Programmation - CIRCONSCRIPTION DU GOLFE

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Programmation - CIRCONSCRIPTION DU GOLFE
Ecole et Cinéma en Morbihan
Pré-programmation 2014/2015
(Sous-réserve, en attente de confirmation
de l’association Enfants de cinéma)
1er Trimestre
Cycle 2 | JEUX D'IMAGE de Norman McLaren | Programme de 7 courts-métrages | 68’ | Sonore | Animation
Cycle 3 | PONYO SUR LA FALAISE de Hayao Miyazaki | Japon | 2008 | 96’ | Version Française |
Animation | Couleur
2eme Trimestre
Cycle 2 & 3 | JOUR DE FETE de Jacques Tati | France | 1949 | 78’ | Noir et blanc
3eme Trimestre
Cycle 2 | LE CERF-VOLANT DU BOUT DU MONDE de Roger Pigaut | France/Chine | 1958 |
82’ | Version française | Couleur
Cycle 3 | L'HOMME QUI RETRECIT de Jack Arnold | Etats-Unis | 1957 | 81’ | Version française | Noir
et blanc
Ecole & cinéma 2014/2015
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1er Trimestre
Cycle 2
JEUX D'IMAGE
de Norman McLaren | Programme de 7 courts-métrages | 68’ | Sonore | Animation
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/
www3.onf.ca/animation/objanim/fr/cineastes/Norman-McLaren/oeuvre.php
Discours de bienvenue 1964 | 7’ | Sonore | Noir & blanc
Blinkity blank 1955 | 5’15 | Sonore | Couleur
Hen hop 1942 | 3’39 | Sonore | Couleur
Il était une chaise 1957 | 9’52 | Sonore | Noir & blanc
Canon 1964 | 9’13 | Sonore | Couleur
Le merle 1958 | 4’06 | Sonore | Couleur
Caprice en couleur 1949 | 7’47 | Sonore | Couleur
Expérimentateur infatigable, McLaren défend une conception artisanale du cinéma d’animation, selon
laquelle le cinéaste, un peu à la manière du peintre dans son atelier, contrôle toutes les étapes de la
réalisation de son film. (...) Ainsi, même si le nom de McLaren est associé au dessin et à la gravure sur
pellicule à travers des chefs-d’œuvre comme Caprice en couleurs et Blinkity Blank, son imposante
filmographie se distingue par le recours à diverses techniques : papier découpé (Le merle, 1958), dessin
au pastel animé par transformations successives, utilisation systématique de fondus enchaînés, animation
image par image (Discours de bienvenue de Norman McLaren, 1961), surimpressions d’images obtenues à
l’aide d’une tireuse optique, etc.
Sur le plan thématique, l’œuvre de McLaren se distingue par son humanisme (Il était une chaise, 1957),
son humour raffiné (Canon, 1964) ainsi que par ses accents surréalistes. Si les films dans lesquels il
travaille avec des danseurs expriment une conception classique de la beauté axée sur les idées
d’harmonie et d’équilibre, d’autres œuvre, plus abstraites (Caprice en couleurs, 1960) reposent sur une
conception chorégraphique du cinéma d’animation, qui se définit alors essentiellement comme un art
cinétique, débarrassé de toute influence théâtrale ou romanesque. Dans ces films, McLaren reste toutefois
proche de l’expressionnisme abstrait, son travail pouvant être comparé tantôt à celui de Jackson Pollock,
tantôt à celui de Barnett Newman.
Titre de remplacement : LES AVENTURIERS programme de 5 courts-métrages | 68’
Ecole & cinéma 2014/2015
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1er Trimestre
Cycle 3
PONYO SUR LA FALAISE
de Hayao Miyazaki | Japon | 2008 | 96’ | Version Française | Animation | Couleur
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/ponyo.html
Résumé
Sôsuke, 5 ans, vit avec sa mère dans une maison perchée en haut d'une falaise. Son père travaille sur un
bateau, il n'a pas souvent le loisir de le voir. Un jour, alors qu'il joue au bord de la mer, Sôsuke rencontre
Ponyo, un petit poisson-fille enfermé dans une bouteille en verre. Le coup de foudre entre les deux enfants
est instantané, ils ne veulent plus se quitter. Mais le père de Ponyo, Fujimoto, créature de la mer autrefois
humaine, ne voit pas d'un bon œil que sa fille veuille vivre avec les hommes. La petite fille va alors tenter
par tous les moyens de vivre comme les humains, sur terre, mais son entêtement va déclencher un
bouleversement de l'ordre naturel des choses, qui prend la forme d'un tsunami géant. Finalement, pour
vivre définitivement avec Sôsuke, Ponyo devra renoncer à ses pouvoirs magiques, ce qui donne lieu à une
spectaculaire scène finale de réconciliation entre le monde de la mer et le monde des hommes.
Note d'intention
Ponyo sur la falaise est un beau film d'animation pour lequel Hayao Miyazaki a fait le choix d'un travail
traditionnel, en refusant d'utiliser des images numériques pour privilégier les couleurs pastels et les
aquarelles. À plusieurs titres ce long-métrage d'animation peut être considéré comme une lecture du
célèbre conte d'Andersen, La Petite Sirène. Une nouvelle fois, le génial cinéaste japonais aborde ses
thèmes de prédilection : l'influence néfaste des hommes sur leur environnement naturel, les catastrophes
entraînées par le non-respect des règles dictées par la Nature. Pourtant, la résolution du chaos provoqué
par Ponyo et Sôsuke entraîne une fin heureuse et donne au film une tonalité plus lumineuse que dans
d'autres films de Myazaki, comme par exemple Princesse Mononoké. Enfin, l'omniprésence de la menace
du Tsunami offre aux spectateurs occidentaux un aperçu de l'angoisse permanente dans laquelle vivent les
japonais et donne aux récents événements de la catastrophe nucléaire de Fukushima une résonance toute
particulière.
Titre de remplacement : UN TRANSPORT EN COMMUN précédé de DEWENETY de
Dyana Gaye | France/Sénégal | 2009 | 48’ et 15' | Version Française | Couleur
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2eme Trimestre
Cycle 2 & 3
JOUR DE FETE
de Jacques Tati | France | 1949 | 78’ | Noir et blanc
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/jour-de-fete.html
Résumé
Fin des années quarante. Les habitants d’un petit bourg, paysans à la moisson, petits commerçants,
Monsieur le Maire et François le facteur sont observés avec une bienveillante malice par une vieille femme,
accompagnée d’une chèvre. Ce petit monde va être perturbé par l’arrivée des forains qui organisent une
fête au village. Ces festivités ne s’achèveront pas sans avoir laissé quelques traces sur les habitants,
particulièrement sur le facteur François. Après avoir fait la démonstration de sa sociabilité en participant à
la préparation de la fête et en trinquant avec qui veut, le facteur essaie, déjà bien éméché, de faire en vélo
une « tournée à l’américaine ». Multipliant les performances, il finit dans l’eau. De retour vers le bourg, il est
sollicité par des paysans et c’est le petit garçon, coiffé de son képi de facteur, qui finira la tournée.
Note d'intention
Jour de fête, tourné en 1947, en couleurs, mais montré pendant des décennies dans sa version noir et
blanc a été restauré : depuis 1995, on peut donc découvrir la magnifique copie couleur du premier film de
Jacques
Tati.
Dans cette comédie burlesque, le cinéaste interprète lui-même François le facteur, qui, sur son vélo,
provoque mille catastrophes. S’astreignant à un jeu d’acteur burlesque, il accomplit lors de la tournée en
vélo, des performances corporelles avec une aisance telle qu’on n’aperçoit pas la difficulté. Pourtant, la
performance est bien là : par exemple la tenue incroyablement rigide du vélo mais aussi l’art de ralentir les
gestes – art du mime par excellence, qui combiné à l’entraînement d’un sportif, est le signe de l’art de Tati.
Titre de remplacement : LES VACANCES DE M.HULOT de Jacques Tati | France | 1953 | 96' |
Noir et blanc
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3eme Trimestre
Cycle 2
LE CERF-VOLANT DU BOUT DU MONDE
de Roger Pigaut | France/Chine | 1958 | 82’ | Version française | Couleur
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/cerfvolant.html
Résumé
Dans le quartier parisien de Montmartre, à la fin des années cinquante, une bande d'enfants d'une dizaine
d'années est dirigée par Pierrot, qui a la charge de sa petite sœur, Nicole. Ce sont les vacances d'été et un
jour la bande découvre un magnifique cerf-volant, échoué sur le sommet d'un arbre. Une rivalité naît entre
eux pour s'en emparer : Bébert et Jollivar font dissidence pour trouver eux-mêmes une solution... Pierrot et
ses amis, en possession du cerf-volant, trouvent, cachée à l'intérieur, une lettre écrite en chinois. Un
antiquaire du quartier la leur traduit : celle-ci a été écrite par un garçon chinois de leur âge, Song Siao
Tsing, qui vit à Pékin et aimerait qu'on lui réponde vite. L'antiquaire leur apprend aussi que le personnage
peint sur le cerf-volant n'est autre que Souen Wou Kong, le Roi des Singes, personnage célèbre dans
nombre de vieilles légendes chinoises. Pierrot rêve que Souen Wou Kong le transporte en Chine, avec
Nicole, d'abord à l'époque des Empereurs, puis de nos jours, en plein centre de Pékin, à la recherche de
Song SiaoTsing, et dans l'espoir de rencontrer un nouvel ami. Mais à Pékin, Pierrot retrouve Bébert en
travers de son chemin, bien décidé à l'empêcher de retrouver Song. Comme à Montmartre, Pierrot va
prendre la tête d'une nouvelle bande, composée cette fois d'enfants chinois. Il est aidé par Monique, une
fillette chinoise qui, à sa grande surprise, parle un excellent français... Pierrot va-t-il retrouver Song Siao
Tsing ? De Pékin à Paris et par-dessus les toits du monde, le cerf-volant remplira-t-il sa fonction de
messager ? Et comment Souen Wou Kong, acrobate et magicien, aidera-t-il les enfants français et chinois
dans leur désir de se connaître ?
Note d'intention
Le Cerf-volant du bout du monde, sans être un chef-d'œuvre, s'inscrit avec bonheur dans un cinéma
poétique, et si le dialogue peut sembler pour les adultes un peu « daté », le jeu des petits comédiens et la
très belle photo de Henri Alekan rattrapent bien vite cette impression. Voyage initiatique vers une autre
culture, un autre monde, le film de Roger Pigaut oppose Paris/Pékin en les mettant en relation, en parallèle
: il en sort une identité enfantine, un air de « Si tous les gars du monde voulaient se donner la main », qui
par les temps actuels n'est, de loin, pas à dédaigner. Le mélange du rêve et de la réalité, les couleurs
magnifiques, la tignasse rousse de la petite Nicole, font le reste…
Titre de remplacement : LE PETIT FUGITIF de Ray Ashley et Morris Engel | Etats-Unis | 1953 | 80' |
Version Française | Noir et blanc
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3eme Trimestre
Cycle 3
L'HOMME QUI RETRECIT
de Jack Arnold | Etats-Unis | 1957 | 81’ | Version française | Noir et blanc
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/homme-retrecit.html
Résumé
Comme les chats, Robert Scott Carey, Américain moyen, a peut-être sept vies, dont une vie éternelle, audelà de la mort et de la disparition. Dans une première vie d’homme moyen, il est un heureux vacancier en
mer, avec son épouse. Mais un nuage, flottant au ras de l’eau, passe mystérieusement sur lui, et l’irradie
d’un scintillement dont il ne se remettra jamais.Dans une deuxième vie, il devient un malade, puis un
infirme et un cobaye de la science, enfin une victime des médias : il rapetisse régulièrement, ce qui en fait
un cas unique. On stoppe provisoirement son mal, et il imagine un temps vivre une troisième vie, de nain,
mais le mal revient. Une quatrième vie le fait lutter avec un chat, en lieu et place d’une souris. Sa
cinquième vie, au sous-sol, est celle d’un naufragé sur une île hostile, sa sixième celle d’un insecte
poursuivi par une araignée. Son ultime métamorphose le mène aux confins de l’infini, dans la microscopie
de l’atome, qui le renvoie, par la pensée, à l’infiniment grand du cosmos, et à l’au-delà où, peut-être, il
réside intemporellement, comme sa voix off pourrait en attester depuis qu’au début du récit elle a affirmé :
« Je suis Robert Scott Carey. »
Note d'intention
Petite merveille du cinéma de science-fiction des années cinquante (avec des trucages d’une grande
qualité ), L’homme qui rétrécit (tiré d’un roman de Richard Matheson) n’a rien perdu de son efficacité et
reste probablement l’œuvre la plus remarquable sur ce thème indémodable de l’infiniment petit et du
gigantisme. Jack Arnold met très habilement en scène les jeux sur le changement de taille des décors, en
relation avec le rétrécissement physique du héros. Alors que la production exigeait un happy-end, le
cinéaste réussit à imposer sa conception de l’histoire et une fin (différente de celle imaginée par Matheson)
qui s’ouvre sur une vertigineuse réflexion métaphysique.
Titre de remplacement : KING KONG de M.C Cooper et E.B Schoedsack | Etats-Unis | 1933 | 100' | Noir et
blanc
Ecole & cinéma 2014/2015
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Titres de remplacement
1er Trimestre | Cycle 2
LES AVENTURIERS programme de 5 courts-métrages | 68’
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/
Le Moine et le poisson de Mickael Dudok de Wit | 1994 | 6’30 | Musical | Couleur
Rentrée des classes de jacques Rozier | 1956 | 23’ | Version Française | Noir et blanc
Le hérisson dans le brouillard de Youri Norstein 1975 | 10’ | Musical | Couleur
La première nuit de Georges Franju 1958 | 23’ | Sonore | Noir & blanc
Le Jardin de Marie Paccou | 2002 | 6’ | Musical | Couleur
1er Trimestre | Cycle 3
UN TRANSPORT EN COMMUN précédé de DEWENETY de Dyana Gaye | France/Sénégal | 2009
| 48’ et 15' | Version Française | Couleur
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/transport-commun.html
Résumé
A Dakar, à la fin de l'été, les passagers d’un taxi-brousse embarquent pour Saint-Louis sans attendre le
passager manquant, Antoine, un jeune homme venu de Grenoble pour faire ses études. Arrivant après le
départ du taxi-brousse, celui-ci décide de rejoindre l’embarcation à l’arrière d’une mobylette. Dorine, une
jeune employée de salon de coiffure, quitte son travail à Dakar pour accompagner un ami et son père, qui
se rendent en voiture à Saint-Louis pour voir un match de lutte. Au cours de son trajet, elle croise plusieurs
fois Antoine, qui finit par rejoindre le taxi-brousse. Un accident entre le taxi-brousse et un camion de
pastèque réunit tous les voyageurs, qui font la fin du trajet en se suivant. Arrivés à Saint-Louis après un
voyage chaotique et plein de surprises, chacun se quitte en promettant de se revoir.
2eme Trimestre | Cycle 2 & 3
LES VACANCES DE M.HULOT de Jacques Tati | France | 1953 | 96' | Noir et blanc
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/vacances-hulot.html
Résumé
Départs en vacances en train, en automobile ou en car… Au bord de la mer, les familles se retrouvent à
l’hôtel de la Plage et la jolie Martine et sa tante dans leur villa. Monsieur Hulot et sa bruyante voiture se font
immédiatement repérer. Charmant, distrait et gaffeur, notre héros provoque aussitôt une série de minicatastrophes, qui troublent le calme ritualisé de juillet. Hulot se fait des ennemis, des amis, flirte avec
Martine et de gag en gag arrive à déclencher avant son départ la plus belle de ses maladresses : un
superbe feu d’artifice. Mais c’est déjà le départ et le moment des adieux…
Ecole & cinéma 2014/2015
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3eme Trimestre | Cycle 2
LE PETIT FUGITIF de Ray Ashley et Morris Engel | Etats-Unis | 1953 | 80' | Version Française | Noir et blanc
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/petit-fugitif.html
Résumé
À Brooklyn, Joey Norton, 7 ans, pâtit des brimades de Lennie, son grand frère (12 ans). La lecture de
cartoons excite l'imagination de Harry et Charley, copains de Lennie, pour le faire disparaître. Le trottoir, la
chaussée, les zones indeterminées composent leur cadre de vie. C'est l'été, le temps des vacances,
Lennie doit chaperonner Joey. Quel fardeau ! Leur mère se rend au chevet de leur grand-mère. Elle confie
à l'aîné la garde du cadet. Corvée qui contrarie son projet de fêter son anniversaire à Coney Island avec
ses comparses.
Le lendemain, les deux frères retrouvent Harry et Charley sur un terrain vague. Harry tient la carabine (real
gun) de son père. Il assiste Joey pour mettre en joue son frère et tirer sur lui à "balles réelles". Lennie
s'écroule théâtralement, comme doit mourir un gangster romantique. Harry promet au criminel la chaise
electrique. Joey n'a pas le choix. Première planque : un cagibi, chez lui. Le téléphone sonne. Joey sort de
sa retraite, prend des dollars glissés sous l'appareil, laissés par la mère, et, armé de deux colts, tel un
homme à abattre dans un film R.K.O, s'enfuit en franchissant la fenêtre guillotine qui donne sur un
passage. (...) Lennie le voit, l'appelle, s'élance, il n'est pas mort, c'était une blague. 18h, la maison, réussi !,
à l'heure pour le feuilleton à la télévision : " Ce salaud de Morgan sui s'enfuit ! ". Le suspens-time continue.
Sécher Joey, le changer avant le retour de la mère. Ils regardent trop la télévison, elle va les emmener à
Coney Island dimanche.
3eme Trimestre | Cycle 3
KING KONG de M.C Cooper et E.B Schoedsack | Etats-Unis | 1933 | 100' | Noir et blanc
Extrait du site : www.enfants-de-cinema.com/2011/films/king-kong.html
Résumé
Carl Denham, cinéaste explorateur, avant une nouvelle expédition vers une destination qu’il garde secrète,
entend partir avec une comédienne dont il a besoin pour son prochain film. N’en trouvant pas, il croise
dans les rues de NewYork une jeune femme affamée et au chômage qui accepte. L’équipage du navire,
inquiet de la mission, arrive près d’une île mystérieuse, au large de Sumatra, dans l’océan Indien, où
résident des indigènes, protégés de la jungle par une forteresse où vit Kong, un monstre qu’ils craignent et
vénèrent comme un dieu. Les indigènes, ayant découvert la présence de la femme blonde, Ann, l’enlèvent
la nuit sur le bateau pour l’offrir en sacrifice à Kong, un singe géant qui vient la chercher et repart avec elle
dans la jungle. Une équipe se lance à sa recherche, affronte des monstres préhistoriques, retrouve Kong
qui décime le groupe, à l’exception de Denham et de Driscoll, le second du capitaine. Ce dernier,
amoureux d’Ann, parvient à retrouver Kong, réfugié au sommet d’une falaise, et à fuir avec la jeune femme
à l’insu du monstre. De retour au village des indigènes, ils retrouvent Denham qui ne veut pas partir sans le
singe géant, persuadé qu’il est à la poursuite d’Ann. Kong arrive, détruit le village et est finalement capturé
par Denham, ravi. À Broadway, King Kong, la huitième merveille du monde, est exhibé sur scène. Le
crépitement des flashes des photographes et la présence d’Ann provoquent la colère de l’animal qui défait
ses chaînes, s’enfuit et sème la panique dans New York. En escaladant un immeuble, il retrouve Ann, qu’il
enlève, avant de se réfugier avec elle au sommet de l’Empire State Building. Une escadrille d’avions munie
de mitrailleuses vient à bout du singe géant, qui fait une chute mortelle, tandis que Driscoll récupère Ann.
Ecole & cinéma 2014/2015
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