L`endoscopie digestive lors des journées francophones de

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L`endoscopie digestive lors des journées francophones de
La Lettre de la
Président : Dr. Bertrand NAPOLEON
35, rue Bataille
69008 Lyon
Tél. : 04 78 78 10 51
Fax : 04 78 74 07 92
e-mail : [email protected]
L’endoscopie digestive
lors des journées francophones
de pathologie digestive
à Lyon du 17 au 21 mars 2007
Vice-Président : Dr. Jean-Christophe LETARD
Polyclinique de Poitiers
1, rue de la Providence
86035 Poitiers
Tél. : 05 49 61 72 65
Fax : 05 49 61 72 01
e-mail :
[email protected]
Secrétaire Général : Pr. Gérard GAY
CHU de Nancy/Hôpitaux de Brabois
Unité de Médecine Interne à orientation
digestive
54511 Vandœuvre-lès-Nancy Cedex
Tél. : 03 83 15 43 66
Fax : 03 83 15 40 12
e-mail : [email protected]
Secrétaire Général Adjoint : Dr. Jean-Pierre ARPURT
CH - BP 347
35, rue Raoul Follereau
84029 Avignon Cedex
Tél. : 04 32 75 33 91
Fax : 04 32 75 33 92
e-mail : [email protected]
Éditorial
Secrétaire International : Pr. Thierry PONCHON
Hôpital Edouard Herriot
5, place d’Arsonval
69437 Lyon Cedex 3
Tél. : 04 72 11 01 46
Fax : 04 72 11 01 47
e-mail : [email protected]
I
l est l’heure de renouveler les cadres …
Deux ans de présidence c’est long et court à la fois. Long car la charge de
travail et de responsabilités rend le parcours difficile, court car les projets mis
en chantier restent pour un certain nombre d’entre eux à finaliser. Une fin
de mandat, c’est toujours le bilan d’une équipe et une vision de futur.
En deux ans, on peut considérer qu’ont été menées à bien plusieurs actions :
– la montée en puissance de Vidéo-Digest (+ 50 % de participants en 2 ans) :
le couplage avec le séminaire de formation de la SNFGE a été plébiscité aussi
bien par les gastroentérologues que par les sponsors,
– la complète remise en forme du site internet ;
– la pérennisation de la mémoire de la société avec un secrétariat
permanent installé avec les archives dans un local parisien appartenant à la
société ;
– la finalisation de la parité du CA avec une représentativité équilibrée privépublic et l’entrée des PH de CHU ;
– le rapprochement avec les autres sociétés savantes, en particulier la SNFGE
mais aussi la FFCD ou la SNFCP. Ceci permet d’être plus efficace pour
Trésorier : Dr. Pierre-Adrien DALBIES
30, boulevard du Président John Kennedy
34500 Béziers
Tél. : 04 67 31 79 89
Fax : 04 67 31 79 51
e-mail : [email protected]
Trésorier-Adjoint : Dr. Christian BOUSTIERE
Les Santonniers 2, bâtiment 6 - allée Robert Govi
13400 Aubagne
Tél. : 04 42 03 43 55
Fax : 04 42 03 01 33
e-mail : [email protected]
Membres du Conseil d’Administration :
Pr. Jean BOYER, Angers
Dr. Jean-Marc CANARD, Paris
Dr. Jean CASSIGNEUL, Toulouse
Pr. Jean ESCOURROU, Toulouse
Pr. René LAUGIER, Marseille
Dr. Laurent PALAZZO, Paris
Dr. Bruno RICHARD-MOLARD, Bordeaux
Pr. Denis SAUTEREAU, Limoges
Dr. Gilbert TUCAT, Paris
Dr. Bruno VEDRENNE, Mulhouse
Club Vidéo-Capsule :
Président : Pr. Denis HERESBACH
CHU - 35033 Rennes Cedex
Tél. : 02 99 28 43 47
Fax : 02 99 28 41 89
e-mail : [email protected]
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Secrétaire : Dr. Vincent MAUNOURY, Lille
Trésorier : Pr. Philippe DUCROTTE, Rouen
Club Français d’Echo-Endoscopie :
Président : Pr. Marc BARTHET
Hôpital NORD
Chemin des Bourrely
13915 MARSEILLE CEDEX 20
Tél. : 04 91 96 87 37
Fax : 04 91 96 13 11
e-mail : [email protected]
Secrétaire : Dr. Christine LEFORT, Lyon
Trésorier : Dr. Stéphane CARPENTIER, Angers
Sommaire
Club de Thérapie Photo-Dynamique :
Président : Pr. Jean BOYER
CHU Larrey - 49033 Angers Cedex 01
Tél. : 02 41 35 34 07
Fax : 02 41 35 53 86
e-mail : [email protected]
• Editorial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
P. 97
• Compte rendu de la 9e journée de
réflexion sur l’endoscopie digestive
Samedi 20 janvier 2007 - Marseille
P. 99
• Communications orales lors
des Journées Francophones
de Pathologie Digestive
P. 105
• Séance Plénière lors des Journées
Francophones de Pathologie Digestive P. 105
• Programme du symposium de
la Société Française d’Endoscopie
Digestive lors des Journées
Francophones de Pathologie Digestive P. 106
• Vidéo-Session lors des Journées
Francophones de Pathologie Digestive P. 107
• Programme du symposium CHDH-SFED
lors des Journées Francophones
de Pathologie Digestive . . . . . . . . . . P. 108
• Réunions sous l’égide de la SFED
P. 109
Numéro 35 • Mars 2007
é d i t o r i a l
défendre la profession sur les grands dossiers (dépistage du cancer colorectal, décret de l’hospitalisation médicale, CCAM et T2A…) ;
– le positionnement de notre société pour les grands sujets de FMC et d’EPP :
la SFED sera organisme agréé de FMC et s’impliquera dans les organismes
agréés d’EPP par l’intermédiaire de ses représentants et de ses actions ;
– la mise en place d’une commission juridique pour vous aider à vous
défendre d’experts pas toujours pertinents dans leurs analyses.
Parallèlement, a été poursuivi ce qui fait également l’importance de notre
société : les études menées par la commission recherche et développement,
la rédaction de recommandations, la balance faite avec les pouvoirs publics
sur l’hygiène (finalisation d’un guide sur la qualité en hygiène acceptable
dans la pratique quotidienne quand la version initiale était inapplicable et
injustifiée, confirmation de la position de la SFED pour l’absence d’ordre de
passage en endoscopie…), les actions de FMC théoriques et de formation
pratique en endoscopie (universités d’endoscopie à Limoges, soutien aux DIU
et à différents workshop…), les actions de communication (2j d’endoscopie,
information grand public sur le RGO…), la représentativité de la SFED à
l’international (revue Endoscopy, ESGE…)…
Ces deux ans auront aussi été l’occasion de participer au rapprochement
entre les différentes composantes de notre spécialité. Le point d’orgue aura
été la création de la fédération des spécialistes des maladies de l’appareil
digestif (FSMAD). Cette structure que beaucoup d’anciens responsables
avaient appelée de leurs vœux a enfin vu le jour. Ses rôles principaux sont
d’éviter ou de limiter les conflits potentiels qui existent régulièrement dans
notre spécialité et de permettre une action plus concertée sur les sujets qui
intéressent l’ensemble de la profession. Seule la bonne volonté de tous aura
permis cette création. A nous de faire qu’elle soit à la hauteur des espoirs
qu’elle suscite.
La présidence de la SFED est une tâche difficile à assumer avec une activité
libérale. C’est une tâche dans laquelle on entraîne aussi sa famille. C’est indiscutablement une belle épreuve de vie à la fois en rapports humains et en
connaissance de soi. Une action de ce type n’est possible qu’avec l’aide de
l’ensemble des membres du conseil d’administration mais aussi de ceux qui
travaillent dans les différentes commissions. Je voudrais les remercier en
citant leurs noms et remercier également ceux qui m’ont précédé dans cette
tâche comme ceux qui accepteront de reprendre le flambeau.
En vous souhaitant de bonnes journées francophones 2007 dans la belle ville
de Lyon…
Bertrand NAPOLÉON
Membres du Conseil d’administration. Gérard GAY, Jean-Pierre ARPURT, Christian BOUSTIERE, Jean BOYER, JeanMarc CANARD, Jean CASSIGNEUL, Pierre Adrien DALBIES, Jean ESCOURROU, René LAUGIER, Jean-Christophe
LETARD, Laurent PALAZZO, Thierry PONCHON, Bruno RICHARD-MOLARD, Denis SAUTEREAU, Gilbert TUCAT, Bruno
VEDRENNE
Membres de commissions hors CA. Patrick ADENIS-LAMARRE, Thierry BARRIOZ, Marc BARTHET, Paul BAURET,
Emmanuel BEN SOUSSAN, Philippe BICHARD, Anne CALAZEL, Christophe CELLIER, François CESSOT, Catherine
CHAPUIS, Stanislas CHAUSSADE, Franck CHOLET, Dimitri COUMAROS, Bernard CROGUENNEC, Antoine
DE LEUSSE, Michel DELVAUX, Bernard DENIS, Rémi DUMAS, Olivier FAVRE, Bernard FILOCHE, Christian FLORENT,
Marianne GAUDRIC, Marc GIOVANNINI, Marcel HAPPI NONO, Denis HERESBACH, Laurent HEYRIES, Dominique
LAMARQUE, Marie-George LAPALUS, Jean LAPUELLE, Jean LAURENT, Bernard MARCHETTI, Vincent MAUNOURY,
Pascal POTIER, Frédéric PRAT, Daniel RABREAU, Michel ROBASZKIEWICZ, Sylvie SACHER-HUVELIN, JeanChristophe SAURIN, Jacques SEE, Pierre SENESSES, Rémi SYSTCHENKO, Eric VAILLANT, Georges VANBIERVLIET.
Volume 37 - N° 1 - 2007
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Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
Compte rendu de la 9e journée de réflexion
sur l’endoscopie digestive
Samedi 20 janvier 2007
Marseille
Jean-Pierre ARPURT, Christian BOUSTIERE, Jean-Marc CANARD,
Bernard CROGUENNEC, Thierry PONCHON, Bertrand NAPOLEON
RÉSULTATS DES 2 JOURS D’ENDOSCOPIE
EN FRANCE EN 2006
(J.M. CANARD)
HYGIÈNE EN ENDOSCOPIE
Ce module comprenait 3 parties: La mise au point par
Ch Boustière résumant la version finalisée du Guide
de la DGS sur assurance qualité et désinfection en
endoscopie initié il y a plus d’un an et dont la publication est imminente, une mise au point du
Pr Pozzetto sur l’important sujet de l’ordre de passage des patients en endoscopie et enfin la présentation des mesures nouvelles de l’AFSSAPS par
J.C. Ghislain sur le matériel endoscopique et les
dispositifs de contrôles encadrant les protocoles de
recherche clinique.
Cette enquête a été réalisée du 20 novembre 2006 au
2 décembre 2006. Quelques résultats sont retenus :
– FOGD : 1 200 000 (+ 12 %) ;
– coloscopies : 1 177 000 (+ 6 %) ;
– ERCP : 31 000 (– 8 %) ;
– 76 % du parc de vidéo endoscopes a moins de
4 ans. Quelle amélioration ! ;
– la désinfection des endoscopes se fait en machine
dans 65 % des cas ;
Finalisation du guide
Le titre définitif de ce guide est donc : « Eléments
d’assurance qualité en hygiène relatifs au contrôle
microbiologique des endoscopes et à la traçabilité en
endoscopie ». Ce document a pour objectif de contribuer à l'assurance qualité en hygiène endoscopique
en traitant deux domaines complémentaires qui
n'avaient pas fait l'objet de recommandations antérieures : les contrôles microbiologiques des endoscopes thermosensibles comportant plusieurs canaux
et la traçabilité en endoscopie. Les mesures ainsi
préconisées ne viennent pas en remplacement des
bonnes pratiques endoscopiques qui reposent avant
tout sur les mesures de nettoyage-désinfection
effectuées après chaque acte endoscopique ou
après stockage selon les recommandations déja en
application.
– l’endoscopie digestive est réalisée sous AG dans
80 %.
Quelques points sur la FOGD :
– détection et surveillance EBO : 26 396 ;
– FOGD normale dans 30 % des cas ;
– colorations trop faibles (1,5 %) ;
– 6,7 % de FOGD thérapeutiques (4,7 % de mucosectomies soit 3 900, en augmentation) ;
– Nouveaux cancers œso-gastro-duodénaux : 26 679.
Quelques points sur la Coloscopie :
– on fait de moins en moins de coloscopie courte ;
Ce document, rédigé par un groupe d’experts piloté
par le Pr B. Pozzetto et auquel a participé activement
la SFED (Ch. Boustière) et le GIFE (A. Biron), a été
finalisé puis validé par le comité technique des infections nosocomiales et des infections liées au sang
(CTINILS) et le CSHPF lors de la séance du 19 janvier
2007.
– 1 500 échecs de coloscopie du fait de l’absence
d’anesthésie générale ;
– 72 % des polypes ont moins de 5 mm (seraient-ils
détectés par coloscopie virtuelle ?) ;
– 45 034 cancers du côlon diagnostiqués dont 6 % de
lésions superficielles ;
Il est notamment rappelé dans ce guide que les cas
d’infections identifiés et publiés en relation avec un
acte d’endoscopie digestive restent exceptionnels,
compte tenu du nombre important d’examens réalisés, grâce à l’efficacité des traitements de nettoyage-
– 900 000 polypectomies ;
– en cas d’hémoccult positif, 45 % de polypes et 9 %
de cancers sont détectés.
Acta Endoscopica
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Volume 37 - N° 1 - 2007
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
désinfection à inactiver les virus hématogènes, en
particulier des hépatites B, C et du HIV. En fait, dans
tous les cas de transmissions documentées mettant
en cause l’acte endoscopique de façon certaine, il a
été identifié des manquements évidents aux bonnes
pratiques d’hygiène telles qu’elles sont aujourd’hui
définies ou une causalité liée à l’acte anesthésique
associé.
que des procédures de traitement (produits et procédés), de maintenance et de contrôle des endoscopes. Le but est de pouvoir identifier le plus rapidement possible un ou plusieurs patients exposés à
un risque potentiellement infectieux en cas de
défaillance technique ou d’erreur humaine. Il faut
donc mettre en place un système d’identification non
ambigu de l’ensemble des paramètres selon une procédure adaptée à chaque centre mais qui fera l’objet
d’un audit interne pour en vérifier la pertinence.
a) Contrôles microbiologiques
On propose ainsi la tenue d’un registre journalier des
actes ou cahier de bloc, un registre des procédures de
désinfection (cahier de salle) et un archivage du
compte rendu de l’acte d’endoscopie qui devra également être inclus dans le dossier médical du patient.
Une informatisation de ce système permet évidemment un gain de temps, d’efficacité et de cohérence.
Ces contrôles microbiologiques sont destinés à identifier un risque potentiel de contamination des
patients. C’est un indicateur de résultat permettant
de détecter un écart par rapport à la qualité microbiologique attendue, d'en rechercher la cause et de
proposer des mesures correctives.
Les prélèvements sont effectués selon une méthodologie rigoureuse, selon une périodicité laissée au
choix des utilisateurs mais un contrôle annuel de l’ensemble du parc d’endoscopes est souhaitable. les prélèvements seront réalisés selon une méthodologie
rigoureuse, environ après 6 à 12 heures de stockage,
par du personnel formé et en utilisant une solution
adaptée avec un recueil et une analyse globale pour
tous les canaux d’un même endoscope. Les résultats
sont semi quantitatifs rendus en UFC et détermineront la conduite à tenir selon 3 niveaux : niveau cible
(résultat conforme), niveau d’alerte (contamination
non pathogène : UFC > 25 et < 100) autorisant la
poursuite de l’activité après nouvelle désinfection
sans attendre les résultats du nouveau contrôle,
niveau Action (forte contamination : UFC > 100 ou
pathogènes) nécessitant la suspension de l’utilisation
du matériel et des mesures correctives jusqu’au
retour au niveau cible. Ces contrôles peuvent être
programmés ou ponctuels :
– programmés, ayant pour objectif de vérifier l’état
du parc d’endoscopes en effectuant une évaluation
du niveau de contamination résiduel des canaux, de
contribuer à l’évaluation de l’action anti-microbienne
des procédures de traitement en vigueur dans l’établissement que celles-ci soient manuelles ou automatiques ;
– ponctuels, ayant pour objectif de vérifier l’état de
contamination micro-biologique de l’endoscope
dans des circonstances particulières (retour de maintenance, problèmes observés lors du traitement
de l’endoscope, besoin ou demande du service
clinique, prêt) et d’investiguer un ensemble de cas
groupés, pouvant faire suspecter la responsabilité
d’un endoscope dans la transmission.
Les modalités de maintenance et de réparation on
été regroupées dans la partie Traçabilité afin de proposer des mesures simples applicables au quotidien
dans chaque centre d’endoscopie, sachant que les
endoscopes sont des dispositifs classés DM 2a et donc
non soumis à une obligation de contrôle régulier.
Il est proposé un schéma simple de surveillance des
endoscopes avec :
– un contrôle « utilisateur » quotidien placé sous
la responsabilité du praticien d’endoscopie :
aspect visuel, perméabilité des canaux, béquillage,
pistons… ;
– un contrôle « fabricant » annuel, sur site ou SAV en
fonction des accords et compétences locales, selon les
recommandations des constructeurs pour chaque
type d’appareil.
Les appareils dits « à risque » doivent bénéficier d’une
surveillance plus soutenue, notamment dans les établissements qui doivent pratiquer un échantillonnage
des contrôles du fait d’un parc d’endoscopes très
important. Toute action de maintenance ou de réparation sur un endoscope devra être enregistrée avec :
– un inventaire du parc d'endoscopes en activité
avec année de mise en service, matricule et contrats
éventuels ;
– un carnet ou classeur ou fichier informatique pour
chaque appareil listant tous les évènements concernant cet appareil et en particulier les visites de maintenance, les réparations faites ou proposées (devis)
AFSSAPS : Mesures nouvelles
a) les modifications à venir en endoscopie :
b) Traçabilité en endoscopie
Elles comportent 2 trains de mesures :
Le principe de traçabilité repose sur un enregistrement en temps réel des paramètres humains (patient
et opérateur), techniques (actes endoscopiques),
matériels (endoscopes, LDE, matériels satellites) ainsi
Volume 37 - N° 1 - 2007
1. Ce qui est déjà en application :
– Mise à niveau des laveurs désinfecteurs avec obligation du non-recyclage du produit désinfectant.
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Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
– Contrôle des produits à base d’acide peracétique :
performances, stabilité, compatibilité.
– nouvelle commission CNM en place, appel à
experts.
– DM réutilisable dans le cadre des actes à risque
pour le prion : interdiction de réutilisation des pinces
à biopsies en endoscopie et généralisation du passage à l’usage unique.
4. Ordre de passage des patients en endoscopie : le
point de vue du CITNILS (B. Pozzetto)
a) le contexte : le 7 mars 2006, suite à une demande
de la SFED, le président Beaucaire souhaite qu’un
groupe de travail soit mis en place pour réfléchir sur
l’ordre de passage des patients en endoscopie digestive. Cette réflexion repose sur la jurisprudence
du 8 juin 2006, issue d’un jugement émis contre
un confrère gastroentérologue après transmission du
virus C au cours d’une coloscopie. Le rapport du
groupe a été émis le 16 janvier 2007.
2. Ce qui est en préparation
– Aptitude à la réutilisation des dispositifs médicaux
et actes à risque prion avec étude des possibilités de
désinfection complète du matériel : concept de
nettoyabilité.
– Contrôle du marché des gaines de protection.
– Validation d’un protocole évaluation des produits
et procédés d’élimination des déchets avec inactivation du prion à base de dérivés chlorés.
– Après un rappel sur les principaux virus hématogènes (HBV, HCV, HIV, HTLV) et une analyse exhaustive de la littérature, il n’a pas été retrouvé de facteur
de risque de contamination en fonction de l’ordre de
passage des patients en endoscopie. Par contre, sur
la plupart des études, il a été mentionné un risque
infectieux potentiel concernant l’utilisation de flacons multi-doses utilisés en anesthésie pour plusieurs
patients.
– Maintenance préventive et contrôle obligatoire
des équipements : endoscopes, laveurs-désinfecteurs,
stérilisateurs.
Les nouvelles contraintes de la recherche clinique
1. Cadre unique maintenu pour les produits de
santé, médicaments mais aussi DM.
D’autres situations cliniques courantes permettent de
réfléchir sur l’opportunité d’un ordre de passage :
2. Régime d’autorisation implicite en 60 jours maximum sauf exception
– en hémodialyse, en France, le guide du SFHH 2006
ne recommande pas d’ordre de passage ;
– dossier allégé en 30 j ;
– au bloc opératoire, il n’y a plus de ségrégation
entre chirurgie propre et chirurgie sale pour les salles
d’opérations ;
– autorisation explicite en 90 jours maximum pour
bio, OGM.
– dans les autres pays d’Europe il n’y a aucune
recommandation pour l’ordre de passage
3. Champ d’application des dispositions de la loi
n° 2004-806 du 9/08/04 restreint aux essais interventionnels, excluant les essais non interventionnels où
l’avis favorable du CPP est suffisant sans autorisation
de l’AFSSAPS.
La conclusion du comité du CTINILS est donc sans
équivoque : aucun ordre de passage n’est requis en
endoscopie digestive sous réserve d’une observance
complète des précautions standard. Cet avis basé sur
des données scientifiques est donc opposable sur un
plan médico-légal et comme nous l’a démontré
Maitre Lucas-Baloup après un brillant exposé sur les
sources du droit, permettra de remettre en question
la validité du jugement qui avait été porté initialement et qui avait abouti à la condamnation de
notre confrère
Révision de la directive 93/42 concernant le marquage CE
– renforcement des procédures de certification ;
– évaluation clinique systématique avant CE puis
post-CE.
Veille et Accompagnement d’Innovation
– la veille se fera en liaison avec les Sociétés
Savantes ;
– l’accompagnement aura pour but de favoriser
l’accès rapide des innovations à intérêt de santé
publique prononcé.
Présentation de la mise à jour du site sfed.org
en direct par B. Vedrenne.
Présentation par les firmes de différentes
nouveautés en endoscopie
a) FUJINON
– Série 500 : 1,3 million de pixels avec zoom électronique et FICE.
– Entéroscope double ballon, 18 centres en France
sont équipés.
Traçabilité patients
– des implants ;
– des nouveaux DM2b/III ;
Acta Endoscopica
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Volume 37 - N° 1 - 2007
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
– Il existe également un Coloscope, double ballon,
EC450B15.
– Echo-endoscope.
– Nasogastroscope EG530N.
– Bistouri + jet d’eau : flush Knife.
– Service après vente +++.
– 1/3 moyen, extractible ;
– bas œsophage : double, antireflux.
– Duodénum : prothèse non couverte et couverte.
– Biliaire, prothèse en Y.
– Côlon.
b) GIVEN
– Pillcam SBi.
– Pillcam œso.
– Logiciel RAPID 4 avec sa fonction atlas.
– Rapid access qui permet de visualiser en direct et
qui a l’intérêt de permettre de visualiser le passage
pylorique.
– Patency capsule à 2 têtes.
– Pillcam côlon.
f) ERBE
– Le bistouri VIO 200 : 1 générateur de 200 watts, un
écran couleur, 3 prises de sortie.
– Nouvel Endocoupe : 1 pour la sphinctérotomie,
1 pour la mucosectomie.
– Pompe d’irrigation EIP2.
– APC 2 forced pulsed et precised.
Kit de marquage spot.
g) LIFE
– Prothèses MI Tech.
– Colorants: lugol, indigo carmin, acide acétique… et
le sigmavist et sterimark.
– Un nouvel appareil de désinfection WMS4F avec
électrolyse de l’eau salée. 26 machines sont déjà
installées.
– Anses à filet.
– Nouveautés : anses à polypectomie froide, dissection sous muqueuse et prothèse œsophagienne pour
lésion bénigne (couverture intérieure et extérieure).
c) OLYMPUS
– EXERA II avec HDTV (high definition), NBA et Photo
Dynamic Diagnosis (PDD).
– Echo-endoscope diagnostique et thérapeutique
transbronchique.
– La salle du futur Endo-alpha.
d) PENTAX
– Création du Club d’endomicroscopie (Pr Galmiche).
– Echo-endoscope 360° et élastographie.
– série EPK i « high » : 1,3 million de pixels avec
nouveau design PACT et le moniteur REVO.
h) OLYMPUS
– Hémostase/suture : aiguille à sclérose – polyloop –
quick clip, long rotatif pour la fermeture de plaie.
– CPRE : lithocrush V et la poignée MAJ 441.
– Nouveautés : EZ clip (long ou très court), nouveau
cathé, nouveau sphinctéro. ESD : ITKnife 2.
Présentation par les firmes des différentes
nouveautés concernant les dispositifs
a) AXCAN PHARMA : PDT
i) SOLUSCOPE : 400 à 450 laveurs désinfecteurs installés. Traçabilité TRS pour le soluscope qui permet de
sortir des tickets à la fois pour patient, endoscope et
machine.
b) BOSTON SCIENTIFIC
– Partenariat maintenu dans l’enseignement et les
protocoles.
Centre de formation : label SFED ? accréditation
nouvelle plate-forme Wallflex biliaire. 1er semestre
2007
IMPACT DE LA CCAM ET DE LA T2A
SUR LA PRATIQUE DE L’ENDOSCOPIE
c) CONMED
– Le spidernet : anse à filet.
– Flexius : stent biliaire.
Les nouvelles techniques de résection endoscopique : avantages et contraintes (T Ponchon)
d) COOK
– Seule firme à proposer un overtube pour Zencker
et un sphincterotome Billroth II.
– Sphinctérotome Dome Fusion.
– 14 nouveaux produits sont prévus sur 3 ans.
Nous sommes passés de la destruction des lésions à la
résection, de la polypectomie à la mucosectomie puis
à la dissection sous muqueuse (ESD), du traitement
de lésions pédiculées au traitement de lésions sessiles.
e) DB2C spécialisée en chirurgie coelioscopique
– Œsophage prothèse NITI-STaewong Médical :
– cervical, collerette de 5 mm ;
Le principe majeur qui guide cette évolution est de
respecter les règles de la chirurgie carcinomateuse en
réséquant en une pièce avec marge de sécurité (+++)
les lésions superficielles dégénérées.
Volume 37 - N° 1 - 2007
102
Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
a) Avantages de cette évolution pour la santé
publique :
– moindre morbidité et moindre temps d’hospitalisation par rapport à la chirurgie ;
– moindre coût par rapport à la chirurgie.
– l’UNOCAM (Union Nationale des Organismes
d’Assurance Complémentaire) donne avis ;
– l’UNCAM fixe les tarifs.
Pour la spécialité c’est la fédération qui a été choisie
pour servir d’interlocuteur à la CHAP et pour définir
la liste des experts de la spécialité qui détermineront
la hiérarchisation des actes nouveaux.
Ex :
– EMR haute : 465 € DMS < 2 j ;
– œsophagectomie : 4 000 € DMS 17-28 j ;
– EMR colique : 465 € DMS < 2 j ;
– colectomie : 3 358 € DMS 12-22 j.
GHS 9600 : quelle évolution en établissement
de santé et hors établissement de santé ?
(M. Aoustin)
b) Contraintes de cette évolution pour les endoscopies et les établissements :
– augmentation du temps de travail et donc du tps
anesthésiste :
– EMR : Rex (USA) lésion 2 cm côlon jusqu’à 30 mn
de temps supplémentaire,
– ESD : série japonaise, tps moy = 80 mn ;
– risque perforation : sur côlon : EMR 1 %, ESD 3 % ;
sur estomac : une série de 121 perforations gastriques
avec cependant 98 % de tt conservateur ;
– matériels spécifiques (couteaux, pinces coagulantes, clips, endoscopes 2 canaux, avec élévateur)
coûteux :
– clip 90 €, pince coag 170 €, couteau 320-400 € ;
– staging préalable par échoendoscopie (éventuellement minisonde) ;
– analyse anatomopathologique par micrométrie en
utilisant la classification : m1, m2, m3, sm1 qui
conduit à un temps d’analyse plus long (30 mn
vs 5-10 mn).
Il faut d’emblée rappeler que le tarif du GHS n’est pas
uniquement lié au coût de production de chaque
acte car il intègre la contrainte d’enveloppe globale
déterminée par l’ONDAM. L’échelle nationale des
coûts privée qui doit se développer permettra de
mieux évaluer le coût de production.
La circulaire DHOS-F1/MT2A/376, appelée « circulaire
frontière », est destinée à préciser les conditions de
facturation des séjours hospitaliers de moins d’une
journée.
L’arrêté du 25 août 2006 modifiant l’arrêté du 5 mars
2006, est complété par :
«Pour les cas où la prestation nécessite l’utilisation du
secteur opératoire du fait de la nature de l’acte réalisé, la prise en charge du patient peut donner lieu à
facturation du GHS 9600 ou du GHS 9601 dans les
conditions suivantes :
• le GHS 9600 lorsque les prestations de séjours et
de soins délivrées au patient donnent lieu à la production d’un des GHM d’endoscopie suivants :
24K25Z ; 24K27Z ; 24K29Z ; 24K31Z ; 24K33Z ;
24K34Z ; 24K35Z ».
Commentaires : la réduction des coûts pour la société
française devrait s’accompagner d’un intéressement
et d’une aide financière pour les spécialistes et les
sociétés savantes qui ont participé à cette évolution,
de façon à ce que ces techniques mini invasives
s’implantent facilement.
La lettre de la DHOS adressée aux ARH le 4 septembre 2006 pour transmission aux directeurs d’établissement et médecins de DIM donne des renseignements.
Comment finaliser l’intégration des nouveaux
actes validés par la HAS dans la CCAM (S. LarueCharlus)
Les endoscopies sont désormais reconnues comme
justiciables d’une procédure particulière dont la
rédaction est issue de textes parus ou à paraître.
L’évolution vers une base forfaitaire devrait aboutir
à une tarification hors GHS.
La commission de hiérarchisation des actes et des
prestations (CHAP) a été mise en place par la loi du
13/8/2004.
Le GHS 9600 est tarifé 75 € en établissement privé
(hors honoraires) et 165 € en public.
La CCAM regroupe 7200 actes. C’est un outil
complexe , utilisé depuis sept 2005, descriptif et
facturant (+++). Il repose sur le dogme « pas de
perdant » mais l’enveloppe financière attribuée est
globale et votée au Parlement.
ACCRÉDITATION DES PRATIQUES À RISQUES
Pour intégrer un nouvel acte :
– l’UNCAM saisit l’HAS et la CHAP ;
– l’HAS évalue le service attendu ;
– la CHAP hiérarchise ;
Acta Endoscopica
Rôle HAS (P Werner)
Selon une enquête de l’ENEIS, sur 7 j, on retient 58 %
d’événements graves (EIG) dans des Unités Médicales
103
Volume 37 - N° 1 - 2007
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
Rôle des OA-accréditation (B. Croguennec)
et 68 % dans des Unités Chirurgicales. Les EIG doivent
être déclarés à l’INVS. Les événements considérés
comme porteurs de risques médicaux (EPR) doivent
être déclarés à l’HAS par l’intermédiaire d’un
Organisme Agréé.
Un organisme agréé-accréditation est indépendant
des établissements de santé et des organismes
d’assurances. Il a un lien important avec la HAS pour
l’enregistrement des EPR et pour l’analyse des
risques de la spécialité. Le lien avec les sociétés
savantes est également primordial pour l’établissement et la validation des recommandations de bonne
pratique. Ses missions sont bien établies mais son
financement est à prévoir du fait du travail important
d’expertise.
L’accréditation des médecins est un dispositif volontaire de gestion des risques. Elle a pour objectif
d’améliorer la pratique médicale en établissement de
santé par la réduction des risques qui y sont associés.
Elle constitue également une réponse à la hausse des
primes d’assurance en responsabilité civile professionnelle.
Les experts retenus doivent exercer la spécialité
> 10 ans, ou avoir arrêté depuis < 3 ans, avoir été
déclarés compétents HAS, n’avoir déclaré aucun
conflit d’intérêt.
Le décret du 21 juillet 2006 et le décret du
7 décembre 2006 définissent le cadre de l’accréditation des médecins exerçant en établissement de
santé. L’HAS assure la mise en place et organisation
de cette démarche et met à disposition des professionnels concernés la méthode et les outils correspondants.
Rôle des Sociétés Savantes de la FSMAD
(B. Napoléon)
Le rôle des sociétés savantes dans l’accréditation reste
indirect. Des représentants des SS doivent s’impliquer
dans les OA pour pouvoir faire le lien entre ces structures appelées à être autonomes et les SS ellesmêmes. Elles devront, en particulier, être partie prenante pour la rédaction des recommandations qui
suivront les déclarations d’EPR et pour la définition
du référentiel risque de la spécialité.
Pour les médecins, l’accréditation est une démarche
volontaire valable pour une durée de 4 ans, a valeur
d’EPP et participe à l’obligation de FMC. Pour les établissements de santé, l’accréditation des médecins
permet de répondre aux critères de la procédure de
certification.
Volume 37 - N° 1 - 2007
104
Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
JOURNÉES FRANCOPHONES DE PATHOLOGIE DIGESTIVE
Communications orales
Tronc commun 1
Lundi 19 mars de 8 h 30 à 10 h 30 - Salle 3000
Endoscopie
Modérateurs : M Barthet (Marseille), JA Cordova Villalobos (Mexico), B Croguennec (Limoges)
9 h 30
8 h 30
La coloscopie en France en 2005 : résultats d’une
enquête prospective nationale de la Société Française
d’Endoscopie Digestive (SFED)
Facteurs prédictifs de rentabilité diagnostique et
thérapeutique de l’entéroscopie à double ballon chez
les patients explorés pour une hémorragie digestive
inexpliquée
JM Canard (Paris)
T Manière, M Palazzo, T Lecomte, B Landi, B Boboc,
J Canard, R Jian, C Cellier (Paris, Tours)
8 h 42
Minisondes d’échoendoscopie pour le staging des
lésions néoplasiques superficielles de l’œsophage :
une série de 123 lésions
9 h 42
Intérêt de la ponction sous écho-endoscopie pour
prédire la malignité des tumeurs intracanalaires
papillaires et mucineuses pancréatiques
M Chemaly, O Scalone, G Durivage, B Napoléon,
B Pujol, C Lefort, V Hervieu, J Scoazec, J Souquet,
T Ponchon (Lyon)
F Maire, H Voitot, A Aubert, L Palazzo, D O’Toole,
A Couvelard, O Corcos, P Ponsot, P Lévy, P Ruszniewski,
P Hammel (Clichy)
8 h 54
Vidéocapsule Endoscopique et Préparation Intestinale
par Phosphate de Sodium Oral : Etude Comparative,
Prospective et Randomisée
9 h 54
M Lapalus, E Ben Soussan, J Saurin, O Favre,
D Heresbach, D Coumaros, M Gaudric, M Antonietti,
P d’Halluin, P Jacob, J Gaudin, L Heyries, T Ponchon
(Lyon, Rouen, Pierre-Bénite, Nîmes, Rennes, Strasbourg, Paris, Marseille)
Elastosonographie guidée par échoendoscopie.
Résultats d’une étude multicentrique prospective
chez 222 patients avec étude inter-observateur
M Giovannini, E Bories, P Arcidiacono, P Vilmann,
A Saftoiu, P Deprez, R Yeung, D Schimdt, D Schrader,
D Symanski, C Dietrich, P Eisendrath, J Devière
(Marseille, Milan - ITALIE, Copenhague - DANEMARK,
Bruxelles - BELGIQUE, Bochum - ALLEMAGNE,
Francfort - ALLEMAGNE)
9 h 06
Faisabilité, rentabilité diagnostique et thérapeutique
et morbidité de l’entéroscopie à double ballon en fonction de l’indication : série prospective monocentrique
T Manière, M Palazzo, B Landi, B Boboc, J Canard,
F Bloch, R Jian, C Cellier (Paris)
10 h 06
Mini-conférence : « L’endoscopie en dehors des établissements de santé : quelle charte de qualité ? »
9 h 18
Allocution Présidentielle SFED
T Ponchon (Lyon)
Séance plénière
Lundi 19 mars - Salle 3000
12 h 30
Conférence Jacques Fournet : les alternatives à la coloscopie et leurs limites
S Chaussade (Paris)
Acta Endoscopica
105
Volume 37 - N° 1 - 2007
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
PROGRAMME DU SYMPOSIUM DE
LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE D’ENDOSCOPIE DIGESTIVE
Le lundi 19 mars 2007
de 16 h 00 à 18 h 00
Salle 3000
L’exérèse endoscopique des polypes colorectaux : de A à Z ...
Modérateurs : G Gay (Vandœuvre-lès-Nancy), B Napoleon (Lyon), JC Letard (Poitiers), T Ponchon (Lyon)
16 h 00
16 h 50
Introduction
La polypectomie - la préparation
B Napoléon (Lyon)
Quand faut-il enlever le polype (à la montée, à la
descente) ?
16 h 05
M Pelletier (Bourgoin-Jallieu)
2 jours en France 2006
Comment positionner l’endoscope pendant le
geste ?
JM Canard (Paris)
J Boyer (Angers)
16 h 15
Quelle est la place de la pince chaude pour les
petits polypes ?
Remise du Prix Jeanpierre
L Palazzo (Paris)
M Pelletier (Bourgoin-Jallieu)
Faut-il et comment prévenir l’hémorragie pour les
polypes à large pédicule ?
16 h 20
Avant la polypectomie - l’indication
G Lesur (Boulogne)
Que faire pour les polypes d’allure hyperplasique
rectaux et coliques ?
Faut-il avoir des clips et lesquels ?
J Boyer (Angers)
F Devulder (Reims)
Existe-t-il un facteur (diamètre, localisation, aspect
macroscopique) empêchant la polypectomie ou la
mucosectomie ?
Discussion
17 h 15
M Barthet (Marseille)
La Polypectomie - le geste
Est-il licite d’envoyer un polype de 2 cm non dégénéré à un chirurgien ?
Quel polype pédiculé faut-il injecter avant ?
D Coumaros (Strasbourg)
P Jacob (Nimes)
Où injecter ?
Quand faut-il obligatoirement une résection en
une seule pièce avec une marge saine de sécurité ?
P Bulois (Lille)
D Coumaros (Strasbourg)
Que faut-il injecter ?
Quand faut-il colorer avant et après la résection ?
J Cassigneul (Toulouse)
J Cassigneul (Toulouse)
Quelle anse utiliser ?
Discussion
B Vedrenne (Mulhouse)
Volume 37 - N° 1 - 2007
106
Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
Quels sont les types et paramètrages de bistouri à
privilégier ?
Quand et comment marquer un polype ?
F Devulder (Reims)
B Vedrenne (Mulhouse)
Comment récupérer le polype ?
Discussion
P Bulois (Lille)
17 h 40
Que faire en cas de polype perdu ?
Après la polypectomie
P Jacob (Nimes)
Peut-on employer la coagulation au plasma argon?
Discussion
G Lesur (Boulogne)
18 h 00
Assemblée Générale Extraordinaire de la SFED
VIDEO SESSION
Mardi 20 Mars
de 8 h 30 à 10 h 30
SALLE 3000
Modérateurs : J Abdo (Mexico), M Barthet (Marseille), JM Canard (Paris)
8 h 30
Traitement du diverticule de Zenker par septotomie
endoscopique
P Pouderoux (Nîmes)
Lugol et /ou coloration électronique par Narrow band
Imaging
T Tatagiba, M Lapalus, B Napoléon, T Ponchon (Lyon)
9 h 30
La coloscopie double ballon (CDB), une solution pour
les coloscopies difficiles : expérience initiale
G Gay, M Delvaux (Nancy)
8 h 42
Présentation d’une nouvelle technique endoscopique de traitement du RGO : la fundoplicature
endoluminale type Esophix
J Boyer, V Quentin, J Arnaud, E Lermitte (Angers)
9 h 42
Mini-conférence : « Endoscopie et traitement antiplaquettaire chez les patients porteurs de stents
vasculaires »
B Napoléon (Lyon)
8 h 54
Gastroscopie de dépistage à la méthode japonaise
H Kubo, T Tatagiba, B Napoléon, T Ponchon (Fukuoka
- JAPON, Lyon)
10 h 06
Apports du système FICE ( Fujinon Intelligent Color
Enhancement ) à l’endoscopie digestive
R Laugier, N Tuvignon, A Laquière (Marseille)
9 h 06
Traitement endoscopique des polypes de l’intestin
grêle par entéroscopie à double ballon : faisabilité,
résultats et complications
M Palazzo, T Manière, B Boboc, B Landi, J Canard,
R Jian, C Cellier (Paris)
10 h 18
Création et évaluation sur modèle porcin de deux
techniques de dissection sous-muqueuse par voie
endoscopique en utilisant un jet d’eau sous haute
pression
V Lépilliez, C Robles, H Pitanga, M Chemali,
S Langonnet, F Arnal, T Ponchon (Lyon)
9 h 18
Carcinome épidermoïde superficiel de l’œsophage :
Aspects endoscopiques avant et après coloration
Acta Endoscopica
107
Volume 37 - N° 1 - 2007
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
SYMPOSIUM CHDH – SFED
Mardi 20 mars
de 16 h 00 à 18 h 00
SALLE 3000
Polypes et polyposes digestives
Modérateurs : C Boustiere (Aubagne), F Paraf (Limoges)
16 h 00
Des entités à connaître au sein des polypes du tube
digestif
17 h 10
Le polype adénomateux de 5 mm
Quel risque à ne pas l’enlever ?
Polypes juvéniles et autres polypes hamartomateux
A Couvelard-Benveniste (Clichy)
MD Diebold (Reims)
La méthode d’exérèse doit-elle être adaptée à l’aspect
endoscopique ?
Polypes crénelés
D Chatelain (Amiens)
D Heresbach (Rennes)
16 h 30
Polyposes
17 h 35
La prise en charge oncogénétique
S Olschwang (Marseille)
Mucosectomie colique et polypectomie
Qu’attendent les anapath de nos prélèvements ?
16 h 50
Coloration pancolique à l’indigo carmin : quand et
comment ?
MG Lapalus (Lyon)
Volume 37 - N° 1 - 2007
JY Scoazec (Lyon)
Qu’attendent les endoscopistes des anapath ?
JC Saurin (Pierre Benite)
108
Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
RÉUNIONS SOUS L’ÉGIDE DE LA SFED
JOURNÉES FRANCOPHONES
DE PATHOLOGIE DIGESTIVE
Lyon (France), Palais des Congrès,
17-21 mars 2007
Renseignements / Inscriptions :
Nathalie JEAN
Laboratoires AstraZeneca
GSM +33 (0)6 87 12 91 83
e-mail [email protected]
Organisation :
SNFGE - ACHBT - CHDH - SFCD - SFED - SIAD - SNFCP FMC-HGE.
Docteur François CESSOT
Service d’Hépato-Gastro-Entérologie du CHU de
Limoges
GSM +33 (0)6 21 04 47 23
e-mail [email protected]
Informations :
Secrétariat de la SNFGE
CHU Trousseau - 37044 TOURS CEDEX 01
Tél. +33 (0)2 47 48 23 01 - Fax +33 (0)2 47 48 23 02
e-mail [email protected]
Docteur Franck DUMEIRAIN
Webmaster de la SFED
GSM +33 (0)6 81 45 97 64
e-mail [email protected]
Inscriptions :
BCA
6, boulevard du Général Leclerc - 92115 CLICHY
CEDEX
Tél +33 (0)1 41 06 67 70 - Fax +33 (0)1 41 06 67 79
e-mail [email protected]
Web www.b-c-a.fr
22e JOURNÉE D’ACTUALITÉS DIGESTIVES
DU TROCADÉRO
7e RÉUNION PARIS / ÎLE-DE-FRANCE :
ÉTAT DE L’ART EN ENDOSCOPIE DIGESTIVE
INTERVENTIONAL GI ENDOSCOPY
TECHNIQUES
Paris (France), Pavillon Dauphine,
29 septembre 2007
Strasbourg (France), IRCAD/EITS, mai 2007
Organisateur :
Organisateur / Renseignements / Inscriptions :
Docteur Jean-Marc CANARD
96, boulevard du Montparnasse - 75014 PARIS
Tél. +33 (0)1 43 21 51 31 - Fax +33 (0)1 40 47 69 81
e-mail [email protected]
Docteur Dimitri COUMAROS
IRCAD/EITS
Hôpitaux Universitaires
1, place de l’Hôpital - 67091 STRASBOURG CEDEX
Tél. +33 (0)3 88 11 90 00 - Fax +33 (0)3 88 11 90 99
e-mail [email protected]
Web www.eits.fr
Informations / Inscriptions :
ALEOU / Meeting-pro
5, allée des Acacias - 77100 MAREUIL-LES-MEAUX
Tél. +33 (0)1 64 33 33 33 - Fax +33 (0)1 64 33 40 31
e-mail [email protected]
Web www.meeting-pro.com
10e JOURNÉE D’ENDOSCOPIE DIGESTIVE
DU LIMOUSIN :
ÉTAT DE L’ART
EN ENDOSCOPIE DIGESTIVE
VIDÉO-DIGEST
SÉMINAIRE DE LA SNFGE
Limoges (France), Hôtel de Région, 23 juin 2007
Paris (France), Palais des Congrès,
3, 4 et 5 octobre 2007
Organisateur :
Professeur Denis SAUTEREAU
Hôpital Dupuytren - 2, avenue Martin Luther King 87042 LIMOGES CEDEX
Tél. +33 (0)5 55 05 66 32 / +33 (0)5 55 05 66 20
Fax +33 (0)5 55 05 66 30
e-mail [email protected]
Acta Endoscopica
Secrétariat technique :
Hélène FOURNIER
96, boulevard du Montparnasse - 75014 PARIS
Tél. +33 (0)1 42 79 06 35 - Fax +33 (0)1 42 79 06 51
e-mail [email protected]
109
Volume 37 - N° 1 - 2007
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
RÉUNION DU CLUB FRANÇAIS
D’ÉCHO-ENDOSCOPIE DIGESTIVE
Inscriptions :
BCA
6, boulevard du Général Leclerc - 92115 CLICHY
CEDEX
Tél. +33 (0)1 41 06 67 70 - Fax +33 (0)1 41 06 67 79
e-mail [email protected]
Web www.b-c-a.fr
Avec la participation
du Club Belge d’Echo-Endoscopie
Janvier 2008
Informations / Inscriptions :
ALEOU / Meeting-pro
5, allée des Acacias - 77100 MAREUIL-LÈS-MEAUX
Tél. +33 (0)1 64 33 33 33 - Fax +33 (0)1 64 33 40 31
e-mail [email protected]
Web www.meeting-pro.com
20e COURS INTENSIF EUROPÉEN
EN ENDOSCOPIE DIGESTIVE DE LA SMIER
Décembre 2007
10e JOURNÉE DE RÉFLEXION
SUR L’ENDOSCOPIE DIGESTIVE EN FRANCE
Organisation scientifique :
Janvier 2008
Professeur Gérard GAY / Docteur Michel DELVAUX
Service de Médecine Interne J
Hôpital de Brabois - Allée du Morvan
54511 VANDŒUVRE-LÈS-NANCY CEDEX
Tél. +33 (0)3 83 15 43 66 - Fax +33 (0)3 83 15 40 12
e-mail [email protected] / [email protected]
Organisation scientifique :
Professeur Gérard GAY
Service de Médecine Interne J
Hôpital de Brabois - Allée du Morvan
54511 VANDŒUVRE-LÈS-NANCY CEDEX
Tél. +33 (0)3 83 15 43 66 - Fax +33 (0)3 83 15 40 12
e-mail [email protected]
Informations / Inscriptions :
Informations / Inscriptions :
ALEOU / Meeting-pro
5, allée des Acacias - 77100 MAREUIL-LÈS-MEAUX
Tél. +33 (0)1 64 33 33 33 - Fax +33 (0)1 64 33 40 31
e-mail [email protected]
Web www.meeting-pro.com
ALEOU / Meeting-pro
5, allée des Acacias - 77100 MAREUIL-LÈS-MEAUX
Tél. +33 (0)1 64 33 33 33 - Fax +33 (0)1 64 33 40 31
e-mail [email protected]
Web www.meeting-pro.com
Volume 37 - N° 1 - 2007
110
Acta Endoscopica
Lettre de la SFED Numéro 35 – Mars 2007
JOURNÉES FRANCOPHONES
DE PATHOLOGIE DIGESTIVE
17 MARS - 21 MARS 2007
Le Comité Scientifique de la SFED offre
5 prix d’une valeur de
1 525 Euros chacun pour des posters
en endoscopie digestive, thérapeutique
et diagnostique
Remise des prix
Le mardi 21 mars 2007 à 10 h 30 sur le stand SFED
Devenez membre de la SFED
Adressez
La Lettre de la SFED est éditée par la Société
Française d’Endoscopie Digestive
- une lettre de candidature
- deux lettres de parrains membres de la SFED
Directeur de la publication :
Bertrand Napoléon
- un curriculum vitae au :
Secrétariat de la SFED
Rédacteur en Chef :
Jean-Marc Canard
96, bd du Montparnasse
75014 Paris
Secrétariat de rédaction :
Hélène Fournier
96, bd du Montparnasse
75014 Paris
Votre élection vous permettra de faire partie
de la plus importante Société Scientifique
d’Endoscopie Digestive d’Europe.
N° ISSN : 16235762
La cotisation à jour de la SFED permet de recevoir Endoscopy, Acta Endoscopica et d’obtenir
une réduction sur l’inscription à Vidéo-Digest.
Document réalisé avec le soutien des laboratoires TAKEDA
Mise en page et impression : bialec, nancy (France) - Dépôt légal n° 66611 - février 2007
Acta Endoscopica
111
Volume 37 - N° 1 - 2007
comprimé orodispersible
L’IPP à prise rapide
Photographe Eric sauvage
Signé Takeda
OGASTORO® 15 mg, comprimé orodispersible. OGASTORO® 30 mg, comprimé orodispersible. COMPOSITION : lansoprazole 15 mg ou 30 mg pour 1 cp orodispersible. Excipients à Effet Notoire : aspartam, lactose.
DONNEES CLINIQUES : Indications thérapeutiques : • OGASTORO® 15 mg : - Trait. symptomatique du RGO, associé ou non à 1 œsophagite. - Trait. d’entretien et prév. des récidives des œsophagites par RGO. - Trait.
d’entretien des ulcères duodénaux chez les patients non infectés par Helicobacter pylori ou chez lesquels l’éradication n’a pas été possible. - Trait. prév. des lésions gastro-duodénales induites par les AINS chez les patients
à risque (notamment âge supérieur à 65 ans, antécédents d’ulcère gastro-duodénal) pour lesquels un traitement anti-inflammatoire est indispensable. • OGASTORO® 30 mg : - En association à une bithérapie antibiotique,
éradication de Helicobacter pylori en cas de maladie ulcéreuse gastro-duodénale. - Ulcère duodénal évolutif. - Ulcère gastrique évolutif. - Œsophagite érosive ou ulcérative symptomatique par RGO. - Syndrome de ZollingerEllison. - Trait. des lésions gastro-duodénales induites par les AINS lorsqu’ils sont indispensables. Posologie et mode d’administration : Posologie : OGASTORO® 15 mg - Trait. symptomatique du RGO : 15 mg/j. Durée
initiale du trait. : 4 à 6 sem. Par la suite, si les symptômes récidivent, un trait. intermittent ou à la demande pourra être administré en fonction des symptômes. - Trait. d’entretien et prév. des récidives des œsophagites par RGO : 15 mg/j et, si nécessaire,
30 mg/j. - Trait. d’entretien des ulcères duodénaux : 15 mg/j.- Trait. préventif des lésions gastroduodénales induites par les AINS chez les patients à risque : 15 mg/j. ctj : 0,76 à 0,78 € (1 comprimé) ; 1,52 à 1,56 € (2 comprimés). OGASTORO® 30 mg Eradication de Helicobacter pylori en cas de maladie ulcéreuse gastro-duodénale : Sont recommandés, les schémas posologiques suivants : . soit, 30 mg matin et soir + clarithromycine 0,5 g matin et soir + amoxicilline 1 g matin et soir, pendant 7 j. . soit,
30 mg matin et soir + clarithromycine 0,5 g matin et soir + métronidazole ou tinidazole 0,5 g matin et soir, pendant 7 j. . soit, en alternative aux schémas précédents, 30 mg matin et soir + amoxicilline 1 g matin et soir + métronidazole ou tinidazole 0,5 g
matin et soir pendant 7 j. L’efficacité du trait. dépend du respect de la prise de la trithérapie durant les 7 j. - Ulcère duodénal évolutif : 30 mg/j, 4 sem. - Ulcère gastrique évolutif : 30 mg/j, 4 à 6 sem. - Œsophagite par RGO : 30 mg/j, 4 sem. + éventuelle
seconde période de 4 sem. à la même posologie. - Syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie initiale recommandée est de 60 mg de lansoprazole 1 fois/j. La posologie doit être ajustée individuellement et le trait. poursuivi aussi longtemps que nécessaire
cliniquement. Pour des posologies supérieures à 120 mg/j, la dose journalière devra être divisée et donnée en 2 prises. - Traitement des lésions gastro-duodénales induites par les AINS : 30 mg/j pendant 4 à 8 sem. ctj : 1,41 à 1,47 € (1 comprimé) ; 2,81 à
2,94 € (2 comprimés). Mode d’administration* : Voie orale Les cp ne doivent être ni croqués, ni mâchés. Contre-indications : - Allergie au lansoprazole. - Phénylcétonurie (en raison de la présence d’aspartam). Mises en garde spéciales et
précautions particulières d’emploi. Mises en garde : Comme les autres anti-sécrétoires gastriques, le lansoprazole favorise le développement de bactéries intragastriques par diminution du volume et de l’acidité du suc gastrique. La survenue d’une
diarrhée persistante au cours des 1ers mois de trait. doit faire évoquer une colite (cf. « effets indésirables ») et conduire à interrompre le trait. En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de
syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase. Précautions d’emploi* : En cas d’ulcère gastrique, il est recommandé de vérifier la bénignité de la lésion avant traitement. - Insuffisance hépatique : après prise unique chez
le cirrhotique, l’élimination est ralentie : ne pas dépasser 30 mg/j. - Insuffisance rénale : aucun ajustement de doses nécessaire. - Chez l’enfant : efficacité et tolérance du lansoprazole non étudiées. - Chez le sujet âgé : aucun ajustement de doses nécessaire.
Interactions médicamenteuses* : Associations à prendre en compte : + Itraconazole, kétoconazole. Grossesse et allaitement. Grossesse* : A l’exception d’indications très restreintes et validées, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant
la grossesse. Allaitement* : Utilisation à éviter au cours de l’allaitement. Effets indésirables : - rares cas de diarrhées, nausées, vomissements, douleurs abdominales, constipation, possibilité de survenue de colite, généralement microscopique (collagène
ou lymphocytaire), régressant le plus souvent à l’arrêt du trait. ; - rares cas de céphalées et exceptionnellement sensations de vertiges ; - très rares cas de prurit, rash cutané, syndrome de Stevens-Johnson ou nécrolyse épidermique toxique (syndrome de
Lyell) ; - très rares cas d’atteintes hépatiques biologiques et/ou cliniques, y compris ictères ; - cas isolés de thrombopénie, leucopénie et d’agranulocytose ; - très rares cas de réactions de type anaphylactique (urticaire, angio-œdème, exceptionnellement
choc anaphylactique) ; - rares cas de gynécomasties ; - exceptionnelles hyponatrémies signalées, en particulier chez le sujet âgé. Surdosage* : Trait. symptomatique. Propriétés pharmacodynamiques* : INHIBITEURS DE LA POMPE A PROTONS, Code ATC
A02BC03 (A : appareil digestif et métabolisme). Propriétés pharmacocinétiques* : DONNEES PHARMACEUTIQUES* : NUMERO(S) D’AMM : OGASTORO® 15 mg (25/07/2005) 368 716-7 : BT/14 - PPTTC : 10,94 € - 368 717-3 :
BT/28 - PPTTC : 21,33 €. OGASTORO® 30 mg (25/07/2005) 368 713-8 : BT/14 - PPTTC : 20,57 € - 368 714-4 : BT/28 - PPTTC : 39,36 €. CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE : Liste II. Remb Sec Soc 65% Agréé collect.
TITULAIRE : Laboratoires TAKEDA - 11-15, quai de Dion Bouton 92816 Puteaux cedex. Info médicale et pharmacovigilance : Tél : 01 46 25 12 00. MISE A JOUR : Octobre 2006. * Pour une information complète, consulter le dictionnaire Vidal.