Mutilations Humaines A partir de 1960, des rumeurs ont commencé

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Mutilations Humaines A partir de 1960, des rumeurs ont commencé
Mutilations Humaines
A partir de 1960, des rumeurs ont commencé à émerger à propos de corps humains mutilés qui
suivaient le schéma troublant et les caractéristiques des mutilations de bétail qui se sont répandues
partout dans le monde depuis les années 1970.
Cette question, généralement considérée comme de très mauvais goût, a resurgi à nouveau en 1988
quand le bulletin public de Skywatch International a publié un court texte censé être fondé sur un
rapport secret relatant la mort d'un Sergent de l'Air Force du nom de Jonathan P. Louette, enlevé sur
l'aire d'essai de missiles White Sands en mars 1976.
Jonathan Louette faisait son service au terrain d'essai de White Sands au Nouveau Mexique, une
vaste base éloignée où la dernière technologie étasunienne est testée. De nombreuses histoires
relient White Sands à des contacts alien et des récupérations d'appareils extraterrestres.
Le Sergent et un gradé avaient été désignés pour parcourir sur plusieurs kilomètres le terrain d'essai
dans un véhicule militaire pour récupérer tout débris des missiles utilisés. A un moment, ils
quittèrent leur véhicule pour inspecter le désert. Ils se séparèrent pour couvrir un plus grand secteur
de dunes plus rapidement. Soudain, l'officier entendit des cris dans la zone des dunes où le sergent
fouillait. Il courut vers le bruit, pensant qu'un serpent à sonnette avait mordu le sergent, et alors qu'il
atteignait le sommet de la dune, il vit un appareil en forme de disque en vol stationnaire à quelques
mètres au-dessus du sol. Une longue tentacule émanant du dessous de l'appareil enveloppait le
sergent. Elle traîna le sergent qui criait à l'intérieur de l'appareil qui fila ensuite à toute vitesse.
L'officier retourna à la base en état de choc. Quand il raconta ce qui c'était produit, on ne le crut pas
et il fut arrêté pour meurtre. Une fouille immédiate du secteur échoua à trouver une quelconque
trace du sergent. Trois jours plus tard, le corps mutilé du sergent Louette fut découvert à 30 km du
terrain. Les mutilations étaient cliniques et précises et impliquaient l'ablation des parties génitales,
du rectum et des yeux. De manière typique, il n'y avait pas de sang sur le corps mais les organes
cardiovasculaires ne s'étaient pas affaissés. L'officier fut libéré sans accusation. Bien que l'histoire
ait filtré par le biais de personnes impliquées dans l'incident, l'armée a refusé de confirmer ou nier
qu'un tel incident s'était déroulé.
Bien que beaucoup d'histoire étranges aient eu pour cadre le conflit vietnamien, il ne peut y en avoir
de plus étrange que celle rapportée à la conférence ufologique de Las Vegas en 1989 par un ancien
de l'Air Force des États-Unis qui servait en tant que photographe au Vietnam à la fin des années
1960. Il fut impliqué dans une mission d'enquête sur le crash d'un bombardier B-52 et fut amené par
hélicoptère dans la jungle où l'avion avait chuté. La première surprise fut de découvrir l'avion intact
et aucun signe de crash à l'atterrissage : c'était comme si l'avion avait été aéroporté et placé en
position. A l'intérieur de la cabine cependant, il y avait une plus grosse surprise. Les quatre hommes
de l'équipage étaient toujours sanglés sur leurs sièges mais tous avaient été mutilés avec les
coupures nettes typiques que nous observons dans les mutilations animales. Après avoir inspecté
l'avion et l'avoir photographié ainsi que ses occupants, l'équipe d'investigation reçut l'ordre de brûler
l'appareil avec ses occupants.
Tout comme les mutilations animales, les mutilations humaines semblent se produire
mondialement. Les meilleurs preuves à ce jour sont parvenues du Brésil avec des photographies
convaincantes et horribles d'une mutilation humaine qui ont été obtenues des dossiers de la police.
Bien que les autorités du monde entier semblent être unies dans leur désir de dissimuler toute
l'affaire, elles ne sont pas toutes aussi sophistiquées que les autorités américaines ou britanniques et
heureusement pour tout le champ de recherche sur les morts et mutilations liées aux ovnis, ces
images brésiliennes se sont frayées un chemin dans le domaine public. Le corps mutilé d'un homme
a été découvert près du plan d'eau de Guarapiranga au Brésil le 29 septembre 1988 et naturellement,
des photos du corps ont été prises. Un technicien de la police, Sergio Rubens, a plus tard donné des
copies de ces photos à son cousin, le Dr Goes Rubens, dont il pensait qu'il serait intéressé par la
manière dont le corps avait été mutilé. Appréciant au moins en partie l'importance de ces images, le
Dr Rubens les montra à une amie qu'il savait s'intéresser à l'ufologie. Elle reconnut immédiatement
la similitude des lésions avec celles qu'elle avait vues dans les mutilations animales.
Quand la police fut contactée pour de plus amples informations, le chef d'investigation, le Dr
Cuenca, ouvrit étonnamment ses dossiers : un incroyable coup de chance non seulement pour les
enquêteurs originels mais aussi pour tous ceux d'entre nous qui bataillons pour faire connaître ce
sujet. Parmi les documents dans le dossier se trouvait le rapport d'autopsie original, écrit par des
pathologistes médico-légaux qui n'avaient aucune connaissance antérieure de mutilations. Il y avait
plusieurs observations frappantes :
1. Bien que la victime ait été décédée depuis 48 à 72 heures, il n'y avait aucun signe de début
de putréfaction ou d'avoir été mangée par des animaux comme on aurait pu s'y attendre.
2. Il n'y avait pas d'odeur.
3. Le saignement des blessures avait été minimal.
4. Les lèvres et la chair du visage avait été ôtées.
5. Les yeux, les oreilles et la langue avaient été retirés.
6. Des trous bien ronds, de 2,5 à 4 cm de diamètre, avaient été faits sur les épaules et la tête,
l'estomac, l'anus, les tissus et les muscles avaient été extraits. Les trous n'avaient pas été faits
par des balles.
7. Les principaux organes dans la poitrine avaient été retirés, un petit trou parfait avait été
réalisé par lequel les longs organes digestifs avaient été extraits.
8. Le scrotum, mais pas le penis, avait été retiré et tous les poils pubiens avaient disparu.
Quand les photographies circulèrent pour la première fois, elles causèrent un grand émoi parmi les
ufologues sérieux. Bien sûr, il faudra plus qu'une série de photos horribles du Brésil pour que les
autorités révèlent l'étendue avec laquelle des corps humains sont découverts dans un état mutilé,
mais pour ceux d'entre nous qui en savent déjà beaucoup sur ce qui se passe, ces photos sont une
confirmation importante. Si seulement il y avait d'autres personnes prêtes à laisser filtrer des
informations sur ce sujet, je pense que nous en serions pour un bon choc.
D'autres confirmations de mutilations humaines proviennent de Nouvelle-Zélande, mais les auteurs
ne seront pas nommés pour des raisons évidentes. Le rapport déclare :
En 1994, j'ai été contacté par un médecin qui vivait ici en Nouvelle-Zélande et qui
souhaitait me rencontrer pour avoir mon opinion sur quelque chose qui le perturbait
depuis quelques temps. Il refusa de me dire ce dont il s'agissait et continua d'insister
qu'il devait me montrer quelque chose. Je lui ai demandé de venir chez moi mais il ne
préférait pas et à la place, il choisit un petit café au centre de la ville pour nous
rencontrer. Il me donna son nom et à l'époque, il était retraité de la profession médicale.
J'arrivais au café à l'heure dite et allais au fond comme on me l'avait dit. Je marchais
jusqu'à l'arrière du café et vis un homme assis seul dans le fond. Il savait à l'évidence
qui j'étais, se présenta à moi et me fis signe de le rejoindre à sa table. Après que nous
nous soyons tous les deux assis, il me remercia d'avoir accepté de le rencontrer. Il se
mit ensuite à me raconter qu'il revenait récemment d'un voyage aux États-Unis durant
lequel il était resté avec un de ses amis médecin qui travaillait pour l'armée étasunienne.
Ils étaient amis et collègues depuis un grand nombre d'années.
Il se mit à me raconter que lors de sa visite, son ami avait paru extrêmement agité et
n'était pas du tout dans son état normal : quelque chose le préoccupait fortement. Le
troisième jour de son séjour, ils dînèrent et son ami but énormément ce qui était
étrange chez lui. Alors que la soirée avançait, son ami commença à parler de comment
il avait récemment vu quelque chose de très perturbant et avait besoin de le partager
avec lui. Il avait travaillé tard une nuit à la base de sa garnison quand on lui dit qu'il y
avait eu un accident et qu'ils apportaient le corps sur lequel il devait faire un examen
préliminaire. Il raconta que le corps avait été mutilé : un œil manquait, une oreille. Des
photos de la victime avait été prises quand on l'avait découverte et ces photos
accompagnaient le corps. Le médecin avait réussi à conserver deux de ces
photographies.
Traduction : Maat
Source : Crowded Skies