23 janvier 2014 - Communauté de communes Centre Dombes
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23 janvier 2014 - Communauté de communes Centre Dombes
COMMUNAUTE DE COMMUNES CENTRE DOMBES PROCES VERBAL DE SEANCE DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE du jeudi 23 janvier 2014 à 20h30 SALLE DE REUNION - VILLARS LES DOMBES Etaient présents les délégués suivants : Communes de : BIRIEUX BOULIGNEUX LA CHAPELLE DU CHATELARD LAPEYROUSE MARLIEUX MIONNAY MONTHIEUX ST ANDRE DE CORCY ST GERMAIN SUR RENON ST MARCEL EN DOMBES SAINTE OLIVE ST PAUL DE VARAX VILLARS LES DOMBES M. CHRISTOLHOMME M. COMTET MM. SIBELLE – M. RIMAUD MM. DUBOST - DUMAREST M. DEPLATIERE MM. CORMORECHE - GIRER Mme BACONNIER Mme LACROIX – MM. BARON – LEFEVER – BROUXEL - LIVENAIS M. MONIER MM. PETRONE – NOUET MM. REGNIER - GERARDEAUX MM. TRIPOZ - PUISSANT Mmes MANISSIER – JAEGER – PATUREL (suppléante) – MAS (Suppléante) – M. HUMBERT Excusés M. BRAZIER (Birieux) Mme DALARD (Pouvoir à M. COMTET) (Bouligneux) M. GRANDJEAN (Pouvoir à M. DEPLATIERE) (Marlieux) MM. LAPALU (Pouvoir à M. CORMORECHE) - BOURDIN (Pouvoir à M.GIRER) (Mionnay) M. CHARVIEUX (Monthieux) M. GOURDIN (Pouvoir à M. MONIER) (Saint Germain Sur Renon) M. SILVESTRE (Saint Marcel en Dombes) M. BERNIGAUD (Saint Paul de Varax) Mme MONZILIARD - M. VAN HEMELRIJCK – FAVERJON (pouvoir à M. HUMBERT) (Villars Les Dombes) Assistaient également à cette séance : M. BOURDEAU – Directeur Général des Services Mme BERNOLIN – Assistante administrative M. Claude REGNIER est élu secrétaire de séance. ADMINISTRATION GENERALE I – DESIGNATION D’UN SECRETAIRE DE SEANCE Il est procédé, conformément aux articles L. 2541-6 et L. 5211-1 du Code Général des Collectivités Territoriales, à l’élection d’un secrétaire de séance pris dans le sein du Conseil. M. Claude REGNIER, ayant obtenu la majorité des suffrages, est désigné pour remplir ces fonctions, qu’il a acceptées, assisté de Mme Carole BEROLIN, fonctionnaire territoriale. ADOPTE A L’UNANIMITE II - APPROBATION DU PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU 05 DECEMBRE 2013 Madame la Présidente ouvre la séance et fait l’appel. Madame la Présidente soumet à l’approbation de l’Assemblée le compte rendu de la précédente réunion, pour lequel aucune modification n’a été apportée : 1 Le Conseil Communautaire, - APPROUVE le compte rendu tel qu’il lui a été présenté. ADOPTE A L’UNANIMITE Lecture de deux décisions par Mme la Présidente. Suite à la demande de la commune de Bouligneux, Mme BACONNIER retire la délibération proposée au vote – chapitre FINANCES – point n° IV. III - MODIFICATION DES STATUTS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES CENTRE DOMBES – TRANSFERT DE LA COMPETENCE URBANISME. VU la lettre circulaire du Préfet de l’Ain datée du 3 décembre 2013 concernant les nouvelles modalités d’instruction des actes relatifs à l’occupation des sols mises en œuvre par la Direction Départementale des Territoires dès le 1er janvier 2014 ; CONSIDERANT qu’en application des dispositions de l’article L422-8 du code de l’urbanisme, les communes membres de la Communauté de Communes Centre Dombes avaient confié les actes d’instruction des demandes d’autorisations du droit des sols, à l’antenne territoriale de la Direction Départementale des Territoires. CONSIDERANT que par lettre circulaire en date du 3 décembre 2013, monsieur le Préfet de l’Ain, a informé l’ensemble des maires du département de l’évolution des missions des services déconcentrés compte tenu de la politique de réorganisation des services de l’Etat et de la volonté de poursuivre la décentralisation. Cette évolution est le fait du projet de loi « pour l’accès au logement et un urbanisme rénové » (ALUR), en cours d’examen par le Parlement, qui prévoit de réserver la mise à disposition des services de l’Etat aux seules communes situées dans un Etablissement Public de Coopération Intercommunale de moins de 10 000 habitants. Face au retrait annoncé de la DDT, la Communauté de Communes Centre Dombes propose d’apporter une assistance aux communes de son territoire, en mettant en place un service urbanisme. Le transfert du service urbanisme ne modifierait en rien les compétences et obligations du maire en matière d’urbanisme, notamment en ce qui concerne l’accueil de ses administrés, la réception des demandes des pétitionnaires et la délivrance des actes, qui resteraient de son seul ressort. Le service urbanisme instruirait les actes relatifs à l’occupation du sol délivrés sur le territoire de la commune concernée relevant de la compétence du maire : • Permis de construire. • Permis de démolir. • Permis d’aménager. • Certificats d’urbanisme article L.410-1a du code de l’urbanisme. • Certificats d’urbanisme article L.410-1b du code de l’urbanisme. • Déclarations préalables. Dans ces conditions, il convient d’adapter les statuts de la CCCD et de les régulariser. Madame la Présidente propose la rédaction des nouveaux statuts comme suit : 2 ANCIENS STATUTS NOUVEAUX STATUTS Aménagement de l’espace : Elaboration, approbation, suivi et révision de schéma de cohérence territoriale (SCoT) et d’un schéma de secteur. Aménagement de l’espace : Elaboration, approbation, suivi et révision de schéma de cohérence territoriale (SCoT) et d’un schéma de secteur. Création, réalisation et gestion de Zones d’Aménagement Concerté (ZAC) à l’exception de celles portant sur l’habitat, créées à compter du 1er janvier 2003. Création, réalisation et gestion de Zones d’Aménagement Concerté (ZAC) à l’exception de celles portant sur l’habitat, créées à compter du 1er janvier 2003. Participation au contrat de développement Rhône Alpes (CDRA). Participation au contrat de développement Rhône Alpes (CDRA). - Urbanisme : instruction des autorisations liées au droit du sol. Mme BACONNIER explique que cet élargissement de compétence (et non une prise de compétence) n’était pas prévue par les services de la Communauté de Communes Centre Dombes, mais que cela a été imposé par les services de l’état qui se désengagent. M. BOURDEAU explique le but de cette modification des statuts, et insiste sur le fait que le Maire conserve son pouvoir de signature des autorisations. La CCCD ne fait qu’instruire, comme le faisaient auparavant les services de la DDT de Trévoux. M. BROUXEL demande si l’état verse des indemnités, suite à ce transfert de compétences, et la réponse est négative. Monsieur Girer précise qu’il a contacté M. Baudrand à la Préfecture, qui lui a communiqué les informations suivantes. En vertu du principe de spécialité, un EPCI ne peut intervenir que dans le champ des compétences qui lui ont été transférées, les communes ne pouvant plus alors intervenir dans les domaines des compétences transférées. « Si les compétences sont soumises à détermination préalable de l'intérêt communautaire, les communes demeurent compétentes pour agir dans les domaines ne relevant pas de cet intérêt. Quelques compétences peuvent être sécables (traitement des déchets et opérations de transport qui s'y rapportent) aucun texte n'a été trouvé concernant des compétences sécables pour l'urbanisme (et pas de réponse pour l'instant de la Préfecture à ce sujet). » Dans le Code Général des Collectivités Territoriales, on trouve au niveau de la compétence « aménagement de l'espace » les actions suivantes : élaboration des SCOT, des PLU, création et réalisation de ZAC, organisation des transports urbains, aires d'accueil des gens du voyage, constitution de réserves foncières. Le CGCT n’évoque donc pas explicitement l'urbanisme ; ce ne serait donc pas l'élargissement d'une compétence mais bien une nouvelle compétence. Selon le code de l'urbanisme, chaque commune peut individuellement décider de déléguer à un EPCI la compétence pour délivrer les permis de construire, d'aménager ou de démolir et se prononcer sur les déclarations préalables. Alors, la Présidente ou le Président de l’EPCI exerce directement la compétence urbanisme et signe donc les autorisations du droit des sols. 3 On note par ailleurs dans le code l’urbanisme : - L422-1 : c'est le maire au nom de la commune qui délivre etc … - L422-3 : Lorsqu'une commune fait partie d'un établissement public de coopération intercommunale, elle peut, en accord avec cet établissement, lui déléguer la compétence prévue au a de l'article L. 422-1 qui est alors exercée par le président de l'établissement public au nom de l'établissement. La délégation de compétence doit être confirmée dans les mêmes formes après chaque renouvellement du conseil municipal ou après l'élection d'un nouveau président de l'établissement public. Le maire adresse au président de l'établissement public son avis sur chaque demande de permis et sur chaque déclaration préalable. M. Girer en retire une première conclusion : Dans ce que nous sommes en train de faire, il y a un risque de contentieux au Tribunal Administratif, dans la mesure où on ignore qui est fondé à signer les actes ? Par ailleurs, M. Girer met en lumière une deuxième difficulté : Si le transfert de compétence est possible, le CGCT, dans son article L5211-4-1 Modifié par LOI n°2010-1563 du 16 décembre 2010 - art. 65 (V) stipule que le transfert de compétences d'une commune à un établissement public de coopération intercommunale entraîne le transfert du service ou de la partie de service chargé de sa mise en œuvre. Toutefois, dans le cadre d'une bonne organisation des services, une commune peut conserver tout ou partie du service concerné par le transfert de compétences, à raison du caractère partiel de ce dernier. Les fonctionnaires territoriaux et agents territoriaux non titulaires qui remplissent en totalité leurs fonctions dans un service ou une partie de service transféré en application de l'alinéa précédent sont transférés dans l'établissement public de coopération intercommunale. Ils relèvent de cet établissement dans les conditions de statut et d'emploi qui sont les leurs. Les modalités du transfert prévu aux alinéas précédents font l'objet d'une décision conjointe de la commune et de l'établissement public de coopération intercommunale, prise respectivement après avis du comité technique compétent pour la commune et, s'il existe, du comité technique compétent pour l'établissement public. Le transfert peut être proposé aux fonctionnaires territoriaux et agents territoriaux non titulaires exerçant pour partie seulement dans un service ou une partie de service transféré. En cas de refus, ils sont de plein droit et sans limitation de durée mis à disposition, à titre individuel et pour la partie de leurs fonctions relevant du service ou de la partie de service transféré, du président de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale. Ils sont placés, pour l'exercice de cette partie de leurs fonctions, sous son autorité fonctionnelle. Les modalités de cette mise à disposition sont réglées par une convention conclue entre la commune et l'établissement public de coopération intercommunale. Les agents transférés en vertu des alinéas précédents conservent, s'ils y ont intérêt, le bénéfice du régime indemnitaire qui leur était applicable ainsi que, à titre individuel, les avantages acquis en application du troisième alinéa de l'article 111 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale. Il en est de même lorsqu'à l'inverse, par suite de modifications des statuts de la communauté, des personnels de celle-ci sont transférés à des communes. Lorsqu'une commune a conservé tout ou partie de ses services dans les conditions prévues au premier alinéa du I, ces services sont en tout ou partie mis à disposition de l'établissement public de coopération intercommunale auquel la commune adhère pour l'exercice des compétences de celui-ci. 4 - Mutualisation ascendante : les services d'un établissement public de coopération intercommunale peuvent être en tout ou partie mis à disposition d'une ou plusieurs de ses communes membres, pour l'exercice de leurs compétences, lorsque cette mise à disposition présente un intérêt dans le cadre d'une bonne organisation des services. - Mutualisation descendante : dans le cadre des mises à disposition prévues aux II et III, une convention conclue entre l'établissement public de coopération intercommunale et chaque commune intéressée en fixe les modalités après consultation des comités techniques compétents. Cette convention prévoit notamment les conditions de remboursement par la commune ou l'établissement public bénéficiaire de la mise à disposition des frais de fonctionnement du service. Les modalités de ce remboursement sont définies par décret. Le maire ou le président de l'établissement public adresse directement au chef du service mis à disposition toutes instructions nécessaires à l'exécution des tâches qu'il confie audit service. Il contrôle l'exécution de ces tâches. Il peut donner, sous sa surveillance et sa responsabilité, par arrêté, délégation de signature au chef dudit service pour l'exécution des missions qu'il lui confie en application de l'alinéa précédent. Les fonctionnaires territoriaux et agents territoriaux non titulaires affectés au sein d'un service ou d'une partie de service mis à disposition en application des II ou III sont de plein droit et sans limitation de durée mis à disposition, à titre individuel, selon le cas, du président de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale ou du maire. Ils sont placés, pour l'exercice de leurs fonctions, sous son autorité fonctionnelle. Les modalités de cette mise à disposition sont réglées par la convention prévue au premier alinéa du présent IV. M. Girer en tire une deuxième conclusion par rapport au risque que représenterait le transfert de personnels. Il évoque ensuite plus rapidement l’hypothèse de la prestation de service, qui est également très codifiée. Les prestations réalisées par l’EPCI doivent se situer dans le prolongement de ses compétences, ce qui pose question au regard des compétences actuelles de la CCCD. Enfin, les prestations de service ainsi réalisées doivent être soumises aux règles de la concurrence. La troisième conclusion de M. Girer sur ce risque budgétaire est de suggérer, en attente d’une réponse plus claire de la Préfecture, d’attendre avant de se positionner sur le transfert de compétence inscrit à l’ordre du jour du conseil communautaire. Mme BACONNIER et M. BOURDEAU sont très étonnés de ces informations apportées par M. GIRER ; Mme ROMITTI (M. BAUDRAND étant son supérieur) ayant été consultée, n’a pas transmis les mêmes informations. Suite au recrutement d’un instructeur ou d’une instructrice à valider ce jour, les élus sont unanimes quant à l’aide que cette personne pourrait apporter aux communes de la CCCD, indépendamment du transfert de compétence. Mme BACONNIER précise que la CCCD ne demandera aucune compensation financière aux communes du territoire, c’est une aide apportée aux communes. La délibération est retirée. 5 FINANCES IV- FONDS DE CONCOURS POUR LA COMMUNE DE SAINT ANDRE DE CORCY Madame la Présidente expose au Conseil Communautaire que les dispositions de l’article L.5214-16 V du Code Général des Collectivités Territoriales permettent le versement de fonds de concours entre la Communauté de Communes et les communes membres après accords concordants exprimés à la majorité simple du Conseil Communautaire et des Conseils Municipaux concernés, et ce afin de financer la réalisation ou le fonctionnement d’un équipement. La Commune de saint André de Corcy a adressé son dossier de demande d’attribution de fonds de concours pour le projet de construction d’un complexe sportif et culturel. Il est rappelé que le montant des fonds de concours ne peut excéder la part du financement assuré, hors subventions, par le bénéficiaire du fonds de concours. Concernant la commune de Saint André de Corcy, le coût des travaux et honoraires de maîtrise d’œuvre sont estimés à 2 442 627,83 € HT. Considérant les subventions suivantes : - pour le secteur culturel la subvention de 150 000 € du Conseil Général, la subvention de 10 000 € sur les crédits de la réserve parlementaire, - pour le secteur sportif la subvention de 15 000 € de la réserve parlementaire, la subvention de 10 000 € du Fonds d’aide au football amateur, Le coût des travaux, restant à la charge de la Commune de Saint André de Corcy, est estimé à 2 257 627,83 € HT. VU la délibération 13-013 du 31 janvier 2013 qui instaure la mise en place de fonds de concours et les modalités de versement de ces fonds, Il est proposé au Conseil Communautaire d’attribuer à la commune de Saint André de Corcy, Maître d’Ouvrage de l’opération de travaux de construction d’un complexe sportif et culturel, un fonds de concours de 240 000 €. Les conditions de versement du fonds de concours sont définies dans le cadre du projet de convention joint. Le versement de 50% de ces fonds à la Commune de Saint André de Corcy sera effectué dès lors que 50% des factures de l’opération auront été mandatées. Le reste des fonds sera versé au terme de l’opération. Le Conseil Communautaire écoute l’exposé de Madame la Présidente et après en avoir délibéré : - ATTRIBUE un fonds de concours de 240 000,00 € à la commune de Saint André de Corcy afin de permettre les travaux de construction d’un complexe sportif et culturel, PRECISE que cette opération sera inscrite en section d’investissement au compte 204 « subvention d’équipement versée » du Budget Général, AUTORISE Madame la Présidente à signer la convention à intervenir entre la commune de Saint André de Corcy et la Communauté de Communes Centre Dombes afin de préciser les modalités de versement du fonds de concours. ADOPTE A L’UNANIMITE Au nom de la commune de Saint André de Corcy, M.BARON remercie les membres présents pour cette attribution de fonds de concours. 6 RESSOURCES HUMAINES V- CREATION D’UN POSTE D’INSTRUCTEUR/D’INSTRUCTRICE D’OCCUPATION DES SOLS A TEMPS COMPLET VU le Code Général des Collectivités Territoriales Madame la Présidente explique au Conseil Communautaire que le Préfet a adressé aux communes de l’Ain exerçant la compétence urbanisme et appartenant à un EPCI de plus de 10 000 habitants une lettre circulaire en date du 03 décembre 2013 concernant les nouvelles modalités d’instruction des actes relatifs à l’occupation des sols mises en œuvre par la Direction Départementale des Territoires dès le 1er janvier 2014. Dans cette dernière il relate le projet de loi « pour l’accès au logement et un urbanisme rénové » (ALUR), actuellement en cours d’examen par le Parlement, qui prévoit de réserver la mise à disposition des services de l’Etat aux seules communes situées dans un établissement public de coopération intercommunale de moins de 10 000 habitants. Ce qui induit que, depuis le 1er janvier 2014, les services de la Direction Départementale des Territoires ne peuvent instruire uniquement les permis d’aménager et les permis de construire présentant les plus forts enjeux, eu égard notamment à l’économie ou la sécurité. Par conséquent, les autres permis de construire, les certificats d’urbanisme et les déclarations préalables ne seront plus instruits par les services de la Direction Départementale des Territoires. Madame la Présidente propose donc au conseil communautaire de créer un poste d’instructeur / instructrice des autorisations d’occupation des sols à temps complet sur le grade de rédacteur. Le Conseil Communautaire, ECOUTE l’exposé de Madame la Présidente, et après en avoir délibéré : - CREE un poste d’instructeur / instructrice des autorisations d’occupation des sols à temps complet sur le grade de rédacteur, - MODIFIE le tableau des emplois permanents (à temps complet et non complet) de la Communauté de Communes Centre Dombes, - AUTORISE Madame la Présidente à procéder à la déclaration de création de poste et à prendre toutes les dispositions relatives au recrutement, - RAPPELLE que les crédits nécessaires sont inscrits au budget, - FIXE le nouveau tableau des emplois permanents (à temps complet et non complet) de la Communauté de Communes Centre Dombes à compter du 23 janvier 2014. VOTE : POUR : 21 CONTRE : 8 ABSTENTION : 4 7 TABLEAU DES EMPLOIS PERMANENTS A TEMPS COMPLET Modifié au 23 janvier 2014 EMPLOIS Pourvu / Non pourvu Cadre d’emploi des attachés territoriaux Grade : Attaché Principal FILIERE ADMINISTRATIVE : Directeur Général des Services CADRE D’EMPLOI ET GRADE POURVU M. BOURDEAU Pierre-François Cadre d’emploi des adjoints administratifs territoriaux Grade : Adjoint administratif 2ème classe FILIERE ADMINISTRATIVE : Assistante de direction en charge des ressources humaines POURVU Melle GERARD Sybille FILIERE ADMINISTRATIVE : Assistante de gestion comptable et financière POURVU Cadre d’emploi des adjoints administratifs territoriaux Grade : Adjoint administratif 1ère classe Mme MUZY Véronique FILIERE ADMINISTRATIVE : Assistante de gestion touristique POURVU Cadre d’emploi des adjoints administratifs territoriaux Grade : Adjoint administratif 1ère classe Mme VERNOUX Laurie FILIERE ADMINISTRATIVE : Assistante administrative POURVU Cadre d’emploi des adjoints administratifs principaux territoriaux Grade : Adjoint administratif Principal 2ème classe Mme BERNOLIN Carole FILIERE ADMINISTRATIVE : Assistante administrative POURVU Cadre d’emploi des adjoints administratifs territoriaux Grade : Adjoint administratif 2ème classe Melle BOILEAU Florine 8 CREE Cadre d’emploi des rédacteurs territoriaux Grade : Rédacteur POURVU Cadre d’emploi des adjoints d’animation principaux territoriaux Grade : Adjoint d’animation principal 2ère classe FILIERE ADMINISTRATIVE : Instructeur / Instructrice FILIERE ANIMATION : Responsable d’accueil à l’Office de Tourisme Mme KITENGE Nathalie FILIERE ANIMATION : Assistante de gestion tourisme à l’Office de Tourisme POURVU Mme CURT Claire FILIERE ANIMATION : Assistante de gestion tourisme à l’Office de Tourisme POURVU Cadre d’emploi des adjoints d’animation territoriaux Grade : Adjoint d’animation 2ème classe Melle THOMASSON Stéphanie FILIERE SPORTIVE : Directeur des infrastructures touristiques Cadre d’emploi des adjoints d’animation territoriaux Grade : Adjoint d’animation 1ère classe POURVU Cadre d’emploi des conseillers territoriaux des activités physiques et sportives Grade : Conseiller Territorial M. JARDIN Jean-Pierre FILIERE TECHNIQUE : Chargé(e) de mission environnement NON POURVU FILIERE TECHNIQUE Ambassadeur du tri NON POURVU FILIERE TECHNIQUE Agent de maintenance NON POURVU FILIERE TECHNIQUE Agent de maintenance NON POURVU Cadre d’emploi des ingénieurs territoriaux Grade : Ingénieur Territorial Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 1ère classe Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 1ère classe 9 Cadre d’emploi des Techniciens territoriaux Grade : Technicien territorial FILIERE TECHNIQUE Technicien déchets POURVU FILIERE TECHNIQUE Technicien des déchèteries NON POURVU FILIERE TECHNIQUE Responsable des déchèteries POURVU M. HOEZ Alexandre Cadre d’emploi des Techniciens territoriaux Grade : Technicien territorial Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe M. PEQUIGNOT Régis FILIERE TECHNIQUE Agent de déchèteries POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe M. OUBELLAOUI Smaail FILIERE TECHNIQUE Agent de maintenance POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques principaux territoriaux Grade : Adjoint technique principal 2ème classe M. FREBAULT Pascal FILIERE TECHNIQUE Agent de maintenance POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques principaux territoriaux Grade : Adjoint technique principal 2ème classe M. CORDIER Michel FILIERE TECHNIQUE Agent coordonnateur de déchèteries NON POURVU FILIERE TECHNIQUE Agent de déchèteries POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques principaux territoriaux Grade : Adjoint technique principal 2ème classe Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe M. SAEZ Rémy 10 FILIERE TECHNIQUE Agent de déchèteries POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe M. DUBOIS Michel FILIERE TECHNIQUE Agent de déchèteries POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe M. BERNARD Sébastien TABLEAU DES EMPLOIS PERMANENTS A TEMPS NON COMPLET EMPLOIS Indice brut et Indice majoré GRADE ET CADRE D’EMPLOI NON POURVU Cadre d’emploi des rédacteurs territoriaux Grade : Rédacteur territorial Temps de travail : 28 h/sem. FILIERE ADMINISTRATIVE : Gestionnaire marchés publics FILIERE ADMINISTRATIVE : Assistante administrative NON POURVU FILIERE TECHNIQUE : Agent d’entretien POURVU Cadre d’emploi des adjoints administratifs territoriaux Grade : Adjoint administratif 2ème classe Temps de travail : 28 h/sem. Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe Temps de travail : 11 heures par semaine Mme CASTANO Françoise FILIERE TECHNIQUE : Agent d’entretien POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe Temps de travail : 3 heures par semaine Mme DUMONT Pascale 11 FILIERE TECHNIQUE Agent de déchèteries POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe Temps de travail : 14 heures par semaine M. DORMOY Lionel FILIERE TECHNIQUE Agent de déchèteries POURVU Cadre d’emploi des adjoints techniques territoriaux Grade : Adjoint technique 2ème classe Temps de travail : 14 heures par semaine M. MOUSSY Laurent PETITE ENFANCE VI- CONTRAT « ENFANCE ET JEUNESSE » - AVENANT N° 1. Le Contrat « Enfance et Jeunesse » est un contrat d’objectifs et de cofinancement passé entre une caisse d’allocations familiales, la mutualité sociale agricole et une commune ou une communauté de communes. Sa finalité est de poursuivre et d’optimiser la politique de développement en matière d’accueil des moins de 18 ans en : Favorisant le développement et l’amélioration de l’offre d’accueil par : - une localisation géographique équilibrée des différents équipements et actions inscrits au sein du CEJ, - la définition d’une réponse adaptée aux besoins des familles et de leurs enfants ; le CEJ intègre forcément la validation d’un diagnostic partagé de la situation du territoire, - la recherche de l’implication des enfants, des jeunes et de leurs parents dans la définition des besoins, de la mise en œuvre et l’évaluation des actions, - Une politique tarifaire adaptée permettant l’accessibilité aux enfants des familles aux revenus modestes. Recherchant l’épanouissement et l’intégration dans la société des enfants et des jeunes par des actions favorisant l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation des plus grands. En contrepartie d’un certain nombre d’engagements, la CAF et la MSA s’engagent à apporter : 12 - une contribution à l’élaboration d’un diagnostic partagé, - une contribution à l’évaluation du projet, - un soutien financier. Le présent Contrat Enfance Jeunesse était auparavant ratifié par les communes du territoire, qui étaient directement impliquées. Le transfert de la compétence des communes vers la Communauté de Communes Centre Dombes a été entériné par l’arrêté de Monsieur le Préfet de l’Ain en date du 7 janvier 2013 modifiant les statuts de la CCCD. Dorénavant, c’est donc aux élus communautaires qu’incombe la décision de valider le CEJ et par conséquent d’autoriser Madame la Présidente à signer le CEJ et ses éventuels avenants. En l’occurrence, il s’agit de l’avenant N°1 du volet jeunesse relatif au regroupement de 2 CEJ. Compte tenu de ces éléments, des aides conséquentes attachées à ce contrat, Madame la Présidente sollicite l’autorisation du Conseil Communautaire pour signer ledit avenant. Le Conseil Communautaire, ECOUTE l’exposé de Madame la Présidente, et après en avoir délibéré : - APPROUVE ledit avenant, - AUTORISE Madame la Présidente à signer ledit avenant, et tout document relatif à ce dossier. ADOPTE A L’UNANIMITE TOURISME VII- MODALITES DE GESTION DE L’OFFICE DU TOURISME Suite à la réunion du 5 décembre 2013, qui s’est avérée particulièrement difficile et des mois de longs et pénibles palabres, il est nécessaire d’aboutir à une décision quant aux modalités de gestion de l’Office du Tourisme Centre Dombes et Canton de Chalamont. Afin de permettre aux délégués communautaires de se prononcer en toute connaissance de cause, sont portés à la connaissance des élus la proposition de l’entente et celle de la Présidente de la CCCD. Proposition formulée par Mme la Présidente de la CCCD Il convient de rappeler qu’au mois de juillet 2013, les Présidents, les premiers VicePrésidents et les DGS des deux communautés de communes se sont accordés sur la répartition du financement de l’Office du Tourisme : - Communauté de Communes du Canton de Chalamont 30%, - Communauté de Communes Centre Dombes 70%. 13 Cet accord n’était assorti d’aucune condition. Des réunions de l’entente intercommunautaire ont abouti à la proposition d’une convention validée par les délégués de la CCCD dans cette entente sans l’aval du conseil communautaire, du bureau, des vice-présidents ou de la Présidente. Ce projet de convention remet en cause l’accord « 70/30 » validé en juillet 2013 puisqu’il impose des conditions nouvelles : - Confirmation des 3 postes à temps plein, - Annualisation du temps de travail des agents, - Répartition des tâches du personnel de l’office du tourisme. Depuis le 1er juillet 2013, la CCCD supporte seule le budget de l’Office du Tourisme (personnel et certaines participations). La CCCD finance 3 postes d’employés, Nathalie KITENGE, Claire CURT, Stéphanie THOMASSON sans problème. A propos de l’annualisation du temps de travail, il est impossible de la décréter sans un important travail de concertation avec le personnel qui intervient pratiquement autant en été qu’en hiver pour préparer la saison estivale avec les très nombreux partenaires. Les agents de l’Office du Tourisme sont compétents, formés et habitués à collaborer sous l’égide de Nathalie KITENGE. La répartition des tâches relève de leur initiative et Nathalie KITENGE est disposée à continuer à en assumer la responsabilité. Au même titre que les autres membres de l’équipe, Nathalie KITENGE a démontré qu’on pouvait lui faire confiance et c’est pourquoi je lui ai demandé d’exercer les fonctions de responsable de l’Office du Tourisme. Il devient urgent de savoir si la Communauté de Communes du Canton de Chalamont veut travailler en bonne entente et en harmonie avec nous, sachant que nous sommes, nous, Communauté de Communes Centre Dombes, parfaitement autonome et capable de gérer seul l’Office du Tourisme. C’est pourquoi je propose que soit confiée durablement la responsabilité de l’Office du Tourisme à Nathalie KITENGE et que soit proposé à la CCCC de respecter son engagement initial de participer à hauteur de 30% aux dépenses relatives au fonctionnement de l’OT. Proposition de l’entente intercommunautaire : « Texte fourni par l’entente » Gestion de L’OT pour l’année 2014 Depuis 2 mois, les 6 Elus (+6 suppléants) constituant l’Entente des 2 Communautés sont missionnés 14 afin de mettre en place une gestion participative de L’Office du tourisme Centre Dombes et Canton de Chalamont Cette mission a permis de rencontrer les principaux acteurs concernés : L’Office et son personnel, Le CDRA et les DGS des deux Communautés. Les personnels actuels de l’Office ont, en plus, été étroitement associés à l’élaboration du schéma de fonctionnement qui vous est proposé. Les principaux impératifs ayant motivés les choix de l’Entente sont les suivants : - La régie remplaçant l’association, est obligatoirement assurée par la CCCD, ce qui impose des modifications dans les tâches et les responsabilités. La nécessité de conserver et même d’amplifier le rôle des bénévoles et des sociaux- professionnels à travers notamment le CLT. Le fait qu’un nouvel élan et de nouvelles orientations sont l’objectif de la transformation entreprise. La mise en place par le CDRA d’une structure « tourisme » devant à terme couvrir la grande « Dombes » et rejoindre le futur PNR. Le constat que l’Office a su fonctionner depuis plus d’une année grâce à sa structure et son personnel. L’étude minutieuse des missions et obligations de l’Office qui a fait ressortir une charge globale supérieure à 3 postes à temps plein. La nécessité d’assurer en priorité le fonctionnement de l’Office sous sa forme actuelle pendant l’année 2014. Enfin la prise en compte de tous les personnels actuellement concernés par le tourisme à l’intérieur des deux Communautés. Il vous est donc proposé d’adopter les dispositions suivantes : L’Entente Constituée par les 12 élus (3 délégués et 3 suppléants dans chacune des 2 Communautés) prend en responsabilité l’Office de Tourisme avec deux objectifs principaux : 1/ La continuité du fonctionnement sous la forme actuelle de l’OT en 2014. 2/ La détermination, en relation avec tous les organismes impliqués, des orientations à donner dans l’avenir aux missions de l’OT. Une personne de référence doit être élue au sein de l’Entente pour en assurer la cohérence. Il appartiendra à l’entente de rapporter auprès des 2 Communautés et de leurs présidents respectifs de cette activité et, avant fin 2014 de présenter et faire voter les futures orientations par les 2 Conseils. Ce vote se fera à la majorité requise dans chacun des deux Conseils. Le Fonctionnement journalier de l’OT est organisé entre les 2 Communautés de la manière suivante : - Nathalie Kittenge est, et reste l’interlocuteur privilégié de l’OT auprès de l’Entente et des 2 Communautés. Le DGS de la CCCD assure la gestion des personnels et des moyens matériels. Le DGS de la CC de Chalamont assure la gestion d’une « mission d’orientation » concernant l’avenir de l’OT. Cette Mission d’orientation est confiée à Nathalie Kittenge et Bérangére Rangier opérant en binôme pour tout ce qui portera sur les relations extérieures de L’Office. A charge pour les 2 DGS d’harmoniser entre eux et avec la participation de l’Entente les suivis indispensables. L’adoption de cette proposition par les deux Communautés entrainera de fait - La signature de l’accord financier 70/30. e La pérennisation d’un 3 poste à plein temps. L’annualisation du temps de travail pour les personnels dédiés au tourisme. Cette organisation prévue pour une année doit permettre - A tous les acteurs concernés d’apprendre à travailler sereinement et progressivement ensemble. D’absorber, sans hypothéquer l’avenir, les changements qui interviendront obligatoirement à tous les niveaux prochainement. 15 - A chacun de mettre en valeur ses propres capacités. Enfin l’Entente propose qu’une une prime exceptionnelle, dont le montant est laissé à l’appréciation de la présidente de la CCCD, son employeur, soit attribuée à Nathalie Kittenge au titre de l’année 2013 ». Après ce débat, La délibération est retirée. VIII- GRILLE TARIFAIRE OFFICE DU TOURISME Suite à l’édition de nouveaux livres sur la Dombes par l’Académie de la Dombes, il est proposé de les ajouter à la liste des livres en vente à l’Office du Tourisme. Le calendrier annuel des Sorties pour Individuels vient d’être finalisé. Les tarifs de ces visites proposées sont en accord avec les prestataires. Compte tenu du travail occasionné pour les agents de l’OT pour la gestion de ces sorties (communication, gestion de la réservation), une commission de 1€ sera reversée à l’OT. Révision des tarifs « Groupes ». Prestation touristique comprenant la parution dans le Guide Pratique et sur le site web. Il convient donc de voter à nouveau la grille tarifaire compte tenu des ajouts. VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU la délibération 13-123 du 5 décembre2013, Madame la Présidente présente au Conseil communautaire la grille tarifaire de l’Office de Tourisme Centre Dombes et Canton de Chalamont, pour la vente des livres, la billetterie et divers produits, Le Conseil Communautaire, après en avoir délibéré : - APPROUVE la grille tarifaire de l’Office du Tourisme (annexe 1) ADOPTE A L’UNANIMITE L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 22h20. Fait à VILLARS LES DOMBES, Le 30 janvier 2014. Le secrétaire de séance, M, Claude REGNIER, La Présidente de la Communauté de Communes Centre Dombes, Maire de Monthieux, Gisèle BACONNIER. 16