Foire de Libramont 09

Transcription

Foire de Libramont 09
ArsiaInfos
Mensuel de l’Association Régionale de Santé et d’Identification Animales
Edito
A la veille de la foire de Libramont, nous ne pouvons
que nous montrer inquiets pour le futur de nos élevages. Inquiets bien sûr à cause de la situation économique catastrophique que vivent les producteurs laitiers,
mais aussi et surtout à cause de la tendance générale à
se désintéresser des matières sanitaires.
S
i nous avons reçu divers signes rassurants de l’administrateur général
de l’AFSCA qui nous a affirmé que
l’enveloppe qu’il réserve à la santé animale ne changera pas, nous constatons
que les diverses instances jouent de plus
en plus avec les notions de maladies sanitaires et de maladies économiques en
penchant pour l’une ou pour l’autre selon
les circonstances.
A titre d’exemple, je rappellerai les mots
d’un de nos éleveurs qui venait de perdre
la moitié de son cheptel de botulisme et
que nous reproduisions dans notre édition
précédente : « Tout le monde compatit à
mon malheur, mais personne n’est compétent! ».Pourtant, dans chaque maladie,
les notions sanitaires et économiques sont
si étroitement liées que la plupart des décideurs réclament de plus en plus souvent
une analyse « coûts /bénéfices » avant de
se prononcer...!
Alors, pourquoi ne pas associer toutes les
parties intéressées pour mettre en place
une politique sanitaire qui servirait les intérêts des autorités et celles des éleveurs,
plutôt que de les opposer continuellement?
C’est ce que nous proposons, dans le cadre de la nouvelle politique sanitaire que
l’AFSCA envisage de mettre en place. C’est
ainsi que dans la continuité du projet GPS
Avortement de l’Arsia, un kit d’analyses
particulièrement complet sera réalisé sur
les échantillons provenant d’un avortement. Ces analyses seront entièrement
prises en charge par l’AFSCA.
Dans le même ordre d’idée, nous proposons de réaliser sur toutes les prises de
sang réalisées lors d’achats, un ensemble
d’analyses dont certaines seront prises en
charge par le Fonds sanitaire et d’autres
pourraient être financées par l’AFSCA. En
y combinant les aides provinciales, les éleveurs du Hainaut et du Luxembourg peuvent faire tester leurs animaux pour une
série de maladies à très faible coût...
Et pourtant, vous êtes très peu nombreux
à profiter des aides qui vous sont offertes
pour assurer un avenir sanitaire à votre
troupeau.
C’est ce qui nous proccupe le plus : avec
les difficultés financières qui les assaillent,
nos éleveurs en oublieraient que la santé
de leurs cheptels est un élément primordial de la survie de leurs exploitations.
Venez nous voir à Libramont, nous en parlerons et vous présenterons nos projets
pour vous aider à gérer la santé de votre
troupeau à des coûts abordables.
N°66-Juillet 2009
Foire de
Libramont 09
24-25-26-27 juillet
Stand 35.14, hall d’élevage
Venez nous poser vos questions et
discuter des thèmes d’actualités :
Cerise - BVD - IBR - GPS jeunes veaux ...
Grand Venez tester vos connaissances sur l’Arsia
quizz et remportez des cadeaux *
Jean Detiffe,
Président de l’Arsia
* Dans la limite des stocks disponibles
Quizz (voir réponses en page 4)
Question 1
La vaccination IBR de tous les animaux
d’un troupeau est indispensable :
1/ si le troupeau est indemne d’IBR
2/ si le troupeau participe régulièrement à
des concours
3/ si le troupeau est infecté par l’IBR
Question 2
Selon une étude récente, pour un troupeau de 300 bovins, attendre 2012 pour
démarrer la lutte IBR représente une
perte financière nette de près de :
1/ 100 €
2/ 0 €
3/ 500 €
Question 3
Lors de l’achat - accompagné de prise de
sang - d’un bovin, la recherche du - pourtant - dangereux virus de la BVD n’est
demandée que par :
1/ 4 éleveurs sur 10
2/ 5 éleveurs sur 10
3/ 7 éleveurs sur 10
Question 4
Un projet pilote, basé sur un prélèvement de peau lors du bouclage du veau
et soutenu par la Province de Hainaut,
permet de détecter que le veau ait pris
le colostrum ou non :
1/ le virus du BVD
2/ l’acarien de la gale
3/ le virus de l’IBR
Question 5
Lors d’un achat, la BVD est un vice rédhibitoire avec recours - via 2 prises de
sang espacées de 21 jours - , effectué
dans le délai :
1/ de 30 jours
2/ de 15 jours
3/ de 40 jours
Question 6
Parmi les 3 signes suivants liés à l’Ehrlichiose ou « Fièvre des pâtures », le plus
caractéristique est :
1/ la fièvre
2/ le gros pâturon
3/ les troubles de la respiration
Question 7
Sur le lait de tank, on peut tester dans
un troupeau:
1/ uniquement la présence de mammites
2/ les mammites et l’IBR
3/ de nombreuses maladies telles que les
mammites, l’IBR, la BVD, le BHV4, la néosporose, la douve, la Fièvre Q,....
Question 8
Le prix des analyses facturé à un détenteur non cotisant à la mutuelle libre est
quasi :
1/ 10% plus élevé que le prix demandé à un
ArsiaInfos détenteur cotisant
2/ 50% plus élevé que le prix demandé à un
détenteur cotisant
3/ plus de 100 % plus élevé que le prix
demandé à un détenteur cotisant
Question 9
Dans le nouveau modèle de volet de sortie du DI paru en juin, le nr de «transporteur» devient le nr de «preneur». De
qui s’agit-il?
1/ de l’acheteur de la bête
2/ du marchand
3/ c’est celui qui prend, au sens propre,
l’animal et le transporte chez le nouveau
propriétaire
Question 10
Les effectifs de troupeaux de porcs wallons en 2008 s’élevaient à :
1/ près de 1000
2/ près de 2000
3/ près de 2500
Par S. Lecomte
Actualités
É l e v e r, p r o d u i r e , t r a n s f o r m e r. . . l ’ A r s i a v o u s a c c o m p a g n e !
Projet Pilote BVD : c’est parti !
Un coup de pouce supplémentaire pour l’agriculture hennuyère.
En la présence du Député provincial Gérald Moortgat, l’opération pilote BVD a démarré le 10 juillet
dernier, pour une durée de 1 an et a fait l’objet de nombresuses. Elle sera entièrement financée par
la Province de Hainaut à hauteur de 58 000 €, et ce dans une quarantaine de fermes volontaires
hennuyères. Le projet a pour but d’évaluer la faisabilité de la méthode de dépistage par biopsie,
largement détaillée dans nos éditions précédentes.
C
ette séance inaugurale du
premier bouclage ‘préleveur
d’échantillon’ chez un veau,
s’est déroulée dans l’exploitation de
M. Horlait, éleveur laitier à Neufvilles
( cf photos 1 et 2 ). Subissant les
conséquences de la Diarrhée Virale
Bovine ( BVD ) dans son cheptel et
séduit par la technique, il s’est porté
volontaire pour le projet pilote, dans
l’espoir que l’ensemble de son troupeau soit libéré au plus vite de la
présence du virus.
En résumé, il s’agit pour l’éleveur
de prélever, au moment de la pose
des boucles, un petit fragment de
peau, au moyen d’une pince et de
boucles conçues à cet effet. Ensuite
envoyé à l’Arsia, nos laboratoires y
déterminent la présence ou non du
virus chez le veau, c’est à dire s’ il
est IPI ( Infecté Permanent Immunotolérant ) ou non. Faut-il le rappeler,
le veau IPI représente LE danger premier pour l’exploitation, car il émet
de grandes quantités de virus et ce
généralement sans extérioriser le
moindre signe de maladie.
Outre la simplicité du prélèvement,
un des grands intérêts de la technique est l’absence d’interférence
avec la prise de colostrum. Peu importe donc que le jeune veau ait bu
ou non, ce qui n’est pas le cas avec
la prise de sang.
Les résultats sont ensuite transmis
au vétérinaire d’exploitation et à
l’éleveur. Si le test de dépistage est
positif, l’animal sera prélevé une seconde fois, cette fois par le vétérinaire, et subira une série d’analyses de
confirmation. Les animaux confirmés
IPI seront euthanasiés pour stopper,
objectif principal de la méthode, la
propagation de la maladie dans le
troupeau. Pas question bien entendu, dans le cadre de ce projet soutenu par la Province, que le moindre
virus détecté ne se retrouve ensuite
dans une autre exploitation, via la
vente d’un animal IPI.
Si l’euthanasie sera, dans ce cas, la
( seule ) source de frais pour l’éleveur, quel investissement par contre
pour la protection de son cheptel à
court terme !
Vous le savez,
la BVD est une
... sous le regard attentif du Député Gérald Moortgat - Photo 2
pathologie qui
concerne, selon nos résultats d’analyses
enregistrés à
l’Arsia, près de
15 % des troupeaux wallons.
Ses
symptômes sont très
variés, et vont
de la diarrhée
aux problèmes
respiratoires, en
passant par les
troubles de fer-
Photo 1 : Premier prélèvement dans la ferme pilote de M. Horlait à Neufvilles, en Province de
Hainaut...
tilité, les avortements et la mortalité
précoce des animaux.
Il en coûte de 30 à 60 € par vache et
par an dans une exploitation infectée,
et jusqu’à 600 € lorsque le virus atterrit dans une exploitation indemne !
Les agriculteurs qui se sont portés
volontaires fondent beaucoup d’espoir dans cette nouvelle technique.
Largement testée en Suisse et en
Autriche, la méthode a déjà fait ses
preuves. Si elle se généralise par la
suite dans notre pays, elle permettra
Photo 3 : L’opération pilote BVD est le fruit de la collaboration entre les agriculteurs et leurs
vétérinaires, la Province de Hainaut et l’Arsia, en partie ci-dessus réunis: Jean-Yves Houtain,
Gilles Maquet, Jean Detiffe, Robert Horlait, Gérald Moortgat, Charles Vastersaegher.
Les actions de la Province de Hainaut en
faveur des agriculteurs (en convention avec l’Arsia)
Le Hainaut est une grande province agricole
avec ses 4 860 exploitations qui, aux yeux
du Député G. Moortgat, sont autant d’entreprises. Le contexte économique difficile
dans lequel nombre d’entre elles évolue actuellement a déterminé, parmi ses choix de
soutien financier, celui du projet pilote BVD.
Il complète de la sorte idéalement la première « action BVD » de la province hennuyère,
en cours depuis 2005 : dépister à l’achat les
veaux IPI porteurs potentiels du virus, via un
test financé à hauteur de 3,5 € / analyse.
Ajoutons à ces actions bienvenues et
constructives pour les éleveurs hennuyers :
aune intervention financière ( 2€ ) pour les
analyses IBR.
aune participation financière au contrôle à
l’achat de l’état sanitaire des animaux, visà-vis de certaines pathologies d’avortement
( néosporose, Fièvre Q et leptospirose ).
ArsiaInfos d’augmenter la qualité sanitaire des
troupeaux. ... Et à l’instar de la lutte
contre l’IBR, de renforcer la position
des éleveurs belges sur le plan international, via une augmentation des
exportations.
Une précaution
judicieuse...
... et qui peut vous mettre à l’abri de problèmes ultérieurs : il est possible de demander au vendeur un certificat « Bovin NON IPI », édité par l’ARSIA ou la DGZ.
En effet, le service « Administration de la santé » édite
gratuitement un certificat « Bovin certifié NON
IPI » pour tout échantillon négatif au test PCR BVD,
quel que soit l’âge de l’animal, ou qui est négatif au
test ELISA Ag, pour autant que l’animal soit âgé de plus
de 6 mois.
Nous vous conseillons donc de demander une copie ou
l’original de ce document pour tous les bovins que vous
achetez, l’idéal étant de disposer de ce certificat AVANT
l’introduction des animaux dans votre troupeau.
N°66-Juillet 2009
L
’origine de la contamination
étant alimentaire, la saison de
récolte des fourrages nous incite à faire le point en la matière.
Voici donc, à l’attention des éleveurs, quelques précautions sanitaires à envisager lors de la récolte des
fourrages.
Quand « l’oeil du fermier vaut
du fumier » ...
Le botulisme est l’exemple même
d’une pathologie le plus souvent
aiguë, avec mortalités en série dans
une exploitation. Dès lors que l’on
sait que toute pièce de cadavre emprisonnée dans les fourrages peut
être à l’origine de la dispersion du
germe de cette maladie et de sa
toxine (cf ci-dessous), il importe de
les éviter à la récolte et au cours de
la conservation des foins ou ensila-
ges. Il s’agit donc d’ouvrir l’oeil car
votre vigilance permettra peut-être
d’échapper à l’accident d’origine
alimentaire dans votre cheptel ...
Les pistes ne sont, hélas, pas nombreuses mais que l’on tienne pour
important :
a de stopper sa machine à toute
observation rapprochée de lapins,
lièvres, renards, blaireaux, chevreuils,
cailles, faisans, …
quelques morceaux de cadavre et
d’éliminer ce fourrage en le brûlant,
a d’éviter par ailleurs le lisier de
volailles, vecteur possible aussi de
germes sur les parcelles à récolter,
a enfin, n’oublions pas le tank à
eau qui doit, lui aussi, être exempt
de toute présence de cadavres.
Sur ces quelques conseils, bonne
fauche et bonne récolte à tous...
Santé Animale
Le service de Pathologie générale de l’ARSIA et sa salle d’autopsie en particulier, sont régulièrement confrontés à des cas cliniques de botulisme chez le bovin. Le mois dernier notre édition faisait écho de l’hécatombe de 35 vaches dans un élevage wallon.
Quelques semaines après, c’est en Flandre que dépérissaient 65 vaches en deux jours de temps !
Par Jean BUGHIN, Pathologie Générale, ARSIA
Récolte des fourrages et prévention du
botulisme
a de débuter, en zone giboyeuse, la
fauche par le centre de la parcelle,
afin de permettre la fuite du gibier,
a de craindre, en particulier, les
cadavres de chats souillant l’environnement (animal empoisonné ou
chatons morts à la naissance…),
a d’arrêter impérativement toute
distribution de fourrage altéré par
Le botulisme, une intoxication alimentaire du bovin, pas si rare.
L’agent responsable
aUne bactérie, « Clostridium Botulinum ».
aPrésente dans la terre sous forme
de spores, très résistantes au froid, à
la chaleur.
aElle survit également longtemps
dans les os des carcasses d’animaux
infectés.
aLa bactérie produit une toxine
considérée comme « la plus puissante au monde ».
Epidémiologie
aLa maladie est due à la toxine qui
bloque l’influx nerveux.
aL’affection se développe sous
forme de petites à grandes ( cf les
2 dernier cas récents en Flandre et
Wallonie ! ) épidémies d’étable ou
de pâturage.
aLe bovin se contamine par ingestion d’aliments ( fourrages, ensilages ) ou d’eau de tank, contaminés
eux-mêmes par des cadavres de
mammifère ou d’oiseau ou par leurs
fientes.
aLes animaux carencés ou présentant du pica peuvent aussi se contaminer directement pas léchage de
cadavre.
La maladie
aL’incubation dure quelques heures
à quelques jours, avant que n’apparaisse la paralysie.
aLes membres sont atteints, mais
aussi le pharynx et la langue qui
pend hors de la bouche ( cf. illustr ).
aLa température reste normale.
aL’évolution peut être progressive :
l’animal affaibli ne peut plus avaler ou ne mange plus, les membres
entrent en paralysie flasque, le train
postérieur devient insensible, la respiration se bloque, jusqu’à entraîner
la mort par asphyxie.
aElle peut aussi être rapide : l’animal meurt en quelques heures.
aIl existe également une forme
chronique : l’animal se traîne d’une
démarche hésitante pendant quelques semaines, butant au moindre
obstacle. Une guérison lente est
possible, dans un délai de quelques
semaines à quelques mois.
Prévention et traitement
être établi mais ne sera efficace que
s’il est entrepris très vite. Un traitement de soutien dans les cas chroniques pourra par contre être instauré
sur avis vétérinaire.
aLes antibiotiques sont cependant
sans action sur la toxine !
aDes vaccins et sérums existent,
mais ne sont pas commercialisés en
Belgique.
Sources : Maladies des bovins, manuel
pratique, Institut de l’élevage, 2000
Signe caractéristique de botulisme: la langue pend
hors de la bouche
aEn terme de prévention,
respectez les précautions décrites ci-dessus.
aInutile dans la majorité des
cas, un traitement pour lutter
contre les symptômes peut
Foire de Libramont 2009 et concours
Votre animal va participer à un concours ? «Assurez» son retour !
Les mesures de séparation / quarantaine
«post - concours» ne sont imposées que
pour les troupeaux qualifiés IBR I4, I3 et
I2d. Il s’agit de mesures «génériques» qui
s’appliquent lors de toute ré-introduction
d’un animal telles qu’après une vente annulée ou un prêt, par exemple. Les troupeaux I2 en sont exemptés. Outre l’isole-
ment de l’animal, il est prévu de faire une
prise de sang minimum 28 et maximum
40 jours après la ré-introduction dans le
troupeau. Le type de test à appliquer dépend du statut IBR du troupeau.
I4: ELISA gB obligatoire
I3 et I2d: ELISA gE ou ELISA gB, au choix
selon que l’animal est ou non vacciné.
Seuls les animaux négatifs au test de sortie de la quarantaine peuvent réintégrer le
reste du troupeau.
Par ailleurs, si vous faites l’acquisition
d’un bovin au cours de la Foire ou de tout
autre concours bovin, non accompagné
d’un certificat « Bovin non IPI » édité par
l’ARSIA ( ou la DGZ ), nous vous recom-
ArsiaInfos mandons vivement de réaliser les analyses
nécessaires et de le mettre en quarantaine
en attente des résultats.
Documents d’identification :
bien remplis = bien encodés!
Nous nous efforçons actuellement d’améliorer notre efficacité d’enregistrement par un nouveau
système de scannage. Mais davantage de technologie, au service de l’efficacité, nécessite souvent
davantage de rigueur... Vous pouvez contribuer grandement à cet effort ! Nous nous permettons
en effet d’insister auprès des éleveurs usagers de la formule « papier » pour l’identification animale, afin qu’il remplissent leurs documents avec soin, propreté et exactitude.
Sur la notification de naissance ( cf
ci-dessous ), il est important que les
données chiffrées ( date de naissance,
code robe, N° de mère ) soient écrites
avec le plus grand soin, en mentionnant proprement tous les chiffres ( 1
chiffre par case ). De même, les cases à cocher doivent être complétées
d’une croix (X) soignée. Une bonne
lisibilité des données favorise la performance de nos opérateurs.
Vous découvrirez aussi très prochainement une version légèrement modifiée du passeport bovin ainsi que
du volet de sortie. Prêtez attention
à ce dernier: le numéro de preneur
- anciennement n° de transporteur
- est le numéro de celui qui prend
en charge et déplace l’animal, en
tant qu’acheteur ( professionnel ou
particulier ), marchand ( négociant )
ou transporteur. Tous ces opérateurs
possèdent normalement leur propre
n° d’identification « Sanitel ».
Veillez aussi à renseigner la même
date de sortie tant sur le passeport que
sur le volet de sortie...vous n’imaginez
pas les bloquages de notre système
d’enregistrement consécutifs à des
renseignement non cohérents...! Au
quotidien, sur le terrain, ces consignes
administratives peuvent vous paraître
contraignantes ou difficiles à appliquer... C’est pourquoi, si vous disposez
d’une connexion Internet, nous vous
encourageons vivement à vous inscrire
sur le portail CERISE, outil de simplification administrative, via la demande
de connexion ci-contre .
Vous venez à la Foire de Libramont?
Une démonstration de l’utilisation
de CERISE sera accessible en permanence sur notre stand. Nous vous y
accueillerons avec plaisir!
Réponses quizz
Question 1 a Réponse 3
Question 6 a Réponse 2
Question 2 a Réponse 3
Question 7 a Réponse 3
Question 3 a Réponse 1
Question 8 a Réponse 3
Question 4 a Réponse 1
Question 9 a Réponse 3
Question 5 a Réponse 1
Question 10 a Réponse 2
Un DI idéalement bien complèté...
DEMANDE DE CONNEXION à renvoyer dûment complétée et signée au n° de
fax 083/23.17.71 ou par courrier postal, allée des Artisans, 2 à 5590 Ciney.
Zone réservée au demandeur
Numéro de troupeau :
............................................................
Guardian
Ariane
Isagri
Ceres
Autre : ................................................
Ou collez ici votre étiquette troupeau
Espèces Si vous possédez un logiciel de gestion de
ferme, veuillez le renseigner
Si espèces ovins,caprins,cervidés
Bovins
Porcs
Ovins
Caprins
Cervidés
Lecteur transpondeur : FDX
HDX
Type de transpondeur :
Ordinaire
Prototype coulé dans la masse
Nom ....................................................
Prénom.................................................
Adresse.................................................
............................................................
Tel .......................................................
Fax ......................................................
Gsm . ...................................................
E-mail...................................................
ATTENTION, l’adresse mail est obligatoire ! Il est indispensable de nous la communiquer clairement et ce,
de préférence en majuscules afin d’en garantir la lisibilité.
Date : Signature du demandeur
Zone réservée à l’Arsia
Login : Mot de passe : Date de réception :
Date d’envoi au demandeur :
HELPDESK ARSIA - Allée des Artisans, 2 - 5590 Ciney - [email protected]
éditeur responsable : M. Jean Detiffe, Président de l’Arsia
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Par S. Lecomte
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Tél : 083 / 23 05 15 - mail : [email protected] - Web : www.arsia.be
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