maquette Tableau de Bord version modifiée - Seine-Saint
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Tableau de Bord Conjoncturel en Seine-Saint-Denis JUIN 2005 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 1 Le Club 93 Conjoncture est une structure informelle qui réunit les principaux acteurs économiques de la Seine-Saint-Denis, spécialistes de la conjoncture, suivants : la Préfecture de la Seine-Saint-Denis ; le Conseil Général de Seine-Saint-Denis ; la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis ; la Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle ; la Banque de France ; la Trésorerie Générale de Seine-SaintDenis ; le Comité Départemental de Tourisme 93 ; Les ASSEDIC de l’Est Francilien ; la Direction Départementale des Services Fiscaux 93 ; la Direction Départementale de l’Equipement ; la Chambre de Métiers et de l’Artisanat 93 ; le Tribunal de Commerce de SeineSaint-Denis ; la Direction Régionale des Douanes de Paris-Est ; l’ANPE 93 et l’URSSAF de Paris- Région Parisienne. Il a pour objet l’analyse et le suivi de la conjoncture économique du département, et s’organise autour de deux aspects différents du suivi et de l’analyse de la conjoncture départementale : le suivi régulier de la conjoncture en premier lieu, et l’examen plus structurel par thématique de certains aspects de l’économie départementale, en second lieu. Dans cette perspective, le Club 93 Conjoncture réalise semestriellement un tableau de bord conjoncturel de la Seine-Saint-Denis qui regroupe des séries chronologiques économiques collectées auprès des différents partenaires et tente de faire l’analyse d’indicateurs départementaux relatifs à l’emploi, les ménages, l’habitat, le tourisme, l’immobilier, la vie de l’entreprise, les services, l’attractivité et l’image de la Seine-Saint-Denis. Ce document est consultable sur les sites internet des partenaires du Club 93 Conjoncture suivants : - Préfecture de la Seine-Saint-Denis : www.pref93.pref.gouv.fr - Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis : www.ccip93.com - Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis : www.cm-93.fr - Comité départemental du tourisme : www.tourisme93.com 2 SOMMAIRE I) LES MENAGES A) La consommation des ménages o Crédits à la consommation des ménages, encours et dépôts……………………………. P6 B) L’investissement des ménages o Immatriculations de véhicules particuliers……………………………………………… o Crédit à l’habitat………………………………………………………………………… o Le marché des logements collectifs neufs et leur prix au m²…………………………… o Le volume de la construction des logements neufs……………………………………. P7 P7 P8 P9 II) LA VIE DE L’ENTREPRISE A) Démographie d’entreprise o Mouvements (créations, radiations) des entreprises……………………………………… o Mouvements (créations par branche) de l’artisanat……………………………………… P 11 P 12 B) Activité des entreprises o Analyse des rapports entre l’évolution des carnets de commandes et les stocks………… o Le commerce extérieur (= demande extérieure)………………………………………… o La taxe sur la valeur ajoutée…………………………………………………………….. P 13 P 14 P 15 C) Niveau de l’investissement o Construction des locaux d’activités……………………………………………………… o Immatriculations de véhicules utilitaires………………………………………………… o Crédits aux entreprises…………………………………………………………………... P 16 P 17 P 17 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 3 SOMMAIRE (suite) III) LES SERVICES o Hôtellerie (taux d’occupation)………………………………………………………… o Transports (données qualitatives)……………………………………………………... IV) P 19 P 20 INDICATEURS D’ATTRACTIVITE, D’IMAGE o Nombre de visiteurs au Stade de France………………………………………………. o Nombre de visiteurs au Musée de l’Air et de l’Espace………………………………. o Nombre de visiteurs à la Basilique de Saint-Denis…………………………………… o Transferts des sièges sociaux…………………………………………………………. o Image de la Seine-Saint-Denis (selon les entreprises implantées sur le département).. P 22 P 22 P 22 P 23 P 24 V) L’EMPLOI A) Le marché du travail o Les demandes d’emplois en fin de mois (DEFM)……………………………………… o Le taux d’évolution des DEFM sur un an……………………………………………… o Les offres d’emplois enregistrées en fin de mois………………………………………. o Les demandes d’emplois enregistrées………………………………………………… o Le nombre de RMIstes………………………………………………………………… o Les taux de chômage…………………………………………………………………… P 27 P 27 P 28 P 29 P 29 P 30 B) Le marché de l’emploi o L’évolution sur 5 ans du nombre d’entreprises employant de la main d’œuvre……… o L’évolution sur 5 ans du nombre de salariés…………………………………………. o Les déclarations uniques d’embauches………………………………………………. P 31 P 31 P 32 Note méthodologique …………………………………………………………………… P 33 Contacts…………………………………………………………………………………. P 36 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 4 LES MENAGES Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 5 LES MENAGES : La consommation des ménages Crédits à la consommation Alors qu'il était resté stable en 2003, le volume global des crédits à la consommation a sensiblement augmenté, + 4,4 %, au cours de l'année 2004. Cette évolution est liée à la forte hausse, + 20 %, des prêts personnels accordés aux particuliers du nord du département. Il est en effet à noter qu'ils sont, pour la même période, en baisse de 4 % dans le sud de la Seine-Saint-Denis. De fait, la situation financière des particuliers reste fragile et les concours accordés adossés à l'acquisition de biens sont donc privilégiés aux ouvertures de crédits permanents. L'endettement des ménages et les difficultés de paiement sont également perceptibles au vu de l'explosion (+ 45 %) des prêts consentis par les établissements financiers spécialisés dans les crédits à la consommation. Toutefois, là encore, la situation est très contrastée entre les 2 zones géographiques étudiées (+ 22 % au nord du département, + 67 % au sud). SEINE SAINT DENIS EVOLUTION CREDITS A LA CONSOMMATION (base 100 - 1er trimestre 2001) 220 206 197 208 200 180 160 145 140 120 100 104 100 T1 2001 T1 2002 T1 2003 T1 2004 T1 2005 Source : Banque de France 6 LES MENAGES : l’investissement des ménages (1) Immatriculations de véhicules particuliers neufs En décembre 2004, il est en retrait de 6,7 % par rapport à décembre 2003 où le nombre d’immatriculations atteignait 28 044. Bien que similaire à celui de l’Ile-deFrance (- 6,6 %), le marché est plus marqué qu’au niveau national qui progresse lui de 7,1 %. Toutefois, au cours du 1er trimestre 2005, on note une légère hausse du marché séquano-dyonisien par rapport à la même période en 2003 (7 001 véhicules neufs immatriculés fin mars 2005 contre 6 847 fin mars 2004). Cette tendance est également confirmée par l’échelle régionale et nationale. VEHICULES PARTICULIERS 5 5 4 4 3 3 2 2 1 1 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000 m ars -01 jui l-0 1 no v-0 m 1 ars -02 jui l-0 2 no v-0 m 2 ars -03 jui l-0 3 no v-0 m 3 ars -04 jui l-0 4 no v-0 m 4 ars -05 En Seine-Saint-Denis, le marché des véhicules particuliers neufs a atteint le nombre d’immatriculations le plus bas depuis 6 ans (26 154 immatriculations fin 2004 contre 33 955 fin 1999). Source : DRE et Préfecture 93 Crédits à l’habitat La valeur des encours des crédits à l'habitat consentis aux particuliers connaît une croissance spectaculaire continue. Elle a, en 4 ans, augmenté de plus de 70 % et de 16 % sur la seule année 2004. Il est vrai que ce type de prêt est favorisé par l'ensemble des établissements de crédit car il présente selon eux 2 atouts majeurs : - le risque est moindre car adossé à un bien dont la valeur ne se déprécie pas, - la relation à long terme ainsi nouée avec le client représente le vecteur par excellence d'une fidélisation qui permettra des offres de service ultérieures au bénéfice de personnes dont la situation financière sera déjà bien appréhendée. En outre, pour le s particuliers, dont l'acquisition de la résidence principale reste l’investissement privilégié, la conjoncture actuelle est favorable : - le taux des prêts immobiliers est à un niveau historiquement bas, - de nombreux programmes de qualité sont en cours notamment sur la zone de la Plaine Saint-Denis. Ce dernier élément se vérifie concrètement puisque le volume des prêts à l'habitat est en hausse de près de 50 % sur la partie nord du département et en baisse de presque 14 % dans le sud. SEINE SAINT DENIS EVOLUTION DES CREDITS A L'HABITAT (base 100 - 1er trimestre 2001) 200 183 180 169 163 160 156 151 145 140 140 120 100 118 100 T1 T2 2001 101 T3 121 125 128 132 135 107 104 T4 T1 T2 2002 T3 T4 T1 T2 2003 T3 T4 T1 T2 2004 T3 Source : Banque de France 7 T4 T1 2005 LES MENAGES : l’investissement des ménages (2) Marché des logements collectifs ne ufs (promotion privée) En Seine-Saint-Denis, après un premier trimestre 2004 record (avec plus de 900 ventes), sur la lancée du second semestre 2003, les ventes d’appartements neufs se sont ensuite ralenties, pour se stabiliser au dernier trimestre à environ 600 ventes, alors que l’on assiste sur la plupart des autres départements de l’Ile de France à une reprise des ventes en fin d’année. Sur l’ensemble de l’année 2004, plus de 2 800 appartements auront cependant été vendus dans le département, améliorant de plus de 7 % le bon niveau de 2003. Le stock d’appartements en fin d’année (environ 900) ne représente que quatre mois de délai d’écoulement. Nombre d’appartements neufs commercialisés en 2005 1000 900 800 700 600 500 400 300 200 100 0 1T 19 99 3T 19 99 1T 20 00 3T 20 00 1T 20 0 3T 1 20 01 1T 20 0 3T 2 20 02 1T 20 0 3T 3 20 03 1T 20 0 3T 4 20 04 La part de la Seine-Saint-Denis se maintient à environ 15 % du marché régional. Tandis que la part du marché parisien des appartements neufs tombe à moins de 5 %, celle des Hauts de Seine se maintient à plus de 22 % et celles des départements de grande couronne progresse de 45 à 47 %. Mises en ventes Une dizaine de communes du département concentre les ¾ des ventes réalisées en 2004. La nouvelle répartition géographique du marché, constatée en 2003, se confirme. Les communes où le développement de la production privée est récent ont réalisé le plus grand nombre de ventes : Saint-Denis, Aubervilliers, Bobigny, Saint-Ouen représentent à elles seules la moitié des ventes de l’année. Ailleurs, la dynamique du marché est liée avant tout aux possibilités de développement d’une offre nouvelle : Pantin, Montreuil et les Lilas en première couronne, Le Bourget, Dugny et Bondy en seconde périphérie puis Gagny, Neuilly-sur-Marne et Noisy-le-Grand sur le secteur sud-est. Source : DDE / ENCL (données trimestrielles) Prix de vente moyen des logements collectifs neufs (promotion privée) 3 000 2 800 2 600 2 400 2 200 2 000 1 800 19 2T 99 19 3 T 99 19 9 4T 9 19 9 1T 9 20 2 00 T 20 3T 00 20 0 4T 0 20 0 1T 0 20 0 2T 1 20 3 T 01 20 4T 01 20 0 1T 1 20 0 2 2 T 20 3 02 T 20 4T 02 20 0 1T 2 20 0 2T 3 20 0 3T 3 20 4 T 03 20 1T 03 20 0 2T 4 20 3 04 T 20 4 T 04 20 04 Fin 2004, la Seine-Saint-Denis reste le département de la petite couronne où le prix moyen est le moins élevé. Si l’écart avec les Hauts de Seine s’est accentué (le prix moyen des appartements neufs y atteint 4 456 Euros/m², en progression de plus de 18 % sur un an), le différentiel avec le Val de Marne Marne tend plutôt à s’atténuer (le prix moyen, 3 193 Euros/m² à fin 2004 a connu une hausse plus modérée, de l’ordre de 8 %). Prix de vente moyen au m² des appartements neufs commercialisés en Seine Saint Denis 1T Après une stabilisation au cours des trois premiers trimestres de l’année 2004, le prix moyen des appartements neufs vendus en Seine-Saint-Denis a marqué une nouvelle progression au dernier trimestre : il atteint 2 816 Euros /m², soit une hausse de l’ordre de 6 % par rapport au 3ème trimestre. Le prix moyen s’est accru de plus de 13 % en un an et de plus de 21 % depuis début 2003. Ventes Source : DDE / ENCL 8 LES MENAGES : l’investissement des ménages (3) Le volume de construction des logements neufs 2004 a été une excellente année pour la production des logements neufs en Seine-Saint-Denis, aussi bien pour les mises en chantier (près de 5 700 logements commencés, soit + 37 % d’augmentation en un an) que pour les autorisations de construire (près de 7 500 logements autorisés, soit une progression de 33 %). Cette dynamique se situe dans un contexte régional également marqué par la croissance, bien que celle-ci soit plus modérée : 37 000 logements commencés (soit + 15 % de progression en un an) et 47 000 logements autorisés (+19 %). Après une quinzaine d’années caractérisées par un retard de construction important, la Seine-Saint-Denis amorce un rattrapage de la situation et représente en 2004 plus de 15 % de la construction de logements en Ile de France (contre seulement 10 % en moyenne sur Au sein du département, en 2003, six communes comptaient plus de 200 logements autorisés dans l’année. En 2004, on en dénombre seize : Saint-Denis vient très largement en tête avec plus de 1 200 logements, puis Montreuil, Le Bourget, Aubervilliers, Saint-Ouen, Bobigny avec chacune de 400 à 500 logements autorisés. Nombre de logements totaux en Seine -Saint-Denis Nombre de logements totaux en Ile -de-France 8000 48000 7000 46000 44000 6000 42000 5000 40000 4000 38000 3000 36000 Cumul sur 12 Logements autorisés Logements commencés Logements autorisés 3T 20 04 1T 20 04 3T 20 03 1T 20 03 3T 20 02 1T 20 01 3T 20 04 1T 20 04 3T 20 03 1T 20 03 3T 20 02 1T 20 02 30000 3T 20 01 32000 0 1T 20 01 1000 1T 20 02 34000 3T 20 01 2000 Logements commencés Source : Sitadel (DREIF) / DDE 9 LA VIE DE L’ENTREPRISE Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emp loi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 10 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Démographie d’entreprise (1) Evolution des enregistrements au registre des Commerces et des Sociétés pour la période du 1e r janvier au 30 décembre 2004 : - - - Sur 2 689 immatriculations, 1 937 concernent des personnes morales, soit 72 % Les immatriculations des sociétés civiles au premier trimestre 2005 ont baissé très fortement. De nombreux rejets ont été enregistrés dès l’enregistrement. Ces rejets sont consécutifs de la récente Loi qui implique la déclaration des identités des associés qui composent notamment les sociétés civiles immobilières. Les immatriculations des personnes morales sont toujours en progression. Le greffe devrait atteindre 7 500 nouvelles immatriculations à fin décembre 2005. Le nombre de dépôts des comptes annuels n’est pas significatif au 1er trimestre, les relances n’ont pas encore été expédiées. Année 2003 Immatriculations A B C D Pers. Physiques Pers. Morales G.I.E S.C.I Total Modifications Radiations Comptes annuels 1 636 5 665 17 1 469 8 787 13 288 7 338 18 874 Année 2004 1 668 6 404 18 1 544 9 634 13 727 6 477 16 727 1er trimestre 2005 397 1 937 3 352 2 689 3 874 1 602 2 128 Source : Greffe du Tribunal de Commerce de Bobigny Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 11 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Démographie d’entreprise (2) Evolution des enregistrements au Répertoire des Métiers Au cours du deuxième semestre 2004, 3 817 formalités ont été enregistrées contre 3 065 en 2003 pour la même période, soit 24,5% d’augmentation. Sur l’année, l’augmentation aura été de près de 15% soit 7 947 formalités en 2004 pour 6 912 en 2003. La répartition dans le choix des formes d’entreprise se fait toujours au profit des sociétés qui représentent une moyenne de près de 60%. Ce chiffre correspond à une réalité qui se retrouve en Ile-de-France. Il semble qu’en province le choix porte encore majoritairement sur la forme individuelle dans les mêmes proportions. Les radiations ont dépassé les immatriculations au second semestre 2004 pour une raison purement conjoncturelle liée à la préparation des élections 2004 et la mise à jour du Répertoire des Métiers. Evolution du nombre d’entreprises artisanales par secteur d’activité En fonction du travail préparatoire lié aux élections 2004, les radiations sont supérieures au second semestre 2004. Le pic de radiations se situe en août 2004, et représente les radiations d’office effectuées par la Chambre suite à un travail de vérification du fichier. Elargissement économique Compte tenu de l’élargissement économique de l’Union Européenne, une analyse des immatriculations a été opérée en 2004 par catégorie d’activité et par nationalité. IMMATRICULATIONS DU 2E SEMESTRE 2004 PAR MOIS ET PAR CATEGORIE RADIATIONS DU 2E SEMESTRE 2004 PAR MOIS ET PAR CATEGORIE 120 200 104 100 185 180 94 97 160 79 79 80 140 134 120 65 60 57 49 46 45 104 100 86 80 39 65 40 38 28 24 16 20 37 60 39 45 35 22 17 42 42 25 39 16 14 9 0 65 63 51 20 12 65 51 40 25 13 3 31 26 20 18 15 8 0 juil-04 août-04 sept-04 oct-04 ALIMENTATION nov-04 déc-04 juil-04 août-04 BATIMENT FABRICATION SERVICES sept-04 oct-04 nov-04 déc-04 ALIMENTATION BATIMENT FABRICATION SERVICES IMMATRICULATIONS 2004 PAR CATEGORIE ET PAR NATIONALITE IMMATRICULATIONS ET RADIATIONS DU 2E SEMESTRE 2004 PAR CATEGORIE 100% 600 90% 502 515 80% 500 337 268 300 280 15,3 1,1 50% 40% 172 200 60% 126 30% 82 100 5,6 1,6 70% 400 24,6 33,6 34,7 42,5 56,3 69,8 64,9 50 20% 10% 0 ALIMENTATION BATIMENT FABRICATION SERVICES 0% ALIMENTATION IMMATRICULATIONS RADIATIONS BATIMENT FR FABRICATION UE Source : répertoire de la chambre de métiers et de l’artisanat de la Seine-Saint-Denis SERVICES HORS UE 12 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Activité des entreprises (1) L’évolution des carnets de commandes et des stocks dans l’industrie (octobre 2004 – mars 2005) Les carnets de commandes bien garnis au cours de la fin du 4° trimestre 2004 ont bénéficié d’un climat d’affaires favorable à l’approche des fêtes de fin d’année. Les secteurs les plus favorisés par cette dynamique ont été l’industrie agro-alimentaire, avec une part prépondérante des fabricants de produits bio et de luxe, et des industriels des biens de consommation. Géographiquement, les zones les plus demandeuses étaient l’Asie et le Pacifique, avec un repli de la demande européenne, notamment l’Allemagne. Le gonflement des stocks ayant été anticipé peu avant cette période afin de répondre favorablement et dans les plus brefs délais à la demande des clients, la production n’a pas forcément suivi une tendance à la hausse, du moins pas dans les mêmes proportions que la demande. Au cours du 1° trimestre, les livraisons massives de fin d’année ont fait fondre les stocks de produits finis, contrairement aux stocks de matières premières en hausse en raison de craintes de pénurie ou de poussées inflationnistes sur certaines matières (acier, dérivés du pétrole) L’industrie agro-alimentaire est le secteur qui a logiquement connu le déstockage le plus massif après les fêtes de fin d’année, mais les fabricants de biens d’équipement étaient dans la même situation mais pas pour les mêmes raisons. En effet, les livraisons qui honoraient les commandes de décembre et janvier se terminaient alors que les commandes n’arrivaient plus en février, ce qui a entraîné un fort ralentissement de la production et par conséquent un déstockage brutal. L’évolution prévue pour les prochains mois reste contrastée, avec une demande soutenue pour le secteur de l’industrie agro-alimentaire, qui a reconstitué ses stocks en avril, et une situation préoccupante chez les fabricants de biens de consommation, pénalisés par une demande atone des ménages français, qui devraient poursuivre leur déstockage par le biais d’un ralentissement de la production. ETAT DU CARNET DE COMMANDE ET DU NIVEAU DES STOCKS PAR RAPPORT A UN NIVEAU JUGE NORMAL 0,5 0,4 05 rsma 5 r-0 fév 5 v-0 jan 4 c-0 dé 4 v-0 no 4 t-0 oc 4 t-0 sep 04 ûtao -04 juil 4 n-0 jui 4 i-0 ma 4 r-0 av 0,3 0,2 0,1 0 -0,1 -0,2 -0,3 -0,4 -0,5 - 0,5 = TRES FAIBLE - 0,25 = FAIBLE 0 = NORMAL 0,25 = ELEVE 0,5 = TRES ELEVE Etat du carnet Stock de Produits finis Source : Banque de France / Industrie 13 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Activité des entreprises (2) Le commerce extérieur en Seine -Saint-Denis Approche globale Les statistiques s’entendent département de départ ou de destination des marchandises Commerce Extérieur Les exportations de la Seine-Saint-Denis représentent en 2004 10,7% des exportations de la région Ile -de-France Source : MINEFI import/export de la Seine St Denis 2500 Les importations de la Seine-Saint-Denis représentent 9,1% de l’Ile-de-France Approche sectorielle 2000 1500 Import Export 1000 500 Le secteur porteur de la Seine-Saint-Denis reste encore cette année « les produits de l’industrie automobile », avec un solde positif de 2309 millions d’euros (contre 754 millions d’euros en 2003), soit une progression de 202% principalement due à une relance de l’exportation à partir du 2ème trimestre 2004. 1T 2003 2T 2003 3T 2003 4T 2003 1T 2004 2T 2004 3T 2004 4T 2004 Pdts agricoles, sylvicoles et piscicoles Pdts des industries agric et aliment 4 T 2004 3 T 2004 2 T 2004 1 T 2004 4 T 2003 3 T 2003 2 T 2003 solde du commerce extérieur en Seine Saint Denis 1 T 2003 Les secteurs des « produits des industries agricoles » (+ 31 millions par rapport à 2003) et « biens d’équipement » (+188 millions par rapport à 2003) entament une légère progression, même s’ils affichent un solde toujours négatif. 0 biens de conommation 1200 1000 Pdts de l'industrie automobile 800 600 Biens d'équipement 400 200 Approche géographique 0 Biens intermédiaires -200 -400 Principaux pays à l'importation de la Seine Saint Denis 500 000 400 000 2 t 2004 200 000 3 t 2004 4 t 2004 A l’importation, les principaux partenaires européens restent l’Allemagne (1625 millions d’euros), l’Italie (651 millions d’euros), les Pays-Bas (508 millions d’euros) Japon Espagne Belgique RoyaumeUni Pays-Bas EUAN Italie 0 Chine 100 000 En ce qui concerne l’Union Européenne, l’Espagne (823 millions) et l’Italie (800 millions) deviennent en 2004 les principaux partenaires à l’exportation devant le Royaume Uni (713 millions d’euros). 400 000 350 000 Portugal 1°trim 2004 Algérie Japon Pays-Bas EUAN Belgique Allemagne Royaume-Uni Principaux pays à l'exportation de la Seine Saint Denis Espagne A noter, que d’une manière générale les échanges sont en progression avec une augmentation du solde de 1604 millions d’euros. 1 t 2004 300 000 Allemagne Les principaux partenaires à l’exportation sont les EtatsUnis avec une reprise significative au 4ème trimestre (+27 millions par rapport au 3ème trimestre) pour un total annuel en 2004 de 305 millions, le Japon (206 millions) et l’Algérie (149 millions). A l’importation, la Chine se démarque pas sant en 2 ème position avec 829 millions d’euros. Pdts énergétiques -600 Italie Le principal partenaire de la Seine-Saint-Denis reste l’Europe (63,13% des importations et 57,50% des exportations). 2°trim 2004 300 000 250 000 200 000 3°trim 2004 150 000 100 000 50 000 0 4°trim 2004 14 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Activité des entreprises (3) La Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) en Seine Saint-Denis Chiffre d’affaires : TVA - Chiffre d’affaires Evolution Ce sont les secteurs du commerce (41 %) , des transports (17,44 %) et des services aux entreprises (10,92 %) qui génèrent le plus de chiffre d’affaires en Seine -Saint-Denis pour l’année 2004. Par ailleurs, le secteur automobile représente 4,07 % de ce même chiffre d’affaires. TVA nette due : 2002 / 2003 + 0, 89 % 2003 / 2004 + 3, 57 % 2002 / 2003 + 2, 16 % 2003 / 2004 + 3, 90 % TVA Brute totale Evolution TVA déductible sur immobilisations Ainsi le secteur du commerce génère 42,93 % de la TVA nette due pour l’année 2004, celui des transports 3,83 %, celui des services aux entreprises 18,18 %. Le secteur automobile représente seulement 0,76 % de la TVA due. Il convient de remarquer que, malgré un chiffre d’affaires 2004 représentant 4.36 % du total 2004, les activités financières génèrent 11,05 % de la TVA nette due. Evolution 2002 / 2003 + 20, 86 % 2003 / 2004 - 9, 23 % 2002 / 2003 + 3, 63 % 2003 / 2004 + 4, 54 % TVA nette due Evolution SYNTHESE. Chiffre d’affaires 2002 2003 2004 JANVIER 2005 97,05 97, 91 101, 41 9,5 TVA Brute (application des taux de TVA) 13,81 14, 11 14, 66 1, 41 TVA déductible sur immobilisations 0,89 1, 08 0,97 0,07 TVA nette due 4,15 4, 26 4, 45 0,45 En milliards d’Euros. L’augmentation de la TVA nette due constitue, généralement, un signe favorable en terme de conjoncture économique. Il convient toutefois de noter que l’évolution des recettes de TVA peut être affectée par des opérations exceptionnelles d’investissements, souvent réalisées par des entreprises importantes, qui aboutissent à une minoration de la TVA nette due. Par ailleurs, le montant de TVA nette due ne tient pas compte des exportations, par principe exonérées, qui participent notablement à l’activité économique de certains secteurs. 15 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Niveau de l’investissement (1) Construction des locaux d’activités En 2004, l’évolution de la construction des locaux d’activités en Seine-Saint-Denis a suivi la même tendance que la moyenne régionale, mais avec une amplitude accentuée : par rapport à l’année précédente, les mises en chantier se sont redressées (+84 % dans le département, contre +12 % en Ile de France), pour atteindre près de 400 000 m², soit 16 % de la production régionale, tandis que les autorisations de construire ont enregistré un net recul (-46 % en Seine-Saint-Denis contre –12 % pour la région), ne représentant que 11 % de la part régionale, contre 18 % en 2003. Les bureaux, avec environ 175 000 m² autorisés en 2004, soit –20 % en un an, sont moins affectés par le recul des projets que les locaux industriels, les entrepôts ou les locaux commerciaux qui enregistrent entre 40 et 80 % de baisse de leurs surfaces autorisées. Cette situation laisse présager une baisse sensible des mises en chantier pour ce type de locaux en 2005, alors que l’année 2004 a, au contraire, été marquée par un regain de dynamisme de la construction des locaux industriels et des locaux commerciaux. Les mises en chantier de bureaux ont été en 2004 de l’ordre de 160 000 m², soit un quasi doublement des surfaces par rapport à l’année précédente. En Ile de France, seul le département des Hauts de Seine se démarque par un regain de dynamisme de la production de bureaux, tant au niveau des autorisations de construire que des mises en chantier (respectivement 47 % et 38 % de la production régionale). Source : Sitadel (DREIF) / DDE – Données cumulées sur 12 mois SHON autorisées en milliers de m2 700000 600000 500000 400000 300000 200000 100000 bureau commerce industrie 4T 20 04 3T 20 04 2T 20 04 1T 20 04 4T 20 03 3T 20 03 2T 20 03 1T 20 03 4T 20 02 3T 20 02 2T 20 02 1T 20 02 4T 20 01 3T 20 01 2T 20 01 1T 20 01 0 entrepot 16 LA VIE DE L’ENTREPRISE : Niveau de l’investissement (2) Véhicules utilitaires VEHICULES UTILITAIRES Le nombre d’immatric ulations de véhicules utilitaires neufs a continué de chuter en Seine-SaintDenis en 2004 (10 437 véhicules immatriculés fin 2004 contre 10 511 fin 2003). 1 200 1 000 800 En 2004, le marché séquano-dyonisien est resté en léger retrait (- 0,7 %) par rapport à l’échelle régionale et nationale qui elles ont progressées respectivement de 2,1 % et 6,5 % par rapport à 2003 sans pour autant atteindre les chiffres de 2001. Toutefois, au cours du 1er trimestre 2005, le département de la Seine-Saint-Denis a noté une légère hausse (2 848 véhicules immatriculés) par rapport aux 1ers trimestres 2004 (2 483), 2003 (2 761) et 2002 (2 778). Cette augmentation est également constatée aux niveaux régional et national. 600 400 jui l-0 4 no v-0 m 4 ars -05 jui l-0 3 no v-0 m 3 ars -04 jui l-0 1 no v-0 1 m ars -02 jui l-0 2 no v-0 2 m ars -03 ma rs01 200 Source : Préfecture 93 / Direction régionale de l’Equipement Crédits à l’équipement des entreprises Le volume des crédits à l'équipement a fortement chuté, -11 %, au cours du second semestre 2004, sous l'effet conjugué de 3 phénomènes distincts : - la conjoncture n'a pas révélé de signes de reprise forts, - la trésorerie des entreprises restant tendue, ces dernières ont privilégié le recours à des facilités de caisse et à des crédits court terme, du type affacturage. De fait, les programmes d'investissement de qualité présentés aux établissements de crédit se sont avérés peu nombreux, - la décision prise par les banques de diminuer le montant des délégations accordées aux agences et de regrouper les décideurs dans des centres d'affaires spécialisés situés principalement à Paris et dans le quartier de la Défense. Ainsi, le total des encours des crédits à l'équipement, bien qu'il soit presque revenu au niveau de celui du début de l'année 2001, ne permet aucune conclusion quant à l'évolution du volume des investissements accordés aux entreprises du département. SEINE SAINT DENIS EVOLUTION CREDITS A L'EQUIPEMENT (base 100 - 1er trimestre 2001) 120 115 115 113 114 113 110 108 107 106 105 107 106 105 106 103 100 100 100 98 101 99 95 T1 2001 T1 2002 T1 2003 T1 2004 T1 2005 Source : Banque de France 17 LES SERVICES Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 18 LES SERVICES : L’hôtellerie Taux d'occupation En Seine-Saint-Denis, l’hôtellerie de tourisme compte, fin 2004, 116 hôtels et 13005 chambres. 90,0% 80,0% L’analyse qui suit porte sur 87 hôtels (dont les 4 étoiles de la plate-forme de Roissy) et 12 859 chambres répartis de la façon suivante : 32 hôtels 0/1* et 4 272 chambres (super économique) 30 hôtels 2* et 3 577 chambres (économique) 17 hôtels 3* et 2 606 chambres (moyenne gamme) 8 hôtels 4* et 2 404 chambres (haut de gamme de la plate forme de Roissy des départements 93, 95 et 77) 70,0% 60,0% 50,0% 40,0% 30,0% 20,0% 10,0% 0,0% 0*/1* L’activité hôtelière du territoire a connu une stabilité globale en 2004 de la fréquentation par rapport à l’année précédente mais une dégradation de ses revenus. Ainsi les taux d’occupation ont varié de : - 2,9 points (de 82 à 79,1) pour l’hôtellerie super économique + 0,3 points (de 71,1 à 71,4) pour l’hôtellerie économique + 1,8 point (de 65,1 à 66,9) pour l’hôtellerie de moyenne gamme + 2,2 points (de 56,9 à 59,1) pour l’hôtellerie haut de gamme 2* Année 2003 3* 4* CDG Année 2004 Source : Comité départemental du tourisme 93 Prix moyen 140 120 100 80 Malgré un certain recul qui se poursuit réguliè rement depuis l’année 2000 (qui connut un pic d’occupation à 90%), l’hôtellerie super-économique conserve un taux d’occupation assez élevé et régulier, exception faite pour le mois d’août (69,2 %). L’hôtellerie économique se maintient à un bon niveau avec des caractéristiques de saisonnalité assez proches. 60 40 20 0 0*/1* 2* Année 2003 On peut noter la légère reprise de la fréquentation des hôtels moyen et haut de gamme constatée sur les 9 premiers mois de l’année mais qui a connu un net ralentissement au dernier trimestre. En ce qui concerne la politique des prix, elle a connu en moyenne, une quasi stabilité pour les hôtels 0/1 * (de 36 en 2003 à 37 € en 2004) comme pour les 2 * (de 58 € à 57 €) mais une baisse sensible pour les 3 * et les 4 * (de 73 € en 2003 à 69 € en 2004 et de 127 € en 2003 à 117 € en 2004). 3* 4* CDG Année 2004 Source : Comité départemental du tourisme 93 Revenu moyen par chambre 80 70 60 50 40 Il en résulte un revenu par chambre qui se dégrade : stable pour l’hôtellerie économique (41 €) il recule pour l’hôtellerie super-économique (de 30 à 29 €), l’hôtellerie de moyenne de gamme (de 48 à 46 €) et l’hôtellerie haut de gamme (de 72 à 69 €) 30 20 10 0 0*/1* 2* Année 2003 3* 4* CDG Année 2004 Source : Comité départemental du tourisme 93 ∗ l'ensemble des hôtels de la plate-forme de Roissy (départements 95. 77) ont ici été pris en considération 19 EVOLUTION DE LA CONJONCTURE DANS LES TRANSPORTS EN SEINE-SAINT-DENIS (OCTOBRE 2004 - MARS 2005) Le secteur du transport routier, après avoir connu une nouvelle période dynamique jusqu’au 3° trimestre 2004, a rencontré quelques difficultés au cours du dernier semestre. Les transporteurs font état d’une activité relativement soutenue au 4° trimestre 2004, dynamisée par une accélération des échanges commerciaux à l’approche des fêtes de fin d’année, et par une demande toujours dynamique du secteur industriel. En effet, la demande des ménages français en produits manufacturés restait globalement bonne et l’intensification du trafic a encore permis aux transporteurs de limiter les durées d’immobilisation des véhicules. Ceci étant, le manque de visibilité sur l’activité à court terme, avec une majorité de contrats de courte durée, s’est fait plus flagrant dès le mois de novembre 2004. La situation s’est ensuite dégradée au cours du 1er trimestre 2005, en raison d’une demande en repli du secteur industriel et d’un ralentissement des échanges commerciaux, principalement sur les trajets à l’international. En effet, la concurrence intensive menée par les pays de l’Est devient difficile à gérer en terme de compétitivité-prix, ce qui pousse les transporteurs de Seine Saint-Denis à recueillir de plus en plus de contrats sur les trajets domestiques, se concentrant sur le territoire national. Les entreprises font toujours état d’importantes difficultés de recrutement de chauffeurs , compensées par du recours à l’intérim, mais le coût élevé de cette pratique pénalise fortement les marges. Les chauffeurs privilégient ce mode de fonctionnement afin de bénéficier de rémunérations plus attractives, et refusent la plupart du temps des postes en contrat à durée indéterminée qui entraîneraient une baisse de leur salaire, sachant que leurs compétences sont très recherchées sur le marché du travail. Les prix de facturation connaissent à nouveau une progression notable, afin de répercuter la hausse des prix du carburant constatée dans tout le secteur depuis plus d’un an. De nouvelles revalorisations tarifaires sont attendues suite aux hausses des coûts de revient (fuel, coûts salariaux), mais ces opérations devraient poser problème, en terme de négociation, dans un marché qui sera a priori en retrait, voire stable dans les perspectives les plus optimistes, par rapport à la même période en 2004. 20 INDICATEURS D’ATTRACTIVITE, D’IMAGE Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du 21 Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est l Trésorerie Générale 93 l Direction Indicateurs d’attractivité, d’image Les principaux sites touristiques d’agrément du département ont connu en 2004 une reprise remarquable de leur fréquentation. Le Musée de l’air et de l’espace Le Musée de l’air et de l’espace du Bourget a quasiment atteint l’objectif de 200 000 visiteurs qu’il s’était fixé pour cette année 2004. Musée de l'air et de l'espace 250 000 196 173 200 000 170 820 150 000 Avec un taux de croissance de 15 % par rapport à 2003, venant confirmer un rebond à la hausse de la fréquentation engagée en 2002, il conforte une attractivité retrouvée. L’enrichissement des collections avec un Boeing 747 présenté dans une « scénographie technologique », l’arrivée du dernier Concorde, une politique de promotion renforcée et l’organisation d’événements originaux ont contribué à accroître et à développer les publics. 100 000 50 000 0 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Source : Musée du Bourget La Basilique Saint-Denis Après un premier semestre marqué par une fréquentation en nette hausse (+15.5 %) la Basilique royale de SaintDenis a accru encore sa fréquentation au dernier trimestre avec la présentation de la remarquable exposition Basilique secrète-trésors archéologiques de Saint-Denis. Ainsi ce sont près de 150 000 personnes (soit +17.9 % par rapport à 2003) qui ont été comptabilisées à l’entrée de l’espace réservé à la visite, ce qui constitue le meilleur résultat de la dernière décennie. La prolongation de l’exposition temporaire, initialement prévue pour se terminer début mars, jusqu’à la mi-mai permet d’envisager un premier trimestre 2005 de bon niveau. Le Stade de France Paris 2012 Le Stade de France, qui connaissait une baisse constante de nombre de visiteurs depuis l’année record de 1999, a stabilisé sa fréquentation en 2004 et même connu une légère tendance à la hausse. Franchissant à nouveau la barre des 100 000 entrées, c’est une progression de près de 5 % que le site enregistre. Une nouvelle présentation de l’offre avec une découverte à prix unique au lieu de deux circuits, des efforts de communication à destination du grand public et une visibilité redynamisée du grand Stade de France Paris 2012 ont permis de redonner un second souffle à cet équipement phare auquel la nouvelle image de la Seine Saint-Denis est souvent associée. Basilique de Saint-Denis 160000 144 958 140000 120774 120000 100000 80000 60000 40000 20000 0 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Source : Caisse des Monuments Historiques Stade de France Paris 2012 250 000 200 000 150 000 100 478 96 629 100 000 50 000 0 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Source : Stade de France 22 TRANSFERTS DE SIEGES SOCIAUX Attractivité de la Seine -Saint-Denis pour les entreprises mesurée par le biais de l’installation de sièges sociaux De janvier à décembre 2004, 264 sièges d’entreprises se sont installés dans le département tandis que 206 l’ont quitté ; le solde, positif sans discontinuer depuis 4 ans, affiche en outre une nette augmentation année après année, + 32 en 2003, + 58 en 2004. Comme les années précédentes, il est également à noter qu'en 2004 le nord du département (+ 67 entreprises) présente une attractivité plus forte que le sud (- 9). Il faut enfin préciser que 146 des entreprises supplémentaires recensées en 2004 en Seine-Saint-Denis (dont 93 au nord) affichent un chiffre d'affaires annuel supérieur à 750 K€, contre 114 (dont 43 au nord) qui ont changé de département. S'agissant du 1er trimestre 2005, les évolutions présentent les mêmes caractéristiques : le solde entre les arrivants et les partants est de + 16 au nord (dont + 10 sièges importants) et de - 7 au sud (dont - 3). Source : Banque de France Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 23 IMAGE DE LA SEINE-SAINT-DENIS (1) Enquête d’opinion semestrielle (Cf : note méthodologique) Principal inconvénient à l’implantation en Seine -Saint-Denis Pour les entreprises implantées sur le département, les principaux inconvénients à leur implantation sont dans l’ordre : - les problèmes de circulation/stationnement pour 22% - les problèmes d’insécurité pour 20% - l’image du territoire pour 13% - une fiscalité locale dissuasive pour 12% Si l’on considère que les problèmes d’insécurité concourent de l’image négative du territoire, alors l’image de leur département constituerait le principal inconvénient que rencontrent les entreprises de Seine-SaintDenis. Principal inconvénient à l'implantation en Seine-Saint-Denis 4 Aucun 3 Mauvaise accessibilité 2 Manque de services de proximité 13 Image du territoire 22 Problèmes de circulation/stationnement 20 Problèmes d'insécurité 12 fiscalité locale dissuasive 5 Problèmes de qualité de vie 1 Problèmes logistiques 3 Locaux immobiliers inadaptés 2 Eloignement clients/fournisseurs 5 Problèmes de recrutement/formation 8 Coûts fonciers élevés Source : Médiamétrie/CCIP93 0 5 10 15 20 25 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 24 IMAGE DE LA SEINE-SAINT-DENIS (2) Enquête d’opinion semestrielle (Cf : note méthodologique) Image du territoire : perception détaillée 26% des entreprises considèrent le département comme un territoire accumulant des difficultés économiques et sociales, mais 28% sont conscientes de l’évolution actuelle du département (en pleine mutation économique et sociale). Par ailleurs, si 26% des entreprises qualifient le département de territoire sinistré et violent, 12% d’entre elles le voient comme un territoire jeune et multiculturel. Seine-Saint-Denis: image de département… en % 30 28 26 26 25 20 15 10 12 8 5 0 Dynamique et moderne Sinistré et violent Jeune et multiculturel En pleine mutation économique et sociale Accumulant des difficultés économiques et sociales Source : Médiamétrie/CCIP93 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du 25 Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est L’EMPLOI Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du 26 Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est Trésorerie Générale 93 l l Direction L’EMPLOI : Le marché du travail (1) LES TAUX D’EVOLUTION DU CHOMAGE SUR UN AN (décembre 2003 à décembre 2004) Demande d’emplois enregistrée en catégorie 1 20000 18250 18000 16000 14578 14000 14175 14006 12985 12759 12674 13950 13705 13204 12790 12566 12362 12105 12000 11613 10000 8000 6000 4000 2000 0 jan v-0 4 fév r-0 4 ma rs-0 4 av r-0 4 ma i-0 4 jui n-0 4 jui l-0 4 ao ût04 sep t-0 4 oct -04 nov -04 dé c-0 4 jan v-0 5 fév r-0 5 m ars -05 Les demandes d’emplois en fin de mois (DEFM) Le nombre de DEFM (94696 en catégorie 1) est stable entre décembre 2003 et décembre 2004, par contre progression de Ile de France 1,8% . En mars 2005, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie 1 est de 94 253 demandeurs d’emplois (il était de 92 910 personnes en mars 2004). On observe que l’évolution du chômage de longue durée à décembre 2004 en Saint Denis régresse nettement plus qu’en IDF (- 0,61% sur le 93), alors qu’en Ile -de-France elle augmente de + 2,94%. La catégorie 6 (personnes occupant une activité temporaire de plus de 78 heures dans le mois) est en évolution (+ 18%) et qui reste semblable de l’évolution régionale (+ 18,1%). On note que l’augmentation la plus forte concerne pour la catégorie 1, les demandeurs de moins de 25 ans (+1,7%). Cette variation est moins importante de 2 points par rapport à l’évolution constatée pour l’Ile-de-France (+2,7%) . La population féminine augmente nettement plus que la population masculine (+1,4 % pour les femmes contre - 1,1% pour les hommes). Les plus de 50 ans suivent une légère baisse 1,6 % en Seine-Saint-Denis contre - 3,1 % en Ile-de-France. Sources : PERSEE et ANPE 93 Taux d'évolution du chômage sur un an 9,0% 8,5% La courbe des taux d’évolution du chômage sur un an tend à diminuer au cours de l’année 2004. 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% En décembre 2004, le nombre des demandeurs d’emploi retrouve le même niveau que celui de décembre 2003. 4,0% 3,0% 2,0% 5,7% 4,8% 3,9% 3,7% 3,3% 2,8% 1,6% 2,0% 1,4% 1,0% 0,0% 0,5% 0,3% 0,0% déc- janv- févr- ma avr- mai- juin- juil- août- sept- oct- nov- déc03 04 04 rs-04 04 04 04 04 04 04 04 04 04 27 Source : DDTEFP L’EMPLOI : Le marché du travail (2) Les offres d’emplois enregistrées (OEE) En 2004, les OEE (43801) ont chuté de 1,4% en Seine-Saint-Denis. Les offres d’emploi de type A (emploi durable > 6 mois) ont également chuté de 4,3% . Leur part dans les offres d’emploi totales a baissé de 4,6% point, passant de 55,2% en décembre 2003 à 53,6% à fin décembre 2004. Pour les offres d’emploi de type B et C, qui correspondent à des emplois temporaires ou occasionnels, l’évolution, en 2004 est de + 2,25%. On passe de 20 327 contre 19 880 OEE à fin décembre 2003, soit une part 46,41% contre 45,76% à fin décembre 2003. Sur les 4 premiers mois de l’année 2005, on constate une augmentation de 8 % des OEE (19 639 / 18 163). Cette évolution positive concerne surtout les zones centre et ouest du département. Les secteurs d’activité des services (NAF 74) dont l’intérim, de l’hôtellerie et la restauration, du commerce de détail et de gros, de l’éducation, de l’activité récréative culturelle et sportive, de la construction, de la santé et action sociale, du transport sont les tout premiers secteurs qui recrutent. Tous secteurs d’activité confondus, c’est la tranche d’entreprises à effectif de 0 à 9 salariés qui est à la recherche de personnels, puis les entreprises de plus de 50 salariés, en troisième rang, arrivent les entreprises de 10 à 49 salariés. Parmi les métiers les plus recherchés citons : Agent de sécurité et surveillance, agent de stockage, agent de routage, employé polyvalent de restauration, secrétaire bureautique spécialisé, agent de manipulation et déplacement de charges, télévendeur, conducteur livreur, agent d’escale, nettoyeur de locaux, serveur en restauration, cuisinier… Les offres d’emplois enregistrées TYPE A TYPE B + C 3000 2628 2500 2354 2018 2000 1868 1871 1734 1677 1514 1500 1258 1000 2063 1894 1862 1720 1505 1820 1399 1267 2067 1844 1320 1280 1151 1041 2223 1910 2149 2065 1129 1081 919 812 753 500 av r-0 5 m ar s-0 5 fév r-0 5 jan v-0 5 dé c-0 4 no v-0 4 oc t-0 4 sep t-0 4 ao ût04 ju il-0 4 jui n-0 4 m ai04 av r-0 4 m ar s-0 4 fév r-0 4 jan v-0 4 0 28 Sources : PERSEE et ANPE 93 L’EMPLOI : Le marché du travail (2) La demande d’emplois en stock (catégorie 1) Les demandes d’emplois enregistrées 95000 94696 94500 La demande d’emplois de catégorie 1 enregistrée (162451) en 2004 est en augmentation de 2% à décembre. La progression de la demande d’emplois enregistrée est, à fin décembre 2004 pour le département de Seine-Saint-Denis supérieur de 1 point par rapport à la région Ile-de-France. 94253 94000 93500 92910 93000 92500 92000 dec-04 mars-04 mars-05 Sources : PERSEE et ANPE 93 Le nombre d'allocataires du RMI Evolution du nombre d'allocataires du RMI en Seine-Saint-Denis 45 48 2 47 05 7 50000 06 4 45 44 66 9 39 39 8 38 39 38 89 3 37 0 99 0 37 09 0 37 27 3 37 06 0 37 26 4 36 16 1 35000 36 78 2 36 37 03 2 40000 41 84 9 37 6 45000 dé c04 dé c03 m ar s04 ju in -0 4 se pt -04 se pt -03 ju in -0 3 dé c02 m ar s-0 3 30000 dé c00 m ar s01 ju in -0 1 se pt -0 1 dé c01 m ar s-0 2 ju in -0 2 se pt -02 Le nombre d'allocataires du RMI continue de progresser en Seine -SaintDenis. En décembre 2004, on en dénombrait 47 057 contre 45 064 trois mois plus tôt. Soit une augmentation de 4,4%. Par rapport à décembre 2003, on enregistre 5 681 personnes de plus dans le dispositif, soit une hausse de 14% en 12 mois. Sur la même période, on observe respectivement, au niveau régional et national, une augmentation d'environ 10 et 9%. Source : Caisse d’Allocations Familiales 29 L’EMPLOI : Le marché du travail (4) Taux de chômage A la fin de l’année 2004, le taux de chômage s’élevait en Seine-Saint-Denis à 14% au sens du BIT contre 10% pour l’ensemble régional et 10% en France. Ce taux reste de plus élevé de la région Ile de France, mais sur un an il s’améliore avec une diminution de 0.1 points. Le département se place au deuxième rang des baisses enregistrées dans la région derrière Paris (-0.3%) et au même niveau que les Hauts-de-Seine (-0.1%). A l’inverse, les taux de chômage des autres départements connaissent une dégradation à l’exception des Yvelines qui reste stable. Evolution des taux de chômage à fin décembre 2004 15,0% 14,0% 13,0% 12,0% 11,0% 10,0% 9,0% 8,0% 7,0% 6,0% 1er trim 2001 2ème trim 2001 3ème trim 2001 4ème trim 2001 1er trim 2002 2ème trim 2002 3ème trim 2002 France 4ème trim 2002 1er trim 2003 Ile de France 2ème trim 2003 3ème trim 2003 4ème trim 2003 1er trim 2004 2ème trim 2004 3ème trim 2004 4ème trim 2004 Seine Saint Denis TAUX DE CHOMAGE A FIN DECEMBRE 2003 16,0% 14,0% 12,0% 13,6% 11,5% 9,3% 10,0% 8,0% 7,7% 7,5% 7,5% SEINE ET MARNE YVELINES ESSONNE 9,1% 9,6% 9,7% 9,7% VAL D'OISE France ILE DE France 6,0% 4,0% 2,0% 0,0% PARIS HAUTS DE SEINE SEINE SAINT DENIS TAUX DE CHOMAGE VAL DE MARNE 30 Source : DDTEFP L’EMPLOI : Le marché de l’emploi (1) Evolution du nombre d’entreprises employant de la main d’œuvre de 1999 à 2003 Après avoir diminué en 2000, le nombre des établissements de la Seine-Saint-Denis retrouve en 2003 (30 386) un niveau légèrement supérieur à celui de 1999 (30 251). En 2003, 96,3% des établissements sont composés de moins de 50 salariés, chiffres stables depuis 5 ans. Evolution du nombre d'établissements en Seine-Saint-Denis sur 5 ans 30600 30400 30200 30000 29800 29781 29600 29400 29200 29447 29000 28800 1999 2000 2001 L’emploi salarié n’a cessé de croître depuis 1997, dans notre département, passant de 313 543 à 349 434 emplois. Le gain, sur cette période est de 35 891 emplois soit une hausse de 11.4%, ce qui correspond à une progression moyenne annuelle de 1.6% de l’emploi salarié en Seine Saint Denis. 352659 352477 350000 349434 345000 341751 340000 335000 330000 En terme de territoire, la création d’emploi, sur la période 1997-2003, s’est faite dans les pôles d’activités tertiaires tels que la Plaine St Denis, Roissy / Villepinte et Marne la Vallée. 2003 Evolution du nombre de salariés en Seine-Saint-Denis sur 5 ans 355000 Cette évolution traduit bien la tendance à la désindustrialisation de notre département et l’accélération de la tertiarisation des emplois. En effet le poids des emplois de l’industrie est passé en 7 ans de 20.6% à 15.8%. A contrario, le poids du tertiaire a cru nettement passant de 69.9% à 75%. 2002 Source : DDTEFP / Groupement des ASSEDICS de la Région Parisienne L’évolution sur 5 ans du nombre de salariés En terme de secteur, l’emploi a reculé dans l’industrie (-9 363) mais il a fortement progressé dans le tertiaire (+ 42 806). Le secteur du BTP a continué de créer des emplois (+2 523). 30386 30329 30251 332596 325000 320000 1999 2000 2001 2002 2003 Source : DDTEFP / Groupement des ASSEDICS de la Région Parisienne 31 L’EMPLOI : Le marché de l’emploi (2) Les Déclarations Uniques d’Embauches (DUE) par secteur d’activités, par sexe et par tranche d’âge (données 3ème trimestre 2004) Alors que le 1er semestre 2004 était marqué par une progression sensible, le nombre de DUE a tendance à stagner au 3ème trimestre, suite notamment à des reculs enregistrés dans l’industrie et dans les services aux particuliers. Hausse toujours marquée dans le secteur des services. Secteur d'activité Déclaration d’embauche 3ème trime 2004 7 051 Transports Evolution + 22,60 % SERVICES Activités financières 1 409 + 48,32 % Activités immobilières 1 283 + 27,03 % Services aux entreprises 69 382 + 11,13 % Services aux particuliers 25 166 - 3,83 % COMMERCE Commerce 13 319 + 6,54 % INDUSTRIE Industries agricoles et alimentaires 658 - 4,78 % 2 755 - 54,65 % Industrie automobile 342 - 17,99 % Industries des biens d'équipement 688 - 14,75 % Industries des biens intermédiaires 705 + 1,00 % Energie 195 - 25,86 % 4 596 + 11,63 % 4 + 33,33 % Education, santé, action sociale 5 314 + 20,55 % Administration 4 681 - 3,78 % 664 - 89,16 % 138 212 + 0,68 % Industries des biens de consommation CONSTRUCTION Construction AUTRES Agriculture, sylviculture, pêche Inconnue TOTAL Femme 33% 36,06% Homme 67% Commerce 10% 25,45% Industrie 17,41% 14,81% 4% 6,27% Construction 3% Autres - de 21 21 à 29 30 à 39 40 à 49 + de 50 ans ans ans ans ans ETT 39% Autres 75% HCR 6% Autres 30% 8% 32 Source : URSSAF de Paris – Région Parisienne ETT : Entreprises de travail temporaire HCR : Hôtels – Cafés - Restaurants NOTE METHODOLOGIQUE Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du 33 Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est l Trésorerie Générale 93 l Direction DONNEES SUR LA CONSTRUCTION NEUVE (SITADEL) • l’autorisation de construire, pour les permis ayant reçu un avis favorable de l’autorité compétente qui donne lieu à la série des permis autorisés, • la déclaration d’ouverture de chantier qui donne lieu à la série des permis commencés, • la déclaration d’achèvement de travaux dont les séries ne sont pas publiées par manque de fiabilité des données. Les données publiées disponibles sont en date de prise en compte et en dates réelles, qui ne sont disponibles et stabilisées qu’après un délai important nécessaire à la collecte de l’information. DONNEES SUR LA COMMERCIALISATION DE LOGEMENTS NEUFS (ECLN) L’enquête sur la commercialisation des logements neufs (ECLN) est exhaustive et son objectif est l’observation conjoncturelle du marché de la promotion privée immobilière de logements neufs. • Le champ de l’enquête : l’enquête utilise comme base de sondage l’ensemble des permis ayant au moins 5 logements neufs, dont au moins 1 est destiné à la vente sur le marché de la promotion immobilière. • Les mises en vente : on appelle « mises en ventes » les logements nouvellement offerts à la commercialisation par les promoteurs au cours de l’année enquêtée. • Les ventes ou réservations : l’enquête recense les réservations, avec dépôt d’arrhes effectuées sur chaque programme. Dans la présentation des résultats, on parle indifféremment de ventes ou de réservations. NOMBRE D’ENTREPRISES ARTISANALES PAR SECTEUR D’ACTIVITE Les chiffres communiqués sont issus des mouvements enregistrés au répertoire des métiers. La répartition a été faite par code d’activités selon la nomenclature d’activités (NAFA), en fonction de l’ancienne répartition en sept catégories qui à l’avantage d’offrir une meilleure ventilation des activités. Selon le dernier traitement, les chiffres s’analysent comme suit : Il s’agit de l’état du fichier depuis sa création, arrêté à une date anniversaire (31 décembre 2001, 31 décembre 2002, 31 décembre 2003, 31 décembre 2004 et 31 mars 2005). ETAT DES CARNETS DE COMMANDES ET DU NIVEAU DES STOCKS PAR RAPPORT AU NIVEAU JUGE NORMAL Ces données sont issues des enquêtes de conjoncture réalisées mensuellement par les succursales de la Banque de France de Saint-Denis et de Pantin, auprès d’un échantillon représentatif de 48 entreprises industrielles de Seine-Saint-Denis. Elles concernent uniquement les entreprises du secteur industriel, à savoir les fabricants de biens intermédiaires, de biens de consommation, de biens d’équipement et l’industrie agro- alimentaire. En sont exclues les entreprises du BTP. Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Gé néral de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l 34 ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE (TVA) Ø Chiffre d’affaires : les données relatives au chiffre d’affaires sont celles que les entreprises portent sur les différentes déclarations fiscales qu’elles sont tenues de déposer. Ø TVA brute globale : il s’agit des montants de TVA résultant de l’application des différents taux légaux de TVA applicables en France (principalement 19,6 % et 5,5 %). Ø TVA déductible sur immobilisations : l’exercice du droit à déduction s’opère, notamment, sur des biens constituant des immobilisations pour l’entreprise, c’est-à-dire, en termes généraux, des investissements. Ø TVA nette due : les données sur la TVA nette due (mais pas forcément payée) sont celles figurant sur les déclarations de TVA. C’est la différence entre la TVA brute et la TVA déductible (TVA sur immobilisation mais aussi sur les biens ne constituant pas des immobilisations). IMMATRICULATIONS AU REGISTRE DU COMMERCE ET DES SOCIETES (RCS) Les immatriculations ont été subdivisées dans les 4 catégories connues actuellement : Ø Personnes physiques : lettre A dans le numéro RCS Ø Personnes morales : lettre B dans le numéro RCS Ø Groupe Intérêts Economique : lettre C dans le numéro RCS Ø Sociétés civiles : lettre D dans le numéro RCS Sur la dernière ligne du tableau apparaît le chiffre concernant les dépôts des Comptes Annuels déposés au greffe. EVOLUTION DE LA CONJONCTURE DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS Ces données sont issues des enquêtes de conjoncture mensuelles de la Banque de France de SeineSaint-Denis, réalisées auprès de sociétés de transport routier du département réalisant un CA annuel supérieur à 750 000 euros. IMAGE DE LA SEINE-SAINT-DENIS L’analyse provient de l’exploitation d’une partie des données de l’enquête de conjoncture, enquête d’opinion réalisée tous les semestres par Médiamétrie pour le compte de la CCIP 93. Les entretiens sous revue ont été conduits par téléphone auprès d’un échantillon de 1 100 dirigeants d’entreprises de moins de 500 salariés du département. INDICATIONS DE LECTURE CVS : corrigées des variations saisonnières DB : données brutes Glissement annuel en %: taux de croissance du mois (ou trimestre) de l’année par rapport au mois (ou trimestre) de l’année précédente) Taux de chômage au sens du BIT (Bureau International du Travail) : données corrigées des variations saisonnières SHON : Surface hors œuvre nette CAF/FAB : Pour le commerce extérieur de la France, la valeur des échanges est prise en compte au passage de la frontière. Cette comptabilisation est dite CAF/FAB : Pour les importations Coût, Assurance et Frais compris jusqu’à notre frontière nationale, pour les exportations, Franco A Bord à notre frontière. 35 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est CONTACTS 36 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est SECRETARIAT CLUB 93 CONJONCTURE Catherine BRAULT Préfecture de la Seine-Saint-Denis Tél : 01.41.60.66.20 / Fax : 01.41.60.66.81 [email protected] Données Correspondants à contacter LES MENAGES Crédits à la consommation des ménages, encours et dépôts Anne FLOIRAS Banque de France Tél : 01.48.13.35.46 [email protected] Immatriculations de véhicules particulie rs Catherine BRAULT Préfecture de la Seine-Saint-Denis Tél : 01.41.60.66.20 / Fax : 01.41.60.66.81 [email protected] Crédit à l’habitat Anne FLOIRAS Banque de France Tél : 01.48.13.35.46 [email protected] Le marché des logements collectifs neufs et leur Direction Départementale de l’Equipement 93 prix au m² Patrick JULES Tél : 01.41.60.67.24 / [email protected] Le volume de la construction des logements Chantal NIASSOU neufs Tél : 01.41.60.67.27 / [email protected] LA VIE DE L’ENTREPRISE Mouvements des entreprises Mouvements de l’Artisanat Analyse des rapports entre l’évolution des carnets de commandes et les stocks Pierre DANGU Tribunal de Commerce de Bobigny Tél : 01.48.95.15.39 / Télécopie : 01.40.30.22.91 Eric FROEHLICHER Chambre de Métiers 93 [email protected] Julien PARROD Banque de France [email protected] 37 Le commerce extérieur LA VIE DE L’ENTREPRISE (suite) La taxe sur la valeur ajoutée La construction des locaux d’activités Immatriculations de véhicules utilitaires Crédits aux entreprises LES SERVICES Hôtellerie Transports Patricia JACQUES Direction Régionale des Douanes de Paris-Est Tél : 01.64.62.75.27 / [email protected] Direction des services fiscaux 93 Jean-Pierre ROUXEL Tél :01.48.96.53.00 / [email protected] Direction Départementale de l’Equipement 93 Patrick JULES Tél : 01.41.60.67.24 / [email protected] Chantal NIASSOU Tél : 01.41.60.67.27 / [email protected] Catherine BRAULT Préfecture de la Seine-Saint-Denis Tél : 01.41.60.66.20 / Fax : 01.41.60.66.81 [email protected] Direction Départementale de l’Equipement 93 Patrick JULES Tél : 01.41.60.67.24 / [email protected] Chantal NIASSOU Tél : 01.41.60.67.27 / [email protected] Dominique WIIK Comité Départemental du Tourisme 93 Tél : 01.49.15.98.98 / [email protected] Julien PARROD Banque de France [email protected] INDICATEURS D’ATTRACTIVITE, D’IMAGE Nombre de visiteurs au Stade de France Dominique WIIK Comité Départemental du Tourisme 93 Tél : 01.49.15.98.98 / [email protected] Nombre de visiteurs au Musée de l’Air et de l’Espace Nombre de visiteurs à la Basilique de SaintDenis Transferts des sièges sociaux Anne FLOIRAS Banque de France Tél : 01.48.13.35.46 [email protected] Alice BENICHOU Image de la Seine-Saint-Denis (selon les CCIP 93 entreprises implantées sur le département) Tél : 01.48.95.10.79 Fax : 01.48.95.11.58 [email protected] L’EMPLOI Les demandes d’emplois en fin de mois Jean-Claude CARROT ANPE Tél : 01.41.60.85.87/ [email protected] 38 Le taux d’évolution du chômage sur un an Les offres d’emplois enregistrés en fin de mois Les demandes d’emplois enregistrées L’EMPLOI (suite) Les taux de chômage Le nombre de RMIstes L’évolution sur 5 ans du nombre d’entreprises employant de la main d’œuvre L’évolution sur 5 ans du nombre de salariés Les déclarations uniques d’embauches Jean Roger CHAPLAIN Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle 93 Tél : 01.41.60.54.91 / [email protected] Jean-Claude CARROT ANPE Tél : 01.41.60.85.87/ [email protected] Jean Roger CHAPLAIN Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle 93 Tél : 01.41.60.54.91 / [email protected] Virgile ADJAHI Conseil Général 93 Tél : 01.43.93.86.18 [email protected] Jean Roger CHAPLAIN Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle 93 Tél : 01.41.60.54.91 / [email protected] Sylvie HENRY URSSAF de Paris – Région Parisienne Tél : 01.56.93.24.00 / [email protected] 39 Préfecture de la Seine-Saint-Denis l Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Seine-Saint-Denis l Conseil Général de Seine-Saint-Denis l Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Seine-Saint-Denis l Tribunal de Commerce l Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle l URSSAF de Paris - Région Parisienne l ASSEDIC de l’Est Francilien l ANPE 93l Direction départementale d’Equipement 93 l Comité Départemental du Tourisme l Banque de France de Pantin l Banque de France de Saint-Denis l Trésorerie Générale 93 l Direction départementale des Services Fiscaux l Direction régionale des Douanes de Paris -Est 40