dossier de presse

Transcription

dossier de presse
DOSSIER DE PRESSE
Le vendredi 1er avril 2016, à partir de 19 heures 30, la section Boxe de l’ASM Omnisports
organisera, pour la première fois, un grand gala international au Zénith d’Auvergne
(Cournon d’Auvergne, 63). En tête d’affiche, le combat de Farida El Hadrati
pour le titre mondial WBA de boxe féminine catégorie super-légers.
Le championnat de France des super-welters avec Kamal Mohamed est
l’autre grand combat de ce gala d’exception qui est également à vocation caritative.
Programme
18h00 : Ouverture des portes du Zénith d’Auvergne
19h30 : Début du gala
Boxe éducative assaut (1
ère
présentation, moins de 16 ans)
3 combats amateurs
Combat professionnel masculin poids coq
Benedikt Croze (Clermont Boxe St-Jacques) vs Nicolas Dutrannoit (Bruay-la-Bussière, 62)
20h45 - 21h00 : Entracte (animations & démonstrations)
Démonstration de lutte féminine par deux éducatrices de l’ASM Lutte
21h15 : Reprise du gala
Boxe éducative assaut (2
e
présentation, moins de 16 ans)
Combat professionnel féminin poids super-légers - Championnat du Monde WBA
Farida El Hadrati (ASM Boxe) vs Ana Laura Esteche (Argentine)
Tombola des supporters de l’ASM Boxe
Combat professionnel masculin poids super welters - Championnat de France
Kamal Mohamed (ASM Boxe) vs Dieudonné Belinga (Limoges, 87)
Animation
Jean-Pierre Cossegal,
la voix du ring
DJ HCue
Jean-Pierre Cossegal est
considéré par beaucoup
comme le meilleur
speaker français de boxe
en activité. Véritable
encyclopédie de la boxe,
il allie éloquence et
élégance. Il sait capter
l’attention du public et lui
transmettre son
enthousiasme. Sa voix est
connue de tous les
passionnés de boxe.
D’abord rappeur, DJ HCue
passe aux platines en 2001.
Aujourd’hui, il est le DJ
officiel du groupe Sexion
d’Assaut et de Black M.
Au cours de ses multiples
prestations à Paris, il a eu
l’occasion de mixer avec les
plus grands. DJ HCue se
chargera donc de faire
monter la température du
Zénith d’Auvergne.
Billetterie : places à partir de 15 euros
www.contremarque.com
Fnac - Carrefour - Géant Casino - Magasins U Intermarché - Ticketmaster.fr - Auchan - Leclerc
Cora - Cultura - Digitick.com
Contacts Presse :
Phoebus Communication : 06 80 22 39 50 / 04 73 263 263
E-mail : [email protected]
Site internet : www.asm-omnisports.com
Championnat du monde féminin WBA des super-légers
(poids max : 63,5 kgs)
Farida El Hadrati (ASM Boxe) - 34 ans, 9 victoires / 0 défaite
A 34 ans, Farida El Hadrati est au faîte de sa carrière et maîtrise son art. Elle se lance aujourd’hui
un défi à la mesure de son brillant parcours : conquérir le titre mondial WBA, le plus ancien du
monde de la boxe, si ce n’est le plus prestigieux. L’un des 4 principaux avec le WBC, IBF et le
WBO. Il s’agit là d’une décision courageuse de retenir une catégorie aussi élevée et
d’avoir refusé de faire dans la facilité. C’est en effet un challenge risqué face à Ana Laura
Esteche, championne du monde en titre WBA, boxeuse argentine qui ne possède pas une
boxe harmonieuse mais va à l’affrontement, et plutôt avec réussite.
Grâce au soutien indéfectible de l’ASM Omnisports, de la section Boxe et de son
entraîneur, Tony Maulus, Farida va pouvoir exprimer son immense talent le 1er avril.
Après avoir gravi toutes les marches l’ayant conduite à un tel niveau, l’enceinte du Zénith
d’Auvergne sera un écrin où tous les fans de boxe féminine se mobiliseront autour de ce
combat d’exception.
Ana Laura Esteche (Argentine) - 25 ans, 11 victoires / 4 défaites / 2 matchs nuls
Née en 1990, à Buenos-Aires (Argentine), Ana Laura Esteche est une digne représentante de la
tradition de boxe dans son pays. Malgré son jeune âge, elle est championne du monde WBA en titre,
depuis le mois de janvier 2014. Elle a défendu ce titre avec succès, une fois, en Russie, face à Svetlana
Kulakova, en juin 2014. Dans ce combat extrêmement accroché, elle dut néanmoins se contenter
d’un match nul pour conserver sa ceinture. La revanche entre les deux combattantes était
prévue et attendue mais n’a finalement toujours pas eu lieu. De ce fait, la nouvelle
prétendante au titre et adversaire d’Ana Laura Esteche sera la française, Farida El Hadrati.
Ana Laura Esteche, professionnelle depuis 2011, a boxé à 14 reprises dans son pays natal sur
un total de 17 combats. Lors de ses trois seuls matchs «à l’extérieur», elle affiche un record de
deux matchs nuls et une défaite. Outre la conquête et sa défense du titre mondial WBA, ses
derniers combats sont une victoire face à Fernanda Soledad Alegre, championne du monde
WBO des super-légers, et une défaite surprenante contre Adela Celeste del Carmen Peralta,
invaincue depuis ses débuts et future prétendante au titre mondial IBF des super-légers
World Boxing Association (WBA)
La World Boxing Association est l’une des quatre plus grandes organisations de boxe
professionnelle dans le monde aux côtés de l’International Boxing Federation (IBF), du
World Boxing Council (WBC) et de la World Boxing Organization (WBO). Chacune de ces
organisations organise ses propres championnats du monde de boxe professionnelle,
dans les différentes catégories de poids. Fondée en 1921 sous le nom de National Boxing
Association (NBA), la WBA est la plus ancienne de ces organisations. Créée pour encadrer
la pratique professionnelle de la boxe aux Etats-Unis, l’organisation s’est ensuite
mondialisée pour favoriser le développement du noble art. Cet objectif de rayonnement
mondial est la raison principale du changement de nom de l’organisation en 1962. Elle est
dirigée, depuis 1982, par le vénézuelien Gilberto Mendoza. Son siège est à Panama.
Lumière sur Farida El Hadrati
Lorsqu’on regarde travailler Farida, durant une séance au
sac de frappe, on n’a aucune envie de prendre la place ni du
sac ni de ses adversaires. Elle allie, sur le ring, technique,
vitesse, puissance et rage de vaincre. Farida est faite pour la
boxe. Et pourtant, adolescente, elle pratique le basket et ne
se voit pas ailleurs. Elle aura peut-être gardé du basket le
positionnement et la vitesse de déplacement face à
l’adversaire, ainsi que la précision du geste au tir.
Ce n’est qu’à 17 ans qu’une amie l’emmène avec elle à la
découverte de la boxe française, à Saint-Flour (15). Ce n’est
pas le coup de foudre avec cette discipline, mais sa copine
insiste pour qu’elle l’accompagne à nouveau. L’entraîneur
voit rapidement qu’elle a des dispositions pour la boxe,
alliant qualités physiques et mentales.
Farida n’est pas une fille à faire les choses à moitié. Aussi,
lorsqu’elle décide de faire de la boxe française, ce n’est pas
juste pour s’amuser mais, bien, pour gagner. Elle s’entraîne
dur pour participer aux championnats de France Espoir. Elle
s’empare du titre en 2000, à l’âge de 19 ans. Ce premier
titre n’est que le début d’une brillante carrière. L’année
suivante, elle s’inscrit en STAPS à Clermont-Ferrand (63) et
rejoint le Club de boxe française du stade PhilippeMarcombes où elle va rester 5 ans. Elle monte en élite pour
des combats sans protection et, au début, sans enjeu. Elle
progresse très vite. En 2002, son entraîneur l’engage en
championnat de France où elle conquiert le titre
brillamment. Elle poursuit son ascension jusqu’au titre
mondial de 2005 qu’elle obtient par KO, à la deuxième
reprise, face à une croate.
Farida est venue à l’ASM Omnisports pour perfectionner sa
technique de frappe aux poings dans le cadre de la boxe
française. Elle prend goût à la boxe anglaise et souhaite
mener de front les deux disciplines. Son entraîneur de boxe
française de l’époque ne souhaitait pas qu’il y ait de partage
d’entraînement. Farida n’est pas fille à se laisser dicter sa
vie. Donc, elle choisit la boxe anglaise avec Tony Maulus qui
a vu en elle l’étoffe d’une championne. Elle travaille
d’arrache-pied pour acquérir les bonnes postures en boxe
anglaise, très différentes de la boxe française notamment au
niveau de la tête.
Ses titres en boxe française lui ouvrent, en 2006, les portes
du championnat de France amateur. Elle connait un
huitième de finale serré et au finish qu’elle remporte 25/24.
Après un quart très physique, elle sort en demie la
championne du titre. La finale n’est qu’une simple formalité,
sur arrêt de l’arbitre, à la deuxième reprise.
En 2007 et 2008, elle perd en finale du championnat de
France. Francky Lesage, alors entraîneur de l’équipe
nationale, lui fait confiance et l’intègre à l’Equipe de France.
En 2008, elle conquiert le titre de championne d’Europe. Elle
participe aux tournées de l’équipe de France en Europe et
fait beaucoup de combats qui lui permettent de s’aguerrir
(2007 et 2008 double médaille d’or de l’Union Européenne).
En 2009, avec le nouvel entraîneur de l’équipe de France,
elle participe aux championnats européens. Elle échoue
dans la conquête du titre européen, face à la tenante, la
turque Gulsum Tatar, pour seulement 2 touches d’écart à la
machine à scorer. Elle est très satisfaite de son parcours.
Tony Maulus souhaite qu’elle passe professionnelle. Mais
Farida en décide autrement et choisit de devenir maman,
une première fois en 2010 et une seconde, en 2012. Elle va
prendre 38 kg lors de ses 2 grossesses et sa sœur la taquine
en la comparant «à un tonneau». Ce qui la vexe un peu. Elle
revient donc à la salle de boxe, «mais juste pour le plaisir et
perdre du poids», dit-elle. Le poids descend très vite et elle
retrouve la «niaque». L’envie de remettre les gants est la
plus forte. Elle passe Pro et fait 3 combats, en 2013, qu’elle
remporte, dont deux avant la limite.
Le 28 mars 2014, elle s’attaque au titre de
championne de France, catégorie superléger. Le combat ne dure qu’un peu plus de
3 minutes. Arrêt de l’arbitre à la deuxième
reprise après une droite foudroyante de
Farida au visage de son adversaire, Cindy
Bonhiver.
Dans la foulée, elle combat pour le titre de
championne
intercontinentale
WBFI,
combat prévu en 10 reprises de 2 minutes.
Elle bat la bulgare Kremena Petkova aux
points, à l’unanimité des juges.
La réforme des rythmes scolaires va lui
permettre d’être titularisée à la ville de
Clermont-Ferrand en tant que référente
éducative. Elle a en charge la mise en place
et la coordination d’activités périscolaires
dans les écoles primaires ainsi que, lors des
vacances, d’animations, dans des centres de
loisirs et d’activités éducatives. Cette
titularisation lui libère l’esprit d’un point de
vue matériel et lui permet, sur son temps
libre, de se consacrer à la boxe en toute
sérénité.
Le 5 décembre 2014, elle affronte, Sabrina
Giuliani, la championne en titre EBU. Farida
remporte le combat aux points, à
l’unanimité des juges, en dominant son
adversaire durant les 10 reprises.
Le 20 mars 2015, elle défend avec succès sa
ceinture face à la hongroise Dalia
Vasarhelyi, remportant le combat par K.O.
au bout d’1 minute 32 secondes de combat.
Tony Maulus, l’entraîneur
Tony Maulus est un fidèle et un pilier de la boxe à l’ASM Omnisports. De
1963 à 1976, il est boxeur, international amateur. Puis il effectue
quelques combats pros. C’est l’époque des « Trente glorieuses ». Tony
est ouvrier Michelin en 3x8, puis tourneur fraiseur 4 heures par jour chez
un artisan. Ce double emploi est incompatible avec les 3 ou 4 heures
d’entrainement quotidien nécessaires pour exister en boxeur pro. Il
arrête la boxe en 1976. Mais le virus ne l’a pas quitté. En 1978, il devient
entraîneur de boxe éducative et, en 1980, entraîneur principal de la salle
de l’ASM Omnisports. La section ne compte plus qu’une dizaine de
boxeurs à cette époque. Tony va lui redonner vie et connaître, comme
entraîneur, de nombreux succès avec des boxeurs comme Merle,
Mansare, El Massoudi, Kasperski, Kanfouah,…
Rachid Kanfouah amène, un jour, une jeune femme, à la salle, Farida El
Hadrati. Cette dernière pratique la boxe française et est championne de
France de la discipline. Elle prépare les championnats du Monde et
souhaite se perfectionner aux poings auprès de Tony Maulus. Des filles
dans la boxe ? Ce n’est pas la tasse de thé de Tony de «voir des femmes
se taper sur la figure». Pour faire plaisir à son boxeur, il fait mettre les
gants à Farida face à deux boxeuses amateur de l’ASM Omnisports,
quelques 10 secondes chacune, puis à des boxeurs amateurs masculins
face auxquels elle avait plus que le niveau. Et l’œil d’entraîneur de Tony
s’allume ! Il détecte immédiatement le potentiel encore brut de Farida et
décide de lui prodiguer ses conseils.
En 2006, Farida arrête la boxe française pour se consacrer à la boxe
anglaise. Il se crée alors, entre ces deux passionnés de boxe, une
puissante relation humaine. Comme le reconnaît avec un sourire Tony,
«il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis». Et c’est un homme
intelligent qui devient, au travers de Farida, un passionné de la boxe
féminine.
Il suffit d’assister à un entraînement de Farida avec Tony, de les observer,
de les entendre, pour se rendre compte combien il est attentif à ses
réactions, à son écoute. Même s’il est très strict sur les entraînements, il
sait les adapter pour tirer le meilleur de cette athlète. Leurs échanges
verbaux où les piques fusent, parfois vives mais toujours teintées
d’humour, font que les séances, très dures physiquement, se font dans la
bonne humeur et que, à la fin, ils échangent un sourire complice.
© Nathacha Sibellas © ASM Omnisports
Championnat de France masculin des super-welters
(poids max : 69,853 kgs)
Kamal Mohamed (ASM Boxe) - 27 ans, 18 victoires / 3 défaites
Le boxeur de l’ASM Omnisports est un nom connu sur la scène nationale. En 2010, un an
après avoir fait ses débuts chez les professionnels, il remportait tour à tour le Critérium
Espoirs et le Tournoi de France. Sa progression fut stoppée en 2013 par une blessure
qui l’écartera des rings pendant un certain temps. Il retrouvera la compétition en
décembre 2014 et confirmera son retour au plus haut niveau en remportant la
Coupe de la Ligue des welters, le 28 mai 2015.
Cette victoire lui a ouvert les portes du championnat de France. Le 16 janvier
dernier, il affrontait à Toulouse Mohamed Mimoune, pour le titre de
champion de France des welters. Dans une salle acquise à la cause du boxeur
local, il fut logiquement battu aux points, non sans offrir un combat relevé.
Le 1er avril 2016, Kamal Mohamed aura une nouvelle opportunité d’inscrire son
nom parmi les plus grands boxeurs français, avec le soutien de son public. Ce nouveau
combat verra la ceinture de champion de France des super-welters mise en jeu.
Dieudonné Belinga (Limoges) - 29 ans, , 13 victoires / 6 défaites / 1 match nul
Agé de 29 ans, Dieudonné Belinga est le champion de France en titre des superwelters depuis le 5 décembre dernier. Avant cela, il avait combattu, à trois reprises,
en un peu plus d’un an, pour des titres européens et intercontinentaux (WBA
Intercontinental fin 2013, WBO Europe en septembre 2014 et IBF International en
janvier 2015), mais n’était parvenu à ramener aucune ceinture.
Issu d’une cité parisienne, il fut envoyé à Limoges par son père pour éviter qu’il ne
tourne mal. Il y découvrira la boxe à l’âge de 13 ans. A 15 ans,
il remporte le titre de champion de France cadet en boxe éducative. Il passe
professionnel en 2011 et s’illustre rapidement par ses victoires au tournoi de
France série C et série B en 2011, ainsi qu’en Coupe de la Ligue, en 2013.
L’obtention de la ceinture de champion de France est une nouvelle étape
franchie par ce boxeur ambitieux qui a toujours l’Europe dans un coin
de sa tête.
Combat professionnel en poids coq
(poids max : 53,525 kgs)
Benedikt Croze
(Clermont Boxe Saint-Jacques)
Nicolas Dutrannoit
(Bruay-la-Buissière)
Le boxeur (et président) de l’association Clermont Boxe St-Jacques, Benedikt Croze (2 victoires pour 2 défaites et un
match nul), affrontera, de son côté, le jeune nordiste de 24 ans, Nicolas Dutrannoit (3 victoires pour 3 défaites).
Créé en 2001 par Adel Fersi, le club compte aujourd’hui plus de 80 licenciés. Benedikt Croze constitue un parfait
exemple de réussite pour les jeunes du quartier et valide la qualité de la formation du Clermont Boxe Saint-Jacques.
La boxe à Clermont-Ferrand et à l’ASM Omnisports
La boxe a toujours occupé une place privilégiée dans le
paysage sportif à Clermont-Ferrand. L’ASM Omnisports
est un des fiers représentants de la boxe sur
l’agglomération. L’ASM Boxe compte trois boxeurs
professionnels. Les deux sportifs masculins, Kamal
Mohamed et Morgan N’Dong Zué, évoluent au plus haut
niveau national. Le troisième boxeur professionnel est
une boxeuse : Farida El Hadrati. Après avoir conquis
l’Europe, elle vise à présent le monde. Elle fait partie des
grands noms du sport sur Clermont-Ferrand.
Ces trois boxeurs ont pour mission d’assurer la relève
des Merle, Kanfouah, El Massoudi, Fadli, Kasperski et
Settoul qui, sous la houlette de Tony Maulus, ont amené
l’ASM Omnisports et la boxe clermontoise au plus haut
niveau européen et mondial. A l’aube d’un combat pour
un titre mondial, les fans de boxe de toute l’Auvergne
vont se presser au Zénith d’Auvergne pour ce gala
exceptionnel.
Classé en 2016 dans les 10 premiers clubs français de
boxe en termes de licenciés, l’ASM Boxe souhaite
également profiter de l’occasion pour promouvoir
«le noble art» auprès du grand public et faire découvrir
des boxeurs remarquables mais, aussi, des amateurs
débutants, filles et garçons prometteurs.
La boxe en Argentine
La boxe est un sport très populaire en Argentine. Le pays
a produit de grands boxeurs au fil des années, dont de
nombreux champions et championnes du monde.
Carlos Monzón est l’un d’entre eux. Il est entré dans la
légende en conservant son titre de champion du monde
des poids moyens pendant 7 années consécutives, dans
les années 70 (14 défenses au total). Il se positionne
comme le plus célèbre boxeur argentin de tous les temps
et figure parmi les plus grandes personnalités sportives
de son pays, aux côtés du footballeur Diego Maradona et
du pilote Juan-Manuel Fangio.
Actuellement, chez les féminines, les argentines possèdent 14 ceintures mondiales. Dans la catégorie super-légers
où évolue Farida El Hadrati, les ceintures mondiales des quatre plus grosses organisations sont détenues par des
argentines : Erica Anabella Farias en WBC, Ana Laura Esteche en WBA, Fernanda Soledad Alegre en WBO et Marisa
Gabriela Nunez en IBF.
Un gala à portée caritative
L’ASM Boxe reversera une partie des bénéfices du gala à deux associations pour soutenir leurs actions
dans le domaine de la santé :
AMDAM
(Association Médicale
d'Aide au Développement entre l'Auvergne
et le Maroc)
Créée en juin 2001 par les Docteurs Aziz
AMAR, Mohamed R’KINA et Khalid
DJERIRI, l'AMDAM s'appuie sur un
réseau de médecins, de soignants, de
compétences d'autres secteurs et de
bénévoles aussi bien en Auvergne qu'au
Maroc afin de répondre aux objets fixés.
L’association vise à établir des échanges
en formation entre soignants entre
l’Auvergne et le Maroc, mettre en œuvre
des microprojets en santé et organiser
des actions de solidarité. En 15 ans, des
élèves infirmières de l’IFSI de ClermontFd ont pu faire des stages à l’IFSI de
Marrakech et inversement ; des dons en
matériels et équipements médicaux ont
été effectués ; des actions de solidarité
vers des populations n’ayant pas accès
aux soins dans le sud marocain,…...
AAOA
(Association d’Aide à
l’Oncologie d’Auvergne)
L’Association d’Aide à l’Oncologie d’Auvergne est une
association loi 1901 à but non lucratif fondée en 1991,
pour promouvoir la recherche et la qualité de la prise en
charge des patients atteints de cancer au Pôle Santé
République.
Les dons proviennent, d’une part, des patients et des
proches et, d’autre part, du partenariat avec les
laboratoires
pharmaceutiques
impliqués
en
cancérologie. Les fonds récoltés ont permis aux patients,
depuis de nombreuses années, non seulement
d’accéder à des thérapies innovantes, mais encore
d’optimiser leur qualité de soins en investissant dans du
matériel médical et en finançant des professionnels de
santé qui les soutiennent, ainsi que leurs proches, tout
au long de la maladie.
Les partenaires
Siège : 84, Bd Léon Jouhaux - CS 80221
63021 Clermont-Ferrand Cedex 2
Tél. 04 73 30 48 66 - Fax 04 73 25 08 79
www.asm-omnisports.com

Documents pareils