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BELFORT
le magazine de la ville de Belfort
www.mairie-belfort.fr
> Le nouveau pôle
gynéco-chirurgical prend vie
> Le site Médian à Trévenans
> MIFE cité des métiers : des pistes pour trouver un emploi
février 2005
numéro 155 / 0,76 euro
colloque
> Bientôt un pôle de compétitivité inter-régional
FEVRIER 2005 / n°155
Urgences
SAPEURS POMPIERS
Tél. 18 ou Minitel 36.18
suivi du 03 84 22 18 84
(personnes mal ou non entendantes)
● CENTRE HOSPITALIER
14 rue de Mulhouse - Tél. 03 84 57 40 00
● URGENCES MEDICALES / SAMU
24 h sur 24
Tél. 15
● DÉPISTAGE ANONYME
ET GRATUIT DU SIDA
21, avenue Jean Jaurès - Tél. 03 84 28 17 12
● AIDES (SIDA)
Tél. 03 84 58 17 43
● ALCOOLIQUES ANONYMES
Tél. 03 84 54 09 52
● CENTRE D’ALCOOLOGIE
ET DE TABACOLOGIE
Tél. 03 84 22 31 39
● CROIX BLEUE
25, rue Savoureuse - Tél. 03 84 28 92 98
● LE RELAIS
10, bd Anatole France - Tél. 03 84 21 76 02
● AMBULANCIERS 24 h sur 24
Tél. 03 84 28 35 35
● GENDARMERIE
Tél. 03 84 57 31 00
● PHARMACIE DE GARDE
Se présenter muni d'une ordonnance
au commissariat
● COMMISSARIAT DE POLICE
Rue du Manège - Tél. 03 84 58 50 00
Police-secours - Tél. 17
● DEPANNAGE EDF/GDF
EDF : Tél. 03 84 28 33 23
GDF : Tél. 03 84 28 51 22
● SOS AMITIE
Tél. 03 81 98 35 35
Pratique
ETAT CIVIL
(Mairie et permanences)
Hôtel de Ville, place d’Armes :
(Tél. 03 84 54 24 34)
Etat-civil :
du lundi au vendredi de 8h30 à 12h
et de 13h00 à 17h30 - samedi de 8h30 à 12h
● Trésorerie Belfort Ville
23, rue Thiers - Tél. 03 84 58 45 70
Horaires d’ouverture :
du lundi au jeudi : 9h-12h/13h30-16h30
vendredi : 9h-12h/13h30-16h
● SNCF
Info.-réservations - Tél. 03 36 35 35 35
● TAXIS
Groupement taxis-radio
Tél. 03 84 22 13 44
Taxis de la Roseraie - Tél. 03 84 28 06 15
● CTRB
Place Corbis - Tél. 03 84 21 08 08
● OFFICE DE TOURISME
Rue Clémenceau - Tél. 03 84 55 90 90
● COMMUNAUTE
DE L'AGGLOMERATION
BELFORTAINE - Tél. 03 84 54 24 24
● CAISSE PRIMAIRE D’ASSURANCE
MALADIE
Accueil du lundi au vendredi de 8h30 à 17h.
© photos droits réservés
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> concours Belfort Mag
Répondez correctement et Belfort Mag offre aux cinq premières bonnes réponses deux places
de théâtre pour assister à la représentation «comment faire du
théâtre avec succès» proposée
par la compagnie Cafarnaüm, le
26 mars ?
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de Belfort en ligne
La compagnie Cafarnaüm est
en Résidence :
1- au CCSRB ?
2- à la Poudrière ?
3- à la Maison du Peuple ?
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Belfort mag - BP 709
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Directeur de la Publication : Jean-Pierre Chevènement
Directeur de la Communication, Rédacteur en Chef :
Robert Cerles
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Rédaction : Sandrine Décembre, N. Gauthier, Pol Robert,
Mise en page : J.F. Perrot, Christophe Patrix, Auriane Lancin
Photos : Claude Bailly, Robert Cerles, Régis Antoine
da-real-kikos, Sandrine Décembre
Photogravure : Laser 89 - Dépot légal : février 2005
Impression : Imp. Schraag - Valdoie. Tirage : 29 000 ex.
Couverture : Régis Antoine
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Le jeudi 24 février, au centre de Congrès Atria de Belfort, partenaires industriels, chercheurs, universitaires et
élus de Franche-Comté et d’Alsace lanceront officiellement une démarche conjointe pour la naissance «d’un
pôle de compétitivité» chargé d’imaginer et de créer les
véhicules du futur.
e gouvernement ambitionne
de créer des «pôles de compéL
titivité» sur le territoire national. Il a
lancé le 25 novembre un appel à
candidatures dont la date butoir est
fixée au 28 février. Après sélection
de la Datar, seuls les meilleurs dossiers seront retenus au cours d’un
Comité Interministériel d’Aménagement du Territoire.
Dans cette optique, les deux régions
Alsace et Franche-Comté, ainsi que
les communautés d’agglomérations
de Belfort, Mulhouse et Montbéliard,
se sont unies autour d’un projet lié à
la recherche et au développement de
véhicules du futur.
Pas forcément liés à l’automobile,
mais offrant une vraie modernité dans
le mode du transport.
Pour mobiliser tous les acteurs concernés par cet ambitieux projet,deux
acteurs se sont associés dans cette
démarche. D’une part l’association
PerfoEST, réseau d’entreprises créé
en 1997 qui regroupe aujourd’hui
quelque 160 entreprises de la filière
automobile et, de l’autre, Astrid, association interface entre les entreprises industrielles et les laboratoires de
recherche publique tournés vers la
thématique des transports terrestres.
Une mise en commun favorisée par
le pôle automobile Alsace FrancheComté qui fédère à côté des industriels - 2 constructeurs, 34 équipementiers, 400 fournisseurs représentant quelque 87 000 emplois !-, les
organismes de développement économique (Chambres de Commerce,
Agences de Développement, etc...)
les collectivités locales (Conseils
Régionaux d’Alsace et de FrancheComté, Départements et Communautés d’Agglomération de Mulhouse,
Belfort et Montbéliard).
Pour imaginer et construire ces «véhicules du futur» au cœur de ce
«pôle de compétitivité», les acteurs
du colloque de Belfort présenteront
les trois pistes de travail qu’ils ont
explorées :
> le véhicule propre,
> le véhicule intelligent et les réseaux
de transport intelligents,
> l’excellence de la filière.
Une table ronde animée par le journaliste du quotidien économique, La
Tribune, Yves de Kerdrel, rassemblera des dirigeants de Peugeot Citroën, Général Motors, Faurécia,
Delphi, mais aussi des universitaires
venus de l’UTBM, l’UFC, l’INSA de
Strasbourg, l’UHA, des chercheurs
liés à la pile à combustible ainsi que
des élus.
Ce colloque qui occupera la matinée
du 24 février au Centre de Congrès
Atria, veut dessiner les contours de
ce futur pôle d’excellence que les
deux régions Alsace et FrancheComté ont pour ambition légitime de
porter rapidement sur les fonts baptismaux et de décrire les contours
d’une dynamique porteuse d’avenir.
Infos-renseignements :
[email protected]
page 2
l’édito du Maire
Hôpital Médian :
tous vainqueurs !
par Jean-Pierre Chevènement
L
e 20 janvier dernier, le
conseil d’administration
du Centre Hospitalier de BelfortMontbéliard (CHBM) a pris la
décision d’implanter à Trévenans
le futur site médian, réunissant
les disciplines médico-chirurgicales des hôpitaux de Belfort et
Montbéliard. Cette décision a été
adoptée compte tenu des études
réalisées à la demande de la direction de l’établissement par un
bureau d’études indépendant, sur
la base de critères définis par le
conseil d’administration, notamment la rapidité d’accès aux soins
d’urgence.
De tous les sites proposés, sur le
Pays de Montbéliard comme dans
le Territoire de Belfort, le lieu
dit «les Champs Jacquot» à
Trévenans, outre sa position centrale 1, était le plus accessible
pour les secours et les populations. Aucun autre site ne présentait des caractéristiques aussi favorables. Le site des Grands
Bouloy, à Grand-Charmont, s’inscrit au cœur de l’agglomération
montbéliardaise tandis que celui
de Dambenois n’est accessible,
dans l’état actuel des choses, que
par une route départementale lon«Les Champs Jacquot»
à Trévenans, futur lieu
d’implantation
de l’Hôpital Médian.
gue de 4 km traversant des villages. Il n’y a donc, dans le choix de
Trévenans qui répond à l’intérêt
général des 350 000 usagers
potentiels de l’hôpital, que des
vainqueurs !
Ai-je besoin de dire que cette
décision ne peut en aucune manière être remise en cause par les
déclarations peu responsables de
telle ou telle personnalité ? Elle
engage le conseil d’administration de l’hôpital de BelfortMontbéliard dont je reste le président suppléant, alors même que
le principe de la rotation annuelle
à la tête du conseil d’administration entre les maires de Montbéliard et de Belfort a été inscrit
d’emblée dans le règlement intérieur de fusion. Aucune décision
ne peut intervenir autrement que
dans la transparence et conformément à l’intérêt public. Il ne
peut donc y avoir à ce jour aucune
remise en cause du choix du site
médian tel qu’il a été effectué. Il
était très important pour le ministère de la santé d’obtenir un accord d’ensemble sur le projet
d’établissement, y compris sur le
site médian. C’est maintenant
chose faite, et c’est ainsi que nous
pouvons donner une perspective
claire à l’établissement et à l’ensemble de ses personnels et
j’ajoute, obtenir les financements
du plan Hôpital 2007.
Cette décision n’était
pas facile à prendre car,
à Belfort comme à
Montbéliard, nous n’avons
pas à rougir de nos équipements
hospitaliers. Aujourd’hui,
l’attractivité du CHBM dépasse
largement les frontières de l’aire
urbaine puisqu’on vient de Lure,
l’Isle sur le Doubs, Saint-Hippolyte ou Masevaux pour s’y faire
soigner. Avec 1 561 lits et plus de
4 000 personnes employées, l’activité médicale du CHBM sur un
an est comparable à celle du CHU
de Besançon, voire supérieure
dans certaines disciplines, comme
par exemple l’accueil des urgences (75 000 passages), la maternité (3 800 naissances) ou la cardiologie. Notre hôpital bénéficie
également de services pointus et
renommés, grâce à des praticiens
talentueux. Aussi, je pense qu’il
est utile d’expliquer rapidement
l’origine et l’évolution du projet
d’établissement adopté le 17 décembre 2004.
Une évidence longuement murie
Cinq années ont été nécessaires pour aboutir à
l’idée d’un site médian.
Malgré ce que j’ai pu entendre ou
lire ici et là, cette décision n’a rien
de précipité. Au contraire, ce projet a été longuement mûri.
Certes, l’acte fondateur de cette
fusion, portée à la fin des années
quatre-vingt dix, par Louis Souvet
et par moi-même, concrétisée en
janvier 2000, consistait à développer des pôles d’excellence sur
les deux sites.
Depuis lors, tenant compte d’un
environnement changeant, des
évolutions technologiques et des
exigences, certes légitimes, mais
toujours plus fortes de nos concitoyens, la communauté médicale,
à laquelle je rends hommage, a su
faire évoluer ce projet qui s’inscrit également dans un contexte
de pénurie croissante de médecins dans certaines spécialités
(pédiatrie, chirurgie, anesthésie,
etc.)
> suite de l’édito page suivante
1- Trévenans est à 10 km de la Place Saint-Martin de Montbéliard et à 11 km de la Place d’Armes à Belfort
(source : Michelin)
page 3
Belfort Mag février 2005 n°155
l’édito du Maire
Les services de maternité,
pour bénéficier de la proximité
du service réanimation, et donc
d’une prise en charge sécurisée
de la mère et de l’enfant, seront
localisés à proximité du plateau
technique de Trévenans.
En janvier 2004, ayant décidé en des soins quotidiens apportés aux pour la plupart à Trévenans. Je
accord avec Philippe Garot d’as- malades. Cela demeure l’objectif remarque d’ailleurs que cette sisumer à nouveau la présidence du prioritaire du projet d’établisse- tuation n’est pas propre à l’aire
conseil d’administration dans une ment.
urbaine Belfort-Montbéliard.
Dans beaucoup d’agglomérations
année qui s’annonçait décisive
pour l’avenir du Centre Hospita- Par la suite, les locaux libérés par les naissances sont regroupées
lier de Belfort-Montbéliard, j’ai le regroupement à Trévenans des vers les grands centres hospitaeu à cœur, à l’écoute de la direc- urgences, des blocs opératoires, liers. Par exemple, les petits Gretion, des médecins, des person- de la maternité, permettront noblois naissent à La Tronche
nels soignants et non soignants, d’aménager et d’accroître les ca- dans la banlieue de la métropole
de favoriser l’aboutissement pacités et la qualité de l’accueil à iséroise, les petits Caladois de
d’une démarche engagée quatre Belfort comme à Montbéliard. Villefranche-sur-Saône voient le
ans auparavant.
Chacun des deux sites conservera jour à Gleizé et ne s’en portent
Je passe sur les diverses hypothè- un service de consultations spé- pas plus mal. D’ici quelques
ses examinées à la loupe et débat- cialisées, des services de méde- temps, beaucoup de petits Lyontues longuement : statu quo, site cine qui ne sont pas liés à la chi- nais naîtront à Bron où se consunique, séparation médecine-chirurgie (par exemple l’ophtalmo- truit une nouvelle grande materrurgie... De la discussion a fini logie ou la dermatologie) ainsi nité.
par jaillir l’évidence : un plateau qu’une antenne du plateau tech- Je conçois que certains parents
technique commun sur un site nique afin d’éviter tous déplace- puissent éprouver quelques remédian, articulé autour des deux ments inutiles. Les «maisons grets du fait que leurs enfants ne
sites urbains de Belfort et de médicales de garde» y seront éga- soient pas inscrits sur les registres
Montbéliard, maintenant dans les lement installées. Grâce à la réor- de l’état-civil de Belfort ou de
deux villes une médecine de
Montbéliard. C’est la raiproximité. Seul ce choix était Accroître les capaci- son pour laquelle, j’ai saisi
à même d’assurer le dévele Garde des Sceaux, miloppement du CHBM, en tés et la qualité de nistre de la Justice, afin
prenant en compte la réalité l’accueil à Belfor t que soit examinée la posde l’aire urbaine. Telle a été,
sibilité d’enregistrer au
en mai 2004, la proposition comme à Montbéliard. lieu de résidence des pade la commission médicale
rents la naissance d’un end’établissement présidée par le ganisation des sites urbains, une fant, lorsqu’elle intervient sur le
docteur Nachin. Le conseil d’ad- meilleure prise en charge des per- territoire d’une autre commune,
ministration en a pris acte positi- sonnes âgées sera possible alors comme ce devrait être souvent le
vement dès le 25 juin 2004. Il a, le même que, chacun le sait, dans ce cas... à partir de 2012.
17 décembre 2004, approuvé le domaine les besoins sont imporprojet d’établissement avec la tants. De même, notre établisse- Vous savez que le Conseil d’Adclaire mention d’un site médian ment ne souffrira plus du déficit ministration de l’Hôpital et moifacilement et également accessi- actuel en places de psychiatrie, et même n’avons agi que, dans l’inble de tous les points de l’aire surtout en lits de soins de suite et térêt de la population de l’Aire
urbaine.
de rééducation. Tout cela favori- urbaine tout entière, pour donner
sera l’accès aux patients des fa- au Centre Hospitalier de Belfort
Bien entendu, les deux milles habitant à proximité.
Montbéliard et à la communauté
sites de Belfort et de
médicale et aux personnels
Montbéliard n’ont pas la Les services de mater- soignants, les moyens de le metmoindre raison de dispa- nité, pour bénéficier de la proxi- tre en œuvre.
raître. Nos deux hôpitaux ont mité du service réanimation, et
d’ailleurs bénéficié de rénova- donc d’une prise en charge sécu- Demain, nous pourrons
tions importantes au cours de ces risée de la mère et de l’enfant, obtenir les équipements
dernières années. C’est ainsi que seront localisés à proximité du médicaux du meilleur
nous venons d’inaugurer à Bel- plateau technique de Trévenans. niveau et attirer des équipes de
fort une clinique gynéco-chirur- Par conséquent, demain, les pe- jeunes médecins hautement quagicale de 127 lits, particulière- tits Belfortains, mais aussi les lifiés, indispensables pour garanment spacieuse et agréable.
petits Montbéliardais, ceux de tir à l’avenir une offre de soins
Je rappelle que le site médian Châtenois les Forges, de hospitalière de qualité pour l’enne sera pas en service avant Giromagny ou de Delle, comme semble des 350 000 habitants de
2012. D’ici là, il faut que la vie ceux de Sochaux, d’Hérimon- l’aire urbaine.
continue ! Il importe, notamment, court, ou de Mandeure dans le
d’améliorer l’accueil et la qualité Pays de Montbéliard, naîtront
page4
Techn’hom :
objectif 7 500 emplois et plus
De la même façon, c’est avec la
volonté de préparer l’avenir que
nous avons présenté le 6 janvier,
Yves Ackermann, président du
conseil général du Territoire de
Belfort et Christian Proust, président de la Sempat 2, et moi-même
au nom de la Communauté de
l’Agglomération Belfortaine, le
Techn’Hom prévoit donc
l’aménagement et la
mise en valeur de l’ensemble constitué par le
Technopôle et le site
Alstom. La priorité est l’installation de nouvelles activités industrielles dans les 70 000 m2
actuellement vacants.
Le programme d’aménagement
distinguera trois zones :
Aménager et mettre en valeur
l’ensemble constitué par le
Technopôle et le site Alstom.
projet de redynamisation du site
Alstom. Intitulé Techn’Hom. Ce
projet a pour objectif d’assurer le
maintien des 7 500 emplois proposés par les 90 entreprises présentes sur le site Alstom et le
Technopôle de Belfort.
En 2004, Alstom a
échappé de justesse à la
faillite. Si le pire a été
évité, l’avenir est loin
d’être assuré, tout particulièrement en ce qui concerne le
maintien à Belfort des activités
qui constituent les deux pôles
d’excellence du groupe, le transport ferroviaire et surtout
l’énergie.
Assurer le maintien
des 7 500 emplois proposés
par les 90 entreprises sur le site.
2- Société d’Economie Mixte Patrimoniale du Territoire de Belfort.
3- Alstom Magnets Ind. Superconductors.
4- Sous réserve que le conseil municipal
décide d’adopter cette appellation qui lui
sera soumise.
page5
L’annonce récente de 150 suppressions d’emplois au sein de
MSA 3, spécialisée dans la fabrication des supra-conducteurs, accroît nos inquiétudes. Pour conforter Alstom sur le site de Belfort
et assurer sa pérennité, le groupe
et son principal actionnaire l’Etat,
ont une responsabilité essentielle
que nous ne manquerons pas de
leur rappeler. De notre côté, nous
n’accepterons pas que se crée une
friche industrielle au cœur de l’agglomération belfortaine !
> la première, à l’est de
l’avenue des Sciences et de l’Industrie 4 (qui prolongera celle du
Maréchal Juin), doit permettre
aux unités industrielles lourdes
d’Alstom en se regroupant sur un
site de constituer le centre d’excellence industrielle du groupe
Techn’Hom,
en France,
projet
majeur pour l’emploi
et pour le développement
industriel de Belfort
et du Territoire.
> la deuxième, à
l’ouest de l’avenue, doit, par le
réaménagement
des espaces extérieurs, faciliter
l’implantation d’entreprises nouvelles dans les bâtiments vacants,
> la troisième, au sud de l’avenue
des Trois Chênes, regroupant le
technopôle et l’ensemble constitué par les parkings et le stade,
doit conforter par ses aménagements la réussite du technopôle et
son articulation avec le site
Alstom.
Techn’Hom, projet majeur pour
l’emploi et pour le développement
industriel de Belfort et du Territoire de Belfort a reçu un accueil
favorable. La Communauté de
l’Agglomération Belfortaine et le
Conseil Général portent ce projet.
Nous attendons qu’il soit soutenu
vigoureusement tant par la Région Franche-Comté, que par
l’Etat et, bien entendu, Alstom.
J.-P. C.
curbanisme
e n t r e
h o s p i t a l i e r
L
La configuration du bâtiment compte 135 lits : 8 de
garde SAMU, 8 en hôpital de jour, 68 chambres
individuelles et 24 chambres à 2 lits.
Les travaux d’extension
du centre hospitalier
viennent de s’achever.
De nombreuses réalisations améliorent l’accueil, le confort et
l’accès aux soins des
patients. Visite guidée
en compagnie de Philippe Garot, adjoint au
Maire chargé des Affaires sociales.
a construction du nouveau
bâtiment du centre hospitalier a démarré en juin 2001 et
ses locaux ont été inaugurés le 14
janvier dernier. Cette extension
s’étend sur 7 560 m2 de bâtiments
neufs et sur 2 690 m2 de locaux
existants réaménagés. Une modernisation rendue possible grâce
à la fusion en 2000 des hôpitaux
de Belfort Montbéliard. «Ces travaux s’élèvent à 14 253 504 euros.
La fusion a permis à l’Etat de les
financer sur le fond d’investissement de modernisation des hôpitaux», précise Philippe Garot,
adjoint au Maire chargé des Affaires sociales.
accueillis au rez-de-chaussée, le
futur service de gynécologie est
situé au premier étage en liaison
directe avec le bloc gynécologie
et le service de maternité.
Au deuxième étage s’intercalent
le service ORL et la stomatologie
ainsi que la nouvelle salle de
réveil (16 postes) située entre
le bloc général et les services.
Enfin, la chirurgie générale,
digestive et viscérale s’installera
au troisième étage.
Le bâtiment Pont
«Ce nouveau bâtiment respecte
les toutes nouvelles normes antisismiques. Pour sa construction,
135 lits
La configuration du bâtiment
compte 135 lits : 8 de garde
SAMU, 8 en hôpital de jour, 68
chambres individuelles et 24
chambres à 2 lits. Pour l’essentiel, les chambres sont individuelles afin de garantir l’intimité du
patient et de préserver sa tranquillité. De plus, elles sont lumineuses et offrent une très belle
vue sur le Lion, le square Lechten
et la Miotte.
Le bâtiment est raccordé à l’existant par plusieurs galeries directement accessibles depuis les ascenseurs situés dans l’entrée principale. Les urgences et le service
traumatologie- orthopédique sont
page6
Le nouveau pôle
gynéco-chirurgical prend vie
> service jeunesse
Dire les maux...
il a fallu le désolidariser totalement des bâtiments actuels tout
en s’y raccordant. Cela n’était
possible qu’en réalisant au-dessus des urgences, une structure
particulière appelée bâtiment
pont». Des structures porteuses
verticales en béton ancrées profondément sous l’hôpital par des
micro-pieux supportent une char-
pente métallique sous laquelle
sont suspendus deux niveaux.
Aménagements
complémentaires
343 375 euros ont été consacrés à
l’aménagement de l’entrée principale rue de Mulhouse. Les voies
d’accès à l’hôpital, l’Esplanade,
la rue de Mulhouse, l’arrêt de
bus, l’éclairage urbain seront également revus. Enfin, les usagers
se sont déjà habitués à la rampe
d’accès pour les personnes à mobilité réduite ainsi qu’à la présence du poste de contrôle et au
SAS des urgences.
Dans le cadre de l’opération «dire les
maux avec les mots» le Service Jeunesse
de la Ville de Belfort en partenariat avec
le Service de Promotion de la Santé de la
Mutualité Française, propose une séance
de Théâtre Interactif Suen Fu : l’école de
la vérité, le mercredi 2 mars 2005 au
Centre Culturel et Social de Belfort-Nord,
de 18 à 20 heures.
Il sera question de l’esprit de compétition,
de la loi du silence, du recours à la violence et au racket afin de réaliser des
objectifs personnels...
Ce spectacle est destiné à tous les publics,
mais il devrait intéresser plus particulièrement les adolescents et leurs parents.
Ateliers
L’antenne du service jeunesse des
Glacis du Château-Centre-Ville
propose chaque jour de nombreux
ateliers aux 12-26 ans.
Un plateau
de haute technologie
à Trévenans
Un plateau hospitalier de haute technologie commun sera
mis en place à l’horizon 2010 sur un site médian entre
Belfort et Montbéliard. Il comptera 450 lits et permettra
le regroupement et l’acquisition de matériel de pointe.
“L
ors de la fusion des
deux sites il y a quatre ans, l’acte fondateur prévoyait le maintien des deux sites urbains auxquels s’ajoutait
la création d’un plateau technique, commente Philippe
Garot. Le site médian de
Trévenans regroupera sur un
même lieu les principales disciplines médicales ainsi que
du matériel coûteux de haute
technologie en imagerie médicale.
page7
Ainsi, les patients n’auront plus à
se rendre à Besançon pour y passer un PET-scan, appareil permettant de déterminer l’impact
de certains cancers. Ce site réunira donc l’équipement de haute
technologie dont nous disposons
dans toutes les disciplines.
Il regroupera également les
moyens humains, permettant ainsi
au personnel médical de travailler
sur des plages horaires plus raisonnables. Le conseil d’administration de l’hôpital a choisi
Philippe Garot, adjoint au Maire
chargé des Affaires sociales.
Trévenans pour y installer ce
plateau technique. Ce site répondait à tous les critères fixés,
comme l’équidistance et l’équivalence de temps d’admission
entre les deux villes, l’accessibilité à partir de l’autoroute ou
encore, la possibilité de d’y aménager un héliport».
> Lundi de 17h à 19h «Atelier Jeu de
Rôles».
> Mardi de 18h à 20h «Atelier Presse».
> Mercredi de 14h à 17h «Atelier Photo
Numérique».
> Mercredi de 17h à 19h «Atelier Regards-Télé» avec les Médianautes.
> Jeudi de 18h à 20h «Atelier Jeu de
Rôles».
> Samedi de 13h à 14h «Atelier Percussions».
Ateliers sports :
> Mardi (foot) de 17h30 à 19h30 avec le
Club Ados.
> Mardi (foot) de 20h à 22h.
> Mercre. (sport-co, filles) de 16h30 à 18h.
> Jeudi (basket) de 18h à 19h30.
> Jeudi (foot) de 20h à 22h.
Renseignements et inscriptions :
Prendre contact auprès d’Eric Walter à
l’antenne des Glacis du château - Centre
Ville ou par téléphone au 03 84 22 21 89.
> en bref
v i e
a s s o c i a t i v e
Le lundi de Pentecôte
reste férié :
le FIMU est sauvé !
Le 21 Janvier dernier,
l’association Colchique
inaugurait ses nouveaux
locaux 5 avenue Charles
Nouveaux locaux
pour Colchique
Bohn. L’occasion pour
Jean-Pierre Chevènement
de saluer cette association
dynamique oeuvrant pour
le bien-être des personnes
âgées.
Chantal Parisot,
directrice de l’association Colchique.
“L
e nouvel espace de
400 m2 atteste aujourd’hui de la croissance de l’activité de l’association, de l’importance de sa mission... et de façon
générale, de la place qu’occupent désormais les services destinés aux retraités dans le développement économique, Colchique
est devenu en quinze années
d’exercice l’un des acteurs majeurs de la politique gérontologique locale» a souligné le maire
de Belfort lors de sa visite inaugurale. L’association est en effet
associée à tous les travaux menés
avec la Maison des Aînés, le
C.C.A.S., la Confédération de Gérontologie. «Nous ne pouvons que
nous féliciter de compter sur des
acteurs de qualité pour construire
l’avenir de nos aînés» poursuit
Jean-Pierre Chevènement.
Colchique soutient à domicile les
personnes âgées et/ou handicapées ayant besoin d’une aide à la
vie quotidienne, ponctuelle ou durable. Cette aide touche des domaines aussi divers que le ménage, les courses, la mobilisation, la présence, l’échange, la
compagnie, les promenades...
«C’est une jeune association de
15 ans... la fleur de l’âge mais
déjà une notoriété et une reconnaissance importante dans le domaine des services aux personnes. Aussi, depuis 1989 son activité a été multipliée par neuf passant de 35 450 à 334 337 heures
effectuées au domicile, ce qui
place Colchique comme leader
dans son domaine. Les chiffres
sont éloquents et montrent combien la ténacité d’une équipe de
professionnels et d’administrateurs, porteurs d’une belle ambition, peuvent développer un véritable projet social et économique
au sein de note ville et notre département» a conclu Jean-Pierre
Chevènement.
Par ailleurs, l’association a été
pionnière par la mise en place dès
sa création un programme de formation continue pour l’ensemble
de son personnel, soutenue dans
cette orientation par la Ville de
Belfort.
Comme à Nîmes pour la Feria, le Territoire de Belfort fait partie des exceptions culturelles. Pour maintenir son
Festival International des Musiques
Universitaires (FIMU) le lundi de Pentecôte reste férié et le lundi de Pâques ne
le sera plus. Le FIMU, c’est en effet trois
jours de musiques, plus de 60 000 spectateurs et 300 groupes venus de 30 pays.
Portes Ouvertes
aux lycées Follereau
et Cassin
Le Lycée d’Enseignement Général et
Technologique Raoul Follereau et les 2
Lycées Professionnels René Cassin et
Raoul Follereau, 3 rue Louis Marchal
ouvrent leurs portes le samedi 5 mars de
8h30 à 11h30.
Cette manifestation s’adresse essentiellement aux élèves de 3ème qui devront,
dans quelques temps, choisir leur orientation future pour leur entrée en Lycée.
Aussi, pour les aider dans cette sélection, tous les Personnels et les élèves,
présenteront les options de Seconde
Générale et technologique, les filières
de Baccalauréat Général, technologique
et professionnel, les filières de BEP, de
CAP, de BTS, ainsi que la Section Sportive Football et la Classe Européenne.
Enfin, les élèves et leurs familles pourront également visiter le restaurant et
l’internat, l’Association Sportive...
page8
> le 10 mars
éducation
Offrir une chance
supplémentaire
Forum des jobs
saisonniers
Premier forum de ce type sur le
Nord Franche-Comté, il se déroulera le 10 mars de 10h à 18h au BIJ.
Le principe de cette journée consacrée aux jobs saisonniers est de proposer des aides aux jeunes et aux
adultes pour trouver un poste. De
nombreux partenaires s’unissent pour
informer, conseiller, guider le public
dans sa recherche de job au niveau
local, national ou même international. Parmi eux, seront présents
l’ANPE, le BIJ, la mission départementale locale, la direction départementale du travail et de l’emploi, la
direction départementale de la jeunesse et des sports, la Mife, l’association Com’et. ...
Jean-Pierre Chevènement et
Edith Cresson ont annoncé
la création «d’une école
de la deuxième chance»
à Belfort.
C
haque année en France,
70 000 jeunes sortent du
système scolaire sans aucune formation ni diplôme. «L’école de la
deuxième chance s’adresse à ces
jeunes, de 18 à 25 ans, sans diplôme ni qualification, à la recherche d’une insertion professionnelle ou d’une qualification
sanctionnée par un diplôme», a
précisé Edith Cresson, Présidente
de la Fondation des Ecoles de la
deuxième chance, lors de sa visite à Belfort le 13 janvier.
L’ancienne Premier ministre, est
en effet l’initiatrice de ces écoles
qui se développent au niveau européen.
Un taux
de réussite élevé
Ces écoles ont pour mission de
donner aux jeunes les savoirs de
bases : lire, écrire, compter, tout
en faisant des stages en entreprises et en leur permettant d’acqué-
rir des compétences et une ouverture sur le monde.
«Le principe de cette école repose sur une pédagogie personnalisée et adaptée à chacun, précise Hubert Belz, adjoint au Maire
chargé de la vie économique. Les
groupes sont composés d’un petit
nombre d’élèves. Le bon fonctionnement de cette école dépend
de la mise en place de partenariats solides avec les chambres
consulaires, les organismes de
formation... Pour mettre en place
cette école nous observons le fonctionnement de la dizaine d’E2C
implantées en France. 65% des
jeunes y ont trouvé un contrat
d’embauche ou intégré une formation complémentaire. Pour
l’heure nous devons recruter un
directeur très compétent et des
formateurs issus de l’Education
nationale ou du milieu professionnel. Puis, une soixantaine de
jeunes intégreront la première
promotion».
> en bref
Le Salon du Voyageur
Le 19 février de 13h à 21h au centre de congrès Atria, de nombreux
Offices de Tourisme présenteront leur région. Des Tour-Opérators
tels que Jet Tours, Marmara, Tourivac, Starter, Quartier Libre,
Costa Croisière... ouvriront les portes sur des destinations de rêve.
Enfin, à cette occasion un tirage au sort permettra de gagner des
voyages et de nombreux lots.
page9
L’agence ANPE de Belfort, qui coordonne ce forum avec le BIJ a par
ailleurs invité l’équipe professionnelle hôtellerie -restauration de
l’Agence de Montbéliard ainsi que
l’équipe aide sociale de l’ANPE
Audincourt. Ce forum mettra également à disposition des intéressés, des
outils informatiques pour effectuer
des recherches et offrira la possibilité
de tirer son CV en dix exemplaires.
Enfin, un guide d’informations pratiques (législation...) sur ces premiers
boulots sera également édité par
l’ANPE. «Le job saisonnier concerne
beaucoup de jeunes adultes mais aussi
des adultes, explique Nicole Sivert,
directrice de l’agence belfortaine de
l’ANPE. C’est la première porte d’entrée dans le domaine du travail. Souvent ces jobs débouchent sur une
ouverture professionnelle. Cette première expérience mérite d’être encadrée. D’autant qu’à eux seuls ces
jobs représentent un beau volume
d’heures de travail et un personnel
très nombreux. Nous avons donc tenté
de structurer l’information et de la
rendre plus accessible aux jeunes
tout en offrant la possibilité aux entreprises de trouver plus facilement
du personnel . Nous souhaitons donc
faire de ce forum un temps fort tout en
proposant à cette occasion un guide
«agir» de l’ANPE consacré exclusivement à ces jobs».
urbanisme
urbanisme
v i e
> samedi 19 mars
m u n i c i p a l e
Journée
Portes ouvertes
Le samedi 19 mars à Belfort,
Montbéliard et Vesoul, le mercredi 16 mars à Besançon, l’Université de Franche-Comté ouvre
ses portes aux lycéens de terminales, mais aussi à un public plus
large, parents, amis, professionnels, curieux de connaître les formations proposées localement, et
de découvrir les établissements
et leurs équipements.
Déplacements
urbains et humains
Et si on se déplaçait
différemment en ville ?
En bus, à pied ou à vélo ?
Et si la ville gagnait en
convivialité et ses habitants bénéficiaient d’une
plus grande liberté dans
leurs déplacements ?
Le syndicat mixte des
transports et la maison du
temps et de la mobilité
offrent des solutions et
engagent la discussion.
D
ans le cadre de l’élaboration du Plan de déplacement Urbain engagé par le Syndicat Mixte des Transports, la Maison du Temps et de la Mobilité a
édité des plaquettes d’information et de sensibilisation. On y
découvre les différents temps
d’accès à vélo, à pied ou en bus
d’un point à un autre de la ville.
«J’y ai appris à ma grande surprise que prendre le bus me ferait
gagner du temps, note Evelyne.
Cette Belfortaine habite dans la
zone piétonne et travaille près du
stade Mattler. Financièrement
c’est plus intéressant. En comptant, les frais d’essence, l’entretien plus fréquent et le stationnement, je suis gagnante ! Le bus me
coûte trois fois moins cher».
«A l’aide de ces plaquettes d’information nous souhaitons engager le dialogue et une réflexion
avec le public pour établir le futur Plan de déplacement urbain,
précise Christian Proust, président du syndicat mixte des transports en commun. Les questions
du déplacement ne peuvent en
effet pas se résoudre uniquement
par une approche technocratique. Ces plaquettes proposent
plusieurs modes de déplacement.
La voiture n’est évidement pas
notre ennemie, c’est l’un des
Tous les détails de ces journées
sur le site de l’Université de
Franche-Comté sur :
www.univ-fcomte.fr
Les horaires de la journée sont de
9h à 17h.
modes de transport possible. Il
vaut mieux plusieurs solutions
qu’une seule. Enfin, la seconde
idée est de proposer des solutions
pour que Belfort soit plus accueillante, plus solidaire et plus
dynamique encore... ».
Cinq plaquettes d’informations ont été
créées et tirées à 10 000
exemplaires sur les thèmes :
«allez-y à vélo», «allez-y à
pied», «allez-y en bus» ou
encore «profitez de la pause
déjeuner» et «osez la nuit».
Renseignements :
> Site IUT :
www.iut-bm.univ-fcomte.fr
Tél. 03 84 58 77 12
> Site STGI :
http://stgi.univ-fcomte.fr
Tél. 03 81 99 46 62
page10
> en bref
Bus Neige
Le SMIBA et la Maison du Tourisme
proposent un «Bus Neige» de Belfort au
Ballon d’Alsace.
Il circule tous les dimanches de février
(6 - 13 - 20 -27), ainsi que tous les jours
durant les vacances scolaires du 7 au 19
février. Il est conseillé de se renseigner
quotidiennement sur la circulation du
Bus grâce au répondeur Info Neige
au 08 92 68 25 90. Les informations et
les réservations se font à la Maison du
Tourisme et du Territoire de Belfort
au 03 84 55 90 90.
Enfin, les réservations sont obligatoires
pour les groupes et conseillées pour tous.
Une priorité est en effet accordée aux
clients ayant réservés.
Que peut-on opposer aux
assauts des aleurodes et
autres parasites de nos
plantes ?
Des bataillons d’acariens
et de pucerons qui tiennent dans un... bocal.
Aux serres municipales, les
160 000 plantes semées et
élevées bien au chaud sont
choyées et protégées grâce
à la PBI ! Explication.
Plaisirs d’Hiver
au Ballon d’Alsace
Dans le mains de Florence Tonelli,
un bataillon complet d’acariens tueurs...
Sus aux insecticides,
place à la PBI !
C
Sous la loupe de Pascal Martin les
«thrips» ravageurs.
En savoir plus ?
Service des «Espaces Verts»
Tél. 03 84 54 26 46.
page11
omme le dirait la figure
emblématique des jardiniers belfortains, le truculent Gilbert Divoux, «dans les jardins ce
n’est pas la grosse bête que l’on
doit redouter», mais ces bestioles
minuscules qui dévorent les jeunes pousses. Ces parasites qui
prolifèrent et se reproduisent à la
vitesse d’un TGV.
Avant on utilisait, comme partout ailleurs, des insecticides et
autres produits issus de l’industrie chimique. «C’était un travail
lourd et dangereux. On traitait
les serres le vendredi en fin de
service hebdomadaire, raconte
Marie Pierre Bazan, la jeune directrice des espaces verts de la
Ville de Belfort. Les agents s’habillaient de combinaisons et portaient des masques. L’accès aux
serres étaient fermé durant deux
jours. Et ces traitements phytosanitaires devaient être répétés
quelques semaines plus tard».
Depuis un an la municipalité a
décidé d’introduire un nouveau
mode de traitement de plantes qui
orneront massifs et jardinières : la
PBI, la protection biologique intégrée. «Il s’agit, dans le cadre du
plan vert, d’utiliser des prédateurs naturels qui vont tuer les
ravageurs, précise, Pascal Martin,
l’adjoint au maire chargé de l’environnement. Nous utilisons les
ressources de la nature pour
mieux gérer notre environnement».
En résumé, on se sert des insectes
utiles pour faire le travail...
En utilisant des «bataillons de
prédateurs naturels qui tiennent
dans un flacon, on stoppe net les
attaques de «thrips», ces amateurs de jeunes pousses de cyclamens».
Efficace, même si c’est plus cher
qu’un insecticide traditionnel.
«Nous dépensons 1 300 euros par
an pour cette PBI, précise encore
Pascal Martin, contre 300 euros
auparavant pour un traitement
annuel phytosanitaire. Mais le
jeu n’en vaut-il pas la chandelle,
ne serait-ce que pour préserver
la santé des agents et protéger
notre environnement ?»
D’ailleurs, depuis que cette PBI a
été introduite aux serres municipales, des prédateurs naturels sont
réapparus sous les verrières,
comme les syrphes, les araignées
ou les guêpes.
Prochaine étape : l’extension de
cette protection biologique aux
espaces extérieurs...
La Maison du Tourisme a édité une
brochure intitulée «Plaisirs d’Hiver» consacrée au Massif du Ballon d’Alsace.
Féru de sports de glisse, adepte de la luge
familiale et des batailles de boules de
neige, ou tout simplement amateur de
grand air, vous trouverez tous les renseignements nécessaires pour préparer votre sortie au «Ballon» dans la revue «Plaisirs d’hiver» disponible à la Maison du
Tourisme. Elle répertorie les activités
qu’il est possible de pratiquer : ski de
fond, ski alpin, rando-raquettes, surf,
ski-handi, accrobranche, orientation, jardin d’enfants, luge, vente de forfaits,
cours et enseignements, location de matériel... Elle contient également toutes
les bonnes adresses pour partager en
toute simplicité un bon repas ou une
délicieuse tarte aux brimbelles ainsi que
des formules d’hébergement pour tous
les goûts et toutes les bourses.
Tél : 03 84 55 90 90.
www.ot-belfort.fr
Journée
Internationale des
Du lundi 28 février
au vendredi
Journée Internationale
4 mars
des Femmes, dont le
thème est «corps de
femmes», la Ville de
Belfort et les associations organisent des
rencontres et programment un spectacle», explique Corinne
Vasener Schaeffer,
L’association «Femmes Actives»
organise une exposition relative
au savoir-faire des femmes turques au siège de l’association
«Femmes Actives» du 14 au 18
mars de 9h à 12h et de 14h à 16h
(23, rue de Mulhouse).
Poteries, bijoux, dentelles, broderies, tapis... Tout le savoir-faire
des femmes turques sera présenté
lors d’une exposition riche en
couleurs et en imagination. Les
visiteurs seront invités à rencontrer ces artistes autour d’un thé à
la menthe et de mets
culinaires préparés
par leurs soins.
«Toi zé Moi» à
la Maison du
Peuple.
© photo droits réservés
«Dans le cadre de la
Mardi 8 mars
Spectacle gratuit à 20h 30 à la
Maison du Peuple : «Toi zé Moi»
Dans le contexte d’une journée
de grève nationale, plusieurs couples excentriques imaginés et
L’association «AIDES» sera présente dans le Hall de la Maison du
Peuple
adjointe au Maire
chargée des Droits
des Femmes.
Contact :
Mairie de Belfort.
Evelyne Kuder
Tél. 03 84 54 24 24.
interprétés par Marie Blanche et
Alain Chapuis vaquent à leurs
occupations. Ex-lofteurs devenus
SDF, retraités reconvertis dans la
danse de salon, «agent d’ambiance municipal» imposant ses
services à une administrée, traductrice approximative d’un orateur anglophone et autres couples
désopilants sont tour à tour mis
en scène. Sur toile de fond caricaturale, cette comédie à sketches
pose quelques questions bien senties sur les relations hommes-femmes. Une réjouissante prestation
mise en scène par Philippe Riot
et en lumières par Jacques
Rouveyrollis.
Billetterie : Les places sont à
retirer à l’accueil de la mairie à
partir du 1er mars.
Jeudi 10 mars
Corps
de femmes
Pour sa première opération médiatique dans le domaine de la
lutte contre la prostitution, l’antenne belfortaine du mouvement
«NID» proposera une exposition
photographique interactive sur le
thème «la prostitution : le client
en question»
Pour cette manifestation, le public est attendu au Centre Culturel et Social Résidences Bellevue
de 9 à 17 heures
Bernard Lemettre, Président national du mouvement «NID» inaugurera cette manifestation et animera en fin de matinée une conférence de presse.
page12
Loi Veil : 30 ans déjà !
Femmes
Des ateliers de formation destinés aux acteurs et aux professionnels du social auront lieu de 14 à
17 heures.
Lundi 14 mars
Dans le couple, les droits de la
femme sont-ils égaux à ceux du
mari ou du compagnon ? Si en 200
ans beaucoup de chemin a été parcouru, existe t-il encore aujourd’hui
des domaines réservés ?
«D’égale à égal»
Catherine Philippe, maître de
conférence à la faculté de droit de
Besançon, présentera l’évolution
du statut de la femme dans le droit
privé français, au cours d’une
soirée-débat organisée à la Maison du Peuple salle 327 le 14
mars prochain. Entrée libre et
gratuite.
Contact : Mairie de belfort. Service Droits des Femmes.
Vendredi 18 mars
Dans le cadre des Jumelliades un
groupe de femmes de Leonberg,
de Stafford et de Belfort échangera et partagera réflexions et pratiques dans le domaine de la lutte
contre les violences à l’égard des
femmes.
Cette journée débutera par la visite de la Maison des Femmes et
sera suivie d’une présentation par
l’association Solidarité Femmes
des dispositifs d’accueil et de prise
en charge des femmes en difficulté.
page13
Trente ans après la loi Veil autorisant l’interruption volontaire
de grossesse, il reste à la femme bien des combats à mener
et du chemin à parcourir.
Constat par Corinne Vasener Schaeffer, adjointe au maire,
chargé des Droits des Femmes.
En novembre 2004, l’INSEE a révélé
que les écarts de salaire entre hommes et femmes sont en moyenne de
22 %.
Et 72 % des entreprises de plus de 50
salariés n’ont jamais organisé de négociations spécifiques sur les thèmes
de l’égalité professionnelle entre
hommes et femmes, alors que la loi
Roudy de 1983 oblige l’entreprise à
établir un bilan comparatif.
> Rencontre...
«Halte
à la violence faite
aux femmes»
Rencontre avec la population du Territoire de Belfort
et du Pays d’Héricourt. Entre
le 24 février et le 12 mars
A l’initiative d’Amnesty
International, soutenue par
Solidarité Femmes, Parenthèses à la violence, et l’ACAT.
Les militants, présents dans plusieurs lieux connus et fréquentés,
inviteront les Belfortains, les
Hericourtois et les Dellois, à manifester symboliquement leur
opposition à toutes les formes de
violences faites aux femmes.
Venez les rencontrer !
> 4 AS : 4 mars 16h-18h
> Rue piétonne de Belfort :
12 mars 15h-17h
> FNAC : 8 mars 17h-19h
> Cinémas des Quais : 24 février
18h-20h suivi de la projection
«NE DIS RIEN»
> Marché des Résidences :
9 mars 10h-12h
> Centre ville d’Héricourt :
4 mars 16h-18h
> Lycée d’Héricourt :
4 mars 12h-14h
> Restaurant inter entreprise
Technopôle Belfort :
7 mars 12h-14h
> Centre ville de Delle :
5 mars pendant le marché.
Corinne Vasener Schaeffer, adjointe au
Maire chargée des Droits des Femmes.
C
ontre les inégalités professionnelles persistantes, contre les violences conjugales ou contre les nouvelles formes de discrimination et de sexisme, force est de
constater que la bataille n’est pas
gagnée. Si l’instruction a été pour la
femme la clé de l’émancipation, la
conquête des droits personnels et
sociaux se révèle bien plus difficile.
Trente trois ans après la première loi
sur l’égalité salariale, un projet de
plus sur l’égalité salariale et professionnelle entre hommes et femmes
est en gestation. L’objectif du gouvernement étant de parvenir à l’égalité à l’horizon 2010 ! Il est temps !
Piégées dès l’école, les femmes restent cantonnées sur une palette de
métiers où elles se font concurrence
et se trouvent davantage frappées
par le chômage et la précarité.
Aujourd’hui encore, seulement 20 %
des ingénieurs sont des femmes !
Le combat pour la citoyenneté et la
dignité est loin d’être gagné. Songeons que ce n’est que depuis le 1er
janvier 2005, que la mesure concernant l’éviction du conjoint violent
hors du logement est effective ! Les
femmes victimes de violences conjugales, enfin, ne subiront plus «la double peine», celle d’être victime et celle
de devoir quitter le domicile pour
échapper aux violences de leur époux.
C’est également depuis le 1er janvier
que la loi du 4 mars 2002 relative au
nom de famille s’applique. Un nouveau dispositif qui n’est plus fondé
sur la prééminence du nom du père.
Bref, plus que jamais nous devons
rester vigilant(e)s.
Invisibles violences
Six associations proposent la projection sur 7 jours
de 7 films traitant des violences que l’on ne voit pas.
E
n préambule à la semaine nationale d’éducation contre le
racisme, Cinémas d’aujourd’hui, le
Comité Inter Entreprises des Trois
Chênes, la Ligue des Droits de
l’Homme, le Mouvement contre le
Racisme et pour l’Amitié entre les
Peuples, Amnesty International et Solidarité Femmes se retrouvent pour
organiser la deuxième édition du festival «sept jours, sept films, c’est
engageant». Le thème retenu cette
année est «les violences invisibles».
Aux sept films proposés s’ajoutent
un court-métrage réalisé par des étudiants du département Carrières Sociales de l’IUT Belfort-Montbéliard
et un documentaire, «Jours précaires», du cinéaste Cyril Menneguin.
Trois soirées débats seront animées
les 23 et 24 février, ainsi que le mardi
1er mars, par Cyril Mennegun et des
étudiants de l’IUT, l’association Solidarité Femmes et le MRAP.
Un programme est disponible à la
Mairie de Belfort et au Cinéma des
Quais ainsi qu’à l’association Cinémas d’aujourd’hui.
v i e
m u n i c i p a l e
Jumelliades 2005
La 3ème édition des
«Jumelliades» de Belfort
se déroulera les 18 et 19
mars prochains.
Renseignements :
Service Fêtes & Cérémonies
Tél. 03 84 54 24 20.
L
es deux premières éditions
avaient permis de nombreux échanges culturels, sportifs et touristiques. «Elles étaient
l’empreinte d’un évènement de
relance de nos relations des jumelages de la Ville de Belfort,
souligne Isabelle Lopez, conseillère municipale déléguée aux
Jumelages.
Cette année encore, la manifestation aura vocation à réunir les
différentes villes jumelées : Stafford en Angleterre , Leonberg en
Allemagne, le Comité de Jumelage du Burkina Faso et Delémont en Suisse. Elles seront présentes pour évoquer
des questions
de société et pour partager un
moment convivial à l’occasion
d’un repas international, festif et
musical».
Dans ce contexte, différentes tables rondes seront organisées et
animées par des élus et des techniciens de chaque collectivité le
18 mars. Elles invitent chaque
ville à aborder des sujets communs à tous : l’environnement,
l’urbanisme, la condition féminine. La journée du 19 mars s’articulera autour d’activités plus
touristiques afin de faire
découvrir à nos visiteurs
les richesses du Territoire de Belfort.
Ces Jumelliades seront également
l’occasion d’enrichissement
d’échanges plus festifs et s’achèveront avec le Repas International auquel participeront des groupes des musiques de Stafford
(rock) et de Leonberg (jazz) et de
Delémont.
Enfin, une exposition des charmes touristiques de chaque
ville jumelle sera
organisée par
l’Office de
tourisme de
Belfort.
> cérémonie
«Il ne faut jamais oublier»
Une émouvante cérémonie s’est déroulée à la Synagogue pour le 60ème
anniversaire de la Libération du camp d’Auschwitz, le 21 janvier dernier.
J
e revois sans cesse ces
cadavres vivants, ces
squelettes affamés...», Mordha
Urbajtel, rescapé des camps, a
pendant près d’une heure fait le
récit de son histoire à l’occasion de la cérémonie qui s’est
déroulée à la Synagogue.
Puis, la communauté juive et
les élus ont observé une minute
de silence en mémoire des Juifs
belfortains qui ne sont jamais
revenus des camps. Enfin, une
prière en hébreu a conclu cette
cérémonie. Une cérémonie
pour se souvenir qu’«il ne faut
jamais oublier».
> parrainage
Belfort-Dassouri
Pour assurer une scolarité aux
enfants déshérités du BurkinaFaso, le comité de jumelage
Belfort-Dassouri propose des
parrainages.
Le parrain verse une somme mensuelle destinée à la scolarisation,
l’alimentation, la santé de l’enfant. L’argent peut également servir à acheter une bicyclette si l’enfant habite loin de son école.
Renseignements :
Comité de jumelage, cité des associations - 4, rue Jean-Pierre
Melville. Une permanence est assurée le jeudi de 14h à 15h.
page14
La Ville de Belfort et le
Conseil général ne se
sont pas contentés de
prendre cinq années
d’avance en créant la
Mife et la Cité des
Métiers ! Ils en ont
également fait un lieu
unique en France en
rendant cet espace
accessible à tous les
publics. Ainsi quel que
soit son âge ou son
statut, on peut accéder
à un certain nombre
d’outils indispensables
pour mener à bien sa
recherche d’emploi ou
son changement d’orien-
Mife
cité des métiers :
des pistes pour trouver
un emploi
tation professionnelle.
Visite des lieux avec
Hubert Belz, adjoint au
Maire chargé du Développement économique
et de l’Emploi.
C’
est au cœur du quartier
des Résidences que
Jean-Pierre Chevènement et
Christian Proust décident d’implanter la Mife en 1999. Ils pressentent alors que les démarches
des chercheurs d’emplois deviennent de plus en plus complexes et
qu’il est indispensable de créer
un lieu unique, sans condition
d’accès, qui offre des réponses
fiables. Belfort est alors précurseur dans la mise en place de la
Mife en l’ouvrant à tout public.
«Avec ses trois volets, l’emploi,
la formation et l’insertion, elle
est la plus aboutie des 80 établissements implantés en France et
qui pour la plupart ne fonctionnent qu’avec un seul volet et donc,
un seul public», souligne Hubert
Belz, adjoint au Maire chargé du
développement économique et de
l’emploi et Vice Président de la
Mife. Aujourd’hui dans le cadre
du plan gouvernemental de cohésion sociale, la création de 300
maisons de l’emploi est à l’ordre
du jour. Elles seront créées pour
stimuler des territoires en rassemblant toutes les structures dans un
lieu unique à destination des publics en insertion professionnelle.
À Belfort, ce ne sont pas moins de
3 970 personnes qui poussaient
les portes de la Mife et de la cité
des métiers en 2000 et 8 951 personnes en 2004. Au total sur cinq
années d’exercice, 35 050 visiteurs ont trouvé conseil au sein du
bâtiment de verre situé place de
l’Europe.
Hubert Belz, adjoint au Maire chargé du développement économique
et de l’emploi et Vice Président de la Mife.
page15
>
Mife
un emploi
Toute l’information sur la vie professionnelle
Plate-forme pour s’orienter tout
au long de la vie, la Cité des
Métiers est au service de l’emploi, de la formation et de l’orientation. Elle informe sur les métiers, elle aide à élaborer un prêt
de formation, ou d’études, elle
permet de consulter des offres
d’emploi, elle accompagne les
usagers désirant créer leur activité et elle aide à rédiger son CV.
Initiation et accès
gratuit à Internet
Un centre de ressources documentaires
En mettant à disposition des usagers un large éventail d’outils sur
tout support papier ou multimédia,
la Cité des Métiers se donne
comme objectif de rendre accessible à tous et attractive l’information sur les métiers, les professions, le marché du travail, l’organisation des entreprises et leurs
exigences.«Il est possible de con-
sulter en libre accès des documents présentant les métiers, des
annuaires d’entreprises, des catalogues de formations, des avis
de concours, des informations sur
le droit du travail ou la création
d’entreprise ainsi que la presse
spécialisée et bien d’autres documents sur la vie professionnelle»,
explique Hubert Belz.
Des postes informatiques permettent d’accéder à Internet
ou encore de rédiger son CV.
Un atelier aide à la réalisation
des CV, à leur diffusion ainsi
qu’à la recherche d’emploi sur
Internet. Il se déroule le lundi
de 10h30 à 12h (sans rendezvous).
Inscriptions sur place ou au
03 84 90 40 09.
Enfin, elle s’adresse également
aux salariés souhaitant changer
d’orientation professionnelle.
Un réseau
international de
Cités des métiers
Le 18 octobre 2002, d’autres
Cités des Métiers ouvertes ou
en cours d’ouverture en France
et à l’étranger, se sont fédérées au sein de l’association
«Réseau des Cités des métiers» de façon à permettre :
> L’appui aux créations de
plates-formes en Europe
> Les échanges de pratiques
entre les professionnels des
différentes structures,
> La démultiplication et la
mutualisation des expériences,
des ressources et des outils
d’orientation professionnelle
au bénéfice de tous,
> L’information et l’enrichissement mutuels.
page16
Georges, ancien d’ Alstom,
«Je recherche un emploi...»
M
ardi 11 janvier. Il est 10h.
La Mife ouvre ses portes.
Georges est parmi les premiers à
s’installer devant un poste informatique. Il vit à Andelnans et a
travaillé 30 ans pour Alstom, dont
dix en qualité de magasinier.
Passionné par son métier, il est à
la recherche d’un emploi depuis
mai 2004. «Je consulte les offres
chaque jour. Je ne me cantonne
pas au profil de magasinier. J’accepterais également un poste de
chauffeur livreur. De plus, j’ai un
CAP de mécanique générale. Je
viens me documenter à la Mife,
lorsqu’elle est ouverte au public :
le mardi, le jeudi et le samedi. Les
autres jours, je vais à l’ANPE, à
la bibliothèque universitaire, au
BIJ ou encore à la bibliothèque
municipale des 4 As. Là, où je
peux accéder à un poste informatique et à la presse. J’ai établi un
programme quotidien de recherche d’emploi pour me permettre,
je l’espère fortement, de trouver
un poste au plus vite. La Mife
offre les outils et les conseils indispensables pour trouver des
pistes permettant ensuite de connaître les différentes façons d’accéder à un emploi. Aujourd’hui je
les connais et je les emprunte
chaque jour pour être fidèle au
poste le jour où une occasion se
présentera».
Réaliser son CV
Accueilli et accompagné par
un conseiller de la Mife, cité
des métiers, il est possible de
rédiger son CV en quelques
heures. «Il est ensuite conservé sur notre base permettant à l’usager de le consulter
et d’y apporter des modifications, explique Christelle
Estienney, directrice de la cité
des métiers. Actuellement
nous stockons 3 000 CV. Enfin, les usagers ont la possibilité d’obtenir gratuitement des
impressions noir et blanc».
Des professionnels
à votre disposition
Si aucun renseignement n’est
donné par téléphone, il est possible de prendre rendez-vous
avec un conseiller. Ils répondent à toutes les questions concernant l’orientation, la formation et la recherche d’emploi.
«La Cité des Métiers est un lieu
d’écoute, de dialogue et de ressources où l’usager va pouvoir
se poser, demander conseil,
prendre un peu de distance par
rapport aux institutions, qu’il
s’agisse de la famille, de l’école
ou de l’entreprise, précise Bertrand Creusy, directeur de la
Salon des métiers
permanent
La mise en place d’un salon
des métiers permanent au sein
de la Mife permet aux élèves
de 4ème et de 3ème de travailler
leur orientation en accédant à
la connaissance des métiers
par des visites d’entreprises,
des journées à thème ou en se
déplaçant à la Mife, tout simplement. Enfin, un forum sur
le site Internet de la Mife répond quotidiennement à leurs
questions.
Bertrand Creusy,
directeur de la Mife.
Le service emploi féminin
de la MIFE
Il a pour mission de promouvoir des secteurs d’activités
et métiers dits «non traditionnels» auprès des jeunes
filles et des femmes et de participer activement à toutes
actions visant à améliorer les conditions de travail.
L
e service emploi féminin
de la Mife a constaté que
les secteurs d’activités les plus
représentés tels que l’industrie, le
bâtiment, les travaux publics ou
encore le transport et la logistique
connaissent une forte pénurie de
main d’œuvre. Ils présentent donc
de réelles possibilités d’embauches et de formations pour les
femmes. Afin de susciter l’éveil
et l’intérêt du public féminin pour
ces postes, le service emploi féminin de la Mife édite chaque
page17
Mife. L’usager y récoltera de
quoi se faire sa propre opinion.
Il mettra ainsi un peu moins de
temps à élaborer son projet. Le
conseiller l’aidera à faire le
point, à trouver le fil perdu de
la pelote, à classer ses questions, à trier et hiérarchiser les
multiples réponses nécessaires
à la réalisation de son projet.
Et après être venu une fois,
deux fois, autant qu’il le jugera
nécessaire et quand il le voudra, peut-être prendra-t-il où
reprendra-t-il le chemin de l’action».
trimestre «Femmes et Métiers».
Ce journal d’information est destiné aux femmes en recherche
d’emploi, en situation de travail
précaire (contrats courts ou postes non qualifiés), aux conseillers
professionnels, aux prescripteurs
et aux jeunes filles par le biais des
centres d’information et d’orientation scolaire. «Femmes et Métiers» présente donc par l’intermédiaire de reportages ces métiers dits «non traditionnels» exercés par des femmes.
>
Mife
un emploi
Le programme européen INTERREG IIIA :
Femmes égalité sans
frontières
La Mife répond à vos
questions ?
Si vous vous posez l’une de
ces questions, la Mife vous
apportera une réponse :
> Qui solliciter pour compléter mon choix de métier ? Y at-il du travail dans ce secteur ?
> Par où commencer ?
> Je ne supporte plus la routine de mon travail , les trajets
trop importants, ai-je envie de
changer ? d’entreprise ?
de lieu ? de collègues ?
de métier ?
> J’ai l’impression d’avoir fait
le tour de tout, je n’arrive plus
à me remettre en marche.
> J’aimerais reprendre des
études, mais faut-il repartir à
zéro ?
> Pour réaliser ce que je veux
faire, il y a trois formations
différentes.
Comment choisir ?
> J’ai bien une idée d’entreprise à créer, mais j’ai peur, je
n’ai jamais géré un budget,
encadré des hommes, ça s’apprend ? c’est long ?
La MIFE est porteuse pour la
France du programme «Femmes
égalité sans frontière», programme européen franco-suisse
(INTERREG IIIA) qui vise à promouvoir l’égalité entre hommes
et femmes dans la vie professionnelle. Pour cela un cycle de 5
conférences/débat a été mené sur
les communes de Delle et Belfort
en France, Boncourt et Moutier
en Suisse. Les partenaires institutionnels français et suisses ont
également, avec l’aide du service
NTIC de la MIFE, créé un annuaire de compétences féminines
en ligne sur le net.
Femmes & métiers et la mission
emploi féminin sont en ligne sur
www.mife90.org/femmes
Les permanences
2005 de la cité
Espace d’information et de conseil sur la vieprofessionnelle, la
Cité des métiers accueille les usagers, gratuitement, librement et
sans rendez-vous :
les mardis de 10h à 18h, les mercredis et jeudis de 14h à 18h et les
samedis de 9h à 11h30.
En dehors de ces créneaux habituels, des permanences spécifi-
ques sont proposées et animées
par les partenaires. Elles concernent la Création ou la reprise d’activité, l’information juridique, la
technique de recherches d’emploi, les métiers du bâtiment et
des travaux publics, les contrats
spécifiques en alternance ou encore le contrat d’apprentissage.
D’autres permanences sont également assurées par les bureaux
de recrutement des armées, la
gendarmerie, la Marine Nationale
et l’Armée de l’Air.
Les services
présents à la Mife
De nombreux services sont regroupés dans le bâtiment.
Quatre services reçoivent du public :
> La Mission Départementale Espaces Jeunes (MDEJ) a le siège
de son association à la MIFE et y
reçoit le public de moins de 26
ans.
> Le Centre de Projet et de Suivi
Professionnel (CPSP) est une
émanation du Conseil Général,
piloté par la MIFE. Il reçoit, sur
prescription des Points Accueil
Solidarité (PAS), le public du
département bénéficiaire du Revenu Minimum d’Insertion.
> L’Atelier de Pédagogie Personnalisée (APP), sous la responsabilité du Service formation de
l’Association Départementale
pour l’Insertion des Jeunes
(ADIJ), est un organisme de formation.
> L’Association Régionale pour
l’Insertion sociale et professionnelle des personnes en situation
de handicap (ARIS - Cap emploi).
Trois services sont transversaux :
> L’Observatoire Départemental
Emploi Formation (ODEF)
> L’animation du Plan Local pour
l’Insertion et l’Emploi (PLIE)
> Les Nouvelles Technologies de
l’Information et de la Communication (NTIC)
Par ailleurs, la MIFE dispose de
moyens mutualisés :
> des salles de cours à destination
des organismes de formation,
> une salle multimédia,
> un «Atelier pour l’emploi» offrant en particulier la possibilité
pour des chercheurs d’emploi de
disposer de boîtes aux lettres électroniques,
> des bureaux à usages partagés.
Le Centre de Projets
et de Suivis
Personnalisé
756 personnes ont bénéficié en
2004 du service qui à la Mife
s’occupe du suivi et de l’insertion
des bénéficiaires du RMI.
La moitié de ces usagers a été
orienté vers la Mife par les assistantes sociales du territoire de
page 18
Belfort. Ils comptent 45 % femmes et 55 % d’hommes.
73 % sont âgées de 25 à 39 ans.
57 % ont le Permis B.
17,1% sont illettrés et analphabètes. 36, 5% ont un niveau niveau
CAP (V bis), 23% sont titulaires
d’un CAP, BEP et Niveau bac
(V) et 7% d’un BTS, DEUG, ou
DUT 5(III). 8% ont été recruté
par Peugeot. 17,4 % ont bénéficié
d’actions SIE (aide au permis,
groupe de parole, appui
psychothérapeutique, lutte contre l’illettrisme, recherche d’aptitudes professionnelles...), et d’entre eux ont trouvé une formation.
23,6 % ont obtenu un emploi dans
une structure d’insertion et 18%
dans le secteur marchand (48 %
en CDD, 25 % en intérim et 18 %
en CDI).
La Cité des métiers
sur France Bleu
Belfort Montbéliard
Au cours de l’émission du matin,
des professionnels et des conseillers emploi-formation de la
Cité des métiers interviennent et
répondent aux questions des auditeurs dès 9h10 sur les ondes de
France Bleu Belfort-Montbéliard.
La MIFE, en bref
> Un bâtiment de 1 600 m2 :
650 m2 pour recevoir le public,
620 m2 de salles de cours, 220 m2
de services communs, 110 m2 de
services administratifs.
> Implantation au cœur du quartier des Résidences à Belfort.
> 5 salles de cours à destination
des organismes de formation.
> Une salle multimédia équipée
d’ordinateurs en réseau.
> Une salle d’exposition.
> Un point CV.
> Des bureaux à usage partagé.
> Le bâtiment est ouvert :
Les lundis, mercredis et jeudis :
de 8h à 12h15 et de 13h15 à 18h
Les mardis en continu de 8h à 18h
Les samedis de 9h à 11h30.
Coordonnées
La MIFE sur le web :
www.mife90.org
MIFE - Cité des métiers Boîte postale 980 - Place de
l’Europe
90020 BELFORT CEDEX
Tél. 03 84 90 40 00
Fax 03 84 90 40 26
[email protected]
Les partenaires
La Cité des métiers fonctionne grâce à une association de partenaires spécialistes de l’emploi, de la formation et de l’orientation
professionnelle. De 20 partenaires en 1999, c’est aujourd’hui plus de 30 structures qui oeuvrent ensemble, dont : le CIO, l’ANPE, le CIDF,le
GRETA, les centres de recrutement des Armées (CIRAT, Marine), le centre de gestion, la chambre de métiers, la CCI, le CIBC, le CPSP, la
MDEJ, l’IMT, le FONGECIF Franche-Comté, Kisel Formation, la CCI, le CFA municipal, SAFRAN, l’ADIE, la boutique de gestion,
Coopilote, le CEPFI, l’APP, le CFAI Nord Franche Comté, l’EPLEA Valdoie, groupe INDIBAT, bureau recrutement de la Gendarmerie,
l’ONISEP Franche-Comté, mission emploi féminin, Algoé consultants, FRATE formation ...
page19
s o r t i r
à
B e l f o r t
> vendredi 11 mars
> Théâtre Granit
Mardi 22 et mercredi 23 à 20h30,
jeudi 24 à 19h30 et vendredi 25
février à 20h30 - Le Granit.
Des représentations sont possibles en lycées ou dans les bibliothèques.
Renseignements auprès de Sonia
Pérez [email protected]
Librement inspiré de l’essai La
Divine Origine de Marie Balmary,
ce surprenant spectacle de François Rancillac nous invite à reconsidérer l’ancestrale notion de
péché originel. A vos bibles, prêt,
partez !
Prenez place pour une exceptionnelle séance d’étude biblique...
Mardi 1er et mercredi 2 mars à
20h30 au Granit.
Après le succès du spectacle Le
Songe d’une nuit d’été, accueilli
en février 2002 au Granit, Oskaras
Korsunovas nous plonge cette fois
au cœur du drame de Vérone la
belle, où se situe la scène...
UnplusUn
Vendredi 4 et samedi 5 mars à
20h30 au Granit
© illustration droits réservés
Chercher la faute ! Roméo et Juliette
Qu’est-ce qu’un couple ?
«Une machine à dérégler la langue» nous répond Jean-Yves Ruf
Couple, n.m., du lat. copula «lien,
chaîne» signifiant :
> Lien servant à attacher ensemble deux ou plusieurs animaux de
même espèce.
> Un homme et une femme réunis.
> Ensemble de deux forces parallèles égales et opposées appliquées en deux points d’un solide.
Le Petit Robert
«Nuit Du Gospel»
Après deux éditions triomphales «La Nuit Du Gospel»
se reproduit le vendredi 11
mars 2005 en l’église Saint
Joseph avec deux nouveaux
groupes américains et une
pléiade d’artistes pour un
nouveau spectacle.
Les «Sounds Of Unity» groupe
vocal à dominante féminine et
cinq voix magnifiques ayant déjà
conquis l’Amérique et le reste de
l’Europe (Allemagne, Danemark,
Norvège, France...) seront présentes le 11 mars. Ils seront suivis
des «Los Angeles Crenchaw Gospel Choir». Ce ne sont pas moins
de 15 choristes et musiciens dirigés par la célèbre Iris Stevenson,
l’inspiratrice de «Sister Act II»
avec Woopi Goldberg dans le rôle
d’Iris Stevenson.
> Cafarnaüm
Les succès d’un atelier théâtre
La compagnie Cafarnaüm
en résidence au CCsRB,
anime un atelier de théâtre adultes le lundi de 20h
à 22h.
“C’
est le 3° année
qu’un tel atelier a
lieu, et le nombre de participants
ne cesse d’augmenter, se satisfait
la comédienne Manuelle Lotz. En
2002, nous douze personnes participaient à l’atelier, en 2003,
seize, et cette saison, vingt six».
Hafsa, Vincent, Simon, Pascal
D., Pascal H, Gilles, Fanny,
Floriane, Souria, Jean-Philippe,
Danièle, Sophie, Shopie K.,
Danièle, Guy, Séverine, Mélanie,
Christine, Blandine, Stéphane,
Alexandra, Rachel, Fabienne,
Karine, Pamela, Virginie apprennent ensemble à se connaître afin
de monter un spectacle pour le
mois de juin 2005. Apprentissage
des techniques de base du théâtre,
improvisations, exercices, répétitions... tel est leur lot hebdomadaire.
Ils sont âgés de 20 à 65 ans. Ils
sont chômeurs, cadres supérieurs,
retraités et viennent du quartier
des Résidences, du centre-ville
ou des alentours. «Leur point commun : ils se sont tous engagés
avec plaisir et joie dans le même
élan de création théâtrale», souligne Emmanuelle Lotz.
lier adolescents de Bavilliers présentera son spectacle «La Ballade des Planches» de Jean-Paul
Alègre à 19h.
Cafarnaüm :
Tél. 06 70 38 42 43.
http://www.cafarnaum.com
Le vendredi 17 juin, ils présenteront leur spectacle créé à partir de
différents textes et d’improvisations autour du thème de la famille, sous le titre «Si j’avais un
marteau...» Le spectacle aura lieu
à 21h, et en première partie, l’atepage20
> Horizon musiques !
> spectacles
Fête «Celtic»
> Théâtre du Pilier
Hommage
aux mineurs
de Ronchamp
mière partie du groupe mythique
Simple Minds à Cahraix en 2004,
ont forgé sa réputation de groupe
celto-rock déjanté d’une efficacité dansante implacable.
Contact : Tél. 03 84 22 77 14.
Samedi 26 février à 20h30
et dimache 27 à 17h.
L’Info Zic’
ABDM Association Belfortaine
pour le Développement des Musiques devient Association pour
le Développement des Musiques
Actuelles de Belfort et du Territoire : ADéMA : «nos adhérents
viennent de tout le Territoire et
même au-delà, et les pratiques
des Musiques Actuelles sont notre spécialité» explique AnneValérie Piard. En effet, de l’éducation instrumentale (guitare
basse batterie piano, sax) et vo-
cale à tout âge et pour tous niveaux, à la pratique en groupe
sous forme d’ateliers dans tous
les styles actuels, en passant par
l’organisation de scènes ouvertes
enregistrées «live», l’accompagnement administratif ou logistique de groupes régionaux, et 5 à
6 concerts par an : l’association
est sur tous les fronts.
Contact : 03 84 22 77 14
ou 06 75 66 35 36.
Atelier rock et Tremplin...
Grâce à la mise à disposition de la
salle de la Poudrière par la Ville
de Belfort, l’association ADéMa
organise un tremplin de groupes
régionaux et un concert de ses
ateliers rock.
> Dimanche 20 mars
Le Printemps de Belfort et du
Territoire.
Adéma présente ses ateliers rock,
suivis du groupe NEO et de ses
compositions pop rock 80' et d’un
Méga «Bœuf».
page21
Et enfin TDO, chanteurs Hip Hop
avec accompagnement instrumental «live» clôturera la soirée.
> Samedi 30 avril
Appel à candidature aux groupes
Tremplin Groupes Régionaux :
1er prix : un enregistrement studio
4 titres avec un coach.
Dossier à retirer à Adéma
Audition de présélection du 10
au 20 avril à Belfort
Renseignements :
ADéMA : Tél. 03 84 22 77 14.
Durant plusieurs siècles les villes
de Ronchamp, Champagney,
Auxelles, Giromagny, Plancherles-Mines, ont été le cœur battant
d’une intense activité minière.
Hommes et femmes par milliers y
ont forgé leur mentalité, leur horizon dans le travail, par le travail... gens de la terre, gens d’ici,
rejoints par des flots d’immigrés,
polonais, italiens, maghrébins,
rêvant d’un possible Eldorado...
Aujourd’hui, tout semble éteint,
clos, nivelé. A sec. Chape de silence. Ici et là... affleurent quelques vestiges, pépites de souvenirs, à mettre en lumière... à réveiller...
Britannis
Une intrigue tragique d’après
Racine. Vendredi 11 mars à
20h30. Théâtre des 2 Sapins
Giromagny
Britannis est une intrigue tragique qui de péripétie en péripétie
(couvrant une journée de l’aurore
au crépuscule) aboutit à un meurtre passionnel et politique.
C’est un nouveau texte, inspiré
librement du «Britannicus» de Racine. La représentation joue sur
les événements historiques du règne de Néron, Empereur romain.
Elle montre un complot cruel à la
cour, en rimes brèves, parlées et
chantées.
Bonne humeur et port du kilt
quasi-obligatoires à l’écoute du
groupe FFR, le 19 février à 21 h.
Les multiples succès de ce groupe
lors du Festival Interceltique de
Lorient et son passage en pre-
> anniversaire...
ss eor vr i tc ie sr
m u Bn ie c l i fp oa ur xt
à
Orphée fête
ses 30 ans
> La Poudrière
ETHS (metal/Fr) +
Zan’ji (metal hardcore/
Haute-Saône) + Ex-Nihilo (emo core/Belfort).
Jeudi 10 mars / 20h30
Eths.
ETHS, c’est le groupe metal français incontournable du moment.
Zan’ji (ex-Anorak) sort son
hardcore metal porté par des compositions brèves.
Ex-Nihilo développe un son hargneux et massif, proche de celui
des Deftones.
Tremplin des Eurocks
/Aire urbaine BelfortMontbéliard.
Samedi 5 mars / 20h30
The High Llamas (pop/
UK) + A Cake a Room
(country lo-fi/Fr)
Samedi 12 mars / 20h30
Rendez-vous annuel très attendu,
le Tremplin de l’aire urbaine Belfort-Montbéliard présente cette
année cinq groupes en compétition : Biotec (post new wave/
Thiancourt), Les Travailleurs de
l’Ombre (rap/Giromagny), Mista
Pawa (power rock/Belfort),
Speewy Noisy (metal fusion/
Joncherey) et The Mobilhomes
(rock psyché/Belfort).
Les britanniques High Llamas demeurent, dans la pop ultraclasse
et sophistiquée, une référence
absolue à la «Pet Sounds» des
Beach Boys. En quatre années
d’existence, A cake A Room a
enraciné son répertoire dans la
folk, la pop 60’s .
Avec le soutien du Conseil général du Territoire de Belfort.
> Rockhatry
Soutien aux pratiques
musicales en amateur
Le Rockhatry est consacré au soutien et à la valorisation des pratiques musicales en amateur. Il offre 6 600 heures de répétition par
an dans cinq salles de 30 m2.
Ces cinq locaux de répétition ont
été fréquentés en 2004 par 45
groupes. Le lieu est ouvert 39
heures par semaine six jours sur
sept. Durant l’année, un programme d’accompagnement
pédagogique est proposé aux
usagers et à toute personne extérieure : master-classes, soutien
scénique...
Infos et inscriptions :
Tél. 03 84 22 51 28
[email protected]
«Orphée, Chœur de l’Ecole
Nationale de Musique de
Belfort» propose trois concerts pour son anniversaire.
Le chœur fondé est en 1974 par Alfred Herzog, directeur du Conservatoire de Belfort (devenu Ecole Nationale de Musique en 1980) et Thérèse
Skutnik, professeur de chant. Plusieurs chefs de choeur se succèdent à
sa tête jusqu’en 1992, date à laquelle
il est placé sous la direction de
Jocelyne Dal Gobbo, chef de choeur à
l’Ecole Nationale de Musique de Belfort, professeur de chant aux Ecoles
de Musique de Sochaux et du Pays
Sous-Vosgien et soprano.
L’«Ensemble vocal» prend alors le
nom d’Orphée.
Orphée se compose aujourd’hui de
soixante-dix membres et se produit
non seulement dans la région de Belfort, mais aussi en Alsace, en Suisse
et en Allemagne.
Trois concerts
«Orphée» et «Synfonietta», l’orchestre du 3ème cycle de l’Ecole Nationale
de Musique et de Danse de Belfort,
donneront trois concerts, sous la direction de Jean-Jacques Griesser :
> le samedi 19 mars à 20h30 en la
cathédrale St Christophe de Belfort,
> le dimanche 20 mars à 17h, en
l’église St Maimbœuf de Montbéliard
> et le dimanche 3 avril à 16h30 en
l’église St Jean Baptiste de
Giromagny.
Au programme de ces concerts :
Le «Stabat Mater» de Joseph Haydn
et «Orphée», une œuvre que JeanJacques Griesser a spécialement composée pour le trentième anniversaire
du chœur, sur un texte de Jean Ehret.
«Stabat Mater « (1767) est l’œuvre la
plus importante de Joseph Haydn
(1732-1809).
«Orphée» est l’œuvre de Jean-jacques
Griesser inspiré par le poète mythique qui tirait de sa lyre des sons si
tendres et si apaisants que les plus
violents se calmaient et oubliaient
leur colère...
page22
s p o r t s
Du Karaté en Février...
A
vec l’aide logistique de
la Ville de Belfort et le
soutien financier du Conseil Général, le Comité départemental
de karaté recevra le dimanche 13
février le maître japonais
Hidetoshi Nakahashi 8ème dan, qui
a reçu son enseignement directement du fils du fondateur du karaté style ShitoRyu.
Pour continuer à développer la pratique du Karaté
dans l’Aire Urbaine le
Comité Départemental
«karaté 90» organise dans
la Cité du Lion deux
manifestations phares les
13 et 27 février.
Cet expert attaché à la
F.F.K.A.M.A. se déplace dans
l’Europe entière. Il fera une halte
à Belfort au Gymnase Léo Lagrange pour y dispenser son art
martial.
Ce stage de Ligue est ouvert
uniquement aux pratiquants licenciés des clubs de toute la
Franche-Comté.
La Coupe Kata
La Coupe Kata du Territoire de
Belfort se déroulera le dimanche
27 février.
Les Catégories Poussins Pupilles
Benjamins (individuels et par
équipe) des clubs de FrancheComté s’affronteront lors d’en-
chaînements techniques ( KATA)
au Gymnase de l’I.U.T. de Belfort. Cette réunion est une première pour le département qui
souhaitait ouvrir une compétition
locale à tous les pratiquants des
départements limitrophes.
Pour tout renseignement sur ces manifestations et sur les clubs de
karaté : [email protected] / Tél. 06 88 33 41 06.
C.C.N.
... Au studio du CCN de Franche-Comté à Belfort...
Atelier de pratique de la danse
le 22 février de 18h30 à 20h30.
page23
Ces ateliers de pratique de la danse
contemporaine sont animés par
Marie-Pierre Jaux, artiste chorégraphique chargée de la médiation culturelle au CCN de Franche-Comté à Belfort.
«Mes ateliers sont ouverts à tous
sans aucun besoin d’une prati-
que préalable en danse. Ils sont
nourris par le travail d’Odile
Duboc et les activités et événements liés à la vie du centre
chorégraphique».
Renseignements, inscriptions
au CCN : 03 84 58 44 88.
> agendas
A.S.M.B.
Loto !
L’ASMB section football organise
un loto le 26 février à 20 h à la salle
des Fêtes de Belfort.
Tél. 06 86 89 45 94.
La soirée de
tous les sports
L’Office Municipal des Sports de
Belfort organise le vendredi 25 février sa traditionnelle remise de récompenses des meilleurs sportifs
belfortains.
Seront distingués :
36 dirigeants sportifs, 65 exploits
sportifs individuels, 27 exploits sportifs d’équipes et 2 exploits sportifs de
clubs. Par ailleurs,le sportif de l’année 2004 sera honoré lors de cette
soirée.
Tél. 03 84 54 56 39.
> université
v i e
a s s o c i a t i v e
Portes ouvertes
à l’UTBM
L’Université de Technologie de
Belfort-Montbéliard a ouvert
ses portes aux lycéens, étudiants, parents d’élèves, le samedi 22 janvier dernier sur les
sites de Belfort et Sévenans.
Cezam ouvre-toi !
L’association Fracas
propose sa carte Cezam
2005. Cette carte de
réduction ouvre la porte à
des activités sportives
théâtrales ou touristiques.
Q
ue ce soit au guichet de
la patinoire, du musée,
du cinéma, du théâtre Granit ou
encore chez certains commerçants, la carte Cezam est utilisée
par plus de 20 000 personnes.
«C’est en quelque sorte la grande
sœur de la carte Jeunes et un
concentré de cartes de fidélité et
de cartes de réductions au rayonnement national précise Virginie
Jeannin chargée de secteur à l’association FRACAS. Il existe en
effet des accords CEZAM dans
plus de 20 régions françaises».
Une carte que l’on peut acquérir à
tout âge par le biais de son comité
d’entreprise ou par l’intermédiaire
d’un ayant droit.
Guichet billetterie
FRACAS
Cité des Associations
4 rue Melville
Tél. 03 84 36 63 63
«A Belfort, FRACAS est très appréciée pour sa billetterie à tarif
réduit, précise Pascal Broggi, président de l’association. Un guichet est ouvert tous les jours dans
les locaux du CIE des 3 chênes,
rue Charles Bohn.
Ainsi, en 2004 Fracas a relayé
plus de 150 spectacles programmés dans les salles belfortaines et
des environs ainsi que 15 000
entrées aux Eurockéennes».
Tourisme de proximité
«Au delà de ce service très recherché par les adhérents, FRACAS est en capacité de proposer
d’autres activités aux salariés des
CE. Nous avons par exemple mis
en place un secteur tourisme de
proximité depuis deux ans, précise Hubert Muller, directeur de
l’association. Ce secteur se développe sous l’impulsion de Véronique Chambelland, professionnelle du tourisme chargée de l’élaboration des circuits au sein de
l’association. Des groupes se sont
déjà rendus dans des lieux très
différents en France, en Belgique
et en Espagne. Notre vocation
n’est pas de devenir une agence
de voyages supplémentaire mais
d’être un outil qui mette en œuvre
les besoins de Comités d’entreprises dans un principe de
mutualisation et de solidarité.
De nombreux CE ne peuvent en
effet envisager seuls la mise en
place d’un séjour, faute de temps,
de moyens humains, techniques
ou financiers ou simplement d’un
nombre suffisant de participants.
De plus, la législation sur le tourisme est très stricte, le concours
d’un professionnel peut souvent
être salutaire lors de l’élaboration et du suivi du déplacement».
Internet fracas.asso.fr
Mis en place en mars dernier le
site de l’association présente à
travers ses différentes rubriques
la billetterie, les spectacles, le secteur tourisme, les partenaires, etc.
Cette journée a été l’occasion de rencontrer des étudiants en cours de formation, des enseignants, des chercheurs, de s’informer sur les différentes étapes du parcours de formation, de visiter les lieux sur les deux
sites.
L’UTBM forme des ingénieurs généralistes en génie informatique, génie mécanique et conception, génie
des systèmes de production et génie
des systèmes de commande.
L’UTBM en chiffres
> 2 082 étudiants.
> 369 personnels dont 199 enseignants. Plus de 20% des enseignants
sont issus de l’industrie.
> 354 ingénieurs diplômés en 2004.
> 1 842 étudiants en formation d’ingénieur à la rentrée 2004.
> 4 formations d’ingénieur.
> 200 étudiants en stage en entreprise
dont 20 % en stage à l’étranger.
> 34% des diplômés sont recrutés par
l’entreprise où ils ont réalisé un stage
de 6 mois.
> Dans le cadre de leur formation, les
étudiants réalisent plus d’un an de
missions en entreprise.
> Le délai moyen de recherche d’emploi pour les jeunes diplômés est de
2,3 mois.
> Plus de 15% des jeunes diplômés
travaillent à l’étranger.
> 880 entreprises partenaires dont
130 à l’étranger.
> 68 universités étrangères partenaires.
> 7 Diplômes d’Université proposés
dans le cadre de la formation continue.
> 7 unités de recherche et un Centre
National de Recherche Technologique (CNRT).
page24
Des étudiants
à l’écoute des jeunes
et des enfants...
> du 14 au 20 mars
Festival
Intercommunal
de théâtre amateur
théâtre du quartier Friederichs
Dans le cadre de leurs
études à l’Ecole Supérieure des Technologies et
des Affaires de Belfort
(ESTA), les élèves s’impliquent, dans un projet
social ou humanitaire
permettant de démontrer
leur motivation, et leur
esprit d’ouverture sur la
vie sociale de leur ville.
C
e projet doit nécessairement rendre un service et
ne reposer que sur du bénévolat.
C’est dans le cadre de ce projet
que Laurène, Pierre, Brahim,
Emmanuelle, Jean-Baptiste et
Baptiste apportent depuis novembre 2004, et ce jusqu’en mars
2005, un soutien scolaire régulier
aux enfants accueillis par le Centre Départemental de l’Enfance
et de la Famille.
Chaque étudiant s’est vu confier
un enfant pour une séance de soutien par semaine, le lundi ou le
jeudi soir.
Trente minutes sont consacrées à
la réalisation du travail scolaire et
une heure à la découverte d’un
logiciel éducatif. Un après-midi
récréatif avec sortie au cinéma
viendra clore cette action.
Une expérience
à reconduire
«Les enfants s’inquiètent de notre absence lorsque nous sommes
en période d’examens et sont heureux de nous voir revenir aux
séances suivantes, racontent les
étudiants. On peut dire qu’ils apprécient notre intervention. Nous
sommes satisfaits de constater
qu’ils mettent un empressement
évident à faire les devoirs scolaires pour pouvoir se consacrer
plus rapidement aux exercices sur
l’ordinateur.
Quant à nous, nous trouvons une
réelle satisfaction à apporter à
ces enfants en difficulté un soutien tant amical que scolaire. Cela
constitue un vrai travail de
groupe, nécessitant une motivation de chacun et une bonne coordination entre tous pour mener à
bien le projet et répondre valablement à leurs attentes».
page25
> Lundi 14 mars
Ouverture du festival avec
«Jean de Tailleroc en un Acte»
Le comte de Tailleroc, jeune représentant d’une lignée de nobles en
perte, est relancé à domicile par
Ragnagnan, un inspecteur des impôts qu’il ne peut pas payer.
> Mardi 15 mars
«La Princesse aux toilettes en deux
Actes».
Il fallait écrire une pièce de théâtre
dont l’action se déroule dans les toilettes publiques !
«Ma belle-mère est givrée en deux
actes».
Caroline et son fiancé son en vacances de neige avec des amis quand ils
voient avec stupeur débouler la bellemère.
> Mercredi 16 mars
«B and B en Cinq Actes»
Un blocus économique Franco-anglais fait brusquement de Georges,
45 ans, cadre supérieur d’une usine
de produits de beauté, un chômeur.
> Jeudi 17 mars
«Une cure de tout repos en un Acte».
Le père Résina est convié par l’évêque à quitter sa cure pour céder sa
place à un autre.
> Vendredi 18 mars
«L’Héritage en deux Actes».
L’Héritage a été écrite pour faire rire
et donner du bonheur aux spectateurs
pendant deux heures.
> Samedi 19 mars
«Entre deux mères en Quatre Actes».
C’est l’histoire de deux hommes qui
vont partager le même appartement.
«Un Air de famille en Deux Actes»
Il va suffire d’un vendredi soir, où
toute la famille se retrouve... et où,
personne ne va sortir indemne.
> Dimanche 20 mars
«La Trilogie des Trois Jours en 4
Actes x 3 pièces».
La Trilogie a été écrite, spécialement
pour clôturer le festival.
Une pièce de rire et de plaisirs !
Renseignements :
www.fita2005.fr.st
> en bref
s o r t i r
à
B e l f o r t
Militaires en scènes
Le 35ème Régiment d’infanterie a terminé les festivités du
4ème centenaire de sa création
par une exposition de tableaux et de sculptures des
peintres officiels aux armées.
Cinquante trois œuvres sont exposées à la Tour 41 jusqu’au 13
février. Cette exposition montre
comment les peintres traduisent
les scènes de la vie quotidienne
des soldats en opérations ou sur le
terrain à travers des styles très
divers. Entrée libre.
> Samedi 5 mars
Carnaval de Belfort
Belfort fête carnaval. Le rendez-vous est donné à 15h à la
Fontaine Guy de Rougemont le samedi 5 mars prochain.
L
e samedi 5 mars, les
artistes accueilleront les
Belfortains sous une pluie de confettis de toutes les couleurs.
> «Les Wackes» déambuleront
masqués. Ces personnages clé du
carnaval bâlois et mulhousien sont
issus d’une satyre des maraîchers
de Neuf-Brisach. Ils distribueront
oranges, sucreries, gadgets et mimosas.
> «Les Glouffis» joueront les
équilibristes.
> «Les Romliestoss» et leurs percussions seront également de la
fête ainsi qu’une trentaine d’échassiers de la société royale des
«Steltenlopers van Merchtem».
Ils feront le déplacement pour
nous faire découvrir leur art. Vêtus du tricolore belge et déambulant à une hauteur de 4 mètres
sous pied, ils seront par ailleurs,
accompagnés d’une joyeuse fanfare.
> Enfin, «Les Pimpoms Confettis» tiendront leur promesse en se
déplaçant à Belfort avec leur légendaire canon... à confettis... Le
final quant à lui se déroulera place
d’Armes réservant sont lot de
surprises et l’envol de Monsieur
Carnaval...
> Sans oublier «l’Orchestre
d’Harmonie de la Ville de Belfort» qui se produira au kiosque à
musique dès 15 heures.
Renseignements :
service Fêtes et Cérémonies.
Tél. 03 84 54 25 21
Horaires d’ouverture :
> du lundi au samedi : 09h-12h et
14h-18h
> dimanche : 14h-18h
En ce qui concerne les visites de
groupe (possibles en dehors de
ces horaires), il vous faut prendre
contact avec le lieutenant MarieNoëlle Bayard au 03 84 98 42 18.
Fête Nationale
du Timbre
La Ville de Belfort et l’Amicale
Philatélique de l’Est organisent la
Fête Nationale du Timbre, les 26
et 27 février au Centre Atria.
Bourse
de Minéraux
et fossiles
Le club géologique belfortain organise les 5 et 6 mars sa 30ème
Bourse exposition de Minéraux et
Fossiles. Cette manifestation accueillera une trentaine d’exposants. Le thème choisi cette année
est : les météorites. La météorite
tombée le 7 novembre 1 492 fera
partie de cette exposition ouverte
de 9h à 19h. Tél. 03 84 21 21 67.
page26
> remise de prix
De plus grands locaux pour
les Restos du cœur
Un bâtiment supplémentaire a été attribué à l’association.
Le succès
des écoles fleuries
J
ean-Pierre Chevènement,
accompagné de Jackie
Drouet premier adjoint et Philippe Garot, adjoint chargé des
Affaires sociales, a visité les locaux des Restaurants du Cœur le
jeudi 13 janvier dernier. Zohra
Arnaud, responsable des Restaurants du Cœur à Belfort a fait part
de la hausse de 26% du nombre
des bénéficiaires et du manque
d’espace pour stocker. «Les centres de distribution de la rue de la
Paix et de la Rue de Berne ne
désemplissent pas». Sensibilisé
par l’urgence de la situation JeanPierre Chevènement a proposé à
l’équipe des Restos d’utiliser le
préfabriqué, situé en face du centre de distribution jusqu’alors utilisé par le service des Sports.
Les Restos du Cœur c’est :
> 34 434 repas servis à Belfort
pour les cinq premières semaines
> 55 bénévoles.
> 2 447 familles aux (5 739 parts).
> 240 enfants de 0 à 18 mois.
Bernadette Nel
«Fragments d’une exploration»
Robert Bergier organise avec cœur et
passion la cérémonie de remise des prix
du concours des écoles fleuries depuis 22
ans. Il est admiratif du travail accompli
par les professeurs des écoles et les élèves. Difficile en effet de ne pas lancer de
fleurs aux 49 écoles participantes. Les
élèves fleurissent dans un premier temps
leur école puis, ils montent sur scène en
dansant, en chantant ou en lisant des poèmes.
Cette année le succès était une fois de plus
au rendez-vous, le 22 janvier à la Maison
du Peuple : une salle comble ! Enfants,
professeurs des écoles, élus, amis étaient
venus applaudir l’émouvant spectacle et
féliciter les lauréats. Ce concours, organisé par les Délégués départementaux de
l’Education National et l’Office Central
de la Coopération, a récompensé les 13
écoles figurant au palmarès. Enfin, les
enfants se sont réunis autour d’un goûter
offert par la Ville de Belfort.
«Nous tenons à remercier la municipalité
pour leur précieuse et active collaboration ainsi que Jean-Marc Huot et son
équipe de régisseurs pour leur soutien», a
souligné Robert Bergier.
Une exposition est consacré à l’œuvre de Bernadette Nel
> info santé
au Musée du Château de Belfort du 18 février au 1er mai.
L’échinococcose
alvéolaire
B
ernadette Nel explore,
de façon singulière, les
grands mythes de l’humanité
dans une frénésie quasi obsessionnelle. Cette artiste compose
une œuvre qui se nourrit d’ellemême en se régénérant sans
cesse. Sa peinture anthropophage nous renvoie en permanence à nos racines. L’artiste
donne à son œuvre sa puissance
et une certaine hardiesse dans
l’emploi de pigments bruts.
Entre figuration et abstraction,
sa peinture privilégie l’emploi
de deux couleurs. Si ces matiè-
res ne sont pas appliquées au pinceau, ce sont des techniques ancestrales qu’elle utilise : impressions digitées, polissage, raclage
et application à l’aérosol, transfuge moderne du soufflage à la
sarbacane.
Cette exposition, qui comprend
une cinquantaine de peintures exécutées entre 1994 à 2004, est également présentée à la Galerie La
Cour des Arts à Belfort.
L’exposition se déroule également à la Galerie «La Cour des
Arts» - 21, faubourg de France à
Belfort.
Musée d’Art et d’Histoire > Château > Tél. 03 84 54 25 51
Exposition ouverte du 18 février au 1er mai 2005 Tous les jours, sauf le mardi Jusqu’au 31 mars :
de 10h à 12h et de 14h à 17h. Du 1er avril au 1er mai : de 10h à 12h et de 14h à 18h
page27
Cette maladie parasitaire, présente dans
le Territoire de Belfort, a été classée en
2001 parmi les zoonoses à surveiller.
L’échinocoque est un petit ver plat qui
parasite l’intestin du renard, mais aussi du
chien ou du chat, sans entraîner de troubles particuliers. L’homme peut accidentellement se contaminer et développer
une maladie qui peut être grave. Les signes de la maladie sont tardifs et le traitement est toujours lourd. Il peut être infecté par l’injection de ses œufs mais
aussi par le biais de nutriments souillés
par les déjections des renards. Les précautions à prendre sont de ne jamais consommer de plantes ou de fruits crus cueillis
en pleine nature, de laver systématiquement les fruits et légumes, de les cuire, de
se laver les mains et de noter que le
parasite est tué par la chaleur.
é
t
a
t
c i v i l
Naissances
15/12/2004
Jonas LUSCHER
De Laurent LUSCHER
et Agnès DEVISE
CHENEBIER (70)
16/12/2004
Frédéric ANDJE
De Marie ANDJE
23, rue de Mulhouse
Lucie HELL
De Pierre-Alain HELL
et Céline TOURNIER
MONTBELIARD (25)
Enzo LANGUINIER
De Laurent
LANGUINIER et
Séverine CHOUX
SAINT-BARTHELEMY (70)
Fatima-Zahra SANE
De Elhadji SANE et
Sallé DIALLO
2 rue Pierre Lescot
Bryan TANG NHU
De Michaël TANG
NHU et Angélique
PINOT
HERICOURT (70)
Kélya VOGEL
D’Hervé VOGEL et
Maria PONTVIANE Y
PEREZ
12 rue Parant
17/12/2004
Antonin BARLIER
De Franck BARLIER
et Valérie DIRAND
8 rue Aristide Briand
Léna BENAISSA
De Mehdi BENAISSA
et Anne PEREZ
BEAUCOURT (90)
Mathéo CHRETIEN
D’Olivier CHRETIEN
et Ghislaine BIDAUX
BOUROGNE (90)
Camille HOFFMANN
De Denis HOFFMANN et Séverine
MARCHAL
GRANDVILLARS
(90)
Tom HUMBERT
De Stéphane
HUMBERT et Aurélie
WIART
25 rue de Brasse
Alessandro
MARTINY
De Stéphane
MARTINY et MarieLaure TARANTINO
17 fbg de Brisach
Lorena PAGE
De Cyrille PAGE et
Emilie HOUDELAT
BEAUCOURT (90)
Jarod PLAIT
De Thierry PLAIT et
Sarah LOEUIL
MORVILLARS (90)
Louis WITTLING
De Frédéric
WITTLING et Isabelle
KNINDICK
VALDOIE (90)
18/12/2004
Nicolas GRATALOUP
De Gilles
GRATALOUP et
Corinne LAUGIER
2 rue Claude Kogan
Alexandre LAFONT
De François LAFONT
et Sandrine
PETASSOU
BALIKPAPAN
Lilian MARTIN
De Christian MARTIN
et Nadège FELIX
FOUSSEMAGNE (90)
19/12/2004
Iseulys BOUTRY
De Pierre BOUTRY et
Maud GIRARDIN
LIBREVILLE
Eda GÜLMEZ
D’Ahmet GÜLMEZ et
Fatma ÜNAL
36 rue Léon Blum
20/12/2004
Lylian BELLESOEUR
De Nans
BELLESOEUR et
Laétitia GIBOUT
CHAMPAGNEY (70)
Feyimé ENEÇ
D’Aydin ENEÇ et
Emine KAZIK
18 rue de Vienne
Dylan FERDIG
De Patricia FERDIG
6 Place Pierre Schuman
Nathaël GRISEZ
De Michaël GRISEZ et
Sandrine BOHRER
GIROMAGNY (90)
Lionel HOARAU
De Laurent HOARAU
et Murielle MARTIN
141 Avenue Jean
Jaurès
Elodie LANG
De Fabien LANG et
Angélique FAUDOT
PLANCHER-LESMINES (70)
21/12/2004
Annaelle BEURIER
De Sébastien
BEURIER et Nathalie
DARLES
CRAVANCHE (90)
Clémence GONIN
De Jean-Grégoire
GONIN et Anne
KOESSLER
VETRIGNE (90)
Brandon RERAT
De Cédric RERAT et
Laëtitia ARDOIN
6 rue André Parant
Capucine SOUBIE
De Lionel SOUBIE et
Florence TOUZARD
HERICOURT (70)
Cassandra TROTTA
De Pietro TROTTA et
Véronique GARDÉS
BOUROGNE (90)
22/12/2004
Cécilie JUPPY
D’Eric JUPPY et
Isabelle ROUSSET
35 rue de l’As de
Carreau
Célia MERIR
De Noureddine MERIR
et Lehila GASSEM
24 rue Gaston Defferre
Ilona DUMOULIN
D’Antony PERNOT et
Marie-Laure
DUMOULIN
ANDORNAY (70)
Sullyvan GREINER
De Frédéric GREINER
et Valérie MOUREY
1 rue Pierre Curie
Laurette STEINMETZ
D’Eric STEINMETZ et
Nadia LAVERNAUX
EVETTE-SALBERT
(90)
23/12//2004
Mattéo LOPEZ
De Cyril LOPEZ et
Jessica BANDELIER
BOURNOIS (25)
Dorian TRIBLE
D’Eric TRIBLE et
Lydie HOCHARD
GRANDVILLARS
(90)
24/12/2004
Camille BAUER
De Christophe BAUER
et Catherine
PIERRELOT
CHEVREMONT (90)
Chloé DE NARDI
De Laurent DE NARDI
et Line WIEDMANN
9, rue de Zaporojie
Alicia EDDIBI
De Karim EDDIBI et
Stéphanie STAUB
TREVENANS (90)
Justin PRUDHAM
De Emmanuel
PRUDHAM et
Sylviane COLLE
CITERS (70)
25/12/2004
Candice BAILLS
De Alexandre BAILLS
et Isabelle SCHMITZ
BROGNARD (25)
Pavel BEHRA
De Fabrice BEHRA et
Dusica
STAMENKOVIC
16, rue Salengro
Yousra CHAABNA
De Mohamed
CHAABNA et
Saimmia BADIS
CHEVREMONT (90)
Manon CLIQUET
De Sylvain CLIQUET
et Natacha WOLFF
8, rue Paul Eluard
Victor FATTELAY
De Christophe
FATTELAY et Katia
FARAGOLO
MONTBOUTON (90)
Mélie-Rose GABLE
De David GABLE et
Fabienne LEFEVRE
64, fg de France
Alicia WITT
De Alexandre WITT et
Jessica MALICE
HINDLINGEN (68)
26/12/2004
Kori BARRI
De Maurice BARREY
et Aline DEHOS
JONCHEREY (90)
Horace KOUWONOU
De Kossi
KOUWONOU et Akou
DOGBE
16, rue Albert Einstein
27/12/2004
Sahra GÜL
De Cuma GÜL et
Emine ÖZDEMIR
21, rue du Luxembourg
Ylena
KATTEWINKEL
De Mustapha HABAR
et Anja
KATTWINKEL
4bis, fg de lyon
Lou WIDEMANN
De Claude
WIDEMANN et
Caroline MERMET
FAVEROIS (90)
Léo
WINTENBERGER
De Alexandre
WINTENBERGER et
Sophie FESCHOTTE
5, rue Rosenberg
28/12/2004
François ESTIENNE
De Michel ESTIENNE
et Catherine DUPIN
24, fg de Montbéliard
Anton GADZHIEV
De Artur GADZHIEV
et Elena
KARATAEVA
7, rue de Verdun
Maël PHEULPIN
De Emmanuel
PHEULPIN et Valérie
DUMONT
CHENEBIER (70)
Elona ROURE
De Frédéric ROURE et
Nelly MOUGENOT
DELLE (90)
Eliyan KAYDU
De Metin KAYDU et
Reyhan KOCAMAN
ROPPE (90)
29/12/2004
Ilyas LOUNES
De Allel LOUNES et
Saliha MADOUI
1, rue Claude Perrault
Benjamin et Manon
DECASTILLE
De Patrick
DECASTILLE et
Isabelle
BREDILLARD
HERICOURT (70)
Gabriel SOUVAY
De Ludovic SOUVAY
et Mylène CORDIER
GIROMAGNY (90)
Clara DIETEMANN
De Vincent
DIETEMANN et
Valérie GIRARDIN
TRAUBACH-LE-BAS
(68)
Elena HERVÉ
De Nicolas HERVÉ et
Nathalie VÉDOVATI
ESSERT (90)
Ozan KARAÇA
De Serif KARAÇA et
Arzu KARAÇA
19 rue René Payot
Issam OUASFI
De Saïd OUASFI et
Carole RAPINÉ
120 Avenue Jean
Jaurès
30/12/2004
Muhammed
ERASLAN
De Kazim ERASLAN
et Funda
ALTINPARMAK
4, rue de Valdoie
Elias HASNAOU
De Farid HASNAOU
et Fatma BOUAMEUR
CHATENOIS-LESFORGES (90)
Anne-Lise MAILLE
D’Hervé MAILLE et
Isabelle MEYER
2 rue Claude Perrault
31/12/2004
Thomas DELON
De Patrick DELON et
Marie-Ange
BOUCLET
MONTBELIARD (25)
Thomas LIEFFROY
De Fabien LIEFFROY
et Valérie DA COSTA
SAINT-GERMAIN
(90)
Mélina MOUSSAOUI
De Priscilla
MOUSSAOUI
OFFEMONT (90)
01/01/2005
Nolan BENBIOU
De M’Hamed
BENBIOU et Aurélia
ROYER
2 rue du Magasin
Lana DAL PONTE
De Valentin DAL
PONTE et Elisabete
JORGE
ABBEVILLERS (25)
Pauline
FULLERINGER
De Gérald
FULLERINGER et
Laure ORSAT
VALDOIE (90)
Ilona HELLE
De Pascal HELLE et
Claudia CARATY
VALDOIE (90)
Adam LAMBELIN
D’Eric LAMBELIN et
Séverine MILLET
RONCHAMP (70)
02/01/2005
Evan LOPEZ
De David LOPEZ et
Sarah PEUGEOT
BOUROGNE (90)
Jason SEILERJEANROY
De Martial SEILER et
Jessica JEANROY
DELLE (90)
03/01/2005
Pelin KILIC
De Mehmet KILIC et
Dursun YUKSEL
23 Bd John Kennedy
Pauline SARRAZIN
De Cécile SARRAZIN
LURE (70)
04/01/2005
Tiago ALVES
De David ALVES et
Séverine GREVILLOT
79ter Av Jean Moulin
Angélina MANTES
De Denis MANTES et
Sophie GUIBELIN
HERICOURT (70)
Ruveyda MERCAN
De Mehmet MERCAN
et Elif VELI
OFFEMONT (90)
Lancelot SINTEFF
D’Arnaud SINTEFF et
Sandra CANEVA
28 rue André Parant
05/01/2005
Emirhan BAYLAN
De Yonuz BAYLAN et
Sultan ÖZTAS
1 rue de Belgrade
Eliott FUSSERMICHAUD
De Romain FUSSER et
Nathalie MICHAUD
ROUGEMONT-LECHATEAU (90)
Mélanie GRAPPE
De Sébastien GRAPPE
et Gaëlle
GAUDILLIER
HERIMONCOURT
(25)
Alexandre LAGIER
De Martial LAGIER et
Christelle PY
PLANCHER-LESMINES (70)
Jade BERSIER
De Ludivine BERSIER
5 rue de Vienne
Erwann ESTEVAN
De Jean-François
ESTEVAN et Virginie
COYTTE
MIGNAVILLERS (70)
Tom HARMAND
De Cyril HARMAND
et Hélène PERELLO
3 rue des Nouvelles
Maëlle LE LAN
De Daniel LE LAN et
Sarah VARETTE
17 Av du Château
d’eau
06/01/2005
Asia GILBERTI
De Ghislain
GILBERTI et Lynda
MARION
13 Fbg de France
Kaan KAYIR
D’Ercan KAYIR et
Nuray ERCAN
ELOIE (90)
Mathis RODRIGUEZ
De Régis
RODRIGUEZ et
Delphine AIDEMOY
GRANDCHARMONT (25)
Havin SENER
D’Aytaç SENER et
Ayfer IZGI
07/01/2005
Anaïs BOUCHEZ
De Christophe
BOUCHEZ et Valérie
FLORES
LACHAPELLESOUS-CHAUX (90)
Julia GAVOILLE
De Jean-Claude
GAVOILLE et Elise
EUSTACHE
74 rue de la Croix du
Tilleul
Louise GOLDER
De Michaël GOLDER
et Nathalie WILLIG
8 Fbg de Lyon
Nicolas HEIDET
De Laurent HEIDET et
Florence PATENAYE
SAINT BARTHELEMY (70)
Julien JAWORSKI
De Laurent
JAWORSKI et Sabine
HORLACHER
14 Bd de Lattre de
Tassigny
Alice KUBIACZYK
De David
KUBIACZYK et
Véronique PIERI
11 Av du Gal Sarrail
Elia PERREZ
De Thierry PERREZ et
Nathalie LAMIELLE
GROSMAGNY (90)
Alexandre PEYSSON
D’Yves PEYSSON et
Vesna FILIPOVIC
BOUROGNE (90)
Cassandra REINICHE
De Philippe
REINICHE et Isabelle
BILLOTET
Mathilde VITTI
De Fabio VITTI et
Estelle YOUS
2 rue des trois Dugois
08/01/2005
Brandon
IZEMENGIA
De Kaza IZEMENGIA
et Clomays THATY
BANDJO
12 Av de la Prospérité
Manon LEFRANÇOIS
De Ludovic
LEFRANÇOIS et
Angélique
BOUTIGNY
LURE (70)
09/01/2005
Coraline BRISSET
De Nicolas BRISSET
et Angélique
MARESCOT
5 rue Henri Dorey
Abdesalem KEBIR
De Mohamed KEBIR
et Ouassila
MENASRIA
9 rue de Zaporojie
Loïck RENAUD
De Martial RENAUD
et Martine MATTEN
DELLE (90)
Maxime VENDRELY
De Christophe
VENDRELY et Sabine
TOILLON
MONTESSAUX (70)
10/01/2005
Océane FIAT
De Grégory FIAT et
Laura GÉRODIAS
2 rue Pierre Lescot
Ivana GUYON
D’Alexandre GUYON
et Sophie MARKOVIC
GRANDVILLARS
(90)
Léonie SONET
De Didier SONET et
Fabienne GABLE
PLANCHER-BAS (70)
11/01/2005
Léa CANTO
De Fernando CANTO
et Florence
DELAITRE
ETUPES (25)
Chloé DAVAL
De Benoît DAVAL et
Aurore TOGNACCI
TAVEY (25)
Tiffany
KHOUFFACHE
D’Abdelhalim
KHOUFFACHE et
Angélique ZIEGLER
DANJOUTIN (90)
Iléana MANGINHENRIEY
De Laurent MANGIN
et Florence HENRIEY
44 Fbg de Montbéliard
Noah NDIAYEPINIER
D’Amadou NDIAYE et
Emilie PINIER
21 rue Champion
Médine YAGOUB
D’Abdelmalik
YAGOUB et
Mokhtaria HAOUARI
7 rue Henri Dorey
Antoine BREDAOBERDORF
De Bruno BREDA et
Stéphanie OBERDORF
82 Av Jean Jaurès
12/01/2005
page28
Solène LATZ
De Christian LATZ et
Christelle
MOROSINOTTO
PETITEFONTAINE
(90)
Nelly MIAS
De Fabrice MIAS et
Anne FUCHS
LEPUIS-GY (90)
Paulyne AMORIN
De Dominique
AMORIN et Béatrice
SORIANO
BART (25)
Mathis BERGER
De Jean-Luc BERGER
et Sylvie NANTES
16 rue de Valdoie
Enzo LAFLEUR
De Frédéric LAFLEUR
et Angélique
LAMBOLEY
3bis rue du Ballon
Inès MASMEJEAN
De Grégory
MASMEJEAN et
Magali VIATTE
FREDERICFONTAINE (70)
13/01/2005
Alice ABID
De Larbi ABID et Alla
BRAGA
DANJOUTIN (90)
Constant ALFAÎA
De Laurent ALFAÎA et
Nadine VAUDREY
Jean FETUFENNETEAU
De David FETU et
Michèle FENNETEAU
2 rue Pierre Curie
Théo GILET
D’Eric GILET et
Sylvie LAPÔTRE
RONCHAMP (70)
Naïla LYAHIAOUI
De Khalide
LYAHIAOUI et Linda
MEHIGUENI
13 Fbg de Lyon
Sean MAILLET
De Mickaël MAILLET
et Cindy LASSALLE
2 Av du Champ de
Mars
Célian OUGIER
De Xavier OUGIER et
Anne-Lise BERMON
HERICOURT (70)
Elisa REYNAUD
De Philippe REYNAUD et Sandrine
BALLET
TAILLECOURT (25)
14/01/2005
Si-Mohamed
BENNANI
De Taoufik BENNANI
et Fouzya HAMISSA
Albin
GROSVERNIER
De Stéphane
GROSVERNIER et
Nathalie SCHLATTER
VÉZELOIS (90)
Fabrice LAJEANNE
D’Emmanuel
LAJEANNE et Eliane
GRANDJEAN
MELISEY (70)
15/01/2005
Bastien LAURENT
De Stéfane LAURENT
et Véronique
page29
CHIPEAUX
FESCHES-LECHATEL (25)
Alycia OEUVRAY
De John OEUVRAY et
Carine FAHY
HERICOURT (70)
Aya OUMLIKI
De Fouad OUMLIKI et
Nada CHAKOUR
7 rue Payot
Hugoline PHILIPPE
De Davy PHILIPPE et
Delphine ANDREOLI
RONCHAMP (70)
16/01/2005
Claryne DRIDI
D’Hédi DRIDI et
Maud DEVILLARD
BOUROGNE (90)
Héloïse FETSCHER
D’Eric FETSCHER et
Muriel TOUZAIN
GRANDVILLARS
(90)
Enzo LE CAVORZIN
De Nicolas LE
CAVORZIN et Céline
DEFREINT
25 Av du Gal Sarrail
Jimmy et Léo
NIESWAND
De Gérald
NIESWAND et
Françoise BRAND
VALDOIE (90)
Cloé PAPIN
De Gaëtan PAPIN et
Céline GROSJEAN
5 rue de Dublin
17/01/2005
Lionel CAMBONI
De Daniel CAMBONI
et Gabriella
CAODURO
CHAVANNES-SURL’ETANG (68)
Sarah JACQUES
De Fabrice JACQUES
et Amal HAMADI
FONTAINE (90)
Younes SAHRAOUI
De Mohamed
SAHRAOUI et Widad
ARAMA
6 rue des trois Dugois
18/01/2005
Anaïs SANCHEZ
De Sébastien
SANCHEZ et Sandra
VIGOUREUX
Théo CENNI
D’Eric CENNI et
Nadège CHALVERAT
2 Av de la Miotte
Hugo FOVET
De Samuel FOVET et
Stéphanie LIOTE
FOUSSEMAGNE
Louis MAILLARD
De Fabrice
MAILLARD et Céline
PEREIRA
OFFEMONT (90)
Axel ROUSTANY
De David ROUSTANY
et Francine DURING
JONCHEREY (90)
Laura SAGEON
De Pascal SAGEON et
Maryse THOMASSIN
ROUGEMONT-LECHATEAU (90)
19/01/2005
Corentin ARNOLD
De Frédéric ARNOLD
et Christelle BAURY
AUDINCOURT (25)
Clara AZZIS
De Frédéric AZZIS et
Nathalie DEVAL
CHAUX (90)
Abdelraouf BRIBI
De Kamel BRIBI et
Rachida ARIB
2, rue Henri Dorey
Cassandra
DEICHELBOHRER
De Yannick
DEICHELBOHRER et
Nadia BELAID
BAVILLIERS (90)
Marion SESSEGOLO
De Eric SESSEGOLO
et Sylvie ROLIN
LARIVIERE (90)
Nathan WALTER
De Fabien WALTER et
Christelle PETITOT
3, rue des Quatre Vents
20/01/2005
Samael PATRIX
De Christophe
PATRIX et Carole
BUNELLE
COUTHENANS (70)
Sarah DAVEAU
de Pierre-Yves
DAVEAU et Rachel
CRETET
5, rue Scheurer-Kestner
Noa MAUVAIS
De Bruno MAUVAIS
et Sophie
DUCOURNEAU
CHEVREMONT (90)
Zoé PEREIRA
De Victor PEREIRA et
Isabelle AUBRY
1, avenue Miellet
Anaïs ROBEZ
De Sébastien ROBEZ
et Sandrine DUPONT
19, rue Victor Hugo
21/01/2005
Lilian BOUTAL
De Laurent BOUTAL
et Sandra BLACK
LEVAL (90)
Gökhan CELIK
De Bekir CELIK et
Meryem VURAL
16, rue Michelet
Paul DAVID
De Sébastien DAVID
et Céline
BOUILLARD
BAVILLIERS (90)
Jade ZIMMERMANN
De Christophe
ZIMMERMANN et
Virginie TESSON
24, rue Denfert
Rochereau
22/01/2005
Inayat VIEUDRIN
De Jérôme VIEUDRIN
et Erika GROUSSARD
THIEFFRANS (70)
23/01/2005
Eloïse JAVELOT
De Thierry JAVELOT
et Sophie EGLOFF
MONTBELIARD (25)
Yann MOUREY
De Dominique
MOUREY et
Angélique
CHAMEROIS
FROIDEFONTAINE
(90)
Domy PERRONTHEPAULT
De Frédéric PERRON
et Séverine
THEPAULT
37, rue Jean de la
Fontaine
Eloïse PETREMENT
De Joël PETREMENT
et Stéphanie BIGNON
GIROMAGNY (90)
Alexis VALLI
De Buno VALLI et
Isabelle BOREAN
CHAUX (90)
24/01/2005
Léo COSSERAT
De Thierry
COSSERAT et MiaoLing LIN
10, rue Georges
Guynemer
Kiara GREMILLETFISCHER
De Cédric
GREMILLET et
Karine FISCHER
BADEVEL (25)
Moufdi MEDDAH
De Ahmed MEDDAH
et Fatima BASBAS
7, rue de Vienne
Louna PATER
De François PATER et
Sylvie TERNYNCK
Mariages
18/12/2004
Julien GABLE et
Julie DURUPT
Claude HASNI et
Christiane
PLANCHENOT
6 Près de l’Etang
Décès
14/12/2004
Lucien FIEULAINE
78 ans, retraité
16/12/2004
Maria DE SANTO
veuve BEVILACQUA
71 ans, retraitée
19/12/2004
Serge PELLETIER
76 ans, retraité
Madeleine THOMAS
veuve TALFUMIER
81 ans, retraitée
20/12/2004
Marie-France
GROSSKOST
48 ans, sans profession
Solange PIOT veuve
CANAL
82 ans, retraitée
21/12/2004
Agnès LAMBING
épouse PEQUIGNOT
45 ans, secrétaire
Micheline
PEQUIGNOT
76 ans, retraitée
22/12/2004
Renée BELLE épouse
LALOUE
Jeanne DEMANGE
veuve ASTIER
Pierre TABOUROT
78 ans, retraité
Raymonde WOLFER
66 ans, retraitée
24/12/2004
Laure DEMENUS,
veuve MARTIN
88 ans, retraitée
Rolande GEHANT,
épouse LACOSTE
72 ans, retraitée
Jacqueline GILLET,
épouse SANTALUCIA
58 ans, agent de
fabrication
Max KUPPER
82 ans, retraité
26/12/2004
Madeleine
WENDLING, épouse
FERRERO
16, rue du Docteur
Schweitzer
25/01/2005
Yasmine BOUTAHIR
De Si-Mohamed
BOUTAHIR et
Meryem AMCHARAT
4, rue des Quatre Vents
Sarah BELAOUNI
De Ouari BELAOUNI
et Salima BRIKET
HERICOURT (70)
Erine GANTHIER
De Philippe
GANTHIER et Maria-
Dolorès PERREZ
LEPUIX (90)
Hugo MONGIN
De David MONGIN et
Rachel BRACONNIER
2, avenue du Champ de
Mars
Hacer TEKIN
De Mestan TEKIN et
Hatiçe GÖKCE
6, Place Schuman
Sarah YOUSFI
De Yacine YOUSFI et
Milica PAUNOVIC
7, rue du Lavoir
24/12/2004
Léonard MEYER et
Sandrine DENIS
12C, rue de la
Fraternité
31/12/2004
Noureddine
LEMQADDEH et
Badia HAMRO
6 rue de Moscou
Philippe SOCRATE
et Martine BASTIEN
2 rue Georges Bizet
08/01/2005
Johan DEMANGE et
Aurélie BAUDIN
8 rue Camille Saint
Saens
Aleksandar GRBIC
et Silvana SAVIC
29 Av des Frères
Lumière
28/12/2004
Jean-Claude DIDIER
60 ans, retraité
29/12/2004
Marguerite JENN,
veuve CEGLINSKI
Jean VINCENT
49 ans, employé
municipal
30/12/2004
Jules DESEVAUX
75 ans, retraité
31/12/2004
Jules HEINY,
89 ans, retraité
Blanche REINICHE
veuve PIERRE
95 ans, retraitée
01/01/2005
Renée RAFFENNE
veuve SCHMIDT
88 ans, retraitée
02/01/2005
Yvonne BAUMERT
épouse LAMBERT
Monique BILLEQUEZ
épouse SARAZIN
Lucie GOBBETTO
veuve ACHART
04/01/2005
Odette BOHIN veuve
DURAND
Joseph KELLER
81 ans, retraité
05/01/2005
Jean PIZZAGALLI
73 ans, retraité
René STAUFFER
84 ans, retraité
06/01/2005
Gilda BALDI veuve
ANTOINE
Fernand GAAG
76 ans, retraité
07/01/2005
Marie CRÉACH
épouse HERVÉ
61 ans, retraitée
08/01/2005
Sandrine
MONTAVON épouse
PARRAIN
32 ans, préparatrice
Renée PHILIPPE
veuve STUDER
83 ans, retraitée
Léontine RAPP veuve
ALLEMAND
86 ans, retraitée
09/01/2005
Sebahat ATA veuve
KÖKTEN
André STEMER
68 ans, retraité
10/01/2005
Georges ROBERT
74 ans, agriculteur
retraité
André THOMAS
78 ans, retraité
11/01/2005
Simone ARROUEZ
veuve BAILLY
72 ans, retraitée
Augustine
GSCHWIND veuve
KRANKLADER
84 ans, retraitée
Stéphane BURGER
28 ans, soudeur
12/01/2005
Yolande BRUEY
68 ans, retraitée
Madeleine PELTIER
93 ans, retraitée
13/01/2005
Claude MANGEOT
60 ans, retraité
Léon POFILET
86 ans, retraité
Paulette REINICHE
veuve DÉCHOZ
14/01/2005
Annick BOUSSALIA
épouse
OBERKALMSTEIN
15/01/2005
Thomas BUMBAR
55 ans, chauffeur
Etienne MALLET
58 ans, ouvrier
16/01/2005
Robert ADAM
84 ans, retraité
Marie-Louise BADIN
épouse HOFFERT
Nicole BOURLAND
épouse GIULIANI
78 ans, retraitée
Roger EMOND
76 ans, retraité
Yvonne PETITJEAN
veuve HOUET
17/01/2005
Raymonde BRUNNER
épouse GROS
69 ans, retraitée
Sandrine PICHARD
20/01/2005
Yvette BOHLEN,
veuve MALZACHER
70 ans, retraitée
Maria GAUTHERAT,
veuve GAUFFER
87 ans, retraitée
Roger RUFFIO
70 ans, retraité
21/01/2005
Gabrielle CATTE,
épouse GRESSOT
Bernard ENDERLIN
58 ans, retraité
Jacquy MOIROD
70 ans, retraité
22/01/2005
Maurice BONI
86 ans, retraité
Germaine
HAZEMANN
96 ans, retraitée
Henri RHOMAS
84 ans, retraité
24/01/2005
Marie BROGLIN,
veuve RAPP
93 ans, retraitée
Marie DOMON,
veuve BERCOT
90 ans, retraité
26/01/2005
René CROZE
90 ans, retraité
Robert HENRISSAT
73 ans, retraité
Pierrette TRENTANI,
épouse GIRARDEY
73 ans, retraité
27/01/2005
Jean-Marie MICHEL
43 ans, ouvrier
v i e
é t u d i a n t e
4L Trophy, Belfort dans le raid
U
n raid humanitaire puisque son objectif est
d’acheminer quelque 14 tonnes
de fournitures scolaires et de vêtements à la ligue marocaine de
protection de l’enfance.
Du 17 au 27 février, sept
équipages belfortains tous étudiants- participent
au rallye-raid humanitaire
«4L Trophy» qui conduira
400 Renault 4 dans le sud
marocain.
Quatre équipages de l’Utbm et de
l’Esta sont au départ. Dont une
4L préparée par les apprentis de
la section mécanique du CFA municipal. Préparée est un peu
«juste» car en réalité c’est au volant d’une voiture complètement
reconstruite que Yannick et Baptiste s’aligneront sur la ligne de
départ. A bord de ces «chamelles-mécaniques du désert» cinquante kilos de cartes et photos
de Belfort, de cahiers et de stylos. Bonne route à eux.
14 tonnes réparties dans 400 petites Renault 4 qui traverseront
sur 700 kilomètres le désert pour
arriver à Marrakech, terme du
raid.
Pas question donc de performances pures, juste de la navigation,
du franchissement et de la régularité.
Préparée par
les apprentis du CFA
Organisé par l’ESC de Rennes, ce
rallye-raid est à usage exclusif
d’étudiants, dont la quasi totalité
sont plus jeunes que leurs petite
4L...
A eux de préparer les voitures et
de trouver les sponsors indispensables pour boucler le budget.
Le blocage
de 14h à 19h (sauf le dimanche et le
lundi). Cours d’initiation (enfants,
adultes) et de perfectionnement (5
niveaux), loisirs et compétitions.
Renseignements : ( 03 84.21.52.80
(tous les après-midi de 14 H à 19 H du
mardi au samedi).
Cette rubrique est assurée par Régis
Desle, Conseiller Technique et Pédagogique du jeu d’Echecs pour le Territoire de Belfort.
8
7
6
5
4
3
2
1
8
7
6
5
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2
1
a b c d e f g h
a b c d e f g h
a b c d e f g h
Les Blancs jouent et font mat
ou gagnent la Dame.
Les Blancs jouent et font mat
ou gagnent la Dame.
Les Blancs jouent et gagnent.
Aux Echecs, on a souvent besoin de
l’aide de l’adversaire pour gagner
une partie ! Il peut être intéressant de
bloquer un pion qui ne pourra pas
s’avancer pour laisser le passage à
son Roi ou encore d’amener une pièce
sur une case où elle empêchera le Roi
de passer.
C’est ce que l’on appelle le blocage
ou le blocus. La position 589 apprend
comment installer une pièce adverse
sur une case gênante et ensuite refermer le piège en empêchant d’avancer
le seul pion noir susceptible de donner de l’espace à son Roi. La position
590 montre une manœuvre classique
où pour parer une menace simple, les
Noirs sont contraints de bloquer leur
Roi. Enfin, dans la position 591, saurez-vous, comme le légendaire Bobby
Fischer, forcer le mat en h7 ?
Où s’initier et jouer aux échecs à
Belfort ?
Au 2, rue Marcel Paul, tous les jours
Position 589 : 1.Cd7+ Txd7 [1...Re7
2.Cxb6+-] 2.Ff6 suivi du mat par 3.Th8.
> Echecs, à vous de jouer
Position 591
Position 590 : 1.De5+ Rf8 [1...Rg8 2.Te8+
gagne la Dame noire ; 1...Rh6 2.Df4+ Rg7
3.Dxf7+ etc.] 2.Df6! Dxe7 (sinon c’est
mat en f7) 3.Dh8 mat.
8
7
6
5
4
3
2
1
Position 590
Position 591 : 1.Tf6! [1.e5 f5!] 1...Rg8
[1...Fxf6 2.e5 suivi du mat en h7 ; 1...h6
2.e5 Rg8 3.Ce2 revient au même] 2.e5 h6
3.Ce2 Cb5 4.Df5 et le mat en h7 est
imparable.
Position 589
page 30
t r i b u n e s
l i b r e s
> groupe opposition
> groupe belfort démocratie
Techn’Hom
sur le site Alstom : oui mais...
L’annonce médiatique du projet Techn’Hom
et des efforts conjoints des collectivités locales pour assurer l’avenir du site Alstom est
une proposition intéressante. Mobiliser des
crédits pour empêcher le développement
d’une friche industrielle sur le site Alstom est
une bonne façon de dépenser des crédits
publics : les Belfortains s’y associeront pleinement car ils pourront y trouver de l’emploi.
Il y a actuellement, sur le site Alstom, plus de
150 000 m2 de locaux non utilisés : plutôt que
de regarder ces bâtiments inoccupés se dégrader, il faut agir !
Je me réjouis que les engagements financiers
annoncés aillent au delà des dispositions du
CIADT, dont la dilution des crédits à l’échelle
de l’aire urbaine ne permettait pas une revitalisation industrielle du site Alstom.
Il faut cependant insister sur plusieurs
points :
> cet aménagement n’a de sens que si Alstom
conforte son implantation à Belfort sur une
partie de site inaliénable : il ne s’agit pas de
faciliter son départ.
> cet aménagement doit être imaginé dans la
perspective d’un redéploiement d’Alstom : si
le marché de l’énergie ou du transport repart
à la hausse, il faut avoir des possibilités
d’extension à proximité des actuels locaux
d’Alstom.
> le site Alstom ne doit pas devenir une zone
fourre-tout où l’on loue des bâtiments à tout
ceux qui se présentent : on obtiendrait une
zone ratée, sans valeur ajoutée, à l’image de
la Zac des Hauts de Belfort, où se côtoient
industrie, concessionnaires automobiles, artisanat, hôtellerie...Cet aménagement doit
obéir à une logique de réindustrialisation et
non pas de commercialisation de parcelles.
> les locaux loués devront former une ou
deux zones thématiques positionnées sur des
secteurs d’activités précis, de préférence
autour de l’énergie et des transports : électro-
nique embarquée à bord des véhicules, propulsion électrique par exemple. C’est l’unique façon d’obtenir de vrais implantations
d’entreprises à forte valeur ajoutée.
Enfin, d’un point de vue plus politique, je me
félicite de cette «conversion» de Jean-Pierre
Chevènement qui, il y a quelques mois encore, refusait de tels investissements parce
qu’il ne voulait pas accompagner le démantèlement d’Alstom...quitte à laisser une friche
industrielle !
Je me félicite aussi de la «conversion» de
Christian Proust qui, il y a quelques mois
encore, en séance publique du Conseil général, m’affirmait que si l’on créait de l’emploi
dans le Territoire, ce serait sur des zones
industrielles à l’extérieur de Belfort, et non
plus sur le site Alstom de Belfort, qu’il jugeait
trop enclavé et inadapté notamment pour les
infrastructures de transport.
Le bon sens est peut-être en train de l’emporter.
Christophe GRUDLER
Responsable du groupe municipal
d’opposition
Note du Directeur de la Publication :
S’exprimant au nom d’une partie de
l’opposition municipale, M. Grudler
sème une fois de plus les contrevérités
sur le dossier Alstom.
Si, tout comme le Technopôle voisin, le
site Alstom n’a pas été et ne sera pas
transformé en friche industrielle, les
Belfortains savent bien à qui ils le
doivent. Bien entendu, Christian Proust
aura, s’il le souhaite, la possibilité de
s’exprimer sur sa mise en cause dans le
prochain numéro du Belfort-Mag.
J.P.C.
> groupe UMP
Education :
une attitude consternante
Oscar Wilde détestait les discussions. Il
les accusait de parfois le faire changer
d’avis ! Les élus de la majorité doivent
faire leur cette pensée, car c’est bien
l’absence totale de dialogue qui marque
ce début d’année à Belfort.
En effet, juste avant les vacances de
Noël, le Président du conseil général
annonçait la fusion des collèges Bartholdi et Léonard de Vinci, sans consulter les parlementaires, les conseillers
généraux ni les parents d’élèves et les
professeurs. Cette politique du fait du
prince ne correspond pas à l’idée que
nous nous faisons de la démocratie et
dans laquelle les principaux intéressés
doivent être informés et consultés. Cette
décision ne va pas dans le sens du
renforcement de l’école publique ; il ne
faudra pas, après coup, s’étonner qu’un
tel regroupement ne gonfle les rangs
des écoles privées.
page 31
Enfin, cette gestion calamiteuse de l’annonce de la fermeture du collège Bartholdi par le conseil général n’a semblet-il pas servi de leçon puisque début
janvier, le ville de Belfort utilisait les
mêmes méthodes en annonçant pour sa
part, la fermeture de l’école maternelle
Jacques Prévert. Dans cette affaire, ni la
concertation, ni le dialogue n’ont prévalu. Là encore, la décision a été prise à
l’emporte pièce alors qu’un peu de bon
sens et de dialogue aurait sans doute
permis de maintenir l’école Prévert.
La position des élus UMP est claire,
comme l’a dit très justement notre député Damien MESLOT, nous sommes
favorables au maintien de l’école Prévert et nous demandons au Maire de
revenir sur sa décision de fermeture.
Jean-Marie HERZOG
Conseiller Municipal UMP de Belfort
Ecole Jacques Prévert :
un choix pertinent
L’éducation a toujours été et
restera au cœur de nos priorités.
D’ailleurs, beaucoup de parents
nouvellement arrivés à Belfort
conviennent d’emblée que les
possibilités offertes dans ce domaine à leurs enfants supportent avantageusement la comparaison avec ce qui se fait de
mieux par ailleurs.
C’est la raison pour laquelle,
après mûre réflexion la Municipalité a pris la décision de
fermer l’école maternelle Jacques Prévert du faubourg de
Lyon. Mais il faut aussi savoir
se rendre à l’évidence : il n’y a
plus assez d’enfants dans notre
bonne ville. C’est ainsi que l’effectif de Jacques Prévert est
passé de 120 enfants en 1992 à
53 actuellement.
Cette fermeture, tout comme
celle de l’école élémentaire
Henri Wallon aux Glacis du
Château, en septembre dernier,
est la conséquence regrettable
de la baisse démographique que
nous subissons. Celle-ci a plusieurs causes. Les restructurations industrielles à l’Alstom
ne sont pas sans effet dans nos
quartiers. De même, les mouvements de population entre
Belfort et les communes périphériques, motivés le plus souvent par l’installation dans une
maison individuelle, accentuent
encore cette tendance à la baisse.
C’est d’ailleurs la raison pour
laquelle la Ville s’efforce de
proposer des programmes de
logements diversifiés comme au
Champ de Mars, à l’Etang des
Forges et demain au Fort Hatry,
aux Résidences, mais aussi aux
Glacis du Château. Cependant,
ces programmes ne compenseront jamais les barres et les tours
qui ont poussé comme des
champignons dans les années
60. Un seul exemple : 513 loge-
ments sociaux étaient regroupés entre «la Loco» et les immeubles des rues de Bruxelles
et de Luxembourg qui seront
détruits d’ici 2007. Ils seront
remplacés par 255 logements
en location et en accession à la
propriété sous forme de petits
collectifs et de maisons associées ou individuelles. C’est indispensable. Parce que nous
avons la volonté de dédensifier
l’habitat de nos grands quartiers
populaires, mais aussi de ne pas
laisser se développer des ghettos. Parce que nous gardons pour
Belfort l’ambition d’une ville
aérée, conviviale et agréable à
vivre pour tous, afin que chacun
se sente bien dans son quartier,
dans son logement. Pour que
chaque Belfortain soit intégré à
la vie de la cité.
Naturellement, ces changements
ont des incidences sur l’organisation de nos écoles communales. Nous voulons en particulier
maintenir un nombre de classes
suffisant, aux Résidences, à
l’école Pierre Dreyfus-Schmidt
comme à l’école René Rucklin,
pour assurer la réussite de tous
les enfants et une bonne articulation entre la maternelle et
l’école élémentaire. C’est ainsi
que nous donnerons des chances égales à nos enfants. Il s’agit
d’un enjeu capital. Peut-être
même le plus important, car il
détermine l’avenir de notre jeunesse, donc du pays.
Cet enjeu nous concerne tous !
Gilberte
MARIN-MOSKOVITZ
Adjointe au Maire
et Conseillère générale
du Canton de Belfort Sud

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