Solutions, si vous devez être vaccinés de force

Transcription

Solutions, si vous devez être vaccinés de force
Solutions, si vous devez être vaccinés
de force …
Voici "peut-être" un moyen de contrecarrer, au moins dans une certaine mesure, la vaccination :
Que faire pour neutraliser un vaccin ?
En cas d’impossibilité totale d’échapper à un vaccin (vaccination de force par violence physique et/ou morale, chantage
professionnel, refus d’entrée dans un centre de formation, si non "vacciné", etc.),
se munir d’un tube d’argile en pâte (vendu en diététique), d’une bande de gaze et de sparadrap.
Gagner les toilettes aussitôt après l’injection et étaler abondamment l’argile à l’emplacement du vaccin
avant de fixer le pansement.
Garder au moins deux heures. Le vaccin sera absorbé presque en totalité par l’argile.
Toutes les opérations de ce genre qui ont été effectuées sur des bébés ou des chiens et des chats se sont avérées
efficaces à près de 100 % sans apparition des manifestations courantes (température, abattement…).
Complèter la neutralisation avec l’homéopathie
• Thuya occidentalis 15 ch et
• Silicéa 15 ch et
• Medorrhinum 15 ch
5 granules de chaque à prendre avant et après l’injection. A renouveler une fois par semaine pendant huit semaines.
Penser enfin à l’isothérapie
L’isothérapie est réalisée en pharmacie homéopathique à partir du flacon qui a servi pour l’injection (demandez à
le conserver en… souvenir !). Demander au pharmacien de faire des dilutions de 3, 5, 7, 9, 12, 15, 30 CH et prendre 10
granules de chaque (laisser fondre sous la langue) (ou une dosette), en progression chaque semaine loin du café et de
la menthe. Donc décontamination du vaccin en 7 semaines.
Note : L’isothérapie consiste à l’élaboration par l’organisme sous l’influence d’une maladie, de
substances permettant de combattre cette même maladie. L’isothérapie doit être considérée comme une
technique de désensibilisation du malade par rapport à sa maladie.
Après, stimuler les défenses avec :
Par mesure de sécurité, l’on pourra, en plus, stimuler les défenses par les différentes méthodes qui
suivent, au choix ou en association :
• Chlorure de magnésium : 40 ml de solution pour un adulte - 25 ml pour un enfant, trois fois par
jour, le jour de la vaccination et le lendemain. Préparation 20 g (1 sachet) dans 1 litre d’eau (en
pharmacie).
•
Extrait de pépin de pamplemousse : 30 gouttes dans de l’eau, 3 fois par jour pendant 2 à 3 jours.
Découvert en 1980, son action s’étend à environ 800 souches de bactéries et de virus, et à environ
100 souches de champignons, ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires. C’est un
score unique, qui en fait, en dehors de l’argent colloïdal, le plus puissant antibiotique naturel connu,
alors que l’action des antibiotiques conventionnels se limite aux bactéries. De plus, contrairement à
ces derniers, il est totalement dépourvu de toxicité et stimule les défenses immunitaires au lieu de les
inhiber.
Voir livre : "Secrets et merveilles du pamplemousse", Ed. Médicis, 125 FF Dossiers VSP n°24 et 41.
•
Vitamine C naturelle : acérola ou cynorrhodon, 2 à 3 g par jour pendant 2 à 3 jours.
Il y a aussi une autre solution :
En vertu du principe que "ce n’est pas le vaccin qui est obligatoire mais juste le certificat !", trouver un médecin qui
accepte de faire un certificat de vaccination !
Mais il faut en trouver un qui soit « compréhensif » et qui reconnaisse le problème !
Maintenant, s’ils décident de mettre une puce ou des cristaux liquides dans ce vaccin (nombreux sont ceux à penser
que quelque chose se trame dans ce sens…) là, je ne peux plus rien vous conseiller d’autre que de faire ce qui est noté
dessus, sauf si, la vaccination étant rendue obligatoire (ça aussi, faut pas se leurrer, ils sont en train de mettre le paquet
pour voir comment ils peuvent faire) nous serons obligés de passer par des centres officiels de vaccination !
But de la puce: nous pister bien sûr et voir ce que "l’expérience" pourra apporter à ce projet démoniaque, ou…
Source : artdevivresain.over-blog.com
cardamone.over-blog.com
Voir aussi :
• La grippe A (H1N1) vue par le Docteur Marc Vercoutère
• Vaccination: la grande illusion
• Vaccination: dessins de René Bickel
L’épidémie de grippe H1N1,
un cadeau du ciel …
Le mot épidémie vient du grec epi, sur et deimos, le peuple. D’après cette origine, une épidémie
serait donc par définition quelque chose qui « tombe » sur le peuple.
Mais une épidémie induit généralement une notion de catastrophe, or ce mot décomposé donne, cata, en dessous,
astro, les astres et phein (en grec) noir. Et que sont donc ces astres noirs si ce ne sont les planètes de notre système
solaire ?
Aussi, ne serait-il donc pas judicieux d’affirmer que toute catastrophe ou épidémie a comme origine première une
influence astrale ?
Certes il y a toujours un germe pathogène qui est le vecteur de toute épidémie mais ce germe peut-il être actif sans les
influences célestes qui lui sont propres ? Un virus est composé de molécules d’ADN et d’acides aminés à l’état actif ou à
l’état latent mais en aucun cas un virus ne meurt. Celui de la grippe espagnole de 1918 a été retrouvé à l’occasion ici ou
là, cela n’engendre pas pour autant une pandémie(1), les influences célestes en rapport avec ce virus n’étant pas
actives.
Dans la nature tout est régi par des lois biologiques en étroite collaboration avec les influences astrales, « ce qui est en
bas est comme ce qui est en haut et inversement » disait Hermès Trismégiste. Que vous plantiez des oignons de tulipe
au mois d’août ou bien au mois de janvier, ils ne pousseront qu’au printemps conformément à leur cycle biologique. Il en
est de même pour tous les germes pathogènes qui présentent chacun un cycle biologique propre. Par exemple quand
débute une épidémie de polio sa durée est de 22 ans avec ou sans vaccination ; quand aux épidémies de grippe
saisonnière, elles ne se produisent qu’en hiver bien que le virus vive également en été.
Le virus H1N1, un cadeau du ciel
Quand on évoque l’idée de cadeau du ciel devant la pandémie de grippe H1NI de 2009 la première pensée va
généralement vers laboratoires pharmaceutiques qui vont faire des profits colossaux, certes… ! Mais nous citoyens du
monde comment pouvons-nous faire pour transformer en cadeau du ciel ce « fléau » tant annoncé ?
Et si nous nous retournions vers l’épidémie de grippe espagnole ?
« En 1918, après la première guerre mondiale, l’épidémie frappe les États-Unis. En 4 mois, elle terrasse 80 millions d’habitants sur le
globe. Elle touche plus particulièrement les jeunes et les femmes enceintes. Bien souvent, le matin en pleine forme, le soir décédés. En
1921, les statistiques démontrent les forces de l’homéopathie. Le docteur T A Mac Cann, de Dayton en Ohio, rapporte que sur 24 000
cas de grippe traités à l’allopathie, le taux de mortalité est 28.2 % tandis que chez 26 000 personnes traitées à l’homéopathie, le taux de
mortalité est 1.05 %, et le taux était le même pour W.A. Pearson de Philadelphie sur 26 795 cas. Chez certains homéopathes, les taux
de mortalité étaient même inférieurs à 1 % la majorité des cas était sous Gelsemium et Bryonia, qui ont paru les guérir
totalement. »(2).
Selon la ligue médicale homéopathique internationale(3), les homéopathes mexicains viennent d’identifier
indirectement, grâce aux comptes-rendus de médecins hospitaliers les symptômes de la grippe H1N1 (Fièvre - Faiblesse
généralisée sans prostration extrême - Transpiration abondante pendant la fièvre - Mal de gorge - Toux peu fréquente - Arthralgies
constantes touchant les mains, les coudes et les épaules au pic fébrile - Céphalée rétro-oculaire et douleurs dans les globes oculaires
(« J’ai mal aux yeux ») - Céphalée occipitale et douleurs de cou aggravées en ayant la tête relevée sur un oreiller avec caractère
pulsatile des douleurs occipitales chez certains - Complications : Pneumonie avec multiples foyers interstitiels infiltrés et toux productive
avec expectoration jaunâtre).
Or, l’étude de l’ensemble de ces symptômes correspond à deux remèdes homéopathiques, Gelsemium et Bryonia.
Les mêmes que pour la grippe espagnole ! Tiens, tiens comme c’est étrange ! En réalité pas du tout puisque le virus de
la grippe espagnole était le…H1N1… !
Or, en plus de leur double capacité à prévenir et à soigner la grippe H1N1, ces deux remèdes homéopathiques
possèdent des symptômes mentaux en rapport avec la crise économique actuelle : Gelsemium, trac, anticipation,
peur d’entreprendre et Bryonia, peur de la pauvreté.
Ainsi, tout semble se passer comme si le ciel envoyait une épidémie pour que, en prévenant et en soignant cette
épidémie par des moyens naturels, en l’occurrence l’homéopathie, toute l’humanité puisse se libérer de ses
appréhensions et de ses peurs face à la crise économique.
Avec Gelsemium, les appréhensions, la paralysie ou la peur d’entreprendre vont faire place à la sérénité et à l’esprit
d’entreprise et avec Bryonia ce sera la peur de la pauvreté qui sera fortement diminuée. Ainsi, en donnant
Gelsemium à une grande partie de l’humanité, toute l’économie mondiale actuellement paralysée par la frayeur et le
spectre de la récession pourrait repartir. D’ailleurs ne dit-on pas d’un moteur qu’il est « grippé » lorsqu’il est bloqué et n’y
a-t-il pas le mot GEL dans Gelsemium, le principal remède de la grippe. Ainsi Gelsemium semble tout à fait indiqué
pour « dégripper » l’économie mondiale à condition de le donner à un très grand nombre bien évidemment et à doses
élevées.
Pour prévenir ou soigner la grippe H1N1
Il existe deux grands courants de pensée possibles selon la philosophie de chacun.
1) Suivre la médecine conventionnelle et se faire vacciner.
Rappelons que le taux de mortalité des soins de la grippe espagnole par la médecine conventionnelle de l’époque était
de 28,2, pour quelles raisons ce pourcentage serait-il différent en 2010 ? En effet, le taux d’efficacité réelle du vaccin
pour protéger de la grippe serait de 0 % selon l’étude suivante ! Certes, cette étude date de 1993 mais à notre
connaissance aucune autre recherche ne semble être venue la contredire.
« Un rapport du Dr C. Peter, chef de service et du Dr C. Frémont, directeur général de la CPAM (caisse primaire d’assurance maladie)
de Nantes (France) a été présenté lors du congrès Epidémiologie et Santé qui s’est tenu à Nancy (France) du 3 au 6 juillet 1995. Ce
rapport avait pour mission d’évaluer l’efficacité de l’action de la prévention de la grippe par la vaccination. ».
Méthode
« Les sujets vaccinés ont été comparés à des non vaccinés pour leur consommation de soins ambulatoires pendant la période
épidémique couvrant les semaines 47 à 50 de l’année 1993. Deux échantillons de 257 individus chacun ont été pris de façon aléatoire
sur les bases de 43735 individus de la classe d’âge. ».
Résultats
« On observe que la proportion des individus qui n’ont pas présenté d’état grippal a été sensiblement la même dans les deux groupes,
86 % chez les vaccinés et 87 % chez les non vaccinés ou dit plus clairement, 14 % des vaccinés ont eu la grippe contre 13 % des non
vaccinés. ».
« Les dépenses moyennes des personnes qui ont contracté la grippe a été de 382 F chez les vaccinés et 294 F chez les non vaccinés
(dépenses en consultations, visites, pharmacie, biologie) » soit un excès de dépenses de 88 F par chaque personne vaccinée. ».
« Cette étude avait pour but de formuler l’hypothèse que les vaccinés, parce qu’ils sont vaccinés, dépenseraient moins en frais de santé
que ceux qui ne le sont pas, durant la période épidémique. Avec une certaine surprise, on constate que c’est l’inverse,
ce sont les vaccinés qui consomment 23 % de plus que les non vaccinés durant cette période
épidémique. »(4).
2) Suivre la médecine naturelle et faire une prévention avec l’homéopathie
Rappelons que le taux de mortalité des soins de la grippe espagnole par l’homéopathie était de 1,05 %, pour quelles
raisons ce pourcentage serait-il différent en 2010 ?
En effet, il est tout à fait possible de se protéger et de se soigner de la grippe par l’homéopathie
(mais aussi de toutes les maladies infectieuses) comme cela se fait depuis deux siècles. Cependant, il n’est pas juste de
dire « vaccination par l’homéopathie » puisque rien n’est inoculé mais il est préférable de parler de prévention de la
grippe et de toutes les maladies contagieuses par l’homéopathie.
A) Le « protocole » de prévention le plus simple pour la grippe H1N1
1) Alterner tous les mois, dès maintenant, une dose de :
Le 1er samedi : Influenzinum (le nosode du virus de la
grippe) en 30 CH ou 200 K
Le 2ème samedi : Gelsemium en 30 CH ou 200 K
Le 3ème samedi : Bryonia en 30 CH ou 200 K
Le 4ème samedi : rien
2) Reprendre Gelsemium ou Bryonia en 30 CH ou
200 K après chaque « bain de foule » (maximum une fois
par semaine) tant que perdurera la pandémie.
3) Reprendre Gelsemium et Bryonia en 30 CH ou 200 K en
alternance tous les 3 jours lorsqu’il existe un contact
permanent et rapproché avec des personnes supposées
contagieuses (personnel soignant ou particuliers qui
soignent des proches atteints de la grippe).
4) Pour individualiser la prévention, voir le chapitre "La
grippe" dans le livre « L’homéopathie au fil de la vie »(5).
B) Les soins homéopathiques de la grippe
Consulter en urgence un homéopathe. Hélas, pour les personnes isolées cela risque d’être difficile, il est donc
souhaitable que chacun ait fait un suivi homéopathique au préalable. Ainsi, s’il advenait une urgence, votre homéopathe
pourrait vous conseiller par téléphone un traitement individualisé.
A défaut, se référer au chapitre sur la grippe dans votre guide familial d’homéopathie.
A vos granules, citoyens du monde !
Par Bernard Biardeau
Homéopathe, Naturopathe québecois
Auteur du livre « L’homéopathie au fil de la vie » dont un chapitre entier est consacré à la prévention et aux
soins de la grippe.
tél. : 06 03 19 78 47
email de : Bernard Biardeau
1
Pandémie : épidémie qui touche simultanément de nombreux pays.
2
Extrait du site www.infonaturel.ca
3
Ligue médicale homéopathique internationale, lmhi-france.nerim.net
4
Extrait du journal de la ligue pour la liberté des vaccinations, août 1998, www.infovaccin.fr
5
« L’homéopathie au fil de la vie », Ed. Médicis, 430 pages, 20 €.