Dossier de Presse - François Deblaye
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Dossier de Presse - François Deblaye
THÉÂTRE DU GYMNASE ÉCRIT ET MISE EN SCÈNE PAR JUPE OBLIGATOIRE NATHALIE VIERNE OLGA SEKULIC LILOU FOGLI JEAN-FRANÇOIS GALLOTTE LUDOVIC BERTHILLOT SYLVAIN CLAMA LUMIÈRE : MARYENSAL PRODUCTIONS PRÉSENTE 18 SEPTEMBRE 2007 THÉÂTRE DU GYMNASE MARIE-BELL / DIRECTION JACQUES BERTIN LOCATION : 01 42 46 79 79 - WWW.THEATREDUGYMNASE.COM À PARTIR DU MAGASINS FNAC - CARREFOUR - 0 892 68 36 22 (0,34 €/MN) - WWW.FNAC.COM CONCEPTION & RÉALISATION GRAPHIQUE : ANDRÉ PALAIS / PHOTO : BENNI VALSSON JACQUES ROUVEYROLLIS JUPE OBLIGATOIRE en quelques lignes… Qu’est-ce qu’ a bien voulu nous dire l’auteur… Cette comédie à cinq personnages aborde le monde des fantasmes féminins… Quand, comment et pourquoi les femmes osent ou n’osent pas !… … « JUPE OBLIGATOIRE » est une comédie dont le fil conducteur nous mène dans les dessous du monde du cinéma : une scénariste, France, doit écrire un film sur le monde libertin pour lequel elle n’a a priori aucune connaissance ni affinité. L’achèvement de son travail d’écriture dans des temps impartis sous-tend l’axe dramaturgique de la pièce. En chemin, elle rencontre Sharon dont la sexualité débridée bouleversera sa vie et réveillera sa sensualité. SYNOPSIS À la demande de Bernard, comédien maintes fois « césarisé », France, la trentaine intellectuelle un peu coincée, a écrit un scénario sur les premiers pas d’un couple dans le monde échangiste. Bernard est aussi horrifié qu’étonné par son texte qui frise la pornographie. Devant tant d’excès, il est persuadé qu’ignorante du monde libertin, France s’est tout simplement laissée dépasser par le sujet. Elle s’en défend vivement lui avouant sa nouvelle vie sexuellement « débridée » …. mais rien n’y fait, il ne la croit pas ! Un matin, Bernard arrive chez France accompagné de Sharon… Fraîchement débarquée à Paris, cette délicieuse « bimbo » est prête à tout pour devenir une star… Clubs échangistes et soirées VIP font partie de son plan de carrière. Riche d’une expérience impressionnante sur le sujet, elle doit aider France à retravailler les détails de son scénario !! Malgré tout ce qui les oppose, leur rencontre va bouleverser leur vie tant au niveau professionnel que sentimental… Elles vont trouver dans l’autre le courage d’être elles-mêmes. Concernant le fond, la question est de savoir quand, comment et pourquoi les femmes osent ou n’osent pas réaliser leurs fantasmes. Il est aujourd’hui acquis qu’à l’égal de l’homme, la femme a des fantasmes mais leur réalisation reste tabou pour une infinité de raisons tant sociales que morales. C’est pourquoi lorsqu’elles « osent » goûter au libertinage (et à la bisexualité sans conséquence qui souvent l’accompagne), les femmes éprouvent de la gêne et ne peuvent s’empêcher de justifier leurs actes : l’une va au club échangiste pour s’informer ou par simple curiosité… L’autre s’y rend « uniquement » pour faire plaisir à son conjoint… Cette dernière y a fini sa soirée avec des amis VIP… c’était sympa, mais n’y retournera pas… La culpabilité trace son sillon. D’ailleurs, il faut noter que l’homosexualité féminine est mieux tolérée parce que cadrée, surtout lorsque le couple possède les mêmes références sociales qu’un couple hétérosexuel : l’amour se doit d’être au rendez-vous… et si les deux mamans élèvent des enfants tout en travaillant, c’est mieux ! Bref, là, on ne joue pas ! Il faut donc se rendre à l’évidence que le jeu libertin féminin et le trouble sensuel qui l’accompagne ont une réputation sulfureuse parce qu’ils n’ont d’autre but que le plaisir des femmes. Pour leur part, les hommes ont la chance de bénéficier de l’indulgence générale car leurs excès sont considérés comme des performances. Il est donc important de démystifier le libertinage et le plaisir féminin. Lorsque les femmes « osent » c’est parce qu’elles se trouvent dans un climat de confiance qui leur donne envie de « lâcher prise », de se laisser aller, et la réalisation de leurs désirs n’a rien de vulgaire, ni de dégradant. Et pour amener une certaine délicatesse au sujet, l’affiche, les décors, les costumes et la lumière ont donc été élaborés dans un réel souci d’esthétisme. Enfin, pour que le public comprenne le cheminement intime de chacun, j’ai fait le choix d’une mise en scène qui met l’accent sur la quotidienneté des personnages. Le sujet a été étudié avec soin afin que nous ressentions des nuances là où nous ne rencontrions que des clichés…… Nathalie VIERNE Auteur et metteur en scène Qui sont ces personnages ? FRANCE SHARON BERNARD MAÎTRE DONG Issue d’un milieu aristocratique, elle est la scénariste d’un comédien-réalisateur célèbre, Bernard, qui signe systématiquement tous les scénarios qu’elle écrit notamment le dernier en date grâce auquel il (elle…) a obtenu le César du meilleur scénario.… Au sortir de l’adolescence, elle s’écarte des chemins que lui dicte son milieu (boîte privée, espoir d’un « bon » mariage et ribambelle d’enfants). Passionnée de théâtre, après des études de lettres qui la laissent un peu perplexe, (si ce n’est la découverte de Marcel Proust…), elle s’inscrit dans un cours de théâtre et s’essaie à l’écriture de pièces jusqu’à ce qu’au hasard de ses relations, elle rencontre Bernard avec qui elle entretient une liaison… France est une femme naïve, extrêmement sensible, un peu tête en l’air, qui a gardé le vernis de son milieu avec tout ce qu’il comprend de pruderie et de retenue. Au moment où l’action se déroule, bien que France et Bernard aient rompu depuis plus de deux ans, elle écrit toujours pour lui et pour cause… Un jour, il lui demande d’écrire un scénario sur l’échangisme, sujet complètement étranger à France… Parce qu’elle a besoin d’argent, et qu’elle se sent dans une impasse, elle ment à Bernard, arguant que depuis leur rupture, elle est devenue libertine. Dans un souci de crédibilité, pour recueillir le plus de renseignements possible, elle surfe sur le net, s’installe une webcam, et au hasard de la « toile » fait la connaissance de Maître Dong qui devient pour elle une sorte de Maître spirituel. En effet, France a besoin d’aide : affectivement, elle se sent seule, et perdue au niveau professionnel. Sharon veut devenir comédienne, chanteuse, ou n’importe quoi pourvu qu’elle soit connue… pourtant, on ne peut pas dire qu’elle ait bénéficié de débuts prometteurs : sa scolarité fut plutôt compliquée et ponctuée de punitions et de remontrances dont elle sortit absolument indemne. Il faut dire qu’elle ne perdait jamais une occasion de montrer sa culotte contre un malabar, une pièce d’un franc… On peut donc remarquer que très tôt, elle sut jouer de ses atouts… Elle eut ensuite un démarrage laborieux dans le monde de la mode, en faisant la coiffeuse dans le « tabac-coiffeur-restaurant » de ses parents près du Mans. Mais un jour, au hasard d’une rencontre avec un pseudo photographe, elle réussit enfin à « monter » à Paris pour faire quelques photos érotiques. Grâce à un physique plus qu’avantageux, elle espère décrocher des opportunités dans le show-business… Sharon n’a aucune éducation, mais cela ne l’empêche pas d’être très intelligente et spontanée. Comédien et réalisateur connu, il paie France pour écrire des scénarios qu’il signe… Après un passage au Conservatoire Supérieur d’Art Dramatique, il démarre une carrière de comédien sur les chapeaux de roues, et c’est justice car il est très talentueux. De fil en aiguille, il réalise les films que France lui écrit… D’un grand charisme Bernard est un homme impatient, coléreux, qui tient France sous sa coupe. Il traite avec indifférence les gens qui gravitent autour de lui (les femmes en particulier) puisque tout lui est dû… En revanche, sous des dehors bourrus, ses relations avec France sont empreintes d’une certaine tendresse. Elle est sans doute la femme qu’il a le plus aimée, mais enfermé dans sa solitude et son orgueil, il ne sait plus se laisser aller… Son rêve est d’être un auteur ou pire, un intellectuel… Issu d’un milieu qui sent la pauvreté et les lendemains de cuite difficiles, Maître Dong est un grand habitué des hôpitaux psychiatriques. Dans le civil, il se met dans la peau de personnages divers et variés susceptibles d’inspirer confiance à la personne qu’il a en face de lui via la webcam, ce qui n’est pas pour améliorer sa santé mentale. Ses desseins sont pervers, il trouve toujours une astuce pour que la femme qu’il a appâtée, se déshabille, se montre à lui… Et pour ce faire, selon la nature de sa victime, il sait se mettre au diapason : il est tantôt Maître Tantrique, prêtre, rabbin… Le choix est vaste… Maître Dong est une sorte de maniaque très intelligent et manipulateur. Il sait ce que les femmes ont envie d’entendre… Son espoir est de voir la petite culotte de France… Et plus, si affinités… Les « j’aime » de France « Ce que j’aime, c’est Marcel Proust, ses minuscules détails traumatisants ou magnifiques… Pour un être sensible tel que lui, tout est signifiant : des aubépines rencontrées au bord du chemin marquent la joie de vivre et la jeunesse. Ces mêmes aubépines vont ensuite signifier la vieillesse et la mort parce qu’elles ont fané, que des yeux ridés les contemplent, désenchantés… Oui, j’aime ces nuances, la plupart du temps indicibles, cette sensibilité exacerbée, cette anxiété de tous les instants qui anime alors chaque chose d’une vie à part entière… et laisse des traces… ces traces qu’on abandonne dans notre sillage sans que l’on puisse rien y faire… Ces traces qui nous échappent, qui nous trahissent… » Noctambule professionnelle, irrésistiblement attirée par ce qui brille, elle réussit à devenir la maîtresse de Bernard, ce qui ne l’empêche pas de posséder par ailleurs une grande expérience du club échangiste. C’est la raison pour laquelle il la présente à France, les obligeant à travailler ensemble pour que le scénario soit plus cohérant. Les « j’aime » de Sharon J’aime Sharon Stone, elle est trop top ! Et puis les talons aiguilles, la lingerie, sortir en boîte, le blanc, le brillant, les trucs de meufs, quoi ! J’aurais adoré avoir la classe intégrale, mais en vrai, je crois pas que je l’aie… La preuve : on pince pas le cul d’une nana qui a la classe… Et moi, j’y ai droit régulièrement. France, elle, elle l’a, la classe… d’abord, elle est très, très propre. Tout le temps. Elle est un peu comme un truc qui coûterait cher et qui serait jamais en solde. Un truc super précieux sans faire exprès… C’est l’effet qu’elle me fait, à moi… c’est comme ça, elle est belle. On dirait que quand ces pêtasses de fées, elles se sont penchées sur son berceau en or, elles étaient dans leur bon jour… Pour moi, elles avaient les nerfs, alors elles m’ont pas ratée, les salopes… C’est des choses qui arrivent… tout le temps… une poussière dans l’oeil… ça tient à rien… Ah, au fait… j’aime qu’on m’aime, aussi… qu’on m’aime pas mal même… ! Alors c’est vrai que les fesses, eh ben, moi, je me les laisse facilement tripoter… J’aime bien… J’ai bien le droit… Les « j’aime » de Maître Dong Les « j’aime » de Bernard J’aime… J’aime… J’aime les huîtres, et puis… euh… Ben je sais pas, moi ! Un tas de choses ! Partir souffler à Ibiza où j’ai une super baraque avec une super piscine ; j’aime aussi les grands auteurs…… et quand on me casse pas les couilles… manger des huîtres… ça, je l’ai déjà dit… Mais c’est quoi, cette question à la con !?… Vous croyez pas que ça serait plus facile de parler de ce que je n’aime pas, non ? Ma vie sentimentale ?? Ben, je sais pas, moi… comme tout le monde… des hauts et des bas… En ce moment, je bosse trop, j’ai pas le temps… je peux pas tout faire et dans ma position, je me méfie… Je me demande si les femmes sont sincères… Peut-être un jour… on verra… Oui… pourquoi pas…… En tout cas j’aime qu’on me foute la paix !… J’aime Internet. Les images… la webcam… On peut rentrer en contact avec toutes sortes de gens… des femmes aussi, oui… C’est vrai, j’aime beaucoup les femmes, mais, moi, j’en ai pas… C’est pas mon truc… j’ai jamais su pourquoi… En tout cas, quand j’étais jeune, elles me disaient toujours non. Remarque, faut dire que je leur demandais rien… Je crois que je savais pas y faire, c’était trop compliqué… En fait, je suis trop sentimental. Mais maintenant, ça va nettement mieux… j’ai ma webcam… mon psy… oh oui… je me sens beaucoup mieux… euh… des fois… Ces demoiselles tiennent un journal intime….. Extrait du journal de France : « Ce matin, Bernard a eu l’audace de m’imposer une jeune femme très vulgaire, (on dirait une caissière de supermarché), dont la tâche (qu’elle m’a semblé d’ailleurs prendre très à coeur et l’on se demande bien pourquoi…) est de me raconter comment se passe le club échangiste… Non, mais je rêve !!!!! Et je suis sensée m’inspirer de ce qu’elle va me raconter… Non mais sans blague ! Et de quoi pourrait-elle bien me parler ? Elle a sans doute une approche très terre-à-terre de la chose… très vulgaire de ce genre d’endroit. J’ose à peine y penser !… Pour ma part, j’avais envie de réfléchir un peu, de discuter avec Bernard quant à cette intervention somme toute plutôt humiliante, mais elle ne m’en a pas laissé le temps ! Quand je lui ai dit que je préférais la rappeler, elle s’est vexée, elle est montée sur ses grands chevaux puis elle est partie en claquant la porte ! J’ai quand même rappelé Bernard… ça devrait s’arranger. Ah oui, au fait, j’allais oublier ! J’ai fait énormément de progrès en tantrisme. Maître Dong semble très satisfait. » Extrait du journal de Sharon : « Bernard m’a présenté une ex-coincée à lui… Et quand je dis coincée, je suis trop bonne !… Elle dit qu’elle s’y connaît, mais faut quand même que je lui raconte comment ça se passe dans les clubs échangistes. Alors à mon avis, elle y connaît rien, elle fait semblant, c’est tout. Moi en fait, j’étais très contente de l’aider ! C’est vrai quoi ! C’est pas tous les jours qu’on me demande mon avis… Mais on dirait que je suis pas assez bien pour lui raconter des trucs. Alors elle a rien voulu savoir, et elle a été tellement garce avec moi que je me suis barrée. En fait, elle m’a trop vexée. Le pire, c’est qu’il faut que je remette le couvert demain. Bernard m’a dit qu’elle s’excusait, tout ça… Bon j’y retourne, mais c’est vraiment que je suis obligée. Si j’y vais pas, il est foutu de ne pas me faire tourner… Plus tard… France… Je ne sais pas ce qu’il m’arrive… Il se passe manifestement quelque chose… Je ne sais plus rien… si ce n’est que ma vie me semble plus riche, pleine de possibilités. Et la crainte m’abandonne peu à peu. Ce que je sais aussi, c’est que Sharon a rompu ce silence autour de moi, ce silence qui ne servait à rien, sinon à prêter le flanc à des blessures que je croyais inguérissables. La solitude ne mène finalement à rien… Sharon, elle, est venue avec ses talons aiguilles piétiner ma vie en riant… et je la laisse faire… c’est délicieux… Plus tard… Sharon… C’est trop bizarre… et on peut pas dire que c’était prévu… Je crois que je suis amoureuse de France, et c’est la première fois que je suis avec quelqu’un sans le faire exprès… parce que j’ai envie… Elle, au moins, quand je parle, elle m’écoute, et j’ai jamais l’impression de dire des conneries. On a même écrit sa pièce toutes les deux, alors, c’est dire comme elle m’écoute bien !… Ça, c’était vraiment super, surtout que je croyais que ce genre de chose, eh ben, c’était pas pour moi… J’en ai même oublié de faire ma French Manucure pendant quinze jours, c’est dire… d’ailleurs depuis, j’ai carrément laissé tomber… Par contre, il faut que je fasse attention. Elle m’a l’air un peu énervée en ce moment : elle veut aller au club, elle s’amuse avec ce comédien… (remarque, moi aussi… mais bon… c’est pas pareil…) Elle me dit que c’est rien, mais je me méfie… je me méfie un max… Elle est coquine, je le crois pas…! Mais qu’a donc fait Olga SEKULIC durant toutes ces années…? FORMATION 1995/96 - Atelier Théâtre de l’Autre Scène avec Richard Lukas 1994/95 - Classe Libre à l’Ecole Florent (2è année) avec R. Acquaviva, J-L. Jacopin 1993 - Classe Libre à l’Ecole Florent avec X. Florent, C. Croset, L. Wumser 1992 - Ecole Florent CINEMA 2006 - "L’invité" Laurent BOUHNIK 2003 - "L'Enquête Corse" Alain BERBERIAN 2003 - "Je reste" Diane KURYS 2002 - "Laisse tes mains sur mes hanches" Chantal LAUBY 2002 - "Les Gaous" Igor SK 2001 - "The thruth about Charlie" Jonathan DEMME 1999 - "Virilité et autres sentiments modernes" Ronan GIRRE 1998 - "Jeanne d’Arc" Luc BESSON 1997 - "Les Visiteurs II" Jean-Marie POIRE 1995/96 - "Les soeurs Hamlet" Abdelkrim BAHLOUL TELEVISION 2006 - "Le vrai coupable" Francis HUSTER 2004/05 - "Allo t’es ou?" Julien DESPLANQUES 2001 - "Aix mélodie" O. GUIGNARD / P. HEYLBROCK 1998/99 - "Eva Mag" C. FRANCOIS / A. SACHS / A. BOURRY 1997 - "Docteur Sylvestre - La Vie entre Quatre Murs" Christian FRANCOIS THEATRE 2004 - "Si j'étais Diplomate" Alain SACHS 2003 - "Le Vison Voyageur" Mélo d'Amélie - Eric HENON 1994/95 - "Les Caprices de Marianne" de Musset - Stéphane AUVRAY-NAUROY 1994 - "Mademoiselle Julie" de Strinberg - Francesco NICHELE 1993 - "Ubu Roi" de A. Jarry - Pierre LAMI 1993 - "Les Sorcières de Salem" de A. Miller - Pierre LAMI 1993 - "Frederico Garcia Lorca" Montage de Poèmes - Pierre LAMI 1992 - "Montserrat" d’Emmanuel Robles - Pierre LAMI Et… Lilou FOGLI…? FORMATION 2002 – 2006 Master in Fine Arts (MFA) The Actors Studio Drama Shool NY 2002 – 2005 Actors Studio Drama School – New York : Ron LEIBMANN, Susan ASTON, Elizabeth KEMP, Gene LASKO Judith GOROWITZ, Thomas VASILIADES (Alexander Technique) - American Conservatory Theater- New York : Nova THOMAS (voice, singing) Alvin AILEY : Kevin PREDMORE (modern), Helen PICKETT (impro), Yvonne MARCEAU (Ballroom), Tina BUSH (horton) 2002 - Cours Florent 2000-2001 - MBA in Finance - New Orleans, LA. 1996 – 2000 - Maîtrise de finance – Groupe IPESUP, Paris CINEMA 2007 – Une histoire louche - Réalisation de Rudi ROSENBERG 2006 – Pur Weekend - Réalisation de Olivier DORAN 2005 – One plus one makes three - Réalisation de Zachary DANIELS 2000 – Los desafinados - Réalisation de Manuel PERREIRA 1999 – Comme une bête - Réalisation de Patrick SHULMANN THEATRE 2005 – The Maids - Mise en scène de Gene LASKO 2005 – Danny and the deep blue sea - Mise en scène de Ron LEIBMAN 2004 – Romeo and Juliette - Mise en scène de Joseph STRICK 2004 – A doll’s house - Mise en scène de Susan ASTON 2004 – The first ladies lounge - Mise en scène de Jamie RAMSBURG 2004 – Children’s Hour - Mise en scène de Susan ASTON 2003 – The seagull - Mise en scène de Elizabeth KEMP 2003 – The rape of Marie - Mise en scène de Aurin SQUIRE 2000 – The hostage - Mise en scène de James DONADIO 1999 – House of dreams - Mise en scène de Philip GUTTMANN TELEVISION 2006 - Brigade Navarro – Trafics d’influences – Réalisation de Philippe DAVIN 2006 - Brigade Navarro – Carambolage – Réalisation de Philippe DAVIN TF1 2006 - Double Peine - Réalisation de Arnaud SELIGNAC France 2 2006 - Poison d’avril - Réalisation de William KAREL Jean-François GALLOTTE revient enfin au théâtre...! 2006 : Recrued'essence - Réalisation de Colas et Mathias Rifkiss La Terre ferme - Réalisation de Olivier Riou 2005 : Chambre 616 - Réalisation de Frédéric Pelle Les Messagers - Réalisation de Patrick Dhaussy Michou d'Auber - Réalisation de Thomas Gilou 2004 : L' Attraction terrestre - Réalisation de Frédéric Carpentier En famille - Réalisation de Pascale Chouffot Espace Détente - Réalisation de Yvan Le Bolloc'h et Bruno Solo Insurrection / Résurrection - Réalisation de Pierre Merejkowsky Passage(s) - Réalisation de Colas et Mathias Rifkiss 2003 : Copains comme cochons - Réalisation de Alexandre Zanetti La Femme qui a vu l'ours - Réalisation de Patrice Carré Grand Ciel - Réalisation de Noël Alpi Livraison à domicile - Réalisation de Bruno Delahaye Roue libre - Réalisation de Thomas Lilti 2002 : Après l'enfance - Réalisation de Thomas Lilti La Beuze - Réalisation de François Desagnat et Thomas Sorriaux Quand tu descendras du ciel - Réalisation de Éric Guirado Rencontre avec le dragon - Réalisation de Hélène Angel Le Vigile - Réalisation de Frédéric Pelle 2001 : 24/24 - Réalisation de Bertrand Eluerd et Antoine Raimbault Assoud le Buffle - Réalisation de Joseph Morder 2000 : Les Autres Filles - Réalisation de Caroline Vignal Brûlure indienne - Réalisation de Joséphine Flasseur Chasse gardée - Réalisation de Olivier Riou Clémentine... Plein de choses que vous savez pas - Réalisation de Francis Allegret Deux L - Réalisation de Laurent Bouhnik Jojo la frite - Réalisation de Nicolas Cuche Marée basse - Réalisation de Christiane Lack 1999 : Madeleine - Réalisation de Laurent Bouhnik Calino-Maneige – Réalisation de Jean-Patrick Lebel Les Fans - Réalisation de Francis Duquet Psy-show - Réalisation de Marina De Van Sommeil profond - Réalisation de Pierre Lacan Un petit air de fête - Réalisation de Éric Guirado 1998 : La Leçon du jour - Réalisation de Irène Sohm Plan séquence : Gratin - Réalisation de Yann Piquer 1995 : L' Enfant du parking - Réalisation de Claudine Bories Homo-Automobilis - Réalisation de Vincent Mayrand Visiblement je vous aime - Réalisation de Jean-Michel Carré 1990 : Baby Blood - Réalisation de Alain Robak Ludovic BERTHILLOT aussi... 2006: La lance de la destinée - Réalisation de Denis Berry Tropiques Amers - Réalisation de Jean-Claude Flamand Barny Les Yeux du Volcan - Réalisation de Michaela Watteaux Préjudices - Réalisation de Frédéric Berthe Louis la Brocante - Réalisation de Michel Favard 2005 : Premiers Secours - Réalisation de Didier Delaitre Toutes les Filles ont une Mère - Réalisation de Virgine Wagon Ris - Réalisation de Laurence Katrian Au-delà du Crime - Réalisation de Patrick Poubel La Vallée (l'Affaire Villemin) - Réalisation de Raoul Peck Elle est belle ma Province - Réalisation de Michaela Wateau 2004 : Le Petit Clamart - Réalisation de Jean Teddy Filippe Clara et ses Associés - Réalisation de Gérard Marx Qui Mange Quand - Réalisation de Jean Paul Lilienfeld 2003 : Commissaire Valence - Réalisation de Vincenzo Marano Avocats et Associés - Réalisation de Olivier Barma Léa Parker - Réalisation de Jean Pierre Prevost 3 Femmes Flics - Réalisation de Philippe Triboit 2002 : L'Enfant Eternel - Réalisation de Patrick Poubel 2001 : Largo Winch - Réalisation de Denis Berry Police District (M6) - Réalisation d'Olivier Chavarot Les Fous Teballeurs - Réalisation de Philippe Locquet Fallait pas l'inviter - Réalisation de Michel Muller 1999 : PJ - Réalisation de Gérard Vergès Hold-Up - Réalisation de Sylvain Fusée (Moustic) 1994 : Tous les Garçons et les Filles de mon âge - (ARTE / M6) - Moyen-métrage d'Olivier Assayas (52 mn) Souvenez vous... RELATION PRESSE Stéphane Cohen et Emilie Castillo Assistés de Aurore Penel Tél. 01 58 05 13 33 [email protected] [email protected] PRODUCTION WWW.JUPEOBLIGATOIRE.COM Tél. 01 42 47 03 43 [email protected] NOUS REMERCIONS JEAN-MARIE DUPREZ, GAI ASSOULINE DE L'AGENCE DIVINE, ANDRÉ PERREZ DE LA SOCIÉTÉ VALEGE, ANDRÉ PALAIS, L'ARTISTE PEINTRE MAC'M, EMI ET LES GLANDEURS NATURE. CONCEPTION & RÉALISATION GRAPHIQUE : ANDRÉ PALAIS / PHOTOS : BENNI VALSSON / PHOTOS BUZZ : AGENCE DIVINE Quant a Sylvain CLAMA, il vient du café-théâtre...