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DIMANCHE 17 MAI 2015 à 17h30
Au Studio des Arts Vivants
CASABLANCA
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VENTE AUX ENCHERES
Dimanche 17 mai à 17h30
Le Studio des Arts Vivants
38 boulevard Abdelhadi Boutaleb (ex Route d’Azemmour)
Ain Diab - Casablanca
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Exposition publique
La Galerie 38
05 22 94 39 75
Du lundi 11 mai au samedi 16 mai 2015
10h00-20h00
Directrice des ventes
Salima Tazi Kettani
06 61 05 12 95
[email protected]
Responsable commerciale Fatim-Zohra Alaoui
06 61 85 99 36
[email protected]
Commissaire-priseur
Maître Arnaud Cornette de Saint-Cyr
La vente est soumise aux conditions générales imprimées en fin de catalogue
crédits photographiques : Fouad Maazouz - réalisation : Fatim - Zohra Alaoui et Youness Ettarbaoui - impression : DIRECTPRINT
ISSN :2336-002-X
ISBN : 978-9954-9359-4-1
Dépôt légal : 2015MO1447
01. NOURREDINE DAIFALAH, né en 1960
SANS TITRE, 2007
Triptyque, technique mixte sur papier
80 x 120 cm
Signée et datée en bas à droite
03. FATIHA ZEMMOURI, née en 1966
SANS TITRE, Serie l’œuvre au noir, 2013
Charbon sur bois
90 x 90 cm
Signée et datée au dos
35 000 / 40 000 dhs
35 000 / 45 000 dhs
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7
02. FATIHA ZEMMOURI, née en 1966
04. MOUNAT CHARRAT, née en 1965
SANS TITRE, 2014
Technique mixte sur papier
50 x 50 cm
Signée en bas à gauche
SANS TITRE, 2008
Technique mixte sur toile
140 x 100 cm
7 000 / 10 000 dhs
35 000 / 40 000 dhs
05. SAFAA ERRUAS, née en 1976
SANS TITRE, 2010
100 x 120 cm
07. YOUSSEF DOUIEB, né en 1965
Sans titre, 2015
Acrylique sur toile
100 x 120 cm
25 000 / 30 000 dhs
17 000 / 20 000 dhs
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06. DOUNIA OUALIT, 1959 - 2009
08. ABDERRAHIM YAMOU, né en 1959
SANS TITRE
Technique mixte sur carton
100 x 70 cm
DÉVOLUTION, 2012
Huile sur toile
147 x 114 cm
Signée, datée et titrée au dos
90 000 / 110 000 dhs
55 000 / 70 000 dhs
MOUNIR FATMI
Artiste marocain né à Tanger en 1970, Mounir Fatmi part à 16 ans
en Italie pour passer les concours de l’Académie Libre de Nu et
de Gravure de Rome. De retour au Maroc en 1989, il fréquente
l’école des Beaux-Arts de Casablanca. Mounir Fatmi construit des
espaces et des jeux de langage qui montrent au grand jour nos
ambiguïtés, nos doutes ou nos désirs...
Mounir Fatmi a reçu plusieurs prix tels que Grand Prix Léopold
Sédar Senghor, la plus haute récompense de la 7ème Biennale de
Dakar, ainsi que l’Uriôt prize de la Rijksakademie, Amsterdam.
Il vit et travaille entre Tanger et Paris.
COLLECTIONS
Fondation Louis Vuitton pour la création, Paris, France
Fonds National d’Art Contemporain, Paris, France
Fonds Municipal d’Art Contemporain, Paris, France
Cité nationale de l’histoire de l’immigration, Paris, France
Rosenblum & Friends, Paris, France
Foundation Frances, Senlis, France
Museum Kunstpalast, Düsseldorf, Allemagne
Nadour, Krefeld, Allemagne
Fondazione Cassa di risparmio di Modena, Modena, Italie
Darat al Funun, The Khalid Shoman Foundation, Amman, Jordanie
Attijariwafa Bank, Casablanca, Maroc
Fondation ONA, Casablanca, Maroc
Mathaf, Arab Museum of Modern Art, Doha, Qatar
Rijksakademie Collection, Amsterdam
De Nederlandsche Bank N.V., Amsterdam
Kamel Lazaar Fondation, Tunis, Tunisie
KoÐ Fondation, Istambul, Turquie
Farjam Collection, Dubai, E.A.U
Articulate Contemporary Art Fund, Londres, Royaume Unis
The Brooklyn Museum, New York, Etats-Unis
Hessel Foundation for the Bard Museum, New York, Etats-Unis
Sindika Dokolo Foundation, Luanda, Angola
Art Gallery of Western Australia, Perth, Australie
AGO, Art Gallery of Ontario, Toronto, Canada
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11
09. MOUNIR FATMI, né en 1970
10. MOUNIR FATMI, né en 1970
SANS TITRE, 1992
63 x 48 cm
Signée et datée en bas à gauche
SANS TITRE, 1993
Technique mixte sur carton marouflée sur toile
140 x 100 cm
Signée et datée en bas à droite, contresignée et datée au dos
50 000 / 60 000 dhs
150 000 / 180 000 dhs
HASSAN BOURKIA
Né en 1956 à El Ksiba, Hassan Bourkia est écrivain, traducteur
et peintre. Il a publié de nombreux articles littéraires et
philosophiques et traduit en arabe Nietzsche, Laâbi, Edmond
Amran El Maleh, Marie-Cécile Dufour El Maleh, Mohamed Nedali.
Hassan Bourkia, homme de lettres et plasticien, peint depuis plus
de vingt ans, mais dans ses compositions n’entre pas une once de
peinture. Le paradoxe n’est qu’apparent : ayant banni de ses toiles
l’huile, l’acrylique et tout ce qui, de près ou de loin, ressemble à de
la couleur en tubes, il travaille les matériaux comme la chaux, la
pierre d’alun, la cendre ou le smagh, une matière animale.
Ainsi, le matériau fait fonction de couleur et s’exprime dans
cet éclatement, ce détournement de la parole peinte, cette
réhabilitation de la matérialité dans sa réalité la plus pauvre, la
plus dégradée, fragmentaire, sans visage, noble et reconnaissable.
Les travaux de Hassan Bourkia figurent dans d’importantes
collections à Berne, Bâle et Zurich (Suisse), à Villa Réal (Portugal),
à Modène (Italie), à Paris (France), à Madrid (Espagne), à Rabat,
Casablanca, Marrakech, Essaouira.
COLLECTIONS
Ministère des Finances, Rabat
Ministère de l’Intérieur, Rabat
Ministère de la Culture, Rabat
L’Académie Royale, Rabat
La CDG, Rabat
Association Marocaine des Droits de l’Homme, Rabat
Musée de Bank al Maghrib, Rabat
Musée National d’Art Moderne, Rabat
Musée d’Art, Marrakech
Fondation ONA, Casablanca
Société Générale Marocaine de Banques, Casablanca
Ministère de l’Education Nationale marocain, Maroc
PRINCIPALES EXPOSITIONS PERSONELLES
2011
2010
2006
2003
12
2002
2001
2000
« L’Histoire ‘ se- mêle’ », Villa Matisse, Marrakech
Galerie Venise Cadre, Casablanca
« Peindre l’air » Institut Français de Meknes
« Flammes et Cendres », Instituts Français de Marrakech
« Sur les cendres » Galerie Bab ROuah, Rabat
« Derniers Vécus » Hommage à Mohamed Kacimi,
Galerie Bleue, Marrakech
« Mémoire souterraines 3 » Bibliothèque Municipale de
Beni Mellal
« Travaux récents », Galerie Wengi House, Soloturn Suisse
Galerie Al Manar, Casablanca
« Couleur de Sud » Galerie EMS Marc Aurèle Avenche, Suisse
1999
1998
1997
1996
1995
1993
1991
« 2 mémoires souterraines », Galerie Palacio D. Manuel,
Evora, Portugal
« Chant de la Terre » Galerie Spital Zurich, Suisse,
Galerie La découverte, Rabat
« Etre et Illusion » Galerie Al Manar, Casablanca
« Terres d’enfance… ici même » Premier festival de « La
mémoire face à l’oubli » Bibliothèque munipale de Béni Mellal
« L’odyssée de la Terre » Galerie Al Manar, Casablanca
« Ivresse de la terre » Vila Réal, Galerie Vila Nova, Portugal
« La nuit est aussi Soleil » Galerie AL Kassabah, Essaouira
« Splendeur de l’incertain » Maison des Jeunes, Fquih
Ben Salah
PRINCIPALES EXPOSITIONS COLLECTIVES
2011
2010
2009
2008
2007
2006
Seven, Galerie Agora, Marrakech
Semaine de la culture Marocaine, Salle Nationale,
Ouagadougou, Burkina Faso
Parcours Mobile, Hommage pour E. A. El Maleh, Galerie 38,
Casablanca
Art Marrakech, Biennale internationale, Saadi Hôtel,
Marrakech
« Zones sensibles », Association des Artistes
Malgaches, Salle municipale des expositions, Monaco
« Convergences », La Société Générale Marocaine des
Banques, Casablanca
Médiathèque Al Assad, Maison de la culture, Damas, Syrie
La Création Arabe Contemporaine ; Salle d’exposition
Hôtel J.W. Mariott, Koweït City, Koweït
Forsight Gallery, Amman, Jordanie;
Hotel de ville, salle Albert Camus, Cugnaux /Toulouse, France
Galerie Nationale, La semaine culturelle Marocaine,
Alger, Algérie
L’Art Contemporain Marocain, Théâtre National,
Bucarest, Roumanie
Académie des Arts, Centre Culturel et Artistique de
Saba, Tehran, Iran
2005
2004
2004
2002
1989
1987
EMAAR International Art Symposium, Dubai, Emirates
Arabes Unies
La semaine culturelle du Maroc, Doha, Qatar
La Galerie Nationale, Lithographies, La semaine
culturelle marocaine, Sao Paolo, Brésil
La Galerie Nationale, La semaine du Maroc, Mexico, Mexique
« La semaine du Maroc », Palais de la culture, Abu
Dhabi, Emirates Arabes Unies
« La semaine du Maroc », Palais de la culture, Abu
Dhabi, Emirates Arabes Unies
Biennale d’Alexandrie de l’Art Arabe Contemporain,
Alexandrie, Egypte
2000 « La cinquième saison » Bordj de bab Marrakech
1996 « Itinérances « Université de Toulouse, France
« Des plasticiens marocains exopsent » Palais des
congrès, Marrakech
« Les peintres d’Al Manar » Galerie Al Manar, Casablanca
« Masque au pluriel » Faculté des Lettres, Beni Mellal
Bibliothèque municipale de Beni Mellal
11. HASSAN BOURKIA, né en 1956
SANS TITRE, 2005-2006
Quadriptyque, Technique mixte sur toile
120 x 260 cm
170 000 / 200 000 dhs
BADR BOURBIAN
Badr Bourbian commence le dessin dès son plus jeune âge. Son
bac Art-plastique en poche, il se dirige vers l’école des Beaux-arts
de Casablanca.
C’est un artiste-dessinateur qui situe sa peinture dans le nouveau
symbolisme (une appellation qui lui est personnelle). Son travail
est chargé de codes, chiffres, photos, couleurs, formes, et
compositions, chaque chose à sa place. La poésie opère, elle
suit la loi du nombre, ne laisse rien au hasard. La recherche est
pour lui l’étape la plus accaparante, durant laquelle il chasse
ses sensations primitives, points de départ à la construction
de ses images. Symboles appartenant à la mémoire collective.
Ses œuvres semblent glisser sur une vague envoûtante selon le
principe de la libre association , du delta, du réel, du symbolique
et de l’imaginaire. Son écriture tient du chaos étincelant d’où
émerge des pépites de mélancolie et d’absurde
12. LARBI CHERKAOUI, né en 1972
SANS TITRE, 2009
Technique mixte sur peau, triptyque
120 x 150 cm
30 000 / 35 000 dhs
15
16
13. OMAR BOURAGBA, né en 1945
SANS TITRE, 1969
Huile sur carton marouflée sur panneau
107 x 70 cm
80 000 / 100 000 dhs
14. BADR BOUBIAN, né en 1980
SANS TITRE, 2009
180 x 120 cm
80 000 / 100 000 dhs
ABDELKÉBIR RABI
Né en 1944 à Boulemane, Abdelkébir Rabi vit et travaille à
Casablanca. Enseignant dans les établissements secondaires, il se
forme seul à l’art en lisant des ouvrages spécialisés, en consultant
des documents artistiques qu’il trouve dans les bibliothèques de la
ville et en effectuant des stages artistiques en France. En 1988, il
enseigne «l’Art et l’Esthétique» à l’université Hassan II. Il se retire
de l’enseignement en 2003 pour se consacrer à la peinture.
Rabi commence à peindre dans un style figuratif et s’achemine
progressivement vers une peinture abstraite dans les années 1970.
Depuis 1980, l’oeuvre de Rabi occupe une place tout à fait
originale dans la peinture marocaine. Il se livre à une minutieuse
préparation du support par des strates successives d’enduits qu’il
lisse et polit. Apparaissent de vigoureux traits noirs articulés entre
eux et conquis sur un blanc initial.
Le critique d’art Pierre Gaudibert a défini son oeuvre comme « une
abstraction puissante, méditative et grave, toujours renouvelée,
toujours approfondie, mais chaque fois d’une justesse totale ».
PRINCIPALES EXPOSITIONS INDIVIDUELLES
2013
2012
2009
2004
So Art Gallery, Casablanca
Atelier 21, Casablanca
Venise Cadre, Casablanca
« Epreuves d’ombres », Espace d’Art de la Société
Générale, Casablanca
1985
79-80
77-78
1972
68-71
Musée Stendhal, Grenoble, France
Galerie l’Atelier, Rabat
Galerie Le Savouroux, Casablanca
Centre Culturel Français, Casablanca
Premières expositions à Fès
16. RABI ABDELKEBIR, né en 1944
COMPOSITION, 1999
Gouache sur carton
48 x 63,5 cm
Signée en bas à droite et datée au dos
45 000 / 55 000 DHS
17
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SANS TITRE, 2014
Huile sur toile
120 x 100 cm
Signée en bas à droite et signé et datée au dos
130 000 / 140 000 DHS
COMPOSITION, 2001
Gouache sur carton
63 x 48,5 cm
Signée en bas à droite et datée au dos
45 000 / 55 000 DHS
FOUAD BELLAMINE
Artiste marocain né en 1950 à Fès, Fouad Bellamine est aujourd’hui
l’une des plus importantes icônes de la picturalité marocaine
contemporaine. D’abord professeur d’arts plastiques à Rabat
en 1973, il s’installe par la suite à Paris. Fouad Bellamine expose
tout en étant professeur, et déjà en 1982, il est invité à la 12eme
Biennale de Paris ou il choisit d’exposer une oeuvre de 8 mètres, à
même le sol du Musee d’Art Moderne.
En 1987, il devient chargé de cours à l’Universite Paris VIII. De
retour au Maroc en 1989, il organise en tant que commissaire
plusieurs expositions d’Art Contemporain à Rabat. Bellamine a
été l’un des premiers à s’exprimer à travers l’installation dès le
début des années 1980 et il s’est intéressé plus recemment à la
photographie.
COLLECTIONS
Société Générale Marocaine des Banques, Casablanca
Musée d’Art Contemporain, Tanger
Le groupe Attijariwafa Bank, Casablanca
Musée Bank Al-Maghrib, Rabat
Institut du Monde Arabe, Paris, France
Fond National d’Art Contemporain, Paris, France
Musée Erasto Cortes et Bibliotheque Palafoxiana, Mexique
Ministere de la Culture a Dubai, E.A.U
PRINCIPALES EXPOSITIONS
2014
2009
2009
2008
2008
2008
2008
19
2007
2007
2007
2005
2004
2003
2003
2003
2001
2001
1999
1997
1995
1992
1992
1991
1995
1989
1988
« 100 ans de création picturale », Musée Mohamed VI, Rabat
Galerie l’Atelier 21 . Casablanca
Traversées . Art contemporain arabe . Galerie Bab
Rouah . Rabat
Art Paris . Grand Palais . Paris, France
Galerie Violon Bleu . Londres, Angleterre
Réalisation de La coupole. Paris, France
Artistes contemporains arabes . Ministère de la Culture .
Dubaï, E.A.U
Art Paris . Galerie Marsa . Abou Dhabi, E.A.U
Foire de Dubaï . Galerie Violon Bleu et Galerie Marsa . Dubaï, E.A.U
Galerie Frédéric Moisan . Paris, France
Biennale de Venise, Pavillon Maroc. Venise, Italie
Galerie nationale Bab Rouah . Rabat
Bagdad mountain . Espace Actua . Casablanca,
Galerie Bab El Kebir . Rabat
Beyond the Myth . Art contemporain marocain . Galerie
Brunei . Londres, Angleterre
Tawasul . Maison de Madrid . Barcelone, Espagne
Cercle des Beaux-Arts . Madrid, Espagne
Année du Maroc en France . Paris, France
6ème biennale d’Alexandrie, Egypte
Casablanca, fragments d’imaginaires . Institut Français
de Casablanca
Peintres du Maghreb . Saint-Jacques-de-Compostelle
et Madrid, Espagne
Musée d’art contemporain Mukha . Anvers, Belgique
Galerie IPSOS, avec Kacimi et Belkahia . Bruxelles,
Belgique
Instituts français de Casablanca, Tanger, Rabat,
Marrakech, Tétouan
Galerie Etienne Dinet . Paris, France
Peinture marocaine contemporaine . Centre Culturel El
Conde Duque, Espagne
1988
1987
1987
1986
1986
1986
1986
1986
1986
1986
1985
1982
1982
1980
1980
1979
1979
1979
1979
1978
1977
1977
1977
1976
1975
1974
1972
Art pour l’Afrique . Musée d’Afrique et d’Océanie . Paris,
France
Galerie Nikki Diana Marquard . Paris, France
Biennale de São Paulo, Brésil
Salon Comparaison . Grand Palais . Paris, France
Peinture marocaine . Lisbonne, Porto et Faro, Portugal
Tendances de l’Art Contemporain Actuel, 100 ans de
Mercedes . Paris, Lyon, Lille, Nice, Marseille et Bordeaux,
France
Intensité nomades . Musée Fabre . Montpellier, France
Galerie Bab Rouah . Rabat
Galerie Nadar . Casablanca
Galerie Yahia, Tunis, Tunisie
Galerie Jean-Yves Noblet . Paris, France
XIIème biennale de Paris . L’Arc . Paris, France
Musée des Oudayas . Rabat
Galerie Med’A Mothi . Montpellier, France
Atelier 4, Sens, France
Galerie Nadar . Casablanca
VIIème biennale de dessins . Rijeka, Yougoslavie
Confrontation arts traditionnels et arts contemporains .
Faculté des Lettres . Fès
Exposition d’art contemporain arabe . Musée d’Art
Moderne . Tunis, Tunisie
Galerie L’Atelier . Rabat
Peintres marocains . Maison du Maroc . Paris, France
Artistes Internationaux pour la Palestine . Beyrouth,
Liban
Peinture contemporaine marocaine . Bruxelles, Belgique
Peinture Contemporaine Marocaine . Tunis, Tunisie
Exposition Nationale AMAP . Marrakech, Rabat, Meknès, Fès
Galerie Nationale Bab Rouah . Rabat
Galerie La Découverte . Rabat
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18. FOUAD BELLAMINE, né en 1950
SANS TITRE, 2004
160 x 140 cm
Signée et datée en au dos
Cette œuvre a été exposé à la Biennale de Venise de 2005
200 000 / 250 000 DHS
MOHAMED KACIMI
Mohamed Kacimi est né à Meknes en 1942, a vécu et travaillé à
Témara et à Paris. Il commence sa vie active comme éducateur
pour enfants. C’est dans l’atelier de la plasticienne Jacqueline
Brodskis qu’il commence à explorer le monde de la peinture. Doté
d’une puissance créative et d’une rigueur phénoménale dans le
travail, il accède rapidement à une notoriété internationale. Par
son travail artistique Mohamed Kacimi s’engage sincèrement pour
la création d’un monde meilleur.
Les silhouettes hommes qui hantent ses toiles sont épurées à
l’extrême, réduites à l’essentiel : une présence spectrale dans un
monde qui leur demeure hostile et étrange. Mohamed Kacimi n’a
jamais cessé de poser sur les humains un regard à la fois tendre
et lucide. Sa peinture est mélancolique, sa poésie romantique,
ses prises de position politiques toujours fidèles à une éthique de
l’engagement qui nous manque cruellement aujourd’hui.
19. MOA BENNANI, né en 1943
SANS TITRE, 1996
100 x 80 cm
35 000 / 40 000 dhs
21
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20. BOUCHTA EL HAYANI, né en 1952
SANS TITRE, 1989
160 x 115 cm
80 000 / 90 000 dhs
21. MOHAMED KACIMI, 1942 – 2003
SANS TITRE, 1985
Huile sur toile
103 x 33 cm
120 000 / 140 000 dhs
JILALI GHARBAOUI
Peintre marocain non figuratif, Jilali Ghrabaoui est considéré
comme le premier marocain à avoir choisi ce mode d’expression
picturale. Né en 1930 à Jorf El Maleh près de Meknès, il se passionne
très tôt pour l’art et mène une enfance malheureuse marquée par
la perte précoce de ses parents. Il étudie à l’Ecole des Beaux-Arts
de Paris, puis à l’Académie Julian avant de s’installer à Rome en
1958.
De retour au Maroc en 1960, ses expositions à l’étranger,
notamment en France, ont largement contribué à faire de lui
l’un des rares artistes marocains les plus cotés au-delà du cercle
fermé du marché de l’art marocain.
Il fut le premier au Maroc à avoir osé affronter la peinture abstraite,
en voulant s’affranchir du géométrisme dominant, et élaborer une
peinture dynamique, vivante, baignée de lumière. Sa gestique
pulsionnelle semble flageller le corps de la toile, comme était
flagellé Gharbaoui lui-même, dans sa chair et dans son esprit,
par les aléas de la vie et du destin. Aujourd’hui, les œuvres de
ce maître très tôt disparu, en 1971, figurent dans des collections
prestigieuses au Maroc, mais aussi à l’étranger.
COLLECTIONS
Musée de Bank Al Maghrib, Rabat
PRINCIPALES EXPOSITIONS PERSONNELLES
2012
23
1993
1980
66-67
1965
1962
1959
1958
1957
« Regards sur l’œuvre de Jilali Gharbaoui », Exposition
Bank Al Maghrib, Rabat
Institut du Monde Arabe « Œuvres 55-71 », Paris, France
Rétrospective galerie l’Oeil noir, Rabat
Expositions à Amsterdam et Montréal
Galerie Nationale Bab Rouah, Rabat
Galerie La Découverte, Rabat
Mission Culturelle Française, Rabat et Casablanca
Centre italo-arabe, Rome, Italie
24
2014
1995
1993
1989
1988
1985
1974
1962
1961
1959
1957
« 100 ans de création picturale » Musée Mohamed VI,
Rabat
« Regards Immortels », organisée par la Société
Générale Marocaine des Banques, Riad Salam,
Casablanca
Fondation ONA pour la parution de « Fulgurances
Gharbaoui », Casablanca
« Peinture Marocaine », centre culturel del conte
Duque, Madrid, Espagne
« Présences artistiques du Maroc », Bruxelles, Ostende,
Liège, Belgique
« 19 peintres du Maroc », Grenoble, France
« Présences artistiques du Maroc », Grenoble, France
« Peinture Marocaine dans les collections », Galerie
Nadar, Casablanca
Biennale de Paris, France
Groupe d’artistes d’Afrique du Nord, Paris, France
Exposition itinérante au Japon, Mexique et Allemagne
Biennale de Paris, France
Museum of Art (1er prix), San Francisco, Etats-Unis
Exposition avec Melehi au Centre Italo-Arabe, Rome, Italie
22. JILALI GHARBAOUI, 1930 - 1971
SANS TITRE, 1966
Huile sur toile
65 x 90 cm
650 000 / 750 000 DHS
25
AHMED CHERKAOUI
Ahmed Cherkaoui est un peintre marocain né à Boujad
en 1934, et mort à Casablanca en 1967. Il est considéré comme
l’un des précurseurs de la peinture moderne au Maroc. Il s’initie
à la calligraphie et étudie le Coran, puis poursuit ses études
secondaires à Casablanca. Il entre à l’école des Beaux-arts de
Paris en 1960 et tente la synthèse entre les traditions artistiques
populaires marocaines et la modernité artistique européenne.
Il étudie aussi à l’Académie des Beaux-arts de Varsovie, où sa
peinture évolue au contact des artistes polonais. En 1961, il
commence à s’interroger sur la confrontation de la peinture avec
la réalité marocaine. Participant à plusieurs expositions collectives,
à Paris comme à Casablanca, il est encouragé par Gaston
Diehl, président fondateur du Salon de Mai, et alors attaché
culturel auprès de l’Ambassade de France au Maroc. Dès 1962, il
entame une série d’expositions à Paris comme au Maroc, qui le
consacreront vite comme l’un des espoirs de la peinture moderne
internationale. En 1967, alors qu’il voulait s’installer définitivement
au Maroc, il décède prématurément, en pleine maturité artistique.
COLLECTIONS
26
Institut du Monde Arabe, Paris
Barjeel art foundation, Emirats Arabes Unis
27
23. JILALI GHARBAOUI, 1930 - 1971
SANS TITRE, 1968
Huile sur toile
50 x 65 cm
550 000 / 650 000 DHS
24. AHMED CHERKAOUI, 1934 - 1967
EL QADAR, Paris, 1962
Huile sur toile de jute
46 x 60 cm
Signée en haut à droite, contresignée, datée et titrée au dos
600 000 / 700 000 DHS
FARID BELKAHIA
Peintre et sculpteur marocain né en 1934 et décédé en 2014
à Marrakech, Farid Belkahia est considéré comme l’un des
précurseurs de l’art moderne au Maroc. Son intérêt pour les
milieux de l’art et de la peinture vient sûrement de l’influence de
son père qui fréquentait les milieux artistiques étrangers. Farid
Belkahia fait ses études en 1954 à l’école des Beaux-Arts de
Paris. Par la suite, de 1959 à 1962, il complète sa formation en
étudiant la création de décors de théâtre à l’Institut du Théâtre
de Prague, puis perfectionne son apprentissage à l’Académie
de Brera de Milan, où il rencontre des peintres tels que Kounelis,
Castellani, Bonalumi et Fontana. De 1962 à 1974, de retour au
Maroc, Farid Belkahia est nommé directeur de l’école des BeauxArts de Casablanca. Cette période est marquée par différentes
collaborations avec des historiens de l’art tels que Toni Maraini
et Bert Flint, mais aussi, avec les peintres professeurs Melehi,
Chebaa et Hamidi. Après une période de peinture figurative, Farid
Belkahia a orienté son art vers des schémas plus géométriques.
Conscient de son héritage multiple : arabe, amazigh, islamique
et méditerranéen, il s’inspire de la « mémoire » de la culture
marocaine. Il est particulièrement connu pour ses cuivres martelés
et désoxydés ainsi que pour ses peaux agrémentées de pigments
naturels. Farid Belkahia est considéré comme l’une des figures les
plus emblématiques de la peinture en Afrique et dans le monde
arabe. Un nombre important de ses oeuvres se trouve dans les
collections privées, des institutions et des musées au Maroc et
à l’étranger. Récement exposé au Musée Mohamed VI de Rabat,
dans le cadre de l’exposition « 100 ans de création picturale » ainsi
que dans l’exposition « Le Maroc contemporain » à l’institut du
monde arabe à Paris.
28
29
25. FARID BELKAHIA, 1934 - 2014
OISEAU, Décembre 1961
Encre sur carton
32 x 43 cm
Signée, date et titrée en haut à droite
90 000 / 120 000 dhs
26. FARID BELKAHIA, 1934 - 2014
SANS TITRE, 1975
Cuivre martelé
122,5 x 140 cm
500 000 / 550 000 dhs
MILOUD LABIED
Peintre marocain autodidacte, Miloud Labied est né en 1939 à
Kalât Sraghna et décédé en 2008. Certains ont d’abord voulu
voir en lui un naïf, l’alignant indifféremment sur le sort et les
productions de sa mère Radia Bent Lhoucine.
Étant dans une quête permanente, Miloud Labied ne s’est jamais
complu dans un style unique ou une expression stable et immuable.
Ce sont les marges à découvrir, les frontières à transgresser, les
limites à franchir qui semblent toujours séduire et tirer vers elles un
artiste toujours prêt à aller à la rencontre de l’ailleurs.
Sa carrière d’artiste-peintre débute à partir des années 60. Agé
alors d’une vingtaine d’années, sa rencontre avec Jacqueline
Brodskis, qui encadrait l’atelier de peinture du Ministère de la
Jeunesse et des Sports au Maroc, a été déterminante pour
son avenir professionnel. Connu pour ses peintures, il compte
également la sculpture et la photographie parmi ses expériences
artistiques.
Depuis sa première exposition au Musée des Oudayas à Rabat en
1958, il a participé à plusieurs expositions, aussi bien au Maroc
qu’à l’étranger.
COLLECTIONS
Le Ministère de la Culture, Maroc
Fondation ONA, Maroc
Attijariwafa Bank, Casablanca
Fondation CDG, Rabat
Fond de l’UNESCO
28. MILOUD LABIED, 1939 - 2008
SANS TITRE, Année 60
Huile sur toile
35 x 45 cm
Signée en bas à gauche et au dos
31
50 000 / 60 000 dhs
Sans titre, 1972
Technique mixte sur carton marouflée sur toile
100 x 65 cm
SANS TITRE, 1970
Gouache sur carton marouflée sur panneau
49 x 64 cm
200 000 / 240 000 dhs
120 000 / 140 000 dhs
32
MOHAMED MELEHI
Mohamed Melehi est un pionnier et une référence incontournable
de l’art marocain. Né en 1936 à Asilah, il fait ses études à l’école
des Beaux-Arts de Tétouan et de Paris. Son parcours se poursuit
à Séville et à Madrid en 1955, puis en Italie, en France et enfin
à New York en 1962. Il est professeur de 1964 à 1969 à l’école
des Beaux-Arts de Casablanca. Il fonde et dirige en 1971 la revue
artistique et littéraire Intégral. Il a longtemps été directeur des arts
au Ministère des Affaires Culturelles et de 1985 à 1992, Mohamed
Melehi est nommé Directeur de cabinet puis Directeur des arts au
Ministère de la Culture. L’institut du Monde Arabe lui a consacré
une rétrospective en 1995 et ses œuvres sont exposées et
vendues des Etats-Unis au monde arabe en passant par l’Europe.
Elles sont aussi présentes au MOMA de New York et au Centre
Georges Pompidou à Paris.
COLLECTIONS
MOMA, New York
Centre Georges Pompidou, Paris
Institut du Monde Arabe, Paris
Musée Mathaf, Doha, Qatar
Ministère de la Culture, Rabat
Académie Royale des Beaux-Arts du Royaume du Maroc
Attijariwafa bank, Casablanca
Fondation ONA
EXPOSITIONS INDIVIDUELLES
2012
2010
2009
2008
2002
1997
33
1996
1995
1986
1985
Meem Gallery, Dubaï, Emirats Arabes Unis
Loft Art Gallery, Casablanca
Fondation Niebla, Casavels, Catalogne, Espagne
Galerie Linéart, Tanger
Galerie Bab Rouah, Rabat
Rétrospective, Galerie Bab Rouah, Rabat
Invité d’honneur à la Biennale Internationale de
Sharjah, Emirat Arabes Unis
Roshan Fine Arts Gallery, Jeddah, Arabie Saoudite
Rétrospective à l’Institut du Monde Arabe, Paris, France
Duke University Gallery, Durham, North Carolina, USA
La Banque Mondiale, Washington D.C. USA
Galerie Alif Ba, Casablanca
1984
1975
1971
1968
1965
1963
1962
1958
« Melehi, récent paintings » The Bronx Museum of Arts
Galerie Nadar, Casablanca
Galerie L’Atelier, Rabat
Sultan Gallery, Koweit
Pecanins Gallery, Mexico City, Mexique
Galerie Municipale, Casablanca
The Little Gallery, Minneapolis Institute of Art,
Minneapolis, USA
Galerie Trastevere di Topazia Alliata, Rome, Italie
The American Library, Tanger
34
EXPOSITIONS COLLECTIVES
2014
2010
2009
2006
1989
1988
1987
1986
1981
1967
1966
“100 ans de creation” Musée Mohamed VI, Rabat
Marrakech Art fair
Sculptures, galerie Arcanes, Marrakech, Maroc
Corps et Figure des Corps, Société Générale,
Casablanca
Signes et paysages, galerie LOFT, Casablanca
Fondation Mohamed VI,Rabat
Biennale d’Alexandrie, Egypte
Peintres marocains à Madrid, Centre Conde Duque,
Madrid, Espagne
29 peintres marocains au Caire, Le Caire, Egypte
Biennale de Sao Paolo, Brésil
Journées culturelles marocaines au Portugal
Dix ans à L’Atelier, Galerie Bab Rouah, Rabat
Petits formats, Galerie Nadar, Casablanca
The world show, pavillon du Maroc, Foire internationale
de Montréal, Canada
Belkahia, Chebaa, Melehi, hall du Théâtre National
Mohammed V, Rabat
1965
1964
1963
1962
1960
1958
Knoll international Gallery, Rome, Italie.
The world show, Washington Square Gallery, New York, USA
Hard edge and geometric painting and sculpture, The
Museum of Modern Art, New York, USA
Trois peintres abstraits, Bertha Schaefer Gallery, New
York, USA
The Formalists, The Washington Gallery of Modern Art,
Washington D.C., USA
Eight contemporary artists from Rome, The Minneapolis
Institute of Arts, Minneapolis, USA
5 Künstler aus Rom, galerie Suzanne Bollag, Zurich,
Allemagne
Art contemporain italien, Institute of Design, Chicago, USA
Biennale d’Alexandrie, Egypte
Deux peintres marocains,Melehi et Gharbaoui, Centro
italo-arabo, Rome, Italie
30. MOHAMED MELEHI, né en 1936
SANS TITRE, 2011
170 x 150 cm
Signée et daté au dos
150 000 / 180 000 dhs
MOHAMED HAMIDI
Né le 7 Août 1941 à Casablanca, Mohamed Hamidi vit et travaille
entre Azemmour, Casablanca et Grasse. Mohamed Hamidi est
considéré comme l’un des précurseurs de l’art moderne au Maroc.
Après avoir suivi une formation à l’Ecole des Beaux-Arts de
Casablanca, Mohamed Hamidi s’envole vers la France. En 1959,
il mène à Paris une vie d’artiste bohème,fréquentant assidûment
musées et galeries et visitant ateliers et expositions. Il obtient,
en 1964, le diplôme d’enseignement de l’Art monumental de
l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et devient
l’assistant du peintre Jean Aujame dans son atelier de Fresque.
De retour au Maroc, Mohamed Hamidi enseigne à l’Ecole des Beaux-
FRANÇOIS SASMAYOUX
Arts de Casablanca sous la direction de Farid Belkahia. En 1969 il
participe à la très célèbre exposition manifeste à la place Jamaa El
Fna à Marrakech au côté de Farid Belkahia, Mohamed Chebaa, et
Mohamed Melihi. Hamidi est membre fondateur de l’Association
Marocaine des Arts Plastiques (AMAP). Mohamed Hamidi
s’intéresse au corps ainsi qu’aux signes et symboles de l’art africain,
il oeuvre sur la recherche des matières et surtout des couleurs
éclatantes qui l’accompagnent au fil de son parcours prolifique.
Mohamed Hamidi expose depuis plus de cinquante ans à travers
le monde.
C’est en 1944 à Figeac qu’est né François Sasmayoux. Entre
1962 et 1968 il étudie la peinture à l’Ecole des Beaux Arts de
Toulouse, où il sort diplômé. Il s’installe ensuite à Paris où il vivra
et se consacra au pastel jusqu’à la fin de sa vie. Ses oeuvres aux
influences marocaines et africaines révèlent un style qui lui est
propre et où se mêlent douceur et poésie. Il a peint des paysages,
des natures mortes, mais surtout des portraits et il a consacré de
grandes séries de portraits à des modèles africains. On peut citer
parmi les personnalités africaines qu’il a peinte, le footballeur Alain
Goma, l’acteur Hubert Koundé et le mannequin et styliste Imane
Ayissi, son modèle préféré.
Ses oeuvres sont présentes dans d’importantes galeries partout
dans le monde comme la galerie Elysée-Montaigne à Paris, la
galerie Vento Vierdé à Laredo en Espagne, la galerie Racine à
Bruxelle en Belgique, le Westries Museum à Horn en Hollande ou
encore au Musée de Marrakech au Maroc. Il a obtenu plusieurs prix
comme le prix Art Dialogue en 1983, la médaille du Pastel ou le prix
Edouard Bouillère à Toulouse en 1986.
Il repose depuis le 30 novembre 2006 au cimetière Montmartre,
l’endroit où finalement les peintres demeurent immortels.
2011
2008
2007
2005
2000
1996
1993
1988
1985
1983
1981
Hamidi La Rétrospective, La Galerie 38, Casablanca
Venise Cadre, Casablanca
Cologne, Allemagne
La Chapelle Saint Esprit Sophia-Antipolis, France
Espace Catherine Durand, Grasse, France
Espace Catherine-Levy, Dusseldorf, Allemagne
Espace Maison Danemark, Paris, France
Festival Culturel Panafricain., Médaille d’Honneur,
Toulouse, France
Galerie Alif-Ba, Casablanca
Maison de la Culture, Amiens, France
1978
1976
1975
1972
1970
1969
1967
1966
1964
1962
Galerie Bruno Mory-Bonnay,Paris, France
Centre Culturel Français, Rabat
Centre Culturel Américain, Rabat
Galerie Municipale, Casablanca
Espace Ecureuil, Toulouse, France
Galerie Max. Berlin, Allemagne
Centre Culturel Canadien, Paris, France
Galerie Klein, Cologne, Allemagne
Galerie des Beaux-Arts, Paris, France
35
36
31. MOHAMED HAMIDI, né en 1941
32. FRANCOIS SASMAYOUX, 1944 – 2006
COMPOSITION POETIQUE, 2002
Diptyque, technique mixte sur toile
160 x 240 cm
Signée en bas à droite et signée, titrée et datée au dos
NOCE ET BANQUET
Pastel sur carton
110 x 150 cm
Signée en bas à droite
Cette œuvre à reçu le prix Edouard Bouillère lors du 60ème Salon des Méridionaux en 1986
120 000 / 150 000 dhs
80 000 / 100 000 DHS
CLAUDIO BRAVO
Claudio Bravo est né en 1936 à Valparaiso au Chili. De 1945 à
1954, il fait ses humanités chez les jésuites à Santiago. Bien que
le jeune Bravo ai pris quelques cours d’art privées avec le peintre
académique Miguel Venegas Cifuentes, il était surtout un artiste
autodidacte Il a sa première exposition en 1954 à la Galerie 13
à Santiago. Jusqu’en 1961 il vit à Santiago et à Conception où il
devint un peintre de portrait bien recherché. Il peint et écrit de
la poésie. Il gagne sa vie en tant que danseur professionnel au
sein de la compagnie de Ballet du Chili. En 1961, il quitte le Chili
pour l’Europe. Il s’installe à Madrid il continue à travailler comme
portraitiste de la haute société. Au cours de la décennie suivante,
il a peint beaucoup de gens célèbres et puissants, y compris la fille
du général Francisco Franco en Espagne et Ferdinand et Imelda
Marcos lors d’un long voyage aux Philippines en 1968.
Sa première exposition «américaine» a lieu à la galerie Staempfli
à New-York. En 1972, il déménage à Tanger où il élargit son
répertoire pour y inclure les paysages, des portraits d’animaux et
des sujets humains, souvent en costumes traditionnels marocains.
En 1981 a lieu sa première exposition à la Malborough Gallery de
New-York qui ensuite montrera son travail régulièrement. Sa seule
exposition personnelle en France a pour cadre à Paris en 1976 la
galerie Claude Bernard qui édite à cette occasion un Catalogue.
Claudio Bravo a une grande rétrospective de son oeuvre en 1994
au Musée National des Beaux Arts de Santiago du Chili où jusque là
il demeurait méconnu. Dans les années qui suivent l’artiste reçoit
plusieurs distinctions internationales. Claudio Bravo meurt en 2011
d’une crise cardiaque à son domicile de Taroudant au Maroc.
2013
2012
2011
2011
2010
2009
37
2008
2007
2007
2006
2006
2006
2005
2004
2003
2001
1999
1997
Claudio Bravo: 1936-2011, Marlborough Gallery, New
York, Etats-Unis
Claudio Bravo: Sojourn in Manila, Metropolitan Museum
of Manila, Philippines
Claudio Bravo, Museo de Artes Visuales, Santiago, Chili
Claudio Bravo: The Chilean Years, 1951-1960,
Corporación Cultural de Las Condes, Santiago, Chili
Claudio Bravo: Recent Work, Marlborough Chelsea, New
York, Etats-Unis
Claudio Bravo: a bestiary, Marlborough Gallery, New
York, Etats-Unis
Claudio Bravo: Recent Work, Marlborough Gallery, New
York, Etats-Unis
Claudio Bravo, La Biennale de Venise, Italie
Claudio Bravo, Musée d’art contemporain de
Monterrey,León, Mexique
Claudio Bravo, Naples Museum of Art, Florida, Etats-Unis
Claudio Bravo - Pinturas y Dibujos, Marlborough Madrid,
Espagne
Claudio Bravo - Peintures, Château de Chenonceau,
Chenonceaux, France.
Pastel Society of America’s Board of Directors
Exhibition: Hall of Fame Honoree Claudio Bravo,
Youngstown, Ohio, Etats-Unis
Claudio Bravo et le Maroc, Institut du Monde Arabe,
Paris, France
Claudio Bravo: Still Life, Marlborough Gallery, New York,
Etats-Unis
Claudio Bravo - Oeuvres Recentes, Marlborough, Monte
Carlo, Monaco.
Claudio Bravo. Obras Recientes, Marlborough Madrid,
Madrid, Espagne 1998Claudio Bravo, Marlborough
Gallery, New York, Etats-Unis
Claudio Bravo: Wrapped Packages, Bass Museum of Art,
Miami Beach, Florida, United States.
1995
1994
1993
1991
1989
1988
1985
1984
1984
1983
1982
1981
1981
1978
1976
1974
1974
1972
1971
1970
1968
1967
1966
1963
1961
1955
1954
Claudio Bravo, Marlborough Madrid, Espagne
Museo Nacional de Bellas Arte, Santiago, ChilI
Carlsten Art Gallery, University of Wisconsin-Stevens
Point, Madison, Wisconsin, Etats-Unis
Claudio Bravo: Works on Paper, Marlborough Gallery,
New York, Etats-Unis
Claudio Bravo: Recent Paintings and Drawings,
Marlborough Gallery, New York, Etats-Unis
Claudio Bravo, Marlborough Fine Art, Tokyo, Japon
Claudio Bravo Pastels, 1985: Still Lifes, Marlborough
Gallery, New York, Etats-Unis
Galería Quintana, Bogota, Colombie
Claudio Bravo: Recent Paintings and Works on Paper,
Marlborough Fine Art, London, Angleterre
Claudio Bravo: Pinturas y Dibujos, Museo de Monterrey,
Monterrey, Mexique
Galerie Levy, Hambourg, Allemagne
Staempfli Gallery, New York, Etats-Unis
Galerie Claude Bernard, Paris, France
Galería Vandrés, Madrid, Espagne
Galería Egam, Madrid, Espagne
Luz Gallery, Manille, Philippine
Galería Fortuny, Madrid, Espagne
Galería Edurne, Madrid, Espagne
Galería Fortuny, Madrid, Espagne
Universidad de Concepción, Concepción, Chili
Salón 13, Santiago, Chili
Salón 13, Santiago, Chili
39
33. CLAUDIO BRAVO, 1936 - 2011
LA JOCONDE, 1976
Tapisserie et sa gouache originale
81,5 x 74 cm et 86 x 73 cm
Signée et datée en haut à droite de la tapisserie
700 000 / 800 000 DHS
HASSAN EL GLAOUI
Hassan el Glaoui est né en 1923 à Marrakech. Il vit et travaille à
Rabat. Il doit sa carrière de peintre au très influent Premier Ministre
britannique sir Winston Churchill qui passa de nombreux séjours à
Marrakech auprès du Pacha et qui insista pour qu’il autorise son
fils Hassan à peindre. Hassan El Glaoui est alors envoyé en France,
à la fin des années 40, pour étudier la peinture à Paris, auprès des
grands peintres de l’époque. Sa première exposition personnelle a
lieu en 1950 à Paris, suivie par celle de new York en 1952. En 1957, il
participe à la 2ème Biennale d’Alexandrie et en 1963 à l’exposition
«Deux mille ans d’art au Maroc», à la galerie Charpentier à Paris.
Très connu par les chevaux qu’il représente, notamment dans des
fantasias, l’artiste peint avec finesse les selles couvertes de velours,
les burnous dans un mouvement d’envol, les fusils damasquinés...
Il décrit et raconte des scènes qu’il a vues et vécues et fait ainsi
référence à la mémoire, à l’histoire et au patrimoine artistique.
Hassan El Glaoui n’a pas seulement sublimé la thématique du
cheval et de son cavalier, il s’est consacré également au portrait
et à la nature morte.
2010
2012
2009
2005
1993
76-04
1976
1975
1973
70-73
1969
40
1968
1967
1965
1964
1963
59-63
1951
1950
« Rétrospective 60 ans de peinture »,
Attijariwafa Bank, Casablanca
« Pacha de l’art », rempart Galerie, Marrakech
Matisse Art Gallery, Marrakech
Exposition dans la Maison de la Presse, Londres, G.B.
Hammer Galleries, New York, Etats-Unis
Galerie V, Paris, France
Vernissage à l’hôtel de la tour Hassan, Rabat
Le Savouroux, Casablanca
Galerie isy Brachot, Bruxelles, Belgique
Tryon Galleries, Londres, G.B.
Vernissage à l’hôtel de la tour Hassan, Rabat
Centre culturel international, Hammamet, Tunisie
Upper Grosvenor Galleries, Londres, G.B.
Hammer Galleries, New York, Etats-Unis
Galerie Pierre Carrez, Paris, France
Galerie Jean Berthier, Marseille, France
Vernissage à l’hôtel el Mansour, Casablanca
Galerie Jeanne castel, Paris, France
Galerie Petrides, Paris, France
Wildenstein Gallery, New York, Etats-Unis
Galerie André Weil, Paris, France
2009
2007
2004
1999
98-97
1988
1987
1966
1963
1963
« Meeting in Marrakesh : Painting of hassan el Glaoui
and Winston churchill », Leighton house Museum,
Londres, G.B.
Biennale de Marrakech
« Estampes-création plurielle », Galerie de l’Institut
Français, Rabat
Célébration de l’art Marocain, eglise du Sacré-Coeur,
Casablanca
Matisse Art Gallery, Marrakech
Musée de Marrakech
« 29 peintres du Maroc » centre nationale de la
culture, Le caire, Egypte
Exposition Internationale, Bagdad, Irak
Festival Mondial des arts nègres, Dakar, Sénégal
« Deux milles ans d’art au Maroc », galerie Charpentier,
Paris, France
Rencontre internationale des artistes au Musée des
Oudayas
41
COLLECTIONS
Groupe Attijariwafa Bank, Casablanca
Groupe Banque populaire
Ministère de la Culture
34. HASSAN EL GLAOUI, né en 1923
SANS TITRE
Huile sur panneau
76 x 107 cm
250 000 / 300 000 DHS
SANS TITRE
Huile sur panneau
93 x 32 cm
110 000 / 130 000 DHS
42
43
SANS TITRE
Huile sur toile
46 x 55 cm
Signée en bas au centre
80 000 / 90 000 DHS
SANS TITRE
91 x 170 cm
450 000 / 500 000 DHS
ABBÈS SALADI
Né en 1950 et décédé en 1992 à Marrakech, Abbès Saladi
interrompt ses études de philosophie à Rabat en 1977 pour des
raisons médicales. De retour à Marrakech, il se consacre à la
peinture. En manque d’argent, sa mère vend ses tableaux sur la
place Jamaâ el Fna. Il est découvert par le directeur de l’American
Language Center de Marrakech qui va l’aider à organiser sa
première exposition en 1978. Le succès de l’exposition l’emmène à
exposer de nombreuses fois au Maroc et en France.
Le parcours de Saladi est singulier. Ce peintre fascine par l’étrangeté
de son imagination. Ses travaux inaugurent un style spécifique
basé sur la métamorphose et l’hybridation. Son univers pictural
offre une mosaïque de motifs puisés dans l’imaginaire arabomusulman, de corps hybrides, de zelliges ou de minarets. La
précision du trait, la profusion des détails, alliées à la subtilité
des tons, à la transparence des lavis, bouleversent les bases du
réel, déforment les êtres plus que les choses et ouvrent un monde
fantasmagorique où règne l’oiseau chimérique. Saladi cultive
la symétrie et, en conteur émérite, il nous familiarise avec des
personnages irréels issus de la symbiose du végétal, de l’animal et
de l’humain.
PRINCIPALES EXPOSITIONS INDIVIDUELS
1991
1990
1987
1981
1980
1979
1978
Galerie du palais des Congrès, Marrakech
Centre culturel français, Rabat
Galerie 77, Marrakech
Galerie Boutique Ombre, Marrakech
Centre culturel français, Marrakech
45
2014
2012
1994
1989
1988
1986
1985
1984
« Cent ans de créations », Musée Mohamed VI, Rabat
Salon du livre, Genève, Suisse
« Rencontre et Culture », UNESCO, Paris, France
« La peinture Marocaine Contemporaine », Conte del Duque, Madrid, Espagne
Chorfi Art Gallery, Casablanca
« 12 peintre du Maroc », Centre culturel français, Rabat
« Présence Artistique du maroc », Centre Nationak d’Art Contemporain, Grenoble, France
« Un Art pour l’Afrique », Musée des Arts Africains et Océaniens, Paris, France
« 10 ans de l’Atelier », Galerie, Bab Rouah, Rabat
46
BIBLIOGRAPHIE
Abdellah Zrika Abbès Saladi, un monde féerique
Collection Regards Croisés Ed. Marsam 2006
Traces du présent n°1 1993 impression Tinmel Marrakech
Mohamed Sijelmassi L’art contemporain au Maroc,
ACR Edition 1989
38. ABBES SALADI, 1950 - 1992
SANS TITRE, 1987
Technique mixte sur papier
100 x 50 cm
500 000 / 550 000 dhs
RADIA BENT EL HOUCINE
Née en 1912 dans la région de Marrakech à douar Oulad Youssef
(dans la province de Kalaât sraghna), Radia Bent Lhoucine
commence à peindre en 1961, à l’époque où de rares femmes
marocaines découvraient la couleur et la toile. c’est en voyant
travailler son fils, le peintre Miloud Labied, qu’un irrésistible besoin
lui vint de prendre crayons et pinceaux, à plus de cinquante
ans. encouragée par son fils, Radia exposera dans l’atelier de
Jacqueline Brodskis à Rabat, en 1962. Elle sera d’emblée adoptée
et saluée par la critique et les amateurs de l’art brut et de l’art naïf
lors de l’exposition «Deux mille ans d’art au Maroc» à la galerie
Charpentier à Paris en 1963.
Elle expose à la Fondation Jean Dubuffet à Lausanne la même
année, puis à la galerie Bab Rouah à Rabat en 1966. Radia Bent
Lhoucine a participé à de nombreuses expositions au Maroc et
à l’étranger, et ses oeuvres figurent dans différentes collections
institutionelles et privées au Maroc et en suisse. Radia Bent
Lhoucine a cessé de peindre dans les années 70. Elle est décédée
en 1994 à Salé après avoir ouvert la voie à toute une lignée de
femmes peintres.
COLLECTIONS
Fondation ONA, Casablanca,
Musée Hassan, Rabat
EXPOSITIONS PRINCIPALES
2006
2006
1995
47
1966
1963
1963
1962
Exposition collective Fondation ONA, Villa Des Arts de
Casablanca
«Regards de femmes», exposition collective, Société
Générale Marocaine de Banques, Casablanca
«Regards Immortels», exposition collective, Société
Générale Marocaine de Banques, Casablanca
Galerie Bab Rouah, Rabat avec Fatéma Hassan et
Hassan El Farouj
Exposition individuelle, Lausanne, Suisse
Galerie Charpentier, Paris
Atelier de Jacqueline Brodskis à Rabat, Maroc
exposition individuelle
48
39. RADIA BENT EL HOUCINE, 1912 - 1994
SANS TITRE
Acrylique sur toile
130 x 110 cm
220 000 / 250 000 dhs
CHAIBIA TALLAL
Née en 1929 près d’El Jadida et décédée en 2004 à Casablanca,
Chaïbia Tallal grandit à la campagne où elle apprend à tisser la
laine et à broder. Elle n’apprend à lire et à écrire que tardivement.
Autodidacte, elle commence à peindre et montre ses toiles à
Ahmed Cherkaoui et à son fils Hossein Tallal. Pierre Gaudibert, de
passage au Maroc, la découvre en 1966, une année qui fait date :
Chaïbia expose au Salon des Surindépendants au Musée d’Art
Moderne de Paris.
Chaïbia peint avec un naturel désarmant. Avec des couleurs vives
et des gestes spontanés, son art échappe à toute catégorisation.
On trouve dans les toiles de Chaïbia ce plaisir à la répétition
tellement caractéristique de l’enfance. Les personnages, qui
restent son sujet de prédilection, prennent possession de toute la
surface de la toile. Deux éléments reviennent avec une constance
inébranlable : le visage et les mains.
Les œuvres de Chaïbia ont été exposées aux côtés de celles
de Pablo Picasso, Pierre Alechinsky, Jean Hélion, Hans Arp ou
Ledouanier Rousseau. Son œuvre, reconnue dans le monde
entier, fait notamment partie des collections publiques françaises
telles que le fond national d’art contemporain ou l’Institut du
Monde Arabe.
Elle reçoit en 2003 à Paris la médaille d’or de la société académique
française d’éducation et d’encouragement Arts Sciences Lettres.
41. CHAIBIA TALLAL, 1929 – 2004
SANS TITRE
Gouache sur papier
65 x 50 cm
120 000 / 140 000 dhs
49
50
SANS TITRE
Huile sur toile
65 x 50 cm
Signée en bas au centre, certifiée par Hossein Tallal en 2012
160 000 / 200 000 dhs
SANS TITRE
Gouache sur papier
65 x 50 cm
120 000 / 140 000 dhs
FATEMA HASSAN EL FAROUJ
Fatima Hassan El Farrouj est une artiste peintre autodidacte incontournable de la scène artistique marocaine.
Mariée à l’artiste Hassan El Farouj, Fatima Hassan se passione
pour la peinture et explore cette nouvelle voie après avoir réalisé
de la broderie, de la couture et des tatouages au henné.
Les signes ainsi que les personnages et animaux caractérisent sa
peinture. Fatima Hassan peint des lignes courbes et des motifs géométiques inspirés des objets populaires, des bijoux ou broderies.
Les couleurs vives caractéristiques de sa peinture, appliquées en
aplats, dégagent une sensation de fête, théme favori de ses toiles.
2003
95-94
1990
1983
1982
1981
1980
Galerie Tamuziga-Art, Rabat
Galerie Le Savouroux, Casablanca
Rade Museum, Hambourg, Allemagne
76-79
1974
1972
1970
1969
Centre de l’Alliance française, Rabat
Conservatoire de musique, Meknès
Exposition avec son conjoint, Tunis, Tunisie
Centre Culturel Français, Rabat
Institut Goëthe, Casablanca
Salle des Fêtes, Oujda
2004
2002
1995
1994
1987
51
1985
1981
« Terres, Mémoires, Nostalgies », Palais des Arts, Lisbonne,
Portugal
Ateliers portes ouvertes, Rabat
« Peintures au féminin pluriel », Riad Salam, Casablanca
« La femme arabe », Orlando, Etats-Unis
Moussem culturel, Asilah
« 19 peintres marocains », Florence Arts Gallery, Dallas,
Etats-Unis
« 19 peintres du Maroc », Grenoble et Paris, France
« Peintres naïfs marocains », musée Batha, Fès
« Art Sacré », Paris, France
1980
79-76
1975
1969
1967
1966
1965
« 8 peintres du Monde Arabe », Asilah
Musée Africain, Hambourg, Allemagne
Exposition itinérante à Bonn, Passau, Düsseldorf et
Berlin, Allemagne
Salon du Printemps, Marrakech
Festival panafricain, Alger, Algérie
Exposition Internationale, Montréal, Canada
Institut Goëthe, Casablanca
Exposition Internationale, Montréal
Salon des Artistes Indépendants, Casablanca
52
43. FATEMA HASSAN EL FARROUJ, 1945 – 2011
SANS TITRE, 1969
Huile sur toile
94 x 135 cm
130 000 / 150 000 dhs
MOULAY AHMED DRISSI
Né en 1924 à Marrakech, Moulay Ahmed Drissi est ouvrier agricole
jusqu’à l’âge de 19 ans puis jardinier à Marrakech. Il s’intéresse à la
peinture et à la sculpture en autodidacte.
Après plusieurs cheminements, il choisit la peinture à l’huile pour
transmettre à travers sa pratique picturale une réalité proche du
fantomatique.
Sa rencontre en 1945 avec des peintres suisses va marquer le
début de sa carrière. Il fait de nombreux voyages à l’étranger
(Suède, Italie) et un long séjour à Paris. Sa première exposition
personnelle a lieu en 1952 à Lausanne. Il revient au Maroc en
1956. En 1957, il expose avec d’autres peintres : Maurice Arama,
Mohamed Ben Allal, Saâd Ben Cheffaj, Hassan El Glaoui, Elmoznino
Hazdaï… à la 2ème Biennale d’Alexandrie.
Il est mort en 1973 à Rabat.
Plusieurs de ses œuvres figurent dans des collections particulières
et musées d’Europe ; à Venise, Paris, Stockholm, Bernheim, Helsinki
et à Lausanne.
1985
1973
1971
1970
« Peintres Naifs Marocains » Musée du Batha, Fès
« 19 peintres du Maroc » Grenoble, France
« 19 peintres du Maroc » Paris, France
Exposition à la galerie La découverte, Rabat
Exposition à la galerie La découverte, Rabat
Hall du Ministère d’Etat chargé des Affaires Culturelles, Rabat
1954
1953
1952
1950
1948
1947
Expositions à Paris, en Italie, Allemagne
Galerie La Mamounia, Rabat
Exposition à Paris, France Norvège et Danemark.
Hotel de Ville de Marrakech
Exposition à Lausanne
Première exposition au Salon d’Hiver de Marrakech
53
54
44. MOULAY AHMED DRISSI, 1924 – 1973
45. MOULAY AHMED DRISSI, 1924 – 1973
SANS TITRE
Huile sur panneau
50 x 65 cm
Cette œuvre est répertoriée à la page 20 de l’ouvrage Regards immortels publié en 1995
par la Société Générale Marocaine de Banques, Editions Nuevo Media
SANS TITRE
Huile sur panneau
46,5 x 50 cm
Cette œuvre est répertoriée à la page 94 de l’ouvrage Regards immortels publié en 1995
par la Société Générale Marocaine de Banques, Editions Nuevo Media
350 000 / 400 000 dhs
350 000 / 400 000 dhs
REGRAGUIA BENHILA
Artiste autodidacte, elle est née à Essaouira en 1940. Et ce
n’est que tardivement, en 1988 qu’elle a commencé à produire
ses premières esquisses si caractéristiques par leur univers
labyrinthique et tourmenté aux thématiques extravagantes et
aux couleurs chatoyantes où s’expriment son imaginaire, sa
féminité et sa forte personnalité. Elle la première femme peintre
d’Essaouira. Ses œuvres ont été présentées pour la première fois,
à la galerie Frederic Damgaard le 3 mars 1989, à l’occasion de la
fête du Trône. Elle a ensuite exposé place de l’horloge et à Beit
Allatif face aux batteries de la Scala de la mer. Par la suite, elle s’est
liée d’amitié à l’écrivain Fatima Mernissi et à un groupe de femmes
Allemandes qui exposèrent ses œuvres à Cologne, francfort et
MOHAMED LAGZOULI
ailleurs. C’est une figure emblématique des femmes d’Essaouira,
Regraguia Benhila était une authentique artiste peintre, mais pas
seulement peintre dans le sens de l’utilisation des couleurs ou
des formes; peintre dans le sens de la perception à travers l’autre
langage de la saisie visuelle et spirituelle de la nature, du sort de
l’être humain et des histoires qu’il porte ou fait exprimer.., c’est à
dire qu’elle n’était pas une « analphabète ou une ignorante qui
peint », mais une autre intellectuelle qui fait exprimer le monde à
sa manière, comme elle faisait exprimer le patrimoine culturel, ou
l’échange interculturel, ou la joie de l’art, ou la fraternité et l’amour
universel..;
Né en 1937 à Salé, Mohamed Lagzouli, très tôt orphelin, a occupé
différents métiers : jardinier, coiffeur, cafetier puis brocanteur. Il
doit son premier contact avec la peinture à Jacqueline Brodskis. En
compagnie de Miloud Labied et de Hassan El Farrouj, tous deux de
Salé, il rejoint en 1957 l’atelier du Ministère de la Jeunesse et des
Sports qu’elle animait à Rabat. Jacqueline Brodskis l’encourage
vivement à continuer la peinture.
Lagzouli est une personnalité originale hors de toute influence;
une peinture fantasmagorique, grouillante de personnages et
d’animaux, à mi-chemin de l’imaginaire et du réel. Avec un sens
de l’observation empreint de poésie, il montre le monde de la
55
médina, des souks et des artisans. Il joue avec des formes et des
couleurs venues de la tradition de son milieu. L’artiste évoque les
us et les coutumes, les fêtes et les cafés de Salé ou les touristes
défilant dans les ruelles de la ville. Ses scènes de la vie quotidienne
témoignent d’un art consommé de la composition et d’une palette
subtile et très maîtrisée.
Il participe à de nombreuses expositions individuelles et collectives
depuis 1960. Plusieurs oeuvres de ce peintre figurent au musée de
l’Art brut de Lausanne.
Il vit et travaille à Salé
56
46. REGRAGUIA BENHILA, 1940 – 2009
47. MOHAMED LAGZOULI Né en 1937
SANS TITRE, 2007
Gouache sur papier
50 x 70 cm
SANS TITRE, 1978
Gouache sur carton
50 x 65 cm
Signée et datée en bas au centre
40 000 / 50 000 dhs
30 000 / 40 000 dhs
FATNA GBOURI
Originaire de Tnine Gharbia, dans la province de Safi, elle a passé
la majeure partie de sa vie à travailler dans les champs et à tisser
des tapis. Issue d’un milieu paysan modeste, elle n’a jamais été à
l’école et encore moins dans une école de peinture.
Ce n’est qu’à l’âge de 59 ans, deux ans après la mort de son dernier
mari, qu’elle commence à peindre, encouragée par son fils Ahmed
Mjidaoui, lui-même professeur d’arts plastiques et artiste peintre.
« Après le décès de mon père, elle était triste et solitaire». L’artiste
Fatna Gbouri s’est éteinte le 2 février 2012, née à Tnine Gharbia
en 1924, elle est l’une des grandes figures de l’art naïf marocain.
57
58
48. FATNA GBOURI, 1924 – 2012
49. FATNA GBOURI, 1924 – 2012
SANS TITRE
Gouache sur carton
65 x 50 cm
SANS TITRE
Gouache sur carton
65 x 50 cm
35 000 / 45 000 dhs
35 000 / 45 000 dhs
MOHAMED NACIRI
Peintre autodidacte, né en 1943, il se met à la peinture après avoir
observé le peintre naïf Moulay Ali à Rabat. Il se donne pleinement
LAHCEN EZZEKRI
à la peinture à partir de 1963, dessinant avec ferveur les paysages
de son village natal
1985
1984
1982
1981
1979
1978
1977
« Peintre Naïf Marocain », Musée Batha, Fès
« Quelques peintre naïfs marocains », Musée des
Oudayas, Rabat
Galerie Bab Touah, Rabat
Exposition à Hambourg, Allemagne
Hôtel de ville de Marrakech
Galerie Duncan, Paris, France
« Vingt d’an d’art marocain » salle municipale des fêtes, Rabat
1973
1971
1969
1964
« Peintre Naïf » Galerie Sveagallariet, Stockholm, Suède
« Peintre Marocains » Manheim, Allemagne
Salon de printemps, Marrakech
Festival Panafricain, Alger, Algérie
Salon des indépendants, Casablanca
Exposition internationale itinérante « Peintre Naïfs »
1977
1975
1968
Alliance Française, Rabat
Centre culturel français, Rabat
Institut Goethe, Casablanca
1965
Né en 1939 à Rabat, fonctionnaire à l’Office National des Chemins
de Fer, Ezzekri côtoyait un groupe de peintre. Cette fréquentation
et une passion naissante pour la peinture l’emportèrent bientôt
sur les contraintes professionnelles. Il quitta son emploi, e,
trouve un autre à la Chambre de Commerce et commença à
peindre. Il exposa rarement ses œuvres, mais participa à quelques
manifestations collectives à Rabat et à Meknès. Ezzekri apparait
comme le plus rebelle des peintres naïfs : Insatisfait de sa peinture
et de sa carrière, il renonce à l’une et à l’autre pour vivoter dans
la misère. Ezzekri s’est à nouveau adonné à la peinture après
vingt ans d’interruption. Il s’est depuis distingué lors d’expositions
collectives et se consacre aujourd’hui entièrement à son art.
1985
1984
« Peintre Naïfs marocains » Musée du Batha, Fès
Quelques peintres naïfs marocains » Musées des Oudayas, Rabat
1984
1979
1978
Galerie Delacroix, Tanger
Alliance française, Rabat
59
60
50. MOHAMED NACIRI, né en 1943
51. LAHCEN EZZEKRI, né en 1939
SANS TITRE, 1975
Huile sur panneau
61 x 81 cm
SANS TITRE
Gouache sur carton
50 x 65 cm
40 000 / 50 000 dhs
30 000 / 40 000 dhs
SAID AIT YOUSSEF
Né en 1920 dans la vallée des Aït Bougmez, dans le Haut Atlas,
Aït Youssef est berger jusqu’à l’âge de 18 ans puis militaire dans
l’armée française. En 1947, il est envoyé en Indochine où il est
fait prisonnier. Il rentre au Maroc en 1951 et travaille comme
portier dans un hôpital à Marrakech. Il commence à peindre en
autodidacte; Farid Belkahia et Jacques Azéma qui le découvrent le
font participer à une exposition collective. Sa première exposition
personnelle a lieu en 1959 à Marrakech.
Aït Youssef reproduit sur ses toiles des souvenirs d’enfance,
des paysages qui l’ont marqué, des scènes populaires (fêtes,
mariages, fantasias) dans des couleurs claires. Sa vallée d’origine
lui fournit la matière de son inspiration. Ses toiles reproduisent une
atmosphère champêtre paisible et simple, empreinte de nostalgie
Il fait partie de la collection du musée d’art brut, Fondation Jean
Dubuffet, à Paris et du musée de Laval en France. Il est mort en
1986 à Agadir.
1985
1984
1977
Musée du BAtha, Fès
Hotels des Almohades, Tanger
Musée des Oudayas, Rabat
Hotel Sahara, Agadir
Alliance française, Rabat
1975
1973
Hotel Atlas, Agadir
61
62
53. SAID AIT YOUSSEF, 1920 - 1986
SANS TITRE, 1979
Huile sur panneau
72 x 90 cm
60 000 / 70 000 dhs
52. SAID AIT YOUSSEF, 1920 - 1986
SANS TITRE, 1973
Gouache sur carton
47 x 60 cm
18 000 / 22 000 dhs
RAHMA LAAROUSSI
Rahma Laroussi est née en 1944 à Ksar El Kébir. Sa première
exposition individuelle date de 1992 dans sa ville natale.
C’est depuis l’enfance et à l’abri des regards que, Rahma Laroussi
s’est découvert une passion pour la peinture. Artiste autodidacte,
Laroussi, peint avec bonheur des scènes de son quotidien. Elle
met en valeur son environnement, la nature.
Le tachisme, qui court sur l’ensemble de ses œuvres en fait une
artiste d’une modernité étonnante. Et pourtant rien n’a préparé
Rahma Laroussi à cette expression picturale. Avec des couleurs
éclatantes et des compositions remarquables, elle nous présente
son univers. Et c’est ainsi qu’en fixant les images de sa vie, Rahma
Laroussi partage avec nous l’existence des gens simple de la
campagne.
Rahma Laroussi a exposé à la galerie Nadar en 1994, 1997, en
2009 et en Décembre 2013 elle participe à l’exposition collective
de la galerie Nadar, « le papier à l’honneur».
2014
2009
63
64
54. RAHMA LAAROUSSI, né en 1944
55. RAHMA LAAROUSSI, né en 1944
SANS TITRE
Gouache sur carton
65 x 50 cm
SANS TITRE
Gouache sur carton
100 x 65 cm
15 000 / 18 000 dhs
20 000 / 25 000 dhs
FATHIYA TAHIRI
Fathiya Tahiri est née en 1959 à Rabat. Issue d’une vielle famille
de Fès, elle passe son enfance entre Rabat et Casablanca.
Ses premiers travaux artistiques datent de sa petite enfance,
elle sculpte des formes avec tout ce qu’elle trouve : bougies,
argile,terre, tissus…Elle a 15 ans lorsqu’elle réalise ses premiers
dessins. Sa vocation d’architecte se dessine alors et à l’âge de
18 ans, elle part en France où elle continue ses études à l’Ecole
Spéciale d’Architecture de Paris. Ces années passées dans la villelumière font mûrir ses travaux d’art.
En 1986, elle ouvre son cabinet d’architectes à Rabat et mène de
grands projets dans plusieurs villes du Maroc. Parallèlement, elle
crée des meubles d’art qu’elle expose au Théâtre Mohamed V à
Rabat et à Casablanca.
En 2002, Fathiya Tahiri est invitée à exposer ses «SCULPTURES
PER IL CORPO» dans le «Salon Napoléonien» du Musée Correr de
Venise. L’exposition, d’une très grande richesse, est placée sous le
haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
C’est la consécration. Les expositions s’enchaînent que ce
soit à l’Open Arte & Cinema «Film Festival» de Venise en 2003,
à la Mostra de Venise en 2004 où elle expose une sculpture
monumentale très remarquée, ou encore à la Biennale de Venise
en 2005 puis en 2009 et au Musée d’Art de Shanghaï en 2011, au
National Museum of China en 2013 et en exposition collective à
l’Institut du Monde Arabe en 2014.
2014
2013
Exposition à la Galerie 38, Casablanca
Institut du Monde Arabe
Solo Exposition au National Art Museum Of China,
Beijing, Chine
2012
2011
2009
“Decade” Retrospective Galerie 38, Casablanca
Solo Exposition au Shangai Art Musuem, Shangai, Chine
53ème Biennale de Venise, Italie
56. MOSTAFA ASSADEDDINE, né en 1957
65
SANS TITRE
46 x 60 cm
Signée en bas au centre
66
8 000 / 10 000 dhs
57. ALI MAIMOUN, né en 1956
SANS TITRE, 2005
Technique mixte sur bois
51 x 70 cm
6 000 / 8 000 dhs
58. FATHIYA TAHIRI, née en 1959
SANS TITRE, 2014
Huile sur toile
100 x 100 cm
80 000 / 100 000 dhs
59. ABDELKRIM EL AZHAR, né en 1954
SANS TITRE, 2013
Technique mixte sur panneau
122 x 150 cm
30 000 / 35 000 dhs
61. TIBARI KANTOUR, né en 1954
SANS TITRE, 2008
140 x 160 cm
67
50 000 / 60 000 dhs
60. KARIM BENNANI, né en 1938
62. ABDALLAH SADOUK, né en 1950
SANS TITRE, 1982
Relief en bois peint
100 x 100 cm
Signée et datée en bas à droite, certificat de l’artiste au dos
SANS TITRE, 1993
72 x 92 cm
100 000 / 120 000 dhs
45 000 / 55 000 dhs
68
ABDELBASSIT BEN DAHMAN
Abdelbassit Ben Dahman est né en 1952 à Tanger. D’aussi
loin qu’il se souvient, il a toujours été fasciné par le dessin.
Enfant, il reproduisait les tableaux de Rembrandt, Lautrec
et Monet. Impressionné par son talent, un professeur de
peinture l’encourage à s’inscrire à l’École des arts appliqués de
Casablanca. Le peintre y passe trois ans. Il intègre ensuite le
Centre pédagogique régional de Rabat, avant d’être affecté dans
un lycée à Tanger où il enseigne les arts plastique depuis 1973. Sa
première exposition personnelle date de 1972.
2012
2010
2008
2007
2005
2003
2002
2001
Décoration de l’Hôtel Villa de France, Tanger
Galerie Antes, Séville, Espagne
Galerie Sargadelos, Séville, Espagne
Galerie Mediart, Paris, France
2000
1994
1988
1988
1987
1973
1972
Compagnie des Arts, Paris, France
Hôtel Menzah, Tanger
Galerie Moulay Ismail, Rabat
Galerie Dawliz, Casablanca
Galerie Moulay Ismail, Rabat
Galerie La Découverte, Rabat
69
70
63. ABDELBASSIT BEN DAHMAN, né en 1952
64. ABDELBASSIT BEN DAHMAN, né en 1952
SANS TITRE, 1989
73 x 55 cm
SANS TITRE
76 x 56 cm
20 000 / 25 000 dhs
20 000 / 25 000 dhs
65. ABDESLAM KARMADI, né en 1965
SANS TITRE, 2014
Huile sur toile
100 x 100 cm
25 000 / 30 000 dhs
67. AZIZ SAHABA, né en 1965
71
72
SANS TITRE, 2012
Collage et peinture sur panneau
80 x 60 cm
Signée en bas à gauche et datée en bas à droite
7 000 / 9 000 dhs
66. HOSSEIN TALLAL, né en 1942
SANS TITRE, 1967
Encre de chine sur papier
31 x 21 cm
Signée et datée en bas au centre et signée à droite
17 000 / 20 000 dhs
68. LAMIA MIRIAM SKIREDJ, née en 1968
SANS TITRE, SERIE « ALIGNEMENT ET ALIENATION », 2012
103 x 73 cm
17 000 / 20 000 dhs
70. ABDELKRIM TAJIOUTI, né en 1970
73
74
SANS TITRE, 12/11/2000
Technique mixte sur papier marouflée sur toile
73 x 57,5 cm
Signée en bas à droite, datée en bas à gauche
18 000 / 20 000 dhs
69. NABIL BAYAHYA, né en 1968
SANS TITRE, 2014
Collage et acrylique sur toile marouflée sur panneau
122 x 122 cm
18 000 / 22 000 dhs
71. ABDELKRIM TAJIOUTI, né en 1970
SANS TITRE, 10/11/2000
Technique mixte sur papier marouflée sur toile
73 x 55 cm
Datée en bas à droite
18 000 / 20 000 dhs
75
76
72. CHRISTIAN PENICHOU, né en 1961
73. MOHAMED LABIED, né en 1959
SANS TITRE, 2013
200 x 200 cm
SANS TITRE, 2015
70 x 50 cm
Signée en bas à droite et au dos
25 000 / 30 000 dhs
6 000 / 8 000 dhs
VENTE CARITATIVE AU PROFIT DE LA FONDATION ALI ZAOUA
Créée en février 2009, la Fondation Ali Zaoua est née d’un
constat, celui d’un besoin de reconnexion entre les habitants du
quartier de Sidi Moumen, et le reste de la ville de Casablanca.
Convaincu que cette reconnexion passera par un lien culturel et
artistique, Nabil Ayouch et Mahi Binebine, ont créé la Fondation
dans le but d’initier un véritable projet qui prenne racine à Sidi
Moumen et qui permette aux jeunes du quartier de bénéficier d’un
espace d’expressions, d’une part, et inviter les Casablancais à se
réconcilier avec cette partie de leur ville, d’autre part.
C’est dans cette optique que la Fondation Ali Zaoua a décidé
d’agir en ouvrant le Centre Culturel « Les Étoiles » à Sidi Moumen.
Lieu d’initiation et de formation aux métiers des arts et de la scène,
ce centre culturel est également un espace d’apprentissage des
langues étrangères, et de diffusion artistique - où les talents du
quartier ont la possibilité de se produire dans un cadre professionnel.
Afin de contribuer à l’ouverture et au désenclavement du quartier
de Sidi Moumen du reste de la métropole, le Centre culturel Les
Étoiles accueille aussi régulièrement des artistes marocains
et internationaux pour des représentations, des rencontres
ou des projections en faveur des habitants du quartier et des
Casablancais en général.
LES FONDATEURS
77
Nabil Ayouch, Président.
A l’origine de la création de la Fondation Ali Zaoua en 2009, le
réalisateur et producteur marocain a toujours eu pour ambition
de réaliser un projet de formation dans le domaine culturel au
cœur du quartier de Sidi Moumen. Après deux ans sur le tournage
de « Les chevaux de Dieu », adaptation au cinéma du roman «
Les Etoiles de Sidi Moumen », le réalisateur constate qu’en dépit
de la mutation que vit le quartier de Sidi Moumen, il y a encore
beaucoup de jeunes désœuvrés. Ceux-ci ont du talent, mais ne
savent pas où l’exprimer et n’ont pas les moyens de l’exposer.
Avec Mahi Binebine, il décide alors de faire de ce rêve - né d’une
fiction - une réalité et de monter un centre culturel en plein cœur
de Sidi Moumen avec le soutien des autorités et des associations
du quartier.
Mahi Binebine, Co-président.
Co-fondateur du projet, l’artiste peintre et auteur découvre
le quartier de Sidi Moumen en 2004, un an après les attentats.
Un quartier qu’il décrit alors comme « un autre pays ». Ce pays,
où des jeunes jouent au football sur une décharge l’aura inspiré
pour écrire le roman à succès « Les Etoile de Sidi Moumen »,
mais surtout pour contribuer à changer quelque chose dans ce
Maroc qui vie loin du regard des autres. Aujourd’hui ambassadeur
de la jeunesse de Sidi Moumen, il met à contribution nombre de
ces amis, proches et connaissances pour contribuer à redonner
aux jeunes de ce quartier une raison de ne plus jamais se laisser
endoctriner.
78
MAHI BINEBINE
Né en 1959 à Marrakech, Mahi Binebine s’y est installé
définitivement en 2002 après avoir longtemps vécu et travaillé à
Paris, New York et Madrid. Le parcours de cet artiste est atypique
: professeur de mathématiques à Paris, il quitte l’enseignement à
la fin des années 80 pour se consacrer à l’écriture et à la peinture
et, depuis peu, à la sculpture. Plusieurs de ses romans traduits en
une dizaine de langues l’ont confirmé comme l’un des écrivains
marocains les plus talentueux.
Peintre de renom, Mahi Binebine expose notamment en France, à
New York, en Allemagne ou aux Etats-Unis et participe à des foires
internationales et des biennales comme celle de Venise en 2009
ou Dak’Art en 2014.
Son oeuvre remarquée des importants critiques d’art et grands
collectionneurs fait partie de nombreuses collections publiques et
privées dont celle du Musée Guggenheim de New York, le Musée
de Bank Al Maghrib, la Fondation Kinda, le Musée de Marrakech, la
Fondation Kamal Lazaar, la Société Générale, Attijariwafa Bank, le
Crédit Agricole du Maroc, le CIH Maroc, la BMCE Bank, la Caisse de
Dépôt et de Gestion....
COLLECTIONS
Guggenheim Museum, New York, Etats’unis
Musée de Marrakech
Musée de Bank Al Maghrib
Fondation Kinda
Fondation Kamal Lazaar
Société Générale
Attijariwafa Bank
Crédit Agricole du Maroc
CIH Maroc
BMCE Bank
Caisse de Dépôt et de Gestion
2014
2013
2011
79
2010
2009
2008
2007
2006
2005
2004
Musée de la Palmeraie de Marrakech
Mahi Binebine : 20 ans de peinture, La Galerie 38 avec
B&D ART, Casablanca
Galerie Caprice Horn, Allemagne
Galerie Loft (exposition à 6 mains avec Mourabiti et
Yamou),Casablanca
Galerie Atelier 21, Casablanca
AAART Foundation, Kitzbühel, Autriche
Galerie CMOOA, Rabat
Galerie L’atelier 21, Casablanca
Galerie 75 Faubourg (Enrico Navarra), Paris, France
Galerie Loft, Paris, France
Galerie Bailly, Paris, France
Galerie Nationale BabRouah, Rabat
Galerie Noir sur blanc, Marrakech
Palais des Congrés, Grasse, France
Le Lazaret Olandini, Ajaccio, Corse, France
Kasbah Agafay, Marrakech
Galerie les Atlassides, Marrakech
Museé Archeolologique de Silves, Portugal
Eglise de la Miséricorde, Silves, Portugal
Arte Invest Rome, Italie
Festival Arte Mare Bastia, Corse, France
BellasArtes, Madrid, Espagne
Galerie Atalante, Madrid, Espagne
Galerie Brigitte Schenk, Cologne, Allemagne
Actua, Casablanca (avec Yamou)
2003
2002
2001
2000
1999
1998
1997
1989
1988
1987
Galerie Bab El Kebir, Rabat
Galerie AAM, Rome, Italie
Studio Bocchi, Rome, Italie
Fundacione Maturen, Tarazona, Espagne
Galerie Baskoa, Barcelonne, Espagne
Galerie Dahiez & Associés, Zurich, Suisse
Galerie Brigitte Schenk, Allemagne
Musée de Marrakech
Société Générale, Casablanca
Institut Cervantes, Tanger
Ministère de la Culture Abu Dhabi, E.A.U
Tinglado 4 Moll de Costa, Taragone, Espagne
Palais des Congrés, Grasse, France
Espace Paul Ricard, Paris, France
Galerie El Manar, Casablanca
Galerie Stendhal, New York, Etats-Unis
Galerie du Fleuve, Paris, France
Galerie Brigitte Schenk, Cologne, Allemagne
Galerie Ott, Dusseldorf, Allemagne
Museum of Contemporary Art (MOCA, Washington D.C.),
Etats-Unis
Galerie Stendhal, New York, Etats-Unis
Contemporary French Art Gallery, New York, Etats-Unis
Galerie la Découverte, Rabat
Galerie de L’ONMT, Paris, France
I. MAHI BINEBINE, né en 1959
SANS TITRE, 2010
Technique mixte sur paneaux
180 x 250 cm
ESTIMATION 650 000 / 700 000 dhs
PRIX DE DÉPART 320 000 dhs
80
NABIL AYOUCH
Nabil Ayouch est né en 1969 à Paris. Il travaille entre Casablanca
et Paris. En 1997, Nabil Ayouch réalise son premier long métrage,
« Mektoub », qui comme « Ali Zaoua » (2000) a représenté le Maroc
aux Oscars, puis viennent « Une minute de Soleil en moins » (2003)
et « Whatever Lola Wants » (2008), produit par Pathé. Son premier
court-métrage en 1992, « Les Pierres bleues du Désert » révèle Jamel
Debouzze. En 2009, il conçoit et met en scène le spectacle de clôture
du Forum Economique Mondial de Davos, après avoir mis en scène
plusieurs spectacles vivants tel que l’ouverture du Temps du Maroc
en France au Château de Versailles en 1999. Nabil Ayouch termine
en 2012 « Les Chevaux de Dieu », adaptation au cinéma du roman
de Mahi Binebine « Les étoiles de Sidi Moumen », qui s’inspire des
attentats du 16 mai 2003 à Casablanca.
Sélection officielle au festival de Cannes (Prix François Chalais),
le film représente le Maroc aux Golden Globes et aux Oscars et
remporte 26 prix à l’international.C’est en 2014, qu’il ouvre avec
Mahi Binebine, à travers la Fondation Ali Zaoua – qu’il préside – le
Centre Culturel destiné aux jeunes dans le quartier périphérique
de Sidi Moumen, dont sont issus les kamikazes du 16 mai 2003. A
ce jour, près de 400 enfants et adolescents sont inscris au Centre
« Les étoiles de Sidi Moumen » et viennent y apprendre toutes les
formes d’expression artistique.
En novembre 2014, le musée du Louvre rend hommage à Nabil
Ayouch en lui offrant une carte blanche de 3 jours pendant laquelle
une grande partie de son travail a été montrée au public parisien.
2015
2014
« A la marge », La Galerie 38, Casablanca
Carte blanche à Nabil Ayouch au musée du Louvre (Paris).
II. MAHI BINEBINE, né en 1959
SANS TITRE
Sculpture en bronze
10 x 18 x 53 cm
Signée sur le socle, EA 1/3
82
83
III. MAHI BINEBINE, né en 1959
SANS TITRE
Sculpture en bronze
10 x 18 x 47 cm
Signée sur le socle, EA 1/3
IV. NABIL AYOUCH, né en 1969
L’EFFROI DE L’ARAIGNEE, 2013
Tirage numérique sur papier Fine Art contrecollé sur alucobond
100 x 150 cm
Edition 1/5
84
85
V. NABIL AYOUCH, né en 1969
LA RAISON DE LA COLERE, 2013
Tirage numérique sur papier Fine Art contrecollé sur alucobond
100 x 150 cm
Edition 1/5
VI. ABDERRAHIM YAMOU, né en 1959,
MOHAMED MOURABITI, né en 1968
SANS TITRE, 2011
Huile sur toile
146 x 114 cm
VII. LAMIA MIRIAM SKIREDJ, née en 1968
SANS TITRE
COLLAGE ET PAPIER DE SOIE, TECHNIQUE MIXTE SUR TOILE
150 X 130 CM
SIGNÉE EN BAS À DROITE
86
87
IX. FAISAL SAMRA, né en 1956
SHANTY (ROLEX), 2012
Dyptique, Photographie numérique, tirage lambda, plexiglas monté sur aluminium
100 x 300 cm
VIII. ADAM SABHAN, né en 1973
SANS TITRE, 2009
Huile sur toile
106 x 112 cm
Signée et datée en haut à gauche, contresignée et datée au dos
Index des artistes:
Conditions de ventes
AIT YOUSSEF SAID : p. 56 - 57
HASSAN EL FARROUJ FATEMA : p. 46 - 47
ASSADEDDINE MOSTAPHA : p. 60
KACIMI MOHAMED : p. 21
AYOUCH NABIL : p. 75 - 76
KANTOUR TIBARI : p. 63
BAYAHYA NABIL : p. 67
KARMADI ABDESLAM : p. 66
BELKAHIA FARID : p. 26 - 27
LAAROUSSI RAHMA : p. 58 - 59
BELLAMINE FOUAD : p. 18 - 19
LABIED MILOUD : p. 28 - 29
BEN DAHMANE ABDELBASSIT : p. 64 - 65
LABIED MOHAMED : p. 69
BENHILA REGRAGUIA : p. 50
LAGZOULI MOHAMED : p. 51
BENNANI KARIM : p. 62
MAHI BINEBINE : p. 72 - 73 - 74
BENNANI MOA : p. 20
MAIMOUN ALI : p. 60
BENT EL HOUCINE RADIA : p. 42 - 43
MELEHI MOHAMED : p. 30 - 32
BOURAGBA OMAR : p. 14
MOURABITI MOHAMED : p. 77
BOURBIAN BADR : p. 15
NACIRI MOHAMED : p. 54
BOURKIA HASSAN : p. 12 - 13
OUALIT DOUNIA : p. 8
BRAVO CLAUDIO : p. 34 - 35
PENICHOU CHRISTIAN : p. 69
CHARRAT MOUNAT : p. 5
RABI ABDELKEBIR : p. 16 - 17
CHERKAOUI AHMED : p. 25
SABHAN ADAM : p. 79
CHERKAOUI LARBI : p. 14
SADOUK ABDELLAH : p. 63
DAIFALLAH NOURREDINE : p. 6
SAHABA AZIZ : p. 67
DOUIEB YOUSSEF : p. 9
SALADI ABBÈS : p. 40 - 41
DRISSI MOULAY AHMED : p. 48 - 49
SAMRA FAISAL : p. 80
EL AZHAR ABDELKARIM : p. 62
SASMAYOUX FRANCOIS : p. 33
EL GLAOUI HASSAN : p. 36 - 37 - 38 - 39
SKIREDJ LAMIA MIRIAM : p. 67 - 79
EL HAYANI BOUCHTA : p. 20
TAHIRI FATHIYA : p. 61
ERRUAS SAFAA : p. 8
TAJIOUTI ABDELKRIM : p. 68
EZZEKRI LAHCEN : p. 55
TALLAL CHAIBIA : p. 44 - 45
FATMI MOUNIR : p. 10 - 11
TALLAL HOSSEIN : p. 66
GBOURI FATNA : p. 52 - 53
YAMOU ABDERRAHIM : p. 9 - 77
GHARBAOUI JILALI : p. 22 - 23 - 24
ZEMMOURI FATIHA : p. 6 - 7
HAMIDI MOHAMED : p. 32
ENREGISTREMENT :
Les personnes souhaitant enchérir sont priées de s’enregistrer
avant la vente auprès de « La Marocaine des Arts ». Elles
recevront un numéro destiné à les identifier.
ORDRE D’ACHAT ET ENCHÈRES PAR TÉLÉPHONE :
Tout intéressé souhaitant faire une offre d’achat par écrit ou
enchérir par téléphone devra remplir le formulaire se trouvant à
la fin du catalogue de vente.
Ce formulaire devra parvenir à « La Marocaine des Arts » au plus
tard dans les deux jours précédant la vente, accompagné des
coordonnées bancaires de l’enchérisseur. Il est à noter qu’en cas
de pluralité d’offres d’un même montant et portant sur un même
objet, la priorité sera donnée au premier offrant.
Les enchères par téléphone sont un service gracieux offert aux
clients qui ne peuvent se déplacer. « La Marocaine des Arts »
ne pourra être tenue responsable de tout problème lié à l’ordre
d’achat ou à la liaison téléphonique.
EXPOSITION DES OBJETS :
Une exposition publique préalable à la vente sera organisée et
permettra aux acquéreurs éventuels de se rendre compte de
l’état des biens mis en vente.
MODALITÉS DES ENCHÈRES :
La vente sera faite au comptant et conduite en dirhams.
La fourchette d’estimation portée à côté de chaque lot au
catalogue est indicative. Les prix y sont mentionnés hors taxes
et ne comprennent pas les frais à la charge de l’acheteur.
Les enchères suivent en principe l’ordre de progression inscrit
au catalogue. Le Commissaire-priseur sera libre de modifier cet
ordre, les enchérisseurs seront priés de s’y conformer.
Le commissaire-priseur aura toute discrétion pour séparer,
joindre ou retirer un ou plusieurs lots. Il se réserve également
le droit de refuser une offre d’enchère et/ou l’adjudication de
n’importe quel lot.
Le plus offrant et dernier enchérisseur sera l’adjudicataire. En
cas de litige entre deux enchérisseurs, le commissaire-priseur
est en droit d’annuler la vente et de remettre immédiatement
l’objet aux enchères.
EFFETS DE L’ADJUDICATION :
• Le paiement du prix et des charges par l’acheteur :
TOUT LOT ADJUGÉ DOIT FAIRE L’OBJET D’UN RÈGLEMENT
IMMÉDIAT ET AU COMPTANT SUR LE LIEU DE VENTE.
Les achats ne pourront être délivrés à l’acquéreur qu’après
l’encaissement définitif.
Pour les non résidents, les paiements en euros sont acceptés aux
taux de change en vigueur au moment de l’adjudication.
Les acquéreurs auront en sus des enchères, les frais suivants :
• 16 % + TVA soit 19,2 % TTC
• Le transfert des risques :
Dés l’adjudication, l’objet sera sous l’entière responsabilité de
l’adjudicataire. « La Marocaine des Arts » ne pourra en aucun
cas être tenue responsable de dommages que l’objet pourrait
encourir ultérieurement.
• Les garanties :
Les indications portées au catalogue engagent la responsabilité
du Commissaire-priseur, sous réserve des éventuelles
rectifications annoncées au moment de la présentation de
l’objet et portées au procès verbal de la vente.
L’exposition préalable organisée avant la vente a pour but de
permettre aux acquéreurs de se rendre compte de l’état des biens
mis en vente. De ce fait, il ne sera admis aucune réclamation sur
ces biens une fois l’adjudication prononcée.
• La loi applicable :
Le fait d’enchérir lors d’une vente aux enchères, en personne,
par téléphone ou par écrit constitue une offre ferme d’achat et
engage son émetteur conformément à la législation marocaine
en vigueur.
LE RETRAIT DES ACHATS :
Les acheteurs qui n’auront pas retiré leurs lots au jour de la
vente pourront le faire dans un délai de 15 jours sans frais
supplémentaires, sur présentation du bordereau acquitté et sur
rendez vous à l’adresse indiquée dans le catalogue.
Ce délai passé, des frais de stockage seront mis à la charge de
l’acheteur.
Au delà de huit semaines, « La Marocaine des Arts » se réserve
le droit soit de remettre en vente les lots payés non enlevés, soit
de les faire transférer en garde-meubles et cela aux frais, risques
et périls de l’acheteur.
Toutes les formalités, notamment celles liées à l’exportation et
au transport de l’objet seront à la charge exclusive de l’acheteur.
Conditions of sale
REGISTER TO BID :
People wishing to bid are requested to sign up before the sale
with «La Marocaine des Arts.» They will receive an identification
number.
PROXY BIDS AND TELEPHONE BIDS :
Any interested person wishing to make an offer in writing or bid
by phone must complete the form to be found at the end of the
auction catalog.
This form should be sent to «La Marocaine des Arts» at the latest
two days before the sale, together with bank details of the bidder.
It should be noted that in case of multiple bids for the same
amount relating to the same object, priority will be given to the
first bidder.
Telephone bidding is a free service offered to customers
who cannot travel. «La Marocaine des Arts» cannot be held
responsible for any problem related to the purchase order or
telephone connection.
EXHIBITION :
90
A public exhibition prior to the sale will be organized and will allow
potential buyers to be aware of the conditions of the property
offered for sale.
TERMS OF AUCTIONING :
The sale will be valid only if paid in full and conducted in Moroccan
Dirhams.
The guide price range shown next to each lot in the catalog is
for information only and shouldn’t be relied on as an indication
of reserve price, or representing professional valuations for any
purpose.. The prices are exclusive of taxes and do not include
extra costs payable by the buyer.
Bidding normally follows the order of progression listed in the
catalog. The Auctioneer will be free to change the order, and
bidders will be required to comply.
ANY LOT AUCTIONED SHALL BE SUBJECT TO AN IMMEDIATE
PAYMENT UP FRONT AT THE PLACE OF SALE.
Purchases may only be delivered to the buyer after the final
payment.
For non-residents, payments in euros are accepted at the
exchange rates applicable at the date of the auction.
Purchasers will be charged in addition to auctions, the following:
• 16% + VAT i.e. 19.2% tax incl
• Risk transfer:
Once the auction is carried, the item will be under the sole
responsibility of the purchaser. In no way will «La Marocaine des
Arts» be liable for any damages that the items may incur later.
• Warranties:
The indications in the catalog engage the responsibility of the
Auctioneer, subject to possible adjustments announced at the
time of the presentation of the item and noted in the minutes of
the sale.
The exhibition organized before the sale is intended to enable
purchasers to realize the state of the items on sale. Therefore,
no complaint on property will be allowed once the adjudication
hammer falls.
• Applicable law:
The fact of bidding at auction, in in the room, by phone or
in writing constitutes a firm offer to make a purchase, which
commits the issuer in accordance with the Moroccan law.
Vente aux enchères
Théâtre du Studio des Arts Vivants
Dimanche 17 mai 2015 à 17h30
Nom :
Prénom :
Adresse :
Téléphone :
Fax :
Email :
Références bancaires :
Nom de la banque :
Adresse de la banque :
Références bancaires obligatoires (Veuillez joindre un RIB) et renvoyer la page suivante dûment remplie.
Après avoir pris connaissance des conditions de vente décrites dans le catalogue, je déclare les accepter et vous prie d’acquérir pour
mon compte personnel aux limites indiqués en dirhams, les lots que j’ai désigné ci-dessous.
Lot numéro
Description du lot
*Limite en dirhams
Purchasers who have not withdrawn their prizes on the day of the
sale may do so within 15 days free of charge upon presentation
of the payment slip and by appointment at the address indicated
in the catalog.
After this period, storage costs will be at the expense of the
purchaser.
Beyond eight weeks, «La Marocaine des Arts» reserves the right
to either reopen paid unclaimed lots for sale, or have them
transferred into storage at the purchaser’s charge and risk.
The highest and last bidder will be the purchaser. In case of
dispute between two bidders, the auctioneer has the right to
cancel the sale and immediately return the item to auction.
All formal procedures, including those relating to export and
transport of the item will be the sole responsibility of the
purchaser.
• The payment and expenses by the purchaser:
Ordre Ferme
Demande d’appel téléphonique
THE WITHDRAWAL OF PURCHASES:
The auctioneer will have the discretion to split, combine or
withdraw one or more lots. He also reserves the right to reject a
bid auction and / or the adjudication of any lot.
EFFECTS OF THE INVITATION TO TENDER :
ORDRE D’ACHAT
* Les limites ne comprenant pas les frais légaux.
À envoyer à :
La Marocaine des Arts
Ain Diab - Casablanca
Tél : 06 61 05 12 95 - Fax : 05 22 94 03 54
Signature obligatoire :
Date :
CE FORMULAIRE DOIT ÊTRE REMPLI PAR TOUT ENCHÉRISSEUR AVANT LA VENTE
Numéro d’enregistrement :
Date de la vente : 17 mai 2015
Nom et Prénom :
Adresse :
Téléphone :
Email :
PIÈCES D’IDENTITÉ N° :
93
Banque :
Personne à contacter :
N° de compte :
Bic ou IBAN :
Téléphone :
Pour toute information, contacter le 06 61 05 12 95 ou [email protected]
Je confirme que je m’engage à enchérir en accord avec les conditions de vente imprimées dans le catalogue de cette vente.
Tout lot adjugé doit faire l’objet d’un règlement immédiat et au comptant sur le lieu de vente.
Le fait d’enchérir lors d’une vente aux enchères en personne, par téléphone ou par écrit constitue une offre ferme d’achat et
engage son émetteur conformément à la législation marocaine en vigueur.
Signature obligatoire :
Date :
94

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