LA GLOIRE DE MON PERE

LA GLOIRE DE MON PERE
Auteur : Marcel PAGNOL membre de l’académie Française,
écrivain, dramaturge, cinéaste, producteur de cinéma.
Né le 28 février 1895 à Aubagne et mort à Paris le 18 avril 1974.
Marcel Pagnol devient célèbre avec Marius, pièce de théâtre en
mars 1929.
En 2015, Eric Stoffel, Serge Scotto et Morgann Tanco supervisé
par Nicolas Pagnol (petit-fils du célèbre auteur) ont signé
l’adaptation du roman en BD aux éditions Grand Angle. La Gloire
de mon père paraîtra en novembre.
Adaptation au cinéma : en 1990 Yves Robert a
réalisé « La Gloire de mon père » et « Le Château
de ma mère », sur un scénario de Louis Nucera et
Jérôme Tonnerre.
Acteurs : Philippe Caubère, Nathalie Roussel, Julien
Ciamaca, Victorien Delamare, Didier Pain et
Thérèse Liotard. Les passages du texte du roman
original sont narrés par Jean-Pierre Darras
Le roman « la gloire de mon père »
est une série de quatre romans
autobiographiques de Marcel Pagnol.
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La Gloire de mon père 1957
Le Château de ma mère 1957
Le Temps des secrets 1960
Le temps des amours 1977
Dans son roman « La Gloire de mon père », Marcel Pagnol, revient sur son enfance dès sa
naissance à Aubagne. Son père Joseph, un instituteur laïc et républicain, exerce depuis 1889 à
Aubagne et par la suite est muté à Marseille. Sa mère Augustine, couturière, a une santé fragile.
En l’absence de sa mère Marcel accompagne son père à l’école, c’est là qu’il apprend à lire et à
écrire très tôt. Marcel se souvient aussi des ballades avec sa tante Rose, la sœur d’Augustine. Et
il fut le premier témoin de l’amour de sa tante et de son oncle Jules. Jules et Joseph que tout
oppose finissent par devenir très amis. Ils décident de louer une maison dans les collines. Les
deux familles passent leurs vacances d’été ensemble. Durant ces vacances Marcel tombe
amoureux des collines. Un jour que son père et son oncle décident d’aller à la chasse, le petit
Marcel les suit en cachette.
Joseph pas très habile pour la chasse a pourtant abattu un couple de perdrix bartavelles qui fit sa
renommée dans le village. Le curé du village lui propose d’immortaliser ce moment en prenant
une photo de lui avec les perdrix. Malgré ses réticences et ses convictions Joseph accepte la
photo sous le regard rempli de fierté de son fils. Mais au moment du départ Marcel ne voulant pas
retourner à Marseille, fugue une nuit avec son ami des collines, laissant une lettre sur son lit.
Seulement, sur le chemin son ami lui dit qu’il est très courageux de vouloir rester seul dans les
collines qui peuvent être dangereuses. Sur ces révélations Marcel, apeuré décide de faire volteface et décide de retourner très vite dans sa chambre avant que ses parents ne voient la lettre.
Il pense que ses parents n’ont pas eu le temps de voir sa lettre, mais lors du petit déjeuner, son
père fait référence à son contenu, et Marcel comprend que son père l’a lue.
Son père lui dit que s’il travaille bien cette année, il n’est pas exclu qu’ils reviennent tous
ensemble l’année suivante. Ce qui enchante le petit garçon. L’oncle Jules a louée une voiture et
tout le monde rentre à Marseille.
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