Le vieillissement de la peau à la ménopause

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Le vieillissement de la peau à la ménopause
NEWSLETTER N°7 – Tissu conjonctif et ménopause
TISSU CONJONCTIF ET MENOPAUSE
Le vieillissement de la peau à la ménopause
Il existe une corrélation forte entre le déclin du taux d’hormones féminines et le vieillissement de
la peau. À la ménopause, le taux de collagène chute brutalement et l’épaiseur de la peau diminue
en conséquence. Les fibres d’élastine se relachent et perdent leur élasticité. Et l’hydration du
derme, influencée par les glycosaminoglycanes, diminue elle aussi.
On peut évidemment encore être belle, mais la peau est fragilisée, et il y a souvent une sensation
d’inconfort.
Pour en savoir plus, consulter la fiche médicale sur le rôle de la ménopause dans le
vieillissement des tissus conjonctifs1
Elatium Anti-âge rééquilibrant, au soja
Les phytœstrogènes de la crème Elatium Anti-âge rééquilibrant
sont contenus dans une formule conçue pour cibler
spécifiquement les fibroblastes de la peau. Restant dans
l’épaisseur de la peau, ils diffusent très peu de façon systémique,
et c’est ce qui fait toute l’efficacité de la crème.
Des études ont montré que l'application d’œstrogènes par voie
topique pouvait augmenter le nombre et l’épaisseur des fibres
d’élastine et enrayer le déclin des fibres de collagène.
Plus d'informations et une bibliographie dans notre fiche
médicale1
Crème visage Anti-âge rééquilibrant 50ml - 24€
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NEWSLETTER N°7 – Tissu conjonctif et ménopause
Protéger le tissu conjonctif par l’alimentation
Lors de l’intrusion de germes, l’organisme réagit en libérant des molécules agressives, parmi lesquels
des radicaux libres oxygénés et nitrés, et des protéases. Ces dernières sont des enzymes capables de
détruire les protéines de structure des germes, mais leur mise en œuvre est assortie de dommages
collatéraux qui peuvent être sévères. Les protéines du tissu conjonctif sont en effet sensibles à ces
protéases et les mécanismes inflammatoires conduisent à une altération de ce tissu (l’athérome par
exemple).
La protection du tissu conjonctif est un des bénéfices apportés par les végétaux de l’alimentation.
En effet, toutes les plantes contiennent des polyphénols de la famille des flavonoïdes et de celle des
acides phénols. Ces molécules ont la capacité de se lier de façon plus ou moins réversible aux
protéines du tissu conjonctif. Les complexes ainsi créés sont moins sensibles aux attaques des
protéases.
Les polyphénols limitent donc les effets néfastes induits par les débordements du système
immunitaire. Il se pourrait que le fameux « French paradox » soit dû aux moins en partie aux
polyphénols présents en grande quantité dans le vin. Le resveratrol, que l’on a mis en exergue
dans ce phénomène très médiatisé, ne représente qu’une partie infime des polyphénols contenus
dans le vin. La principale famille représentée est celle des flavonoïdes, et ce sont probablement eux
qui exercent l’action protectrice principale.
Beaucoup d’autres fruits et légumes contiennent des quantités importantes de polyphénols
protecteurs, comme les agrumes, le thé vert et le thé noir, des condiments comme le romarin, le
thym, les myrtilles, les pommes et d’une façon générale tout ce qui se mange et qui est de nature
végétale.
Notes
1- Sur demande à [email protected]
Dans la prochaine Newsletter…
Glycation et circulation
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