Chanel Haute Headcovering on Display in Boutique
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Chanel Haute Headcovering on Display in Boutique
Chanel Haute Headcovering on Display in Boutique Windows on Rodeo Drive www.hollywoodreporter.com /print/941236 Amanda Friedman Mannequins in the window of Chanel's Rodeo Drive retail space. With declining luxury sales worldwide, fashion brands are trying to appeal to a widening demographic of wouldbe shoppers. On Rodeo Drive, the Chanel boutique recently rolled out window displays with mannequins donning colored wigs, including one in a chic headcovering that nods to either 1960s Saint Tropez-French Riviera glam or a highend, edgy hijab, depending on who you're asking, in a possible play to the wealthy Saudi shoppers flocking to L.A. (Traditionally, hijabs cover the neck and the forehead area.) Labels targeting foreign shoppers include Dolce & Gabbana who, most notably, announced in January a collection of hijabs and abayas. "It is about time that these brands are finally paying attention to their customer," says L.A.-based personal shopper Nicole Pollard Bayme, whose clientele includes affluent Middle Eastern wives of businessmen, celebrities and royalty. She added, "Now that these fashion houses are a part of big conglomerates, the money is speaking and they are becoming more savvy; these customers are their bread and butter." According to a report by Reuters, Muslim shoppers spent $266 billion on clothing and footwear in 2013 and are expected to spend $484 billion by 2019. Conde Nast announced plans this week to launch a Vogue Arabia digital edition in the fall, followed by a print magazine next spring. In L.A., brands are closing down stores to focus on revamping flagship retail spaces and doing what they can to entice shoppers to stop in, including styling mannequins in head scarves. (It's worth pointing out that similar Chanel looks were styled with hats on the fall runway. Pret-a-Reporter reached out to a Chanel representative for comment but did not hear back.) 1/1 « Les assassins obéissent au Coran », disponible à partir du 29 août resistancerepublicaine.eu /2016/08/14/les-assassins-obeissent-au-coran-disponible-a-partir-du-29-aout/ Christine Tasin J’ai le plaisir de vous présenter mon dernier petit livre, écrit avec mon ami René d’Armor, et préfacé par mon autre ami René Marchand. Et voici le sommaire, la première partie étant de Christine Tasin et la seconde de René d’Armor : Nous avons choisi, dans ce petit livre de 130 pages, de mettre à disposition de tous des outils simples pour comprendre ce qui se passe et être capable d’expliquer à tous le rapport étroit entre terrorisme et les textes sacrés de l’islam. Il nous semble que ce livre, offert à Noël ou à un anniversaire, abandonné dans le train… pourrait contribuer à ouvrir les yeux de nos contemporains. De petit format, comme le précédent livre de la collection « les fondamentaux de Résistance républicaine » Qu’est-ce qu’elle vous a fait la République, il tient bien en main et est facile à lire. Pour commander Les assassins obéissent au Coran, livraison à partir du 29 août 12 euros pièce, 2 pour 20 euros, 3 pour 27 euros, frais de ports compris. Pour commander Les assassins obéissent au Coran, livraison à partir du 29 août 12 euros pièce, 2 pour 20 euros, 3 pour 27 euros, frais de ports compris. A commander par chèque à l’ordre de Résistance républicaine, 101 avenue du Général Leclerc, 75685 Paris cedex 14 ou bien par carte bleue ou paypal directement sur notre site, rubrique faire un don, noter dans la partie message votre commande et l’adresse de livraison. Pour recevoir en sus Qu’est-ce qu’elle vous a fait la République, ajouter 5 euros et le signaler lors de votre commande. 1/1 Coco Chanel, agent de l'Allemagne nazie tempsreel.nouvelobs.com /societe/20110824.OBS9081/coco-chanel-agent-de-l-allemagne-nazie.html L'Obs Article paru dans le "Nouvel Observateur" du 25 août 2011 La jaquette est blanche, bordée de noir, et le titre, écrit dans une typographie plus familière des parfumeurs que des libraires : le livre reprend l'habillage chic et classique de l'emballage de la plus connue des fragrances, le N°5. Mais ne vous fiez pas aux apparences. Ce qu'il renferme a une curieuse odeur, qui a le soufre pour note de tête. ”Coucher avec l'ennemi. La guerre secrète de Coco Chanel” (1) est un pavé lancé dans la vitrine de l'illustre maison Chanel. L'ouvrage est sorti le 16 août aux Etats-Unis, il n'existe qu'en anglais, mais ses révélations ont déjà fait le tour du monde. Son auteur, l'Américain Hal Vaughan, en est sûr : la grande couturière, la reine des créatrices françaises, l'impératrice Chanel était en fait un agent nazi ! Avec un indicatif, F 7124, et un pseudonyme, Westminster. Coco, nouvelle Mata Hari ? ”Elle était un agent, pas une espionne, nuance l'auteur. Une espionne prend des photos, remet des documents. Chanel, elle, a rempli des missions. Elle était par ailleurs antisémite et anticommuniste.” Pour Hal Vaughan qui vient de publier au Etats-Unis, "Cocher avec l'ennemi. la guerre secrète de Coco Chanel", la grande couturière était en fait un agent nazi. (François Mori-Sipa L'homme connaît bien son sujet. Agent secret, cet ancien diplomate américain et journaliste de 84 ans l'a lui-même été pendant la Guerre froide. Ces trois dernières années, il s'est plongé dans les archives déclassifiées de la police française, a aussi consulté des archives anglaises, italiennes et américaines et, enfin, a fouillé dans les documents allemands. Exhumant des pièces inédites. Il en a reproduit certaines dans son livre, comme cette fiche de la Préfecture de Police de Paris (voir photo ci-dessous), émaillée de fautes d'orthographe, sur laquelle Chanel est écrit ”Chasnel” et Westminster, ”Wesminster”. ”Chasnel Gabrielle” y est déclarée ”signalée comme suspecte au fichier”. Fiche tirée des archives de la police nationale où apparaît le pseudonyme de Coco Chanel, "Wesminster". (DR) Cinquante-sept biographies de l'élégante sont déjà parues, mais aucune ne poussait les révélations aussi loin que celle d'Hal Vaughan. Pas même celle d'Edmonde Charles-Roux, ”l'Irrégulière ou mon itinéraire Chanel” (2), qui fit pourtant date à sa parution en 1974. Désormais nonagénaire, cette ancienne résistante, détentrice de la Croix de guerre, a fréquenté la couturière pendant vingt-cinq ans. De cette longue amitié, elle a tiré un portrait incisif de ”l'irréductible” Chanel. Cette bio retrace l'itinéraire d'une fillette pauvre, née en 1883, orpheline de mère à 12 ans et placée dans une abbaye par son père. De simple petite main, singulièrement douée, la jeune femme deviendra la créatrice la plus novatrice de la première moitié du XXe siècle. Une mondaine qui flirte avec le gratin La Gabrielle Chanel que Charles-Roux dépeint est une élégante sertie de bijoux, une mondaine qui flirte avec le gratin et couche dans les plus beaux draps. Coco dîne avec Picasso, dessine des costumes de théâtre pour Cocteau, se lie d'amitié avec l'écrivain Paul Morand. Partage un temps la vie du duc de Westminster, plus grosse fortune d'Angleterre. Fait des parties de pêche avec Winston Churchill, leur ami commun. Vit quasi à demeure au Ritz, même réquisitionné par l'occupant. Et succombe, à 58 ans, pour un feu follet de treize ans son cadet, le baron Hans Günther von Dincklage, dit”Spatz” (moineau). 1940 2016 1/3