Télécharger le doc pdf - 1,26 Mo

Transcription

P L A CE D U
1 1- N O VE M B RE
PARTICIPEZ
A LA
CONSULTATION
QUESTIONNAIRE P.7
Journal municipal de la ville
de Malakoff I N° 233 I Déc. 2009 - Janv. 2010
“Fêtes” vous
plaisir !
…
LE MOT
DU
MAIRE
4
Coopération,
amitié,
solidarité
> CITOYENNETÉ
Consultation pour le
réaménagement de la place
du 11-Novembre
Votre questionnaire p. 7
6
Recensement 2010 :
ça compte pour vous !
10
> HABITAT
L’OPH met ses énergies au vert
14
> FAITES
Des collages et de l’imagination
16
8
COMMERCE
Le parcours du commerçant
> IMAGES
EN PAGES CENTRALES :
VOTRE AGENDA CULTUREL
À DÉTACHER
18
> OPINIONS
Tribune des groupes représentés au
Conseil municipal
20
> À TRAVERS LA VILLE
Hommage à Hamida Ben Sadia. Des
nouvelles de “L’inconsciencieux”
21
> PHOTOS
12
THÉÂTRE
La Fabrique des Arts
Maurice Rougemont : portrait d’un
portraitiste
22
alakoff, reconnue ville « amie
des enfants » par l’UNICEF,
s’est associée au vingtième
anniversaire de la convention internationale des droits de l’enfant. Il est regrettable qu’en cette année,
le gouvernement n’ait rien trouvé de mieux à faire que supprimer le poste de « défenseur des enfants » ! Pourtant, cette entité n’avait-elle pas pour mission de veiller justement au respect des
droits des enfants ? Quand on sait que deux millions d’enfants
vivent sous le seuil de pauvreté en France, on se dit qu’il reste beaucoup de chemin à parcourir pour que les droits essentiels des
enfants deviennent enfin effectifs.
Pour notre part, à Malakoff, notre engagement et notre action en
faveur de l’enfance font partie de nos priorités depuis bien longtemps et se poursuivront pour permettre à chaque enfant de se
développer et de s’épanouir dans les meilleures conditions possibles.
Dernièrement, je me suis rendue avec une délégation au Sénégal
pour signer un avenant à la convention de coopération que nous
entretenons depuis 2002 avec la communauté rurale de N’Gogom.
Je peux vous dire que l’accueil extrêmement chaleureux que
nous avons reçu nous a énormément touchés. Chaque habitant
des villages de cette communauté connaît le nom de notre ville
et sait combien les actions menées ensemble en faveur du développement contribuent à un enrichissement mutuel de nos deux
communautés. Plus que de la coopération, ce sont de véritables
liens d’une amitié solide et profonde que nous avons tissés et
faisons vivre au quotidien. Il n’était qu’à voir l’étincelle de joie et
d’espoir dans les yeux des enfants, pour comprendre l’importance
de la relation qui nous unit.
En cette fin d’année qui devrait être pour chaque enfant une
période de fête et de féerie, il nous appartient à tous d’en faire un
moment d’échange et de solidarité qui nous rassemble chaleureusement. Je vous donne donc cordialement rendez-vous pour
notre traditionnel « Noël pour tous » le 15 décembre prochain
sur la place du 11 Novembre.
Je souhaite à l’ensemble des habitants de Malakoff, ainsi qu’aux
personnels communaux et leurs familles, une très bonne fin
d’année et un très joyeux Noël pour tous les enfants.
M
> EXPOSITION
Maison des Arts : regards neufs
23
Théâtre 71 : c’est quoi ces affiches ?
25
> INFOS
Vie pratique et associative
Ce journal est imprimé avec
des encres végétales sur du
papier provenant de forêts
écologiquement gérées.
Catherine Margaté,
Maire, Conseillère générale des Hauts-de-Seine
Malakoff infos e-mail : [email protected] - Tél. : 01 47 46 75 00.
Journal municipal de la Ville de Malakoff. Directrice de publication : Josette Pappo – Directeur de la communication : Pierre Veillé – Rédacteur en chef : Pierre Veillé – Rédaction : Anne Bléger, Shara Raley, Lauriane
Servat – Photos : Anja, Séverine, Antoine Bertaud – Conception graphique : 21x29,7 – Maquette : Jacques
Colon – Photocomposition, photogravure, montage et impression : LNI – Publicité : HSP 01 55 69 31 00. Chantal
Gaudart.
Le numéro 234 paraîtra à partir du 26 janvier 2010
Malakoff infos – Décembre 2009 – Janvier 2010 > 3
CITO
YENNE
TÉ
Consultation pour le réamén
de la place du 11-Novembre
Bordée par l’Hôtel de ville, le marché, le théâtre, l’école maternelle, le cinéma, la
place du 11-Novembre est aujourd’hui, comme hier, le lieu le plus emblématique de la
ville. Les Malakoffiots y sont attachés. Il est normal que leur avis soit sollicité avant
son réaménagement.
La même, à un siècle d’intervalle. Sépia et teintes vives s’y mélangent pour cultiver la mémoire.
N
otre place du
11-Novembre
est chargée
d’histoire et de
mémoire : sa
fondation date
des débuts de
Malakoff qui
fut érigée en tant que ville en novembre
1883. C’est là qu’apparurent les premiers
équipements publics : l’école, le marché.
La “place des écoles”, devenue “du 11Novembre” en hommage aux victimes de
la “Grande Guerre”, a trouvé sa forme
actuelle dans les années 1970, lors de la
4 > Malakoff infos – Décembre 2009 – Janvier 2010
construction du Théâtre 71 et du nouvel
Hôtel de ville. Cet espace voulu
résolument minéral, cette agora
exemplaire dans une ville de première
couronne, a traversé le temps avec
bonheur. Elle répond à toutes les
fonctionnalités qui lui ont été rattachées
au fil des ans : espace de convivialité, de
jeu pour les enfants, accueil du marché,
organisation de fêtes et de spectacles…
Des décennies d’existence et pas une ride,
si ce n’est les outrages du temps sur ses
revêtements. L’heure est venue de poser
les bases de son réaménagement pour les
prochaines décennies.
Une consultation ouverte à tous
La place du 11-Novembre, participe du
fonctionnement global de la cité autant
que de celui du quartier. C’est pourquoi la
Municipalité, avant de confier aux
architectes le soin de concevoir, souhaite
recueillir les appréciations des
Malakoffiots et usagers. Le questionnaire
ci-joint n’en est qu’une des facettes. Les
réponses attendues enrichiront les avis et
expériences de groupes d’usagers et
d’habitants, recueillis lors de réunions
publiques.
Ces croisements de regards sur la place
permettront d’ouvrir le débat, de façon à
CITO
YENNE
TÉ
agement
*La place
Festive, conviviale,
intergénérationnelle,
estivale.
À VOS
CRAYONS
des
Dans les années 70, elle sert de parking
enfants
Le Cirque de corde y a tendu ses filets.
Une petite toile par un beau soir d’été
An 2000 : les écoles y donnent de la voix en un concert
mémorable.
> Une grande consultation de
tous les habitants de Malakoff est
lancée pour réfléchir, ensemble, à la
future place du 11-Novembre.
Je m’adresse particulièrement à
vous, les enfants, que je sais nombreux à fréquenter la place régulièrement. Je fais confiance à votre
imagination, à votre créativité pour
nous faire des propositions, sous les
formes que vous voudrez (dessin,
découpage, coloriage, écriture…)
afin qu’une nouvelle place encore
plus belle puisse voir le jour dans
les années à venir.
Je compte sur votre participation et
votre enthousiasme pour mener à
bien ce projet et vous en remercie
par avance.
Alors maintenant, tous à vos
crayons !
Catherine Margaté,
Maire de Malakoff
Combien de manifestations y commencent ou y finissent ?
Les artiste y prennent leurs repères.
faire émerger les problèmes du lieu et les
potentiels pour le projet.
Des engagements incontournables
La réhabilitation de la place du 11Novembre est l’objet d’une réflexion
ouverte depuis plusieurs mois. La
Municipalité en a fixé les principes
“incontournables” : conservation de la
vocation généraliste et polyvalente de la
place, conservation des arbres actuels, pas
d’extension de parking souterrain en ce
lieu, priorité au piéton, réalisation d’un
aménagement de qualité, résistant et
facile à entretenir
Donnez votre avis
Questionnaire page 7
Les cris des enfants de 2006 y
réveillent les échos de ceux de 36.
>
À
TRAVERS
LA VILLE
onçu pour permettre une mise à
jour régulière des
données démographiques, le
recensement dernière version,
lancé en 2004, s’intéresse chaque
année à un échantillon de 8%
de la population. Du jeudi 21
janvier au samedi 27 février
2010, les membres d’environ
1300 foyers malakoffiots seront
ainsi sollicités pour y participer.
À noter que les immeubles de
plus de 103 habitants sont intégralement recensés tous les cinq
ans : si vous êtes concerné et que
vous avez été sollicité en 2005,
vous le serez donc à nouveau
cette année. Six agents recenseurs, identifiables grâce à une
carte officielle tricolore sur
laquelle figurent leur photographie et la signature du Maire,
sillonneront la ville. Si votre logement appartient à l’échantillon
recensé, un agent déposera à
votre domicile une feuille de
logement ainsi qu’un bulletin
individuel pour chaque personne vivant habituellement
dans ce logement. Il pourra également vous aider à remplir les
questionnaires. Une fois complétés, ceux-ci devront lui être
remis. Si vous êtes souvent absent
de votre domicile, vous pouvez
confier vos questionnaires remplis, sous enveloppe, à une personne de votre immeuble qui
les remettra à l’agent recenseur.
Vous pouvez également les
retourner directement à votre
C
Les résultats du
recensement 2006
Depuis l’été dernier, l’INSEE
(Institut national de la statistique
et des études économiques) publie
régulièrement les résultats détaillés
du recensement rénové, résultant
des collectes annuelles effectuées
depuis 2004. Pour tout savoir sur
les chiffres de l’emploi, du logement ou de la famille sur Malakoff,
connectez-vous sur le site Internet
de l’INSEE : www.insee.fr >
Recensement de la population 2006
> Résultats statistiques >
Recherche rapide sur les chiffres
clés et les tableaux détaillés (préciser Malakoff).
Recensement 2010
Ça compte
pour vous !
Du 21 janvier au
27 février 2010,
environ 1300
foyers de
Malakoff
participeront au
recensement
2010. Et chacun
de nous y trouve
son compte !
mairie ou à la direction régionale de l’INSEE (Institut
National de la Statistique et des
Etudes Economiques), avant le
27 février. Vos réponses restent
confidentielles : elles sont transmises à l’INSEE et ne peuvent
donner lieu à aucun contrôle
administratif ou fiscal. Pour que
les résultats soient de qualité,
chaque réponse compte.
Participer au recensement est
une obligation légale et un acte
civique qui permet d’adapter les
équipements et services aux
besoins des habitants. Les résul-
téristiques (structures par sexe,
âge, catégories socioprofessionnelles, etc.). Utilisables en pre-
Pour savoir si vous êtes recensé cette année ou
pour obtenir des renseignements complémentaires, contactez Laetitia Fernandez, du service
municipal de l’Urbanisme, au 01 47 46 77 25.
tats, désormais mis à jour
annuellement, offrent un suivi
statistique du parc de logements,
de la population et de ses carac-
mier lieu par les pouvoirs
publics, ces données seront, en
bout de chaîne, profitables à
l’ensemble de la population.
> SANTÉ
GRIPPE A : VACCINATION MODE D'EMPLOI
La campagne de vaccination contre le virus A H1N1
a débuté en novembre. La Caisse Nationale
d'Assurance Maladie envoie dans chaque foyer des
bons de vaccination selon un ordre de priorité défini. Si vous n’avez pas reçu de bon, vous pouvez
néanmoins vous rendre au centre de vaccination le
plus proche..
Pour les villes de Malakoff et Vanves, le centre de
vaccination est installé au gymnase MauriceMagne, 10 rue Danton à Vanves.
Le centre accueillera, sans rendez-vous préalable,
le public muni de sa carte vitale et d’une pièce
d’identité.
6> Malakoff infos – Décembre 2009 – Janvier 2010
> Les jours et heures d'ouverture sont affichés
dans les lieux publics (structures municipales,
centres de santé), ou accessibles sur le site
www.ville-malakoff.fr*
> Plus d'infos au niveau national : 0 825 302 302
ou www.pandemie-grippale.gouv.fr
QUESTIONNAIRE
Consultation pour le
réaménagement de la
place du 11-Novembre
•Donnez les mots qui expriment le mieux
votre sentiment : …………………………………………
…………………………………………………………………………
Les grandes options d’aménagement
> Faudrait-il renforcer le caractère
piétonnier de la place ?
•En assurant un lien entre la place et les
terrasses de café
❑ oui ❑ non
•En assurant un lien entre la place et le
groupe scolaire
❑ oui ❑ non
•En limitant au minimum la circulation
de véhicules sur et autour de la place
❑ oui ❑ non
>
Quel type d’usager êtes-vous ?
> Quel est votre âge :
❑ Moins de 15 ans
❑ 15-24 ans
❑ 25-44 ans
❑ 45-64 ans
❑ 65 ans et plus
> Sexe ❑ M
❑ F
> Vous êtes riverains :
❑ Habitant ❑ Salarié
❑ Commerçant
❑ Autre (préciser) ………….
> Vous êtes :
❑ Habitant du quartier centre
❑ Habitant d’un autre quartier de
Malakoff
> Vous êtes
❑ Artisan, commerçant, chef d’entreprise
❑ Cadre
❑ Profession intermédiaire
❑ Employé
❑ Ouvrier
❑ Retraité
❑ Autre, sans activité professionnelle
> A quelle fréquence “utilisez-vous” la
place ?
❑ Tous les jours
❑ Une ou plusieurs fois par semaine
❑ De façon occasionnelle
L’appréciation globale
> A votre avis, le fonctionnement actuel
de la place est-il
❑ Très satisfaisant
❑ Assez satisfaisant
❑ Peu satisfaisant
❑ Pourquoi : ………
> Considérez-vous la place comme un
lieu où vous vous trouvez en sécurité
-s’agissant de la circulation
❑ oui ❑ non
-s’agissant de la sécurité en général
❑ oui ❑ non
Pour quelles raisons vous rendez-vous sur la place (plusieurs réponses possibles)
Très souvent
•Pour le marché
•Pour mes courses
•Pour aller à la mairie
•Pour accompagner les enfants à l’école
•Pour sortir les enfants (manège, jeux,etc.)
•Pour aller au café ou au restaurant
•Pour aller au théâtre ou au cinéma
•Pour assister aux différents spectacles
et animations tout au long de l’année
•Pour se rencontrer entre amis
•Parce qu’elle est sur mon trajet,
dont la liaison avec le métro
•Pour prendre la navette l’Hirondelle
Souvent
Peu souvent
ou jamais
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
❑
•Autre : ………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
> La présence de l’eau doit-elle être
conservée ?
❑ oui ❑ non
> Faudrait-il plus de bancs ou de lieux où
se poser ?
❑ oui ❑ non
> L’éclairage de la place, vous le verriez
❑ Plutôt ludique
❑ Plutôt fonctionnel
❑ Les deux à la fois
> Que faudrait-il ajouter à la place, en
terme de fonctionnalité ou
d’aménagement, pour qu’elle soit
adaptée, vivante, plus conviviale,
esthétique
Suggestions en quelques mots……………………
…………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………
•Parmi vos souhaits, quelle est la priorité :
…………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………
Ce questionnaire, accompagné des
dessins des enfants, peut être
déposé dans les lieux suivants,
avant le 16 janvier 2010
Les accueils en mairie
Le centre Barbusse
Les maisons de quartiers Valette,
Barbusse, Prévert
La Maison de la vie Associative
Le questionnaire peut être
téléchargé sur le site internet de la
ville
COM
MERCE
Le parcours
du commerçant
Les commerces. Malakoff attache beaucoup d’importance à ces
garants du dynamisme et de la vitalité des quartiers. Le manager du commerce et la Mission économique accompagnent les
commerçants dans leurs démarches et projets, et veillent à la
diversification et à l’enrichissement de l’offre commerciale
dans notre ville.
> Vendre ou acheter un local
commercial n’est pas une mince
affaire. C’est parfois même le
parcours du combattant !... Les
dossiers sont complexes… les
recherches fastidieuses… Les
locaux commerciaux restent parfois des années sans repreneurs,
laissés à l’abandon. C’est le cas
par exemple du 1, rue François
Belloeuvre, fermé depuis 5 ans,
qui abritait autrefois une
pharmacie et
«Une vitrine un centre de
refaite, c’est t o i l e t t a g e
aussi une pour chiens.
Aujourd’hui,
nette
cet espace
augmentation com
mer cial
du chiffre est investi par
d’affaires le spa-institut
pour le
Chez Sophie,
commerçant grâce à l’interet une ville vention du
du
attractive manager
commerce de
pour
la Ville, Mil’ensemble loud Sebaa :
des
«Il a fallu bahabitants» tailler pour
Miloud Sebaa, que ce lieu
manager du redevienne
un commercommerce. ce, témoignet-il. Les murs
appartiennent
au Conseil général. J’ai contacté plusieurs
fois la personne décideur
de l’Office HLM 92, afin de louer.
Mon travail consiste donc à
contacter les propriétaires, les
convaincre, trouver l’acquéreur,
faire un choix sur l’activité».
Ancien commerçant et ex président de l’association Malakoff
vel acquéreur». Ces multiples
démarches, complexes, nécessitent le soutien d’experts, comme
le manager du commerce, mais
aussi la Mission économique.
«Nous veillons à ce que les enseignes s’intègrent bien dans le tissu
Paris) et la Chambre de Métiers
et de l’Artisanat soutiennent la
Ville de Malakoff dans sa politique en faveur du commerce et
de l’artisanat. La Chambre de
Commerce assure un rôle de
conseil auprès de la commune,
et d’information auprès des
acteurs locaux. La Ville a signé
une convention avec la Chambre
de Métiers et de l’Artisanat 92
afin d’inciter les artisans à
Le Noël des
commerçants
Au 1, rue François-Bellœuvre, les travaux ont commencé. L’ancienne pharmacie tire sa
révérence pour laisser la place au spa-institut Chez Sophie.
village, Miloud Sebaa est souvent perçu comme incontournable.
Des soutiens municipaux
«Sans toi, jamais on n’aurait pu
vendre, ni trouver une solution»
confiait Monsieur Fézard, ancien
boucher de la rue Béranger, au
manager du commerce. «Le
challenge était de taille, concède
Miloud Sebaa. Il fallait trouver
un repreneur qui achète les
murs, accepte de verser une
indemnité d’éviction à Monsieur
Fézard, réalise des travaux de
rénovation puis reloue à un nou-
8> Malakoff infos – Décembre 2009 – Janvier 2010
commercial de la commune et
correspondent aux besoins des
habitants, rappelle Céline Nérot,
de la Mission économique. Nous
apportons une aide technique
et logistique aux commerçants.
Nous suivons les dossiers de
rénovation de vitrines, les
demandes de subventions au
FISAC (Fonds d’Intervention
pour les Services, l’Artisanat et le
Commerce), etc.».
L’appui des chambres
consulaires
La CCIP (Chambre de
Commerce et d’Industrie de
Les commerçants fêtent Noël !
Dans un esprit de convivialité, ils
proposent des animations et festivités diverses. Les mardi 22 et
mercredi 23 décembre, un petit
train gratuit sillonnera la ville, de
haut en bas et du nord au sud, de
10 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Une
chasse au trésor à travers les commerces de la ville se déroulera les
deux après-midi, avec un tirage au
sort de lots à gagner de 15 h 30 à
18 h. Les lots seront à retirer
auprès d’un podium d’animation
installé près de l’annexe Barbusse
le mardi, et sur la place du 11Novembre le mercredi. Venez nombreux, petits et grands !!
COM
MERCE
s’engager dans la Charte Qualité
en offrant à leurs clients un
accueil, des services et une disponibilité de qualité. La pyramide
des aides a donc bien le même
objectif : redynamiser le commerce local et accompagner les
porteurs de projets enrichissants
pour le tissu commercial de proximité.
La vitrine rénovée
du fleuriste
Cyprès des Fleurs.
Le marché et les fêtes
Le marché du centre ville sera ouvert les jeudi 24 et 31 décembre 2009 à
l’occasion des fêtes de fin d’année en plus des jours habituels du mercredi et
du vendredi.
La boutique Coucou
La boutique de jouets du 65 avenue Pierre-Larousse fête aujourd’hui son premier anniversaire. En un an, Malika, la gérante du magasin, a su créer un lieu
convivial, en lien avec les associations. MA-MA materner à Malakoff, par
exemple, ou l’Association française de chant prénatal qui vend et dédicace
ses CD à la boutique. Espace de rencontre et d’échanges, Coucou propose des
ateliers pour enfants (origami, fabrication de poupées en fil de fer et en laine,
cerfs-volants, etc.) et accueille La petite assoc’ du monde entier qui promeut
les échanges entre différentes cultures et langues.
Des spectacles comme La valiz à musique de Pierre Thirriard, des expositions,
comme celle de l’artiste Fabienne Lesterlin ou encore Eloïse Legay, photographe, sont également proposés.
Le commerce équitable est le credo de cette enseigne, attachée au respect de
la Charte de Protection des travailleurs. Coucou propose donc des jouets en
bois, des jeux éthiques, fabriqués en France et en Europe. Chez Malika, on
trouve aussi des créations. Les créateurs lui confient leurs objets artisanaux
pour les vendre. À l’approche de Noël, vous vous laisserez certainement tenter
par les ptis gloups de Christine Dupuy, par les phrases en fil de fer de
Marinettechou, ou encore les colliers d’Alice Garnier.
Coucou
65 avenue Pierre-Larousse, 92240 Malakoff
Tél. : 01 46 56 76 30
[email protected]
www.boutique-coucou.com
Prochains RDV de Noël
> Samedi 19 décembre : Dédicace en musique du CD de l’Association française de chant prénatal de 10 h 30 à 12 h 00
> Dimanche 20 décembre : Atelier créatif de La petite assoc’ du monde entier
à 10 h
> À PROPOS
TOUR D’HORIZON DES NOUVEAUX
COMMERCES 2009
> Complices
69 avenue Pierre-Larousse
Vêtements et parfums
> Déco et bien-être
Décoration, 64 avenue PierreLarousse
> Chez Sophie
Hammam, sauna, esthétique, 1 rue
François-Belloeuvre
> Le Fruitier de Malakoff
Primeur fromager, 4 rue Béranger
> Fromage, pain, vin
Bio, 37 bis rue Gabriel-Crié
RÉNOVATIONS DE VITRINES
DEPUIS 2008
10 vitrines ont été réalisées avec une
subvention octroyée par la municipalité dans le cadre du FISAC. 10
autres l’ont été, sans subvention,
grâce à l’esprit d’émulation créé.
> Cyprès des fleurs
Fleuriste, 2 avenue AugustinDumont
> Mary Cohr
Soins de beauté, 34 avenue PierreBrossolette
CONTACTS
> Manager du commerce
Miloud Sebaa
2, bis avenue Jean-Jaurès
92240 Malakoff
Tél. : 01 49 85 60 77
– 06 09 89 56 04
e-mail : [email protected]
> Mission économique
Hôtel de Ville
1, place du 11-Novembre
92240 Malakoff
Tél. : 01 47 46 75 52 ou
01 47 46 75 76
HABI
TAT
L’OPH met ses énergies au v
L’OPH de Malakoff ne l’ignore pas : le secteur du bâtiment est le plus gros
consommateur d’énergie en France et produit 25% des émissions nationales de CO2.
En matière de développement durable, le bailleur social, avec ses 3800 logements, a
donc tout son rôle à jouer.
«
Nous n’avons
pas attendu le
Grenelle de
l’environnement pour
faire des
économies
d’énergie l’une
de nos priorités, rappelle Serge Cormier,
président de l’Office Public de l’Habitat. Il
s’agit d’un enjeu majeur lors de chaque
réhabilitation d’immeuble. Le surcoût
ainsi occasionné est évalué entre 15 à
20 % mais l’investissement est vite
amorti. Nous veillons de plus à trouver de
nouveaux financements et partenaires,
surtout depuis le désengagement de
l’État.» Ainsi, les travaux du 210, avenue
Pierre-Brossolette vont bénéficier de
subventions de l’ADEME (Agence de
l’environnement et de la maîtrise de
l’énergie) et de l’agence de l’eau SeineNormandie. L’OPH est précurseur dans la
mise en place des certificats d’économies
d’énergie (CEE). Chaque investissement
lui donne ainsi droit à un CEE, qu’il
pourra ensuite revendre aux fournisseurs
d’énergie, désormais tenus par l’Etat et
l’Union européenne de veiller à la
réduction des consommations. Résidence
Maurice-Thorez, l’installation d’une
nouvelle chaudière* s’est ainsi
accompagnée d’un chèque de 22000
euros de la part d’EDF.
Des innovations lumineuses
Côté éclairage, chaque réhabilitation de
hall d’immeuble est l’occasion d’installer
de nouveaux systèmes à détection de
présence. Les lampes se règlent
automatiquement, en fonction de la
luminosité environnante, de la circulation
des personnes, et se déclenchent étage par
étage. Équipées d’ampoules à LED
(diode), elles consomment cinq fois
moins que les anciennes lampes à
incandescence. Elles ont une durée de vie
de près de 50 000 heures, soit 5 fois plus
qu’une lampe basse consommation.
L’éclairage extérieur bénéficie également
des dernières innovations. Dans le cadre
de son protocole d’accord avec EDF en
faveur de l’efficacité énergétique, l’OPH a
ainsi installé les premiers globes lumineux
à LED en France, devant les résidences de
la rue Gambetta.
Chauffage : halte au gaspillage
Dans les résidences La Plaine, Les Fleurs
et Voltaire, le système de chauffage
électrique au sol est doté de capteurs
détectant immédiatement les différences
de température et les problèmes
prochains travaux du 26, rue PierreValette, du 210, avenue Pierre-Brossolette
et du 70, rue Guy-Môquet vont améliorer
considérablement les performances
énergétiques des résidences. Suivant le
même type de classement que dans
l’électroménager, certains bâtiments
passeront ainsi d’une catégorie E à B.
Des installations nature
Les toits de Malakoff aussi se mettent au
vert : après la résidence de la rue
Augustine-Variot, des terrasses
Elus et responsables de l’OPH visitent la
résidence Maurice-Thorez, désormais
réhabilitée et dotée d’un éclairage public dont
l’intensité varie selon les plages horaires.
techniques. Cette gestion centralisée
régule les puissances zone par zone,
permettant de réduire la consommation
de 8 à 50 % selon les bâtiments. Les
travaux d’isolation permettent quant à
eux de limiter les déperditions de
chaleur : ces dix dernières années, ils ont
concerné huit résidences, pour un millier
de logements au total. Pour les fenêtres, le
PVC remplace l’aluminium, trop sensible
aux variations de température, et le
double vitrage est systématique. Les
végétalisées sont en projet au 26, rue
Pierre-Valette et sur le siège social de
l’OPH. Améliorant l’isolation et
l’étanchéité de la toiture, les bacs de terre
ont aussi l’avantage de ralentir
l’écoulement des eaux de pluie vers le
réseau d’assainissement. La toiture du
210, avenue Pierre-Brossolette sera quant
à elle dotée d’un système produisant de
l’eau chaude solaire. Enfin, le siège social
de l’Office bénéficiera de brises soleil
photovoltaïques, qui protégeront les
ert
*
Rien ne se perd
HABI
TAT
DÉCONS
TRUCTION
l’automne dernier, au 150, avenue PierreBrossolette, les passants découvraient l’étrange
ballet d’une pelleteuse, allant de benne en benne
déposer ferraille, gravats et déchets divers. Un véritable tri
à grande échelle, qui a fait tout l’intérêt de l’opération de
déconstruction mise en œuvre par l’OPH. L’ancien immeuble
HLM a été dépouillé de tous ses matériaux récupérables :
émail des sanitaires, fonte des canalisations, bois, plâtre,
aluminium et vitres des fenêtres, etc. À l’intérieur des
anciens logements, les cloisons ont été découpées. Le
désamiantage, réalisé au moyen d’une disqueuse et d’un
aspirateur filtrant, dans un cadre hautement sécurisé, a
permis de récupérer la matière toxique présente dans les
dalles, la colle des revêtements de sol et les joints. Avant la
démolition, lancée officiellement le 20 novembre dernier, il
ne restait donc que la structure du bâtiment. La
récupération des matériaux ne s’est pas arrêtée là : au pied
de l’immeuble grignoté par les pelleteuses, un ensemble
d’électro-aimants sépare à présent le béton de la ferraille.
Celui-ci pourra ensuite être réutilisé, pour les sous-couches
de route, les remblais de voies SNCF, etc. Au final, cette
opération de déconstruction permettra la revalorisation de
90% des matériaux. Un bon point écologique mais aussi
économique pour l’OPH, qui obtient une décote sur le prix
de l’opération de la part des entreprises de démolition
récupérant ces déchets.
A
Chaque réhabilitation d’immeuble (ici, le 1 rue FrançoisCoppée) permet d’améliorer les performances énergétiques à
travers la réfection des toitures, des façades, de l’isolation.
fenêtres des rayons solaires tout en
produisant de l’électricité, ensuite
revendue à EDF. À terme, ces
investissements durables réduiront la
facture énergétique de l’OPH, pour le
plus grand bien de ses finances comme
pour celui de l’environnement.
* Cette chaudière à condensation récupère la
chaleur dégagée pendant la combustion, ce qui
permet de consommer moins de gaz.
> À PROPOS
SURLOYER CONTRE MIXITÉ
Soutenu par Catherine Margaté et Marie-Hélène
Amiable, l’OPH continue de demander l’abrogation
de la loi Boutin du 25 mars 2009. Après avoir
abaissé de 10%, depuis juin dernier, les plafonds
de ressources permettant d’accéder au logement
social, cette loi institue une nouvelle augmentation
abusive du supplément de loyer. Imposé aux locataires dont les revenus dépassent les nouveaux
plafonds d’au moins 20 %, ce surloyer représente
une hausse de dépenses significative pour un
nombre croissant de foyers. Afin de préserver la
mixité sociale, l’OPH de Malakoff, soutenue par
l’agglomération Sud de Seine, a décidé de ne pas
appliquer le nouveau surloyer.
ICADE : L’OPH AGIT POUR LES LOCATAIRES
Début 2009, la société immobilière Icade annonçait
vouloir vendre au plus offrant une grande partie de
son patrimoine immobilier, soit plus de 26000 logements locatifs dans toute l’Ile-de-France. La vocation sociale de ces logements, à l’origine construits
et financés sur des fonds publics, s’en trouvait
menacée. L’État ayant refusé d’intervenir, vingtcinq bailleurs sociaux se sont finalement réunis en
consortium afin d’acquérir ces résidences. Fin
2009-début 2010, l’OPH de Malakoff va ainsi
racheter puis reconventionner les 313 logements
Icade situés au sud de la ville. Ce rachat permettra
aux locataires de bénéficier d’un loyer modéré et,
pour certains, de percevoir l’APL (allocation personnalisée au logement.)
ARTS
En coulisses à la
Fabrique
Le 6 novembre, au 21 ter boulevard de Stalingrad, la Fabrique des Arts entrait
officiellement en scène. Mais la toute nouvelle salle de répétition avait ouvert ses
portes dès octobre avec, comme premiers résidents, la compagnie des Anges au
plafond.
res et spatiales, nous pouvons travailler
dans le détail, adapter le décor, réinventer
en permanence. Cet espace de liberté est
un luxe nécessaire à la création artistique.»
«
La commune affiche
une fidélité
satisfaisante des
entreprises.”
En octobre dernier, la Compagnie des Anges au plafond plantait son décor à la Fabrique.
«
Cet espace de
liberté est un luxe
nécessaire à la création
artistique.»
Brice Berthoud
> Au 21 ter boulevard de Stalingrad,
derrière les hautes portes de verre fumé,
les mystères de la création sont à l’œuvre.
Émergeant de leurs cocons, de petits êtres
s’éveillent à la vie. Autour d’eux, l’univers
semble en pleine métamorphose, tandis
que, peu à peu, se tissent les fils d’une histoire. Grands manitous de ces phénomènes surnaturels, les Anges au plafond sont
en pleine préparation de leur spectacle Au
fil d’Œdipe, au cœur de la toute nouvelle
Fabrique des Arts. La compagnie de
marionnettistes est ravie d’inaugurer la
salle de répétition, en fonctionnement
depuis octobre dernier. «C’est un immense cadeau pour nous d’être les premiers à
profiter de cet équipement, se réjouit
Brice Berthoud, membre de la troupe.
Auparavant, nous devions répéter un peu
partout, à Choisy, à Châteauroux, etc.
Désormais dégagés des contraintes horai-
Les ficelles du spectacle
Dans la grande salle de répétition, le décor
progresse au fil des jours et des idées. Sur
le sol du plateau, patchwork de papier, un
radeau de bois est en construction. Il guidera bientôt les périples d’Œdipe, «ce personnage mi-prince mivagabond, qui traverse
Les lieux
les mers en quête de ses
- 1 salle de
répétition de
origines sans pouvoir
310 m2 et de
échapper à son destin».
plus de 9 mètres
Suspendus au-dessus
de haut
de la scène, de petits
- 1 espace
cocons blancs attentechnique de
240 m2
dent le début de
- 4 loges, dotées l’histoire pour délivrer
de sanitaires,
leurs marionnettes.
pouvait
«Tout est déjà en place,
accueillir 12
les mécanismes de la
personnes
- une capacité
tragédie sont parfaited’accueil (hors
ment visibles.» Pour les
professionnels)
actionner, l’équipe
de 49 visiteurs
s’appuie sur
d’anciennes techniques théâtrales : «hormis l’éclairage, tout est manuel, rien n’est
électronique ou électrique dans notre
spectacle.» Ainsi, les comédiens tirent littéralement les ficelles de l’action. Ils font
descendre les marionnettes grâce à un système de contrebalancé utilisant des sacs
de sable. Au sol, par un jeu complexe de
cordelettes, ils retournent de multiples
petits papiers, laissant soudain apparaître
les vagues bleues de l’océan. Quant au
radeau de bois, qui pèse pourtant plus de
70 kg, il est hissé au-dessus de la scène par
un ingénieux système de mouflage, dont
les cordes et poulies permettent de
démultiplier par sept le poids soulevé.
ARTS
Une fabrique en équipe
Contrastant avec l’équipement ultramoderne de la Fabrique, le travail à
l’ancienne des Anges au plafond ne cesse
d’étonner les techniciens du Théâtre 71.
Chargés d’installer les équipements scéniques, de régler les sons et lumières, ces
derniers passent chaque jour dans la salle
de répétition. «Leur relais est extrêmement précieux. Ils trouvent très rapidement des solutions à nos problèmes.»,
remarque Brice Berthoud. Au sein du
bâtiment, les équipes se mélangent, chacun mettant ses talents au service d’un
projet commun. Dans le grand espace
technique attenant à la salle de répétition, les Anges ont installé leur atelier :
les éléments du décor peuvent y bénéficier d’un dernier coup de pinceau ou de
marteau. Non loin de là, un musicien
improvise à la trompette, tandis que
Camille Trouvé, metteur en scène de la
troupe, refait une beauté à une marionnette. Après avoir consacré deux années
à la préparation de son spectacle, la compagnie profite au mieux de ces trois
semaines de répétition. Premier produit
fini de cette Fabrique pas comme les autres, Au fil d’Œdipe sera bientôt prêt à
prendre la route.
En chiffres
Coût total de l’opération (travaux + équipement scénique) : 2 515 375 €HT
Subventions :
Etat (DRAC)
600 000 euros
24%
Région Ile-de-France 592 783 euros
24 %
Ville de Malakoff
543 415 euros
22 %
Paris Habitat
350 000 euros
14%
(anciennement OPAC)
Département des
341 555 euros
14%
Hauts-de-Seine
Réserve
parlementaire
50 000 euros
2%
Théatre 71
37 622 euros
1,5%
Avec ses vastes locaux et
son équipement
moderne, la Fabrique
des Arts offre un espace
de liberté précieux pour
la création. Ici, Brice
Berthoud est l’un des
personnages d’Au Fil
d’Oedipe.
Lever
de rideau
Avec le soutien de la
municipalité et la
coopération de
nombreux acteurs, le
rêve de Pierre Ascaride,
directeur du Théâtre
71, est devenu réalité.
Le 6 novembre dernier,
au 21 ter boulevard de
Stalingrad, un bâtiment
encore peu connu du
sud de Malakoff était
sous les feux des
projecteurs.
P
our son inauguration, le 6
novembre dernier, la Fabrique
des Arts invitait le public en
coulisses. L’occasion de découvrir une vaste salle de répétition, dont les dimensions et les équipements
scéniques, voisins de ceux du Théâtre 71,
permettent aux artistes de se mettre en situation, de régler le son, les lumières, etc. Cette
réalisation, dont la première pierre était
posée en juin 2007, vient concrétiser un rêve
vieux de plus de 10 ans. Pierre Ascaride,
directeur du Théâtre 71, souhaitait depuis
longtemps qu’un nouvel équipement vienne répondre aux besoins des très nombreuses
compagnies d’Ile-de-France. En 1999, avec
la maire-adjointe à la culture Dominique
Cordesse, il découvre un lieu parfait pour
l’aménagement d’une salle de répétition :
une ancienne salle de cinéma, cachée dans
un bâtiment de l’OPAC. Après négociations,
le bailleur accepte de céder les locaux à la
Ville de Malakoff, qui s’engage alors financièrement, bientôt rejointe par la DRAC
(Direction régionale des affaires culturelles) et la Région. Complexe dans sa forme,
le projet n’échappe pas aux rebondissements,
tels le coup de théâtre de 2005, qui voit l’Etat
annoncer temporairement son désengagement. Finalement, grâce à la mobilisation
de multiples acteurs, orchestrée par le Théâtre
et la Ville, la Fabrique des Arts est aujourd’hui
bien réelle. Gérée par le Théâtre 71, elle servira en partie de lieu de répétition pour les
co-productions de cette Scène nationale,
mais sera également louée à des compagnies
professionnelles de toute la région, pour des
tournages de films, de publicités, pour des
spectacles musicaux, etc.
FAITES
Des collages et de l’imagina
L’association Kaz’Art organise des ateliers collage pour les enfants de 6 à 13 ans.
Michel Coquery, collagiste passionné, anime les séances en transmettant le bonheur
de créer.
U
n bâton de colle,
une paire de
ciseau, un
chiffon, une
chemise “boîte à
images”, un peu
d’imagination, et
le tour est joué !
L’atelier collage peut commencer. Michel
Coquery, collagiste autodidacte, est un
chef d’orchestre de l’imagination. Dans
son atelier collage, il invite les enfants à se
laisser guider par leurs rêves. Le but du
jeu est de se sentir libre de créer, de
raconter des histoires, d’inventer des
univers à partir de presque rien, comme
le précise l’artiste : «Si on cherche quelque
chose de précis, on va se torturer l’esprit
en prospectant pendant des heures.
L’objectif est de se laisser aller, en faisant
confiance à son imagination.» Le collage
se satisfait de peu de matériel, mais exige
une méthode. Il se réalise en 4 étapes.
1ère étape : collecte des magazines
Elle, Marie-Claire, Télérama, etcetera,
etcetera, … Qu’importe la revue, pourvu
qu’on ait l’ivresse… La formule d’Alfred
de Musset s’adapte volontiers à cette
phase, qui consiste à rassembler un très
grand nombre de magazines. «Mais il
n’est pas question de courir chez le
marchand de journaux, conseille l’expert.
Il suffit de demander à son entourage
quelques vieux exemplaires. L’intérêt du
collage est d’être un passe-temps éducatif
qui ne coûte pas un sou.»
Les magazines sont des sources d’inspiration…
«
Le collage, ça ne
coûte rien, et ça
permet de rêver.»
Michel Coquery
FAITES
tion
2ème étape : constitution de la boîte à images
Vient ensuite la partie prospective. Il s’agit de sélectionner les
images qui nous parlent, qui accrochent l’œil. «Notre regard
peut être attiré par une couleur, ou bien un personnage, ou
encore un paysage…, explique Michel Coquery. Il suffit alors de
prendre ses ciseaux, de découper l’image, et de la placer dans sa
chemise “boîte à images”. A ce stade, on ne sait pas encore ce
qu’on fera des images choisies. On les met simplement de côté
de manière instinctive, en pressentant qu’elles auront quelque
chose à raconter...»
ème
3 étape : recherche des images
Cette 3ème étape consiste à se laisser guider par son instinct. En
parcourant la boîte à images, on repère les visuels qui pourraient
“coller ensemble”. Un poisson peut s’associer, par exemple, à un
fond bleu… ou encore à une esquisse de bateau… On peut aussi
imaginer un paysage désertique, avec, à l’horizon, une vue des
toits de Paris… Tout est possible. Tout s’assemble. Rien n’est
interdit.
4ème étape : composition du collage
Les représentations qui composent notre collage sont réunies. Ils
ne restent plus qu’à les assembler, pour raconter une histoire à
partir d’un thème. Il faut qu’il y ait une image leader, autour de
laquelle s’agencent les autres. Les différentes parties du collage
peuvent être redécoupées, ou bien même déchirées, afin de
préciser ou non les contours des différentes formes. Déchirer les
contours est une
manière de dire :
«je fais du collage,
et j’assume». Les
styles sont variés,
mais la méthode
est la même : un
collage se termine
toujours par un
coup de colle.
Nos rues ne sont
pas un dépotoir !
NON
aux dépôts
OUI
au respect
sauvages !
des autres !
Pour permettre à tous de mieux vivre ensemble, dans une
ville propre, vous avez plusieurs solutions :
Les déchèteries mobiles :
- Rue Rolland Garros à Châtillon, le vendredi après-midi
- Contre allée de la rue Julien, près du lycée Michelet à
Vanves, les 2ème et 4ème samedi après-midi
Les déchèteries de Bagneux, Clamart et Fontenay-auxroses :
- Parking rue Robinson à Bagneux le mercredi de 13 h à
17 h 30
- Cimetière intercommunal, 108 rue de la Porte de Trivaux
à Clamart le jeudi de 13 h à 17 h 30
- Parking du CEA à Fontenay-aux-roses le mardi de 13 h à
17 h 30
Pensez enfin aux jours de ramassage hebdomadaires des
encombrants dans votre quartier (voir carte ci après).
Pour plus d’infos en un clic : www.suddeseine.fr
> RENDEZ-VOUS
ATELIER COLLAGES
> De 14 h à 17 h
Séances à noter dans vos agendas :
- Le 9 janvier : atelier consacré aux 6-9 ans
- Le 6 février : atelier consacré aux 10-13 ans
Ateliers gratuits. Attention : l’atelier accueillera une dizaine d’enfants par groupe maximum. Réservation et inscription : [email protected] ou 06 68 21 42 09.
Matériel à prévoir pour les séances : ciseaux, colle UHU, chiffon doux ou papier
de verre.
EXPOSITION DE COLLAGES
Fabienne Lesterlin et Hélène Otternaud
> Du 16 au 30 janvier à la MJQ
> Du 2 au 14 février à la Maison de la vie associative
Pour plus de précisions, voir l’Agenda culturel page III.
*
Le MIAM
1
AMAP
se dédouble
orte d'un joli succès
depuis sa création
début 2008, notre
AMAP* locale a ouvert un
deuxième point de distribution, au chalet Larousse.
Les adeptes de légumes bio
tout frais peuvent se
réjouir. Comme les autres
AMAP, le MIAM promeut
une agriculture de proximité viable économiquement, socialement et écologiquement, en travaillant
directement avec des
maraîchers, Valérie et
Alain. Labellisé bio depuis
septembre, le couple cultive 9 hectares de légumes à
F
Cergy-Pontoise, dans une
boucle de la Seine. Chaque
semaine, ils livrent leurs
légumes aux AMAP de
Malakoff, Vanves et Issyles-Moulineaux. Les adhérents s'inscrivent à l'année
et viennent chercher
chaque semaine un panier,
composé de sept à huit
légumes de saison, selon la
production. Un panier
pèse environ 5 kg et coûte
15 € (possibilité de
s'abonner pour ½ panier).
Pour tout savoir sur le
MIAM et vous inscrire,
deux solutions :
> Aller sur
www.lemiam.org,
> Venir aux points habituels de retrait : les mardis
de 19 h à 20 h 30 au chalet
Larousse (26, rue PierreLarousse) – les vendredis
de 19 h à 20 h 15 au Centre
de Loisirs Adolescents
(mail Maurice-Thorez, à
côté de la maternelle GuyMôquet).
*Association pour le Maintien de
l'Agriculture Paysanne
> ÉCHO
TRÊVE HIVERNALE POUR LES DÉCHETS VERTS
Pendant l’hiver, il n’y a pas de collecte des déchets verts. En effet, à
Malakoff, la dernière collecte pour l’année 2009 a eu lieu le mardi 1er
décembre.
La distribution de sacs pour l’année 2010 sera réalisée fin mars
puisque le début de la collecte des déchets verts a lieu chaque année
lors de la première semaine d’avril.
8
7
IMA
GES
2
3
1. Le compositeur Antoine Duhamel, auteur
de plus d’une soixantaine de partitions pour
le Septième art, animait les rencontres
musicales et cinématographiques du mois
de novembre au conservatoire.
4
2. Le Comité Catholique contre la faim et pour le
Développement a organisé une exposition «Des
Migrations pour vivre ensemble» à la Maison de la vie
associative, dans le cadre de la semaine de la solidarité.
3. Les Portes ouvertes du SMJ (Service municipal de la
Jeunesse) le 27 novembre à la MJQ étaient festives et ponctuées de diverses animations (enregistrement radio, expositions des projets jeunes, concert, hip hop, etc.).
4. Le 28 novembre, les médaillés du travail ont reçu leurs
distinctions à la salle des conférences.
5. 6. La municipalité, les associations d’Anciens combattants et de jeunes citoyens étaient présents lors de la commémoration du 11 Novembre 1918, célébrée sur les divers
lieux de mémoire.
7. La Maison ouverte fête ses 10 ans d’existence. Cet espace
d’accueil hérité de Françoise Dolto a ouvert ses portes au
27 rue Danton en 1999, sous l’impulsion de Madame
Pappo, alors Maire adjointe à la Petite enfance.
8. L’association Les Joyaux de la rue a présenté son projet
marocain lors de la journée de la solidarité enfance-jeunesse du 21 novembre à la salle des fêtes Jean-Jaurès.
6
5
PALMARÈS 2009
Maisons et
balcons fleuris
Le 7 novembre, les 85 participants du concours des
maisons et balcons fleuris 2009 se sont réunis à la
Maison de la Vie Associative pour recevoir leur prix.
L'occasion d'une rencontre avec Madame le Maire,
les élus et les jardiniers qui ont adressé leurs félicitations aux lauréats. Aperçu du palmarès fleuri de
l'année :
Maison avec jardin fleuri visible
de la rue
1er prix : Myriam Mérametdjian
Balcon ou terrasse fleuri visible de
la rue
1er prix : Sophie Suire-Laguillaumie
Fenêtre ou mur fleuri visible de la
rue
1er prix : Marie Beraud
Immeubles collectifs comportant
au moins 4 fenêtres ou balcons
fleuris visibles de la rue
1er prix : Résidence Salagnac, représentée par Denis Parseghian (président du conseil syndical).
Décor floral installé en bordure de
la voirie publique
> Pour les particuliers :
1er prix : Jean-Luc Demaret, gardien
de la résidence "Salagnac"
> Pour l’Office Public de l’Habitat :
1er prix : la cité Léon-Salagnac, représentée par Line Leguay, gardienne.
Prix spécial du jury
> Autre catégorie de fleurissement visible ou non de la rue :
1er prix (1ère participation) : Suzanne
Prouteau.
> Commerce avec fleurissement
visible ou non de la rue :
1er prix : restaurant le Timbre Poste
Une 3ème fleur bien plantée
Après sa visite en octobre, le jury régional du concours des villes fleuries et de
l'amélioration du cadre de vie a décidé de maintenir le niveau 3ème fleur de
Malakoff. La Ville a été félicitée «pour l'évolution du fleurissement, notamment
la redéfinition de l'espace mairie». Voilà de quoi fleurir, en ce début d'hiver, le
cœur de nos jardiniers communaux.
OPI
NIONS
ESPACE OUVERT À
Majorité municipale, élus communistes,
antilibéraux et citoyens
En temps de crise, la culture
est indispensable
“
L’inauguration de la Fabrique
des Arts le 6 novembre dernier,
c’est un nouvel équipement culturel dans la ville. Ce projet illustre
l’engagement de la municipalité au service
du droit à la culture pour tous, dans des
conditions financières intéressantes pour la
ville.
Avec les financements croisés obtenus pour
cette réalisation, la part de la ville n’est que
de 21,61%. Le reste étant financé par la
DRAC, la Région Île de France, le Conseil
général des Hauts de Seine, Paris Habitat, la
réserve parlementaire de la Sénatrice des
Hauts de Seine, et le Théâtre 71.
Cette salle, placée sous la responsabilité du
directeur de la Scène Nationale va être un
remarquable outil de travail et un vivier de
créateurs, qui enrichira la programmation du
Théâtre 71. Elle sera intégrée dans son budget de fonctionnement, qui est subventionné
à part égale par la DRAC, le Conseil général
des Hauts de Seine, et la Ville de Malakoff.
Mis à part les professionnels, personne ne
connaît le travail nécessaire pour monter une
création. C’est ce processus, cette alchimie
entre metteur en scène, comédiens et scénographe que vont découvrir les habitants du
quartier, les associations et les jeunes des collèges, avec lesquels le théâtre va renforcer son
partenariat.
La présence de cet équipement culturel et des
artistes qui vont y travailler vont créer une
nouvelle animation dans le quartier.
Rencontres informelles, conversations autour
d’un café, ce sont des nouveaux liens qui
vont se créer, et améliorer la qualité du “vivre
ensemble”.
En cette période de crise où les collectivités
territoriales sont confrontées à des difficultés
importantes, nous refusons de hiérarchiser
les droits, parce que nous considérons que le
droit à la culture est aussi important que le
droit à l’éducation, au logement ou à la
santé.
Nous pensons en effet que la culture, par les
connaissances qu’elle procure, contribue à
l’épanouissement de l’individu, et à faire des
citoyens capables de porter un jugement personnel et critique sur la société. En période
de crise, nous avons besoin plus que jamais
d’avoir des espaces de dialogue où les grandes questions de société soient posées à travers le langage artistique qui
interroge et enrichit notre imaginaire.
> Dominique CORDESSE
Maire adjointe chargée
des affaires culturelles
Conformément à la loi de 1881 le maire en sa
L’EXPRESSION DES ÉLUS DU CONSEIL MUNICIPAL
Les textes publiés engagent la seule responsabilité de leurs auteurs
Majorité municipale, élus socialistes
Pour une année 2010 où
l’esprit civique et la citoyenneté seront au cœur des
débats !
“
Au nom des élus du groupe
socialiste de Malakoff, je vous
souhaite de bonnes fêtes et vous
présente tous nos vœux pour la nouvelle
année.
Je formule également le vœu que 2010 nous
apporte une forme d’idéale du quotidien
auquel nous aspirons tous mais que nous ne
mettons pas toujours en pratique :
Je m’explique, avons-nous toujours un esprit
civique quand nous salissons les trottoirs
avec papiers, les crottes du chien, quand
nous déposons sauvagement des encombrants, quand nous ne respectons pas la limitation de vitesse à 30 km/heure, quand nous
prenons une rue à sens interdit à vélo ?
Faisons-nous toujours preuve de citoyenneté ?
Prenons-nous part à la vie de la Cité ?
Sommes-nous actifs dans les projets communs ? La réponse est trop peu.
La nouvelle équipe des élus municipaux a
mis en place les Conseils de quartier, nous
devons encourager ces instances de dialogue
et de partage qui ne peuvent qu’être bénéfiques pour notre ville et donc pour nous. Ce
sont de vrais espaces de démocratie participative, saisissons-nous-en !
On ne peut que déplorer le manque de participants pour toutes les réunions publiques ; il
est sûr que c’est prendre du temps sur sa
famille, sur son quotidien mais par ailleurs
nous sommes demandeurs de plus
d’échanges.
Là est tout le paradoxe de notre société où
nous voulons plus de la part du politique,
c’est-à-dire des élus, mais sans plus
d’implication de la part du citoyen.
Je profite de cet espace pour souligner que la
fonction de conseiller municipal relève du
bénévolat, que c’est du temps donné à la cité,
pris sur son espace privé, sur son emploi
pour défendre des convictions et mettre en
œuvre un programme.
Il me semble que mises bout à bout, toutes
ces attitudes de citoyenneté représentent
aussi une forme d’identité, celle de la
République française. Une identité dans la
tradition de notre pays, ouverte et généreuse
et fondée sur des valeurs universelles.
Ne soyons pas dupes du débat voulu par le
pouvoir en place, pur marketing électoral ;
Restons vigilants.
> Sophie BACELON
Conseillère municipale
PS Malakoff
42 avenue Pierre Larousse
Tous les samedis (10h à 12h)
01.46.56.69.03
www.psmalakoff.net
Opposition municipale, Nouveau Centre,
UMP, Gauche Moderne et divers droite
Une gestion qui part a vaul’eau !?
“
Comment Madame le Maire peutelle justifier le remboursement
anticipé par la ville de 2 900 000 €
(+ 11 511 €d’indemnités) à la banque Dexia,
(connue pour des prêts toxiques) et dans le
même temps supprimer les colis aux personnes
âgées du mois d’octobre ? Qu’en sera t il des
colis et cadeau de Noël ? Le Grand Capital, tant
décrié par les communistes, vaut-il mieux que
quelques colis à des électeurs souvent modestes
qui l’attendent année après année ?
En outre, comment expliquer l’emprunt sur 1
an de 2 Millions d’Euros à cette même banque
le 9 mars 2009 puis de 2 autres millions sur 20
ans le 7 avril 2009 et constater en même temps
que les restrictions budgétaires se succèdent
pour les citoyens .
A noter que les charges et salaires de la ville
sont en baisse de 211 238 €, à savoir la suppression d’heures supplémentaires, diminution des
remplacements et recrutements des vacataires
l’été ! Quelles conséquences pour les employés ?
Le voyage de Mme le Maire et deux autres personnes au Sénégal pour signer une convention
de coopération avec la ville de Ngogom,
l’empêcha d’assister aux cérémonies du 11
novembre. N’était-il pas possible de respecter
les dates du dossier du conseil municipal (14 au
18 nov) afin d’honorer la mémoire de ceux qui
se sont battus durant la Grande Guerre? Un
voyage est-il prévu à Hiroshima cette année
pour le mouvement de la paix ?
Par ailleurs, des travaux de mise en sens unique
de la rue A. Dumont sont effectués, dans la précipitation. Avez-vous été avertis ou consultés
avant la décision ? Les rues E.Dolet, P.Bert et
B.Raspail risquent fort d’être engorgées pour se
rendre dans le quartier Valette-GalliéniTravaux financés à 100% par le CG92
(540 000 €)Nombre de contribuables se sont émus de
l’augmentation très importante de la taxe
d’habitation à Malakoff.
Cette fois le Maire est au pied du mur, les banderoles et tracts ne peuvent plus faire croire que
sa responsabilité n’est pas engagée. Les mauvais
choix politiques répétés entraînent davantage
notre ville vers la paupérisation et le bas du
classement des villes du 92. Ce que nous craignions et dénoncions depuis des années, se produit maintenant.
Rectifions une idée erronée : les banques françaises ont, à ce jour, remboursé 13,45 des 19,8
milliards prêtés par l’Etat. L’Etat aura donc
perçu, en 2009, 1,071 milliard d'euros
D’INTERETS des 5 banques françaises ayant
bénéficié de prêts. Une bonne gestion en
somme, tout le monde ne peut pas en dire
autant !
> Thierry Guilmart
Conseiller Municipal UMPNouveau Centre-Gauche Moderne
Permanence 109 rue Guy Moquet
tous les jeudis I 7h30-20h
Email : [email protected]
Opposition municipale, liste du MODEM
Des cessions immobilières
critiquables
“
La vente par la mairie d’une très
grande partie de son patrimoine
immobilier aurait pu passer
inaperçue. Pourtant, le montant des cessions
immobilières, telles que budgétées, s’élèvera
au minimum à 2,5 millions d’euros cette
année. Motif invoqué pour de telles cessions :
équilibrer le budget et désendetter la ville.
Pour ma part, je considère ces cessions
comme quelque peu précipitées et surtout
triplement critiquables.
Critiquables, d’abord, quant à la logique de
court terme qu’elles manifestent. Il faut bien
réaliser que ce type de vente n’aura lieu
qu’une seule fois. La commune ne bénéficiera
plus de recettes du même type dans l’avenir.
Dès lors, on peut légitimement se demander
de quelle façon sera équilibré le budget communal l’année prochaine, sans pouvoir
recourir à de tels expédients ? La fiscalité ?
L’endettement ? Les deux ?
Au moins aurait-on pu espérer que ces recettes ponctuelles servent à financer des dépenses d’avenir. À ce titre, nous expliquer que
des telles ventes auraient permis de financer
des logements, notamment intermédiaires,
aurait sans doute été plus audible.
Critiquables, ensuite, quant aux modalités de
mises en œuvre, révélant une absence
d’homogénéité dans la politique tarifaire
poursuivie. Il est en effet difficilement compréhensible que des locataires acheteurs ou
des propriétaires directement intéressés, car
disposant d’un bien à proximité, aient bénéficié de prix de vente proches de l’évaluation
des services fiscaux, alors que d’autres ventes
auraient été réalisées à des prix supérieurs.
Au-delà de ces constats, était-il opportun de
vendre les biens de la commune sur un marché immobilier peu actif ? Ne fallait-il pas
plutôt fractionner ces ventes et lisser ainsi les
recettes ?
Critiquables, enfin, quant à la procédure peu
formalisée suivie pour la vente de terrains
communaux avenue Pierre Larousse. En
effet, malgré mes questions en conseil, la
réponse peu claire de la majorité municipale
sur l’absence d’appel d’offres pour cette vente
n’est pas satisfaisante. Devrait s’élever sur cet
espace, vendu 688.000 €, un immeuble de 5
niveaux totalisant 460 m2 de locaux commerciaux et 26 logements. Quelle que soit la
qualité du projet final, rien ne peut justifier
de recourir à une procédure aussi cavalière.
Devrais-je être le seul à m’en inquiéter ?
> Jean-Emmanuel Paillon
Conseiller municipal
Mail : [email protected]
Blog :
www.democrates-malakoff.fr
Tel : 06 60 96 65 45
qualité de directeur de publication a obligation de s’opposer à la diffusion de tout propos à caractère diffamatoire ou injurieux.
*
Hommage
À
TRAVERS
LA VILLE
HAMIDA
BEN SADIA
{ À propos
Hamida Ben Sadia
Née en région parisienne en 1961.
Écrivain d’origine algérienne, membre du comité central de la Ligue des
droits de l’homme, Hamida a milité
activement pour la défense des droits
de la femme en France et en Algérie.
Dans son ouvrage “Itinéraire d’une
femme française”, paru chez Bourin
Editeur en 2008, elle raconte son
mariage forcé en Algérie.
a féministe et militante
Hamida Ben Sadia est
décédée le 29 octobre.
Madame le Maire et la
Municipalité se joignent à ses
proches pour lui rendre
hommage. «Tous les jours, je
veux me sentir d’ici dans le
regard des autres. Et si mon obstination à vivre fait peur,
c’est que résolument, j’ai choisi d’être une combattante,
pas une victime». Lors de la cérémonie dédiée à la mémoire
de Hamida Ben Sadia, Madame le Maire a rendu hommage à
la féministe et militante, en choisissant cette citation tirée
de son livre “Itinéraire d’une femme française”. Aux côtés
de Catherine Margaté, de nombreuses personnalités du
monde politique et associatif, ses proches, ont témoigné
avec émotion de l’humanité de cette femme libre. Elle
défendait avec force et détermination les droits de
l’homme et de la femme. Elle s’est exprimée contre la loi
anti-voile, contre le sexisme, contre le racisme, contre le
Traité européen. Sa vie est aussi étroitement liée à notre
ville. Elle y a vécu avec sa famille. Elle y a mené ses
combats, notamment au sein de la Ligue des droits de
l’homme et lors des dernières élections européennes. Son
nom restera vivant, ici et partout ailleurs, dans la mémoire
des hommes, des femmes, de tous ceux qui continuent à se
battre pour un monde meilleur, universel, plus juste, plus
tolérant, plus humain.
L
{ En bref
© Carole Mann
C’est Noël aussi pour les
enfants de Kaboul !
Les enfants de la crèche universitaire de Kaboul, en Afghanistan,
découvrent avec joie les cadeaux qui
leur ont été offerts par l’association
FemAid, présidée par Carol Mann.
Tous ces jouets proviennent notamment des dons des familles de
Malakoff.
*
Des nouvelles de
WILLIAM
BLONDEL
"L'inconsciencieux"
l y a quelques mois,
William Blondel,
Malakoffiot, consultant
de métier et écrivain à ses
heures, se lançait dans
l'aventure littéraire en
publiant
L'inconsciencieux∗, aventures rocambolesques d'un
trentenaire cherchant sa
place dans le monde.
Depuis sa sortie, ce premier roman mène un chemin prometteur. Preuve en
est, il figurait en novembre
I
parmi les cinquante-sept
œuvres sélectionnées pour
le 8ème salon du premier
roman de Draveil. «Cet
événement m'a permis de
faire de nombreuses rencontres, d'échanger avec
d'autres auteurs, des lecteurs, se réjouit le jeune
auteur. Je n'ai pas remporté
le prix mais
L'inconsciencieux a suscité
beaucoup de débat parmi
les membres du jury. Le
président l’a décrit comme
le livre le plus drôle de
l’année !» En janvier,
William sera à Angoulême
pour la journée du 1er
roman. L'aventure continue…
> L'inconsciencieux est
toujours disponible à la
librairie "La cabane à livres" (75, avenue PierreLarousse).
∗ Voir l'article paru dans le
Malakoff infos n° 226
(mars 2009).
PHOTO
Illustre photographe spécialiste des portraits d’écrivains et de grands
chefs de cuisine, Maurice Rougemont, Malakoffiot depuis 9 ans, révèle
l’âme des hommes et des femmes qu’il photographie.
Maurice Rougemont
Portrait
d’un portraitiste
les meilleurs produits, avec enthousiasme
et sincérité.» Ce sont eux, les Grandes
gueules : Pierrot à Lille, qui présente du
saindoux sur la table, à la place du beurre ; Gilbert, le roi du cochon, qui décortique lui-même l’animal et fait ses saucisses ; le basque Philippe Etchebest, qui
manipule son potimarron comme un ballon de rugby ; Xiradakis le ronchon, qui
tient fièrement ses deux belles poules élevées au grain, comme pour narguer
l’élevage industriel. Maurice Rougemont
n’a qu’un objectif (sans jeu de mots) :
montrer l’homme et son environnement.
Maurice Rougemont vit
à Malakoff depuis 2000. Modeste, il reste
discret dans sa maison et dans sa ville.
Pourtant, son nom est connu des plus
grands écrivains, des illustres chefs cuisiniers de France et de Navarre. De la littérature à la cuisine, il n’y a qu’un pas, pour
le photographe. L’amour qu’il voue aux
livres égale la dévotion qu’il témoigne à la
gastronomie. Ses clichés s’approprient
l’âme de ses icônes littéraires et gastronomes. «Je m’efforce de photographier
quelque chose à l’intérieur des gens,
explique-t-il. Pour moi, un portrait doit
révéler le caractère des personnes. La
malice chez Bernard Franck, le charme
chez Jean d’Ormesson, le côté “vieux paysan” chez Claude Michelet, et l’amour du
voyage chez Patrick Grainville… l’esprit
magicien chez le cuisinier savoyard Marc
Veyrat, le tempérament râleur du “Roi du
bistrot gastro”… » Tous les traits de caractère sont là, présents dans le regard empli
d’expression, immortalisés sur la pellicule.
Maurice Rougemont est un artiste. Ses
photos reflètent la personnalité de ses
modèles, son amour des gens.
Un métier du voyage et de
l’humain
En 1979, Maurice Rougemont commence
à réaliser des portraits d’écrivains pour Les
Nouvelles littéraires. À travers ses lectures,
il se familiarise avec l’univers propre à ses
romanciers. Le co-auteur des Grandes
L’art du portrait est à son apogée avec Les
Grandes gueules et leurs recettes, ouvrage
publié aux éditions Glénat. «Notre projet,
avec Gilles Pudlowski, journaliste, critique
gastronomique et littéraire, était de mettre
les projecteurs sur ces grandes figures de la
gastronomie, qui sont des défenseurs
authentiques de leur terroir. Chez eux, la
bonne tête de veau garde une place de
choix dans les menus. Ce sont les gardiens
des traditions. Chacun dans sa région sert
© Maurice Rougemont
Le portraitiste des Grandes
gueules
gueules, des Trésors gourmands de la France
(Renaissance du livre), de Elles sont chefs
(Flammarion), sillonne la France et le
Monde pour aller à la rencontre des
grands noms de la gastronomie. Les livres,
les voyages, la découverte des gens et des
lieux, des bons plats régionaux rythment
son quotidien. Assurément, le photographe dévore la vie à travers ses périples. «Je
ne me sens pas obligé de dire que la
photographie est une passion, c’est juste
mon métier,» insiste Maurice. Son talent,
sa spontanéité, son franc-parler et sa verve
donnent envie à ceux qui le croisent de le
surnommer à son tour “Grande gueule”.
RENDEZ-VOUS
Le 19 décembre à 15 h : deux dédicaces
> La Cabane à livres
75, avenue Pierre-Larousse
Dédicace de Maurice Rougemont
Le photographe Maurice
Rougemont dédicace son livre «
Les Grandes Gueules et leurs
recettes », aux Editions Glénat.
Textes : Gilles Pudlowski.
Dédicace
de Frédérique Jannier
Frédérique Jannier signe aussi son ouvrage "Vin
et vignobles" (Edition Gründ).
Les premiers récipients du vin, les premières
vignes en Gaule celtique, le premier cépage bordelais : la biturica, la première bouteille de
champagne, le premier tire-bouchon, découvrez
l’histoire du vin au travers de 100 premières fois.
Suivez l’évolution des techniques et de la
consommation au cours des âges, découvrez les
noms et les origines des différents vins et
champagnes.
EXPO
Jusqu'au 31 janvier, la Maison des Arts donne carte blanche à deux jeunes
artistes, David Mesguich et Valentin Van der Meulen. A travers leurs univers
respectifs et une œuvre commune, ils nous donnent à regarder autrement
ce qui nous entoure.
Maison des Arts
Regards neufs
Sommes-nous sûr de
bien voir ce que nous voyons ? Une multitude d'images, d'objets, d'infrastructures
peuple notre quotidien de citadin, saturant notre regard. Les artistes nous donnent à voir, à réfléchir autrement le
monde, à travers un point de vue sensible.
Valentin Van der Meulen et David
Mesguich proposent aux spectateurs de
s'attarder, le temps d'une exposition commune à la Maison des Arts, sur quelques
sujets qui les interpellent. «Nos œuvres
respectives traduisent nos interrogations,
résume Valentin. Nous ne cherchons pas à
apporter des réponses mais à questionner
le public.» Enfants de la société des média,
de la surconsommation, ces artistes trentenaires procèdent, chacun à sa manière, à
un décadrage du réel. Mis en exergue, des
détails, habituellement perdus dans la
masse, se mettent à parler.
Zooms urbains
© David Mesguich
Au rez-de-chaussée, les dessins et aquarelles de David Mesguich nous plongent
dans les méandres de l'espace urbain.
D'un récent séjour en Israël, David a
ramené ces images, loin des clichés sur
l'évasion et le voyage. «Quand je commen-
ce une série, comme celle-ci, nous
explique-t-il, je pars d'un parcours hasardeux dans la ville. Je déambule à pied, me
laissant guider par mon instinct. Ce qui
m'intéresse, c'est d'aller voir au-delà des
limites imposées.» Zones de fret, aéroport,
autoroutes, zones industrielles… Routes,
murs et barbelés obstruent l'horizon. A
travers ces territoires sans trace de vie,
David tire le portrait des villes contemporaines : «Les paysages que je dessine représentent au moins 90 % de notre environnement citadin, sursaturé, cloisonné,
contrôlé.» Tout comme David, perdu dans
les réseaux d'une Jérusalem ultra-sécuritaire, le spectateur suit un parcours aléatoire parmi les tableaux et une constellation de dessins… et découvre toute la
beauté de ces lieux "bannis" du patrimoine.
Zooms humains
A l'étage, de grandes feuilles blanches scotchées au mur portent les portraits au
fusain d'enfants, femmes et hommes,
d'âges et d'origines diverses. Le réalisme du
trait nous rappelle la photographie, mais
un détail cloche. De larges traînées blanches trahissent le passage d'une gomme
sur ces visages. Qui
sont ces gens que Valentin Van der Meulen dessine avec précision, puis efface ? «Ce
sont des réfugiés, des
personnes en exil,
nous éclaire Valentin.
Toutes ces images
sont issues de magazines d'actualité.»
Guerres, famines, dictature… nous ignorons ici les raisons de
leurs fuites. Une fois
les commentaires, le
décor effacés, le magazine jeté, qu'en restet-il ? «Extraire ces personnages de leur
contexte permet de les ramener à leur statut d'individus, et d'interroger notre
regard. Nous vivons entourés d'une multitude d'images choc, sans en voir réellement les sujets. Ce ne sont que des illustrations. Comment vit-on avec ça ?»
Valentin nous invite donc à faire connaissance, avant qu'il ne soit trop tard… Au fil
des semaines, certains des portraits sont
effacés, "s'abstractisent" jusqu'à n'être plus
que poussière de gomme. Métaphore
d'histoires humaines condamnées à un
voyage vers l'oubli. Au sol, les coupures de
magazines nous rappellent une dernière
fois au souvenir de ces anonymes exilés.
David Mesguich et Valentin Van der
Meulen ne forment pas un duo, mais
avancent côte à côte depuis plusieurs
années, partageant la même galerie, le
même atelier. A la Maison des Arts, ils
concrétisent ce compagnonnage par une
œuvre à quatre mains. A découvrir au fil
de l'exposition, jusqu'au 31 janvier.
INFOS PRATIQUES
David Mesguich et Valentin Van der Meulen :
exposition du 12 décembre au 31 janvier.
> Rencontre avec les artistes vendredi 15 janvier
à 19 h.
> Tous les 15 jours, Valentin Van der Meulen viendra effacer ses portraits. Les dates de sa venue
seront disponibles sur le site internet de la
Maison des Arts.
Maison des Arts de Malakoff : 105 avenue du 12février-1934 – 01 47 35 96 94 –
http://maisondesarts.malakoff.fr.
«
© Malte Martin - Atelier graphique
À
TRAVERS
LA VILLE
C'est flashy…
pétillant…
vivifiant…
drôle ?», «C'est
trop voyant…
pas sérieux… C'est quoi le rapport avec le spectacle ?» Les affiches fluo arborées depuis trois
saisons par le Théâtre 71 provoquent des réactions diverses.
Une chose est sûre : elles font
parler les passants et détonnent
dans le paysage urbain plutôt
grisâtre. Couleurs pétantes,
graphisme simple, un brin d'insolence. Le message est clair : à
Malakoff, on ne vient pas au
théâtre pour se prendre au
sérieux. «Les visuels contribuent
à construire l'identité du lieu,
explique Emmanuelle Ossena,
secrétaire générale du Théâtre
71. Ils accompagnent la programmation et le travail avec les
publics. Nous voulions quelque
Théâtre 71
C'est quoi
ces affiches ?
Notre scène
nationale
s'affiche en fluo.
Cette
communication
flashy et décalée
est le fruit d'une
collaboration
fidèle avec le
graphiste Malte
Martin. Que nous
racontent-t-elles ?
chose de pétillant, joyeux et léger.
Un "anti-prise de tête".»
ducteur de formes", tel qu'il se
définit lui-même, trouve écho
auprès de l'équipe, et l'aventure peut commencer. Les
ingrédients de base : un
slogan, imaginé par Pierre
Ascaride, illustré par Malte
Martin, un visuel pour chaque
spectacle programmé en série,
et une typographie. «Au début,
nous avons fondé une ligne
graphique à partir de photos,
en forme de métaphores»,
raconte Malte. Pendant six ans,
objets et figurines ont conté les
saisons, à la manière d'un
théâtre miniature. Puis, au fil
des discussions, de l'air du
temps, les envies ont évolué.
«Après six ans, le principe des
photos commençait à s'essouffler un peu, explique Emmanuelle. Il fallait trouver
quelque chose de plus contemporain, qui touche un public
plus large.»
De l'objet au signe
A VOIR TRÈS VITE !
La galerie Anatome, à Paris,
présente jusqu'au 23 décembre
l'exposition "Malte Martin, double
vie". Elle retrace le parcours duel
du graphiste et du plasticien : d'un
côté les commandes pour des
structures culturelles (dont le
Théâtre 71), de l'autre les projets
menés avec la compagnie
Agrafmobile créée par Malte Martin.
> Galerie Anatome, 38 rue Sedaine,
Paris 11ème (M° Bastille, Voltaire ou
Breguet-Sabin) – www.galerieanatome.com
> Pour connaître la programmation
du Théâtre 71, rendez-vous sur
www.theatre71.com.
Comme pour le choix des
spectacles, l'élaboration des
campagnes de communication
est placée sous le signe du
compagnonnage. En 2001, le
Théâtre 71 rencontre Malte
Martin. Graphiste et artiste, il
invente des langages visuels
qui tentent d'échapper aux
codes du marketing. L'univers
et la personnalité de ce "tra-
Parler d'une histoire en
5 secondes dans le
métro
sé une idée simple qui a
conquis l'équipe du théâtre :
«Un titre – un signe au pochoir, comme bombé sur un
mur – des couleurs très fortes.
Le fond uni crée un calme
visuel et rend le contenu plus
lisible. Comme le silence avant
la représentation.» A travers
ces symboles bruts, presque
archaïques, Malte Martin traduit juste de quoi titiller le
désir et la curiosité du public :
«On ne peut pas déployer
toute la problématique d'une
pièce sur une affiche. Il s'agit
de créer un début d'intrigue
entre le dessin et le titre. Pour
cela, on s'inspire de l'histoire
ou d'objets de la mise en scène,
on joue sur les double-sens.»
Depuis trois ans, ces imagessymboles réveillent les rues, les
murs du métro parisien, et
sont devenues l’une des marques de fabrique de la scène
nationale de Malakoff.
* www.agrafmobile.net
Avec le désir de prolonger leur
partenariat, le Théâtre 71 et
Malte Martin ont relevé ce
défi. Entre temps, Malte avait
décliné, avec la compagnie
visuelle Agrafmobile, une réflexion sur l'espace public :
«Dans un environnement saturé de messages publicitaires,
comment se faire entendre
autrement, redonner une place
à la parole citoyenne ?» Nourri
de cette expérience, il a propoMalakoff infos – Décembre 2009 – Janvier 2010 > 23
> Dépistage
anonyme et gratuit
Virus du SIDA, hépatites
Hôpital Antoine-Béclère
(157 rue de la Porte de
Trivaux, 92140 Clamart)
Le lundi de 18h à 20h30
et le samedi de 9h à 12h30
Tél. : 01 45 37 48 40
Sans rendez-vous.
> Attention aux
conseillers
malhonnêtes !
Depuis quelques semaines,
une entreprise dénommée
“CIF Listen” démarche de
nombreux foyers par téléphone, proposant des services de conseils en placements financiers, et affirmant que les coordonnées
ont été transmises par la
mairie. En aucun cas la
mairie ne transmet ce type
de renseignements. Les
entreprises comme celle-ci
se servent tout simplement
de la Ville pour crédibiliser
leur offre.
> Concrétisez votre
projet de création
d’entreprise
La Communauté
d’agglomération Sud de
Seine, en partenariat avec la
Boutique de gestion propose : une réunion
d’information collective
gratuite sur la création
d’entreprise :
Mardi 15 décembre 2009 de
9h30 à 11h30
A la Communauté
Seine – Immeuble
Expansion 10 000
28 rue de la Redoute
(1er étage)
92260 Fontenay-Aux-Roses
Inscription obligatoire
Communauté
Seine
Service développement
économique
Tél. : 01 55 95 81 75 / 01 55
95 84 06
[email protected]
www.suddeseine.fr
> Services de garde
Garde médicale
Du lundi au samedi : 20 h24 h.
Dimanches et jours fériés :
9 h-13 h et 16 h-24 h.
> 10, bd des FrèresVigouroux, Clamart.
Indispensable de prendre
rendez-vous au 15.
Pharmacies
13 décembre : Truong
> 172, avenue PierreBrossolette, Malakoff
25 décembre : Boiteau &
Lo
> 14, avenue Jacques
Jézéquel, Vanves
27 décembre : Nguyen
Dac Minh Anh
> 4, place Maréchal de
Lattre de Tassigny, Vanves
1er janvier : Burbot-Vu
> 24, rue LouisDardienne, Vanves
3 janvier : Chuop
> 1, place du Président
Kennedy, Vanves
10 janvier : Courbet
> 32, rue Auguste Comte,
Vanves
24 janvier : Meyniel-Liber
> 99 rue Sadi Carnot,
Vanves
31 janvier : Burbot
> 24, rue Jean Bleuzen
Infirmières
Mmes Lefaure, Raffanel,
Tutin et M. Poupeau :
> 01 46 54 25 47.
Marie Minasi et Elise
Dupuis
> 01 46 55 82 05.
Judith Stoop-Devesa
> 01 57 63 80 92 ou
06 75 73 95 61 ;
et Marie-Dominique
Barbier
> 06 62 83 88 46.
Urgences dentaires
Dimanches et jours fériés :
appelez le 15 pour avoir
adresse et téléphone de la
maison médicalisée où
sont assurées les urgences
dentaires. Autres jours :
contactez les cabinets dentaires (numéros dans
l’annuaire).
Urgences vétérinaires
Appelez votre vétérinaire
habituel.
> Listes électorales
Inscrivez-vous !
Les élections régionales
auront lieu en mars 2010.
Ce rendez-vous citoyen est
important, n’hésitez pas à
vous inscrire sur les listes
électorales si ce n’est pas
déjà fait ! La date limite des
inscriptions est le 31
décembre 2009 inclus.
Les électeurs déjà inscrits,
mais ayant changé de
domicile à l’intérieur de la
commune, sont invités à
informer la mairie de leur
nouvelle adresse.
Les jeunes français qui
auront 18 ans au plus tard
le 28 février 2010 sont également invités à contacter le
service des élections avant
le 31 décembre, s’ils n’ont
pas été informés par courrier de leur inscription
d’office.
Les pièces à produire pour
s’inscrire sur les listes électorales sont : la carte nationale d’identité ou le passeport et un justificatif de
domicile de moins de 3
mois (avis d’imposition,
quittance de loyer, d’eau, de
gaz ou d’électricité). Les
personnes hébergées doivent aussi fournir une
attestation de l’hébergeant,
une photocopie de la pièce
d’identité de l’hébergeant,
un justificatif de domicile
de moins de 3 mois de
l’hébergeant et un justificatif de domicile de l’hébergé
(feuilles de paye, carte
d’étudiant, RIB, attestation
de la sécurité sociale).
Ladouceur Yolette •
Blanchard Frédéric et
Hikem Bochra • Kourdi
Lazhar et Yousfi Fadhila •
Thangammah, 85 ans •
Cobert Didier, 51 ans •
Guillou Paul, 82 ans •
Dupont Georges, 76 ans •
Gautier Paul, 88 ans •
Jabelos veuve Le Roux
Marcelle, 88 ans • Le
Minoux veuve Moricet
Yvonne, 96 ans • Larue
épouse Goffaux Andrée, 85
ans • Lecomte Bernard, 88
ans • Cherqui Marcel, 94
ans • Desjardins épouse
Blanc Jocyline, 69 ans •
ÉTAT CIVIL
DU 3 OCTOBRE
AU 12 NOVEMBRE 2009
> Bienvenue
Gnakou Bethlehem •
Bazantay Timéo • Soilihi
Zaïna • Jemli Ilyes • Tliha
Mehdi • Bach Shaïna •
Baguette Dit Michael
Anaelle • Palerme Tiané • El
Kass Yassir • Barré Zazie •
Aissi Mohamed-Amine •
Croissant Gabin • Vialle
Philippine • Marques Eva et
Louise • Achab Myriam •
Boury Charlotte • Leveneur
- - Perez Florez Pablo •
Marinovic Mathéo •
Rodrigues Emilie •
Catherine Edouard •
Millasseau Côme • Muller
Eliott • Ferret Yann •
Abdoul Wahidi Abchir •
Amazit Hamza • Ghezlaoui
Aksel • Ricouard Lou-Anne
• François Timothé •
Froissard Malo • Lagda
Cassandra • Capitaine
Pablo • Mare Anisora •
Aidrous Mahdi • Eyongo
Séphora • Rouchossé Noèm
• Ben-Haddou - - Ravetta
Jasmine • Gaquière Clotilde
• Adèle Dorian • Etelin
Chloé •
> Vœux de bonheur
Juillet Michel et Trentesaux
Valérie • Sajid Saad et Taghi
Nabila • Ben Daamer
Lanouar et Kaddour Sarah
• Slacel Nourdine et Arab
Toursia • Joseph Yves et
> Condoléances
Jardin veuve Billiet Claire,
74 ans • Germain Aime, 89
ans • Maire Georges, 91 ans
• Lequeu Lucien, 94 ans •
Souillet veuve Allier
Alphonsine 91 ans • Daoui
Mjahed 42 ans • Lemeunier
épouse Lemercier
Monique, 74 ans • Aubert
André, 74 ans • Hadjeb
Marie-France, 62 ans •
Ramu veuve Thambipilai
A Clamart : Huguette
Guyot, née Lalande est
décédée le 29 octobre.
URBANISME
> Permis
Autorisations accordées du 07.10.2009 au 16.11.2009
Mazars. Modification de la clôture d'un pavillon et déplacement du portail d'accès pour véhicule. 31 rue Lucien et
Edouard Gerber •
BNP Paribas. Modification de la façade d'un local commercial. 86 avenue Pierre-Brossolette •
Moutot. Démolition partielle d'un appenti. Implantation
d'une porte fenêtre, de pavés de verre et ravalement. 45 boulevard Camélinat •
G.F.L.B.I. division de terrain en vue de construire. 9 Bd des
Frères Vigouroux, rue Neuve Montholon et sentier des Bas
Garmants •
Parisi. Modification de la porte de garage d'un pavillon.
1 impasse des Groux •
Copropriété Gabriel-Crié. Ravalement des façades d'un
immeuble de logements. 28 rue Gabriel Crié et 2 rue Danton •
Sautter. Modification de la clôture d'un pavillon et implantation d'un portail d'accès pour véhicules. 2 rue Hubert
INFOS
SERVICES
?
INFOS
?
Ponscarme •
IRE SAS. Modification d'un local d'activité. 8-10 place du 14Juillet •
Lechartre. Réfection de la toiture, de la porte d'entrée et des
fenêtres. 14 passage du Théâtre •
Godon. Remplacement de chassis de toits par des velux en toiture d'un pavillon. 138 rue Paul-Vaillant-Couturier et 16 avenue Anatole France •
Greiner. Création de deux velux en toiture d'un immeuble de
logements. 54 rue Paul-Vaillant-Couturier •
PCI – Permis de construire une maison individuelle
Devaud et Bunel. Remplacement de la véranda par une extension sur deux niveaux. 47 rue Vincent-Moris •
SCI Gervais le Pré. Extension d'une maison individuelle et
construction d'une annexe. Démolition d'un garage. 2 rue
Frédéric Fournier •
Pomponne et Gibourg. Surélévation d'une maison individuelle. 6 villa Léger •
Graff. Construction d'une maison individuelle après démolition totale de boxes et d'une remise. 40 rue Avaulée •
PD – Permis de démolir
G.F.L.B.I. Démolition de boxes. 9 Bd des Frères Vigouroux,
rue Neuve •
ASSOCIATIONS
> Vie libre
Nous pouvons vous aider
face à l’alcool !
Si vous (ou l’un de vos proches) avez un problème
avec l’alcool, Vie libre peut
vous aider dans la discrétion la plus totale.
Réunions sous forme de
tables rondes, les 1er et 3ème
jeudis de chaque mois à
20 h, derrière le centre
administratif et médical
Henri-Barbusse, début bd
Henri-Barbusse. Pour un
rendez-vous individualisé
(malade ou conjoint) : permanence les 2ème et 4ème mercredi de chaque mois, de
16 h à 19 h, à la Maison de
la Vie Associative, 26 rue
Victor-Hugo.
Premiers contacts : JeanJacques Maître au 01 75 49
68 13 ou 06 59 11 47 50.
> Commerce
équitable
Prenez date :
Le 15 décembre,
l’association aura un stand
au marché de Noël, sur la
place du 11-Novembre.
Le 10 janvier, une vente de
produits de commerce
équitable aura lieu sur le
marché couvert.
Le 7 février, un petit déjeuner solidaire sera organisé.
> Parution des infos
associatives
Vous êtes une association ?
Pour faire publier vos
annonces dans Malakoffinfos, envoyez les au journal, avant le 15 du mois
précédant sa parution, par
mail : [email protected], par fax : 01 47 46 76
88, ou par courrier :
Malakoff-infos, Hôtel de
Ville, 1 place du 11Novembre, 92240 Malakoff.
> Danses du monde
Pour fêter ses 20 ans,
l’association Danses du
monde vous offre un
cadeau pour Noël.
Après 20 ans à la tête de
Danses du monde,
Geneviève Guillon laisse la
place à Yamuno Wanuke
Kajler, présente dans
l’association depuis une
dizaine d’années, en qualité
de professeur de danses
africaines. Pour fêter ses 20
ans, Danses du monde profite des fêtes de Noël pour
vous offrir une promotion
de 25% sur ses activités
entre le 15 décembre et le
1er janvier 2010. Cette offre
est valable sur les abonnements de janvier à juin
2010 compris. Profitez de
ce cadeau original pour
faire des heureux.
Renseignements :
Danses du monde
Ecole Jean-Jaurès, 13 rue
Jules-Ferry, 92240
Malakoff.
Tél. : 01 46 06 34 95
dansesdumonde92@
gmail.com
http://dansesdumondemalakoff.blogspot.com
> Ligue contre
le cancer
Pour agir dans votre ville,
devenez bénévoles !
Le Comité des Hauts-deSeine de la Ligue Contre le
Cancer recherche, dans le
cadre de ses activités, des
personnes bénévoles susceptibles de consacrer un
peu de leur temps à toutes
ses actions sur la commune
de Malakoff.
Etre bénévole à la Ligue,
c’est participer à un projet
précis et aux missions locales de votre Comité départemental, selon votre disponibilité.
Le Comité départemental
définira avec vous comment vous pouvez aider la
Ligue à lutter contre le cancer. Vous saurez ainsi à quoi
vous vous engagez.
Merci de contacter
Madame Yvette PINEAU
au Comité des Hauts-deSeine de la Ligue Contre le
Cancer.
Tél : 01 55 69 18 18
> ANACR
L’assemblée générale commune de l’ANACR,
(Association Nationale des
Anciens Combattants et
Amis de la Résistance) et de
la FNDIRP (Fédération
Nationale des déportés,
Internés, Résistants,
Patriotes) se tiendra à
Malakoff à la Maison de la
vie associative, 28 rue
Victor Hugo, le samedi 23
janvier à 14 h 30.
Nous serions heureux de
vous accueillir à partir de
16 h 30, pour assister à la
présentation par Odette
Lilès, Présidente de
l’Amicale de
Châteaubriant, de son livre
“Guy Môquet mon amour
de jeunesse” et au verre de
l’amitié qui clôturera
l’Assemblée générale 2010.
> Bridge club
de Malakoff
Le bridge est un jeu de cartes, mais aussi un sport
cérébral enseigné dans les
écoles tout comme les
échecs. C’est un jeu de
logique exigeant beaucoup
de concentration, de
mémorisation et
d’anticipation.
- Si vous êtes fan, venez
défier nos meilleures équipes tous les mercredis à
partir de 13 h 50, jusqu’à
18h (Participation 1 €)
- Si vous êtes débutant, si
vous souhaitez découvrir ce
jeu, venez aux entraînements du vendredi, aux
mêmes horaires (c’est gratuit).
Bridge club de Malakoff
36 rue Gambetta
> Concours National
de la Résistance
Dans le cadre du concours
national de la Résistance,
en partenariat avec le service jeunesse et le comité de
la mémoire de Malakoff,
l’Association Nationale des
Anciens Combattants et
Amis de la Résistance,
l’ANACR, présentera
l’exposition «L’Appel du 18
juin 1940 du Général De
Gaulle et son impact jusqu’en 1945», du 1er au 5
février 2010, à la Maison
des Jeunes et de Quartier, 4
boulevard Henri-Barbusse.
> FNACA
Votre prochaine soirée dansante aura lieu le samedi 13
février 2010 à la salle des
fêtes Jean-Jaurès.
Veuillez retenir sur votre
agenda ces deux dates
importantes.
Chers adhérents (es) et
futurs (es) adhérents (es),
nous comptons sur votre
présence.
> Secours
catholique
Lors du spectacle de Noël
organisé par la Mairie le
mardi 15 décembre à partir
de 18 h sur la Place du 11
Novembre, le Secours
Catholique vous accueillera
sur son stand pour vous
parler des différentes
actions que nous menons
chaque année en faveur des
plus démunis. Nous vendrons également de petites
bougies.
> L’Amicale
bretonne
de Malakoff
Le traditionnel banquet de
l’Amicale aura lieu le samedi 23 janvier 2010, à partir
de 20 h, dans la salle des
fêtes Jean-Jaurès, 51 boulevard Gabriel-Péri. Ce dîner
dansant sera animé par Les
Bleuzettes, orchestre que les
danseurs habitués apprécient chaque année.
L’Amicale recrute ! Notre
bureau a besoin de s’étoffer
par l’arrivée de personnes
dynamiques et motivées
pour maintenir et développer nos activités.
Renseignements, réservations, contact : Madame
Gisèle Gautier
4 rue Léon-Salagnac
(01 46 57 04 01).
Vincent Eche
AGENDA
> DU 12 DÉCEMBRE
AU 31 JANVIER
EXPOSITION
David Mesguich
et Valentin Van der
Meulen
Rencontre le 15 janvier à 19 h
> Maison des Arts,
105, avenue du 12-Février-1934
> Les films de décembre
> 15 DÉCEMBRE
NOËL POUR TOUS
> 18 h, Place du 11-Novembre
> 16 DÉCEMBRE
NOËL DU
CONSERVATOIRE
> 66-68 Bd Gabriel-Péri
> 16 DÉCEMBRE
CONSEIL MUNICIPAL
> 19 h, Hôtel de Ville
> 16 DÉCEMBRE
THÉÂTRE
Ça va pas se faire tout
seul !
Spectacle à partir de 6 ans,
coréalisé avec la caisse des Ecoles
de la Ville de Malakoff. Mise en
scène et direction d’acteurs :
Jean-Claude Cotillard.
> 19 h 30, Théâtre 71
> 19 DÉCEMBRE
> 26 DÉCEMBRE
ET 2 JANVIER
> DU 20 JANVIER
AU 21 FÉVRIER
> Cinéma Marcel-Pagnol,
FERMETURE DE LA
MAIRIE
THÉÂTRE
Littoral
> Micsmacs à tire-
Les samedis des lendemains de
fête, la mairie sera exceptionnellement fermée.
Texte et mise en scène : Wajdi
Mouawad.
> LES 9, 23, 30
JANVIER ET
LE 6 FÉVRIER
ATELIERS COLLAGE
Kaz’Art organise des
ateliers collage pour
les jeunes,
17, rue Béranger.
Tél. 01 46 54 21 32
larigot de Jean-Pierre Jeunet
> La nana (la bonne)
de Sebastian Silva (VO)
> 20 h 30, Théâtre 71
> Le rêve du signe
> 21 JANVIER
Yeatman (VF)
fou de Fernando Trueba (VO)
> Mission G de Hoyt
> Le concert de Radu
CONSEIL DE QUARTIER
Réunion du Conseil de
quartier Maison de
l’enfant
Mihaileanu
> Les herbes folles
d’Alain Resnais
> On Hitler’s Highway
de Lech Kowalski (VO)
> 20 h, Maison de l’Enfant
10-12 avenue Maurice-Thorez
> Sita chante le blues
de Nina Paley (VO)
animés par Michel Coquery.
> 14 h à 17 h, Maison de la vie
associative
26, rue Victor-Hugo
> DU 16
AU 30 JANVIER
EXPOSITION
Fabienne Lesterlin et
Hélène Otternaud
Exposition organisée par la
Kaz’Art.
Vernissage le vendredi 15 janvier
à 18 h 30.
> MJQ
4 bd Henri-Barbusse
> 30 JANVIER
> A l’origine de Xavier
SÉNÉGAL
Soirée sénégalaise
> Irène d’Alain Cavalier
> Tempête de
> 19 h, salle des Fêtes
Jean-Jaurès
Lord et Chris Miller
Giannoli
boulettes géantes de Phil
> Vincere de Marco
Bellochio (VO)
> 13 FÉVRIER
> Strella de Panos H.
SPORT
Foulées de Malakoff
Koutras (VO)
> Le vilain d’Albert
Dupontel
> Inscriptions auprès de l’USMM
au 01 42 53 08 00
www.usmm.fr
> Arthur et la
vengeance de
Maltazard de Luc Besson
> Yuki et Nina de H.
DÉDICACE
Girardot et N. Suwa
Le photographe Maurice
Rougemont dédicace son livre
« Les Grandes Gueules et leurs
recettes », aux Editions Glénat.
Textes : Gilles Pudlowski.
Dumont
> Le drôle de Noël de
Mr Scrooge de R. Zemeckis
© Pascal Langlet
> 14 h, La Cabane à livres
75, avenue Pierre-Larousse
> Hadewijch de B.
Plus d’infos sur
www.theatre71.com ou
www.ville-malakoff.fr

Télécharger le doc pdf - 1,26 Mo

Transcription

Documents pareils

malakoff - projection publique

carnet de coloriage Disposition

etat(s) des lieux - Deuxième Groupe d`Intervention

dossier_de_presse_vente_aux_encheres ( PDF

savoir vivre_cp.indd

Retraite par répartition

HISTOIRE D`UNE VIE

ON éCRIT SUR TOUT CE QUI BOUGE

Ordre du jour du Conseil municipal pdf