THE 17TH AIRBORNE DIVISION HISTORY CHAPTER11

Transcription

THE 17TH AIRBORNE DIVISION HISTORY CHAPTER11
CHAPITRE 11 – FIN DE LA GUERRE
Sans considération pour la façon dont les historiens révisionnistes ont changés notre
histoire pour l’adapter à leur façon, notre entrée dans la guerre débuta par le
bombardement Japonais sur Pearl Harbor et il prit fin 4 ans plus tard après avoir
largué par deux fois une bombe atomique sur le Japon.
A nous, infirmiers, ont nous avais dit qu’il fallait prévoir de 500.000 à 1.000.000 de
pertes l’ors de l’invasion du Japon. Les Japonais perdraient beaucoup plus dans la
défense de leur patrie et de leur empereur.
Nous sommes reconnaissant pour la prévoyance du Président Roosevelt qui lança le
développement des armes atomiques juste après Pearl Harbour quand il apprit que
l’Allemagne développait de tel arme.
Nos deux bombes atomiques furent montées à Oak Ridge dans le Tennessee, pas
loin du Camp Forrest où la 17th Airborne s’entraîna.
La bombe à uranium qui fut larguée sur Hiroshima en août 1945.
La bombe de plutonium qui fut larguée sur Nagasaki trios jours après Hiroshima.
Une de nos bombes atomiques d’après guerre.
Notre bombe de 50 méga-tonne à l’hydrogène Durant la guerre froide.
La Guerre est comme un rouleau compresseur qui choisit de façon arbitraire ceux qui
doivent vivres de ceux qui doivent mourir. Je n’ai jamais compris pourquoi une
personne survie à de nombreuses batailles sans égratignures alors qu’un autre
devait mourir quelques heures après être en ligne. En tant qu’infirmier nous
pouvions décrire une blessure sérieuse à la jambe comme blessure à 1 million de
dollars mais elle pouvait hanté le survivant pour restant de sa vie. On disait : « Celui
qui meurt achète une ferme » ce qui état vrais. Nous avions tous souscrit à la
Gouvernements National Life Insurance pour 20.000$ qui était le prix d’une ferme à
l’époque.
Les jours passés durant l’occupation, après la guerre, en Europe étaient ennuyeux,
entrecoupés de permission pour pouvoir visiter les pays étrangers, flirter en pensant
que de toute façon, on ne restait pas. Moi, en tant que médecin, j’étais de service
tous les jours et appelable 24 heures par jour. Il y avait un minimum de traumas,
excepté des accidents de voiture, quelques traitements contre les maladies
vénériennes et quelques intoxications au buzz-bomb vers la fin de la guerre. Le
Buzz-bomb est un liquide fait à partir d’alcool méthylique (alcool de bois) très nocif
pour les nerfs optiques. Certains de nos hommes qui survécurent à la guerre sont
rentrés chez eux aveugles, se reposant dans une clinique attendant le docteur.
J’ai eu très peu de temps libre, mais je fus quand même envoyé à Paris pour une
semaine de permission après le V-E day, j’ai passé aussi une semaine dans les
Alpes Jungfrau près de Grindewald et à Interlaken en Suisse. Le souvenir d’une
journée est encore très vive à mon esprit, ce fut une chasse au cerf organisé par la
3rd Infantry Division dans une des très nombreuses forêts autour de la ville de Bad
Wildungen. Notre Colonel nous transmis deux laisser passer pour participer à cette
chasse afin de réduire la population de cerfs. Le Colonel Gayle, un médecin, n’était
pas entraîné au maniement des armes à feu, ainsi, il me donna l’invitation puisque
j’étais le seul riflemen de l’unité. J’avais reçut une carabine M1 pour quand j’étais de
garde mais maintenant j’avais deux fois 20 clips de munition pour la chasse. Le
Major Clarence Palmer m’accompagna. Nous, comme chasseur nous fument
envoyés sur une ligne à la lisière de la forêt sur un terrain dégagé faisant face au
bois. Des civils Allemands, y compris un certain nombre de jeune garçon, furent
payés pour faire fuir les animaux hors de la forêt vers nous. Un groupe de cerf
apparut soudain et nous avons ouvert le feu. J’ai tué un cerf et ai partagé sa mise à
mort avec le Major Palmer.
Le dernier animal à sortir fut un sanglier. Il chargea directement sur moi et j’ai fait feu,
directement derrière l’oreille. Il s’est écroulée, il remua encore quelques seconde
avant de mourir. Les civils Allemands eurent la permission de dépecer les animaux,
de prendre de la viande pour la nourriture et des abats sur la carcasse. Les restes
furent emmenés dans différentes unités de l’armée pour le dîner. J’ai été forcé de
manger de la viande de gibier le soir. J’ai constaté de façon désagréable que j’avais
toujours des sentiments pour ces animaux. J’ai découvert qu’après tout, je n’étais
pas un bon chasseur. J’avais peur de manger ce que j’avais tué ! Cela me donna
une bonne leçon, après cette terrible expérience, je n’ai plus jamais tué d’animaux.
Et soudainement, je me suis rendu compte que l’armée à bien fait de me faire
infirmier.
Nous avons tués 6 cerfs et un sanglier. Les flèches pointes les deux animaux que j’ai
tués. Le sanglier est du côté droit à côté de la jeep. Le Major Palmer est dans le fond
avec son appareil photo et le trépied.
J’ai eu très dure à accepté que la guerre soit finalement terminée, et que maintenant
nous devions quitter l’Europe pour rentrer chez nous, laissant toue nos amitiés, nos
camaraderies qui furent forgés durant des périodes dangereuses. Je me suis
véritablement déprimé durant le voyage à bord du S.S.Santa Maria, un bateau de
croisière d’avant guerre qui pouvait accueillir au maximum 300 touristes. Le voyage
de retour de l’Europe, à bord du Santa Maria, ballottait 3.000 soldats à son bord.
Pour aller en Angleterre, j’étais à bord du S.S.Santa Paula, un bateau sœur du Santa
Maria avec le même nombre d’homme à bord.
Après deux mois passé à Berlin, j’ai été envoyé à la ville de Bad Wildungen pour
fournir un support médical à la 3rd US Division. A la fin du mois de mars 1945, j’ai
été envoyé à Karlsruhe, Allemagne, pour me préparer à être envoyé au Camp
Twenty Grand en Normandy et attendre qu’un bateau arrive. Après une semaine
d’attente, le S.S.Santa Maria est arrivé et nous avons embarqué pour un voyage
direction retour en Amérique.
Tous les hommes avec le grade de Staf Sergeant et plus furent requis pour effectuer
des corvées. Je fus affecté aux cuisines. La plupart des cuistots étaient chinois et j’ai
aide à la boulangerie. Je poussais les pains fraîchement cuits du four à pain au
hublot aux hommes assis dehors sur le pont. On m’a attrapé et je fus réassigné pour
nettoyer les latrines pour le reste du voyage. Les gars jetaient toujours leurs mégots
de cigarettes dans la cuvette ce qui la bouchait et à chaque tangage, les toilettes
débordait d’urine. Le plancher était trempé d’urine. J’avais la charge de le nettoyer.
Notre bateau pouvant transporté 300 passagers en embarquait 3.000 hommes.
Dans un flashback, cependant, je me souvenais du voyage vers l’Angleterre, tous
ceux qui était du rang de Private étaient requis pour les corvées de nettoyage sur le
S.S.Santa Paula. Je fus assigné aux cuisines durant le voyage de 13 jours. L’océan
de l’Atlantique Nord était violent durant ce froid hivers et beaucoup à bord souffrait
du mal de mer. Je n’en fus pas affecté et j’ai passé du bon temps à travailler à
l’office. La cuisine était entièrement préparée par des cuisiniers chinois de San
Fransisco. J’ai été invité à dîner avec eux, mangeant de la nourriture chinoise,
comme du canard, du poulet, du bœuf du porc et des légumes. Les autres
mangeaient des beanyweenies, du spam, des pommes de terre et du corned beef.
Durant les 13 jours de voyage vers l’Angleterre, je n’ai prit qu’une seule douche. Les
robinets des douches donnaient pour l’un de l’eau bouillante et l’autre de l’eau
glaciale.
Les deux types d’eau n’étaient pas mélangés dans le robinet en raison du risque de
corrosion de l’eau de mer salé. De plus, le savon ne moussait pas avec l’eau de mer.
Paris
Dès qu’il fut confirmé que la guerre était finie en Europe, plusieurs infirmiers, par
rotation, furent envoyés en permission à Paris pour une semaine ou pour un weekend. Comme d’habitude, notre groupe était mené par un officier que nous n’avons
jamais vu tandis que nous étions à Paris jusqu’à la gare pour revenir en Allemagne.
Je ne buvais pas et je fus bientôt séparé de mon groupe de départ pour finir avec un
groupe de 4 non buveurs. Nous avons été affectés à un guide touristique qui nous
permit de voir toutes les curiosités disponibles juste après la guerre.
La tour Eiffel était fermé parce que son sommet était converti en station de radio
pour l’armée. Les rues et les logements n’étaient pas très propres et en tant que
médecins, nous avons su que les femmes n’étaient pas propres non plus de part les
nombreuses stations de VD prophylaxie qui était ouvert. (NDT : pour combattre les
maladies vénériennes) Nous avons aussi compris que les femmes parisiennes
comptaient plus sur le parfum que sur le savon pour se laver.
J’ai été malgré moi impliqué dans le marché noir de cigarettes quand une personne
de mon groupe fut en contact avec un français pour échanger des francs contre des
cigarettes. Nos MP contrôlaient pour arrêter les profiteurs du marché noir. Je me
souviens avoir mis un carton de cigarette américaine dans l’une de mes jambes de
mon pantalon, d’avoir grimpé un sombre escalier pour entrer dans une pièce
faiblement éclairé d’un étranger.
Puisque nous ne parlions pas français, la transaction c’est réduite l’échange entre
mon carton de cigarette contre 1.000 francs. Je n’ai pas bien compris la valeur
moyenne de cet échange sauf que les putains dans la rue de Pigalle offraient leurs
corps pour 1.000 francs. Je sui retourné en Allemagne avec 4.000 francs qui sont
devenus des pièces de collection parce qu’on utilisait que le mark allemand.
Certain de nos homes plus astucieux, habitué des bas-fond des grandes villes
d’Amériques, vendaient des cigarettes, des montres, des bagues et certains
matériels militaire pour des marks allemand, ils furent capables de les convertir en
dollars et purent les envoyés sous formes de mandats postaux chez eux.
Un de mes amis du nom de Resnick, de notre unité fut capable d’envoyer 60.000
dollars en mandats postaux à son épouse à New York.
Il a du vendre beaucoup de carton à cigarette à Berlin pour 1.000$ pièces. Nous
avions un hôpital de 100 lits à Berlin. Il était autorisé d’avoir 100 lits valant un carton
à cigarette qui ne furent jamais utilisés parce que nous n’avions jamais plus de 10
patients chaque jour. Nos patients à Berlin n’entrait pas dans les chiffres et ils
n’achetaient pas de cigarette dans notre unité.
Ce que Resnick à fait, quand il est retourné à Bruxelles c’est de vendre ces
cigarettes et autres sucreries et dans un Replacement Depots où il échangeait ces
marks Allemands aux taux de 200 marks pour 100$ qu’il envoyait sous manda postal
signé de son nom. Les nouvelles recrues faisait la queue pour cet échange. Tout les
jours il envoyait un manda postal chez lui.
Tandis que nous voguions vers chez nous, il a ouvert son portefeuille pour me
montrer encore 30.000$ sous formes de manda postaux qu’il ne fus pas capables
d’envoyer chez lui à cause de nos déplacements.
Suisse
Je fus assigné dans l’unité de trauma et j’étais habituellement de service tout les
jours en cas d’appelle et cela même si la guerre était finie. Certaine nuit, je pouvais
avoir une bande de soldat intoxiqué ou quelques uns qui devaient avoir un traitement
contre des maladies vénérienne ou des accidents de voitures. Et certain jours, je
comptais les mouches. Cependant, à la fin des combats, je fus traités avec beaucoup
de politesse et particulièrement par le Colonel Gayle qui voulait que je devienne son
domestique même après qu’il se fasse contrecarré par un Inspecteur Général. Il m’a
envoyé en Suisse durant 10 jours avec la compagnie du Capitaine Bosco dans les
montagnes de Jungfrau. Il n’a pas réalisé que je ne savais pas skié parce qu’il n’y
avais jamais de neige à San Fransisco.
Nous avons prit le train pour la Suisse via Bâle puis Interlaken et enfin Grinewald où
nous avons pris un bus pour l’Hôtel Sans Souci. Je suis resté à l’hôtel parce que je
ne skiais et buvais pas et la neige me rappelais la Belgique.
Je passais la plupart de mon temps à tremper dans des baquets d’eau chaude qui
devait être utilisé à l’origine pour soigner des problèmes rénaux. Ce que je ne savais
pas c’est qu’il fallait boire cet eau pour ce traitement. Je ne l’ai pas goûté non plus,
j’ai préféré le Pepsi Cola au lieu de boire l’eau plate du robinet.
Un jour, j’ai été à Luzerne où j’ai acheté une belle montre bracelet noir avec un
chrono. Ce fut la montre que j’ai possédé pour le reste de ma vie, mais elle a cessé
de fonctionner alors que j’étais en seconde année au collège. L’horloger local la
« réparée » mais, jamais plus elle ne fonctionna correctement.
J’ai aussi été à Berne où je me suis lié avec un compagnon infirmier quand j’avais
besoin de compagnie. Le Capitaine, en tant qu’officier, à choisi de ne pas s’associer
avec un sergent. Peut-être parce qu’il trouvait que c’était dégradant de partager ses
privilèges alors que je n’était qu’un homme enrôlé.

Documents pareils