Riverside Info Express janvier 2012

Riverside Info Express
Vol. II - Numéro 5
La Commission scolaire déménage! La Commission scolaire Riverside a emménagé dans ses nouveaux locaux le 9 janvier.
Maintenant situé au 7525, chemin de Chambly à Saint-Hubert, le nouveau siège social <vert> a été inauguré le 17 janvier.
Le travail en coulisse au nouveau centre administratif par Gilles Deguire
Notre personnel du service de la technologie a travaillé ardemment pendant les vacances des Fêtes afin
que le personnel de la commission scolaire soit accueilli parfaitement dans leurs nouveaux bureaux. Plus
précisément, le service de la technologie a fait l’installation de 110 téléphones, 135 ordinateurs, 20 imprimantes, trois photocopieurs, six points d’accès sans fil, une nouvelle salle de serveurs et un nouveau
système de télécommunication pour nos écoles, nos centres et les bureaux du centre administratif. Un sincère merci au personnel du
département de la technologie qui a consacré du précieux temps familial pendant la période des Fêtes.
Le mois dernier à Centennial par Mario Giulione
Centennial célèbre le temps des Fêtes
Au cours du mois de décembre, plusieurs activités ont été organisées à l’école Centennial dans le cadre de la période des
Fêtes. Centennial a démarré le mois avec sa campagne annuelle du panier de Noël au profit de HOPE. Le personnel et les
élèves ont amassé des dons en argent et des denrées non périssables lors de la collecte pour les familles dans le besoin de
leur communauté. Dans le but d’amasser plus de fonds, l’équipe du Visual Arts Spirit a vendu des cartes fabriquées à la main.
Il y eut aussi la journée « Chapeau », c’est-à-dire que pour la somme de 1 $ il était permis de porter un chapeau pendant
toute la journée. Toutes les familles qui ont reçu des dons étaient très reconnaissantes de la générosité de la communauté
de Centennial.
Les jeunes entrepreneurs de la classe de Madame Wright ont aussi souligné la campagne de l’entraide en organisant une
collecte au profit de l’Hôpital de Montréal pour enfants. Le 14 décembre, tous les élèves de troisième secondaire ont été invités à visionner le film Elf. Cette activité a non seulement été très amusante pour les élèves, mais ceux-ci ont ainsi contribué à
aider une bonne cause. La joie du temps des Fêtes a continué avec une variété d’autres activités. Les finissants ont organisé
leur collecte annuelle qu’ils appellent « Send a Friend a Candy Cane » (envoyer une canne de bonbon à un ami). Au cours de
cette activité, le personnel et les élèves offraient des cannes de bonbons à leurs amis ou collègues avec un message écrit à la
main, et le tout était livré par le père Noël et ses lutins. Le 23 décembre, les finissants ont organisé une vente pains d’épice, et
il y avait aussi un kiosque où les élèves étaient invités à prendre leur photo avec le père Noël. Puis, l’équipe du School Spirit a
organisé une variété de défis pour l’emballage de cadeaux ainsi que plusieurs autres jeux pour mettre les élèves dans l’esprit
des fêtes.
C’est la deuxième année que Madame Ruth Latimer, enseignante de l’ECR, consacre du temps le jour de Noël pour servir des
repas aux démunis. Nous sommes très fiers de nos élèves pour ce merveilleux geste de compassion! Bien que décembre fût un
mois très achalandé pour tous, les célébrations se sont déroulées avec beaucoup d’enthousiasme et dans l’esprit du temps des
Fêtes!
Entendre nos voix
Comme dans le passé, les élèves de Centennial prennent part à l’initiative de la Commission scolaire Riverside,
c’est-à-dire « Entendre nos voix ». La première session qui a été une vraie réussite a eu lieu le jeudi 19 janvier. Les garçons qui représentaient
Le Club Glee de l’école St-Jude partage l’esprit des Fêtes! par Candice Valentine
Le 19 décembre, le Club Glee de l’école St-Jude a propagé la joie du temps des Fêtes au sein de leur communauté. Les élèves ont
interprété une variété de chansons de Noël pour les ainés du Foyer Grove après les heures de classe. Accompagnés de Monsieur
Jean Simon à la guitare, nos jeunes avec le cœur en fête, la chanson aux lèvres ont égayé les spectateurs qui n’ont pu s’empêcher
de chanter et claquer des mains au rythme de la musique. Le spectacle a enchanté les résidents et nos élèves souhaitent avoir
l’occasion de prendre part à un autre événement communautaire dans un avenir rapproché. Félicitations au Club Glee de St-Jude!
Incroyables efforts à Heritage! par Terri Anne Pine
Merci à toutes les personnes qui ont aidé à faire la distribution des paniers de Noël. Je sais que les boîtes étaient lourdes, mais je suis certaine que les sourires des
familles ont soulagé vos douleurs musculaires. À la fin de notre campagne de Noël, nous avions amassé 124 boîtes de denrées; en plus de notre collecte, nous
avons aussi reçu 16 grosses boîtes et 8 petites boîtes de Justin Hunt (ancien élève) et ses camarades du Cégep Champlain. Voici un aperçu de notre collecte :
La somme de 5, 250 $ fut utilisée pour acheter des coupons alimentaires.
La somme de 1 107 $ fut utilisée pour acheter des jouets et des certificats-cadeaux pour 66 enfants ayant des besoins particuliers âgés de 5 mois à 19 ans.
Nous avons donné deux sacs bien remplis de produits pour bébé à deux mères de nourrissons, et nous avons offerts des denrées et des articles de toilette à un
centre pour la femme de la Rive-Sud.
William Latter en concert pour une bonne cause!
Le 22 décembre, l’école William Latter a présenté son concert de Noël annuel et cette année la présentation fut « How
the Grinch stole Christmas » (Le Grincheux qui voulait gâcher Noël). Comme d’habitude, le prix d’entrée consistait à
apporter des denrées non périssables ou à offrir un don en argent au profit de l’organisme « Aux Sources du bassin de
Chambly ». Nous avons amassé 15 contenants remplis de nourriture en plus de 605 $. WOW! Quel magnifique cadeau
à remettre à notre communauté.
La grande vente de jouets de l’École Internationale de Greenfield Park par Marie-Josée Goulet
Le 13 et le 14 décembre 2011, notre école (École Internationale de Greenfield Park) a fait une grande vente de jouets.
Le club éco-green de notre école en a eu l’idée! Le but de cette vente? Aider l’organisme d’aide et entraide : La mosaïque! Nous avions aussi un autre but, c’était de donner de l’argent pour la cause animale. Beaucoup de personnes ont
donné leurs jouets pour qu’ils soient vendus et plusieurs acheteurs ont étés satisfaits. Ces deux jours pour vendre les
jouets ont suffit pour ramasser un total de : $1,500!! Chaque classe est venue
une par une choisir des jouets, ensuite, nous avions les récréations pour trouver
d’autres choses. Ça veut donc dire que nous avons aidé, tout en s’amusant!
Acheter juste une chose a beaucoup aidé, même si c’était petit. Nous remercions le groupe Eco-Green pour avoir trouvé cette merveilleuse idée. Ainsi, toute
l’École Internationale de Greenfield Park à aidé la cause animale et L’organisme : « La Mosaïque ».
Ce Que Nous Avons Fait par Mia Abarbanel
Cet hiver, les classes 5A et 6A de l’école Internationale de Greenfield Park voulaient beaucoup aider leur communauté pour le temps des fêtes. Le 17 et 18 décembre, pour deux heures, chaque élève est allé au Pharmaprix sur le
boulevard Taschereau pour emballer les achats des clients. En total, ils ont réussi à amasser $1025. L’argent a servi
à faire des paniers de Noël pour des familles défavorisées. En classe, ils avaient aussi fait une collecte de denrées
non-périssables.
Aussi, le 22 décembre, ils ont visité la résidence de personnes âgées de Saint-Lambert pour chanter des chants de Noël. Malheureusement, plusieurs résidents n’ont pas de famille qui les visite pendant le temps des fêtes mais les élèves ne voulaient pas qu’ils n’aient pas de compagnie!
Compétition d’ortographe à Chambly Academy!
La 6ième competition annuelle d’ortographe a eu lieu le 12 janvier dernier à Chambly Academy, avec 24 étudiants et étudiantes du secondaire l et ll qui on participé. La gagnante fût Alyssa Landry, qui a correctement épellé le mot <galaxy> pour
gagné la compétition. Elle ira au tournoi régionale de Montréal le 12 février. Félicitations et bonne chance Alyssa!
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Dernier appel pour l’embarquement du Polar Express! Départ de l’école St-Jude
vers le pôle Nord
La dernière semaine avant le congé des Fêtes fut toute une aventure pour les élèves de la
maternelle de l’école St-Jude. Les petits ont pris le train qui partait d’une classe de maternelle
jusqu’au pôle Nord! À bord du train, sourire aux lèvres et joyeux, ils ont siroté du bon chocolat chaud pendant que les enseignants leur lisaient et animaient ce conte classique de Noël.
Ce fut un moment magique pour les 54 petits passagers qui ont été enchantés par leur
voyage à bord du train Polar Express de St-Jude!
Profil d’un commissaire : Michel L’Heureux par Nathalie Brault
Q : J’ai posé cette question aux autres commissaires que j’ai interviewés et je vous pose la
même question. Les commissions scolaires sont à la une dans les journaux ces jours-ci,
quelle est votre philosophie et votre opinion à cet égard?
Aussi longtemps que les commissions scolaires fonctionnent bien, elles demeurent des fournisseurs
essentiels de services et d’expertise aux écoles, lesquelles sont d’ailleurs leur clientèle. Il est important
de se rappeler que les écoles sont au premier plan quant aux services fournis aux élèves. Toutefois,
comme équipe cohérente, nous sommes plus forts ensemble. La commission scolaire fournit les orientations et les services qui permettent aux administrateurs des écoles et au personnel enseignant d’être
nos leaders pédagogiques. Cela est la force de notre commission scolaire.
Q : Selon vous, est-ce que l’organisation des commissions scolaires doit changer?
Bien que j’appuie fermement les commissions scolaires, je ne suis pas nécessairement d’accord avec le
statu quo. Il faut avoir l’esprit ouvert dans notre façon de faire les choses et je pense qu’il y a toujours
moyen de faire mieux. Je crois qu’il est essentiel d’établir des objectifs mesurables et de mettre l’accent
sur les résultats.
Q : Comment pouvons-nous accomplir cela?
Notre taux de diplomation en dit beaucoup. Une commission scolaire dont les ressources sont limitées
doit déterminer quels sont ses objectifs primaires. Notre but, qui est sûrement commun à d’autres commissions scolaires, est de s’assurer que nos finissants soient
bien équipés pour la prochaine étape de leur parcours éducatif. Cela comprend le cégep, la formation professionnelle ou au moins un diplôme d’études secondaires
pour un accès facilité au marché du travail. Aussi, une grande partie de nos ressources est investie dans l’aide aux élèves ayant des besoins particuliers. Sans quoi
nous aurions un taux de décrochage plus élevé et la réalisation de notre mission serait un échec. Toutefois, bien que l’on se considère comme important, rappelonsnous que l’implication des parents est un élément clé. Sans un partenariat concerté, je ne pense pas que notre taux de diplomation pourrait se maintenir de façon
constante dans les premiers rangs à l’échelle provinciale.
Q : Quelle est votre opinion sur le financement des écoles privées par le gouvernement?
N’est-ce pas merveilleux de vivre dans une démocratie qui offre des choix. Sérieusement, nous savons très bien que les commissions scolaires anglophones sont victimes des règlements, des critères d’admissibilité, etc. Est-ce réaliste de penser que l’élève qui fait l’école buissonnière, qui n’a pas de surveillance parentale ou qui
prend de la drogue sera miraculeusement un meilleur élève si nous réduisons le financement pour les écoles privées? Je ne crois pas dans l’hypothèse que mon sort
s’améliorera si j’enlève quelque chose à quelqu’un.
Q : Comment, quand et pourquoi avez-vous décidé de devenir commissaire?
J’étais impliqué dans les activités à l’école de mes enfants (Courtland Park) comme membre du conseil d’établissement lorsque l’école était menacée de fermeture.
Heureusement, l’école a échappé à la fermeture, subséquemment j’ai été élu à la présidence au conseil d’établissement, puis peu de temps après j’ai posé ma candidature au poste de commissaire lorsque le commissaire sortant a démissionné. Peut-être que je me trompe, mais je crois que dans l’ensemble, la plupart des commissaires ont ou avaient des enfants qui fréquentaient notre commission scolaire. Cela fait une différence, car nous croyons au système d’éducation publique, spécialement lorsque c’est un bon système.
Q : Quelle est votre contribution la plus mémorable (ou significative) en tant que commissaire?
Le numéro un est sans aucun doute mon rôle comme président de l’ancien comité ad hoc sur la planification stratégique. Ce qui suit de près en deuxième place est le
fait que j’ai été élu président à l’Exécutif par mes confrères commissaires. Lorsque je parle du taux de diplomation, je dois vous dire que nos enseignants, nos directeurs d’écoles et les administrateurs de la commission scolaire méritent des éloges, car ils ont accompli un travail colossal en matière de l’élaboration d’un plan stratégique de cinq ans qui a un impact direct sur la réussite de nos élèves. Je vais vous raconter une anecdote survenue lors d’une séance du conseil, ce fut un moment
émouvant qui vous donnera un aperçu de ce que les commissaires ont parfois l’occasion de témoigner. Il y a plus d’un an, lors d’une réunion du conseil, nos directeurs de l’école Heritage ont demandé l’aide du conseil. Ils ont décrit, verbalement et visuellement, les ravages causés par la drogue dans nos écoles. Bien que notre
taux de diplomation soit élevé, nous sommes tout de même conscients que nous avons un important taux de décrocheurs à cause de la drogue. Malgré les programmes existants, ils ont demandé l’appui du conseil pour l’embauche d’un intervenant en toxicomanie. Après un très bref moment de réflexion, le conseil leur dit,
« Combien en avez-vous besoin »? Ils en ont demandé qu’un seul pour commencer. Parfois, le rôle d’un commissaire est très gratifiant.
Q : Parlez-nous de votre travail au quotidien?
Je travaille comme consultant politique pour un membre de l’Assemblée nationale depuis sept ans. La politique m’a toujours passionnée, j’ai étudié en science politique et économique à l’Université de Western Ontario. J’ai occupé une variété de postes d’administrateur au secteur public pendant une vingtaine d’années avant d’avoir l’opportunité qui m’est offerte présentement. Je n’ai aucun regret. Ce travail ne conviendrait pas nécessairement à tous, mais pour ma part, la grande diversité
des activités au quotidien me plait énormément. Cela me permet de voir une crise comme une opportunité ainsi que l’importance d’avoir une ouverture d’esprit. Avec
les nouvelles réductions budgétaires, nous devons avoir l’esprit libéré et sortir des sentiers battus. Un million par année pendant les trois prochaines années… ça, c’est
tout un défi pour une commission scolaire de notre taille, cependant nous mettons toujours l’accent sur la réussite des élèves.
Q : Quel est votre message aux parents?
Soyez à l’écoute! Demandez à vos enfants ce qu’ils font, et assurez-vous qu’ils comprennent bien que vous vous attendez à ce qu'ils vous donnent une réponse. Soyez
respectueux envers leurs enseignants; lorsque l’enseignant vous offre de l’information ou des conseils à l’égard de votre enfant, écoutez attentivement et ne cédez
pas toujours à l’instinct de défendre votre enfant. Je crois que les rétroactions des enseignants s’avèrent très bénéfiques. Les enseignants ne sont pas parfaits, mais
souvenons-nous qu’ils font de leur mieux.
Q : Quelle personne a eu la plus grande influence sur vous dans votre vie?
Lorsque j’étais au secondaire (et je n’étais pas un élève modèle), Monsieur Rooney, mon enseignant d’histoire en neuvième année,
m’a vraiment éveillé. Je suis
convaincu que, sans lui, je n’aurais jamais obtenu un diplôme. La neuvième année fut une année difficile pour moi, car je manquais
de discipline. D’ailleurs, lorsque j’ai commencé mes études à l’université, j’avais 25 ans. Cela étant dit, il n’est jamais trop tard; c’est
pourquoi je suis fermement en faveur de l’éducation.
Q : Qu’est-ce qui pourrait nous surprendre à votre égard?
Quoique je sois une personne responsable, j’avoue que j’ai un côté farceur. Par exemple, comme disent parfois mes enfants « papa, c’est con », puis à ce commentaire je leur dis que le rôle d’un père a tout de même ses privilèges et faire des conneries en est un. Je profite de toutes les occasions pour les gêner (dit avec un
sourire). Je taquine beaucoup, mais sérieusement, les enfants doivent sentir qu’on les aime et que leur bien-être est primordial pour nous… leurs parents!
La date limite pour soumettre les articles pour la prochaine parution est le 20 février 2012