Choisir la CPGE PTSI-PT Ouvert aux baccalauréats S-SI, S
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Choisir la CPGE PTSI-PT Ouvert aux baccalauréats S-SI, S
Ouvert aux baccalauréats S-SI, S-SVT, STI2D (exceptionnellement), Choisir la CPGE PTSI-PT CPGE = Classe Préparatoire aux concours des Grandes Ecoles d’ingénieurs La sélection est faite sur dossier, les inscriptions doivent être saisies sur APB : https://www.admission-postbac.fr/ Les enseignements : PTSI = Physique, Technologie & Sciences de l’Ingénieur (1ère année, dite « Math Sup ») https://www.banquept.fr http://prepas.org/ http://www.upsti.fr/ http://www.scei-concours.fr/statistiques/stat2016/pt.html Un nombre de places exceptionnel : 82 places pour 100 inscrits en 2015. Ce ratio est exceptionnel dans les formations post-baccalauréat sur cinq années. Les étudiants passés par la PTSI-PT ont un excellent niveau en mathématiques et physique chimie, mais aussi les compétences d’un futur ingénieur acquises en SII. Une concurrence abordable : 15 à 20% de mentions au bac en PTSI contre plus de 60% en MPSI et PCSI, la PTSI ouvre pourtant aux mêmes écoles et constitue un effet d’aubaine pour ceux qui choisissent cette filière. Attention tout de même : Il faut être très motivé pour suivre la PTSI-PT, car elle demande un investissement personnel important. Il ne faut pas être réticent à manipuler et à expérimenter. Et l’anglais est essentiel pour devenir cadre industriel. Une proximité familiale pour les jeunes adultes, étudiants, avec une possibilité d’internat au lycée ou de demi-pension. Une facilitation de l’acclimatation aux études supérieures : il est souvent difficile pour des étudiants de conjuguer l’expatriation forcée en dehors du fenua et l’intensification du travail demandé par l’enseignement supérieur. PT = Physique, Technologie (2nde année, dite « Math Spé ») PTSI-PT, c’est la classe préparatoire scientifique avec un T comme technologie. Cette filière est ancienne, s’appelait « Math Sup-Spé T » et elle permet d’accéder massivement aux 177 cursus des grandes écoles d’ingénieurs publiques, dont les plus connues sont : les Arts (Arts et Métiers), les ENS (Ecoles Normales Supérieures), Centrale-Supélec, Polytechniques (X), les Mines-Ponts, ENAC (Ecole Nationale de Aviation Civile), etc… Pourquoi choisir de « faire sa prépa » au lycée de Taaone ? Un coût financier très limité, réduisant à trois ans (au lieu de cinq) les années à passer en métropole pour décrocher le diplôme et le titre d’ingénieur. « Il m’a fallu beaucoup de temps pour m’adapter à la prépa en métropole. Si j’avais pu je serais resté au lycée de Taaone mais la prépa n’était pas encore ouverte. » John, élève ingénieur des Mines d’Alès (Ancien élève du lycée de Taaone, bachelier S en 2014) « Je n’aurais pas pu suivre une CPGE en métropole pour raisons financières, la PTSI du Taaone me permet de retarder le voyage. » Hinano (Bachelier SSI au Taaone en 2016) « J’ai besoin du soleil pour bien travailler et je connais le climat de métropole. Je retarde mon départ. » Vaitearii (Bachelier SSVT à La Mennais en 2016) « Faire ma prépa au Taaone me permet de prolonger deux ans de plus le contact avec le fenua et son océan, en privilégieant de belles perspectives pour mon avenir professionnel et personnel. » Philippe (Bachelier SSVT, à Paul Gauguin en 2016) Une équipe pédagogique rodée et bienveillante : les professeurs du Taaone en charge de la CPGE PTSI ont tous déjà enseigné en CPGE en métropole. Les enseignements sont identiques à ceux prodigués en métropole. Un effectif limité à vingt-quatre étudiants permettant une individualisation du suivi (vs 48 élèves par classe en général en métropole). Des conditions matérielles très satisfaisantes, aussi bien en ce qui concerne les locaux que les équipements pédagogiques de travaux pratiques car la classe est toute récente, ouverte en août 2016, et très bien équipée. « Mes parents étaient rassurés par le fait que je reste encore un peu au fenua tout en suivant des études exigentes. » Hianau (Bachelier SSVT, à Papara en 2016) « Cette CPGE me permet de rester proche de ma famille tout en ayant un cursus ambitieux et scientifique selon mon projet personnel. » Rahiti (Bachelier STI2D, à Pomare IV en 2016) 100% made in fenua ! Devenir Ingénieur en passant par une classe préparatoire ? Pourquoi pas toi ? Des débouchés assurés : Et après ? 5000 places non pourvues en CPGE tous les ans car les classes préparatoires ne sont pas toutes pleines. Les débouchés : 2000 places non pourvues aux concours d’entrée en école d’ingénieurs, faute de candidats en CPGE. Donc, si ton dossier est accepté en CPGE, c’est que tu peux intégrer une école d’ingénieur ! 95% des élèves diplômés des écoles d’ingénieurs trouvent un emploi en moins de 4 mois. La moyenne de la durée de recherche d’emploi est de 35 jours. 79% des contrats décrochés par les jeunes ingénieurs sont des CDI. Un taux de réussite important 90% ont des emplois de cadres. Qui peut candidater à une Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles ? Les élèves … de Terminale S SI, de Terminale S SVT, de Terminale STI 2D, … qui sont intéressés par les sciences, motivés et qui ont envie de réussir ! La CPGE contribue à l’ascenseur social, en offrant un avenir à l’ensemble des bacheliers méritant. Ne t’autocensure pas : OSE LA PREPA ! Plus de 85% des élèves qui entrent en prépa pour devenir ingénieur intègrent une école. De nombreux ingénieurs prolongent leur formation en doctorat, et deviennent chercheurs. Mieux que le taux de réussite au bac ! Un rythme plus soutenu qu’en classe de Terminale pour atteindre un objectif : intégrer une école d’ingénieur et prendre l’habitude de son rythme. Les salaires : L’ambiance de travail est très bonne : entraide et solidarité animent les élèves d’une même classe qui ont les mêmes objectifs et les mêmes difficultés. Pour les élèves issus des écoles d’ingénieur les plus prestigieuses, le salaire d’embauche moyen brut est de 43 000 euros par an. Le salaire d’embauche moyen brut est de 32 000 euros par an.