne éligible. Mais un simple conjoint ayant droit, ne participant pas aux travaux sur l’exploitation, n’est pas éligible. Des regroupements de membres de ménages agricoles tels que précités et exerçant une activité agricole sont éligibles à cette mesure (associations, GIE, …). Champs et actions : Pour le Leader de la Vallée du Lot les actions éligibles seront les suivantes : - Modernisation et création d’hébergement touristique en vue d’un développement durable. Seront pris en compte les aménagements qui au-delà de l’activité d’hébergement prévoient des activités de découvertes pédagogiques ou d’installation ludique. - Aménagement d’installation ludique ou de découverte pédagogique au sein des exploitations. - Mise en place de démarches collectives de vente à la ferme. Dépenses éligibles - Etudes préalables - Frais d’aménagement de sites - Frais de réalisation d’équipements d’accueil, - Frais de conception d’outils de communication, Intensité de l’aide Dépenses matérielles : 40 % d’aides publiques maximum. Dépenses immatérielles : 80 % d’aides publiques maximum Dans la limite d’un montant d’aide publique de 200 000 euros sur 3 ans. (Règlement de minimis). FEADER : 55 % de la dépense publique Conseil Régional : 108 000 € Conseil Général : 108 000 € Autofinancement privé : 720 000 € FEADER sollicité et cofinancements ciblés 33 Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Cible Source Nombre de bénéficiaires 14 GAL Volume total des investissements 1.2 M€ GAL Type de diversifications créées Qualitatif GAL Réalisation Résultats 34 MESURE 1.2 : SOUTENIR LA MODERNISATION DES MICRO ENTREPRISES Fiche dispositif 123 a : investissements dans les industries agro-alimentaires Fiche dispositif 312 : aides au développement des micro-entreprises Fiches dispositif 321 : services de bases à la population. Dispositif 123a : Investissements dans les industries agro-alimentaires Axe 1 : Compétitivité des secteurs agricoles et forestiers Axe de rattachement Place dans la stratégie Mesure 1.2. : Soutenir la modernisation des microdu GAL entreprises Base règlementaire Article 28 du règlement (CE) N° 1698/2005. européenne Objectifs : Le Pays de la Vallée du Lot place au cœur de ses priorités le développement et la transmission des entreprises car il souhaite dynamiser son tissu composé de petites unités. Le secteur agro-alimentaire du Pays de la Vallée du Lot représente un secteur relativement important du secteur industriel du Pays de la Vallée du Lot et le territoire souhaite mettre en place un soutien spécifique à ces entreprises en raison de sa position stratégique. Les acteurs locaux ont pointé l’importance de garantir le maintien voire le développement de cette industrie pour consolider l’économie agricole locale et favoriser le maintien des emplois et de la valeur ajoutée sur le territoire. Ce dispositif favorisera plus particulièrement les actions collectives en faveur du transfert de technologies et de l’exportation pour des industries agroalimentaires notamment dans en matière de gestion environnementale dans les process de transformations utilisés. Il permettra la création de quelques unités de transformation emblématiques des produits agricoles identitaires du Pays. Le ciblage de certains investissements pourra permettre de répondre aux attentes nouvelles du marché donc la création de valeur ajoutée. Bénéficiaires : Les bénéficiaires visés sont les micro-entreprises du secteur de l'agro-alimentaire dont les effectifs sont inférieurs à 10 salariés et dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas 0,8 M€ Champs et actions : Opérations collectives en faveur du transfert de technologies et de l’exportation dans la filière agroalimentaire : pourront être pris en compte tout investissement immatériel qui permettra aux entreprises de mieux connaître leur environnement technico économique, réaliser des études marchés ou de faisabilité. Créations d’unités de transformations des produits agricoles identitaires du Pays : Seront visées plus spécifiquement les unités qui auront une approche environnementale, qui seront localisées en zone rurale et qui concerneront des produits de qualité (labels, certification…) Dépense éligibles Intensité de l’aide FEADER sollicité - investissements immatériel permettant aux entreprises de mieux connaître leur environnement technico économique, réaliser des études marchés ou de faisabilité. - Investissements matériels sur l’achat de matériel de production Taux d’aides publiques maxima : 40% FEADER : 55 % de la dépense publique Conseil Régional : 23 400 € Conseil général : 23 400 € Autofinancement : 156 000 € Objectifs quantifiés : Type d’indicate ur Indicateur Cible Source Réalisatio n Nombre de projets aidés Volume total des investissements 3 GAL 260 000 € GAL Réalisés Nombre d’emplois 4 Bénéficiaires 35 Dispositif 312 : Aide au développement des micro-entreprises Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de l'économie Axe de rattachement rurale Place dans la stratégie du Mesure 1.2. : Soutenir la modernisation des micro-entreprises GAL Articles 52.a.ii et 54 du Règlement CE 1698/2005 Base règlementaire Régimes N662/99 et N2/99 du 23 décembre 1998 sur l’aide au conseil européenne Règlement d’application des opérations collectives de modernisation de l’Artisanat et du Commerce dans le cadre des Pays 2007/2013. Références règlementaires nationales Objectifs : Le tissu économique local du Pays de la Vallée du Lot se caractérise par les éléments suivants : • Dans le domaine industriel, par la prédominance de l'industrie agro-alimentaire • Par une forte présence dans le domaine artisanal, en particulier dans les secteurs du bâtiment, du transport et des activités en lien avec le milieu agricole. Ce domaine est confronté au vieillissement des chefs d'entreprises mais aussi à la faible qualification des salariés et aux difficultés de recrutement ; • Dans le domaine du commerce de détail, par une position "très dominante" du villeneuvois et l'enjeu du maintien d'un minimum d'offre commerciale dans les bourgs-centres pour en préserver l'attractivité y compris en tant que centre de services de proximité. Les acteurs du Pays de la Vallée du Lot, consultés en 2007, ont placé en tête de leurs préoccupations "la création, le développement et la transmission des entreprises y compris agricoles". Il s'agit donc pour eux en mobilisant ce dispositif de contribuer à maintenir et diversifier le tissu économique sur le territoire en accompagnant des porteurs de projets et la modernisation des entreprises pour en favoriser le développement et/ou la transmission/reprise Bénéficiaires : Le soutien concerne les entreprises artisanales et/ou commerciales éligibles occupant moins de 10 personnes et dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas 2 000 000 €. Champs et actions : Soutien à la modernisation des micro-entreprises en vue de leur reprise ou transmission. Seront aidées les entreprises qui auront une démarche environnementales (investissement eau, énergie, gestion des déchets…) et/ou innovante (transfert technologique, organisation de l’entreprise…). Ces opérations seront choisies dans le cadre d'appels à projets annuels. Cet appel à projet permettra le cas échéant de renforcer un dispositif du type Opération Collective de Modernisation si un tel dispositif était mis en place sur le territoire en constituant le volet environnement, innovation de l’OCM. Intensité de l’aide Dépenses matérielles : maximum 25 % d’aide publique d’une dépense comprise entre 6 000 et 36 000 €H.T, dans le respect des conditions de règlement R (CE) n°1998/2006 de la Commission concernant l’application des articles 87 et 88 CE du Traité CE aux aides de minimis (dans la limite d’un montant total d’aide publique de 200 000 euros). Dépenses éligibles Types de dépenses matérielles : Equipements permettant de réduire les coûts de structure, Equipements favorisant le maintien de l’activité ou le recrutement de salariés, Equipements destinés à offrir de nouveaux produits, Equipements visant à améliorer les accès ou les conditions d’approvisionnement, Equipements permettant d’améliorer la réactivité de l’entreprise, Equipements liés au regroupement de services, Aménagement des abords immédiats, signalétique, Modernisation et sécurisation des locaux. Types de dépenses immatérielles : Actions d’organisation de l’offre ou de structuration des équipes de travail, Accompagnement au montage de projet, Etudes permettant d’améliorer les coûts de structure, Etudes favorisant le maintien de l’activité ou le recrutement de salariés, Etudes destinées à définir de nouveaux produits, Etudes visant à améliorer les accès ou les conditions d’approvisionnement, Etude de faisabilité notamment dans le cadre de la transmission 36 FEADER sollicité Type d’indicateur Réalisation Résultats reprise, Conseils individualisés apportés aux micro-entreprises par des prestataires privés. FEADER : 55 % de dépenses publiques Conseil Général : 63 000 € Conseil Régional : 63 000 € Autofinancement privé : 840 000 € Objectifs quantifiés : Indicateur Cible Source Nombre de micro-entreprises aidées Volume des investissements Nombre d’emplois créés et/ou maintenus 56 1 120 000 € GAL 25 bénéficiaires Nombre d'entreprises transmises 25 Consulaires 37 Dispositif 321 : Services de bases pour l’économie et la population rurale Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie Mesure 1.2. : Soutenir le développement des micro-entreprises du GAL Base règlementaire Articles 52.b.i et 56 du Règlement CE 1698/2005 européenne Objectifs : Le tissu économique local du Pays de la Vallée du Lot se caractérise par les éléments suivant : • Dans le domaine industriel, par la prédominance de l'industrie agro-alimentaire • Par une forte présence dans le domaine artisanal, en particulier dans les secteurs du bâtiment, du transport et des activités en lien avec le milieu agricole. Ce domaine est confronté au vieillissement des chefs d'entreprises mais aussi à la faible qualification des salariés et aux difficultés de recrutement ; • Dans le domaine du commerce de détail, par une position "très dominante" du villeneuvois et l'enjeu du maintien d'un minimum d'offre commerciale dans les bourgs-centres pour en préserver l'attractivité y compris en tant que centre de services de proximité. Au travers de ce dispositif les acteurs du Pays de la Vallée du Lot ont souhaité encourager le maintien de commerces de proximité dans les zones jugées comme déficitaires afin d’avoir une action qui encourage le développement économique mais qui apporte également un véritable service à la population. Bénéficiaires : Communes et Communautés de communes Champs et actions : - Création de « commerces relais » : construction, acquisition ou réhabilitation par une collectivité propriétaire des murs d'un local à vocation commerciale en vue de sa location à un commerçant porteur d'un projet épicerie-multiservice (études de faisabilité et investissements). Le local a vocation, à terme, à être racheté par le commerçant. Maîtrise d’ouvrage publique : 60 à 80% d’aide publique pour les Intensité de l’aide dépenses matérielles et immatérielles Acquisition de locaux, construction ou travaux de réhabilitation, Dépenses éligibles études préalables FEADER : 55 % de la dépense publique FEADER sollicité Conseil Régional : 36 000 € Conseil général : 36 000 € Autofinancement public : 40 000 € Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Cible Source Nombre de commerces relais 1 GAL Réalisation créés 200 000 € Volume d’investissement Fréquentation annuelle des Résultats A définir Bénéficiaires équipements soutenus Je m’interroge sur l’intérêt d’ouvrir ce dispositif pour un seul projet ! 38 MESURE 1.3 : DEVELOPPER L’OFFRE DE SERVICES A LA POPULATION Dispositif 321 : services de bases pour l’économie et la population rurale Dispositif 321 : Services de bases pour l’économie et la population rurale Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie Mesure 1.3. : Développer l’offre de services à la population du GAL Base règlementaire Articles 52.b.i et 56 du Règlement CE 1698/2005 européenne Objectifs : Au regard de l’évolution démographique du territoire, l'offre de services fait partie des trois enjeux prioritaires pointés par les acteurs du Pays. Conscients de la place stratégique qu'occupe cette offre à la fois comme élément de qualité du cadre de vie et comme facteur d'attractivité, ils souhaitent que son renforcement soit également l'occasion pour les opérateurs de services publics d'être exemplaires tant du point de vue environnemental que social. La mesure s’inscrira dans une vision globale des enjeux de services sur le territoire, vision qui trouvera sa traduction dans le Schéma de services que la structure porteuse du GAL entend mener dès l'année 2008. Les projets soutenus dans ce cadre viseront à compléter, moderniser et développer le maillage d'équipements et de services à la population exemplaires sur le territoire du Pays de la Vallée du Lot. L'action du GAL portera en priorité, mais pas exclusivement, sur les services dans les domaines : de la santé (maintien et accessibilité), des personnes âgées, de l'accueil de la petite enfance, de la culture et de l'expérimentation de système de transport à la demande ou de tout autre système favorisant la mobilité. Bénéficiaires : SMAVLOT 47 Communes et Communautés de communes Associations Champs et actions : - Elaboration d’un Schéma des services aux populations à l’échelle du Pays de la Vallée du Lot 47 permettant d’identifier les enjeux prioritaires en termes d’organisation des services sur le territoire. - Soutien à des projets exemplaires ou pilotes dans les domaines suivants : Réorganisation et renouvellement de l’offre sanitaire : accompagnement de la réflexion sur la mise en place d’équipement pluridisciplinaire et sur l’organisation de l’offre sanitaire en général sur le territoire (les équipements du type maison de santé pourront être financés dans le cadre de la mesure 321 du FEADER Aquitaine / hors Leader sous réserve des disponibilités des crédits sauf si ces équipements représentent un coût total inférieur à 250 000 €). Diversification des services aux personnes âgées : solutions alternatives sur le maintien à domicile des personnes âgées. Développement des capacités d’accueil de la petite enfance : crèche, microcrèche(les équipements lourds pourront être financés dans le cadre de la mesure 321 du FEADER Aquitaine / hors Leader sous réserve des disponibilités des crédits sauf si ces équipements représentent un coût total inférieur à 250 000 €). Soutien à la création et à la diffusion culturelle : Soutien à des équipements polyvalents mutualisables (scénique, de projection…) pour les médiathèques, bibliothèques, salles de spectacles et festivals du territoire. Soutien (y compris investissement) à la mise en œuvre de dispositifs expérimentaux de transports publics (Transport A la Demande, lignes ponctuelles, …) ou de services au public itinérants non marchands. Intensité de l’aide Dépenses éligibles 80 % d’aide publique maximum pour les dépenses matérielles et immatérielles, que le maître d’ouvrage soit privé ou public. - Dépenses matérielles : aménagement des services. - Dépenses immatérielles : animation, médiation, mise en réseau d’acteurs, communication, organisation et appui technique 39 FEADER sollicité (informatique notamment), réalisation de diagnostic, études de faisabilité, démarches qualité, forum, colloque, manifestation… - Dispositifs expérimentaux de transports : matériel roulant, animation, étude. FEADER : 55 % de la dépense publique Conseil Régional : 90 179 € Conseil Général : 40721 € Conseil régional n’appelant pas de FEADER : 254 550 € Conseil général n’appelant pas du FEADER : 254 550 € Autofinancement n’appelant par de FEADER : 200 000 € Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Nombre et types d’équipements créés Réalisation Volume total des investissements Résultats Cible Source 7 GAL 1 090 000 GAL Fréquentation annuelle des équipements soutenus A définir selon les projets Bénéficiaires Aire de rayonnement des équipements A minima intercommunal Bénéficiaires 40 MESURE 2.1 : FORMER A LA GESTION ENVIRONNEMENTALE Dispositif 331 : Formation et information des acteurs économiques de l’axe 3 Dispositif 323 D : conservation et mise en valeur du patrimoine naturel Dispositif 331 : Formation et information des acteurs économiques de l’axe 3 Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie Mesure 2.1. : Former à la gestion environnementale du GAL Articles 52.c et 58 du Règlement CE 1698/2005 Base règlementaire Règlement (CE) 68/2001 lorsque le dispositif revêt un caractère européenne d’aide d’Etat Objectifs : Les acteurs du Pays de la Vallée du Lot ont fait le choix d'un développement de qualité pour un territoire attractif, Les notions de qualité et d'attractivité sont en particulier associées à la qualité environnementale des productions, des services, des prestations. Il s'agit pour eux d'élargir à l'ensemble des secteurs d'activité et des acteurs le travail engagé via le Pôle d’Excellence Rurale sur la production de fruits et légumes. Dans cet objectif, donner aux élus, aux acteurs économiques et aux habitants du territoire les connaissances nécessaires à l’amélioration de leurs pratiques et à la mise en place de solutions durables apparaît indispensable. Pour les acteurs du Pays de la Vallée du Lot, la formation, la qualification, l'information des acteurs économiques, des décideurs, des prestataires de services (services au public, accueil touristique ou non,…) mais aussi des jeunes sont autant d'enjeux pour développer les approches respectueuses de l’environnement sur le territoire Bénéficiaires : Les bénéficiaires visés sont notamment : - Les communautés de communes. - Le SMAVLOT47. - Les organismes consulaires. - Les associations - Certains organismes de formation professionnelle continue, publics ou privés, déclarés auprès du ministère chargé de la formation professionnelle. Champs et actions : Le champ des actions couvre : • La formation / sensibilisation à la gestion environnementale des différents acteurs du territoire : Déchets, assainissement ; Economies d’énergie et utilisation d’énergies renouvelables ; Gestion qualitative et quantitative de la ressource en eau, (eau potable, eaux domestiques et non potable) ; Gestion des forêts et des rivières ; Utilisation des intrants et techniques alternatives ; Qualité du bâti public et privé ; Paysages ; Urbanisme / gestion de l’espace et des sols ; Etc. Le Pays de la Vallée du Lot a fait le choix de retenir en priorité des projets de formations ou d’informations favorisant la mixité des publics et élaborés de façon partenariale. 100 % d’aides publiques. Intensité de l’aide - La réalisation ou l’achat auprès d’organismes de formation ayant Dépenses éligibles déclaré leur activité de formation au service compétent. - Des actions d'ingénierie réalisées par les bénéficiaires en amont des actions de formation (ingénierie de la demande). FEADER sollicité et FEADER : 55 % de la dépense publique Conseil Régional : 10 800 € cofinancements Conseil Général : 10 800 € ciblés 41 Autres: 10 800 € Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Nombre d’acteurs économiques participant à des actions aidées Nombre de jours de formation réalisés Réalisation par participant Nombre de formations réalisées Résultats Nombre de supports pédagogiques utilisés Accessibilité et diffusion des supports pédagogiques Nombre de publics différents touchés 42 Cible Source 100 GAL 2.5 jours GAL 10 GAL 5 GAL Qualitatif Bénéficiaires 5 Bénéficiaires / GAL Dispositif 323 D : conservation et mise en valeur du patrimoine naturel Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie Mesure 2.1. : Former à la gestion environnementale du GAL Articles 52.d, 59.a, 59.b, 59.c, 59.d et 59.e du Règlement CE Base règlementaire 1698/2005 européenne Article 36 du Règlement d’application CE n°1974/2006 Objectifs : Les acteurs du Pays de la Vallée du Lot ont fait le choix d'un développement de qualité pour un territoire attractif, les notions de qualité et d'attractivité étant en particulier associées à la qualité environnementale des productions, des services, des prestations et des paysages. Le caractère attractif des paysages du Pays doit ainsi être préservé grâce à la sensibilisation / information des élus comme des habitants au travers d'un ou de documents stratégiques et pédagogiques de type charte de paysages ou cahier de recommandations d'échelle a minima intercommunale ou même au travers d’actions de sensibilisation aux démarches environnementales notamment vis-à-vis des plus jeunes. Bénéficiaires : - SMAVLOT 47 - EPCI - Syndicat de rivières - Associations. Champs et actions : • Elaboration d'un ou de documents type "Charte paysagère" dans une approche pédagogique et en tenant compte des caractéristiques propres des intercommunalités. • Actions d’animation et de sensibilisation liés à la découverte du patrimoine naturel et aux moyens de sa préservation. (Ex : chantiers de restauration pédagogique liés à la rivière). Le taux maximal d’aides publiques pour cette mesure est fixé à 100 Intensité de l’aide % - Dépenses matérielles : investissements liés au montage des Dépenses éligibles sessions de sensibilisation et d’animation. (travaux de restauration , communication…) - Dépenses immatérielles : études, animation (salaires et charges). FEADER : 55 % de la dépense publique FEADER sollicité Conseil Régional : Conseil Général Taux d’intervention : 55% Objectifs quantifiés : Type Indicateur Cible Source d’indicateur Nombre d’actions de sensibilisation menées 4 GAL Réalisation Coût total des opérations 75 000 € Nombre de communes et de communautés Résultat 9 GAL de communes concernées 43 MESURE 2 .2 : DEVELOPPER L’ESPRIT D’INITIATIVE Dispositif 321 : Services de base pour l’économie et la population rurale. Dispositif 321 : Services de base pour l’économie et la population rurale Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie du Mesure 2.2. : Développer l'esprit d'initiative GAL Articles 52.c et 58 du Règlement CE 1698/2005 Base règlementaire Règlement (CE) 68/2001 lorsque le dispositif revêt un européenne caractère d’aide d’Etat Objectifs : Les acteurs du Pays de la Vallée du Lot, dans le double objectif d'une part de soutenir la création, le développement et la transmission / reprise d'entreprises et, d'autre part, de favoriser le maintien et l'installation de jeunes sur le territoire, souhaitent promouvoir, auprès de ce public en particulier une culture de l’initiative, de la création d’activité économique ou sociale et du risque. Fort du constat partagé de la méconnaissance qu'ont les jeunes de la réalité économique du territoire, des savoir-faire, des métiers porteurs d'emploi de demain, des besoins des entreprises… Les acteurs du Pays souhaitent en favoriser la découverte au travers de différentes initiatives. De même, qu'ils souhaitent faire découvrir le tissu économique local, ils souhaitent que les jeunes du territoire puissent également s'initier au travers de projets économiques et/ou associatifs à l'esprit d'initiative. Bénéficiaires : SMAVLOT 47 Communes et Communautés de communes Associations Consulaires Entreprises Champs et actions : Le champ des actions couvre : Actions de découverte de l’entreprise et/ou du milieu associatif ; Actions de diffusion des métiers porteurs d’emplois (ex : services à la personne – "de firmes en firmes", de l'école à l'emploi, …) ; Promotion des formes d’organisation de l’économie sociale et solidaire ; Appels à projets associatifs innovants portés par des jeunes (< 26 ans). Le Pays de la Vallée du Lot a fait le choix de retenir en priorité des projets de formations ou d’informations favorisant la mixité des publics et élaborés de façon partenariale. Intensité de l’aide 80 % d’aide publique maximum pour les dépenses matérielles et immatérielles, que le maître d’ouvrage soit privé ou public. Dépenses éligibles - Dépenses matérielles : communication, matériel lié aux actions… - Dépenses immatérielles : animation, médiation, mise en réseau d’acteurs, communication, organisation et appui technique (informatique notamment), réalisation de diagnostic, études de faisabilité, démarches qualité, forum, colloque, manifestation… FEADER sollicité FEADER : 55 % de la dépense publique Conseil Régional : 20 150 € Conseil Général : 20 150 € Autre : 1620 € 44 Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Réalisation Nombre d’actions menées Résultats 10 Source GAL Volume total des investissements 92 000 € GAL Nombre et nature des supports pédagogiques Nombre de réponses à l’appel à projet 5 Bénéficiaires 5 GAL Nombre de participants aux actions de sensibilisation 100 Bénéficiaires / GAL 45 Cible MESURE 2 .3 : FAVORISER L’ACCUEIL DE NOUVELLES POPULATIONS Dispositif 331 : Formation et information des acteurs économiques de l’axe 3 Dispositif 321 : Services de bases pour l’économie et la population rurale Dispositif 331 : Formation et information des acteurs économiques de l’axe 3 Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie Mesure 2.3. : Favoriser l’accueil de nouvelles populations du GAL Articles 52.c et 58 du Règlement CE 1698/2005 Base règlementaire Règlement (CE) 68/2001 lorsque le dispositif revêt un caractère européenne d’aide d’Etat Objectifs : Les acteurs du Pays de la Vallée du Lot ont souhaité construire leur stratégie autour d'une priorité ciblée faisant explicitement référence à l'attractivité du leur territoire. Cette attractivité vise à la fois la population autochtone, en particulier les jeunes mais aussi les seniors (maintien), et les nouveaux arrivants pour lesquels il faut rendre accessible l'offre du territoire (offre de services, de loisirs, de logements, etc.) et faciliter l'intégration dans le tissu local (communication, culture, identité). Accueillir suppose donc d'améliorer les conditions générales de l’accueil dans tous les secteurs d'activité y compris dans le domaine touristique soumis à une très forte concurrence. Pour cela, le GAL favorisera les opérations de : - Formation, qualification et sensibilisation des accueillants qu'il s'agisse d'opérateurs de services au public ou d'opérateurs touristiques. Les opérations soutenues devront être conçues de telle sorte à contribuer à l'émergence d'une culture de l'accueil partagée par les acteurs des différents secteurs d'activité concernés. Bénéficiaires : Les bénéficiaires visés sont notamment : - Les communautés de communes. - Le SMAVLOT47. - Les organismes consulaires. - Les associations - Certains organismes de formation professionnelle continue, publics ou privés, déclarés auprès du ministère chargé de la formation professionnelle. Champs et actions : • Qualification professionnelle des intervenants du service à la personne ; • Cours de langue (prestataire de services au sens large) ; • Formation à l'accueil touristique des agriculteurs dans leur activité de diversification non agricole (hébergement touristique, accueil à la ferme, magasins collectifs, vente à la ferme,…). 100 % d’aide publique maximum Intensité de l’aide - La réalisation ou l’achat auprès d’organismes de formation ayant Dépenses éligibles déclaré leur activité de formation au service compétent du Ministère en charge de la formation professionnelle de stages de formation - Ingénierie de la demande : salaires, charges directes et indirectes (frais de déplacement), prestation externe : intervention de cabinet extérieur, accompagnement méthodologique. -Elaboration de documents de communication : publications, plaquettes. FEADER sollicité FEADER : 55 % de la dépense publique nationale Conseil régional : 9600 € Conseil Général : 9600 € Autre : 9600 € Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Nombre d’acteurs économiques Réalisation participant à des actions aidées 46 Cible 100 Source GAL Résultats Nombre de jours de formation réalisés par participant 2.5 jours GAL Nombre de formations réalisées 10 GAL 5 GAL Qualitatif Bénéficiaires 5 Bénéficiaires / GAL Nombre de supports pédagogiques utilisés Accessibilité et diffusion des supports pédagogiques Nombre de publics différents touchés 47 Dispositif 321 : services de base pour l’économie et la population rurale Axe 3 : Qualité de la vie en milieu rural et diversification de Axe de rattachement l'économie rurale Place dans la stratégie du GAL Mesure 2.3. : Favoriser l’accueil de nouvelles populations Base règlementaire européenne Articles 52.d, 59.a, 59.b, 59.c, 59.d et 59.e du Règlement CE 1698/2005 Article 36 du Règlement d’application CE n°1974/2006 Objectifs : Les acteurs du Pays de la Vallée du Lot ont souhaité construire leur stratégie autour d'une priorité ciblée faisant explicitement référence à l'attractivité du leur territoire. Cette attractivité vise à la fois la population autochtone, en particulier les jeunes mais aussi les seniors (maintien), et les nouveaux arrivants pour lesquels il faut rendre accessible l'offre du territoire (offre de services, de loisirs, de logements, etc.) et faciliter l'intégration dans le tissu local (communication, culture, identité). Accueillir suppose donc d'améliorer les conditions générales de l’accueil dans tous les secteurs d'activité y compris dans le domaine touristique soumis à une très forte concurrence. Pour cela, le GAL favorisera les opérations de : - Valorisation de l'existant au moyen d'une communication adaptée et diversifiée (guide, mallette, site Internet, …) et la diffusion de bonnes pratiques ; - Formation, qualification et sensibilisation des accueillants qu'il s'agisse d'opérateurs de services au public ou d'opérateurs touristiques. Les opérations soutenues devront être conçues de telle sorte à contribuer à l'émergence d'une culture de l'accueil partagée par les acteurs des différents secteurs d'activité concernés. Bénéficiaires : SMAVLOT 47, Communes et Communautés de communes, associations, consulaires Champs et actions : Les actions retenues seront les suivantes : • Sessions de regroupement = organisation par les collectivités ou leurs groupements de séjours de découverte, avec une composante professionnelle et une composante vie privée, destinés à des porteurs d'un projet d'installation en milieu rural ou repreneurs potentiels (artisans, commerçants, agriculteurs) et leurs familles ; • Réalisation de supports d’information, de communication et de promotion du territoire (échelle pays ou intercommunale) à destination des opérateurs économiques et des nouveaux habitants (DVD, Sites internet, guide d’accueil bilingue…). 80 % d’aide publique maximum pour les dépenses matérielles et Intensité de l’aide immatérielles, que le maître d’ouvrage soit privé ou public. - Dépenses matérielles : communication, matériel lié aux actions… Dépenses éligibles - Dépenses immatérielles : animation, médiation, mise en réseau d’acteurs, communication, organisation et appui technique (informatique notamment), réalisation de diagnostic, études de faisabilité, démarches qualité, forum, colloque, manifestation… FEADER : 55 % de la dépense publique nationale FEADER sollicité et Conseil Régional : 34 400 € cofinancements Conseil Général : 18 880 € publics ciblés Objectifs quantifiés : Type Indicateur Cible Source d’indicateur Réalisation Résultat Nombre de supports d’information créés 4 GAL Nombre d’actions aidées Nombre de participants aux sessions de découverte Volume total des investissements Nombre de communes et de communautés de communes concernées Enquête et niveau de satisfaction des participants aux actions collectives 13 GAL 50 à 60 GAL 148 000 GAL 9 GAL 10 GAL 48 MESURE 4.1 MISE EN ŒUVRE D’ACTIONS DE COLLABORATIONS TERRITORIALES Dispositif 421 : « coopération interterritoriale et transnationale » Axe de rattachement Place dans la stratégie du GAL Base règlementaire européenne Axe 4 LEADER Mesure 4.1. : MISE EN ŒUVRE D’ACTIONS DE COLLABORATIONS TERRITORIALES Articles 63 b. et 65 du Règlement (CE) N°1698/2005 Objectifs et rapport à la stratégie de développement Qu’elles soient interterritoriales ou transnationales, le GAL du Pays de la Vallée du Lot souhaite engager des actions de collaboration avec d’autres espaces ruraux. Par ces échanges avec les territoires voisins, le GAL entend renforcer sa stratégie territoriale en identifiant de nouvelles réponses notamment sur les enjeux relatifs à la qualification des acteurs locaux et à la gestion environnementale des ressources du territoire. Afin de procéder à une mise en œuvre rapide des projets de coopération, des pistes ont été préidentifiées grâce aux contacts établis avec les autres candidats lot-et-garonnais (dont le Pays de l’Albret qui possède déjà une expérience LEADER+) au moment de la phase d’élaboration de la candidature. Des réunions de concertation ont permis de cibler les priorités thématiques partagées des énergies renouvelables et du tourisme durable. Par ailleurs, un repérage des échanges menés par les acteurs privés et/ou les collectivités avec d’autres Pays européens constitue une base solide pour la mise en œuvre de projets de coopération sur la période de 6 ans Champs et actions Volet coopération interterritoriale : • Actions de coopération entre territoires lot-et-garonnais autour des pratiques du tourisme durable par la mise en place d’actions communes sur la formation et la diffusion de connaissance (cette action est en lien direct avec l'objectif II du plan de développement de la candidature du Pays de la Vallée du Lot) : la création de produits et de promotion touristique, l’aménagement d’équipements et de réseaux, l’animation. L’action de formation s’appuiera sur les référentiels développés dans le cadre du programme européen LEONARDO « Ecobiag » (cf. fiche projet en annexe 7). • Développement de nouvelles actions de coopération à partir des contacts existants entre des acteurs du territoire (EPLEFPA de Sainte-Livrade, association POLLEN, AGC 47…) et d’autres partenaires européens. Volet coopération transnationale : • Mise en place d’actions de coopération avec les GAL lot-et-garonnais et le GAL tchèque Podlipansko, pour donner suite à l’expérience menée dans le cadre de LEADER+ sur la création d’outils de sensibilisation au développement durable et l’échange d’expériences sur les énergies renouvelables (cf. les objectifs I et II du plan de développement de la candidature du Pays de la Vallée du Lot) ; • Autres actions à développer en lien avec la stratégie du territoire. La thématique de l’eau pourra être à privilégier. Modalités d’intervention : Dès le premier Comité de programmation, le GAL abordera la question de la coopération, pour soumettre un appel à projets aux membres. Cet appel à projets permettra de sensibiliser les acteurs privés et ainsi identifier les projets à développer et favoriser la construction du réseau local de coopération. Bénéficiaires / maîtres d’ouvrage ciblés Entreprises, associations, collectivités locales, centres de formation, consulaires La coopération peut comporter l’échange d’expérience dans la perspective de la mise en œuvre d’actions Dépenses éligibles communes. Sont éligibles les dépenses liées : 49 - FEADER sollicité et cofinancements ciblés à cette action commune au fonctionnement d’éventuelles structures communes. - Au support technique et à l’animation nécessaire dans les phases de préparation de mise en œuvre et de suivi du projet. FEADER : 55 % de la dépense publique. Conseil Régional : 27 000 € Conseil Général : 27 000 € Montants financiers : FEADER 55 % de la dépense publique: Critères de suivi des actions : Indicateurs de réalisation de résultats Description Objectifs chiffrés Nombre de projets de coopération Nombre de GAL engagés dans un projet de coopération Nombre d’acteurs concernés par les projets Nombre de partenaires européens mobilisés Nombre de partenaires français mobilisés 50 1 3 MESURE 3.1 : METTRE EN PLACE UN MANAGEMENT EXEMPLAIRE DU PROJET Dispositif 431 : « fonctionnement du GAL, acquisition de compétences et actions d’animation sur le territoire » Axe 4 : LEADER Axe de rattachement Mesure 3.1.1 : Animation et gestion Place dans la stratégie Mesure 3.1.2 : suivi et évaluation du GAL Mesure 3.2 : communication Base règlementaire Article 63C. et 59 du Règlement (CE) N°1698/2005 européenne Objectifs : Assurer la mise en œuvre du programme sur le territoire, en assurant l’ensemble des fonctions de gestion, d’animation, de communication et de suivi évaluation du programme.. Bénéficiaires : SMAVLOT 47 Champs et actions : Les actions visées doivent contribuer à la bonne mise en œuvre du programme sur le territoire 1. Animation et gestion : 1,5 ETP. 2. Suivi et évaluation : Evaluation à mi-parcours du programme et évaluation finale 3. Communication : mise en place d’un plan de communication pluriannuel Jusqu’à 100% d’aide publique Intensité de l’aide Taux d’intervention FEADER : 55 % du total de la dépense FEADER sollicité publique. Conseil Régional : 155 000 € Autre : 70 000 € Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Cible Source Réalisation Résultats Nombre d’actions soutenues 150 GAL Nombre d’évaluations réalisées 1 GAL 50 GAL 100 GAL Nombre de personnes impliquées dans le cadre de l’évaluation Nombre d’actions de communications réalisées 51 Dispositif 431 : « fonctionnement du GAL, acquisition de compétences et actions d’animation sur le territoire » Axe 4 : LEADER Axe de rattachement Place dans la stratégie Mesure 3.2.1 : Capitalisation du GAL Mesure 3.2.3 : Mise en réseau Base règlementaire Articles 63.C et 59 du règlement (CE) N°1698/2005 européenne Objectifs : En vue de valoriser les acquis de la démarche LEADER et son appropriation par les acteurs locaux le GAL du Pays de la Vallée du Lot mettra en place des actions de capitalisation et participera à la mise en réseau dans le cadre du réseau rural national et régional. -La capitalisation vise à repérer et à formaliser l'expérience acquise par des acteurs du territoire pour le porter à connaissance des autres (en interne comme en externe) en leur donnant les clés de son adaptation à leur propre situation. Pour le futur GAL du Pays de la Vallée du Lot, cette fonction : • Participera de l'auto-formation des acteurs ; • Contribuera à l'évaluation ; • Constituera une base d'échanges avec d'autres territoires ruraux, participant ainsi à la mise en réseau et la coopération ; • Alimentera la promotion du territoire et de ses acteurs par la mise en avant des réalisations les plus abouties et les plus en phase avec le contenu du projet de territoire ; • Contribuera à la communication du territoire autour de son projet LEADER par l’apport d’illustrations. - Par ailleurs, la participation aux activités des réseaux, régional comme national, vise à favoriser la formation des acteurs engagés dans LEADER et l’échange d’expériences et de pratiques entre les territoires. La mise en réseau constitue également un levier d’ouverture du Pays sur l’extérieur et, ainsi, de promotion du territoire, de ses acteurs et de leurs réalisations. Bénéficiaires : SMAVLOT 47 Champs et actions : Conçu comme un processus à part entière au service du projet et mené sur l’ensemble de sa durée, le dispositif de capitalisation comprendra les étapes suivantes : • Définition du projet de capitalisation (champs de la capitalisation, modalités d’organisation…) ; • Repérage puis capitalisation des expériences. Les actions ou éléments de méthode retenus feront l'objet d'une fiche d'expérience établie par l'équipe technique du GAL en lien avec le maître d'ouvrage concerné. • Examen collégial puis valorisation des opérations capitalisées. Intensité de l’aide FEADER sollicité 100 d’aides publiques maximum FEADER : 55 % de la dépense publique Objectifs quantifiés : Type d’indicateur Indicateur Mise en place d’un projet de Réalisation capitalisation Résultats Nombre d’actions repérées 52 Cible Source 1 GAL 30 GAL ANNEXE 7 : STATUTS ET DELIBERATION DE LA STRUCTURE PORTEUSE 5.1 Statuts de la structure porteuse 22 avril 2005 SYNDICAT MIXTE POUR L’AMENAGEMENT DE LA VALLEE DU LOT 47 STATUTS 2005 53 TITRE 1 – DISPOSITIONS GENERALES Article 1 : Constitution du syndicat En application des articles L 5721-1 et suivants du Code général des Collectivités territoriales, il est créé un syndicat mixte ouvert à la carte qui prend la dénomination de Syndicat Mixte pour l’aménagement de la Vallée du Lot (S.M.A.V.Lot 47). Ce syndicat mixte est constitué par l’adhésion : a) des 9 Communautés de communes suivantes : - 1) Communauté de communes de la basse vallée du Lot Bourran, Clairac, Frégimont, Galapian, Laffite-sur-Lot, Lagarrigue et Saint-Salvy, - 2) Communauté de communes des Bastides et châteaux en Guyenne Beaugas, Cancon, Castelnaud-de-Gratecambe, Gavaudun, Lacapelle-Biron, Lacaussade, Le Laussou, Monbahus, Monflanquin, Monségur, Montagnac-sur-Lède, Monviel, Moulinet, Pailloles, Paulhiac, Salles, La Sauvetat-sur-Lède, Savignac-sur-Leyze, Saint-Aubin et SaintMaurice de Lestapel, - 3) Communauté des communes du Confluent Aiguillon, Ambrus, Bazens, Clermont-Dessous, Damazan, Monheurt, Nicole, Port-Sainte-Marie, Puch d’Agenais, Razimet, Saint-Léger, Saint-Léon, - 4) Communauté des communes du Fumélois Blanquefort-sur-Briolance, Condezaygues, Cuzorn, Fumel, Monsempron-Libos, Montayral, Sauveterre la Lémance, Saint-Front sur Lémance, Saint-Georges, Saint-Vite de Dor, Trentels, - 5) Communauté des communes Lot et Tolzac Brugnac, Castelmoron-sur-Lot, Coulx, Fongrave-sur-Lot, HautesVignes, Labretonie, Laparade, Monclar d’Agenais, Montastruc, Pinel Hauterive-Saint-Pierre de Caubel, Saint-Etienne de Fougères, Saint-Pastour, Le Temple-sur-Lot, Tombeboeuf, Tourtrès, Verteuil d’Agenais et Villebramar, - 6) Communauté des communes du canton de Penne d’Agenais Auradou, Dausse, Frespech, Hautefage, Massels, Massoulès, Penne d’Agenais, Trémons, Saint-Sylvestre sur Lot, - 7) Communauté des communes du canton de Prayssas Cours, Granges-sur-Lot, Lacépède, Laugnac, Lusignan-Petit, Madaillan, Montpezat d’Agenais, Prayssas, Saint-Sardos et Sembas, - 8) Communauté des communes du Tournonnais Anthé, Bourlens, Cazideroque, Courbiac, Masquières, Thézac et Tournon d’Agenais, - 9) Communauté des communes du Villeneuvois Allez-et-Cazeneuve, Bias, Casseneuil, Dolmayrac, Le Lédat, Pujols, Saint-Antoine de Ficalba, Sainte-Colombe de Villeneuve, Sainte-Livrade sur Lot et Villeneuve sur Lot b) des communes non regroupées en communautés des communes : Boudy-de-Beauregard c) du Département de Lot-et-Garonne d) de l’Entente Interdépartementale de la Vallée du Lot, e) de l’Agence de l’eau Adour Garonne. Et pour la compétence du Syndicat Mixte pour l'Aménagement de la Vallée du Lot 47 relative à l’assistance technique à la gestion des cours d’eau exclusivement : f) des syndicats de rivière et des communes suivants : - Syndicat Intercommunal d’Assainissement de la Vallée de la Lède - Syndicat Intercommunal d’aménagement des Vallées du Boudouyssou et de la Tancanne - Syndicat Intercommunal d’Assainissement des Vallées des Tolzac - Syndicat Intercommunal d’assainissement de la Vallée de la Lémance - Syndicat Intercommunal d’assainissement de la Région de Castelmoron-sur-Lot - Commune de Saint sylvestre - Commune de Bourran - Commune de Clairac 54 Article 2 : Objet du syndicat - Compétences Le syndicat mixte exerce pour l’ensemble des collectivités membres les compétences à la carte suivantes : Aménagement du territoire : - Définir une politique d’ensemble concernant l’aménagement de la Vallée du Lot dans le cadre du Programme Interrégional de la vallée du Lot arrêté par l’Etat, en vue de la coordination et l’harmonisation des projets élaborés par les communes, les communautés de communes et syndicats de communes membres du syndicat mixte. - Assurer la mise en place et le suivi des procédures contractuelles (Projet Collectif de Développement, Pôle touristique rural, Contrat de Pays, contrat de rivière …) - Coordonner la démarche de « Pays » tel que prévu par le Décret d’application n° 2000-909 du 19 septembre 2000 relatif à la loi n° 99-533 du 25 juin 1999 d’Orientation pour l’Aménagement et le Développement Durable du Territoire ( charte, conseil en développement, ..) Haut débit : -« réaliser et gérer les infrastructures nécessaires au déploiement d’un réseau haut débit de communication sur l’ensemble du territoire de la vallée du Lot, et décider du mode d’exploitation ». Cours d’eau : Etude, assistance technique et coordination de la gestion des cours d’eau, Tourisme : - Organiser et assurer la promotion touristique du Pays de la Vallée du Lot, - Favoriser l’organisation touristique, à l’échelle du pays, entre les partenaires (offices de tourisme, syndicats d’initiative locaux et offices de tourisme de territoire, professionnels du tourisme, collectivités territoriales), Les collectivités membres se prononcent sur les compétences qu’elles souhaitent transférer au syndicat par simple délibération. Article 3 : Durée et siège Le siège du syndicat est fixé à la mairie de Castelmoron sur Lot. La durée du syndicat est illimitée. Article 4: Admission de nouveaux membres - Retrait Les collectivités et organismes publics autres que ceux primitivement syndiqués peuvent être admis à faire partie du syndicat mixte sur délibération du comité syndical prise à la majorité des 2/3 présents ou représentés, dans les conditions fixées par lui, sur proposition du bureau. De la même manière, les membres du syndicat mixte peuvent s’en retirer après accord du comité syndical par délibération prise à la majorité des 2/3, dans les conditions fixées par lui, sur proposition du bureau. TITRE II – ADMINISTRATION DU SYNDICAT Article 5 : Constitution du comité syndical Le syndicat est administré par un comité syndical composé d’autant de délégués titulaires (chacun ayant un suppléant) élus ou désignés selon les modalités qui lui sont propres par chaque membre à raison de : - les Communautés de communes citées à l’article 1er, chaque Communauté détenant autant de sièges que de communes membres et chaque commune devant être représentée : 103 - les communes (1 représentant par commune) 1 - le Conseil Général : 15 - l’Entente Interdépartementale de la Vallée du Lot : 1 - l’Agence de l’Eau Adour-Garonne : 1 - les Syndicats de rivière et communes 8 (pour la compétence cours d’eau (1 représentant par syndicat et par commune) total des membres 129 Chacun des délégués est désigné pour la durée de son mandat au sein de l’assemblée qui le délègue ou le 55 désigne. En application de l’article L 5212-16 du CGCT, - L’ensemble des délégués prend part au vote pour les affaires présentant un intérêt commun à tous les membres. - Dans le cas contraire, seuls les délégués représentant les collectivités concernées par une affaire particulière mise en délibération prennent part au vote. Article 6 : Constitution du bureau Le comité syndical, élit pour 3 ans en son sein un bureau de 27 membres composé comme suit : - le Conseil Général (1 conseiller général par canton) - les communautés de communes, à raison d’un délégué par communauté de communes - l’Entente Interdépartementale de la Vallée du Lot - l’Agence de l’Eau Adour-Garonne - Syndicats de rivière et commune pour la compétence cours d’eau 15 9 1 1 1 Le bureau comporte : - un président - deux vice-présidents : * un désigné parmi les représentants des communautés de communes * un désigné parmi les représentants du Conseil Général de Lot-et-Garonne, - un trésorier, - un secrétaire, - un secrétaire-adjoint, - 21 membres. Ne seront convoqués aux réunions que les représentants des collectivités qui ont un intérêt à l’objet de la réunion. Article 7 : Fonctionnement du Comité Syndical Le comité syndical se réunit sur l’initiative de son président, au moins deux fois par an, dans un lieu choisi par le bureau ou, à défaut de possibilité de réunir ce dernier, par le président. Le comité syndical est également réuni à la demande : - du bureau, - ou du tiers des membres du comité syndical sur un ordre du jour déterminé. Un même délégué ne peut présenter plus d’une demande de réunion par semestre. A l’occasion des élections régionales, cantonales ou municipales, les membres du bureau qui n’auront pas été reconduits dans leur mandat seront remplacés par des élections partielles au comité syndical selon les règles désignées ci-après. Si tel est le cas du président, le premier vice-président prend provisoirement la présidence pour procéder à ces élections partielles. Le comité syndical ne peut dans ce cas délibérer que si les deux tiers de ses membres titulaires sont présents ou représentés. Si cette condition n’est pas remplie, la réunion se tient de plein droit trois jours plus tard. La réunion peut alors avoir lieu sans condition de quorum. Le président est élu à la majorité absolue des membres du comité syndical pour une durée de trois ans. Si cette élection n’est pas acquise après les deux premiers tours de scrutin, il est procédé à un troisième tour de scrutin et l’élection a lieu à la majorité relative des membres du comité syndical. En cas d’égalité des voix, l’élection est acquise au bénéfice de l’âge. Chaque membre du bureau est élu dans les mêmes conditions que le président et pour la même durée Les séances du comité syndical sont publiques, sauf s’il y a demande des deux tiers des membres du comité syndical pour que cet organisme se réunisse en comité secret. 56 Le comité syndical ne peut délibérer que si la majorité absolue de ses membres est présente ou représentée. Toutefois, si le comité syndical ne se réunit pas, au jour fixé par la convocation, en nombre suffisant pour délibérer, la réunion se tient de plein droit trois jours plus tard et les délibérations sont alors valables quel que soit le nombre des présents. Les délibérations du comité syndical sont prises à la majorité des suffrages exprimés. Quinze jours au moins avant la réunion du comité syndical, le président adresse aux délégués un rapport sur chacune des affaires qui doivent leur être soumises. Chaque année, le président rend compte au comité syndical, par un rapport spécial, de la situation du syndicat mixte, de l’activité et du financement des différents projets. Le rapport précise également l’état d’exécution des délibérations du comité syndical et la situation financière du syndicat mixte. Tout délégué empêché d’assister à une réunion peut donner délégation de vote, pour cette réunion, à un autre membre. Article 8 : Attribution du comité syndical Le comité syndical est chargé d’administrer et de gérer le syndicat et de prendre toutes mesures nécessaires pour répondre à cette mission. Dans ce but, il exerce notamment les attributions suivantes : - il délibère sur toutes les questions qui lui sont soumises et qui intéressent le fonctionnement du syndicat, - il vote le budget et approuve les comptes, - il autorise le président à intenter et soutenir toute action contentieuse et accepter toute transaction, - il délibère sur les modifications à apporter aux statuts du syndicat mixte à la majorité des 2/3 sans qu’il soit besoin de consulter préalablement les assemblées délibérantes des membres du syndicat. Le comité syndical peut déléguer une partie de ses pouvoirs au bureau du syndicat. Article 9 : Règlement intérieur Le comité syndical pourra établir un règlement intérieur pour préciser les modalités d’application des présents statuts. Article 10 : Le président du syndicat Le président du syndicat mixte : - convoque aux séances du comité syndical et du bureau, - dirige les débats et contrôle les votes, - passe tous les actes relatifs à la gestion du syndicat, - est chargé, sous le contrôle du comité syndical, de la gestion des biens du syndicat, - prépare et propose le budget syndical et ordonnance les dépenses et les recettes, - passe, signe et exécute les marchés publics après délibération du comité syndical dans les formes et conditions prévues par les lois et règlements, - représente le syndicat pour toutes les activités devant la justice. Les vice-présidents remplacent le président du syndicat, en cas d’absence ou d’empêchement. Le secrétaire veille à la tenue du registre où sont consignés les procès-verbaux des délibérations du comité syndical. TITRE III – DISPOSITIONS FINANCIERES ET COMPTABLES Article 11 : Budget du syndicat mixte Le budget du syndicat mixte pourvoit à toutes les dépenses de fonctionnement et d’équipements destinées à la réalisation de ses objectifs. Les dépenses se divisent en dépenses de fonctionnement et en dépenses d’investissement. 57 Les dépenses de fonctionnement se composent : 1 – des frais de fonctionnement administratifs du syndicat mixte, 2 – des frais d’exploitation, d’entretien et de petite réparation des ouvrages propriété du syndicat mixte ainsi que du renouvellement des petits matériels. Les dépenses d’investissement se composent : 1 – des études auxquelles procède ou fait procéder le syndicat mixte, 2 – des coûts de construction des ouvrages dont le syndicat est maître d’ouvrage ou maître d’ouvrage délégué. Les fonctions de receveur du syndicat mixte sont exercées par un comptable public désigné par le Trésorier Payeur Général du Département de Lot-et-Garonne. Article 12 : Recettes du syndicat Les recettes du syndicat mixte se composent : 1 – des fonds de concours ou subventions de l’Europe, de l’État, des collectivités territoriales concernées et notamment du Département de Lot-et-Garonne et de tout autre Établissement Public intéressé aux projets, 2 - des cotisations prélevées par le syndicat mixte parmi ses membres. Il appartiendra au comité syndical de fixer chaque année le montant des cotisations/habitant demandé à ses membres, Le département apportera une cotisation qui devra se rapprocher au plus près de la participation des communautés de communes et communes non regroupées. 3 – de la rémunération des services rendus aux communes rendus aux communes ainsi qu’à toute autre personne publique, à des associations ou à des particuliers dans le cadre de sa mission, 4 – des dons et legs, 5 – de toute autre recette. 58 5.2 Délibération structure porteuse 59 ANNEXE 8 : DELAIS MAXIMAUX INDICATIFS DES DIFFERENTES ETAPES D'INSTRUCTION D'UN DOSSIER Ce tableau récapitule les délais indicatifs de bonne gestion convenus dans la convention. z Tâches à accomplir par le GAL Instruction réglementaire du dossier Transmission du compte-rendu du comité de programmation Tâches à Délais maximaux accomplir par indicatifs le Cnasea x 3 semaines x Engagement comptable et édition de la convention attributive d’aide Signature par le maître d’ouvrage et le Président du GAL Tâches à accomplir par le service référent 1 mois x 15 jours x 1 mois Signature par l’autorité de gestion ou son délégataire x 1 mois Contrôle de service fait après réception de la demande de paiement complète x 1 mois Intégration de la demande de paiement dans l’outil Osiris et transmission de la demande de paiement à l’OP x 15 jours Mise en paiement x 60 15 jours