PRESSE - Concerts et Spectacles à PAU

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PRESSE - Concerts et Spectacles à PAU
PRESSE
22 octobre 2013 – Live dans l’émission de France Inter « On va tous y passer »
http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=743786 à partir de la 28e minute (en écoute jusqu’en
juillet 2016) 22 septembre 2013 – Diffusion dans l’émission du Mouv’ « Soul Sunday »
http://www.lemouv.fr/diffusion-soul-sunday-47-dimanche-22septembre-13 31 Mai 2013 - ITW pour
Radio Nova (Bordeaux) http://www.blog-nova-sauvagine.com/2013/05/jc-brooks-theuptown-sound/
http://www.funku.fr/2013/la-soul-electrique-de-jc-brooksthe-uptown-sound/
“Originaires de Chicago, JC Brooks & The Uptown Sound pratiquent une soul musclée où les bases
rythmiques Stax/Motown embrassent le rock épileptique des Talking Heads. Howl, leur troisième
album disponible depuis le 21 mai, rassemble 11 plages à haute densité électrique, à l’image du single
“Rouse Yourself” et d’”Ordinary”, dont les vidéos sont visibles ci-dessous. À découvrir sur scène à Paris
(Le petit bain) le 22 octobre prochain.” Funk-U
Howl : l'album hypnotique d'un quintet de Chicago
Par Nicolas Vidal - “Il y a quelque chose, à la fois d’envoûtant et d’étrange chez JC BROOKS & The
Uptown Sound. Ce quintet de Chicago déboule avec un album punchy, gracieux et hypnotique. On
passe d’une soul entêtante à un blues plus cathodique pour se retrouver en deux notes sur des rifs pop
entraînants. C’est bon, c’est beau et ça ne se manque pas.” BCS News
http://www.ledigitalophone.com/jc-brooks-the-uptownsound-howl-2013/
C’est un mélange tout aussi peu courant que séduisant qu’est la musique de JC Brooks & The Uptown
Sound. A la croisée de différents chemins, soul, jazz, funk, rock et pop se répondent et se confondent
dans ce superbe album, Howl, troisième de ce jeune groupe, paru sur le label Bloodshot Records.
Formé en 2007 dans l’un des berceaux du jazz, Chicago, la formation regroupe Billy Bungeroth (guitare),
Kevin Marks (batterie, voie), Andy Rosenstein (claviers, voie), et Ben Taylor (basse), emmenés par le
charismatique chanteur JC Brooks. D’un album de pop-rock contemporaine ordinaire,Howl n’en a que
le format : une petite douzaine de titres d’une longueur moyenne de moins de quatre minutes. Pour
le reste, il est plus évident de faire le lien avec le blues d’un Robert Cray, le funk d’un James Brown ou
d’un Nile Rodgers et la soul d’un Otis Redding. Tour à tour, chacune de ces influences émerge au-dessus
des autres, faisant de ces trois quarts d’heure un moment pendant lequel il est difficile de se lasser de
cette musique. Au mélange des styles, le quintet cumule la variété des émotions. Entre l’énergie des
très brit-rock Howl (qui ouvre l’album) et Not Alone, le calme de la ballade ternaire River, le groove
funky de Before You Die et la langueur de Cold, l’unique voix de JC Brooks charrie avec elle toute une
palette de sentiments toujours servie par un accompagnement pertinent. Quel que soit le ton du
morceau, l’esprit n’est jamais à la surenchère dans la forme : pas de breaks ultra rapides à outrance
sur les morceaux plutôt rock, pas d’ornementations vocales inutiles ou d’harmonies dégoulinantes sur
les ballades, etc. Le quintet de Chicago possède une capacité certaine à cumuler, intégrer, agencer des
marqueurs musicaux issus d’influences diverses sans jamais tomber dans la caricature du mélange des
genres, preuve de la maturité musicale de la formation. Une musique juste et sans mensonge. JC
Brooks & The Uptown Sound font souffler un vrai vent de fraicheur dans le Digitalophone. Coup de
chance, JC Brooks & The Uptown Sound seront en concert le 22 octobre prochain au Petit Bain, à Paris
! Le Digitalophone
http://www.froggydelight.com/article-14592JC_Brooks_The_Uptown_Sound.html
Une voix chaude comme la braise, un rythme endiablé et sensuel. Howl est définitivement sexy. Ou
bien c’est JC Brooks qui l’est ? La curiosité m’a d’abord poussée à comprendre ce titre : Howl. Mon ami
gogol m’assure que c’est le titre d’un poème décrié (parce que qualifié d’obscène) produit par un
collectif des années 50 appelé la Beat Generation. Mais Howl est également le mot que nous pourrions
utiliser pour un cri qui vient des tripes (cri de rage, de joie, d’animal aux abois, d’amour fou…). Faites
votre choix messieurs dames ! Le groupe est en fait un quintet (et hop, je l’ai casé le mot à 10 points
incasable : quintet ! quintet ! quintet !), JC Brooks la voix et quatre acolytes pour l’indispensable
rhythm’n’blues qui l’accompagne. Et ça donne 11 chansons d’amour pas timides.
Ils se qualifient de soul-post-punk… d’accord. Hum… Oui, en effet madame, plutôt post punk que punk,
parce que là, alors, ma chère, on en perdrait son latin. Oui, oui, si JC Brooks est punk, alors je suis la
reine d’Egypte, qui avait quand même meilleure réputation que la reine d’Angleterre pour son goût en
matière de mode de glamour… et où en étais-je déjà ? Ah oui, la soul, non, ils ne me soulent pas, au
contraire, c’est le genre de personnes qui me soul quand il veut là, ah oui, tout à fait, c’est ce que je
dis, oui, voilà de la soul post punk.
Mais encore ? Pfff… ok Chaton, je vais te la faire plus technique. Prend du punk, qui est une forme de
grunge en plus fluo mais aussi cracra, avec la laine à la place des cheveux et les futals troués à la
kalache. Le punk, c’était un protopunk en plus élaboré, plus garage, plus électrique, plus contestataire,
plus enfumé et plus hostile. Et puisque les enfants s’efforcent d’être meilleurs que leurs parents, les
bébés punk rock ont ajouté des sentiments au punk de leurs darons. Le post-punk était né. JC Brooks
et the Uptown Sound chante de sa voix soul tellement sexy, que ça donne un soul post-punk. Et voilà !
I did it !
Le genre de musique qu’on emmène en balade et qui nous fait sourire à rien du tout, le genre de
musique qu’on passe entre invités pour dodeliner de la tête, le genre de musique qu’on garde dans sa
voiture pour les grandes traversées. C’est de la bonne humeur, des déclarations d’amour et des envies
de soleil et de plage. Vivement le printemps ! Froggy Delight

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