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Plus d’interview l’argent actif Voitures de collection : des investissements qui allient passion et rentabilité ? La plus belle invention pour votre argent Sylvain Tendil, responsable du site auto-collection.com, nous présente le marché des voitures de collection. De manière générale, comment évolue le marché des véhicules anciens ? Existe-t-il une bonne liquidité ? De façon générale la tendance des valeurs est à la hausse, mais nous ne sommes pas dans un contexte spéculatif comme dans les années 80 à 90 où les transactions pouvaient atteindre des montants très importants. Le marché représente 3 milliards d’euros en France (16 ou 17 milliards à l’échelle européenne). Cela permet de se faire une bonne idée de la passion qui est liée à ces véhicules. Le moteur de l’achat reste en effet avant tout la passion. Mais le marché n’est pas complètement liquide. Il se fait aujourd’hui surtout de gré à gré, même si les maisons de vente tiennent le haut de l’affiche. Elles participent pour beaucoup à la médiatisation des véhicules, mais ne représentent pas l’essentiel des transactions. Quels conseils donneriez-vous à un investisseur qui recherche un premier véhicule de collection ? Conseillez-vous une époque en particulier ? Du point de vue de l’investisseur, l’achat d’une voiture de collection pour espérer une plus-value est un pari risqué mais valable. Pour peu qu’on soit bien accompagné. Mais cela reste une acquisition lourde : il faut bien envisager tous les sujets techniques, au-delà des aspects commerciaux – notamment l’entretien. En ce moment, une époque en particulier est assez facile d’accès. Il s’agit de ce que l’on appelle les Young Timers. Ce sont les dernières générations de véhicules collectionnables, pour nos enfant et nos petits-enfants : des voitures d’occasion des années 80 qui rejoignent le cercle des véhicules de collection. Mais toutes les époques, se collectionnent. Il y a encore des jeunes qui s’intéressent jusqu’aux ancêtres, c’est-à-dire les prémices de l’automobile du début du 20ème siècle. Plus d’interviews Il y a également un intérêt croissant pour les véhicules des années 60/70, époque pendant laquelle la production mondiale était à son apogée. Le parc était abondant et il en reste une part substantielle aujourd’hui. Ce sont par ailleurs des véhicules qui ne sont pas encore dotés d’électronique et donc plus faciles d’entretien. Y-a-t-il un ticket d’entrée sur ce marché ? Quels modèles recommanderiez-vous à un investisseur qui recherche une « valeur sûre » ? Oui, il est très raisonnable. Beaucoup de véhicules accessibles à partir de quelques milliers d’euros permettent de réaliser une petite plus value. Dans une période contemporaine et une autre gamme de prix, je conseillais récemment la Ferrari Modena 360, du début des années 2000. Elle se trouve aujourd’hui aux alentours de 50 000 euros ce qui se trouve être un point mort de son cycle en terme de prix. On peut donc en espérer une plus-value sympathique en quelques années. D’autres véhicules emblématiques, comme les Citroën Tractions par exemple, sont accessibles à partir de 15 000 euros. Pour ce qui est des plus-values plus significatives, elles peuvent parfois atteindre 200 à 300% en quelques années. Mais elles restent alors le travail de connaisseurs, qui ont particulièrement bien « sourcé » leur véhicule à l’échelle mondiale, et n’hésitent pas à aller le chercher aux États-Unis ou au Japon. Le statut de voiture de collection permet d’obtenir quelques privilèges fiscaux. Quels sont-ils ? Existe-t-il des contraintes à ce statut ? Les plus-values sont taxées, comme toutes les transactions de plus de 5000 euros. Certains véhicules de collection présentant un caractère historique ou une originalité technique et répondant aux critères de l’administration fiscale de « bien culturel » échappent également au calcul de l’assiette de l’impôt sur la fortune. Propos recueillis par Thibault HACHE, Cortal Consors. Auto-Collection.org est le premier portail dédié aux véhicules de collection sur Internet depuis 1998, recensant des milliers d'adresses et de ressources utiles. Sa large audience reflétant l'engouement toujours plus grand pour cette passion, amène aujourd'hui Sylvain Tendil, son récent repreneur, à entamer un projet de refonte du site dont la nouvelle version pourrait voir le jour d'ici à la fin 2012. La nouvelle équipe est d'ailleurs ouverte à la négociation avec tout investisseur luimême passionné et intéressé par ce projet de développement. (Contact : [email protected]) Pour plus d’informations Consultez toutes nos communications sur cortalconsors.fr rubrique : Vous accompagner > Nos communications Nous attirons votre attention sur le fait que les avantages fiscaux associés aux dispositifs présentés sont soumis à de nombreuses conditions. Avant d’investir, vous devrez, si nécessaire, consulter préalablement vos propres conseils juridiques, financiers, fiscaux, comptables ou tout autre professionnel. La plus belle invention pour votre argent CORTAL CONSORS Société Anonyme au capital de 57 554 460 euros – 327 787 909 RCS Paris Banque, Prestataire de Services d’Investissements et Intermédiaire en assurance n° ORIAS 07 023 527 Siège Social : 1 boulevard Haussmann, TSA 14000, 75318 Paris Cedex 09 Bureaux : 24 rue des Deux Gares, 92855 Rueil-Malmaison Cedex Téléphone : 01 47 38 93 00 – Téléphone Service Commercial : 01 47 38 95 55 Internet : cortalconsors.fr