souviens 27 e9t e9 dernier 2
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souviens 27 e9t e9 dernier 2
•Ä Vn anticyclone persiste sur le continent (maximum 783"“ au centre de la Suède). Le» pres sions sont supérieures à 7 /0 °* su r l’Europe centrale. Une dé pression persiste à l’Ouest de l’Islande (743“ “ ). Un minimum relatif existe au centre de l’Italie. Temps un peu froid, ciel nua geux et brumeux. C»KV** i«a • Nouvel leu Ah- läjrSs / L l CALENDRIER QUOTIDIEN RÉPUBLICAIN ' , Uy, DU : CENTRE **7, R U K R I. A T I Ni. O U C R N IO IH T -rK R R A N O • LES , L # « Au ronflem Le gouvernement d e là rotative... C8HEHT S I FUT 0 1 JIURSAL flüOTlNEK EERR^MoS-v ^ utm9 CLEAN Soleil : lever, 6 h. 51 ; coucher, 17 h. 19. — Lune : lever, 14 h. 16 ; coucher, 6 h. 0. APRÈS M au U n* M 25 ° 74* Année. — N" 52- DE NUIT T R A G IQ U E règlement réparations 1 2 H m m ts A V A tr r LE RAID FRANCE-1ND0CHINE l e s LES P tm s ACCIDENTS ,i • w y w w v L’avion dé Le Brix Terrible explosion dans une usine est de dynamite au Caire la dissolution temporaire du corps d’artillerie Paris, 30 février. — Le Comité dçs Le voyage fat particulièrement dar Gnq ouvriers ont été déchiquetés experts a entendu ce matin, en séan }» > » < ■- — ce pléuière, sir Josuah Stamp, qui avait été chargé d’exposer les non» Saint-Martin-de-Crau, 20 février. Le Caire, 20 février. — Paillard , ^ , elusions. auxquelles était parvenu, et Le Brix ont atterri dans de bon — Une explosion s’est produite dann Madrid, IX) février. — Le « Jouraprès-midi, Te sous-comilê de £ nes conditions à Héliopolis, à 8 h. une fabrique de dynamite. Cinq ou nul Ofxiciel » publie aujourd nui un cjnq £ e sous-comité n’avait pas 45. La dernière étape de leur voyage vriers manquaient à l’appel ; trois décret ordonnant ta dissolution tem- i m andat de proposer une décision.. a été difficile en raison du mauvais cadavres ont déjà été retirés. poiaire du corps de l'artillerie. Tous Le délégué «anglais a expliqué lee temps. les chefs de corps, ainsi que les.of différentes méthodes dont le Comité COMMENT 8 ’EST PRODUITE ficiers, seront considérés provisoire pourrait faire usage avant d'abor» i LES DIFFICULTES DE L’ÉTAPE L'EXPLOSION ment comme des civils, sans droit à der le problème lui-même. Le Co Le Caire, 20 février. — Les avia Saint-Martin-de-Crau, 20 février. la solde ni au port de l’uniforme, mité qui,. la semaine dernière, »lé •m• teurs Paillard, et Le Brix ont décla — C’est vers 8 h. 45 ce malin qu’uno jusqu’à leur réintégration éventuelle tait occupé de la situation de l’AliaiM ais il est un- autre miracle quoti ré au correspondant de l’Agence explos on s’est produite à ia fabri si le gouvernement le juge néces magne au point de vue général,/ dien, auquel nous ne prêtons même plus Havas, qu’ils avaient été retardés de dynamite de Suint-Martia-desaire. Tous les chefs de corps et of aura à procéder m aintenant à la re attention. Ce miracle, vous le tenez en dans leur voyage par un vent de que ficiers seront envoyés, dans un déCrau, dans l’atelier de pétrissage de connaissance de la position de» ciifce moment entre vos mains. C’est ce bout très violent ; la consommation la nitroglycérine. Tout le bâtiment a lai de 34 heures, dans les localités térents pays intéressés ; il ne peut, Wide War Kl Photo». Cliché Breuijr. d’essence ayant dépassé les prévi été . journal que vous devront résider obligatoire- en conséquence, appliquer les mê détruit et les cinq ouvriers qui y La salle Saint-Jean-de-Dieu où onze cadavres de « clochards » sions, les aviateurs ont été dans l’o H ier matin, à la même heure, il était où ils ment. étaient occupés ont été ensevelis mes méthodes dan« l’un et l’autre bligation de rebrouaser chemin et encore dans le néant. Aucune des li ont été découverts mardi matin Le décret expose la forme dans la cas. sous les débris de la petite construc de revenir à Benghazi où ils com gnes dont il est formé n’était ci pensée quelle seront remplacés lee chefs de j Il est a prévoir que les séances linUIIIIISISSIIIlIllflIiUtflIIIIIIIIIIIBillllllllllBII» plété leur ravitaillement en carbu tion. Les autres bâtiment de l’usine r.i écrite, ni composée, ni imprimée. corps et officiers provisoirement j n’oht pas trop souffert; il y a ce plénières céderont plutôt lee paa è rant. Mieux encore, les événements dont t éloignés de l’armée. L’Académie Echanges Les conditions atmosphériques pendant un ensemble de dégâts im vous apporte l’écho ne s’étaient, pout sera fermée temporairement, tous | des conversations et des de vues qui favorisent et cocXroQétant des plqa défavorables, les portants. ta plupart, pas encore produit* les élèvee seront licenciés et n 'a u - 1 tent les thèses. Les travaux de déblaiement ont aîTateurtf om ajoùrnô le u r dèpari â ront plus 4.rQit au port de l’uniété immédiatement entrepris et l’on -D’au tre part, le Comtitô ne peat ••• . . . . . . . . demain m atin pour Bassorah. fôrme. La réorganisation du corps s’occuper oes chiffres eux-mêmes, a pu, au début de l’après-midi, .re Avez-vous visité l'atelier d’un journal de l’artillerie aevra être terminée notamment du nombre et du monLES PRÉPARATIFS A SAIGON tirer les cadavres affreusement dé quot dien à l’heure du grand travàil ? avant le 1* juin. tant de» ^annuités et examiner les Saigon, 20 février. *- De l’Agence chiquetés. Le sous-préfet d’Arles, M. D’invisibles vapeurs de p’omb s’élè Pour obtenir leur réintégration divers éléments qui entrent en jeu; Caillet et le capitaine de gendarme Indo-Pacifique : vent au-dessus des machines. Une fièvre dans le corps, tous les chef« de c’est ainsi que, comme il a été déjà rie Rochet sont arrivés sur les lieux liiu Dots officielle de Washington Les autorités ont prie des disposi normale est dans l’air, cette fièvre de corps et officiers d’artillerie devront indiqué hier, la recherche de la pro venant de Marseille. Le juge d’ins tions pour que l’avion de Paillard♦ chaque jour qui se manifeste quand ap prêter serment de fidélité et d’obéis cédure à suivre sè trouvé en étroite truction, M. Rochu est arrivé ensui 'Je Brix puiase atterrir su r le ter proche le moment où les pages doivent sance à la patrie, au drapeau, Ru relation avec le fond même du dé Washington, 20 février. — M. Kel- rain Tan-Son-Nhut, dans le voisi te pour diriger l’enquête. Paris, 20 février. — La Comraisn é c e s s a ire m e n t partir. roi et au gouvernement constitué, bat. Jusqu’ici on ne possède aucune aion de législation civile et crimi log a remis aujourd’hui aux repré nage Immédiat de la ville. Un avion Les linolypes fusillent l’actualité 4 notamment au gouvernement actuel* L'exposé de sir Josuah Stamp indication précise sur la cause de sentants de toutês les puissances si guide sera envoyé ù sa rencontre. out portani. Le plomb gicie dans le» contre lequel ils ont agi d’une façon ayant duré toute la séance de <e nelle s’est occupée, cet après-midi, cet accidt nt. des incidents qvu ont marqué la fin gnataires du protocole du tribunal moules, se colle aux matrices et u n e ligne séditieuse. m atin, aucune discussion a été en ---------------- t----------------------------[qm déla séance d ’hier. On se souvient international une note identique L’A CC ID EN T est née : fragment d’article, de fait di Le décret établit certaines excep tamée à cet égard au sein du Co de finissant l’attitude des Etats-Unis à reiet vers, de dépêche venue de Pékin, d’H el- tions en faveur des chefs de corps mité qui reprendra l’examen des qu’après lé - rejet du contre-projet Convoqué au commissariat Marie, le prérident, M. André Hesse l’égard du tribunal. iir.gîors ou de Buenos-Avrcs. La vie et officiers actuellement au Maroc, conclusions ‘ du sous - comité cet et le , rapporteur, M. Félix, uûuin, ette note qui traite des réserves uondiaîe de la journée écoulée^ vient aux Baléares, aux Canaries et dans après-midi en séance plénière. un jeune homme tente de avaient quitté Te banc de la Commis américaines au protocole du tribu i emprisonner dans le rigide cadre de les autree colonies. Une très longue nal linternational qui, tout en sauve sion et que la* discussion de la Tése suicider Les séances plén ières U appareil de Cogte» a été fer de la page. Le correcteur s’affaire. note officieuse fait l’historique dis forme judiciaire avait été interrom gardant le3 droits et intérêts des Les lettres dansent devant ses yeux. El- événements qui se sont déroulés de Etats-Unis, éliminera la pierre d’a pue. •du Comité examiné •s sautent, e les tentent de se disperser, puis 1926 et déciare notamment que Paris, 20 février.— Ûn jeune élec M. Félix Gouin et- André Hesse choppement que constitue la cin de s'éparpiller. Le téléphone tremblotte. le but du décret est de faire l’épura Paris, 20 février. — Le comité des ont> déclaré au début de Ta . réunion quième des réserves américaines, la O’EST LE FROID QUI AURAIT tricien nommé Pierre Grosn er ayant Le télégraphe grésille. Sur une épreuve, tion du corps de l’artillerie, élimi experts a tenu aujourd’hui deux de la Commission qu’a la suite de reçu une lettre de convocation se CAUSÉ LA PANNE quelle dit que le tribunal ne pourra ■» secrétaire de rédaction fignole un nant définitivement tous tes chefs séances plénières et a discuté pen- ces incident», ils rémettàiént le» prendre en considération toute re- EN CONGELANT LA TUYAUTERIE présentait au commissariat de poli de corps et officiers contumax pour titre. ce du quartier du marché Saintdans tout l’après-midi les conclu fonctions dont ils.avaient été inves uête touchant une question ou un P aris, 20 février. — Ce m atin Et voici que tombe, comme un lourd écarter le péril contre la discipline, sions du rapport que M. Schacht et tis, à la disposition de là Commis ifférend dans lesquels1les Etats- les av iateu rs Costés, Codos, le mé Honoré', e t’ aussitôt arrivé, se frap à lanuelle, d’autro part, tout le reste ivvé, la nouvelle d’une catastrophe de pait à la poitrine d’un coup de cou sir Josiah Stamp lui avaient présent sion, celle-ci;;dans son ensem ble,,» Unis ont ou revendiquent un inté canicien Bellonte, les ingénieurs teau. Transporté dans un état grave l:emin de fer. 11 y a dix-huit morts, on de l’arrrée est soumis d’une façon té ce matin au nom du sous-com-ité rendu hommage à. l’impartialité rêt. exemplaire. de l'avion qui, hier, e st tombé à •ingt. On ne sait pas au juste. Il faut à l’hôpital de la Charité, il y fut avec laquelle M. Félix,Gouin avait Dans les milieux officieux, on con La note termine en exhortant les desA cinq. iioisir. La dépêche vole de mains en la fin de cet échange de vues, défendu 4 la tribune le texte élaboré sidère qu’il n’est pas invraisembla Bondy, sè sont rendus su r les lieux interrogé par le commissaire de po chefs de corps et officiers qui n’ont nains jusqu’aux machines. V ite, il faut lice et lui déclara, qu’afTVÎé par la les délégués se sont trouyés d’accord par Ta Commission e t' lui a deman- ble que 1» çonférence de juristes de Taccüdcnt. Après un exam en m inutieux du convocation qu’il avait reçue, ^et »aire vite. Et en gros caractères. Une pas pris part aux mutinerie, à de our estimer qu’il était nécessaire dé d « A ;o ^ ^ p r son.-^ ^ o r ^ L Fjh trouve une formule dans de sens, u r. il g ’» pas été possible de craignant des poursuites, il avait main hâr've puise dans les « casse» » m ander leur réintégration dans le rocéder, avant t3’i ' r ö p srit que M* Ro»t-esl eetueHscorps m déplore leur, éloignement , teà cau sés exactes i t lentee de se suicider; le jeune élec*-•> lettres les plus grasses. - .élec ions" hoU V èH ef,^ dhé êrndé Tgèfit ep route pour Genève pour Autre nouvelle : on vient d’assassiper tem poraire de Varfnêe. Complète et approfondie de l’un des M le ^ ^ d « 1lot exprimer, î ^ ^ l a r l prendre part à cette conference. M. l’a rrê t eubit qui provoqua l'a tte r tricien avait été convoque à la suite -un homme politique à Belgrade ou a séquestration d 'poproblèm es, qui se rapporte le plus u ’iLr préférait reprendre sa liberté Kellog a déclaré aujourd’hui que la rissage forcé. Selon les techniciens Mexico. A-t-on son cliché ? Où va-t-on Les inondations de San-Paàlo directement ù l’objet principal de fille avec laquelle ’action. La Commission, se ren révision du protocole envisagée ù la présents, ce se ra it la congélation le mettre ? Plus que dix minutes-» Le relations L’enquêleur mission, ù savoir : Celui des dant à ses raison», a décidé dé nom cinquième réserve du Sénat améri de l’eau dans las tu y au teries qui a u ra it am ené la panne d’alim en ta cliche es: la. Il est case. L’aiguille tourne. te a établi que la jeune fille avait Rio de Janeiro, 20 février. — Il y transferts. Ils ont donc confié ai) mer un nouveau rapporteur et a dé cain, n’offrirait pas. de protection L’air sent l’encre et l’actualité. L’atelier a eu 40 morts et 5.000 personne« pri même sous-comité le soin d’exami signé M. Cautru, tion. Gostes a d> 5flaré que le mo suivi volontairement Pierre Grosnier adéquate au Etats-Unis. teur n’avait absdium enl rien et et n’avait nullement été séquestrée. En ce qui concerne la présidence boüt. vées de logement à la suite de l’inon ner pendant toute la journée de de L’IMPRKSSION k GENEVE qu’il é tait convaincu que, dém onté L’état du blessé bien que grave ne O uf I II était temps ! dation d’une vaste partie de la ré main cette question des transferts de la Commission, une motion im Deux hommes aux bras nus sfavai gion de Sao-Paulo. dans ses rapports avec le fonction pliquant à la fois, le passage à l’or Genève, 20 février. — La nouvel et rem is au banc d’essai, il to u rn e semble pas devoir mettre ses jours ent en poussant un charriot. Les noix iiiiiiiiiimiiiiitimmiimimiiiiimiiiiiiiiM nement du plan Dawes et plus gé dre du jour de la Commission et 1« le que M. Kellog a rem is à tous les ra it sans aucun a u tre p rép aratio n . en danger. de fer crissent aux quatre coins de la néralement avec l’avenir économi maintien do M. A. Hesse a été votée rep rése n tan ts des E tats sig n ata i L’av iateur a aussi déclaré qu’il iiHniBimmiiimiiiiimiiinmnHiiiiinimt ,>age. Et la page s’en va à l’heure pré que et financier de l’Allemagne. H p ar 18 voix contre 10 et deux bulle res du sta tu t de la Cour in te rn a tio avait reçu l’assen tim en t de M. L aucise fixée par d’impérieuses nécessités. est apparu en effet que la solution tins blancs. M. André Héase a été nale de justice une note dém on rent-E ynac, m in istre de l’Air, pour D’un coup de rein, elle est glissée sous à intervenir est en relation directe ainsi confirmé dan» »es fonction» tra n t le d ésir des E tats-U n is d’en recom m encer le voyage m anqué a presse. Des tonnes s’abattent sur elavec les conditions dans lesquelles de président ; il a cependant de tre r dans cette grande o rg an isa su r un avion identique, lequel *•e. d’une pression lente, chaude, contiles transferts prévus par le plan Da mandé à La Commission, comme il tion internationale, a été accueillie ra p rêt dans un mois environ. n:e. L’empreinte de carton est pareille wes sé sont effectués. Jusqu’ici et l’avait annoncé hier, de décider, dans les m ilieux de la S. D. N. avec t une gaufre, mais à une gaufre trouée plus spécialement avec les condi pour, qu’il ne reste dans l’esprit de baucoup d’in térêt et de sym pathie Le dernier des garibaldiens le lettres et d’’mages, à une gaufre inétions- dans lesquelles iis pourront personne, aucun doute sur la m aniè Venant après la ratification du re dont serait, poursuivie la.discus ! te, qui n’a jamais eu sa pareille de s'effectuer à l’avenir. meurt subitement pacte B riand-K ellog, dans le mo : uÎ3 le commencement des temps, qu> Sans doute; les experts sa sont-ils sion, qu’un . vice-président serait m ent même où des experts a m é ri Vaura jamais sa pareille dans la suite posés la question de savoir si le chargé de suivre, devant la Cham cains particip en t au règlem ent fi Trieste, 20 février. — Au cours le» temps. Il fait chaud. Et les minutes comité actuel des transferts devrait bre, le débat sur la réforme judi nal du problèm e des rép aratio n s, romptent toujours. Le « flan • tièd» être maintenu dans son intégralité; ciaire et d’y défendre le texte issu la nouvelle dém arche de M. Kellog d’un incendie eet mort aujourd’hui ^arrondit dans le moule. Un gâteau il est évident que ce comité qui d’u des délibérations de la Commission. contribuera, pense-r-on, grande un des derniers survivants des goer- ; res garibaldiennes, M. Domenico »éaat — un gâteau pour des milliers et ne part présente certaines garanties Conformément au dé9ir de M. An des milliers de personnes — va être pour la monnaie allemande est en dré Hesse, M. Mallarmé a été dési m ent à créer une atm osphère fa Serra, figé de 86 ans. Dans la mai- 1 fabriqué. Le plomb jaillit, luisant, fluide, même temps un organisme de con gné p ar la Commission à cet effet vorabte à l'o rg an isatio n générale son incendiée, se trouvaient trois de la paix. jeunes filles qui réussirent à se sau {Voir la suite en 7f page) et se fige instantanément, car il sait trôle qui porte atteinte dans une ui aussi, que le temps presse. La coqu« certaine mesure ù la p le in e lib e rté iiiimHiiiiiirtl«rtfiiii»mniinilinHH»mHii»i»m»t»»»n»»inmHiuii»miiunmiinii» ver en s’élançant d ’une fenêtre du 3* étage sur une toile tendu# d ’un argentée sort du moule, gémit »QUI le* financière du Reich. Si la dette dé côté à l ’autre de ia rue. rabot3 et, nette, précise, vierge, est pré* finitive de l’Allemagne devait être — ‘ ^ !,—• à se coller au venue d t la rotative. commercialisée, ce contrôle pourrait sans doute, être abandonné, tout an U n’y a pat d'agitation A moins en partie. I/énorm e bête d’acier est infiniment an Mexique D’autre part, si le Retich.acceptait ’• V- j îr_ ccaas iji m ata 1 1 >iprt compliquée, avec ses dents qui s’emgrède verser dés annuités dont le mon ment, » « roues, ses poulies, ses rouleaux, tant serait proportionné à ses res I l AVAIT ÉTU BÉSÊEN ÏÜ ’SSE. — ÉTÉ Paris, 20 février. — Les journaux se? couteaux. Eile est solidement assise, Wide World Pliotos Cilcbé Breuly sources, les puissances créancières étrangers ont publié hier et aujour prête à i’effort de quantité, sûre, pré Un hiver glacial sévit au Danemark, pourraient envisager la renoncia d’hui des nouvelles alarmantes con cise, mathématique. Des hommes, pa toutes les communications sont in tion de l’indice de prospérité pré Paris* =20 février. -— Le coulla- mande d'audience de M. F. Pacque- cernant un mouvement révolution C11CÜ6 Brvuly reil» à des insectes, grimpent sur tes terrompues. Dans certains endroits, vu dans le plan Dawes grâce auquel sie r Paçqaem ent qui avail été re rneui, accompagné de son avocat, naire au Mexique. La légation du ; flancs, la palpent, la caressent, lui par- les bateaux bloqués par les glacés, l’annuité de base doit s'accroître au m is en liberté,en Suisse, s ’est p ré M° Pierre Haumaud. La demande Mexique, d'apres un communiqué Un saumon pesant vingt-quatre li :cnt. Le papier frêle est inséré dan» se» ont forcé les passagers à gagner la tomatiquement ù l’avenir, en raison senté ce m atin, ver» 10 heures, au d'extradiction formée par le gou officiel reçu ce matin de son gouver vres et mesurant plus d’un mètre a rouages. On dirait d’une série de trot directe de son accroissement éco- cabinet de M. Audibert. Apfè» un vernement français contre M. t^ac- nement, est en mesure de déclarer été péché dans l’Ailier ù quelque» terre à travers les glaces toir» roulant» d’une blancheur immacu Hotre photo montre la situation dra nomique. Interro g ato ire d’identité, M.^^uds- quement a été rejetée par une déci ue ces nouvelles sont dénuées de kilomètres en aval de Vertat zon par sion formelle et déiinitive du Con Le sous-comité rendra compte b e r t J V fait écrouer. , MM. ATGER, VOUQUET et CHAD matique d’un bateau ayant ù bord lée. seil d’Etat du canton suisee de Cla ondement et que la situation au MONT, maire de G........................... Attention î un coup de levier.« laine-Montalgut, 1.500 passagers, bloqué par, les gla vendredi matin en séance plénière Mexique demeure inaltérable. ris, notification régulière de cette L'ARRESTATION La machine rugit. T out se met en du résultat de ses travaux. ces près de Copenhague. / décision a été faite au gouverne branle. Elle ronfle, elle bourdonne. Elle imiinnnimiiiiwiimiiiiiintiiiiiiiHiimHiGHHBGH| | | | *ll,ll|U|ltllllll*lll,llllll>lltlll*ft Paris, 20 février. —. C’eçt ce ma ment français p a r l’interm édiaire dévort le» seconde». le» minute». C c st HHiHiiiiiiiiiimmininHiiiiiinimniHiiHiiuiiiinnHMiuniiniinHiimininiiiiiiimnm tin, à 11 heures, que M i. Audibert, de l’ambassade de France à Berne, le point culminant de la journée, *• Juge d’instruction,, Aa reçu une una de- qui demandait en même temps fci le triomphe quotidien, ie renouvellement B U L LETIN DE PA R IS gouvernement français formulerait splendide d'une réussite étonnante. Oa iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitc iiiiiiiiiiiii une dénonciation officielle contre ne »entend plus. L’hymne d’acicr cou Pacquemènt. Le gouvernement fran Le 23 février 1429 — U y aura demain te, «près bien des hittes intérieures, des rre toute» les voix. La machine, à plei .A .I T , P I E D D I X M : U P l çais, continuant à considérer que dinq siècles — une éternité — Jeantie, arrachements douloureux, «lie quitta la ne bouche, vomit son papier imprimé, Pacquement n ’avait pas perdu la fi'le du laboureur d é . Domrémy, quittait maison de son père et s’en fut à Vauinlassablement, à toute allure. C’est un nationalité française aux yeux de la Vaucouleurs, accompagnée de »ix hom couleurs implorer le seigneur Robert de ces Jours derniers et qui a pour effet Paris, 20 février. — Un vent de ré déluge, ,une multiplication q u a si. surna loi française, n’a pa» cru pouvoir mes d’armee, pour aller vers ion des Beaudricoürt, de la < mener vers *0 » forme souffle sur I» politique. Il souf de mettre, te parlement en présence dé turelle. Et l’on a t«resque envie de se gentil Dauphin, car les voix le lui or formuler cette dénonciation qui au tin.... projets insuffisamment étudiés, d'où il .. découvrir devant un tel miracle. — René fle même aveo violenoe, c’est le résul résulte des délibérations désordonnées tat du large mouvement d’organisation rait entraîné implicitement la leN e disputons pas sur la révélation de donnaient, le» voix de sainte Catherine BONNEFOY. et’ de modernisation qui anime l'opi et Infructueuses. jconnaiseançe de fa natiqhqlité suis sa mission. Jeanne, fut à la fois une sain et de sainte Marguerite ». nion .et qui réolame des réalisations It è si advenu de la soi-disant réfor se de Pacquement. 'L à sjtdation ju te félon l'Eglise, et l’un des génies les Robbrt de Beaudricourt fut d’abord d in s les diver» domaine# de l'aetivlté me Judiciaire, la même chose que de* ridique créée par cette question de plu# purs de notre race. effare à la vue de cette paysanne « vêtue contemporaine. réformes administrative et fiscale, telles nationalité d’un citpyen*revendiqué Elle avait tout juste dix-sept ans. Tou d’un costume de grossière étoffe ron A force de réclamer, on a obtenu que qu'elles furent abordées Jusqu’à pré par deux nations, soulève des ques- te jeune, elle rêvait au bord de a Meuse, ge », qui se disait « l’envoyée de Diets la période d’attente fit plaoe à oeil« des sent, sane plan et sans résultat. i ions de d ro it, fort complexes, mais de cette Meuse qi*i aü cours des siècles pour sauver la France et «on Roi ». Il le projets. . •. La Chambre, impuissante è coor Les pouvoirs publics pressés de Réa donner faute de dénonciation officielle, le a été le témoin de tant de luttes sanglan crut folle, mai» Jeanne, avec une cons le chaos, répugnant è l'improvi liser ont résolu d’agir. C'est ainsi qu'on sation et au provisoire, dont on a trop gouvernement suisse était dans l’o» tes. Elle rêvait — à dix-sept ans, à l’âge tance inébranlable entreprit de le per LA COMMISSION a pris date, au oours du dernier débat ïligation de mettre immédiatement où la femme s’éveille chez la jeune fil suader et y réussit Convaincu ou lassé DES AFFAIRES ETRANGERES budgétaire, pour les. réformes les plus longtemps abusé, a renvoyé è la com en. liberté Pâcquérrent contre lequel le — non point à Celui qui viendrait un on ne sait pa* au juste — le sire de Vau i VOTE LA DISJ9N0T1QN DES urgentes visant la réorganisation Ad mission. *ucun délit n’est relevé en Suisse, jour et aux côtés duquel el'e passerait couleurs lui donna six hommes d'armes Et l'on a vu, hier, les ministre« Inté ARTICLE8 ministrative, Judiciaire et fiscale. ressés, revenir devant les commissions 'elui-ci a donc été libéré p ar les au- une vie quiète et douce, une vie unie, pour escorte, et les habitants de la v.lle lui L’échéance de la rentrée de Janvier, P aris, 20 février. — La Commisiritée fédérales dans la matinée sans heurts et sans histoire. Jeanne vi offrirent un « équipement de couleur à cet effet, se trouve maintepant compétentes, pour reprendre l’ouvrag« «ios des Affaires «étrangères, après fixée à la base. hier. Et l'on conçoit qu’une certai noire ». On sait le nom de trois des pre vait de plus grands rêves... avoir entendu la lecture du rapport dépassée. M. Barthou, devant la commission 0* ne fièvre règne dans les sphères IwfôPacquement qui, le jour de son De tous côtés, la ruine ; le pays livré miers compagnons de Jeanne, qui étaient : de M. Marcel Héraud, sur les con latives, pour la mise en chantier ‘tant législation et M. Tardieu devant la eom .terrogatoire a SaintGall, avait aux Anglais, les exactions des hommes Jean de Metz, Bertrand de Poulangy et mission d’administration, se «ont d< grégations missionnairee, a été ap retardée, des'réform es promisee. . ailleurs déclaré sa volonté de con- d’armes ; le dauphin aux mains d’une Jean de Vienne. nouveau expliqués. pelée à statuer sur une motion ae C'est dans ces conditions que J a ré m tir à l’extradition et ensuite son cour servile, insouciante et. frivole ; la Autant dire qu'on «et revenu au Et Jeanne « droite sur son destrier » M. A. Berthod, tendant à ne se pro forme judiciaire est venue la première mur; éair de revenir en France, a profi- a doulce France a démembrée et éper partit ver» son destin à le fois glorieux noncer su r les articlee 33 à 43 du col devant la Chambre, mais sans la pré du Puisse-t-on en profiter, cette é immédiatement de cette liberté due... et décevant. lectif qtie lorsque la Commission paration nécessaire et dans un tel état pour une préparation rationnelle aviser M. Audibert qu’il reveOn connaît les premières étapes ; S ta u ra été saisie de ce3 articles pour d'improvisation. que, d»ne les premfè-' sur la technique et oapable Cette fille du peuple et chrétienne, sen >v;iôe ' Woelit l’utftos citcaé Breaiy na’it à Paris sans e a rs délai sé sè mettre i séances, on s’est trouvé en, plein nir au Parlement des projets à tait plus douloureusement que 'es autre» Urbain (Hte-Marne), Ceffonds, Clervaux, le fond et non pas seulement pour rea au milieu de complications de ■s. ■ M.ROQUÈRE 84 disposition ce m a tia Pôthière. Auxerre (27 février), Gien, avis. Cette motion a été adoptée p ar désarroi, le malheur de son pays. procédure et de politique, amenant la établis. Sainte-Catherine de Firboix et Chinon, Ainsi, l’expérience d’hier aura eihvl qui vient d’être nommé directeur de 10 voix contre 10; une seconde mo démission de la commission compéten PacqueM. Audibert a notifié., à WWW è là faveur, la Sûreté générale en <remplacement ment le m andat d’arrêt le conceroù elle arriva le 6 mars. En passant 4 tion de M Guem ut, tendant à la te et l'arrêt brusque de la discussion. pour demain. Et l’on pourra, lonque, coûteuse, Une fols de plus apparaissaient les de cette exoérlence 1er dif**on tion du collectif des même« Elle hésita avant de croire à sa « mis Sainte-Catherine-de-Firboie, Jeanne avait fait mais féconde, rattraper le tempe perdu. Idè'M- REJÜARQ, nommé préfet de la nqnt et l’a immédiateme artî ’«s a été votée p a r 11 voix cen graves : inconvénients de cette absence sion ». Lorsqu’elle n’eut plus aucun dou pris derrière le mehr« autel é* végUs# Sein* écfouer 4 la Santé. J.-L, MARCO; «I.-L. de méthode* que nous dénoncions loi tre IL N ous nous habituons vite aux mira cles. Le téléphone est devenu pour nous un instrument fami'per, aussi familier qu’un encrier ou un grattoir. La T.S.F. garde à peine un léger par fum de mystère. L’automobi'e' est si bien dans nos moeurs que nous ne nous demandons même plus s’il fut un temps où elle u’existait point M ats-O É B tW ir iaji àla civils du “ Dragon d’Ànnam ” S a Le banquier Pacquement s’est présenté hier devant le juge d’instruction è Pariq S £ e Ve Centenaire de l’épopée de Jeanne d’j\rc LES CONGREGATIONS MISSIONNAIRES LE MONITEUR fépée de Charles Märtel. L ee chro- | tttqueurs notent a ce sujet <t que peu LE DANGER DES PASSAGES . de M. Pierre F urgeot s ’est porlée 3ur l’in sécu rité qui résu lte de tout O n ne possède pas d’effigie de Jeanne. p assa g e à niveau, ù raison de l’in I>e nombreux chroniqueurs et historiens ten sité a ctu elle de la circulation • ’accordent à la représenter « grande et routière, d’une part, et d’un trafic cnoult be le », * bien compassée de mem ferroviaire, d ’autre part. Des m e bres et forte » et cependant a d’une re- su res im m édiates p araissen t in tnarquable élégance ». Elle avait, disent- d isp en sa b les pour réduire au m i Es encore, les cheveux noirs et le teint nimum les risq u es d ’accid en ts sur Idle. ees p oints dangereux. C’est pour Armée par Charles V II, elle s’équipe quoi le m inistre rappelle aux pré avec un v»sible souci d’élégance, et lors fets par circu laire que d ésorm ais qu’elle fut prisonnière, « d’éminents per la traversée à niveau des routes sonnages oseront dire qu’el.e n’avait que n a tio n a les par des voies ferrées in ce qu’elle méritait, puisqu’elle était de d u strielles ne sera plus a u to risée. venue c orgueil euse en habit ». Le m in istre des Travaux publics N’y a -t-il pas un grand charme à re prescrit d’aulre part un recen se trouver ce trait de coquetterie féminine ment général des p a ssa g es à ni che 2 celle dont la vie fut si vertueuse et veau qui perm ettra, s ’il y a iieu. do la fia si héroïque. D écid er la su pp ression de l'ouvrage ou l’éta b lissem en t de n ou velles w m c o n sig n es, en tout cas de prendre On va commémorer à l’occasion de son dès m aintenant des d isp o sitio n s cinquième centenaire, l'épopée de Jear.ne pour que les u sa g ers de la route •PArc. Un comité s’est formé, dont le but est de faire apposer dans tous les soient prévenus de l’approche «les endroits où s’est conservé le souvenir trains par des sign aux appropriés, de l’héroïne, des pierres commémorant les sign aux son ores, sign aux à bras, dates de son passage ou de son séjour. panneaux fixes. Dem ain,' une borne sera plantée à Vaucouleurs, rappelant que c’est de cette vi’i e que Jeanne partit vers la gloire et vers le martyre. Ainsi, dans cette France, qu’on dit volontiers si oublieuse et légère, sera perpétué le souvenir de celle qui, selon le mot profond de Péguy, » accomplit une tâche divine par des moyens simplement humains. » — P. L. --------------------— LE S C A N D A L E . . . . . . . . . . J ’initiés connaissaient la cachette, qu fut A NI VEAU •ans doute < révélée » à Jeanne, comme •a mission elle-même ». UNE CIRCULAIRE DU MINISTRE Et ce fut la grande épopée Johannique DES TRAVAUX PUBLICS frr. devait te term iner le 31 mai 1431» û Paris, 20 février. — L’atlentiot» f l o u e s dans les flammes du bûcher. Un convoi déraille par satte d9an accident de freins ACCIDENTS DU TRAVAIL K -------------------- > P aris, 20 février. —- Le com ité n ation al -des co n se ille rs du com m erce extérieur s’est réuni au jou r d ’hui au m in istère du Commerce, so u s la présidence de M, le sén a teu r Etienne C lém entel, ancien m in istre du Comm erce, a s s is té de M. M egglé, directeur, pour recevoir M. G aston Gérard, dép uté-m aire de D ijon, président du groupe de la propagande n ation ale de la Cham bre qui revient d’une m issio n O fficielle en E xtrêm e-O rient. M. G aston Gérard a fa it une co n féren ce d’intérêt général su r ia u estio n du vin, la n éce ssité de le éfendre à ’.’étranger, d’en alim en ter nos co lo n ies dans la plus large m esu re p ossib le. M. C lém entel a vivem ent rem er c ié l'orateur. J Lt rajustement des pensions des mutilés P aris, 30 février. — La délégation désignée hier à la Chambre par le groupe des anciens combattants et m utijés, a été reçue par le président du Conseil, qu’elle a entretenu de ia question du rajustement des pen sion s des victimes de la guerre au taux de 1,40. M. Poincaré a écouté avec la plus grande bienveillance l’exposé qui lui a été fait par la délégation à la quelle il a promis de communiquer aa réponse dans quelques jours, aprèe avoir entretenu le Conseil des M inistres de la question posée. — ■' ■ > — --------------------- M. Poincare I rep rit te s occupations Parla, 30 février. — Bien que touourt légèrement souffrant, M. >oincaré a pu reprendre ce matin ses occupations au m inistère des F inances. Le président est encore astreint cependant h certaines pré cautions, c ’est ainsi qu’il ne pourra p as a ssiste r à la réception qui deit avoir lieu ce soir à l’Elysée. On compte que M. Poincaré pour ra néanm oins se rendre au Conseil d es M inistres de demain. Î ■■ ■ ■ ■■ ■ > < — LE COMPLOT CONTRE KEMAL PACHA UM NOUVELLE INSTRUCTION EST * OUVERTE Constantinople, 20 février. — L’affaire du com plot organisé con tre Je ch ef de l’Etat par Mme Kad ric Hanoum, femme d ’un médecin égyptien et qui s’était terminée par on non-lieu, vient de rebondir. Tous les inculpés qui avaient été libérés ont été de nouveau arrêtés, il ont été soum is à un interrogatoire serré dans le but d’établir Tes motifs et le but exact du voyage de Kadrie Hanoum i Angora. De nouveaux té m oins ont été entendus. Un m édecin arménien a été arrê té pour avoir entretenu des relations suspectés avec Kodric Hanoum. La nouvelle instruction a-m is en lumiè re certains détails qui auraient été négligés dans la prem ière instruc lion . i--------------------- Le maréchal russe Bergmann est mort à Marseille Marseille, 20 février. — Hier, dans un modeste appartement qu’il occu pait au quartier du Roucas-Blanc, e9t mort le maréchal russe GeorgesEdouard Bergmann, président du Comité régional d’aseistance aux in valides et blessés russes. Commandant d ’un groupe d’ar mées au Caucase, le maréchal Ber gmann, après une série de combats entre le 28 octobre et le 24 décembre 1914, s ’était emparé d'Erzeroura. Une invasion de sauterelles en Maroc E C f i O S " 4 fT â fts iîK v e rs Pour la feuille officielle du parti com m uniste, une exécution cupitule — je vous le disais l ’autre jour Ln'est pas une exécution capitule c c ’est un assassinai légal. Je vous disa.s aussi que ce journal avait une singulière mansuétude pour lous les assussins, voleurs et autres gibiers de bagne qui sont, selon lui, des vic tim es de la société bourgeoise. Avant-hier, un terrible et nauràiit accident s’est produit dans un asile de nuit. Le froid, très vif encore, ayant provoqué la rupture d ’au tuyau à gaz, onze pauvres hères sont m orts asphyxiés. , « J’ai eu la curiosité Me ( regarder com m ent la feuille m oscovite inter prétait ce pénible'" éuênenient. J’a vais quelque soupçon (filé ViMcrprètation serait pour le moins singu lière. La feu. Ile m oscovite a de l’es p rit de suite. Et vraim ent ses trou vailles sont extraordinaires. . Cetle fois-ci, elle a découvert que l’accident de la rue de Tocquevitle est un « crim e de la philanthropie bourgeoise ». Vous ne vous attendiez pas à celle là ? Qu’on déplore certaines injustices sociales trop évidentes, qu’on esti me qu’il y a beaucoup à faire encore --------------------- pour am éliorer le sort de trop de malheureux, rien de plus normal, Un train de mineurs prend feu rien de plus généreux, rien de plus digne de reten ir l’attention de ceux Péoria (Illinois), 20 février. — lin qui précisém ent ont pdur mission train transportant 800 mineurs a dé de soulager ces misères. Ma s voyez raillé et a pris feu près de Hollis, ô 10 iusqu’o ii peut aller le parti-pris: il milles au sud de Péoria. Plusieurs existe des asiles de nuit: ce n’est mineurs ont été tués ; il y a de nom pas encore l’idéal, mais c’est mieux breux blessés. que rien. Il vaut mieux par cette tem pérature, coucher à l'asile que sous un pont. Qu’un accident sur Un accident dans le métro vienne, et c’est un crim e de la phi lanthropie bourgeoise / Comprenne à N ew -York qui pourra. Au reste, ta feuille com muniste ti IL Y A CINQUANTE BLESSÉS re p a rti de tout. __ Le fr o id ? C’est une plais du. ré New-York, 20 février. — La vei.• tuve ..dë^lête d ’un train métropoli gim e « bourgeois »/"; ' Les in ondations? V it fléau de la tain allant à New-Jersey, a pris î*u. " 50 personnes ont-été blessées et 200 société bourgeoise. Je ne suis même nas très sûr-fine ont été incommodées par la fumée. si un trem blem ent de terre venait à se produire, et au’il causât des rui U N E M E R Ê ' c R I M lN E L L E nes et des deuils, l’organe commu niste n’accuserait point le régime ac Vienne, 20 février. — La nommée tuel d ’en être responsable l Car vraiment, lorsau’on a si bien Anna Goubet, 24 ans, demeurant à Chonas-l’Aballan (Isère), arrondis commencé, on ne doit plus connaî sement de Vienne, ayant accouché tre de lim ite. Améffie Csbrette. il y a 15 jours d'un enfant du eexe w vvw féminin, viable, a assommé l’enfant sur le plancher de sa chambre et est L’Etat pontifical. allée l’enterrer dans son jardin La Au point de vue territorial, l’Etal gendarmerie l’a arrêtée. pontifical actuel est k in de ce qu’il fui Un martyr de la Sc'ence V ictim e da froid La bande Riest, Puei et Cieavait j THEATRE M U N IC IPA L Ce soir, à 20 h. 80, l’opéra fa n iaati^ u t commis de nombreus méfaits œd uvre Uiïenbai-b : Les Contes d ’Uoffuuinn, vraim ent intéressante, avec le Ambcrt. 20 février. — Dtii.auche 17 février, dans la adirée. M. Layle FranI <us ufcé ue 09 ans, aucien fa d e u r en •» traite, dem eurant a La Chapelle Action a été victime d ’une congestion occasionnée par le froid. .Malgré les soi..s empressés qui lui La brigade de gendarm erie de Cler ont été aussitôt prodigués, M. Bavle mont continue activement son enquête a reudu lo dernier soupir le lende eu sujet des vols de pardessus dans le» main. cafés et bals de Beaumont. C’est ainsi que l’adjudant Coste, au cours de son enquête, apprit que le je u Grave accident ne Kiest Henri avait d ’autres méfait» La C ourtine. 20 février. - D an 9 la sur la conscience. n uit uu tü au 17 lo u ru n t, vers 11 heu En effet, il fut établi que Riest avait re.-,, M. Uutruuceix. âgé de 66 ans, vendu à plusieurs reprises de l’or en dem eurant au village de Nouai il; t, com petits lingots A M. André, bijoutier, mune ue Aingtmt-I L ira. go, canton de rue du Port, pour une assez forte som La C u rti te, q itta ii M agnat pour ren me, réussissant ainsi à se procurer de» tre r chez lui , il glissa sur l’épais-e cou* ressources pour mener bonne et joyeuse ehe do neige qui recouvrait le sol et vie le dimanche. tomba si malen outre..sentent qu'il s» interroge, m . Erné déclara que depuis fractura la jambe. Il se trouvait ulor* quelque temps il s’était aperçu qu’il lui a environ uu kilomètre de son village m anquait un certain poids de ce méII c ria/ au secours, mais le freid é ta n t tail, mais il ne soupçonnait pas ton extrêm em ent rigoureux et personne du jeune mécanicien Riest être l’auteur de village u’c-tant dehors, ses appels ne» ce» vols. Ce n’est qu’après l’arrestntiou furent pas entendus et le malhe treux de ce uernier qu’il fut mi» en éveil. Ü ufranceix d u t parcourir le kilomètre D’autre pari, les gendarmes enquê qui lui restait à faire en ram pant sur teur» eurent la certitude que Riest avait la neige et en tra în a n t la jambe affreu commis d’autres larcins. Notamment, sement fracturée. A rrivé au village il »e réfugia>dan» A Chamalières, dans un bal, il déroba une grange. A le îr r ’veil les he bit tnt» deux sacs A main, l’un contenant un cn ttn d ire n t gps cris; ils appelèrent im collier et des boucles d’oreilles. C’tst A Üiiamalières que Riest m édiatem ent le docteur B eaufort méde -•gaiement cin à Crocq oui le transporta en toute s’empara d’une alliance qu’une danseu hfite h la clinique du docteur Mach a» se avait laissé dans »on tac <* pour voine, à Aubusson. Ce praticien estima je u e r à la jeune fille •. A Beaumont, toujours dans un bal, U ue l’a m p n ta tio i de la iaml>e an-detsus ouvrit un sac de dame et s’empara de 1 : genou é ta it indispensable. l’urgent qu’il contenait. L’é ta t du blessé serait gravo. Sou camarade J. Puel suivait se» tra ces et l’im itad . I! vola deux pardessus La triste mort d’une pauvresse a U au m u u t, qui furent retrouvés dans la chambre que Riest occupait boulevard La Celle d’Auvergne, 20 février. — Au irudaiue, nu 1)2 . Le dimauche Ü février, village de Fcix. commune de La Celle, alors qu’il se trouvait dans un bai, à habitait seule une pauvre vieille femme, Coudes, Puei soulagea un danseur, M. Chevalier Marie, dite la « sourde », à Pietro, de sa montre et de sa chaîne. cause de son infirmité. Puei avait dû profiter d’un moment tic Elle vivait chichement du secours men bousculade pour effectuer ce vol, car ia suel que lui servait la commune, gardant chaîne fut brisée. le 3 troupeaux durant l’été, moyennant uun» la journée d'hier, sur les indi une faible rétribution : et, l’hiver, les cations et le signalement donnés par ia voisins charitables lui donnaient un peu gendarm erie de Clicrmont, la brigade de -do bol3» la recevaient chez eux, lui don gendarxnrtie de Tbicrs « arrêté un des naient A manger et la laissaient se chauf camarades de Riest et de Puei, qui est fer pendant les longues veillées. mêlé & tous ces vois. Sa Surpris de ne pas l’avoir vue depuis activement culpabilité paraît bien établie. Il s’a deux jours, ces derniers, inquiets à son git d’un nommé Marcel Segnrd, agi de • sujet, se concertèrent, pénétrèrent chez elle et la trouvèrent sans connaissance 12 ans. Au lendemain de l’arrestation de dans son lit. H prévinrent en toute hâte M. d’Usscl, Riest et de Puei Segaud ;• vait j ugt bar. maire. Celui-ci manda le docteur Roche, ue quitter C rrn ..ni pour échappei aux do Giat, qui ne put constater que le dé recherche» t.* i gendarmerie. Il il ap cès de la pauvre femme, décès occasion préhendé alor» qu’xi se trouvait dans ia région lhiernai3c. né par le froid. Lors de son arrestation, Marcel Segaud Le permis d’inhumer fut alors délivré et c’est nu milieu d’une fouie ecueiliie fut trouvé en possession d'un pardessus et apitoyée que la défunte a été conduite volé. A L’INSTRUCTION à sa dernière demeure. Hier m aiin, M. Talandier, juge d’ins truction, a k i t subir un prem ier iuUn enfani de deux ans meurt lei.oga.oire à Hieb et Puel. Henri Riest éia.t assisté d« M* Marc jadis alors qu’il s’étendait d’unr mer Bourdicr, sou défenseur ébouillanté A l’autre et allait, dans l’autre sens, de Riest, au sujet ue ses négociation» de Aurïllac, 20 février. — Les époux Nue, lingots d ’or, déclara que, suivant une Bologne à Ravenne et représentait i«ne superficie totale qui dépassait 13.Ô0Ô anciens fermiers de M. ürasqi ics, du coutume, les mécaniciens dentistes kilom ètres carrés. Le nouvel Elût est, bourg, habitant actuellement ù Bassi- avaient le droit de s’approprier quelques désormais, le plus petit qui soit en Eu gnac, commune de Cayrola, viennent pa.ceiies d’or sur le mé.ai qu'ils em rope ; il vient même après la principau d’être cruellement éprouvés par la mort ployaient pour effec.uer leur travail ; té de Monaco, qui représente 157 hecta a d m ise de leur unique petit-fils, âgé ceci const.tue, parait-il, les petit» bé res et la république de Saint-Marin, de deux ans. néfices du métier. Mais c'est là une Tombé dans un bassin d’eau bouillante, explication dont la superficie est de 61 kilomètre* donnée par Rie3l pour sa le pauvre enfant a succombé à ses brû carrés. défense, pour expliquer les différente* lures après deux jour» d’atroces souf w vw * ventes faites A 5ï. André. Aussi fautfrances. Coïncidence. il faire le» piua grandes réserve» A ce sujet. En voici une véritablem ent curieuse P our les autres vols, Riest reconnut Il existe deux villes qui por:ent le mê Un septuagénaire est trouvé les faits. Il aurait eu mauvaise grâce à me nom : North Lanark. L’une est en nier, car les différents objets volé» fu mort dans Y anfractuosité Grande-Bretagne, - l’anjtre au Canada; rent retrouvés dans sa chambre. Toutes doux sont représentées au parle Quant A Puel, l’interrogatoire ne por d’un rocher ment de leur pays. Le député à ia Cham ta que sur les vols de pardessus. bre des Communes anglaises était sir Le Puy, 20 février. — Voici une troi L’adjudant Coste poursuit sou enquê Alexandre Sprot et celui qui siégeajt «u sième victime de l’hiver rigoureux que te en continuant ses investigations. parlement canadien M R. F. Preston nous traversons : on vient de trouver D’autres jeunes gens qui faisaient par Or. ces deux hommes politiques sont mort dans l’anfractuosilé d’un rocher, tie de cette bande d’écuuieurs de bals décédés le même jour. aux gorges de l’Aubépin, un septuagé Leurs vies, à des kilomètres de dis naire, Jean-Pierre Masson, dit l’Ermite, sont recherchés et il sc pourrait bien u’ils aillent rejoindre à la m /^ o n tance, auront été singulièrement paral qui avait succombé aux atteintes du ’arrêt Riest, Puei et Segaud, où ils lèle». froid. pouront méditer sur leur» triste» ex ploits. .& O U Ä U T -------------------- t---------------------------------Une cen ten a ire On sign ale un nouveau m édecin, victim e de sou dévouem ent & la scien ce. Le docteur Turchini, ancien ch ef du laboratoire de radiologie à l’hô pital de la Charité, à Paria, s ’oc cupe depuis près de trente ans de rad iologie. La première atteinte dee rayons X rem pnte h 1910. Le docteur T ur chini dut subir une opération au sein droit et l’ablation du m édius de la m ain gauche. P oursu ivant se s travaux, le sa vant est & la veille de subir une nouvelle m utilation. Le docteur T urchini n’est pas un inconnu pour le9 vieux Clerm on tois. Il y a une trentaine d’an nées, M était préparateur de ch i mie à la F acu lté des S ciences de notre vi'Me. Pendant tout le tem ps qu'il co n servât ces fo n ctio n s, il se consacra op iniâtrem en t à l’étude et après Un vrai régal après le repas avoir soutenu sa bhèse de docteur — ■—-— en m édecine, il partit pour Paris où i'1 entreprit des travaux ds ra diologie. Comme tou3 ceux qui s ’occupent SEANCE DU 19 FEVRIER de cette question, il tombe aujour Scrutin sur le conlrerprojel radical d’hui frappé par l’im placable m a ladie que déterm inent les rayons X. concernant la réforme judiciaire s WiÊmmÊëm Voies de nos Dépu’és Casablanca, 20 février.— Des vols de sauterelles d ’une assez faible im portance sont signalés dans les val lées de Tessaout et d’Aït Ourirt, ve nant de la direction du Haut Atlas. Sociétés de secours mutuels Ces chem ins ne pouvant laisser pas P ar arrêté du m inistre du Travail, de ser de fortes colonnes d’acridiens, on espère venir à bout de cette in l’Hygiène, de l’Assistance et de la Pré sociales, en date du 15 février vasion contre laquelle la lutte a été voyance 1929, ont été approuvés 'es statuts dus entreprise. sociétés de secours nm tnels ci-après : I tfe ia R é g i o n Crime c philanthropique * UN MÉDECIN CONDAMNE Paris, 20 févriet. - La dixième chambre correctionnelle vieni de tendre 6un jugement dans les 1 ursuites intentées au docteur Cous;antin 1 e«stel azoglou et à ses compli ces, poursuivis pour escroqueries aux accidents du travail envers di verses compagnies. On sait que Pestel Mazoglou, éta bli, 61, avenue de la Motte-Picquet, soignait des ouvriers pour des bles sures fictives dues à de prétendus ac cidents du travail, le même ouvrier arrivait à touchei des indemnités pour des accidente simulé?, et au besoin, sous des noms différents Le docteur, à qui ce commerce rapportait 90.000 trance par an, est condamné à deux ans de prison, 1.000 francs d’amende et six mois d’interdiction de séjour ; l’infirm iè re, Mlle Dupont, à dix mois de pri son et 1Û0 francs d’amende 1 ou vrier Legros à six mois de prison et 50 francs d’amende ; l’ouvrier Lecorps. ù un mois de prison et à 50 rrnncs d’amende. Les compagnies d’assurance ob tiennent, ainsi nue le syndicat des médecins, un franc de dommages Intérêts et deux insertions du Juge ment. Perpignan. 20 février. — Sur îa lign e en con stru ction du chem in de fer transpyrénéen d’A x -lesT h erm es à la Tour-Fecaro-1, un convoi rem orqué par une locom o trice, rapatriait des ch a n tiers une LA REFORME JUDICIAIRE soixan tain e d’ouvriers quand, tout à coup, les freins ne fonctionnèrent (,S u ite ) plus. Le convoi accéléra sa v itesse .. . ,en raison de la d éclivité de la ligne Après avoir réglé la qu estioa aes je ^ a jja j3 U^ eP 00ntre deux w agons Incidents de la veille, la Commis ch argés de gravier qui furent pro* sion de législation civile a procédé je té s hors du rem blai, d a n s un a un échang« de vues sur la façon cham p. dont te poursuivra demain le débat, Le convoi dérailla, et h uit ou su r la réforme judiciaire. Elle avait précédemment accepté les disposi vriers fu ren t.b lessé s, Deux d’entre tions conieuuès dans le projet gou eux. Antonio Perez,. âgé de 14 ans, Sirven,- d'origine vernem ental relatives au juge délé- et Bonaventure , é, m ais avait décidé de renvoyer espagn ole, sont très grièvem ent at , 1 xa-*— . tein I Aitilfi I a enoonnvAiün a t .Ia o h n ts. Le m écanicien et le ch a 11 u tf mesures concernant la compéten feur qui! avaient sauté du convoi ce de ce magistrat et la procédure avant le choc, ont été sérieu sem en t à une loi complémentaire ; elle a b le ssé s. m aintenu cette décision et en con séquence, proposera la disjonction de ces textes et leur renvoi A la Arrêté au moment dë se marier Commission pour étude immédiate. Ainsi, pendant que le projet sera en Bordeaux, 20 février. — A la sui discussion devant le Sénat, elle se ra en mesure de mettre au point te d’une enquête ouverte pour vols cette question qui, si elle était t râb de panneaux artistiques à la cathé lée actuellement, risquerait d’allon drale Saint-Front, à Périgueux, la police a procédé à l’arrestation d’un ger la discussion. M. Cautru, le nouveau rapporteur, nommé Lmile Lavud, 37 ans, fils de et M. Mallarmé, vice - président, l’ancien sacristain antiquaire, à chargé de suivre la discussion, ont Wergt. Lavaud a reconnu les vols et reçu mnndat de s ’entretenir à ce su a fourni les noms des personnes jet avec le Garde de9 Sceaux, et se ayant acheté des panneaux datant •ont rendus, à la fin de l ’après- du XV* siècle; l’une de ces person midi, ô la chancellerie pour se met nes a été arrêtée au moment où, venant de se marier, elle quittait la tre d’accord avec M. L. Barthou. mairie. C’est un restaurateur de la ville chez lequel on a retrouvé quel Le Comité des con seillers ques-uns des tableaux dérobés. du commerce extérieur « DES JEUDI 2 1 -2 23 ?■ Puy-de-DAme. — Tous pour, c’est-àdire contre le gouvernement. _ . r . Allier. — M. Planche, absent par con gé. Les autres pour. Cantal. — M. Bastld, pour, le», autre» contre. Corrèze. — M. de Chammard contre, M. Queuille s’est abstenu, les autres Pour. j t- -.,/. Creuse. — Tous pour. Haute-Loire. — M Fayolle poiir, M. Antier s’est abstenu, les autres contre. La Chambre a repoussé par 291 voix contre 235. <------------ — t— 1028 aousEmprunt d« conversion 4 crlptions espèces. BANQUE KUGEH. 3 Ï au pays creusois Guêret, 20 février. — Mme Vv« Boyer, cultivatrice & Maison-Feyne, commune du canton de Dun-le-Pailcteau, est entrée dans sa ÎO'J* année, le 19 courant. Elle est née A Frcsselines, canton da Dun, le 19 février 1828. Mme veUvc Boyer, qui n’a jamais quitté son pays, exl en possession de toutes ses facultés. Poursuivi pour homicide par Imprudence un automobiliste est acquitté Electrolux... ...e z -v o u c Voir en dernière page ¥ Deux Concours de la Fo're de Péris T rè s ju stem en t, le C om ité de la F o ire de P a ris a p ris la d écisio n de ré s e rv e r cette an n ée une place sp é ciale aux in v e n te u rs et aux artiste s. D ans un p ays com m e !e n ô tre, qui d o it à l’in g én io sité et au bon g cùt une b o n n e p a r t e d e ses s:«ccès in d u strie ls et -com m erciaux, cet hom m age est des plus légitim es el d ’une u tilité c e rta in e , il leu r sera re n d u p a r la F o ire de P a ris, sou» ia form e de deux c o n c o u rs : un c o n c o u rs d ’in v e n tio n s et un c o n c o u rs d ’aflich es dotés c h a c u n de 25.000 fran cs de p rix en espèces et de n o m b re u ses m éd ailles offertes p a r le C onseil m u n ic ip a l de P a ris, le C onseil géné ral de la S a n e et d iv e rs g ro u p e m ents co m m erciau x . A près les o p é ra tio n s du J u ry , les m aq u ettes et objets p ré se n té s reste ro n t ex posés p e n d a n t toute la du rée de la F o ire , du 11 au 26 m ai p ro c h a in . Les in v e n te u rs et les a r tistes p o u rro n t de la so rte bénéfi c ie r d e la fo rm id a b le p u b lic ité que re p ré se n te , avec ses m illio n s de vdsite u rs , c e tte v aste m a n ife sta tio n . -------------------- LA S IT U A T IO N V IT IC O L E LES IJVOâj concours ue lu. Ju l.e n Lufout, pre . ièr® busse de l’Opera-Co . iuue, dout la répu tation est g ran d e; Mlle Germ aine L.eu* ié. du Tnanon-Lyrique, entourée do excellent ténor Labay, de Mlles Bus» caglia Cosyn MM. Pèloux, Deeoiner, Serval, Lye. Rey, etc... Ce charmant spectacle ne peut m anquer d'attirer beaucoup d 'au d iteu rs. Location de II à 18 b. 30. Prix ordinaire des places. Samedi, à 20 h. 30, la légendaire opé rette ; La Veuve Joyeuse, pour le» dé buts de la divette Renée M ontbreuil, de la Gaîté-Lyrique, et avec MM. Andrézy, Desomer, Serval. Peloux, Mlles Goinnert, Rex, etc... « De: se» >1, réglées par M. Vau Dcer. Dimanche en m atinée, le bel opéra de H. F évrier • Gismonda, avec le con cours de l’excellente cantatrice Ju liette M archai, de l'Opéra-Comiqne. admira ble in terp rè te de ce rôle. En soirée : La Chaste Su tanne, qui est bien l’opérette la plus gaie du ré» pertoire, dont, cotte fois. Mlle Mont breuil sera l’herolne .Location dèe ven dredi matin. f A th è n e s, ♦ elles p a rv e j lio n s en Mi g re c q u e s , a l m e n t d e s fiel S ie 8 to s e l M] la o a ta s tr o l p iu s é te n d u j Au p re m ie r D a n s la V illag es Ml A g rio ly k o , m o n d e s , Kc m o n li, K iouj d e n o m b re u l te m e n t en v i ia rtie de ondée p a r A sie M ineui r i è r e d u gcj p r o d u it dei D a n s la B ieu rs q u a t s o u f fe rt, d{ d é p ô ts mili^ e m p o r té s p o n t traveil p lu s ie u r s tr u i t s e t le | S elon ui xnative, rlei â tr y m o n , so u s les eal Im p o rtu n ! 3 ( L a ville q u a r t ie r s tr o u v e n t d| m arch an d é e a u x , les p lu s ie u r s d u V a rd a r m e n t m o i| s o n t c o n sit D a n s la in o n d a lio n | ta b le c a la i la g e s isol( le s c o m m u l lio n s ou p | b le s . H ier, t e r d es s a | q u e s v illa j de D edei S o u ffli, O rl ta il a p é ri] O n c ra ii g ra v e s en< to n te des g n e s b u ig l s o n t sip r.a | Péloponè.< tm p o a siix o l n e r le ch il qui d o iv ej c e n ta in e s m es. Le d 'u rg e n c e v e n ir en Î P A R L A N E IG E Les CHAUSSURES de LIMOGES A. DENARD, 88, place de Jaude, 88 préservent du froid et de l'humidité EN SOLDE S T ’L ' S ï - ü ’S r f f Transmission Bourses. — rapide des BANQUE ordres de NUOBR Associations amicales des anciennes et des anciens élèves des Ecoles normales DE CLERM2NT-FEHRANO Nous rappelons qu’aujourd'hui à 11 heures. .Vf. Fomot, inspecteur d’Académié du Puy-de-Dôme, fera, à l'am phithéâtre de l’école normale d 'in sti tuteurs, une conférence 3ur • ErckmannChatriun ; le roman populaire et na tional ». Un chœur sers exéaité par la chorale normalienne. Tout le personnel enseignant est eordiaaleinent invité à y assister. L'étude de Kl' G. BÄ1F, co m m issaire-n rlseu r, su ccesseu r de M* PARCEL!I£R, et l’Hôîol des V entes M o b i l i è r e s son t définitivem ent tran sférés 14, place C hap elie-deJaudo. T éléph.: 17-93. L’Hôlel des Ventes est ouvert tiius k s jours, cie 9 heures a 11 h. 30 et de 13 h. 30 à 18 heure?. T.a Marque de l’ETClLE D’AUVCr?GNE sur une bouteille de li queur est une garantie de qualité. Une Conférence américaine à l'Université L ’éminent historien, M. Paul Van Dvke, professe ur A l’Université de Prin ceton ('Eiats-Unis) et directeur de I’ • American University Union • à Pa ris, donnera à l’Université de Clerinoat, le jeud i 21 février, 5 5 h. 30 du soir, dan le fîrnnd am phithéâtre. 3, avenue Vcrcingétorix, nue conférence publique en français sur ce ?uje! : • Les causes des guerres civiles, di tes de religion 0. M. Paui Van Dyke, dont le» Clermontois ont applaudi, le 31 janvie* 1923, une rem arquable conférence »•!•' le pré sident Cleveland, est un ami éprouvé de ia France. Il a consacré de nombreu ses eludes au passé oe notre pays, eotr^ autres une • Histoire de Freuce de Jules César à Napoléon III e* à ia République » toute pénétrée d’une a r dente sym pathie pour son Mjjit. M. Paul Van Dyke, qui est officier de !« Légion d’honneur, est sûr de ret -ouver à Clermont le chaleureux accueil qui lui fut réservé, il y a quelques années, et qui donnera toute su portée à cetle nouvelle in a ir f • o de coopération -: LÄVII HUAT Paris, 20 gilistlque attiré ce sol veou surtoti contre oppoi ch» fr.vi'.ça'.Bj qui tous <le| *t Piadner Avant k monde r-sif doivent ?e lurent prési Le p:*emi| le« deux h: Lo dcuxH ment. La treisU pr> de Hustl obets du df bien mvrqu| round, lee ballvlié. A la ch ottaqi:*? Hu« !0 DilH SOL'J Hunt ropf round. Chî rrocheis k montre mo| F i A i v C Ê S de Jolies bagnes so n t exposées à votre in ler.iio n chez André, 5, ru a du P o rt. LE DRAME* DE MESSEIX Moniluçon, 20 février. — Un autom o biliste, inculpé d’homicide par im pru dence, a comparu aujourd’hui devant le Le • M oniteur • a relaté avec <le . .. ... ---------------tribunal correctionnel de Montluçon et uomDreux détails le drame qui a mis Creuse. — Le Foyer Greusois, à Guè été acquit l é. en emui la localité de Messeï*. re t, n* 47. Un incendie Le 13 octobre 1928, circulaient sur 14 Dans la Journée d liier, la gen-ilarroute de Charmeil A Vichy deux cy Haute-Loire. —• Caisse locale de senierle de Messelx, b o u s la direction du à la gare d ’A vig n o n clistes, une auto et une voiture hippours m utuels agricole», à St-Didiermarécha des logis-chef ImbauJt, a pro mu bile. ’S ur-Ooulon, n* 99. cédé ô une enquête pour éclaircir les Le voiturier, Lambert Auguste, 62 Puy-de-Dôme. — Caisse fam iliale du Avignon, 20 février. — Un incen circonstances qui entourent ce drame. ans, chiffonnier, était-il endormi, sa die a éclaté ce matin, vers six heu Puv-de-Dôme, à Q lerm ont-Ferrand, n° • Le m eurtrier, François Br» geaud, est voiture non éclairée, et à sa gauche ? 285. . originaire de Limoges où 11 et né lo res, à la gare de grande vitesse. Le L’autom obiliste l’affirme. 2 juillet 1889. Il est donc Agé de 39 sinistre qui serait dû à un court cir lH»aiHll»HllllHilHllllHIIIHnH»liimUIÎIIHH»nHII»llll»llUlllHliR8iilUHSiiiHlliHH» L’auto de Rigaudias Joseph, 36 ans, ans. Dans le pays 1] Jouit d’une mau entrepreneur, allait-elle trop vite î cuit, a pris naissance dans un apvaise réputation. Et nous devons dira Toujours est-ii qu’ayant mi# »es pha ïartement situé au-dessus des sal que par un simple fait du hasard, lo res en veilleuse pour croiser les cyclis es d’attente et a détruit avec cellesmauvais fonctionnement de l’arm e, tes, le chauffeur se trouva tout à <*oup ci, le bureau des renseignements et Brugeaud ne put décharger qu’une seizx à quelques mètres du cheval de 'Lam le bureau télégraphique. Les dégâts le fois son revolver «ur M** Vrey. bert, qu’il ne put éviter. sont importante. A ujourd’hui, Brugeaud »er« transfé Ls cheval fut tué, la voiture traînée ré à Clermont où U ter» déféré au sur une quinzaine de mètres et Lam Parquet. bert projeté sur la route. T ransporté à Nous avons pria des nouvelle» d* L’EPURATIOn V e LONDRES Au cours d ’une récente séance de cho. Voici, en effet, que commencent à l’hôpital de Vichy, sans connaissance, Mme Vray, qui est hospitalisée à l’Hôl’Académie d’Agriculture, M. Prosper se réaliser les prévisions de récoltes il y m ourut le 13 janvier dernier.. tel-Dlcu, ealle Breschet. Son état est Mais on ne peut affirm er que c'est à après avoir rappelé quelle a moyennes s’élevant, dans ce pays, à Londres, 20 février. — Le Home Gervais, statlonnalre et le» médecins qui le soi été la récolte des vins de la dernière 180 et même 200 millions d ’heclos. étant la suite des »blessures reçues. D’autre gnent ne peuvent pa» se prononcer su r Office et la poKce dé Londres pren campagne, a examiné la situation viti- donné l’accroissement continu des sur part, on ne sait pas bien queil est le la gravité de sa blessure. La position nent en ce moment toute une série colc et lés problèmes qu’elle pose. faces plantées en vignes. Ainsi sc trou fantif duns cette affaire. exacte du projectfle n’a pu être encore Aussi le tribunal acquitte-t-il Rlgatide mesures en vue de l’épuration Le3 vendanges, dans tous les milieux vera posée, une fois de plus, la ques décelée, et ce n’est qu après examen viticoles, ont causé, en 1928, une agréa tion de la production viticole algé dias, que défend M* Me lia. des étrangers à Londres. Hier matin, à 9 h. 45, rue des Gras, que l’extraction sera peut-être tentée. Quant à la partie civile — 'lin e veuve Scotland Yard a fait publier hier ble surprise. On a obtenu près de 58 rienne. de 9 passants relevèrent un Individu qui Par suite de la difficulté des tran s M. P. Gervais estime qu’il y a là un Lambert s’est fait représenter par Mme venait de s ’affaisser. Par les soins de ports. un communiqué officiel où le grand millions 1/2 d ’hectolitres, au lieu de difficultés dûes au mauvais .Mallard — elle est déboutée de sa de troblèmc redoutable par sa côm plexiti, 49.225.000 en 1927 et 40.788.000 en chef de police fait préparer des rap- 1926. L’Algérie, de son côté, nous offre nfiniment délicat et quasi im possible mande en 100.090 francs de dommages- l’ambulance municipale, il fut transpor temps, Mme Vray, pour venir è Cler té à l’Hôtel-Dleu; 11 s ’agit d’un nom mont-Ferrand dut, accompagnée dYm« lorts sur l’histoire intime et famil une récolte de plus de 13 m illions 1/2 à résoudre, si l’on considère nos trois inlérêts et condamnée aux dépens. mé Morianges Louis, âgé de 53 ans, de se 9 parents aller prendre avec l'au iale et sur les moyens d ’existence d ’hectolitres, la plus forte qu’elle ait départements du nord de l’Afrique dem eurant 20 , rue Gadène. tobus le chemin de fer en gsre de Us* de tous les étrangers, dont le séjour jam ais eue. Si, à ces quantités, on ajoute comme jouissant des mêmes droits que — Même rue, à 12 h. 10, à ta hau queuille et eMe n’arriva h Clerm ont le montant des stocks en propriété, on les départements français. . parait indésirable. LES SCANDALES te u r de la pharmacie Dumas, un hom que fort tard dans la nuit. Malgré ees Il a déià ordonné à trois de ces arrive à up chiffre global de près de Il croit cependant..à la -possibilité de me geignait et crachait te sang. Admis souffrances, elle supporta assez bien le derniers d’avoir à quitter la Grande- 74 millions d’hectos. Avec la récolte de trouver, en dehors de mesures excep DE L*ARSENAL DE ROANNE A l’Hôtel-Dleu, salle Saint-Vincent, le voyage, et la Journée d’hier a été rela malade qui souffrait d’un commence tivement bonne pour elle. Bretagne dans l’espace d’un mois et 1928, noua revenons ù ta moyenne de tionnelles et chimériques,: telles que les récoltes normales, et il convient de restrictions et les contingentements, un ment de congestion due au froid, est les services d’immigration du port nos s ’en réjouir. LE CAPITAINE LAROCHE un nommé René Alexandre, âgé die 28 terrain d ’entente où, dans un esprit ont été requis de veiller que les exNos quatre . départements gros pro de conciliation mutuelle, soient recher• METTAIT DE L'ARGENT DE COTÉ ans, dem eurant café Porte, route de ulsés ne rentrent sous aucun pré- ducteurs du littoral méditerranéen re chês et poursuivis les moyens de cor Riom. e xte. présentent ù eux seuls la m oitié■envi riger ei d’atténuer ce que l’extension Roanne, 20 février. — Le juge d’ins -------------------ron de la récolte de la France, s’affir démesurée du vignoble algérien pré truction a été mis hier en possession >♦» < mant ainsi de plus en plus comme les sente de périlleux pour tes viticulteurs des résultats de l’enquête faite sur pourvoyeurs du marché des de la métropole. eotnmission rogatoire par le commissai ...Il est prudent de ne pa^ sortir le ma Quatre exécutions capitales principaux POU!? T R A V A IL DE BUREAU vins de consommation courante. Il signale les dangers de la surpro re de police, M Resplandin, relative tin sans avoir absorbé un aliment A te lie rs de (C o n s tr u c tio n d u ment à l’état de fortune du capitaine durtion et surtout de la surproduction à Zagreb La Gironde, en progrès sensible, re chaud. Pour votre petit déjeuner, pre C e n tre , r u e d u P r é » la - R e ln a couvre A peu de choses près sa moyen artificielle, dont l’origine réside no Laroche, im pliqué dans l'affaire des nez donc une tasse de CHOCOLATne. Le Centre, la vallée de la Loire, ta tamment dans la pratique du sucrage, détournem ents de l’arsenal de Roanne. MKNIER, qui réchauffe et réconforte. Belgrade, 20 février. — On man Touraine et l’Anjou n’offrent qu’une « fraude contre laquelle il faut sévir ». S E n g sæ sssH E Cette enquête a fait connaître que de de Zagreb : récolte inférieure à la normale : en re Et il ajoute : « Qui dit surproduction dans une banque de Roanne, au cou**s Quatre jeunes bandits condamnés vanche, 1928 y sera une année d’excel dit encombrement du marché et, par des années 1927 et 1928, le capitaine à mort par les tribunaux de Zagreb, lente qualité. Mêmes observations pour voie de conséquence, avilissement des Laroche a procédé à des achats de li pour de nombreux crimes commis la Bourgogne, où la culture de la vigne prix. Or, tes frais d’exploitation, qui tres d’une valeur de 245.000 francs et M. THO M A S dans des circonstances paniculière- marque, par ailleurs, une régression ne sont guère compressibles, sont de versé 335.000 francs au poste compteNsltaonots ; Moulin Simone-Julienne-FranD’après les déclarations faites SU CC ED E A M. CHAVASTELON colie. — PortalUcr. Anne-Marle-Oornrüaemeni odieuses, ont été exécutés ce constante, mais où l’ensemble de la 6 1/2 A 7 fois plus élevés qu’avant guer courant. par le capitaine Laroche aux contribu re ». (Encore faudrait-il songer aussi Alexamlrlne récolte a été pleinement satisfaisant. matin, dans la cour de la prieon M. Thomas, professeur de chimie in tions directes, l’ensemble de ses reve Décès : Dâs&rméniens Claude, m enuisier, ' Im Champagne et l’Alsace marquent un au consommateur, qui page te vtn centrale de Zagreb où quatre p i’en- relèvement nus, solde comprise, était de 31.000 dustrielle â la Faculté des Sciences de 66 an-, 14, avenue des Bughes. — Cherd«* fois plus cher qu’en 1914.) . très net. ces avaient été dressées dans le cou ville Etienne, maçon, 78 ans. — Vidal Ma l’Université de Clermont (fondation de francs, et dans l’année 1928, i'1 a ache Les prix du vin se maintiendront-, Le bond en avant de ta production veuve Fleuret, 80 ans. — Pltlot Mari», rant de la nuit Conformément à la algérienne — bond de plus de 5 m il ils ? Selon M. Gervais, un examen àiienr té 199.000 fr. de titres et versé 137.230 l’U niversité), est nommé sur sn de ria, veuve Rivolre, 77 ans. — Vermorel Mariemande professeur de chimie à ladite Julie, veuve Dupont, 61 an«. — Jorwrd «Clau proréduré, lecture de la sentence lions 1/2 d’hectolitres — a provoqué, tif de la position du marché rnontre francs en espèces. Le juge interrogera prochainement Faculté (chaire non occupée : M. Clia- dine, épouse P errlo t, 85 ans, S. il. avait été faite aux condamnés, hier dans ta viticulture métropolitaine, un ?u’on ne saurait avoir de doute sup le LA l’officier sur l’origine de cette fortune. vastelon dernier titulaire). Plaine, 137, ru e du Uovotr. acite écoulement de là récolte. émoi dont M. P.. Gervais s’est fait, l’é m atin, 4 10 heures. L E C O IN D E L ’A G R I C U L T E U R CBiiiÆSTÉilQ! * = = M voran ire ; n;; m aintenant □ombreux peu paselcril s e rt S9ns lr Au neuvl] me quelque! cevert un pour leur n] Chailer coroa e'. pi léger avant! prises song qui lorminr net availing BiOR aux pc On s’afbl tér^ssant el Ls rrn el lourd? Mo! trois repris détint et Ef ft terre. I| round ré u s s i aul crochets d| distance, attaque ehet du envole sonl compte. Les au trl aérant les Vlez bat| rlc bat Las de Lallcai bas a«« prel Dans la rue... { T, Par ces temps froids••• FACULTÉ DES SCIENCES On demande Jeune FiOe Etat civil du 20 février 1929 ♦ ! MARC F acs de L lse-tsea , S alle de d | rue B?a| SPECTÏ THEATRE L ’o p é r s m ann. ta NOVELTY. Los J e u d is 3 h e u re s. Grorvtl Ce rxls L'Equto] J e » Frsnçalï.d T ou t P srl» p | C.ERGOVIA-F Soirée à p a t h e - c am ! 2) h. 48.1 Programm] fair« du Not] Dovv, Lew« ! Sous le S vant et pas*l d u d é se rt. Il o i o ? s et F a t f o a f. « r r s n o PAMILIA-CIf soirée à ~ Confetti, avec Pole LE MONITEUR JEU D I 2 1 -2 -2 9 Dernière Heure S M T E l t a p S ETTEliiWPB Le bal des ancien* élèves de l’Ecole professionnelle Jeudi ! £2 5 écoliers sonl heureux ! Le bal de l’Amicale aura tleu le samedi 23 février, à 22 heures, dans la •aile des fêtes de l’hôtel de ville. Le succès que rem porte ce bai ehaque année est légendaire. Cette année, tout a été prévu pour faire mieux eooore. Pour éviter à nos Invités les ri gueurs du tem ps, un service de voitu res sera assuré à partir de minuit. Les retardaitaires doivent 9e hâter de retirer leurs cartes chez ieB cama rades : M. Pécoll, libraire, avenue des EtatsUnis, 11 bis. M. Châtain, Cïerm ont-Prim es, rue Blatin, 3. M. Brousse, café, rue Ballalnvillers. 18. M. Anglade, 30, ru s Antoine-Bellet, M ontferrand. Grande promenade avec papa ou maman et visite chez B R E U L \ qui fera une belle photo pour que toute la fam il.e puisse admirer le bel uniforme du pensionnai. mm NOUVELLES DE LA RÉGION industriel, résidant à Menât ; Thouret ne p a rtie de oce biens pour couvrir Us E dm ond-C am llle, garçon charcutier ré frais d ’électrification. Un« prem ière soiqme de 40.000 tr&uos sidant à La Pacautlère ; Voyon Théodo a été versée au recoveur du syndicat ———— -- ——— _ — x— u— —— — — ^ phlle-Luoien, m enuisier, résidant à Me électrique intercom m unal; h» ve-itei dfa g*; ■ ‘» t t s ag n â t __________ sections de La Chaize e t Villevas^oux y a lieu de concentrer touB les efforts MONTAIQUT-BN-COM BRAILLES viennent d 'ê tre sigiu'es. Un second ver pour conserver celui qui existe déjà en pourra être fait sou» peu e t Nécrologie. — Nous avons appris sement prenant des m esures sévères entre le l’on envisage le versement de la tota 25, avenue des Etats-Unis. B O U R O - L tS T ir braconnage, par l’encouragem ent à la avec tristesse le décès à l âge de 36 lité de la somme fixée avant le» élec ME88EIX. — Avis aux sociétaires de destruction des oiseaux et des animaux ans de M Passelalgue Antolne-Georges, tions municipales. l’Avant-Garde. — Les sociétaires de nuisibles. A noter qu’en 1928, la socié gendarme* affecté à la brigade de SauxllAthènes, 20 février. — Des no u Avis d'enquête. — Conformément à l’A vaot-G arde sont priés de retirer leur té a distribué à ce sujet la sjm m e de anges. Une longue et douloureuse ma velles parvenues sur les in o n d a arrêté de M. le préfet en d ate du carte de membre actif pour 1929 et don 3Ü9 francs comme primes pour la des ladie avait nécessité son admission à 8nnfévrier 1920. une enqvête est ouverte tio n s e n M a c é d o in e e t en i'h r a c e ner tous renseignements utiles pour ré truction de 75 épervlers, 60 buses. 7 l’hôpital militaire de Glerm ont-Ferrand, sur le projet de reco’io:iiasan’-H dij «hogrecques, à la s u ite du d é b o r d e tablissement des licences en vue du con belettes et un renard, pour ces derniers où II décéda à la suite d’une Interven min ru ra l do Fernoel au ebom r' de Monsieur F. DESARMENIENS, employé 4 cours fédéTal des Sociétés d e .g y m n asti- la prime n’est donnée qu’entre le 1** tion chirurgicale. m e n t d e s fle u v es V a rd a r, S tr y m o n , communication numéro 4 c’e Giot l’Usine Michelin, Madame F. DESAUMELe défunt était le fils aîné de M. Pas grande ue du Puy-de-Dôme- (nom, prénoms, avril et le i " octobre, époque où la l i e s t o s e t Marilza, f o n t a p p a r a î t r e à Crocq Le proiet ci-densua visé avec XIEN3 et leur fllle; Mademoiselle Made ate et lieu de'naissance, photographie peau est inutilisable pour la fourrure. selalgue Joseph, receveur-buraliste, et les pièces à Tappit« sera déposé à la la c a ta stro p h e comme beaucoup leine CHAFFRAFX ; Monsieur et Madame Mi Ii faut respecter scrupuleusem ent la dépositaire de notre Jo»irnaî, à Montai- mairie du 19 février au 5 mar« indue chel VlRl.OGEUX; Monsieur Camille VIRLO- d’identité). p iu s étendue q u’on ne l’avait dit OEUX, attache à la Banque de France, et rtserve de chasse où le gibier pe»Jt eo gut. pour que les habitants puissent en prenFête de l'Avant-Qarde. — Dimanche «au prem ier moment. toute la famille, ont la douleur de Taire part En cette pénible circonstance, te dre connaissance tous les joug* de 11 b. reproduire en toute liberté. Enfin, 11 prochain 24 février, & 14 heures, i» l’école .1 leurs amis et connaissances de la perte .-------------------. . . D ans la vallée du Strymon, le? . M oniteur » présente aux parents, à 13 heures et de 10 à 18 beurea. faul donner des primes aux gardes et cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la pergarçons, une soirée récréative et ainsi qu’à sa veuve éplorée et aux deux Villages Manitari, M é g a lc o h o ri, A l'expiration de ce dé'ai. un romtonne de théâtrale sera donnée par les jeunes gens aux gendarme» pour stim uler leur zèle petites orphelines, ses sym pathiques missnir-* enquêteur désigné à cet effet, Agriolyko, B a lo c h o ri, Iraklia, C h a de l’Avant-Garde, sous la présidence cl aux cultivateurs pour la protection condoléancea. M o n s ie u r C la u d e DESARMENIENS recevra îi la n'airie. pondant trois le,tirs xnondos, Kolenda, V a m v a k ia , O rd’honneur du docteur Moreau, maire et des couvées de perdreaux. «avoir ; les G, 7 et 8 mars de 16 n. * En terminant. M. le président rem er M. Obulon Roger, ferronnier, élève de Menuisier monli, Klouplia Kato, Xaminlkia et conseiller général de Messeix. Cette re19 heures, les observations q u i.p o ” LAPKVROU8E. — inhuma*.«., d'un cie tous les confrères en Salnt-H ubert, régionale des Beaux-Arta, vient leur Trfcre, bcau-fréra, cncle et parent, dé lîrésentatfon est donnée au prolit de la de nombreux a u tre s sont complè l’Ecole d’ûtre venus nombreux à l’assemblée soldat. — Lundi 18 février, malgré un raien t êtro faites sur la d it projet de passer avec succès le concours d ’en cédé le 1» rôvrler 1929, et les prient «l'as* Société et de ln Caisse des écoles. te m e n t envahis par les eaux, une trée de l’Ecole nationale dos Arte déco sis ter aux obsèques qui auront lieu aujour Venez-y en grand nombre, vous ne générale et d’apporter aln9i leurs en* froid excessif, les habitants de Lapeyiartie de ces villages a v a it été ratifs de P aris (section sculpture). d'hui Jeudi 21 févrir, à dix heures, en l’égli vous en voudrez pas ! couragement» aux dirigeante de U 90» rouse formaient un cortège Imposant PONTG1BAUD se Notre-Dame du Port. derrière le cercueil de Lafar.echèrc ondée par les réfugiés greos en Nos félicitations. Prix des places : grandes personnes, ciélé. Un vioux CISTETINBS-LA-FORET. On se réunira malson mortuaire, 14, ave Etoile, soldat au 7* bataillon de chas Il va être midi, les cors donnent un Asie Mineure, grâce à raid e finan 4 —— ------nue des Bugrhes. à neuf heure» trois-quarts. r. ; enfants, 2 fr. Au hameau de Viliefec, sur la place du Terrall, pen se u ri alpins, décédé dans sa 21* année, se rv ite u r cière du gouvernem ent et su r le Les cartes seront vendues à l’entrée. concert vit h le à l’infirmerle-hôpltal d’Albertville (Pa- commune de. C isternes-la-Forêt vil pro d u it des e m p ru n ts spéciaux. A l'issue de la .représentation, un bal dant que nemroas et membres honorai vole); Ce m alheureux Jeune, homme, t doyen des garde» cham pêtres a i û t SORT res prennent 1’apérltif dans les cafés sera donné par 1a Société, dans la salle voisins. Dans la vicie de Serrés, plu A midi, 70 convives se réunis ayant «ne santé un peu délicate, a v a it, narteoant, M. Baraduc Joseph, figé de Monsieur Antonin LAROCHE; Mme veuve des fêtes de la Mairie. M. Taillardhat, sie u rs q u a rtie rs ont sérieusem ent DUMONTEIL. A Sériât; Mme et M. Henri l'accordéoniste bien connu, et dont les saient & l’Hôtel Convert, où un banquet été ajourné deux fols avant son Ineor- t <6 ans — son père était demeure iutOn parle souvent des cloisons élan souffert, d e s boulangeries et des MONTLETAjf; Mme et M. LEGER MON rLE- éloges ne sont plus à faire, sera h l’or copieux, tout â l’honneur de Mme Con poratioa Bien que faisant partie des scr- môme longtemps garde champêtre de vert, était servi, de nombreux fone vice« auxiliaires II n’a pu supporter les ! oot’.e commune, dépôts m ilitaires de farine ont été ches entre nos sdmlnistratlons. En vol TAN: Mme et M. Antonin MONTLETAN; M. chestre. Auguste CHEBANCE; Mme et M. FRADET* une : M. Baradno Joseph en exerçant scs tionnaires et présidents des sociétés lo- rigueurs du climat alpestre excessivee m p ortés par les eaux, un grand ift Lorsque Entrées : cavaliers, 3 fr. ; cavalières, CHEBANCE; Mme veuve BURIAS; Mme et le Ministre des Finances nous cales y assistaient, rehaussant par leur ment dur cette année. Il emporte ios . fonctions pendant plus de 45 ans, avre po nt tr a v e rsa n t la v o ie ferrée et fit l’agréable surprise de débarrasser M. BESAlRlE, juge de paix, et toute la fa gratuite. regrets u..animes de tous ceux qui l’ont | tout :u zele e- ie tac., désirables, a éwprésence ces agapes amicales. ont la douleur do vous faire part de Belle soirée en perspective ' p l u s i e u r s a u t r e s p o n t3 so nt dé les pensionnés de l’Etat du certificat de mille, A l’issue du banquet les cors ont connu et nous adressons nos sinr.èros , vé une nombreuse famille en cultivant perte cruelle qu’Us viennent d’éprouver vie qui, chaque trim estre, leur coûtait la condoléances à toute sa famille. i éga.em cnt la propriété qui lui vénal; f r u i t s e t les rou tes d é fo n c é e s . exécuté les sonneries des grandes en la personne do ., , , . i de scs parents. ensuite M. Chalmin, président Selon une estim ation approxi de plus en plus cher et exigeait so u fÈ & ru e d e s Gras. CtermantN chasses Acte de probité — Lundi matin, o.» Madame Aline LAROCHE vent de longues et ennuyeuses dém ar de la société, dans un disccurs très se rendant à l’école, la jeune Leschcr i v cus luj SOuhailor.s une longs;« et mative, rien que dans la plaine du ches chez les notaires, on applaudit & dmjtßvous trouverez la tmoutene h e u re u se 'vieillesse pour être 1 rêcou»née MONTLETAN applaudi a vivement remercié les convl Strymon, 10.000 hectares sont l’Initiative qui nous donnait le s livrets de la Maison-Rouge, a trouvé. ‘ pen'-’e ce son existence pleine de lo ve 9 en leur rappelant que leur présen Alice, épouse, nièce, sœur, tante et cousine, sur (a route, une certaine somme en sous les eaux, ls dégâts sont très de pension. . , leur _______ beur ce était è Bort, le 19 Tévrler 1999, à l’ft?e , une marque de sympathie à son billets de banque. Elle s’eut empressée Eh l bien, cette amélioration admi décédée Im portan ts. dscan&sncs de 61 an«, et vous prient d’assister aux ob égard. nistrative n’a pas encore pu franchir sèques qui auront lieu aujourd’hui Jeudi 21 RANDAN La v ille de C a v a lia , où sont les M éditerrannees et les retraités algé février, à dix heures, en l'église de Bort. q u a r tie r s des réfugiés et où se la très animé qui a eu lieu à l’hôtel Pev Fédération du P etit ot Moyen Com VERTAIZON riens sont encore obligés de produire, dépôt à la mairie. rot, avec l'orchestre de la Lyre da la trou vent des m agasins pleins da chaque trim estre, leur certificat de vie. Nos félicitations à la jeune Löschet merce. — Le? commerçants ot Indus SAINT • BONNET - PRES - CKAU» Dore. Lo9 danses les plus variées ont AMBERT triels du canton de Randan sont priés m archandises, est envahie p ar les Le M inistre des Finances de France et RIAT. — Timbres antituberculeux et retenu les Invités Jusqu’à One heure Alto« pour son acte de probité, d’assister à ta réunion de la. Section um« Merlus p o u r r a T ; M. et Mme Henri des billets 4e la tombola. — La vente eaux, les pertes sont évaluées à d’Algérie n’a pas encore pu faire ap qui aura lieu à la mairie (Je Randen, I« .avancée de ta nuit et;.to u s, en «e quit et leur famOle, ont la douleur 4e plusieu rs millions. Dans la vallée prouver cette m esure par le gouver FOURRAT des tim bres eutituberculem effectuée tant, se sont prom is de revenir l’année vous f i i n part du décès de 8A1NT-ELOY-LBÔ-MINE8. — Etat dimanche 24 courant, à 10 heures du ent général de l’Algérie. par le« soin* de là mairie et de l’écoie nrooh*!**. a u V àrdar les pertes sont relative nem De même, nos burèaux de poBte qui, elvll du l ,r ai; 15 février. — Naissan matin. Klonstaur M arlus POURRAT « produit la somme de 24 francs soit m ent moindres, toutefois, elles depuis longtem ps, peuvent payer les M. Chanen, expert fiscal, se tiendra, ce«. —• Munoz Victoria, Zainora Maria, Président du Tribunal de Commerce 14 franc« de 1« mairie, et 10 francs de sont considérables. pensions de retraite de l’E tat, refusent Ancien Doucet André-Roger, Caillot Alphonse- û i’îssue ae cette réunion, à la dispo CUNLHAT et de la Chambre de Commerce d’Ambert l’école. sition des membres de la Section, afin Dans la vallée de la Maritza, les de régler celles des retraités algériens. Capitaine . honoraire de l'Armée Territoriale ____________ . . . au comtAgrandissement du cimetière. — Une René reconnaissance Audinat. Cette somme a été envoyée Je signale ces deux anomalies, mais Décès. — B arathier Alphonse, 57 de leur fournir tous renseignements inondations constituent une véri té de la rue Sainte-Rose à Clermont; enquête e9t ouverte sur le projet d ’adécédé â Ambert le 80 rôvrler, dans sa 71* espoir de voir aucun changem ent ans ; Martin Annet, 48 ans ; Ouvert utiles pour déclaration de? oénéflees table calamité. De nombreux vil sans i grandissement du cimetière communal Alfred, muni des Sacrements de l’Eglise, et Ferrand N’y a-t-il pa 9» celte cloison étanche qui année, 59 ans ; Gauvln Marie-Louise, commerciaux et vérification de« feuil vous prient d'assister aux obsèques qui au P o u r ‘l'établissem ent du sanatorium, J votée par le conseil municipal, lages isolés m a nquent de vivres, sépare les deux services? — 3. Rey veuve Beaulaton, 64 ans ; transcription les d’impôts. ront lîeu demain vendredi 22 février, à neuf soixante billets de tombola, représenj m . Miolanc, conseiller d’arrondlsseles com munications par e m b arca nard. Los adhérents seront tenus d’être heures trole-quarts, dans l'église d’Ambert. tant la somme de 300 francs ont été , ment, maire de La Ohapelle-Agnon, Ducros Antoine, 72 ans, décédé à Paris. tions ou par bacs étant impossi Ni fleurs, ni couronnes. — Crolsier Jean-Joseph porteurs de leurs cartes ; ceux qui a? ■» placés par les soins de M. de Tarrieux, j nommé com m issaire-enquêteur par ar- el Mariages. les possèdent pas encore pourront les Vincendon Laure ; Brunet Alexlsbles. Hier, deux avions ont pu j e roaire et de aon secrétaire. rêté de M. le sous-préfet de Thiers* Louis réclamer au trésorier pendant la réu et Peynot H enriette-Augustlne ; ter des sacs de vivres dans quel ESPINA88E Ambert, en date du 9 février i929, re_______ Blbllothèque eeolalre et populaire. • | cevra mairie de Cunlhat, le m er- Freidriclr Franciszek et Gataszlk Ma nion. ques villages. Dans les districts ' Mme Francisque BRUNEI.; Mlle France 27 févr!er ae 9 h. à midi, les rianne ; Laclée Jean et Renée Marcelle ; de Dedeagaioh, D idym otéiohen/ Les Poilus d'OrlenL — B sst rappelé aux BRUNEI.; M. et Mme BLANCHON-MARTIN; La bibliothèque s’est enrichie de non»8AINT-PRIE8T-BRAMEFANT.— Bon ramilles BRUNEL. THUEL, NOUHEN breux ouvrages grâce aux ressources , d|5(.jaratlons individuelles des habitants Audlntt Alfred et Redon Clémence. a u x éo o les. — Grâce à M. Dufraisse, Souffli, Orestil9, un nombreux bé sociétaires que la fête annuelle de l'Asso les COmmune tant en faveur qtip conciation aura Ueu le samedi 9 mars 1929. BLANCHON, MARTIN, ont la douleur de vous q*:c l’école a su se créer. Les person- (] Arrestation. — La gendarmerie de l’actif et dévoué délégué cantonal, et a tail a péri. nes avides de lecture pourront se sa- lP^*lP r „oipt EUe consistera en un banquet, auquel las faire part de la perte cruelle qu’ils vleo Salnt-Eloy a mis en état d ’arrestation i’intervention heureuse de M. elem en O n c r a i n t d e s in o n d a t io n s plus dames sont particulièrement priées d’assis aent d’éprouver en la personne de tisfaire en usant du service des prêts j ■ J et conduit à la maison d’arrêt de Riom, tal, les écoles de la commune viennent qui fonctionne régulièrem ent. | ' g r a v e s e n c o re , a u m o m e n t de la ter. qui aura lieu S 19 b. 30 dans les salons M onsieur F rancisque BRUNEL les nommés Kyzl Francisck, â g è d e 33 d ’être dotées do deux eartc-s m» .raies du Gastronome. f o n te d e s n e ig e s d a n s le s m o n t a Lo banquet sera suivi â dix heures d un ans et Sadilek Alois, âgé de 26 ans. du Puy-de-Dôme. Félicitons M. DiiSoirée récréative. — Dans la soirée > Négociant g n e s b u lg a r e s . D es in o n d a tio n s bal pour les so’**'** tass, leur famille et leurs tous deux sujets tchécoslovaques qui, fraisse de l’heureux résultat de sos du M ardi-Gras, une séance de cinéma Les c s i^ s d’tnvttatVon seront rigou leur époux, père, gendre, frère, beau-frère, a été organisée à la mairie. Les 01m? : à l’hôtel Moderne et du Centre se sont démarches. SM IX 1L L Ä N G E 8 9 o n t s ig n a lé e s é g a le m e n t d a n s le invités. oncle, neveu et cousin, décédé après une reusement exigées a l’entrée du bal. v e r n e t - LA - VARENNC. — rendus corpalbles de vol de bouteilles P é lo p o n è s e e t la T h c s s a i ie . Il e s t On peut dès maintenant retirer les cartes courte maladie, dans sa 48* année, et vous étalent des mieux choisis. Cependant à ; Pour de liqueurs. im p o s s ib le e n ce m o m e n t, d e d o n de banquet et de bal au siège social, café prient d’assister A ses obsèques qui auront cause du froid intense qui sévissait i E;nêma scolaire ot populaire. Ces deux individus en train de con Brousse, rue BalialnvUliera. Les inscriptions lieu demain vendredi 22 courant, à dix heu-20* — les spectateurs ont été moins perm ettre aux nombreuses personnes n e r le c h iffre g lo b a l d e s pertes pour le banquet seront reçues Jusqu’au Jeu ree, en l’église d’Esplnasse (Puy-de-Dôme) nombreux de vin roug.? rouge ont que d’habitude. La popula qui par suit« du mauvais temps n’ont sommer une cnopine do Q ne sera pas envoyé de lettre de faire PONT-DE-DORE. — Le bal des che q u i d o iv e n t a tt e in d r e p lu s ie u i9 di 23 rôvrler Inclusivement. tion espère que le cinématographe ne uu ’assister à la séance de dimanche profité de l’absence de Mme 0 0 °^®port, le présent avis en tenant Ueu. c e n ta in e s de m illio n s de d ra c h ûc-rnier ur.e nouvelle séanoe de cinébaud, appelée au téléphone pour subli minots. — Le bal des chem inds de Anciens combattants du 868* régiment l’oubliera pas et qu’un« prochaine séan Pont-de-D ore, organisé au profit d’»> m e s . Le g o u v e r n e m e n t a pris, d’lnf«nt.»rle (Région do Clermont-Ferrand). ma aura lieu le dimanche 24 février User des boutellleg de liqueurs, mais ce sera organisés. Avec le concours des sociétés soeurs des Lff MONT-OORC à 14 h. 30. Rappelons que l’on passera dane leur précipitation Us en ont échap- ne œuvre de bienfaisance qui devait d ’u r g e n c e to u te s le s m e s u r e s , pour — 158* ete 358* régiments d ’inr&nteMe A Pa « Le Stigmate » grand film dram atique pé deux qr.iJ se 6ont brisées sur le avoir lieu ie 16 courant est renvoyé par U. et Mme Félix BRUGIERE-CHAUCIIAT v e n ir en a id e a u x s i n i s t r é s . ris, Lyon, Eplnai, Grenoble et Clermont-Fer suite du mauvais temps, aur«. lieu le V IO -L E -C O M T E en six épisodes, plancher, oe qui « donné 1 ailerte. M. Pierre BRUGIERE; Mme veuve GOY rand, U a ôté décidé de réunir en Juin 1929 — > samedi 23 courant, à Pont-de-D ore, à Le 3 LAPS. — Fête patronale. les camarades sociétaires ou non ainsi que POUZET, ses enrants et petlts-enfanta; Mme Marché du 19 février. — Peu fcnpor- j Réunion du Conseil municipal. — Le 20 h. 30, salle Dosgheat. tours ramilles et omis. Ils effectueront une veuve POUZET-BONY et *cs enrsnts; M février, notre commune célébrait vê Nombreux ceux qui se donneront excursion de deux Jours dans les sites at- Jean FOURNIER-RABETï E et ses enfants, le patronale : Salnly$laise. La fête était tant, par suite de son renvoi et de la 57 février 1929, & 9 heures du matin, t'ayants de la région grenobloise (Les grandi les familiee- BRUGIERE et POUZET, ont la annoncée dès la veille, par une bril foire de Sauxillànges qui se tenait la h e Conseil municipal a’est réuni au lieu rendez-vous afin de passer une agréedouleur de vous faire part de la perte cruelle Goulets et la Grande Chartreuse). La cara ble soirée et de to» rnoyer grâce à une veilHe. Peu de marchands étalagistes, ordinaire de ses séances, so»;s la preBOX B vane sera reçue par la société des anciens qu’tla viennent d'éprouver en la personne de lante retraite aux flambeaux. l’harmonique de Thiers » qui a bleO Le dimanche, malgré un frovd très ltaix élevé?. Certains veam ont dépas- g i^ n o e de M Blano Gabriel, maire, combattants d es 138 et 368* R. L de la digne d’éloges, qu’est la « PhiM. J e a n B R U G IE R E -P O U Z E T ..L toute la Jeunesse des environs s’ô sé le cours de 5 francs la livre, les | Etaient présents : Ohassagnette Jae musique région des Alpes, 8 Grenoble. voulu prêter gracieusem ent son con que», Durln Alexis, adjoints au maire Cette manifestation revêtira un caractère Propriétaire tait donnée rendez-vous à Benaud, Il pores 3,50. Paris, 20 février. — La réunion pu- solennel en raison du dlxlèmo anniversaire _________ Roche, Romain, Bonnet, Tauveron. cours. s ’agissait d’inaugurer une très belle gilistlque de la salie W agram avait do la libération Ces Poilus et do ta forma pieusement décédé dans aa 88* année, et salle de bal, au restaurant Fiat. Chardonnet Louis, Ghardonnet Claude, prient d’assister 4 ses obsèquoi qui au attiré ce soir un public très nombreux tion des amicales. Nous ne saurions trop en vous Montjotln François. Bennegent J.-B., LEZOUX P ar une délicate et pieuse pensée nos les rôfractalres à l’union 3 se grou ront lieu en l’église du Mont-Dora, veau « .rto u t pour assister à la ren gager Lhomet, D ubousset. . vendredi 22 février, à dix heures. NERONDE. Conseil muniolpal. — conscrits : Biaise Dauplat et Georges per dans les sociétés de leur régiment res contre opposant les deux poids mou pectif et pour cela demander tous rensei Foire do 3 Cendres. — Il est ra p p e lé .... M. Chardonnet Louis a H é désigné Le 17 février 1929, le Conseil m unici Blanchon déposèrent une sr-perbe ger che français Marcel Huai et Challenge gnements au président, Eug. Bereger, 64 que la foire des Cendres, qui n’a pu I secrétaire, pal s ’est assemblé au lieu ordinaire de be de fleurs nu pied du monument aux QUARANTAINE qui tous deux aspirent à être oppose« bta, rue do Marseille, h Lyon; aux camara séance ouverte, M. le Maire sou ses séances, sous la présidence de M m orts, décoré pour la circonstance, de avoir lieu par suite du mauvais temps, des Bern!, 98, rue Vermenouze, Clermontà Pîadner. M. et Mme Louis BANY et toute tour fa plantes vertes, de gulrtandes e* de dra est reportée au samedi 23 février, I au Conseil les demandes d’assis- le Maire. Cette foire, une des meilleures ae aux femmes en couches. Après Avant le combat, les champions du Ferrand; Roux, fleura, place Royale, Cler mille vous prient de bien vouloir assister * peaux tricolores. Etalent présents : MM. Barge, m aire; l'office de quarantaine de lour fltte monde Frankie Genaro et Pladner qui mont-Ferrand. i’année. sera certainem ent très bien «p-1 examen le Conseil donne «vis favorable Prugne, Le bal dura toute la nuit et la fête adjoint ; Boiteux, Reynordt Amicale dre ancien» du 63* d’arttllarl». — provisionnée en bestiaux, chevaux, s a u | ^ ^4 demandes. doivent se rencontrer prochainem ent, ANDRÉ* continua 1« lundi. Railière, Subecière. Il est rapoelé aux anciens des 63*. 253* et vagincs, soies et oignons, eto., furent présentée eu pubiie. Assistance médicale gratuits : Sept Ducroiz, Absent« : MM. Vallenet, Desplanas, d’oruilerle quo c ’est ce Jour qu’expire qui aura lien 1« samedi 23 février, i neuf Aoeldent. — Lundi 18 courant, Mlle Le prem ier round est asses égal et 263* acceptées. le délai pour se raine Inscrire au banquet de heures précise», eo l’égllae Salot-Vincent- Antonine Lacroix, figée de 68 ena, du< Société lyrique. — La société Lyri demandes Andrleu. le* deux boxeurs s ’observent Assistance ai;x familles nom breuses: dimanche prochain. 94. Avis aux retardatai de-Paul. M. Boiteux, ayant été désigné pour village des Moines, tomba g! m alencon que donnera, dimanche 24 février, Le deuxièm e ro*.nd est mené lente res l t demandes acceptées. les fonctions, les a acceptées. treusem ent, «u pied de son escalier tout 14 heure? 30, salie des fêtes, un con Rassemblement i 11 heures pour l’apôrltir Assistance aux Incurables : 1 de remplir ment. cert vocal et instrum ental au bénéfl R épartiteurs. — L’Assemblée dresse gelé, qu’elle se casâa une jam be. Atti La troisième reorise est à l’a v a n ta au csfé du Olobe, et banquet fc midi au Ter mande acceptée. la liste des répartiteurs' qui seront La sauterie, avec Jazz réputé et sur rés par se 3 gémissements, les voisins ce du sanatorium départem ental. Sursis d’incorporation pour continua nommés ge de Huat qui réussit plusieurs cro minus. Lo concert sera suivi d v n e sauterie po*:r un an. du i*r mol 1929 es: exclusivement réservée aux mem s ’em pressèrent de la m onter dons son tion d’études : 1 demande acoeptée. ch ets du droit à ia mâchoire. Rion de prises, bre.» de l’Amicale e t aux seuls invités 4» ces au 30 avril 1930. lit et appelèrent en liftto le docteur La salle sera chauffée. Entrée gratuite. bien m arquant au cours du quatrièm e membre«. — Adduction d’eau. — Le Maire ex M. et Mme Louis JOUISHOMMS; M. çt M alterre, de Vic-le-Corote, qui réduisit Le programme sera publié ultérieure Ont été nommés : round, les boxeurs m anquant de com Mme André ROCHE, leurs filles et toute le pose au Conseil que toutes les forma ment. i* Titulaires. — MM. Ubine Je&nCONVOCATIONS bativité. famille, remercient bien sincèrement toutes la fracture. lités de plaidoirie sont m aintenant te r Marie, Pierreyrosse Claude, Ohevarin A la cinquième reprise, Challenge Rallye le» Démee. — En raison du mauvais l»s personnels qui leur ont témoigné de ia MARSAT. — Banquet de la Soolétê minées en ce qui concerne la procé Henri, DelarboulaB Etienne ; Chèze An «vmpathle t l’occasîoo du deuü cruel qui nttaclie Huat, qui rom pt ou se réfugie tenqu, ta répétition de ce soir est supprimée. 8ALLEDI8. — Obsèques. — Lundi de Chasse. — Dimanche 10 février, dure d ’expropriation des «uurçe 9 et tonin. Oeneste Camille. vient de les frapper. !e ulus souvent dans le corp* à corps. 18 février, ont eu lieu les obsèques ce te? chassu rs de • La St-H ubert de terrains nécessaires à 1 exécution au Amicale Contalienne. — Aujourd’hui Jeu 2* Supp'éants. — MM. Benoît Pierre, fîuat roprend le m eilleur au sixième di 21 février, de 80 8 99 heures, permanen Mme veuvo R o 'h ette, née Jean n e Mo ul- Marsat » se réunissaient en un banquet projet d’adduotlon d’eau potable ; Marius, T arragnat Henri, Sauround. Challenge encaisse plusieurs ce A 1’ « Oustoû », 10, rue Msrôcnal-Jotrre. laud. décédé« à Crimps, rprès une lan amical au café Levadoux-Cey 6sat, sous QU’j] y « neu de payer lep honoraires 7Railière .et Jean. Arcbimbaud Jean - Maris. DeDimanche prochain, à onze heures, spérlcrochets très seca à la face. Huat se la présidence de M. Vidal, trésorier e t! ,jUg aux avoué et avocat du ressort de gue m aladie, à l’âee de 78 ans. Couronne« mortuaire«, 21, av. Oharrae m ontre moins fougueux que son ad ttr mensuel, â 1a permanence. délégué de ia Fédération des Sociétés Hiom, au conservateur des hypothèques laire Jcan-M aric. versaire; mai9 pius sr ient!flque. Boxant 3* Forains titulaires. — MM. Mery Syndicat de la Voiture. — Les ouvriers de Chasse du Puy-de-Dôme. et à M* Morlllot, avocat à la Cour de m aintenant à distance, il marque do «barrons. Toréerons, tôliers, menuisiers, Gabriel, à Courpière ; Vireveaux Ga Une vingtaine de convives firent h o n -I Cassation, nombreux points, mais le combat est peintres, garnlsseurs, sont priés d'assister à neur h. l'excellent menu qui fut, comLe Conseil municipal examine les bt iel, b. Sauviat ; Delaigue Claude, à la réunion qui aura Ueu demain vendredi 22 peu passionnant et les 7* s* 8* rounds courant, me il est d’habitude chez M. Levadoux, | mémoires et les estime conforme au Pcschadoires ; Borel Jean-Françols, E à 18 h. SO, Bourse du travail, Mai MARSAC E N L IV R A D O S 8 . — Réu sen t sans Intérêt. Escoutoux. > son du peupSe. à C îe ? tr.o n t-F d , r a i s o n s a n té , nion de l'U. N. C. — Le dimanche 17 ^ ceulcnt et très bien servi. La p lui travail fourni et à l’importance de l’afAu neuvième round, le com bat s’ani 4* Forains suppléants. — MM. Lsir» CGtâitfERCE TO ILES, LINGE, février, à 10 heures, les anciens corn- rranche camaraderie ne cessa de r?- fâjre> en décide le mandatement, Amloale de» philatéllstee moyens et dé me quelque peu, les deux boxeurä re Le Maire appelle ensrile l’attention raison, aux Giliberts commune d’Ee— Assemblée générale de lu section battants de la cotninune so sont réu- irner et des anecdotes de chasse, trè s ! TRO USSEA UX , FOURNITURES cevant un averties» nient de l’arbitre butants. dimanche 24 février, t 9 b. 30, dane le local nia à la mairie en assemblée generale, drôles pour être toujours véritables. (ju Conseil municipal sur 1 opportunité coutoux ; Pollagct Florian ft Thiers ; H O TELS, g ro s , 1 /2 g ro s , d é pour leur non combativité. firent les frais de la conversation. j de la dispense de rem plir les formall- Delafoulhouze Annct, ft Pechodolres ; habituel, c'est-à-dire dans la salle du pre sou« la présidence de M. Ciémençat. Challenge réussit quelques séries æi mier étage du clném 3 Oergovia, mise 8 notre ta il. C lie n tè le a s s u r é e . M aiso n Au dessert, M. Levadoux, président J tés de purge des hypothèques à l’ègard Bourguignon, ft Courpiere. Il est donné lecture du compte ren corps et prend au dixième round un disposition par le si sympathique directeur fo n d é e en 1852. P rix à d é b a tt r e . — Vote d’un secours aux indigent.«. du financier de la Société au cours de de la Société, prit la parole. Il rem er- du droit de passage des canalisation» léger avantage. Les deux de-nières re de cet établissement. cia M. Vidai d’avoir bien voulu accep- relatives à l'addtiCTion d’eau potable de — Le Conseil alloue un secours da G r a n d e s f a c ilité s . P o u r r e n s e il'année 1928. prises sor{ plus raouveulentéos. Huat ter l’invitation qui iui avait été faite, ia ville de Salnt-Eloy, et de l’acqutsl- 80 francs pris sur le produit des con g n e m e n is e t tr a it o r , s ’a d r e s s e r Ensuite, il est procédé par vote au qui termine très fort s ’assure un a«sez rotraea i’œuvre accomplie depuis deux non nécessaire de» terrains atiles à cessions du cimetière à huit familles renouvellem ent du bureau. i M. C. CAILLOT, 2. p la c e d ’E s net avantage et se volt donner Ut déci Ont été élus : M. Joseph Roussel, ans et souligna la bonne entente exis- I {’aménagement dpg regards de Jonction nécessiteuses de la commune. n ig n e , C le r m o n t- F d , té l. 1 3 -3 6 . sion aux points. concernant les propriétaires figurant mutilé, chevalier de la Lécnon d’hon lar.t avec la Société de Riom, grâce au I — Révision de la liste d’&9si6tance On s’attendait à un combat plus In neur, président ; MM. Mareynat Mau caractère affabie de son président, M. j «y tableau du projet. médicale. — L’Assemblée procède h *4 téressan t enire ces de*.:x boxeurâ. Perelti et des membres de son bureau. J conseil municipal, considérant revision do la liste jta??lstance m édi QERZAT rice et Forestier Pierre, vice-prési La rencontre entro les poids mij ^ a t civil des propriétaires déstdents ; M. Ora9 trésorier ; M. Loau- Ii annon ç a un peu de rêpopulation pour ale gialu to pour le 2 * tr in W r r . CtoBAL DES COKSCMT8. — C'est di lottrds Moret et Egrel, ne lura que ^ “ Igné» au tableau du projet, leur solva- ta-ci a été maintenue toile qu’elle a ét4 R F S P 3 0 U S S et.lN E â roy Joseph, secretaire ; M. Bâtisse An cclfe apnée et la création trois reprises. Moret attaque dès 1« manche 24 février qu'aura Heu, salle de serve. Après avoir rem ercié les enasI ».imx nnt/Ur« l’oriir'ne de leurs nrotoine. secrétaire adjoint. établie pour le premier trim estre, sans début et Egrel, su r tire poussée tombe l’Hôtel Avel, le bal des conscrits orga L’élection terminée, tous les com addition ni radiation. TWWI 5AVON»»FeuiLL£3 A terre. Il «e relève aussitôt et le nisé par la classe 1930. b attants s ’em pressent de verser leur OANJ VOS MAINS Cette charm ante soirée, qui tous les — Vœu. — Après lecture d’une let round se poursuit as9e2 égal. Egrel M O U U .U IJ --cotisation pour i’année 1929. f tfti U*M tre de M. le Receveur de Contributions réussit au deuxième round n» elques ans met la joie dans les esprits, sera t r\____ ces formalités entraîneraient La séance e9t alors levée. indirectes, concernant la taxe rt’abata» ■ ie» Mousse i crochets du gauche et tient Moret à cette année encore magnifique. des lenteurs et augm enteraient Inutile ge at vslOutb* A co jour, une cenlaine de com bat proppêrHé de la Société. Dans un décor tout à frit nouveau, un sur les anfmsi x tués à la ferme, le distance. Au troisièm e round, M orît M. Vidal adressa, à son tour, ses re ment les frais ; tants ont ver9é leur cotisation annuelle. orchestre des mieux choisis, sous ia su r les doléances de plusieurs attaque A foute allure et. su r un orow " ’"'ïtZZT-'ÏSZômcrciemcnls à la Société et ft son pré Lélibère par ces motifs qu’il y a lieu Conseil, direction de M. Béraud, exécutera dan cultivateurs, propriétaires, fermiers ou sident de leur aimable invitation, fit de disoenser M. le Maire de rem ptlr les ehet du d oit, très dur à l'estomRc, I ÔOfMJJ} »lÉBNj ses nouvelles et danses anciennes qui, métayers, demande aux pouvoirs pcune petite causerlp s r r ta Fédération formalités de purge des •hypothèm es. ARLANO envoie 3on adversaire au taph» pour le i # GfCTM&Miia espérons-le, contenteront la nombreuse nlicsi de faire supprim er la taxe d’abasur la création compte. ....... --, . , des-, réserves . 1 conventionnelles Judiciaires et légales Société de ohasse. — L'association et insista Les autres combats do la soirée don- assistance. et ta restrcltion volontaire. « Sans oels, k pètrard de l’acqufsltion et droit dont tapo due sur les bœ ufs vaches, tau amicale des chasseurs du canlon d’ArLes organisateurs n’ayant rien négligé reaux, veaux, moutons, Icrsoue eeux-cl Bèrent les résultats suivants : lanc a tenu son assemblée générale dl- ciit-II. non? en serons réduits à tire r I ^ g'a p.ji et lui «ccordo à ce» effet Tau «ont abattus per le 9 proprlétatrts pour l Vlcz bat F errier aux points: Frédé ponr que le bol de la classe 1930 laisse j torlsatîon nécessaire sous réserve de menche 10 février, à 9 h. 30 dans une les moineaux en puise de perdrix • un souvenir inoubliable, nous espérons leur consommation familiale. L’Assettiric bat Lascoux aux oo nrs: Ktinter bat Le3 chanteurs, et .ls sont nombreux I «approbation administrative. »alle do la mairie, mise gracieusem ent blée, considérant cette to re comme d e Lalleau p ar disquel floation pour que danseurs ot danseuses ne manque à la disposition de la société. frîa im rt. c f tw ir » MM. ~ "oarnltüres sco'.lre,. _ Eta rat- vexatoire, puisque le prooriétalre os ront pas d'assister à cette agréable solbas au prem ier rcund. dos o u v r i e r s T O L IE R 8 Le» chasseurs célébraient en même ____________ ^ r o h x l l dI?e»^fourmîes peut disposer librem ent d’un ehnpel lui — r » ---------------------- ré». temps la Saint-H ubert. et, cette fête a Concile.' Chiataln dé Labareyre P ourchez M. CT.UZEL, 15, r. du Nord s X  r t l ï * Ub?atî? ft appartenant pour la nourriture d« sa donné à la cité d ’Ariane, une animation tier Marius ainsi que le oomlqds hltoteiAROQUINSRIE DE L U X * famille. *' •. ■ OHANAT Inaccoutumée. .• S a c s de d a m e s , s o u s - m a i n s , Arirès ru e netlte sauterie Intime en- «*}»*• »♦«»A six heures, les dévoués musiciens FETE DES SAPEURS-POMPIERS. — | iT«00^leg 11 fournit*'res pour l’exercice I J s e u s e s , b u v a rd s , p o r te fe u llio s , 8 AINT-REM Y-SU R-DUROLLB C’est le dimanche 10 février qu’eut Heu, />» , • n„_ J . n * . de la Lyre de la Dore, sonnaient le ré tre le? membres de la Société et fam'lles, on so sépara en se donnant fier S a lle de dénêohes d u R lo n lte u r, 57. à l’hôtel S anitas-Perol, la fête des sa- j U D S e r v a t G i r e ÜU r l i y d e L fO m e veil en cor3 de chasse. 1929 et autorise le maire ft passer un CELLES. — Sanatorium ant’tubercurendoz-vous pour f’an prochain. r u e B îa tln . A 9 h. 45 la salle où avait lien la peurs-pom piers, présidée par noire traité de gré ft gré avec cette dernière. leux. — Une séance cinémau-graphlrôMiion é ta it’comble; nombreux étaient sym pathique maire. M. Levray Jule3. -- ■ > ------------------------------------B ulletin m étéorologique du 20 février —• Construction de l’abattoir. —■ Le que ayant été donnée par l’œuvre du Le menu soigné et abondant, arrosé venus les chasseurs de la région pour ENNtZZAI I Conseil municipal décide ta désignation cinéma scolaire de 9 écoles publiques d’un bon petit vin du pays, satisfit les j entendre comme les année? précéden de Celles « i profit du sanatorium anti Utiass' ?.#■ Mm fins gourm et« et les m eilleurs appé SA!NT-BEAUZIRE. — Famille« nomt o v S * * tuberculeux du Puy-de-Dôme, une tes les bon» conseils du président-fon Le public est informé u ffin ir dateur de cette belle association qui b r e n ts . THEATRE KUNICIPAI Soirée à 20 I». 80. tits. La p'us franche cam araderie ne somme de cent francs a pu être dis 641 5 L’opère fentastiqtM : Lee Cor. ta» «'Hoff cessa de régner pendant tout le repas, g / .Minuit................... • 732 6 roupe 120 membres actifs et près de qu’une réunion dans le but de former cut,on d# lravaux de 1 traite des recettes pour rach at d'ua 641 9 3.1 3 mann. qui se termina par de nombreux chants ; in heures du matin. une se-*! ion des familles nombreuses doit Vente 4u timbre antituberculeux. — 00 mem bres honoraires. carnet de billets de la tombola. 643 2 734 3 NOVELTY. — Toue les «cire à S h. 80. — et u n .b a l endiablé, auquel assistaient g ) Midi........................... Il s'agissait d'abord de renouveler le avoir lieu h la Mairie, le dimanche 24 fé- Le Comité de 1« Vente du Timbre anNo» rem erciem ents ft toutes le9 per 6-13 6 Lee Jeudis, dimanche» et fêtes, mâtiné» à toute la jeunessp de Chanat et des en a. 16 heure? du «olr. 73» 6 ricr, à 10 heures. Lnc conférence sera tituberculeux de St-E!oy prie les tnstl- sonnes qui, par leur obole, auront ap bureau qui a été réélu à i’unanirnité, 3 heures. virons. ainsi que des papas cl des ma faiic par un délégué du Comité central, mteurg des communes des cantons de sauf le trésorier adjoint. M. Lncombe, porté un peu de santé aux malh<v re u Grand Ce.’» d» Cinéma. Le superfllm fran mans, heureux de revivre un instant - 8 0 Les pères de trois enfants et plus sont pîonsat et Montalgut, qui n’auralem ses victimes de ce terrible fléau qu'est /M in uit....................... - 7 3 qui avait exprimé le désir d" se retirer; çais L'Equipaao, dédié * A la dlolre des Al-8 0 9 5 leur prime jeunesse. cordta'emont invités ft assister ft cette pas encore envoyé le« résultats de I« * i 6 heures du matin. Il a été remplacé par M. Raby, rece S-9 Françaises ». Le film qui a fait courir la tuberculose. - 2 4 0 4 A l’issue du banquet, notre Jeune et | ) Midi........................... conférence où II leur sera démontré les vente du timbre, de bien vouloir le Tout Part» pendant de nombreuses «nmeln*s veur d'enregistrem ent. - fi 3 avantages de l’association et leuTS droits faire le pms têt possible en adressant Après avoir exposé le rapport moral, CERÛOVIA-PALACff. — Rstlnée à 1« h. 30 ! dévoué sous-lleulenant, Miche) Mazaye, â 4 6 heures du «olr - 2 3 eut la louable Initiative de faire, parmi £ [M inim a..................... - l t 0 - 8 0 ces résultats à M. Mlchard, l'recteur faisant conaltr« la marche toujours ac que beaucoup ignorent. Soirée à 20 b. 45. 2 3 - 2 « d'école à St-Eloy-les-Mlnes. tive et prospère de la société. M. Chal RATHE-CAMEO. — A 14 heure«, »«Unies « les convives et les danseurs, une quête \ Maxima. •• • • - • au profit des aveugles, qui produisit min, président, a donné lecture de plu 20 h. 48, «olrée. .... 68 66 MENAT Prvgramme du 15 au ? i février. — L Af la somme de 50 franc«. M in u it.. . . . . • • sieurs lettres d’un membre le la socié 87 PONTAUMUR 90 faire du Royal Palace, comédie, avec Btnie 6 h e u re s du m atin. Recensement des Jeunes gens de la té, lettres dont les term es ont été ré 66 Dove. Lewis Stone et Lloyd Huphea 35 FERNOEL. — Conseil muniolpal. — 1r* fraction de la classe 1928. — Bon prouvés par tous les auditeurs. M id i........................ Sou« le Regard d’Allah, un draina émou Pour assurer à chaque départe 70 67 .D ans sa dernière séance le oonaeil muagrl 6 heures du soir Le président donne ensuite le compte ne! Théodore-O ilbert, domestique vant «t paaelonna.it dan* 's f r LanJL*^* régionales _______ à Ayat : Champomier nicipal a approuvé les plan et rapport rendu financier, lequel est très satis colc. résidant du désert. Interprété par Rlebard Ba. nrt- ment des chroniques PLEAUX Pluie ou neige ( le nm ri et Patav Rutb Miller. — C«mio-J«ue- abondantes et variées, le Moniteur faisant ; l’actif de la société s’élève à Francisque-M ichel. cultivateur, résidant d'expert établis en vue de l’aliénation s » s s è \X a n n î • U n u c a a l H o n f l H nm A flti/TîiP 1 n a r f i A A&m. K io n c d v x m m iin a ïf« «9a Chez les mutilés. — La section can midi à m id i).. boI. organ« d’lnfo*matlr>n par I écran ft Menât ; Houssat Henri, domestique d'une partie des biens oommunaux de 5.000 flrancs y compris les subventions tonale des victimes de ln guerre s'est MMILIA-CIMRMA. — Mâtiné« à 14 h. SO; publie tous les fours trois éditions Venl « m id i .. . . 0. pr soi -KE.'ia» à recevoir au début de l’annéo 1929. agricole, résidant ft Menât ; Mansat Barges. réunie ft Pleaux, dans une des toiles Toutes les sections se trouvent avoir ■olrée à 24 h. SO. concernant le Puy-de-Dôme, VAllier Il considère ensuite que vre le prix Hcnri-Gabriel, cultivateur, résidant à Confetti, comédie; Hôtel impérial, drame prohibitif du gibier de repeuplem ent, 11 Menât ; Nicolas Emiîe-Antolne-Marie. I ainsi réalisé ou décidé l’aliénation d’u- de l’école primaire supérieure, dimanche Baromètre è midi (niveau mer); 772s ' f c = LES ••Manner ===== INONDATIONS EN MACEDOINE Edition de Puy-de-Dôme CLERMONT-FERRAND AVIS-DE DECES 3 Ecole régionale des Beaux-Ârts Î Les retraités algériens L a m a z ie r e AVIS ET CONVOCATIONS ISSOIRE THiERS L A V IE S P O R T I V E HUAT BAT CHALLENGE RIOM REMERCIEMENTS AMBERT A CEDER"' BANLIEUE DE CLERMONT-Fd & S IH E T T R ON DEMANDE SPECTACLES ET CONCERTS ? MAURIAC avec Pata heart r€t la Haute-Loire 1 EKE dernier, sous ia pecsiden*» da M. Pieae P arra, in s titu te u r.. ' Mulgré le mauvais tem ps, iss membres do in Société étaient venus nombreux de toutes les communes. Lo procès-verbal de la dernière séance a été approuvé, ainsi que le compte rendu financier qui m ontre que la Société est en progrès constant. Les- membres du bureau rééliglbles ont été réélu 3 à l’unanim ité. On passe ensuite à la discussion de Tordre du jo u r : l ù En ce qui concerne l’affiliation des Sociétés d’anciens com battants qui exis tent dans Le canton de Pleaux, en vue de mener une action commune pour obtenir du Parlem ent Le vote rapide de la loi créant la -re tra ite du com battant, il est décide que les Sociétés qui ne font pas partie d’aucun groupem ent et qui sont au nom bre de sis, enverront des délégués pour discuter avec la So ciété df s intérêts communs tout en gar dant leur indépendance. 2 a Qa’il serait créé une section can tonale d’anciens com battant» qui réuni ra it tous - le» anciens com battants des communes dans lesquelles il n’existerait pas de Société ou qui, ayant une Société affiliée h un au tre groupem ent, ne vou«Iraient pas en faire partie. ?i. Maury, entrepreneur à P k an x , a été élu vice-président. La parole est eosnite donnée ft M. Mryroncnc, percepteur h Vic-sur-Cère, qui expose avec une grande clarté le fonctionnem ent et les avantages de la caisse mutuelle de retraite des anciens com battants et victimes de la guerre e t engage vivement Les mem bres présents de la Société à en faire partie. Une section cantonale est créée, dont Le bureau est ain si constitué : M. Charles, notaire et m aire de SainteUulalie, président ; M. Garde, fils de la mnatifiqnf institutrice de Loupiac, se crétaire ; M. Paul Gineate, sabotier k PI eaux, trésorier. ia séance est levée k 1 ? heures. R IO M -E S -M O N T A Q N E Voies nouvelle«. — La m uniôîpali'é vient de recevoir copie officielle du dé cret présidentiel déclarant d’utilité pu blique ic projet do créât ion, à Riooa-èsMontagnc, ds quatro nouvelles rues. Téléphona. — S ur ia proposition de M. le Maire, le Conseil *£unie?pal a dé- ■BKHBa a Le statut des coopératives agricoles L JE U D I 2 1 - 2 - 2 9 L E M O fillTEU B E S A M I F E S T Ä .T T O N H ‘S P O R T I V E Office départemental des P u p ille s de la N ation du Puy-de-Dôme S P a r is , 30. fé v rie r. — L a C om m is sio n s é n a to ria le de l ’A g ric u ltu re a VISITE SEM ESTRIELLE e x a m in é l a q u e stio n d u s t a tu t de?, i i i i i i i i i i M i i i u i K t u i a H i i i • ( • • t a i t »«o«■••a*»*» OU CONTROLEUR MEDICAL DES c o o p é ra tiv e s a g ric o le s et en p a r tic u PU PIL L E S ÛE LA NATION L E RSATCH E N T R E M IL IT A IR E S l i e r ’ La ■c o m p o sitio n d e la co m m is L E MATCH A. S. M .-L O U R D E S A U J O U R D ’H U I sio n n o m m é s p a r le d écret d u 115 fé Le- p ré fe t d u Puy-de-Dùxno, presi .cn t DE D IM A NCHE ! D ’A U JO U R D ’HUI CHAMPIONNAT MILITAIRE v rie r 1909 p o u r é ta b lir le s ta tu t fis do l'Office d é p a rte m e n ta l des pupilles Nous rappelons q a ’a u jo u rd ’hul A cio la n a tio n , a l’bonncui de recom m an Le program m e de réouverture du sta c al d e ces c o o p érativ es. A CLERMONT, stade de i’A.S M. — res très précises A p rès u n exposé de M. de R ouge, de de l’avenue de ln République sera OS* d ’infaaterie (ch. du 13* corps) ■* h e u re s trè s précises, le 92* d ’iu fan - de « M a l. 1rs medjociuâ in sp e cteu rs ou pour le 3 sportifs cU rm o n tob un pro centre 21* d ’infanterie (ch. du 9* corpsi terie, cham pion du 13* corps, re n co n c* 1.tro is m edical ues pupilles do la na* u n d é b a t s 'e s i in s titu é . tre ra le 21* d ’infan terie, cham pion clq ci *u .v com m encer sans fa .ite D u rs \igramme de prem ier choix, puisque deux L ’o rd r e d u jo u r s u iv a n t a été mnLchcs a y* corps, au stade de l ’A.S.M. po u r !e sites n u deuxièm e so.cestro D IM A N C H E com ptant pour le .champion a d o p té ': iv L a C om m ission s é n a to nat de France y seront disputés. cham pionnat de France m ilitaire de pa-’t t r <P. 15 uuir* 1929, d e façon à ce EXCELLENCE ria le de l'A g ric u ltu r e re m ercie M. le que . e u » propositions en vue de l'a d rugby. Le prem ier 3cC disputera àa 13 i s h. n. et m in is tre d e s F in a n c e s d ’a v o ir bien m ettra en présence les équipes seconN ous avons donné hier, qu elq u es m ission éven tu elle à l ’L ûpital G ailltiuA CLERMONT. — A.S. M onlferrahvom u m o d ifie r le d écret d u 5 fé v rie r i des des Touristes Elhœuvieus et de daise 1. contre P.C. Lourdr.is 1. Arbi no ies su ccin ctes s u r l ’équipe visiteuse. toe-Lacçwte. à La Llourboule, des pu A u jo u rd ’hui, il nous suffira de ra p pilles visités p a r e u s , p u issen t p a rv e n ir IÜ29 é ia b lia s a n t la co m p o sitio n de I l’A.S.-M. tre : M. Dstlieu. p e le r quo l’équipe du 13* corps d ’a r nu aiège d e l'OIIica le plu» tû t pos la C o m m issio n d u s ta tu t fiscal dos I Les o N ormands » o n t déjà rencon* \ HONNEUR m ée n ’est pas inconnue des rugbym en sible. L ’a d m in istra tio n des Hospices de no tre région. Com posée dans' sa to A POITIERS.' *. Stade Ciermontois i de de .joueurs p ra tiq u a n t dans nos C lerm ont, chargée d s fa ire !a r e p a rti centre Stade Délégué du co- ! gtaiiié ra n d es équipes de la région, elle a su. tion des pupilles e n tre Les différentes mité : M. Dusrièrei- v . 1 so u s l'im pulsion de son capitaine T ey- *t> -m ns k La B ourboule, q f a it c o n n a ître A MONTLÜÇON, U.S. M ontlui risse , sa' h a u sse r au niveau des plus que ies dem andes d ’adm ission a l'bûniin s is te a u p r è s de lu e p o u r cyu’il i comptent plus et toujours obtenues avec çonr.aisc contre Stade^N aniais. t a l Gnil!numo-Lç.co?te d^vaio t , en p rin ; balles équipes m ilitaires de F rance. v e u ille b ien y c o m p re n d re en o u tre , i facilité, j cipc, lui p a rv e n ir a v a n t le 1er mai 1929. CINQUIEME SERIE u n seco n d r e p r é s e n ta n t d es C ham - j I E n rni'jon d e l’nfflueuc© des dem andes g i% b re s d ’A g ric u ltu re p a r a n a lo g ie ft ce I I e t du nom bre lim ité des plaças, t o u t o . A CLERMONT, stade municipal. — fsM sm Mb i proposition ca fav o u r d ’un pup ille par-jj nui a é té fa i: p e u r les C h a m b re s de 1 Clermont Université Club contre Lycée I vonuo a p rè s c e tte d a te risq u e ra it de C o m m erce a u x q u e lle s il a a ttrib u é de du ’ Bdurges (champion ' ‘ * Berry de ! no pas recevoir sa tis fa c tio n . C ’est pour5* série). d eu x re p r é s e n ta n ts . E lle so u lig n e j -W'j ( quoi MM. les m éuociua-inspeotours agiq ue le s ta tu t fisc a l d es co o p é ra tiv e s m >ii : ro n t p ru d c in e n t e t pour le plus sra iiq LA COUPE DES JEUNES a g ric o le s n e p etit ê tre d é te rm in é en i J bien des pupilles en e n v o y an t leurs En raison du décalage provoqué car ! <3e ré f é ra n t à le u r s t a ’u t ju d ic ia ire ; j p ropositions à la P ré le c tu re "(Office dca le mauvais tem ps, les rencontres de ia ; 1 pupilles) bu fu r ut à m esure de leur a elle d e m a n d e q u e ce s ta tu t ju r id i Coupe des Jeunes, qui devaient avoir j i vîsTîes d an s les com m unes d e leur cirq u e re s te celu i o u i a été fixé p a r la 1 iieu dimanche dernier, ne pourront en! conscription m édicale, sans a tte n d re la loi d u 5 a o û t 1000. i> j • ccro se disputer le 24 février, comme ! fin do c e tte deuxièm e période du oonL a C o m m issio n a d é cid é q u e cet j : il avait été projeté. A cette date, diffé- > ■trô le m édical. o rd re du jo u r s e r a it a d re s sé nu pré- i I rentes équipes participeront au cham- ; I JL» se c ré taire général do l ’Office dépionnat cio France dans leur série, si ' a id e n t d u C onseil et a u x m in istre s ; [jarteineritai tienn a c et effet à ia di»le» terrains le perm ettent. du l ’A g ric u ltu re et d î s F in a n c e s . I position d e MM. I«; méde<iin“-inspgcim P our ces motifs, le» rencontres de i } te u rs q u i lui en fe ro n t la dem ande, «ies if- la Coupo des Jeunes du 17 février so- ) I fiches m édicales d u modèle spécial exie.é ront reportées au 8 m ars. 1 : p a r l’a d m in istra tio n «'es tlospicea, pour j l'adm ission & l’h ô p ita l G uiiiauine-Lactm ■coste. I NOS RECOUVREMENTS ; /V*. P a ri» , 9 0 .fé v rie r. — L es reco u v re m e n ts o p é ré s p e n d a n t le n io is de ja n v ie r d e rn ie r, a u titr e d u b u d g et g é n é ra l, se s o n t élevés A la so m m e g lo b ale do 3.931.074800 fra n cs. D an s | ce ro ta i, le s re s so u rc e s exception- 1 les b én éfices d e g u e rre . APCHON. — Obsèques. — S»m:>U I.e.s re c e tte s n o rm a le s e t pc-rmadernier, or.: eu lieu les obsèques de M. j n e n te s o n t d o n c a tte in t 3.905. <01.000 an Dufayet, Agé de 80 ans, vétéran «le j fra n c s d o n t 479.3C5.tOO fra n c s p o u r 1870. } les c o n trib u tio n s d ire c te s, 3 m illia rd s \0 3 condoléances à ia famille. [409.030.000 fra n c s p o u r les c o n trib u i fio n s in d ire c te s et m onopoles- e t j 15.300.000 fra n c s p o u r les d o m a in e s, j p ré s e n ta n t a in s i u n e p lu s-v a lu e de • 497.588.000 fra n c s p a r ra p p o rt a u x CIAS8IAC .'/bèèquee. — Lundi dernier cnî été ‘. é v a lu a tio n s b u d g é ta ire * s et u n e pluscélébrées, au milieu d’un® n o m b reu x f \ 3 lu o go 49i.9Go.oOO fra n c s p a r rap* assistance, les obâèqucn de Mme veuve i porl. a u s r ^ o u v r e m e n ts d u m ois ds Marie Rabut-Mars, âgée do 7i ana. | ja n v ie r 1928. A 3 es enfants et petits-entants, noua L es p ro d u its re c o u v rés p e n d a n t îe - “ ■ S A IN T -F I O U R || i p *, f 1 /} t : L e p a s s a g e à V ic h y d u r a lly e P a r i s - S a i n t- R a p h a ë l / , y "rr<j. Æ ” % ■ Ù W** Vichy, 90 février. --- La prem ière éta pe du rallye P arie-Sainl-R aphati fém i nin, dont le point* term inus était Vi chy, a vu 13 ooncqrrtfcies sur 2 0 term i ner dans les délais "réglementaires, la ^mXMjämKKÜB vingtième ayant abandonné par suite Pficîo et clicîiô Creuly. d’accident. Photo et ctîcfifi F.reuly. Le contrôle de l’étape était assuré par T E Y R 1S SE REIGNAT lo comte de Vestpv; aidé danc ses fonc C a p ita in e d u 92* /?. I, tions par M. Lidec. secrétaire de l’AuDemi d'ouverture de i’A.SM, toraobilo Giub de Vichy. Les dernières rencontres auxquelles Remarqué à l’arrivée : MiM. Les seconds monLferrandais devront Ro—t eHes viennent de participer so sont for tune s'em ployer a oand s ils de.:, ire ni 1o an Cmabot, Fraacnom e, Philippe, 1ntinées par des scores fort imposants, continuer le cbaaipionuat, car les vir>i- 1Limuchat do Benaéville, etc... Les arri- i Aussi ia lutta serâ-t-eii? vivo entre ttu rs co sont pas disposés, loin de là, 1vé*e3 6e »ont succédées dan» l’ordre sui- j cpmx quinze aussi puissamment armés, à r,s laisser fa.re ; ils se déplacent ga j vant : . Lßs équipes auront ia coroaositioa contraire avec T erpoir de rem porter ia : Mmcs Dcrsr.court, Kiss, Leblanc, Pé - 1 auivsnîa : victoire. j îard^D urhnd, Mlle Jojot, Mme3 Nencio-j 0 » Ccrpa A. 14 h. 30, il. Dedieu, arbitre de la | ni. Liétard, Vivier, Mlle Ferrand, M'mes , .. . - , Côte d’Argent, donnera le coup d ’envoi i Vallée, Scholle, Heu, d» Vernée, Vec’ saiard. 1 ■ r i aie} Lang, Dona la Gaze, Le Bigot, 0 Trois-quari» : Mercier. Graula, .a c n é , ‘ ■ (h 1 • Rnna'rven apéritif d ’h o c re a r a 44é servi à Demis • Ducro , s, v .u il eat rappelé que le lieu e t U dato do c e tte visite m édicale d n iv an t Ctre O £*“ PÉPINIÈRESïï; I VAL D C LIM A QN C L’ARE iS a ® « ® -. H E N R I V O U T E ISSOIRE (Puy-de-D ôm e) A u tre foi f i e ; lo in d • a t d ar.s lia u te et • e u s le n< C’est a u Hors concours. Officier da W rite agricole 1928 La plus huuic rcoomprnse : La Prims d’Üniiniur L ts plus beaux arbres frnttiers. Les meilleures vorielfs N’ACHETEZ RiEN SANS AV«»1R VISITS SES CULTURES Pour renseignem ents s ’adresser : Région de Clermont : CAVAXAT, horticulteur à Chamalières (cim etière). Région de C ourpière; BRUNEL. hor ticulteur à Courpière. Il sera fait une remise de 10 % sur 1rs £ r,.i la pri : d u c d ’. troupes p r C u . ic r« Le d u c q u a rtie r k C u r ie d u V o û tée et fiia.t u n v prix du catalogue pour toutes comman des parvenues avant le 15 mars. Entre t •ù "f o w e T eF FA17 t endus, o; rvadois, V a g n ac , et m arch és tauts, le et Chari ta c ité ; C endant PU Y -D E -D D P üE LARODDE. - - Foirv-. —' Malgré iû paios« couche de neig«j cî les comble» (à certains «;ndroit3 l’épaisseur est dn plus d’un mètre) qui rendent la circu lation bien difficile, la foire du 17 fé vrier a été plus im portante qu’on osait l’espérer. Les bouchers étaient venu» nombreux «t ont pu s'approvisionne? facilement. Les cours ont été sans changement» notables, sauf un fléchissement »or les porcs gras. Voici ies cours pratiqués : Vache» m oyennes, pleines eu soiviee, de lJifiO à 2JS00 fr. la pièce ; boumetu d’un on, de 501) h 800 fr. ; veaux poun la boucherie, de 3 fr. à 3.40 fa livre ; Born cl, 1 tut il era n : Dupres de c ru a u se» hab t» t>iea ; il Le» loup: que so i; tiient de il Les e:t a»‘.u t plu» fois c;s dus à se? Les en m outons pour la boucherie, de 180 a 230 fr. piece ; porcs g.-**, de 3,10 è 3,2R ia livre ; n o u m d n s, ae 150 à SfX) fr. farnvee r tu e r ie s pi’jce, suivant grosresir, fixés a pro.-; ou lente rovéalaMe entre MM, S.sl J1 ,LL^VNC G1^, — lan foire dite d» les mônecms-iuApectéurs &i les nuui’ca premier lundi do carême, une u:.a clitn dea .communes do .leur circonstrlotion Importantes de l’année. tea::*, lua[ntutcu.c. C.ts derniers sont invitoi, jio j rii 13 courant. Elle a été loin d’avoii* leur côté, a s assurer le concoure ou- 1 son importance habitticxie If esl w 1 m-Ki; t ? CTî ^ -df> 1 ^ e i K ^ e m e n t \ c i .-d ^ g u è r e er ê t r e a u e m pubbe ou de UtMeVv’v-mont privé o u n\ e ..t . . . . k .. , , . r;1 ,ibér»ctxi-r» OC3 m em bre de la section cantonale, I qUe t. . subissons actueltemefit ci Ia d’Anjou, a v a ie n t er.tre mit M o n sieu r s an ;; et l L'Aror p o 'd s d e R î t i ? n C°de i ”^caiior, ioqrui Au  ’A i f ü 'v * *avait ** CO“ lm ,,“ à pein» co contrôle médipal (pesées, mensura- 1 ?m L *. Uy moitié de bètes il cornes qu’il y a tion, inscription su r lea livrets inédi- la habituellem ent. Let transaction» on», caux, etc.), ûuài. 1er, médeoinr-inepectours eor.t* été peu actives, bien que les cours su priés de bivn vouloir aviser ar.-ez tô t ! m ain tie n n en t, paux cour* pratiqués • vaches MM. Iv3 maires de leur irochaine vis to î P rincipaux pour de 2 fr. , pour qu’a leu r to u r ce- doruicr» p u s o n t • ». graisse» ,, „ , , la .boucherie, , j (.-’e n te n d re avec les m em bres de i'e. sei- '■ . * • d cm i-kiio, suivant q u a gnem ent et avec les c o rresp o n d an te coin-1 >vaches suitées ou avancées, dfl rnunaux qui v oudront b irn p rê te r leui :2.3W} à 3.0i)0 fr. ; r_c»ux pour la boa; concours bénévol© e t p ré v en ir ie» fa 1 -h tric , en haussa, de 4 fr. 50 à 6 fr. I milles d ’evoir à co n d u ire le» enfants, I J® d e m '-kiln ; porc» gras, prix moyen?. . munis <lo leur carnet médical, i 3 fr. 50 la Hvî«. j II e3t rappelé que tout pupille de su 'Au marché : beurre, d» 7 fr. &0 à 1 nation, âco de moins de 16 ans. doit, en !8 fr. 50 La livre ; oeuf», 8 fr. la doaprincipe se présenter à cotte visite. *zaina ; poule» »t ooqs, de 4 fr. 50 * f-r«^ «il*, rttt* eo seront' effran'** 11 "8 -fr. *la livre, ** i Ceux /ï' d />ri ontre eux qu5 Oh— in ...;^ S k ^v ^S t^rJ S S X fi! ! mattdea de Temboiirsernort de frai» mé- i « » U T E -L O II« LANGE.kC. — Marché aux veaox. — [ chcaux ou pharm aceutiqce», présentées ; Getto semaine, il y eut 2 0 0 veaux do • ea leur fav eu r. vendus, au p rix m axim um de 10 fr. S# N otons que il m e Mercier est arriv é) LrJ 1 «„t^aTn ^ U le kilo. P rix moyen au k ilo : C fr. 8 t» ►♦«t—<■as capot. Je radiateur défoncé et. la pS-£,‘ni" F"ac Pnî? A 7 fr. 10. Le» cours se m aintiennentcappte retenue p ar des cardes. Néan- j ^ ’ AIJZON. — I a tolrr dite du premier r- ! m oins, cela ne l’a pas em pêchée do te r- j 13* Corps », Gt des mercredi do février »’est tenue lundi, ix m in e r a v a n t i’h eure de îe rm e tu re . 4 tempe: Arrière Vaiiier. dernier là février, par beau temps, u a lifier p o u r le» poules de 8 , ont L 'étap e d 'a u jo u rd ’hui, V ieby-A vignon, Tombola tl? l’Ecole nuUirneil« Liato m en^s d u d o i s c o r r e s p o n d a n t de i p ré pq aré T rcis-qunrfs : Rieuf (Ai3. Brlva- ? ; co.a!s a été contrariée parce que k» ccatrès stx ieu sem e at cette rencou- p a r L yon, s’annonce p a rticn llêro m e n t I dss num éros goonants. — 230 : un 1928. doise), Destarao (S. Clermiontois), Rci r gère» et les chemin» n i mauvais état 1 ire ciepuis tro is scm a:aç.s, ils s’entrai- dure. ____ chat {jouet; ; — 662 : ua train ea te r dredo (S. C lnrrconrois), C hevallier (A. j , . „ . 1 ont empêché ice gens de la montagne et a u ro o t Ja chauc« 3M; Adresser les demandes à M. La Mire« ! ds descendre. (jouet) ; ~~ 6-13 : uae boiiv Uc ponxire tie p ré se n te r le u r équipe ûu g ra n d ccm SP O R TS W E I T E R ’ "npm ’q • Lai l fo (A 3 Bor^r.-aM ( n i i6U « Moniteur », soua enveloppe affran- [ Le foirai? était peu: garni en vache» de xu : — 442 : un sucrier marmite Breuii <C A Boviste)* (rm1 ' jchie à 60 contimes. Les renaoignementa et génisse» pour La boucherie, qui se LE OONCOUBS DE SKI n dnre uin- i 31; 1 î *  f c i i l! ~ b a t P « c o fo n fo d re?aînQ Q uin- j ? * S i f Ä . Avants Terrîsae (S. C îem ontois i ) , i«on* absolum ent g ra tu iu . Joindra un ! vendaient de 2 fr. 20 à 2 fr. 40 le deDU MEZENC ■ec d ’a u tre s p ro d u its p ré i tenant rcur.is et d 'a rt (ch ien et e n fa n t) ; 34 : u n coéu- i to ’- tin ? a v e c tr e u ro i ts n r é te n a n t réunis ci fe ro n t Leur re n tré o à ’ Moniloul» (S. Clerm ont), Allègre (O. >timbre e t un© enveloppe portant ra d re s, p0jC* °® ®. fr’ ^ j Voie: k s rôaultct» de» épr«uT«s d« de V iviers) ; .Ton 6 (A.S. L yonnaise), se, si l’on désire la répbnae k domlol’c. i 478 : uju not I se u le s d a n s le c o m m e rc e sous u n e ! <‘cl;to po tier en alum inium Il ne acra pas répondu aux lettre« non i ;• *® ie denu-kllo ; moutons, 3 fr. C alm el; M oünîô, : o m part (A.S. Brlva- affranchies. *a 1Jvpe i gorets et oourrajna etaicaé P ierre : n o ise ), fionln, _ _ ,’ , ,, (fortement en hausse. k Morel U. D. ciasse 1928. — 1» Proueblom ant 1 Beurre, 8 fr. la livro ; œuf», 9 fr. la LES PLACES pour Pâques e t pour 10 jour» environ, douzaine ; fromages du pays, de 2 à 3 u n es d 'h o n n e u r et encointc-3 ru e *5° Rapprochem ent p$uprobable, saui j fj»t> suivant *^ix)9 WOP ; fourme du Auto- de TCrib atarouz. P elo u ses, ciléa ds» C eri- le cas de rap atriem en t de aonunité, j *3 ^ jjjen d’Auvergne et Saint-Nectaires Frau Caaï. ! 8ier3> Lili. — Si ro tro m ari n ’é ta it pas j de 6 à 6 fr, 50 la livre ; coq» et poaE ntrée g ra tu ite au x officiera e t m!* m tr ; (>. F alcon R è z is : 7. E x b ra y a t; 1 gradé. votr© pension ot la m ajoration 1 les, de15 à 26 fr. l’un ; 5£6 : uo tiic c n parfum ; — «lu? : un pot q iu n q u m a , m a is ju d ic ie u s e m e n t m ê isncc du niaîch de ciiman-clic* ; iba:tust 8 . Dofay M arcel; 9. Falcou A lexandre; lila ire s en ten u e ; scolaires en tenue ou do votre enfant attein d ro n t 1.904francs nards, de 15 à 20 fr. pièce ; oies, de 2ü acom pagnés en g ro u p e , S frano«; d •le crèrus Iioùall : — 13g : deux tasses lé à d ’a u tre s p ro d u its to n iq u e s, cet- iir. a u ro n t peu du chances de sç q u e fi- 10. Chc.iaal Alexandre. onur 1929 et 1928 à p a rtir de 1980, ù 40 fr. l’une, su iv a n t g rosseur ; la p in a tier, c ar le u r d e rn ie r au v ersairc, l ’U.S. viîs, 0 i n n o s . éoit, respectivement, 476 «t 492 francs vivants, de 3 à 3 fr. 25 la livre ; lap ar'.«t ^ . î . ^ \ F ÜQ (/ .ivrc.\» — ! te p ré p a r a tio n est le p lu s 'p u is s a r ù F erpignanaise, est une ra d ? équipe ; C onns de dames. — 1. Mlle M arie — > ■ • <»> <■■*— - — p ar trim estre. 513 : insiru m rat de musique (jouet) : —j le n lu s a ^ re a h lp Hf-s rpr-onsti. reau x , de H 8 fr. pièce, su iv a n t g ro s -’KO : six tasses moka ; aOfi : une sta- I ” ai® PJg* “S r j j “ * pq£S. ,r€ c o a ^ 1- vain q u eu rs, ia quaiiùcaii'Qr. le u r e st as P o rta i; fi. Mils M ario Chazct. Un lectour de la classe 1889, J . 8 . — seu r ; pigeons, 8 fr. le couple. tucite (objet d’a ri; ; i tu a n tô .^ bon u sag e est trè s fac ie, surée en poule du 3. Courre de çtylc. — 1. V aiery; 2. EyAucun d ro it à pension, atten d u quo j Choux o rd in aires, de 2 i 3 fr. la tä t’eu chanceux cLcp>u.is le d é b u t de Rai ra u d ; 3. Fanxin C asim ir; 4. Leydier 310 : une vue de Mtssiac, cur verra ; ! p u is q u ü suffit d e v e rs e r d a n s un livous ne comptes que 9 moi» e t 10 mois ' te ; choux-fleurs, ae 3 fr. 60 à 6 fr« - - 48C : un pull-awer ; - - 364 : une j tr e d e b o n v in o r d in a ir e le c o n te n u son. p u isq u e to u r à to u r Savy, ü e sp la n , Hégia; o. Eehazoi F rançois; 6 . E yraud tifi î*un, su iv a n t g rosseur ; salades et cè>* ds service» effectifs, A V1NCENNC8 lûupo en verre (grand modèle) ; — 580 : ! d ’u n flacon de Q u in tc n in e p o u r ob- Ju iie n , A labeit o n t d isp a ru de l ’équipe, Léon: 7. D avid; 8 . Boyor; 9. D arcîier; 1 fr. le pied ; pom m es de t e r r * m béret basque : — 60 : un sucrier en j te n ir u n v in fo rtifia n t d e p re m ie r les M o n tfcrrau d ais ont dù am».lgaiu<er k 10. C babrier; 11. G erbier. J . F . 18S9. — 1* Remarié©, vou» leris, P R E M IE R E COURSE. — 1. D un Concevra de saut. — 1. C roohat; 9. c a n ; ÿ. D& inenina; 3. D a k o ta ; 4. D au- recevrez pour 1929 ôt plu» ta rd , votre d s 70 h 75 fr. ies 100 kilos et ! fra n c porcelaine ; 313 : une glace ; 661 : ; o rd re , Les re m e rc ie m e n ts q u e n ous leur je u de n o uveaux élém ents qui, le kilo détail ; aulx, de 0 fr. 60 k heureusem ent, à force - , tic - - tra v a il e t de . P e tv e x ; 3. Valovy ; é . M a c o d ie iarr;; b. [ p hine pension actucüo, sans plue. 2e Renou- 0 fr. 60 au ia tête ; m arrons, 2 fr. le kilo» volonté, o n t ré u ssi h se. bisher a n c i- i Boyoi“; G. G orbier, j M u tu e l - lô ? 29 50 7. vote» cette question on indiquant si T « 8 =u°uô Ï I 3 Ï Ï I T Ä K Ä Beaucoup de marchands étalagiste* mier g a rn i; — 6 6 « : une savonnette ; j c e tte r e .e t tc , .,oni ja m ei.second m ari est pensionné pour ^P iU ßs. ~ 1. Falcon O aaim ir;] «. COURSE.’ ~ P rix d* Vienne. - votre services ou pour invalidité e t, dans ce particulièrement des marchands e ’étoê» — 587 : six oranges ; — 466 : une coupe Ic u re p re u v e q u e n o u s p u is sio n s V° !? d c a ii* U5 o u iS r S Ä a k » se n r é s e n - L W tes «t de vêtements confectionné». * C W - F r ^ £ i f * ____ ! !• g o l9 » A 2- B r t,- . S. CapuoiM m 8 cas, î© «iogré/îe «on invalidité, 3° C ette «su verre blaue ; — 272 : un gilet de d o n n e r d e son efficacité. Son p rix tera âolfc \ 4. Cerise Noire, veuve rem ariée continue à recevoir ta at com pte ten u de» t luiae ; — 503 : une boateilie de cham e n ro n d l'a c h a t facile. 4 ?r. 95. T o u m eilleures fo rmoations, CON VO CATIO NS j M utuel ; 857, 67, 12,50, 16. pen sien de 800 franc* sans plus. pagne ; —• 449 : une paire pantoufles tes p h a rm a c ie s . — A G lerm o n t-F d ; a b sten tio n s forcées de Snvy e t d ’A la- *' uiugo ; — 383 : u.u plat hors-d oeuvre ; F o u rto n et P a tr ia rc h e , ru e N euve ; ! b e rî. Le*, hom m es so n t en bonne form e, ! A .5.M . (cross). — Le» crcssm ca roont I fî* COURSE. —■1. Bcnnn Fille; 2. 30. G. H . — Votro pension courra, — 517 : u n seau g arn i de jouet» ; — G ros, p ie c e D elille, et to u te s p lia rm . H'ur m o ral est excellent, ils peuvent fei-randais so n t inform és qne I© re n d e s j B iaet ; 3. Heile d» N a ît V ; 4. Gui Bel en effet, du lendem ain du décès de votre A ir I I I , cicnç p ré te n d re a u gain du m atc h . C.03 : une p a ire pantoufles bleues ; — m ari. voua pour Penw aînem cnt de ce soir ec-fc TIRAGE DU% 10 FEVRIER Î9 S 9 Mutu&l : 9, 6,60, 19,50, 13. C ependant, q u ’ils ne tie n n e n t aucu n fixé à 13 b. 15, à PA.S.M. -K‘9 : u n e tire lire ; — 03 : trois écueUea . , Julcs-Paul 927. — Voua serez incor Ville d« Paris 1810 8 % com pte des rcsulltats jjrêc'dri? n ts , des d ’A uvergne ; — 265 : u a pot oe m iel ; A l'isjèue d© l'entraînem ent v«n cruon- * 4a COURSE. — Prix de Taries. — poré en mai prochain pour 18 mois. — 8‘-’ : deux' vase? à fleurs ; — 339 : u a L a a rd a is « v eulent » gag n er à to u t p rix , neur pour les (iquàpie's qui ont p a rti 1 1. Divafi 11; 2. Daoheste; 3. Dapil»; U numéro 144.267 «st rembourra Un réserviste ennuyé. — Vous B’ôte» \ . i 4. Boutrien, d éje u n er avec f ile ts .c r ; — 389 ; tta vase ! il?, so n t décidés à se d o n n e r à fo n d e t cipé au cross de Lyon., 0 0 .0 0 0 fanez. nullement, dispensé d ’une période., at- j «■ , Lo numéro 534.888 est remboursé M utuel : 145,50, 19, 9.50, 7. iifitf» (g ran d m odèle) ; : ils pro filero n t de la m oin d re d û fa illan — — _____ 543 u n r corbeille a rtistiq u e ; 79 : I co ties ja u n e ç t b ien p o u r m a rq u e r de» 5* COURSE. — Prix de. Tourcoing. tendu que Par^ 1 0 05g0 0 nuJ=D^ francs. r0 3 «uivsets sont rasa» un com potier bleu ; — 78 : une écuçllc î po in ts. , — 1. Cœur de W atts 2. Covolaforeal; ; un T.OJü. (Maroc 0 1 L evant). «l’A uvergne ; — 99 : une poupée brune ; Voip à n o s S a lle s de D épâohcs, 13, Colibri ; 4 . Colluc&n». J .Jouant su r son terrain , devant soc Totor, Saint-Picrr©. — E xprim er ce ! bour^-g chacun par 1.000 francs t ;un pa: désir eh m otivant, nu colonel do régi- j 3 .9 3 9 46.05? av e n u e d e s E tatc» U aJs e t p ue B !a - i M utuel : ,15.50, (geo, 6,50, 6 . 22.905 40,858 raent (ou com m anaaut du centre de mo»; 5 4 .0 1 i 69.268 67.750 66.737 les ir j n if lq . -3 photos pris sa [ 0* COURSE. — 1. Beatrix III; 2 bilisation) nuquel vou» êtes affecté. J 3 1 .0 5 0 90.038 84.086 83.418 notre excellent reporter*>pho> ;B lair Athol ; 3. Bell« Poule -, 4 . Cho 124.853 124.671 114.904 A. L. Thiors. — Vous pouvez faire! 105.258 tographe 169.843 154.066 J40.440 î M utuel ; 357. 83, 35. 37,50. cette demande à 1» m airie, qui établira* 139.678 208.350 246.275 176.383 la dossier. Le conseil départem ental s.ta- i.76.035 î ’ COURSE. — P rix d'Arras. 272.117 238.502 259.282 — — S 1. V ert G alan t; 2. ftcccarat IV ; 3. j tuera but votre dem ande, après en. 233.325 en porccarine 300.441 unc tc h a rp y en i T h i c p s , l u n d i 2 5 , H ô te l d e F a r i ? . 282.5G3 290.997 281.646 ! leur feront une belle ovation. HSBlJPüaHHSB j Qçffcc: 4 . A rhaletto G . ; quere. ifxir/» 11 ««a____ Tï A laine 323.954 in c ; 384 : une garniture dcA phc.mL c tu m i-|i S Je p m o_nat-F ç tP ra n da , _ m a r d i 30. H ô- i 307.901 311.861 302.641 M utuel ; 71,50. 13,50. S, 11,50. i Un fu tu r bleu, 39SG. Moulins. — , 1* sam m en t vîtes e t a d ro its p o u r s’irapo née c e ; — 12 J ; une cbq:sf ; —■2 t> ; u u e i *, 1 j . r r 'u i v o - « 357.59(» 352.291 346.112 333.743 U  , S . M . 3 m C r e u s o t Vous devez faire 1.8 mois do • n ice. teruelle en terre brune ; — C-'lfi : un cks- | j*,, £ a •« a t 395.534 406.456 366.463 362.526 yn » ««© n i T u t ! 2° Vous no roussiriez quo si vous aviez :«i de coussin. WcdlIfTSj O ic rc , 8 à-dire par u n . hând-btvll à outrance qui î P R O D U I T S , Pendant, quo leurs ainés joueront bU*l 455.776 451.499 447.103 448.952 o n iferrau d ab j leur a valu de nombreuses victoires. î L. M A R C E L L O T RU HUU I n I f i t obtenu Jo brevet de préparation mili- 436.312 512.125 Le 3 personnes qui r.'out pas rç lu v SofrtlupC Q » jo u û i i’Hî *Hùi. U n iv e rs , i O cim o n t, les espoirs m ontferrayàajs 494.471 486.267 aux dût KDôolallstefi tm re avec classement dan.» Ip 1 ‘ «miçr rendront an (D ans ces condition,*, noua pouvons leur \ Av. Etats-Unis. Travaux par spécialistes 591.641 585.326 leu rs loès sont pi'b es de le fa ire le plus 533.336 N o tre m é th o d e , c o n s a c r é e . p s ? ! de l ’équipe troisièm e dixième parm i les brevetés de la aub* 575.677 597.044. tô t possible. Ü’a d re sfe r à Mm? Hiseau, o \ 1 -1 " r]r> n»*Atîrn© pa! 1i =r>nlo I Crcusoi, où ils rencontreront l’équipe ] faire confiauce, ies couleurs jau n e et j , , , . .......... 596.968 division. .y (ic p . s . i t i U . , e a t V* I tro isiè m e d u C.O. G reaso tia. ! bien se ro n t b ien défendues. directrice do l’ccoie «caicrmelleLe.» cquipier? t- ! 5'Kfi' S % hypothécaires ©t corrimunaux. equipier? suivants suivant*, feront le ddeirr.nn^_ Y vette, 53. — Rion à faire, lo conseil conseï Imprimerie de la Société placem eut : M alpart, V eiran, C hardon-, * m l y - r , s-M on CLERMONT-Fd départem ental s'é ta n t prononcé. Renou Anonyme du Moniteur del M CkO EPlZE. -r- Décès. - - M a s et net, Roussel, Chevallier, Thomas, P lu -i ° 1’ r ' - - s b”ÛIün’ LLLKMU.M-i a. ; yotre demande ^ vous ; ,nox i M, Mdure ire, propriétaire» a Ausy, vienPuy-de-Dôme «t de» Im neix U, Mlassiac, Pinard, Pagn.it, Pla avoir un enfant ou si vos re»3<» itc* ! lier.t d’avoir la douleur de perdre Leur primerie* Q. Mont-LeaU» ueix I Moiroux, Verge, Marcellin, Vei VIN c x î n en confiance, Ih e c îo 180 fr. fliminuen; fouilla ces. la faib'i93Sô e t le u e u i i ’tvnémie, fillette, iiaric-LouLc, âgée de deux mais. Le Gérant : J. Latoornerie. La Hire. Les equipiers do PJaneix sont suffira n II, Giber t. EcL\ 2 fr. Oerles, vit., QJpeac (Hit). û e rv o 3 i3 m c . Mes bien sincères condoléances. IPETITE POSTE MILITAIRE ANCIENS COMBAHANTS DANGEREUSE CONFUSION LES C O U RSES caneset ca- qui f.v ' plu» viv EVE, lllustr.* *;;tnt i* pris «lf Avez Y en » TIRAGES FINANCIERS par le t j' p A jy . BREULY m, &»•» r« r - «;» partent Aiire» «i • o io a i lui pu » IMlllV t (tK,f ,)<•€ U p C A S* ne» S B S S F eu illeton du MonitauP m — 4" « de Monsieur p a r E m ii e R SC ü£ B O i i M P REMIERE PARTIE LE CRIME DE ORAN OVAL XVII VOULEZ-VOUS ETRE MA MERE 2 — U est eatrd dans n otre d e n t u r e , fe maHieur qjo est sorti I (>uaud L ucieu se iu t retiré, E u g.'-nié em brassa follem en t sa rnôre, qui -u la issa fairo gaiem ent ea m urm urant OU t je u n e sse , jeu n esse, quo tu es b elle 1 XVIII « randval 1, , . iî > •>' r r r a n d e e t b r ille m é t a ir ie , ev -.ê fe '.m e d e ü r a n d v a i d o n t M alheureusem eat, co Qui avait coup près, i.o mémo produit qu’a u - j du ferm ier : quatre m ille francs [canaux d ’irrigation dont noua ve~ { _ Un sen tier lon geait la p ièce d ’eau I du côté opposé à celui où elle ver-, trefo is. E t si l’on ajoute à cela les 1en argent, p lus une pièce do vin ; nous de parler. éo ! sait son trop -p lein dans le 9 rigo-*. in su ffisan tes récoltes des d e m ie - j blanc et une de rouge do Grand- j A certa in es époques de l’annéo res m auvaises an nées ol la in orta- j val, do lu e p oulets gras, v in g t-cin q 1 on. y p éch ait des carpes et d es Ie3 ; m ais ce sen tier éj-ait si étroit, iité du bétail, on com prendra que j douzaine d’eeufs et cinquante kilos i tanches, qui sem blaient se plaire si inégal, tellem en t g lis sa n t par beaucoup dans cclto eau tranquille fois, qu’on n e s’y aven tu rait la guerre, il faut de l’argent, c'esi* P arizot no pouvait guère s ’en ri- *de beurre salé ou fondu. de p lus de ; tro is ce n ts h ectare • 11 n ’éta it point fait m ention sur ; so u s laquelle il y avait un épais nuit qu’avec beaucoup de précau j; e st vrai que les bois ne fa i à-dire une prem ière m ise de fo n es chir. Il vivotait, fa isa n t de l’a r g e n t}Je bail do ce s d iverses .choses en i lit de vase et de limon apporté par tions. sa ien t point partie do l’exp loita pour acheter d es vaches, des m ou L es'épou x P arizot n’avaient pas com m e il pouvait,, ot arrivait ta n t; nature, ce qui indique su ffisa m ! elle. lon s, dc-s ju m en ts poulinières. tion du ferm ier. Ce sont ces animaux qui donnent bien que m al à payer son ferm age, ; ment qu'elles étaient un irupôl quo ! D ans ce fond m arécageux, toute» d’en fan ts. Indépendam m ent des L 'habitation de c e lu i-c i et les (so rtes d’herbes et de plantes aqua- hom m es et dos fem m es qu’il« grands b ûtim énts n éce ssa ir es à dams une ferme ie meilleur et lo c’e st-à -d ir e à joindre iea deux | le m andataire prélevait sur la fer j tiques cro issa ien t et se m u lti- ] louaionl aux époques de la fen aime à l’Insu du propriétaire. l'exploitation : gran ges, grçnîers, plus sûr produit par les ventes j mr- b outs. des eujets do rélevage. Après six an nées do travail à | Mais Parizot, s ’exécutait san s s© pliaient : les nénuphars, blancs et j son, des m o isso n s et d es vendanécuries, étab les â mouLons, étaient nalières D’un autre côté, pour que les terres co n stru its au pied d'un coteau ex soient bien amendées afin, de don Grondval, 11 n’éta it pas plU9 avan- j faire tirer l’oreille. 11 avait in té I jau n es, l’iris de rivière, le jonc, ! ges, ils avaient pour le s aider dans .etc. : leur travail deux g a rçon s de ferp osé au levant et éntièrem er.t p lan ner des récoltes abondantes, il faut oé que le jo u r où il y était’ entré, j rêt à m énager son homm e. — Il me faudrait'’ trente m ille j D evant les bâtim ents s'étend ait La mara attirait les canards i 'deux serv a n tes, la vieil!» té de vign e. te ae j „ u e is fermier ait ees écuries plei* francs, d isa it-il. Ah î si j ’avais i à l’est, au nord et au midi, un riant, sau vages, qui se trouvaient chez [ B eau-Soupir et u ne jeu n e fille ap L e s é e u n ç s et ie s étab ies. co .n | vallon bordé par ses co llin es v er me ies gren iers et les gran ges. p arfZOf aVaLt dix chevaux çt trente m ille francs l P ôut-êtrô a u ra it-il fait m ieux. d oyantes, arx*osé ipar une petit,© éta ien t v a stes et bien acre os. Le s i agitant dp hôtes à cornes, quand il . .^tables pouvaient recevoir faciae- j aurait d0 en avoir trois fols autant, Mais il n'avait pas cette som m e | rivière, « la Mirette », et de nom i voyait p u r ------------- r — --------------------Comme B eau-S oup ir, c’est 1© h aj breux ruisseaux et rigoles d’irri :dans les jours d’autom ne. m ent de quinze ce n ts a deux m ille ) et5 au jjeu deux mille moutons, qu’il dem andait. qui avait am en é D en ise il On pourrait s ’étonner, étant don-1 gation qui donnaient à la prairie I C’était au ssi lo refuge préféré I m outons, et dans chaque écurie, — h* ne possédait qu’un m aigre t.*ounéo la situ ation dans laquelle so une p u issa n ce de végétation extra i'des grenou illes vertes, qui y fa i- f Grandval, où elle servait depuis il v -en avait trois, -y- on pouvait peau de cinq à six cents bêtes, m ettre à 1 a is e vin gt botes ces ra- j Leg magnifiques pâturages de la trouvait Parizot en entrant a la ordinaire. L’herbe y était haute, i salent la nuit un vacarm e in fer- j Pr^s de deux an s. j La vieille servan te avait m is la ces oheva.ino et bovine. ; fgrmg, au m ilieu desquels squeis on * aurai» ferm e, q u ’on la lui eût lo-uée. On ép a isse, g ra sse et m erv eilleu se juol. I Autour de ia m are, om brageant jeune fille au courant du travail m lains et belles l'avait probablem eeni accepté ù d é . m ent fleurie. Ln m étairie était d’un ex cellen t !dü voir s ’ébattre pou D ans le creux du.vallon, entre La •scs bords et lui fa isa n t une sorte de J a ferm e et, m algré sa sau varapport, h condition, to u tefo is, g én isses grassos, étaien t fa u ch és faut d’un autre. Il faut croire que, du m om ent rivière et les bâtim ents, à deux j de ceinture, il y avait de vieux g e n e“, voyant que D enise était do ue l'exploitation ne la issâ t rien à com m e n ’im porte qu'elles prairies ésirer, ni com m e culture, ni com et donnaient du foin et du regain. qu’il éta it payé, il im portait pou cents m ètres de ceux-ci, sa trou sau les tordus, aux troncs déchirés, cile, affectueuse, aim ante, elle s ’é Et ces herbes sèch es, que P arizot ou propriétaire que sa ferm e fût vait une grande mare, reste d’un léven trés, ce qui donnait à cet eu - tait v ile attach ée ù sa jeu n e ootn» me en grais. flo rissa n te. ancien étan g d esséch é. Cette mure j droit, principalem ent la nuit, un pagne. Le ferm ier qui avait précédé P a- ne pouvait em ployer à nourrir ses Du reste, on ne 1/? voyait ja alim entée, par des sources in v isi j a sp ect sin istre. Du reste, on raA ussi s'e n ten d a ien t-elles parfai* rizot s ’était retiré «avec douze m il bûtes ù iui, il les vendait pour m ais. ■' * bles et qui recevait toutes les eaux j contait que, par une som bre nuit tem ent ensem ble. le fra n cs do revenu. M aintenant il nourrir les b êtes des autres. f.4 s u i v r e } C’est son représen tan t ou m an pluviales des versants ou est, ré- jd’octobre, un voyageur perdu dans Les écuries ne fournissant pas se reposait après quarante an nées dataire, dom icilié à Saint-.-Vmand, nandnit son tron-p.!oin dans la Ile brouillard était tombé dans la Içs. en grais que dem andait la terde travail. IL avait la issé les terres lm p. M ont-Loula.— T rav , «n couleur re /c û lle -è i ne donnait p lu s, à beau qui recevait la redevance annuede prairie par ica rig o les ou p e in s Jmai’o et s ’y élu if noyé, et le reste en p arfait état, P a r k o t éta it le ! S p Üi: Jacques annum Déco «ans en Tout — Al père, r nés. Je re des d ’a n u i.i des des lui fuir a p p e le z L’en! dos or pencha s ’intére quand yècritu v « * s’ échapp r n s a m m is â f w JEUDI 2 1 - 2 - Ï 9 C« FAITS o c \ L’ARBRE DE LAMORT SmeJ lia m Autrefois, route d'Issoire à Perrier, Non loin du moulin de Guiliard, se dres s a t d a n 3 le pré du Cygne, un arbre de kaute et forte tadle. connu à la rorde, •e u s le nom d’Arbre de la Mort. C e s t aux branches de cet arbre qu’aru j la prise d’Issoire p a r l’a r m é e ro y a le , î duc d’A njou fit pendre les chefs des Iro u p e s protestantes e t les m in is tr e s du • u itc reform é. # * L e duc d’A njou a v a it p ris comme Q u a r t i e r généra!, au c o u r s d u s iè g e , l’é Q u e lq u e s r e c e tte s d e b a in s a d o u c is C u r ie d u moulin parce que celle-ci était s a n ts . — P e u t- ê tr e ôtes v o u s s u r m e n é e s V o û té e et que l’arbre gigantesque i o r p a r un e saison m o n d ain e tro p activ e. ■ a a it u n véritable rem part. S o irées e t b als se so n t s u c c é d é s p r e s E ntre autres personnages qui y tu ren t q u e s a n s a r r ê t , e t v o t r e é t a t g é n é r a i t endus, on peut citer un gentilhom m e s ’e n r e s s e n t . C e l a n ’a r r i v e r a i t p a s si r vadois, La Borie, lieutenant de Cha- v o u s p r e n i e z , c h a q u e m a l i n , u n b a i n V a g n a c , com m andant en chef des protes a r o m a t i s é s e f o n ta r e c e t t e q u e v oic i : F a i t e s b o u i l l i r d a n s d e l’e a u n o n c a l ta n ts, le m inistre D upreg, Bonn.el Jean c a i r e u n e p o i g n é e d e c h a c u n e d e s p l a n et C harles Vialle, anciens consuls de t e s s u i v a n t e s : l a u r i e r , t h y m , s e r p o l e t , la cité ; D uprat de Saint-A gne, le des l a v a n d e , a b s i n t h e , m e n t h e s a u v a g e , m é cendant du grand c h a n c e ie r ; Gounon- l i s s e , a i d s , f e n o u i l e t r o m a r i n . L a i s s e z Bonnel, fils du consul, qui introduisit le c u i r e 1 / 4 d ’h e u r e , p a s s e s à t r a v e r s u n l i n g e , a j o u t e z u n d e m i - v e r r e l ’e a u - d e lutheranisnfc dans îssoire. cam phrée A joutez c ette p r é p a r a D uprcs fut pendu avec un rafinem ent vt iie o n 4 l ’e a u d e v o t r e b a i n . V o u s v o u s de cruauté. Sou corps fut dépouille de s e n t i r e z , e n s o r t a n t , m e r v e i l l e u s e m e n t •es hab.ts et soumis à des outrages igno- r e p o s é e . Ce b a m c o n s t i t u e m ê m e u n La La t har« h9 7ZC.~- o i Um ■.\Us ds cu té - |i t a i l nu» >.iDer or<k ; •>© m s- da >0 & icü - |Z 0 9 J*» p. » ' |l »ch miflS* ;=< k fn rp -, CCO" H as \S f O 0 LC.O*« ! M> d*- j t fr. ù«aft Ifk à 3 -'.antaire, ,>06C*« • Ji }in» : roi* <L îr, cê* p rr* an« «0 « rites sans bleus. L e s f e m m e s qu i, to u t en l e u r r e n d a n t h o m m a g e , n ’a i m e n t p a s l e s c h a t » o u q u i le s c r a i g n e n t , t r o u v e r o n t c e t t e s e m a i n e , d a n s l e u r j o u r n a l fa v o ri, avec l e s p o r t r a i t s d e t o u t e » le s b e a u t é » d ' E u r o p e t o u t ce q u ’e l l e s d o i v e n t c o n n a î t r e p o u - r e s t e r a v e r t i e s d e l ’é v o l u t i o n d e s I d é e s e t d e » m œ u r s : la g r a n d e mod* d ’a u j o u r d ’h u i e t le d é f i l é d e s c o l l e c t i o n ? û ’é t e d e s g r a n d e s m a i s o n » d e c o u t u r e q u i l e u r e n s e i g n e r a ta m o d e d e d e m a i n , ta c r i t i q u e d e s l i v r e s e t le c i n é m a , le s e x p o s i t i o n » d e p e i n t u r e , u n c o n t e , I:< »•.me d u p a s s i o n n a n t r o m a n d e D e i l y E n t r e D e u x A m e s , le m é d a i l l o n d e la f e m m e d u J o u r , l e ? j e u x d ’e s p r i t , de;é c h o s , a n e c d o t e s et v a r i é t é s s u r t o u t e « c h o s e s , la c a u s e r i e d e l ' a v o c a t , d ’ m é d e c i n , l e s c o n s e i l s d ’h y g i è n e e t le? r e c e t t e s d e c u i ? n e , e n u n m o t t o u t ce q u i fa it il’E V E le J o u r n a l le p ' u » l u , h p l u ? v i v a n t e t le m o i n » c h e r . ’ EVE. n o tre s u p p lé m e n t h e b d o m a d a ire I ll u s tr é d u d im a n c h e , e st en v e n ta U • a r n s ' h. c h e z t - i l * no» d é p o s i t a i r e » , av p r i x d e 0 fr . 7 5 ------------------ T—m ♦ ♦ —<------------------- —— itr j& jtr .À F .'é r j& ’J s r jr & J P Notre Patron ra to i* JtCOACTRICC I N C H E S Vous trou erez le t parm t de Pour le soir. — En effet, le so!r, avec le bas trè s fin, vous pouvez vous p e r m e t t r e , aussi bien pour l’œ il que p our le confort, un so u lier é tro it, un talon très, h a u t, ce qui a jo u te à la grâce les découpes nom breuses qui, sav am m ent com binées, a ffin e n t le pied et enfin le tissu lui-m êm e, satin, crêpe de Chine, bro cart, dont le b rilla n t et la souplesse sont des plus fla tte u rs. les MERCREDI et * •* •% Le c h o ix du cuir. — P a r exem ple, ne vous avisez pas de p o rter ce lézard , noir délicat et seyant dans 1» so u lier le plus gracieux avec votre robe de crêpe sa tin ou m êm e celle de Chine un peu habillée, c ar l’un et l’a u tre chan- ' geront d ’aspect et seront absolum ent j .lépiacés. P a r contre, cette m êm e chaus- j «ure reh au sse la sim p licité d ’une pe- j ‘île robe en lainage et celle plus élé- ■ ganté gagnera encore avec le so u lier | iu antilo p e. I | J ’estim e que le choix d ’une chaus--I su re est souvent aussi com pliqué pour ta fem m e raffinée que celui d’u n e n sem ble. e ee L a fo r m e . .. — Si le pied est large, abandonne* le crocodile qui com plète agréablem ent le vêlem ent d’an tilo p e doublé de crêpe piqué ou celui de tweed garni de fo u rru re. L’escarpin se porte a la ville, m ais 11 so fa it a lo rs légè rem ent plus m o n tan t q u ’en tissu ; le Richelieu est to u jo u rs réussi ; la se melle débordera suffisam m ent, m ais pas trop cependant, p our que la ch au s sure ne prenne pas i'aspect de celle de sport. m.et les détails. — Le ta lo n sera con fortable, mai9 élégant, les lacet» non de sole m ais de cuir, term iné» par les glands découpés en lanière?. Ce »ont toits ce» d étails qui font du so u lier le plu» banal, celui d une recheroh« ra f finée, • *• ** J B ...e t h a b illé e . — O n v o i t a u s s i l a ! c h a u s s u r e d e v ille m l - o a t i n m t - v e r n i , i m a i s e lle e s t u n p e u d if f ic ile à p o r t e r I e t n e c o n v i e n t q u e p o u r la f e m m e q u i m a r c h e p e u . L e l é z n r d e t le s e r p e n t I c o n t i n u e n t l e u r v o g u e , m a i s Je le s a i! me s u r to u t au x Jo u rn é e? un peu plus ! c l a i r e s e t s o u s u n clc l m o i n s s o m b r e . nos X1A.11Y. ; SALLES UE DEPECHE» M , «••«!>• C’.aic-Unla 67, ÎS .9 6 A F eu illeton Jw p sU S C T E des •leur d a sm 'cures pr Eütins SâiL si n j * j pas - /a i- Isa’è sif e î ll it li lll! *f»IIHsJSH H Icau-r aa- — 103 — Roman d’araoir la ise 6 ‘p a i s M oniteur du ï | IIIHIIIIl«5»S:iLH;!l TROISIEME PARTIE B E L U N A SOUTA X. — LA MEGERE Déconcertés, les enfants obéirent •an s enthousiasme. Toute leur gai té avait disparu. — Allons, mes petits, leur dit leur père, n’ayez pas l’air de condam nés. Je ne vous demande pas de fai re des devoirs, je vous demande d ’amuser votre petite amie. Faites des dessins, écrivez votre nom pour lui faire »avoir comment vous vous *^Evnfant suivait le mouvement des crayons avec attention et se Denchait au-dessus des cahiers, bue «’intéressa surtout aux dessins, mais ouand on lui mit sous les veux de l ’écriture, elle fit un effort, ses ^lèV-"? s’agitèrent, mal» rien ne «en éehapp* p e t i t Ste «jo»îïî«r' <5© © sïsâ fin a is (e n entremets sucré) — FJ.r*tîÀ*ï - P * * !T ~ O r e n Us d®” »nt «m isé 8e fifie . : S te *i.5He par * »in «e"l b ou ton et le d«? d—'t e«t e e - ] t«o»i o«r une »»»«»rtlene’o <v>te M le en touré d’un bordé se nrolnnP U S L IC IT I ç e - o t e»t hne<t d»j d even t Pn*»*«« * e»bet? e t m en eh e» reten u es du bas L a p u o ltc ltô tocaie e t ré gion al» e s: re ç ue • nuire Bureau spécial de pu bli cit é, 48. avedans un oo»onet. ■ o e de« Etats-Uni«, »a-ence liavas M étrage : 3 m. PO en 1 0 0 . La pub U clt* e x tra -ré g lo n n ie e s t r e ç u e » Prix du patron : 2 fr a n o s . f i t t o e t H*vas. »8. ru » d a Richelieu. P a r u 33 U ver-. go-! b o ita /3 f- ................ ......... P ou ? v o tr e d e s s e r t « U tt* « l O N N S S i N T I Un an 6 mol» 8 nol» F m y - de • DOins e; 0»parlem ents llnhtr 76 • 40 • ö • A u tre s d é p a r t e m e n t s a t __ — • o io n ie e — ^ ~ 60» 40 • n • .4 5 » .77$ ..S «& 11.6 4 t v o ttr» v o o S J. r t v t S I A T I » , C lE U M O NT -f E tW A NO T a 1.34* 2 - ü L ?•>* — Chaque» p o s u u i |0 .4 ii ap- Pou? Le Moniteur- n.84«s k-2?6 .1 1 7 Ip a r lé tat» < »0 4- SA M E D I P® ?aa* J*.35S x id i- ch a u ssu re ré e et unie en m é ta l a r g e n t é e s, d e v e ; n u e p r e s q u e c l a s s i q u e . V e ille z à c e q u e i le b o u t s o i t u n p e u c a r r é e t lu i d o n n e l é g è r e m e n t • s t y l e ». J e le c o n s e i l l e i p a r t i c u l i è r e m e n t k la f e m m e u n p e u g r a n d e ; Il a le m ê m e c a c h e t e n n o i r l q u ’e n m a r r o n , e n c h e v r e a u q u ’e n v e r ni, e n d a i m q u ’e n b o x e t dp u t s e p o r t e r ! i n d i f f é r e m m e n t a v e c le t a i l l e u r o u la i ro b e de sole s im p le . 'MB'« l<. . 0 5 2 |S 2 6 ? )< .03'-! i i • j ;. I Pour la rille . — Mais p o u r la c h au s sure de ville, c’est a u tre chose. Le con fort et l’élégance doivent être réu n is et, pour que l’h arm o n ie soit com plète, il j est indisp en sab le que le so u lier soit fondu avec la to ile tte non seulem ent j com m e tein te, m ais encore comm e coups. qui paraissent U ureé ; p ra tiq u e .* ■ — TV*mi?» quelq u es années, le box ot le veau rou* go »e p o rten t aussi bien l ’hiver que l’été ; m ais, n a tu re lle m e n t, la c h a u s su re doit, dans ce cas, ê tre coupée un peu sp o rt à em peigne et coup ae ple<! ra p p o rté s, rehaussé» de dessins en créneaux e t em boîtant p a rfa ite m en t !e talon. La m ode du so u lier à talon assez r \ haissé, 4 p a tte cornée de la boucle c ar- an acquéreur le c te u r s U n e f e m m e ne p e u t être vraim ent é l é g a n t e q u e si e l l e e s t p a r f a i t e m e n t c h a u s s é e ; j ’a j o u t e m ê m e q u e , b i e n s o u v e n t , la t o i l e t t e e s t s i m p l e e t , si^ le s o u l i e r se m o n . r e i m p e c c a b l e , t o u t l ' e n - i sem ble apparaît rehaussé. M ais ce c o m p l é m e n t de la to i l e t t e est p a r t i c u - i liè re m e n t difficile à r é a lis e r p o u r ta c h a u s s u r e d e ville. La P£0131 ku retf |d 3 n ~ lu a n s ferlie illa Principales émissions PETIT PARISIEN. — 21 heure» : Concert arec l e concours d’artiste» de l’Opéra et de rO péra-Com iqne. MILAN. — 19 h. 80 : * Uabeeu », opéra de M aaragnl. Elle prit d’elle-même un crayon, attira à* elle un cahier et commença à dessiner des choses informes. Puis, soudain appliquée, tirant la langue, elle écrivit. M. Martin lit mine de se iever pour aller regarder paç-dessus son epaule, mais un gc3te de M. Pâtis son le retint. Son travail termine, la petite 18 mit sous les yeux de son vdiein, qui était à peu près de son âge. Les deux hommes se pencherent. En pleine page, après deux essais infructueux, on pouvait lire le mot: c Longwhite ?. Lonvite, prononça M. Pâtisson. La petite ne broncha pas à l’é noncé du mot qu’elle vena:l d écrire assez nettement. — Il faudrait peut-être le pronon cer à l’anglaise, observa M. Mart n. il regarda l’enfant, et prononça lentement : — Longouaïtc. L’enfant battit des mains et vive ment. du bout des doigts, se frappa la poitrine. „ — English ? demanda encore M. Martin. L’enfant le regarda de scs yeux clairs. — American ? — Yes. . Elle prononça plusieurs fois le mot en battant des mains et en | riant. économique nourrissant é n e r g é tiq u e agréable M an gez d u c lio e o la t CO. - S O U T T IS It Voulez-voas de la musique ? LE H O M E R A D IO -PA R IS. — 20 h , 30 : C oncert « vm p h o n iq u e. T O I'R E IF F E L , t - 19 h . 20 : R adîo-C .oncert : M u siq u e lé g è r e , c h a n so n ? , fa n tn tste s , ]a 77. a v ec le co n c o u r s d es m u d e h a tls p a r is ie n s . L F» GUERIDONS DE METAL LE DIAGNOSTIC DE3 MALADIES PA I’.IS -P . T. T. — 21 h eu res : D iffu sio n d u PAR LES RAYONS X co n cert S tra ra m d o n n é au théfttre dea Le m e u b le de m étal p re n d peu à peu .C lia m p s-E ly sé e » . D epuis la d éco u v erte sensationnelle u n e p l a c e i n d i s c u t a b l e d a n s T a m c u b l e - PETIT PARISIEN. — 21 heu re* : C oncert .'a v e c d e opncdiirs »l'orU stes d e TOpérn e t ,de R oentgen, l’em ploi d es rayons X m e n t m o d e r n e , ( . e s r e f l e t s a r g e n t é s o u d e l ’Q p érà-C om tq u e t o u v e r tu r e d u R o t pout d iag n o stiq u e r le» m aladies s ’est h r u n i s fie c e t t e m a t i è r e a j o u t e n t à c e r I.ea r iiîe iiio z ) : les J o y e u s e s c o m m è r e s t a i n s m e u b l e ? la n e t t e t é d é i ' a c l e r q u e généralise. L’outillage s ’est c o n sid éra d e W in d s o r (N ic o la i), j.a d e m i-h e u r e blem ent perfectionné. La radiographie n o u s s o m m e s a c c o u t u m é s à v o i r m ô o r s v n ip h o n iq u e s o u s la d ir e c tio n dp \f . ne fournit pas l’im age de to u te s les à n o t r e vie t o u t e e m p r e i n t e - d ' a r t m é Francis' C a sa d esu s : o u v e r tu r e d e Carterl? n (R pcthoyen) ; R o m a n ce en fa (R ecth olésions. De plus, l! e st so u v en t m alaisé c a n i q u e e t d e c o n s t r u c t i o n m é t a l l i q u e . ven», p o u r v io lo n et o rc h e stre (M. S e u r y , l ’in te rp ré te r exactem ent les indications Il e s t i n d i s c u t a b l e q u e l ' a v i o n , le g r a n d p a q u e b o t , le t r a i n m ê m e e t l ’infi nie v a v io i 'n s o lo d es C oncerts Lam oureuxi" ; données par un cliché râd io g rap h iq u e, (ii S o u rce , b a lle t (D elib e s) ; H anse le n te r i é t é d u m é t a l d a n s l’a u t o m o b i l e n o u s notam m ent dans la phase de d é b u t de fCAsnr Franck)*- M arche h o n g r o is e d e Lz o n t a c c o u t u m é à v o i r le m é t a l r i g i d e et m aintes lésions. D a m n a tio n d e F a u st (B e r 'io z ), l ’inno. L ’e x a m e n de? frac tu re» Indique la p e u m a l l é a b l e , s ' a s s o u p l i r , s e mô'ler "H O R D FA UX -SUD -O Ü IÎST. — 19 h. 15 : Con position des frag m en ts osseux, p erm et a u x c u i r s , a u x é t o f f e s , a u x c h a t o i e cert. P r em ièr e p a rtie : O rch estre : D an se n o rv é g ie n n e i G ri eg) ; n o u r r ie f a n ta s q u e de c o n trô le r la réduction des os b ri m e n t s d ’é p a i s t i s s u s . P e u à p e u . u n e c o n c e p t i o n n e u v e s ’e s t fait J o u r , t o u t (C linbrlcr) ; P e e r G y n t : La m ort d ’A nse sés, leu r m aintien en place p a r un a p (Grlog) D eu x iè m e p a rtie C hant : L es pareil a fra c tu re , la form ation du cal d ’a b o r d s u r p r e n a n t e , p u i s a d a p t é e k d e s C lo c h e s d e C o r n e u ilte : Va. p etit m o u ss e ; t l g n e ? n e t t e s , â d e s f o r m e s d i r e c t e s ré p a ra te u r. L’exam en de9 luxation» Je reg a rd a is en l'a ir (P 'a n q u cttç) ; M a d a d ' u n e s i m p l i c i t é p l a i s a n t e . perm et de se re n d re com pte de» dé m e f tn tte r f tij : Sur la m er c a lm é e ; C her placem ents osseux et de c o n trô ler le p etit d ieu (P u ccin i)» T r o isiè m e p a rtie : À nn h 's b itte s (H uré) : la R a to n e ra , tan go re to u r des su rfa ce s a rticu la ire s en po (R elu i ; Me to n , tan go (P a d llla h sition norm ale, a p rès réduction. D’une La peinture d é c o r a tiv e . — L o s v e r t s , m anière g énérale, l’exam en des a rtlc u - le J a u n e o r a n g é , le b l e u s o u t e n u , te s > (IR F.N O hl.E (A lp es). — 20 h . 15 : . C oncert t atlons à l’aide des rayons X décèle le? | r o u g e s d e C h i n e s e m a r i e n t a d m i r a b l e - ! Huit iiiits (M en d elsso h n ) i N o c tu rn e (B olésions tu b erc u le u se s, g o u tte u se s e t m e n t a v e c le s t o n s f r o i d s d u m é t a l a v e c J ro d ln e) ; R o m a n ce en f a (B eeth oven ) ; u s e r '? ; V in -fi-sep tlèm e p rom en ad e .h is rhum atism ales, la cause des raid eu rs t e q u e l Ils s ’o p p o s e n t . M a is c e t t e p e i n - ; Ctoariq u e d an s la v ll 'e d e G ren o b le ; S i ; articu la ire s. L a p résence des corps t u r e q u i p e r m p l , s o it u n d é c o r c u b l - ; l'é ta is r o i (A dam ) : R a rc a r o lle (O ffen i é tra n g e rs dans to u tes les régions du q u e , a v e c u n tné'lançre d e p l u s i e u r s ; b ach ) ; la - Vie d ’a r tis te s (S tra u ss) ; la (.Schultert) ; N u its a lg é rie n n e s corps», e st couram m ent révélée par de9 t o n s , ? oil d e b a n d e s d i s p o s é e s d a n s la t R ose ■Grcgh) ; le s M o u s q u e ta ir e s au' c o u v e n t rad io g rap h ies prises so u s diverses In p l é n i t u d e d e p a n n e a u x , soit e n c o r e une (V arn ey). cidences. Ainsi, il est possible de fixer m o s a ï q u e do c a r r é s d e c o u l e u r ? d i v e r la position de ces corp9 é tra n g e rs et ses d e m a n d e u n e p a r f a i t e a d h é r e n c e , j LYON - I.A -D p U A . — 20 h . 45 : C oncert j ou n od ) ; J o se n h , trio (M éd ’en d irig er l’extractio n p a r le c h iru r P o u r c e c i , r i e n ne s a u r a i t é g n ' e r o u : hSua l)ra b; aCn dh er y s(G a n th è m e s (L. D c lih e s) ; A d ie u gien. s u r p a s s e r te DT’CO , d o n t la c o m p o s t .- j an p la n o (B eeth oven ) : M enuet (H e u c h e l); L’exam en radlographlque de la poi tio n c h i m i q u e p a r f a i t e p e u t f a i r e c o r p s i C h an son d e s n o is e tte s (G. D u p on t) ; la trine m ontre l’em placem ent du cœ ur, avec l a ' m a t i è r e r e c o u v e r t e . Le m é t a l : B erceu se d e Jocelijn (G odard) ; lu Jeu n e les m odifications de volume de cet o r s ’y p r ê t e t o u t a u t a n t q u e le b o i s e t , m è re , b e r c e u s e . (S ch u b ert) ; W e rth e r, nir de S o n h ie (M assenet) ; F.spana (A lb e n lz )t gane les épanchem ent9 de la plèvre, c ertain s g u é r i d o n s d e m é t a l r e h a u s s é s P r é lu d e ; T an go ; M ataguena ; R êv es d e les lésion» pulm onaires tu b erc u le u se » de D l ’CU a p p o r t e n t d a n ? n o s i n t é r i e u r ? p r in te m p s., v a ls e (S tra u ss) la P e tite M a ?^ In d iq u e n t des tach es plus ou moins re ch e rc h é s la n o t e m o d e r n e qui nous rié e . o u v ertu re (L ecocq ). oncées, su iv an t q u ’elles so n t ré ce n te s e st devenue Ihdïspeneahi». ' . ’ R A D IO -T O U L O U SE 20 h. 3 0 : C oncert nu a n tie n n es. Il p erm et l’é tude d irecte P r em ière p a rtie : M u siau e m ilita ir e : L a » . lu fonctionnem ent des organes, tels les «« N a tio n a le , m arch e (R lol) ; O h jm n ia d e , m a rch e (B oh 'n n d er) ; F r é d é r ic le G ra n d b attem en ts du cœ ur, ^am pliation at le e t g u é r id o n s . — D ’a u t r e s , g u é r i d o n s (Or-'d'p). D'," ' têm e o n rt'e : F.i p a n o n io re tra it du diaphragm e. r n n a (de F a lla ) ; R o m a n ce (G. F au ré) ; L’exam en de la cavité abdom inale dé- aux t i g e s l é g è r e s et r e c o u r b é e ? , p r é s e n .i 7i ( P o p p e r ) ; J o ta (de F a l l a ) ; rèle la présence de calcul» biliaire» ré ten t, s u r la p a r t i e p l a n e , u n e v é r i t a b l e con cert v o ca l. naux, u ré té ra u x et vésicaux. Il perm et m o s a ï q u e d e d é c o r ? t r i a n g u l a i r e s , ue — 19 h eu res : S o irée m u la recherchp de la form e, du siège, du f o r m e s g é o m é t r i q u e s . Il n o u s s e m b l e I.ANGF.NUERG. sic a le : Le b a ro n tz ig a n e , o u vertu ro volum e, du m ode d’évacuation de l’e s a s s i s t e r a in s i à î’é c l o s i o n d ’u n e p e i n (S trau ss) ; J a q er, H eder (G oldm n n n ) ; le tom ac. A près ingestion de 200 g ra m tu re n o u v e l l e q u i n o u s a p p o r t e , avec , P e n s io n n a t, chceur et p rélu d e (S up p é) ; C h an son d 'a m o u r (È n g e’-B crger) ; P e r m es de lait b ism uthé, à l’ex am er ra- t e s c o u l e u r s le s p l u s s u b t i l e s , »’éclat Création : MARY TEYRAS ceu se (E y sler) ; C a v a lle r ia r n s tir a n n , m é dloscopique, l’estom ac norm al a la fo r profond de l’a rt d u r a b l e . Tissu' « Aspérlo * belge dè Rodier lo d ie (M ascagn i) ; P r a r ie - L ik o , Interm ezzo me d ’un bas au contenu noir, dont le garni, vison, (M il’s). corps descend verticalem en t dan» ie « ■ il*'■ i ■■ ■— N N E . — 1S h. 30 : C oncert par l ’or flanc gauche et dont le pied, plus ou D e s ta b le s c a r r é e s . — C e r t a i n e s t a V IE ch estre s y m n h n n lq u e v ie n n o is : O b éro n , m oins p erpendiculaire au corps, se b l e s c a r r é e s , c o m p o s é e s d e q u a t r e ple iK o u v ertu re (W eh er) ; C o n certa en m i m i porte ver» la ligne m édiane. Les u l e n c o l o n n e s u p p o r t a n t d e u x p l a t e a u x , n e u r, p our v io lo n (M e n d e lsso h n ),; Q u a tre cère» et le» can cers gastrique» sont s e r e h a u s s e n t s u r le p l a t e a u s u p é r i e u r lir d e r (Max W . A si) ; C in q u iè m e s y m p h o n ie en rr.l m in e u r ’(T c h a ïk o w sk y ). révélés p a r des signes a u jo u rd 'h u i bien d ’u n e l u i s a n t e c o u c h e de D U CD roug<MANTEAUX DE V ISITE BR U X E L L E S. — 20 h . 30 : C oncert s y m a n c i e n , q u i r a p p e l l e le s b e l l e s l a q u e s connus. p h o n iq u e. ch in o ises com m e c erta in es din an d eries Enfin, Il faut encore sig n a le r le» ap Le m anteau de •visite Cit. - m a in te nant, presque aussi im p o rta n t que la plications de la radiographie à l’a r t s e d é c o r e n t d e l a q u e s e! de c o q u i l l e s BARC ELON E. — 21 h . 10 : C oncert s y m p h o n la u o . robe. Et cependant, de plus en p lu s, la d en taire, notam m ent aux anom alies d ’œ u f s . C e t t e s o u p l e s s e d ’a d a p t a t i o n do p e i n t u r e D U C Û r e n d s o n a p p l i c a t i o n j DAVFNTRY 3 XX. — 19 h. 50 : C oncert cou tu m e est d'entrer • au s a l o n '•, en d en taires su r lesquelles 1! Im porte s u r f» Infinit» i H n llé. C o n certo en fa (H ayd n ) : L es f o n robe et c h a p e a u .M a is to u t p ré tex te à to u t d’é tre fixé en m atière de re d re s ' (n in es de R o m e (R csn ta h il ; l . ’a tn n n r d e sem ent des d ents, de kyste alveolocoquetterie nous est bon.'• tr o is o ra n g e s, s u ite (ProkodefT) ; C a -n a taires, d ’abcès chronique, de fra g v a l, p fan ô (S ch u m an n ) ; F ra n c esca n’a Certes, un m anteau de fo u rru re est dmen ent de racine re sté dans l’aivéoie, R i m in i (T se h n ik o w s k v ). de to u tes circonstances, et d e s! bien | ^ Médecin du Payer R ichelieu... ou Charles IX. — L e R i chelieu coupé en box ou en verni noir lem ande des découpe?, des p e rfo ra tions, sinon il est vulgaire et épafjsil te pied. La sim ple b a rre tte boutonnée o?t g racieuse, à condition d 'ê tre de la bonne larg e u r et de ne nas com prim er le» chair», ce qui e st affreux. • A v e z -vous quelque chose à vendre ? lit «% l u ’i l» f c ,y e r > e Sas canseÜs de kaiiié! Souliers de ville t>les ; il r e s t a p e n d u p l u s i e u r s j o u r s . ( e x c e l l e n t r a m é d e a u x d o u l e u r s r h u m a L e e l o u o s e t les c h i e n s q u i v e n a i e n t c h a - U s i n â t e s . V o ic i é g a l e m e n t u n e a u t r s r e c e t t e le s c a d a v r e s , s a r r e - 1 q u e s o ir d é v or d ’u n b a i n q u i a d o u r d e t b l a n c h i t p a r taien: d e v a n t le s ie n e t h u r l a i e n t , te ll e- | f a i t e m e n t la p e a u , i v i s a u x c o q u e t t e s l m e n t il é t a i t hi< e u x e t c o r r o m p u , tun m e t t r a d a n s la b a i g n o i r e l’e a u n é L e s e x e c u t i ns se miv tip! a i e n t de p lu s c e s s a i r e e t o n y f e r a d i s s o u d r e s u c c e s en p l u s et l ' a r re f a t a l e u t p lu s d ' u n e s i v e m e n t : 1 7 5 g r . d o b i c a r b o n a t e d e fois c e s m o r t s e t de » m o u r a n t s t u s p e n - s o u d e , 1 5 0 g r . do c r è m e d e t a r t r e , 2.‘>0 g r . d ’a m i d o n . P u i s v o u s a j o u t e r e z 4 clus à scs b r a n c h e s . g o u t t e s d ' h u i l e d e c i t r o n n i e r e t , il v o L e s g e n t i l h o m m e » e t le s o ff ic ier » de tre c h o ix , 5 g o u t t e s d 'h u i le de g é r a f a r m e e r o y a l e , é c œ u r é s p a r le* h i d e u s e s n i u m o u d e b e r g a m o t e . t u e r i e s c o m m i s e s t u r l’o r d r e d u d u c P o u r la t o i l e t t e d u i u r a j / e . — T r o p d ’A n j o u , a v a i e n t f a it u n p a m p h l e t q u ’ils d e f e m m e ? c r o i e n t q u e le s a v o n l e u r a v a i e n t c l o u é s u r l’a r b r e e t q ui d is a i t a b î m e la p e a u e t s e d i s p e n s e n t p o u r « n t r e a u t r e s p h r a s e s v e n g e r e s s e s : « Do c e l a d e l ’u t i l i s e r . O r , li n ’e s t p a s do M o n s i e u r , la m i s é r i c o r d e est le fe u, le b o n n e t t o y a g e s a n s s a v o n . L e s p r o d u i t s d e b e a u t é , l a i t s o u v i n a i g r e » de • a n g et la c o r d e *. t o i l e t t e en c o m p l è t e n t h e u r e u s e m e n t L ’A r b r e de a M o r t a v a i t r e ç u t un tel l ’a c t i o n , m a l» s a n s y s u p p l é e r . Un l a poids de p e n d u s q u e d e u x de ses b r a n v a g e à l’e a u c h a u d e a v e c d u s a v o n d e c h e s se p l i è r e n t et se d e s s é c h è r e n t . B e a u M a r s e i i l e n ’e s t J a m a i s d a n g e r e u x . Si ce çcm bîo d u r, oalax o z-1 6 c o u p t i n r e n t c e l a p o u r u n m i r a c l e e t s’é s a v o n v o u s c r i è r e n t que l’a r b r e se refusait desor- a v e n u n p e u d a v a s e l i n e e t d e b e n j o i n {o n le p a p e « u « ° le P é t r i t RVè0 u n Riai» à tuer. — H e n r i L e u x . p e u d ’è s u ) . 1 — mm— -------------------- >—<S> i » < S i u o n a a v e z le s c h c v e ir c grc’S. — 99 L i e n n ’e s t p l u s f a c ile c o m m e d e le» frictio n n er ch aq u e Jour à sec avec du s u lfu re de carb o n e p u r s a tu r é de s o u f r e O n e n v e l o p p e la t ê t e p e n d a n t q u e l La sem aine passée fut up. î sem aine q u e » h e u r e » nu i» o n b r o s s e é n e r g i q u e d e b e a u lé . m e n t a u - d e s s u ? d ’u n e c u v e t t e d ' r a u Le9 plu» jo lies fil le s d ’E u r o p e Le» c h e v e u x 6o n t s e c s e t b r û la n t» . ▼ o y aie n t é l i r e la p l u s b e l i e d ’e n t r e e l P o u r b la n c h ir le c o u . — T r o p s o u les. Le p lu s b e a u d e s félins re c e v a it v e n t l ’é p i t e r m e d u c o u p r e n d u n e t e i n le p r e m i e r p r i x . Si le s JcFies fille» J o u i s s a i e n t d e t o u t e la l i b e r t é c o m p a t i b l e t e t e r n e , g r i s â t r e , d ’a s p e c t l a i d e t q u ’un a v e c l e s e x i g e n c e s d ’u n p r o t o c o l e r i d'irait m a l la v é . Afin d ' y r e m é d i e r , i a g o u r e u x , l e s f é l i n s r e s t a i e n t e n c a g e . v e z - v o u s c h a q u e J o u r à l’e a u d e s o n à C o m m e n t e n d u r a i e n t - i l s l e u r c a p tiv ité , p eine tiè d e e t s o n s f r o t t e r t r o p fort, c e s f a u v e s a p p r i v o i s é s e n i ' à m e d e s î»ar c e t t e p e a u e s t p a r t i c u l i è r e m e n t q u e l s l’i n s l i n c t a n c e s t r a l n ' e s t j a m a i s l i c a t e A u r è â c e t t e t o i l e t t e , f a i t e s d e s a p p l i c a t i o n » d e g l v c é r o l e d ’a m i d o n q u e c o m p l è t e m e n t s b ‘>ll ? E V E , le g r a n d J o u r n a l f é m i n i n i l l u s t r é d u d i m a n c h e , v o u s t r o u v e r e z f a c i l e m e n t c h e z le p h a r m acien. O u p lu s s im p le m e n t d u Ju s n o u s le f a i t s a v o i r d a n s u n Joli a r t i c l e a c c o m p a g n é d e la p h o t o d e s r o i s d e d e c i t r o n . ---------------- ► —<m♦ » —<------------------------i ’e x p o s i t ï o n : b î r m m s , s e r v a l » e t p e r IS at» i»» lï m PROGRAMMES DU JEUDI 21 FEVRIER 1829 teSMiaaiiaàS™6 ** frp trietém |i Les Emissions dé T. S. F. D'AU TR (iititiiiiiiiism snm siiiitiisin iiiB isijiiiiiiitiiiiiiisiiR iiian iiiM iiiiitiiiiisiiiliitiliiV ff 5NE ll m o n it e u r LA M O D E souvent une économ ie de fa ire cette dépense q u i en épargne pas m al d'au tres. LES■ P ELISSES. — La m ode, d ’a il leurs, est p lu tô t j favo ra b le au x p elis ses. Cela p erm et d ’u tilise r un m a n tea u de fo u rru re quiMtâesf - p lu t en t r i s bon état. Et le fourrage a c h e ti^ n e u f- est quand m ê m e ctr-ins' c o û te u x q u e les belles fo u rru res ) oison A ou. a stra ka n .. On em ploie, pour- d o u b le r 'la pelisse, le oentre de peilt-g ris ou le p u to is. Et ce sont les fourrages, classiques. On u ti lise égalem ent la nuq u e de-certains rats m usqués. Ou encore le lapin m êm e na tu rel. On appelle cela du « -flanc 4e garenne • et cela onus a un -air pres que recherché l • M ais les beaux, m a n te a u x de drap et de velours sont bien chie égalem ent. LE S DECOUPES EN L ’EN-FORME. — Un travail de découpes, d 'e n -fo r m e, les co m p liq u e. Leur ligne est étudiée avec coin et s’inspire, com m e dans nos robes habillées, de la coupe princesse. Souvent, le dos biaisé de cô té se c in tre légèrem ent à la taille p o n t en m ar quer la cam brure. Les devants e u x-m ê m es, tailU s' très en biais, sk. fo rm e n t en godets souples et nom breiix. C’ést là sans d oute qu’il fa u t chercher les indications les plus certaines sur la liane noppelfe. -, ... LA ZTGNE DROITE, y -'.T o u te s le» f&mrne^y d ’ailleurs, n’adoplenj pas cette ligne, q u i ■né sied, q u 'a u x silh o u ettes s u d te s ... et allongées. Le m anteau d oit gqrder quelques ferve n te s, Il s ’orne de découpés, d ’incrustations, de. -nervures exécutées à l’envers et gu i. disposées vérifcàlcinent t>en_cn V, d o n n en t cet ef f et d'allongem ent qui nous e s t'c h e r . ET\,L*EN-SE'dSLR. — N atu rellem en t, T ensem hler rst.tÀ-npm rs. fo rt élégant. .Si' on le choisit ri ans un ton neutre, i l- s s r j .possible .de p;>r’,-p:-r le m anteau q.vec une Autre robe p iu s 1ou m oins assortie. J'ai iitm é cet rase,aide, ce crêpe de laine beige com posé âlur, v êtem en t ta illé en fo rm e a b o n d a m m en t garni de lièvre blond éll d ’une rqbe au corsage' incrusté de bandes en diagonale de plusieurs tons de brun. La ju p e a -ait un em piè cem ent m oulé a u x h a n c h e s'e t prolongé d e"ànt et derrière, par un é troit ta blier ju s q u ’au bas de la ■fiipc, tandis que d e u x panneaux en-form e s ’incrus taient sur les côtés. Un m anteau d e drap niarine a de curieuses m anches garnies, presque à hauteur du couda par un bracelet de ly n x . Un h a u t revers m o n ^ e -ju sq u ’à ce bracelet. La très large craisup» dés de va n ts esi é to ffée de godets.' d ’accidents de d e n ts de sagesse. Au point de vue ch iru rg ical, on p eut, a u jo u rd ’hui, grâce à des dispositifs in génieux, o p é rer so u s l’écran dan9 des conditions de précision re m a rq u ab le s ; le» e x tractio n s de corps é tra n g e rs dans to u te s les lég io n s (c râ n e , face, th o rax, abdom en, m e m b re s), le» ponctions de cavité encom brées de liquides no cifs ou de pué. L’action chiru rg icale y gagpe singulièrem ent en précision, en p ro m p titu aé e t aussi en sé c u rité. D o cteu r M aurice LEBON. L in e ÈARG Y. — C’est une Américaine, conclut agent cycliste avait téléphoné qu’u ne auto* paraissant abandonnée sta M. Martin. — Elle dT pourtant « maman » tionnait depuis deux heures au comme une Française, remarqua M. moins quai S a in t-M ic h e lR donna ie numéro. C’était celui dô Tauto vo Pâtisson. lée. * . •' XL — LA MORT DE RELLINA l.e chauffeur se rendit quai StMarquet, Barnac et Lucette des M/chel. 11 voulait rentrer , immédia cendirent l’escalier silencieux. Tous tement en possession .de son. bien, les trois éprouvaien’ le besoin de mais, les „agcn.îs,. ayant .constaté, que, fuir l’appartement de Barnac, dans dès bagages* ,s£ (trouvaient. ;a '.i’jnt•}« lequel des secrets si effroyables leur rieur,‘ décidèrent d’attendre,--Ils at tendirent plug d’une heure,./La pluie avaient été révélés. Ils sortirent et Marquet se diri avait, heureusement cessé,, et lq ciel, geait déjà vers le taxi pour en re I par, endroits,' sé dégageai!, Lia. méprise ne aura pas. j' tirer ses val ses, lorsqu’une poigne Un des àgeçits cyclistes s’exclama solide le saisit par le bras. , En même temps, une voix, dans avec étonnement : — Mais c’esl M. Barnàc, de 17nlaquelle on n’aurait pu discerner si ' a ^4:■ •v"" c ’était l’accent de triomphe ou la form atenr? ' — Non, du Grand Qimlidlbn, ré colère qui dominait, s’écria : pondit Barnac; j’ai qüRtê \’l a for — C’est lui ! Le voilà ' Croyant à quelque mauvais coup, mateur. Comment allez-vous'? Il tendit la main à l'agent cyclis Marquet se dégagea et se retourna. L’exclamation ne le concernait te, qui lui avait lâché le bras; il se pas ; il s’en rendit compte, en rappelait avoir été en rapports-avec voyant deux agents cyclistes, dont lut, au cour? d’une enquête: sur un les" vélos étaient rangés contre le crime, dans le cinqu èm e-arrondismur, se précipiter sur Barnac et sem ent.. » — Qu’est-ce que c ’est que cette l’immobiliser. Un homme assez fort, à la tenue de chauffeur, pointait le histoire *? demanda aussitôt l’agent. Vous volez des taxi, maintenant ? doigt vers le journaliste. t- Pas précisément... Mais ie vois, C ita it le chauffeur volé. Il était retourné au commissariat et à ; là que je rie m’étais- pas trompé. C’est préfecture de pol ce deux »u trois : bien votre taxi ? ajouta-t-il en se j tournant vers le chauffeur. [fois dans la soirée. Ver» onze heures du soir, un J Celui-ci était bien étonné de voir Dé VFNTHY du Théâtre ? des Conférences ? AVIS AUX LECTRICES R A D IO -PA R IS. — 12 h eu res : C on féren ce protestan te' o r g a n is é e par la C ouse, « C oinm rn t ch a n ta ien t les H uguenot* » , p a r 1» p a ste u r J a cq u es M cn th on n ex. SOYEZ VOTRE COUTURIERE, MADAME. de la Danse ? N’e»t-ee pas lt pour tout» femme LE PRIX DS CHAQUE PATRON* ' ; EST DE 2 FRANO* c o m m e p a r to u t ailleur?. A d r e s s e z le ? c o m m a n d e » a c c o m p a gnée? de le u r m o n ta n t en tlm b resb o s t e a u 8 e r v i c e d e a P a t r o n » d e la P a g e F é m i n i n e du M O N IT E U R , 5 7 . r u o B!ûtln C l e r m o n t - F d ( P . - d c - D . ) . L es c o m m a n d e s ne sont r e ç u e s q ue p e n d a n t h u it j o u r s . D élai de liv r a is o n : une sem a in e en viron, 20 heures : Récltid MILAN. — 19 h . 30 : Isa b e a u , op éra d o M nscngnt. N A P L E S. — 20 h eu res : L a P o u p é e , o p é r e tte en tro is a ctes (A u d ran ). ------------------------- (l’i n t é r i e u r u n e oc-cuipation à la fol» a t t r a y a n t e e t * til e T E t a v e c u n p a t r o n é t a b l i s o i g n e u s e m e n t ,il v o u » e s t t r è » fa c ile d ’e x é c u t e r u n c h a r m a n t c o s t u m e . A u j o u r d ’h u i , n o u s v o u s o f f r o n s u n e b louse c o q u e tte qui vous p e r m e ttr a de v a q u e r at x s o i n s d u m é n a g e o u d a i d e r votre d o m e s t i q u e , s&na e n d o t a m a g e r vo tre ro b e d élicate. Elle e s t t r è s s i m p l e à f a i r e e t v o u » r e n d r a le? p l u s g r a n d » » e r v i c e » . Ne p e rd e z pas de te m p s l D ’a i l l e u r s , vous aurez tou jo u r? a v a n t a g e s à u t i l i s e r ieg p a t r o n s d e « La P a ire F é m i n i n e ». N o s p o c h e t t e s v o u s offrent d es m odèles n o u v eau x , sim ples e t é l é g a n t ? a c c o m p a g n é s d ’u n e e x p l i c a ti o n p r é c i s e d e la f i g u r i n e , a v e c u n e » r i t e d e c r o q u i s I n d i q u a n t la m a n i è r e d e m o n t e r e t d e c o u d r e le» d i f f é r e n t e ? pièce? du p a tro n , C-B. Jo h n A n s c ll. f i n V E ltSUM. — 19 h . 55 : R a d lo -d lffu s io n d u con cert sy m p h n n ta u e d o n n é ù « C oacr r lg fb o u w », it A m sterd a m . B l’ u VPEST. — 21 h. 10 : C cn cert p a r l ’ox ch c s tr e tz ig a n e F a r k a s. DAVKNTRY 5 XX. — 12 h. 80 : Muslqo » d e d an se du Savoy. Si vous ne pouvez faire pour IfîO.îTGO francs de publicité, fa lte s en toujours pour 1.0QQ. Les 89.000 a u tios vous viendront. Co3 c h arm an ts p e t i t » Î15EIÎ31ES d e m é ta l d écoré» eu « Duco s sont solides, pratiq u es e t d ’u n s tr o 3 r é e l l e é l é g a n c e . Le f e r fo r g é . — Le f e r forgé, torn d ’a b o r d , n o u a e s t a p p a r u c o n m é d e v a n t r é n o v e r le m o b i l i e r q u e . n o u s v o u l i o n s différent de celui du passé . Les cm Bäudlers m o d e r n e » o n t a s s o u p l i la jwm « lu p e i Çxj-jC r o x r J t * W 15*60 Mère r i g i d e , c o m b e le s tig e » I n f le x i b le s ; t r a c é d e s v o l u t e s e t ri e ? a r a b e s q u e s d a n ? le f e r q u i n o n ? s e m b l a i t i m p l a c a b 'e . , . L e s P le u rs le s p l u ? d é l i c a t e s s o n t n é e s s o u s s o n m a n t e a u p u i s s a n t e t le» g u é r i d o n s d e f e r f o r g é , c o m m e le s conüo e s ’a u d e s s u s d e m a r b r e , »e s o n i aoe l i m a t é ? a u x r i c h e s s e » de l ’i a t é r i o u r m oderne. • »• L’acier et. l’a lu m in iu m . — A l’h e u re a c t u e l l e , ce n ’e s t p l u s s e u l e m e n t le f e r àli p a t i e n t t r a v a i l , m a i3 I’a c l e r , l ’a i u « o m n i u m ' m ê m e a u x q u e l s n o u s r t e m a 'n i -do n* *- des f o r m u l e s n o u v e l l e » d e s m e u « bles. L e s trdules d e m é t a l s o n t p a r t l d u l t ê « i r e m e i ' t h e u r e u x . La p l é n i t u d e ' d e ? n > d a j ï l ’a s s i s e l a r g e , l e s p l a t e a u x i m p o M | tant?, s o it e n tré s , soit ovales, m é ia n l- g e n t le m é t a l a u v e r r e , s ’o r n e m o n t e n l ! égalem ent, de p e in tu r e de to n s c h a u d » , Y vonne FRANCEL. » iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiîiiiiiiiiiiiiiiiiiii itn iiiiim iiiiiiiiü u iiin n iïH H iiH îS Jïîf ;?iïîi, î , ïi | sîiiï| ï!Ê| ïS!| îi, s, ii,f ûucu/te crèvu?newuJadotuw uuùfacucn A p»-- ttn/eeter f 'ec/oi ée O jtvne//e pev rfjt-trv -oir» é/uCtra,» fotvnuton m *«**»** ( z : M T r ^ ' j r - r M T /â/rm yea/e. Jféeifua.- ■-<'< ■// . .rcutefion feu, cvto-w Aen g r ja t __ farmvt jc/en/é/éçue Q/UL~' OCféNf C m .M ’ •i .^ ngun. » Za t n Z. __L C l A T PKAPMACIE MERCieff MICfL son voleur dans d’aussi bons ternies avec les agents chargés Je l’arrêter. — üui, répondit-il violemment, c’est mon taxi et c’est vous qui me l’avez volé. — Mais non, répliqua doucement Barnac en secouant la tête, puisque je vou3 dis que ce n’est pas moi. On vous l’a volé pendant que j’étais en train de causer avec vous... Le chauffeur éta>t de cette race de gens qui veulent toujours avoir le dernier mot et qui tiennen* à en nuyer quelqu’un, lorsqu’ils on» euxmêmes un ennui. — Il faudra tout de même aller s'expliquer au commissariat, car je porte plainte contre vous. D’ailleurs où est le voleur ? Barnac. faillit répliquer : — Vous ne l’avez pas vu ? Il est descendu quelques minutes avant nous. Il se retint à temps, et leva les bras, pour sign fier qu’il n’en sa vait rien et que ça ne l’intéressait pas. — Il a peut-être eu peur d ’être pincé, dit-il. Et il aura (lié en lais sant non seulement la voiture, dont je me moque, mais les bagages de mon umi qui m’intéressent davan tage. Marquet, qui devinait Lucette de plus en plus lasse et qui la soute nait, intervint : — On ne peut pas rester éterneL lement ici, dit-il. Si vous voulez dé telligibles, le chauffeur s’était diri poser une plainte, déposez-là ; vous g é vers l’avant de la machine et en serez pour vos frais. M. Barnac donnait un tour de manivelle. Mar est connu de monsieur l’agent ; i! a quet avait ouvert la portière et il un domicile, on soit où le trouver ; aidait Lucette à monter. — J’ai pensé, dit-il, qu’il valait le commissaire n’est p l u ? à son bu reau à celte hcure-ci et .i fera jour mieux que vous rentriez directe ment chez vous. demain... Ccpendanl Barnac tendait la main — Qui êtes-vous, monsieur ? de aux agents. manda le second agent. — C’est une veine que je sois — Je suis M. -Adrien Marquet, commerçant à Londres, el je .ri’oi connu de la police, dit-il. Encore pas l’habitude de voler des autos,.ni ; un avantage du métier ! Ils rirent tous les trois et le* de fréquenter ceux qui les volent. D’ailleurs, de q u o i's e plaint cet agents reprirent leurs bicyclettes. "— Vous serez probablement conhom m e? Le compteur du. t a x i ' a marché normalement, le prix de no j voqué demain, dit l’un d’eux, tre course est marqué. La voiture j — C’est entendu, répondit Barn’est pas endommagée, à ma con I nac en s’apprêtant à monter dans 1 naissance, et elle a travail!.' pendant I la voiture. que son propriétaire ne faisait rien. j Lucette se pencha vers lui : — Ce n’est pas la peine de voua Puisqu’il y a des histoires, je paie rai, à moins que le Chauffeur ne !d.’ranger, dit-elle, puisque monsieur nous conduise immédiatement où Marquet m’accompagne. Cela vous nous devons aller d ’abord à Mont ferait faire un tour considérable et martre, chez mademoiselle, ensuite il n’est pas siV que vous trouviea au Victoria Palace, où j’ai retenu un autre chauffeur pour Vous rame ner jusqu’ici. une chambre... Barnac n’insista pas. Ils prirent Ges paroles avaient été pronon cées d’un ton sec, qui mata le chauf rendez-vous pour midi, chez Pau line, au Palais-Royal, et l’auto (lia feur. — J’avais oublié de dire, fit re vers la place Saint-Michel. (A suivre) marquer Barnac, que je n’ai jamais conduit une auto de ma vie. de doit être très gênant quand on veut en Les annonces du « MONITEUR • sont reçues ô l’Agence Havaqi voler une ! Tout en grognant des mots inin A?., avenue des Etats-Unle» i t A L A F O R M U L E M A G IQ U E DU H O M E M O D E R N E . . ELECTROLUX. EZ VOUS.! m m • * UEUO» 8 1 - 2 * 9 L E M O N IT E U R j o 5.030 PHONOGRAPHES POUR RIEN distribués aux 5.000 p r e m ie rs le c t e u r s q u i tr o u v e r o n t la solution exacte 'de ce c o n c o u rs c l se c o n f o rm e r o n t à. noa G — r - R G — c conditions. —- R e m p la c e z les t i r e ts oa.r les le t t r e s , afin de trouver i p ré n o m s . En p r s a a n t la 3*" l e t t r e de c e s p ré n o m s A R — D B N — — O L — S v o u s o b tie n d r e z le n o m d 'u n m a ré c h a l. L e q u e l ? » . i„T „ A d re ss e z v o ir e r é p o n s e d ir e c te m e n t à ARYA, r u e d e s a — —- * ! J3' Q u a tr e - P r è r é s - P e ig n o t, P A R IS ( 1 5 e). J o in d r e u n e ertv o to p p e tim b ré e h 0 ,3 0 p o r ta n t v o tr e a d r e s s e . FBLO TÄ G K ES- V O Ü LE F R O I D , LA P L U I E A rticles neufs, sacrifiés à 5 0 0}0 au-dessous d es cours m UN APPARTEM ENT S A N S P O U S S IÈ R E S UNE ATMOSPHÈRE SAIN! CAN AD IEN NE, b e a u V êtem en t en tis s u im p e rm é a b le , k ak i, r é s é d a , d o u b lu re e t g ra n d coi p e a u d e m o u to n , v a le u r 2 1 5 f r ...................... B R O D EQ U IN S d e tr o u p e e x t r a so fid e, o u ir p r e m ie r ch o ix , tr ip le s e m elle c o u s u e , fô v rés o*j c h e v illé s a v e c s o u f l l e t s .................................. V é r ita b le s : B R O D E Q U IN S d e c h a s s e , e n tiè r e m e n t f e r r é s , trip le s e m elle. c o u s u s , ao u îfltU s, v a le u r 125 f r a n c s . . , ..................................... B R O D EQ U IN S Ittip C W iéab les, c u ir ta n n a g e sp é c ia l, g e n re p h o q u e , tr ip le s e m e lle c o u s u e , im p e rm é a b ilité mbs., b r u n fo n c é , v a l. 185 f r . B O T IL L O N S c a o u tc h o u c , h a u t e u r m i-ja m b e s , t r è s r é s is ta n ts p e u r la v ag e ra-.to, c h a s s e , p ê c h e , e t c ..................................................................... IM P E R M E A B L E r a g la n , b o n n e c o u p a , d o u b lé ta r ta n , g ris , k ak i, r é s é d a , n o ir, v a le u r 1G5 t 'r a n o s . . ................................. IM P E R M E A B L E h u ilé av e c c a p u c h o n a n n é e fra n ç a is e , à p ro fite r. V E ST O N c u ir av e c m a n c h e s , co l e t p o c h e s , h a v a n e ou n o ir, d o u b lé d ra p , v a le u r 2G0 f r a n c s ............ CHANDA IL la in e , a rtic le lo u rd e t tr è s c h a u d , b le u m a rin e , k ak i, e tc . C H A U S SE T T E S iaiu e, a rm é e a m é ric a in e , b o u ts e t ta lo n s r e n f o r c é s . p r is ou b e iÿ è s . — L a p a i r e ............................................................. i.e9 six p a i r e s . . . ' . 3 2 f ra n c s . — L a d o u z a in e .................................... T r è s b e a u x GA N T8 or.ir f o u r r é s à crir.oin, j a u n e s fa u v e s o u n o irs, v a le u r 53 f ra n c s . — T ro is d o i g t s . . . * . 2 3 fr. — C inq d o i g t s . . CO U V ER TU R E laiu e g ris e p o u r g r a n d lit 2 p e r s o n n e s . CO U V ER TU R E p o u r v o y a g e s , c h e v a u x , a u to s , e t c ................................. 09" E n v o i c o n tr e -r e m b o u r s e m o r .t, m a n d a t ou c h o q u e p o s ta l. ( R e n n e s rh *o. sont les conditions essentielles du confort chez soi. SEUL » 66 » 79 » 09 » 35 * 65 45 » » 149 » 1 5 50 G 90 61 s 3 9 .2 0 .) Catalogue général illustré envoyé franco. ” L U B O U R S E D E P A R I S du 29 février 1929 VALEURS X IJorn. cou rs FONDS D’ETAT ” VALEURS F R A N Ç A IS E 165-160. Boulevard .Saint-Dcoi». C O U R B E V O IE (S-iae) ELECTRO-LUX cours F o n c iè r e s ■ 3 % ................ 3 % a m e r t.. . , Remplit ces fonctions simultanément, puisqu’il désinfecte l’air tout en élimi nant totalement la poussière. Demandez aux 3 30.000 usagers (6 5.000 en 1928) ce qu’ils pensent de L U X . Acceptez une démonstration de n’importe quel appareil et demandez-nous en même temps une démonstration contradictoire; les faits, et non les paroles, vous convain cront de la supériorité de L U X . F A B R IC A T IO N Cours VALEURS Cours préc. g a iü o n s P.-L .-M ., î. a S33 .. 17! 03 P.-L.-r.L, f. ri. 352 5. ; S e t 3 Ç . ........... 349 .. ! f/iW is v; .. . 335 .. i Nord 3 % . . . . . o6l .. Oriéanc 3 %. 33S .. E ta t4 < £ . . . . , , 3*> .. 405 .. EÆtETi. . . .. l a n g r s ! Le brûleur à réglage automatique “ C U E I O D ” se construit en “ M O N O F L A M M E ” “ B I F LA M M E ” - “T R I F L A M M E ” Sa s u p é r io r i té n e s e d is c u te p lu s . S cs a v a n ta g e s en q u a tr e m o ts : Drrn. cours - CONFORT P OPRETÉ - A . VERNADEL O L E R M O N T - F ’H J R .R .A J S T O - se ré s u m e n . ÉCOSOMIE C o n s tr u c te u r s p é c i a li s te f o u r s e t p é t r i n s m é c a n iq u e s T é lé p h o n e 1 0 - 2 4 _______ T o u te s m e s in s ta l la t io n s s o n t m o b ile s o u fix es F O U R N IT U R E S D E M AZOUT AUX M E IL L E U R S P R IX ü M A G IQ U E DU HOME C ccr dc!| jo i mcl lai ImmiUi. Ml ri\j soil S( vc sib j du Br av m te ni &io 51 pr n ir l’a où vit re« un m ina Po Ha pn aucu n cas, n ’a à ^ la ire c o n n a ître les m otifs de son a g ré m e n t on de so n refu s. La cession p ro je té e ou la .roui3' tio n d e sd ites a c tio n s « B » d o it ê tre notifiée eu P ré s id e n t du C onseil d’A dm invstration p a r le ttre re c o m m an d ée avec in d ic a tio n des nom , prénom s, q u alité et d o m ic ile du fu tu r titu la ire , de sa n a tio n a lité d ’o ri gine et do sa n a tio n a lilé au jo u r de fa n o tificatio n , ainsi que du p rix , »’il y a lieu. La n o tificatio n , p o u r ê tre v alab le. de Cral m al t( Dal ro t leu ÎISi::::::::: ELECTROLUX ..EZ VOUS.! FORMULE des A u gm entation de cap ital pièces de la m utât:'on. Si le b én éficiaire de la cession ou de la m u ta tio n des a ctio n s « B » S o c ié té anonym e au C a p ita l d e 5' jOOO.OÜQ d e franc» n ’est pas agréé, le C onseil d ’A dm in istra tio n d e v ra, d a m le délai de t ls i n o R h ô n e . . j n o g . , 4325 d e m e u ra n t û C lerm o n t-F d , U sines C L E R M O N T -Fd, 16, rue du Port. T e l 3-97. Châcii-Comm.. $150 . . 0(51 .. I P é c h i n e y ........... tre n te jo u rs de la ré c e p tio n d e la 4267 . . 4335 O B L IG A T IO N S F ou rciiam b.. . 2300 2235 ■• I G a z L y o n . . . . St-R ém y, p ré s id e n t du C onseil d ’Adn o tificatio n , p ro c u r e r un ac q liv re u r 42$ . . 400 Pàra. d ’AlAio.. 555 .. E59 •• i A u t o m o t o . . . . Ville dé Pari» m îm s trn tio n de là S ociété an o n y m e qui e x e rc e ra un d ro it de p ré e m p St-ETIENNE, 19, Place du 11-Novembre. Ac.iér. Marjn*. 2540 •• 2130 .. , T r a m e L y o n . . I20 . . I20 1868........... Vil . . ( il des E tab lissem en ts A. O lier, a y an t C rcu sot........... 2425 .. 350 •• ] M in e s ; tio n , en p a y a n t le p rix in d iq u é d a n s 1 8 7 1 ....... 393 50 agi en v e rtu d es p o u v o irs qui lui ia n o tificatio n . LY O N , 2 et 14. Quai des Brotteaux. 1 8 7 5 .. 470 . -499 .. «tournant......... .. £40 .. 040 •• ! B o u fe le ................ 525 5I7 193 •• ! B i a n z y , .............. I330 . . .630 1 8 7 6 . . . . . . . i 477 .. 415 .. Trâfll. H a v r e .. 554 av ale n t été c o n fé ré s p a r d é lib é ra T o u tefo is, ce p rix ne p o u rra ê tre 1 8 9 2 ........ 238 .. 2i3 .. Fives L ilie .. . . 2375 .. 2380 ’< (V io n tr a m b e r t. 2765 . . 23I9 • a a v c c i R S A L C s e » r f l t x i i r.» k v m h -.u r i « i ( tio n du C onseil d 'A d m in is ira tio a , s u p é rie u r à la m o y en n e des co u ra 234 18 9 4.............. 235 .. Chnrb. Tonkin 1370#.. 13858.. j L o i r e ................... 77S . . 795 Moult. M.-Lcir. 2025 .. 2108 •• i P ô r c n o i è r o . . . • 505 . . 1 500 su iv an t p ro c è s-v e rb a l dressé_ on m i des a c tio n s «; A » à la B ourse ffu 410 . . 2SS 59 298 1 8 9 8 .. . ........ X $4 A 271 60 27) •• M erle#............. 1275 .. I2S0 .. I R o c h e b o l i e . . . 2590 . . 2533 1SÖ 9.. . . . . . . B B S n u te p a r M* M czoircs, n o ta ire su s c o m p ta n t, c a lc u lé s u r les dix séan B g g g ^ g g g g g 251 50 P a :U -ib e u d ... 2940 .. 7.C30 ■• J n o c h o - la - K lo l. 4 8 1 . . 465 1004.............. nom m é, le q u ato rze ja n v ie r m il neuf ces d e B ourse qui a u ro n t p ré c é d é 3! 385 •• Welt ta ................ 12CG0•. 12160 ■ i ^ a p . W c v a r ro .. l î » . . 129 18 0 5 ........ .. Rio T in to......... 7C-I5 •• lie 5 • ! C iia ié i'.s s ià r o .. 255 . c e n t v in g t-u eu f, a d é c la ré que les ta d ate de la ré c e p tio n d e la n oti 253 S o c n o w ic e ., . . 2430 2050 .• 240 .. 245 1910 3 300 a c tio n s n o uvelles d ite s actio n s fication et les d ix sé a n c e s de B ourse d ’E aypte. 1060 .. 1555 •• i ! F i r m i n y .............. 725 ü 731 1 9 1 2 ............ . 221 50 728 -. Sue. « B r» de 500 fra n c s c h a c u n e , d o n t qui l’a u ro n t su iv ie. O b lig a tio n s 456 .. Lautaro i l i t r . . 545 •• 533 .• 455 1 0 1 2 ........ 500 .. Central Mining 2370 •• -379 •• h K J o ic i in S c,û . • GIS .. 5(4 l’ém issio n av ait été a u to risé e p a r 1921, lib ___ 530 La d écisio n du C onseil sera p o r W agons-L ita. i D U . 868 •• 516 .V. C lerm ont. 511 .Q Y - .. l ’A ssem blée g én érale e x tr a o rd in a ire tée à la c o n n a is sa n c e du c é d a n t p a r Sig. Elect., B . . 1530 •• 1359 •• !I U y d .Ee .A I ................ en«? 8 T C-. 503 Communales Energ. (ndimt. 620 ■ CIS du v in g t-q u a tre n o v em b re m il neuf le ttre rec o m m a n d é e m ise à ia posto 49! .. 49$ .. Economats Ccr* 1 633 ■• 624 • c en t v in g t-h u it, av aie n t été e n tiè re le tre n tiè m e jo u r au p lu s ta rd a p rè s 1 8 8 0 . . . . . . . . . 502 .. 465 .. C H A N G ES m en t so u s c rite s et que c h a q u e sous la ré c e p tio n de ia n o tificatio n . La E tu d e de M* P ie r r e N E E L , n o ta i r e 1 3 9 1 .................. 261 50 287 .. A n g ic tc r ro .... (24 ?5 124 28 c r ip te u r av ait v e rs le m o n tan t de 312 .. 3(0 .. CHEMINS DE FER à C l e r m o n t- F e r r a n d , 5, r u e d e ! p rix sera ten u û la d is p o sitio n d u E ta ts-U n is.. . , 2t> Gl 25 en 391 . 301 .. A llem agn e.. . . 687 25 607 75 c h a c u n e des a c tio n s p a r lu i s o u v céd a n t, à la Société, au siège so c ia l, la T r e il le . ! 1 9 0 6 . . : . . . . . . 325 .. :2S 58 A c tio n s C digivuo......... 355 50 355 60 c rite s. 1 9 1 2 ................ 174 .. 173 .. e s t san s in té rê ts. ........ .. n s a .. 1 1 D anem ark.. . . 1 9 2 0 . . . . . . . . 405 • • 495 .. k - l .- m ........... 1145 A l’a p p u i de c e lle d é c la ra tio n , M. Au cas de m u tatio n ne c o m p o r 1440 .. 44s .. i! Espagne . 332 - 394 • ! 1921, lib........ <85 .. 4S9 .. m i d i ..................... I2G3 1273 .. ; H ollande......... 1325 50 102« .. O lier a re p ré s e n té au n o ta ire un ta n t pas la stip u la tio n d ’un p r 'x , la 1922, lib ........ 420 .. 486 .. N ord.................. 4E8 .. 2470 .. !i Italie................ 124 ta 133 93 état co n te n a n t les nom s, p rén o m s, d ro it de p ré e m p tio n s ’e x e rc e ra au 1922, n. lib .. O rlé a n s . 1285 .. 1280 .. ! Aiorvèvio......... PEUPIOMÂM 135 . B ons Panama. I2S p ro fe ssio n et d o m icile des s o u s c rip p rix d é te rm in é su iv an t les d is p o si R O D oR . O uest................ 745 .. 745 .. 1 P ologn e........... A ux te r m e s d ’u n a c te r e ç u p a r Foncières te u rs, le n o m b re des a c tio n s sous tio n s qui p ré c é d e n t. M étro................ 1160 •• 1155 .. 1 P ragu e ........... i m * A’éel. n o ta i r e à C le r m o n t- F d , le 1879.........t . . . | 500 .. 493 .. N o r d -S u d .. . . 432 .- . . . *• j R o u m a n ie .... is 2: 15 23 c rite s p a r c h a c u n d ’eux et le m on L orsque le Cqfe>cil n’a u ra p as fait ü A n d alou sie.. . Su M a . G V 4 50 G 34 25 287 .. 292 28 j a n v i e r 1929, e n r e g i s tr é e n la 1 8 8 3 .......... ...... S u irso............. 452 53 432 59 ta n t des v e rsem en ts effectués p a r c o n n c iire sa ddW ùon d an s le d élai 1 8 8 3 ................ 302 53 382 .. jl Nord-Espauno j m ê m e v ille, le 7 f é v r ie r s u iv a n t, 189S.................] c h a q u e so u s c rip te u r, lequel état est [j S a r a g o sse .. . . 1 :::: :: :: 316 .. 519 de tre n te jo u rs à p a r tir de la ré c e p nu • j . u » s u . » , m p f i i o I-.î v i F in d e r.e E m ilo B E L Ä R B R E , d e m eu ré a n n e x é à l ’acte de d écla tion de la nofification nu. en cas do R tu a e dp M P i e r r e N E E L , n o u i . . ; ^ SSie r - g r e f ïi e r , V ic -le -C o m lc . fo lio 97, c a s e 523, v o lu m e 1138 A, M. J e a n O la g n o n , d é b it a n t d e t a ra tio n de s o u s c rip tio n et de v erse refu s d ’3grém cnt. n ’a u ra pas d an a A C lerm o n t-F erra n d , report C.50 A ; 4 do m ars. 129,50 plus re m en t. b a c s , e t M m e A n g è le G h a v a ro u x , .rv T r e i l l e . le m êm e délai p ro c u ré un acq u é port 3,50 A; m a l-ju in , 129,50 plu s report III S,30 A; 4 de m al. 127 N. re u r aux c o n d itio n s ci-d essu s fixées, M aïs. — T endance s a n s affairas. — C quE t d an s sa déli b é ra tio n du 26 ja n le b én éficiaire de la cessio n Ou d« arant, 139 V ; m ars. 133 X ; m ar*-avr:i, 138 v ie r 192D. l ’A ssem blée g én érale ex la m utation sera d éfin itiv em en t p ro N ; m ai-ju in , 135 X ; 4 de maL 130 N ; 4 L-ciidres., 20 février. tev D u e h a s s c in t, a j u s t e u r , e t à tr a o r d in a ir e des a c tio n n a ire s de la p rié ta ire des actio n s. de Juillet, 123,50 N. Cafés. — 3Ö.5C0. Mme J u lie n n e -J e a n n e -F ra n ç o is e La cession au nom d e ‘’a c q u é re u r Orges. — Tend, sans affaires. — E sse de Société an o n y m e des E tab lissem en ts re ç u pu: C aoutchouc. — Tondsnc® ferm e; Tara rue? a u n d im a n c h e 2 £ f é v r ie r B o d e a u , s o n é p o u s e , d e m e u r a n t e n dispouLblo i 1 ab. 3. liq u id ation , liO ; courant, 139 Y ; prochain, A. O lier, te n u e au siège social, a p ro c u ré p a r le C onseil se ra ré g u la 130.50 V; m ars-avril, 139,50 Y; 4 do m ars se m b le à U le rr n o n t-F d , a v e n u e de risée d ’office p a r le p ré s id e n t ou le» P aris, 28 février. 133,75 A; m ai-u iu , 139,50 A ; 4 de uud, volé Les ré so lu tio n s su iv a n te s : M. R o b e r t- H e n r i d élégué du C onseil s u r sa llfc n a tu ra endance calm e. — Courant, 123.50 N, sSu u ccres. re s. — TîenuR nce cu*uie. PR EM IE R E RESO LUTIO N 231, 231,50; m a c h in is te , e t à M m e 13.), 237, 231,50; prochain, 231 CLOTURE eî celle du c e s s io n n a ire san s q u ’ii 30 ; 3 de L’A ssem blée g én érale, a p rè s en prochain, 231, 231,où; a v ril. 231. î- F r a n ç o is e D o b eau , C lés. — T endance cnlme. — D isponib le soit besoin de celle du c é d a n t. m urs, 231,50; 3 d ’a v r il, 232; 3 de m al, a v o ir pri3 co n n a issa n c e , re c o n n a ît cote ofeieile, 160 à ICI ; base de liq u id a d e m e u r a n t e n s e m b le à 130, " Clôture : Tendance c-.Cmc. — Cou La cession dos a c tio n s au p o r te u r tion, 169; courant, 180 P ; prochain, 160 s in c è re et v é rita b le la d é c la ra tio n ?tio n de M o n tfe r- rant, 231, 230,50; prochain, 231; a vril, in - plu s report 1,75 A, 2 V; m u r s-a w îl, ltiù sc fait p a r la sim p le tr a d itio n . » eoté; îJ de mûrs, m coté; 3 d ’a v r il, 231,50; de s o u s c rip tio n et d e v erse m e n t fai i-and, p la c e de la R o d ad e, A RTIC LE T R E N T E -S E P T ?, d e m ai, 232; ;î d ’oetebre, in colé; 3 de- plus report 2,75 P ; 4 de m ars, ICO p us te au nom d u C onseil d ’A d m in istra« C le r m o n t- F d , b o u le v a rd T r u d a i report 4 P ; m a i-ju in , ICO plu s report 5,25 L e fo n d s de c o m m e rc e de m a r - n ovem bre, lncoté; Coté officielle : 231, P ; 4 de m ai, 709 p lu s report 4 P. L ’a rtic le tre n te -se p t est m odifié e î tio n p a r M. A. O lier, p ré s id e n t du r.ç . X* 73, o n t v e n d u à la S o c ié t/ ! UN BANC t D E SC IE . av ec g r a n d et :h a n d d ’a r t ic l e s d e f u m e u r s , c a r Le H avre, 20 février. F arin es. — T. sans affaires, — Base de sa ré d a c tio n se ra ia s u iv a n te : d e s E c o n o m a ts d u C e n tre , s o c i tl v i p e ti ts c n a n o i» , p o s ta le ? i l lu s tr é e s , lib r a ir ie , C o to rs. — Tendance irrésu llère; ventes, liq u id ation . 202; courant, 202 X ; prochain, C onseil, su iv a n t acte reçu p a r M* CRIC, SCIE « L ’A ssem blée g é n érale o rd in a ire , M azoires, n o ta ire à C h am alières, le a n o n y m e a u .c a p i t a l a p r è s a u g - I C O U R RO IE, S C IE S , 1.930 'buries, — Janvier, 032; février, 044; 200 N ; m ars-avril, 200 S ; 4 de m ars, 202 b ib t a iiv r « ( p a p e t e r i e , liv re s et jo u r n a u x , a v ec m ars, 643; a v r il, C39; m ai. 040; ju in , 632; X ; m a i-ju in , 202 plus report 3 X ; 4 de q u in ze ja n v ie r m il n eu f c e n t viugt- a n n u e lle ou co n v o q u ée e x tr a o rd im e n t a ti o n d e 1 2 .0 0 0 .0 0 0 de tra m e s, P A S w E - P W g O ü l >E ^ ™ & TQHm i g é r a n c e d e j é b i t de ta b a c s , q u e M, ju ille t, 033; août, 63G; septem bre, 033; oc m ai, 292 p lu s report 2,50 P. neuf, c o n sta ta n t q u e les 800 a ctio n s n s re n ie n t, se co m p o se des a c tio n d o n t lé s iè g e e s t a c tu e lle m e n t a ; O U T IL S , e t M m e O la g n o n e x p lo ita ie n t à tobre, 033; novem bre, 633; décem bre. 633. A voin es n oires. — Tondancc calm e. — C .ïe rm o n t- F u , b o u le v a r d G ô tc -B la N E AUX, e tc .., e tc . C afés. . . Tendance N peine soutenue; Base do liq n id u ticn , 132; courant, 131.75 <j B » d o n t l ’ém issio n a été votée n a ire s p r o p r ié ta ir e s de d ix action»; C îe r m o n t- F d , p la c e de J a u d e , N° îi n , u n fo n d s c e c o m m e rc e d ’é p iP ; prochain, 132 plu s report 0,75 À, 1 V; le 24 n v o em b re 1928, p o u r p o rte r le « A » au moins*, lib é ré e s des verse Au c o m p ta n t e t 10 % e n s u s . 46, c o m p r e n a n t : l’e n s e ig n e , le m ars-avril, 132 p lu s report 1,25 A, 1,50 V; c a p ita l social à 7.000. 000 de fran cs, m ents ex ig ib les ou d e u n e a c tio n c o r le q u ’il s e x p lo ita ie n t h G ie rn o m c o m m e rc ia l, la c lie n tè le et L ’h u i s s i e r p o u r s u iv a n t : 4 de m ars, 132 plus report 2,25 A.; m a i- o n t été effectiv em en t so u sc rite s et « D p , m o n t - F d , b o u le v a r d T r u d a i a s , î'° ju in , 132 p lu s report 3 P. l’a c h a l a n d a g e .q u i y s o n t a t t a c h é s ; DELASSBRE. « T o u tefo is, les p ro p r ié ta ire s do 7 3 . c o m p r e n a n t : l ’e n s e ig n e , ^ le b r e , 5 0 4 ,7 5 ; d é c e m b r e , 4 M . A voin es d iv e rses. — T endance sans affai e n tiè re m e n t lib é ré e s de le u r m o n le s o b je ts m o b ilie rs et le m a té r ie l Lai nes. Teudonce calme. — Jan v ier, res. — Base de liq u id ation , 1.27,50; cou ta n t n o m in al, so it âüO fra n c s. m oins de dix a c tio n s « A a p e u v e n t n o m c o m m e rc ia l, la c lie n tè le , l’a s e r v a n t à l ’e x p lo ita tio n de . ce Incoté; février, mars, av ril, rua!, ju in , ju il rant, 120,23 V; prochain, 127,50 plu s report S o o iété d 09 P lâ triè r e * E5âun!c3 de L ’a u g m e n ta tio n du c a p ita l votée se ré u n ir p o u r fo rm e r ce n o m b re es: c h a la n d a g e q u i y s o n t a tt a c h é s , le L u rc y -L e v y RECHERCHE, pour L> dé- fo n d s , l e 'd r o i t p o u r le te m p s q u i let. uoût. l.OSil; septem bre, octobre, novem 0,50 X ; m ars-avril, 137,50 plu s report 2,50 p a r l’A ssem blée su sv isée é ta n t a in si se fa ire re p r é s e n te r p a r l ’u n d ’eux, d r o i t p o u r le tem ips q u i e n r e s t e r a parlem X ; 4 de m nrs, 127.50 plus report 3,25 V ; ent du Puy-de-Dôm e, AGE1MT a e n r e s te à c o u r i r a u b a il d e s lo bre, décénjbre, Incotés. d é fin itiv em en t ré a lisé e , le c a p ita l, ou p a r un m e m b re d e l’A ssem m a l-ju in , 127.50 p liis report 4,50 N. c o u r i r d u b a il d e s lo c a u x o ù le d it K> commission visitant les m archands c a u x o ù il e s t e x p lo ité , a in s i q u e Seigle. — Tendance sans affaires. — Base q u i était d e fi.GQ0.000 fra n c s se tro u blée. 9 f o n d s e s t e x p lo ité , le m a t é r i e l e t de matériaux de construction. Ecrire a le s m a r c h a n d is e s e n d é p e n d a n t le MARCHS AUX FOURRAG ES do liq u id a tio n , 130; courant. 130 X ; pro le'.? o b je t? m o b ilie rs s e r v a n t à so n M. BEIjOT. adm inistratcurs-dlrecieur, to u t a v ec jo u i s s a n c e à c o m p te r d u P a llia ite b l é . . ton 175 A 1S3II O à )7i) chain, 150 X ; m ars-avril, 130 plus report ve p o rté à 7.G0Q.0ÜÛ d e fran cs. A R T IC L E T R E N T E -N E U F D EUXIEM E RESO LUTIO N e x p lo i ta t io n ,, a in s i q u e le? m a r 3 ï t r. de Refembre, à Moulins (A llier). l*r f é v r ie r 1929. P aille cle se ig le 1 9 ) 175.à 1S51Ö0 à 17« 3 N ; 4 de m ars, 130 plu s report 3 X ; xuaiL e d eu x ièm e p a ra g r a p h e e st mo* ju in . 130 p lu s report 3 X ; 4 de m ai, 127 i7.7 à l&l'rGO 170 c h a n d is e s e n d é p e n d a n t, le to u t C om m e co n sé q u e n c e d e la ré so dfié et co m p lé té co m m e su it : L ’in se rtio n , a u « B u lle tin O fficiel P o ilie d ’a v o in e . i i d 340 in al. . à i & m à 335 nom a v e c j o u i s s a n c e à c o m p te r d u 1 " | M aïs. — Sans affaires; base de liq u i lu tio n p ré c é d e n te , l’A ssem blée géné « C haque m em b re d e l ’A ssem blé* d es V entes e t C essions d e fonds dé F o i n . . . . . .* « * a-35 370, à îtriVSAO A 200 L u z e rn e . . , ... dation, 133 X ; m ars, 138.50 X ; m ors-nvrli, ra le d é c id e d ’a p p o rte r au x - sta tu ts fé v r ie r 1920 , ! a a u ta n t de voix q u ’il p o ssèd e et re co m m erce », a été fa ite d a n s le n u f t e g a i n . . iS55 ,à. 3G5.23') à 340 138,50 X ; tr a i-ju in , 135 N ; 4 de •m ai, 130 23() L ’in s e rtio n a u « B u lle tin O fficiai i les m o d ificatio n s su iv a n te s, m odifi p ré s e n té d e fois d ix a c tio n s « A », m é ro tfti 10 fé v rie r 1929. X ; 4 de ju ille t, 129 N: d e 9 V entes e t Cession« de fo n d s de j O rges. — Tend, sans affaires. — Ba c a tio n s d éjà ap p ro u v é e s p a r l’As sa n s lim ita tio n et a u ta n t d e voix L e s A p p o s itio n s , s ’ii y a lie u , co m m erce » a été io ite d a n s le n u d e v ro n t ê tr e f a ite s d a n s le s d ix Bourse de Commerce de Pans se de liq u id ation , 140; courant, 140 V; pro sem blée g én érale e x tr a o rd in a ire du qu il p o ssèd e ou re p r é s e n ie d 'ac chain, 140 X ; m ars-avril, 139 P ; 4 de m ars, 25 u o v em b re 1928, sous la c o n d i m é ro d u lu ré v rie r 1929. j jo u rs de la p ré s e n te in s e rtio n , re tio n s « B » , ég ale m cu t sa n s lim ita 110 X ; m a i-ju in , 110 A; 4 de m ai, 129.aü Y. L e s o p p o s itio n s , ' s 'il y a h o u , tion su sp en siv e de la ré a lisa tio n dé tio n . » n o u v e la n t celle p a ru e s d a n s le mûL aines. — T n ia n c e calm e. _— ja n v ier, OUVEÜT ÜBFj d e v r o n t ê t r e f a i te ? d a n s le s d ix incotc; février, m ars, a vril, m al, ju in , ju il finitive de l ’au g m en tatio n de c a p i m e jo u r n a l, le 10 fé v rie r 1929, et U ne c o p ie en b o n n e et duo ferB léx. £2* Tendance calm e. — Base do UJoU rs d e la o ré se n io in s e rtio n , re elles se ro n t reçu es à C lerm ont-F d, au ld atlan 160; courant, 160 l 1» prccaaln, let, août, 1.080; septem bre, ocU bro. novem tal de 409.000 fran cs, ré a lisa tio n d é 7!io,re d é lib é ra tio n d u 20 ja n v ie r à NEVERS bre et décem bre, inccté. n o u v e la n t celle p a ru e d a n s le m ê fini'tivc c o n statée p a r la réso lu tio n 160; courant. 1G0 P ; prochain, 160 plus en l ’é tu d e do M* Néel, n o ta ire , où iy29 c i-d essu s a n a ly s é e n été déA lcools lib re s. — T endance sans affai report 1,73, 2 P ; m ars-avril. 160 plu s re m e jo u rn a l, le 10 fé v rie r 1020, et en plein centre des affaires p ré c é d e n te . d om icile e st' élu t cet e ff e t Dosee au ra n g d es m in u te s de M* port 2,75 P ; 4 de m ars, .ICQ p lu s report res tou s incotés. c ù f s s e ro n t re ç u e s à C lerm o n t-F d , A RTIC LE SIX 3.75 B ; m at-ju in . 160 plus réport 5^> I»; P o u r deu x ièm e in s e rtio n : M azoires, n o ta ire su s-u o m m é, su*« e n l ’é tu d e d e M* N ée!, n o ta ire , o ù 4 de m a l, ICO p lu s report 4 P. TRES BONNE CLIENTELE i f i \ i ROU G S, 9 U eg,, 1 3 0 f r . fihaotei. L ’a rtic le 6 est d é so rm a is réd ig é N E E L , n o ta i r e . d o m ic ile e st élu à cet effet. F arin es. — T endance sans affaires. — t'a I | ! l D E L C fïS K Z b an cien m aire, l.L com m e su it : 1929 aCte re?U P a r 1SjI le 2S i anvieJ i e de U quldaN on, ?03; courent, 203^ N ; G K A U -D U -K O i ( G a r d ) . E c b a n t. : 2 ü’ P o u f d » « » ièm e in s e rtio n : a Le c a p ita l so cial est fixé à BAIL INTERESSANT Des c r é d itio n s ré g u liè re s des acprochain, 202 N ; m ars-avril, 202 N ; 4 de N E E L , n o ta i r e . 7.000.000 de fra n c s et d iv isé en jua j*- P 1^ces é n o n c é s ci-dessus orv m ars, 20» N ; m a'-ju ln , 2(>3 nh,s .rePo lt 1 N ; 4 de m a i, 203 p lu s report 2 N , 14.000 a c tio n s de 500 fra n c s c h a été d ép o sés le 18 fé v rie r 1929 à cha PA Y A B LE EN DOUZE M O IS CONDITIONS AVANTAQEUSE8 A v o û te s'n o ir e s . — Tcïid. soutcnüe ; base cu n e. cun des G reffes du T rib u n a l de courant. 131,30, 131,<5 a Ces a ctio n s se ré p a r tis s e n t en C o m m erce de C le rm o n l-F e rra n d , et u s report 1 P ; m ars- s u ite s u r h y p o th è q u e , to u te s s o m S’a d r e s s e r ù M” BOSQ, a g ré é , réport 2 P_: 4 de -mars, to u tes larg. Prix de fabriqiquo. Tr«vail d e la J u s tic e d e P a ix du can to r Apprent. gratuit. - Trava.ll assuré. 132 p lu s report 3 P ; m ai-ju in , 132 plus m es, de 10.000 ù. 3 0 0.000 fr. E er„: d eux caté g o ries. assuré. — Catalogue apprent. gratuit, S, r u e d e N iè v re , à N EV E R S. « La p re m iè re c a té g o rie se com N ord de C le rm o n t-F e rra n d du T r * 8AVSGNAG, à RIOM (T im . p. ré p .) rep ort 2v7ù,, .^56 P.. V o ir o u é c r ir e : T R IG O T IL , f i IIT O toutes nuances. Echanttlions p ose de 13.200 a ctio n s n u m éro tées b u n al de C o m m erce de V ersailles et _A vo in es d iv e rse s. — Tendance sans iof4, ru e D u n o ir, LYON. jfaires. — Base de U nuldatton, 1 2 ,,uj); cou L ü l i l L i J g ratis. — LA LABQlUEL'Sß. de 1 à 13.200 et d ésig n ées aux p ré do la J u s tic e d e P aix du cantora G a i n : 4 0 f r a n o 9 p a r J o u r rant, 1.27,50 N ; proobalu, 12J 0 p.iu».;re B a u i r s T u a -M e rf sents statu ts p a r les te rm e s de « Ac d A rg e n te u il, du T rib u n a l de Com1 0 ,. quM d ’Orléans. NANTES. part 0.30" J î; m arg-avçil, 4*<,a0. p u s -réGuùfiun tabunut. tio n s A ». La d eu x ièm e c a té g o rie se in e rc e de M o n tau b an et de la J u v 2,50 N ; 4 de .m ars. 127,o0 p lu s r e p ' t t vous sera dévoilé par l’astrologie T A L L E T J u lie n , a u R u ls s e r r - d e s - C a m - •4nort .Y; m ai-juh ), U17^>0 plu» r ep o rt-<4,.>Oi ro ra n o sc de 800 a c tio n s d ites « Ac t i c e de P nix d e M oissae. FOUR PLACER VOTRE ARGENT g r â c e a u p r o f e s s e u r A RG US, 3 , r u e i*u^s*d'Exeideuil*^n^Vépoiid ,pas des SeigîcsJ. — Tiéaonnûë sans 'affaires?, étions B », n u m éro tées de 1 à 800. P o u r e x tr a it : sur HYPOTHEQUES & 10 V o ! .B lo t, PARTS. E n v o y e z -'.u i v o tr e d a te dettes contractée* par sa femme, oée Basc de 'U qû U atiou, 13»; .Çournht. 130 < L es d ro its re s p e c tifs a tta c h é s , S * p rochain, 12S 0 + m arA-avrii, l ^ y O jiU is t M A Z O IR E S. ao taira» [ d e n a is s a n c e e t 3 f r . ti m b r a s . [ c h a te a u . . E a r ir f l : SAV1GNAO. à R1ÛM. LA me de< da*! épi prs E tu d e de M* M A ZO IR ES, n o tu iro à f aux actio n s d e c h a c u n e d e c e s d e u x G h am a-lières, e a n to n n o rd de caté g o ries sont d é te rm in é s p a r le* p ré se n ts statu ts. » C le r m o n t- F d ( P u y - d e - D ô m e ) . A RTIC LE DIX Le q u atrièm e alin é a est s u p p r im é et re m p la c é p a r le s u iv a n t: « Les a ctio n s % A *, e n tiè re m e n t libérées, so n t n o m in ativ es ou a a SOCIÉTÉ ANONYME p o rte u r, an ch o ix de l’a c tio n n a ire . D ES Les a ctio n s « B », m êm e lo rs q u ’el( les sor.t e n tiè re m e n t lib érées, re s te n t essen tiellem en t n o m in ativ e* . * A RTIC LE DOUZE a u c a p ita l de 7 .0 0 0 .0 0 0 de f r a n ^ a La ré d a c tio n de cet a rtic le est S ièg e s o c ia l : O L E R M D N T -F D m odifiée et rem p lacée p a r le te x te (U s in e s S a in t-R é m y ) su iv an t : « La p ro p rié té des titre s n o m in a I tifs est étab lie p a r l’in s c rip tio n s u r D ans sa séan ce, te n u e au siège so- le re g istre de la Société. L eur c e s oûü, le v in g t-q u atre n o v em b re m il j sion ne peut s’o p é re r q u ’au m o y en * n eu f c en t v in g t-h u it, l’A ssem blée , d ’un tra n s fe rt signé p a r le cécfant ! g é n érale e x tr a o rd in a ire des A ction- j ou son fondé de p o u v o irs et m en j n a ire s de la Société an o n y m e des ' tio n n é su r un re g istre ten u à cet e f j E ta b lisse m e n ts A. O lier a d é c id é fet au siège social. j q u e le c a p ita l so cial, qui é tait de La S ociété peut e x ig e r q u e le* j ü.000.000 fra n c s , se ra it p o rté à sig n atu res des p a rtie s so ien t c e rti i 7.000.000 de fra n c s p a r l’ém ission fia es n a r un agent de ch an g e ou p a r de h u it c e n t a c tio n s nouvelles de c in q c e n t fra n c s c h a c u n e , d ites a c- un o fficier p u b lic. T o u te cession d ’a c tio n s « R », O » aII a n ITaIA CAfIC 1 0 0 3.............. 334 .. « •• il 1 8 0 9 .............. 71 50 335 .. 3 '/ 2 % «m ort. '• 1 9 1 3 3 I/o «v, 333 .. 4 % 1817 ........ es so I f w ! 1 9 1 3 C % .'..'.’, 335 .. 4 % 1 6 1 8 ___ 85 3. 3SI .. 4 % or 1 6 2 6 .. 122 10 I2L (8 i1917 336 .. .5 % 1915-1616 97 15 •'S» 75’ 354 .. (17 30 B % 1920 am.... 117 4r6 .. B A N Q U E S iß'05 arro is % t e l s ......... lOi 9 K M 80 ;« % 1 9 2 0 . . . . . M a rc h é e n b a n q u e 1 B. do France. 73780.. •6*% 1927 am... 107 20 157*.. I B. d ’A lg érie.. tfaEaccs........... ! 395 IC-9CG■ 'Obi. 6 % 1927. 503 -. 553 j E. Union Paris Est. As . D a n .. 7563 Cala. «Ut. 1 9 -8 *21 50 622 c Comp. A lg é r .. j Pnüanp ......... I0j2 B. Yr. 5 % 24.. SC9 687 ! Crédit é ü o b il.. H u tch in son .., .>825 — 7 % 26.. 637 60 533 gK7 ’ • j Crédit Lyonp. i Royal D u tc h .. (t<9050 • — 7 <5,27.. 656 667 .. il Qm t *£0ccm { Si’.ol!.................. Créd. W*e. 19. 555 aux sta tu ts q u i se ro n t re p ro d u ite s $95 Crédit Foncier C rosnyl........... 112 .. — 20. 610 618 çi-a p rè s, sous le p a ra g ra p h e I ü de I 3oo. Générale. j Naphta............. — 21. 6aô • • : Ban. de Paris. ! ï i c i l l s K e n t .. 3773 ”. 3779 .. la p ré s e n te in s e rtio n . E nfin, elle a — 22. 61« 60 5:7 .. I Banq. P rivée, Pnicpr-r »jenne 19C ■■ IS3 .. d o n n é to u s p o u v o irs au C onseil d ’ad— nouv. 22 619 i; B. N. C r éd it., M ontcaatin i.. . 371 •• 379 58 I — Janv. 2 3 .. 530 m in is tra tio n p o u r ré a lis e r l’augm eni Cr. Cod'.merc. T harsis.............. 632 683 S3S .. 543 — ju in 2 3 .. !! B. Indo-Chihe I-760Q. Utah C o p p er.. £925 . . . . . . . . j ta tio n de c a p ita l d é cid é e avec fa642 •• jl Cr. Fono. Egy. 14 j4 s — janv. 24.’ . 542 j T an gan ik a.. . . 5 i5.. Bio .. c u îté p o u r lui d e d élég u e r to u t ou 412 .. II Cr.F.Fr.-Canad,___ Maroc 4 % 14. 436 C hartered___ 246 247 45S .. Maroc 5 % 18 . 499 B. du M exique • Tic, Crown-M ines. 495 401 .. j parfc'e de ces p o u v o irs à Tun ou 60S: Én-Ch. S'/s 13. 406 B. Ottor.iano. .|iGI0 De 8eora ord.. 1554 15(7 .. j p lu s ie u rs d e ses m em b res. U ne co(ta lio n .. . . . . . 85 58 So 25 Land B a n k . . . i . . . . j| De Bîs.-s pp... £33 1503 .. j p ie co n fo rm e do la d é lib é ra tio n de P o rtu g a l» .. . . Eact R an d ... . . 101 I0D EU 493 ÊO Actions industrielles Japon 1 9 0 5 ... 470 G e ld îîeld e.. . . 376 .. /.’A ssem blée g én érale e x tra o rd in a ire 372 — 1 9 1 0 ... -48 69 : H a r tm a n n .... 175 6Wi 175 •• ! du 24 n o v em b re 1923 est d em eu rée 14 35 14 26 Russe 1 9 0 6 ... Suez action*. ]^iOC.-i 2M00.. i H o tc h k is s .... j/533 . . 12438 •• l! 75 15 50 consol. Cuaz .rar.8 . . . 134115 . 24450.. : H iionchaca.. . . 255 . . 254 59 j an n e x é e à ta m in u te d 'u n p ro cèsSCO .. Brésil 09 <anc. 1099 P o n iis r c y a .. . . (390 . . (375 . ] Jaoornfontein. 323 . • j S0 ■• v e rb a l d e d é lib é ra tio n d u C onseil SBJ .. |j Or.-tntûU3......... 330 .. — 1 0 ........... 939 183 . 177 620 • • j: M altzoif........... ^ ’A d m in istra tio n de la S ociété éta976 815 •• — 1 1 ... B oléo ................ 343 .. 349 .. | M ozam bique., »565 .. •ttafaa................ 4220 Chine 18 réor. i«ns i Hand M in e e ... .. ! 720 870 .. 883 •• — 1925. P ath é................ 72» .. 727. .. j Shanoi............. Mexiiiuo 10 est 192 25 93 60 ! 0zir.i-Go!>ain. «SCO .. SEÔ2 ■ I Ti’ûnsv. Lend. Rouman. 1922. 624 .. 822 .. Il B o rco u g n a n .. 1379 .. 1080 ■ Sorbe 1 8 9 5 .. (62 .. T hom eon......... 1263 .. i 229 .. BOURSE DE LYON 565 .. 638 •• Energ. Eicctr. 3260 .. 23/0 j P a r acle p assé d e v a n t M* Msizol655 .. 560 .. Hyd.-EI. Auv. 2315 A c tio n s .. 1)8 .. Ii6 •• Lner. Littoral |.'25 .... 27.50 1 9 1 3 .... j res, n o in irc, à C h am alières, le quinze 1624 ■ 1 B t r g o u g r .a n .. IU70 . . (320 TUuro U nifié.. 199 60 tî5 90 Pyrén. E n crj. Î47S .. 35(0 .. ja n v ie r m il n eu f c en t vin g t-n eu f, M. I T o p r iiiio n .. . . I39 . 12 V 1 0 1 4 ........ 98 46 68 55 C1» Ç ;o E lect. 453.0 .. i H y,1. E<. A u v .. A n d ré -Je a n -P ie rre O lier, in g é n ie u r, 2340 Bqypts unifiés 422 50 422 50 E lecl. de Paris 1363 .. 4530 4325 .. 88" e c h a u ff e a v e c c e t a p p a r e il d o n n e u n p a in b ie n s u p é r ie u r , p lu s lé g e r , d o n c m o in s lo u rd à la d ig e s tio n SALUBRITÉ 175 Etablis. 8MUEM, Stocks AniérL'aias, 88, rue ( M a l t a , LE M l (ïèîép. 8 80) L 'A SP IR A T E U R A S S A I N I S S EU R SOUFFLEUR u Chauffez-vous avec "L’AUTO C A LO R ” La C O N T R E LA N E I G E , o S.ui ! OJ \ \v ilit:: MODERNE . . . <è LES MEILLEURS VINS DU ROUSSILLON Ctssicn de fonds de eoiierce 1 Dépêches Commerciales l/éi qui à per cet! 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