i exclusif! - Amigaland.com

Transcription

i exclusif! - Amigaland.com
A
L
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A
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J i
I EXCLUSIF!
LA NOUVELLE
■CONSOLE
AMIGA CD33
REPORTAGE
H u g o , d é lir e
s u r A m ig a
TESTS
2 IN
A M IQ U E S T
AD PRO
ABE
QSS
379248303000700580
pTjTj^Tji
E X E
1 1 ^ P7ïTT?71
«• ■11l14
S i l'A m ig a 1 2 0 0 a v a it
G VP A 1230 Turbo
^
"
^ ^ 2
?£
G VP A 1208
Une carte multi-fonctions dont chacune
! d’elles est un modèle dans sa catégorie.
!
E— 4-
1Mo de Ram :
2190 FrsTTC
4 Mo de Ram :
3390 Frs TTC
. G V P sont
Belgique i
interne pour un disque dur 2” 1/2 et d’un
fj
externe (en option) pour disques amovibles,
[| T—4
streamers... Enfin, un support pour un cou
% .3
processeur 68882 qui se distingue par sa
™
cadence portée à 40 Mhz. Dernier avantage,
son prix ne tient pas compte de sa supériorité.
CIS Europarc
14, Av. HERTZ
33600 PE S S A C - (F)
Tel : +56 363 441
Fax : +56 362 846
| 0
6 7 8
1
mkCineMorph
a
Une extension mémoire 32 bits de 0 à 8 Mo,
plus rapide par ses Ram à 60 ns et plus évolutive
grâce à deux supports de Ram . Un contrôleur
S C S I II dont les performances dépassent la
génération précédente, doté d’un connecteur
1690 FrsTTC
Deluxe Pain-
.
O
i
CineMorph
W orkBench
Comparatif de
. vitesse de
& copie d'une
V disquette
Il Workbench
WorkBench
Il 3.0 sur disqi
/ / dur.
O
A
HGVP
S
O M M A I R E
NEWS
•I p p S P ’
A M IG A C D 32
La nouvelle console
REVUE DE PRESSE
------------P .5
DOSSIER
P .2 7
Le m ultim édia quest-ce
que c'est?
P .9
P .1 6
REORTAGE
P .l 8
Hugo d é lire sur A m iga
GALERE DU M O IS
P .2 2
JEUX
P .3 0
New s, tests, solutions...
EDUCATIFS
P .4 2
DO M AINE PUBLIC
P .4 4
DEMOS
P .4 8
CONCOURS
P.57
AGA DEMOS Prolongations
IMAGE 2 D
VIDEO
PROGRAMM ATION P .6 8
P .5 7
M
tt
P .6 5
RU
01
Amos, W atson, Shell
SON
P .8 2
Résultats du concours
Soundtracker
AM O S COMPILER
P .6 8
T E S T S
2 IN
DKB 1 2 0 2
ABE
AD PRO
P .8 2
P .8 5
P .8 6
P .8 8
REQUESTER
P .7 8
Scanner
DSS
M e m o ry m aster
AMIQUEST
P .9 0
P .9 2
P .9 3
P .9 4
PETITES ANNONCES P .9 6
A m iga R e vu e est une pub licatio n de C o m m o d o re R e vu e SA R L
P R O C H A IN
13, R U E S A IN T E - C ÉC IL E , 75009 P A R IS.
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R ED A C T IO N : i l l 42.46.92.90.
R ÉD A C T IO N : Véronique P e u
D 'A M IG A
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la p ubU olion
1> 47.70.08.21
Iw r v Y v » P . * » .P U B L IC IT É i l 42.47 12.16
SEC RETA RIAT G EN E R A L : Valérte .Amhroso
R ED A C T EU R EN C H E F : V r p lu iie S c N a b e r
SECRETAIRE DE
O N T C O LL A B O R E A C E N U M E R O : Philippe A g n m la
Vtickv
CHabane OKvfer Uuval. Philippe rie France. Frjrx.oi> Fleuret G hislaine Geneslav. Frédéric Pierton.
Thierry Tesseire
Rachid uuadan. Tonlon Antoinc.O.hrlslian Roux
A BO N N EM EN T S VPC : M CM
AlibrtviHe i l ) 4 3 78 92 H). C O M P O G R A V U R E : IcOraPicta. 7S010 Paris. IM PR E S S IO N : G roup e J.L.
REVUE
H K IR O N t C ARTS
EBI
FRANCE MICRO
Hammourhr
IFA
D IFFUSIO N 1 : N M P P Déprir légal 2c trimestre 1990. Cornnii»ion paritaire en coure. A rriva est une
marque déposée par C B M . AmiKd Revue est une publication totalement indépendante de Commodore
France. Il est formellement interdit de recopier ou de traduire m àme pariiellement nos textes et
LE 4 OCTOBRE
U ST E D E S A N N O N C E U R S
AMtt
p.24
CCM
012
CIS
2e et 4e de ccxi\
p.4
( <M nK MXTRE VPC
C o D A irtomwliqiM'
p.47
docu m en t *m 9 notre autorisation L envoi de textes photos ou documents implique ( acceptation par
leur auteur de leur libre publication d a m le journal Le» documents ne seront pas retourné» I ouïes les
marques citées «ont dépotée» p a ' leurs propriétaires respectifs
LAUNAV
,VLid
l-HASE
u b is o t t
VK
PP4I
p23
PS
B.I-5
P.56
p.14
p.8
p.TI
0.21
p.62 (4 M
p.7i
p. 98 4199
C~ Commodore
C o m m o d o re,
à
l'occasion de la victo ire du T ro p h ée Jules V erne
avec C o m m o d o re Explorer,
lance sa collection personnalisée
CO U PE-VEN T
349 F
pratique et confortable
bleu marine, en polyamide,
üoub é coton bleu ciel avec capuche
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(185 gr/rrv)
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bords côteés en maille serrée
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américain de marque Hanes
gns clair en tissu 100% coton (155 gr/m
taille ample, traité pre-rétréci
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SiSP.
BLOUSON
coupe sportive
bleu marine en toile
(65% polyester, 35% coton)
doublure écossaise
Réf. taille X L : Blou - E X P -XL
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de collection, série limitée
Réf. : PIN S Explorer
SW EAT-SHIRT
Commodore
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gris clair de marque Hanes
confort imbattable,manches montées
et coupe ample en tissu molletonné
(50% coton, 50% polyester)
Réf. taille L : Sw e a t - E X P - L
Réf. taille XL : Sw eat - E X P - XL
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| N O M ..................................................PRENOM..................................................ADRESSE.........................................................................................................
. .......................................................... CODE POSTAL......................................... VILLE...............................................................................................................
| le c o m m a n d e le s a r t i c l e s c i- d e s s o u s
FR A IS D'ENVOI + 30 F DOM TOM ET ETRANGER+ 20 F
A
REF
‘ R T IC L E
"
Q U A N T IT E
P R IX U N IT A IRE
P R IX TOTAL
CI-JOINT, MON REG LEM N T PAR CHEQUE (MANDAT
INTERNATIONAL OBLIGATOIRE PO UR ETRANGER
1
C U D A C 'E S T Q U O I
CADEAU
C U D A INFO RM ATIQ UE vient d'acquérir l'exclusivité des droits
BONUX
de distribution pour la ligne des produits Power Computing Ltd.
d'amiga. A part la vente de produits familiers tels que des lec­
teurs, des disques durs, des extensions de mémoires et des scan­
CIS annonce que tous ses
ners à main, nous espérons voir des produits innovant comme le j
disques durs
dernier lecteur à haute densité ayant une capacité de 176Mo [
par disquette. Ouvrez l'oeil sur les nouveaux produits qui arri­
livrés formatés et
un multikickstart qui peut choisir entre les Roms 1.3, 2.0, et 3.0.
(Workbench
L ' A M I G A ET LES
agrée, capable d'offrir un service correspondant à ce titre.
A RTISTES RM IS T E S
C U D A INFORM ATIQUE, 9 rue Saulnier 75009 PARIS.
Ln France, il y a plus de 5000
des oeuvres et qui touchent le
RM I. Dans chaque département,
ils sont plusieurs centaines.
Partant de ce constat, le Conseil
Général
de
la
l'Association
Drôme
et
Départementale
d'insertion on décidé d'ouvrir
des salles à ces artistes inconnus.
Depuis trois mois, une exposi­
tion
itinérante
dans
tout
le
département de la Drôme a donc
démarche,
avec en
les
logiciels
lation de GVP) et QuarterBack 5.0 (utilitaire de sauve­
TECHSOFT D É M É N A G E
garde
de
Central
Coast
Les sociétés Tecsoft (18, rue du Pont des Morts) et Tecsoft Images
(19, rue Dupont des Loges) s'installeront le 1 septembre 1993 j
dans un même immeuble, angle avenue de Lattre de Tassigny
(N°8) et rue Rabelais (N°27), à Metz.
Adresse Postale : 8, avenue de Lattre de Tassigny 57000 METZ.
Changement de numéros de téléphone à dater de cette installa­
tion :
Software) version française.
Tel : 87,69.1 9.50.
Fax : 87.69.19.49.
ment
Le disque dur 40 Mo est affi­
ché à 1 490 F prix public, le
60 Mo, 2 290 F, et le 80 Mo,
2890 F. C'est certes légère­
plus
cher
que
la
présence de cet outil indis­
les organisateurs et
les artistes, il a été fait appel à un
film vidéographique.
STAGE D'IN FO GRAPHIE ET DE PAO
Celui ci réalisé par le magasin
LES FILMS D U GENIEVRE proposent un stage du 26 au 30
janal Informatique de Valence a
octobre à Cahors dans le Lot, avec quatre options au choix :
été entièrement conçu sur station
Application vidéo, titrage, habillage de films Images et anima­
Amiga 3000. Le logiciel Scala
Multimédia et le D CTV ont été le
tion 3D Multimédia, bornes interactives
pensable qu'est QuarterBack
5.0 1490 F prix public) suffit à
relativiser les choses.
CIS, Europarc,
14, Avenue
PAO, mise en page Et la participation de quatre formateurs, de
Hertz, 33600 Pessac.
réaliser un clip très dynamique
tous les Amiga, de compatibles PC, des derniers logiciels et
Tel : (16) 56.36.34.41.
présente à la presse et aux parte­
interfaces.
naires locaux le f> juillet dernier
Renseignements et inscriptions :
"couple d'emer" qui a permi de
au
Club
Méditcrannée
de
Dieulefit.
En
matière
la
concurrence, mais la seule
été organisée.
Pour présenter l'exposition,
cadeau
3.0),
installés
FaaastPrep (utilitaire d'instal­
____________
artistes qui n'ont jamais eu la
pour
Amiga 1200 sont désormais
vent, un lecteur interne à haute densité pour l'Amiga 1200, et |
C U D A INFO RM ATIQ UE est aussi un distributeur Commodore •
chance de vendre des toiles ou
AT-IDE
d'insertion
sociale,
I
LES FILMS D U GENIEVRE, Belcastel 46200 Souillât
tel : 65 37 00 71
■r
.. - y
l’Amiga a aussi une large avance !!
LES D IN O S A U R E S E N C D
A .B .E .
3 .0 3 2 .A
La société Optonica, spécialisée dans l'édition de CD-ROMs
pour le CD TV et l'A570, annonce la disponibilité du dernier né
de sa collection, j'ai nommé Insight.Dinosaurs.
Alors que nous testons dans
Profitant sans doute du phénomàre lurassic Park, Optonica a
ce màme numéro la version
collaboré de pras avec le British Natural History Muséum, dont
les experts en la matiâre sont mondialement réputés. Il s'agit
3.0
Editor,
d'ArtioDactyl
son
auteur,
Block
Pierre
Philippe Launay nous com­
donc d'une véritable base de donnée sur ces charmantes petites ,
bestioles.
munique
Optonica Ltd., 1 The Terrace, High Street, Lutterworth, Leics,
que
la
version
3.032.A vient de sortir !
Angleterre. Tel : (0) 455 558282.
1er service de vente
J
S de matériel informatique
t
f sur Minitel entre particuliers |
3 6 15FRANCE MICRO
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CONSOLES-PERiPHÊRIQLSS-LOCECIElS-EMPLOlS
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O H , TOULOUSE.
OH,
Si vous passez du côté de Toulouse entre le 19 et le 23 octobre,
ne manquez pas le SITEF 93, le Marché International des
Technologies Avancées, qui aura lieu au Parc des Expositions de
la Ville de Toulouse.
Pour plus d'informations sur ce salon, écrivez la Chambre de
Commerce et d'industrie de Toulouse, B.P. 606, 2, rue d'AlsaceLorraine, 31002 Toulouse CEDEX, ou téléphonez au
(16) 61.33.66.E
M O N T R E U IL ...
Par contre, si vous êtes du
côté
de
Montreuil
18h00
Industries
L'allemand B.S.C. annonce la sortie d'une nouvelle carte pour
l'Amiga 4000. )e vous vois déjà venir, mais non : ce n'est pas
une carte 24 bits... Baptisée ScanDoubler 4000, cette carte
convertit tous les signaux vidéo 15 kHz de l'Amiga en signaux
VGA. L'intérêt est évident : cette carte permet d'utiliser un moni­
teur V G A "monosynchrone" de 31 kHz, bien moins cher qu'un
moniteur multisynchrone classique, et ce pour toutes les résolu­
tions de l'Amiga. De tels moniteurs VGA sont extrâmement
répandus, avec des écrans de plusieurs tailles : 15", 17", ou
encore 20". D'aprâs BSC, màme les jeux qui "bootent" sur dis­
quette pourront àtre utilisés avec un moniteur VGA.
OFFRE
D 'E M P L O I
La société Génération 5, édi­
teur de logiciels éducatifs,
recrute "une personne avec
de bonnes compétences en
musique sur informatique et
une expérience en program­
mation
pour un
emploi
stable."
Si ce profil vous correspond,
appelez sans plus tarder le
(16)
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20
octobre, rendez-vous à partir
de
DOUBLER
le
au
de
Forum
des
l'Image,
une
rencontre entre les industriels
de l'image, organisé par le
Service
de
développement
économique de la ville de
Montreuil
à
l'espace
luste
Ciel, Terrasse Mozinor.
Tous les renseignements que
vous désirez sont disponibles
au (1)48.70.66.48.
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Deutschland. Tel : 089/357130-0.
_
L ' A M I G A E S C L A V E DE
L 'A M S T R A D CPC !
r
P R A X IT E L
La demande était forte en I
matiàre de logiciel d'émula­
tion Minitel sur Amiga...
A VOTRE
S E R V IC E
La société Innovative Sound,
qui c o n tra ire m e n t aux
Tellement forte que la société
Someware
a craqué : elle
,
édité désormais Praxitel, à la
apparence est française,
fois émulateur Minitel et ter­
minal.
logiciels à la demande. Par
Praxitel
supporte
le
mas­
quage et le démasquage, le
mode mixte 80 colonnes, le
Minitel 2, le DRCS (jeux de
n’importe
j
caractàres redéfinissables du I
Minitel 2), est compatible
ANSI
(pratique pour se
connecter aux BBS),
et
reconnaît les protocoles de j
transferts externes (les XPR), i
fort
répandus
dans
le
domaine public.
Un test vous sera évidem­
ment présenté trâs rapide­
ment dans Amiga Revue.
Someware,
1, rue
Léo
Lagrange, 59212 Wignehies.
Tel : (16) 27.57.41.05
se
propose de développer vos
quels
logiciels,
puisqu'lnnovative Sound est
spécialisée dans la musique
(MIDI ou son interne).
Rappelons que cette société ‘
nous avait déjà concocté plu­
sieurs logiciels bibliothécaires
Am2am est une carte de communication entre l'Amiga et...
l'Amstrad CPC ! Elle s'entiche sur le port d'extension du CPC et
est reliée à la prise parallèle de l'Amiga, du 500 au 4000 en pas­
sant par les 1000 et 1200 pourvus d'un Kickstart 2.0 ou supé­
rieur).
Elle permet d'abord d'échanger des données entre l'Amiga et le
CPC (pour les textes, les caractères accentués sont automatique­
ment convertis et pour les images, le format IFF est automatique­
ment converti au format de l'écran du CPC). Mais une seconde
utilisation possible consiste à utiliser le disque dur de l'Amiga
comme mémoire de masse pour le CPC, Des commandes RSX
(extensions au Basic de l'Amstrad, NDLR) sont spécialement pré­
vues.
Le logiciel est programmé en assembleur sur CPC et en C sur
Amiga, et l'ensemble s'acquiert pour à peu prâs 200 F. Pour plus
d'informations, vous pouvez joindre son auteur : Cyrille judas,
Saint Cyprien Lachassagne, 69480 ANSE. Tel : (16) 74.60.29.70.
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courants, ainsi que Sample
Link, un éditeur professionnel
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et
Virtual-
'
BO UG ES... BO UG ES... BOUGES DE LÀ
Synth, que j'aurais bien du
mal à définir simplement !
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Un nouveau modèle d'Amiga génère toujours de nouveaux périphé­
riques.
LE J O U R N A L
OVER
D E S R .T .C .
SCAN 3 . 0
Nous avons également reçu
Cela vaut bien entendu pour le 1200. Nous vous avons déjà présenté
le
des extensions mémoires, et des cartes accélératrices.
journal des R.T.C. sur Amiga,
Là nous allons faire rapidement (car nous en ferons un test plus com­
édité
plet le mois prochain) le tour de la nouvelle petite bête d'Expansion
Systems. Ce constructeur est bien connu des utilisateurs d’ASOO pour
deuxième
par
numéro
du
l'association
Interceptor. Quatre pages au
La rédaction du
fanzine Overscan
nous a fait parvenir
son troisième
format A3 (tabloïde) donnent
numéro.
DataFlyer SCSI et IDE.
toutes les dernières informa­
Ce sont 32 pages
Les gens d'Expansion Systems proposent des produits simples d'accès
tions sur le petit monde très
d'articles divers et
mais efficaces qui permettent d'améliorer l'utilisation quotidienne de
actif des serveurs en Réseau
variés, contenus
ses cartes d'extension de mémoire BaseBoard et ses cartes contrôleur
nos Amiga.
Expansion Systems vient donc de mettre sur le marché DataFlyer XDS
pour Amiga 1200 et 600.
Téléphonique Commuté.
Vous pouvez commander le
Le DataFlyer XDS est un boîtier externe qui permet de connecter des
Journal des R.T.C. auprès de
disques durs IDE et SCSI. Il eçoit un ou deux disques durs.
Interceptor, 13, Avenue jean
C'est déjà une première chose intéressante : les durs 3.5" sont deve­
nus beaucoup moins chers ces derniers temps ce qui autorise
l'emploi de capacités supérieures de mémoire de masse pour un prix
moins élevé que les durs 2.5" dès que l'on passe à une plus belle
pointure...
laurès, 73000 Chambery, ou
dans une maquette
efficace.
Le numéro coûte
18 francs.
bien vous connecter sur le
Overscan, 55,
(16) 79.62.96.48 pour décou­
Avenue Jean
vrir le R.T.C. Interceptor.
Mermoz, 93120
Une autre est que l'on tire parti du contrôleur interne IDE de
Courneuve.
l'A ï200, ce qui laisse libre le connecteur interne pour recevoir
d'autres produits d'extension (mémoire, carte accélératrice). Il est
possible d'utiliser le disque 3.5" seul ou avec le disque dur interne.
La connectique a été bien pensée. Le boîtier XDS est relié à l'amiga
via un câble plat (câble d'alimentation et de données). Ce câble se
TOUT...
connecte simplement au connecteur IDE interne de l'A ï200 et au
T O U T .®
connecteur d'alimentation du lecteur de disquette si l'on veut ali­
TOUT ! l i
menter le disque dur 3.5" par le 1200. Ce câble peut aller directe­
Européenne do Distribution Inlonnalique
ment sur le châssis ou se connecter aussi au disque dur interne. Il est
VOUS SAUREZ TOUT SUR E.O.I.
aussi possible d'alimenter directement le disque dur en le connectant
à la prise DIN 5 broches située à l'arrière du boîtier.
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L'installation est simple, bien documentée. Pas besoin de soudure ou
de découpe des coques plastiques du 1200.
Le DataFlyer XDS est livré avec le nouveau logiciel de formatage
"Enhanced Auto-lnstall". Ce tout nouveau programme propose pour
chaque fonction des fenêtres d'aide ainsi que le choix entre une ins­
tallation "Automatique" ou une installation "Avancée". Les débutants
pourront sans difficulté utiliser la formule Automatique alors que les i .•». a .
».
utilisateurs plus avancés peuvent customiser leur disque dur. Les
disques durs IDE ou SCSI s'installent avec ce même logiciel. Dans
l'immédiat le DataFlyer XDS est disponible en version IDE 3.5" au
prix de 650 Francs.
Les versions SCSI équipées de leur propre carte contrôleur SCSI sont
prévues pour arriver rapidement. Le XDS est compatible SYQUEST.
DataFlyer XDS est importé par E.D.I. tél (1) 45 89 32 00. Vous pou­
vez aussi leur rendre visite à toute heure du jour et de la nuit sur leur
serveur Minitel au (1) 45 89 25 45.
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K IN G S O F A D V E N T U R E
292
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C O M P IL D E S R E C O R D S
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D R E A M T E A M .............................225
W W F -S»mpscns - Term nato r 2
M E G A M IX ................................... 292
Agcny * Leander +OrK
FAN T AST IC W O R L D ................. 359
Mega'omama - Populuat Realms
+ P raies - Woncerland
VROOM + G R E A T C O U R T S 2 ... 229
PREN IU M ................................... 299
S P O R T B E S T 2 ...........................299
Tenn-scup2 . C'3?ycars2-t-Kickoff 2
PO D IU M ...................................... 299
Disk - Paraglid ng * Panza+ GP500 II
S U P E R F IG H T E R ........................252
Final l-ghl *■W W F + Pitfighter
FUN RADIO 3 ..............................369
Baille of BntB.n+ Monkey istand 2
lndianajones3- Batue 19a?
S T R A T E G Y M A S T E R S ...............329
Populua - Oeuieros - Hunier
Spi'i- a* excaltbur - Chess player
CO M BA T C L A S S IC S .................. 292
F 15slnke eagle 2* 688 Aitack sub+
Team yankse
FUN RADIO 2 ..............................309
Gréa! court 2 - Toumamem goll *
Speedball2 * G P 500 cc2 + K'Ckoff 2
PL A N E T E A V EN T U R E 2 ............ 349
Monkey l»lnnd I -Populu* 1 -Loom .
Explora 3
C L A S S IC S C O LLEC TIO N ..........259
Gr»m>lns?. B/i'bflr a n ? * C oIobsus
C notm- Worldchampionsoccer
L.C. W A lK IK l..._.................
342
»r#h n o ’i*>- B œ » Brothers. A-type 2 *
F>ght*«Bo-rDè’
N R J 4 ............................
299
S*.êP - Be'b »’ i - ? . P< nceofpe'sta
.T «am *u ïu k.. Tenn»c*Jp
SIM ULATION S B E S T ............. -.329
Pan ja • D * * . *OS
SIM ULATION TOP ........
295
PanzaK -Pr>nc«daP*'»#.Targnan
L E S M A IT RES D E L A V EN T U R E 349
Ma -t»!i «>and •Ope-et-on areaip' Voyageur» du -amp»
N R J 3 .............................-...........299
F i6 - Oou0 «0ra9Oc2-l1•5y9C•
.WeMfl* •Tu'booulrwn
AIR CO M BAT A C E S ___________ 329
Fa>con - Gun*h p • Bombe’
IO M E G A HITS 3 .........
349
Stunt c a ' ♦la * : o i»i* 2 • 3 S-eoçes
-Foot m anï .Hign,.ay7 *Tetrs
-De»#’ dar - Tny.*. ? . Hanx. apb
A IR S E A S U P R E M A C Y ------- 289
S* an! **r-.c* •Guns-'.o
Thune
•Carner to»Twn»nd.F 15S'rxeEag e
10 G R E A T S G A M E S ------339
Farran F i -Rckoanga’OuS •Satan
•P'C n p «a «Nigh: nunrer -Supe's*
•Carna'commano -Cn gagogc
•Pro iam t t û ji. Xenon2
C A PCO M C O LL EC T IO N
...... 269
Sinoe- i&?-U-seuad'o-*Dina9ty
•oryotto” »o'‘d *Ghoii's n gr-cs:s
•Laoskxm .Cual
nous
uvaoH S
3D CO NSTRUC TION KIT 2 .... 492
A-TRAIN ................................... 292
A 320 Nortb Atlantic Edition .......352
AIR B U C K S 2 ...........................
299
A IR B U C K S 2 (Amiga 1200)......329
R O O K IE S ...............................
AIR F O R C E CO M M AND ER ...
362
S A B R E T E A M ........................
A M BRESTAR
.......................
292
S E N S 'B L E S O C C E R 93 .....
..........342
ANCIEN ART O F W A R
S H O R T G R EY ..........................
ANCIEN ART o l W A R In S K IE S 329
S L E E P W A LK ER
................
A P O C A L Y P S E ........................... 252
S P E C A L FO R C ES
ARM OUR-GUEDDON 2 ..............272
S T R E ET FIG H T ER 2 ................
A S H E S OF E M P I R E .................... 342
ATAC ......................................... 342
S T R IP P O K E R G I R L ...........
817 FLYIN G F O R T R E S S
. 342
S U P E R GAULDRON
B A T T L E IS L E 93 ........................329
S U P E R FROC»
................
B ATTLE I S L E ..............................329
S U P E R S P O R T C H A LLEN G E .
8ATTLE IS L E OATA D ISK
......192
S Y N D IC A T E ............................
BAT TLET O AD S ........................262 T H E ADDAM S FAM ILY 2 ........
B E S T O F T H F B E S T ................ 259
7 RAN SARTICA
............
B ILLA RD A M ER IC A IN ............... 292
U N IV E R S A iS M O N ST ER S
..
B LA D E OF D EST IN Y ............... 299 UTOPIA 2 ................................
B L U E AND T H E G R E Y ...............299
VROOM M U L T IP L A Y E R .........
BOD Y B L O W S
...................... 242 VROOM DATA D ISK .............
B U C K R O D G E R 'S 2 ............... 305
W A R IN T H E G U L F ..............
C A E S A R .................................. 3 1 5
W A X W O R K S .........................
C A M P A IG N .............................. 342
W E E N P R O P H E C V .................
CAMPAIC»N M IS S IO N
180
342 W IN G CO M M A ND ER!I MEG>
CIV JLIZATIO N ........................
W IZ K IO ....................................
C E LT IC L EQ E N D S
..................292
W O R lO S O F L EG EN D S .....
...................252
C H A O S E N G IN E
C H U C K ROCK 2
252
W .W F 2 .................................
CO H O R T II
............................ 292
ZO O l
CO M BAT A IR PATRO I. ............ 292
C O O L W O RLD .......................... 242
C R A Z Y C A R S 3 ....................... 252
ADI
C U R S E O F ENCHANTiA ............ 342
C R U S A D E R O F DARK SAVANT 392 ADl FRANÇAIS C E 1 .......... ........
..............
D D A Y ......................................... 362 ADIFRANCAISCE2
AD1FRANCAISCM1 ..............
D A R K M E R E ................................ 305
AD* FRANCAIS CM2 ...........
D A R K S E E D .............................. 392
ADI FRANÇAIS 6 * ...................
D A E M O N G A S T E ...................... 342
ADI F R A N Ç A IS E
D E S E R T S T R lK E ........................312
ADI FRANÇAIS4o
D IP tO M A C Y ............................. 195
........................ 252
ADI FRANÇAIS 3e
..................
DOOD LE B U G
..................
DRAG ON S I AIR 3 .................... 342 ADIMATHSCE1
ADI M
A T H S C E2 ........................
DUNE 2
342
ADI MATHS CM 1
...........
DUNG EON M A ST ER - CH AO S 252
292 ADI MATHS CM2
D Y N A B L A ST ER .......................
ADI MATHS6*.
..................
292
ENTITY ............................
ADI
MATHS
5*
.
F lR E A N D lC E .......................... ,262
ADI MATHS 4e
.....................
F IR S T SA M .M EGA LO M AN IA .292
ADI MATHS 3e
.....................
FLA SH B A C K ..............................292
ADI ANGLAIS 6e .......................
G E N E S !A
........ ..
2B2
ADI ANGLAIS 5e ......................
G LO B A L GLADIATORS
.. 2B9
ADI ANGLAIS 4« ........................
G O A L ........................
....272
ADI ANGLAIS3e ..................... .
G O B L IllN S 2 ...........
...2 92
APPLICATION AOI P A R C IA S S E
G U N SH IP 2000 ............
3-42 F T PAR M A T IE R E
.............
G U Y R O U X M A N A G E R ..
252
C E D I C / NATHAN
C A R R IE R A SSA U L T ..
342
ANGs_ajS
detx san 6e5e
HIST O RY LiNE .. ...
352
ANGLAIS
Corâmé 6ô5e
HOOK
252 -ALLEMAND «Oulart SeSe
fSHAR II .......................
252
ALLEMAND Confrme SeSe
JIM P O W E R ..................
265
DISNEY
K G B .............................
... 352
KNIG H TS OF LEG EN D
.. 305
KN IG H T S OF T H E SK Y
342
L A R M E F A T A L E ......
252
L E G E N D O F KY R A N D A
305
L E G E N D 0= VA l O U R .
......372
LEMM1NGS 2 ..............
___ 242
UO NHEART
...... .......
272
LO ST V tK iN G S ..............
250
LO TU S 3 ........................
.252
MAC DONAi_D LAND .
.225
M ER C E N A R Y 3
292
292
.342
-...292
60 M O
.......................
392
E X T E N 512K A5O0
...........
279
EX T EN 512K-HORL A50Û .
EX T EN 15 M o-HORL A5O0 .
.292
E N C E IN T E S ZY F l ..............
.342
S W T C H S O U filS JO Y ST IC K
269
A D APT 4 JO Y S T IC K S
.........
L E C T E U R IN T ER N E A500 .....
252
L EC T EU R E X T E R N E 3.50‘
Interface MIDI 3+1-(c ab le s)...
e t .G u e t t e s 3 50‘ l e s 100
BOiT E R J S Y 30 - 80 x 3 50* .
dan sen t
CTION
REPLAY
IVîKirr
JA M A IS UNE C A R T O U C H E N E V O U S AURA
AUTANT D O N N E I
- V IR U S K IL L ER .
MODE-TRAINER
H Y P E R PU ISSA N T
- V IE S INFINIES
A U TOM ATIQUES.
( T R E S F A C IL E D 'E M PLO I)
■G E L E R P U IS R EP R EN D R I UN
CARTOUCHE.
• R IP P E R IM A G ES P L U S SO N S. ED IT EU R +
CHOIX D E S C O U LEU R S.
• AUTOF1RE * M USIC SO U N D T R A C K E R * D ISKC O D ER
•C O D A G E * D EC O D A G E PR O G R A M M E S
R E G L A G E UTILISATION JO Y S T IC K +
A U T O FIR E - S A U V E G A R D E M EM O IR E V E R S DISK
•C O M M A N D ES DOS : D IR.FORM AT.COPY. ..
• D ISK C O P Y D ISP O N IB LE A TOUT MOMENT. E D IT EU R D IMAGE
g B g g jS E L E C T f O N ^ 'S K M O N IT O R .C A L C U L E T T E *
SUPER PROMO
...................
IM P R IM A N T E S T A R L C 100
A M IG A 500/1000/500+ ...
A M IG A 2000 .......................
ALIEN B R EA D 92 ..................
119
..............
99
ACTION FIG H TER
BA R O 'S TA LE 3 ......................
109
B A T T L E C H E S S ........................1
BA T T L E H A W K S 1942.............
BUBBLF. B O B B L E ..................
BUDOKAN
..............................
C O P IE U R S Y N C H R O E X P R E S S 3
CA LIFO R N IA G A M E S 2 ............. 12»
-Copie de d isq ue ttes en m oins d e 30 se co n d e s
C H E S S M A S T E R 2100 ................ 14»
- S Y N C H R O E X P R E S S n éce ssite un
'e c 'e u r
C R Y STA L OF A R B O R E A .............. 99
-Sélection par m enu d o s d é b u ts e t fins d e pisi«?i>
D.G EN ERA TION .............. -.........159
(jusqu'à 8 5 p is te s ) u n e o l d e u x fa c e s au ioséiecl-D ubiicatticn
F 16 CO M BAT P IL O T ................... 99
d au tre s ‘orm ats iei IB M . M A C etc
F 19 STEALTH F 'G H T E R .
.. 169
FALCON
..
.1 5 9
P R O B A B L E M E N T L E M E IL L E U R C O P IE U R !
FALCON M D C O U N T ER S
...99
S Y N C H R O E X P R E S S A M IG A
-.................395 F
FALCON M O FIR EF lG H T
.. 99
FINAL F iQ H T ...........
QQ
S Y N C H R O E X P R E S S A M IG A 2000 .....................450 F
FLfGHT O F IN T RU D EP
HEBO O U EST
....
IND uO N ES uasî CruM tN
i N^ S O C C E R C H ALLEN G E
JA C K N IC KLA U S G O L F
109
KN IG H TM A RE
..................... 159
L A S T N IN JA 2 ........................
109
CR AYON O PTIQUE TR O JA N A500/A 500+
399F.
LA ST N IN JA 3 .........
129
Q u o i d e p l u s n a t u r e l q u e l 'u t i l i s a t i o n d 'u n c r a y o n !
LEG EN D
— ....................... 159
L O TU S 2 Turbo Challang#
129
M l TANK PLATOON ...
149
Particulièrement recommandé pour les applications
M A N C H E ST E R UN ITED
99
M ANIAC M AN SIO N S - ............. 129
d A rts G raph iq u es, d e D e ss in s et le s lo g ic iels éd u ca tifs etc
ERCS
------------119
Compatible a vec D E L U X E P A IN T ni E T IV.
M ETAL MUTANT .......
M IC R O P R O S E S O C C E R
Livré a ve c le logiciel de dessin K w ik D raw de T R O JA N
MIG 29 -- ----- --- --O PERA TIO N STEALTH
PIN BA LL MAGIC
PIR A T E S
P O P U L O JS ...................
PR IN C E O F P E R S 'A .......
par 10
pâr 20
par 50
P R O JE C T X _____________
P R O T EN N IS T O U R .........
69 F 130 F 300 F
RIC K D A N G ER O U S 2 ......
B O B O C O P 2 ...................
5 t/4 DFDD 56 F 105 F 250 F
ROOLAND
....................
R V F HONDA
..
D ISO U eT T C S C E R T IF lC e S 1 00 V G A R A N T IE A VIE
S E U C K ..............................
L IV R E E S A V E C E N V E L O P P E S . Ê T IO U E T T E S
S HA DOW D AN G ER
......
N E U T R E S IV E R B A TIU)
ST O P M M A ST ER . ......
SM A SH T V .. .... ... ......
ST R E E T F IG H T E R ...........
D IS Q U E T T E N E T T O Y A G E 3.50" : 59 F
ST R lK E F L E E T ...............
S J P E P MONACO G . P .....
SWTTCHB l A D E 2 .............
TEN N IS C U P 2 .
.
........
.
• ••••••••••a
D isquettes
3.50" DFDD
342
H O M E O F F IC E K IT D E L U X E ................... 675
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T o u jo u n s
le s
o e r h ie b e s
v t n s io N é
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G A G N E Z DU T E M P S ! C o m m andez par
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9 3.51 .61 .30 • 9 3.97 .22 .00
(g a ra n tie échange im m édiat)
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Prix
Kindwords3 ♦ Maxiplan IV t-Infofile
c
S T A R NL 10.
............
ST A R LC 10-LC 2 0 ........
STAR L C 10 C O U L EU R ..
BON DE COMMANDE £JCf>/? £ S 5 _
T IT R E S
le s s o u r i s
299
A M O S 3 D ............
349
E A S Y A M O S .........
429
A M O S P R O 1,1 .....
.690
CO M PTE CH EQ UE
.290
Copieur SyncfiroExpress 500 .395
Copieur SynchroExpress2000 .450
D EL U X E PAIN T IV V4.0 .............« 9 5
D F m C VAKÇ •< -M <
395
:- 5 : 0 5 C C P 'l ^*“4 ) ’ r
390
EXCfcl— E NCE 3.0
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K IS C W C P D S 49C
M A X IPLA N P L U S 4.0 F R ............ 490
MULTIPAINT AMIGA ............... 149
M ULTIM EDIA M A K E R .................495
.............. 395
M U SlC M A K E R
P A IN T E fl 3C ......................
590
PR IN T STU D IO A M IG A
149
SO NIX
................................
425
Montant
-,
PAR
________________
t r- c ' c' i
JESSICO
M IN IT E L
3615
-
B P 6 9 3 - 06012 N IC E C E D E X
C O D E J E S S IC O
- OUVERT 7 / 7
-
8H i
20
H
J J e joins un chèque ou mandat lettre
15.09
J J e paie à réception au facteur + 27 F
_ j j e paie par carte bleue et je complète les 2 lignes ci-dessous
NOM
P O R T : L O G 1C 1 E L
JE U X
IM P R IM A N T ES
U T IL IT A IR E S
+
+
C O N S O LE S
A C C E S S O IR E S
OR D IN AT EU R
DOM
TOM
♦
E T R A N G E R
30
F
60
F
30
F
100
F
60
ET RA N G ER
E X C L U S IV E M E N T P A R
MAN0AT
N' ET R U E
3 0
CODE
V IL L E
fa x
:
93.97.07.00
B O U T IQ U E A N IC E H O L L Y W O O D S T A R < B D J O S E P H
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OBLIGATOIRE
AMIGA CD32 : ON
N'ARRETE PAS LE
PROGRES
a v.-*' p - ' «
Commodore s'attaque au marché de la console de jeux avec
un produit appelé Amiga CD32 : "CD" pour "CD-ROM ",
" 3 2 " pour le nombre de bits, et "A M IG A " pour capitaliser
sur la notoriété de l'ordinateur universellement connu et
pour positionner cette nouvelle consolé dans la gamme
Amiga. Comme à son habitude, Commodore
joue la carte du progrès technologique.
L A F IC H E T E C H N IQ U E
millions de consoles vendues en
T rois
France en 1992... Ce chiffre révèle
D'un point de vue purement technique. l'Arnica
C D présente de nombreux attraits alléchants aux­
quels les développeurs ne seront sans doute pas
insensibles. C'est d'abord et avant tout un Amiga.
une machine que les éditeurs et les programmeurs
connaissent bien.
L'Amiga C D !; reprend toutes les caractéristiques de
l'Amiga 1200 actuel, jusqu'au système d'exloitation
multitâche, dont la version 3.1 (V40 pour les
intimes) est figée dans une R O M d'un M o des 512
Ko supplémentaires sont occupés par l'animation
d'accueil de la console, la gestion du CD-ROM et
diverses routines spécifiques). Comme le C D T V en
son temps, un rien suffira donc à la transformer en
véritable micro, une possibilité qui peut attirer
nombre d'adolescents désireux de retrouver en une
seule machine, les qualités d'une console de jeux et
d'un ordinateur.
bien l'ampleur du phénomène. La
console de jeux a réalisé sa percée dans
la société française : au bord de la piscine
ou dans la salle d'attente du médecin, où
jouez-vous avec la votre ?
Ce n'est plus une activité ludique réser­
vée aux teenagers, mais bel et bien un
phénomène social et culturel créant son
actualité dans les médias : ça rend épilep­
tique, paraît-il... Au pire, ça révèle la
maladie. Tout comme les fabricants de
cigarettes, les constructeurs devront pré­
venir les acheteurs du danger potentiel.
Autre exemple de débal social, pour ou
contre la console au lycée ? Toutes les
tranches d'âges, toutes les strates sociales
sont atteintes.
Elle est évidemment équipée du même micro-pro­
cesseur 32 bits, le 68EC020 cadencé à 14 M H z, et
des mêmes puces graphiques que l'Amiga 1200.
ces fameux chips A G A qui permettent d'obtenir
256 couleurs simultanément à l'écran, choisies
parmi une palette de 16 millions, dans des résolu­
tions pouvant aller jusqu'au 800 x 600. Le mode
HAM8, qui autorise très précisément 262 144 cou­
leurs simultanées, risque de n'être utilisé que pour
les pages de présentation, les tableaux des scores et
éventuellement certains jeux d'aventures ou de
rôles. Il est en effet parfaitement inexploitable pour
l'animation de jeux d'action rapides.
P R E S E N T A T IO N
O n notera cependant la présence d'un processeur
supplémentaire baptisé "Aikiko" iun petit pied-denez aux |aponais !), qui regroupe plusieurs compo­
sants normalement dissiminés çà et là sur la cartemère du 1200 (ah ! Intégration, intégration...). Autre
nouveauté, la C D j; intègre en hardware l'algo­
rithme dit de "chunky lo planar". Auparavant
implémentée par logiciel, cette technique permet
aux développeurs d'importer directement les gra­
phismes de leurs jeux pour PC V G A sur l'Amiga,
6 5 0 D IS Q U E T T E S !
L'un des avantages certains du C D est donné par sa
capacité de stockage. Ce ne sont en effet pas moins
de 540 M o de données qui peuvent y être écrites,
soit l'équivalent de plus de 650 disquettes Amiga !
De plus - et en y réfléchissant bien, c'était là son
rôle premier - le C D est capable de stocker des
musiques numérisées en 16 bits à 44 KHz, ce qui
laisse envisager des introductions musicales sans
précédent sur une console. Evidemment, cette
capacité sonore est totalement indépendante des
quatre voies stéréo communes à toute la gamme
Amiga.
Côté mémoire, l'Amiga C D ; est équipée de maniéré
analogue au 1200 actuel, c'est-à-dire de 2 Mo de
mémoire vidéo 32 bits lia fameuse ■chip-ram"). C'est
beaucoup plus qu’il n'en faut pour des jeux de qua­
lité. A titre indicatif, la Mega Drive n'est équipée que
de 128 Ko, et la Super Nintendo de 256 Ko...
S tép h a n e S ch re ib e r
Un constructeur comme Commodore, qui
durant de longues années a nié le côté
ludique de ses ordinateurs, se doit
aujourd'hui d’être présent sur ce marché
de masse. Quitte à ravaler un peu de sa
fierté.
Fidèle à la tradition Commodore, le choix
se porte sur l'innovation technologique,
et de ce fait, positionne d'emblée l'Amiga
C D i: dans le haut de gamme du marché,
à un prix public d'environ 2 .500 francs.
Sous l'apparence d'une console tradition­
nelle, se cache un système extrêmement
sophistiqué, plus puissant, plus rapide, et
offrant des possibilités de jeu plus riches
qu'aucune autre console, même parmi les
leaders actuels de ce marché.
L'Amiga CD32 est avanl tout la première
console à exploiter en standard le CDROM. Le Mega CD de Sega ne sort en
France qu'au mois de septembre, et
Nintendo a officiellement abandonné le
projet d'une Super Nintendo CD. On
notera cependant que les deux géants
nippons préparent chacun leur propre
console 32 bits CD-ROM. Si aucune
information ne filtre quant au projet de
Nintendo, Sega a d'ores et déjà annoncé
la sortie du projet "Saturne'' (nom de
code provisoire) pour l'année 1994.
La console de Commodore est également
la première à avoir la possibilité de lire
des disques laser audio, tout comme
n'importe quelle platine CD standard,
ainsi que les CD+G et le Photo CD déve­
loppé (sans jeu de mots) par Kodak.
La technologie 32 bits, que Commodore
est le premier à offrir au public, offre aux
développeurs quatre fois plus de puis­
sance et de vitesse, comparativement aux
consoles 16 bits. Ils peuvent en effet
manipuler deux fois plus de données
deux fois plus vite, ce qui, tout du moins
sur le papier, autorise des effets spéciaux
spectaculaires.
P A S D E LIC E N C E !
Soucieux de pousser à la création de nou­
veaux jeux, Commodore laisse les sociétés
d'édition développer "librement" sur Amiga
CD -, sans aucun système de license offi­
cielle. Seule une redevance de trois dollars
par jeu vendu sera exigée. Si cette politique
a l'avantage d’autoriser n'importe qui à
développer, elle présente également un
inconvénient majeur pour Commodore, qui
se trouvera rapidement dans l’impossibi­
lité de contrôler I originalité et la qualité
des titres à venir. Or, le constructeur devra
rapidement sortir du cercle infernal :
vendre beaucoup de consoles pour favori­
ser le développement de nouveaux jeux,
tout en sachant que pour vendre des
consoles, il faut un environnement logi­
ciel conséquent et de qualité...
Parmi les développeurs déjà contactés,
notons la présence de sociétés de premier
plan,
comme
Gremlin
Graphics,
Millenium, Océan, Psygnosis. Team 17,
Mindscape ou encore Virgin Games. Tous
travaillent depuis plusieurs mois à la créa­
tion de nouveaux jeux ou à la conversion
des best-sellers Amiga vers ce nouveau
format. Ce sont finalement entre cin­
quante et cent jeux qui devraient être dis­
ponibles à Noël, compris dans une four­
chette de prix allant de 250 à 350 francs.
P E R S P E C T IV E S
Le prix et la qualité technique de la
console, ainsi que la notoriété du
constructeur, peuvent être des arguments
jjositits pour les futurs acquéreurs,
L E X IQ U E
Full Motion Video iFMV) : Procédé qui
consiste à reproduire des séquences vidéo
animées (film, clip...» sans saccade, à la
\itesse habituelle de déroulement d'un film,
soit 25 images par seconde. Ce qui n'es! pas
facile à obtenir, même avec un CD-ROM
CD+G : Disque compact audio sur lequel
sont enregistrées quelques images fixes ainsi
que les paroles des chansons qui
apparaissent à l'écran du téléviseur, au fur
et à mesure que le disque joue.
C D T V : Commodore Dynamic Total Vision
Ancêtre de l'Amiga CD'-, un lecteur
interactif multimédia a base de CD-ROM.
Photo C D : Svstème mis au point par Kodak,
qui | X ' r m e t d enregistrer ses photos sur
disque compact. U n disque peut contenir
une centaine de photos, qui peuvent être
consultées el affichées sur le téléviseur
familial.
d'autant plus que très rapidement, fort de
son expérience dans le domaine du mul­
timédia et de son passé de constructeur
informatique, Commodore devrait annon­
cer l'enrichissement des capacités de sa
console dans deux directions : la vidéo
plein-écran (Full Motion Video, ou FMV)
et la micro-informatique multimédia.
Basée sur une structure Amiga 1200, la
console pourra se transformer en véri-
90 000 Lynx, soit 3 % du marché.
Commodore espère donc acquérir 1,2%
du marché en quatre mois. Avec une dis­
tribution qui démarre en septembre dans
les grandes surfaces (Darty, Conforama,
Hypermedia, Inter Discount, Auchan,
etc.) ainsi que chez les distributeurs de
m icro-inform atique trad itio n n e lle ,
l’objectif semble pouvoir être atteint.
A condition toutefois qu'un titre vedette
table ordinateur par l’adjonction d'un
boîtier comprenant un clavier, une souris
et un lecteur de disquettes, et pouvant
recevoir un disque dur, des extensions
diverses (mémoire ou autre), une impri­
mante...
La vidéo plein-écran sera obtenue grâce à
l'ajout d'un petit module supplémentaire.
Ce système permettra de visionner
jusqu'à 72 minutes de vidéo plein-écran
stockées sur CD. Voila qui ouvre la porte
à de très alléchantes perspectives en
matière de jeux interactifs hyper-réalistes.
viennent justifier des possibilités tech­
niques de la machine, tout comme Tetris
puis Street Fighler II ont permis à
Nintendo de prendre la tête du marché.
Une mascotte, façon Sonic ou Mario, à
laquelle les enfants pourront s'identifier
aiderait également beaucoup. Pourquoi
pas Zool ?
On le voit, Commodore mise gros. Une
nouvelle usine aux Philippines assure le
montage de la console et un investisse­
ment médiatique conséquent est indis­
pensable pour chatouiller les géants que
sont Sega ou Nintendo.
Tout cela fait beaucoup de dollars inves­
tis. Les objectifs ambitieux de la filiale
française (35 000 consoles vendues fin
1993) seront peut-être atteints grâce à
une campagne de spots TV élaborée par
une agence anglaise. Ce film sera com­
mun à tous les pays européens.
Autre élément d'analyse pour juger du
réalisme des espérances de Commodore
France, sur les trois millions de consoles
vendues en 1992, 60% étaient signées
Nintendo (dont 7 0% de Came Boy), Sega
affichant 1 300 000 unités (Master System
et Mega Drive confondues) et Atari,
Jean-Yves Primas
LA CO NCURRENCE
Vue l’ampleur du marché des consoles de jeux et
sa domination écrasante par Nintendo et Sega, il
nous a paru opportun de regarder de plus près les
atouts des deux machines nippones que l'Amiga
C D entend venir chatouiller.
O n trouvera également dans ce tableau, deux
autres consoles qui ne peuvent réellement pré­
tendre concurrencer qui que ce soit.
La Néo Géo de SN K (un autre japonais, N D L R 1.
ne s'est jamais réellement vendue en France, prin­
cipalement à cause d'un prix beaucoup trop élevé
: la console elle-même était positionnée aux alen­
tours de 3 000 francs, tandis que chaque jeu coû­
tait la bagatelle de 1 500 francs !
Quant à la 3DO, ses possibilités sont fort, allé­
chantes. Elle n'est cependant pas prête de sortir
en France... Il faut savoir que la 3 D O n'est pas
une console à proprement parler, mais simple­
ment un concept hardware de 3 D O Interactive
Multiplaver), que la société créatrice 3D O revend
à qui veut bien fabriquer une console. C'est ainsi
que des géants de l'électronique et l'informatique
grand public tels que Panasonic, AT&T, Time
Warner, M C A ou encore Electronic Arts, ont
d ores et déjà souscrit.
Nous n'avons pu intégrer la 3D O à ce tableau,
tout simplement parce qu'aucune information ne
filtre encore quant à ses caractéristiques tech­
niques.
Notes :
i l i Seul le 68EC020 de l'A m ig a C D 32 est un pro­
cesseur 32 bits. Tous les autres sont des proces­
seurs 16 bits.
<21 Le nom bre in d iq u é correspond au m a xim u m
e x p lo ita b le sim ultaném ent dans un jeu.
(3i N'est prise en c o m pte que la p ossib ilité de
connecter un lecteu r de C D . La co m p a tib ilité
C D + C . Photo CD. FM V... n'est pas indiquée.
\4) I l s'agit bien é vid e m m e nt d 'u n p rix m oyen.
Processeur (1)
Vitesse
(MHz)
Couleurs
(2)
Mémoire
KO
CD (3)
Prix des
jeux (4)
Amiga CD32
68EC020
14
256
2 048
Oui
300 F
Super Nintendo
65C816
12
256
384
Non
500 F
Sega Mega Drive
68000
8
32
128
Oui
350 F
NK Néo-Géo
68000
12
4 096
128
Non
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C O M M O D O R E RENCONTRE
D ES D IF F IC U L T E S
Lu dans AM IGA FORMAT de septembre 93 CO M M O DO RE a
annoncé des pertes significatives au moment du lancement de la
console AM IGA CD32. David Pleasance, le big Boss de
Commodore UK a reconnu les faits et a détaillé la stratégie de
Commodore pour retrouver le chemin du profit. l'Axe de cette
politique et le lancement du CD32, le shéma ne s'arrête pas là;
Commodore se recentre sur l'AMIGA au détrimant de la produc­
tion et de la distribution de Compatible PC ce qui d'après nous ne
peut-être qu’une bonne chose pour la communauté Amiga. Après
un programme de restructuration mondiale, Commodore a évité
de tomber sous le chapitre 11 (loi US équivalente au redresse­
ment judiciaire Français mais avec la différence importante que
les créanciers de l'entreprise ont le pouvoir de lui imposer une
politique qui peut se révéler contraire aux intérêts réels de la
Firme en question). Le plan de sauvetage mis au point par
Commodore a semblé suffisament solide aux financiers pour lais­
ser à la direction de Commodore la maîtrise de la mise en oeuvre
de son plan. A la suite de cette déclaration liminaire, David
Pleasance a ajouté ses propres commentaires: "Des rumeurs sur le
chapitre 11 ont courrus dans le monde AM IGA depuis un certain
temps. Ce type d'incertitude n'est bonne ni pour Commodore, ni
pour les utilisateurs Amiga car elle crée un manque de confiance
du marché ce qui n'est pas favorable à la cote des actions
Commodore. l'Utilisateur quant à lui se met a douter de la pérénité de la machine ce qui incite à la suite les développeurs à ne
pas s'engager sur la plate-forme Amiga". Pour terminer d’une
façon très british David Pleasance a indiqué qu'il était temps
d'arrêter les bavardages et de se remettre à s'occuper de la
machine. "l'Amiga est la meilleure plate-forme disponible d'ordi­
nateur domestique et le sera encore dans les années à venir".
NOS OBSERVATIONS
Nous sommes désolés des effets de restructuration qui en France
se concrétise par le départ d'un bon nombre de collaborateurs de
Commodore qui pour certain connaissait bien l'Amiga. Nous
espérons par contre que le CD32 el le 1200 seront les fers de
lance du renouveau Commodore en France. Nous en profitons
pour souhaiter beaucoup de réussite dans ses nouvelles fonctions
à Cilles Mendel qui retrouve un poste de Direction dans une nou­
velle société de distribution Européenne s'implantant en France.
NOUVEAUTES
L 'A 4 4 0 0 C O M B O
N o vem b re .
AM EM 32
d e C V P d e v r a i t ê tr e d i s p o n i b l e e n t r e le s m o is d O c t o b r e o u
Il s 'a g it d e
la p r e m iè r e c a r t e a c c é l é r a t r i c e p o u r A m i g a 4 0 0 0 / 3 0 et
La carte A M EM 32 est une carte d'extension mémoire
4 0 0 0 / 4 0 . C o n ç u e e n c a r t e f i lle , e l l e c o m p r e n d r a le p r o c e s s e u r le p lu s p u is s a n t d is ­
p o n ib le c h e z M o t o r o l a : le 6 8 0 4 0 c a d e n c é à 4 0 M h z , p o u r r a r e c e v o i r ju s q u 'à 1 2 8
M o d e R a m 3 2 b its a c c è s r a p id e e t in t é g r e r a a u s s i u n c o n t r ô l e u r S C S I- II. D i f f i c i l e
+ horloge + co-processeur arithmétique pour Amiga
1
1200. Elle vient se loger dans la trappe interne sous
d e p r o p o s e r p lu s q u a n d t o u t e s le s d e r n iè r e s t e c h n o l o g i e s s o n t e m p l o y é e s . A u c u n
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la machine et ne nécessite aucune autre manoeuvre
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m a j e u r e p o u r c e lo g i c i e l d e t r a it e m e n t d 'i m a g e s : o p t i m is a t io n d e s v ite s s e s d e tra it e m e n t , u n e f o n c t io n L J N D O
pour disposer des 4 M o de mémoire 32 bits et de
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d i g i t a l i s e r V L A B p o u r l a p a r t ie d 'a c q u i s i t i o n e t le s c a r t e s g r a p h iq u e s E G S - 1 10/24
d e G V P . O P A L V IS IO N
e t R E T I N A p o u r l'a f f i c h a g e . E n f in , le s p r o g r a m m e u r s d e
Im a g e F X o n t o p t i m is é le s r o u t i n e s d 'im p r e s s io n g r a p h iq u e . P o u r m é m o ir e , r a p p e ­
lo n s q u 'i m a g e F X in t è g r e a u s s i l e lo g i c i e l d e m é t a m o r p h o s e C i n e M o r p h . L a r e m is e
à jo u r d e s a n c i e n n e s v e r s i o n s e s t d i s p o n i b l e a u p r è s d e C I S . I m a g e F X e s t m a in t e -
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NOUVEAU LOGICIEL
de Pierre Philippe I.aunay.
Il est temps de mettre à jo ur votre A.B.E. sur la version
3.034.A pour tout dé-craequer et tout réparer.
A M IQ U E S T
AmiQuest est un disque dur amovible PCM CIA de 2,5" pour Amiga
1200 (compatible Af>00). C'est un petit boîtier contenant un contrôleur
de disque et un disque dut 2.5" standard qui vient s'enticher sur le côté
gauche de la machine dans le port PCM CIA. L'utilisation du port PC M ­
CIA et du format du disque permet l'amovibilité de l'AmiQuest. Vous
pouvez donc le connecter et le déconnecter en cours d'utilisation sans
avoir besoin d'éteindre la machine, idéal pour passer des informations
d'une machine à l'autre, ce disque dur séduira tous les amoureux de
domaine public, de graphisme et d'animations, grands consommateurs
de place de stockage il n 'y a donc, plus besoin d'archiver le tout sur dis­
quettes. Tout est disponible en un clin d'oeil. Mais l'AmiQuest dispose
également d'autres avantages :
- Un AmiQuest peut s'avérer jusqu'à 2 à 5 fois plus rapide qu'un
disque interne grâce à son contrôleur de disque dur intégré ultra
rapide.
- Un AmiQuest peut être utilisé comme disque dur système et/ou
comme disque dur unique. Il conserve toute sa souplesse d'utilisation.
Au démarrage de la machine le workbcnch apparaît beaucoup plus
rapidement. Un disque dur interne sera automatiquement reconnu,
sans problème d'incompatibilité.
- U n AmiQuest peut être utilisé comme simple périphérique de stoc­
kage ou de sauvegarde.
- Les AmiQuest sont livrés formatés et installés avec le W orkbench 3.0
et une collection des dernières disquettes Fish du domaine public.
- Il n'y a pas besoin d'ouvrir la machine pour l'installer. C'est le disque
dur le plus simple à installer. L'utilisateur Amiga ne perd pas sa garan­
tie en installant lui-même son disque dur.
- En plus, c'est un produit 100 % Français.
Prix promotionnels de lancement de l'AmiQuest :
AmiQuest 40 M o
1 790 F TTC
AmiQuest 60 M o
2 190 F TTC
AmiQuest 80 M o
2 590 F TTC
AmiQuest
120 M o 2 990 F TTC
Afin de remercier les nombreux clients qui ont fait confiance à
l'AmiQuest dès son lancement sur le marché, Archos organise une
campagne de mise à jour gratuite (seuls les frais de port seront à la
charge du client) de la collection de domaine public Fish présente sur
les disques durs AmiQuest lors de la livraison. Il suffira de retourner
l’AmiQuest [avec photocopie de la preuve de la date d’achat) et Archos
installera les disquettes Fish les plus récentes. Cette offre est valable
pour tout achat d'AmiQuest jusqu'au 30 septembre 1992. Contacter
Archos au 11) 60.13.90.19 pour plus de précisons.
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N OUVEAUX P R IX
Malheureusement les mauvaises
performances du Franc sur le
marché monétaire associées à
une brusque montée des prix des
mémoires ont des petites répercu­
tions sur certains produits de la
gamme CIS :
Prix public des cartes accéléra­
trices GVP pour A1200 au 23
Août 1993 :
A1230 : 3 190 F TTC
A1230-1 FPU :4 290 F TTC
Al 230-4 FPU :5 590 F TTC
DEMONQUEST
DemonQuest est un nouveau disque dur, prévu courant sep­
tembre, possédant la majorité des caractéristiques de
I AmiQuest, mais au format 3.o" DemonQuest est un boîtier qui
vient également s'enticher sur le port PCMCIA sur le côté
gauche de la machine et qui reprend le design de l'Amiga 1200.
I intégré un disque dur au format Ide 3.5" et ne nécessite pas,
lui non plus d ouvrir la machine et donc de perdre la garantie.
Prix promotionnels de lancement du DemonQuest :
DemonQuest 80 Mo
2 290 F TTC
DemonQuest 120 Mo
2 490 F TTC
DemonQuest 200 Mo
3 490 F TTC
DemonQuest 250 Mo
3 990 F TTC
DemonQuest 340 Mo
4 990 F TTC
DemonQuest 425 Mo
5 990 F TTC
IM PORTANT : Afin de ne pas pénaliser les clients avant déjà
acheté une carte mémoire PCMCIA, Archos reprend toutes les
cartes mémoire PCMCIA pour l'achat d'un AmiQuest ou d'un
DemonQuest Contacter Archos au (1) 60.13.90.49 pour plus de
renseignements.
^
K
C R E A T IO N S
Digital Créations, connu pour le DCTV, mais également pour le
long suspens autour de Brilliance livre les premières unités ce
mois-ci. Le prix proposé par l'importateur CIS est de : 1 690 F
TTC. Voici un résumé des caractéristiques principales : Dessin et
animation dans tous les modes graphiques des Amiga du plus
ancien au plus récent, y compris les nouveaux modes ACA des
A1200 et A4000 (256 couleurs et Ham8). Mode "True Color"
pour créer ou retoucher sans perte des images 24 bits. La visuali­
sation s'effectue en Ham ou HamB et grâce à un bufter qui
contient les données 24 bits, Brilliance sélectionne automatique­
ment les meilleures couleurs pour éliminer les dégradations liées
aux contraintes de proximité des modes Ham. Support total de
l'overscan Gère en même temps autant d'images et d'animations
que le permet la capacité mémoire disponible. Un ensemble très
complet d’outils de dessin dont les classiques bien sûr, mais
aussi un traceur de courbe de Bézier. plusieurs aérographes
paramétrables, dessin en continu ou discret ( par nombre de
points et intervalles)...
Mode stencil par zone ou par couleur, plusieurs modes de rem­
plissage de formes, mise en perspective avec antialiasing (lis­
sage). Fonction loupe largement paramétrable, protection de
fond ou 1er plan, support des polices vectorielles sous
VVorkbench 2.0 et supérieure...
Fonction UNDO/REDO sans limitation de niveau (mis à part la
capacité mémoire disponible). Accès temps réel à 8 brosses fixes
ou animées, nombreuses fonctions de découpe et traitement des
brosses. Modules d'animation très intuitif avec positionnement
des brosses et contrôle des trajectoires à la souris, gestion des
trois axes X.Y.Z avec rotation et une fonction exclusive de trans­
parence progressive. Métamorphose de brosses, cyclage de cou­
leurs, contrôle de l’animation par commande type magnéto­
scope. Support des formats Anim5 et Anim8. Digital Créations
annonce que l'animation est aussi simple d'accès pour les néo­
phytes que sophistiquée pour les graphistes chevronnés!
Toutes les fonctions de Brilliance sont écrites en assembleur, ce
qui laisse présager d une bonne rapidité d'exécution.
CIS se chargera de réaliser la francisation de ce produit.
E N DEMO,
3U 2ZAÜD A12M
Cafté 4M ’ 32 bits
C IS A B S E N T
* Horloge
+Suppon Copras
C ïV P IV 24
I3 4 9 0 F rs
120 0 'P r ix M a o m im !
2 490
|
R ETIN A 24 b its
4 Mo
4 790
1200 + b l i z z a r d 4 M o
4 590
D is q u e s D u »s Foi rmatéJ L
•
_
40 M o
990
* NOUVEAU i - ■ ■ ' Æ B f Ê l i 80 M o 1 7 9 0
Carte 4M " 32 bits
1120 M o 2 2 5 0
supplémentaire
M 60 M o 2 7 5 0
pour BLIZZARD
r 1 850 s U v r é a v e c 1 0 M o d e d é m o s
4000 /40 (120M o I SMo)
4000 /30 (80Mo / 2Mo)
b o is
i n t VLAE exL
3 990
3 490
IMPRIMANTE
M ps 1270 1 290
S w ift 240c 2490
X C A D 2000 V F
+bibl plom berie
e t é lectricité
3000F
14 490
8990
8 1 /a
IDE 12 nu
240 M- 2 200 F
440I»r 4 990F
Faut SCSI 2
340 M* 3 290 F
440 yr 6 990F
51QM- 7 790F
S y q u e s t E x t.
44 M o
3 690
88 M o
4 490
105 Mo int. 3 990
ID E f o r A 4000
68 882
3 3 M hz
, 990F
•Journée
M U S IQ U E 1
1 fois/semaine
B a r s & P ip e s 2
M id i & S y n th é
C itizen 24 Coul
i 1200 + D u r 160 Mo
ÎT
Blizzard 4 M o '
Copro+Horl
f 'y
3250 F j
Malgré
l'importance
non
négligeable de l'événement
Amiga Atacom 93, et contrai­
rement à l'an dernier, CIS ne
participera pas à cette édi­
tion.
Notre décision ne manquera
pas de décevoir un nombre
important de personnes parmi
les utilisateurs de nos produits
et nous leur adressons nos
regrets de ne pas les rencon­
trer à nouveau.
9 mois après le lancement
des nouveaux Amiga, de
nombreux produits très inté­
ressants vont arriver sur le
marché,
nous
souhaitons
concentrer nos efforts sur les
francisations rapides, la mise
en place de nouveaux ser­
vices ainsi que l'amélioration
des
prestations
actuelles.
Nous serons très heureux de
pouvoir montrer le résultat de
ce choix lors de futures mani­
festations Amiga et prouver
par les présentations à venir
que les prossesseurs d’Amiga
n’auront
rien
perdu
à
attendre.
F r a n c e - F e s i i v a l - P i s t r ib u d o n
V IT E ET P R O
Essence pour Imagine ...
Le Volume 2 est arrivé. Comme le premier volume ces textures
algorythmiques professionnelles sont destinées aux utilisateurs
d'Imagine : 200 modèles prêts à l'emploi accompagnés d'un
livret où vous trouverez toutes les indications d'utilisation.
3D - ROM ...
Bibliothèque d’objet 3D disponible sur disque CD Rom au stan­
dard ISO-9660.
PLus de 500 objets 3D dans les formats : AutoCad DXF, 3D
Studio, Wavefront, LightWave et Imagine. La collection com­
prend entre autre des Automobiles, Humanoïdes, Avions,
Maisons, Engins spatiaux, Objets domestiques, Trains, Animaux,
Bateaux, Ordinateurs, Equipement sport etc...
Egalement indus plus de 400 textures et images dans les formats
: TIFF, GIF et IFF 24.
SCENERY ANIM ATO R V 4.0
Importé des objets qui peuvent être positionnés, redimensionnés, animés (inclus : Chasseur invisible, Montgolfière, fleur,
ciel étoile). Supporte les nouveaux mode graphiques ACA
avec affichage en HAMB. Placement manuel des arbres, Zoom
jusqu'à 512 fois, Préview 2 fois plus rapide sans perte de qua­
lité. Option "nuit" avec ciel étoilé en 3D. Pour les ciels de jour
animation des nuages. Parcours et mouvement plus fluide
grâce à de nouveaux algorythmex de calcul. Nouveau
contrôle de caméra plus simple et plus précis.Volume 2 : Le
monstre européen, véhicule style "Coupé F 40"
Renseignements, prix : Vitepro
Tel : (1)46 38 17 16
IN N O V A T IO N
Innovision Technology, créateur de la gamme de titreurs pro­
fessionnels Broadcast Titler, annonce l'arrivée prochaine d'un
nouveau logiciel de titrage exploitant les capacités du mode
A G A mais aussi des cartes 24 bits Vision 24 de G V P et Opal
Vision de Centaur Development. Son nom : M ON TAGE 24,
son prix : environ 3 000 F, son importateur : CIS, ses possibili­
tés annoncées : titrage en 16 millions de couleurs, lissage des
caractères pour une résolution effective de 1 nano-seconde,
taille des caractères réglables en largeur et hauteur, toute com­
binaison de taille, police et couleurs possible sur une même
ligne, support optionnel des polices Compugraphics et
Postscript type 1&3, affichage de fonds et motifs en Super
Haute Résolution Ham8 et IFF 24, générateur de dégradés et
motifs de remplissage, effets de transition... Montage fonction­
nera sur Amiga 1200 et 4000 ainsi que sur Amiga 2000 et
3000 équipés de cartes Vision 24 ou Opal Vision. Il devrait
être disponible dans le courant du dernier trimestre.
En attendant, Innovision Technology propose toujours la der­
nière évolution de Broadcast Titler : Broadcast Titler 2 SHR.
Cette version exploite le mode Super Haute Résolution des
Amiga ECS et A G A (500+, 3000, 1200, 4000) et permet donc
de gérer des titres en 1472x480 avec lissage des caractères. Ce
logiciel est maintenant vendu au prix public de 1 490 F TTC
avec 10 polices de caractères et plus de 100 effets de transi­
tion. Un nouveau pack optionnel, le Font Pack Deluxe est éga­
lement proposé au prix de : 1 190 F TTC, il comprend 20
polices de caractères lissés (Font Pack 1&2) et le Font
Enhancer permettant de convertir toute police bitmap au stan­
dard Amiga en police utilisable sous Broadcast Titler 2 SHR
tout en bénéficiant du lissage exceptionnel de ce titreur. Ces
produits ont été entièrement francisés par CIS.
v: .. .y
s
V
& U ’”
Un Service Unique de Traductions Systématiques
De tous les Meilleurs DP Internationaux.
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,1. S..UM li.
C - T l T O R V F : Plu:, q u 'u n lu lu rid . ç ç s ! un t r r t o M e M an u e l Piï>fe\»ionncl sur lu norm e A N S I du
L an ça g e ( ' q u e nous vo us proposons ici intégralement traduit en Français, l e s M acro s. L es Variables.
Fonctions. P ro lo n g e s . L es diverses instructions de contrôles. L es Pointeurs. Structures. Enircçs/Sorttes.
C on version s. Les’ Chitines et Tableaux. L e s C oncepts d 'A llo c a tio n s D ynam iques, et les M anipulations
B in aires , unis les concep ts fondamentaux du Langage C .sm u clairem ent explim iées sur 14 chapitres avec
m rem arquable sens pédagogique. Ch aq ue chapitre est égalem ent illustre par de nombreux exem ples une
ous pourrez co m p ile r av e c noire K it C décrit ci-dessous C e C T L T O R intégralement en V F est disponible
ur I disque au prix d e I0 0 F F T T C . l ’rais d 'e n vo i: Ajoutez I I ) # . V o ir L es M o d a lk ë e s d 'F .n vo i c i dessous.
K i t A m ig a ’’ E ” V F : D éco uvrez le plus rapide des langages et des com pilateurs: Le "F. . un langage si
rapide et m parfaitem ent intégré à une program alion de F A m ig a <Y com pris le S y s .v U i qu il r a u e r a tous
les débutants o u tous ceux qu i étaient allergiques au C . Nos longues traductions et iim om bralcs exemples
vo us permettront de l ’ u tiliser sans soucis. D isponible prêt à l'e m p lo i sur 2 disques p ou r 100 F F T T C .
O e ta .M K D 2.0 V F ': Voici notre Version Française de ce sublim e E d ite u r de M usique, v raim ent 1res puissant
puisqu’ il vo us permettra de tra va ille r jusqu’à S vo ies sim ultanément. G râce à son éditeur de partition très
c o n v iv ia l u n is pourrez enfin composée \os m usiques a v ec de véritables notes sur une portée im prim able
par sim ple c lick . Scs éditeurs d ’échantillons et de smts de.synthèse vous permettront dé crée r et modeler
des courbes de musique a\ec en prim e unis les c l tels spéciaux possibles. ie N que M ix ag e *. Ech os. Bruits.
B o u c le ', etc Des exem ples de M usiques et Instruments sont égalem ent tournis sur ce disque qui est donc
disponible en V F au prix de 50 F F <E m o i + 10# i. L e M an uel superbement Im prim e c l relie ■Haute Qualité
la s e r ) de cette longue traduction d e O c la M E D est aussi disp onible au prix de HK> E E ( E m o i: + 10# j.
* l !t ils # 2 0 A & B * : En tièrem ent consacré à L amélioration des Systèm es 2.0 & 1.0 ce kit contient mis V F de
M a g ic M e n u u tilitaire tic s puissant qu i s m ip lilic extraordinairem ent les accès aux menus et. lou ch ons du
■ysterne, ainsi que nos énorm es V E de la K i) - F r e q I.ih r a r y et de la R e q T o o l L ib r a r y . bibliothèques qui
améliorent de lacon rem arquable tous les requesiers du Sy s tèm e. L e s doc s program m eurs sont égalem ent
fournies en V F . Tout cela disponible sur ce s 2 disques pour' 100 E E I T C . Fra is dT-.nvoi: A joutez 10# .
“ L tils # 1 9 * : Destinée au T itra ge V id é o ce disque coupent notre V E de In s c r ip t un superbe log iciel de
titrage axee de m ultiples effets spéciaux y com pris le mixages a v e c im ages II I si bien qu il sert également
à la production d 'éc ran s com plet* poui vid éo in teractive. N o tre longue traduction vous sera indispensable
p ou r e xploiter pleinem ent les innombrables possihdië.s de ce togitriels. D e très belles fontes N oires cl
C o u le u rs sont égalem ent incluses. L e tout d isp onible au prix de 5 0 T E 11 (.. F ra is d envoi: A jo u te / I t r ï .
• I t ils # l8 * : Con tient nos Versions Françaises de A m ig a G u id c et In s t a lle r ces deux logiciels sont devenus
ndispensables pour toute bonne utilisation des Systèm es 2.0 o u 3.0: A m ig aG u id c permet de c te e i et de
•is uuliser les docum entations de laçon interactive *ous form e d ’ H vp crT c x ic ce qui est particulièrem ent
îlég an t et pratique. Q u an d à In sta ller il est devenu le standard de gestion de* scripts d in stallation pour
.n ire S\sterne. N o s lo n u u e s traductions vo us permettront d ’e xploiter enfin au m ieux ces deux grand:
u tilitaires des S ystèm es T.O et 3.0. Tout cela est disponible sur " U t ils # 18“ au prix de 50 F F iE n v o i + ID#1.
U t ils # ! 7 *: U n nouveau disque entièrem ent con sacré à la M u siq ue sur A m ig a a v ec nos V F d e M o d P la y e r
de S m a r lP la x et de E d P f a v e r trois superbes joueurs de m usique Nlu ltifo rm ai aux innombrables
«lim andes et’ effets spéciaux.’ N o s longues traductions.vous seront d un grand secours vu les nombreuses
iphisticaiions de c e s log iciels. Des exem ples de m usiques sqm aussi fournis sur ce disque c e qu i vous
permettra d ’ u iiü se r im m édiatem ent tout cela disponible sur L ’tils# 17 ': pour 50 F F i F ra is d 'e n v o i: + 1 0 # i.
T t l l s l b * : L e s actuels A m ig a 1200 cl 4000 sont de très très loin les plus exlraordinnaires m achines que
.'in fo rm a tiq u e n 'ait ja m ais connu. A v e c leurs nouveaux modes graphiques révolutionnaires tels que les
formats H .A M 8 permettant sim ultanément plus de 260 000 couleurs ju s q u 'à des résolutions faramineuses
de 1500x600. il était devenu urgent de posséder des convertisseurs de lorm ai «I im age dans le DP. < est
désorm ais chose laites av ec la toute n ouvelle version tic V ie w T e k 1.04 que nous vous.proposons ici eu
Version Française avec égalem ent notre V E île K e n d 2 4 . Avec ces tout nouveaux utilitaires vous pourrez
ualiser directem ent en mode H A M S toutes sus im ages 24hits qu elle* soient au tonnai IEF2 4h jts ou
. . E G ou m ême au form at P C G I F e t bien sûr vo us pourrez c o n ve rtir ces im ages 24hit* ou J P E G aux
form ats H A M t L C e disque T <tl\#l6 vous sera donc très utile si vo us utilisez notre V F de P o v R a v vous
pourrez alors enfin apprécier l'e xtraordin n airc tendu des im ages de P o v R a v en H \ M X ou de tout autre
1 'c ie l générateur d ’ im ages 24 bits. Tout cela est disponible sur ::l t i M K v pour 5 » F H. I E n v o i: + 1 0 # ).
U n disque exceptionnel pour tous les possesseurs de S \ s 23) to n 3 .0 1 p u is q u 'il contient nos
\ I intégrales de T o o lM a n a g e r 2.1. Su p e rD u p e r2 .0 2 le m eilleu r copieu r de disquette du D P. et Y A K 1.5:
n uissan f Su uYU nise poui Sv*2 .0 . E n plus des traductions un exem ple d'utilisation p ou r ToolM unager2.1 est
égalem ent fourni av ec une’ instalknion nés facile dans votre disque dui vous permettant de p o u v o ir utiliser
IN I 2.1 quelques secondes seulement après av o ir chargé ce d isque’ TY12 I |*ermei île décupler la puissance
des 3S B2 .il ou 3.0 en y ajoutant d'adm irables barres d 'icô n es ou docks eiilièrcm ent recouliguranle
.ibilïtés d an ..............
oh * et bruit.iige*. lout cela réuni en V E sur c e disque "U tils # 15 " disp onible p ou r 5(1. F
220 iou
.0 ) a v e e ......
Disuue
D u r sont obligatoires pour
rais d envoi: + 10# >. L e s S . . -.......
- ...3...........
. . - .....................................
,...... -u tiliser T .M. - 2 . 1.
. .En
. . .tin
...
m im e nous venons de. retraduire T M dans sa n ouvelle version 2.1 si vous aviez deja ce disque n oubliez
pas sa m ise à jo u r gratuite en échange sim plement d 'u n e n ouvelle com m ande d au m oins de m em e valeur.
l*ov R a y 1.0 V F : L e m eilleu r logiciel, de R uyT ra cing du D P est ici disponible en V F intégrale. Nos longue1
traductions (presque 5 0 0 K o i aussi bien des' manuels que des exem ples vous guiderons pas à pas vers d v 1
réalisations surprenantes de réalism e et de beauté. Tout cela disponible sur 4 disquettes p ou r tout système
\m iga au prix d ’ensemble de 2(X) F F e n v o i com pris. L e M an u e l superbement mis-en-page. im prim é et
leliéTle cette énorm e traduction de P o v R a v est aussi toujours disp onible p ou r 200 I I I T C . ( E n v o i + 10# i.
M a n u e ls Im p rim é s : Tous nos M anuels sont m aintenant mis-en-page et im prim és dans une T rè s Hauti
Q u alité L a s e r PostScript de 1200 Points par Pouce procurant un grand confort de lecture Q uatres Manuel,
sont disponibles actuellem ent: M an uel P o v R a v \ I au nnx <ie 2D0 F F M an uel Octa.M E.D V F . a u prix de
I0 0 E E M an uel A m iguGuido,'Installer V F au prix.de l'TOT I et M an u e l T ool\1 anager2.I.VI au prix de 5DEE.
Po u i la participation aux trais d 'en vo i: A jo u te z 10 # tV'oir aussi les M o d a lilé es d e n v o i ci-dessousi.
T . I I . F T ra c e u r U n iv e r s e l de F o n c tio n s : R éalisé en C par D am ic n D o lim ie r pou r ses besoins
professionnels et pour palier au manque de bons traceurs sur A m ig a. T U F est ainsi devenu le Traceur de
Référence qu i ravie ra tous les Scie ntifiqu e s qu i oiu besoin de visu aliser rapidem ent leurs form ules. Ses
possibilitées sont en effet remarquables: F on ctions ID . 2D. 3IX C’y lindiiuiies Con iq ues. Sphériques.
Q uadriques, plus toutes les possibilitées de lu sion de graphes, de calcu ls J intégrales, et de dérivées!
G estio n de tous les mode* écrans des S y s 2.0/3.0!!! Il est disp onible en Version En registrée et en
Ex clu s ivité pour France Fe s tiv a l D istribution au prix de HK> F F T T C . iF r a is d 'e n vo i: A joutez 1 0 # ).
C o c k T a il 1.(1 V F : L n tout nouveau lo g icie l destiné à la gestion de C o ck T ail. C e s l véritablem ent le disque
do l ’E té qui vo us permettra d'apprendre et de réaliser iie“s centaines de recettes de C o c k T a ils puisque c'est
i une v éritable base de données sur ces C o c k T a ils de lèv es. Du Lagon Ble u .à B a rB a re lk i. de ( endrillon
au C o c k ta il de* Iles, vous connaîtrez tout d e leurs secrets c l vous pourrez aussi en crée r d autres. U n e trè
belle réalisation de Stéphane PA L. qu i nous a autorisé à diffuser ce disque au prix de 5 0 F F t E n v o i: + 1 0 # ).
C r o q u is # !: C e d isque contient un rem arquable cours de dessin par anim ation* réalisé par G eo rg es Biuehet
qui u ainsi voulu dém ontrer les possibilitées étonnantes du dessin électronique sur A m ig a. Il nous a autorisé
à distribuer ce disque en e x clu sivité au prix de 50 F F T T C . t Particip ation aux Irais d 'en vo i: A jo u te / 10# ).
* l ' l i l s # l l * : C om p ilation des m eilleu rs u tilitaires destines au com pactage de données avec nos Version*
Françaises de T u r b o lm p ln d e r 4.0 et P o x v erPa ek er. la V F . de P P L i b qui est la bib liothèque de
Pow e rP aek e r et P P P u te h e re n V F qu i sim p lifie grandement l'u tilisatio n des fichiers com pacté*. Tout ce
q u 'il est possible de faire en m atière de com pactage est d on c réuni ici e n V F pour 50 F F . i E n v o i + 10# ).
* lllils # l0 '* : C e disque réuni les m eilleu rs u tilitaires graphiques av ec no* Versions Françaises de
H A M I.a h . Im ag eL.ih . Land Seapc. M o s lra et PPShoyv.3.0. C e lte Unité n ouvelle version 3.0 de PP S lio w
apporte e n p lu s 'la gestion de* nouveaux m odes graphiques du Systèm e 3 D e l permet ain si, entre autre., de
réaliser des S lid o 'N h m v entièrem ent autom atiques J 'im a c c s H an iK par exem ple. Tout cela est réuni en
Version Française sur ce disque i:U t ils # | f T p ou r 5 0 F F T T C . (Particip atio n aux frais d 'e n v o i: +10'
Les E d it e u r s de F o n te s : A F o n t 3 .0 ei W l i l ' e d I . l : D eux siiperhe* éditeurs de fontes Sh arew are
disponibles en Version Française En registrée au p rix de 100 F F chacun. Al/m u permet I édition vies Ionie:
A m ig a ou P C ju*qu’ à île très grandes failles (2 56 ) cl avec de nombreux gilets spéciaux tels que sym étrie*
rotations, m ise en italiq ue variable pour tout Systèm e A m ig a. W B F e d lui est com plém entaire en étant pin:
particulièrem ent spécialisé dans l'é d itio n de fontes en e ouleuis des S y * 2.0 (ou 3 .0 1 il est d 'aille u rs fournie
av ec de nombreuse* et superbes tonies en couleurs. W B F e d nécessite don c les W B 2.0 lhi 3.(1 uniquement
K i l G : Idéal noui débuter facilem ent en C m êm e sur de petites configurations sans,disque d u r C e kit
contient nos V f de Z C et P D C le* deux m eilleurs com pilateurs C du DT'. L a V F in tégrale de l ’énorme
C-.Munual qui explique en détail la program m ation en C de l'A m ig a et tes V E de A ô K K et B lin k . A u lofa
des M éguOetet* de traductions, consens., exeinples et u tilitaires qui vous guideront pas à pas ver* votre
apprentissage du ( ' sans aucun tracas de fonctionnem ent puisque toutes les procédures vie com pilation
égalem ent entièrem ent autom atisée*. I.e tout sur H ) disquettes en V F pour absolument tout système A m ig a
(des Systèm es 1.2/1.3 aux nouveaux S y s 2.0/3 0 ) au ta rif «l'e nsem ble de 400 EE. Erais d 'e n v o i: + 10 #.
• P t m e r S * : C e disque contient nos V F de Prc co g n itio n . l ’o w e r S o u r c e . C - D e s ig n e r et du tout nou . .
G a d T o o lB o x 2 .0 C que nous venons intégralement de retraduire. C e sont tou.* les 4 de puissants éditeurs de
fenêtres, m enus, et gadgets pour aid er le* program meurs e n C ou A S M . Ils vous permettront île vlëlinii vos
gadgets et menu* Irè.s’ sim plement à l'a id e de la souris et génèrent ensuite le s sources C ou A S M
correspondantes. Tout cela est réuni e n V F sut ce disque Po w e r h disponible pour 50 F F ( E n v o i: + 10# >.
'‘V ir u s # ! 3: C e disque contient une coum ilation d e s m eilleu rs an ti-vnu s actuels: Vous y trouverez no:
toute* dernière* Versions Françaises de V ir u s C h c c k c rb .Z ? , B n o t X . I V D et Viuis/.3.0. A u total de quoi
reconnaître et traiter plu* de +00 v irus av çe l ’assurance d a v o ir des m anuels traduits e n bon Irançais you:
évitant toutes erreurs d e m anipulation. T a r if p ou r V iru s # l : 50 F F T T C . (F r a is d ’ envoi A jo u te z 10# I.
C o m m e n t Passer C o m m a n d e : 1res sim plement sur papier libre Indiq ue/ les noms des articles que vo n
désire/ avec pou r chacun le prix T T C in diqué dans les résumés ei-dessu*. Faites le total de ces prix et
A jim ie / 10# pou; participation au trais d 'e n v o i et aux Irais adm inistratils. C e dernier montant sera ainsi
ce lui de vo tre régleinent (c hèque ou M an d ati *iené et daté à l'ord re u c T r a n e c F estival Distribution. Pou r
l'e n v o i H ors de F rance Pavem ent par M an d ai In iernanonnal en A joutant toujours les 10# pour
participation aux frais d 'e n v o i et. adm inistratifs ou encore Payem ent pai TuroC h èqu é en ajoutant le* 1 0 #
com m e ci-dessus plus 5 0 F F fixes pour c o u vrir les taxes d encaissement des F.uroC hêques. E n vo i
" com m andé (p o u r la France ou I*Etrang er): Veu illez ajoutez au total précédant la taxe de 3 0 F F
.
France-Festival-Distribution H AM M OUCHE Serge
.
3 Rue Anatole France
. . t
« 4 A Fr 13220 Chateauneuf-Les-M artigues.
Etran
I + Y T ' O I F ranci- ou E
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F r a is d ’ En vo i +10
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Factu re Jo in te
Recoramandé:*.WFF
nhrque*: +50FF
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A M IG A ARC
doit de posséder. On notera également la
présence de A1200 Fixes, une compila­
tion de quatre "patches" qui rendent
SpeedBall II, Heimdall, ShadowLands et
Last Ninja 3 compatibles avec l'A ï 200.
RUMEURS
Une revue de presse
étrangère presque
entièrement consacrée à la
Perfide Albion, voilà qui ne
présente à priori aucune
originalité suffisament
tonitruante pour que l'on en
parle ici... Le fait est que nos
voisins britanniques
bénéficiant d'un marché
Amiga autrement plus
développé que chez nous,
l'actualité y est d'autant plus
riche et abondante. Les
rumeurs au sujet de nouvelles
machines Amiga aussi,
d'ailleurs...
A M IG A
FORM AT (U K)
C O V E R D IS K
Devant le succès énorme de l'Amiga
outre-manche, tous les magazines anglais
sont désormais vendus avec un "coverdisk" (disquette scotchée sur la couver­
ture !). Celui-ci est bourré essentiellement
de jeux (démos de nouveautés ou pro­
duits plus anciens retirés du commerce),
mais aussi d'utilitaires, d'images 2D et
3D, etc. Les anglais étant plutôt portés
vers le jeu, c'est tout naturellement
qu'Amiga Format propose ce mois-ci
Cheat Comendium, une véritable banque
de données d'astuces en tous genres pour
plus de 450 jeux différents ! Vies infinies,
changement
de
niveaux,
solutions
diverses, c’est là une véritable bible que
tout joueur un tant soit peu invétéré se
Elle vont bon train chez nos amis britan­
niques... La dernière en date concerne un
hypothétique A l 400, à sortir aux environs
des fêtes de fin d'année. D'après Amiga
Format, cet A l 400 disposerait d'une car­
rosserie quasi-identique à celle du 12 00,
mais beaucoup plus petite, disposerait
toujours du port PCMCIA, et serait équipé
d'un 68020 cadencé à 25, voire 28 MHz
(soit deux fois plus rapide que le
68EC020 du 1200 actuel, NDLR) et d'un
lecteur de disquette haute-densité comme
le 4000. Toujours d'après Amiga Format
l'A1400 accepterait un disque dur IDE en
interne de 3,5 pouces, contre 2,5 pour le
1200. Une possible configuration de
vente comprendrait l'unité centrale équi­
pée de 4 Mo de Ram et d'un disque dur
de 80 Mo, pour la modique somme de
600 livres (environ 6000 francs).
S Y Q U E S T ID E
Power Computing UK distribue un lecteur
de cartouches SyQuest non pas SCSI
comme à l'accoutumée, mais bel et bien
IDE, c'est-à-dire parfaitement compatible
avec les nouveaux Amiga. Bien que pour
l'instant prévu pour s'installer en interne
dans l'A4000, Power Computing UK pré­
voit d'ores et déjà une version externe
pour A600 et A l 200. Annoncé outre­
manche à un prix avoisinnant les 500
livres (environ 5000 francs, le prix défini­
tif n'a pas encore été fixé), ce lecteur
accepte des cartouches de 105 Mo.
Power Computing Ltd, Unit 8 Railton
Road, Wobum Road Ind. Est., MK41 7PN,
England.
CU A M IG A (U K)
P O R T DE
PLEASANCE
Une initiative de CU Amiga qui devrait
donner des idées à pas mal de magazines
à travers le monde, nous y compris :
l'ouverture d'une colonne totalement
dédiée à Donald Pleasance. Le nouveau
"boss" de Commodore UK y parle
d'abord de lui-même (les présentations
d'usage, quoi), avant d'inciter les lecteurs
du magazine à entammer un véritable
dialogue avec lui, sur tout sujet qui leur
tient à coeur.
On y apprend par exemple dès le premier
épisode, que Commodore UK a déjà
vendu pas moins de 44 000 Amiga 1200,
et prévoit un parc de 200 000 unités pour
l'année 1993...
R U M E U R S ( B IS )
Là encore, des rumeurs courrent à propos
de nouvelles machines Commodore. On
parle d'un A5000, dont les caractéris­
tiques sont encore secrètes, mais dont on
sait qu'il disposera de puces graphiques
encore plus puissantes que les chips A CA
actuels et qu'il sera doté du DSP d'AT&T
(enfin ! On y revient...). Cela dit, et vues
les récentes compressions de personnel
dans le département Recherche et
Développement de Commodore USA, CU
Amiga ne prévoit pas la sortie d'une telle
machine avant un certain temps, pour ne
pas dire un temps certain.
Une seconde rumeur court également à
propos de l'Amiga portable, mais CU
Amiga de préciser illico que ce serait une
folie de la part de Commodore, que de
sortir une telle machine dans les condi­
tions actuelles. Le magazine estime en
effet, à juste titre d'ailleurs, que tant que la
gamme Amiga n'aura pas totalement
convaincu le marché professionel et semiprofessionel, un Amiga portable, face aux
dizaines de PC et autres Macs, serait impi­
toyablement voué à l'échec commercial.
Et CU Amiga de conclure : "bien sûr, on
ne peut exclure la possibilité que
Commodore fasse une telle sottise, juste­
ment parce que c'est une sottise".
T O P TEN
Flashback d'U S Cold est entré au Top 10
des meilleures ventes de jeux en
Angleterre à la première place, devançant
ainsi Desert Strike d'Electronic Arts, qui
trônait là depuis fort longtemps. Deux
autres entrées, celles de Championship
Manager '93 de Domark et Craham
Gooch Cricket d'Audiogenic, respective­
ment aux troisième et quatrième places,
prouvent que les simulations sportives
continuent d'intéresser nos voisin anglais.
1. Flashback (US Gold)
______________
IUND THE W O R LD
jusqu'à la réalisation de films vidéo, en
passant bien entendu par l'éducation, la
mise en page, l'infographie, etc. Un dos­
sier très intéressant, pour qui parle
l'anglais courament...
EM PLANT
SyQuest IDE D rive
2. Desert Strike (Electronic Arts)
3. Championship Manager '93 (Domark)
4. Craham Gooch Cricket (Audiogenic)
5. A Train (Océan)
6. Superfrog (Team 17)
7. Chaos Engine (Renegade)
8. Arabian Nights (Krisalis)
9. W a r in the Gulf (Empire)
10. A320 Airbus USA (Thalion)
A M IG A
SH O PPER (UK)
MONEY !
Plus orienté utilisation quotidienne de
l'Amiga (c'est-à-dire sans le côté ludique),
le petit frère d'Amiga Format consacre ce
mois-ci un dossier complet aux différents
moyens de gagner de l'argent avec
l'Amiga. Les sujets les plus divers sont
couverts,
depuis
la
programmation
Si par hasard vous étiez désireux d'en
savoir un peu plus sur Emplant, jetez
donc un oeil sur le dernier numéro
d'Amiga Shopper. Ce sont en effet pas
moins de trois pages qui sont consacrées
à un test par le détail de ce génial émula­
teur multimachine et parfaitement multi­
tâche. Rappelons que pour l'instant, seule
une version Macintosh d’Emplant existe,
mais que de par sa conception même, la
même base matérielle sera utilisable pour
émuler un PC, un Atari ST ou TT... Bref,
tout ce qui est émulable.
A M IG A
COMPUTING (UK)
C D T V : DES
T IT R E S , D ES
T IT R E S !
Le problème est le même en Angleterre
qu'en France : devant l'arrêt de produc­
tion du CDTV, ceux qui en ont acheté un
se trouvent fort dépourvus quand l'envie
de nouveaux titres est venue... C'est pour­
quoi un certain Richard Gandy, par
ailleurs président de la très sérieuse
NASCR
(National
Association
of
Specialist Computer Retailers), vient de
fonder Capri CD Distribution, une société
qui se spécialise donc dans la vente de
titres pour Amiga CDTV et A570 (le CDRom de l'ASOO, NDLR). Capri annonce
d'ores et déjà que son catalogue, com­
mencé à Noël dernier, est le plus complet
en la matière. On veut bien le croire, la
concurrence n’étant pas très vive, ces der­
niers temps...
Capri CD Distribution : (19-31) 0628
891022.
AGENDA
Du 5 au 7 Septembre
European
Computer Trade Show, Business Design
Center, London.
Du 16 au 20 Septembre : Live '93,
Olympia, London.
Du 11 au 14 Novembre : Future
Entertainment Show, Olympia, London.
Du 19 au 21 Novembre : International
Computer Show, Wembley, London.
jtM IG A W O RLD
S P E C IA L R E V IE W
IS S U E
Rien de bien particulier à signaler outreAtlantique, sinon la parution d'un numéro
hors-série
d'Amiga
World
baptisé
"Spécial Review Issue" : une compilation
des tests réalisés par Amiga World de tous
les meilleurs produits Amiga de la saison
92/93, dans tous les domaines possibles
et imaginables. Aucune réelle nouveauté
en somme, sinon un classement simple et
pratique dans vos archives personnelles.
Et puis, tout le monde n'est pas abonné à
Amiga World...
Stéphane Schreiber
DO YOU SPEAK ENGLISH ?
lins d’entre vous se demandent peut-être où l'on
peut se procurer la presse étrangère spécialisée
Amiga. A l’intention de ceux-ci. vous quelques petits
conseils qui pourront sans aucun doute les éclairer.
chose à taire est daller consulter votre
revendeur Amiga habituel : la plupart des boutiques
françaises importent en effet plusieurs magazine
étrangers lAngleterre. USA, Allemagne..,!. Ceci n’est
bien entendu valable que pot» les magasins spéciali­
sés : ce n'est pas la peine d’aller embêter le chef de
rayon informatique de chez Dartv la fnac ou
Auchan....
la seconde possibilité consiste tout simplement à se
rendre dans une librairie étrangère, On trouve géné­
ralement, au beau milieu des magazines féminins
(style Cosmo) et masculins (style Play Ber, .: une foultitude de revues Amiga dont on ne soupçonnerait
même pas l’existence. Pour les parisiens le mieux
est encore de se rendre chez W H Smith, rue de
Rivoli, près de la placé de la Concorde.
Notez que dans 1rs deux cas il vaut toujours mieux
en venir à s’abonner à ces revues plutôt que de les
acheter chaque mois le prix de vente en France est
en effet souvent le double du prix original...
W ’
H U G O DELI
a technologie de l'émission Hugo Délire
ainsi que son concept sont d'origine
danoise. Il y a deux ans, un quatuor imagi­
natif comprenant deux informaticiens ont
travaillé quelques 67 000 heures pour finali­
ser ce jeux interactif. Le graphisme très
coloré au look "bande dessinée" représente
d'ailleurs bien le style nordique d'anima­
tion. Quant à la voix du personnage, point
de synthétiseur : c'est un ancien Coco Boy,
Philippe Bideau, qui lui donne vie.
Tilt Productions (aucun rapport avec les édi­
tions mondiales...) a acheté l'exclusivité
pour la France d'Hugo Délire. Ils versent
des royalties au concepteur danois ITE.
Bientôt, les américains découvriront Tino ;
quant aux espagnols, turcs, israéliens, fin­
landais, suédois et bien sûr danois, ils
jouent déjà avec Hugo depuis longtemps.
Après deux ans de galère durant lesquels
personne n'en voulait, le concept s'exporte
bien, merci pour lui.
La France, forte du succès de l'émission,
apporte quelques modifications au jeu et
élabore de nouveaux scenarii, tel le jeu des
clés, que l’équipe danoise programme. Les
royalties sont dans ce cas partagées avec le
producteur de Tilt Productions, Michel
Massard.
L
L'Amiga s'incruste
de plus en plus
dans le RAF... Qui,
au détour d'un
zapping des
publicités de 20H30,
n'a pas été
interpellé par cette
première émission
interactive, sur
France 3 ? Vous
aussi, vous avez
suivi Hugo dans ses
aventures, du haut
de son avion
jusqu'au fond de la
mine. Hugo Délire
associe deux
éléments dans la
construction de son
succès : le sourire
de Karen Cheryl
vous accroche et
l'innovation
technologique de
l'interactivité vous
interroge. C'est un
Amiga 4000 qui
donne vie à Hugo et
gère l'interactivité
avec le conçurent.
Suivez le guide.
Ce sont en moyenne 20 000 appels qui par­
viennent quotidiennement au central. Les
170 lignes sont saturées à tel point que
Karen doit se retenir de donner le numéro à
l'antenne ! Les huit minutes d'interactivité
ont fait grimper les points d'audimat de
France 3 pour ce créneau horaire de plus de
130%, un succès qui fait déjà des envieux
dans cette jungle audiovisuelle...
L'émission se déroule dans les prochaine­
ment feu studios SFP des Buttes-Chaumont,
à Paris. Eh oui, "prochainement feu", car le
ré-équilibrage de l’est parisien déménage la
SFP vers Marne la Vallée, plus près de toi,
Mickey (parfois surnommée "Marne l'ava­
lée... par les américains, bien entendu...).
C'est à travers un dédale de couloirs, de
résidus de décors (tiens, un bout de "la
Marche du Siècle" !) et d'odeurs de menui­
serie fraîche, que nous trouvons le Studio
12, lieu exact de notre rendez-vous.
1 9 H 3 0 : LE S T U D IO
C'est un immense cube de vingt-cinq mètres
de côté, nu ou presque, sans autre ouverture
que deux petites portes. Les décors d'Hugo
Délire sont comme perdus dans cette
immense salle. Les Sun-Lights (projecteurs
"lumière du jour", NDLR) arrosent une
grande toile bleu horizon de vingt mètres
carrés qui sert de fond au décor. Trois
mètres devant, poussent trois palmiers et un
\
parasol pour donner le ton estival de l'émis­
sion.
Karen vient s'asseoir devant tous ces élé­
ments. Une table à roulettes lui sert de coif­
feuse, son sac et son poudrier ne la quittent
jamais de plus de quelques centimètres.
Deux caméras braquent leur objectif sur
IRE S U R A M I G A
citique : en l'occurence, le plus haut
retransmet ce que monsieur tout-lemonde peut voir sur son téléviseur. C'est
ce qui passe actuellement à l'antenne.
Deux autres écrans sont attribués aux
caméras du studio. Le générique est calé
sur un moniteur à lui. D'autres écrans
montrent Hugo au départ d'une aven­
ture... Et ainsi de suite, jusqu'à la bandeannonce des lots peut-être gagnés par les
concurrents.
Bien sûr, au centre de la pièce, une bcte
énorme, pleine de boutons et de potentio­
mètres (ça mange de quoi, l'hiver, ces
animaux ?). trône, avec ses indispensables
cendriers intégrés, comme pour narguer
les signaux d'interdiction de fumer...
remplacement de Karen, l'une pour les
gros plans (sourires, petits baisers, ou
"bye bye’' mielleux), l’autre assure le plan
large.
Une voix comme venue d'ailleurs remplit
le studio. Nous cherchons l'origine : c'est
forcément la régie, mais où est-elle ?
2 0 H 0 0 : L A R E G IE
Tous les retours sont là, une bonne
dizaine d'écrans au moins. Pas besoin de
transformer la régie en aquarium, comme
en radio, pour communiquer avec le pla­
teau.
C'est une véritable ruche humaine. Au
moins dix personnes s'activent, rient, dis­
cutent... L’antenne est encore dans 36
minutes, nous ne sentons pas monter la
pression. Chacun ici a un rôle bien déter­
miné qu’il connaît pas coeur. En vieux
routiers de la télé, nos hôtes savent ils ont
encore le temps.
Michel Massard, le producteur, nous pré­
sente l'équipe : la scripte, le régisseur, le
réalisateur, le truquiste, l’ingénieur du
son, etc., etc. Il nous explique que chaque
écran de contrôle a une source bien spé-
2 Q H 1 5 : L 'A M IG A
Là, blottie dans un coin de la régie, une
armoire noire couronnée d'un écran, cli­
gnote de tous ses boutons jaunes. Vous
devrez nous croire, au même titre que
nous avons dû croire le producteur,
quand nous affirmons que c'est un Amiga
4000 qui en est le cerveau : nous
n'aurons pas le droit de l'ouvrir, pour des
raisons de secret de fabrication, surtout
ceux du modem.
Michel Massard nous explique tout de
LE JEU
Voici le déroulement du jeu sur une
semaine, avec, toutes les nouveautés appor­
tées à l’émission.
L U N D I, M A R D I,
J E U D I, V E N D R E D I
Deux candidats sont sélectionnés et jouent
depuis chez eux avec leur téléphone. Un
candidat "Star'', dont la photo paraît dans
France Soir, a été tiré au sort parmi le cour­
rier reçu. On note le nombre de points de
chacun pour le Top 3.
M ERCREDI
Les joueurs, y compris le candidat Star, sont
sur le plateau aux cotés de Karen Chéryl. Les
scores réalisés sont notés pour le TOP 3.
VENDREDI
A la fin de l'émission, le Top 3 (un classe­
ment des meilleurs scores réalisés dans la
semaine par les candidats), désigne les trois
gagnants d’un voyage d'une semaine pour
deux au soleil.
SAMEDI
Deux enfants avec un de leurs parents, for­
ment deux équipes, et jouent en plateau
pour remporter le voyage du jour.
DU LUNDI
AU SAMEDI
Lorsqu'un candidat additionne au moins 4
500 points, il gagne immédiatement un
même le principe de fonctionnement.
C'est le CD-Rom qui a été retenu
comme support pour les jeux. Cela per­
met d'avoir plus de graphismes et plus
de bruitages.
Les danois ont simplifié au maximum
l'utilisation de la machine. Exit le clavier
et la souris, de simples boutons de
commandes les rem placent. Il suffit
d'appuyer sur l'un des boutons pour lan­
cer (presque) aussitôt le jeu correspon­
dant. Jusqu'à présent, huit aventures
d'Hugo ont été créées. Les premières,
celles qui ont fait la renommée de
l'émission, sont encore souvent utilisées.
Idem pour éteindre et allumer l'appareil :
deux gros boutons sont dédiés unique­
ment à ce rôle. Un aveugle ne pourrait
pas les manquer !
La gestion de la ligne téléphonique est
cependant légèrement plus complexe.
Avant l'émission, il faut procéder à
quelques tests et réglages de la récep­
tion. Il est en effet impératif que celle-ci
soit la meilleure possible, sinon Hugo ne
répondrait pas correctement aux ordres
des candidats ! Ces réglages sont effectutés de manière très simple : le régisseur
demande aux trois candidats du jour de
pianoter une dizaine de fois sur le 5 de
leur téléphone. Il règle alors une molette
jusqu'à ce que l'appareil lui indique, via
une série de LEDs rouges et vertes, que
la réception est optimale.
Seules trois touches du téléphone sont
nécessaires pour diriger Hugo : le 4 va à
gauche, le 6 à droite, et le 5 permet,
selon le jeu, de sauter ou d'effectuer un
choix. Il aurait évidemment été possible
d'utiliser les autres touches du combiné
téléphonique, mais cela aurait augmenté
la complexité du jeu, et donc rebuté les
téléspectateurs les plus jeunes.
20H 30 :
ANTENNE DANS
5 M IN U T E S
La ruche continue de bourdonner.
Personne ne semble intéressé par le direct
qui démarre dans moins de .5 minutes.
Sauf Karen, déjà en place, qui répète
inlassablement son intro, tout en se
repoudrant le nez.
voyage, et fait obligatoirement partie du
Top 3. Mais avec ce super score, Karen lui
offre de jouer au "Coffre Magique", un jeu
qui consiste à reconnaître très vite parmi
trois clés, celle qui ouvre la serrure du
coffre, où se trouve un super cadeau.
Téléphone pour candidature :
36.68.33.33 (2,19 F/Minute)
20H 35 :
ANTENNE DANS
3 0 SECONDES
La scripte égraine les secondes... 30, 20,
10... Tiens, chacun semble enfin se consa­
crer pleinement à sa tâche... 5 secondes...
Tout semble fin prêt... 3, 2,1...
20H 36 :
ANTENNE
Le générique est lancé. Le producteur,
tel un capitaine de frégate, donne le ''top
départ" à Karen, qui place son intro avec
de grands sourires. La régie s'échauffe,
l'ordinateur est prêt à animer Hugo sous
les ordres du premier candidat.
Après les discussions d'usage ("bonjour,
comme lu t'appelles ?"), Karen lui
annonce qu'il va pouvoir jouer. C'est le
producteur qui lance le jeu, simplement
en appuyant sur un bouton situé sur la
console. Mais pour qu'Hugo annonce le
jeu à haute voix, il faut qu'un technicien
envoie la bande sonore exactement au
même instant. La synchro doit être par­
faite.
Le premier candidat ne fera pas long feu.
Après quelques secondes de jeu à peine,
il va lamentablement s'échouer dans
une voie de garage. Le producteur
s'inquiète et s'énerve un peu : seuls trois
candidats sont prévus. S'ils sont tous
aussi maladroits, il va falloir remplir...
Le deuxième candidat ne sera pas plus
chanceux. Heureusement, le troisième
ira jusqu'au bout de sa mission et par­
viendra même, au terme d'une épreuve
supplémentaire, à sauver Hugoline.
2 0 H 4 4 COUPEZ !
Il reste cinq secondes de direct. Le géné­
rique de fin est envoyé, et, du bout des
doigts, Karen lance un baiser à ses mil­
liers de fans. Le directeur d'antenne
enchaîne alors sur les programmes de la
soirée. Le direct est terminé, l'équipe fait
une auto-critique rapide. Plus de dix
mois d'émission ont permis à tous de se
rôder. Le plateau se vide, l'activité
reprendra demain. Hugo s'endort dans
son Amiga.
Jean-Yves Primas et Stéphane Schreiber
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GVPCOMBO 350 4 Mo RAM
ZEUS 33 Mhz OKo SCSI2
MERCURY 040-301» OKo
GVP F40
LA GALERE
DU MOIS
Cette rubrique "La
Galère du Mois"
connaît un franc
succès. Beaucoup
d'entre vous se
mobilisent et nous
écrivent pour faire
part aux lecteurs
d'Amiga Revue des
déboires qu'ils ont
un jour connus avec
leur matériel, et leur
éviter ainsi d'avoir à
affronter les mêmes
problèmes. ,
C'est aujourd'hui au tour d'un lecteur
Marseillais de nous narrer par le détail
sa tentative d'achat d'un disque dur IDE
et d'une imprimante pour son Amiga
600. Un délai de cinq mois aura été
nécessaire pour que Monsieur Christian
Pelissou, informaticien novice dont
l'Amiga est le premier ordinateur, puisse
pleinement profiter de son matériel...
“J'a i acheté un Amiga 600 le 8 avril
1992, sans disque dur ni moniteur.
Grâce à son mode d'em ploi, qui est
d'une certaine façon assez bien fait, cela
m 'a permis de débuter en informatique,
alors que je n'avais jam ais touché un
clavier d'ordinateur de ma vie. Par la
suite, j'a i acheté un moniteur (le 6
octobre 1992), puis un disque dur de 80
M o (le 29 octobre 1992). C'est à ce
moment-là que mes ennuis ont com­
mencé.
J'a i acheté le disque dur par correspon­
dance, en me fiant à une publicité de
votre journal. J'a i écrit à une société de
Paris et, bien évidemment, ai payé de
suite. Je reçus quelques temps après un
colis contenant le disque dur et son
câble nappe, mais sans un quelconque
mode d'em ploi ni aucune vis de fixa­
tion. Par téléphone, j'a i pu savoir com­
ment il se montait en respectant sa pola­
rité, mais, on s'en doute, il ne
fonctionnait pas. J ’a i donc du le ren­
voyer afin de le faire vérifier.
Trois semaines plus tard, je reçus un
colis avec un autre disque dur (j'avais
fait l'objet d'un échange, me précisaiton) et son câble nappe. Cette fois-ci, je
le fis monter par un professionnel de
l'informatique (coût de l'opération : 100
F). Lors de la mise en route de l'ordina­
teur, toujours rien. J'a i essayé de deman­
der conseil par téléphone. On me fit
patienter une éternité (bonjour la note
de téléphone Marseille-Paris), pour
rien... Le D D et son câble sont donc
retournés à l'envoyeur.
M ais mes malheurs n'allaient pas s'arrê­
ter là. J'a i acheté dans une grande sur­
face une imprimante Citizen couleur,
avec laquelle on devait me faire parvenir
gratuitement un logiciel de mise en
route, que je reçus effectivement,
accompagné d'un mode d'em ploi plus
que court. L'imprimante fonctionnait
bien, si ce n'est qu'elle n'im prim ait pas
vraiment les caractères que j'avais à
l'écran...
Je trouvai alors à Marseille un magasin
sympa, qui me dit qu 'il pouvait m'aider.
Je leur amenai l'imprimante, le techni­
cien la paramétra correctement, mais
comme elle ne fonctionnait toujours pas,
chercha ailleurs et trouva la vraie panne :
le câble fourni était défectueux. Côut de
l'opération : 250 F environ. Là encore, il
me fallu près de trois mois pour profiter
de mon imprimante (achetée le 3
décembre 1993, mise en service réelle­
ment fin février de la même année).
Maintenant, tout fonctionne bien, à part
quelques non-sens que je n’arrive pas
encore à saisir (ça viendra). Quant aux
lecteurs d'Amiga
Revue, amateurs
comme moi, je leur conseille de trouver
un bon magasin près de chez eux, à qui
ils resteront fidèles, et où ils pourront
éventuellement demander conseil, en
étant sûrs de leurs achats. Car tout seul,
l'informatique est vraiment un univers
im pitoyable..."
Christian Pelissou, Marseille
Entre la N oël et le Nouvel-An, je reçois
pour la troisième fois un colis avec un
disque dur, mais cette fois sans câble
nappe ! Ce fut la goutte d'eau qui fit
déborder le vase ! J'écrivis une lettre
demandant le remboursement pur et
simple de ma commande, en signifiant
le peu de sérieux dont cette société fai­
sait preuve. Le D D (sans nappe) plus
lettre : retour à l'envoyeur vers le 23 jan­
vier 1993, fêtes obligent.
Vers le 15 février, je reçus pour la qua­
trième fois un disque dur, cette fois-ci
avec nappe, et accompagné d'une lettre
brouillon me disant q u 'il n'était pas
question de l'échanger, vu que cela
avait déjà été fait précédemment.
J'essayai de suite ce disque dur (je savais
maintenant comment le monter en res­
pectant la polarité) et m irâcle : il fonc­
tionnait à m erveille. Il me fallut tout de
même près de cinq mois pour profiter de
mon disque dur !
ARRETE DE R A M E R ,
T'A TTA Q U ES
LA FALAISE
Si vous aussi, vous vous êtes retrouvé
dans une situation similaire, ou si une
anecdote aussi cocasse vous est sur­
venue. n'hésitez pas à nous la narrer
par le détail. Cette rubrique "La
Galère du Mois" est là pour dénoncer
les abus dont vous, les consomma­
teurs, pourriez êtres les victimes invo­
lontaires au cours de vos aventures
dans la jungle Amiga.
Amiga Revue - La Galère du Mois
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75010 Paris
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HOUVC'"' ' AmiQuest
L e p r e m ie r disque d u r amovible P C M C I A p o u r A M I G A
AmiQuest vient se connecter sur le port P C M C IA de votre AM IGA et s'utilise comme une
disquette. V o u s n’avez donc plus besoin d'ouvrir votre A M IG A et de perdre la garantie pour
installer un disque dur. Vous pouvez booter dessus ou tout simplement l'utiliser comme
périphérique de sauvegarde en plus de votre disque dur interne, ou encore comme une
disquette qu'on peut emmener chez ses amis. Idéal pour se promener avec 40. ou même 120
Mo en poche, il se montrera, de plus, 2 à 5 fo is plus rapide qu'un disque dur interne.
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compatble avec tes nouveaux .rodes AGA du 1200 et » j 4OC0
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AMEM32 : carte 32 bits interne pour A1200 avec horloge support
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2 350 F
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AMEM32 4 MO + 68B82............................................
AMEM-2 cane PCMCIA 2 Mo pour A600/A1200.....................
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1 Mo interne avec horloge pour A600 ............................................. 450F
1 Mo Chip pour A500 P iu s .....................................................
350F
Extension mémoire pour A500
nous consulter
Extension mémoire pour A2000 ....................................... nous consulte»
Kit 2 Mo pour ADD, A3000. etc...................................................... 800 F
Kit 4 Ma pour ADD. A300D. etc..................................................... 1 500 F
SIM M 32 bits de 2 Mo de Chip RAM pour A4000 ......................
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QUANTUM 85 Mo. ’ 7ms..................................................... .
QUANTUM 127 Mo
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68020
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A500
A500
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DemonQuest est u n boiser externe qui vient se connecter sur
le port P C M C IA de votre A M IG A et qui contient un disque dur
3 .5' ID E standard Vous n'avez donc plus besoin d'ouvrir
votre A M IG A et de perdre la garan tie pour installer un disque
dur. Beaucoup plus tiable et pertoimant qu'un disque dur 2 5'
interne, il se montrera entièrement compatible a ve c celui-ci
mais 2 à 5 lo is plus rapid e II se connecte très simplement
et est immédiatement prêt à remploi.
DemonQuest 89 M o .................................................... 1 790 F
DemonQuest 130 Mo
2 290 F
DemonQuest 2 1 4 Mo
3 190 F
AMtGA 1200 seu
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AMIG A 12QO - D O 60 Mo . .
4 090 F
AMIGA 1200 + DO 80 Mo
4 390 F
AMIGA 1200 . DO 120 Mo
4 890 F
Autres Conftgo'efioos A l200
noue consulter
DuqueDur 60 Mo pour A1200
1 690 F
Disque Du» 80 Mo pour A1200
1 990 F
DequefXx 120 Mo oour A1200 .
2 490 F
Les disques dure sont kvr** complets avec v.s cable
et disquette
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AMEM-2 cane memore PCMCIA de 2 Mo
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990 F
AMEM-4 cane m emere PCMCIA de 4 Mo
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M-yqev- Coûtée’ M,'--$y-çr. ’ »t2________
Rend tous les moniteurs VG A compatibles avec les modes 15 Khz de
ra m i g a dQOO. i; es! normalement impossible d'attlcber un éc'an PAL ou
N TSC *5 Khz avec un monileur VGA Multisync standard ni tfavoir le
-Boot-Menu’ ni 00 lance' des jeux qui ouvrent automatiquement un ©cran
P A L Avec le Scan-Doubler. un simple moniteur VG A suffit pour remédier
A ce problème. De plus, la sortie 23 broches reste disponible.
interne A500 ................
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200
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AMIGA 1200
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1942
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1190
1490
1890
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DD 120
369 0
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MULTIMEDIA,
MODE
D'EMPLOI
Selon les spécialistes,
Tannée 1994 devrait
voir Tavènement du
multimédia grand
public. Microsoft et
Apple ont depuis
quelques temps déjà
sorti leurs griffes, à
travers les PC
Multimédia ou
QuickTime. Face à ces
deux grands, quelles
sont les chances réelles
de TAmiga ? Peut-il
encore prétendre au
multimédia ou lui
manque-t-il les qualités
nécessaires ? Réponses
immédiates à travers
une estimation du hard
et du soft donnée par
des professionnels et
des utilisateurs :
opinions contrastées
pour un dossier vérité.
ta Ma
passion pour les ordinateurs
Commodore était réelle, explique
Sébastien Caput, ancien
utilisateur
d'Amiga. Tout a commencé avec le
Commodore 64. dans les années 80.
Puis je suis passé au Commodore 128,
qui m'a déçu de par son absence de
softs. J'ai ensuite acheté un Amiga
2000b. Les jeux étaient de bonne qua­
lité, mais la bureautique ne suivait pas.
Cela m'a d'abord surpris puis inquiété.
Mais c'est lorsque j'ai voulu acheter un
disque dur que j ’ai compris ma douleur.
On me demandait 3 000 francs pour
120 Mo, sans la carte contrôleur... j'ai
alors tout revendu et je suis passé au PC.
le n'ai pas l'impression d'avoir perdu en
qualité graphique (je suis équipé d'une
carte S-VGA) ni sonore, puisque mon PC
a 22 voix stéréo. Avec l'Amiga, on a du
mal à grandir vile et devenir adulte... à
moins d'avoir les moyens !"
L'exemple de Sébastien Caput est par­
lant. Il pose un véritable problème et de
nombreux
utilisateurs
s'interrogent.
L'Amiga, aussi attachant soit-il, est-il
encore une valeur sûre pour entrer dans
l'ère du multimédia ?
"Vous tombez bien, s'exclame Alain
Didierjean, directeur, avec Eric Gontier,
de la jeune société Someware. Nous
sommes justement en train de concevoir
une application multimédia très com­
plexe pour un grand loueur de caméras
professionnelles. Cela emploie trois
développeurs à plein temps, ce qui ne
s'est jamais vu dans le monde Amiga et
très rarement dans le monde PC ou
MAC." Discret sur l'application en
cours, Someware insiste sur un point :
seul l'Amiga pouvait résoudre les pro­
blèmes posés.
Dans le sud-ouest de la France, CIS
s’enorgueillit lui-aussi de ses expé­
riences multimédia avec l'Amiga. Le
directeur, Franck Lafage, rappelle immé­
diatement que "l'Amiga est utilisé de
façon professionnelle, mais on ne le dit
pas assez. Voyez Renault Belgique qui,
avec Scala Multimédia, a développé des
bornes qui réclamaient beaucoup de
puissance (mélange de vidéo et de
musique)." Et de citer également la
Caisse Primaire d'Assurance Maladie,
qui, sur 21 sites dans le Sud-Ouest, à
partir d'Info Channel, s'est créé une
vraie
communication
multimédia.
L'Amiga gère un réseau Ethernet, un ser­
veur Novell et des bases de données
dBase, le tout étant raccordé à un site
central qui remet à jour quotidienne­
ment des scripts sur les 21 Amiga 1200
chargés de diffuser localement les infor­
mations. " La Caisse d'Epargne dispose
maintenant d'un système Scala qui gère
des CD-Vidéo, poursuit M. Lafage. Et le
groupe GSF, spécialisé dans le net­
toyage, a toutes ses agences, 60 en tout,
équipées d'Amiga et d'Info Channel."
Bref, l'Amiga aurait fait son entrée dans
le monde professionnel de façon indé­
niable. Ses atouts sont nombreux, mais
LE M A R CH E M U LTIM ED IA
Les professionnels en parlenl comme du
far-wesl des années 90. Les amateurs bai­
gnent dans les articles journalistiques et
prospectifs. Le monde du multimédia se
profile a grands pas, mais qui sait vraiment
ce qu'il deviendra ? O n annonce ainsi
régulièrement des chiffres faramineux, qui
font rêver tant et si bien que de nom­
breuses sociétés naissent pour tenter
l'aventure.
Ni CIS, qui se considère comme une
société "tournée vers l'infographie appli­
quée à la vidéo et les systèmes de commu­
nication". ni VSPFF qui décline son sigle
comme "une série d'offres en Vidéo.
Services. Production, Formation, Edition",
ni SomeWare, s'affichant comme une
société "orientée vers le développement
d'applications sous Unix et Amiga',
aucune des trois, n'emploient le mot mul­
timédia pour se définir.
Le terme multimédia ‘est un peu lourretout" explique M. Lafage. "Il y a un peu
tout et nen dans le marché multimédia.
On en est même gêné d'utiliser le terme,
le crois toutefois qu'un réel marché
naître et que l’Amiga est bien armé
s’y faire une place de choix". Ce
tous les professionnels mettent en avant
une caractéristique
le multitâche,
jusqu'à
présent
peu
concurrencé.
"L'architecture de l'Amiga est exception­
nelle : on a à taire à un vrai système
multitâche qui fonctionne sous 1 Mo de
mémoire. C'est très important pour le
multimédia, qui consomme en général
et de la mémoire et du temps machine.
L'Amiga, grâce au multitâche, peut gérer
les salves de commandes continues de
certains magnétoscopes, alors qu'un F’C
se trouve complètement paralysé au
point que le pointeur (de la souris,
NDLR) en est terriblement ralenti",
explique M. Lafage.
Quant à M. Thomas, directeur adjoint de
la société VSPFE, il rappelle une cruelle
vérité : "la structure physique du PC est
limitée : c’est le processeur, par
exemple, qui gère le pointeur. Sous
Windows, faites aller en tous sens le
pointeur, à toute vitesse, et vous verrez
que la machine ralentit et ne peut plus
rien suivre ! Au contraire, la structure
physique de l'Amiga a été conçue pour
le multimédia ; ce devait être une
machine de jeux multimédia. Quant à
Windows NT, qui est un vrai multitâche,
il ne nécessite pas moins de 16 Mo de
Ram et 80 Mo sur le disque dur pour
fonctionner et ce, sans compter la
mémoire nécessaire pour les autres
applications...".
SomeWare, outre le multitâche, voit en
l'Amiga d'autres qualités : "Nous avons
sept ans de savoir-faire en tant que déve­
loppeur sur Amiga. L'Amiga a un O.S
fantastique, qui avance bien et qui
affiche des performances très supé­
rieures à celle d'un Mac ou d'un PC.
D'ailleurs, lorsque l'on présente l'Amiga
à des professionnels qui travaillent sur
Mac ou PC, et qui n'y ont jamais
accordé beaucoup d'attention, ceux-ci
sont stupéfaits des capacités extraordi­
naires de cette machine et notamment
du vrai multitâche, de la facilité de pro­
grammation grâce aux "librairies" et de
la bonne utilisation du processeur, par
ailleurs déchargé de certaines tâches par
le Blitter et autres puces annexes." Mais
M. Lafage est encore plus catégorique et
affirme sans ambage "qu'un 486 DX2
n'arrive pas à la cheville d’un Amiga
.lOO, je dis bien Amiga 500. C'est tout
simplement un problème de machine".
Autre point fort de l'Amiga pour pénétrer
le marché du multimédia : la francisa­
tion. " Quand un logiciel est francisé,
ses ventes sont multipliées par 20.
Pourquoi alors ne pas franciser, d'autant
plus que la loi française l'exige. D'ici à
94, tous les produits proposés par CIS
seront francisés. Scala Multimédia, c'est
350 pages de documentation en fran­
çais. Info Channel, 450 pages." Et M.
Thomas renchérit : "on s'est beaucoup
battu pour qu'enfin la version française
du manuel de CanDo puisse être distri­
buée. C'est important, car cela rend le
produit crédible dans le monde profes­
sionnel."
Franck Lafage explique l'essor lent de
l'Amiga dans le monde professionnel
"parce que le Workbench n'a pas été
francisé à temps. L'utilisateur voyait
alors, lorsqu'il faisait fonctionner un soft
en français, des messages en français
mais aussi en anglais venant du
Workbench ! Face au Mac ou au PC,
cela n'était guère crédible, le souhaite­
rais maintenant qu'il existe vraiment des
upgrades du Workbench à disposition
du public, que l'on trouverait sous forme
de kit, comme on trouve les upgrades du
DOS, payantes, chez n'importe quel
revendeur..." Moins châtié mais tout
aussi franc, M. Thomas ajoute : ")c me
demande toujours pourquoi Commodore,
qui dispose d'une machine exception­
nelle, n'attaque toujours pas, dans son
discours commercial et publicitaire, les
grandes institutions que sont IBM et
Apple. La machine est époustouflante
mais
commercialement
parlant,
Commodore,
excusez
l'expression,
n'assure pas une cacahouette." L'Amiga
souffre d'un manque de promotion évi­
dent. " Mais c'est une plate-forme
viable, insiste M. Lafage. Pour que
l'Amiga monte, il va falloir réduire les
prix et sensibiliser l'utilisateur au pro­
duit. Le piratage, que je considère peut
important (même s'il représente environ
20% du marché) disparait peu à peu au
profit d'utilisateurs responsables et satis­
faits des produits et des services qui
l'accompagnent (hot-line, francisation),"
Une bonne nouvelle pour les utilisa­
teurs. non ( ■
Frédéric Pierron
I e monde du multimédia est un monde où l'on brasse beaucoup d'argent. Ce qui ne veut pas
dire que ce domaine est réservé aux fortunés. Si M . Lafage. directeur de CIS. considère
"qu'un Amiga 4000 est nécessaire pour le développement professionnel d'une application
multimédia, de par sa capacité à ingérer des cartes d'acquisition sonores et video puis­
santes", tous les professionnels s'accordent pour conseiller l'Amiga 1200 au créateur amateur
d'application multimédia.
"L 'A I 200 est sans nul doute le meilleur ordinateur du moment, qui, pour un prix bas (par
rapport aux PC. M ac et A4000i de l'ordre de 5 000 francs, offre une qualité et des capacités
étonnantes' explique Alain Didierjean de Someware. "L'Amiga a un avantage énorme,
ajoute M. Lalage, il est modulaire et évolutif. O n peut acheter un A l 200 (moins cher qu’un
PC) puis une carte accélératrice, puis un Cienlock, et ainsi de suite jusqu'à avoir une station
vraiment puissante."
II ne reste plus alors qu'à créer votre application multimédia... si vous remplissez ces condi­
tions : un Amiga. un logiciel de conception 'C anD o ou Scalai. un painter (DPaint IV), un
échantillonneur vidéo iVidi ou DCTV). un digitaliseur de sons lAudiomasteo et un tracker
(Med). Armé de tous ces outils, vous devrez vous demander si tout est à votre portée ou si
vous avez besoin que l'on vous prêle main forte. O n peut en effet être doué pour la program­
mation et ne rien connaître en dessin ou en musique. Pourquoi alors ne pas travailler en
équipe î C ’est stimulant, et plus on est de fous, plus on a d'idées.
L équipe idéale se compose de quatre personnes : un scénariste-chef de projet, un graphiste,
un musicien et un programmeur. Le chef de projet, comme son nom l'indique, mène la
barque, prend les décisions et fait en sorte que les idées soient suivies de productions. Le gra­
phiste a un rôle très important car il impose non seulement un choix graphique personnel
mais il doit en plus se mettre dans la peau de l'utilisateur final et se demander si l'écran est
lisible, explicite et incitatif. Le musicien peut sc charger de la fabrique des sons et des
musiques. L'apport sonore est encore très négligé dans la plupart des applications multimé­
dia, les musiciens sont donc les bienvenus. Enfin, le programmeur est indispensable. S'il
s'agit d'un langage de programmation multimédia de tvpe Amos Pro. cela paraii évident tant
la connaissance des 600 commandes, de la syntaxe du langage et des principes de bases de
programmation est le minimum que l'on puisse exiger d'une personne se lançant dans le
multimédia Mais même s'il s'agit d'un logiciel de conception par icônes. Il ne faut pas croire
que l'on peut pour autant s improviser programmeur. Ces logiciels s apprenent et demand
beaucoup de pratique.
Deux autres aspects ne doivent pas être négligés. D'abord la légalité : s'il est
"d'emprunter" des images ou des extraits sonores, il faut absolument s'assurer que les auteurs
de ces images ou de ces musiques vous accordent le droit de les exploiter Ensuite, le l
: concevoir une application multimédia demande de ( argent Pour le matériel pour I
des droits d auteur, pour le temps passé etc.
Pourquoi alors ne pas proposer vos services a des association, i
ux ou administratifs Comme l'Amiga permit le i
i-iiix. il est possible qu'une mairie, une école, La i u;
acceptent de vous confier la réalisation d'une borne,
de malériel et le plaisir de concevoir quelque
LES LOGICIELS DE
CO N CEPTIO N
M U LTIM ED IA
L'Amiga est fort bien
pourvu en logiciels de
conception multimédia.
On peut en distinguer
deux types. Les
premiers servent
principalement à
générer des données
que l'on pourra ensuite
intégrer dans une
The Director
Un langage de programmation orienté
multimédia. Le premier sans aucun
doute. Né il y a au moins quatre ans,
The Director de The Right Answer
Group offre des performances éton­
nantes. En fait, The Director est un lan­
gage Basic, capable de traiter des
variables, d'effectuer des opérations
mathématiques, mais aussi conçu pour
afficher des images, faire tourner une
animation par flicking, jouer des sons et
gérer l'interactivité. Son concurrent le
plus direct et le plus récent est Amos.
application multimédia,
tandis que les seconds
sont destinés à créer de
véritables applications
ans ie premier cas, il peut s'agir de
digitaliseur de sons et d'images, de
composeurs de musiques (tracker), de
palettes graphiques, ou de créateurs
d’animations. Les autres softs permettent
la création de l'application en ellemême. En d'autres termes, ces logiciels
lient entre elles des données sonores,
vidéo, ou textuelles et y ajoutent un
grain d'interactivité.
AudioMaster II
Le logiciel de digitalisation de sons par
excellence. Capable de générer des
échantillons stéréo, de construire des
échos, d’accorder un son, de mixer,
couper, coller, copier, inverser et sauve­
garder
sous
différents
formats,
Audiomaster fonctionne en outre avec
pratiquement n'importe quel échan­
tillo n n er hard. Ses fonctions de zoom
et d'insertion permettent des montages
sonores
étonnants.
Les
musiciens
"House Music" disposent avec, ce logi­
ciel d'un outil de manipulation des sons
très puissant.
Parmi cette dernière catégorie, on
pourra distinguer les logiciels de pro­
grammation "pure'', représentés par des
langages, et les logiciels de conception
par icônes, dont le principe consiste en
l'organisation d'icônnes symbolisant un
état, une donnée ou une action.
Pro Sound Designer
Une sorte de challenger d'Audiomaster,
compatible uniquement avec son propre
échantillonner
hard,
Pro
Sound
Designer n’en est pas moins un excellent
logiciel, particulièrement performant
pour régler le volume sonore et la hau­
multimédia.
D
teur d'un son. En outre, il dispose d’une
interface à base d'icônes 3D qui rap­
pelle
étrangement
le
look
du
Workbench actuel, d'où un confort
d'utilisation accru.
_a l
CanDo
Il s'agit d'un outil de conception multi­
média à base d'icônes. Contrairement à
ses concurrents, CanDo n'aligne pas des
icônes sur une ligne symbolisant le
temps, donc les différents moments où
doivent se déclencher un événement. En
fait, au moment où l'on construit l'inter­
face graphique (icônes, menus, anima­
tions, textes, sons), on peut lui indiquer
les différentes actions potentiellement
autorisées. Par exemple, on dessine un
bouton en 3D et, à coups de clics de
souris, on assigne à celui-ci une action
et une condition : s'il est pressé une fois,
deux fois, ou s'il est relâché.
Med, tracker du DP
Digitaliser des sons c'est bien. Les
inclure dans une musique de sa compo­
sition, c'esl encore mieux. Tantôt logi-
ciel DP, tantôt logiciel commercial selon
ses versions, Med est un tracker. Issu d'une
longue lignée sur Amiga, les SoundTrackers
ou NoiseTrackers, Med met à la disposition
du musicien une série d'outils puissants et
relativement conviviaux. Pour composer
une musique, il suffit d'entrer des notes
(notation anglaise) dans l'un des quatre
canaux verticaux, sorte de traitement de
texte où le couper-coller-copier est pos­
sible. Med sait gérer les codes MIDI et peut
donc converser avec la plupart des synthé­
tiseurs du marché. Il dispose en outre d'un
petit synthétiseur, difficile à utiliser, et d'un
échantilloneur intégré dont la convivialité
est douteuse. Non, décidément, le point
fort de Med, réside dans ses fonctions de
composition musicale. Notons au passage
que les musiques créées par Med et ses
ancêtres sont maintenant lisibles par cer­
tains logiciels PC ! Le monde bureautique à
l'assaut du multimédia manque en effet
cruellement de musiques et va donc
pécher sans vergogne sur le marché Amiga,
riche en compositions musicales très
variées. Sur PC, vous pourrez donc lire les
modules de Med, mais pas en composer...
Deluxe Paint IV
En matière de palette graphique, voire de
logiciel tout court, s'il fallait citer un nom.
Deluxe Paint serait celui-là. La référence
sans conteste et sans contradiction possible
en matière d'infographie et d'animation.
Car le logiciel allie les deux fonctions : des­
sins et dessin animé ! Les possibilités sont
si vastes et si étonnantes qu’il est impos­
sible d'en faire le tour. Apprenez seule­
ment qu'on peut tout faire avec... pour peu
que l'on sache dessiner.
Bars And Pipes
Pourquoi citer ce logiciel de composition
Midi ? Parce que de nombreuses applica­
tions multimédia, pour pallier la qualité
limitée des sorties sonores de l'Amiga,
commandent en fait un synthétiseur. Tous
les instruments de musique un tant soit peu
évolués disposent désormais d'une inter­
face Midi, qui permet d'échanger des infor­
mations musicales de tous ordres entre synthés et ordinateurs (notes, instrument
sélectionné, effets, etc.). Pour converser
avec votre synthétiseur, il vous faudra
acquérir une prise Midi que vous connecte­
rez au port série de votre Amiga qui sait
recevoir et transmettre des informations à
plus de 30 000 bauds. On peut alors imagi­
ner se servir d'un synthétiseur pour générer
des musiques dignes de ce nom. Il est aussi
envisageable d'utiliser ce logiciel pour
concevoir rapidement des musiques ;
celles-ci étant sauvegardées au format Midi
puis intégrées dans le tracker Med 3.0 qui
reconnaît le format Midi. Le gain ? Un
confort de création musicale inégalé...
1
SttC
*
AmigaVision Pro
C'est la solution officielle de Commodore
à vos problèmes multimédia. Outil de
conception multimédia à base d'icônes,
Amigavision Pro est utilisé par de nom­
breuses entreprises pour réaliser des jour­
naux vidéo internes (ex: Spie Batignoles).
Ses qualités sont nombreuses et indiscu­
tables. Il est notamment capable de géné­
rer un certain nombre d'effets graphiques
agréables pour afficher une image ou opé­
rer une transition entre deux écrans.
Arexx sur WB2.0
Le langage Arexx est un mystère pour la
plupart des utilisateurs Amiga. Disponible
en standard avec le Workbench 2.0, Arexx
est néanmoins fourni par Commodore sans
documentation (une sombre histoire de
droits serait à l'origine de ce cruel
manque). Quoiqu'il en soit, Arexx est un
véritable langage multimédia en ce sens
qu'il permet de lier entre elles des applica­
tions à l'origine totalement autonomes. On
peut ainsi déclencher une musique
lorsqu'on dessine un rond dans Deluxe
Paint ! Une puissance phénoménale en
vue mais réservée à ceux qui ont pu se
procurer cette documentation... Pour les
autres, il faut piocher ici et là au fil des
revues Amiga. Des informations succinctes
et disparates y sont révélées.
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Sonix 1.4
Sonix est un tracker pour musiciens clas­
siques, un peu perdus par le système de
présentation des portées de Med. Ici, l’on a
réellement affaire à des portées musicales.
En outre, Sonix lit et utilise des sons sur 5
octaves que peut produire AudioMaster. La
qualité audio est donc en théorie meilleure
sur Sonix que sur Med, qui ne gère que les
fichiers bruts d'une octave.
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IIULIUU11£ JJUIJUJLUJIULIÜIIIU
DMCS
DMCS est mort, vive DMCS ! On annonce
en effet le renouveau de ce composeur
musical, identique dans son principe à
Sonix, mais aux capacités plus impor­
tantes. Ici. tous les signes musicaux néces­
saires à une composition en finesse sont
disponibles. DMCS II s'annonce comme
une petite révolution dans le monde des
trackers... Attendons pour voir. Les
musiques réalisées avec: DMCS peuvent
être lues par le logiciel Deluxe Vidéo.
Vidi 12
Un digitaliscur vidéo N/B en temps réel
qui vous ouvre en grand la porte des
manipulations vidéo en tous genres. Vidi
12 est rapide, performant et peu coûteux.
Il permet en plus de manipuler les images
fixes et de leur faire subir les pires (et les
meilleurs) effets spéciaux.
m u r
K C S 3.0
Pourquoi lui et pas un autre ? Pris au
hasard parmi la liste imposante des tracker
Midi disponibles sur Amiga, KCS est cité
pour mémoire. Il gère les sons du synthéti­
seur mais aussi ceux de l’Amiga. On peut
donc assigner au synthé des instruments
classiques et aux voix de l'Amiga des ins­
truments échantillonnés de sa propre com­
position...
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DeluxeVideo
Dans le marché de l'occasion, on peut
encore dénicher Deluxe Vidéo. Non qu’il
faille absolument se le procurer, mais
Deluxe Vidéo n'a sans doute pas connu
le succès qu'il méritait. Peut-être arrivé
trop tôt sur le marché. Deluxe Vidéo n'y a
fait qu'une brève apparition, le temps que
les Scala et autres CanDo soient mis au
point. Il fait en tout cas partie des rares
outils de conception multimédia à icônes
capables de gérer l'image, l'animation, le
texte, le son et la musique, cette dernière
étant souvent négligée sur bien des logi­
ciels actuels (comme CanDoi.
Digiview 4.0
Le digitaliseur vidéo le plus vendu sur
Amiga. L n perle informatique que tous
les infographistes connaissent et utilisent
sans doute encore. Pour cela, il faut dis­
poser d’une caméra couleur ou N/B. Les
images fixes, obtenues avec ce logiciel
vraiment peu coûteux, sont excellentes.
En outre, le soft permet tout un ensemble
de fonctions de retraitement de l'image
(couleur, contraste, résolution, etc.) tou­
jours d’actualité.
Fantavision
Un logiciel de création multimédia très
facile d'emploi el très performant, pour
peu que l'utilisateur soit patient et doué.
Son point fort réside dans la manipulation
d'objets en deux dimensions que l'on
peut modifier à loisir. Un bateau peut
devenir un avion en l'espace de quelques
images. Le morphing avant l'heure, en
somme...
Scala
L'outil de conception multimédia par
excellence. N'ayant pu le tester person­
nellement, je ne ferais que rapporter les
étonnements joyeux des utilisateurs de
Scala : "super !"
DCTV
L échantillonneur vidéo proposé en rem­
placement de Digiview. Beaucoup plus
cher mais beaucoup plus performant
aussi, puisqu’il digitalise et affiche des
images dont la qualité équivaut à celle
d'une image en 16 millions couleurs, hor­
mis un petit flou artistique difficilement
maîtrisable. L’intérêt du DCTV est qu’il
permet d'obtenir une qualité graphique
proche de la vidéo tout en ne dépassant
pas l'espace mémoire nécessaire à une
image ou une animation en Hires 16 cou­
leurs, ce qui permet de jouer des anima­
tions vidéo et multimédia sans pour
autant faire appel à des mémoires RAM
supplémentaires. Economique donc !
Amos Professional
Un langage de programmation qui a le
goût du Basic mais qui est beaucoup plus
tonique que le Basic. Amos Pro affiche
une image en une commande, joue une
animation ou une musique en deux
lignes, et généré des interfaces graphiques
grâce à un sous-langage spécifique. Bref,
plus de 600 commandes au rendez-vous,
de quoi créer à peu près tout ce qui peut
traverser la tête d'un créateur multimédia
un temps soit peu versé dans la program­
mation. ■
F.P
C 'E S T N O U V E A U ,
C A V A S O R T IR
Deluxe Music Construction Set II sorti­
rait en septembre 93. Entièrement
retondu, le logiciel de musique
connaîtrait une seconde jeunesse.
Une foison de cartes MPEG vont appa­
raître d'ici à la fin de l'année sur
Amiga. En d'autres termes, cela
annonce la possibilité pour l'Amiga de
faire de la vidéo en temps réel, notam­
ment de l'échantillonnage en couleurs
el avec des résolutions profession­
nelles.
Scala devrait bientôt pouvoir convertir
des animations dans n'importe quelle
résolution. Une animation basse-réso­
lution pourrait passer en haute-résolition. et vice-versa. En outre, l'objectif
est de pouvoir, à terme, sans quitter
Scala, utiliser n'importe quel scanner.
Helm bientôt distribué en France <
Sorti aux Etats-Unis, Helm serait l'un
des concurrents directs de Scala et
CanDo.
F.P
as la moindre petite lettre n'est arrivée à
la rédaction. A croire que nos lecteurs
sont incapables de finir un jeu. D'accord,
vous étiez en vacances, mais tout de
même... Mesdames, messieurs, la balle est
dans votre camp.
P
Lecteurs, vous
nous decevez !
Lors de notre
numéro d'été,
nous vous
invitions à
procédure. Lorsque la page de garde (celle
où Zool est affiché à l'écran devant le logo
de l’éditeur Cremlin Graphics) est dessinée
à l'écran, tapez le mot G O LD FISH . En cours
de partie, vous pourrez alors activer diverses
bidouilles en pressant les touches suivantes :
ELITE
A l'occasion de la sortie de la superbe com­
pilation Space Legend, nous vous confions
une astuce qui vous permettra de gagner sans
embouteillage la route des étoiles. Lorsque le
programme vous demande de saisir un mot
de passe, entrez le mot SARA (si ce nom ne
donne rien essayez celui de SUZANNE). Le
test de protection semble refuser ce code,
mais saisissez maintenant le véritable mot de
passe et entrez dans la partie. Passez par
l'écran des achats (cargaison ou équipements
de bord) et appuyez sur la touche * de votre
clavier. Cette astuce permet de faire baisser
les prix des marchandises.
1 : Confère l'invulnérabilité.
2 : Donne accès au niveau suivant
3 : Projette Zool dans le monde suivant.
Il existe sûrement d'autres astuces, n'hésitez
pas à nous faire part de vos découvertes.
R
astuces et vos
bons plans avec
les autres
passionnés de
jeux. Nous
avions même
promis un
logiciel pour
A T > lt > V A
Voici tous les codes qui donnent accès au
différents niveaux du jeu :
Niveau
Niveau
Niveau
Niveau
Niveau
1
2
3
4
5
M ISS H O N EY BEE
D EPU T Y O FLO V E
HASTALAVISTA
SN EA K PR EV IEW
SH O W C R E D IT S
S U P E R F R O C Î
Même avec les codes de tous les niveaux du
jeu, le challenge proposé par SuperFrog
peut paraître un peu élevé. La solution
consiste à appuyer sur le bouton droit de
votre souris en cours de jeu. La tête de la
grenouille clignote un instant indiquant par
ce geste qu'elle est devenue invincible.
récompenser
£?ILLS
l'expéditeur le
CA M E
plus prolixe.
Résultat des
courses, c'est la
débandade !
î ^ O
C
O
P
ALVEN
partager vos
découvertes, vos
O
Notre amis famés Pond peut aussi devenir
invicible en tapant la phrase suivante après
avoir activé la pause : BEST KEPT SECRET.
Pour aider la tomate Bill à retrouver sa com ­
pagne, pressez la touche H ELP en cours de
partie. Cette astuce permet de passer les
niveaux.
ZO O L
Notre ami Zool n'est pas en reste avec cette
?
R
E
E
P
V o ici les codes qui permettent de tester tous
les niveaux du jeux.
Niveau
Niveau
Niveau
Niveau
Niveau
C
I : XXDFA
2 RTHAA
3 LAEEA
4 UYTTA
5 PPEAB
U
Y
S T » Y
L'ami G u y Spy, digne fils logiciel de
Dragon's Lair, propose aussi une astuce qui
permet de vivre l'aventure sans risquer de se
fouler le poignet. Pour activer ce mode,
tapez
le
code
GETVO N M AXGUY
et
appuyez sur la touche Return. U n e simple
pression sur la touche F I de votre clavier
met en route la machine.
ST»ACE
ACE
Après avoir admiré les animations de
Dragon's Lair et de G u y Spy, vous allez pou­
voir découvrir celles de Space Ace en suivant
la procédure suivante : activez le mode
pause lorsque l'horrible Borf vous tire dessus.
Tapez le code D O D E M O D E X T E R et appuyer
sur le bouton Fire puis sur la touche Return.
Appuyez à nouveau sur P pour relancer le
jeu. Maintenant, relaxez-vous et admirez le
travail du héros.
LM M V S & .LfE'
P R A C Î O M
^
LAIR
La série des Dragon's est terriblement
belle. Malheureusement, très peu de
joueurs sont capables de venir à bout des
aventures. Pour résoudre ce problème,
attendez que Dirk s'avance sous le porche
et appuyez simultanément sur les touches
ESC, R, 7, L, N et /. Le jeu va se dérouler
tout seul à l'instar d’un dessin animé. Si
vous voulez épater vos amis, débranchez
le joystick et faites semblant de jouer...
Le second épisode possède également
une telle astuce. Tapez la phrase suivante
avant d'entrer dans le jeu : CET MORDOK DIRK. Appuyez alors sur le bouton
de feu de votre Joystick et ne touchez plus
à rien.
Le troisième volet de la saga n'est pas en
reste. Pour activer l'animation, saisissez le
code TIMEO lorsque la page de titre est
affichée à l'écran.
Pour gagner le domaine des Dieux, le
héros de Gods doit faire preuve de nom­
breux talents. Pour l'aider dans sa quête,
saisissez le mot SORCERY en guise de
mot de passe. Le personnage est mainte­
nant invincible. Espérons que les Dieux
fermeront les yeux.
ELF
Tapez le code C H O R O PO O durant le jeu
pour obtenir 99 vies. Si cela ne vous suffit
pas, essayez plutôt un autre logiciel...
FALCOM
Il est fréquent, lors des missions à hautrisque, de se retrouver à court de muni­
tions. La prochaine fois que cette situation
se présente, ne paniquez pas et ne rom­
pez surtout pas ie combat. Appuyez sim­
plement sur les touches Control et X de
votre clavier pour refaire le plein. Cette
procédure recharge le canon et offre huit
nouveaux missiles air-air.
L O
T U
T U S
R ^ O
ESRRfT
Alors que la société Gremlin Graphics
propose une compilation consacrée à la
trilogie des Lotus Turbo, nous offrons une
nouvelle fois aux jeunes pilotes quelques
codes qui leur permettront de ne plus res­
ter dans les stands.
Pour venir à bout du second épisode inti­
tulé Turbo Challenge, activez le mode
deux joueurs. Pour le premier pilote, ins­
crivez le nom IN A BIG CO UNTRY et
FIELDS O F FIRE pour le second. Cette
procédure évitera aux joueurs d'avoir à se
placer en tête de la course pour accéder
aux épreuves suivantes. Essayez égale­
ment les noms de M ONSTER et de
SEVENTEEN pour obtenir un niveau sur­
prise.
En ce qui concerne le troisième volet,
tapez le code TURPENTINE lorsque le
programme vous demande un mot de
passe. Ce code à pour fonction de geler le
chronomètre. Le mot DEESIDE est une
variante du mode précédent. Enfin le
code D UX vous invite à participer à un
sympathique jeu d'arcade.
Voici pour finir les mots de passe qui per­
mettront aux moins expérimentés de
découvrir tous les circuits du jeu :
Night Course : TWILLIGHT
Fog Course : PEA SO U P
Snow Course : THE SKIDS
Desert Course : PEACHES
Motorways Course : LIVERPOOL
Marsh Course : BAGLEY
Storm Course : E BOVV
Î>VIMA BLASTER
A cinq participants, ce jeu est diabolique. En solitaire, la partie ne l'est
Encore faut-il découvrir les niveaux avancés. Pour vous aidez dans cette
aidez-vous des codes suivants :
EACLE ^
L'oiseau de fer de Microprose propose
également un ravitaillement en vol assez
particulier. Appuyez simultanément sur
les touches Control, Alt et R pour donner
à votre appareil une nouvelle force de
frappe.
IVAMHOE
Pour aider le pauvre Ivanhoé, activez le
mode Pause et entrez le code ZOMBINETTE. En pressant le touche N durant la
partie, vous changerez de monde. Une
pression sur la touche Del enverra tous les
adversaires dans un autre monde.
Monde 1
1 UKCLMNKT
2 U A G W IQ N E
3 U A G W LIN A
4 UA N W IIN E
5 M U V W LG PL
6 UKRLMTKV
7 U A G W G IN A
8 U A N W IQ N Z
Monde 3
1 U A N W IPN A
2 U A C W IPN E
3 U A G W G JN A
4 UA N W IEN E
5 M U V W LO P T
6 UKELPHLV
7 U A G W G EN A
8 U A N W IPN Z
Monde 5
1 UA N W LIPA
2 UA GW LIPE
3 UAGW GQPA
4 M U V W LG EC
5 UKCLPMHT
6 U A G W G IPE
7 UA G W G SR A
8 U A N W IIPZ
Monde 7
1 UA.NW GUPA
2 UAGWGVPF.
3 M UBW LSZT
4 UKC LPHH V
5 UANVVGEPA
6 U A G W G EPE
7 U AVW IO TA
8 M U VW LEEG
Monde 2
1 UANW Q VNA
2 M U BW N EN C
3 UKRLNGKT
4 UANWQQNE
5 UKCLNBKT
6 M U B W N IN C
7 UKRLEHKT
8 VANW QUNZ
Monde 4
1 U A N W Q Q PA
2 M U BW N N E C
3 UKRLNLHT
4 UA N W Q IPE
5 U A N W Q SPA
6 U A G W Q SPE
7 M U BW N LZ T
8 UKCLNNHL
Monde 6
1 M U V W N SZC
2 UKRLNGHV
3 U A G W BV PA
4 U A N W Q EPE
5 U A N W BO PA
6 M U BW N O ET
7 UKRLEBHT
8 U A G W BEPA
Monde 8
1 UKCGNNKT
2 UA GRGJNA
3 U A G RQ Q N E
4 UANRQ INE
5 M U G W N C PC
6 UKRGNTKY
7 UA GRBIN A
8 UANRQQNZ
5 T A
R
P U
S T
Bloodhouse
Cet été, les
éditeurs de jeux
se sont donné
rendez-vous
sous les
cocotiers.
Ce titre, qui n'a pas encore trouvé d’éditeur
à son pied, est un "shootent up" assez origi­
nal. Le joueur dirige un vaisseau qui donne
l’illusion de filer vers le tond de l’écran. Il
faut bien entendu éviter les objets qui sur­
gissent du néant et détruire au passage
quelques objets volants plus ou moins iden­
tifiés. Le scénario est certes assez banal,
mais en revanche, la réalisation de Stardust
Tunnel est déconcertante, Le vaisseau géré
par le joueur est placé au centre d'un tunnel
représenté en trois dimensions avec une tex­
ture. Lorsque l'appareil change de position,
tout le tunnel se déplace pour donner nais­
sance à une nouvelle perspective. Mal de
"mer" assuré pour qui ne possède pas le
pied marin !
Résultat de cette
opération
balnéaire, le
facteur ne nous
F
t
CHALLENGE
Team 17
La maison d'édition Team 17 a décidément
a apporté que
des factures...
Pour cette
raison, Amiga
Revue consacre
ce mois-ci plus
de pages aux
news et aux
solutions qu'aux
tests de jeux.
Ft Ch*tienne
le chic pour surprendre son public. Non
contente du succès remporté par SupcrFrog
et Body Blows. la société annonce brutale­
ment la sortie sur le circuit d'une course de
Formule 1. Le produit ne fera pas partie de
la dote du Père Noël, puisqu'il devrait nor­
malement être disponible à l'heure où vous
lisez ces lignes. Fidèle à la tradition de l’édi­
teur, F1 Challenge bénéficie d'une réalisation
technique hors normes. Le célérité d’anima­
tion de la piste égale celle présentée par
Lotus Turbo Esprit... Une référence donc ! Les
graphismes clu véhicule que nous avons
piloté (sponsorisé par Marlboro, à en croire
la présence de deux petits insignes écarlates
plaqués sur l'aileron arrière), sont parfaits.
Pas le moindre pixel résiduel, pas la trace
d'une couleur mal positionnée. Les réac­
tions du véhicule sont réalistes et répondent
à la moindre sollicitation de la part du
pilote. Tout au long des circuits proposes, le
bolide doit non seulement affronter la sinuo­
sité des tracés, des tunnels, des chicanes
mais également doser ses efforts en fonction
des intempéries. Avec l'arrivée de FI
Challenge sur les circuits, le redoutable
Vroom (Lankhor) devra sans aucun doute
partager les lauriers, voire tirer sa révérence.
Dernière surprise, le logiciel est proposé
Outre-Manche à moins de 120 F. Espérons
qu’en traversant les eaux cette oiïre ne pren­
dra pas de la bouteille...
A PO C A LYPSE
Virgin Cames
Ce jeu d'arcade va plaire aux adeptes de
la Rambomania... L'action se déroule au
temps de la guerre du Vietnam. Pour sau­
ver ses compatriotes prisonniers, le joueur
prend les commandes d'un hélicoptère de
combat. Le but du jeu consiste alors à
raser à la fois la cime des arbres et les ins­
tallations ennemies. Lorsque leurs occu­
pants surgissent, il convient de trier les
bons des méchants en récupérant les pre­
miers et en exécutant les seconds. Le
concept est assez primaire, à la limite de
la violence. Mais, allez savoir pourquoi,
la sauce prend quand même. Le logiciel
ne souffre aucun défaut technique et se
positionne entre Desert Strike d’Electronic
Arts et le trop peu connu Wings of Fury
de Broderbund.
S P A C E
l e c : e n ï
>
directions, les décors scrollant en consé­
quence. La gestion du vaisseau avec deux
commandes de rotation et une d'accéléra­
tion est assez déroutante et parfois impré­
cise. Mais il ne s'agit que d'une pré-ver­
sion du jeu. Les graphismes sont
formidables, les musiques remarquables.
Blastar esl annoncé sur le sol français
pour la fin du mois d'Août.
Gremlin Graphics
Nous vous confions dans noire numéro
d'été que le brave Zool s'était épris d'une
jeune
admiratrice.
Nous
sommes
aujourd'hui en mesure de vous en présen­
ter une esquisse. La belle, bien que char­
mante, n'a pas l'air de plaisanter. Les
joueuses qui seraient jalouses de cette
rivale pourront se contenter de cet autre
dessin de monstre absolument ravissant.
Pour clore la série, nous vous offrons un
visuel du jeu. Vivement le mois de sep­
tembre !
La maison d'édition Domark a signé un
accord avec le réseau de télévision Fuji.
Les termes du contrat autorisent la dite
société à développer une série de titres
officiels consacrée à la saison de Formule
1 93-94. En dehors de l'apport marketing
proposé par la chaîne de télévision, nous
ne voyons pas ce que cette signature
apportera au logiciel. La lutte sera rude
aux côtés du somptueux FI Challenge de
Team 17. Espérons que le premier titre de
Domark consacré à la formule 1 saura
nous surprendre.
L A
T O R T U R ET
IS IV IS IJ A
Les belliqueuses Tortues Ninja
ont effectué leur retour dans les
Empire
salles obscures. Pour l'instant,
Cette compilation offerte par Empire est
digne d'un Roi. Le présent comprend trois
titres. A commencer par MegaTraveller 1,
une fresque futuriste sur fond de jeu de
rôles. Le Second produit se nomme VVing
Commander. Attendu pendant plus d'une
année
sur
notre
machine,
VVing
Commander est un titre phare, bien
qu'assez poussif sur un Amiga de base. Le
troisième laron est attaché à jamais à
l'histoire de la micro. Pendant que les uns
s'extasiaient devant les toiles de la Guerre
des Etoiles, d'aucuns sombraient dans les
lymbes stellaires aux commandes du
mémorable Elite, Cette saga galactique
reste, malgré le poids des ans, l'ultime
référence en la matière. Si vous ne
connaissez pas ce titre, osez la décou­
verte !
O
Domark
T A
^ T A
nul
n'a
avancé
la
moindre licence pour un titre
micro. Croisons les doigts pour
que les gentilles créatures res­
tent à l'égoût...
C ÎR A M P
T » R IX
C P
Microprose
Après avoir rugi sur toutes les machines,
le logiciel Grand Prix Formula One sera
adapté
pour
la
console
CD
de
Commodore. Parmi les nouveautés, nous
trouverons des planches graphiques en
256 couleurs et sans aucun doute des
bruitages et des musiques à la hauteur des
vrombissements poussés par les moteurs
de formule 1.
R
Core Design
Core Design revient également sur le
devant de la scène galactique avec
Blastar. Il s'agit d'un "shoot'em up"
comme nous n'en avons pas vu depuis
longtemps. Le vaisseau dirigé par le
joueur peut en effet fuser dans toutes les
éditeur
Zool 2
Suite des riens page 37
En cette période
de rentrée
scolaire, nous
nous
contenterons
d'un nombre
réduit de tests. A
l'heure où nous
rédigeons ces
lignes, la
cargaison de
logiciels
annoncés pour
septembre n'est
en effet pas
encore arrivée
dans nos
bureaux. Mais
notre cartable
est pourtant bien
garnis avec trois
titres qui nous
permettront de
voir les beaux
jours venir.
rrs c tR c r
Mindscape
L'éditeur Mindscape se tait fort discret en
présence de nos belles machines. Mais à en
juger par les qualités du présent jeu de rôle,
la discrétion possède de nombreuses vertus.
World O f Legend sort des sentiers battus.
Ici, l'aventurier n'est pas cloisonné dans
un dédale de couloirs. Le visuel en 3D
isométrique donne le change aux sombres
tunnels proposés notamment par la série
de Eye O f The Beholder. La gestion des
personnages est également à la fête avec
des héros qui peuvent agir de manière
individuelle. La classe de ces personnages
est imposée en début de partie. Le joueur
se contente d'en choisir le sexe (gros,
petit...) et de priviligier telle ou telle com­
pétence.
Le premier héros est un guerrier qui pos­
sède la faculté d'entrer dans une rage
folle pour décupler ses capacités phy­
siques. L'assassin, qui ressemble d'ailleurs
à un Ninja, peut aisément se dissimuler
dans les ombres. En ce cas, le dessin du
Le scénario de World O f Legend place le
joueur dans un univers oriental. Votre
père vient d'être assassiné par un vieil
enemi du Royaume. La mission consiste à
mettre la main sur le vil individu. Mais la
quête ne sera pas de tout repos.
Faute de temps, nous n'avons pas eu le
loisir de nous plonger à bras ouverts dans
cette aventure. Cependant, le peu que
nous en avons vu (au regard de la richesse
du jeu) nous a laissé admiratifs. Le logi­
ciel. bénéficiant d'une bonne réalisation,
devrait combler les aventuriers blasés par
les jeux de rôles sans grande originalité.
La pratique de la langue anglaise est
cependant nécessaire pour jouir pleine­
ment de la richesse du scénario.
H ero o f L ë g ë n ïl
voleur à l'écran apparaît sous la forme
d'une silhouette. Le barde quant à lui use
de ses cordes vocales pour doper le moral
et les actions offensives du groupe. En
cours de partie il pourra (et même devrai
apprendre de nouveaux chants el mélo­
dies. Les musiques jouées par le barde
tiennent une place importante dans
l'aventure, puisque que ce sont ces der­
nières qui servent de fond sonore aux
pérégrinations des héros. Enfin, le qua­
trième laron est un puissant magicien. Ses
sortilèges sont redoutables et il vaut
mieux ne pas les utiliser par mégarde sur
ses compagnons.
' ti f
VROOM
M l/L T I"PLAYER
Lankhor
Après une disquette contenant de nou­
veaux circuits, l'éditeur Lankhor nous pro­
pose une nouvelle extension pour le mer­
veilleux Vroom. En fait d'extension nous
devrions plutôt parler d'un nouveau jeu...
Pour pratiquer Vroom MultiPlayer vous
n'êtes en effet pas obligé de posséder le
disque originel (Vroom premier du nom).
L'action elle-mcmc est révolutionnaire
puisqu'elle autorise un jeu à deux sur un
même écran. Cet apport est à l'origine
du succès remporté par de nombreuses
courses automobiles lancées par la
concurrence. De son côté, Vroorn a
gagné ses lettres de noblesse avec ses
prouesses techniques. Il s'agit de la
course la plus rapide à tourner sur nos
machines.
Le plus étonnant avec cette version
MulliPlayer est de constater que le
bolide n'a rien perdu de sa fougue. Le
visuel est certes plus réduit (chaque voi­
ture occupant la moitié de l'écran) et les
détails moins présents, mais la sensation
de vivre à 300 à l'heure persiste. Nous
pouvons cependant regretter que les gra­
phismes des véhicules et de la planche
de bord soient toujours aussi tristounets.
C'est sans aucun doute le seul défaut
présenté par le logiciel. Mais il faut se
rappeler que "la robe de la belle n'est
rien à côté de ce qu'elle possède au
fond du coeur". La robe de Vroom ne
brille pas par ses couleurs, mais ce que
la bête a dans le ventre éblouit par sa
seule présence. Un jeu à découvrir de
toute urgence.
B A T T
I S L E
L
^
E
Blue Byte
La maison d'édition Blue Byte ne cesse
de jouer et de faire jouer autour du
thème de Battle Isle. La saison dernière,
nous découvrions la première disquette
de scénarii consacrés à ce grand nom du
wargame. Aujourd’hui l'éditeur alle­
mand nous offre une nouvelle mouture
de son logiciel.
Battle Isle '93 reprend tous les ingré­
dients qui firent le succès du premier
épisode. Fn revanche, le décor change.
Ce nouvel épisode se déroule dans
l'espace. En conséquence, le terrain est
plutôt désertique, parfois déchiré par un
fleuve de lave. Les unités qui se livrent
bataille sur cette terre inhospitalière ont
gagné en technologie. Les fantassins par
exemple semblent beaucoup plus résis­
tants que ceux qui vadrouillaient sur la
bonne vieille terre.
Le jeu est toujours aussi prenant. Les
missions sont courtes, la gestion des
troupes accessible à tous. Battle Isle '93
possède tous les atouts pour combler les
stratèges. Nous pourrions juste regretter
que les responsables du projet ne soient
pas allés plus loin dans le domaine de la
fiction. ■
cent l'intérêt du produit. Le jeu est
construit autour de faits historiques. Pour
gagner le rang de patricien (de noble), le
capitaine doit soigner son équipage,
couler les navires pirates, investir... et
donner de l'argent aux pauvres et aux
églises. La simulation semble vraiment
très complète. En Allemagne, le logiciel
triomphe.
Les
stratèges
français
devraient lui réserver un accueil majistral.
I_OTUS
T U
R
c ^ O
TRILOCTV' ’N ' 5 T IC K
Cremlin Graphics
Core Design
Le dernier tour de piste se déroulera en
compagnie du célèbre Lotus Turbo
Esprit. L'éditeur Gremlin Graphics vient
en effet de lancer une superbe compila­
tion qui regroupe les trois volets de la
saga routière. Un excellent cadeau !
Au cours de ce mois, Core Design nous
offrira un sympathique jeu d'arcade.
Bubba, le héros, passe son temps à chas­
ser les animaux sauvages pour les livrer
au zoo. Le trafic battait son plein lorsque
le braconnier entre soudainement en
contact avec des êtres venus d'un autre
monde. Ces aliens ont pour mission de
collecter dans les étoiles des espèces
indigènes pour les placer... dans un zoo.
Avouez que le scénario est original !
Bubba va
rapidement se trouver
confronté à des créatures pour le moins
étranges. A l'écran, le héros apparaît
OVER ^
Océan
soi is les fruits d ' u n oio.intesm i p Ma taille
Le Puzzle Game signé (
et bi»n de retour sur
■e
m
t. nou
d e i<
ru
. an:
■Hi. pre
_
b
.
_=»,
""PV’- f .
'rP'CiU-
Daze M a r k tii...;
I a micro possède son arm_da de
qui voguent sur les grands flo!
des "grands mats" est néanmoii
p.-Mvre en titres phares. Depuis
de Microprose, nul candidat n’a
der ie bon cap. The Patrician noi
d'Allemagne. Il s agit d'un far
gestionnaire de voyages et d'a
dans les mers du nord, l e oro
JURASSïC
RA RK
Océan
Le mois prochain, le mastodonte engen­
dré par Monsieur Spielberg débarque sur
nos côtes. Amiga Revue ne voulait pas
rester derrière ses confrères de la presse
écrite qui ne jurent plus que par le
sacro-saint-dinosaurus. Voici donc une
image du monstre que nous avons
débusquée pour vous. Le jeu signé
Océan sortira en même temps ou peu
avant le film.
^
L
A
P
E
O
F
Ï
7
E
S
T
I
N
Y
US Cold
Alors que le troisième volet de Eve O f the Beholder tarde à venir sur notre machine (cela dit, ce n'est pas un mal au regard de
la version PC qui est assez décevante), US Gold nous propose un jeu de rôle aguicheur. Le jeu combine astucieusement des
scènes en 3D à la Dungeon Master, avec des passages en vue isométrique pour les combats. Le monde à explorer compte plus
de 184 000 lieux différents et un total de 80 cités plus ou moins fréquentables. L'aspect graphique a été particulièrement soi­
gné. Jugez-en par vous-même au travers des différentes planches disséminées dans cette page. Blade O f Destiny répond à
l'attente des adeptes des jeux de rôles. A vos épées chevaliers !
(SENESIA
Microïds
La société française Microïds connaît bien
des déboires depuis quelques lunes. Avec
Gcnesia, elle entend renouer avec son
image d'éditeur de jeux grand public. Le
titre, sur le papier, va plus loin que
Populous, est plus riche que PowerMonger et aussi réaliste que Sim City. Il
s'agit d'une simulation de monde assez
complète qui mène le ou les joueur(s)
humain(s) sur les pas des grands conqué­
rants. De caractère guerrier, le héros doit
également ajouter un bon zest de diplo­
matie et de science économique. Les
terres doivent être justement exploitées,
les ressources humaines et naturelles sau­
vegardées, sans parler des relations mou­
vementées avec des inventeurs un peu en
avance sur leur époque. Genesia est
d'ores et déjà disponible chez votre
revendeur habituel. Un achat sûr ! Nous
vous offrirons un test complet de ce
monument dans notre prochain numéro.
CYBER RACE
CYOTR RACE
Cyberdreams
Le fantastique jeu de course futuriste aux
animations révolutionnaires ne devrait
plus tarder à pointer le bout de son nez.
Le design du jeu a entièrement été com­
posé pour l'occasion par l’artiste qui a
"construit" la cité de Blade Runner ou
encore conçut l’intérieur du Concorde. La
seconde surprise est la partition sonore
qui reprend le thème de l'inoubliable
Space Oddity de David Bowie. Il ne
manque plus qu'un acteur vedette pour se
croire au cinéma !
K IM C Î'S
R A N S O M
Readysoft
Les auteurs de Wrath O f The Daemon ont
enfin donné une suite à leur aventure. Si
le scénario n'a rien à voir, l'aspect tech­
nique
s'annonce
aussi
prometteur.
Rappelez-vous qu’à l'époque, Wrath Of
The Daemon avait souvent été comparé
au célèbre Shadow O f The Beast de
Psygnosis. Gageons cependant que le
logiciel aura gagné en jouabilité.
S IM
C IT Y
Maxis
Alors que nos Amiga viennent à peine de
goûter aux joies d'A-Train, l'éditeur Maxis
nous invite à découvrir une nouvelle
mouture de Sim City. Sim City 2000
reprend le visuel d'A-Train. Le nombre
des options a été revu à la hausse. Vous
pouvez par exemple agir sur le relief du
monde pour bâtir votre propre coin de
paradis avec son
lac, ses mon­
tagnes, sa cas­
cade, son petit
bois et juste der­
rière sa plage de
sable blanc. Seul
ombre au tableau,
Maxis n'a pas
encore annoncé
de version Amiga
de ce produit.
M a is rassurezvous, du moins
que les possésseurs de 1200
q u itte n t
leu rs
visa g es m au s­
sades (pour les
autres,
gardez
espoir), Maxis n'a
encore
jamais
laissé les machines
de Comodore à
la rue. La ver­
sion CDTV de
Sim City est d'ailleurs l'une des plus performantes. Patience !
D X /R N
î ^ L / R
NEUF C H E Z
SILMARIL5 >
N
Après l'excellent Ishar 2, la société
Océan
Restons sur les routes avec un logiciel
sous titré Burn Baby Burn. Avec une
telle accroche, les esprits tordus auront
tôt fait d'imaginer le "pire". Que les
âmes innocentes se rassurent, il ne s'agit
que d'une nouvelle simulation automo­
bile proposée par l'éditeur Océan.
Burning Rubber, le véritable titre du jeu,
propose aux pilotes de vivre à deux cent
à l'heure au volant de voitures de séries.
Les bolides proposés portent les noms de
Golf GTI, 205 et Ford Fiesta. Le chal­
lenge se déroule en Europe et sur les
routes des Etats-Unis. Burning Rubber
est annoncé sur Amiga pour le début du
mois de septembre.
Silmarils ne reste pas sous sa
couronne de laurier. Quelques
feuilles jetées dans la marmite
nous ont données un avant
goût des futurs projets de
l'éditeur. Les programmeurs
sont actuellement en train de
peaufiner des routines qui per­
mettront à l'Amiga de décou­
vrir des jeux à la Ultima
Underworld. Dans ce style de
jeu, le héros ne se déplace
plus case par case (à l'instar
d'un Dungeon Master ou d'un
Ishar) mais en temps réel. Il est
encore trop tôt pour vous pré­
senter des visuels. Nous sou­
haitons à toute l'équipe de
Silmarils beaucoup de réussite
dans leur entreprise.
B urning Rubber
INFERNO
Océan
L'éditeur Océan se perd dans ses notes.
Il y a un mois, Epie 2 devait s'appeler
Odissey. Aujourd'hui, le logiciel prend
le nom d'Infemo, le titre alors porté par
un simulateur de vol qui s'appelle doré­
navant T.F.X. Contentons-nous pour le
moment d'Epic 2, de peur que les res­
ponsables du projet ne retournent à nou­
veau leur veste. Prévu uniquement sur le
support CD32 et l'Amiga 1200, le
second volet de la saga spatiale
s'annonce de plus en plus extraordi­
naire. Les quelques images qui ornent
cette page (issues de planches dédiées
au PC) illustrent cette affirmation.
L'AVENIR i?E LA
C
O
N
S
O
L
E
C
ï > ?
Contrairement au CDTV, la console CD32 de Commodore n'arrivera pas les
mains dans les poches. Plus d'une centaine de titres sont d'ores et déjà à l'état de
‘maquette avancée". Parmi ceux-ci, nous trouvons des grands noms, à l'instar de
Robocod, Zool, Chaos Engine, Body Blows ou encore SuperFrog. Des nouveautés
sont également attendues, comme Microcosm, Jurassic Park, Inferno (Epie 2), le
simulateur de vol TFX et le superbe Legacy de Microprose. Plus tardivement la
console CD32 bénéficiera de versions de Dune et du mirobolant 7Th Guest.
C O N C O U R S DE DESSIN
Concours de dessin avec le program m e de peinture pour les enfants
E n vo yez - nous vos p e tits ch efs d 'œ u vre...
Les p lu s b e a u x dessins se ro n t p rim é s !
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LA R EN TR E
'acquisition de nouvelles matières, de
nouvelles connaissances ou savoir-faire,
n'est pas non plus sans intérêt. De plus,
grâce à votre machine adorée, vous pouvez
éviter de perdre pied et même prendre un
train d'avance sur les autres.
L
Dur, dur de
retourner à
l'école•ii Inutile
d'amplifier ce
lieu commun
rebattu et
rabâché. Il se
révèle nettement
plus positif de
penser que
retrouver
l'école, c'est
aussi retrouver
des ami(e)s, des
professeurs
Pour ce faire, nous avons sélectionné des
logiciels qui vous aideront à aborder au
mieux cette année scolaire, que vous soyez
de niveau primaire ou secondaire. Alors
haut les coeurs, la rentrée, c'est plutôt gai (si
la nostalgie des vacances est par trop vive,
allez voir la tête de votre plage de rêve d'ici
quelques semaines, efficacité garantie pour
perdre tous regrets).
N IV E A U P R IM A IR E
Adibou, conçu pour les 4-7 ans, facilite le
passage en douceur de la maternelle à la
primaire. Les plus grands quant à eux appré­
cieront de se familiariser avec les mathéma­
tiques par le biais de l'exploration des uni­
vers fantastiques de la collection Eurêka.
A D IB O U
L'environnement Adibou propose une
grande variété d'activités d'apprentissage
ijeux de portraits irrésistibles, initiation à
l'ccriture, jeux de mémoire, création de
détors...), de découvertes (horloge, palette
graphique...) et de jeux d'éveil (puzzles,
construction de circuits et courses de voi­
tures à un ou deux joueurs). Il peut s'utiliser
de façon autonome ou recevoir des applica­
tions (lecture, calcul, histoire). Ces applica­
tions existent pour les petits (4-5 ans) ou les
plus grands (6-7 ans). Adibou permet aux
parents de suivre l’évolution des résultats de
l'enfant dans chaque matière.
appréciés (si, si,
JE L IS 6 / 7
il en reste...).
Deux maisons, l'une ayant une tête de
A d ib o u
ANS
grand-père, l’autre de grand-mère, s'affi­
chent. Il y a également une mare, un puits,
un canard, un cochon, une charette de foin,
etc. A l'arrière plan, un pont mène à un joli
moulin. Tous ces éléments servent de clefs
d'accès à quinze activités variées, axées sur
l'apprentissage de la lecture. Bêtes et objets
s'animent (la charrette donne un coup de
poing au cochon, le puits crache, le moulin
souffle...) pour entraîner l'enfant vers la
reconnaissance des sons et phonèmes,
l'apprentissage de l'alphabet, l'association
d’images et de mots et leur écriture. Chaque
activité comporte trois niveaux de difficulté.
Un tableau d’évaluation affiche le nombre
d'exercices réussis par niveau. Des résultats
basés sur cinq critères (observation visuelle,
discrimination auditive, compréhension,
mémoire et sagacité) sont fournis.
EUREKA
Tout au long de la gamme Eurêka, l'élève
parcourt les quatre univers de la Matière
(maths/sciences),
du
Langage
(français/langues), de l'Espace (géographie)
et du Temps (histoire) et acquiert les pou­
voirs correspondants. Chaque matière est
disponible pour quatre niveaux (CEI/CE2.
CM1/CM2, 6ème/5ème et 4ème/3ême).
M A TH S C M 1 /C M 2
Ce logiciel emmène l'enfant à la découverte
des diverses régions composant les mondes
merveilleux de Mathématica, Numéris,
Opéra, Métris, Géométrica et Logica. Sa
progression à travers des univers fascinants
s'effectue en répondant à diverses questions
de géométrie, ainsi qu'à des devinettes
numériques, en déchiffrant des graphiques,
en calculant des distances, en retrouvant
des fautes de calcul, etc. A travers les divers
exercices
rencontrés,
l'enfant
aborde
l'essentiel du programme de CM1/CM2.
E urekj
B O N PIE D
difficulté. Il évalue également le travail
effectué et indique et commente le
nombre d'exercices réalisés et le taux de
réussite, les méthodes de travail utilisées
(recours à l'aide, aux documents, etc.). De
surcroît, plusieurs jeux, adaptés à chaque
niveau, permettent de se détendre entre
les exercices.
A D IB A C
Découverte
N IV E A U
S E C O N D A IR E
ADI
Adi est un extra-terrestre descendu sur
terre afin d'aider les enfants à faire leurs
devoirs. Plus prosaïquement, c'est une
méthode d'éducation assistée par ordina­
teur, qui se compose d'une disquette
Eurêka
environnement par classe (du CE1 à la
3ème) à laquelle viennent se greffer des
disquettes applications pour chaque
matière (anglais, maths, français...). La
disquette environnement dispose de
divers outils (calculette, bloc-notes, jour­
nal personnel) ainsi que d'un courrier
électronique sur disquette, accessible par
code secret. Elle possède également une
documentation de culture générale.
Lorsque l'enfant travaille sur une applica­
tion, il a accès à une documentation
propre à la matière étudiée. Adi est là
pour l'encourager par ses commentaires
stimulants et lui venir en aide en cas de
La famille Adi s'agrandit avec Adibac. Ce
logiciel est constitué d'une disquette envi­
ronnement qui contient un "Adibac
blanc” avec lequel l’étudiant peut tester
ses connaissances dans toutes les matières
présentées au bac. Il assure un suivi des
résultats par séance et par matière. Ce
logiciel comprend également des jeux et
des documentations pour la détente et la
culture, avec notamment un atlas mondial
interactif. La disquette environnement est
fournie avec une application géographie
'qui permet une révision efficace de celle
matière), mais il est bien sûr possible
d'utiliser d’autres applications : Maths CE, Maths A-B, Maths Là, Anglais, Histoire.
LES T O U T -P E T IT S
En effectuant cette revue des meilleurs
programmes, il ne faut pas oublier ceux
dédiés aux plus jeunes. Les capacités sco­
laires futures du petit âge d'école mater­
nelle ainsi que ses capacités d'épanouis­
sement personnel, sont liées à ses qualités
d'éveil et d'ouverture, ces dernières pou­
vant être nettement amplifiées par l'utili­
sation de programmes aussi ludiques
qu'éducatifs. Le programme Découverte
nous a paru assez exemplaire de ce que
l'utilisation de la micro-informatique pou­
vait apporter de positif à des enfants d'âge
tendre.
■
3
3
3
3
EXONATHAN
M ATHS
Exonathan Maths a été développé pour les
classes de 6ème. Sème, 4ème et 3ème. Il
est le prolongement sur ordinateur de la
collection Exonathan livres et constitue de
ce fait un outil complétaire précieux pour
la réussite scolaire. Ce logiciel possède
une banque de plus de 200 exercices
variés (saisie au clavier, mots croisés,
bataille navale...) et dispose d'outils inté­
grés (calculettes, guides techniques). Il est
possible de consulter des rappels de cours
avant de commencer un devoir ou en
cours d’exercice.
Un carnet de notes personnalisé et impri­
mable, où l'on peut visualiser les
moyennes sous forme de diagrammes,
permet de suivre sa progression. Nous
nous sommes intéressés au programme de
Sème, qui ne comporte pas moins de
seize chapîtres : opérations sur les déci­
maux, fractions, quotients de nombres
décimaux, nombres relatifs, équations,
proportionnalité, échelles et pourcen­
tages, diagrammes et statistiques, tri­
angles, symétrie centrale,
parallélo­
gramme, aires et périmètres, repérage
d'un point-distance, prisme, unités de
volumes cylindres, points et droites, plans
dans l'espace.
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Exonathan
DECOUVERTE
L'environnement
Découverte
permet
d'utiliser des disquettes de scénarii traitant
de sujets divers : la maison, la ferme,
l'étang, les animaux familiers, etc.
“ La ferme" : ce programme disposant de
deux niveaux d'utilisation s'adresse à tous
les jeunes enfants, qu’ils aient ou non
acquis la lecture et l'écriture. La page de
présentation affiche huit images : le ber­
ger, le champ, les ruches, l'entrée de la
ferme, le potager, la mare, la cour et le
tracteur. Une fois sa scène préférée choi­
sie, l'enfant dispose de deux modes d'uti­
lisation : consultation et interrogation.
Dans le premier, le logiciel nomme et
écrit le nom des sujets désignés par
l'enfant. Dans le second, c’est au
contraire l’enfant qui doit montrer ou
écrire un sujet nommé ou désigné. ■
Laure Elhardy
D O M A IN E
BBASE III
Base de données
Fish 878
Finies les
vacances i
L'heure esf
maintenant aux
choses
sérieuses... Pour
vous aider un
tout petit peu
dans votre vie
quotidienne, le
domaine public
regorge de
petits utilitaires
fort intéressants.
Parmi eux, les
gestionnaires de
bBase III est l'oeuvre du canadien Robert
Bromley. C'est une base de données que
son auteur qualifie de "facile", c'est-à-dire
purgée de toutes les fioritures qui font des
programmes professionnels du genre, un
véritable calvaire d'apprentissage pour l'uti­
lisateur. Signalons dès à présent que l'auteur
souhaitant distribuer son oeuvre en
Shareware, c'est une version de démonstra­
tion qui est ici proposée, identique en t'onctionalités à la version complète, mais limitée
à 600 enregistrement en chargement des
bases, et seulement 30 en sauvegarde. La
version normale peut gérer jusqu'à 1250
enregistrements par base.
Autant le dire tout de suite, bBase III est par­
faitement "monobase", c'est-à-dire qu'il
n'autorise le travail que sur une seule base à
la fois, qui plus est limitée à neuf (oui, j ’ai
bien dit 9) champs. Les fonctions proposées
permettent soit de modifier la définition de
la base elle-même (ajout, retrait et modifica­
tion des champs), soit les enregistrements
(ajout, retrait, modification, recherche, tri,
etc.). On notera une interface graphique
simpliste mais soignée (bien qu'utilisant un
écran de seulement 200 lignes en hauteur),
aux couleurs chatoyantes, et aux nombreux
équivalents clavier, destinés à accélérer la
plupart des opérations. A noter également
qu'une mini-aide permanente est incluse,
qui renseigne toujours l'utilisateur sur le but
et la manière de la fonction en cours.
Dernier point, le programme est capable de
crypter les fichiers qu'il produit, pour éviter
qu'un curieux ne vienne fouiller dans vos
données les plus secrètes.
En fait, bBase III se rapproche plus de la ges­
tion de fiches que de la vraie base de don­
nées telle qu'on la définit habituellement.
Ses capacités sont certes limitées, mais ce
programme rendra tout de même de nom­
breux services à tous qui n'ont pas réelle­
ment besoin d'un logiciel aussi puissant que
coûteux pour gérer un carnet d'adresse, un
(petit) stock ou bien encore une cave à vins.
bBase III est compatible avec toutes les ver­
sions du Workbench.
DOCKBRUSHES
Collection graphique
Fish 878
Pour tout utilisateur des systèmes 2.0 et
supérieurs, le programme ToolManager
dans sa version 2 est absolument indispen­
sable. Hélas, malgré le confort évident
qu'apporte l'utilisation de ses fameux
"docks", il faut disposer d'un certain don
pour le graphisme et dessiner soi-même
toutes les petites icônes nécessaires. Une
tâche qui n’est pas à la portée de tout le
monde, moi le dernier.
Fort heureusement, il existe dans le
domaine
public
plusieurs
collections
d'icônes ou brosses spécialement prévues
pour ToolManager, que ce soit en 4, 8, 16
couleurs, ou plus encore.
La collection DockBrushes n'innove pas
réellement en la matière. Les brosses,
oeuvres de l'américain David Voy, sont en
S
dP
Quelques brosses parmi les plus jolies et originales.
16 couleurs et s'intégrent parfaitement dans
le Workbench. Pour obtenir un résultat opti­
mal, la palette originale des brosses est four­
nie, sous forme d'un fichier de préférences
pour l'éditeur Palette.
La collection comprend pas moins de 54
fichiers et bases
de données.
Fiez-vous aux apparences : bBase III est vraim ent aussi sim ple que ça.
G R A N D P U B L IC
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Q«uit
D isk Test ouvre u ne A p p W in d o w : posez une icôn e de disque ou de tiro ir dessus, et le test com m en­
ce "ûutôm agiquem ent".
brosses différentes, incluant des logiciels
aussi divers que variés : Excellenceî,
ProWrite,
Directory Opus, PacMan,
QuarterBack Tools, Scala Multimedia,
Imagine, XCopy, Lemmings... ainsi que
d’autres plus universelles : tiroir Fonts,
logiciel de dessin, traitement de texte,
player SoundTracker, etc.
D IS K T E S T
Utilitaire disquettes
Fish 879
Il arrive souvent que l'on ait besoin de
copier des fichiers depuis son disque dur
sur une disquette, soit à des fins d'archi­
vage, soit plus simplement pour en faire
profiter son petit copain... Quelle qu'en
soit la raison profonde, il vaut mieux dans
ces cas-là s'assurer que la disquette utili­
sée est parfaitement valide, c'est-à-dire
qu'aucune erreur physique ne viendra
invalider les dits fichiers. D'autre part, on
aimerait également être sûr que la copie
elle-même s’est bien déroulée, surtout si
les fichiers doivent être effacés du disque
dur après avoir été recopiés sur disquette.
On s’en doute, c'est ici qu'intervient
DiskTcst. Inspiré des Norton Utilities sur
PC, ce programme permet donc de véri­
fier l'intégrité des disquettes qui lui sont
soumises. L'utilisation en est fort simple :
il suffit de cliquer l'un des quatre boutons
DFO: à DF3: disposés en bas de la fenêtre
pour que commence la vérification de
celle-ci.
DiskTest distingue deux modes d'action :
dans le premier, il lit la disquette piste par
piste (c'est-à-dire sans se soucier des
fichiers qu'elle contient) et reporte toute
erreur rencontrée. Ce mode est réservée
aux disquettes AmigaDOS ; il ne permet­
tra pas de vérifier un disque dur ou une
disquette PC utilisée avec CrossDOS.
Dans le second mode, DiskTest vérifie
l'intégrité des fichiers eux-même, c’est-à-
dire qu'il ne vérifie que les secteurs effec­
tivement utilisés sur la disquette. Bien que
plus lent et forcément moins exhaustif que
le premier, ce mode permettra de tester
également tout périphérique compatible
AmigaDOS
(disque
dur,
cartouche
SyQuest, etc.).
TestDisk n'est compatible qu'avec les ver­
sions 2.0 et supérieures du Workbench.
W ATCHER
Utilitaire système
Fish 879
Il existe dans le domaine public des
dizaines d’utilitaires de type "barre de
titre", c ’est-à-dire dont la fenêtre se
- H
Syro r<.ré
D
U Jd tü h e r
résume à sa plus simple expression, à
savoir une seule ligne d'information. En
règle générale, un tel programme affi­
chera la quantité de mémoire disponible,
un autre donnera l'heure, tandis qu'un
troisième surveillera chaque partition du
ou des disques durs pour en indiquer la
place disponible. Au bout du compte, on
peut arriver à un Workbench parsemé
d'une multitude de petites fenêtres, ce qui
n'est évidemment ni esthétique, ni très
pratique.
Heureusement, Watcher est arrivé (sans se
presser, si l'on en croit la chanson). Ce
petit programme - il ne pèse qu'une cin­
quantaine de kilo-octets - remplacera à lui
tout seul tous les autres programmes du
même genre que vous pourriez déjà pos­
séder.
Dans le désordre le plus complet, voici un
liste succinte des informations que
Watcher est à même de donner : date et
heure système,
mémoire disponible
(CHIP, FAST et/ou total), espace libre sur
le(s) disque(s) dur(s), liste des tâches dans
le système, liste des fontes utilisées, infor­
mations diverses sur les fichiers... Mieux,
Watcher est compatible ARexx iseules
quatre commandes sont reconnues, mais
elles suffisent), et est capable de vous pré­
venir si l'espace disponible sur un disque
atteint une limite minimale définie par vos
soins. Sous Workbench 3.0 ( A l200 et
A4000), il est même capable de recon­
naître le type des fichiers déposés sur son
3168K W o rk :
P re fe re n c e s
V o Iu n e s :
H 4 > _ 3 .8 .- o . W o r k ;- a
H in d o u .
U in d o w T o w E d a e ;
U ird n u U . d t h !
U p d a te
U p d i* *
P u b lic
S c t 'É - e n :
I ! » i rte
V o lu n e
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Laoge-st
Laege-st
La^ge-ot
Ch -.p S t o c k :
F a s t S to c k :
M on. S to c k ;
C h ip H m iit - y ;
F a s t lim o c w i
T o fn i Hé m o p v :
3 p p I n f o a u t o s t a r - t : ____
D «»- » r . ’.
Q | H rf/ rm / y v
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W alcher, ses préférences, et son icôn e A p p ln fo '
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I l sh
t î î e t- tid t
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un Amiga équipé d'un méga-octet, ce
chiffre grandissant évidemment avec, la
quantité
de
mémoire
disponible.
PowerBase reconnaît jusqu'à sept types
de champs différents : texte, nombre,
date, heure, pourcentage, logique et
externe, ce dernier servant à stocker des
images IFF pour, par exemple, gérer sa
bibliothèque graphique. Des filtres sont
également disponibles, qui limitent la
recherche dans la base : les opérateurs
habituels dans ce cas sont tous implémentés (égalité, différence, approxima­
tion...).
D une réalisation tout-à-faît honnête,
PowerBase 2.00 devrait combler ceux à
qui les limites volontaires de bBase III
sembleraient par trop contraignantes.
A noter que PowerBase 2.00 est incom­
patible avec l'Amiga 4000. et que nous
n'avons pas pu le tester sur un Amiga
1200 .
S O N G D IS K 2
Démo
Amos PDL 357
Evidem m ent, i l y a d'autres images beaucoup m oins sages...
icône (au travers de la datatypes.library,
on s'en doute). Notez à ce sujet que la
distribution de Watcher inclut même
trois nouveaux "datatypes" (types de
données en français...) pour les images :
BMP, PCX et GIF, qui permettront par
exemple à l'utilitaire MultiView de gérer
les images stockées dans ces formats.
Enfin, comble du confort, Watcher sup­
porte parfaitement la localisation (même
si la traduction française n'est pas
encore disponible, tous les fichiers
nécessaires sont fournis pour qu'un
développeur français la réalise) et le sys­
tème d'aide AmigaGuide. Le tout est de
plus entièrement paramétrable grâce à
un éditeur de préférences, qui plus est
disponible depuis Watcher lui-même.
Bref, c'est là un véritable must qui ren­
dra d'immenses services.
Watcher n'est compatible qu'avec les
version
2.0
et
supérieures
du
Workbench.
Ferrari comparée à une Mini Austin... On
veut bien les croire !
PowerBase se veut beaucoup plus puis­
sant (d'où son nom !) que bBase III, testé
dans cette même rubrique. Visuel­
lement. les auteurs se sont ouvertement
inspirés de l'interface graphique de
SuperBase. On retrouve le panneau de
commandes graphique avec les mêmes
boutons de contrôle : avance, recul,
recherche.
filtre...
Techniquement,
PowerBase est annoncé comme pouvant
gérer jusqu'à 10 000 enregistrements sur
MERCI !
X -A G A
1 & 2
A l’intention de tous ceux qui ne sau­
Collection graphique
raient pas où se procurer les logiciels
Une collection d'images pour le moins
osées, à ne franchement pas mettre entre
toutes les mains (sans vilain jeu de
mots...). Sauvegardées au format GIF en
2.56 couleurs, ces images sont (antôt éro­
tiques,
tantôt carrément pornogra­
phiques. Nous avons évidemment choisi
de vous montrer l'une des plus sages... ■
cités dans cette rubrique, nous signa­
POW ERBASE 2 .0 0
Les démos du groupe Syntex sont tou­
jours attendues avec une certaine impa­
tience. Fanatiques invétérés d'Amos, ce
groupe a en effet toujours mis un point
d'honneur à réaliser des effets que l'on
croyait impossibles à un langage Basic,
fût-il compilé. Ici encore, Syntex frappe
fort, avec notamment dans l'introduc­
tion. un sinus-scroll géant (il occupe tout
de même tout l'écran !).
Côté musiques, on remarquera une ten­
dance appuyée vers le techno, l'house
music et autres rythmes barbares. On
aime ou on n'aime pas, mais il faut bien
reconnaître qu'il n'y a absolument rien à
redire au niveau de la réalisation, tant
musicale qu'en programmation. Syntex
connaît son sujet, et le prouve une fois
de plus.
lons qu'il nous ont été aimablement
Base de données
Amos PDL 356
fournis
par
Phoenix-DP,
D'abord
écrit
en
AmigaBasic,
PowerBase a bénéficié pour sa version
2.00 d'un total "rewriting", cette fois-ci
en Amos compilé. Les auteurs, le groupe
de programmeurs Amivision, en profi­
tent pour affirmer que le résultat est pro­
portionnellement aussi rapide qu’une
cions vivement.
BP
801,
64008 Pau CEDEX, que nous remer­
Tous les logiciels testés ici seront très
prochainement disponibles en télé­
chargement sur le 3615 Amiga Revue.
Stéphane Schreiber
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N°. 1
SE P T .
Le Cuda Journal
1993.
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<A
0
III
û
DEM
EUROCHARTS
Le Top 5 des meilleures démos "one
part" et "multiparts" selon Static Bytes.
One part
L 'A C T U A L IT E D E
L A SC EN E
Nous saluons la performance du groupe
ARISE qui est arrivé premier au concours
de démos organisé lors de la Sun'n'Fun
Conférence 2, party donnée en Allemagne
par le groupe ARISE. Bravo à eux.
La Saturne Party a lieu en ce moment
même à Chelles (4 et 5 septembre).
Reportage détaillé le mois prochain,
Coders Amos réjouissez-vous : F. lionet a
confirmé lors de la Garden Party 2, la sortie
prochaine d'une version d’Amos capable
d’exploiter les ressources des A1200 et A4000.
Hémmoragie de membres chez NOVA.
THE PO RN O S vient d'être créé. Cette his­
toire sent le bizzare à plein nez car ce
groupe, si on peut l'appeler ainsi, est
constitué de 48 personnes toutes issues
de
formations
prestigieuses
telles
qu' Andromeda, Lemon, Crusaders... Nul
doute qu'on va se battre pour rentrer dans
THE PORNOS.
HERESYA et NGC préparent un musicdisk en commun. Mushies sera l'auteur
de toutes les musiques. Code
:
Tyron/HRS, Gfx : Zaltor et Xulax/NGC.
NGC en solo cette fois-ci, prépare un
autre music-disk titré "Music Box".
L'association O VERSCAN recherche de
toute urgence un groupe déjà formé et
expérimenté pour la création d'une
"Commercial Intro" destinée à la promo­
tion de son journal. Ecrire à : Association
Overscan, 55 avenue Jean Mermoz,
93120,la Courneuve. Tél : 48 36 69 16.
Tous les membres de BADCAT ont rejoint
SOLARIS. Donc, BADCAT en tant que
groupe n'existe plus mais continue ses activi­
tés en tant qu'association distributrice de DP.
Vodka a quitté DIGITAL pour TSB et a
commencé une série de packs en trackloading très prometteuse.
1. Andromeda "Mind Rio!"
2. Anarchy "3 0 Demo 2"
3. Quartex "Substance"
4. Lemon. "Announce"
5. Sanity "Elysum"
Multiparts
1.
2.
3.
4.
5.
Space Bal Is "State O f The Art"
Si lent & Crionics "Hardwired"
Kefrens "Desert Dream"
Sanity "World of Commodore"
Red Sector Inc. "W icked Sensation"
L A C IT A T IO N D U
M O IS
S'il est une chose que l'on ne pourra
jamais contester à la scène française et
internationale, c'est bien la spiritualité
de ses membres. Donc, régulièrement,
vous retrouverez ici des phrases à carac­
tère cocasse, drôle, percutant, pronon­
cées ou écrites par des démomakers.
Ce mois-ci, c'est un ami à moi, qui a
voulu rester anonyme par crainte de
représailles, qui ouvre le feu. Alors qu’il
contemplait la nature qui l'entourait, lui
est soudain venue cette pensée :
"Dieu est vachement fort en raytracing".
Si vous avez le même genre de reflections, n’hésitez pas à me les envoyer.
APPEL A U X D E M O M A K E R S
le finirai la rubrique démos de <_e mois-ci en lançant un appel : wouaaadhhhh 1C était l'appel.
Non. plus sérieusement, il es! temps, frères démomakers, d'arrêter les "news el les : rumeurs" Si
avez des informations à communiquer à l’ensemble de la communauté (tu veux encore du front,
chèvre, mon frère fi, qu elles concernent votre groupe (recherche de membres, productions
nentes. projets de party) ou d'autres (contacts, amis, etc:.), je me ferai un plaisir rte les transcrire d m
Amiga Revue.
Ecrivez à la rédaction en précisant vos coordonnées, ceci de manière à "filtrer" les petites tiens qui
n ont pour seul but que de répandre des sales rumeurs et de ternir par |aiouste ta réputation
artisti- 1ni d'un groupe entier.
Car comme chaque organisme sur cette planète, vivant ou non, la scène doit évolue'. Je vous
donc de faire un petit pas (un petit pas pour nous, un grand pas pour la scène), le vous propose de
donne r une consistante au démomaking, de le rendre plus "sérieux" isans bien sûr perdre l> <ôté fun
des démos plu; palpable.
e que j'essaie de vous dire avec grande difficulté, c'est que la scène doit se tint ider à mûrir s il elle
ne veut nas moui r.
Lors de la DP Party d’Atacom qui a eu lieu au mois d'Avril dernier, j'ai rencontré de nombreuses per
sonnes, sympathiques, passionnées, etc. Si toute la scène était comme eux je n aurais pas de raison
ri écrire le présent article. Malheureusement, le comportement actuel d’un certain nombre de
makers ressemble à ça : "Tu connais la dernière ? Hof et Titan utiliseraient un scanner !" ou
Tu sais à qui tu parles là ! Non i Je suis du groupe Sanity, ouais mon gars". Non, ce n'est pas un i auehemard, c'est la réalite quotidienne. Des comportements infantiles, prétentieux qu. même s'ils soin
le fait ri une minorité, suffisent à transformer la scène française en une cour de récréation. On n est pat
loin du caca boudin. Un vrai problème.
es soluliorts ? File; existent, comme disait Pierre Desproges. Tout d'abord, comme ie vous le
demande plus haut, envoyez vos infos à Amiga Revue, le désamorcerai tout début de rumeur ou de
polémique.
Ensuite, s'il vous arrive de tomber nez à nez avec un individu ayant des chevilles surdimensionneox.
gnorez jusqu'à son pseudo.
Bravo, nous venons ensemble de franchir une étape vers Iétablissement d'une "vraie' sténo Lorsque nou»
serons déparasses des ersatz de démomakers qui polluent notre atmosphère, nous pourrons nous attaquer a
un problème encore plus grave : le mépris des autres, c'est à dire de tous ceux pour qui une demo n a
aucun sens ni aucune utilité ceux pour qui une démo est l'oeuvre de gamins dont la moyenne ri'âge mental
ne dépasse pas 12 ans U votre avis, à cause de qui ont-ils cette image de nous ?• ou encore, la raison la
plus logique ne représente aucun intérêt commercial.
Ecrivez directement à :
Rat hit i Ouadah. Amiga Revue S rue de la fidélité '5010 PARIS
LOS N EW S
IN T E R V IE W S
D IG IT A L :
FEEL T H E D E M O
Vous avez tous vu au moins une tois la
démo officielle qui a servi à la promotion
de î'Amiga 1200. Derrière les noms
inconnus apparaissant à son générique, se
cachent les membres du groupe français
DIGITAL. Comment ? Pourquoi ? A quelle
heure ? Vous saurez tout en lisant leur
interview.
Amiga Revue : Pouvez-vous présenter
brièvement DIGITAL ?
DIGITAL
: DIGITAL rassemble 35
membres répartis sur 5 pays : Angleterre,
France, Norvège, Allemagne, Etats Unis.
Nous représentons "seulement" la section
française car c'est en Grande Bretagne
dans le courant de l'année 1991 que le
groupe d'origine est né.
A.R. : Comment et par qui a démarré le
projet de cette "démo du 1200"?
D : Nous étions en contact avec un sta­
giaire chez Commodore qui nous a
informé que les têtes pensantes de la
boîte voulaient une démo pour le lance­
ment sur le marché du 1200. Et c'était
parti !
A.R. : Dans quelle mesure "Big C" a-t-il
D : Nous ne connaissions personne dans
la boîte à part ce stagiaire. Pour tout vous
dire, on nous regardait de haut. Ce n'était
pas très agréable...
A.R. : O n va se la jouer à la "Combien ça
coûte" : comment avez-vous été rémuné­
rés ?
D : Nous avons été rémunérés en matériel :
un moniteur multisynchro et un A l 200.
A.R. : Chacun ?!?
D : Non ! UN moniteur et U N 1200
partager ! C'aurait été trop beau...
à
A.R. : Cela a donc été une bonne expé­
rience pour vous ?
D : En fait, elle nous a permis de décou­
vrir un monde différent de celui que nous
connaissions, un univers pas toujours
rose. Nous retiendrons de cette expé­
rience, surtout le fait que les démomakers
sont peu considérés, voire ignorés par les
commerciaux. Cela a été très dur pour
nous d’imposer nos points de vue à ce
type de personnes.
A.R. : Changeons de sujet. Que vous ins­
pire la scène française ?
D : Il est bien dommage que beaucoup
d'individus s'activent seulement à polé­
miquer inutilement et à critiquer au lieu
de créer... Nous espérons qu'une scène
différente va s'installer avec l'avènement
du 1200.
collaboré à sa réalisation ?
D : Notre ami stagiaire a fait quelques
graphismes. Les gens de Commodore ne
nous ont pas aidé directement mais nous
ont donné quelques conseils une fois que
tout était fait... Notamment pour la rédac­
tion des textes affichés à l'écran (caracté­
ristiques techniques, etc.).
A.R. : Combien de temps tout cela vous a
A.R. : La question piège à laquelle plus
aucun demomaker passant par Amiga
Revue n'échappera : quelle est selon vous
la définition du terme "démo" ?
D. : Quelle question ! Disons qu'une
démo, pour nous, c’est l’aboutissement
d'un travail collectif qui vise d’abord à
flatter nos esprits, puis à démontrer, d'où
le terme, les capacités de la machine.
t-il pris ?
D. : La démo a été faite très rapidement.
Ce
sont
les
négociations
avec
Commodore qui ont coûté le plus de
temps : plus d'un mois... Le projet a failli
tomber à l'eau car ils n’étaient pas clairs
dans leurs demandes. Par exemple, ils
voulaient que la démo tourne également
sur le 4000 alors qu'elle n'était faite que
pour le 1200.
A.R. : Comment cela s'est il passé au
niveau relationnel ?
A.R. : L'avenir de Digital ? Une démo
pour le 1400 (l'hypothétique prochain
bébé de Commodore) ?
D. : DIGITAL continuera à produire sur le
500 pendant quelques temps encore. La
section française commence par contre à
concentrer ses efforts sur le 1200.
A.R. : Quelques personnes à saluer ?
D : Oui, dans le désordre : Axel, Xann,
Monty, Sam, Moby, Audiomonster, Hof,
Walt, Mack, Alex, Antony, Fletch, Sync...
et tous ceux que nous aurions malencon­
treusement oubliés.
A.R. : je suis sûr qu'ils vous pardonneront I
A bientôt !
Deuxième interview du mois : à l'occa­
sion de la sortie de la démo "Keeping the
Faith” (on y croit), j'ai capturé un membre
du groupe Heresya. je tiens à préciser que
cet individu est un ami, et que c'est par
pure coincidence que cette interview a
été décidée. La loi du piston ne joue pas
ici, car même vous pouvez répondre à
mes questions intelligentes, pour peu que
vous ayez une production à présenter ou
une party à annoncer. Ceci dit, voici une
série de questions très objectives...
Amiga Revue : Bonjour Tyron, qui es-tu ?
Que fais tu ? Pourquoi ?
Tyron/HRS : Je suis coder dans le groupe
HERESYA, j'ai 112 ans et j'étudie l'infor­
matique en I.U.T. Pourquoi ? Je sais pas...
A.R. : Comment est née Keeping The
Faith ?
T/H. : Omsey, Realgar et moi-même
avions réalisé quelques bricoles chacun
de notre côté. Nous avons donc rassem­
blé tous ces Ko de données pour enfin
"mettre au monde" cette démo. Mushies,
un bon pote à nous, pour la zik. Temps
de gestation : un an ! En fait, nous avons
rencontré de nombreux problèmes dûs à
l'incompatibilité Amos/'Protracker.
A.R. : Les coders Amos sont souvent
méprisés, au point que les démos faites
en ce langage ne sont pas retenues dans
les catalogues des BBS. La question à 2
francs : cela crée-t-il chez toi un certain
"complexe" ?
T/H. : Les productions en Amos consti­
tuent une collection à part entière :
l'Amos Public Domain Library. |e ne me
sens pas du tout complexé... En fait, ta
question vaut 20 centimes...
A.R. : Quel est la différence entre un bon
coder et un mauvais coder ?
T/H. : Ben... Un bon coder tu vois, il
code pendant des heures et des heures.
Alors qu'un mauvais coder code pendant
des heures et des heures, mais c'est pas la
même chose, tu vois...
D E M O S El
IN T E R V IE W , S U ITE
A.R. : Combien de sections dans le
monde pour HERESYA (
T/H. : Nous avons abandonné notre
section Groenland après un désaccord
qui nous a mis en froid. A part ça, on
vient de créer une section CharenlesPoitou.
A.R. : Quel est le meilleur groupe de la
scène internationale selon toi ?
T/H. : Il n'y a pas de meilleur groupe,
mais beaucoup d'excellents groupes,
l'aime surtout l'originalité des produc­
tions de Melon, Spaceballs, etc.
A.R. : Quelles sont tes autres activités à
part le démoniaking ?
T/H. : Je m'occupe de rédiger des
articles pour le magazine OVERSCAN.
Le travail au sein d'une équipe comme
celle là me motive et me passionne,
l’adore mes articles surtout, et je vous
conseille donc de vous procurer
OVERSCAN, ne serait-ce que pour les
lire ! De temps en temps, je lais une
partie de Paint Bail avec mes potes les
D.K.P,
Après un été plutôt
estival, la rentrée se fait
sur les chapeaux de
roues pour les
démomakers. Le coup
de feu sera tiré les 4 et
5 septembre à Chelles
avec la Saturne Party. Il
faudra ensuite
s'attendre à être
innondé de démos AGA,
dont nous vous
présentons d'ailleurs les
premiers spécimens.
uoi, elles sont pas fraîches mes
démos ? C'est vrai, certaines com­
mencent à sentir le poisson, mais j'ai
décidé de vous en parler quand même,
car premièrement, mes prédécesseurs les
ont malencontreusement oubliées et
deuxièmement, ce sont pour certaines des
chefs d'oeuvre. Le mois prochain, votre
rubrique préférée, qui vous l'aurez remar­
qué change depuis quelques temps, va
prendre un sacré coup de jeune. En atten­
dant, jetez un coup d’oeil sur les photos
des premières démos AGA.
Q
O L D B U LLS
FUGAZI
A.R. : Des coucous à faire passer î
T/H. : Oui, bien sûr. Coucou à :
Omsey,
Realgar, Mushies.
NGC,
Ooze/Artwork, Avoriaz/Syntex, bref
d'abord mes potes. Le reste, je m'en
fous...
A.R. : Bon, à tout à l'heure.
Propos recueillis par Rachid Ouadah
Code : Hudi, Zbuka
Graphisme : Animal, Blind, Pluton. G.B.,
Klugc
Musique : Lalulh
Raytracing : Sabe
Cette démonstration qui nous vient de
Pologne, ne se distingue du lot que par
une utilisation astucieuse du raytracing.
Autrement, les effets du genre déjà vus
(shadebobs, glenz, etc.l et le design relè­
guent presque les Old Bulls au rang de
"pire groupe de l'univers" (d’après leurs
propres termes !).
Code : 13/20
Graphisme : 13/20
Musique : 14/20
Design : 11/20
Raytracing : 17/20
Originalité : 14/20
M E L O N D E Z IG N
BOOO
Code : Pertormer
Graphisme : W alt
Musique : 4Mat, Heatbeat, Jimi Hendrix i
Il y a deux manières de "réussir" dans les
démonstrations : faire dans le technique,
le tape à l'oeil et le spectaculaire, ou pro­
duire des créations originales. C'esl dans
cette voie là que Melon Dezign a choisi
de s'exprimer. La première partie de Booo
(vous avez dit bizare ?) est un simple...
scrolltext. La seconde est digne d'une
publicité ou d'un clip professionnel, avec
pour
principale
caractéristique
la
sobriété. Chacun se fera son opinion sur
cette démo, mais pour moi, nul doute que
Melon possède un style unique et inimi­
table, malgré les Lemon ou autres Nomel.
Code : 14/20
Graphisme : 18/20
Musique : 16/20
Design : 17/20
Originalité : 181/2/20
K E F R E N S : TH E
DESERT D R E A M
Code : Laxity, Zeus
Graphisme : R.W.O., Bizzart, Airwalk, Laxity'
Musique : Laxity
Attention, chef d'oeuvre ! Desert Dream,
c'est le retour de Kefrens sur le podium
des meilleurs groupes. Au programme :
une introduction style cinématogra­
phique, des effets novateurs, une musique
techno excellente (ça existe, oui !) et syn­
chronisée avec les images à l'écran, et
bien d’autre choses... Retenez ce conseil :
si vous ne l'avez pas encore, procurezvous Desert Dream immédiatement I
Code : 18/20
Graphisme : 17/20
Musique : 18/20
Design : 17/20
Originalité : 15/20
D E S HOMMES
r
part" et un morphing en filaire très
sympa. A noter que le code a été accom­
pli en Amos et que ce dernier n'a pas
empêché les coders d'Heresya de tripa­
touiller avec talent le Copper. Donc, on
garde la foi pour la prochaine démo.
A ‘&
Code : 16/20
Graphisme : 13/20
Musique : I 7/20
Design : 8/20
Originalité : 15/20
let Set
T M G M : JUST FO R
FUN
Code : Techtronium
Graphisme : Zoon
Musique : Zoon, Techtronium
Le titre de celte démo, codée en majeure
partie en Amos, annonce la couleur. Ses
auteurs affirment clairement que leur but
était de faire dans le "no technic", Donc,
peu d'effets mais beaucoup d'originalité
et d'humour. Une des paris les plus
impressionnantes est celle où le DFO:
chante "Au clair de la lune” (véridique) !
Dommage simplement que le sens esthé­
tique ait été un peu (beaucoup) négligé.
Code : 12/20
Graphisme : 14/20
Musique : 14/20
Design : 9/20
Originalité : 17/20
HERESYA :
K E E P IN G TH E
F A IT H
Code : Tyron, Omsey
Graphisme : Realgar, Yog-Sothoth
Musique : Mushies
Cette démonstration, qui lient son nom
d'une chanson de "D e la Soul", est la
première du groupe Heresya. On en
attendait beaucoup, car le code et les gra­
phismes
s'annonçaient
fort
bien.
Malheureusement le design n'a pas du
tout suivi. Deuxième gros défaut : l’arran­
gement des parts qui semblent avoir été
"balancées" les unes après les autres,
presque sans Iransilion comme dirait
PPD. Cependant, KTF présente de nou­
veaux effets : le wavedéfoncc, une "tube
S Y N T E X : M U S IC
L IG H T
Code : Avoria/
Graphisme : Avoriaz, Dark Knight
Musique : Bird, Gibs
Troisième music-disk du groupe bien
connu Synlex, Music Light se distingue
d'abord par un code et une prise en main
simplifiés au maximum : pas de choix de
textes, pas de parts spéciales, pas d'eft'els
etc. L’écran principal est animé d'un
scrolltext el d'un equalyzer original. Les
musiques, sans êlre fantastiques, sont
appréciables et, heu... musicales. Un
grand travail a été accompli au niveau
des graphismes. Dommage que la fin
casse la qualilé de l'ensemble.
Code : 17/20
Musique : 15/20
Graphisme : 18/20
Design : 16/20
Originalité : 14/20
DEMOS AG A
Dans le domaine des chips AGA, on
n’assiste pour l'instant qu'à une simple
reconnaissance de terrain de la part des
groupes "AGAïstes", qui dans peu de
temps sauront parfaitement exploiter les
nouvelles puces.
Pas de méprise, ce n'est ni un aliment ni
un couple de flics en moto).
Je disais donc que Tag tourne également
sur les systèmes classiques mais dans ce
cas, vous ne verrez pas les parts spé­
ciales. Logique.
Pour en revenir à la démo elle-même, elle
comporte de nombreux gtx, en grande
majorité des grafitis. Les effets sont en
nombre restreint, classiques, mais effi­
caces et très design.
Pour en venir à la part AGA, on va par­
donner à Jetset en considérant que
l'exploration des possibilité des AGAs ne
fait que commencer, car à part le dégradé
et la qualité de la 3D, il n'y a pas de quoi
acheter un 1200...
Code : I 7/20
Graphisme : 15/20
Musique : 16/20
Design : 17/20
Originalité : 13/20
TEAM H O I : A G A
DEMO
C'est une équipe auparavant inconnue
qui signe cette production exclusivement
1200 et 4000. On est surtout impres­
sionné par les dégradés de couleurs
hyper-fins. En ce qui concerne les effets,
le coder a su profiter des capacités de la
machine pour en fait nous resservir des
routines classiques simplement enrichies
en couleurs et en fluidité. On retiendra
surtout les zooms et les déformations bit­
map, ainsi que les plasmas au pixel près
usant pleinement des nouveaux modes
graphiques.
Code : 17/20
Graphisme : Musique : 13/20
Design : 12/20
Originalité : 11/20
O U SE P R O C U R E R
CES D E M O S ?
JES TS ET : T A G
Non, letset n'est pas un groupe basé en
banlieue parisienne... Tag est l'une des
toutes premières démos exploitant les
chips AGA. Ce qui ne l'empêche point
d'être compatible avec les chips clas­
siques (pour les débutants qui nous lisent,
"chips" veut dire "puces électroniques".
Les démos testées ce mois-ci apparais­
sent au catalogue des associations sui­
vantes :
Attila DP, BP 192, Cournon CEDEX
BadCat, B P 56, 13153 Tarascon CEDEX
CONCOURS
A.G.A.-DEM OS
AMIGA REVUE/
COMMODORE
LE J U R Y
Amiga Revue et Commodore
France organisent un
concours de démonslrations
tournant sous AmigaDOS 3.0
(Workbench version .39 et audélà) et exploitant les capa­
cité graphiques des nouveaux
chips AGA (modes 256 cou­
leurs et HAM8I.
Ces démonstrations devront
être des œuvres originales.
Elles pourront soit être pro­
grammées dans n'importe
quel langage permettant
l’exploitation d'AmigaDOS,
soit être créées à l’aide
d’outils d'animations suppor­
tant le Workbench 3.0
(DcLuxe Paint AGA, etc.l.
Quelle que soit la catégorie
choisie, les démonstrations
pourront être contenues sur
une ou plusieurs disquettes,
mais devront obligatoirement
être installables sur disque
dur.
DURÉE DU
CONCOURS
Les disquettes pourront nous
parvenir jusqu'au 20 octobre
LES L O T S
Présidé par M. Gilles Mendel, Directeur
Général Adjoint de Commodore France, il
sera composé de toute la rédaction d'Amiga
Revue et du service technique de Commodore
France, représenté par M. Nicolas Costes.
R E M IS E D E S P R IX
suivante :
Amiga revue
Concours AGA-Démos
13, rue Sainte-Cécile
75010 Paris
1 ordinateur Commodore
Amiga 1200 (*)
2‘ prix :
1 Moniteur Multisynchrone
Commodore 1960 (*)
Elle aura lieu fin septembre 1993. Un compte­
rendu complet sera publié dans le numéro
d'octobre 93 d'Amiga Revue.
Des abonnements d'un an à Amiga Revue (” ). des
joggings à l’effigie de Commodore, des tee-shirts
à l'effigie de Commodore, des collections de
Pin's Amiga Revue.
O B L IG A T IO N S ET
C O N T R A IN T E S
* Avec possibilité de choisir un lot équivalent
dans la gamme de périphériques et accessoires
pour Amiga de Commodore.
En ce qui concerne la programmation, cer­
taines conditions sont posées...
"Respecter et utiliser le système d'exploita­
tion" ne signifie pas obligatoirement l'ouver­
ture d'un écran Intuition ; on peut utiliser la
graphics.library pour créer un affichage tota­
lement nouveau... Il est également autorisé
d'inhiber provisoirement le multitâche avec
ForbidO, mais les pratiques suivantes causeront
inéluctablement l'élimination du concours :
- inhibition des interruptions avec DisableO pour
de longues durées, et plus particulièrement pour
la durée de la démonstration entière !
- programmation directe du hardware. Le
Blitter pourra être provisoirement réservé à
votre seul usage, à condition que cela soit fait
de manière compatible avec le système, et
pour de courtes périodes.
A ID E S
SU PPLE M E N TA IR E S
Commodore France et Amiga Revue mettent
en place une opération spéciale d'aide aux
programmeurs
désirant
participer
au
concours AGA-Démo, en ieur proposant
d'acquérir à moindre frais le Kit de
Développement Amiga, normalement réservé
aux développeurs enregistrés. Ce kit se com­
pose de deux disquettes "Includes & Autodocs
3.0", d'une disquette "Outils" (MungWall,
Enforcer, CatComp...) et d'une disquette
"Exemples" (avec sources en C).
Ce kit peut être acheté par correspondance
pendant toute la durée du concours, en utili­
sant le bon de commande de la page 13.
Parallèlement à cette opération, Amiga Revue
publiera une série d'articles écrits par les
techniciens de Commodore-Amiga, qui don­
neront conseils et astuces pour le développe­
ment de jeux et démos respectant le système.
Cette série débute dès le présent numéro,
avec la reproduction intégrale de l'interven­
tion faite au récent DevCon d'Orlando par
Chris Green et Spencer Shanson, tous deux
responsables de la bibliothèque graphique de
l'Amiga.
1993 à minuit, le cachet de la
poste faisant foi, à l'adresse
1" prix :
E x t r a it d u r è g le m e n t
■Ar-'de 1 : A m ig a R evue e t C om m e
organisent
ta n t s u r la ré a lisa tio n d o d é m o n stra tio n s p o u r le
C e c o n c o u rs est o u v e rt à to ut le m o n d e sans re s tric tio n
_____
A rtic le 2 : le s d é m o n stra tio n s d o iv e n t ê tre lib re m e n t in sta lla b le s sur
A m ig a D O S 3.0.
A rtic le 3 : le s d é m o n stra tio n s réalisées e n c o d e d e vro n t ê t _ _
refuser u ne d é m o n stra tio n si des te c h n iq u e s d e p ro g ra m m a tio n
A rtic le 4 : tes d é m o n stra tio n s soum ises a l ’a p p ré c ia tio n d u ju ry
C o m m o d o re F ra nc e se ré se rve n t le d ro it rie les u tilis e r p o u r I
p u b lic ita ire s, etc.
LA VERSION
V 3 9 ET LA
COMPATIBILITE
AA (IV)
Voici enfin le
quatrième et dernier
volet de notre survol
des techniques à
employer pour
profiter pleinement
des nouvelles
capacités des
machines à base de
chips AGA, tout en
restant parfaitement
compatible avec les
versions plus
anciennes du
système
d'exploitation.
S /
ne stupide erreur a malencontreuse­
ment fait qu'une bonne partie du troi­
sième épisode de cette série, n'était qu'une
pâle redite de la fin du second épisode.
Nous vous présentons toutes nos excuses
pour la gêne que cela a pu occasioner. Ce
qui suit est à placer directement à la fin de
l'article précédent, qui se terminait par
cette phrase à haute teneur dramatique :
"le.s programmes doivent donc vérifier
explicitement la base de données d'affi­
chage pour savoir ce que les processeurs
permettent".
U
/* maxdepthlores.c */
Sinclude <exec/types.h>
Sinclude «intuition/intuition.h>
Sinclude <graphics/displayinfo.h>
Sinclude <dos/dos.h>
Sinclude <clib/exec_protos.h>
Sinclude <clib/intuition_protos.h>
Sinclude <clib/graphics_protos.h>
Sinclude <clib/dos_protos.h>
Sinclude <8tdio.h>
Sinclude <stdlib.h>
Note concernant les ModelD : les modes
définis dans la base de données d'affi­
chage ont été déplaces du fichier <graphics/displ ay int'o. h> vers le nouveau
fichier <graphics/modeid.h>. N'essayez
pas de créer de nouveaux modes d'affi­
chage en additionnant des moniteurs et
des caractéristiques de modes, sauf ci le
fichier include le mentionne explicitement.
N'essayez pas non plus de déduire les
caractéristiques de l'affichage d'après les
bits de la valeur ModelD.
A la place, utilisez celte valeur ModelD
comme argument des fonctions de la base
de données d'affichage, pour déterminer
les caractéristiques de l'affichage (voir à
cet effet l'exemple ci-dessous, ainsi que
ceux du tome Libraries du Rom Kernel
Manual, et de la requête de mode
d'écran).
struct Library ‘IntuitionBase;
struct Library ‘GfxBase;
void Quitlchar ‘whytext.LONG failcodel
(
if (‘whytext)
printf("%s\n".whytext);
if (IntuitionBase)
CloseLibrary(IntuitionBase);
if (GfxBase)
CloseLibrary(GfxBase);
exitlfailcodel;
void main(void)
(
L'exemple
complet
listé
ci-dessous
recherche dans la base de données d'affi­
chage un écran basse résolution et ouvre
un écran avec le maximum autorisé de
plans mémoire (à condition qu'il y ait suffisament de mémoire vidéo). Sur un Amiga
avec n’importe quels processeurs jusqu'à
l'ECS, ce programme ouvrira un écran
avec 5 pians mémoire (32 couleurs.
NDLR). Sur un ordinateur doté des proces­
seurs AA, l'écran aura 8 plans (256 cou­
leurs, NDLR). Le programme dessine
ensuite une ligne verticale pour chacune
des couleurs disponibles, en utilisant la
palette par défaut d'intuition (qui peut être
modifiée par l'utilisateur avec
les
Préférences). Cet exemple a besoin au
minimum de la version V36 du système
d'exploitation (2.0, NDTi.
ULONG modelD = LORES_KEY;
DisplaylnfoHandle displayhandie;
struct Dimensionlnfo dimensioninfo;
W O R D maxdepth, maxeolors;
ULONG soerror = NULL.colomum;
struct Screen ‘screen;
if ((GfxBase =
OpenLibrary("graphies.library",36)) ==
NULL)
Quitl"graphies.library trop ancienne
<V36", R£TURN_FAIL) ;
if ((IntuitionBase =
OpenLibrary("intuition.library",36) ) ==
NULL)
Quit("intuition.library trop ancienne
<V36", RETURNJ?AIL) ;
if ((displayhandle =
!",RETURN_FAIL);
FindDisplaylnfo(modelD)) == NULL)
ftinclude <stdio.h>
break;
ftinclude <stdlib.h>
QuitC'ModelD non trouvé dans la base de
données d'affichage", RETURN_FAIL);
case OSERR_NOCHIPMEM:
Quit("Pas assez de mémoire
if
(GetDisplaylnfoDataldisplayhandle,(OBYTE *)
struct Library 'IntuitionBase;
struct Library 'GfxBase;
CHIP.",RETURNFAIL );
break;
struct Screen
'screen = NULL;
Adimensioninfo,
sizeof(struct
case OSERRJJOMEM:
Dimensionlnfo),DTAG_DIMS,NULL) == 0)
Quit("Informations sur le mode indispo­
nibles", RETOFN_FAIL);
QuitC'Pas assez de mémoire
void Quit(char 'whytext, LONG failcodel
{
FAST.",R£TDRNJAIL)î
break;
if('whytext)
printf("%s\n",whytext);
maxdepth^dimensioninfo.MaxDepth;
printf("dimensionlnfo.MaxDepth=%d\n",(int)
maxdepth);
default;
printf("soerror=%d\n",soerror);
if (screen)
Quit("Erreur d'ouverture de
UnlockPubScreen(NULL, screen);
1 'écran.", RETURN_ FAILÏ ;
break;
if (IntuitionBase)
}
CloseLibrary(IntuitionBase);
if
(soreen=OpenSoreenTags(NULL,SA.DisplaylD
,modeID,
SA_Depth
,(TJBYTE) maxdepth,
SAJTitle
SA_ErrorCode
,"MaxDepth LORES",
.Asoerror,
SA,FullPalette .TRUE,
TAG_END))
if (GfxBase)
Quit("Impossible d'ouvrir
CloseLibrary (GfxBase );
1'écran.",RETURN_FAILI ;
)
exit(failcode);
Quit('"',RETURN_OK) ;
exit */
/* clean up and
)
(
void main(void)
/' Zowee! L'écran est ouvert !
*
* Essayons de dessiner dedans...
*/
maxcolors=1<«maxdepth,
printf ("maxcolors=%d\n", (int ) maxco-
lo r s ) ;
for(oolornum=0;oolornum<maxcolors;ttcolornum)
Ouverture sur l'écran du Workbench : une
des manières les plus faciles de permettre à
un programme de fonctionner avec les nou­
veaux processeurs, est de l'autoriser à ouvrir
ses fenêtres sur l'écran du Workbench (ou
sur n'imorte quel écran public). Un pro­
gramme écrit de cette manière doit être suffisament fiable pour obtenir du système
toutes les informations dont il pourrait avoir
besoin à propos de l'affichage, et s'il com­
prend l’écran qu'il occupe, utiliser les rou­
tines appropriées de la bibliothèque gra­
phies library pour manipuler ses fenêtres.
{
SetAPen(& (soreen->RastPort) ,colomum) ;
Move(A(screen>RastPort),colornum,8oreen->BarHeight + 2);
Draw(&(screen->RastPort),colornum,199);
}
Voici un exemple de code qui détermine la
profondeur de l'écran public par défaut et
qui y ouvre une fenêtre. Si ce code était
intégré à une application, il vous donnerait
le nombre de couleurs disponibles avec cet
écran.
Delay (TICKS_PER_SEC0NDS*6);
CloseScreen(screenI ;
!
else
{
/*
* Hmmm.
I
<
struct Screen 'screen;
struct Drawlnfo 'drawinfo;
struct Kindow 'window;
UWORD depth;
if ((GfxBase =
OpenLibrary("graphies.library", 36) )==NULL)
Quit("graphies.library trop ancienne
<V36",RETURNJ?AIL);
if ((IntuitionBase = OpenLibrary("intui­
tion.library",36) )==NULL)
Quit("intuition.library trop ancienne
<V36",RETURN_FAIL) ;
if (!(screen = LockPubScreen(NULL)))
Quit("Ecran public par défaut introu­
vable .", RETURN_FAIL );
/* On demande à Intuition des informa­
Si vous ajoutez un peu de code condition­
nel utilisant le partage des palettes Introduit
dans la version V39, vous pouvez avoir vos
propres registres de couleurs (s'il y en a
encore de disponibles), ou les registres par­
tagés les plus proches.
tions sur l'écran */
if((drawinfo=GetScreenDrawInfo(screen))
== NULL)
Quit("Drawlnfo
indisponible.", RETURN_FAÏL) ;
depth=drawinfo->dri_Depth;
Impossible d'ouvrir
l'écran...
/' Etant donné qu'intuition alloue la
structure Drawlnfo,
* Peut-être pas assez de mémoire chip ?
* Peut-être pas assez de chips !
/* depthawarevisitor.c */
*/
* il faut lui dire quand on n'en a plus
besoin, afin qu'elle
switch(soerror|
ffinclude <exec/types.h>
* libère la mémoire.
{
ftinclude «intuition/intuition.h>
ffinclude <graphics /displayinfo .h>
FreeScreenDrawInfo(screen, drawinfo);
case OSERR NOCHIPS :
Quit ("Ouilie ! Des chips plus récents
ftinclude <dos/dos.h>
sont nécessaires !”,RETURN_FAIL);
break;
ftinclude <clib/exec_protos.h>
ftinclude <clib/intuition_protos.h>
case OSERRJJNKNOWNKODE:
Quit("Ouille ! Mode d'écran inconnu
'/
ftinclude <clib/graphics_protos.h>
ftinclude <clib/dos._protos.h>
/* Utilise la version orientée pile
d'OpenWindowTags d'amiga.lib
*/
if (window = OpenWindowTags(NULL,
WA_PubScreen .screen,
WA_Left
,0,
WA Vfidth
,screer.->Width,
W A .Top
WA_Height
>BarHeight,
,screen->BarHeight,
,screen->Height
- screen-
WA_Flags
/*
(tinclude <intuitlon/screens.h>
importantes d ’intuition
•/
/•
ACTIVATEI SIMPLE_REFR£SH INOCAREREFRESH,
,"Big Visitor",
myscreen_setup.Depth=2;
/* Et économi­
sent de la mémoire */
myscreen Betup.DetailPen=0;
/*
Normal V34 pen colors.
*/
myscreen_setup.BlockPen=l;
Sinclude <clib/exec_protos.h> /* Prototypes
des fonctions
*/
,WINDOWDRAGIWINDOWDEPTHIWINDOWCLOSEI
WA_Title
TAG END) I
#include <intuition/intuition.h>
Plein, plein, de structures
*/
myscreen_setup.ViewModes=HIRBS;
myscreen_setup .Type=CUSTÛMSCREEN I
NS_EXTENDED; /* Extended NewScreen flag •/
(tinclude <clib/dos_protos.h>
(tinclude <clib/intuition_protos.h>
myscreen_setup.Font=NULL;
myscreen setup.DefaultTitle="My Screen"
(
tifdef LATTICE
int CXBRX(void)
Inhibe le CTRL/C du Lattice
/* La gestion des événements de la
int chkabort(void) ( retura(O); )
Vraiment */
fenêtre pourrait
myscreen setup.Gadgets=NULL;
myscreen_setup.CustomBitMap=NüLL;
( return(O); )
printf("depth=%d\n",depth);
*/
/* Relie les tags à la structure
ExtNewScreen */
#endif
myscreen_setup.Extension=myscreen_tags;
* être assurée ici...
*/
struct Library "IntuitionBase;
if (NULL !s (my_screen =
Base de bibliothèque Intuition
OpenScreen((struct NewScreen *)&mys-
Delay(TICKS„PER_SECON!J * 10);
creen_setup)));
/* Bien sûr, un autre programme pourrait
venir changer les
* les caractéristiques de l'écran depuis
qu'on les a lues dans
* le Drawlnfo, mais c'est quelque chose
de fortement déconseillé
* pour un écran public, donc on espère
que cela n'arrivera pas.
/* Voici un exemple simple g u i montre com­
ment ouvrir un écran avec le
* nouveau look propre au
V37,
tout en res­
tant compatible avec les
Delay(200L);
gramme est ici •/
* versions plus anciennes du système
d'exploitation.
* Il suffit d'attacher le tag SA_Pens et
une spécification minimale
* des stylos
utiliser à une structure
ExtNewScreen, et d'appeler
à
* l'ancienne fonction OpenScreenl). Les
CloseWindow(window);
tags seront ignorés par les
)
* versions V34 et précédentes de l'OS, tan­
Quit("",RETURN..OK); /* Nettoie tout
et sort */
ferme)
dis que les versions V36
* et suivantes les prendront en compte.
*/
I
VOID maintint argc, char ""argvl
Si vous ne pouvez pas (encore) vous débar­
rasser du système 1.3, utilisez les structures
étendues
par
des
tags
(comme
ExtNewScreen et ExtNewWindow) pour
fournir les capacités des versions V37 et
V39 avec les nouveaux processeurs AA
avec du code compatible avec le système
1.3. Lisez les chapitres sur Intuition dans le
tome Libraries du Rom Kernel Manuel pour
trouver des exemples mettant en oeuvre des
structures étendues. Un exemple d'une telle
technique est le nouveau code IFF
UewlFF39.
(
UWORD pens[1 = ( -0 );
/*
Spécification minimale des stylos */
struct Screen
*my_screen;
Pointeur sur notre nouvel écran */
/•
struct ExtNewScreen myscreen_setup;
/*
Idem NewScreen, mais avec des tags attachés
*/
struct Tagltem
myscreen_tags[2);/* Un
petit tableau de tags */
/* Ouvre la bibliothèque avant d'appeler ses
fonctions •/
IntuitionBase =
NDT : Pour éclaircir encore cette technique,
voici un exemple extrait du Rom Kernel
Manual, qui n'était pas intégré à l’article
original.
OpenLibrary("intuition.library",0);
if (NULL 1= IntuitionBase)
1
/* Remplit la liste de tags */
myscreen^tags[01.ti_Tag=SA_Pens;
myscreen_.tags[01 -ti_Data=(ULONG) pens;
myscreen tags[1).t i_?ag=TAGJJONE;
/* screen34to37.c */
/*
Copyright (c) 1992 Ccramodore-Amiga, Inc.
/* On ouvre l’écran avec
pour que le
2
bitplanes.
»* nouveau look soit plus visible.
**/
myscreen_setup.LeftEdge=0;
#define INTUI_V36_NAMES_ONLY /* Utilisation
des nouveaux noms
*/
myscreen_ setup.TopEdge=0;
myscreen Betup.Width=640;/* Des valeurs
plus petites */
üinclude <exec/types.h>
types.
*/
/
/
/* Amiga data
myscreen_setup.Height=STDSCREENHEIGHT;
/* réduisent la surface de dessin */
FB
(
/* L'écran est ouvert avec succès */
/"Normalement, le pro­
CloseScreen(my„screen);
}
CloseLibrary(IntuitionBase);
La meilleure sélection
de Logiciels
Freewares et Sharewares
U n e v ra ie m in e d ’or p o u r vo tre A M IG A
DISQUETTE A M 652
C H E S S : jeu d ’é checs contre
l'o rd in a te u r.
DISQUETTE AM 662
S E R E N E 1 e t S E R E N E 2 : deu x
shoofemup en scroling vertical dans
le style de Xénon II.
DISQUETTE AM 653
D R IV E W A R S : sho ot em up en
scrolllng vertical dans lequel vous
d ir ig e z u n e d is q u e tte d o n t les
ennem is snt m icro -processeurs et
souris. A vous de les exterminer.
DISQUETTE AM 663
SUPERCUBE
. une bonne
adaptation du leu de Yathzé où vous
pourrez jouer a plusieurs joueurs.
DISQUETTE AM 654
N A U T IlU S : jeu de labyrinthe sousm a rin d a n s le q u e l vo u s d e v e z
récolter les jarres sans vous faire
manger par les requins.
DISQUETTE AM 655
P IP E L IN E II : je u
Pipem ania. Vous devez
des c a n a lis a tio n s afin
a r r iv e à d e s tn a tio n .
classique.
du s ty le
assem bler
q u e l'e a u
U n g ra n d
DISQUETTE AM 656
S C U D B U S T E R : Jeu d e stratégie
d a n s le q u e l vo u s d e v e z p la c e r
correctement vos troupes et détruire
l'ennemi.
DISQUETTE AM 657
LEEDINGS : un ciOne de Lemmings.
Les lutins d e Lem m lngs son t Ici
remplacés par des boules, mais c’est
d'une qualité exceptionnels pour du
shareware. A posséder absolument
DISQUETTE AM 658
D O U B L E S Q U A R E S : je u de
réflexion dan s leq u el vous devrez
êlm iner toutes les pièces du plateau
pe jeu par associatton de couleurs.
DISQUETTE AM 659
C O N C E N T R A T IO N S : d as iq u e jeu
d u s ty le M ô m o ry . V o u s d e v e z
retrouver des cases par paires.
DISQUETTE AM 660
ABASE vL33 : logiciel de gestion de
base de données très ressemblant
av e c S u p e rb a s e . U n e e x c e lle n te
ré a lis a tio n a c c o m p a g n é e d 'u n e
documentation abondante en Anglais.
DISQUETTE AM 661 # »
EA S Y C A LC vl.O a
un exc ellen t
ta b le u r b é n é fic ia n t dé to u tes les
options classiques des logiciels de
son genre. Il bénéficie d'une aide en
l i g n e e t d 'u n e i m p o r t a n t e
documentation en Anglais.
DISQUETTE AM 664
N .U : un excellent shoot em up en
scrolllng vertical très bien réalisé. A
voir.
DISQUETTE AM 665
FIG H TIN G W A R R IO R S : un jeu de
simulation de karaté très bien réaïsé.
Les g raph ism es sont a s s e z bien
réaliste e t les animations fluides.
DISQUETTE AM 666
COLOUR IT v t 3 : un bon logldel de
coloriga plus particulièrement destiné
aux jeunes enfants de 3 à 5 ans.
DISQUETTE AM 667
N U M P T Y D U M P T Y : un excellent
p e t it lo g ic ie l p o u r c o m m e n c e r
l'a p p re n tis s a g e d e l'a n g la is aux
jeunes enfants, par association de
mots et de dessiis.
DISQUETTE AM 668A et 668B
1 8 T H H O L E : un b o n je u d e
simulation de golf. Vous rencontrerez
les m êm es dlfflcvultés qu e sur un
vrai térrain, le vent, les greens, les
b u n k e rs , e t c ... A tte n tio n c e je u
comporte 2 disquettes.
DISQ UETTE AM 669
BOMB JACKY : un excellent leu de
p la te a u , trè s ra p id e , dan s lequel
vous dirigez un personnage qui doit
ramasser toutes les bombes e t les
b o n u s q u 'il re n c o n tr e s u r son
chemin. Une'excellente réalisation.
DISQUETTE AM 670
TO W E R : jeu de labyrinthe en 3D ,
dans lequel vous d evrez découvrir
b o n u s e t lin g o ts d 'o r q u i vous
permettront d’acheter à manger pour
survivre. Jeu Français.
DISQ UETTE AM 671
PR ISO N NIER : vous arrivez à vous
évader de votre prison, mate une fois
dans la cour l ’a lerte est don née,
d a n s la n u it on v o lt le h a lo du
projecteur qui vous traque, évitez le
si vous ne voulez pas vous faire tuer
par le gardiens. Jeu Français.
508, R.N., 59680 Cerfontaine
DISQUETTE AM 672
C R A O K E R : une bonne adaptation
du célèbre jeu d e café Frog, dans
le q u e l v o u s d e v e z a i d e r un e
grenouille â traverser une route et
une rivière en évitant les voitures et
en flottant sur les troncs d’arbres.
DISQUETTE AM 673
THIN KA M A NIA v2.9 i classique jeu
de mémorv dans lequel vous devez
retrouver divers motifs par pales.
DISQUETTE AM 674
T O P O F LEA G U E : vous ten ez le
r ô le d'un m a n a g e r d e c lu b de
fo o t b a ll, vo u s d e v r e z g é r e r la
sélection de l'équipe, le transfert des
joueurs, etc...
DISQUETTE AM 675
D IT R IS : nouveau clône de Tétrls
eu t se jouer é d eu x joueurs
sim
nôment
DISQUETTE AM 676
N U M E R IX : un e x c e lle n t je u de
réflexion, un des meilleurs que nous
a y o n s r e n c o n t r é . E n f a i t , ça
rassem ble fort au S crabble é part
q u id ça se joue avec des chiffres.
DISQUETTE AM 677
A M IG A -Q : ada p ta tio n du jeu du
S o lita ire . V o us d e v e z s a u te r les
p io n s un p eu è la m in iè re d es
d am es jusqu’à ce qu'il n’en reste
plus qu'un sur le plateau de jeu.
DISQUETTE AM 678
E L E V A T IO N : v o u s d ir ig e z un
personnage qui doit gravir différents
étages sans se faire écraser par les
ascenseurs qui sont de plus en plus
nombreux.
DISQ UETTE AM 679
CRAZY SUE 1 e t 2 : deux excellents
je u x de plateform es d ’un e qualité
e x c e p t io n n e lle . A p o s s é d e r
absolument. Attention C razy Sue 2
ne fonctionne pas sur 1200 et 4000.
DISQUETTE AM 684
FR U IT SALAD : un excellent jeu de
plateformes dans lequel vous dirigez
un personnage qui doit récolter des
gemmes et éviter des tas d'ennemis.
Superbe.
DISQUETTE AM 685
IN V A D E R S II : un e x c e lle n t jeu
d'arcade, à posséder absolument
AVIS AUX AUTEURS
V o u s ê t e s p a s s io n n é s do
programmation, mais n e savez pas
com m ent distribuer vos oeuvres...
Dès aujourd'hui, dites vous qu'lFA
est lé pour vous aider... Nous vous
proposons de distribuer vos créations
soit en Freeware, soit en Shareware,
soit en édition traditionnelle sous le
label S O FTIFA . Vos logiciels seront
a in s i p r p o s é s à d e s m illie r s
d'utiUsanurs AM IGA. Les Freewares
e t Sharewares seront proposés par
le biais d e notre catalogue tandis
q ue les logiciels en édition sous le
label S O F T IF A seront agrém entés
d'un package professlnnel et seront
décrits sur nos parutions publdtalres
dans les différents magazines dédite
AMIGA.
MATERIEL
Multikicstart pour A500
280 F
MuMckJcstart pour A600
350 F
Rom 13 ou 2 . 0
Noua contacter
Home Music K it
450 F
Midi Interface
160 F
Souris T u rb o
90 F
Alfamouse souris optique
350 F
Lecteur ex te rn e
595 F
L e c te u r e x t e r n e a v e c B lltz e t
antivirus
770 F
Lecteur mte r n e
540 F
Lecteur externe H D
1250 F
Extension 1,5Mo A500
900 F
Extensin Thruport W o A5000. 499 F
Extension 512Ko A500
270 F
Extension W o A800
490 F
Extension 4Mo A120O
B90 F
Scanner 64 n e
1290 F
Horloge A 1200
B0 F
Almentation
450 F
« « L o g ic ie ls Freew ares et Sharew ares
25
F r a n c s la d is q u e tte
6 a c h e té e s
la 7 e rn e G r a tu ite
S i votre commando dépassé
300 Fis en logiciels vous
recevrez en cadeau, le T-Shirt
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et Consommables avec photo
O Maciitosh
O Macintosh
O Amiga
(contre 10 Frs en timbres)
N om ...................................Prénom
R u e ................................................ .
Code P o sta l............................ Ville
AMREV SEPT93
CONSTITUER
SON STUDIO
VIDEO (3)
Après deux
configurations
orientées plutôt vers
le titrage et la
numérisation, nous
abordons ce mois-ci
un vrai travail de
montage à travers
une configuration
charnière entre le
matériel grand
public et
professionnel.
idèles à notre philosophie, nous
avons tenu à respecter l'homogénéité
et la qualité des maillons de la chaîne. Et
c’est au prix de quelques efforts budgé­
taires que nous avons obtenu des résul­
tats à faire pâlir plus d’un professionnel.
Nous avons sélectionné du matériel
vidéo (hardware et logiciels! qui même
s'ils n'apportent pas la lonctionalité du
matériel "broadcast", en ont la qualité
d'image.
Des précédentes configurations, nous
avons choisi de garder le magnétoscope
Blaupunkt RTV 920, pour toutes les rai­
sons que nous avons déjà évoquées dans
le numéro précédent (compatibilité avec
Video Director et présence d'une entrée
Y/C permettant une connection directe
avec la caméra High 8 sans perte de
F
qualité). Nous gardons aussi le logiciel
The Art Department Pro d’ASDG, car il
est devenu le standard de communica­
tion d'images sur Amiga.
Q UELLE
C O N F IG U R A T IO N
IN F O R M A T IQ U E ?
Il est évident que plus l’on avance dans
les programmes professionnels, plus les
capacités informatiques requises seront
importantes pour pouvoir prétendre fonc­
tionner correctement avec ces logiciels.
Pour la configuration actuelle, il est
indispensable de disposer d'un Amiga
2000 ou 3000 sérieusement accéléré, et
équipé d'un minimum de 12 Mo de
mémoire (la plupart des logiciels utilisés
fonctionnent aussi sur le 4000).
Rétina et VLab sont des cartes d'exten­
sion pour Bus Zorro II ou III. Deux
écrans sont nécessaires : un pour Ijaffichage vidéo (l'éternel
1084S par
exemple) et l'autre pour le contrôle des
interfaces informatiques et l'affichage de
la carte graphique. La carte Retina per­
met d'afficher avec une résolution de
1280 x 1024 : il faut donc prévoir un
moniteur la supportant si l'on veut tirer
pleinement parti de ce hardware. Un
bon SVGA du monde PC ou la série
1942-1960 de Commodore feront
l'affaire.
CAMESCOPE
Nous avons choisi de travailler avec le
SO N Y V5000 (une caméra d'épaule)
parce que c'est une référence. Il se situe
juste à la transition entre les caméscopes
grand public et le matériel de tournage
professionnel. On peut le trouver
d'occasion pour une somme inférieure à
10 000 F, ou l'acquérir neuf sous la réfé­
rence V6000 (qui possède une incrusta­
tion de Time Code VITC en plus).
Le V5000 offre une très bonne ergono­
mie, aussi bien au niveau du viseur
qu'au niveau de l'appui d'épaule (pour
ne citer que ces deux exemples), qui
sont réglables en position et qui s'adap­
tent à toutes les morphologies.
11 est équipé d'une prise micro externe,
A
Le Sony V50Ü0 :
moins de 10 000 F en occasion,
d'entrées et de sorties PAL composite et
Y/C, et d'un connecteur Lanc, qui per­
met l'interfaçage avec certains logiciels
comme Video Director.
Il possède également deux ou trois effets
digitaux de très bonne qualité, ainsi
qu'un correcteur de base de temps (TBC)
et une fonction "Audio Dub" qui permet
le doublage audio sur la piste PCM. Les
indicateurs de niveau audio permettent
un réglage des niveaux d'entrée.
Le monitoring audio se fait au choix
avec le haut-parleur positionné à coté de
l'oreille, ou via la prise casque.
Sa définition horizontale est de 470
lignes. Tous les automatismes sont
débrayables, ce qui permet d'approcher
un travail pro. Ses capacités en font un
outil professionnel utilisé par certains en
reportage ou en tournage léger, travail
qu'on transfère ensuite sur Beta SP pour
le montage et la diffusion.
La société MacroSystem US commercia­
lise un couple digitaliseur-carte graphique
d’un excellent rapport qualité/prix.
VLAB
Le VLab est une carte de digitalisation
24 bits Pal. La digitalisation s'effectue à
partir de n'importe quelle source vidéo,
en temps réel. Elle possède des filtres de
chrominance. La sauvegarde des images
se fait en 24 bits, Y U V ou tout format
Amiga (les nouveaux modes graphiques
sont supportés).
images IFF avec un fond genlocké de
façon automatique, et surtout, il mémo­
rise les bandes et les séquences du mon­
tage.
G S T G O L D P R O YC
Dans l'important catalogue de genlocks
que propose SATV, nous avons choisi un
milieu de gamme muni d'entrées et sor­
ties YC pour la compatibilité avec la
caméra et le magnétoscope.
N ° 1 T IT L E R
Logiciel de titrage et d'animation doté
d'un générateur de Time Code interne.
Nous avons testé ce programme récem­
ment et pour ne pas nous répéter, nous
nous permettons de vous renvoyer au
numéro de cet été.
Pour optimiser votre travail, pensez à uti­
liser des cassettes de très bonne qualité
en High 8 (Sony E ou mieux) et en SVHS
(TDK donne un bon résultat).
L 'ensem ble des logiciels e t m atériels utilisés.
VLab supporte ADPro, Image Master et
TvPaint, et est compatible avec les cartes
Opal Vision, VideoToaster, Retina et
Arlequin.
La rapidité de digitalisation dépendra de
la taille d'écran sélectionnée, de sa réso­
lution, ainsi que de la vitesse de l'Amiga.
Une image digitalisée avec VLab occupe
en général plus d"l Mo d'espace disque.
Il faudra par conséquent prévoir un
disque dur de grande taille.
R E T IN A
La Retina est une carte graphique réelle­
ment 24 bits qui supporte la plupart des
logiciels. Il suffit de brancher n'importe
quel écran multisync (de bonne qualité
tout de même...) pour transformer l'Amiga
en une véritable station de travail. Nous
avons connecté un Mag 17" et lancé un
logiciel de CAO (Pronel-Proboard) : un
réel plaisir.
V ID E O D IR E C T O R
Le premier pas vers le montage profes­
sionnel. C'est un très bon produit d'un
rapport qualité/prix plus qu'intéressant et
d'un emploi facile. En effet, le logiciel
pilote le lecteur (caméra) et l'enregistreur
(magnétoscope). Il génère une “ edit list"
tout en affichant les étapes du travail, le
tout grâce à un écran très convivial.
Deux câbles servant à connecter les deux
appareils à l'Amiga sont fournis dans le
coffret. Le premier est prévu pour la
connection avec les caméscopes équipés
de la prise Lanc, l'autre extrémité se rac­
cordant à la prise série de l'Amiga, ce qui
permet à l'ordinateur de contrôler le
caméscope dans toutes ses fonctions
habituelles (lecture, avance,
retour,
pause, etc..).
Si le caméscope possède un Time Code.
Video Direclor le prendra en compte et
autorisera donc un montage beaucoup
plus précis. Cette prise peut aussi se
connecter sur certains magnétoscopes de
salon, qui pourront par conséquent être
pilotés comme lecteur (voir commande
"Install driver").
Le second câble se connecte sur la prise
joystick de l’Amiga. Son autre extrémité,
équipée d'un émetteur/récepteur infra­
rouge, servira de passerelle avec l'enre­
gistreur (pour cela, ouvrir le tiroir
"Programmer joystick" et suivre les indi­
cations du programme). En bref, il faudra
rentrer les signaux de la télécommande
du magnétoscope dans le programme,
afin que l'enregistreur puisse être pilotable en mode automatique.
Chose très importante, il est compatible
avec les genlocks. Grâce à la fonction
"Overlay", il est possible d'insérer des
II
U.CIUKL
JEj
■H«k i
rm u
- • I
j
ü
J S
Procédons par ordre et préparons notre
coin de travail, qui devrait être assez spa­
cieux pour faciliter l'accès et le contrôle.
Attention ici à bien vérifier la longueur
des câbles, pour ne pas se laisser sur­
prendre (comme nous !). En effet, la IonIr a r « n t ic
V it t o lip o d ir
îN itftaciiO N s
V tllia e a
le*
» •
» « r » e 1 « t r » r 1 » « fm r t t t l / t a a
votre t l l h n n xiM »,
( t l l l
i« it«
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m .tm .
1 UWLt
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J
J
P rogram m ation d u joystick dans V id e o D irector.
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le» U l t H i
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r l i t
f t n e t i t i i . Auiad teut
term e, ( l i a n t
c i- le iia a i
«Mil ver
le t i r a n t
ne n n e r * e « .
i
J
j
Avec le V5000, nous avons tourné dans
des conditions quasiment profession­
nelles. Nous avons bien sûr débrayé
l'autofocus, et avons fait tous les réglages
en manuel pour le plaisir : balance des
blancs, réglage de la luminosité, contrôle
audio... et nous avons même ajouté du
commentaire simultanément au tournage
grâce au microphone de narration.
La première fois, nous avons choisi un
réglage trop bas de la vitesse d'obtura­
tion, et comme nous ne filmions pas une
nature morte, nos images étaient plutôt
fuyantes. Un petit conseil, évitez de sur­
charger votre film d'effets de Zoom, qui, à
force, fatiguent le spectateur.
lr > t* i* tj« *
P r o y r amm t r
J
LES
IN S T A L L A T IO N S
Muvcit n o n »
i n o r i
(« aataitnlM rl.airi
gueur des câbles du Vidéo Director que
nous avons eu en prêt, nous a imposé
une autre organisation de travail.
Donc, pour plus de commodité, nous
avons positionné l'ordinateur et son écran
comme unité centrale. A sa gauche, le
V5000, et à sa droite, l’ensemble magné­
toscope-moniteur vidéo.
Ensuite, hors tension, il faut installer le
matériel hardware (ou le faire installer par
le revendeur), c'est-à-dire ouvrir le ventre
de l'Amiga et positionner les carte V lab
et Rétina en suivant les indications de
leur manuel respectif. Ces cartes utilisent
l'AutoConfig Amiga, et sont donc auto­
matiquement reconnues. Il ne reste plus
alors qu’à refermer l'Amiga, connecter les
câbles de Video Director et le GST Cold
Pro, mettre sous tension, pour enfin ins­
taller les programmes, ce qui ne pose
aucune difficulté. Par contre, la configu­
ration software de Retina et Vlab est assez
délicate (puissance oblige). Dernier effort,
procéder à l'enregistrement par Video
Director, des références infrarouges de la
télécommande du magnétoscope.
t j : : |».l
n i j|
VM|
«I
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|«._1
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■lirr*"l ■! iranli
M v 1 «a l.
■
« | b |h
U ll
/ J
»
d'images ADPro, capable de commander
directement la VLab et la Retina. On est
ici aux commandes d'une véritable sta­
tion graphique I
- ja m }
- M
►{
a
La fenêtre de montage de Video Director.
tage définie (copie d'un même plan dans
différentes scènes, etc.) par rapport aux
images filmées, nous sauvons la liste de
montage pour pouvoir la retrouver en
l'état lors d'une prochaine étape.
Un petit hic peut survenir parfois lors de
la recherche de plans arrières. En effet, au
lieu d'effectuer un logique retour arrière,
le programme fait une recherche accélé­
rée en avant. Le problème se résoud en
sélectionnant "Lanc 2" lors de la pro­
grammation du départ. De même, la pro­
grammation de la télécommande infra­
rouge est un peu fastidieuse, mais les
problèmes de paramétrage de machines
se rencontrent aussi sur des appareils
valant 100 fois le prix de cet éditeur de
montage.
Nous pouvons maintenant revenir dans
Video Director pour incruster les derniers
ouvrages. Il suffit de sélectionner un ordre
de montage des plans, grâce aux outils, à
gauche de la fenêtre. Attendez, ne lancez
pas encore le montage : il reste les
tilrages que vous mettrez au point avec
N°1 Tiller.
Notre tâche terminée et approuvée, nous
laissons de nouveau la place à Vidéo
Director. Grâce à l'option "C.enlock", les
génériques et images de transition traités
via le GST Gold Pro sont incrustés. Nous
lançons enfin le montage, et Video
Director fera le reste automatiquement
sous vos yeux.
E N R E S U M E ...
Video Director nous a très agréablement
surpris. Nous pensons qu'il est un outil de
prédilection pour celui qui désire débuter
dans le montage. La qualité et la facilité
d'emploi du couple VLab-Retina est irré­
prochable. Quant à ADPro, il a pu dans
cette configuration exprimer toute sa
puissance. ■
Micky Chabane
La fenêtre d'édition de Video Director.
A U T R A V A IL !
On prépare d'abord le montage. Dans un
premier temps, on prend soin de numéro­
ter ou de nommer les différentes cassettes
sources, afin d'éviter de se perdre dans
un travail hasardeux et long. Nous édi­
tons nos plans de montage à partir de la
ou des cassette(s) source(s).
Grâce à la carte VLab, nous avons numé­
risé en temps réel des images issues de la
High 8. Le temps réel est ici très impor­
tant, puisqu'il permet de capturer les
images "au vol", ce qui est indispensable
lorsque l'on sait la qualité du mode
"Pause" de certains matériels vidéo... A
noter que si l'on désire vraiment, pour
des raisons diverses, digitaliser en mode
"pause", un réducteur de bruit très effi­
cace est disponible au menu.
L'affichage sur la Retina est direct. Nous
avons ensuite utilisé le processeur
Nous pouvons donc insérer une SVHS
vierge dans l'enregistreur, et la cassette
High 8 (le film) dans le lecteur. Nous
repérons les plans à éditer, puis les sélec­
tionnons. Il convient ici de veiller à régler
l'option "Preroll", qui est par défaut à 2,1
secondes. Le "Preroll" est le temps que
met un magnétoscope à se caler à partir
de l'ordre reçu. Cette latence varie d'un
appareil à l'autre et doit donc être ajus­
tée.
Les plans choisis pourront être regoupés
par scènes, nommées de façon à faciliter
le travail. Une fois la stratégie de mon-
P R IX DE L A
C O N F IG U R A T IO N
D E C R IT E
Sony V5000 : moins de 10 (XXI F en
occasion.
Magnétoscope RTV Blaupunkt : envi­
ron 10 500 F
ADPro : 1 690 F
Retina : 3 990 F
VLab
: 3 990 F
Video Director : 1 590 F
N"1 Titler :690 F
GST Gold Pro VC : 7 600 frs
Merci à CIS de nous avoir prêté Video
Director. ainsi qu'à M AU |Kiur avoir
mis à notre disposition ADPro, Retina,
VLab. V 1 Titler et le GST Gold Pro.
Une image capturée par la carte VLab. et affi­
chée par la cane Retina.
Video Director est rrancisé et distribué
par CIS.
N r1 Titler est francisé et distribué par
MAD.
ADPro, Re'tina. VLab et GST Gold Pro
sont disponibles chez tous les bons
revendeurs.
RESULTATS
SOUN
Vous avez été
fort nombreux à
participer à ce
concours et, le
moins que l'on
puisse dire, est
qu'il a provoqué
une vague
d'enthousiasme
chez tous les
fans de
Soundtrackers.
Non seulement
vous nous avez
adressé
beaucoup de
musiques très
variées, mais en
plus, vous en
avez profité
pour nous
écrire.
otre courrier a été particulièrement
intéressant et nous a permis de mieux
vous connaître. Ainsi dans l’ensemble vous
êtes pour la plupart assez jeunes (16/2.5 ans!
et le matériel dont vous disposez pour com­
poser est le plus souvent : un Amiga 500
doté d’un Mo, un digitaliseur audio et bien
sûr, un Soundtracker.
Vos Soundtrackers sont de tous types,
cependant
on
retrouve
fréquemment
ProTracker qui semble avoir la préférence
de beaucoup d'entre vous. D'autre part, en
grande majorité, vous utilisez (ce qui
confirme notre précédent sondage! un digi­
taliseur de sons.
V
Il nous a été agréable de constater en lisant
votre courrier, que vous appréciez notre
journal, et que pour la plus grande partie
d’entre vous, la plupart des rubriques et
informations qui concernent le son et la
musique vous satisfont.
Un grand merci donc, pour votre participa­
tion ainsi que vos marques de sympathie.
M U S IQ U E ,
M AESTRO
Parlons maintenant musique. Il n'y a pas de
doute, le Soundtracker est vraiment fort
apprécié des amigaphiles et reste de loin,
depuis son apparition sur C64, le pro­
gramme de M A O le plus utilisé par les
musiciens. En fait, ce n'est guère étonnant
car la majeure partie des compositions que
nous avons reçues sont d'une très grande
qualité sonore, alors à quoi bon acheter des
programmes dix fois plus coûteux et compli­
qués f Même ceux qui ne possèdent pas de
digitaliseur arrivent tout de même à créer
des sons originaux et "propres", ce qui tend
de nouveau à prouver qu'un matériel res­
treint n'empêche aucunement d'arriver à
des résultats tout-à-fait probants.
En résumé, la qualité et la quantité étaient
au rendez-vous de ce concours, ce qui a
donné à notre collaborateur Philippe de
France, beaucoup de travail pour départager
les gagnants. Il va d'ailleurs vous l'expliquer
lui-même.
CONCOURS
Chers amis lecteurs et musiciens.
Quel réel plaisir de constater l'enthousiasme
avec lequel vous avez participé à ce
concours. De plus, je tiens particulièrement
à remercier tous ceux qui m’ont adressé
leurs marques de sympathie, encore merci.
Pour vous donner une idée du nombre de
morceaux que j'ai reçu, sachez qu’il ne m'a
pas été possible de les stocker tous sur mon
disque dur de 52Mo : pas assez de place !
Face à une telle quantité de modules, il m'a
fallu être très organisé et méticuleux. Afin
que la part inévitable de subjectivité qui
intervient dans tout jugement soit vraiment
réduite au minimum, j'ai du procéder avec
rigueur. Il était indispensable que j'élabore
une méthode stricte de notation avec des
critères bien précis. Ce sont l'originalité, la
construction, l'orchestration, la richesse thé­
matique, la richesse harmonique, la richesse
rythmique et la richesse des timbres.
Chaque critère étant noté sur 20, la note
finale était obtenue en divisant la somme
des notes de chaque critère par 7.
Pour ceux qui se demanderaient à quoi cor­
respond le critère de jugement "construc­
tion", c'est tout simplement la manière dont
le morceau a été organisé. La composition
d'un morceau implique toujours une struc­
ture ou un plan, comme en architecture,
avec par exemple exposé du thème A,
exposé du thème B, variations sur le thème
B, reprise du thème A et Coda. Tous les
morceaux doivent avoir un schéma de
construction, au risque de tomber dans
l'anarchie, c'est-à-dire une absence totale
de forme. Quant à l'orchestration, elle
concerne la répartition des différents timbres
utilisés au cours du morceau.
Avec une telle méthode, tous les candidats
étaient à égalité quel que soit leur matériel,
car même une très bonne note sur la qualité
des timbres ne pouvait rattraper un morceau
mal ficelé et banal. )e tenais à préciser ce
point étant donné que beaucoup d’entre
vous m'ont l'ail part de leur inquiétude à ce
sujet.
En outre, la durée d’un morceau n'a stricte­
ment rien à voir avec sa qualité. Ainsi, cer­
tains d'entre vous m'ont envoyé des compo-
DU C O N CO U RS
DTRACKER
siliorrs fort longues et... ennuyeuses ! Plus
un morceau est long, et plus II doit être
riche el varié (thèmes, harmonies,
rythmes, timbres, nuances etc...). Bref, la
longueur d'une oeuvre est presque tou­
jours proportionnelle à sa complexité de
construction, comparez le plan d'un
manoir avec celui d'une cathédrale, ou si
vous préférez, celui d'une chanson avec
celui d'une symphonie el vous en serez
convaincus.
En ce qui concerne les timbres, bravo !
Près de 6 0% de vos compositions ont une
grande variété et qualité sonore. Vous êtes
d'ailleurs nombreux à échanger entre vous
des sons que vous créez vous-mêmes. Aussi
ai-je tenu compte de l'originalité de vos
timbres en vous départageant. En revanche,
le manque de richesse thématique et harmo­
nique de vos morceaux est, pour au moins
70% d'entre vous, ce qui a le plus souvent
diminué la note finale. Il faut dire aussi que
la création d'une belle mélodie, bien soute­
nue par des accords recherchés et variés, est
certainement ce qu'il y a de plus difficile en
composition musicale. C'est une question
d’inspiration et de technique. Il est certain
que ceux qui ont gagné, étaient les meilleurs
dans ces domaines et les moins influencés
par les modes actuelles.
A PROPOS
D E S IN F L U E N C E S
ET D E S M O D E S
Il faut dire, à votre décharge, que
l'influence des médias qui propagent les
musiques à la mode (au sens péjoratif) est
très nette. Ce phénomène est normal, sur­
tout chez les jeunes compositeurs, car ils
ont moins de maturité musicale et sont
moins capables de faire la "part des
choses" ou, si vous préférez, de juger
avec recul de la réelle qualité d'une
composition.
Il faut donc de l'expérience, par consé­
quent du temps, avant de se "dégager"
des influences et de trouver son propre
style. Cependant, chacun ayant inévita­
blement ses préférences, et c'est heureux,
je n'ai noté évidemment vos morceaux
qu'en fonction des critères purement tech­
niques précédemment indiqués. Que ce
soit bien clair.
QUELQUES
C O N S E IL S ...
Même après des études approfondies
(piano, harmonie, contrepoint, composi­
tion. acoustique! et presque trente quatre
années de pratique musicale, j'estime
encore connaître peu de choses de cet
immense univers qu’est la Musique.
Néanmoins, je pense être en mesure de
vous donner quelques conseils précieux à
mes yeux...
Soyez le plus authentique possible, et sur­
tout travaillez et retravaillez la technique
(qui va de pair avec la théorie). En dernier
lieu : écoutez des musiques de tous styles.
Voilà, dites "Amen", j'en ai terminé avec
mes conseils de prof casse-pieds.
LE P R E M IE R
Mes félicitations donc à Cyril Jégot (21
ans) qui arrive avec "jazzing Trip" en tête
de ce concours avec la bagatelle de 17,43
de moyenne ! Comme son nom l'indique,
il
s'agit d'un
morceau
de
jazz.
Techniquement, après l'exposition d'un
thème syncopé et solidement construit,
celui-ci est développé en de riches varia­
tions ponctuées de chorus d’instruments
différents. Mais avant tout, ce morceau est
remarquablement composé et orchestré, et
ça swingue !
Bref, excellent. J'ajouterai une précision
importante : beaucoup d'entre vous crai­
gnaient que le gagnant ne soit forcément
un candidat disposant d'un matériel coû­
teux, voire professionnel. Or, il n’en est
rien : le matériel utilisé par Cyril est loin
d'être sophistiqué, je l'ai maintes fois écrit
dans ma rubrique "Amigamme", c'est tou­
jours la qualité de l'écriture musicale qui
prime sur tout le reste.
LES D IX S U IV A N T S
P IR A C Y IS T H E F T 8
En discutant avec le gagnant du
concours, j'ai appris qu'il était plusieurs
fois arrivé que certains de ses modules
soient "pompés" sans vergogne par cer­
tains démomakers peu scrupuleux.
Ne vous avisez pas d'accaparer les
compositions citées dans ce concours,
ni aucune autre, d'ailleurs. Elles repré­
sentent des dizaines d'heures de travail
hardu. Se les approprier ainsi, souvent
sans même mentionner le nom de leur
auteur, n'est rien d’autre que du vol pur
et simple !
Si vraiment l'un ou plusieurs de ces
modules devaient vraiment vous intéres­
ser, téléphonez à la revue (aux heures
de la permanence téléphonique, chaque
mercredi après-midi). Nous vous met­
trons en contact avec leur auteur
Quant aux dix suivants, ils n'ont nulle­
ment à rougir de leurs oeuvres, comme le
prouve la moyenne de leurs notes.
* "Morbidomus" de Christian Morel
17,29. Une nuit de Sabbat avec des effets
sonores d'un grand réalisme sur des
rythmes
bien
sûr
endiablés.
Impressionnant et lugubre à souhait...
* "Green-Sound Machine" de Nicolas
Erdrich : 17,00. Richesse rythmique et
beaucoup d'originalité. De même que
chez Christian Morel, la qualité des
timbres est excellente.
* "jungle W alk" de Thomas Sauzedde :
16,86. Atmosphère particulièrement réus­
sie, très bons bruitages el humour. Une
véritable petite promenade exotique agré­
mentée de chants d'oiseaux.
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* “ Marina" de Florence Morel : 16,71. Florence est la
seule des deux filles ayant participé à être classée.
Romantique, lyrique et d'une grande pureté mélodique...
Après un prélude rythmé et angoissant, un thème évoque
un monde aquatique et mystérieux. Tu n'es vraiment pas
loin de ton frère Christian!
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* "Close to the edge" de Philippe Verière : 16,43.
Mélodies nostalgiques, sur des harmonies recherchées,
suivies ensuite de longues variations évoquant une forêt
peuplée de loups... L'ensemble est cohérent et très bien
réalisé.
* "C'est l'heure" de )ean-Charles Moréno : 16,14. Thème
drôle et plein d'entrain, les voix sont particulièrement
bien travaillées (chant et contrechant). Le tout baigne
dans la bonne humeur.
* "Eirelav number 2" de Stéphane Lobbedey : 16,00. Un
beau thème, bien développé, avec de riches variations.
Que demander de plus?
* “ Grind" de )ean-Philippe Deslances : 15,86. Très origi­
nal, les sonorités sont particulièrement recherchées.
"Grind" signifie "grincement" en anglais, et ce morceau
fait effectivement penser a un monde hostile et mécanisé.
* "Apocalypse" de David Mariette : 15,57. Bien que le
nom de ce morceau ne soit que peu original, la musique
en revanche est réussie, avec des timbres et des rythmes
soignés.
* "Dance-Music" de |ean-)acques Ramahef : 15,43.
Ambiance dense et rythmes obstinés envoûtants en un
long crescendo. Le tempo cependant est incontestable­
ment trop lent !
Vous pouvez constater, d'après les notes finales, que ce
concours s'est joué dans un mouchoir de poche, et que
la qualité était vraiment au rendez-vous et ce, de tous les
coins de France, jusqu'en Belgique.
Dans votre courrier, vous m'avez posé de nombreuses
questions, veuillez m'excuser, je n'y répondrai qu'ulté­
rieurement, pour l'instant j'ai besoin de vacances !
Longue vie aux Soundtrackers, and... one more time.
please !
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Spectracolur 1larn-e
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AR 12
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AR 40
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LA M O D É L IS A T IO N
I irez la chasse
Amiga 2000. l'odysse Ho l'espace
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Le grand bleu
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La petite reme
La rountre aux trousse
Le grand large
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Ma cabane au canada
LES L O G IC IE L S 3D
3ème dimension sur Amiga
Sculpt Animale 11)
Sculpt Animale 4D
Brush 4D
l'environnement Sculpt se porte bien
Nioo/es 3D
Visite en avant première
DK8 Trace : la perie du Gompub
I es mondes virtuels de Vista
V'deostape 2.0
CAO :sD
Design 31)
Modeler 3D
Volumm 4D
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30 Construction
AR 31
AR 32
AR 33
AR 34
AR 35
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AR 3"
AR .38
AR 39
AR 40
AR n
AK05
AR 11
AR28
AR 32
AR 12
AR 28
AR 30
AK 28
AR 0 "
AR 02
AR 10
AR 13
AR 25
AR 27
AR 33
AR 33
AR 34
AR 3b
E X E R C IC ES P R A T IQ U E :
L 'A N IM A T IO N
Ca me fait tournez la terre : chapitre 1 AK 32
L 'A N IM A T IO N 2 D
Deluxe vidéo
Deluxe vidéo III
Ihe direcior
Amiganime
Auimagic
Elan perto-'mer 2.0
AR 01
AR 21
AK 07
AR 07
AR 14
a k in
LES L O G IC IE L S D E T RA IT EM EN T
D 'IM A G E S
Imaghnk
.MixatoAdpro
Digi-view4.tl
Vidi amiga
La numérisation
Hame
AR 22
AR 24
AR .16
AR 23
AR 24
AR 40
AK 37
C O M PIL N ° 3
B U R E A U T IQ U E
C O M P IL N ° 4
V ID E O
COM P1L N ° 5
M U S IQ U E
IP R O F E S S IO N A L P A G E
La oao en couleur
I a mise on page
Réalisation d une page
Tableauter avec propage
La quadrichromie
Les -orties postscript
LES D O SSIE R S D E LA V ID É O
D O S S IE R M U S IQ U E
M A X IP L A N
l e lahleni qui excéd
Le calcul d'un emprunt
Mis en graph
1a lias.; rie données Nc I
l a base de données N; 2
Les macros au menu
Programmer les mao.rc«
AK 05
AR 27
AR28
AK 2*)
AR 30
Imagination
AR 82
Amiga vidéo premier !
Cinéastes. vidêastos
AR IW
Vao ou la vidéo
Assolée par ordinateur
AK 39
AR 3 1
AR 22
AR 31
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AK 33
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IJn amiga et un
Magélostooe Fst-cc
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LES L O G IC IE L S ET H A R D W A R E
Son am:ga : le big bang
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S o u n d r x V I 3 1988Lmel
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Sound TX V 1.3 :
L'art et la manière
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Musique ; le ?aropling
Home swee- home
Bars and pipes
L éducation musicale
Les démon de midi
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La musique en herbe
La même longueur d'onde
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Scala. il est terrible !
AK 37
Le ta naem infernal
AR 37
Et midi transport
Pro 24 sur amiga
Sound trarker
Music-maste?
Le maître de musique
Protracker 1.1 B
Les éditeurs de sons
AK 2b
AR 27
AR31
AK 52
AR 37
AR 38
AR 38
LES L O G IC IE L S ET
E X E R C IC ES P R A T IQ U E S 2D
f Jcvoirs rie rentrée
Créer noire logo
Waouh ! la pin-up
C'est la fête !
De la 3D en 2D
P U B L IS H IN G
AR 20
AR 31
AK 38
AR 30
AR 4t>
BUD GET
Personnal finance manager
Homanager
L ES L O G IC IE L S
P R O F ESSIO N EL S
Aegis draw 2000
Prolessional D ra\v
C'Itradesign
Oesrgnwotks
P A R T N ER M ASTER
Pagestream V 1.5
PPM : Demn minute
PPM : Creez notre logo
PPM 2 1 L'âge de raison
AR 09
AK 12
AK 30
AR 40
lusqu'a...
Ca me fait tournez la terre : chapitre 5 AR 38
N'OuWtcr pas Animation Station
AK 34
AR <2
AR 30
AR 31
AR 38
AR .31
AR 39
H ARDW ARES
Les composons musicaux
Tirlxi drummer
Mtisiquons sans remords
Studio 24
Real lime sound processus’
Musique, musiqje
Perfcct snund 3.0
Masîer (racks pro
AR n:
AR 02
AR 12
AR 13
AR 17
AR 22
AK 25
LE ST R A IT EM E N T S D E
TEXTES
Proscrite
Wordpertect
bxrellence
Kîngwoids 2.0
Wordworth
Page-fotrcr II
AR 03
AR 04
AK 10
AR 14
AR 36
AK 39
r
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L
B O N D E C O M M A N D E - A M I G A R E V U E S e rv ic e V P C 1 6 , Q u a i J- B C lé m e n t 9 4 1 4 0 A L F O R T V IL L E
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CO M PIL
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N° 1□
N° 2 □
N° 3 □
NM D
Nc 5 □
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Vidéo
Musique
180
110
80
60
80
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Pages
Pages
Pages
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Prix 250F
Prix 150F
Prix 150F
Prix 150F
Prix : 150 F
.Expl
.Expl
.Expl
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.Expl
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INFO-GRAPHIEZ
MOI !
D é file m e n t d 'u n sol p avé
B ro s s e
9 0
Nous avons vu le
mois dernier la
P /x e /s
perspective sous
DPaint, et vous
devez maintenant
A n / m a t/o n
savoir comment
3 0
déplacer une brosse
P o s / f s o i f y? e n >e r j /
sur les axes X, Y et
Z. Nous allons
maintenant
c a d re s
z / es
au
/ a
?e r
b r o s s e
P r is / r e
Figure 1
continuer à analyser
les diverses
applications qu'offre
cette fonction, ainsi
que son usage pour
l'animation.
ious avons vu depuis quelques
1numéros comment élaborer un des­
sin grâce à la perspective, et comment
l’animer : rappelez-vous de l’exemple
du papillon et du sol qui défile. A pro­
pos, pour ce dernier, n’oubliez pas que
si vous ne possédez pas assez de
mémoire, vous devrez vous restreindre à
une brosse plutôt simple, ne contenant
pas ou peu de gradations.
P R E M IE R
EXEM PLE
Si nous voulons réaliser un défilement
d’un sol pavé comme celui de la figure
1, il nous faut définir une brosse dont la
hauteur soit un multiple du nombre de
cadres. Pour un défilement simultané
suivant l’axe X, la longueur de la brosse
devra elle aussi être un multiple du
nombre de cadres. Dans ce qui suit,
nous avons choisi de faire défiler le sol
suivant l'axe Z :
11Sélectionnez 30 cadres.
2) Créez une brosse dont la hauteur est
de 90 pixels (pour vous aider, cochez
l’option "Coords” dans le menu "Prêts").
3) Appelez la perspective (touche
"Enter" du pavé numérique) et le requester de grille, afin d'adapter cette dernière
à la taille de la brosse (voir article précé­
dent).
4) Saisissez la brosse par son bord infé­
rieur (Alt X). Positionnez-la en bas et au
milieu de l’écran, et faites-lui subir une
rotation de -80° sur l’axe des X (par
exemple).
5) Appelez le requester de déplacement,
puis indiquez -80 dans l’axe des Z.
Cliquez sur "Remplir" et DPaint remplira
automatiquement tout les cadres.
Pour les curieux, l’animation de ce sol
pavé fait 797 kilo-octets. Hé oui, c’est
plutôt lourd, mais il faut savoir que plus
il y a de changements d’une page à
l’autre, plus l'animation est gourmande
en mémoire, et plus le rafraîchissement
de l’écran est lent. Chacun d’entre vous
figure 4. Pour visualiser le cycle, cochez
l'option "Cycle multi" du menu "Prêts" et
actionnez la touche "Tab” . Utilisez cette
même touche une seconde fois pour le
désactiver.
3) Créez l'animation en procédant de la
même manière que dans l'exemple 1.
4) jouez maintenant l'animation en
appuyant sur les touche "4" et "Tab".
L'animation fait 574 Kilo-octets.
I i 11II
:e r x e :
9 ■
■ ■ ■ ■ ■
AUK’ C ^ H i ^ H O
Remarque : si vous voulez un défilement
plus rapide, recommencez l'animation,
mais cette fois-ci, dans le requester de
grille, donnez une valeur de -180 à Z. Si
vous désirez un accéléré, donnez une
valeur de 20 à l'option "Enrouler".
' ! 1111
■ «% ’«■ ■ ■ ■ ■ ■
JUXTAPOSER)
Amis vidéastes, si vous désirez amener
des titrages au dessus de ce sol en mou­
vement, je vous conseille, si vous avez un
genlock, d’enregistrer cette animation en
boucle pendant quelques secondes, et de
la re-genlocker. Celle-ci apparaîtra en
fond, et bien que vous perdiez une géné­
ration d'image, vous y gagnerez en
vitesse, et surtout en mémoire.
Figure 2
devra donc faire en sorte de créer des
brosses adaptées à sa configuration.
choisir les formais d'écran 640 x 512 en
16 couleurs ou 320 x 512 en 32 couleurs,
les résultats seront nettement meilleurs
(mais là aussi, attention à votre mémoire).
SECOND EXEM PLE
Il faut commencer par définir plusieurs
cycles de couleurs, en faisant appel au
requester de série (cf. figure 2 et Amiga
Revue N°52).
Vous vous rappelez sûrement du film
Tron, réalisé par Steven Lisberger et pro­
duit par W alt Disney. Nous allons nous
essayer à reproduire des sols aussi psy­
chédéliques, et pour cela, nous allons
créer des cycles de couleur.
1) Définissez 3 cycles (cf. figure 3) et don­
nez une valeur quelconque au taux de
chaque cycle.
2) Dessinez le dallage, comme sur la
|e vous conseille, si vous le pouvez, de
■
:e r z e ! i
IN V E R S E R
111111111 K 1
EFFA CER
MONTRER
C JÊ Ê Ê Ê Ê Ê Ê M
O
JU XTA PO SER! O
H
H
I |
H
HAS
IN V E R S UNOO 01
IN V E R S E R
MONTRER
■ ■ ■ ■ ■
m
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_____
•f ^
0 ■
auhi
JUXTAPO SER:
1
HAS
'E R X E : C H i l
■
Figure 3
T h iu re c UKino m
IN V E R S E R
B
EFFA CER
MONTRER
0 ■
■ ■ ■ ■ ■
^
C
H
i o
m
EFFA CER
■f i
JU XTA PO SER:
Jt g
at Êt
Ê
Ê
Ê
M
|
HAS
IN V E R S UNDO 01
Vous vous souvenez sûrement de I effet de
vagues obtenu grâce au cycle de couleurs...
Vous pouvez vous essayer à cet exercice
avec la perspective, c’est du plus bel effet.
T R O IS IE M E
EXEM PLE
Maintenant, si vous voulez bouger ce sol
avec un balancement, voici la marche à
suivre, mais attention : ce style d'anima­
tion est également très lourd pour votre
petite RAM. Alors si vous êtes restreint
par la mémoire, soit vous créez une
brosse moins détaillée (sans gradations),
soit vous créez moins de cadres.
1) Définissez 60 cadres et reprenez votre
brosse.
2) Appelez la perspective et ajustez la
grille à la taille de la brosse.
3) Faites-lui subir une rotation de -90° sur
X, puis positionnez-la en bas et au milieu
de l'écran et montez d'un cran de grille.
4) Nous allons réaliser cette animation en
4 étapes successives.
4.1) Allez au 1er cadre, appelez le
requester de déplacement et indiquez les
valeurs suivantes : X : -200, Angle Y : 30,
Z : -90, Dérouler : 10, et Cadres : 15.
Cliquez sur "Remplir".
4.2) Allez au 16ème cadre, appelez le
requester puis indiquez les valeurs X :
200, Angle Y : -30, Z : -90, Enrouler : 10
et Cadres : 15, puis cliquez sur "Remplir".
4.3) Cadre 31, appelez le requester et
indiquez X : 200, Angle Y : -30, Z : -90,
Dérouler : 10, et Cadres : 15, puis
"Remplir".
4.4) Cadre 46, appelez le requester puis
à
ANIMATION D 'U N SOL TRONIQUE
+ = *>
P E T IT JE U
G R A T U IT
C y c la g e de
c o u le u r
t o u c h e ' TflB'
La rubrique "Infographiez-moi !"
a
débuté
en
décembre,
et
j'espère que vous êtes satisfaits
de son contenu, je lance donc
un appel à vous, "DPainteurs"
1
Bouser»
Y
x
■
en herbe ou confirmés, et vous
donne
Z
LJH H H H M
LJB
Dist:
Anffle:
Eff acer» |
Retourner*
a Dérouler:
Traînéesl
de
faire
*s\ Brosse
cette rubrique.
à| v| Cyclique 1
En effet, nous publierons doréna­
vant "Le Dessin du M ois", qui
CS -** 1 El ii 1 « 1
| Visualiserl
possibilité
_| Brosse
Direction:
Bouger Séquence
1 Enrouler:
la
connaître vos oeuvres au sein de
IÏ?f!!T?ü
sera choisi selon plusieurs cri­
tères : uniquement de la 2D, en
Tracer
rapport avec le sujet proposé et
Figure 4
bien
indiquez X : -200, Angle Y : 30, Z : -90,
Enrouler : 10, et Cadres : 15, puis
"Remplir".
On obtient alors une animation du plus
bel effet, mais sa taille est quand même
de l .347 Méga-octets. Hou, la, la !
Voila, les "scrollings" de sols ne devraient
maintenant plus avoir aucun secret pour
vous. Vous voyez qu'il n'est pas trop diffi­
cile de simuler de la 3D en 2D... ■
sûr,
l'originalité.
Nous
devrons malheureusement pour
l'instant nous limiter à 16 cou­
leurs, en basse ou haute résolu­
tion.
Vous devrez
trames
pour
en
utiliser des
simuler
un
nombre de couleurs plus impor­
D éfilem en t d 'u n sol a v e c
a v e c registres de c o u le u rs
tant. Envoyez-nous vos oeuvres
avant le premier octobre 93, sur
le thème : un dessin 2D en pers­
pective.
cyclab le s
D'autre part, n'oubliez pas que
si
y 1.'*-'
TÏTiîfcr’r
‘Pt'/rtnJ t f'H iy. Xi W A S J | i »
^
i
l
C
'
^
"
^
A-*£&
q1W
if.lrjT JfttxVÿ-wX)
'V^'r'T
;
.v
vous
avez
découvert
une
astuce qui peut nous simplifier la
vie, nous nous ferons également
un plaisir de la publier.
Allez, planchez bien, et rendezvous
au
prochain
numéro
d'Amiga Revue.
Figure 5
Olivier Duval
F??
AMO!
LES ROUTINE1
ranchement, plusieurs d'entres vous nous
ont vraiment étonné par leurs talents.
Certains peuvent même taire la nique à des
programmes en pur assembleur !
Je pense en particulier à Bertrand Pianos,
alias Néologie, pour sa superbe routine de
"Dots" qui simule le mouvement d'un tissu
grâce à un cycling de couleurs, le tout en 17
lignes (qui fera mieux ?).
Il faut également applaudir le superbe tra­
vail de Thomas Mangin de Brain Wave,
même s'il a "oublié" qu'il fallait des sources
de 25 lignes maximum (je sais, c'est juste,
mais c'est comme ça) et non pas des listings
de 80 ou 150 lignes... Ah oui, tiens (vous
permettez que je parle à Thomas en particu­
lier ?), merci pour la super routine de scrolling de texte de ton pote Salim, ainsi-que
pour ta routine de fausses fenêtres
Workbench, qui est géniale ! Et à propos
des optimisations, te bile pas, nous en parle­
rons, promis...
Il ne faut pas que j'oublie Marc le Douarain
qui à gagné notre coeur avec une routine
sympathique de cyclage de couleurs.
F
Alors là,
chapeau ! Suite
à notre annonce
voici quelques
mois, nous
avons reçu
/
plusieurs
routinettes de
quelques
lecteurs... Mais
alors, quelles
routinettes !
Rappelons le
principe de ce
"concours"
parfaitement
gratuit : il s'agit
de faire le
maximum de
choses en un
minimum de
lignes, 25 au,
plus.
1t
Ce mois-ci, pour le lancement des
"Routinettes Amos", nous publions trois pro­
grammes créés par nos lecteurs. Nous
listing 1
listing 2
* Nom du source : 3D Cube
*
* Sous-titre : Routines de 3D
*
* Par Thomas Mangin (Slan de Brain Wave)
************************** ******
• ***
Définition des valeurs ***
Degree
LE=320.0
LE2=LE/2
HE=256.0
HE2=HE/2
ZM=50.0
Longueur de l'écran
Rem
Hauteur de l'écran
Rem
zoom de l'object
RP=2.0
ALPHAl-0.0
ALPHA2-Û.0
ALPHA3=0.0
Rapport de projection
Angles de projection
'*** table des sinus
Dim S(359),C(359)
For 1=0 To 359
C{I)=Cos(I)*128
S(I)=Sin(I)*128
Next I
place les points ***
Read NP
Read NL
Read NT
Dim PTS(NP,3)
For 1=1 To NP
Read X
Read Y
Read Z
Next I
PTS(I,1)=X*ZM
PTS(I,2)=Y*ZM
PTS(I,3)=Z*ZM
Dim LGfNL,2)
*****************************************
*' * Nom du source : Dots
*
' * Sous-titre : Routines de Dots
' * Par Bertrand Pianos (Néologie)
*
*
For 1=1 To NL
Read LG(I,1)
Read LG(I,2)
Next I
'*** Ouvre 1'écran
Degree : Hide
Screen Open 0,320,128, 16,Lowres : Ours
Of£ : Flash Off
Palette
0,0,0,0,0,0,0,0,0,0,0,0,$222,$444,$888,$F
FF : Ink 0 : Paint 0,0
Screen Open 0,LE,HE,8,Lowres
Flash Off
Curs Off
Cls 0
Double Buffer
Autoback 0
Bob Update Off
'*** Trace le Cube ***
RX=8 : RY-8 : SX=8 : SY=8 : HEIGHT=128 :
WIDTH=100
For YM=RY To HEIGHT-RY Step SY
For XM=RX To WIDTH-RX Step SX
For T#=0 To 359 Step 360/15
X=Cos(T#)*RX+XM
Y=Sin(T#)*RY+YM
Inc I : If 1=16 Then 1=1
Ink I : Plot X,Y
Next
Dec I
Next
Inc 12
1=12
S1=S(ALPHA1 mod 360)
C1=C(ALPHA1 mod 360)
S2=S(ALPHA2 mod 360)
C2=C(ALPHA2 mod 360)
S3=S(ALPHA3 mod 360)
C3=C(ALPHA3 mod 360)
A=C3*C1*128-S3*S1*C2
B=C3*S1*128+S3*C1*C2
C=S3*S2*128
D=-S3*C1*128-C3*S1*C2
E=-S3*S1*128+C3*C1*C2
F=C3*S2*128
G=S1*S2
H=-C1*S2
I=128*C2
Shift Dp 2,1,15,1 : «ait key : Edit
For 1=1 To NL
5 PRATIQUE
rTES DEBARQUENT !
Inc CP
cncouragons vivement les débutants
comme les pros à taper ces listings, car ils
valent vraiment le coup d'oeil.
Allez, à plus. Et surtout, vu que cette opé­
ration est un succès, continuez à nous
envoyer les routines qui tuent (mais par
pitié, ne dépassez pas au grand maximum
PTl-LG(CP.l)
Xi=PTS(PT1,1)
Y1=PTS(PT1,2)
Z1=PTS(PT1,3)
Go9Ub NEW_POS
XP1=X
YPlsY
PT2=LG(CP,2)
X1=PTS(PT2,1)
Y1=PTS(PT2,2)
Z1=PTS(PT2,3)
! ************************************************************
'XP1=(XI*Z1*C o b (AG)/RP) *LE2
1YP2=(X2+Z2*C0S(AG)/RP)+LE2
•YP1=(Yl+Zl*Sin(AG)/RP)+HE2
'YP2=(Y2+Z2*Sin(AG)/RP)*HE2
' * Nom du source : Guerre_Etoiles
' * Sous-titre : Routines de cycling
' * Par Marc le Douarain (MVTMan) ????!
*
*
*
i ************************************************************
D r a w XP1.YP1 To XP2.YP2
Next I
Screen Open 0,320,256,32,Lowres
Flash Off : Curs Off : Hide : Cls 0 : Screen Hide 0
CP=0.0
CL=3 : XX=159 : YY=127
Add ALPHA1,2
Add ALPHA2.3
Add ALPHA3.4
For BCL=0 To 159
Box XX+BCL,YY+BCL To XX-BCL,YY-BCL
Add CL,1,3 To 31 : Ink CL : Rem Changement de couleurs
Next BCL
Screen Swap
Cls 0
Uneil Mouse Key
End
Ink 1 : Box 0,0 To 319,255
Ink 2 : Draw 33,1 To 155,123 : Draw 163,123 To 285,1
Draw 32,254 To 155,131 : Draw 286,254 To 163,131
NEW POS:
Z=G*X1
Add Z,H*Y1
Add Z,I*Z1
Add Z,2621440
X=A*Xi
Add X,<B*Y1)
Add X,(C*Z1)
X=X/(0.8*Z)
Add X,160
Y=D*X1
Add Y,(E*Y1)
Add Y,(F*Z1)
YaY/(0.8*Z)
Add Y, 128
Ink 0 : Bar 155,123 To 163,131
Polygon 34,1 To 156,123 To 162,123 To 284,1 To 34,1
Ink 2
Polyline 155,123 To 155,131 To 163,131 To 163,123
For CL=3 To 31 : Colour CL,0 : Next CL
SENS=1 : CLL=1 : Gosub COULEURS
Screen Show 0 : Timer=0
Data de l'object ***
Nbre de points
Nbre de lignes
Nbre de Faces
8,12,6
Coordonnées des points x,y,
-1,1,-1
1,1,-1
1,-1.-1
-1,-1,-1
Data - 1 , 1 , 1
Data 1 , 1 ,1
Data l.- l.l
Data
3“ points a joindre
Data
Data
Data
Data
Data
Data
Philippe Agnisola
listing 3
Gosub NEW_POS
XP2=X
YP2=Y
Data
Data
Data
Data
les 25 lignes !). El pour le mois prochain,
nous parlerons entre autres d'Amos 3D. |e
pense que cela fera plaisir à Valère
Tourteau (courrier du numéro 56). B
1,2,2,3
3,4,4,1
5,6,6,7
7.8.8.5
1.5.2.6
4.8.3.7
/
/
Repeat
If Timer>200 Then Gosub COULEURS
Until Mouse K e y o O
Edit
COULEURS:
Shift Off : Fade 1 : Walt 15
If CLL=1 Then Fade 1,$0,$999,$C,$B,,,,,,,,,,,,,,$8
If CLL=2
Then Fade 1,$0,$999,$80,$80,,,,,,,,,,,,,,$40
If CLL=3 Then Fade 1,$0,$999,$900,$800,,,,,,,,,,,,,,$500
If CLL=4 Then Fade
1,$0,$999,$A0A,$202,$404,$808,$606,$404,$202,,,,,,,,$202,$404,$606,$808,$6
06,$404,$202
If CLL=5 Then Fade
1,$0,$999,$333,$555,$666, $ 7 7 7 , $888,$ 7 7 7 , $666,$555,$444,$444,$444,$444,$444
, $ 7 7 7 , $888,$999,$AAA,$999,$888, $ 7 7 7 , $555,$222
Walt 15 : Timer=0
If SENS=1 Then Shift üp 1,3,31,1 Else Shift Down 1,3,31,1
Inc CLL : If CLL>5 Then CLL=1 : SENS=SENS*-1
Return
H?
D IE T
récisément, notre problème est le sui­
vant : si l’on connaît la position et la
vitesse de déplacement d'un objet, et que
l'on cherche à l'atteindre à l’aide d'un obus
dont on peut seulement fixer la direction de
départ (et pas la vitesse linéaire), peut-on
calculer la direction correcte, et si oui,
quelle est-elle (le problème sera traité dans
le plan) ?
Il peut être intéressant de résoudre ce pro­
blème pour la conception de jeux. On a
souvent besoin de calculer des directions de
tirs pour donner un peu de réalisme et
d'agressivité à des space-invaders assoiffés
de sang (des invaders qui tirent dans des
directions aléatoires, ça n'est pas sérieux,
les gens riraient en les voyant !).
Soit (x, y) le point où se trouve l'objet que
l'on cherche à atteindre au moment où l'on
tire, (vx, vy) sa vitesse, (xo, yo) le point où
se trouve le canon, et vo la vitesse linéaire
de l'obus. Toutes ces données sont fixées au
départ. Notre but est donc de calculer vxo
et vyo, les deux composantes de la vitesse
de l'obus, telles qu'il atteigne bien l'objet en
mouvement, et telles que la norme du vec­
teur vitesse soit bien vo.
P
Nous continuons
notre grand
feuilleton
"l'artillerie et les
mathématiques",
en étudiant les
formules qui
nous permettront
de pointer
efficacement un
canon afin
d'atteindre une
cible en
déplacement.
Sacré boulot en
perspective (sans
vilain jeu de
mots).
in
Figure ?: A mi-chemin (en rouge
l'obus, en bleu la cible).
O F fl - B A S I C - S o r - e tjt.
fi?A
|f I n
LA N O R M E ,
L 'U N IV E R S
ET LE RESTE
Pour ceux qui ont oublié leur géométrie,
rappelons que l'on appelle norme d'un vec­
teur sa longueur. Et l'on sait que le carré de
la norme est égal à la somme des carrés des
coordonnées. Ce n'est pas une vérité mathé­
matique, mais plutôt une propriété physique
de l'espace dans lequel nous évoluons.
C'est comme ça, ça ne se démontre pas,
c'est le grand tout qui Ta voulu.
Dans le langage mathématique, notre uni­
vers est un espace "Euclidien" (enfin, pour
être plus précis, à première vue, il est
Euclidien). Il est intéressant de savoir que
Ton peut élaborer des géométries qui sont
aussi cohérentes que celle que nous mani­
pulons "naturellement", sans respecter les
propriétés habituelles, et en particulier, sans
avoir cette propriété de la norme. On peut
ainsi décrire des "espaces" dans lesquels la
somme des angles d'un triangle n'est plus
180°, ou encore dans lesquels on peut
construire plusieurs parallèles à une droite
passant par un point. C'est tordu, mais il se
trouve que c'est très utile en physique théo­
rique, parce que, malheureusement, quand
on y met le nez, on découvre avec effroi
que l'univers est plus tordu que droit.
Mais assez parlé, revenons à nos moutons.
On veut donc d'une part :
vxoA2+vyoA2=voA2
Figure 2: La cible est touchée.
C ’est à dire que la norme du vecteur (vxo,
vyo) soit bien vo. On préfère travailler en
ayant tout élevé au carré, c'est plus propre.
Et d'autre part, on veut qu'il existe un t posi­
tif (car il vaut mieux pour nous que la colli­
sion se produise dans le futur...) tel que :
(xo, yo)+(vxo, vyo)*t=(x, y)+(vx, vy)*t
C'est-à-dire un t tel que l'obus et l'objet visé
soit au même endroit.
En travaillant un peu l'expression précé­
dente, on obtient :
(vxo-vx, vvo-vy)*t=(x-xo, y-yo)
Ce qui est équivalent à l'existence d'un I
positif (l=1/t) tel que
(vxo-vx, vyo-vy)=l*(x-xo, y-yo)
ou encore
(vxo, vyo)=(vx, vy)+l*(x-xo, y-yo)=(vx+l*(xxo), vy+l*(y-yo)) (1)
Mais n'oublions pas que nous avons une
propriété sur la norme. On va donc en tirer
une propriété sur I, qui nous permettra de
calculer ce dernier, puis ensuite de trouver
W ATSON
vxo et vyo. La propriété sur la norme se
met maintenant sous la forme :
(vx+l*(x-xo))A2+(vy+l*(y-yo))A2=voA2
En développant, on trouve :
v x A 2 +2 * l * ( x - x o ) * v x + i A 2*( xx o )A2 +v y A 2 +2 * l* (y - y o )* v y + lA2*(yyo)A2=voA2
Ou encore :
((x-xo)A2+(y-yo)A2)*lA2+2*((x-xo)*vx+(yyo)*vy)*l+(vxA2+vyA2)-voA2=0
Ou encore, en posant judicieusement :
a=((x-xo)A2+(y-yo)A2)
b=2*((x-xo)*vx+(y-yo)*vy)
c=(vxA2+vyA2)-voA2
On a obtenu l'équation :
a*lA2+b*l+c=0.
On sait que ce type d'équation (qui
s'appelle un trinôme du second degré)
peut facilement se résoudre (voir encadré
2 à ce sujet).
Donc, si I vérifie l'équation précédente,
on aura le résultat en remplaçant I dans
l'équation (1).
Dans l'encadré 1, vous trouverez le listing
qui fait tout ce que nous venons de voir. Il
place aléatoirement un objet sur l'écran,
et choisit au hasard une vitesse. Ensuite, il
calcule la vitesse de départ de l'obus (qui
sera bien de norme vo), et il affiche les
positions successives de l'obus et de la
cible, jusqu'à la collision finale.
Notez que la cible a une vitesse de l'ordre
de v, et que cette dernière est plus faible
que celle de l'obus (sinon l'obus ne pour­
rait pas forcément rattraper la cible, ce
qui serait quand même gênant pour lui...).
LE L IS T IN G
Analysons les points essentiels du pro­
gramme. Comme toujours, le début est
réservé aux initialisions. En premier,
celles relatives à l'affichage, c'est-à-dire
l'ouverture de l'écran et de la fenêtre dans
laquelle nous allons travailler. Puis vien­
nent les initialisions des vitesses et des
positions (obus et cible).
Vient ensuite le calcul proprement dit, et
vous remarquerez que cela n'est rien
d'autre que la transposition "informa­
tique" de la théorie exposée plus haut (il
n'y a rien de plus). Seuls ont été rajoutés
les quelques tests qui vérifient d'une part
que delta>=0 (sinon cela signifie que
l'obus ne peut pas atteindre la cible,
quelle que soit la position de départ), et
d'autre part que les solutions du trinôme
correspondent bien à une collision dans
z v
Figure 3: Delta<0, pas de solution.
Figure 4: Delta^O, une seule solution.
le futur (c'est à dire t>0 ou encore l>0).
O n prend ensuite la plus grande solution
des deux (elle correspond à l'instant t le
plus petit, autant que la collision se fasse
le plus tôt possible).
Pour finir il y a la boucle qui trace les tra­
jectoires. Cette boucle se termine lorsque
l'obus passe à moins de deux pixels de la
cible. Vous vous demandez peut-être
pourquoi la boucle ne s'achève pas
quand l'obus et la cible ont exactement la
même position. La raison est simple :
nous avons fait tout notre raisonnement
en considérant que le temps est continu,
alors que dans notre programme le temps
avance par "sauts". A chaque étape,
l'obus et la cible avancent de (vxo , vyo)
et (vx, vy) respectivement. Il peut donc
arriver (et ça arrive tout le temps), que le
moment de la collision soit situé juste­
ment entre deux instants considérés. On
aura donc raté la collision, puisque le
moment où elle se produit ne sera jamais
"visible" depuis le programme (on aura
un instant tout de suite avant, un autre
tout de suite après, mais pas l'instant luimême). Pour éviter cela, on se contente
que la cible et l'obus soient proches l'un
listing 1
1=11
ELSE
1=320
h=256
IF 12>0
1=12
OPBNS l,0,0,l,h+ll,2,0
ELSE
OPENW #0,0,11,1,h,0,4096
1=-1
vo=l
ENDIF
ENDIF
v=0.5
IF 1>0
x=RANDOM (1 )
vxo=vx+l*(x-xo)
vyo=vy*l*(y-yo)
y=RANDOM(h)
vx=v*RND
COLOR 2
vy=v*RND
PLOT x,y
XO=l/2
x=x+vx
y=y+vy
REPEAT
yo=h/2
COLOR 3
PLOT xo,yo
a=(xo-x)A2+(yo-y)A2
b=2*((x-xo)*vx+(y-yo)*vy)
xo=xo+vxo
c=(vxA2+vyA2 )-voA2
delta=bA2-4*a*c
until (x-xo)A2*(y-yo)A2<2
ELSE
'
PRINT "Tir impossible"
yo=yo+vyo
IP delta>=0
ENDIF
ll=(-b-SQRtdelca))/(2*a)
ELSE
1 2=(-b+SQR(delta))/(2*a)
IF 11>0 AND 11>12
ENDIF
H?
print
"Tir impossible"
de l'aulre. Notez que celte distance de
deux
pixel
n'est
pas
innocente,
puisqu'elle correspond (en gros) à une
distance supérieure au maximum que
peuvent parcourir les deux objets l'un
par rapport à l'autre au cours d'un inter­
valle de temps (ainsi il ne peut pas arri­
ver qu'ils aient collisionnés, et qu’ils se
soient ensuite éloigné de plus que cette
distance avant la fin de l'intervalle de
temps).
R E S O L U T IO N D ' U N T R IN O M E
D U SECO ND DEGRE
Un trinôme du second degré est une équation de la forme a*xA2+b*x+c=0. C'est un
trinôme car elle contient trois terme, et du second degré car le plus haut degré
de 1'inconnue x est 2.
Cette équation est assez facile à résoudre. Pour cela, on va faire des regroupe­
ments de termes afin de faire apparaître des identités remarquables. En particu­
lier !
T R O P S IM P L E ?
(p+q)A2=pA2+2*p*q+qA2 (Il
p A2-qA2=(p+q)* (p-q) (2)
On factorise a dans le trinôme :
a*xA2+b*x+c=a*(xA2+b/a*x+c/a)=0
Utilisons (1) avec p=x et q=b/(2*a)
a * ((x+b/(2*a))A2-bA2/(4*aA2)+c/a)=a*((x+b/(2*a)>A2-(bA2-4*a*c)/ (4*aA2))=0
Utilisons
à
présent (2) avec p=x+b/(2*a) et q=sqr(delta)/(2*a) où on a posé
delta=bA2-4*a*c
On obtient donc :
Figure 5: Delta>0, deux solutions distinctes.
a * ( x + b / (2*a)+ s q r (delta)/(2*a))*( x + b / (2*a)- s q r (delta)/(2*a))=0
Or, pour que cette dernière expression soit nulle, il faut que l'un des deux
termes en facteur soit nul, donc :
Vous aimeriez sans doute résoudre le
même problème dans des cas plus com­
plexes, par exemple en reprenant une tra­
jectoire parabolique comme celle que
nous avons étudiée dans notre précédent
article, ou bien en visant un objet dont la
trajectoire n'est pas une droite. Tout cela
est possible, évidemment (qu'est-ce-qui
ne l'est pas '<). Mais ces problèmes font
intervenir d'autre outils qui, s'il ne sont
pas forcément plus complexes d'un point
de vue théorique, le sont d'une point de
vue pratique. Car dès que les équations à
résoudre sont plus subtiles que des poly­
nômes du second degré, il faut faire appel
à des méthodes de résolutions itératives.
C'est-à-dire que l'on recherche la solution
en l'approchant, au lieu de l'extirper fière­
ment d’une formule, comme c'est le cas
ici. Nous verrons un des ces jours
quelques unes de ces méthodes, qui per­
mettent de résoudre des équations
(presque) quelconques,
l'attend toujours vos suggestions pour les
thèmes à développer dans ces colonnes ;
en particulier si un point qui a été abordé
reste obscur, n'hésitez pas à le signaler, je
me ferai un plaisir d'y revenir. En atten­
dant, c'est tout pour aujourd'hui. ■
François Fleuret
i
x=(-b-sqr(delta))/(2*a) ou x=(-b+sqr(delta))/(2*a)
Nous avons donc résolu l’équation. Notez tout de m ême, car cela a son
im portance, qu'on ne trouve de solution que si delta>=0 (dans le cas
contraire, la racine carrée ne peut pas être calculée), et que si delta=0,
alors les deux solutions sont égales. V oyez les figures. Si on trace la
courbe y=a*xA2+b’ x+c, on obtient les trois cas représentés (figures 3, 4
et 5), qui montrent bien dans quelles situations on n'a pas de solution,
une seule solution ou deux solutions distinctes.
En fait, la situation est plus com plexe que ça, puisque m ême quand
delta<0, on peut résoudre l'équation en introduisant des nombres dit
"im aginaires". M ais cela nous entraînerait trop loin pour aujourd'hui.
Pour le vocabulaire, on appelle "racin e" une valeur de la variable pour
laquelle un polynôm e est nul (et un trinôm e du second degré est juste­
ment un polynôm e, on dira donc qu'il adm el zéro, une ou deux racines).
Et on dira aussi parfois que dans le cas où le trinôme n 'a q u'une solution,
il s'agit en fait d'uno "racin e double". Cette term inologie a son impor­
tance, en particulier quand on a besoin de "com pter" toutes les solu­
tions, il faut alors com pter deux fois les racines doubles pour être sur de
ne pas en avoir manqué.
B O
I N
I
D
E
COMMANDE
s
h
o
A M
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IG
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lis ie z ;
i
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IN IT IA T IO V
Réaliser des
branchements
conditionnels
dans un script
AmigaDOS peut
sembler à priori
superflu,
l'intérêt n'en
étant pas
évident dès le
premier abord.
Pourtant, il
existe des
situations dans
lesquelles il faut
prendre des
décisions en
fonction de
divers
paramètres qui
ne peuvent être
testés qu'au
moment de
l'exécution
script.
COND
Par exemple, un script d'installation
devrait pouvoir s'enquérir de la ver­
sion du W orkbench de la machine
cible, et interdire la poursuite de
l'opération si elle est inférieure à
celle requise.
Par autre exemple - et beaucoup de
programmes du domaine public
agissent ainsi - il devrait être pos­
sible de vérifier, avant de copier
une nouvelle bibliothèque dans le
répertoire LIBS:, de vérifier que l'uti­
lisateur n'en possède pas déjà une
copie et si c'est le cas, que sa ver­
sion est inférieure à celle qu'on sou­
haite installer.
Enfin, dernier exemple, dans cer­
taines situations particulières, il est
toujours de bon ton de demander
l'avis de l'utilisateur avant de conti­
nuer le script : "voulez-vous instal­
ler les exemples ?", ou bien encore
"voulez-vous vraiment formater le
disque
Dans chacun des cas ci-dessus, le
script doit donc être capable de tes­
ter une condition particulière, et de
réagir en fonction du résultat de ce
test.
PARENTHESE
Nous avons déjà évoqué le rôle des
codes d'erreur que la plupart des
commandes Am igaD O S produisent
suite à leur exécution. Un petit rap­
pel ne nous fera cependant pas de
mal.
La quasi-totalité des commandes
Amiga- D O S (aussi bien les rési­
dentes que celles stockées dans le
répertoire C:), renvoient toujours un
code indiquant au Shell si elles ont
pu jouer leur rôle efficacement, ou
bien si une erreur s'est produite,
l'erreur en question pouvant être
simplement bénigne (un avertisse­
ment, en quelque sorte), grave ou
carrément fatale.
CODE
VALEUR
C O M M E N T A IR E
OK
0
Pas d 'e r r e u r !
W ARN
5
A v e rtis s e m e n t
ERROR
10
E rr e u r g ra v e
F A IL
20
E rre u r fa ta le
4 A U SHELL ( 5 )
lN C H E M E N T S
IT IO N N E L S
Ce code n'est en t'ait rien d'autre
qu'un nombre, dont les différentes
valeurs significatives sont résu­
mées dans le tableau ci-dessous.
maternent gérés par le script, ce
qui peut se révéler très pratique, et
en tout cas, beaucoup plus esthé­
tique.
Evidemment, rien n'empêche un
programme de renvoyer d'autres
codes que ceux listés dans ce
tableau. Il faut cependant savoir
que si Commodore a jugé bon de
fixer un tel "standard", c'est juste­
ment dans le but de permettre aux
scripts Am igaD O S de l'exploiter
pleinement.
A VEC DES S I...
Dernier point de détail : normale­
ment et sauf indication contraire,
les codes ER R O R et FAIL provo­
quent l'arrêt de l'exécution du
script. Ceci peut être changé au
moyen de la commande FailAt.
Ainsi, si le script commence par la
ligne :
FailAt 21
l'exécution ne sera interrompue
que par une commande renvoyant
un code d'erreur supérieur ou égal
à 21. En d'autres termes, les codes
E R R O R et FAIL pourront être nor-
FailAt 21
Il existe évidemment une possibi­
lité de tester le code renvoyé par
une commande, sinon à quoi bon
cet article ? Elle est matérialisée
par la commande IF, qui, associée
à ELSE et END IF, permet donc de
réagir en "temps réel" aux événe­
ments. Associée à LAB et SKIP,
elle permet également de pro­
grammer des branchements condi­
tionnels dans le script.
La syntaxe de cette commande est
la suivante :
IF condition
commande 1
commande 2
etc.
[ELSE
commande 3
commande 4
etc.
ENDIF
; Pas d'arrêt an cas d'erreur
Dir >T:z CAHAKEL:
La condition est souvent matériali­
sée par les codes W A R N , ERRO R
et FAIL, mais IF est capable de tes­
ter d'autres conditions particu­
lières, comme par exemple l'exis­
tence d'un fichier, ou la valeur
d ’une variable d'environnement.
Si cette condition est remplie, le
bloc de commandes compris entre
IF et EN D IF (ou ELSE le cas
échéant) est exécutée, sinon l'exé­
cution du script "saute" directe­
ment à la commande située juste
après le EN D IF (ou ELSE).
M
Comme indiqué par les crochets ((
et ]) dans la syntaxe ci-dessus, la
commande ELSE est facultative.
Son rôle est de permettre l'exécu­
tion d'un bloc de commandes, si
la condition testée par IF n'est pas
remplie. Examinons tout de suite
un exemple.
Nous verrons la prochaine fois les
autres conditions que le triplet IFELSE-ENDIF permet de vérifier
dynamiquement pendant l'exécu­
tion du script. Nous en profiterons
également pour aborder certaines
commandes particulières, dont le
code de retour peut être efficace­
ment exploité dans un script. ■
; Ca m 'étonnerait qu'un tel lecteur existe...
If ERROR
; "DIR" a-t-elle renvoyé une erreur ?
Echo "Le lecteur CARAMEL: n'existe pas !"
ELSE
Echo "Répertoire du lecteur CARAMEL:"
Type T:z
ENDIF
Stéphane Schreiber
f
DANS TOI
N
ous allons donc jongler avec les listes chaînées au sens Exec du terme,
;'est-à-dire telles qu'elles ont été décrites dans le dernier épisode de
cette série. |e vous incite donc plus que vivement à le relire au besoin.
Comme promis,
nous allons
enfin appliquer
à la lettre tout
ce que nous
(c) 1993, Etienne
»/
Ce programme doit être considéré comme une simple démonstration ; ce
n'est surtout pas un utilitaire, comme vous aile/ pouvoir le constater. Son
rôle se limite à afficher les différentes listes qu'Exec maintient constamment
à jour. L'affichage sera bien entendu trié.
Le but de cette rubrique n'étant pas une initiation à l'AmigaDOS, tout ce qui
dépend directement des appels au système sera volontairement passé sous
silence, ceci dans l'unique but de mieux mettre en avant les techniques de
tri employées dans ce programme. Si des renseignements plus techniques
vous intéressent, reportez-vous «f la littérature idoine.
avons vu
jusqu'ici dans
Parmi toutes les liste chaînées qu’Fxec gère, nous n’en retiendrons que trois :
celle des bibliothèques de fonctions (librariesl, celle des pilotes de périphé­
riques (devicesl, et celle des ressources (heu... resourcesl.
Le système multitâche maintient ces listes triées suivant un ordre de priorité
décroissant lie noeud ayant la plus haute priorité est le premier de la liste).
En ce qui nous concerne, nous préférons afficher tous les noeuds suivant un
tri alphanumérique sur leur nom.
d'articles sur le
tri. Et comme
nous sommes
des garçons
intelligents,
nous allons faire
en sorte que le
programme
proposé ici,
s'adapte
parfaitement au
système
d'exploitatio
de l'Amiga
Simple démonatratl
D E S C R IP T IO N
P R E S E N T A T IO N
cette série
TriListe.c
•include
•include
(tinclude
•include
•include
•include
•include
otdio.h>
<stdlib.h>
<8tring.h>
<exec/types,
<exec/nodes.
<exec/lists.
<exec/execba
•include <clib/execj
•include <clib/alib j
extern struct ExecBat
void
void
void
void
7oid
nain (int arge, c
freelistelstruct
duplistetatruct
triliste(struct
affliste(etruct
Fonction principal
•/
void maintint arge. c
t
int choix;
struct List *execlist
NewListUrl
Différentes règles sont donc à observer.
£or (ii)
(
Premièrement, le multitâche doit impérativement être inhibé pendant tout le
temps que durera l'exploration de la liste concernée, ceci afin de s'assurer
qu'aucun noeud ne sera ajouté ou supprimé au même instant (ceci pourrait
en effet conduire ù exploiter des pointeurs devenus invalides).
Deuxièmement, étant donné que nous désirons afficher les listes suivant un
ordre différent de celui dans lequel elles sont déjà rangées, il nous faut les
dupliquer. Le nom lui-même de chaque noeud devra également être intégra­
lement copié, afin de s'assurer qu'il reste valide entre le temps où l'on
explore la liste, et celui où I on affiche le résultat trié. Simplement copier le
pointeur sur le nom ne suffit pas.
IM P L E M E N T A T IO N
On voit donc aisément le "plan" de notre programme. Il sera décomposé en
quatre fonctions : la première, qui sera la fonction principale, affichera un
petit menu permettant de choisir laquelle des trois listes supportées devra
être triée puis affichée. Une seconde fonction se chargera de dupliquer la
liste choisie en mémoire (exploration de la liste originale et allocation de
mémoire pour chaque noeud rencontré. La troisième réalisera le tri propre­
ment dit (la méthode du "tri à bulles" sera utilisée), tandis que la troisième
servira tout simplement à l'affichage.
On pourra tirer quelques enseignements de ce (petit) programme. Tout
d'abord, il montre comment une liste peut être bâtie et agrandie dynamique­
ment. au contraire d'un tableau. Ensuite, il démontre l'utilisation d'une fonction
très simple de tri d'une liste chaînée. Enfin, il pourra servir de point de départ à
un projet plus complexe, tel qu'un moniteur-système, pourquoi pas ? ■
Libère la mémoire
Etienne Mouratila
LE TRI
IS SES ETATS (5)
void freeliste(struct List "liste]
struct Node *nl, *n2;
on du cri sur des listes Exec
ni = liste->lh._Head;
MOuratils pour Amiga Revue
while (n2 = nl->ln_Succ)
(
Remove(nl);
freeKvoid *)nl->ln )
freeKvoid • )ni)»
ni = s2 ;
1
h>
h>
)
h>
se.h>
/•
rotos.h>
rotos.h>
void duplisteistruct List *old, struct List *new)
* Duplique une iiste Exec
•/
(
struct Node *nl, "n2;
e "SysBase;
Forbidi);
har *'argv>;
List "liste)I
List "old, struct List "newl;
List "listel;
List "listel;
/* Plus de multitâche */
ni . old->lh_Head;
whiie (ni ->In Succ)
(
if ln2 = (struct Node * ma l ioclsizeof (struct Node)))
if (n2 ->ln_Naoe v strdup(nl->!n_Name))
AddTaillnev, n2);
ni « nl->ln_Succ;
)
har ""argv)
Permit ();
>
/•
e, liste;
Trie une liste Exec (tri à bulles)
iste);
•/
/• Initialise l'en-tète de notre liste •/
void triiiste(struct List "liste)
I
printf ("\nTri d'une liste Exec...\n");
struct Node "ni, "n2;
int fini;
printf("\tl) BibliothèquesXn") ;
printf (“ \t2) Périphériques\n");
printf(-\t3) Resources\n");
printf(“\n");
printf("\t 0 ) Quitterin");
fini - FALSE;
while (Ifini)
fini » TRUE;
prin t f ("\n\tVotre cho i x :
scanf("%d", échoix);
ni » liste->lh_Head;
if (nl->ln_Succ)
while {(n2 = nl->ln_Succ) &6 n2->ln_Succï
if (stricnp(nl->lnjlaœe, n2->ln Nase)
(
Remove(nl);
(
Insert(liste, ni, n2l;
fini . FALSE;
6wltch(choix)
/• fin de ce
exit(C);
break;
rilleux progra
)
/* Liste des bibliothèques ilibraries) */
execliste - 4(SysBase->LibList);
break;
/* Liste des périphériques (deviceB) */
execliste = S (SysBase->DeviceList );
break;
else
ni = n2 ;
1
/•
/* Liste des ressources */
execliBte = fc(3ya8ase->R«sourceList);
break;
• Affiche une liste
*/
void affliste(struct List "listel
1
/• Autre réponse ? •/
struct Node *n;
c o n t in u e ;
>
printf(“Vncontenu de la liste :Vn"î;
freeüste(fcliste) ;
duplisteiexecliste. «liste);
trilistel&liste);
afflistel&liste);
n = liste->lh_Head;
while (n->ln_Succ)
f
printf("\tk»\a”, n->ln_Name);
n = n->ln_Succj
1
occupée par les noeuds de la liste
’ —
I—MJ
e suis vraiment désolé, mes petits chéris,
mais je n'en ai absolument aucune idée !
Je tiens cependant à préciser une fois de
plus, qu'il ne s'agit absolument pas de mau­
vaise volonté de ma part, mais simplement
d’un constat aussi rapide que simple : trop
de matériels différents affectés à trop de
configurations différentes rendent quasiimpossible la détection certaine et efficace
de la cause du problème. Certes, certains
cas reviennent souvent, notamment concer­
nant les imprimantes à jet d'encre les plus
répandues du moment, à savoir la Canon BJ
et la Hewlett-Packard. En attendant que
nous ne finalisions notre dossier sur les
imprimantes et leurs drivers (tâche ardue s'il
en est !), je ne puis que conseiller aux per­
sonnes intéressées de bien vouloir feuilleter
les anciens numéros d'Amiga Revue, dans
lesquels des solutions à ces cas bien précis
ont déjà été données. Et j'en profite égale­
ment pour rappeler à nos nouveaux z'amis
que les anciens numéros sont disponibles à
la vente par correspondance, grâce au bon
de commande que vous trouverez quelque
part en fin du présent numéro. Un peu
d'auto-publicité n'a jamais tué personne !
J
Ah, que j'aim e à
lire votre
courrier...
Cependant et au
risque de me
répéter, je dois
bien reconnaître
que certains
n'en font hélas
qu'à leur tête, et
continuent à me
demander où ils
peuvent se
procurer tel ou
tel driver
d'imprimante,
ou bien encore
pourquoi leur
bel appareil tout
neuf refuse-t-il
désespérément
de fonctionner
comme il le
devrait...
§
P O L IC E
le vous écris p o u r un problèm e que j'a i
avec m on A 1200 et son Workbench. le pos­
sède donc un A1200 sans disque dur avec
un mode d 'e m p lo i p o u r les versions disque
dur. l'aim erais que vous, ou éventuelle­
m ent un lecteur, puissiez me dire com m ent
faire p o u r créér, je dis bien créér, des
fontes vectorielles, l'a i beau essayer de les
créér mais je n 'y arrive pas. A lors comm ent
fa u t-il faire p o u r en créér ? Dans le bou­
quin du W orkbench, ils expliquent com ­
m ent m odifier, m ais pas créér. Ils disent
aussi qu 'o n peut créér, mais les versions
disque d u r o n t pe u t être des exemples p o u r
m odifier, tandis les versions sans disque
dur, c'est-à-dire sur disquettes, n 'o n t pas
d'exemples p o u r p o u vo ir m o d ifie r et
essayer d'en créér d'autres. Si vous, ou un
lecteur, pouviez m e répondre, ça me p e r­
m e ttra it de vo ir (enfin !) ces fameux carac­
tères vectoriels, le vous rem ercie d'avance.
fean-Yves A lp h y, Ile de la Réunion
Le Workbench 3.0 est fourni avec trois
polices vectorielles Compugraphic, situées
sur la disquette Fonts3.0. Il s'agit des polices
CGTimes, CGTriumvirate et LetterGothic. Le
programme IntelliFont, que vous trouverez
dans le tiroir Utilities de la disquette
Extras3.0, permet d'une part de modifier les
caractéristiques des polices vectorielles déjà
installées, et d'autre part d'en ajouter
d'autres à cette (courte! liste, mais en aucun
cas d'en créer de toutes pièces.
Dans
le premier
mode d'opération,
IntelliFont permet de créer des polices bit­
map (certains préfèrent l'appellation de
"polices écran") correspondant aux tailles
que vous utilisez le plus souvent, ceci afin
d’accélérer sensiblement leur utilisation par
les logiciels (pour résumer, cela évite au sys­
tème d'avoir à calculer tous les caractères
de la police à chaque fois que l'on désire
utiliser une nouvelle taille).
Dans le second mode, IntelliFont convertit
un police Compugraphic externe, donc déjà
existante, dans un format que le système (la
diskfont.library, pour être précis) saura utili­
ser. Il faut donc déjà posséder quelques
polices Compugraphic... Reste donc à savoir
où s'en procurer, ces polices n'étant que
très rarement placées dans le domaine
public (elles font presque toujours l'objet
d'un copyright de la part de leur auteur). La
société Gold Disk, éditeur entre autres célé­
brités de Professional Page, propose à la
vente
une
collection
de
polices
Compugraphic. Bien que destinées à être
utilisées avec ce logiciel, elles sont parfaite­
ment
transformables
via
IntelliFont.
Dernière possibilité, les polices vectorielles
au format PostScript d'Adobe, extrêmement
répandues dans les mondes PC et
Macintosh. Il existe dans le domaine public
plusieurs utilitaires de conversion des for­
mats Adobe vers Compugraphic et inverse­
ment. Une second conversion via IntelliFont
sera ensuite nécessaire pour enfin pouvoir
disposer comme bon vous semble de ces
polices !
H IS T O IR E B E LG E
A vant tout, je voudrais vous fé lic ite r p o u r
le trava il que vous faites : c'est super (mal­
gré un peu tro p de technique par
moments...), l'a i quelques questions à vous
poser :
1) H abitant la Belgique et ne possédant pas
de m in itel, e st-il possible d'accéder au télé­
chargem ent (3615 A M IG A REVUE) grâce à
un M odem ? Si o u i com m ent, et quel(s)
logiciel(s) u tilise r ?
2) Ayant l'in te n tio n de créer un fanzine
avec des amis, j'aim erais savoir quel(s)
logiciel(s) de mise en page et de traitem ent
de texte u tilise r ?
Jérémy W arrand, C ouillet, Belgique
C’est parfaitement possible, pour peu que le
Modem en question soit compatible avec le
norme V23 (1200 bauds en réception, 75 en
émission). Un logiciel tel que FlammiTel II
(anté-diluvien, certes, mais toujours d'actua­
IU E S T E R
lité) ou AmigaTel, suffira alors pour
émluer notre Minitel national et accéder à
tous les services proposés. Le télécharge­
ment lui, requiert notre kit de télécharge­
ment (le bien nommé), qui comprend un
logiciel approprié (comprenant notre pro­
tocole de transfert) et un câble de liaison
Amiga-Minitel (ce dernier vous sera
cependant parfaitement inutile, ça va de
soi I).
Pour votre fanzine, le mieux semble
encore d'utiliser Protéssional Page 4.0.
PageStream (connu chez nous sous le
doux pseudonyme de Publishing Partner
Master) est également adapté, bien com­
mence à souffrir de son ancienneté.
N'importe quel traitement de texte
conviendra. ProPage reconnaît les formats
utilisés par presque tous les traitements de
texte actuellement disponibles sur le mar­
ché, et si cela ne suffisait pas, l'importa­
tion du format ASCII est toujours possible.
E V O L U T IO N
le suis abonné depuis peu e t v o ic i m a p re ­
mière lettre. Cela fa it trois ans et demi
maintenant que je possède un Amiga 500
version 1.3 et i'e n suis totalem ent satis­
fait. J'ai donc fa it évoluer ma configura­
tion en lu i adjoignant une extension
m ém oire 512 Ko, un lecteur externe, une
im prim ante Commodore 1550C, et tout
récemment, un A 530 Turbo de CVP.
Cependant, avec la sortie des deux der­
niers jo yaux de Commodore, les éditeurs
comm encent à délaisser les systèmes 1.2
et même 1.3. Aussi, j'envisage l'achat
d'un A l 200, voire d'un A4000. Je vous
écris donc p o u r savoir si m on disque dur
SCSI
A 530
avec
microprocesseur
68ECO30 et 4 M o de RAM est compatible
avec un A l 200 (ou un A4000) avec
o p tio n SCSI. Je voudrais savoir aussi s 'il
est possible de rem placer le 68EC030 de
la carte par un 68030 (ou plus) et ainsi,
dépasser la lim ite des 9 M o sur l'A500.
Stéphane M eynard, Pertuis
Hélas, trois fois hélas, aucune compatibi­
lité n'est à espérer entre votre disque dur
SCSI et votre futur A l 200... Même en
équipant celui-ci d'une carte contrôleur
SCSI, telle l'A l208 de C V P qui, si Dieu
existe, devrait être testée dans ce même
numéro d'Amiga Revue. La mémoire non
plus n'est pas compatible, l'A ï 200 ne
pouvant être étendu que de deux
manières différents : soit par l'ajout de
barettes de mémoire SIMM 32 bits via une
carte interne (il en existe déjà plusieurs,
dont encore une fois l'A l 208 ci-dessus
/ /
citée), soit par une cartouche de mémoire
16 bits au format PCMCIA.
PROGRAMMEUR
i l fallait une fréquence horizontale de 15
Khz, est-ce vrai ? Quand vous dites
6 990 F est-ce TTC ? Est-il compatible avec
le 1200 ?
M . Decorme Eric, 63730 Mirefleurs.
Je vous écris car je suis désespéré. J'ai
acheté un A l 200 i l y a un mois, c'est une
m achine fantastique, d'un rap p o rt qua­
lité /p rix
exceptionnel. J'ai pratiqué
l'assembleur sur divers ordinateurs aupa­
ravant (ZX81, M 0 5 , C64) et j'espère
continuer... J'ai d'ailleurs acheté Devpac
3, mais j'a i m aintenant l'im pression de
m e trou ve r dans une impasse ! Pas un
m anuel à me m ettre sous la dent. Les
manuels spécifiques à l ' A l 200 ne sont
peut-être pas encore sortis, soit... mais
j'a i l ’im pression que depuis que j'a i
acheté le m ien, on ne p e u t plus trouver
aucun liv re sur le langage machine. J'ai
contacté plusieurs distributeurs, ils n 'o n t
plus de manuels en stock et ils ne savent
pas quand ils en auro n t à nouveau.
Pouvez-vous m 'é cla ire r ? Les éditeurs
préparent-ils des versions traita n t de
l'A C A (
Karim Bennaceur, Coiffy-Le-Bas
Pour débuter la programmation sur Amiga
lorsque l'on possède déjà quelques
notions d'assembleur, le mieux est encore
de vous ruer à la Fnac la plus proche de
chez vous et d'acquérir "La Bible de
l'Amiga, Seconde Edition", aux éditions
Micro-Application. Ce livre, en français,
aurait certes bien besoin d'être remis à
jour : il ne couvre malheureusement que
la version 1.3 de l'ordinateur, mais reste
cependant un bon moyen de commencer.
Pour aller plus loin, les Amiga Rom
Kernal Manuals (troisième édition), et
notamment le volume consacré au
Hardware, couvre toutes les versions de
l'Amiga jusqu'aux processeurs ECS. Ecrit
par les ingénieurs de chez Commodore
eux-même, l'ouvrage est en anglais, mais
assez facilement assimilable.
Pour l'instant, aucune documentation sur
les chips A G A n'est encore disponible
pour le grand public. Une quatrième édi­
tion des RKM ne devrait cependant pas
trop tarder à voir le jour...
M O N IT E U R
Je vous écris po u r a voir des renseigne­
ments sur un article que vous avez passé
dans Amiga Revue ST55. C'est à propos de
l'ACE 6617 (m oniteur 17").
J'aimerai savoir o ù on peut se le procurer ?
De plus j'a i entendu dire que p o u r les jeux
Ce moniteur, qui n'est pas spécialement
Amiga mais fonctionne également sur PC et
autres ordinateurs avides de hautes résolu­
tions graphiques, est disponible chez tout
revendeur d'informatique un tant soit peu
sérieux. Les prix indiqués dans Amiga
Revue sont toujours, sauf indication
contraire, TTC (surtout lorsque l'on précise
"prix public conseillé"...).
Les jeux ne requièrent aucun moniteur par­
ticulier autre que le classique 1084S ou
1085S de Commodore. Ils s'adaptent mêmetrès bien à la télévision familiale.
S O U R IS
Cela à fa it un an au mois de novembre que
j'a i acheté m on A500+ . I l y a de cela à peu
près un mois, j'a i remarqué que ma souris
donnait l'impression d'avoir quelques
signes de fatigue. En effet, quand je mettais
en marche m on ordinateur, quelque fois le
pointeur de la souris ne se déplaçait que de
quelques centimètres sur mon téléviseur, et
i l me suffisait de taper sur la souris ou de la
débrancher
po u r
qu'après
quelques
minutes de manipulation, to u t rentre dans
l'ordre. J'ai donc acheté une autre souris,
mais les mêmes symptômes sont apparus,
avec en plus une impression que la souris
se déplaçait par saccades, et en tout cas pas
avec la vitesse ni la distance de déplace­
m ent voulues. Cette nouvelle souris est
nommée Chic Opto-Mécanique. J'aimerais
savoir si je peux bénéficier encore de la
garantie de mon ordinateur (il y a un maga­
sin Commodore près de chez moi, qui a
ouvert i l y a quelques mois). Et sinon, à qui
puis-je m'adresser et que puis-je faire î
M. M iclo Laurent, 25450 Damprichard.
La garantie constructeur que Commodore
offre à ses clients, n'est valable que pour un
an à partir de la date d'achat de l’ordina­
teur. Votre A500+ n'est donc plus couvert
par cette garantie, et les réparations seront
donc à votre charge. Il n'est pas évident
que la souris-elle même soit en cause. L'un
des deux CIAs (puces multifonctions) de
l'ordinateur peut être défaillant, ce que
n'importe quel électronicien sufisament
équipé peut très facilement vérifier. Si tel
était le cas, un centre de maintenance agréé
par Commodore remplacerait la puce en
cause pour environ 700 francs. ■
79
^
A M O S PRO
Fan devant
l'éternel d'Amos
Basic, c'est avec
un incontrôlable
empressement
que je me suis
jeté sur la
version Pro de
ce langage dès
sa sortie. Il ne
me restait dès
lors plus qu'à
attendre un
compilateur
spécifiquement
adapté pour me
l igure I
ême si, je dois bien l'avouer, j'avais
été relativement déçu par la première
mouture d'Amos Pro : quelques méchants
bugs par ci, par là, un compilateur 1.3
(pourtant annoncé compatible, NDLR) qui
plantait lamentablement si on essayait de
l'installer dans Amos Pro (même lorsque le
source n'exploitait pas les nouvelles possibi­
lités I), et, comble de tout, une extension
Amos 3D elle aussi incompatible. Tout cela
me laissait dans un abîme de désespoir sans
tond. Bref, j'avais la haine...
M
Et pourtant, Dieu sait si Amos Pro apporte
une montagne de plus par rapport à Amos
1.3, dont notamment un éditeur ultra amé­
lioré, la possibilité de jouer et de contrôler
les fichiers Anim de l'Amiga (chapeau
François !), de jouer directement des
modules SoundTrackcr et ProTracker sans
passer par une moulinette à l'efficacité plus
ou moins douteuse, et aussi, c'est important,
la présence de fenêtres enfin dignes de ce
nom (je dirais même plus, d'une interface
graphique complète qui, malgré son look un
peu trop "Sucre d'Orge'' à mon goût, a la
mérite d'exister, d'être efficace, et surtout
d'être reconfigurable). Ce qui explique que
j'utilisais encore la vieille version 1.3, en
lorgnant d'un sale oeil vers les disquettes de
la version Pro.
non plus. Il est à noter que l'auteur (François
Lionetl et l'éditeur (Europress Software) ont
toujours permis, depuis la création d'Amos,
la mise à jour gratuite des nouvelles ver­
sions, au fur et à mesure de leur sortie, en
plaçant dans le domaine public tous les uti­
litaires nécessaires. Cette démarche devrait
être une généralité dans le monde Amiga, et
non une exception...
Cette politique explique d'ailleurs que vous
trouverez dans le package du compilateur,
l'update pour la version 2.0 de l'interpréteur
tune mise à jour pour la version 1.12 avait
d’abord été annoncée, NDLR) !
LE P A C K A G E
Il se compose de trois disquettes et d’un
petit manuel d'une cinquantaine de pages.
Après avoir réalisé l'update de mon viel
Amos Pro 1.0 (méfiez-vous ! Si vous aviez
compacté le fichier AMOSPro original avec
un utilitaire genre PowerPacker, le pro­
gramme d'update signalera une erreur et
stoppera l'installation), j'ai ensuite installé le
compilateur grâce à un nouveau programme
dédié très sympa (voir figure 1).
IL EST A R R IV E !
Une fois tout cela terminé, deux nouveaux
clics de souris sur l'icone d'Amos Pro,
quelques grognements du disque dur et
puis, et puis ... Rien ! ?!
Comme Zorro, Amos Pro Compiler (c'est
son nom), est donc arrivé, sans se presser lui
Il est à noter qu'Amos Pro 2.0 et le compila­
teur sont entièrement compatibles avec les
» 2 . 0 C O M P IL E R
anciennes versions de ce langage, et qu'ils
fonctionnent sur toute les machines de la
gamme Amiga, du 500 au 4000, disposant
au
minimum
d'un
méga-octet de
mémoire. Même Amos 313 est dorénavant
compatible !
U N TEST,
U N TEST !
Quoi de mieux pour tester la rapidité d'un
langage ou d'un compilateur ? Réponse :
une tracta le !
fournis que l'on pourra compiler avec les
deux versions pour comparer le résultat.
Comme disait l'autre : “ c'est vous qui
voyez".
tains programmes refusaient de fonction­
ner après compactage à la compilation,
en affichant un joli requester "Out of
memory" sur une bécane avec 8Mo de
RAM (cherchez l'erreur...).
BO N PLAN
Enfin, pour les programmeurs fous, il
même prévu une version CLI du compila­
teur. A vous les longs scripts de compila­
tion et les "makefiles" à tire-larigot...
Dans la série des bons plans, le Shell du
compilateur (son interface utilisateur,
NDLR) peut être installé en tant qu'acces­
soire, ce qui autorise la compilation direc­
tement depuis l'éditeur d'Amos Pro. La
figure 2 réprésente son nouveau look :
Ce test a été effectué sur un Amiga 2000B
avec 9 Mo de RAM, un carte accélératrice
A2630 el le Workbench 2.0. L'ordinateur
était ré-initialisé à chaque essai, pour que
les tests se déroulent tous dans les mêmes
conditions.
OSMvJ
tovKï.» »*î
C O N C L U S IO N
On peut encore une fois féliciter le génie
de François Lionet, qui nous offre là une
version encore plus puissante de son lan­
gage. Un langage qui est en passe de
devenir une référence absolue sur notre
machine (je tremble pour la version PC...).
La version 2.0 de l'interpréteur Amos Pro
est certes (très) légèrement plus rapide
que l'Amos original, mais c'est sans
conteste une fois compilés que vos pro­
grammes prendront toute leur valeur.
Le tableau 1a résume les chiffres obtenus
pour le calcul d'une luiia d'une taille de
160 x 128 pixels en 32 couleurs, avec 15
itérations.
figure 2
Philippe Agnisola
tableau 1a
Amos 1.3
Amos Pro
Interprété
Compilé
7'13"
6'05"
4'31"
1'04”
Le tableau Ib résume les chiffres obtenus
pour la même courbe, mais avec l'A2630
déconnectée (c'est-à-dire en 68000).
tableau 1b
Amos 1.3
Amos Pro
Interprété
Compilé
1913”
16'26''
12'03"
7'10''
c'est quand même beaucoup plus sympa
que la version précédente, non i
Par contre, pas de changement en ce qui
concerne le type de programmes éxeculables produits : ceux-ci peuvent être lan­
cés doit depuis le Workbench, soit depuis
le CLI (avec possibilité de se "détacher"
de la fenêtre), ou bien être de type AMOS,
c'est-à-dire de pouvoir être chargés dans
l'éditeur. Il est même possible de compi­
ler toutes une série de programmes en
une seule fois, ainsi que des sources en
Ascii, ce qui autorise l'utilisation d'un
autre éditeur que celui d'Amos Pro, AZ ou
CED par exemple !
On pourrait citer des dizaines d'exemples
comme celui-ci, mais je pense qu'un seul
(et surtout celui-ci !) suffit à prouver l'effi­
cacité de ce nouveau compilateur : c'est
une véritable bombe ! Il accélère en
moyenne de trois à quatre fois les pro­
grammes compilés par la version 1.3
(pour tout vous dire, j'ai même été obligé
de recoder certaines de mes oeuvres, trop
rapides une fois re-compilées par Amos
Pro !).
Les programmes compilés pourront soit
utiliser une bibliothèque de fonctions, la
nouvelle amos.library, soit être totalement
indépendants, au prix de 46 Ko supplé­
mentaires environ (un simple PRINT
"TOTO", une fois compilé, presque
presque 50 Ko I). C'est à mon avis le seul
reproche que l'on pourra faire à ce com­
pilateur, bien qu'il dispose d'une option
de compactage de l'éxécutablc final,
capable de réduire sa taille d’environ 30 à
4 0 % selon les ressources utilisées (com­
pactage évidemment sur disque, et non en
mémoire, NDLR).
Pour les sceptiques, des exemples sont
Il nous faut malgré tout préciser que cer­
NOUS AVONS
A IM E ...
La facilité d'utilisation et d'installation
La rapidité des éxecutables produits !
La
compatibilité
sur toutes
les
machines,
NOUS AURIONS
A IM E...
Des éxecutables un peu moins gros !
TE
2 I N , L 'A I
D E IV
u départ, ce logiciel a été développé
pour Videomedia qui commercialise un
des standards mondial de communication
entre appareils vidéo sous le label VLan.
C'est à travers ces boîtiers que 2ln commu­
nique vers les terminaux vidéo. Grâce aux
boîtiers VLan, le logiciel est directement
compatible avec tous les appareils supportés
par ce standard (généralement à travers une
liaison 422).
Les avantages sont certains dans le cas de
changement de matériel vidéo : vous
n'aurez qu'à changer le contenu des ROMs
de vos boîtiers.
VLan est un système qui travaille avec une
précision à l'image près, et qui peut se
connecter aussi bien sur PC que sur Amiga
ou Mac. De plus, les cartes AniMax (VLan
version carte interne) sont les mêmes pour
Amiga et PC.
A
21n fonctionne sur les Amiga 2000, 3000 ou
4000, à condition d'avoir le système 2.1
minimum. Le soft en lui même pèse 150 Ko
Ledit ist" en action
pour l'instant et 500 Ko de mémoire lui suttisent (1 Mo est cependant recommandé). En
fait, de la taille de l'image seule dépend la
quantité de mémoire nécessaire. Le logiciel
tourne sur un 2000 de base, mais pour le
report d'images, il est conseillé d'adjoindre
une carte accélératrice.
C O N F IG U R A T IO N
V ID E O
Il suffit de posséder un magnétoscope avec
un générateur de Time Code des standards
BVU et BETA, mais le programme fonc-
Le menu “Range"
tionne aussi sur tous les magnétoscopes
équipés de la prise remote 9 broches indis­
pensable à VLan. C'est le cas des nouveaux
SVHS SO N Y et |VC.
C O M M E N T CA
MARCHE?
2 ln se décline en 3 versions : la version
image/image qui convient en particilier aux
graphistes, la version C UT qui comprend le
montage eut et le report d'image, et enfin la
version ABRoll destinée au montage profes­
sionnel.
Le système est livré avec l'utilitaire ARexx
qui permet de gérer les communications
entre les différents programmes qui tour­
nent. A chaque sortie d'une nouvelle carte
graphique, l'équipe d'Atelier Numérique
crée le module du "viewer". Toute une série
de modules optionnels existent déjà pour
différentes cartes. Cela permet de ne pas
changer de carte graphique au moment de
l’acquisition du soft.
LE R E P O R T
D 'I M A G E
On sélectionne l'image et on la visualise
soit via un module ARexx qui va la gérer et
'afficher, soit l'on choisit le viewer adéquat
dans le menu préférences. Par défaut, la
durée utilisée est d'1 trame.
Dans le menu "range", toutes les fonctions
habituelles sont disponibles : durée, couper,
placer, coller, copier une image ou un
LITRE E D IT E U R
IO N T A G E
ensemble d'images. Toutes ces images ou
listes d'images ainsi que les index et la
gestion des cassettes sont sauvegardés.
Un "flag" (drapeau), outil très utile lors du
report d'images, se positionne dans la
liste devant chaque référence d'image.
Cette sorte d'astérix (surmonté d'un petit
"r" si l'image est enregistrée) se retrouve
aussi en face d'un ensemble d'images.
Une fois le report terminé, on pourra véri­
fier dans cette fenêtre si toutes les images
ont bien été enregistrées. On pourra au
besoin revenir, déselectionner une image
en cas de problème, etc.
Le principe du report d'image est simple :
2ln affiche l'image, lance le scope et va
se caler sur le bon Time Code. Une fois
prêt, il lance l'image pour une durée que
l'on
aura
déterminée.
Il
s'arrête,
recherche et affiche sans problème la
deuxième image et ainsi de suite. Il n'y a
rien à faire, on a vraiment le temps d'aller
boire un café sans se miner.
Le m e n u “N e tW o r k "
La version 1.04 de 2ln est pourvue d'une
fenêtre affichant le Time Code du magné­
toscope courant. L'avantage quand on fait
un report, c'est qu'on pourra savoir sur
quelle image se fait l’action. On connaîtra
le numéro de l'image dans la liste, la por­
tion enregistrée et la portion d'images res­
tant à enregistrer : en fait, c'est une sorte
de compteur, et à chaque report, on cal­
cule la durée que met le logiciel pour
faire le report de cette image. A partir de
là, on fait une évaluation totale du report,
ce qui permet à l'utilisateur de savoir le
temps que le programme mettra à tout
reporter (on sait donc que l'on dispose de
10, 20, voire 50 mn de temps libre devant
soi...). Cette moyenne est recalculée pour
écrite à la main, de réduire les marges
d'erreur.
Les plans (événements) peuvent être ajou­
tés, insérés, effacés, etc. Dans le menu
"Tag" (2ln emploie tous les termes de
montage existants), en cas de rajout ou de
suppression d'événement, de modifica­
tion, le "record Tag "va permettre de reca­
ler le Time Code du recorder et de la
source.
La fenêtre d e transition
On peut faire un tag sur plusieurs événe­
ments en même temps. Le menu "G o to"
permet d'aller directement à un temps
donné. Au clavier, les touches I et O per­
mettent d'aller directement au point “ In"
ou "Out".
chaque
image
en
heures-minutessecondes-frame.
Toutes les fonctions sont accessibles par
les menus déroulants, la souris, ou les rac­
courcis clavier.
LES P E T IT S O U T IL S
Le menu "NetW ork" (forme de patch vir­
tuel) affiche toutes les informations rela­
tives au réseau VLan : numéro de la ver­
sion du transmetteur VLan (le boîtier
central qui se trouve entre l'ordinateur et
les autres boîtiers VLan), les temps de
"préroll" et de "postroll". Les boîtiers Vlan
sont connectés en réseau. On peut avoir
jusqu'à 31 boîtiers connectés, piloter
jusqu'à 16 magnétoscopes et 15 autres
périphériques. Pour chaque boîtier du
réseau, on peut savoir quel est le type de
périphérique connecté (magnétoscope,
regie vidéo).
Tous les magnétoscopes sont orientés en
"Recorder" (lecteur) et sont permutables.
Devant chaque nom de scope, un petit
flag est surmonté d'un R (recorder) ou S
(source). L'Amiga apparaît aussi dans la
liste. Lors du chargement de cette liste, on
pourra toujours selon les régies, intervertir
les numéros dans le réseau.
On peut imprimer la liste affichant les dif­
férents points d’entrée et de sortie du
montage. Sur cette liste sont indiqués les
numéros des événements, le numéro du
magnétoscope, celui de la cassette utili­
sée, les pistes utilisées, les Time Code des
points d'entrées et de sorties de la source,
et idem pour l'enregistreur.
Imprimée, cette liste permettra au mon­
teur habitué à travailler avec une liste
TC Calculator : calculatrice de Time
Code. Si l'on veut faire des petits calculs
de Time Code, on y entre des valeurs en
U n Sh ell e t l'h o rlo g e sur l'écran d e 2 ln
heures-minutes-secondes-frame, et elles
sont automatiquement converties en
nombre d'images. Très utile notament
pour le graphiste qui veut connaître la
durée en images/temps d'un report.
LES P R E F E R E N C E S
Le format d'écran est totalement libre. Sur
un 4000, on peut ainsi avoir un écran en
DlbPalPal Entrelacé de 1000 pixels sur
1000 .
On peut se synchroniser soit avec le
recorder, soit avec le boîtier VLan, soit
enfin avec une source par défaut (Pal ou
NTSC).
Mode "Workbench" : un nouveau mode
accessible avec les nouveaux O S permet
un multi-fenêtrage intelligent, c'est-àdire que la fenêtre de 2ln est rendue
publique. Tous les programmes qui
s'affichent normalement sur l'écran du
Workbench, s'afficheront dorénavant sur
la fenêtre de 2ln. Cela évite tous les vaet-viens d'écrans inhérents au multi­
tâche.
LE M O N T A G E C U T
Soit on se cale sur l'image et on pose les
points "In " et "Out", soit on saisit direc­
tement les point d'entrée et de sortie au
vol. Ensuite sur l'enregistreur, on déter­
mine de la même manière les points
d'entrée et de sortie (touches "In" et
"Out"), ou bien l'on rentre manuelle­
ment leur valeur en temps. O n se fait
une pré-visualisation ("preview"), et on
lance l'enregistrement ("go"). Le magné­
toscope se met en marche puis se cale
au point d'entrée. Au temps déterminé
l'image s'affiche sur le recorder.
A la fin de chaque montage, 2ln génère
un rapport de montage. On sait donc
exactement ce qui s'est passé, la
moindre anomalie est signalée (synchro
décalée, perte de Time Code, déconnec­
tion sur le réseau, etc.).
2ln permet "l'Auto-Edit" : on va enregis­
trer le plan visualisé, le magnétoscope se
cale, édite le plan et enregistre sur le
recorder au temps voulu. Quand l'édi­
tion a eu lieu, on retrouve le petit flag
signalant que l'événement s'est bien
déroulé (performed).
A tout moment dans le montage, la
touche "escape” permet d'arrêter l'opé­
ration en cours, et à la fin du fichier, le
programme signale qu'il a subi à tel
moment un "abort” de l'utilisateur.
La fonction "Add" est utilisée pour ajou­
ter un événement à la suite d'un autre
événement. Par défaut le point, "In" se
place sur le point "O ut" du plan précé­
dent.
Comme on passe par une régie, on n'uti­
lise qu'un seul moniteur pour les deux
magnétoscopes. Quand on commute
entre la source et le recorder, on com­
mute également le monitoring automati­
quement grâce aux VLan.
On peut éditer les événements un par un
("auto cdit") ou tous ensemble avec, plusieur sources. Le réseau gère les diffé­
rentes sources, cale les images et les
édite en une seule passe.
L A V E R S IO N
ABROLL
Par rapport à la version image/image,
l'interface reste pratiquement la même,
si ce n'est une information supplémen­
taire qui correspond à la transition : une
icône correspondra à la représentation
de la transition.
Dans la version pro, on peut faire soit du
montage image par image, du montage
CUT et du pilotage de régie.
Cette version professionnelle permet la
gestion des transitions de montage. 21n
utilise la symbolique standard du métier,
ce qui lui permet donc d'être compris
par d'une autre régie.
Lors du montage entre 2 plans (issus
d'une même source ou non), on va se
placer sur l'événement 1 et activer la
fenêtre correspondant à la régie à la
transition. On choisit alors le type de
transition, par exemple une transition
CUT, un "disolve" (fondu) ou encore un
volet, et grâce au VLan, on peut rapide­
ment connaître les volets disponibles. Le
gros avantage par rapport à d'autres
tables de montage non graphiques, c'est
que les monteurs ont l'habitude d'avoir
sur papier une liste des symboles des
volets de transition. Sur 2ln, on clique
directement sur le volet désiré ou l'on
rentre son numéro "à la main". La durée
de transition est par défaut de 12 images
(qui correspond à un standard), mais on
peut la déterminer au choix.
Des options sont disponibles pour
chaque volet (volet reverse, bordure
souple, etc.).
LE B U S
D E T R A N S IT IO N
Le bus correspond à l'entrée vidéo sur
les régies. C'est là où sont connectées
toutes les sources. Chaque bus corres­
pond à une source. Lors d'une transition,
2ln se cale automatiquement sur le bus
de la source de l'événement suivant,
mais rien n'empêche de changer la
source. En fait, on fait des transitions sur
n'importe quel bus. En résumé, nous
avons des transitions "eut", fondu ou
volet, mais aussi des "auto-transitions",
c'est-à-dire que sur la régie, l'utilisateur
peut créer sa propre transition. Une fois
celle-ci effectuée, la source sera placée
en mode pause. O n détermine la durée
de la transition, on sélectionne le
module "auto transition" et lors de l'édi­
tion, 2ln exécute automatiquement la
transition effectuée par l'utilisateur.
2ln est interfacé avec I'IV 24, carte vidéo
qui permet de faire du "picture & picture". L'avantage de cette carte gra­
phique est de faire de la digitalisation
d'images ou de séquences. 2ln reconnaît
automatiquement
s'il
s'agit
d'une
séquence à grabber, détermine si L’IV24
est présente, va directement au point
d'entrée, lance le scope et shoote au
moment précis l'image à la volée. Il
s'arrête et recommence pour chaque
image de la séquence (pour une
séquence de 3 secondes, il va donc
"grabber" 75 images). Aujourd'hui, le
"grab" se fait à 2 images près, mais il
existe un projet d'interfaçage avec un
module C PI équipé d'une entrée de
Time Code, qui permettra le déclenche­
ment électronique au TC voulu, c'est-àdire que le digitaliseur recevra une
impulsion électronique et sera syn­
chrone à l'image près. ■
Tim Baud
LOGICIEL
TESTE
2ln 1.04.
et distribué par
lier Numérique,
public annoncés :
Version (mage par image : 2 990 F
Version "eut" : 4 990 F
Version "ABRoll" : 7 990 F.
E
Boîtier classique VLan : environ
7 000 F (compter un transmetteur par
périphérique). Les produits VLan sont
distribués par Ecoutez Voir.
NOUS AVONS
APPRECIE
La convivialité et la modularité de
'écran de travail (position et taille des
nêtres)
a facilité d’accès (souris, clavier,
menus)
Pas de limitation du nombre d'événe­
ments
La gestion de nombreux modules et
de périphériques vidéo
NOUS AURIONS
AIME
La possibilité d'utiliser d'autres digitaliseurs
Pouvoir associer du son numérique
qualité laser
Un prix plus accessible...
DKB 1 2 0 2 :
RAM 3 2 BITS
ET FPU P O U R LE 1 2 0 0
On ne compte plus
les cartes
d'extension internes
pour l'Amiga
1200... Chacun y va
de son petit bijou,
et, finalement, seul
le prix de vente
différencie
réellement une carte
donnée de ses
concurrentes.
n peui en fait classer toutes ces
cartes selon deux catégories. Dans
la première, on trouvera les cartes les
plus simples, celles qui "se contentent"
d'apporter de la mémoire supplémen­
taire, 32 bits de préférence, à l'unité
centrale, tandis que dans la seconde
catégorie, l'on rangera celles qui, en
plus de la mémoire, disposent d'un
micro-processeur plus puissant - le
68030 le plus souvent. Quelle que soit
la catégorie dans laquelle on les classe,
la plupart de ces cartes partagent sou­
vent des caractéristiques communes, à
savoir la présence d’une horloge tempsréel sauvegardée par batterie et d'un co­
processeur arithmétique 68881
ou
68882.
La DKB 1202 est l'oeuvre de la société
américaine DKB (étonnant, non ?), dont
les plus anciens d'entre vous se rappel­
lent peut-être certains produits célèbres
O
en leur temps : la carte MegAChip par
exemple, qui fut la première carte à pro­
poser une extension à 2 M o de mémoire
C H IP pour les A500 et A2000.
HAUTE
P R O T E C T IO N
Livrée dans une boîte cartonnée solide,
la DKB 1202 est protégée par un sachet
anti-statique enfermé entre deux pan­
neaux de mousse anti-chocs. Autant dire
qu'avec de telles mesures de sécurité, il
paraît très peu probable que la carte ne
souffre des délicatesses maladroites des
agents des P&T (nous précisons ceci à
l'attention des fanatiques de la vente par
correspondance...).
Comme d'habitude avec ce genre
d'extension, l'installation en est très
simple : il suffit de l'insérer dans la
trappe prévue à cet effet, sous le ventre
de l'unité centrale. A noter que bien
qu'elle soit AutoCont'ig, la quantité de
mémoire installée doit être correctement
paramétrée sur la carte par le biais de
jumpers.
M A G IC -M E M
La DKB 1202 comprend deux supports
pour barrettes de mémoire SlMMs, du
même type que celles qui équipent
l'Amiga 4000. Elle admet quatre possibi­
lités de peuplement : 1, 4, 5 ou 8 Mo.
Cependant, deux cas particuliers sont à
prendre en considération :
- Premièrement, si une barrette de 1 Mo
est utilisée (pour un peuplement total de
1 ou 5 Mo), celle-ci n'est pas automati­
quement reconnue par le système et doit
être rendue disponible via MagicMem,
un logiciel spécifique livré avec la carte.
- Deuxièmement, lorsque la carte est
peuplée de 8 Mo, les 4 Mo supérieurs
pourront poser des problèmes de com­
patibilité avec une éventuelle extension
PCMCIA. La solution proposée par DKB
consiste, encore une fois, à ne pas
déclarer
ces
4
derniers
mégas
AutoCont'ig, et à laisser MagicMem les
ajouter "intelligemment" au système : si
une carte PCMCIA est présente, seule la
mémoire qui n'entre pas en conflit avec
elle sera effectivement déclarée (évidem­
ment, si aucune carte PCMCIA n'est pré­
sente lors de l'initialisation, la totalité
des 8 Mo sera prise en compte).
C O -P R O
Question co-processeur, la DKB 1202
peut accepter un 68881 ou un 68882
cadencé à la même vitesse que le
68EC020 de l'Amiga 1200 (14,28 MHz,
NDLR), ou bien allant jusqu'à 40 MHz
en installant un oscillateur idoine (un
support est disponible à cet effet).
Bien que peu épais, le manuel d’installa­
tion de la DKB 1202 est parfaitement
clair et contient tous les renseignements
nécessaires à l'utilisation de la carte. La
version française est cours de finalisation
au moment où j'écris ces lignes, et
devrait être disponible au moment où
vous les lirez.
C O N C L U S IO N
Proposée à moins de 3000,00 F TTC en
version 4 Mo de RAM et co-processeur,
la DKB 1202 est un parfait investissement
pour tous ceux qui se sentent un peu
juste question mémoire. Elle représente
un excellent point de départ vers une uti­
lisation plus sérieuse de son A l 200.
Stéphane Schreiber
MATERIEL
TESTE
Carte DKB 1202.
4 Mo de RAM,
co-processeur
68881 à 16 MHz.
Importé par MAD, 42, rue Lamartine,
75009 Paris. Tel : (1 ) 48.78.11.65.
NOUS AVONS
APPRECIE
La solidité de l'emballage.
La simplicité générale de la carte.
La qualité du manuel d'utilisation.
NOUS AURIONS AIME
Rien de particulier ! La DKB 1202
possède toutes les qualités requises
pour ce type de carte.
ARTI
BLOCK
'e st la version 3.0 du logiciel que nous
avons testée, une version totalement
remaniée, si l'on en croit les nombreuses
publicités que son auteur, Pierre-Philippe
Launay, publie à droite, à gauche, et parfois
même au centre.
C
En tant qu'ancien utilisateur d'A.B.E, j'avais
particulièrement apprécié les premières
moutures, qui apportaient des options plus
que sympathiques, pour ne pas dire
uniques, par rapport à ses concurrents. Il
subsistait bien sûr quelques petites lour­
deurs, mais rien de bien grave, juste
quelques défauts de jeunesse, et j'espérais
très fort que la version 3.0 les corrigerait.
ASPECT G E N E R A L
Regardez attentivement les deux écrans, là,
quelque part dans ces pages. La figure 1
représente l'interface utilisateur d'A.B.E ver­
sion 2.1, tandis que la figure 2 représente
celle de la version 3.0. Le premier qui voit
une différence a gagné toute ma considéra­
tion : où est donc la "refonte complète" tant
annoncée ?
Au niveau des couleurs non plus, il n'y a
pas de changements marquants. Ca clignote
toujours dans tous les sens, avec plein de
petits bruitages sous prétexte d'une
meilleure compréhension. Mais personnel­
lement, je trouve que cela aurait tendance à
embrouiller
l'utilisateur
novice
plutôt
qu'autre chose.
Programmé en GFABasic, A.B.E ne partage
pas vraiment le "look and feel" du système
2.0. Les différents gadgets ont été créés "à la
main", sans passer par les routines dédiées
d'intuition. Cela permet certes de gagner un
peu de vitesse, mais sincèrement, on ne
peut pas dire qu'A.B.E respecte le "User
Interface Style Book" édité par Commodore
L'utilisation de certaines fonctions est tou­
jours un peu lourde, notamment en ce qui
concerne la modification des secteurs, où il
faut placer le pointeur de la souris sur l'octet
à modifier, appuyer sur la touche "Return",
puis enfin taper la nouvelle valeur. Un sys­
tème à la Disk-X (un domaine public de
Steve Tibett, NDLR), c'est-à-dire avec un
Figure 1
curseur géré au clavier ou à la souris, serait
sans doute autrement plus efficace et
convaincant.
On s'attendait à ce que cette nouvelle ver­
sion 3.0 propose un peu plus de fonctions
supplémentaires par rapport aux versions
précédentes. Or, à part la réparation auto­
matique des volumes abîmés (qui est tout de
même 1res, Irès intéressante !)... Il faut toute­
fois préciser que nous avios à notre disposi­
tion une version Béta, et qu'il est donc pos­
sible que de nouvelle fonctions ou
modifications soienl apportées.
P A S D 'A C C O R D !
L'un des points forts d'Artiodactyl Block
Editor par rapport à ses concurrents, est de
proposer une t'oultitude de fonctions inatten­
dues dans un tel logiciel. Pour ciler la publi­
cité : "craqueur d'images et de sons", "édi­
teur de textes", "convertisseur Ascii",
"chercheur de fichiers", "détecteur de
virus", etc.
Malheureusement, ces fonctions ne sont pas
"internes" à A.B.E ; le programme appelle
en fait des utilitaires du domaine public
pour réaliser les opérations citées : l'excel­
lent "A Z " de Jean-Michel Forgeas pour l'édi­
teur de textes, le non moins excellent
"MultiFinder" (de votre serviteur) pour la
ODACTYL
E D IT O R 3 . 0
recherche de fichiers, "NoiseRipper" pour
le craqueur d'images et de sons, etc., etc.
On pourrait en citer une bonne quin­
zaine.
L'un dans l'autre, un tel mode de fonc­
tionnement n'est pas foncièrement mau­
vais. Il permet par exemple de mettre à
jour ces utilitaires au fur et à mesure que
de nouvelles versions sont distribuées.
Cela dit, il faut savoir qu'en règle géné­
rale, les programmes du domaine public
ont un Copyright, qui empêche leur distri­
bution avec des produits du domaine
commercial. Nous ne doutons évidem­
ment pas que Pierre Philippe Launay ait
personnellement contacté tous les auteurs
des dits logiciels, pour obtenir l'autorisa­
tion écrite de les distribuer avec A.B.E...
LES B O N S C O TE S
Bon, fini de rouspéter, parlons des vraies
qualités de ce logiciel.
La première est déjà la compatibilité avec
tous les Amiga de la terre. Nous l'avons
testé sur plusieurs machines (dont un
CDTV !) avec des configurations diffé­
rentes et plus ou moins tordues, sans que
cela ne le dérange le moins du monde.
Une autre qualité est qu'il peut être confi­
guré dans plusieurs langues, dont bien sûr
le français (c'est tout de môme la moindre
des choses de la part d'un programmeur
français I). A ce propos, certaines per­
sonnes reprochaient à A.B.E de ne pas uti­
liser la "locale.library" (la bibliothèque
officielle de localisation des applications,
NDLR), mais il faut savoir qu'A.B.E est
compatible avec le Workbench 1.3, là où
il n'y à pas de locale.librarv.
L'installation sur disque dur est possible
grâce à un programme dédié. Et dans la
série bon plan, plutôt que d'expliquer le
pourquoi du comment face à certains pro­
blèmes que l'utilisateur pourrait rencon­
trer, l'auteur fournit carrément des images
montrant les différents écrans durant cer­
taines opérations (pratique !).
L'aide en ligne est toujours présente, qui
affiche continuellement un message
d'explication des différents boutons situés
sous le pointeur de la souris. Le logiciel
va même jusqu'à donner en temps vrai­
ment réel, des informations très utiles sur
les blocs du volume en cours d'édition, ce
qui permettra aux débutants d'éviter bien
des erreurs.
La version 3 d'A.B.E dispose également
d'un tuteur (genre Easy Amos), qui n'était
malheureusement pas encore implanté
dans la version Bêta, mais qui permettra
de tout savoir en direct sur ses multiples
fonctions.
Un autre point positif est i'accélération
globale du logiciel, qui est en moyenne
deux 5 trois fois plus rapide que
l'ancienne version.
Un dernier mot sur la documentation.
Alors là, chapeau ! Non, vraiment, cha­
peau : rarement documentation tut aussi
bien faite et plaisante à lire (je l’ai même
lue dans le train qui me ramenait chez
moi, rien que pour le plaisir II. De nom­
breuses petites notes d'humour viennent
décoincer l'utilisateur sur un sujet qui
peut à priori paraître difficile et rébarbatif.
Même les programmeurs y trouveront
conseils et astuces de tout poil !
Q U O I D 'A U T R E ?
La distribution d'A.B.E compte en tout
cinq disquettes. Outre le programme prin­
cipal et les fameux utilitaires du domaine
public (2 disquettes tout de même I), on
trouvera également une disquette de
sources pour les programmeurs en Amos,
C, assembleur el GfaBasic, avec entre
autres des exemples de programmation du
trackdisk.device, du timer.device, des
gadgets Intuition (à propos, merci d'avoir
diffusé ma routine...), ou encore de détec­
tion de la carte Nordic: Power.
C O N C L U S IO N
A.B.E est somme toute un bon logiciel,
qui pourra rendre de nombreux services à
tous ceux qui ont envie d'en savoir plus
sur la manière dont l'Amiga gère ses
disques. Son côté didactique unique le
pré-destine tout naturellement à un public
plutôt novice en la matière, mais les plus
calés y trouveront aussi leur compte.
Il pourra également, l'intention en est
d'ailleurs clairement affichée par son
auteur, être efficacement utilisé pour "ripper" graphismes et sons.
Dernier point et non le moindre, A.B.E.
trouvera toute son utilité dans les opéra­
tions courantes de réparation des volumes
endommagés.
Philippe Agnisola
NOUS AVONS
APPRECIE...
La documentation.
Le coté didactique
du soft.
NOUS
AURIONS A IM E ...
Une interface utilisateur enfin digne de
ce nom...
Une utilisation moins lourde.
Un prix un peu moins élevé, eu égard à
l'utilisation de logiciels du DP.
Que Pierre Philippe Launay accepte
enfin le mot "cliquer" au lieu de "cli­
queter" !
ENCORE PLU*
epuis Art Department première version,
IA SD C n'a cessé d'apporter des amélio­
rations à son logiciel pour le rendre toujours
plus performant et le hisser à une des pre­
mières places des programmes de traitement
et de communication d'images sur Amiga.
ADPro, pour ceux qui ne connaissent pas
encore, est un processeur d'images, c'est-àdire qu'il charge, traite, convertit et sauve
les formats d'image les plus en usage dans
les univers Amiga, Mac et PC.
Il commande directement un grand nombre
de digitaliseurs et cartes graphiques. Par
exemple, avec le couple VLab et Retina de
Macrosystem, on capture directement dans
ADPro en temps réel une image vidéo 24
bits qui s'affiche sur la carte graphique.
Ainsi, ADPro se transforme en un panneau
de contrôle d'une vraie station graphique.
D
V U E E X T E R IE U R E
faire le point sur
ce logiciel
devenu
incontournable
pour les
professionnels
de lim age
travaillant sur
Le menu est excessivement simple d'accès
et d'usage. Du chargement à la sauvegarde
en passant par le traitement ou le transfert,
un compteur façon vu-mètre apparaît visua­
lisant ainsi la progression de l'éxecution.
Outre les contrôles de couleur et d'écran,
ADPro possède 3 sous-menus : "image operator", "save" et "load" (voir croquis cicontre).
Les "loaders" : en cliquant sur le bouton
"Load", une liste de modules apparaît.
Choississez celui qui correspond au format
d'image que vous voulez charger. Si vous
ne connaissez pas le format ou si vous avez
la flemme de le sélectionner pour chaque
nouvelle image, le module "Universal" sera
parfait : il reconnaît automatiquement le for­
mat de l'image avant de la charger. Sur une
machine rapide, cet automatisme ne perd
pas en vitesse d'exécution.
Amiga.
F ig u re 2 : Le p a n n e a u d e c o n trô le
La version 2.3 est encore plus rapide que la
précédente, et offre de nouveaux loaders :
"FrameStore" qui permet de charger et de
traiter des images issues du VideoToaster ;
"DPaint", qui permet à ceux ayant DPaint4
A G A de transférer directement dans ADPro
des images ou des animations.
Une partie de ces modules porte le nom de
digitaliseurs fonctionnant sur Amiga : IV24,
OpalVision, FrameGrabber, VLab, etc. Ils
permettent de digitaliser directement à partir
d’ADPro (à condition d'être équipé du hard­
ware correspondant !).
Les "operators" : une importante liste d'opé­
rateurs permet de retravailler l'image, ce qui
va de la simple tentative d'amélioration du
rendu (large choix de dithering) aux effets
les plus violents. Toutes les folies sont per­
mises.
Le nouvel operator "Antique" donne à
l'image un rendu sépia. Les figures ci-contre
donnent une idée de certains effets.
Les "savers" : un choix très étendu de
modes de sauvegarde permet bien sûr une
sauvegarde dans ADPro, mais aussi de sau­
ver le travail dans un format différent de
Operators
Loaders---- »
F ig u re
I :
Art Department
Professional
S ch ém a d e fo n c tio n n e m e n t d e s o p é ra te u rs
•—Savers
RO 2 .3 s
i INDISPENSABLE !
celui sous lequel il a été chargé, ou
encore de passer d'un logiciel à un autre,
voire sur une machine utilisant un autre
format. Ces modules seront très utiles
lorsqu’il faudra confier des images Y U V à
un flasheur n'acceptant que du RVB, par
exemple...
Parmi ces modules, on retrouve toute une
liste de cartes graphiques fonctionnant sur
Amiga. Elles permettent d'afficher les
images chargées directement à partir
d'ADPro à condition bien entendu d'être
équipé
d'un
de
ces
hardwares
(OpalVision, CBM A2410, C V P IV24,
Arlequin, Mimetics FrameBuffer, DCTV,
FC 24, Retina, etc.).
Les nouveaux modules implantés sont
F ig u re J : L 'e ffe t "C o lja p s e "
"DPaint" (facilité d'échange d'image entre
DPaint et ADPro) et "FrameStore" (sauve­
garde au format VideoToaster).
Outre le programme FRed (programme
d'animation 24 bits), l'utilitaire Splil/ &
Join^r (qui solutionne le problème rencon­
tre lorsqu'on a besoin de transférer des
images trop "grosses" pour une seule dis­
quette) et l'interfaçage ARexx, un nouvel
utilitaire est intégré au logiciel. Il s'agit de
File Sentry, qui est une sorte de contrôleur
automatique d'images.
De plus, A SD C commercialise séparémment à ADpro, toute une série de logiciels
périphériques :
- TRexx Protéssional : une liste de scripts
ARexx permettant de faire fonctionner
ensemble le VideoToaster et ADPro
(réservé, hélas, au standard NTSC) ;
- Professionnal Conversion Pack : un
ensemble de modules "loaders" et
"savers" orientés vers les stations gra­
phiques professionnelles des mondes
IBM, SU N et Mac (TIFF, TARCA etc...).
l'équipement des flasheurs et impri­
meurs...
Nous l'avons utilisé sur un A l 200 équipé
d'un disque dur et de mémoire suffisante,
et les résultats nous ont étonné : les algo­
rithmes doivent être bons, car les temps
de calcul sur cette machine restent accep­
tables. Testé ensuite sur un A3000 et sur
un A2Q00 équipé de la carte Zeus 68040,
d'un disque SCSI 2 et de 20 Mo de
mémoire, disparition totale des temps de
latence.
F ig u re 4 : L e ffe t " T w ir i"
Des drivers de scanners (Epson, HP
Scanjet, Sharp), des utilitaires pour impri­
mantes 24 bits couleur viennent complé­
ter la panoplie d’outils d’acquisition
d'images d'ADPro ;
- ADPro Laser Graphie : un driver de sor­
tie vers l'imprimante professionnelle
"Laser Graphie" ;
- ADPro Polaroid CI-3000/CI-5000 : un
driver qui permet de t'Iasher des images
ADPro sur les appareils Polaroid Cl 3000
et 5000 ;
- ADPro Abekas : un driver qui permet à
ADPro d'enregistrer dans le format du
magnétophone numérique Abekas.
- Et le dernier né, Pro Control, réservé uni­
quement à la version 2.3, permet de réali­
ser très facilement
des séquences
d'images en automatique ou non ; un peu
l'équivalent du couple Fred et ARexx,
mais en plus convivial, ce qui en fait l'un
des
seuls
programmes
d'animation
d'images vidéo 24 bits sur Amiga.
O N CONSTATE
Avec ADPro, nous avons chargé beau­
coup d'images issues aussi bien de
DigiVicw, du DCTV, de l'AVideo 24 que
de VLab. ADPro nous a permis de sauver
ces images dans des formats plus que
légaux afin de pouvoir les retravailler
dans DPaint A G A et TruePaint.
Il ne dégrade aucunement les possibilités
et particularités des programmes qu'il
supporte (voir les possibilités de VLab
interne à ADPro). C'est un des rares logi­
ciels sur Amiga dont on peut observer la
réelle capacité d'exportation vers les
mondes PC ou Mac. On peut espérer et
souhaiter qu'il fasse rapidement partie de
F ig u re 5 : L 'e ffe t “ R o tù te "
C O N C L U S IO N
De par ses capacités à résoudre bon
nombre de casse-têtes, ADPro a su se
rendre passerelle indispensable pour tous
les utilisateurs de programmes graphiques
sur Amiga qui doivent communiquer avec
le monde professionnel de l'image. ■
LOGICIEL
TESTE
Art Department
Protéssional version 2.3 (merci à MAD
pour le prêt du logiciel).
Prix annoncé : 1 700 F.
NOUS AVONS
APPRECIE
Son efficacité militaire !
NOUS AURIONS AIME
Une présentation moins militaire !
—
SCANNE
e succès de Oigiview est là pour le
confirmer. Les excellents scanners à plat
A4 couleur 24 bits n’ctaient pas à la portée
du premier portefeuille venu et les rares
scanners à main ne possédaient pas de dri­
ver logiciel performant sur Amiga.
Le scanner à main AlfaColor de la société
allemande AlfaData, maintenant disponible
en France, vient combler le vide existant en
offrant une solution couleur intéressante
pour les utilisateurs n'ayant pas de besoins
professionnels.
L
Ç'Ifeîft
"■
'
pas
systemotiquenîertf
par un choix
important :
caméra ou
scanner ? ta
première
solution était,
jusqu'à
maintenant,
souvent choisie
La conception matérielle, bien que simple,
est originale : d'une interface de la taille
d'un drive partent deux câbles qui se bran­
chent l’un sur le connecteur parallèle,
l'autre sur le connecteur du lecteur de dis­
quettes externe. Le premier pour la digitali­
sation proprement dite et le second pour ali­
menter le scanner directement depuis
l'Amiga. On évite ainsi une énième alimen­
tation électrique supplémentaire. Il faut
noter aussi la présence d'un connecteur
parallèle sur l'interface et d'un "Pass
Trough" sur le connecteur du lecteur
externe. Il nous est donc possible de bran­
cher une fois pour toute notre imprimante
(ou tout autre périphérique parallèle) et un
deuxième lecteur de disquette, ce qui est à
terme un gage de fiabilité. Un interrupteur
permet de passer du scanner à l'imprimante.
C'est d'ailleurs le seul bouton que l'on trou­
vera sur l'interface, les autres étant directe­
ment sur le scanner.
Les caractéristiques du scanner sont com­
plètes et tiennent compte des modes gra­
phiques AGA. On peut ainsi l'utiliser en
4096 couleurs (ou 16 niveaux de gris) sur
l’ancienne gamme Amiga ou en Ham8 (ou
64 niveaux de gris) sur la nouvelle. La réso­
lution varie, quant à elle, de 100 à 400 dpi
théoriques.
A M oCoior
2 M K - C o lO f H o w d l C B W » w ilo > A m < o o
Scanner A g h c o lo r
Toutes les sélections se font par des boutons
présents sur le scanner lui-même. O n choi­
sira ainsi le mode graphique parmi les
quatres disponibles : Super Color (262144
couleurs), Color Cray (4096 couleurs).
Monochrome
Gray (16 ou 64 nuances
de gris) ou D/T (Dithcred ou Text)
3 /4
1 /2
S u p e r C o lo r
2 0 0 dpi
150 dpi
100 dpi
5 0 dpi
C o lo r C r a y
2 0 0 dpi
1 5 0 dpi
1 0 0 dpi
5 0 dpi
M o n o c h ro m e
4 0 0 dpi
3 0 0 dpi
2 0 0 dpi
1 0 0 dpi
D /T
4 0 0 dpi
3 0 0 dpi
2 0 0 dpi
1 0 0 dpi
pour un
ki|^ ^ à n e d
1 /4
1
R D E R I E N ..*
On réglera de la même manière la lumi­
nosité et la résolution de scannérisation.
Celle-ci varie selon le mode graphique
choisi. Le petit tableau suivant récapitule
ce qui est possible d'espérer.
L'installation du logiciel ne pose pas de
problème particulier. Il suffit de déplacer
l’icône du programme dans le tiroir
désiré. Il fonctionne parfaitement en mul­
titâche et nécessite un Worbench 1.3, 2.0
ou 3.0. Les principaux paramètres étant
choisis directement au scanner, le logiciel
est très simple et se contente d'afficher les
options sélectionnées par l'utilisateur. Les
autres possibilités sont évidentes : sauve­
garde et chargement d'un fichier, affi­
chage d’une image et d'une vue générale
réduite si cette dernière dépasse la taille
de l'écran. On ne peut faire moins...
L'utilisation concrète me faisait un peu
peur, car il n'est guère évident de dépla­
cer le scanner de manière lente et régu­
lière. Ici, un ingénieux système nommé
"O ver Speed Buzzer" vous rappelle à
l'ordre si vous allez trop vite dans votre
balayage du document. Avec un peu
d'entrainement et l'aide de l'OSB, on
arrive à une régularité suffisante de notre
mouvement. C'est un atout non négli­
geable.
Après avoir indiqué au péalable la taille
désirée de numérisation, il suffit de dépla­
cer le scanner sur le document en
appuyant sur un gros bouton central. Le
programme permet l'affichage en temps
réel de l'image numérisée. Cette
option est obtenue au prix d'un
ralentissement général de travail.
Négligeable sur un Amiga accé­
léré. cette baisse de performance
pourra nécessiter de déconnec­
ter l'affichage temps réel sur des
machines plus modestes.
Pas beaucoup d'autre chose à
dire tellement l'utilisation est
simple et instinctive. L'impres­
sion générale est bonne. On
aurait aimé, bien entendu, quelques pos­
sibilités supplémentaires comme des et'fels
sur l'image, le réglage des paramètres
directement à la souris, des formats de
sauvegarde plus nombreux, etc... Mais, en
fait, rien de bien méchant. Il ne faut pas
trop demander au logiciel el d'autres se
chargent très bien de ces tâches. Ce scan­
ner fonctionne très correctement et, après
tout, c'est là l'essentiel...■
MATERIEL
TESTE
Scanner à main
AltaColor. Distibué par
Intercomputing et Innelec.
NOUS AVONS
APPRECIE
La simplicité d'utilisation
La qualité des scans obtenus
Le mode "Over Speed Buzzer"
NOUS AURIONS AIME
Un logiciel de dessin plus élaboré
DSS 8
P O U R UN SO N
TR A N SPA R EN T...
A l'heure des DSP,
cartes Proteus et
autres digitalisées
12, 14 et 16 bits sur
Amiga, il est bon de
rappeler de temps
en temps qu'il existe
d'excellents
packages 8 bits qui
donnent entière
satisfaction. La
nouvelle version de
Digital Sound Studio
de GVP, francisée et
distribuée par CIS,
nous en donne
l'occasion.
e package, apparu sur le marché il y
a un peu plus de deux ans, se parti­
cularisait notamment par le fait qu’il
possédait un "tracker" performant (avec,
entre autres, le nom des notes en fran­
çais, ce qui changeait des A, B, C, etc...).
Cependant, comme beaucoup d'autres
digitaliseurs (à l'exception du package
"Sound Master" d'Aegis), le système
péchait par l'absence de réglage d'Input,
ce qui obligeait évidemment l'utilisateur
à effectuer de très nombreux essais
d'enregistrement avant de trouver le bon
rapport entrée/numérisation.
Une deuxième version a donc été pro­
posée, il y a une petite année ; les modi­
fications concernaient alors essentielle­
C
ment le boîtier de digitalisation, qui
voyait l'apparition de deux potentio­
mètres rotatifs ainsi que de deux diodes
témoins d'overload. Les choses com­
mençaient à s'améliorer et les rappeurs
et autres sound technos en herbe ont pu
commencer à vraiment s'amuser!
Afin d'optimiser encore ce produit, GVP
et CIS se sont remis au travail. Sur les
directives de l'importateur français, le
constructeur américain propose mainte­
nant une interface encore plus perfor­
mante grâce à la mise en oeuvre de nou­
veaux composants {l'électronique est
beaucoup moins sensible aux parasites)
et, ce qui ne gâte rien, vraiment très
esthétique quoiqu'un peut "gadget",
puisqu'elle est conditionnée dans un
boîtier entièrement transparent !
Potentiomètres et diodes ont disparu, le
niveau du gain étant à présent contrôlé
directement depuis le soft. Par contre,
apparition très remarquée d'une entrée
microphone et de deux vis de fixation
très pratiques.
I e reproche que l'on peut taire d'emblée
à cette interface est sa taille, car elle est
à peu près une fois et demie plus grande
que les modèles antérieurs... Pourquoi,
dans ces conditions, ne pas l'avoir cou­
dée comme c'était jadis le cas pour
l'interface de "Perfect Sound", par
exemple ?
Côté soft, les deux sociétés ont égale­
ment beaucoup travaillé et les (bonnes)
surprises sont ici encore plus nom­
breuses : vous pourrez, par exemple,
régler le gain d'entrée des deux canaux
sur pas moins de 256 niveaux, ce qui est
vraiment considérable ! A vous enfin la
possibilité de ciseler véritablement vos
digits... L'option "Auto" vous permet,
d'un autre côté, de laisser ce soin au
programme
lui-même,
mais
vous
n’aurez de bons résultats que si le signal
est à peu près de niveau égal.
Vous pourrez dorénavant paramétrer le
filtre passe-bas (celui qui coupe la Led
"Power", vous savez.,.) de 1 à 25 KHz
afin d'optimiser encore vos samples, et
vous pourrez enfin mixer automatique­
ment vos deux voies stéréo (pour en
faire une réduction mono, par exemple)
ou bien, si nécessaire, mélanger deux
sources sonores distinctes.
En complément, DSS 8+ est livré avec
deux utilitaires résidents : "GVPsampCtrl"
qui peut être appelé depuis n'importe
quelle application et qui permet de
contrôler manuellement les réglages du
hard, et "DSSRexx" qui permettra de
faire de même via ARexx.
Vous trouverez également dans ce pac­
kage décidément bien fourni, une dis­
quette contenant un certain nombre
d'échantillons, dont certains du plus bel
effet : "splash" qui n'est pas mal du tout
et surtout "Eggbreaking" que je ne peux
pas m'empêcher de trouver vraiment très
réjouissant...
Pour finir, un autre utilitaire vous est
proposé lequel vous permettra de lancer
un ou même plusieurs samples depuis
une fenêtre Shell : A vous les startupsequences vraiment personnalisées...
Côté installation sur disque dur, la pro­
cédure a été simplifiée à l'extrême, le
programme intégrant dorénavant l'utili­
taire
standard du
constructeur
:
"Installer".
Que dire d'autre, si ce n’est que le reste
du programme conserve bien évidem­
ment les atouts de la précédente version,
décrite en son temps dans nos
colonnes... ■
Tonton Antoine
MATERIEL
TESTE
Pré-version de
démonstration de
Digital Sound Studio 8+.
Importé et francisé par CIS.
NOUS AVONS
APPRECIE
! I
: look très "design" de l'interface.
Les 256 niveaux d'entrée
La qualité des échantillons obtenus
Les échantillons de démonstration !
NOUS AURIONS
AIME
Une interface moins imposante I
M EM O R Y M ASTER
1200 :
A CONTRE-COURANT !
echniquement, la différence est qua­
siment inexistante. Quant à l'utilisa­
teur final (oui, oui, c'est bien de vous
dont on parle), il ne s'apercevra non plus
de rien, du moins jusqu'à ce qu'il essaie
d'augmenter la quantité de mémoire ins­
tallée sur sa Memory Master : il décou­
vrira en effet rapidement que les DRAMs
sont légèrement plus faciles à trouver
que les SIMMs (surtout en ces temps dif­
ficiles de pénurie de mémoire) et parfois
moins chères. Mais l'on n'a rien sans
rien, et les DRAMs sont aussi beaucoup
plus délicates à monter que les barrettes
SIMMs, cette opération devant être lais­
sée aux bons soins d'un professionnel.
T
Dans le monde
impitoyable des cartes
d'extension mémoire
pour l'Am iga 1200,
l'allem and BSC
Büroautomation AG
prend tout le monde à
contre-pied de la lettre
: alors que la grande
mode du moment
impose l'utilisation de
barrettes SIMMs, BSC a
plutôt opté pour des
DRAMs 32 bits...
MATERIEL
TESTE
Memory Master 1200
équipée d'1 Mo et
d'un 68882 à 25 MH;..
Importe par M AD. 42, rue Lamartine,
75009 Paris. Tel : (1148.78.1 1.65.
NOUS AVONS AIME
L'ensemble du produit, propre, simple et
efficace tach I das ist la rigueur teutone...)
NOUS AURIONS
APPRECIE
Plus de
configurations
(2 Mo, par exemple).
possibles
1, 5 OU 9 M O
Déjà équipée d'1 Mo de mémoire en
standard (mémoire qui peut être désacti­
vée par jumper), la Memory Master peut
être équipée de 4 ou 8 Mo de RAM sup­
plémentaire, en utilisant respectivement
8 ou 16 puces de 4 mégabits. Il est donc
impossible d'opter pour des configura­
tions intermédiaires, telles que 2 ou 6
Mo.
P C M C IA
Les plus perspicaces d'entre vous auront
tout de suite calculé qu’avec une
Memory Master équipée de 9 Mo, la
mémoire disponible dans l'A ï 200 passe
à 11 Mo au total, ce qui devrait être suf­
fisant pour la plupart des opérations !
Cependant, dans cette même configura­
tion, la Memory Master n'échappe pas
au conflit possible avec une éventuelle
extension PCMCIA. Les 4 Mo supérieurs
doivent dans ce cas être activés par logi­
ciel, depuis la Startup-Sequence ou le
répertoire WBStartup (voir l'encadré en
fin d'article).
HORLOGE,
F P U , ETC.
D'un autre côté, et de manière parfaite­
ment classique cette fois, le Memory
Master 1200 offre l'inévitable horloge
temps-réel sauvegardée par batterie, et
l'indispensable support pour co-processeur mathématique, un oscillateur pou­
vant aller jusqu'à 50 M Hz étant égale­
ment installable.
Le manuel mis à notre disposition élail
parfaitement clair et précis concernant
l'utilisation de cette carie, même s'il est
parfois alarmiste : la phrase "attention,
ceci peut détruire votre Amiga" y est
présente au moins trois fois ! A noter
que nous n'avons pu disposer que du
manuel original, en allemand et en
anglais, mais que la version française
devrait être disponible lorsque vous lirez
ces lignes.
Stéphane Schreiber
C O N F L IT P C M C IA
D e p u is le te m p s q u e n o u s te s to n s p o u r v o u s
d e s c a rte s d 'e x te n s io n p o u r |'A 1 2 0 0 , i l e s t
s o u v e n t ( a il ré fé re n c e à " t i n p o s s ib le c o n f lit
a v e c le p o r l P C M C I A " , e t c e r ta in s p a r m i v o u s
s o n t e n d r o it d e s e d e m a n d e r p o u r q u o i u n te l
c o n f lit e x is te .
L e p r o b lè m e p r o v ie n t d u p o rt P C M C IA lu im ê m e , e t n o n rie s c a rte s d 'e x te n s io n . C e lu i- c i
e s t e n e ffe t s itu é a l'a d re s s e $ 6 0 0 0 0 0 . c 'e s t-à d ir e à p a r t ir d u s ix iè m e m é g a -o c te t d e
m é m o ir e . L 'A m ig a 1 2 0 0 é ta n t é q u ip é d e 2
M o e n s ta n d a r d , o n s e re n d ra p id e m e n t
c o m p te q u 'u n e e x te n s io n d e p lu s d e 4 M o
" c h e v a u c h e r a " l'e s p a c e m é m o ir e ré s e rv é a u
p o r t P C M C IA .
L e s s o lu tio n s ? C lle s e x is te n t, c o m m e d is a it le
r e g re tté P ie r r e D e s p ro g e s . P lu s ie u r s c a rte s
( d o n t la D K B 1 2 0 2 e t la M e m o r y M a s te r 1 2 0 0
te s té e s d a n s c e n u m é r o d 'A m ig a R e v u e ,
N D I K l d is p o s e n t d e la p o s s ib ilité d e n 'u t ilis e r
la m é m o ir e s u s c e p tib le d 'e n tr e r e n c o n f lit ,
q u e s i a u c u n e e x te n s io n P C M C IA n 'e s t p ré ­
s e n te lo r s d e l'in itia lis a tio n d e l'o r d in a te u r .
C 'e s t u n e s o lu tio n p a r fa ite m e n t h o n o r a b le , si
l'o n c o n s id è r e p e u p ro b a b le le f a it q u 'u n e
t e lle e x te n s io n d o it in s é ré e a p rè s le p ro c e s s u s
d e b o o t.
C e p e n d a n t u n te l c a s p e u t s e p r o d u ir e ic 'e s l
d ’ a ille u r s le p r o p r e d u s ta n d a rd P C M C IA q u e
d e l'a u to r is e r ) , le m e ille u r e x e m p le c o n c re t
e n é ta n t l'A m iQ u e s t , te s té q u e lq u e p a rt d a n s
c e tte re v u e . C 'e s t p o u r q u o i d 'a u tre s c a r te s n e
d é c la r e n t ja m a is la m é m o ir e c o m m e
A u to C o n fig , e t p ré fè re n t la is s e r u n lo g ic ie l
s p é c ifiq u e l'a jo u te r a u d e là d e l'e s p a c e u tilis é
p a r le p o r t P C M C IA .
M a is o n n ’ a r ie n s a n s r ie n , e t u n t e l lo g ic ie l
n e p e u t in t e r v e n ir q u 'a u m o m e n t d e l'e x é c u ­
t io n d e la S ta rtu p - S e q u e n c e . C n d 'a u tre s
te rm e s , la m é m o ir e in s ta llé e s u r u n e te lle
c a r te n e p o u r r a p a s ê tr e u tilis é e p a r le s je u x
e t a u tr e s d é m o s .
B
AJV
LE DISOUE
ar en théorie, le standard PCMCIA est
sensé n ôtre limité que par l'imagination
des concepteurs d'extensions pour micro­
ordinateurs. Entre autres avantages, il est
multi-plateforme, c'est-à-dire qu'une carte
PCMCIA ne sera pas conçue pour une
machine cible particulière, mais sera au
contraire compatible, tout du moins au
niveau hardware, avec tous les systèmes
comprenant un port PCMCIA. Question
logiciel, il faudra bien entendu écrire une
version propre à chaque micro-processeur
et à chaque système d'exploitation. M'enfin,
un grand pas vers la standardisation des
architectures matérielles à été entrepris.
C'est
donc
tout
naturellement
que
Commodore, toujours à la pointe de l'inno­
vation technologique, a décidé d'implémenler le standard PCMCIA dans sa gamme
Amiga. Une implémentation toutefois assez
timide, puisque limitée aux seules machines
du bas de gamme, à savoir l'Amiga 600 et
l'Amiga 1200. Le haut de gamme, repré­
senté par l'Amiga 4000, n'est pour l’instant
pas concerné.
C
ARCHOS
avaient certes
déjà fait leur
apparition, mais
le standard
autorise
d'autres types
de
périphériques
autrement plus
complexes.
Comme un
disque dur
De son côté, Archos. une société française
bien de chez nous, s'est tout de suite inté­
ressé à ce standard. Il est à noter qu'Archos
est l une des rares sociétés de conception de
matériels pour l'Amiga, sinon la seule. Elle
développe elle-même ses produits, dont le
lleuron, la carte graphique AVideo, a connu
un immense succès.
L'idée qui a présidé à la conception de
l'AmiQuest est somme toute assez simple,
mais ne dit-on pas que les idées les plus
simples sont souvent les meilleures ? Il
s'agissait d’utiliser le port PCMCIA pour
interfacer un disque dur amovible, c'est-àdire pouvant être "débranché" à tout
moment, tout comme l'on relire une dis­
quette d'un lecteur.
Ce type de lecteurs amovibles était jusqu'à
maintenant réservé au standard SCSI (une
autre tentative de standardisation de l'archi­
tecture matérielle des ordinateurs, NDLR).
dont le représentant le plus connu en la
matière est sans conteste le lecteur de car­
touches SyQuest. L'on notera au passage le
clin d'oeil astucieux dans la dénomination
du produit...
A M IQ U E S T
L'AmiQuest se présente sous la forme d'une
petit boîtier (ses dimensions dépassent à
peine celles d’une boîte de 10 disquettes)
venant s'enticher sur le côté gauche de
l'ordinateur. Il suffit de l'insérer dans le port
PCMCIA pour qu'aussitôt l'icône de chaque
partition du disque dur vienne s'afficher sur
l'écran du Workbench.
L'AmiQuest est également autoboot, c'est-àdire qu’il peut servir à initialiser ("booter")
l'Amiga. Dans tous les cas de figure, il est
parfaitement compatible avec un éventuel
disque dur déjà installé dans la machine, et
peut évidemment être inhibé par l'intermé­
diaire du Boot-Menu, pour ainsi devenir
totalement transparent pour les démos et
autres jeux.
L'AmiQuest que nous avons testé était
équipé d’un disque dur AT/IDE 2,5 pouces
de 40 Mo, mais bien entendu, d'autres
configurations d'une capacité plus impor­
tante existent.
Pourquoi un disque de 2,5 pouces ? Tout
simplement pour des raisons d'alimentation
électrique du matériel : celle allouée par
Commodore pour le port PCMCIA est ainsi
amplement suffisante. Archos travaille
actuellemeni sur un projet d'AmiQuest en
3,5 pouces dont nous avons pu voir une
pré-version équipée d'un disque Conner de
105 Mo !
S IM P L E C O M M E
BO NJO UR
La grande force de l'AmiQuest est d'être
d'une utilisation réellement aussi simple que
s'il s'agissait d'un bête lecteur de disquettes.
Qu'il ait ou non été utilisé comme disque
système, il est totalement compatible avec
l'A m ig aD O S, à tel point d'ailleurs
qu'HDToolBox, l’utilitaire de partionnement
et de préparation des disques durs fourni par
Commodore,
peut
être
utilisé
avec
l'AmiQuest.
R A P ID E
Personnellement, je n'ai jamais été un fan
des comparatifs de vitesses entre disques
durs, j'ai en effet la désagréable manie de
considérer qu’une seconde de plus ou de
moins pour charger un
logiciel
tel
qu Excellence! 3 ou SuperBase Professional. ne
valait finalement pas la peine que l'on
s'attarde sur des détails aussi bassement com­
merciaux, Qu'est-ce qu'une seconde, lorsque
l'on sait à l'avance que l'on va travailler pen­
dant plusieurs heures avec ce logiciel ?
Pourtant, devant les performances annoncées
par Archos. je n'ai pu m'empêcher de vérifier
tout cela de moi-même, je vous épargnerai
cependant les chiffres, auxquels on fait tou­
LIQUEST :
DUR AMOVIBLE
jours dire ce que l'on veut, pour me
contenter de confirmer qu'effectivement,
l'AmiQuest est très rapide, presque
qu'autant que ce que l'on peut obtenir du
disque dur interne de l'A40ÛÛ/40 :
DiskSpeed annonce un taux de transfert
oscillant entre 700 000 et 800 000 octets
par seconde (l'une des particularités de ce
logiciel est de ne jamais donner le même
résultat deux fois de suite, NDLR).
B O N A S A V O IR
Il peut être judicieux de rappeler qu'utilisant
le port PCMCIA, l'AmiQuest pourra s'avérer
incompatible avec certaines extensions de
mémoire. Ceci n’est pas du à Archos, mais
bel et bien à l'Amiga lui-même : au delà de
6 Mo de RAM installés dans la machine (en
ce qui concerne le 1200, il s'agit bien sûr
des 2 Mo d'origine plus une extension de 4
Mo, NDLR), un conflit d'adressage existe
entre la mémoire et le port PCMCIA. Même
si les extensions les plus intelligentes propo­
sent une option de désactivation de la
mémoire conflictuelle, vérifiez soigneuse­
ment votre configuration afin d'éviter tout
problème.
se rend rapidement compte de tout le
confort d utilisation que cela peut appor­
ter dans son travail quotidien.
D'abord, il s'agit là du meilleur moyen
d'échanger des données : finis les longs
backups. il suffit dorénavant d'emmener
son disque dur chez son petit copain.
Ensuite,
l'utilisation
cle
plusieurs
AmiQuest (au prix annoncé par Archos,
ce serait bête de se limiter à une seule
unité !) permet de rationaliser son travail.
On peut ainsi consacrer une unité à la
PAO, une autre au Ray-Tracing. tandis
qu'une troisième pourrait servir au stoc­
kage des utilitaires du domaine public.
Cette approche sera particulièrement effi­
cace si un disque dur interne est utilisé
comme disque système. Car n'oublions
pas qu'il est totalement inutile et superflu
d'éteindre l'Amiga avant d'insérer ou
d’enlever l'AmiQuest. Il se comporte vrai­
ment comme un lecteur de floopy-disks !
N'hésitons pas à le dire, l’AmiQuest ouvre
de nouvelles perspectives particulièrement
intéressantes. On ne pourra finalement
regretter qu'une seule chose, hélas indé­
pendante d'Archos : que son utilisation
reste impossible sur un Amiga 4000. ■
MATERIEL
TESTE
AmiQuest 2,5" 40 Mo.
Testé sur Amiga 1200.
Prix public annoncés : de 1 790 F TTC
en 40 Mo à 2 990 F TTC en 200 Mo.
NOUS AVONS
APPRECIE
Les dimensions très réduites de l'appa­
reil.
L'amovibilité du système, base même
de sa conception.
La possibilité de l'utiliser en AutoBoot.
La
compatibilité
totale
avec
Amiga DOS.
La compatibilité totale avec un éven­
tuel disque dur interne.
Les performances impressionnantes.
NOUS AURIONS AIME
Le garder...
Q U E L IN T E R E T ?
L'intérêt d'un disque dur amovible n'est
peut-être pas évident pour tout le
monde... Mais en y réfléchissant bien, on
Stéphane Schreiber
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4 JEU X LE T O U T N E U F 0 8 /9 3
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