2013.mg.tournée al

Transcription

2013.mg.tournée al
présente/presenta
ASADO
la tournée en Amérique latine de/la gira en America latina de
………………………………
MININO GARAY
Y LOS TAMBORES DEL SUR
avec/con
CHRISTOPHE LAMPIDECCHIA
et/y
LEANDRO GUFFANTI
………………………………
SEPT/I/EMBRE 2013
______________________________________________________________________________________________________
La Presqu’île/SMAC 07 Quartier Fontanes 07100 Annonay – France
contact / contacto : Sébastien Etienne – [email protected] – 0033(0)686.353.560 (FR) – 15.403.99.658 (AR)
Licences : 1-1037357 / 2-1037358 / 3-1037359 ; dossier version du 15042013
SOMMAIRE *******************************************************************************
Asado, le nouveau projet de Minino Garay ……………………………..…………………………………………………… page 3
Un projet accompagné d’un nouveau disque et d’une tournée en Amérique du sud …………………………..… page 5
Les contours de la tournée ……………………………………………………...………………………………………………... page 6
L’équipe artistique en tournée ………………………………………………………………………………………….……….. page 7
Les partenaires professionnels associés au projet ....…………………………………………….…………………………... page 9
Les partenaires financiers et logistiques …………..…………………………………………………………………………... page 10
Revue de presse de Minino Garay ……….………………………………………………………………………………….... page 11
2
ASADO, LE NOUVEAU PROJET DE MININO GARAY ************************************
En 2013, cela fait précisément 25 années que Minino Garay a quitté son pays, l’Argentine, et sa ville en particulier,
Córdoba, pour s’installer à Paris. Ce français d’adoption qui porte toujours son sobriquet d’enfance (signifiant
paradoxalement « petit ») a fait des percussions et de la composition musicale son chemin de vie ; un chemin
singulier et pour tout dire impressionnant, tant la personnalité de l’artiste est inclassable et éclectique. Très tôt, les
choses lui paraissent évidentes ; il n’a que 5 ans lorsque dans le quartier d’Ayacucho de sa ville natale, il fréquente
des musiciens et de nombreux bals folkloriques qui lui déclenchent l’envie de devenir percussionniste.
Mais parler de Minino Garay sans évoquer sa terre de Córdoba n’a pas de sens. A 800 kms de Buenos Aires, loin du
tango et matinée d’indiens, elle ne connaît pas la mer mais un vent éternellement rebelle, avec ses coutumes, son
accent, son rythme de vie, son humour. Le folklore y est très présent et vit de sa diversité, entre chacareras,
milongas, zambas et autres rythmes traditionnels accompagnés d’instruments percussifs qui sont les témoins d’une
histoire séculaire remontant à la civilisation précolombienne et teintée d’africanité (le bombo legüero ou le cajon
péruvien deviendront ses fétiches). Mais ce qui identifie sans aucun doute le plus Córdoba, c’est le cuarteto.
Héritage du pasodoble et de la tarantela, introduites en Argentine par les émigrants espagnols et italiens, il se définit
dans les années 1940 suite à ce processus de créolisation. Musique d’abord rurale qui animait les fêtes des classes
populaires, il était généralement jouée par un orchestre de quatre musiciens au format récurent : accordéon, piano,
contrebasse et violon. L’orchestre le plus marquant des débuts est certainement le Cuarteto Leo, crée en 1943 par
Augusto Marzano, en honneur à sa fille Leonor, pianiste du groupe qui marquera le genre par son apport rythmique
d’une main gauche qui accentue le premier temps (tun) au lieu du deuxième (ga). Le Tunga Tunga contemporain
était né : un rythme binaire, résolument jovial et très dansant. Il évoluera ensuite intégrant des arrangements de
salsa, de merengue, de cumbia colombienne donnant ce style cumbiero bien local, devenant très populaire dans
les années 80, et réunissant encore aujourd’hui chaque semaine des milliers de personnes à travers le pays.
Minino Garay passe donc son adolescence à puiser dans la pulsation profonde des musiques de cette région, en se
formant auprès d’un professeur particulier, et en côtoyant son oncle, Ranulfo Taborda, un des premiers grands
producteurs de spectacles en Argentine, créateur du premier cuarteto féminin, Las Chichi, qui fit, dans les années
70, un tabac dans le pays tout entier. Sa curiosité permanente le conduit dans le même temps à s’intéresser de près
à bien d’autres styles musicaux. À 18 ans, il intègre son premier groupe à Córdoba, La Legion, qui fut pionnier dans la
fusion des rythmes populaires latino-américains avec le rock et le jazz. Il se produira dans de nombreux lieux et
festivals pendant plus de trois années se faisant connaître largement avant d’aller vivre une petite année à Buenos
Aires où il jouera avec tous les musiciens du moment.
La fin des années 80 porteront cet alchimiste au bon endroit au bon moment : Paris, capitale bigarré, ville des
musiques du monde, vivant notamment l’explosion d’une Afrique plurielle. Avant l’expérience malienne autour de
Dee Dee Bridgewater, la rencontre avec un Cheikh Ti Diane Seck ou le flash du festival des gnawas d’Essaouira, il
enrichit son jeu auprès de musiciens qui tous à leur manière subliment un jazz du voyage : Magik Malik, le groove
gang de Julien Lourau, Richard Bona ou Daniel Mille. Son parcours en compagnie des plus grands ne cessera pas ; il
joue et enregistre avec Mercedes Sosa, Jaime Torres, Michel Portal, Sixun, Raul Barboza, André Cecarelli, Laurent de
Wilde, Léon Parker, Stefano di Battista, Louis Winsberg, Jean-Michel Pilc, Jacky Terrason, le trio Mosalini-BeytelmannCaratini, Antonello Salis, Tony Malaby, Baptiste Trotignon, Malcolm Braff, le Paris Jazz Big Band… En quelques années,
il devient en Europe le percussionniste-batteur ayant réussi une synthèse parfaite entre les musiques et les rythmes
venant d’Amérique latine, d’Afrique noire et du Maghreb, et les mondes du jazz.
Au début des années 2000, il poursuit les mélanges, les échanges et les partages musicaux en créant son propre
groupe qui deviendra pour lui une famille exceptionnelle : Les Tambours du Sud. Il y a à ses côtés le guitariste-star du
rock latin l’uruguyen Pajaro Canzani, le pianiste Lalo Zanelli, le compositeur et arrangeur du Paris Jazz Big Band,
Pierre Bertrand, le trompettiste Nicolas Genest. Sans oublier les amis percussionnistes sud-américains, Eddy Tomassi,
Miguel Ballumbrosio, Sébastian Quezada et Hector Gomez. Il invente un jazz urbain afro-latin maturé de longue
date, tourné vers la chanson, vers ces vieilles comptines dont on a pu oublier les paroles et qui reviendraient avec
d’autres, plus virulentes, plus âpres. Aux antipodes de la saudade et du sens doux qu’on lui attribue, il scande un
speaking Groove qui prend tout son sens, dans l’essence même de Córdoba, à travers deux éléments essentiels : un
3
humour singulier, et une expression virile. Entre 2002 et 2009, il enregistre trois albums en France, sortis en Europe, en
Argentine et au Mexique.
En 2011, Minino Garay écrit un nouveau chapitre de l’histoire des Tambours du Sud avec un hommage appuyé à
Córdoba, à ses musiciens, et à son cuarteto légendaire. Il arrange un nouveau répertoire de chansons toutes
composées par des artistes de sa ville. Son nouveau projet est né ; il l’appelle tout naturellement Asado, comme un
clin d’œil à ce plat typique de viande grillée qui se déguste dans tout le pays et qui est synonyme de fête et de
partage. Inscrit dans une suite logique de son œuvre il marque cependant une vraie rupture dans le croisement
d’une dimension populaire affirmée à son exigence musicale de toujours. La rythmique tunga tunga du cuarteto est
très présente et avec elle l’accordéon en instrument mélodique fil rouge, l’envie de danser et/ou de cavaler
ubiquiste, et les textes sentent vraiment bon sa pampa mythique ; ils font la part belle à une poésie du quotidien,
passant des déboires de la vie aux désillusions politiques, religieuses ou encore amoureuses, à d’innombrables états
d’âmes et descriptions avisées des mœurs typiquement córdobes… sans apathie, pleins de drôleries, avec toujours
cette même ironie, cette même légèreté, cet optimisme insouciant et caustique qui définissent tellement
l’Argentine… Tous les ingrédients « à la manière d’avant » sont réunis et pourtant c’est un cuarteto résolument
nouveau et contemporain qui nous est livré ; un genre que Minino s’est pleinement approprié pour le faire sien,
intégrant une section cuivre franchement énergique faisant l’effet d’un big band, un nombre incalculable de voix
qui viennent chamarrer le chant lead, d’habiles riffs de guitares électrisées, des improvisations instrumentales et
vocales saisissantes, des syncopes inattendues, des sonorités qui empruntent à la sono mondiale, et une
inébranlable assise rythmique assurée par des percussions et des rythmes hétéroclites (taquirari, tinku, candombe,
cumbia, huayno...). Le tout célébré en famille avec ses innombrables compères musiciens ou chanteurs latinoaméricains et européens installés ici ou là ; et avec l’ambition de faire voyager et connaître au monde cette
musique, sa musique. L’insatiable créativité du maitre Garay est incontestablement mise en exergue avec ce
nouveau projet qui dévoile une partition émotionnelle sans pareille... c’est simple et complexe à la fois, sincère tout
en étant dissimulé, audacieux, furieux, et tellement vivant ! Tout comme le bonhomme qui nous dit finalement
combien avec Asado il est arrivé à une maitrise imposante de la composition, de l’arrangement, et de sa pratique
instrumentale, mais peut être et surtout qui il est vraiment et quelle est son histoire… Un bien beau retour à ses
origines qu’il compte faire partager largement dès 2013 !
Gabriel (Minino) Garay.Colegio San Buenaventura.Cordoba.1970
Minino Garay avec son groupe La Legion.Cordoba.1984
Minino Garay.Paris.2013
4
UN PROJET ACCOMPAGNÉ D’UN NOUVEAU DISQUE ET D’UNE TOURNÉE EN
AMERIQUE DU SUD **********************************************************************
Ce nouveau projet Asado s’accompagne en 2013 d’une parution discographique du même nom. Douze titres ont en
effet été enregistrés au célèbre studio ION de Buenos Aires en 2011. Après Minino Garay y Los Tambores del Sur,
Kilombo, Que lo pario !, et Gabriel, sortis en France, en Argentine et au Mexique entre 2002 et 2011, le nouveau
disque de Minino y Los Tambores del Sur est prévu pour sortir d’abord en Argentine au mois d’août sous le label SMusic, puis en France au mois de novembre sous le label Naïve. Pour la première fois, sa réalisation s’est opérée
complètement en Argentine et les artistes qui composent le groupe Les Tambours du Sud habitent à Córdoba ou
Buenos Aires. De nombreux invités argentins sont également présents, venant du folklore, du rock, du tango…
d’autres installés en Europe apportent également leur touche à l’ouvrage. Ensemble, ils sont près d’une 40aine,
contribuant à l’immense palette sonore de ce nouvel opus qui révèle une œuvre particulièrement ambitieuse et
authentique.
Le groupe ayant participé à l’enregistrement :
Minino Garay – Batterie, percussions, voix
Alvaro Torres – Piano, voix
Diego Bravo – Claviers, chœurs
Zurdo Castagno – Guitare, voix
Martin Rodriguez – Basse, voix
Esteban Gutierrez – Percussions, voix
Eddy Tomassi – Percussions, voix
Silvia Arramayo – Voix, chœurs
Les invités du disque :
Kevin Johansen, Jairo, Chango Spasiuk, Facundo Guevara, Sergio « Chicho » Bazan, Pichi Pereyra, Ze Luis
Nascimento, Lito Epumer, Gabriel « Corto » Juncos, Daniel Franco, Marc Berthoumieux, Lionel Suarez, Philippe
George, Pierre Bertrand, Michel Faugeres, Olivier Louvel, Magic Malik, Line Kruse, Julie Gioja, Hector Gomez, Julien
Birot, Franck Vaillant, Mintcho Garramone, Flaco Pailos, Cuchu Pillado, Pajaro Canzani, Majid Bekkas, Jenny Nager,
Paola Bernal, Chino Laborde, Eduardo « Mutty » Torezani, Eruca Sativa.
L’équipe technique :
Philippe Teissier du Cros, Alejandro Saro, Hernan Grasso, Mariano Beyoglonian, Jose Tambos, Ludovic Joyeux, Fabrizio
Fenoglietto.
Minino Garay ayant cette particularité d’être en permanence en quête d’échanges et de métissages, il a souhaité
engager un nouveau projet de tournée en Amérique du Sud avec les Tambours du Sud en parallèle de la sortie de
ce nouvel album. Il s’agit bien là de faire partager sa musique aux publics de son pays d’origine en tout premier lieu,
et bien évidemment des pays limitrophes. Cette tournée fera suite à plusieurs autres qui se sont tenues
précédemment en Amérique centrale et latine depuis 2005 avec de nombreux artistes, notamment Magic Malik,
Jaime Torres ou encore Pierre Bertrand. Chacun de ces voyages associant une série de concerts est une étape
nouvelle de véritables rencontres artistiques entre des musiciens d’horizons divers et rassemble un public
extrêmement large. Et aller au devant de ces populations avec cette musique est riche de sens pour Minino à ce
moment de son parcours artistique.
En véritable complément du disque, cette tournée vient concrétiser ce projet artistique débuté il y a déjà plusieurs
années et un projet culturel qui renvoie à ce retour à sa terre. Elle aura lieu au mois de septembre 2013, pour environ
15 concerts dans plusieurs villes et villages de l’Argentine et des pays limitrophes. L’idée est de pouvoir combiner les
salles de concert de grande capacité (jusqu’à 1000/1500 personnes) avec des lieux de proximité non dédiés au
spectacle mais privilégiant le rapport direct au public. L’équipe artistique sera mixte, française et argentine. Elle aura
à cœur d’aller à la rencontre d’autres musiciens locaux, professionnels comme amateurs, en fonction des
opportunités, et d’avoir sur chacune des dates des invités de renom. Une attachée de presse, Claudia Sanchez de
Mi Musica Link (www.mimusicalink.com), travaillera à partir de mai et jusqu’à septembre sur la promotion du disque
et de la tournée. Et plusieurs partenaires culturels, commerciaux et logistiques français comme argentins sont d’ores
et déjà partenaires de ce projet. A n’en pas douter, cette série de concerts sonnera comme un moment fort de la
vie musicale sud-américaine de cette année 2013.
5
LES CONTOURS DE LA TOURNÉE ********************************************************
Cette tournée 2013 de Minino Garay avec son groupe Los Tambores del Sur est prévue essentiellement en Argentine,
mais elle s’étendra également aux pays limitrophes (Chili, Bolivie, Uruguay). Elle se déroulera sur trois semaines entre
le 3 et le 22 septembre. Une attention particulière est naturellement apportée à la province de Córdoba puisque 5
concerts sont prévus entre la capitale provinciale et des villages alentours. Il s’agit d’être au cœur du territoire
d’origine de Minino et de mettre l’accent sur le cuarteto. Le planning précis est en cours de calage mais un certain
nombre de villes et villages suivants sont d’ores et déjà confirmés (attention, cette liste n’est pas exhaustive) :
En Argentine :
- Buenos Aires / La Trastienda Club, dans le cadre de Vivi Francia* – 2 concerts
- Córdoba / dans le cadre de Vivi Francia* – 1 concert
- San Francisco (province de Córdoba) – 1 concert
- Rio Cuarto (province de Córdoba) – 1 concert
- Alta Gracia (province de Córdoba) – 1 concert
- Jesus Maria (province de Córdoba) – 1 concert
- Mendoza / dans le cadre de Vivi Francia* – 1 concert
- Salta – 1 concert
- Rosario (province de Santa Fe) – 1 concert
- Neuquén – 1 concert
- Santa Rosa (province de La Pampa) – 1 concert
En Uruguay :
- Montevideo – 1 concert
En Bolivie :
- La Paz – 1 concert
Au Chili :
- Santiago – 1 concert
*
Vivi
Francia
est
un
événement organisé par
la
Chambre
de
Commerce et d’Industrie
Franco-Argentine
qui
a
pour objectif la mise en
valeur de la France en
Argentine au travers de
ses
divers
acteurs
entrepreneuriaux,
associatifs,
met
culturels…
Il
valeur
la
en
gastronomie,
l’architecture, la mode, la
musique, le commerce…
La 5ème édition de cet
événement sera étendue à Córdoba et Mendoza en complément de Buenos Aires. Minino Garay est artiste associé
à Vivi Francia et présentera son spectacle dans chacune des villes (plus d’informations sur : www.vivifrancia.com.ar).
6
L’EQUIPE ARTISTIQUE EN TOURNÉE ******************************************************
Pour cette tournée, l’équipe sera composée au total de 12 personnes : 10 musiciens, 1 régisseur technique et 1
régisseur/manager de tournée. Trois des artistes résident en France et partiront donc de Paris. Il s’agit de Minino
Garay et de deux invités, Christophe Lampidecchia et Leandro Guffanti. Ils rejoindront le groupe des Tambours du
Sud dont les artistes sont installés en Argentine.
Le line-up est le suivant :
- Minino Garay* : Percussions, batterie et voix
- Christophe Lampidecchia* : Accordéon
- Leandro Guffanti* : Saxophone
- Diego Bravo* : Basse et chœurs
- Alvaro Torres : Piano et voix
- Esteban Gutierrez : Percussions et voix
- Eddy Tomassi* : Percussions et voix
- Zurdo Castagno* : Guitare et voix
- Leo Daghelo : Saxophone ténor
- Gabriel Corto Juncos* : Flûte
* musiciens composant le line-up réduit pour certains concerts sur des lieux de proximité
- Jose Tambos ou Camacho (selon les concerts) : régie technique
- Sébastien Etienne : régie de tournée
Des invités argentins ayant participé à l’enregistrement de l’album sont prévus sur les concerts, en fonction de leur
disponibilité et de l’organisation de la tournée :
- Mutty Torezani : Guitare, voix
- Richard Nant : Trompette
- Kevin Johansen : Voix
- Jairo : Voix
- Chino Laborde : Voix
- Lula Bertoldi : Guitare et voix
- Chango Spasiuk : Accordéon
-…
Les artistes résidant en France invités par Minino Garay pour la tournée :
L’accordéon est un instrumental central dans le cuarteto depuis ses origines. Cette tournée ne pouvait donc
s’envisager sans accordéoniste. C’est pourquoi Minino Garay a décidé d’inviter un musicien capable d’interpréter
habilement cette musique très populaire. Le parallèle avec le musette français était tellement évident qu’il a
souhaité confier la tâche à l’un de ses jeunes ambassadeurs : Christophe Lampidecchia.
Par ailleurs, la plus-value qu’apporte vraiment Minino dans ce disque et au cuarteto en général se retrouve
certainement dans les sonorités cuivrées qui leur donnent une dynamique et un relief inattendus. Son second invité
est donc un des meilleurs saxophonistes de la scène jazz et des musiques du monde, connaissant parfaitement
cette musique étant lui même d’origine argentine : Leandro Guffanti.
7
* Christophe Lampidecchia / Marseille
De formation classique autant qu'autodidacte, Christophe Lampidecchia fait partie de la nouvelle scène française
de l'accordéon, de ces petits prodiges, qui devenus grands, se sont mués en autant de touche-à-tout, désireux
d'explorer de nouvelles sonorités et de faire vibrer leur instrument fétiche autrement. Marseillais pure souche, il
revendique ses origines, celles du soleil, du verbe haut, de l'amitié et de la vie en musique. Il nait en 1974 dans une
famille de musiciens ; son grand-père et son père sont accordéonistes, animateurs de bals, et détenteurs d'une
tradition familiale où la musique populaire est reine. Christophe affronte sa première scène de bal en 1986 et déjà il
se sent poussé au contact du public. Plus tard, il rentre au conservatoire pour apprendre à jouer de manière
académique. Mais sur scène, alors qu'il joue de cet accordéon qu'il a choisi et su maîtriser en autodidacte, c'est la
recherche du sentiment, une véritable foi qui l'anime et le motive dans sa quête du jeu. Dès la fin des années 90, il
enchaine les bals et les enregistrements aux côtés des plus grands accordéonistes. En 1992, il commence à
composer et sort son premier album en 1995, « Musette au soleil ». Il en fera 6 autres jusqu’en 2004 ; les références et
les styles évoluent, du pur accordéon musette aux compositions plus personnelles allant vers le jazz. En 1996, il fonde
son propre orchestre de variété en quintet aux sonorités très personnelles. Avec lui il parcourt bien des dancings…
En 2000, il rencontre Richard Galliano qui conforte en lui l'idée d'explorer son instrument pour aller vers de nouvelles
voies musicales. Aujourd'hui, c'est l'accordéon jazz qui lui fait rechercher ses sonorités et sa technique notamment
aux côtés de Louis Winsberg. Son parcours a sans nul doute à voir avec celui de Minino Garay ; il a permis que leurs
chemins respectifs se croisent ; à l’évidence, pour cette tournée, il sera comme chez lui en Argentine, au contact de
la population qui aura à cœur de danser passionnément le cuarteto à l’instar des nombreux bals dans lesquels il a
joué ces 25 dernières années…
www.myspace.fr/christophelampidecchia
* Leandro Guffanti / Paris
Né en 1967, le saxophoniste et clarinettiste argentin Leandro Guffanti explore depuis plus de vingt ans les musiques
de la planète. Il commence par jouer en Argentine dans de nombreux groupes folkloriques avant de s'exiler à Rome
puis à Amsterdam comme saxophoniste de jazz dans diverses formations. Installé à Paris en 1994, Leandro Guffanti
joue dans des orchestres de salsa et de world (avec Minino Garay, Alfredo Rodriguez, Lalo Zanelli, Orlando Poleo,
Raul Paz, Cheb Khaled, Julieta Venegas…), et part en tournée avec des jazzmen comme Alain Jean Marie, Hal
Singer ou Christian Escoudé. Outre son activité de musicien sur scène, il compose des musiques pour des courts
métrages et des documentaires. Créateur du Cuarteto Rosamonte avec Martin Bruhn, Gabriel Perez et Carlos
Buschini en 2007, il commence dans la foulée l'enregistrement de l'album « Once » sorti en 2011. Onze titres aux
mélodies superbes où l'éclectisme des inspirations du saxophoniste rayonne et nous plonge dans cet univers si
particulier de jazz aux accents latins orchestré de main de maître. Entre inspirations populaires, jazz moderne et
ballades subtiles, cet album est vraiment dans la tradition des grands artistes de jazz argentins. Mais au-delà des
questions de géographie et d’étiquette, ses compositions valent surtout pour l’expressivité de son jeu, des moments
mélodiques et harmoniques qui s’approchent d’univers nouveaux, authentiques qui n’appartiennent qu’à lui. Là
encore, il était évident de demander à ce musicien de taille d’intégrer la section cuivre du groupe pour cette
tournée. Complètement dans l’esprit, il saura apporter sa touche riche, passionnante et puissante.
www.myspace.com/leandroguffanti
Leandro Guffanti
Minino Garay
Christophe Lampidecchia
8
LES PARTENAIRES PROFESSIONNELS ASSOCIÉS AU PROJET ****************************
En France :
- Coordination générale de la tournée :
Sébastien ETIENNE
[email protected]
06.86.35.35.60
- Management :
SMAC 07 / Scène de Musiques Actuelles de l’Ardèche (La Presqu’île + Cavajazz + L’Art Scène)*
Sébastien ETIENNE
[email protected]
06.86.35.35.60
- Production :
Zingana Production
Laurence GUERCHON
[email protected]
06.09.17.90.38
- Tour :
Nabligam Production
Nicolas BONNARD
[email protected]
01.40.33.46.65
- Maison de disque :
Naïve (en attente de confirmation)
En Argentine :
- Régie de tournée :
Sébastien ETIENNE
[email protected]
15.40.39.96.58
- Presse disque et tournée :
Claudia SANCHEZ
[email protected]
15.69.23.13.66
- Producteurs :
Envivo Producciones (en attente de confirmation)
300 Producciones (en attente de confirmation)
…
- Maison de disque :
S-Music (en attente de confirmation)
- Distributeur :
DBN Discos (en attente de confirmation)
* La SMAC 07 est une Scène de Musiques Actuelles Conventionnée par le Ministère de la Culture, la région RhôneAlpes, le Département de l’Ardèche et les communes d’Annonay, Viviers et Payzac, reposant sur trois lieux répartis
sur le département : La Presqu’île (www.lapresquile.fr), Cavajazz (www.cavajazz.fr), et L’Art Scène
(www.lapleinelune.com). Elle déploie un projet d’aménagement du territoire, coopératif et solidaire entre ces trois
équipements. Minino Garay a été invité à plusieurs reprises pour présenter ses créations sur ses scènes. En 2013, il
mène en compagnie de Pierre Bertrand et Denis Leloup un projet pédagogique en direction de collégiens, de
musiciens amateurs, d’ensemble musicaux, de professeurs et d’intervenants artistiques, initié par la SMAC 07 et
organisé en partenariat avec de nombreuses structures éducatives, culturelles et de formation de l’Ardèche. C’est
tout naturellement que son directeur, Sébastien Etienne, et Minino Garay ont étendu leur collaboration au
management et à la régie de cette tournée sud-américaine en 2013. Les structures de la SMAC 07 sont donc
porteuses de ce projet.
9
LES PARTENAIRES FINANCIERS ET LOGISTIQUES ****************************************
Pour permettre la réalisation de ce projet, un certain nombre de partenariats publics et privés sont nécessaires. Les
structures suivantes sont sollicitées :
- L’Ambassade de France en Argentine pour un soutien financier à la tournée,
- L’Alliance Française de Córdoba pour un soutien financier, logistique et de communication aux concerts se
déroulant dans la province et en particulier celui dans le cadre de Vivi Francia,
- La Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Argentine pour un soutien logistique et de communication dans le
cadre de l’événement Vivi Francia qu’elle organise à Buenos Aires, Córdoba et Mendoza,
- L’ADAMI, le FCM, le CNV, le bureau export et la SPEDIDAM pour un soutien financier dans le cadre des aides à
l’export de projets artistiques,
- Air France pour un soutien logistique au déplacement de l’équipe française,
- Casino, Renault , Holiday Inn et
Libertad pour un soutien financier dans le cadre du concert Vivi Francia à
Córdoba,
- Colsecor pour un soutien logistique et financier pour les concerts de proximité dans la province de Córdoba,
- L’institut Culturel Bernard Magrez, la Bodega Jacques-François Lurton, les entreprises Porta et Cerro, ainsi que toute
autre société privé ou fondation pour un soutien financier à la tournée en mécénat ou sponsoring.
10
REVUE DE PRESSE DE MININO GARAY **************************************************
Le Monde
« Le percussionniste argentin, parmi les plus demandés de la scène parisienne, cultive ses deux cultures et rêve
d’amener son groupe dans sa Córdoba natale, son chaudron musical ».
« Minino Garay est, actuellement, le spectacle le plus total en jazz, world, et, plus rare, en poésie ».
Les Inrockuptibles
« La voracité n’est jamais aux antipodes de la poésie, pas plus que la fougue dans le sang n’interdit la subtilité
d’âmes ».
Libération
« Une soif de métissage : d’une cadence de chacarera déviant vers le festejo péruvien (…) et le tango ? Minino le
tient à distance et l’utilise de façon inattendue ».
Le Nouvel Observateur
« Minino Garay fait partie de ce club fermé de formidables frappeurs de tambours que l’on s’arrache ».
Télérama
« Ceux qui connaissent Minino Garay en version jazz seront étonnés par les déchaînements groovy du big band Los
Tambores del Sur. Il laboure ses instruments avec une énergie phénoménale ».
Le Figaro
« On reconnaît sa puissance physique impressionnante, son inlassable invention dans le son, et puis des interjections,
des rires et des exclamations de géant joyeux ».
Vibrations
« Un parcours frappé tantôt du sceau de l’énergie, tantôt de la poésie, toujours de l’envie de partage, du goût des
autres ».
« L’imposant percussionniste n’a rien perdu de sa verve, secouant une fois de plus les œillères avec son folklore
imaginatif où se télescopent romances langoureuses et déflagrations intempestives. Ce que confirme sa nouvelle
galette, encore une fois bourrée d’ingrédients et ivres de rythmes ».
Jazzman
« C’est le lutin de la tribu jazz métis parisienne. Un sens du groove qui en fait un percussionniste surbooké ».
« Alchimiste des rythmes ».
Nice Matin
« De la jungle urbaine new-yorkaise à l’Amazonie sud-américaine, des répercussions profondes pour tous les
aficionados ».
Figaroscope
« Cet artiste donne souffle et panache à tous les orchestres où il officie ».
Ouest France
« Jongle avec les genres musicaux ».
WWW.MININOGARAY.COM
11