Je viens de tuer ma femme. Je n`en pouvais plus, elle était
Transcription
Je viens de tuer ma femme. Je n`en pouvais plus, elle était
Je viens de tuer ma femme. Je n'en pouvais plus, elle était insuportable...Toujours à gueuler, à critiquer...À me forcer à ces insupportables diner avec la belle-mère, une autre illuminé, exmilitante du MLF...non je n'en pouvais plus ; Oh, et puis, hein, ce n'était qu'une femme. Qui aurait le bon sens de confier sa vie à une femme ? Ça ment, ça triche, ça crie, ça manipule...il faudrait être fou (ou sodomite à la rigueur c'est pareil) pour en épouser une. Croyez-en mon expérience, j'ai testé, j'ai dégusté, j'lai dégommé. N'en doutons pas, n'en doutons jamais. Il y a un principe bon qui créa l'ordre, la lumière, et l'homme...Il y a un principe mauvais qui a créé le chaos, les ténèbres...et la femme. MAIS C'EST PAS MOI QUI LE DIT, IMBÉCILES GYNÉCOCRATES ! C'est Pythagore qui a dit ça ! Et croyez vous qu'il fut con pythagore ? Assurément non ! Sinon il aurait pas inventé le thé au rhum ? Auraitil découvert la maladie de carré ? Homme, tu es le maître, la femme est ton esclave, c'est Dieu qui l'a voulu ! Sarah appellait Abraham « mon maître, vos femmes sont vos servantes, vous êtes les maîtres de vos femmes ». Là encore c'est pas moi qui le dit, mais le sage Saint Augustin (L'inventeur de la vie sénobythique à travers laquelle les moines ont pu permettre de prouver au monde que seule une vie sans femme pouvait permettre de toucher Dieu. L'inutilité de la femelle n'a en effet jamais été démontré de façon aussi éclatante que par les moines sénobytes et nous les secouerons tous seul des jougs du féminismes !... Et puis...euh...nan mais elles sont gentilles si si il faut le reconnaître. Et douces...et aimantes et...et...et je crois que je vais vous laisser, je crois que y'a des militantes MLF dans le coin...ah bah tiens...y'en a une là. Merde. Elle à un fusil. Merde. Elle me met en joug. Merde. Elle a tiré....Dernières seconde de vie. Je le vois, elle tiens son téléphone...que dit-elle ? « Ayé les filles, c'est fait. J'ai tué mon père »