kees visser - Objet de production

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kees visser - Objet de production
Musée départemental Matisse
Palais Fénelon
59360 Le Cateau-Cambrésis
T. 33 (0)3 27 84 64 50/F. 33 (0)3 27 84 64 54
[email protected]
www.cg59.fr
KEES VISSER
Exposition rétrospective
5 juillet – 4 octobre 2009
Sans titre (trapèze jaune et vert), 1992, acrylique sur papier, H39.5 X
L54.5 cm, courtesy Objet de production, Paris. © Thijs Quispel.
Conseil Général du Nord
Musée départemental Matisse
Sarah Philippe
Laetitia Messager
2, rue Jacquemars Giélée
Palais Fénelon
59047 Lille Cedex
59360 Le Cateau-Cambrésis
T. 33 (0)3 59 73 83 44
T. 33 (0)3 27 84 64 78
F. 33 (0)3 59 73 83 69
F. 33 (0)3 27 84 64 54
[email protected]
[email protected]
Site : www.cg59.fr
Site : www.cg59.fr/matisse
Communiqué de presse
Une fois par an, depuis 2002, le musée départemental Matisse invite un artiste à concevoir le
parcours d’une exposition monographique en lien avec les collections du musée, Herbin et Matisse. Cette
programmation dynamique atteste de la position du musée au cœur de la création actuelle au travers des
questions liées à la peinture et à l’abstraction. Cet été, le musée choisit de présenter la première exposition
rétrospective de l’artiste néerlandais KEES VISSER (né aux Pays-Bas en 1948) du 4 juillet au 4 octobre
2009.
Kees Visser s’est fait connaître en France au milieu des années 1990 par un travail méthodique sur la série,
la forme et la couleur, immédiatement reconnaissable à travers ses grandes peintures monochromes sur
papier où des figures rectangulaires légèrement biaisées sur leurs côtés affleurent à la surface du tableau,
presque par cristallisation. Ill. 17, 18, 19, 20, 21, 22).
Conçu en étroite collaboration avec l’artiste, le parcours de l’exposition comprend une soixantaine d’œuvres
depuis les premiers travaux du début des années 70 jusqu’aux peintures monumentales récentes. Une
importante peinture murale est également produite in situ en écho à l’œuvre de Matisse.
L’exposition revient sur le parcours de cet artiste singulier qui, loin des écoles et des mouvements
artistiques dont il a pourtant été un observateur attentif, a fait son chemin en autodidacte. Quittant sa
Hollande natale au milieu des années 1970 alors que son travail oscillait entre abstraction et Fluxus, (Ill. 1,
2, 3) Kees Visser part s’installer en Islande où il vivra pendant près de vingt ans au contact d’une nature
très primale qui marquera profondément son travail. Il y côtoie une scène artistique incroyablement
cosmopolite où se croisent des artistes comme Dieter Roth, Donald Judd, Richard Serra, Roni Horn, Hrein
Fridffinson, Adrian Schiess, Gunther Umberg ou encore Richard Long. Co-fondateur avec un groupe
d’artistes islandais du Living Art Museum de Reykjavik en 1978, Kees Visser est devenu une figure
marquante de la scène islandaise, présent dans la plupart des collections publiques et privées du pays et à
qui la Galerie Nationale d’Islande (Reykjavik ) prévoit de consacrer une exposition monographique en 2010.
Les premières salles réunissent plusieurs peintures, œuvres sur papier, livres et objets réalisés par l’artiste
au cours de cette période.
Invité en résidence à Paris au milieu des années 1990, c’est en France que Kees Visser s’engage dans un
travail sériel et méthodique en réalisant de grandes peintures monochromes sur papier présentées dans la
plus grande salle du parcours. Ses œuvres prennent leur source dans un répertoire de formes et de
couleurs strictement recensées dans un « catalogue raisonné » que l’artiste développe depuis 1992 selon
une méthode précise. La densité picturale est obtenue par la succession de couches de peinture dont les
pigments imprègnent le papier jusqu’à ce que se produise ce que Jérôme Poggi, commissaire de
l’exposition, un phénomène de « cristallisation de la peinture ». Les verts acides, les jaunes d’or, les noirs
profonds, les bleus nuit, les pourpres et grenats affleurent la surface du papier, comme s’ils revenaient à
leur état pigmentaire. On pense à la sensualité de la couleur chez Matisse et aux couleurs si énigmatiques
des paysages islandais. Pour le musée, Kees Visser a réalisé un ensemble de peintures intitulé FEW, en
hommage à trois figures emblématiques du vingtième - siècle qui l’accompagnent dans sa démarche
artistique : Freud, Einstein et Wittgenstein.
Au-delà de ces œuvres qu’il réalise maintenant exclusivement sur papier, c’est l’espace même de leur
exposition que Kees Visser a progressivement intégré dans sa démarche de coloriste, multipliant des
dispositifs de présentation où ses peintures sont juxtaposées, superposées, posées au sol, alignées dans
des vitrines de plusieurs mètres de long, recomposées en mosaïques, etc (Ill. 17, 18, 19, 20). C’est cette
préoccupation de l’espace au sens large qui l’a en même temps mené à réaliser des interventions in situ qui
peuvent prendre la forme de grandes peintures murales ou d’installations monumentales comme il l’a fait
récemment dans une chapelle à Thouars (2006) et à l’Eglise Saint Eustache à Paris (2007). Pour le musée
départemental Matisse, Kees Visser a imaginé une grande peinture murale (présentée dans la dernière
salle du parcours en écho à une œuvre de Matisse), véritable partition chromatique composées de bandes
colorées très fines, enpruntées aux biais des formes rectangulaires de ses peintures
Aujourd’hui, Kees Visser vit et travaille entre Haarlem, Paris et Reykjavik.
Les œuvres proviennent de l’atelier de l’artiste à Haarlem (Pays-Bas), de collections publiques
(galerie nationale d’Islande, Reykjavik) et de collections privées françaises, hollandaises,
allemandes et islandaises.
3
Commissariat de l’exposition
Le commissariat de l’exposition est assuré par Emilie Ovaere, conservateur adjoint au musée
départemental Matisse, et Jérôme Poggi, historien et critique d’art. L’exposition est organisée en
collaboration avec Objet de production, Paris.
Émilie Ovaere est conservateur au Musée départemental Matisse du Cateau-Cambrésis. Elle est
également en charge de l’art contemporain et des collections Herbin. Commissaire des expositions
Buraglio, Viallat, Frydman, Dilworth, Piffaretti, Ils ont regardé Matisse. Elle a mis en place depuis 2004 une
programmation de cartes blanches et d’installations in situ dans le rez-de-chaussée du musée. Elle prépare
la première exposition Matisse au Brésil, à la pinacothèque de Sao Paulo, Matisse Hoje qui sera inaugurée
en septembre 2009.
Jérôme Poggi
Ingénieur-Economiste de l’Ecole Centrale Paris, Jérôme Poggi est diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes
en Sciences Sociales (EHESS, Paris) et titulaire d’un mastère en histoire de l’art de l’Université Paris IPanthéon Sorbonne. Il enseigne à l’Ecole Centrale Paris et dans plusieurs programmes universitaires
franco-américains.
Il a exercé pendant plusieurs années dans le milieu institutionnel de l’art. A l’étranger comme attaché
artistique au consulat général de France à Atlanta en 1997/98 ; en France, comme directeur adjoint du
domaine de Kerguéhennec de 1998 à 2001 et comme coordinateur général du Congrès interprofessionnel
d’art contemporain en 2001/2002.
En 2004, il fonde Objet de production, dont il est aujourd’hui le directeur, qui associent en particulier les
artistes Kees Visser, Dominique Furgé, Philippe Caurant et Cédrick Eymenier. Depuis 2008, il contribue,
avec le soutien de la Fondation de France, au développement de l’action des Nouveaux commanditaires. Il
co-réalise actuellement avec François Hers une série de films sur les commandes les plus emblématiques
de cette action, réalisées au cours des quinze dernières années.
Historien de l’art et de la culture, Jérôme Poggi est spécialisé dans l’histoire des politiques culturelles et
dans l’histoire du commerce de l’art, étudiant particulièrement les alternatives au marché de l’art
expérimentées au cours du XIXème siècle. Auteur de plusieurs articles, il prépare un ouvrage sur « la
galerie du Boulevard des italiens (1859-1865) – antichambre de la modernité » et publiera à la fin de
l’année un recueil de textes d’Edvard Munch aux Presses du réel. Il publie également des textes critiques
sur des artistes contemporains et assure le commissariat de plusieurs expositions.
Objet de production
« Depuis sa création en 2004 par Jérôme Poggi, Objet de production a pour vocation de faire
apparaître et de promouvoir toute forme d’art au sein de notre société, aussi bien dans l’espace
public que privé. Agence de production, galerie en même temps qu’espace d’étude et de débat,
Objet de production cherche à créer un outil adapté aux mutations profondes de la scène de l’art,
conjuguant des modes d’action commerciaux et politiques, critiques et pédagogiques.
Concrètement, Objet de production agit à tous les niveaux du processus artistique, articulant son
activité autour de quatre pôles complémentaires (production, diffusion, formation, réflexion).
En mai 2009, Objet de production a ouvert un nouvel espace parisien de 200 m2 à côté de la Gare
du nord, situé au 115/117, rue La Fayette (Paris Xème).
www.objetdeproduction.com
4
Présentation de l’exposition
Une exposition rétrospective
Ce serait une erreur de considérer Kees Visser comme un peintre simplement formaliste. Comment
pourrait-on d’ailleurs encore l’être en ce début de millénaire, quarante ans après l’aventure minimaliste et
conceptuelle ? Il n’est pas non plus de ces peintres mystiques ou métaphysiques qui investirent la forme
géométrique d’un idéal de perfection, suprême et absolu, presque religieux, comme pouvaient le concevoir
en leur temps Mondrian ou Malévitch. Quel sens cela aurait-il encore aujourd’hui, un siècle plus tard, dans
une société aussi géométrisée que la nôtre, remplie de symboles et de signes à chaque coin de rue, de
lettres ou de miroirs. Kees Visser appartient à cette génération d’artistes qui, à l’instar d’Adrian Schiess,
John Armleder, Gerwald Rockenschaub, Allan Mc Collum, Allan Charlton ou Peter Halley, ont eu à gérer
dans les années 1980 l’héritage post-moderniste où l’œuvre, après avoir été déconstruite et analysée sous
toutes ses coutures, devait à la fois être réinvestie comme lieu de l’art mais où le lieu même de ces œuvres
devait lui aussi être reconsidéré sur une scène de l’art de plus en plus institutionnalisée.
Quand les uns répondirent à cette situation par corruption, radicalisation ou infiltration, et d’autres par
dérision, prolifération et sophistication, c’est par un processus plus lent de distanciation – loin des modes et
des écoles - puis de cristallisation que Kees Visser a réagi pour retrouver dans l’œuvre une nécessité
perdue.
C’est ce cheminement que retrace la partie rétrospective de l’exposition. Trois cabinets illustrent
respectivement le travail de l’artiste dans les années 1970, 1980 et 1990, ouvrant sur une grande salle où
une longue vitrine de quinze mètres de long dessinée par Kees Visser trace quant à elle l’horizon de la
production de l’artiste depuis 1992 jusqu’à nos jours.
De Haarlem à Reykjavik et Paris
Le cabinet des années 1970 expose des œuvres sur papier dans lesquelles Kees Visser exprime
une sensibilité proche de Fluxus où se révèle son goût pour les lettres et le langage dans des poèmes
visuels qui ne sont pas sans évoquer ceux d’Emmet Williams, les écrits de John Cage ou encore ceux de
James Joyce (Ill. 2). Une sensibilité plus formaliste voire minimaliste se retrouve également dans plusieurs
dessins de trames et de spirales réalisés à l’encre ou à la gouache, ou encore dans une œuvre comme
Synapse, dans laquelle l’artiste a souhaité schématiser par des lignes et des couleurs, le cheminement de
la pensée (Ill. 1).
Nourri des écrits de Wittgenstein, Kees Visser s’intéresse alors particulièrement aux questions de logique,
de raisonnement, sondant les mécanismes de la pensée et du langage non avec les outils du philosophe
mais avec ceux du peintre ou du plasticien. C’est après son premier voyage en Islande en 1976, qu’il
commence alors à tresser des livres entre eux, page après page, mariant « le hollandais et l’islandais »
aussi bien formellement, linguistiquement que culturellement. Rapidement, ce sont les images qu’il tisse
entre elles, croisant des pages de bandes dessinées, journaux, revues, billets de banques, lettres, partitions
de musique, etc, pour les ordonner en trames régulières (Chez vous, 1977-78). Au tournant des années
1970-80, Kees Visser met au point un principe de conversion en peinture de ces tressages à partir d’un
système fondamental de neuf couleurs, aboutissant à des compositions géométriques sur papier ou sur
toile se révèlent des filiations avec le néo-plasticisme de De Stijl (que l’on trouvera alors plus du côté de
Bart van der Leck que de Mondrian), mâtinées d’influence constructiviste, structuraliste ou de l’art concret
(Ill. 4, 5, 6, 7).
C’est peut-être pour échapper à de tels rapprochements catégoriques au moment où émergeait une « crise
de la géométrie » sur la scène de l’art internationale que Kees Visser décide de cesser la peinture au milieu
des années 80. Renouant avec un esprit subversif et impulsif plus proche de Fluxus, il multiplie les livres
d’artistes, expérimente de nombreuses techniques de gravure à l’Ecole des Beaux-arts de Reykjavik où il
enseigne. Il s’essaie également à la sculpture métallique, construit des objets en bois peints qui oscillent
entre mobilier et tableau (Rimlaverk) (ill. 8). Il ouvre une galerie à Amsterdam spécialisée dans les livres
d’artistes (il y montre entre autres ceux de Dieter Roth, Emmet Williams, Dorothy Ianone) et organise
plusieurs expositions au Living Art Museum à Reykjavik où il programme Roni Horn, Michel Verjux,
François Perrodin, Christoph Ruttimann, Jan Schoonhoven ou Douwe Jan Bakker.
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1992, le tournant
C’est ce même lieu, le Living art museum, qui marque pour Kees Visser le retour à la peinture lors
d’une exposition fondatrice en 1992. Fruit d’un songe fait au milieu de la nuit, un grand Rimlaverk rouge –
exposé au Musée départemental Matisse grâce à un prêt de la Galerie nationale d’Islande – y est accroché
au milieu d’autres objets peints. Sa maquette, dessinée sur papier millimétré puis peinte, constitue le
prototype des figures rectangulaires biaisées que l’artiste prend désormais comme motif. Elle inaugure en
même temps le catalogue raisonné qui recense ces peintures depuis plus de quinze ans (Ill. 13, 14). La
même année, Kees Visser conçoit également ses premières études pour des Wall painting, véritables
partitions chromatiques que l’artiste réalise en « récupérant » les fines bandes dont sont entamés les
rectangles de ses peintures (Ill. 15, 16).
Tout en y gardant un atelier, Kees Visser quitte l’Islande en 1993 pour s’installer en France où il développe
sa méthode à partir du catalogue raisonné, s’éloignant peu à peu des contraintes colorimétriques strictes
qu’il s’était d’abord imposées. Peu à peu, la préparation des couleurs devient plus intuitive. De mécanique,
le geste même de la peinture devient plus méditatif, les couches de couleurs se répétant par dizaines,
successivement, jusqu’à former une sorte de cristallisation de la peinture à la surface du papier qui semble
presque retourner à l’état de pigment. A mesure qu’il maîtrise sa technique, Kees Visser y trouve une liberté
de plus en plus grande. Il se montre dès lors particulièrement intéressé par leur inscription dans leur espace
d’exposition. Les scénarios d’accrochage se multiplient lors d’expositions personnelles importantes (Le
Credac à Ivry en 1995 ; Ecole des Beaux-arts de Nîmes, 1998 & 2000 ; le centre d’art contemporain Tent, à
Rotterdam en 2004 ; le centre d’art contemporain de Bouvay-Ladubay en 2005 ; le centre d’art Le Quartier
à Quimper en 2007 et dans plusieurs lieux parisiens avec Objet de production en 2007. Cette attention
particulière portée à l’inscription de l’œuvre dans l’espace l’amène à concevoir de monumentales
installations in situ où couleur et architecture finissent par se confondre (Thouars 2006, Saint-Eustache
2007) (Ill. 17/22).
Hommage à Matisse et à quelques autres…
Deux salles du musée réunissent des productions des quinze dernières années témoignant de la
diversité avec laquelle Kees Visser appréhende la couleur dans son rapport à l’espace du tableau mais
aussi à celui de son exposition. Une vingtaine de peintures monochromes de grands formats occupe la plus
grande salle, présentées par paire, triptyques, série entière, sur papier libre ou contrecollées sur aluminium,
accrochées aux cimaises ou posées directement au sol. Parmi elles, se distingue particulièrement un
nouveau triptyque que l’artiste a souhaité produire en réponse à l’invitation que le musée départemental
Matisse lui a faite de se retourner rétrospectivement sur plus de trente années de sa carrière d’artiste.
Intitulée FEW, en hommage aux trois figures du XXème siècle que sont Freud, Einstein et Wittgenstein,
cette œuvre que Kees Visser considère lui-même comme emblématique révèle combien, derrière leur
apparent radicalisme et minimalisme, les peintures de Kees Visser engage aussi bien la vision que la raison
et l’imagination.
La dernière salle du parcours présente une grande peinture murale que Kees Visser a réalisé
spécifiquement in situ pour le musée départemental Matisse en écho au vitrail Les Abeilles qu’Henri
Matisse avait d’abord conçu pour la Chapelle de Vence mais qu’il avait finalement donné à une école
maternelle du Cateau-Cambrésis dans l’idée de « créer une féerie de couleurs qui serait comme un esprit
de lumière ». En regard de cette fresque, est accrochée la totalité des trente-deux peintures de la série W,
conçue par Kees Visser en 1999 comme une variation monochromatique sur autant de jaunes différents
trouvés dans le commerce (Ill. 18).
Visites du vitrail monumental « Les Abeilles » de Matisse au Cateau-Cambrésis
Kees Visser a réalisé une peinture murale in situ, inscrite dans le parcours de l’exposition et réalisée en
écho au vitrail d’Henri Matisse, Les Abeilles, conservé à l’école maternelle Matisse du Cateau-Cambrésis.
Visites commentées le samedi ou le dimanche, une semaine sur deux, de 16h30 à 17h30, les 4, 12,18 et
26 juillet et les 1er, 9, 15, 23 et 29 août. Rendez-vous dans le hall d’accueil du musée.
A partir de septembre, les visites commentées seront assurées chaque premier samedi du mois par un
médiateur du musée et chaque premier dimanche du mois par un guide de l’office du tourisme de la ville.
Renseignements au T. 03 27 84 64 58.
7
Œuvres en citation dans le texte
Ill. 1 - Sans titre (Synapse), 1973, peinture sur papier, 74 x
102 cm, courtesy Objet de production. © Kees Visser
Ill. 2 - Sans titre (It is what it is), 1974-1975, acrylique au
pochoir sur papier, H65 X L50 cm, courtesy Objet de
production, Paris. © Kees Visser.
Ill. 3 - Shift, 1976, acrylique et encre sur papier, 51 x 73,
courtesy Objet de production, Paris. © Philippe Bernard.
Ill. 4 - Sans titre (prototype II), 1978, gouache sur papier,
H35.8 X L25 cm. Courtesy Objet de production, Paris. ©
Kees Visser.
Ill. 5 - Sans titre (prototype), 1978, Tressage de papier, 36
X 25 cm, Courtesy Objet de production, Paris. © Kees
Visser.
Ill. 6 - Weave no.1.t. 1977, tressage de papier, crayon et
encre sur papier, L25 x H36 cm, courtesy Objet de
production, Paris © Philippe Bernard.
Ill. 7 - Sans titre (Poet), peinture sur papier d’après
tissage, 1977/1983,67.5 X 52 cm, courtesy Objet de
production, Paris. © Philippe Bernard.
Ill. 8 – Rimlaverk, 1989, 102 x 51, coll. artiste, Reykjavik.
© Jérôme Poggi.
Ill. 9 - Maquette pour SUM (Reykjavik), 1991, peinture
industrielle et crayon sur papier, H54.5 X L39.5 cm,
courtesy Objet de production, Paris. © Thijs Quispel.
Ill. 10 - Sans titre (Circle down naples yellow light), 1992,
acrylique sur papier, H54.5 X L39.5, courtesy Objet de
production, Paris. © Philippe Bernard.
16
Ill. 17 - Vue de l'exposition au centre d’art de Bouvet
Ladubay, 2005. © André Morin
Ill.11 - Sans titre (Six Lines), 1992, acrylique sur papier,
54.5 X 39.5 cm, courtsey Objet de production, Paris. ©
Thijs Quispel.
Ill. 18 - Série W (au fond), 1999. Vue de l'exposition au
centre d’art de Bouvet Ladubay, 2005. © André Morin.
Ill . 12 - Sans titre (trapèze jaune et vert), 1992, acrylique
sur papier, H39.5 X L54.5 cm, courtesy Objet de
production, Paris. © Thijs Quispel.
Ill. 19 - Vue de l'exposition à l’Hôtel de Missa, Objet de
production, septembre 2007. © André Morin.
Ill. 13 - Série F1 du catalogue raisonné, 1992, peinture et
crayon sur papier millimétré, coll. de l’artiste. © Kees
Visser.
Ill. 14 - K 35, extrait du catalogue raisonné, 2003, peinture
et crayon sur papier millimétré, (détail du cat. rais. page K1
2003) H13 X L10 cm, coll. de l’artiste. © Kees Visser.
Ill. 15 - Wall painting, Galerie Pannetier, Nîmes, 2001.
coll. d’artiste. © Kees Visser.
Ill. 16 - Maquette du Wall painting de Beeckesteijn, 2001,
peinture sur papier, L99 X H68, courtesy Objet de
production, Paris. © Kees Visser.
Ill. 20 - Série T, série de trente peintures sur papier
Mengeï (39,5 x 54,5 cm), vitrine (12 m x 0,60 m x 1m).
Coll. du Fonds National d’Art Contemporain. © Kees
Visser.
Ill. 21 - Vue de l'exposition à l’Hôtel de Missa, Objet de
production, septembre 2007. Acrylique sur Saunders
Waterford 300 g, contrecollé sur dibond, 149 x 270 cm.
Coll. FRAC Bretagne.(c) Kees Visser.
Ill. 22 - Vue de l'exposition à l’Hôtel de Missa, Objet de
production, septembre 2007. Série Q, Acrylique sur papier
Saunders Waterford (300 g), contrecollé sur dibond, 149 x
270 cm. Coll. FRAC Bretagne. © André Morin.
17
Notice biographique de l’artiste
Kees Visser
Expositions personnelles
1976
1978
1980
1982
1983
1985
1987
1988
1990
1992
1995
1996
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
Galerie SUM, Reykjavik (IS)
Gallerie Fignal, Amsterdam (NL)
Gallerie Loa, Amsterdam (NL)
Gallery the Corridor, Reykjavik (NL)
Rauda Husid, Akureyri (IS)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Gallery the Corridor, Reykjavik (IS)
Gallerie Pieter Brattinga, Amsterdam (NL)
Gallery the Corridor, Reykjavik (IS)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Korpulfsstadir, Reykjavik (IS)
Galeri Birgir Andresson, Reykjavik (IS)
Galeri Krokur, Reykjavik (IS)
Gallery the Corridor, Reykjavik (IS)
Galeri Krokur, Reykjavik (IS)
Galeri Slunkariki, Isafjordur (IS)
Galeri Saevar Karl, Reykjavik (IS)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Centre d’Art, CREDAC, Ivry-sur-Seine (F)
Gallery the Office, Tel Aviv, (ISR)
Zion House, Jerusalem (ISR)
Galerie George Verney-Carron, Villeurbanne (F)
Espace Michel Voisin, Biot (F)
Galeri Ingolfsstraeti 8, Reykjavik (IS)
Galerie Artem, Quimper (F)
Kunsthalle Palazzo, (with Arianne Epars) Liestal (CH)
Ecole des Beaux Arts, Nimes (F)
Gallerie Rob de Vries, Haarlem (NL)
Vishal, Haarlem (NL)
Universite de Paris, Centre St. Charles, Paris (F)
C/O Daniel Bosser, Paris (F)
Ecole des Beaux Arts, Nimes (F)
Jakob + MacFarlane, Architecture Agency, Paris (F)
Galerie Rob de Vries, Haarlem (NL)
Galerie Philippe Pannetier Nimes (F)
Galerie Site Odeon 5, Paris (F)
C/O Daniel Bosser, (avec Martina Klein), Paris (F)
Presentation ‘Catalogue Raisonne’ , Bookstorming, Paris (F)
TENT, Rotterdam, (NL)
Galerie Philippe Pannetier, Nimes (F)
Centre d’Art Contemporain, Bouvet Ladubay, Saumur (F)
De Boterhal, Hoorn (NL)
Chapelle de Jeanne d’Arc, Thouars, (F)
ASÍ Art Museum, Reykjavík, (IS)
Centre d’Art Contemporain, le Quartier, Quimper (F)
Église St. Eustache, Paris (F)
Objet de production, Hôtel Missa, Paris, (F)
Stichting Kunstruimte 09, Groningen (NL)
Galerie Philippe Pannetier, Nimes (F)
Musée Matisse, Cateau Cambresis, (F)
Objet de production, Paris, (F)
8
Collections:
Frans Hals Museum, Haarlem (NL)
Stedelijk Museum, Amsterdam [municipal] (NL)
Gemeente Museum, Den Haag (graphics) (NL)
P.T.T., Holland (NL)
Rijksverzameling, Holland [state] (NL)
National Gallery of Iceland, Reykjavik (IS)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Museum of Modern Art (graphics), New York (USA)
Rauma Cultural Centre, Rauma (SF)
The Victoria and Albert Museum (graphics), London (GB)
Kjarvalstadir, Municipal Gallery, Reykjavik (IS)
Centre for Contemporary Art, Ujazdowski Castle, Warsaw (P)
Fonds National d’Art Contemporain (FNAC) (F)
Safn, Reykjavík, (IS)
ASÍ Art Museum, Reykjavík, (IS)
FRAC-Bretagne, Rennes (F)
Expositions collectives
1973
1974
1975
1978
1979
1980
1982
1983
1984
1985
1986
1987
1988
1989
1990
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
Frans Hals Museum, De Vleeshal, Haarlem (NL)
Frans Halsmuseum, De Vishal, Haarlem (NL)
Frans Halsmuseum, De Vishal, Haarlem (NL)
Galeri SUM, Reykjavik (IS)
Kjarvalstadir, Municipal Gallery, Reykjavik (IS)
Korpulfsstadir “Experimental Environment”, Reykjavik (IS)
80 Langtonstreet, San Francisco (USA0
Gallerie A, Amsterdam (NL)
Franklin Furnace, New York (USA)
Kulturhaus Palazzo, Liestal (CH)
Minipresse Buchmesse, Mainz (D)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Vrije Akademie, Den Haag (NL)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Kunstwinkel, Enschede (NL)
Nylistasafnid, the Living Art Museum
Culture House, Turku (SF)
Museum Rauma, Rauma (SF)
Stadsbibliotheek, Amsterdam (NL)
De Gele Rijder, Arnhem (NL)
Buchgalerie Walter Konig, Koln (D)
Monica Strauss Gallery, New York (USA)
Galerie Camille von Scholz, Bruxelles (B)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Listahatid, the Reykjavik Art Festival, Reykjavik (IS)
Centre for Contemporary Art, Ujazdowski Castle, Warsaw
Galerie Wyspa, Gdanzk (P)
Galerie Tanya Rumpff, ‘Aspekten van Abstrakte Schilderkunst’, Haarlem (NL)
The National Gallery of Iceland, ‘Acquisitions’, Reykjavik (IS)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, ‘Tribute to Jon Gunnar’, Reykjavik (IS)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Reykjavik (IS)
Kjarvalstadir, the Reykjavik Municipal Art Gallery, Reykjavik (IS)
Galerie Anton Weller/Isabelle Surret, ‘Chez l’Un l’Autre’, Paris (F)
Frans Hals Museum ,Vleeshal, Gem. Aankopen, [Acquisitions], Haarlem (NL)
Frans Hals Museum, Vleeshal, Gem. Aankopen, [Acquisitions], Haarlem (NL)
Frans Hals Museum, Vleeshal, Gem. Aankopen, [Acquisitions], Haarlem (NL)
The National Gallery of Iceland, ‘Erlend Verk’, Reykjavik (IS)
Centre Regionale d’Art Contemporain, le Musee du Chateau des Ducs de Wurtemberg,
“l’Abstraction & ces Territoires”, Montbeliard (F)
Musee d’Histoire et d’Archeologie, “les Instruments de la Passion”, Nimes (F)
Nylistasafnid, the Living Art Museum, Safnsyning, Reykjavik (IS)
Frans Hals Museum, Vleeshal, Gem. Aankopen, [Acquisitions], Haarlem (NL)
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2000
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2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
Kunst RAI Amsterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem) (NL)
Galerie Rob de Vries, Haarlem (NL)
Galerie du Jour/Agnes b, Jean Fournier: “Carte Blanche pour la Couleur”, Paris (F)
Safnasafnid, Svalbardsströnd (IS)
Kunst RAI Amsterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem) (NL)
De Fotosalon, Vishal, Haarlem (NL)
Galerie Artem “hors champs” (F)
Kölner Kunstmesse, i8, Reykjavík (ÍS)
Institut Francais de Rabat_’Double Abstraction’, (with Arelie Nemours, Marthe Wery, Julije Knifer,
Jean-Pierre Bertrand), Rabat (MR)
Office-Opus-Facere-Faire-Oeuvre, Mussée d’Archeologie, Nîmes (F)
Galerie Rob de Vries, MIX 8,Haarlem (NL)
Kunst RAI Amsterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem), (NL)
‘NAUMHYGGJA’, National Gallery, Reykjavik, (IS)
‘Beeckenstijn’, Velsen (NL)
‘shoot rage hipp’, (photographie), Galerie Philippe Pannetier, Nimes (F)
Paquet’, Galerie Artem, Quimper (F)
“Special Feria”, Galerie Philippe Pannetier, Nimes (F)
Kunst RAI Amsterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem), (NL)
FIAC, foire de Paris, Editions Eric Linard, Garde Adhemar (F)
Islenzk Myndlist 1980-2000, National Gallery, Reykjavik, (IS)
Art Rotterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem), (NL)
Art Bruxelles, Galerie Rob de Vries, Haarlem (NL/B)
Galerie Philippe Pannetier, Nimes (F),
XIVe bourse d’art monumentale d’Ivry, CREDAC, Ivry-sur-Seine (F)
Kunst RAI Amsterdam, Galerie Rob de Vries, Haarlem (NL)
Galerie Rob de Vries, ODE, Haarlem [NL]
Art Rotterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem), (NL)
Kunst RAI Amsterdam, Galerie Rob de Vries, (Haarlem), (NL)
‘d’Un Lieu l’Autre’ oeuvres de la collection Daniel Bosser, Chateau de Tanlay, Tanlay(F)
‘Histoire intra-muros”, Atelier Cantoisel, Joigny (F)
Galerie Rob de Vries, Haarlem (NL)
‘De leur temps’, collections privees francaises, Musee de Beaux Arts, Tourcoign (F)
‘Dislocatie’ Provinciehuis Noord-Holland, Haarlem (NL)
‘extraits’/collection Daniel Bosser, Musee Matisse, le Cateau Cambresis (F)
abstracte salon-deel 2, Stichting Kunstruimte 09, Groningen (NL)
‘Helder Weer’, Vishal, Haarlem (NL)
‘Par Amour’, Galerie George Verney-Carron, Lyon (F)
‘LOKAAL ABSTRACT’, RC de Ruimte, IJmuiden, (NL)
The Living Art Museum, Reykjavík, (with Thór Vigfússon and Ívar Valgardsson) (IS)
Arti et Amicitiae, Amsterdam (NL)
"art multiple" L’Espace de l’Art Concret, Mouans-Sartoux, (F)
Concrete Zaken, Nieuwe Vide, Haarlem, (NL)
ROOM WITH A VIEW-De Bouwfonds Kunstcollectie, Gemeentemuseum, Den Haag, (NL)
Galleri i8 Reykjavik (IS) foire de Bruxelles
Les Formes et La Couleur, Bouvet Ladubay, Saumur, (F)
Hin klassísku gildi, National Gallery, Reykjavik, (IS)
Straumar- Listasafn ASI, Reykjavik, (IS)
Art Copenhagen, i8 Gallery, (IS/DK)
Surface to air, Objet de production, Paris, (F)
Mondriaanhuis, Amesrsfoort (NL)
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Informations pratiques
MUSEE DEPARTEMENTAL MATISSE
Un musée du département du Nord
Palais Fénelon, 59360 Le Cateau-Cambrésis
T. 33 (0)3 27 84 64 50 - F. 33 (0)3 27 84 64 54
http:/www.cg59.fr/ e-mail [email protected]
HORAIRES
10h - 18h. Fermeture hebdomadaire le mardi.
TARIFS
L’entrée comprend : collections permanentes,
expositions et audio guide enfant/adulte, français,
anglais, néerlandais.
4,5 € : plein tarif
3 € : tarif réduit (groupe de 15 personnes, étudiants,
plus de 60 ans, Carte Avantage, demandeurs
d’emploi, Amis des musées, Cartes Cezam et Srias)
Gratuité : pour les moins de 18 ans, les
bénéficiaires de la CMU, de la carte COTOREP, les
Catésiens, les étudiants en art.
Gratuit tous les 1er dimanches de chaque mois,
Journées du Patrimoine.
ACCES
Le musée est entièrement accessible aux
personnes à mobilité réduite. Accès côté parc
Fénelon.
Le Cateau-Cambrésis est situé dans le sud du
Département du Nord à 30 Km de Valenciennes,
de Cambrai et de Saint-Quentin.
Accès par la route :
Depuis Paris : autoroute Paris-Cambrai (A1 puis A2)
(170km), puis D 643 de Cambrai au CateauCambrésis (22 km)
Depuis Lille ou Bruxelles : autoroute jusqu’à
Valenciennes, sortie Le Cateau-Cambrésis puis D
955, (90 km depuis Lille) (30 Km depuis
Valenciennes).
Accès par le train : Paris (Gare du Nord) - CateauCambrésis ou Busigny Note : Busigny est à 15
minutes du musée en taxi
Les trains Corail-Intercité Paris-Maubeuge
desservent chaque Week-end la gare du CateauCambrésis.
SERVICE EDUCATIF ET CULTUREL
VISITES COMMENTÉES
Pour tout public, sans réservation, le dimanche à
10h30 et 14h30 et le samedi à 14h30.
RENDEZ-VOUS FAMILLES
Le service éducatif et culturel invite les familles à
passer ensemble un après-midi de découverte au
musée. Des ateliers de pratique artistique sont
proposés aux enfants tandis que les adultes
peuvent suivre une visite commentée par un
historien de l’art.
Pendant les vacances scolaires d’été.
Renseignements – dates et réservations :
T. 33(0)3 27 84 64 58
ATELIERS D’EXPRESSION PLASTIQUE
Pour enfants, à partir de 4 ans :
Pendant les vacances d’été (sauf le mardi), du 6
juillet au 30 août, de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à
16h30. Ateliers organisés autour des expositions en
matinée, autour des collections l’après-midi.
Hors vacances scolaires, le mercredi et le
dimanche de 14h30 à 16h30.
Pour adultes, à partir de septembre un mercredi
sur deux, de 18h à 21h.
Renseignements – dates et réservations :
T. 33(0)3 27 84 64 58
POUR GROUPES, SUR RESERVATION
Visites commentées et animations jeune public :
80 € / adultes - 50 € / jeune public.
Renseignements - réservations :
T. 33 (0)3 27 84 64 64.
F. 33 (0)3 27 84 64 65
[email protected].
Brochures sur demande.
RELATIONS AVEC LA PRESSE
Musée départemental Matisse
Laetitia Messager
Tél. : 33 (0)3 27 84 64 78
[email protected]
Conseil général du Nord
Sarah Philippe
Tél. : 33 (0)3 59 73 83 44
[email protected]
CD Rom presse disponible sur simple demande
(visuels en haute définition)
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