Communiqué de presse - Les français et la voiture de
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Communiqué de presse - Les français et la voiture de
Communiqué de presse Nanterre, 27 Septembre 2016 LA VOITURE DE DEMAIN : DU TEMPS EN PLUS… MAIS POUR QUOI FAIRE ? Sondage Odoxa / Faurecia : « Les Français et la voiture de demain » « J’aime ma voiture ! », c’est le cri du cœur des Français selon une étude réalisée par Faurecia avec Odoxa* à l’occasion du Mondial de l’Automobile. Alors que l’édition 2016 du Salon présente toutes les innovations qui constitueront la voiture de demain, Faurecia a interrogé les Français pour savoir ce qu’ils en attendaient. Il en ressort que la majorité d’entre eux (60%) souhaitent avant tout plus de bien-être à bord, pour que leur voiture, aujourd’hui source de stress pour 1 personne sur 2, devienne demain un espace relaxant. La voiture : un plaisir vecteur de liberté, mais aussi un stress et une perte de temps A contre-courant de ce que l’on pourrait penser, les Français ne se lassent pas de leur voiture, et y trouvent même un certain plaisir. Si la voiture demeure une nécessité pour tous (91%), elle bénéficie néanmoins d’une image majoritairement positive. Les deux tiers (66%) estiment que la voiture est pour eux un plaisir et près de 9 Français sur 10 (87%) la voient comme un vecteur de liberté. Mais la conduite comporte son lot d’inconvénients. Ainsi, la voiture est un stress pour près de 1 Français sur 2 (45%) et plus particulièrement pour les femmes qui sont 10 points de plus que les hommes à l’affirmer (49% vs 39%). Enfin, près de 4 Français sur 10 (44%) estiment qu’ils passent trop de temps dans la voiture, un sentiment partagé plus encore par les moins de 25 ans avec 61% de citations. Les attentes des Français pour la voiture de demain : une voiture dédiée avant tout au bien-être et au repos Avec les avancées technologiques en cours, et notamment l’arrivée de la voiture autonome, la voiture de demain permettra justement de récréer du temps. Pendant le trajet, les conducteurs pourront donc faire autre chose que conduire. A quoi consacrer ce temps précieux retrouvé ? Les Français ne cherchent pas forcément une voiture plus « technologique ». Ils estiment déjà ne pas pouvoir mettre à profit toutes les fonctionnalités de leur véhicule actuel (45%). Ils ne cherchent pas particulièrement à être plus connectés. Seuls 35% d’entre eux aimeraient pourvoir envoyer SMS et courriels en quittant des yeux la route et seuls 22,7% et 21,4% voudraient un large écran multimédia ou un écran TV/cinéma dans le pare-brise. En effet, bien davantage que se distraire ou travailler, ce à quoi les Français aspirent plus que tout… c’est une petite sieste. Près des deux-tiers des Français (60%) affirment en effet qu’ils profiteront avant tout de la conduite autonome pour pouvoir se relaxer ou dormir, un score qui atteint même 68% auprès des 65 ans et plus. « Les technologies ne sont justifiées que si elles sont utilisées. Aujourd’hui, on doit apprendre à utiliser des véhicules de plus en plus complexes. Demain, c’est le véhicule qui sera à l’écoute de son occupant pour répondre au mieux à ses attentes… formulées ou non ! », explique Frédéric Charon, Responsable stratégie d’innovation de Faurecia. * Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 15 et 16 septembre 2016. Echantillon de 999 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Communiqué de presse Plus de fonctionnalités pour amplifier le bien-être à bord De quelles innovations les Français voudraient-ils alors disposer lorsque les véhicules seront autonomes afin de profiter de ce nouveau temps disponible ? Là encore le repos et le bien-être s’affichent comme la priorité des Français. L’idée de posséder dans son véhicule un « siège bien-être adaptable qui permet de s’allonger et agissant contre la somnolence ou le stress » séduit les deux tiers d’entre eux (63%) qui placent cette innovation en 1ère place, loin devant les autres innovations testées : une commande vocale pour téléphoner et envoyer facilement SMS et courriels (38%), un vitrage qui s’assombrirait automatiquement quand on se repose (30%), un écran de TV/Cinéma dans le pare-brise (21%), ou encore un système de recharge sans-fil pour appareil nomade (20%). Par ailleurs, dans la voiture de demain (autonome ou pas), près de 7 Français sur 10 (67%) souhaitent trouver en priorité un compartiment réfrigéré pour aliments et boissons. « Le véhicule sera de plus en plus en mesure de prendre en charge les tâches liées à la conduite. Ainsi libéré, l’utilisateur pourra adopter une posture plus relaxée et se connecter avec le monde extérieur en sécurité. L’organisation de l’intérieur véhicule sera transformée : ainsi, nous travaillons sur un siège bien-être actif et sur une planche de bord reconfigurable. Rassurant, confortable et personnalisé, le véhicule est une véritable extension de la maison. C’est aussi chez les équipementiers automobiles que la voiture de demain est en train de naitre ! », commente Frédéric Charon. Le stand Faurecia au Mondial de l’Automobile 2016 est situé dans le Hall 1, allée B, stand 212. A propos de Faurecia Faurecia est l’un des principaux équipementiers automobiles mondiaux avec des positions de leader dans trois activités : sièges d'automobile, systèmes d'intérieur et technologies de contrôle des émissions. Son offre technologique forte fournit aux constructeurs automobiles des solutions pour le cockpit du futur et la mobilité durable. Le Groupe a réalisé en 2015 un chiffre d'affaires de 20,7 milliards d'euros. Au 31 décembre 2015, Faurecia employait 103 000 personnes dans 34 pays sur 330 sites, dont 30 centres de R&D. Faurecia est coté sur le marché NYSE Euronext de Paris et le marché over-the-counter (OTC) aux Etats-Unis. En savoir plus : www.faurecia.fr Contacts presse: Olivier Le Friec Faurecia Responsable Relations Presse Tél : 01 72 36 72 58 Mobile : 06 76 87 30 17 [email protected] Morgane Dion Elan Edelman pour Faurecia Consultante Junior Tél : 01 86 21 50 65 [email protected] * Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 15 et 16 septembre 2016. Echantillon de 999 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.