WEB TO PRINT - Fachhefte.ch
Transcription
WEB TO PRINT - Fachhefte.ch
Web to print Réussir sur Internet Heidelberg-News-Team, Heidelberg De puissants systèmes de boutique comme le Prinect Web-to-Print Manager permettent aujourd’hui d’entrer plus facilement que jamais dans l’imprimerie en ligne. Bonne idée – mais comment utiliser le « web-to-print » de manière vraiment rentable? L’ Internet est depuis longtemps un canal de distribution sur lequel pas une entreprise ou presque ne peut faire l’impasse. Dans nombre de pays occidentaux, plus de 70 % des particuliers et des professionnels utilisent régulièrement des moteurs de recherche ou portails spéciaux pour s’informer sur les offres et les prix. Pour les imprimés également, Internet est depuis longtemps un facteur déterminant qui décide de ce que l’on achète, chez qui et à quel prix. Beaucoup d’imprimeries ont déjà pris position sur le marché du «web-to-print». Mais il n’est pas trop tard pour se lancer dans ce segment qui en vaut la peine. Il permet en effet de mobiliser de nouveaux potentiels et de mieux engager les presses offset existantes. Les imprimeries peuvent, par ailleurs, proposer à leurs clients attitrés ou nouveaux, 24 heures sur 24, des prestations additionnelles et mieux fidéliser leurs donneurs d’ordres. Mais que faut-il pour franchir le pas? Et qu’est-ce qui importe ensuite dans l’exploitation de sa boutique en ligne? WEB TO PRINT Simple de s’engager Question logiciel, la réponse est simple: il faut une interface avec le client: un «front end» regroupant toutes les offres et incluant le traitement des commandes. Heidelberg propose à cet effet depuis le drupa une solution simple à utiliser et performante: le Prinect Web-to-Print Manager. Ce module logiciel peut s’utiliser seul ou s’intégrer parfaitement dans le flux Prinect. Dans ce dernier cas, la production est automatisée à partir du transfert de la commande de la boutique en ligne au système Prinect. Les imprimeries profitent en outre de beaucoup d’autres avantages au sein du flux de production – d’une optimisation automatique de la feuille ou des poses à la traçabilité intégrale de tous les travaux issus de la boutique en ligne, en passant par un calcul de coût par copie en impression numérique et offset. En duo comme en solo, les imprimeries disposent en tout cas d’une application flexible pour déployer et exploiter sans complications un ou plusieurs portails à l’intention des particuliers et des professionnels, y compris panier, traitement des commandes, processus de validation, gestion des utilisateurs ainsi qu’expédition et paiement. «Le Web-to-Print Manager permet, sans connaissances en programmation, de déployer un nombre quelconque de bou- tiques pour différentes cibles», explique la chef de produits, Lucia Dauer. «Ce peut être des portails accessibles à tous, avec des produits standardisés s’adressant à des particuliers, des artisans et d’autres PME. Mais on peut tout aussi bien réaliser des portails protégés par mot de passe pour chaînes de franchise ou de distribution, offrant à leurs collaborateurs des possibilités personnalisées de commande d’imprimés éditables en ligne au design de la marque.» Penser au client. Le logiciel lui-même est vite installé. Selon le nombre de produits, de maquettes et de champs à renseigner par le client, une boutique simple est déjà en ligne au bout de quelques jours. Dans le cas de plusieurs boutiques et d’une multitude de produits et de services proposés, il faudra peut-être des semaines, voire des mois. Une grande partie du travail intervient en fait avant et après le déploiement de la boutique. Quels sont les produits à proposer? Quels sont ceux qui ne le sont pas? Les produits exigeant une assistance particulièrement intensive continueront à se discuter en contact direct avec le client. Selon la cible, il conviendra par ailleurs de se demander s’il faut élargir sa gamme et comment intégrer parfaitement des produits additionnels dans le flux. «Même si, de par leur équipement existant, 95 % des imprimeries remplissent les conditions du ‹web-to-print›, beaucoup devront changer leur fusil d’épaule», indique Lucia Dauer. Il faut donc que chaque boutique soit axée systématiquement sur les besoins des cibles visées. En outre et en particulier pour les portails porteurs de «business to business» (B2B), le défi sera de reproduire en boutique les exigences et processus des clients professionnels. «Cela suppose de se pencher de très près sur chaque client et peut parfaitement aboutir dans certains cas à une restructuration interne», précise la chef de produits de Heidelberg. Prévoir les ressources Outre les capacités nécessaires en serveurs, les imprimeries doivent aussi disposer du personnel préposé à l’administration des tm rsi stm fgi bt 1|2013 60 Web to print Réussir sur Internet boutiques en ligne. «Dans les petites imprimeries, il suffit souvent d’une personne du prépresse ayant suffisamment de temps pour s’occuper des produits en ligne, pour gérer les utilisateurs ou pour administrer la boutique», déclare Lucia Dauer. «Cette personne n’a pas besoin d’être spécialiste en informatique, mais devrait en maîtriser les bases et s’y connaître, par exemple, en ‹serveurs proxy› et ‹firewalls›.» Un prestataire externe peut aussi assurer l’hébergement et l’administration. Une autre solution est d’utiliser le Web-to-Print Manager comme «Software as a Service». Dans ce modèle, la solution est louée sans investir soi-même dans des capacités. L’avantage: le loyer n’est pas une mensualité fixe, mais dépend des transactions réalisées en boutique. L’expansion des activités en ligne dépend de nombreux facteurs: de l’adaptation de l’offre à la clientèle visée, de même que des prix pratiqués, de la qualité du service et du marketing. Car finalement, il n’y a pas que le client qui n’est qu’à un clic de souris, la concurrence aussi. Et dans le domaine du «Business to Consumer» comme dans celui des particuliers, la guerre des prix est rude. Une imprimerie peut certes échapper jusqu’à un certain point au tourbillon des prix, par exemple par des services particuliers. Il n’en demeure pas moins que la concurrence est impitoyable. Lucia Dauer recommande de ce fait de mettre clairement l’accent du «web-to-print» sur le B2B: «Le déploiement de portails dédiés aux entreprises offrent nettement les plus grandes opportunités de croissance. En outre, les imprimeries peuvent ainsi conforter leur position de partenaire-conseil, mieux fidéliser leurs clients existants et profiter d’avantages concurrentiels dans la prospection de nouveaux clients.» Tout ça suppose toutefois un travail parfait, car l’Internet enregistre le moindre défaut et le rend visible à tous. Les intéressés peuvent ainsi savoir sans problème, à l’aide des appréciations des clients, où la qualité des produits et du service est bonne et où elle ne l’est pas. Sans une stratégie marketing bien claire, on se retrouve en outre vite distancé. «Un portail doit faire l’objet d’une publicité active sur Internet afin d’attirer l’attention de nouveaux clients potentiels», explique Lucia Dauer. «Pour se lancer dans le ‹web-to-print›, il est bon d’acquérir des connaissances de base en marketing sur Internet ou de confier à une agence spécialisée le référencement adéquat dans les moteurs de recherche ou portails de prix.» Là aussi, de même que dans le déploiement de boutiques en ligne, Heidelberg apporte son aide. Ainsi, toute imprimerie optant pour le Web-to-Print Manager bénéficie d’une initiation allant de la conception de la boutique et des maquettes à la tarification et à la création de comptes utilisateurs, en passant par l’administration et le dépouillement. Et si une aide supplémentaire est nécessaire sur des questions stratégiques comme les prix et le marketing, les experts du Business Consulting de Heidelberg sont aussi disponibles. www.ch.heidelberg.com www.heidelberg-news.com Info: Faire des essais grâce à la démonstration enligne du Prinect Web-to-Print Manager: www.hei-cloud.com/hdcustomerdemo/ Voudriez-vous automatiser des actions? Sur le site www.bulletin-technique.ch vous trouverez des AppleScripts pratiques, pour QuarkXPress et InDesign (Mac OS 9.x et Mac OS X), ainsi que des JavaScripts pour InDesign CS2, CS3, CS4 et CS5 (Mac OS X et Windows). Möchten Sie Abläufe automatisieren? Auf www.fachhefte.ch finden Sie praktische AppleScripts für QuarkXPress und InDesign (Mac OS 9.x und Mac OS X) sowie nützliche JavaScripts für InDesign CS2, CS3, CS4 und CS5 (Mac OS X und Windows). tm rsi stm fgi bt 1|2013 61