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ABSTRACTS - SÉANCE POSTERS Deuxième Congrès de l’Association X fragile - Europe 4- 5 avril 2008. Turin - Italie Les posters seront exposés toute la durée du congrès. http://www.x-fragile.eu CONSEIL SCIENTIFIQUE 2008 Coordinatrice : Maria Teresa FERRANDO LUCAS : [email protected] Membres Dr Clothilde MIRCHER : [email protected] Dr Francesca Dagna BRICARELLI : [email protected] Dr Francesca FORZANO : [email protected] Pr Ghislain MAGEROTTE : [email protected] Pr Giovanni NERI : [email protected] Mme Gloria VALLEJO de TORRES : [email protected] Pr Kim CORNISH : [email protected] Dr Ruth RISSIN : [email protected] ou [email protected] Pour le Comité Organisateur Congrès 2008 Jean-Marc COMPERE Secrétaire Général de X fragile – Europe Informations sur le congrès et l’Association X fragile – Europe http://www.x-fragile.eu Table des matières 5 - fr Caractérisation moléculaire et épigénétique de pleines lignes de cellules de mutation de FMR1 non méthylée Molecular and epigenetic characterization of FMR1 unmethylated full mutation cell lines Caracterización molecular y epigenética 7 - en Tabolacci E, Iacobini A, Borrelli L, Zalfa F1, Bagni C1, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. 1Department of Biology, “Tor Vergata” University, Rome, Italy. 9 - es plenas líneas de células de cambio de FMR1 no metilado Un cas unique de retour à la taille normale 11 - fr d'un allèle fmr1 maternel de prémuté chez un 13 - en garçon sain A unique case of reversion to normal size of a premutated maternal FMR1 allele in a normal boy. Tabolacci E, Pomponi MG, Pietrobono R, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. 15 - es Un unico caso de vuelta al tamaño normal de un alelo fmr1 maternal de prémuté en muchacho sano 17 - fr réactivation pharmacologique du gène fmr1 par sodium valproate (vpa) Pharmacological reactivation of the FMR1 gene by sodium valproate (vpa) De Pascalis I, Tabolacci E, Accadia M, Di Raimo F, Moscarda M, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. reactivación farmacológica del gene FMR1 19 - en 21 - es por sodio valpr (vpa) La trajectoire atypique de l'attention 23 - fr fonctionnant dans le syndrome X- fragile 25 - en The Atypical trajectory of attentional Hanck J., Guy J., Bertone A. , Chaudhuri A. & functioning in Fragile X Syndrome Cornish K La atípica trayectoria de atención en el McGill University, Montreal, Canada 27 - es Síndrome X Frágil Une étude préliminaire de thérapie par la 29 - fr musique dans le traitement des enfants avec 31 - en un développement retardé A pilot study of music therapy in the treatment of children with developmental delay Un estudio preliminar de musicoterapia en el tratamiento de los niños con un desarrollo retardado David Aldridge University Witten Herdecke, Germany 33 - es genetic counseling and molecular diagnosis of fragile x syndrome in Spain Famille et Intégration sociale Tejada MI, Artigas J, De Diego Y, Fernandez I, Glover G, Guitart M, Martinez F, Ramos F, and Milá M* 35 - en 37 - fr 39 - it Evaluation des besoins des femmes X-fragile en Espagne Inserzione familiare e sociale Valutazion dei bisogni delle donne X-fragile in Spagna Family and Social Insertion All authors belong to GIRMOGEN Association, a “Collaborative Research Group in Genetic Mental Retardation”. SPAIN. Montserrat Milá - Servicio de Genética. Hospital Clinic. Barcelona-Spain. Ph.: 34 93 2275400 41 - en Needs assements in fragile X women in Spain Evaluation de la pragmatique chez les 43 - fr personnes x fragiles, comparaison avec les 45 - en personnes trisomique 21, et TDA/H 47 - es Evaluation of the pragmatic with Fragile X persons, in comparison with Down syndrome, and ADHD persons Evaluación del pragmática en las personas X frágiles, comparación con las personas Bussy G.(1,2), Curie A. (1,2), Delange K. (2), Roy M. (1), Krifi-Papoz S. (1), des Portes V. (1,2) (1) Service de neuropédiatrie, Hôpital FemmesMères-Enfants, Lyon; (2) Institut des Sciences cognitives, CNRS UMR5230, Bron 49 - it trisómico 21, y TDA/H Valutazione del pragmatico alle persone x fragili, raffronto con le persone trisomique 21, e TDA/H. Le rapport génétique, la communication des 51 - fr résultats et du conseil génétique dans le 53 - es syndrome X fragile : une enquête réalisée aux familles espagnoles El informe genético, comunicación de la prueba y el consejo genetico en el síndrome x frágil: encuesta realizada a las familias Vallejo G *., Padilla N., Centenera A., Machicado J. Asociación SXF Madrid Asociación Síndrome X Frágil Madrid. Spain [email protected] españolas 57 - it Il reso conto genetico, la comunicazione dei risultati e del consiglio genetico nella sindrome X fragile : un ricerca realizzata con le famiglie spagnole Caractéristiques cliniques de la prémutation et de la zone grise dans l´enfance Clinical features in childrens with fragile X Ferrando Lucas MªT( * ,a) Martorell Sampol L,( **), Póo Argüelles P(*) López Sala, A (*), Sans Fito A(*), Campistol Plana J(*) (*) Departement of Neurology. (**) Departement of Genetics. Hospital Sant Joan de Déu. BARCELONA (a)Departement of Pediatrics. Division premutation and gray zone neurodevelopmental Disorders. Hospital Quirón MADRID - (X fragile syndrome of Madrid. X fragile Europe) Les actions de soutien aux familles face au Association Catalane du Syndrome Fragile x Syndrome Eduardo Brignani Pérez Barcelona – Spain diagnostic du syndrome X fragile Support actions to families facing diagnosis 61 - fr 63 - en 65 - fr 67 - en Le syndrome X fragile à travers les perceptions d´un forum de familles et de professionnels Syndrome X fragile to traves of the perceptions of a forum of families and professionals Sánchez Azcárate B (1), Valentini K (1), Rey Gallego R (1), Montero Parras V (1), Corroto Martín V (1), Martínez Zamudio Mª G (1), Arteaga Armas Y (1), Martínez Lara P (1), Venegas Zambrano A Mª (1), Valim de lima F (1), Ferrando Lucas MªT(*), Puente Farreras A (**) 69 - fr 71 - en Université Complutense. Madrid. Espagne 73 - fr Accompagnement psychologique, en particulier pour les dilemmes de reproduction, des jeunes filles ayant une prémutation ou une mutation complète. Psychological support of young adult women Texte de la conférence du Congrès Christine de Die-Smulders, klinisch geneticus University Hospital Maastricht, NL 77 -enr with a premutation or a full mutation with special attention to reproductive dilemmas Déficiences intellectuelles liées au 81 - fr chromosome X 93 - it Attualizzazione degli strumenti molecolari e delle strategie di diagnosi nei ritardi di origine Texte de la conférence du Congrès Vincent des Portes, Jamel Chelly genetica 103 - es Deficienze intellecttuali legate al cromosoma X Les présents « POSTERS » ont été rédigés sur base de textes fournis par les conférenciers. Les diverses traductions ont été faites par des collaborateurs de l’Association X fragile – Europe asbl. Seul le texte dans la langue nationale est le texte officiel. Presenti " POSTERS " sono stati redatti in base a testi forniti dai conferenzieri. Le diverse traduzioni sono state fatte da collaboratori dell'Associazione X fragile - Europa ASBL. Solo il testo nella lingua nazionale è il testo ufficiale. Los presentes " POSTERS " se redactaron sobre la base de textos proporcionados por los conferenciantes. Algunos colaboradores hicieron las distintas traducciones de la Asociación X frágil - Europa asociación sin ánimo de lucro. Sólo el texto en la lengua nacional es el texto oficial. The present " POSTERS " were written on the basis of text provided by the lecturers. The various translations were made by collaborators of Association X fragile - Europe asbl. Only the text in the national language is the official text. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Caractérisation moléculaire et épigénétique de pleines lignes de cellules de mutation de FMR1 non méthylée Tabolacci E, Iacobini A, Borrelli L, Zalfa F1, Bagni C1, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. 1 Department of Biology, “Tor Vergata” University, Rome, Italy. e-mail : [email protected]. Le syndrome X-fragile (FXS) est la plupart du temps provoqué par expansion et méthylation de la répétition de CGG au 5'UTR du gène FMR1 (pleine mutation méthylée). Les rares individus avec une intelligence normale, porteurs de la pleine mutation non méthylée (UFM) du gène FMR1 sont rapportés dans la littérature. Nous avons précédemment exécuté une analyse moléculaire et épigénétique de ligne lymphoblastoïde des cellules 5106, dérivée d'un de ces individus (Pietrobono et autres 2005). Récemment, nous avons identifié dans deux familles distinctes de FXS, deux individus apparemment normaux avec un UFM (code-nom DPM et mA). De chaque sujet, nous avons établi trois lignes lymphoblastoïdes indépendantes de cellules et un clôture de fibroblaste obtenu seulement à partir du mA. Selon nos résultats précédents, ces cellules ont montré l'absence de la méthylation d'ADN vérifiée par Southern Blotting et par l'ordonnancement de bisulfite de la région d'instigateur. Les niveaux de FMR1-mRNA étaient essentiellement normaux en ce qui concerne trois commandes différentes. L'efficacité de la traduction était moins (~30%) que dans les commandes, comme vu par la tache de WESTERN et le profilage polysome. L'analyse épigénétique a été effectuée par immunoprécipation de chromatine avec des anticorps dirigés contre H3 et H4 acétylés, diméthylé H3-K4 et H3-K9, diméthylé et triméthylé H3-K27. L’immunoprecipitated de l'ADN a été mesuré par qPCR. Les niveaux de l'acétylation d'histone et de la méthylation H3-K9 étaient comme ceux des lignes typiques de cellules de FXS, alors que ceux de la méthylation H3-K4 étaient comme ceux d'une ligne normale de cellules, confirmant des résultats précédents. L'analyse de la méthylation H3-K27 était conformée à une configuration euchromatique (niveaux élevés de déméthylation, niveaux bas de triméthylation comme dans des commandes normales). L'analyse comparative de ces rares unmethylated la pleine uniformité de lignes de cellules de mutation structurelle remarquable de démostration, fonctionnelle et épigénétique, suggérant un mécanisme commun d'origine, génétiquement déterminé. La découverte d'un tel mécanisme sera importante pour que les tentatives thérapeutiques convertissent la pleine mutation méthylée en non méthylée, reconstituant l'expression du gène FMR1. Nous avec reconnaissance reconnaissons l'aide financière de la base de Telethon (GGP06224), de la concession de PRIN 2005 (n. 2005060575) et conquérons la concession fragile de base de X à G.N.. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Molecular and epigenetic characterization of FMR1 unmethylated full mutation cell lines Tabolacci E, Iacobini A, Borrelli L, Zalfa F1, Bagni C1, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. 1 Department of Biology, “Tor Vergata” University, Rome, Italy. e-mail : [email protected] Fragile X syndrome (FXS) is mostly caused by expansion and methylation of the CGG repeat at the 5’UTR of the FMR1 gene (methylated full mutation). Rare individuals with normal intelligence, carriers of an unmethylated full mutation (UFM) of the FMR1 gene are reported in the literature. We previously performed a molecular and epigenetic analysis of 5106 lymphoblastoid cell line, derived from one of these individuals (Pietrobono et al. 2005). Recently we identified in two distinct FXS families, two apparently normal individuals with an UFM (code-name DPM and MA). From each subject we established three independent lymphoblastoid cell lines and a fibroblast colture obtained only from MA. In accordance with our previous findings, these cells showed absence of DNA methylation checked by Southern blotting and by bisulphite sequencing of the promoter region. The levels of FMR1-mRNA were essentially normal with respect to three different controls. The efficiency of translation was less (~30%) than in controls, as seen by Western blot and polysome profiling. Epigenetic analysis was carried out by chromatin immunoprecipation with antibodies directed against acetylated H3 and H4, dimethylated H3-K4 and H3-K9, dimethylated and trimethylated H3-K27. The immunoprecipitated DNA was measured by qPCR. The levels of histone acetylation and of H3-K9 methylation were like those of typical FXS cell lines, while those of H3-K4 methylation were like those of a normal cell line, confirming previous results. The analysis of H3-K27 methylation was consistent with a euchromatic configuration (high levels of dimethylation, low levels of trimethylation as in normal controls). Comparative analysis of these rare unmethylated full mutation cell lines demostrates remarkable structural, functional and epigenetic consistency, suggesting a common mechanism of origin, genetically determined. The discovery of such mechanism will be important for therapeutic attempts to convert a methylated to unmethylated full mutation, restoring the expression of the FMR1 gene. We gratefully acknowledge the financial support of Telethon Foundation (GGP06224), PRIN 2005 grant (n. 2005060575) and Conquer Fragile X Foundation grant to G.N. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Caracterizacion molecular y epigenética plenas lineas de celulas de cambio de FMR1 non metilado Tabolacci E, Iacobini A, Borrelli L, Zalfa F1, Bagni C1, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. 1 Department of Biology, “Tor Vergata” University, Rome, Italy. e-mail : [email protected]. El síndrome X- Frágil (FXS) la mayor parte del tiempo es causado por extensión y metilación de la repetición de CGG al 5' UTR del gene FMR1 (pleno cambio metilado). Informa a los raros individuos con una inteligencia normal, portadores del pleno cambio no metilado (UFM) del gene FMR1 en la literatura. Anteriormente realizamos un análisis molecular y epigenético de línea limfoblastoide de las células 5106, derivada de uno de estos individuos (Pietrobono y demás 2005). Recientemente, definimos en dos familias distintas de FXS, dos individuos al parecer normales con un UFM (código-nombre DPM y mA). Por cada tema, establecimos tres líneas limfoblastoides independientes de células y el cierra de fibroblasto obtenido solamente a partir del mA. Según nuestros resultados anteriores, estas células mostraron la ausencia de la metilación de ADN comprobada por Southern Blotting y por la orden de pago de bisulfito de la región de instigador. Los niveles de Fmr1-mRNA eran esencialmente normales por lo que se refiere a tres pedidos diferentes. La eficacia de la traducción era (~30%) que menos en los pedidos, como en vista de por la mancha de PELÍCULA DE VAQUEROS y el perfilado poly. El análisis epigenético fue efectuado por immunoprécipation de cromatina con anticuerpos dirigidos contra H3 y H4 acetilados, diméthylé H3-K4 y H3-K9, diméthylé y triméthylé H3K27. El immunoprecipitated del ADN fue medido por qPCR. Los niveles de la acetilación de his y de la metilación H3-K9 estaban como los de las líneas típicas de células de FXS, mientras que los de la metilación H3-K4 estaban como los de una línea normal de células, confirmando resultados anteriores. El análisis de la metilación H3-K27 se conformaba a una configuración euchromatique (elevados niveles de déméthylation, niveles bajos de triméthylation como en pedidos normales). El análisis comparativo de la esta raros unmethylated plena uniformidad de líneas de células de cambio estructural notable de démostration, funcional y epigenético, sugiriendo un mecanismo común de origen, genéticamente determinado. El descubrimiento de tal mecanismo será importante para que las tentativas terapeúticas conviertan el pleno cambio metilado no metilado, reconstituyendo la expresión del gene FMR1. Con reconocimiento reconocen la ayuda financiera de la base de Telethon (GGP06224), de la concesión de PRIN 2005 (n. 2005060575) y conquistan la concesión frágil básica de X a G.N.. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Un cas unique de retour à la taille normale d'un allèle FMR1 maternel de prémuté chez un garçon sain Tabolacci E, Pomponi MG, Pietrobono R, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. e-mai l: [email protected] La grande majorité d'individus présentant le syndrome X-fragile (FXS) montrent l'expansion (plus de 200) et la méthylation suivante de la répétition de CGG dans la région 5' non traduite (UTR) du gène FMR1. L'expansion prédispose également la répétition de CGG et les régions de flanquement davantage à d'instabilité qui peut mener aux mosaïques entre une pleine mutation et un prémutation ou rarement, une normale ou un allèle supprimé. Ici, nous rendons compte d'un garçon de 10-ans avec le développement physique et psychomoteur normal, qui n'a pas une expansion de CGG, bien qu'il ait hérité du même allèle maternel qui est augmenté et cause du syndrome X-fragile chez ses deux frères. L'analyse Southern blot a démontré chez la mère un allèle augmenté des répétitions de ~190 CGG, alors que la personne testée montrait un fragment normal de 5.2 KBS après digestion de HindIII et un plus petit fragment de 2.2 KBS après double digestion avec HindIII et EagI. L'analyse de PCR a indiqué un allèle simple de 43 répétitions de CGG et l'analyse d'ordre de l'instigateur et le 5'UTR du gène FMR1 a démontré la présence de deux AGG entremêlés en position 10 et 25 et un triplet de CCG en position 17 des 43 répétitions de CGG, créant un deuxième emplacement de EagI compatible avec la bande de 2.2 KBS observée sur Southern blotting. L'analyse de Haplotype des marqueurs DXS548 et FRAXAC1 a montré que l'allèle réarrangé du proband provient de l'allèle augmenté maternel. Des niveaux normaux de FMR1-mRNA, selon le manque de phénotype de FXS, ont été détectés dans la personne testée avec RT-PCR en temps réel. Au meilleur de notre connaissance, ce sujet est la première caisse de non-mosaïque de réduction germinale de la région de CGG du gène FMR1, ayant pour résultat un allèle normal (excepté l'introduction d'un triplet de CCG). Pour le diagnostic moléculaire dans des familles de FXS nous recommandons l'utilisation de la double digestion de HindIII-EagI. Nous avec reconnaissance reconnaissons l'aide financière de la base de TELETHON (GGP06224), de la concession de PRIN 2005 (n. 2005060575) et conquérons la concession fragile de base de X à G.N.. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 A unique case of reversion to normal size of a premutated maternal FMR1 allele in a normal boy. Tabolacci E, Pomponi MG, Pietrobono R, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. e-mai l: [email protected] The vast majority of fragile X syndrome (FXS) individuals show expansion (over 200) and subsequent methylation of the CGG repeat in the 5’ untranslated region (UTR) of the FMR1 gene. The expansion also predisposes the CGG repeat and the flanking regions to further instability that may lead to mosaics between a full mutation and a premutation or, rarely, a normal or deleted allele. Here we report on a 10-year-old boy with normal physical and psychomotor development, who does not have a CGG expansion, although he inherited the same maternal allele that is expanded and causes FXS in his two brothers. Southern blot analysis demonstrated in the mother an expanded allele of ~190 CGG repeats, while the proband showed a normal 5.2 kb fragment after HindIII digestion and a smaller 2.2 kb fragment after double digestion with HindIII and EagI. PCR analysis revealed a single allele of 43 CGG repeats and sequence analysis of the promoter and the 5’ UTR of the FMR1 gene demonstrated the presence of two interspersed AGG in position 10 and 25 and a CCG triplet in position 17 of the 43 CGG repeats, creating a second EagI site compatible with the 2.2 kb band observed on Southern blotting. Haplotype analysis of DXS548 and FRAXAC1 markers proved that the rearranged allele of the proband originated from the maternal expanded allele. Normal levels of FMR1-mRNA, in accordance with the lack of FXS phenotype, were detected in the proband with real-time RT-PCR. To the best of our knowledge, this subject is the first non-mosaic case of germinal reduction of the CGG tract of the FMR1 gene, resulting in a normal allele (except for the introduction of a CCG triplet). For molecular diagnosis in FXS families we recommend the use of double HindIII-EagI digestion. We gratefully acknowledge the financial support of Telethon Foundation (GGP06224), PRIN 2005 grant (n. 2005060575) and Conquer Fragile X Foundation grant to G.N. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Un unica caso de vuelta al tamano normal de un alelo FMR1 maternal de prémuté muchacho sano Tabolacci E, Pomponi MG, Pietrobono R, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. e-mail : [email protected] La gran mayoría de individuos que presentan el síndrome X- Frágil (FXS) muestran la extensión (más de 200) y la metilación siguiente de la repetición de CGG en la región 5 ' no traducida (UTR) del gene FMR1.' La extensión predispone también la repetición de CGG y las regiones de flanqueo aún más a inestabilidad que puede conducir a los mosaicos entre un pleno cambio y un prémutation o raramente, normal o un alelo suprimido. Aquí, damos cuenta de un muchacho de 10-año con el desarrollo físico y psicomotor normal, que no tiene una extensión de CGG, aunque haya heredado del mismo alelo maternal que es aumentado y causado del síndrome X- Frágil en sus dos hermanos. El análisis Southern blot demostró en la madre un alelo aumentado en las repeticiones de ~190 CGG, mientras que la persona probada mostraba un fragmento normal de 5.2 KBS después de digestión de HindIII y un más pequeño fragmento de 2.2 KBS después de doble digestión con HindIII y EagI. El análisis de PCR indicó un alelo simple de 43 repeticiones de CGG y el análisis de orden del instigador y el 5' UTR del gene FMR1 demostraron la presencia de dos AGG entremezclados en posición 10 y 25 y un trío de CCG en posición 17 de las 43 repeticiones de CGG, creando un segundo sitio de EagI compatible con la banda de 2.2 KBS observada sobre Southern blotting. El análisis de Haplotype de los marcadores DXS548 y FRAXAC1 puso de manifiesto que el alelo cambiado del proband procede del alelo aumentado maternal. Se detectaron algunos niveles normales de Fmr1-mRNA, según la falta de fenotipo de FXS, en la persona probada con RT-PCR instantáneo. Al el mejor de nuestro conocimiento, este tema es la primera caja no mosaico de reducción germinal de la región de CGG del gene FMR1, teniendo por resultado un alelo normal (excepto la introducción de un trío de CCG). Para el diagnóstico molecular en familias de FXS recomendamos la utilización de la doble digestión de HindIII-EagI. Con reconocimiento reconocen la ayuda financiera de la base de TELETHON (GGP06224), de la concesión de PRIN 2005 (n. 2005060575) y conquistan la concesión frágil básica de X a G.N.. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Réactivation pharmacologique du gène FMR1 par sodium valproate (vpa). De Pascalis I, Tabolacci E, Accadia M, Di Raimo F, Moscarda M, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. e-mail : [email protected]. Le syndrome fragile de X (FXS) est la principale cause du retardement mental hérité, en raison de l'expansion et de la méthylation suivante de l'ordre de CGG au 5'UTR du gène FMR1. Nous avons précédemment démontré que le traitement des lignes lymphoblastoïdes de cellules de FXS avec l'azadeoxycitidine 5 (5-azadC) réactive le gène, par le demethylation du CpGs de l'instigateur et de l'augmentation des niveaux d'acétylation de l'histone H3 et H4 et des niveaux de méthylation de la lysine 4 sur H3 (H3-K4). Le traitement avec les drogues hyperacetylating, comme 4-phenylbutyrate et butyrate de sodium, induit une réactivation modeste, qui était synergique avec l'effet de 5-azadC. Identifiant d'autres drogues avec un effet de réactivation sur FMR1, nous avons maintenant traité trois lignes lymphoblastoïdes de cellules de FXS avec de l'acide valproic (VPA). VPA est une drogue antiépileptique bien connue, également utilisée comme stabilisateur d'humeur et dans la thérapie de migraine. Il est décrit comme inhibiteur des deacetylases d'histone (HDACs) et probablement, comme agent déméthylant d'ADN. Après traitement de VPA, le niveau de la réactivation transcriptionnelle du gène FMR1 est avéré bas (autour 3%) et il n'y avait aucune évidence de la production de la protéine de FMRP sur éponger occidental. Le CpGs de l'instigateur FMR1 n'était pas déméthylé comme vu par l'ordonnancement de bisulfite. Après traitement de VPA, l'analyse épigénétique montre : l'augmentation de l'acétylation H3 et H4 et de la méthylation H3-K4 nivelle ; légère diminution des niveaux de la méthylation H3-K9. Ces résultats confirment l'effet hyperacetylating d'histone de VPA mais ne soutiennent pas son activité putative de déméthylation d'ADN. Le rôle primaire du déméthylation d'ADN dans la réactivation du gène FMR1 a été confirmé. Nous reconnaissons l'aide financière de la base de Telethon (GGP06224), de la concession de PRIN 2005 (n. 2005060575) et conquérons la concession fragile de base de X à G.N. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Pharmacological reactivation of the FMR1 gene by sodium valproate (vpa) De Pascalis I, Tabolacci E, Accadia M, Di Raimo F, Moscarda M, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. e-mail : [email protected]. Fragile X syndrome (FXS) is the leading cause of inherited mental retardation, due to expansion and subsequent methylation of the CGG sequence at the 5’ UTR of the FMR1 gene. We have previously demonstrated that treatment of FXS lymphoblastoid cell lines with 5- azadeoxycitidine (5-azadC) reactivates the gene, through demethylation of the CpGs of the promoter and increase in the acetylation levels of histone H3 and H4 and methylation levels of lysine 4 on H3 (H3-K4). Treatment with hyperacetylating drugs, like 4-phenylbutyrate and sodium butyrate, induced a modest reactivation, which was synergistic with the effect of 5-azadC. In an attempt to identifying other drugs with a reactivation effect on FMR1, we have now treated three FXS lymphoblastoid cell lines with valproic acid (VPA). VPA is a well-known antiepileptic drug, also used as a mood stabilizer and in migraine therapy. It is described as an inhibitor of histone deacetylases (HDACs) and, possibly, as a DNA demethylating agent. After VPA treatment, the level of transcriptional reactivation of the FMR1 gene was found to be low (around 3%) and there was no evidence of production of the FMRP protein on Western blotting. The CpGs of the FMR1 promoter were not demethylated as seen by bisulphite sequencing. After VPA treatment the epigenetic analysis showed: increase of H3 and H4 acetylation and H3-K4 methylation levels; slight decrease of H3-K9 methylation levels. These results confirm the histone hyperacetylating effect of VPA but do not support its putative DNA demethylation activity. The primary role of DNA demethylation in the reactivation of the FMR1 gene was confirmed. We gratefully acknowledge the financial support of Telethon Foundation (GGP06224), PRIN 2005 grant (n. 2005060575) and Conquer Fragile X Foundation grant to G.N. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Reactivation farmacologica del gene FMR1 par sodio valpr (vpa) De Pascalis I, Tabolacci E, Accadia M, Di Raimo F, Moscarda M, Chiurazzi P, Neri G Institute of Medical Genetics, Catholic University, Rome, Italy. e-mail : [email protected]. El síndrome frágil de X (FXS) es la principal causa del retraso mental heredado, debido a la extensión y la metilación siguiente del orden de CGG al 5' UTR del gene FMR1. Anteriormente demostramos que el tratamiento de las líneas limfoblastoides de células de FXS con del azadeoxyciti 5 (5-azadC) reactivara el gene, por el demethylation del CpGs del instigador y el aumento de los niveles de acetilación del his H3 y de H4 y de los niveles de metilación de la lisina 4 sobre H3 (H3-K4). El tratamiento con las drogas hyperacetylating, como 4-phenylbuty y buty de sodio, induce una reactivación modesta, que era sinérgica con el efecto de 5-azadC. Identificando otras drogas con un efecto de reactivación sobre FMR1, ahora tratamos tres líneas limfoblastoides de células de FXS con ácido valproic (VPA). VPA es conocida una droga antiepiléptica bien, también utilizada como estabilizador de humor y en la terapia de jaqueca. Se describe como inhibidor de los deacetylases de his (HDACs) y probablemente, como agente desmetilando de ADN. Después de tratamiento de VPA, el nivel de la reactivación transcriptionnelle del gene FMR1 se prueba bajo (alrededor 3%) y no había ninguna evidencia de la producción de la proteína de FMRP sobre limpiar occidental. El CpGs del instigador FMR1 no era desmetilado como en vista de por la orden de pago de bisulfito. Después de tratamiento de VPA, el análisis epigenético muestra: el aumento de la acetilación H3 y H4 y de la metilación H3-K4 burbuja; ligera disminución de los niveles de la metilación H3-K9. Estos resultados confirman el efecto hyperacetylating de his de VPA pero no apoyan su actividad supuesta de déméthylation de ADN. Se confirmó el papel primario del déméthylation de ADN en la reactivación del gene FMR1. Reconocen la ayuda financiera de la base de Telethon (GGP06224), de la concesión de PRIN 2005 (n. 2005060575) y conquistan la concesión frágil básica de X a G.N. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 La trajectoire atypique de l'attention fonctionnant dans le syndrome X- fragile Hanck J., Guy J., Bertone A. , Chaudhuri A. & Cornish K McGill University, Montreal, Canada. Le développement du processus de l'attention chez les enfants en bas âge avec le syndrome X-fragile n'a pas été clairement tracé, délimité. En outre, le développement différentiel des sous-composants distincts de l'attention dans l'enfance n'est pas également entièrement compris. L’objectif de cette étude est de dresser une carte du développement de l'attention chez les enfants avec le syndrome X-fragile s'étendant de 3 à 11 ans afin de fournir des informations importantes sur la trajectoire développementale de cette compétence cognitive fondamentale. À cet effet, le traitement d'attention a été évalué par une batterie automatisée de tâches dénommée : Amsterdam Neuropsychological Charge (ANT), qui a évalué les capacités de focaliser l’attention sur la tâche, indépendamment de la distraction, et pour empêcher des réponses inadéquates et non pertinentes. Les premiers résultats indiquent que les enfants X-fragile montrent un profil retardé mais typique d'une attention avec différentes forces et défis apparaissant à 7 à 8 ans. La commande inhibitrice et l'attention focalisée semblent être différemment altérées comparée à la commande d'attention et à l'attention focalisée, qui sont les qualifications le plus sévèrement affectées. Après cette étape développementale (7-8 ans), tous les changements de profil d'attention ont encore des temps de réaction augmentant dans certaines tâches. Ces résultats indiquent que l'exécution ne demeure pas statique avec l'âge mais qu’elle est dynamique. En outre, bien que ces résultats soient préliminaires, ils fournissent des perspicacités importantes à la trajectoire développementale du fonctionnement cognitif des jeunes enfants X-fragile et accentuent la nécessité de focaliser des interventions spécifiques du syndrome, dès que possible dans le développement d'un enfant. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 The atypical trajectory of attentional functioning in Fragile X Syndrome Hanck J., Guy J., Bertone A. , Chaudhuri A. & Cornish K McGill University, Montreal, Canada. The development of early attentional processing in young children with Fragile X Syndrome has not been clearly delineated. In addition, the differential development of distinct subcomponents of attention in early childhood is also not fully understood. The focus of the present study is to chart the development of attentional processing in children with fragile X syndrome ranging from 3 to 11 years of age in order to provide important information on the developmental trajectory of this fundamental cognitive skill. To this end, attention processing was assessed by a novel computerized battery of tasks - the Amsterdam Neuropsychological Tasks (ANT) which assessed the ability to stay focused on task, irrespective of distraction, and to inhibit inappropriate and irrelevant responses. Early results indicate that fragile X children display a delayed but atypical attention profile with different strengths and challenges appearing at 7 to 8 years old. Inhibitory control and focused attention appears to be differentially impaired compared to attentional control and focused attention, which are the most severely affected attention skills. After this developmental stage (7-8 years), the attention profile changes again with reaction times increasing across all tasks. These findings indicate that performance does not remain static with age but instead is dynamic. Furthermore, although these results are preliminary they provide important insights to the developmental trajectory of cognitive functioning in young fragile X children, and highlight the need to focus syndrome specific interventions as early as possible in a child’s development. Congreso 2008 – TURIN (Italia) 4 - 5 abril 2008 La atípica trayectoria de atención en el Síndrome X Frágil Hanck J., Guy J., Bertone A. , Chaudhuri A. & Cornish K McGill University, Montreal, Canada. El desarrollo de la atención tratado precozmente entre los niños de corta edad con síndrome x frágil no está claramente trazada. Además, el desarrollo diferencial de bajos componentes distintos de la atención en la infancia no es comprendida. El centro del presente estudio pretende elaborar una tarjeta del desarrollo de la atención en los niños con el síndrome X- Frágil que se extiende de 3 a 11 años con el fin de proporcionar información importante sobre la trayectoria del desarrollo de esta competencia cognoscitiva fundamental. A tal efecto, el tratamiento de atención fue evaluado por una batería automatizada de tareas denominada: Amsterdam Neuropsychological Charge (ANT), que evaluó las capacidades de concentrar la atención sobre la tarea, independientemente de la distracción, y para impedir respuestas inadecuadas y no pertinentes. Los primeros resultados indican que los niños X- Frágil muestran un perfil retrasado pero típico de una atención con distintas fuerzas y retos que aparecen a 7 a 8 años. El inhibidor y la atención concentrada parecen alterarse diferentemente comparando atención concentrada, que son las calificaciones el lo más severamente posible afectadas. Después de esta etapa de desarrollo (7-8 años), todos los cambios de perfil de atención tienen aún tiempo de reacción que aumenta en algunas tareas. Estos resultados indican que la ejecución no sigue siendo estática con la edad sino que es dinámica. Además aunque estos resultados sean preliminares, proporcionan datos importantes a la trayectoria de desarrollo del funcionamiento cognoscitivo de los niños X Frágiles, y acentúan la necesidad de concentrar intervenciones específicas del síndrome, desarrollo de un niño. en el Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Une étude préliminaire de thérapie par la musique dans le traitement des enfants avec un retard de développement David Aldridge University Witten Herdecke, Germany Fond : La thérapie de musique a une histoire d'être employé dans le traitement des enfants qui sont développemental retardés et a les avantages potentiels comme approche intégratrice de traitement. But : Pour évaluer quels changements se produisent chez les enfants avec un développement retardé dès qu’ils sont traités avec la thérapie active de musique. Méthodes : Une étude de croisement de musicothérapies les enfants qui ont un développement retard. Douze patients ont été évalués, choisis et aléatoirement assignés dans deux groupes de six enfants. Chaque enfant a reçu la musicothérapie individuelle. Ceci a constitué un groupe de traitement et un groupe de traitement d'initiale non pour servir de commande d'attendreliste. Le groupe de non-traitement a reçu la thérapie de musique après l'attente de trois mois, alors que les enfants précédemment traités avaient une coupure de thérapie. Les critères d'entrée étaient que les enfants devraient avoir 4,5-5 ans dans l'âge chronologique, avec un âge développemental de 1,5-3,5 an. L'évaluation principale était développementale selon des critères psychologiques et fonctionnels (l'essai du Griffiths), et le musical. Résultats : Les enfants dans le groupe initial de traitement changent plus que les enfants sur la liste d'attente. De tels changements peuvent être démontrés à un niveau d'importance clinique (p <0.05, Cohen’s d 1.7796). Quand le groupe de la liste d'attente sont traités et puis examinés, les enfants nouvellement traités progressent dans leur développement. Il y a une amélioration continue de l'audition et la parole, la coordination oculo-manuelle, et l'interaction personnel-sociale. Discussion : La thérapie de musique a un effet sur le rapport personnel, soulignant les avantages positifs de l'écoute active et de l'exécution, et ceci place alternativement le contexte pour le changement développemental. Une autre recherche sur les données a indiqué l'importance développementaux. coordination de la coordination oculo-manuelle pour les changements L'élément actif du jeu musical, qui exige la compétence de la oculo-manuelle, joue un rôle significatif dans les changements développementaux pendant qu'ils se produisent dans le rapport musico-thérapeutique, et il est un traitement psychosocial intégrateur approprié pour des enfants avec le syndrome Xfragile. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 A pilot study of music therapy in the treatment of children with developmental retardation David Aldridge University Witten Herdecke, Germany. Background: Music therapy has a history of being used in the treatment of children who are developmentally delayed and has potential benefits as an integrative treatment approach. Goal: To assess what changes occur in developmentally delayed children when treated with active music therapy. Methods: A crossover study of music therapy for children who are developmentally delayed. Twelve patients were assessed, selected and randomly allocated into two groups of six children. Each child received individual music therapy. This formed a treatment group and an initial non- treatment group to serve as a waiting-list control. The non-treatment group received music therapy after waiting for three months, while the previously treated children had a break from therapy. Entrance criteria were that children should be 4.5-5 years old in chronological age, with a developmental age of 1.5-3.5 years. The main assessment was developmental according to psychological and functional criteria (the Griffiths' test), and musical. Results: The children in the initial treatment group change more than the children on the waiting list. Such changes can be demonstrated at a level of clinical significance (p <0.05, Cohen’s d 1.7796). When the waiting list group are treated and then tested, the newly treated children catch up in their development. There is a continuing improvement in hearing and speech, hand-eye co-ordination, and personal-social interaction. Discussion: Music therapy has an effect on personal relationship, emphasising the positive benefits of active listening and performing, and this in turn sets the context for developmental change. A further investigation of the data revealed the importance of handeye co-ordination for developmental changes. The active element of musical playing, which demands the skill of hand-eye co-ordination, plays a significant role in developmental changes as they occur in the therapeutic musical relationship and is a suitable integrative psycho-social treatment for children with fragile X syndrome. Congreso 2008 – TURIN (Italia) 4 - 5 abril 2008 Un estudio preliminar de musicoterapia en el tratamiento de los niños con un desarrollo retardado David Aldridge University Witten Herdecke, Germany. Fondo La musicoterapia tiene una historia de emplearse en el tratamiento de los niños que es desarrollos retrasados y tiene las ventajas potenciales como enfoque integrador de tratamiento. Para evaluar qué cambios se producen en los niños con un desarrollo retrasado en cuanto se traten con la terapia activa de música. Un estudio de cruce de musicothérapies los niños que tienen un desarrollo retraso. Se evaluó, elige y aleatoriamente se asignó a doce pacientes en dos grupos de seis niños. Cada niño recibió la musicothér individual. Esto constituyó un grupo de tratamiento y un grupo de tratamiento de inicial no para servir de pedido de esperar -lista Objetivo Para evaluar qué cambios se producen en los niños con un desarrollo retrasado cuando se traten con musicoterapia activa. Métodos Un estudio cruzado de musicoterapias los niños que tienen un retraso de desarrollo Doce pacientes han sido evaluados, elegidos aleatoriamente y divididos en dos grupos de seis niños. Cada niño recibió musicoterapia en un grupo mientras el otro grupo permanecía en espera. El grupo de no tratamiento ha recibido la musicoterapia después de esperar tres meses, mientras que los niños anteriormente tratados tenían un corte de terapia. Los criterios de entrada eran que los niños deberían tener 4,5-5 años de edad cronológica, con una edad desarrollo de 1,5-3,5 año. La evaluación principal era de desarrollo según criterios psicológicos y funcionales (la prueba del Griffiths), y el musical. Resultados Los niños en el grupo inicial de tratamiento cambian más que los niños en la lista de espera. Tales cambios pueden demostrarse a un nivel de importancia clínico (p <0.05, Cohen’s d 1.7796). Cuando el grupo de la lista de espera son tratados y después examinados, progresan en su desarrollo. Hay una mejora continua de la audición y la palabra, la coordinación oculo-manual y la interacción personal-social. Debate La terapia de música tiene un efecto sobre el informe personal, destacando las ventajas positivas de la escucha activa y la ejecución, y esto coloca alternativamente el contexto para el cambio développemental. Otra investigación sobre los datos indicó la importancia de la coordinación manual oculo para los cambios développementaux. El elemento activo del juego musical, que exige la competencia de la coordinación manual oculo, desempeña un papel significativo en los cambios développementaux mientras que se producen en el informe terapeútico musico, y ha un tratamiento psicosocial integrador conveniente para niños con el síndrome X- Frágil. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Genetic counseling and molecular diagnosis of fragile X syndrome in Spain Tejada MI, Artigas J, De Diego Y, Fernandez I, Glover G, Guitart M, Martinez F, Ramos F, and Milá M* All authors belong to GIRMOGEN Association, a “Collaborative Research Group in Genetic Mental Retardation”. SPAIN. Contact address: Montserrat Milá Servicio de Genética. Hospital Clinic. Barcelona-Spain. Ph.: 34 93 2275400 E-mail : [email protected] Background The Fragile X Syndrome (FXS) attention cover in Spain is unknown mainly due to the fact that there isn’t a specialty of Clinical Genetics in Spain and, as a consequence, Spain lacks organization in this field and so lacks registers of Genetic diseases, FXS included. The aim of this work was to evaluate this situation. Methods. We reviewed the directories of the AEGH (Asociación Española de Genética Humana) and EDDNAL (European Directory DNA laboratories) and detected 34 Centres that said they worked on FXS. We then carried out a survey and sent it to the professionals responsible for the laboratories and for the Genetic Counselling. The questionnaire was divided into two main areas: Genetic Counselling and Molecular Diagnosis. In the first area, questions covered the following aspects: the professional that conducts the consultation; if it is addressed only for the Case Index or for the family; the number of consultations per year, the reasons for the study and the reference specialist. In the second area, there were questions to evaluate the methodology and quality of the molecular diagnosis, the written report as well as the number of diagnosis per year. Results The response rate was 50% (17/34). In 15 Centres Genetic Counselling is conducted by Geneticists and they care for the whole family. Median number of consultations per year is 200 being 3 to 60 of them for FXS positive cases o relatives. With regard to diagnosis, median number of molecular tests per year is also 200 with a percentage of positive cases about 1% (range 1-6). In total, we detected 1.232 FXS families with 1.536 FXS affected males (1/14.500). Conclusions As the prevalence was estimated in Spain about 1/6000, this data represents an underdiagnosis of FXS in Spain. Furthermore, it has been detected a high variability in the knowledge and detection of FXS among the different Autonomous Communities in Spain. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Famille et Intégration sociale Évaluation des besoins des femmes x-fragile en Espagne RUEDA JR (Univ. of the Basque Country), BRUN C (Univ. of Barcelona) BRIGNANI E, GUZMAN J (Spanish Federation of Fragile X Syndrome Associations) and TEJADA MI (Cruces Hospital, Barakaldo-Bizkaia) Work of the GIRMOGEN Group funding by the Work Ministry of the Spanish Government Contact : Eduardo Brignani. Barcelona – Spain. E-mail: [email protected] Objet Un manque de données au sujet de l'impact et des besoins des femmes avec un diagnostic de la pleine mutation (FM). La majeure partie de la recherche éditée sur le syndrome X-fragile (FXS) a été principalement concentrée sur les hommes affectés. Méthode Nous avons exécuté un aperçu chez les parents des filles ou des femmes de FM, affiliés à la fédération espagnole des associations de FXS. Les parents ont répondu à un questionnaire qui a combiné des questions fermées et en suspens. Celui-ci a été divisé en deux grands secteurs : 1) 18 questions ont satisfait les besoins spécifiques des femelles de FM, couvrant les domaines suivants : apprentissage de l'intégration, l'appui psychologique, l'intégration sociale, la santé, l'empêchement d'abus et les soucis ou les secteurs de force perçus comme priorité. 2) des questions pour évaluer l'impact du diagnostic et le désordre chez les parents au sujet de leurs besoins spécifiques. Nous présentons ici les résultats sur les besoins des filles/femmes affectées, comme perçus par leurs parents. Résultats Le taux de réponse était de 82%. L'âge médiane des filles/femmes affectées était de 20.4 ans, s'étendent 4-39 ans. Un pourcentage approprié d'elles a eu des difficultés pour exécuter les activités de vie quotidienne (difficultés : 6% graves, 44% légères, 24% moyenne et 26% aucune). Les parents ont considéré que l'intégration sociale est le secteur principal pour les filles et les femmes. L’infradiagnostic et le retard du diagnostic chez les filles/femmes affectées est mentionné comme problème principal relié à la santé. Le diagnostic en retard empêche d’apporter un véritable support préventif aux filles qui peuvent souvent souffrir de pressions et de demandes difficiles à rencontrer pour elles, minant leur capacité de l'auto-estime et dans ces cas, pouvant générer un état dépressif. Les parents demandent aux administrations publiques de consacrer plus de ressources à la couverture des besoins dans les secteurs prioritaires suivants: éducation, intégration professionnelle et recherche. Conclusions La croyance prolongée que le syndrome X-fragile est un problème approprié seulement chez les personnes masculines n'est pas confirmée par les résultats de notre étude. Les besoins essentiels de filles/femmes affectées sont détectés sont dans des secteurs suivants : intégration sociale et de travail, diagnostic et soutien précoce. Congresso 2008 – TORINO (Italia) 4 & 5 avril 2008 Inserzione familiare e sociale Valutazione dei bisogni delle donne X-fragile in Spagna RUEDA JR (Univ. of the Basque Country), BRUN C (Univ. of Barcelona), BRIGNANI E, GUZMAN J (Spanish Federation of Fragile X Syndrome Associations) and TEJADA MI (Cruces Hospital, Barakaldo-Bizkaia). Work of the GIRMOGEN Group funding by the Work Ministry of the Spanish Government Contact : Eduardo Brignani. Víctor Catalá, 6-8, 2º,1ª; 08173 Sant Cugat del Vallès Barcelona – Spain. 34 93 589 86 98. E-mail: [email protected] Soggetto Una mancanza di dati sull’impatto e i bisogni delle donne con una diagnosi di piena mutazione (FM), la maggior parte della ricerca sulla sindrome X-fragile (FXS) è stata finora concentrata sulle caratteristiche maschili, Metodo Abbiamo realizzato una ricerca sui genitori di ragazze e donne FM, membri della Federazione spagnola delle associazioni di FXS. I genitori hanno risposto a un questionario diviso in due parti (risposte aperte): 1) 18 domande sui bisogni specifici delle femmine FM, riguardo ai seguenti settori : integrazione, sostegno psicologico, salute, come evitare gli abusi e i problemi ... 2) Delle domande per valutare l’impatto della diagnosi e le conseguenze nei genitori riguardo ai loro bisogni specifici. Presentiamo qui i risultati sui bisogni delle ragazze/donne viste attraverso gli occhi dei loro genitori. Risultati La percentuale delle risposte era dell’82%. L'età media delle ragazze/donne era di 20.4 anni, l’età era dai 4-39 anni. Una percentuale importante a delle difficoltà per le attività quotidiane (difficoltà : 6% gravi, 44% leggere, 24% medie e 26% nessuna). I genitori hanno considerato che l’integraione sociale sia il settore principale per le ragazze. Il ritardo della diagnosi è menzionato come uno dei problemi principali legati alla salute perchè impedisce di portare un sostegno preventivo riguardo a delle ragazze che possono spesso soffrire di pressioni e di domande difficili da risolvere. Queste difficoltà hanno delle ripercussioni sulla loro stima personale e rischiano di generare uno stato depressivo. I genitori chiedono alle strutture pubbliche di consacrare più risorse lla copertura dei bisogni di tipo educativo, professionale (integrazione) e ricerca. Conclusioni La rappresentazione che la sindrome X-fragile sia un problema principalmente maschile non è stato confermato nella nostra ricerca. I bisogni essenziali delle ragazze/donne X fragile si ritrovano nei seguenti settori : integrazione sociale e lavoro, diagnosi e sostegno precoce. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Family and Social Insertion Needs assessment in fragile X women in Spain RUEDA JR (Univ. of the Basque Country), BRUN C (Univ. of Barcelona), BRIGNANI E, GUZMAN J (Spanish Federation of Fragile X Syndrome Associations) and TEJADA MI (Cruces Hospital, Barakaldo-Bizkaia). Work of the GIRMOGEN Group funding by the Work Ministry of the Spanish Government Eduardo Brignani. Víctor Catalá, 6-8, 2º,1ª; 08173 Sant Cugat del Vallès Barcelona – Spain. 34 93 589 86 98. E-mail: [email protected] Background There is scarcity of data about the impact and needs of women with a diagnosis of full mutation (FM). Most of the published research on Fragile X Syndrome (FXS) has been mainly focused on affected males. Methods. We performed a survey in parents of FM girls or women, affiliated to the Spanish Federation of FXS Associations. Parents answered a questionnaire which combined closed and open questions, and that was divided in two big areas. 1st) 18 questions addressed specific needs of FM females, covering the following areas: school integration, psychological support, social integration, health care, abuse prevention, and main concerns or areas perceived as priority. 2nd) there were questions to evaluate the impact of the diagnosis and the disorder in parents and relatives and about their specific needs. We present here the results on affected female needs, as perceived by their parents. Results The response rate was 82%. Median age of affected females was 20.4 years, range 4-39 years. A relevant percentage of them had difficulties for performing daily life activities (24% medium difficulties, 6% severe, 44% mild, and 26% no one). Parents considered that social integration is the key area for the girls and women. Infradiagnosis and late diagnosis of affected females is mentioned as a key problem related with health care; late diagnosis prevents from early support to the girls, which can often suffer pressures and demands difficult to cope with for them, undermining their self-esteem, and in cases generating depression. Parents demand public administrations to devote more resources to cover unmet needs in the following priority areas: education, workplace integration and research. Conclusions The extended belief that FXS is a relevant problem only in male persons is not confirmed by the results of our study. Mayor detected unmet needs for affected females are in following areas: social and labor integration, early diagnosis and early support. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Evaluation de la pragmatique chez les personnes X fragile, comparaison avec les personnes trisomique 21, et TDA/H Bussy G.(1,2), Curie A. (1,2), Delange K. (2), Roy M. (1), Krifi-Papoz S. (1), des Portes V. (1,2) (1) Service de neuropédiatrie, Hôpital Femmes-Mères-Enfants, Lyon; (2) Institut des Sciences cognitives, CNRS UMR5230, Bron La pragmatique est une des composantes du langage, et se définit comme la capacité à communiquer. Les personnes présentant un syndrome de l’X Fragile ont souvent de bonnes compétences langagières, mais sont gênées par un trouble de la pragmatique. Par ailleurs, il a été mis en évidence un déficit des capacités pragmatiques chez les personnes TDA/H. Nous avons cherché à évaluer la pragmatique du langage chez les personnes X fragiles (qui présentent une déficience intellectuelle et un TDA/H associé). Afin d’établir si les troubles de la pragmatique rencontrés chez ces personnes étaient secondaires au TDAH également observé dans le syndrome de l’X fragile, nous avons utilisé deux groupes de comparaison : l’un formé de patients TDA/H (non déficients intellectuels), l’autre de personnes trisomiques 21 (présentant également une déficience intellectuelle, sans TDA/H associé). Nous avons demandé aux parents de remplir le questionnaire Children’s Communication Checklist (Bishop, 1998). Les échelles de Conners ainsi que les critères DSM-IV pour le TDA/H ont également été établis pour chaque patient. Les différences entre les 3 groupes ont été analysées à l’aide d’une ANOVA. Des tests non paramétriques (Kruskall et Wallis) ont également été réalisés. Nous avons pu mettre en évidence une différence significative entre les sujets non déficients et les sujets déficients pour l’indice de production langagière. Par ailleurs, l’indice pragmatique de la CCC des patients X-Fragile est significativement différent de celui des TDAH, alors que la différence n’est pas significative avec les personnes trisomiques. Cependant, un trouble de la pragmatique existe chez 80% des patients Xfragile, alors qu’il n’est présent que chez 40% des sujets trisomiques. Les personnes X-fragile présentent donc des troubles de la pragmatique contrairement aux sujets TDAH et dans une moindre mesure aux sujets trisomiques. Ceux-ci semblent donc bien être spécifiques du syndrome de l’X-fragile et non dépendant du TDAH. Congress 2008 – TURIN (Italy) April 4 & 5, 2008 Evaluation of the pragmatic with Fragile X persons, in comparison with Down syndrome, and ADHD persons Bussy G.(1,2), Curie A. (1,2), Delange K. (2), Roy M. (1), Krifi-Papoz S. (1), des Portes V. (1,2) (1) Neuropédiatric Service, Hôpital Femmes-Mères-Enfants, Lyon; (2) Institute of cognitive Sciences, CNRS UMR5230, Bron Pragmatic is one of the speech components and is defined as a capacity to communicate. Persons with Fragile X syndrome usually have good speech abilities but are hindered by a disorder in pragmatic. Besides a deficiency in pragmatical abalities has been emphasized with ADHD persons. We have tried to evaluate the speech pragmatic with Fragile X persons (who present both intellectual deficiencies and an associated ADHD) . In order to determine if troubles in the pragmatic encountered with these persons were derived from ADHD that is also present in Fragile X, we have used two control groups : one with ADHD patients (non intellectually impaired), another with Down syndrome persons (intellectually impaired but without associated ADHD). We ask parents to fill the questionnaire Children’s Communication Checklist (Bishop, 1998). Conners scales as well as DSM-IV criteria for ADHD have also been set up for each patient. Differences between the three groups have been analyzed with an ANOVA. Non parametrical tests (Kruskall and Wallis) have also been conducted. We were able to emphasize a significant difference between non impaired and impaired subjects as to the speech production index. Moreover the CCC pragmatic index of Fragile X patients is significantly different from the one of ADHD patients, whereas the difference is not significant with trisomic persons. However a pragmatic disorder is present within 80 % of fragile x patients, while within only 40 % of Down syndrome subjects. Fragile X persons show pragmatic disorders contrary to ADHD subjects and show them less than Down syndrome subjects. Those troubles seem to be specific to Fragile X syndrome and not dependant from ADHD Congresso 2008 – TORINO (Italia) 4 & 5 aprile 2008 Evaluación del pragmática en las personas X frágiles, comparación con las personas trisómico 21, y TDA/H Bussy G.(1,2), Curie A. (1,2), Delange K. (2), Roy M. (1), Krifi-Papoz S. (1), des Portes V. (1,2) (1) Service de neuropédiatrie, Hôpital Femmes-Mères-Enfants, Lyon (servizio di neuropediatria, Ospedale Donna-madre-Figli, Lyon-Francia); (2) Institut des Sciences cognitives, CNRS UMR5230, Bron (Istituto di Scienze Cognitive, Bron) La pragmatica é una delle componenti del linguaggio e si definisce come la capacità di comunicare. Le persone presentanti una sindrome X fragile hanno spesso delle buone competenze del linguaggio ma presentano una difficoltà di pragmatica. D’altro canto nelle persone presentanti un TDA/H é stato messa in evidenza una deficienza delle capacità pragmatiche. Abbiamo cercato di valutare la pragmatica del linguaggio nelle persone X fragile (presentanti una deficienza intelletuale e un TDA/H associati). Per stabilire se le difficoltà di pragmatica riscontrate in queste persone erano secondarie al TDAH ugualmente riscontrato nell’X Fragile, abbiamo utilizzato due gruppi di paragone : uno formato da pazienti TDA/H (senza deficienza mentale), e l’altro da persone presentanti una trisomia 21 (presentanti una deficienza mentale, senza TDA/H associata). Abbimo chiesto ai genitori di completare il questionario Children’s Communication Checklist (Bishop, 1998). Le graduatorie di Conners e i criteri DSM-IV per il TDA/H sono stati stabiliti per ogni paziente. Le differenze tra i gruppi sono state analizzate su base di un ANOVA. Dei tests non parametrici (Kruskall et Wallis) sono stati ugualmente realizzati. Abbiamo potuto mettere in evidenza una differenza significativa tra i soggetti presentanti o meno una deficienza per l’indice di produzione del linguaggio. L’indice pragmatico della CCC dei pazienti X-Fragile é significativamente diverso da quello dei TDAH, mentre questa differenza non é significativa per le persone con trisomia. Nonostante cio’ un problema di pragmatica é riscontrato nell’80% dei pazienti X-Fragile, mentre é presente solo nel 40% dei pazienti con trisomia. Contrariamente ai soggetti TDAH, le persone X-fragile presentano quindi delle difficoltà della pragmatica, queste difficoltà sono presenti in misura minore nei soggetti con trisomia. Queste difficoltà sembrano quindi essere specifiche della sindrome l’X-Fragile e non essere dipendenti dal TDAH. Congresso 2008 – TORINO (Italia) 4 & 5 aprile 2008 Valutazione del pragmatico alle persone x fragili, raffronto con le persone trisomique 21, e TDA/H. Bussy G.(1,2), Curie A. (1,2), Delange K. (2), Roy M. (1), Krifi-Papoz S. (1), des Portes V. (1,2) (1) Service de neuropédiatrie, Hôpital Femmes-Mères-Enfants, Lyon (servizio di neuropediatria, Ospedale Donna-madre-Figli, Lyon-Francia); (2) Institut des Sciences cognitives, CNRS UMR5230, Bron (Istituto di Scienze Cognitive, Bron) La pragmatica é una delle componenti del linguaggio e si definisce come la capacità di comunicare. Le persone presentanti una sindrome X fragile hanno spesso delle buone competenze del linguaggio ma presentano una difficoltà di pragmatica. D’altro canto nelle persone presentanti un TDA/H é stato messa in evidenza una deficienza delle capacità pragmatiche. Abbiamo cercato di valutare la pragmatica del linguaggio nelle persone X fragile (presentanti una deficienza intelletuale e un TDA/H associati). Per stabilire se le difficoltà di pragmatica riscontrate in queste persone erano secondarie al TDAH ugualmente riscontrato nell’X Fragile, abbiamo utilizzato due gruppi di paragone : uno formato da pazienti TDA/H (senza deficienza mentale), e l’altro da persone presentanti una trisomia 21 (presentanti una deficienza mentale, senza TDA/H associata). Abbimo chiesto ai genitori di completare il questionario Children’s Communication Checklist (Bishop, 1998). Le graduatorie di Conners e i criteri DSM-IV per il TDA/H sono stati stabiliti per ogni paziente. Le differenze tra i gruppi sono state analizzate su base di un ANOVA. Dei tests non parametrici (Kruskall et Wallis) sono stati ugualmente realizzati. Abbiamo potuto mettere in evidenza una differenza significativa tra i soggetti presentanti o meno una deficienza per l’indice di produzione del linguaggio. L’indice pragmatico della CCC dei pazienti X-Fragile é significativamente diverso da quello dei TDAH, mentre questa differenza non é significativa per le persone con trisomia. Nonostante cio’ un problema di pragmatica é riscontrato nell’80% dei pazienti X-Fragile, mentre é presente solo nel 40% dei pazienti con trisomia. Contrariamente ai soggetti TDAH, le persone X-fragile presentano quindi delle difficoltà della pragmatica, queste difficoltà sono presenti in misura minore nei soggetti con trisomia. Queste difficoltà sembrano quindi essere specifiche della sindrome l’X-Fragile e non essere dipendenti dal TDAH. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Le rapport génétique, la communication des résultats et du conseil génétique dans le syndrome X fragile : une enquête réalisée aux familles espagnoles Vallejo G *., Padilla N., Centenera A., Machicado J. Asociación SXF Madrid Asociación Síndrome X Frágil Madrid. Spain [email protected] OBJECTIF Connaître le degré de satisfaction des patients avec le Syndrome X Fragile (SXF) au sujet de l'attention socio-sanitaire reçue pendant l'étude génétique, la communication du diagnostic et des contenus et rédaction du dossier ainsi que du service proportionné dans le conseil génétique familiar, il permettra de nous approcher d'une forme plus réelle à la situation des Centres de Génétique et sans doute, il peut aider à améliorer d'une forme intégrale la qualité des épreuves génétiques qui sont utilisées en ce Syndrome. MÉTHODOLOGIE Une enquête totalement confidentielle est réalisée aux familles Espagnoles appartenant à différentes Associations SXF avec l'objectif principal de connaître : √ l'Information proportionnée dans le rapport génétique concernant Le type d'étude; les techniques utilisées; le diagnostic proportionné; le nombre d'allèles; le nombre de répétitions détectées. Réalisées dans un service médical public ou privé. √ La qualité de l'attention socio-sanitaire prêtée préalablement et pendant la communication de l'épreuve diagnostique, évalués à partir des paramètres suivants : Le professionnel qui sollicite l'analyse; combien de temps s'écoule jusqu'à ce que les résultats sont offerts; l'information facilitée sur le SXF une fois le diagnostic posé; les complications pour réaliser les analyses; les défauts dans la communication des résultats; les professionnels qui sont intervenus. √ l'Aide offerte aux parents en conseil génétique Le type d'information proportionnée à la famille; nombre de rencontres effectuées; professionnels qui ont participé aux rencontres familiales; d'autres membres de la famille qui ont été diagnostiqués et qui par la suite, ils ont reçu un appui psychologique; des complications pour réaliser les analyses au reste de la famille. RÉSULTATS 1. Casuistique : 56 réponses appartenant à 41 groupes familiers originaires des Communautés Autonomes : L'Andalousie, l'Aragon, les Asturies, la Castille Léon, la Catalogne, Madrid, l'Estrémadure et la Navarre, ils se regroupent selon le diagnostic génétique chez 39 personnes avec une mutation complète, 16 porteuses (prémutations) et 1 mosaïque. Les épreuves génétiques ont été réalisées chez le 86 % des interrogés dans des centres publics. 2. Une absence répandue de protocole unitaire est vérifié dans l'élaboration des dossiers génétiques (1), ainsi que des défauts importants dans ses contenus; après avoir approfondi sur le type d'information que contiennent les dossiers, 25 % des enquêtes rapportent que le caryotype a été la technique unique utilisée, et il est à remarquer que dans le 42 % des cas le temps d´attente pour les résultats a été entre plus de 4 mois et 1 an. 3. La communication des résultats a été considérée comme bonne dans le 56 % des cas bien que curieusement 68 % des enquêtés considèrent que l'information proportionnée aux parents oscille entre très mauvaise et médiocre. Le papier du neurologue est remarqué à l'heure de solliciter l'étude moléculaire de l´ADNN et(ou) à l'heure de communiquer le diagnostic génétique et à 29 % des cas l'étude a été réalisée à la demande de la propre famille. La communication des résultats, dans le 14 % des cas, a été réalisée avec un appui pluridisciplinaire. 4. Dans le conseil génétique se constate également une manque de protocole unitaire dans sa réalisation (2); dans le type d'information facilitée aux parents en général elle fût incomplète et insuffisante; dans aucun a été offert une aide psychologique; seulement le 11 % fût informé de l'existence d'associations pour les familles X-fragile; dans la totalité des cas (100%), il y a seulement eu une seule rencontre diagnostique; on a comptabilisé que, après avoir reçu le premier diagnostic Syndrome X-fragile chez les 41 familles évaluées, ont été diagnostiqué par la suite encore 119 membres de la famille avec une mutation complète ou des prémutations. CONCLUSIONS L'évaluation des résultats signale lesquels sont les points faibles: information insuffisante, dépourvue de clarté et d'uniformité dans le dossier génétique; la communication et l'explication du diagnostic n'a pas existé dans plusieurs occasions et dans les autres, il a été expliqué mais de façon peu comprensible et peu claire pour les familles et le conseil génétique a été très déficient ou inexistant dans des différents cas. Pour améliorer l'information sur le diagnostic et la communication aux patients présentant le syndrome X-fragile, il est fondamentale que les Centres Diagnostics commencent à travailler avec des protocoles standardisés ainsi que avec des guides pour les bonnes pratiques concernant les analyses moléculaires dans SXF ainsi que suivre les recommandations internationales pour le conseil génétique relatif à ces épreuves (2, 3). Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 El informe genético, comunicación de la prueba y el consejo genetico en el síndrome x frágil: encuesta realizada a las familias españolas Vallejo G *, Padilla N., Centenera A., Machicado J. Asociación SXF Madrid Asociación Síndrome X Frágil Madrid. Spain [email protected] INTRODUCCIÓN Conocer el grado de satisfacción de los pacientes con Síndrome X Frágil (SXF) respecto a la atención sociosanitaria recibida durante el estudio genético, comunicación del diagnóstico y contenidos del informe así como el servicio proporcionado en el consejo genético familiar permitirá aproximarnos de una forma más real a la situación de los Centros de Genética y sin duda, puede ayudar a mejorar de forma integral la calidad de las pruebas genéticas que se utilizan en este Síndrome. MÉTODOS Se realiza una encuesta totalmente confidencial a las familias Españolas pertenecientes a diferentes Asociaciones SXF con el objetivo principal de conocer cómo fue: • La información proporcionada en el informe genético: Tipo de estudio, técnicas utilizadas, diagnóstico proporcionado, número de alelos, número de repeticiones detectadas, realizadas en servicio médico público o privado. • La calidad de la atención sociosanitaria prestada previa y durante la comunicación de la prueba diagnostica: Profesional que solicita el análisis, cuanto tiempo transcurre hasta que recibe el resultado, información facilitada sobre el SXF, complicaciones para realizar los análisis, deficiencias en la comunicación de la prueba, profesionales que intervinieron. • La ayuda ofrecida a las familiares en el consejo genético: Tipo de información proporcionada a la familia, número de entrevistas realizadas, profesionales que participaron en la entrevista familiar, familiares que fueron diagnosticados y que posteriormente, recibieron apoyo psicológico, complicaciones para realizar los análisis a los familiares. RESULTADOS Muestra analizada: se procesan 56 respuestas pertenecientes a 41 grupos familiares procedentes de las siguientes Comunidades Autonómicas: Andalucía, Aragón, Asturias, Castilla León, Cataluña, Madrid, Extremadura y Navarra, se agrupan según el diagnostico genético en 39 personas con mutación completa, 16 portadoras y 1 mosaico. Las pruebas genéticas fueron realizadas en el 86% de los encuestados en centros públicos. Se comprueba la falta generalizada de protocolo en la elaboración de los informes genéticos (1), así como importantes deficiencias en sus contenidos, se profundizará detenidamente que tipo de información contienen los informes, el 25% de las encuestas refieren que el cariotipo fue la única técnica utilizada, es llamativo que en el 42% de los casos se demoraron mas de 4 meses o hasta 1 año en la emisión del resultado. La comunicación de la prueba fue considerada como buena para el 56% de los casos aunque curiosamente el 68% de las encuestas consideran que la información proporcionada a los padres fue de pésima a regular. Destaca el papel del neurólogo a la hora de solicitar la prueba y/o comunicar el diagnóstico genético y en el 29% de los casos la prueba se realizó a petición del propio familiar. La comunicación del resultado en el 14% de los casos fue realizada con apoyo multidisciplinar. Consejo genético se constata la falta de protocolo en su realización (2), se profundizará detenidamente en el tipo de información facilitada a los familiares aunque de forma generalizada esta fue incompleta e insuficiente, en ningún caso se presto ayuda psicológica, solo en un 11% se informa de la existencia de asociaciones para las familias XF, en el 100% de casos sólo hubo una única entrevista, se ha contabilizado que tras recibir el primer diagnóstico SXF en las 41 familias valoradas, se diagnosticaron posteriormente 119 familiares más con mutación completa o portadoras. CONCLUSIONES La encuesta pone de manifiesto cuales son los puntos débiles del informe genético y el consejo genético, destacan la escasa información, falta de claridad y uniformidad en el informe genético, la comunicación y explicación del diagnostico no ha existido en muchas las ocasiones y en otras ha sido explicado pero no se ha comprendido con claridad por las familias y el consejo genético ha sido muy deficiente o inexistente muchos casos. Para mejorar la información del diagnostico y la comunicación a los pacientes SXF es fundamental que desde los Centros Diagnósticos se comience a trabajar con protocolos estandarizados o guías para las buenas practicas de análisis moleculares en SXF así como seguir las recomendaciones Internacionales para el consejo genético relacionado con estas pruebas (2, 3). 1. Draft Best Practice Guidelines for Molecular Analysis in Fragile X Syndrome European Molecular Quality network, 2006. 2. Recommendations for genetic counselling related to genetic testing (Draft 2) Eurogentest. www.eurogentest.org 3. “Asegurar la equidad para el acceso al diagnóstico, a los tratamientos y a la atención”. Plan Nacional Francés para las Enfermedades Raras 2005 – 2008. Ministère de la santé et de la protection sociale. 2004 Congresso 2008 – TORINO (Italie) 4 & 5 aprile 2008 Il reso conto genetico, la comunicazione dei risultati e del consiglio genetico nella sindrome X fragile : un ricerca realizzata con le famiglie spagnole Vallejo G *., Padilla N., Centenera A., Machicado J. Asociación SXF Madrid Asociación Síndrome X Frágil Madrid. Spain gv al le jode t or r e s@gm ai l. com OBIETTIVO Conoscere il livello di soddisfazione dei pazienti X Fragile (SXF) riguardo l’attenzione sociale e sanitaria ricevuta durante la ricerca genetica, la comunicazione della diagnosi e il consiglio genetico familiare per permettere di avvicinarci il più possibile ai Centri di Genetica. Questo permetterà di migliorare la qualità delle prove genetiche utilizzate per questa sindrome. METODOLOGIA Una ricerca confidenziale è stata realizzata con delle famiglie spagnole appartenenti a varie associazioni SFX con lo scopo principale di conoscere : √ l'Informazione nel reso conto genetico riguardo a : Il tipo di studi, le tecniche utilizzate, la diagnosi,.... realizzate in un servizio medico pubblico o privato. √ La qualità dell’attenzione sociale e sanitaria priòa e durante la comunicazione della diagnosi ( su base dei seguenti parametri) : Il professionista che richiede l’analisi, la durata tra il tempo dell’esame e suoi risultati, l’informazione specifica sull’SXF; le complicazioni per realizzare le analisi, le mancanze nella comunicazione dei risultati ... √ l'Aiuto offerto ai genitori durante il consiglio genetico Il tipo di informazione fornito, il numero di incontri, i professionisti che hanno partecipato agli incontri familiari, gli altri membri della famiglia che hanno ricevuto una diagnosi e che hanno avuto in seguito un supporto psicologico, delle complicazioni per analizzare il resto della famiglia . RISULTATI √ Casistica : 56 risposte provenivano da 41 gruppi familiari originari delle Comunità autonome :Andalousia, Aragon, Asturie, Castille Léon, Catalogna, Madrid, l'Estrémadura e la Navarra. Si raggruppano secondo la diagnosi genetica in 39 persone con una mutazione genetica completa, 16 vettori (premutazioni) e 1 mosaico. Le prove genetiche sono state realizzate per l’86 % in centri pubblici. √ Un’assenza ripetuta di protocollo unitario è verificato nell’elaborazione dei dossier genetici (1), come pure delle mancanze importanti nei contenuti. Dopo aver approfondito il tipo di informazioni contenute nei dossiers, 25 % delle ricerche fanno stato che il cariotipo sia stato l’unica tecnica utilizzata, c’è da notare che in 42 % dei casi il tempo di attesa per ottenere i risultati sia stato tra più di 4 mesi e un anno. √ La comunicazione dei risultati è stata considerata come buona in 56 % dei casi anche se curiosamente 68 % delle persone intervistate considerano che la qualità dell’informazione oscilli tra cattiva e mediocre. Il documento del neurologo è notato nel momento in cui bisogna ricorrere allo studio molecolare del ADNN e-o nel momento di annunciare la diagnosi genetica. Per 29 % dei casi la ricerca è stata realizzata in seguito alla richiesta dei familiari, la comunicazione dei risultati è stata realizzata con un sostegno multidisciplinare. Nel consiglio genetico si constata una mancanza di protocollo unitario nella sua realizzazione (2); riguardo alle informazioni ai genitori. Sono considerate incomplete e insufficienti, nessun aiuto psicologico è stato offerto, soltanto l’11 % è stato informato dell’esistenza di associazioni per le famiglie X-fragile; nella totalità dei casi (100%), c’è stato un solo incontro di diagnosi. Si è contato che seguito a una prima diagnosi di Sindrome X-fragile sulle 41 famiglie, altri 119 membri di una stessa famiglia siano stati diagnosticati con una mutazione completa o delle premutazioni. CONCLUSIONI La valutazione dei risultati segnala i punti deboli : informazione insufficiente, mancanza di chiarezza e di uniformità nella cartella della diagnosi, la mancanza o la poca chiarezza nella comunicazione e la spiegazione della diagnosi. Il consiglio genetico appare mancante o inesistente in molti casi. Per migliorare l’informazione sulla diagnosi e la comunicazione ai pazienti X-fragile, appare fondamentale che i centri di diagnosi comincino a lavorare con dei protocolli standardizzati, con dei manuali e delle raccomandazioni internazionali (2,3) riguardo alle analisi molecolari nella SXF. 1. Draft Best Practice Guidelines for Molecular Analysis in Fragile X Syndrome European Molecular Quality network, 2006. 2. Recommendations for genetic counselling related to genetic testing (Draft 2) Eurogentest. www.eurogentest.org 3. “Asegurar la equidad para el acceso al diagnóstico, a los tratamientos y a la atención”. Plan Nacional Francés para las Enfermedades Raras 2005 – 2008. Ministère de la santé et de la protection sociale. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Caractéristiques cliniques de la prémutation et de la zone grise dans l´enfance Ferrando Lucas MªT( * ,a) Martorell Sampol L,( **), Póo Argüelles P(*) López Sala, A (*), Sans Fito A(*), Campistol Plana J(*) (*) Departement of Neurology. (**) Departement of Genetics. Hospital Sant Joan de Déu. BARCELONA (a)Departement of Pediatrics. Division neurodevelopmental Disorders. Hospital Quirón MADRID - (X fragile syndrome of Madrid. X fragile Europe) [email protected] & [email protected] Le nombre de répétitions CGG définit l'état de prémutation ou de mutation complète dans le syndrome X fragile. Dans l'enfance, la mutation complète a un phénotype physique et cognitivo- comportemental caractéristique. Les adultes porteurs de la prémutation peuvent développer un syndrome neurodégénératif progressif. Bien que les caractéristiques cliniques des prémutations et de la zone grise dans l'enfance soient moins connues, l'expérience clinique et les rapports de cas suggèrent que des enfants avec des prémutations et des allèles dans la zone grise de la prémutation peuvent avoir des caractéristiques cliniques semblables à ceux avec la mutation complète. Nous présentons une série clinique de 13 enfants (9 garçons, 4 filles) nés entre 1989 et 2000. Première donnée d´alarme : le retard global de développement avec un retard de la marche et du langage dans tous les cas, avec une incidence particulière sur les performances langagières, aussi bien que des troubles du comportement et des désordres de communication. Les antécédents familiers du syndrome X-fragile non connus dans aucun des cas. Phénotype physique FXS chez un des enfants. Phénotype cognitif- comportemental suggestif de mutation complète FXS chez tous les enfants. Quotient intellectuel normal dans un cas et retard sévère dans un autre. Le reste des enfants montre un retard léger ou une intelligence limite. Épilepsie dans deux patients avec des crises rebelles au traitement et absence de langage dans une fille. Des paroxysmes épileptoïdes sans crise clinique dans deux des cas. Le taux de répétitions CGG entre 46 et 53 dans cette série clinique. Dans l'étude de famille de ces enfants, l'allèle en zone grise a été porté par la mère dans douze cas et par le père dans un cas. Tous les enfants ont reçu la zone grise d'une façon stable. Le profil de Neurocognitif inclut une exécution lente de tâches; des désordres dans la production de discours et du langage: l'articulation, la compréhension, la syntaxe et la pragmatique; dyscalculie spatiale, dysgraphie et troubles dans les tâches visuo-spatiales. Désordres dans la dénomination : anomia, et des désordres dans la lecture, avec absence de performances en langage écrit dans certains cas. À la neuro image MRI : réduction du vermis cérébelleux dans deux cas; des hyperintensités parieto-occipitales dans un cas et élargissement d'espaces périvasculaires dans un autre. Le Syndrome X fragile est une maladie multisystémique, héréditaire, génétique qui est produite par la mutation d'un gène (FMR1) dont les caractéristiques cliniques sont d'une très large variation, donc nous pourrions parler d'un spectre clinique des enfants affectés. Ce spectre est défini par une sévérité diverse d´affectations neurologiques, du cognitif et du phénotype comportemental. Chez les enfants qui son porteurs de prémutation et de la zone grise, il reste toujours la possibilité que certains d'entre eux se comporteront cliniquement comme des mutations complètes. Il est nécessaire prévoir des études pour confirmer notre impression que la zone grise de la prémutation dans le syndrome X-fragile peut être associé à des troubles phénotype dans ces cas. du développement et établir la relation génotype - Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Clinical features in childrens with fragile x premutation and gray zone Ferrando Lucas MªT( * ,a) Martorell Sampol L,( **), Póo Argüelles P(*) López Sala, A (*), Sans Fito A(*), Campistol Plana J(*) (*) Departement of Neurology. (**) Departement of Genetics. Hospital Sant Joan de Déu. BARCELONA (a)Departement of Pediatrics. Division neurodevelopmental Disorders. Hospital Quirón MADRID - (X fragile syndrome of Madrid. X fragile Europe) The number of repeats CGG defines the state of premutation or full mutation in fragile X syndrome. In childhood, full mutation has a characteristic behavioural and physical phenotype. In the adult carriers of the premutation can develop a progressive neurodegenerative syndrome. Although the clinical characteristics of the premutations and gray zone in the childhood are less well-known, clinical experience and case reports suggest that child with premutation and gray zone alleles may have similar clinical features than those with the full mutation. We are reporting a clinical series of 13 children (9 boys, 4 girls) born between 1989 and 2000. First alarm data: global retardation of development with a delay in the acquisition of the capacity to walk and of language in all cases with a particular incidence on language capacity, as well as behavioural and communication disorders. Family antecedents of XFS not known of any of the children. Physical phenotype FXS present in one of the cases. Cognitive-behavioral phenotype suggestive of full mutation FXS in all cases. Average to normal intelligence in one case only, and severe retardation in another. The rest of the children shows slight retardation or limit intelligence. Epilepsy in two patients with crisis of rebellion against treatment, and absence of language in one girl. Epileptoid paroxysm without clinical crisis in two of the cases. Rank of CGG repetitions between 46 and 53 in this clinica series. In the family study of this children, the gray zone allele was carried by the mother, in twuelve cases et fhater in one case. The children have received the gray zone in a stable way. Neurocognitive profile includes slow execution of tasks ; disorders in speech production and language : articulation, comprehension, syntactic and pragmatics ; spatial dyscalculia, dysgraphia and impairments in visual- spatial tasks. Disorders in denomination : anomia, and disorders in reading, with absence of reading i same cases. In neuroimagin MRI: reduction in cerebellar vermis in two cases; hyperintensities in both parietal lobes in one cases and enlargement of perivascular spaces in another case. The Fragile X Syndrome is a multisystemic, hereditary, genetic illness which is produced by the mutation of a gene (FMR1) The clinical characteristics of which are of a very wide range, so we might speak of a clinical spectrum of the people affected. This spectrum is defined by the diverse severity of neurological, cognition and behavioral phenotype. In the children who carry the premutation and the gray zone, the possibility still remains that some of them will behave clinically as if complete mutations existed. Larger independent samples is required to confirm our impression that gray zone fragile X may be associated with important developmental disabilities And to establish the genotype - phenotype relation in ill childhood patients with premutation and gray zone. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Les actions de soutien aux familles face au diagnostic du syndrome X fragile Association Catalane du Syndrome Fragile x Syndrome Eduardo Brignani Pérez Barcelona – Spain [email protected] Objectif : fournir le soutien aux familles récemment diagnostiquées Situation de la famille : La famille connaît un statut d'anxiété, confusion, culpabilité et vulnérabilité emotionelle provenant du manque d'un diagnostic exacte ajouté à la pauvre connaissance sur le Syndrome X Fragile. Quand les familles reçoivent le diagnostic, on ne leur donne pas l'opportunité d'exposer leurs doutes et besoins. L'impact du diagnostic crée une crise existentielle profonde qui affecte des états émotionnels, économiques, professionnels et sociaux aux niveaux de la famille et de l'individu Actions : l'Association réalise les actions suivantes : √ Pourvoir de renseignements et de campagnes de conscience dans les centres diagnostiques : visites spécifiques au personnel des centres diagnostiques. Ces visites ciblent sensibiliser sur les besoins de la famille au moment de la réception du l diagnostic, la disposition de brochures d'information et de prospectus pour rendre aux familles, les renseignements sur l'Association et les trajets pour l'approcher. √ Contact personnel : Quand une famille a les premiers contacts avec l'Association, le président leur téléphone et un nouveau groupe de famille est enregistré, en incluant toutes les données pertinentes et en déterminant les besoins les plus urgents de cette famille. √ Visites scolaires : Généralement, les enseignants et le personnel scolaire n'ont aucune connaissance sur le Syndrome X Fragile et manquent donc d´une prise en charge spécifique ou de l'apprentissage des signes pour ces enfants. Un thérapeute Ocupationel de l'Association visite l'école et leur fournit des stratégies d'apprentissage nécessaires sur la demande et l'autorisation des famillas. √ Soutien psychologique : un psychologue spécialisé offre la psychothérapie aux familles pour réexpédier la crise existentielle et lancer le développement positif pour la famille, les individus et pour l'enfant. √ Groupes de soutien réciproques : les réunions mensuelles pour offrir le soutien émotionnel, concevoir de meilleures stratégies éducatives et insister dévant l'administration Résultats : On a aidé huit nouvelles familles depuis le début de cette stratégie d'action Conclusions : ce projet contribue à une résolution positive de la crise existentielle et aide des familles à récupérer le chemin pour chercher une meilleure qualité de la vie. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Support actions to families and the diagnosis Catalan Fragile x Syndrome Association Eduardo Brignani Pérez Barcelona – Spain [email protected] Objective: To provide support to recently diagnosed families Family situation: A family experiences a status of anxiety, confusion, guilt and emocional vulnerability resulting from a lack of an accurate diagnosis together with poor knowledge on Fragile X Syndrome. When families receive the diagnosis, they are not given an opportunity to put forward their doubts and needs. The impact of the diagnosis originates a deep existential crisis which affects emotional, economic, professional and social states at the individual and family levels. Actions: The Association carries out the following actions: Provision of information and awareness campaigns in diagnostic centres: specific visits to the diagnostic centre staff. These visits are aimed at raising their conscience over the family needs at the time of receiving the diagnosis, provision of information brochures and leaflets to hand over to families, information on the Association and routes of access to it. Personal contact: When the family first contacts the Association, the president phones them and a new family group is registered, including all relevant data and determining the most pressing needs of the family. School visits: Generally, teachers and school staff have no knowledge on Fragile X Syndrome and therefore lack specific treatment or learning cues for these children. An occupational therapist from the Association visits the school and provides them with proper learning strategies upon request and authorization from the families. Psychological support: A specialized psychologist offers psychotherapy to families to readdress the existential crisis and initiate positive development for the family, the individuals and for the child. Mutual support groups: Monthly meetings to offer emotional support, design better educational strategies and stress management. Results: Eight new families have been assisted since the start of this action strategy. Conclusions: The above contributes to a positive resolution of the existential crisis and helps families recover the drive to search for a better quality of life. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Le syndrome X fragile à travers les perceptions d´un forum de familles et de professionnels Sánchez Azcárate B (1), Valentini K (1), Rey Gallego R (1), Montero Parras V (1), Corroto Martín V (1), Martínez Zamudio Mª G (1), Arteaga Armas Y (1), Martínez Lara P (1), Venegas Zambrano A Mª (1), Valim de lima F (1), Ferrando Lucas MªT(*), Puente Farreras A (**) (1) Élèves du Cours de Spécialisation Expert en Intervention Clinique en Lecture et Écriture. Faculté de Psychologie. ** Maître en Chair de Psychologie. Directeur du Cours Expert en Intervention Clinique en Lecture et Écriture. * Neuropediatre. Proffesseur du Cours Expert en Intervention Clinique en Lecture et Écriture. Université Complutense. Madrid. Espagne Bien qu'étant la première cause de handicap intellectuelle héréditaire, le syndrome X fragile est encore une maladie peu connue. En plus de pouvoir accéder à cette maladie à travers les nombreuses publications existantes, rien n’approche plus à la réalité des malades et de ses familles que de pouvoir accéder à l’écoute de sa expérience de son vécu. La confirmation du diagnostic produit dans la famille des réactions de commotion et d’étourdissement; d'anxiété, de duel devant la réalité dont le fils désiré ne sera pas comme ils l'avaient imaginé ; parfois de faute; de surprotection dans d'autres et d'analyse religieuse dans quelques cas. Le sujet éducatif est celui d'un plus grand poids dans la préoccupation des familles, uni à la déception qui leur provoque le manque de sensibilité et de connaissance sur le syndrome par des professionnels, fondamentalement du monde de l'éducation et de la médecine ; ainsi que le futur de ses enfants atteints par une maladie, en ce qui concerne des possibilités de travail et d'indépendance. Bien que depuis le moment où la maladie de l´enfant est assumée, il devient le centre de ses vies, il ne faut pas oublier que les parents ont une série de nécessités qui ne sont pas toujours satisfaites et qui pourraient être résumée en une information compréhensible de ce qui arrive à son enfant et les causes puisqu'un excès de termes médicaux mal expliqués peut augmenter l'inquiétude et produire un sentiment de culpabilité et d´un pronostic réel dans l'ensemble de secteurs qui entourent l'enfant : médical, psychologique, social, familial, scolaire, ... D'une manière générale, le plus important, dans toute ligne de traitement choisie par la famille, est une stimulation maximale des habilités que l'enfant possède déjà et le travail de rééducation pour celles les plus déficitaires. La planification devrait être individualisée. L'éducation naît dans la famille et elle doit se marquer par des règles, conseillés par des professionnels ; sans oublier que les parents ne doivent se transformer ni en professeurs ni en thérapeutes Les parents se transforment en soigneurs face à une maladie chronique, leur centre d'attention est le malade. Toutefois, il faut considérer comme la réalité peut être ressentie durement dans les aspects personnels et psychologiques pour le soigneur principal dont les nécessités doivent être prises en considération pour procurer l'appui dont il a besoin. La coordination et l'inter-relation entre tous les professionnels nécessaires à la prise en charge adaptée de l'enfant est prioritaire pour obtenir un travail uniforme et ne pas créer des déséquilibres et des contradictions qui le confonderait. Tandis que la recherche avance encore plus et développe une possible guérison pour ce syndrome, la principale action pour les familles et les malades est le droit de recevoir des informations claires et complètes, de compter sur des professionnels capables et d'avoir une intervention éducative et médicale compétente. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Syndrome X fragile to traves of the perceptions of a forum of families and professionals Sánchez Azcárate B (1), Valentini K (1), Rey Gallego R (1), Montero Parras V (1), Corroto Martín V (1), Martínez Zamudio Mª G (1), Arteaga Armas Y (1), Martínez Lara P (1), Venegas Zambrano A Mª (1), Valim de lima F (1), Ferrando Lucas MªT(*), Puente Farreras A (**) (1) Students of the Course of Expert Spécialitation in Clinical Intervention in Reading and Writing. Faculty of Psychology ** University Professor of Psychology. Director of the Expert Course in Clinical Intervention in Reading and Writing. * Neuropediatricien. Proffessor of the Expert Course in Clinical Intervention in Reading and Writing Université Complutense. Madrid. Espagne In spite of being the first cause of hereditary intellectual dyscapacity, fragile syndrome x continues being a little well-known disease. In addition to being able to accede to this disease through the numerous publications that on the same one exist, nothing approaches more the reality of the affected ones and their families like being able to accede to listen to its experience from its own voice. The confirmation of the diagnosis produces in the family reactions of commotion and daze, anxiety, duel before the reality of which the wished son will not be as they had imagined it; of fault sometimes; of excess of protection in others and religious approach in some cases. The educative subject is the one of greater weight in the preoccupation of the families, together with the deception that causes the lack of sensitivity and knowledge to them on the syndrome of the professionals, fundamentally of the world of the education and the medicine as well as the future of the affected ones, as for work possibilities and of independence. Although from the moment at which it is assumed the disease of the boy this will happen to be the center of its lives, is not necessary to forget that the parents have a series of necessities that not always are satisfied and that could be summarized in a comprehensible information of which it happens to its son and his causes to him since an excess of not well explained medical terms can increase the restlessness and can generate fault; and in real prognosis in the set of areas that surround to the boy: psychological, social, familiar, scholastic doctor, etc.. Of a general way, the important thing, in any line of treatment chosen by the family, is a maxima stimulation of the abilities that the young one already has next to the work the areas in which they have greater difficulties. The planning would have to be individualized. The education is born in the family and is she who must set the standards, advised by professionals; without forgetting that the parents must become neither professors nor therapists. The parents become the main caretaker: like in any chronic disease the attention center is the affected one; nevertheless it is necessary to consider it last it that it can be in the personal and psychological aspects for the main caretaker, whose necessities must be considered and to try the support that needs. The coordination and interrelation between all the professionals who move around the boy are high-priority to obtain that the work is uniform and imbalances and contradictions are not created that confuse to him. Whereas the investigation even advances more and develops one cures for this syndrome, the principal action for the families and the patients is the right to receive clear and complete information, to have able professionals and to have competent an educative and medical intervention. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Accompagnement psychologique, en particulier pour les dilemmes de reproduction, des jeunes filles ayant une prémutation ou une mutation complète. Christine de Die-Smulders, Ingrid KRAPELS klinisch geneticus University Hospital Maastricht, PAYS-BAS Quand le diagnotic du syndrome de l’ X fragile est posé sur une jeune femme (dans le cas d’une prémutation ou une mutation complète du gène FMR1), de multiples problèmes peuvent se présenter. Ceux-ci devraient en fait être expliqués avant le test diagnostic, afin de permettre à cette femme de faire un choix informé d’être testée ou pas. En premier, elle doit accepter qu’une cause a été trouvée pour les problèmes dans la famille et pour les problèmes que cette femme probablement a déja connu elle même, comme des difficultés scolaires. En plus, elle doit accepter que, maintenant, elle a ‘une affection physique’. En deuxième, des problèmes majeurs concernant la reproduction peuvent se présenter. Elle a un risque élevé d’avoir un enfant affecté avec le syndrome X fragile. En général, le risque de transmettre le gène affecté est de cinquante pour cent, comme pour toutes les autres maladies qui sont liées au chromosome X. Par contre, les aspects génétiques du syndrome X fragile sont plus compliqués. Le risque effectif de cette femme d’avoir des enfants affectés avec le syndrome X fragile dépend de l’étendue de l’expansion des CGG-trinucleotides du gène FMR1 de la femme elle même. Ce tableau illustre les risques qu’une prémutation s’accroître à une mutation complète. Une femme ayant une prémutation de moins de 60 répétitions de CGG-trinucleotides a un risque d’avoir un fils ou une fille avec une mutation complète d’environ un pour cent, par rapport à cinquante pour cent pour les femmes ayant plus de 100 répétitions. C’est donc toujours important de faire un calcul du risque pour chaque femme individuellement. Tableau: risque d’expansion d’une prémutation à une mutation complète Risque Risque d’avoir Risque d’expansion à un fils avec une d’avoir un CHEZ LA FEMME une mutation mutation fils avec un fille avec fille avec AYANT UNE complète complète retard une un retard mental mutation mental EXPANSION CGG DE TRINUCLEOTIDES PR ÈMUTATION Risque Risque d’avoir une d’avoir une complète 40-60 2% 0.5% 0.5% 0.5% 0.3% 60-70 18% 5% 5% 5% 3% 70-80 54% 13% 13% 13% 8% 80-100 81% 20% 20% 20% 12% 100-200 98% 25% 25% 25% 15% En plus, il faut se rendre compte que toutes les filles avec une mutation complète n’ont pas un retard mental. Dans ce tableau, le risque d’un retard mental, les problèmes d’apprentissages inclus, pour une femme ayant une mutation complète a été chiffré à soixante pour cent, mais ceci n’est qu’une indication. Cette information doit donc toujours être incorporée dans le conseil génétique. Dans le cas d’un désir d’enfant, les possibilités d’éviter la naissance d’un enfant affecté par le syndrome X fragile doivent être proposées. La femme ayant une prémutation et son époux peuvent accepter le risque d’avoir un enfant affecté, mais la majorité essayera d’éviter ceci. Plusieurs possibilités existent pour éviter la naissance d’un enfant affecté, toutes ayant ses avantages et ses désavantages. Le diagnostic anténatal est l’option la plus évidente. Ceci est possible par le prélèvement de villosités choriales entre la 10 à 13ième semaine d’aménorrhée. Les futurs parents peuvent décider de mener à terme la grossesse dans le cas d’un fœtus affecté. La décision de continuer la grossesse ou pas est particulièrement difficile dans le cas où le test anténatal révèle une fille avec une mutation complète, car le pronostic pour ces filles est extrêmement variable, variant d’une fille (presque) normale jusqu'à une fille avec un retard mental sévère. Une autre possibilité est le diagnostic génétique préimplantatoire (DPI) qui fait le diagnostic du syndrome de l’ X fragile sur un embryon de 8 cellules crée par FIV. Le plus grand avantage de cette technique est la possibilité d’avoir un enfant non-affecté du syndrome X fragile avec un test avant la grossesse et sans avoir à prendre la décision difficile d’interrompre la grossesse ou pas. Le plus grand désavantage est que la femme doit se soumettre à une FIV, un traitement qui en plus a une chance de succès limitée. Cette diapositive démontre la procédure de DPI. La biopsie de villosités choriales peut être effectuée par voie transabdomiale ou par voie vaginale. Cette procédure n’est pas très douloureuse pour la femme et dure environ dix à quinze minutes. Il y a un risque minimal d’avortement en conséquence de cette procédure. Ce risque est estimé à environ un pour cent. Les villosités choriales sont ensuite transportées au laboratoire ADN pour plusieurs tests, premièrement, un examen chromosomique pour de déterminer le sexe de l’enfant. Ensuite, le test ADN pour le syndrome X fragile est effectué. En géneral, un minimum de deux et parfois plusieurs tests ADN sont effectués afin d’être complètement sûr du résultat. Dans notre laboratoire, le temps que les futurs parents doivent attendre avant d’obtenir les résultats de ce test prénatal est environ deux à trois semaines. Dans le cas d’un résultat normal, la grossesse peut être continuée sans autre préoccupation. Par contre, dans le cas d’un foetus affecté, les futurs parents peuvent décider d’interrompre la grossesse. Généralement, la majorité des parents ont déjà pris leur décision concernant une interruption éventuelle de la grossesse avant d’être enceinte ou au début de celle-ci. Néanmois, un résultat d’un test néonatal est toujours, dans une façon ou l’autre, imprévu et indésirable, et il cause beaucoup de souffrance pour la femme enceinte, son mari, ses parents et les autres membres de la famille. Comme mentionné ci-avant, la décision de continuer ou de terminer une grossesse peut être extrêmement difficile dans le cas d’une fille avec une mutation complète. Pour cette raison, certains parents décident de ne pas vouloir connaître le sexe de l’enfant avec le test prénatal. Dans ce cas, les résultats de celui-ci indiquent seulement s’il s’agit d’un résultat normal, d’une prémutation ou d’une mutation complète. Une interruption de grossesse peut être effectuée de plusieurs façons. Certaines femmes choisissent une dilatation du col de l’utérus suivi par un curretage sous anesthésie générale. D’autres choississent d’accoucher du foetus par voie naturelle après l’induction de contractions de l’utérus. Dans tous les cas, une interruption de grossesse impose une grande tension aussi physique que psychologique pour le couple, et cela prendra certainement un certain temps de récupération. Après cela, certains parents choisiront de concevoir un autre enfant avec l’espoir d’avoir plus de chanc, d’autres chercheront des alternatives pour avoir un enfant sain. Finalement, il est important d’informer la femme porteuse du syndrome X fragile (prémutation) du risque élevé de ménopause précoce et de la fertilité réduite, car ceci implique que ce n’est pas « une bonne chose » de repousser une grossesse trop longtemps. Spécialement après l’âge de trente-cinq ans, la chance d’une grossesse est réduite et la capacité réduite des ovaires peut avoir un effet négatif sur les chances de FIV en DPI. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Psychological support of young adult women with a premutation or a full mutation with special attention to reproductive dilemmas Christine de Die-Smulders, klinisch geneticus University Hospital Maastricht, PAYS-BAS When a young woman is diagnosed with either a Fragile X premutation or full mutation several problems may arise. In fact, these consequences have to be discussed with her before before diagnostic testing, which gives her the opportunity to make an informed choice whether or not to be tested. Firstly, she has to accept that a cause has been found for the problems in her family and the problems she has probably experienced herself, such as learning problems and that she is diagnosed with a “disorder”now. Secondly, major reproductive issues arise. She has an increased risk of offspring with the Fragile X syndrome. Generally speaking, the risk of transmitting the diseased gene is 50%, as for other X linked disorders. However the genetics of fragile X syndrome are more complicated. Her actual risk for affected offspring depends on her own repeatlength. In the premutation range, the risk of an affected child increaeses with her own expansion. In this table the risks are further explored. A woman with a premutation of less than 60 CGG repeats has a risk of a son or daughter with a full mutation of only 1 percent, whereas the risk of offspring with a full mutation for premutations carriers with a CAG length above 100 is almost 50%. So, individual risk calculation is always required. Table: risk of expansion of premutation into mutation Risk of Risk of boy Risk of Risk of girl Risk of expansion with full mentally with full mentally PREMUTATION into full mutation retarded mutation retarded CARRIER mutation 40-60 2% 0.5% 0.5% 0.5% 0.3% 60-70 18% 5% 5% 5% 3% 70-80 54% 13% 13% 13% 8% 80-100 81% 20% 20% 20% 12% 100-200 98% 25% 25% 25% 15% LENGTH OF CGG REPEAT IN FEMALE boy girl Another point of attention is the fact that not all girls with a full mutation are mentally retarded, in the table we set the chance of mental retardation including learning problems for women with a full mutation at 60%, but this is only an indication. Also this aspect must be taken into account in genetic counseling. If actual child wish is present, the possibilities to avoid the birth of a fragile X affected child have to be discussed. The carrier woman and her spouse may accept the risk of a child with the Fragile X syndrome, but many of them will try to avoid the birth of an affected child. There are several possibilities to avoid the birth of an affected child, each with its own pros and cons. Prenatal diagnosis is the most obvious option. It is possible by means of chorionic villusbiopsy in the 10th -13th week of pregnancy. In the slide this procedure is demonstrated. A chorionic villi biopsy can be taken either through the abdomen or by the vaginal route. The procedure is not very painfull and lasts 10 to 15 minutes. There is a small risk of an abortion due to the procedure, this risk is around 1%. After the chorionic villi are taken, they are transported to the DNA lab. There several tests are done on the villi, firstly a chromosomal examination to determine the gender. Furthermore DNA testing of the chorionic villi is performed. In general at least 2 and sometimes more DNA tests are done to be completely sure of the result, as is demonstrated on the slide. The time future parents have to wait for the results of the prenatal test is 2-3 weeks in our lab. If we can inform the future parents that the results are normal, they can continue the pregnancy without further concerns. If an affected foetus is diagnosed future parents can decide to terminate the pregnancy. In general most parents have set their ideas about a pregnancy termination already before a pregnancy or at in the beginning of the pregnancy. However, a result of the prenatal is always unexpected in a way and unwanted and a source of much distress for the pregnant woman, her spouse, her parents and other familie members. It can be especially difficult to decide whether or not to continue the pregnancy if a girl with a full mutation is diagnosed prenatally, as the prognosis for girls with such a mutations can vary greatly, form (nearly) normal to severe mental handicap, as was already mentioned. For this reason, some parents decide not to know the gender of the baby in a prenatal test, than the result is represented as normal or premutation or full mutation. A termination of pregnancy can be carried out in several ways, some woman choose for a dilatation and curettage under general anaesthesia, in other cases the foetus is born in the natural way after induction of uteruscontractions. In all cases a termination of pregnancy is a major physical and psychological burden for the couple involved, and it will certainly take some time to recover Some parents than decide to try again to become pregnant hoping for better luck now, other look for alternatives to become a healthy child. One such apossibility is preimplantation genetic diagnosis (PGD). In PGD Fragile X can be diagnosed on an 8 cell stage embryo, created after in vitro fertilisation. The major advantage is that PGD gives the opportunity to bear a healthy child with testing before pregnancy and without the difficult decision to terminate a pregnancy or not. Amajor disadvantage is that the woman has to undergo an IVF treatment, with is complicated with a limited succes rate. In general such an IVF treatment exist of hormonal stimulation in order to become enough follicels in the ovaries. These follicles are filled with fluid and this fluid contains an egg. If the follicles are mature, the eggs can be punctated. Such an eggpuncture may be painful for the woman. Subsequently the eggs are inseminated in the lab with the sperm of the male partner. When the egg is fertilised it forms an embryo. This embryoos than divides in two cells, for cells, eight cells and so further. It is possible to take one cell of the embryo in the eight cell stage, this is the so-called biopsy. This one cell is representative for the complete embryo. So we can now make a diagnosis in this one cell and in this way we are informed about the disease status of the embryo. Is the diseased gene is absent in the one cell, we know the embryo is healthy, if the biopsied cell shows the fragile X mutation, we know the embryo is affected. Only embryoos not effected by fragile X syndrome are subsequently brought into the uterus. We usually replace one or two embryoos in the uterus. The chance of an ongoing pregnancy after each PGD treatment is 15-20%. PGD is nor allowed in all countries. In fact it is possible for example in my country the Netherlands, in Belgium, in France. Bit PGD is prohibited in for example Germany and Italy. One of the problems of PGD is the relative low chance of a pregnancy, furthermore it costs a lot of time, energy and money. Time investment include a pretest counseling, and pretest examination of the blood of borth future parents to determine if PGD is really possible. We show you an example. The principle of DNA testing in PGD is that the couple has to be informative for the normal alleles in the Fragile X gene. This means that the normal allele of the woman has to be different from the one normal allele of her husband, as illustrated in the slide. If an embryonic cell shows the normal allele of the mother, this embryo is nor affected. PGD is also energyconsuming, it takes several weeks to complete an IVF treatment and during the weeks the woman has to visit the hospital several times. Also such ttreatments are expensive and not all insurance companies pay for the costs. These are all a lot of facts. I strongly recommend you to visit a doctor in a geetic center who can inform you on alle aspects of the different possibilities. Last but not least it is important to inform Fragile X (premutation) carrier women about their increased risk on premature ovarian failure and reduced fertility, as a consequence of this it is not wise to postpone an eventual pregnancy for too long. Especially after the age of 35 the chance of pregnancy is reduced. Also this reduced reserve capacity of the ovaries can have a negative effect on the succes rates in IVF and PGD. Congrès 2008 – TURIN (Italie) 4 & 5 avril 2008 Déficiences intellectuelles liées au chromosome X Aurore Curie, Gérald Bussy, Elisabeth André, Dorothée Ville, Vincent des Portes Centre de référence « déficiences intellectuelles de causes rares : X fragile et autres RMLX ». Neuropédiatrie, Hôpital Femme Mère Enfant, CHU de Lyon. RESUME Les déficiences intellectuelles liées au chromosome X, anciennement appelées RMLX (retards mentaux liés au chromosome X), forment un groupe hétérogène de plusieurs dizaines de syndromes. A la suite de l’X fragile et du syndrome de Rett connus depuis longtemps, de nombreux nouveaux gènes ont été identifiés depuis dix ans, permettant la description de nouveaux syndromes dont la clinique reste encore à affiner. Les présentations cliniques associées aux mutations de certains gènes sont décrites dans ce chapitre : Oligophrénine 1 (OPHN-1), ARX, MECP2, transporteur de la créatine. Certains signes cliniques d’orientation sont décrits, ainsi que les prémices d’une démarche diagnostique pour le clinicien. La déficience intellectuelle (ou retard mental, QI < 70) est une pathologie fréquente (2.5% de la population) et grave, du fait de son retentissement sur les facultés d’adaptation à l’environnement à l’âge adulte (handicap mental). La pathogénie des déficiences intellectuelles reste obscure et dans 50% des cas la cause n’est pas connue (des Portes et al., 2002). Dix pour cent des retards mentaux seraient liés à des gènes localisés sur le chromosome X (RMLX), avec une mutation transmise par les mères et affectant principalement les garçons. Toutefois, ces RMLX peuvent concerner les filles en cas d’hérédité dominante liée à l’X (ex. syndrome de Rett) où schématiquement seules les filles sont atteintes car la pathologie est létale chez le garçon ; ou d’hérédité semi-dominante liée à l’X (ex. syndrome de l’X fragile) où les filles peuvent être symptomatiques, avec une expressivité qui dépend du gradient d’inactivation du chromosome X portant la mutation. En cas d’hérédité récessive liée à l’X, les filles ne sont pas symptomatiques. Historique et nosologie des retards mentaux liés au chromosome X (RMLX). Le syndrome de l'X fragile fût longtemps la seule cause connue de retard lié au chromosome X. Utilisant des extrapolations basées sur le déséquilibre des fréquences des retards mentaux entre les garçons et les filles, Herbst et Miller (1980) ont estimé la fréquence des RMLX à environ 1,8 pour 1000 garçons. Cette étude basée sur le sexe ratio des retards mentaux ne tient pas compte des nombreux retards mentaux semi-dominants liés à l'X, où les filles conductrices sont elles-mêmes déficientes. La prévalence des RMLX proposée par ces auteurs est donc probablement sous estimée. Selon Opitz (1986) la prévalence des RMLX dans les deux sexes, serait de l'ordre de 1/296, soit 3,3/1000 naissances ; dans cette étude, le syndrome "X fragile" représente 40% des RMLX. On sait maintenant que la prévalence de ce syndrome n'est que de 1/4000 à 1/9000 chez les garçons et 1/7000 à 15000 chez les filles (Crawford et al., 2001), ce qui accroît proportionnellement le nombre de RMLX « non X fragiles ». Grâce à des études de liaisons génétiques réalisées dans de grandes familles et à la caractérisation moléculaire de microdélétions ou de translocations X / autosome, des dizaines de gènes impliqués dans ces retards mentaux liés à l’X ont ainsi pu être localisés puis identifiés . Selon les données du registre international sur les RMLX (XLMR Genes Update WebSite http://xlmr.interfree.it/home.htm), 205 entités cliniques dont 53 avec un gène identifié, étaient répertoriées en septembre 2004. Cependant, ces autres formes de RMLX sont rares, voire exceptionnelles, n’affectant parfois que quelques familles dans le monde. Mais la plupart de ces affections sont totalement sous diagnostiquées et/ou de découverte très récente. L’étude systématique de certains gènes devrait permettre de mieux estimer la fréquence réelle de leurs mutations. Les mutations du gène ARX (Bienvenu et al., 2002) seraient impliquées dans 0.2 % des retards mentaux sporadiques (de Brouwer et al., 2007). La prévalence des mutations du transporteur de la créatine semble aussi élevée (Lion – François et al., 2006). On distingue classiquement parmi les RMLX deux grands groupes de patients : (i) les RMLX dits « syndromiques », reconnaissables par des signes cliniques, biologiques ou radiologiques communs (ex : Coffin – Lowry, ATR-X, Lowe, Menkès, Lissencéphalie / double cortex…) dont les signes cliniques spécifiques orientent le diagnostic moléculaire, actuellement disponible pour une trentaine d’entre eux. (ii) les RMLX dits « non spécifiques », les plus fréquentes, ne sont pas reconnaissables sur des critères cliniques bien identifiés. Plus d’une trentaine de gènes sont actuellement incriminés dans ces formes non spécifiques (http://xlmr.interfree.it/home.htm). Cependant, certains gènes connus comme responsables de syndromes précis sont aussi incriminés dans des formes non spécifiques de déficience mentale, démontrant l‘existence d’un continuum entre les retards mentaux syndromiques et non spécifiques. Certains phénotypes cliniques reconnaissables sont détaillés dans ce chapitre. L’X fragile et le syndrome de Rett, bien connus actuellement, ne seront pas décrits, pour laisser place à des syndromes de découverte plus récente. Retards mentaux non spécifiques et syndromiques : un continuum. Sachant le caractère très évolutif des données génétiques et cliniques dans le champ des RMLX, les présentations cliniques associées à quelques gènes de retard syndromique (MRXS) ou « non spécifique » (MRX) sont présentées ici, à titre d’exemple et sans chercher l’exhaustivité. Si nécessaire, une mise à jour régulière des nouveaux gènes de RMLX est tenue sur un site web spécifique (http://xlmr.interfree.it/home.htm). Oligophrénine 1 (OPHN-1) : un gène impliqué dans un retard apparemment non spécifique « MRX», finalement responsable d’un syndrome clinique bien défini. Après l’identification des gènes responsables du syndrome de l’X fragile (FMR1 et FMR2), OPHN-1 a été le premier des gènes MRX à avoir été identifié (Billuart et al., 1998), impliqué initialement dans un retard mental « non spécifique ». En fait, une étude clinique et radiologique attentive (IRM 3D) de ces deux premières familles publiées a permis de mettre en évidence un phénotype clinique particulier associant une hypotonie néonatale suivie d’un retard postural sans ataxie franche à l’âge adulte, un strabisme bilatéral très prononcé, des crises partielles complexes débutant avant un an et cédant avant six ans, un retard mental modéré à sévère (des Portes et al., 2004). Les IRM cérébrales ont mis en évidence chez tous les sujets étudiés une même anomalie comportant une dysplasie vermienne avec agénésie partielle des lobules VI et VII (postéro supérieurs), avec une dilatation ventriculaire de degré variable et une atrophie cérébrale prédominant dans les régions fronto temporales. Deux autres groupes ont publié des présentations cliniques similaires dans trois familles non apparentées (Bergmann et al., 2003 ; Philip et al., 2003). En plus des signes cliniques communs décrits plus haut, Bergmann et coll. Décrivent une épilepsie de type myoclono astatique, une ataxie et un hypogénitalisme. Philip et coll. Ont rapporté une macrocéphalie et une dysmorphie avec creusement des orbites et faciès émacié et des femmes conductrices atteintes de manière plus modérée. L’anomalie vermienne pouvait être isolée (des Portes et al., 2004) ou associée à un kyste rétro cérébelleux ou une méga grande citerne (Philip et al., 2003). Des gènes responsables de retard syndromique (MRXS) impliqués dans des retards non spécifiques. Dans de rares cas, des gènes connus comme responsables de formes syndromiques de retard mental sont impliqués dans des déficiences mentales non ou peu spécifiques. Par exemple, dans le gène RSK2 habituellement muté dans le syndrome de Coffin Lowry qui est caractérisé par une dysmorphie cranio-faciale et des déformations squelettiques spécifiques (Trivier et al., 1996), une mutation faux sens (exon 14) a été retrouvée dans une famille de RMLX non spécifique (Merienne et al., 1999). De même, chez trois frères atteints de retard mental non spécifique, une mutation (P312L) a été retrouvée dans le gène FGD1 (Lebel et al., 2002), responsable du syndrome d’Aarskog (Pasteris et al., 1994). Ces frères avaient, certes, une petite taille et de petits pieds mais pas les anomalies craniofaciales, squelettiques et génitales caractéristiques de ce syndrome. En revanche, leur déficit cognitif était plus sévère que celui observé habituellement dans le syndrome d’Aarskog. Dans le même registre, une mutation non sens a été décrite dans une famille de retard léger à modéré isolé (Yntema et al ., 2002) dans le gène XNP, impliqué généralement dans des formes syndromiques de déficience mentale, le syndrome ATR-X associant alpha thalassémie, retard mental sévère, hypogénitalisme, dysmorphie faciale caractéristique et surdité éventuelle (Gibbons et al., 1995). Un gène, plusieurs syndromes : exemples de MECP2 et ARX. La situation du gène MECP2 (methyl-CpG-binding protein 2) est, elle aussi, particulière. Ce gène est, on le sait, muté dans 80 % des syndromes de Rett, observé presque exclusivement chez les filles En plus des mutations retrouvées dans le Rett des mutations différentes, à type de faux sens ont été retrouvées chez des garçons atteints de déficience mentale légère à modérée, dont la présentation clinique était beaucoup moins grave (Couvert et al., 2001). De nombreux « polymorphismes » ont aussi été mis en évidence dans le gène MECP2, appelant à une grande prudence avant d’affirmer qu’une mutation identifiée chez un garçon est responsable du retard mental qu’il présente (Laccone et al., 2002 ; Moncla et al., 2002). Malgré tout, certaines mutations pathogènes « propres au garçon », sont récurrentes : c’est le cas de la plus fréquente (A140V), qui est associée à des tableaux cliniques dont la nature varie : retard mental isolé (Couvert et al., 2001 ; Gomot et al., 2003) ou associé à une diplégie spastique (Dotti et al., 2002) ou à des troubles psychiatriques délirants de type schizophrénie atypique (Cohen et al., 2002 ; Klauck et al., 2002). Enfin, plus récemment, grâce à de nouvelles techniques de génétique moléculaires (puces à ADN pour hybridation génomique comparative : CGH array), des duplications récurrentes du gène MECP2 ont été retrouvées chez des garçons présentant une encéphalopathie sévère avec épilepsie de sévérité variable et infections pulmonaires répétées, qui ne semblent pas liées seulement à l’immobilité observée chez certains patients très handicapés (Van Esch et al., 2005). Encore plus hétérogène dans sa présentation clinique, la mutation la plus fréquente du gène ARX (duplication de 24 pb dans l’exon 2) a été retrouvées dans des retards mentaux apparemment non spécifiques, des syndromes de West cryptogéniques, des cas d’épilepsie myoclonique familiale, et dans le syndrome de Partington caractérisé par une dystonie distale des membres supérieurs très particulière (Bienvenu et al., 2002 ; Stromme et al., 2002). Le caractère « non spécifique » de certaines familles pourrait être discuté et lié simplement à un examen clinique succinct passant à côté de signes neurologiques spécifiques. La plupart des patients présentent en effet à un degré variable, une dyspraxie buccale et gestuelle. D’autres mutations plus graves du gène ARX sont responsables du syndrome XLAG, associant une forme de lissencéphalie à un hypogénitalisme (Kitamura et al., 2002). De nombreux gènes attendent encore un phénotype reconnaissable Le gène codant pour le transporteur de la créatine (SCL6A8/CT1) illustre la difficulté à définir un phénotype clinique reconnaissable et spécifique. Certes, cette nouvelle maladie est facilement diagnostiquée sur une spectroscopie IRM qui met en évidence une absence de pic de créatine dans le cerveau (Salomons et al., 2001). Cependant, si la perte de fonction du transporteur de la créatine provoque un retard postural et un retard mental sévère associé à une épilepsie, des traits autistiques ou une dystonie (Cecil et al., 2001 ; Hahn et al., 2002), ces signes cliniques ne sont pas assez spécifiques pour orienter le clinicien vers ce gène. En effet, l’épilepsie est peu sévère et mal décrite, les troubles autistiques sont inconstants, tout comme la dystonie et les traits dysmorphiques discrets (hypoplasie médiofaciale, hyperextensibilité articulaire) décrits dans une seule famille (Hahn et al., 2002). En effet, dans les autres familles décrites, la clinique était réduite à un retard mental isolé avec trouble du langage expressif sévère (deGrauw et al., 2002 ; LionFrançois et al., 2006). Chez certains patients, un déficit musculaire des ceintures a été observé. Le développement progressif de la spectroscopie IRM couplée à l’IRM morphologique devant tout retard inexpliqué devrait permettre le diagnostic de tous les troubles connus du métabolisme de la créatine, le déficit en transporteur lié à l’X, mais surtout les deux déficits de synthèse de la créatine autosomiques récessifs (déficits en GAMT et AGAT), qui sont partiellement réversibles par apport exogène de créatine à condition qu’un diagnostic précoce ait été effectué (Schulze, 2003). De nombreux autres gènes restent impliqués dans des déficiences mentales apparemment isolées : Rab-GDI, PAK3, AGTR2, TM4SF2, IL1RAPL, FRAXE (FMR2), ARHGEF6 / αPIX, et le gène codant pour la Fatty Acid ligase (FACL4). La question reste ouverte de savoir si ces RM sont réellement isolés ou dits « non spécifiques » dans l’attente que des études cliniques bien conduites permettent de découvrir des signes cliniques subtils mais caractéristiques. Pour l’instant, une recherche systématique et à grande échelle de mutations dans ces différents gènes MRX pose des problèmes de coût de santé publique, sachant que chaque gène n’est actuellement impliqué que dans quelques familles dans le monde (Chelly and Mandel, 2001). La même question s’est posée il y a huit ans pour le site X fragile FRAXE, très rare, dont la recherche systématique a été abandonnée (Brown et al., 1996). Quelle démarche diagnostique clinique proposer ? Malgré le caractère peu spécifique de certaines formes de RMLX et la variété des présentations cliniques associées à certains gènes, un arbre diagnostique décisionnel basé sur des signes cliniques d’orientation se dessine progressivement. A titre d’exemple, sont présentés dans les tableaux I et II certains signes cliniques observés de manière constante ou fréquente chez des patients porteurs d’une mutation dans l’un ou l’autre des gènes RMLX. Ces données ne sont pas exhaustives et sont amenées à évoluer régulièrement, mais elles peuvent néanmoins guider le clinicien. Chaque signe pris séparément ne constitue pas un syndrome et ne justifie pas forcément l’étude moléculaire, qui doit être discutée avec les généticiens. Un autre élément utile au diagnostic est le biais complet d’inactivation des chromosomes X observé pour de nombreux gènes RMLX, chez les femmes conductrices (hétérozygotes) asymptomatiques. Non aléatoire, l’inactivation observée chez ces femmes adultes intéresse le chromosome X muté dans la totalité ou presque des leucocytes étudiés (95 à 100 % de biais d’inactivation). Dans une situation familiale évocatrice de RMLX (deux garçons atteints), un tel phénomène, facile à mettre en évidence, doit orienter préférentiellement vers l’implication de certains gènes (tableau III). Toutefois, l’étude du profil d’inactivation chez une femme est un test génétique délicat dont l’indication doit être bien discutée et le résultat donné dans le cadre d’une consultation de génétique. En conclusion, malgré les progrès importants dans le démembrement clinique des RMLX, des mutations dans de nombreux gènes MRX restent encore associées à un retard mental non spécifique. Des investigations cliniques, neuropsychologiques et radiologiques supplémentaires doivent être poursuivies dans ces familles pour affiner le diagnostic clinique. Toute exploration d’un retard mental familial inexpliqué affectant deux garçons devrait comporter dorénavant un caryotype standard, X fragile, duplication 24pb du gène ARX, mutation A(140)V du gène MECP2, créatine urinaire et/ou d’une spectroscopie IRM. L’étude du profil d’inactivation des chromosomes X chez les femmes conductrices est à discuter. En cas de RM familial « réellement » isolé, il est probable que les progrès dans les techniques de recherche de mutations à grande échelle permettent le criblage simultané de plusieurs dizaines de gènes. De même, la recherche d’un remaniement génomique de petite taille par CGH array (hybridation génomique comparative sur puce à ADN) devrait devenir systématique en cas de retard mental familial inexpliqué. Cependant, un criblage moléculaire tout azimuts ne remplacera jamais un bon examen clinique à la recherche de signes d’orientation spécifiques d’un gène donné. References Bergmann C, Zerres K, Senderek J, Rudnik-Schoneborn S, Eggermann T, Hausler M, Mull M, Ramaekers VT. Oligophrenin 1 (OPHN1) gene mutation causes syndromic X-linked mental retardation with epilepsy, rostral ventricular enlargement and cerebellar hypoplasia. Brain. 2003; 126: 1537-44. 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Signes cliniques morphologiques retrouvés dans certaines formes de RMLX (les gènes et signes cliniques cités ne sont pas exhaustifs) Signes cliniques mutations RMLX évoquées Croissance RCIU CUL4B macrosomie GPC3 petite taille FGD1, CUL4B, SOX3, JARID1C, PQBP1, Rsk2, XNP grande taille FMR1 obésité CUL4B, PHF6, UBE2A scoliose Rsk2, FMR1, SLC6A9, SMS, XNP, ZDHHC9 (marfanoide) Périmètre crânien microcéphalie PQBP1, JARID1C, MCP2, XNP, AP1S2, SLC9A6, ZNF674 macrocéphalie FMR1, BRWD3, CUL4B, MED12, SMS Morphologie / malformations visage allongé/ prognatisme FMR1, AP1S2, BRWD3 implant Hte cheveux, front haut BRWD3, MED12, ARX hypertélorisme MED12, MID1, Rsk2, FGD1 oreilles FMR1 (larges), BRWD3 (larges), PHF6 (gds lobes) fente palatine PHF8, FMR1, PQBP1 cardiopathie FMR1 (Prolaps mitral), PQBP1 (situs inversus), GPC3, hypogénitalisme (ambiguité, ARX (X-LAG), XNP, FGD1, BRWD3, CUL4B, JARID1C, PQBP1, cryptorchidie...) MID1, PHF6,UBE2A macro-orchidie FMR1 pieds CUL4B (trappus, élargisst I-II) mains L1CAM (pouce adduct), FGD1 (courtes), GPC3 (polydactylie), MED12 (pouce large plat), PHF6 (doigts baguettes), RSK2 (idem), PHF8 (larges mains) atrésie / anteposition anale MED12, PQBP1 Tableau 2. Anomalies du développement psychomoteur et signes neurologiques retrouvés dans certaines formes de RMLX (les gènes et signes cliniques cités ne sont pas exhaustifs) Signes cliniques mutations RMLX évoquées Développement psychomoteur hypotonie néonatale AP1S2, ATP7A (Menkes), ARX (X-LAG), DCX, MECP2 (duplication), MED12 (FG), PLP (Pelizaeus), PRPPS1 (Arts), XNP (ATR-X), ZDHHC9 (Lujan) retard postural (marche > 20 mois) régression entre 1 et 2 ans Gènes ci-dessus + OPHN-1, SLC6A8 (créatine), CUL4B, MCT8, PDH, RSK2 (Coffin) MECP2 Degré de déficience ** profond MCT8, XNP, DCX léger ou intelligence limite FGD1, FRAXE, PHF8 Trouble psychiatrique schizophrénie atypique MECP2. autisme FMR1, NLG4 (neuroligine), AGTR2, SLC6A8, UPF3B, Nombreux gènes DMLX agressivité MAOA, CUL4B Signe neurologique * spasticité MECP2 ; ARX, AP1S2, JARID1C, L1CAM, MCT8, XNP dystonie ARX, SLC6A8 (créatine), MCT8 ataxie SLC9A6, PLP, PDH, PRPPS1 tremblement intentionnel CUL4B dyspraxie bucco - linguale ARX strabisme OPHN-1, SLC9A6, MED12, JARID1C, FMR1, ZDHHC9 autre signe ophtalmo PLP (nystagmus), PRPPS1 (atrophie opt), MED12 (colobome, at opt), PQBP1 (colobome), JARID1C et ZNF674 (myopie) surdité XNP, PRPPS1 (hyperactivité) Epilepsie spasmes infantiles ARX, STK9, DCX épilepsie autre FMR1, PDH, OPHN-1, SLC6A8, SLC9A6, AGTR2, ATP7A (Menkes), JARID1C, MECP2 dupli, PHF6 crises partielles motrices, CGTC OPHN-1, X fragile épilepsie myoclonique ARX IRM cérébrale pachygyrie, lissencéphalie DCX (Doublecortine), ARX (Sd XLAG) hétérotopies sous corticales agénésie calleuse DCX, ARX (Sd XLAG), L1CAM, MED12, Déficit PDH, (SLC6A8, corps calleux fin) hydrocéphalie / ventriculomégalie L1CAM, AP1S2 (calcifications NG), OPHN1 (atrophie caudée) hypoplasie agénésie part. vermis OPHN-1 (agén partielle), PDH SLC6A9 et PLP (atrophie) retard maturation subst blanche PLP ++, MCT8 spectroscopie SLC6A8 (créatine <), SLC9A6 (glutamate >), PDH (lactate >) * D’autres signes cliniques extra-neurologiques (dysmorphie, petite taille, hypogénitalisme…) peuvent aussi orienter le diagnostic étiologique. ** La plupart des patients RMLX ont une déficience modérée (35<QI<50) à sévère (20 < QI < 35). Tableau III. Particularités chez les femmes conductrices Signes cliniques mutations RMLX évoquées Signes morphologiques FMR1, OPHN1, Rsk2, FGD1 Troubles cognitifs FMR1, OPHN1, RabGDI, SLC6A8, JARID1C, PDH, ZNF41 Biais complet d’inactivation MECP2 (dupli), ARHGEF6, CUL4B, FACL4, PHF6, XNP, des chromosomes X UBE2A, ZNF674 Congresso 2008, Torino (Italie) Deficienze intellecttuali legate al cromosoma X Aurore Curie, Gérald Bussy, Elisabeth André, Dorothée Ville, Vincent des Portes Centro di riferimento « deficienze intellettuali legate a cause rare : X fragile e altre RMLX ». Neuropediatria, Hôpital Femme Mère Enfant, CHU de Lyon. RESUME Le deficienze intellettuali legate al cromosoma X, chiamate in passato RMLX (ritardi mentali legati al cromosoma X), formano un gruppo eterogeneo di varie decine di sindromi. Seguito alla ricerca sul X fragile e sulla sindrome di Rett, vari nuovi geni sono stati identificati da una decina di anni, permettendo cosi la descrizione di nuove sindromi i cui dati clinici restano da affinare. Le presentazioni cliniche associate alle mutazioni di certi geni sono descritte in questo capitolo : Oligophrénine 1 (OPHN-1), ARX, MECP2, trasportatore della créatine. Certi segni clinici di orientamento sono qui descritti come pure le basi di una procedura di diagnosi clinica. Le deficienze intellettuali legate al cromosoma X, chiamate in passato RMLX (ritardi mentali legati al cromosoma X), formano un gruppo eterogeneo di varie decine di sindromi. Seguito alla ricerca sull’ X fragile e sulla sindrome di Rett, vari nuovi geni sono stati identificati da una decina di anni, permettendo cosi la descrizione di nuove sindromi (i dati clinici restano da affinare). Le presentazioni cliniche associate alle mutazioni di certi geni sono descritte in questo capitolo : Oligophrénine 1 (OPHN-1), ARX, MECP2, trasportatore della créatine. Certi segni clinici di orientamento sono qui descritti come pure le basi di una procedura di diagnosi clinica. La deficienza intellettuale (o ritardo mentale, QI < 70) é una patologia frequente (2.5% della popolazione) : la sua influenza sulle facoltà di adattabilità all’età adulta (handicap mentale) é nota. La causa delle deficienze intellettuali resta non chiara e in 50% dei casi é addirittura sconosciuta. (des Portes et al., 2002). Dieci per cento dei ritardi mentali sarebbero legati a dei geni localizzati sul cromosoma X (RMLX), con una mutazione trasmessa dalla madre che concerne principalmente i maschi. Nonostante cio’ questi RMLX possono toccare le femmine in caso di eredità dominante legata all’X (esempio. sindrome di Rett) in cui schematicamente solo le femmine sono toccate visto che la patologia é fatale per i maschi ; o in caso di « eredità semi-dominante legata all’X (esempio: sindrome dell’X fragile) in cui le femmine possono presentare dei sintomi con un’espressività che dipende dalla percentuale di disattivazione del cromosoma X legato alla mutazione. In caso di eredità recessiva legata all’X, le femmine non presentano sintomi specifici. Sguardo storico e nosologia (classificazione sistematica delle malattie)dei ritardi mentali legati al cromosoma X (RMLX). La sindrome X fragile é stata a lungo la sola causa conosciuta di ritardo legato al cromosoma X. A partire dalle estrapolazioni basate sul disequilibrio delle frequenze di ritardo mentale fra i maschi e le femmine, Herbst et Miller (1980) hanno valutato la frequenza dei RMLX a circa 1,8 su 1000 ragazzi maschi. Questa ricerca, basata sulla proporzione dei ritardi mentali in funzione del sesso, non tiene conto dei numerosi ritardi mentali semi-dominanti legati all’X, in cui le femmine presentano un ritardo. La prevalenza dei RMLX proposta da questi autori é quindi probabilmente sottovalutata. Secondo Opitz (1986) la prevalenza dei RMLX nei due sessi sarebbe dell’ordine di 1/296, cioè 3,3/1000 nascite ; in questo studio, la sindrome "X fragile" rappresenta 40% dei RMLX. Si sa attualmente che la prevalenza di questa sindrome va da 1/4000 a 1/9000 per i maschi e da 1/7000 a 15000 per le femmine (Crawford et al., 2001), il che aumenta la proporzione di RMLX « non X fragile ». Grazie a degli studi di legami genetici realizzati in famiglie numerose e alla caratterizzazione molecolare di microdelezioni o di “translocation” X / autosoma, alcune decine di geni implicati in questi ritardi mentali legati all’X sono state localizzate e identificate (Chelly and Mandel 2001; Ropers and Hamel 2005). Secondo i dati ripresi nel registro internazionale sui RMLX (XLMR Genes Update WebSite http://xlmr.interfree.it/home.htm), 205 entità cliniche di cui 53 con un gene identificato, erano ritrovabili nel settembre 2004. Ciononostante, queste altre forme di RMLX sono rare, se non eccezionali, e riguardano solo qualche famiglia nel mondo.. Ma la maggior parte di queste affezioni sono totalmente sotto diagnosticate e/o di scoperta recente. Lo studio sistematico di certi geni dovrebbe permettere di valutare meglio la frequenza reale delle loro mutazioni. Le mutazioni del gene ARX (Bienvenu et al., 2002) sarebbero implicate in 0.2 % dei ritardi mentali sporadici (de Brouwer et al., 2007). La prevalenza delle mutazioni del « vettore » della creatina sembra pure elevata. (Lion – François et al., 2006). Si distingue classicamente tra i RMLX due grandi categorie di pazienti: (i) i RMLX detti « legati a una sindrome », riconoscibili da dei segni clinici, biologici o radiologici comuni (ex : Coffin – Lowry, ATR-X, Lowe, Menkès, Lissencéphalie / double cortex…) i cui segni clinici specifici orientano la diagnosi molecolare, attualmente disponibile per una trentina di loro . (ii) i RMLX detti « non spécifici », più frequenti, non sono riconoscibili a partire da criteri clinici ben definiti.. Più di una trentina di geni sono attualmente ritenuti responsabili di queste forme non specifiche (http://xlmr.interfree.it/home.htm). Ciononostante certi geni noti come responsabili di sindromi precise sono pure ritenuti responsabili in forme non specifiche di deficienza mentale, il che dimostra un legame tra i ritardi mentali legati a una sindrome e quelli non specifici. Certi fenotipi clinici riconoscibili sono descritti in questo capitolo. L’X fragile e la sindrome de Rett, ben noti attualmente , non saranno descritti per lasciare il posto a delle sindromi di scoperta più recente. Ritardi mentali non specifici e legati a una sindrome. un continuum. Conoscendo il carattere molto evolutivo dei dati genetici e clinici nel campo del RMLX, le présentazioni cliniche associate a certi geni di ritardo legato a una sindrome (MRXS) o « non specifico » (MRX) sono presentati qui a titolo unicamente di esempio. Un aggiornamento regolare dei nuovi geni di RMLX si trova sul sito specifico (http://xlmr.interfree.it/home.htm). Oligophrénine 1 (OPHN-1) : un gene implicato in un ritardo apparentemente non specifico « MRX», e responsabile di una sindrome clinica ben definita Dopo l’identificazione dei geni responsabili della sindrome X Fragile (FMR1 e FMR2), OPHN-1 é stato il primo gene MRX identificato (Billuart et al., 1998), e implicato inizialmente in un ritardo mentale « non specifico ». Una ricerca clinica e radiologica(IRM 3D) di queste due famiglie ha permesso di metter in luce un fenotipo clinico specifico che associa un’ipotonia neonata le seguita da un ritardo di postura senza atassia precisa all’età adulta, uno strabismo bilaterale molto pronunciato, delle crisi parziali complesse che cominciano prima di un anno e finiscono prima dei 6, un ritardo mentale moderato a severo (des Portes et al., 2004). Le IRM cerebrali hanno messo in evidenza presso tutti i soggetti studiati una stessa anomalia (displasia « vermienne » con una “agénésie” parziale dei lobi VI e VII –posteriori e superiori-, una dilatazione ventricolare di livello variabile e un’atrofia cerebrale predominante nelle regioni frontali e temporali. Due altri gruppi hanno pubblicato delle presentazioni cliniche simili in 3 famiglie non apparentate (Bergmann et al., 2003 ; Philip et al., 2003). In più dei segni clinici comuni descritti più sopra, Bergmann e coll. descrivono un’epilessia, un’atassia e un “hypogenitalisme”. Philip et coll. hanno riportato una macrocefalia e una dismorfia con delle orbite incavate e faciès emaciato e delle donne vettori con un quadro più moderato. L’anomalia « vermienne » poteva essere isolata (des Portes et al., 2004) o associata a una ciste retro cerebello (Philip et al., 2003). Geni responsabili di ritardo legato a sindrome (MRXS) implicati in ritardi non specifici In certi rari casi, dei geni noti come responsabili di forme legate a una sindrome di ritardo mentale sono implicati in deficienze mentali non o poco specifiche. Per esempio, nel gene RSK2 che di solito muta nella sindrome di Coffin Lowry (dysmorfia cranio-facciale e deformazioni specifiche dello scheletro- Trivier et al., 1996), una mutazione (exon 14) é stata ritrovata in una famiglia di RMLX non specifica (Merienne et al., 1999). Allo stesso modo su tre fratelli presentanti un ritardo mentale non specifico, una mutazione (P312L) é stata ritrovata nel gene FGD1 (Lebel et al., 2002), responsabile della sindrome d’Aarskog (Pasteris et al., 1994). Questi fratelli avevano una taglia e dei piedi piccoli ma non presentavano le anomalie craniofacciali, scheletriche e eénitali caratteristiche di questa sindrome. Invece il loro déficit cognitivo era più severo che quello osservato di solito nella sindrome d’Aarskog. Nello stesso registro, una mutazione anomala é stata descritta in una famiglia con un ritardo leggero a moderato (Yntema et al ., 2002) nel gene XNP, implicato generalmente nelle forme legate a una sindrome di deficienza mentale, la sindrome ATR-X che associa “alphathalassémie”, ritardo mentale severo, hypogénitalismo, dysmorfia facciale caratteristica e sordità eventuale (Gibbons et al., 1995). Un gene, varie sindromi : esempi di MECP2 e ARX La situazione del gene MECP2 (methyl-CpG-binding protein 2) é anch’essa particolare. Questo gene é mutato in 80 % delle sindrome di Rett, osservato quasi esclusivamente sulle femmine. In piu delle mutazioni ritrovate nel Rett, delle mutazioni diverse, sono state riscontrate in ragazzi presentanti delle deficienze mentali leggere a gravi, la cui presentazione clinica era meno grave (Couvert et al., 2001). Dei numerosi « polymorfismi » sono stati messi in evidenza nel gene MECP2, il che interpella a una maggior prudenza prima di affermare che una mutazione identificata in un ragazzo sia responsabile del suo ritardo mentale (Laccone et al., 2002 ; Moncla et al., 2002). Nonostante tutto, certe mutazioni patogene « proprie al ragazzo », sono ricorrenti : é il caso della più frequente (A140V), che é associata a delle tabelle cliniche la cui natura varia: ritardo mentale isolato (Couvert et al., 2001 ; Gomot et al., 2003) o associato a una diplegia spastica (Dotti et al., 2002) o a delle perturbazioni psichiatriche deliranti di tipo schizofrenia atipica (Cohen et al., 2002 ; Klauck et al., 2002).Recentemente, grazie a delle nuove tecniche di genetica molecolare (detettori ADN per hybridation genomica comparativa : CGH array), delle duplicazioni ricorrenti del gene s MECP2 sono state ritrovate in ragazzi che presentavano una encelopatia severa con epilessia di gravità variabile e delle infezioni polmonari all’immobilità prolungata dovuta alla severità del loro handicap (Van Esch et al., 2005). In modo ancora più eterogeneo nella sua presentazione clinica, la mutazione più frequente del gene ARX (duplicazione di 24 pb nel’exon 2) è stata ritrovata nei ritardi mentali apparentemente non specifici, delle sindromi di West “cryptogéniques”, dei casi di epilessia “myoclonique” familiare e nella sindrome di Partington caratterizzato da una distonia distale dei membri superiori molto particolare (Bienvenu et al., 2002 ; Stromme et al., 2002). La maggior parte dei pazienti presentanti a livello variabile una disprassia della bocca et dei gesti. Delle altre mutazioni più gravi del gene ARX sono responsabili della sindrome XLAG (Kitamura et al., 2002). Numerosi geni aspettano ancora un fenotipo riconoscibile Il gene codice del vettore della creatina Le (SCL6A8/CT1) illustra la difficoltà di definire un fenotipo clinico specifico e riconoscibile. La diagnosi di una nuova malattia è facilmente fatta tramite una spectroscopia IRM che mette in evidenza un’asssenza del picco di creatina nel cervello(Salomons et al., 2001). Ciononostante se la perdita della funzione di vettore della creatina provoca un ritardo della postura e un ritardo mentale severo associato a un’epilessia, a dei sintoòi di autismo o di distonia (Cecil et al., 2001 ; Hahn et al., 2002), questi segni clinici non sono abbastanza specifici per orientare il medico verso questo gene. In effetti lepilesai è poco severa e mal descritta, i sintomi di autismo incostanti, cosi’ come la distonia descritti in una sola famiglia (Hahn et al., 2002). In effetti nelle altre famiglie descritte, la clinica era ridotta a un ritardo mentale isolato con difficoltà maggiori nel linguaggio. (deGrauw et al., 2002 ; Lion-François et al., 2006). In certi pazienti un deficit muscolare delle cinture è osservato. Il ricorso alla spectroscopia IRM gemellato con un IRM della morfologia in caso di ritardo non spiegato dovrebbe permettere la diagnosi di tutti i turbamenti conosciuti del metabolismo della creatina, e soprattutto dei due deficit GAMT e AGAT (Schulze, 2003). Vari altri geni restano implicati nelle deficienze mentali apparentemente isolate : Rab-GDI, PAK3, AGTR2, TM4SF2, IL1RAPL, FRAXE (FMR2), ARHGEF6 / αPIX, e il gene codice per la Fatty Acid ligase (FACL4). La questione rimane di sapere se questi RM siano realmente isolate o detti « non specifici » nell’attesa che degli studi clinici ben condotti peòettano di scoprire dei seni clinici caratteristici. Per il momento una ricerca sistematica a grande scala delle mutazioni in questi vari geni pone un problema di salute pubblica sapendo che ogni gene è attualmente implicato solo in qualche famiglia al mondo (Chelly and Mandel, 2001). La stessa questione si è posta 8 anni fa riguardo al X fragile FRAXE, moto raro la cui ricerca sistematica è stata abbandonata (Brown et al., 1996). Quale procedura di diagnosi clinica proporre ? Malgrado il carattere poco specifico di certe forme di RMLX e la varietà di presentazioni cliniche associate a certi geni, una procedura di diagnosi si profila progressivamente. A titolo di esempio certi segni clinici osservati in modo costante o frequente in pazienti portatori di mutazione in uno o l’altro dei geni RMLX sono presentati nelle tabelle I e II. Questi dati non sono esaustivi o definitivi ma possono costituire una guida per il medico. Ogni segno preso individualmente non costituisce un sindrome e non giustifica il ricorso a un esame molecolare il cui ricorso sarà discusso con i dottori in genetica. Un altro elemento utile alla diagnosi è il modo complete di disattivazione dei cromosomi X osservato per dei numerosi geni RMLX, nelle donne vettori eterozigote non presentanti sintomi. La disattivazione osservata in queste donne adulte interessa il cromosoma X mutato nella totalità o quasi dei leucociti studiati (95 a 100 % del modo di disattivazione). In caso di situazioni familiari evocatrici di un RMLX (due maschi colpiti), un fenomeno simile, la cui messa in evidenza è facile, cio nonostante rappresenta un test genetico delicato che va ben discusso con la madre. In guisa di conclusione, malgrado i progressi importanti nel settore, delle mutazioni in vari geni MRX restano ancora associati a un ritardo mentale non specifico. Delle investigazioni supplementari devono essere continuate nelle famiglie per finalizzare la diagnosi. Tutte le ricerche riguardo a un ritardo mentale familiare non spiegato dovrebbe comportare da ora in poi un caryotipo standard, X fragile, duplicazione 24pb del gene ARX, mutazione A(140)V del gene MECP2, créatina urinaria e/o spettroscopia IRM. Lo s La CGH array (hybridation génomique comparative sur puce a ADN) dovrebbe diventare una ricerca sistematica in caso di ritardo mentale familiare non spiegato. Ciononostante niente sostituirà mai un buon esame clinico alla ricerca di segni genetici specifici. Tabella I. Segni clinici morfologici retrovati in certe forme di RMLX (lista non esaustiva) Segni clinici mutazioni RMLX evocate Crescita RCIU CUL4B macrosomia GPC3 Taglia piccola FGD1, CUL4B, SOX3, JARID1C, PQBP1, Rsk2, XNP Taglia grande FMR1 obesità CUL4B, PHF6, UBE2A scogliosi Rsk2, FMR1, SLC6A9, SMS, XNP, ZDHHC9 (marfanoide) Perimetro cranio microcéfalia PQBP1, JARID1C, MCP2, XNP, AP1S2, SLC9A6, ZNF674 macrocefalie FMR1, BRWD3, CUL4B, MED12, SMS Morfologie / malformazioni Viso allungato/ mento sporgente FMR1, AP1S2, BRWD3 Base capelli alta, fronte alta BRWD3, MED12, ARX hypertélorisme MED12, MID1, Rsk2, FGD1 orecchie FMR1 (larghe), BRWD3 (larghe), PHF6 (grandi lobi) fissura palato PHF8, FMR1, PQBP1 cardiopatia FMR1 (Prolaps mitral), PQBP1 (situs inversus), GPC3, hypogenitalismo (ambiguità, ARX (X-LAG), XNP, FGD1, BRWD3, CUL4B, JARID1C, PQBP1, cryptorchidie...) MID1, PHF6,UBE2A macro-orchidie FMR1 piedi CUL4B (trappus, élargisst I-II) mani L1CAM (pollice adduct), FGD1 (courte), GPC3 (polydactylie), MED12 (pollice largo piatto), PHF6 (dita baguettes), RSK2 (idem), PHF8 (mani larghe) atrésie / anteposizione anale MED12, PQBP1 Tabella 2. Anomalie dello sviluppo psicomotorio e segni neurologici riscontrati in certe forme di RMLX (geni e segni clinici non esaustivi) Segni clinici mutazioni RMLX evocate Sviluppo psicomotorio hypotonia neonatale AP1S2, ATP7A (Menkes), ARX (X-LAG), DCX, MECP2 (duplication), MED12 (FG), PLP (Pelizaeus), PRPPS1 (Arts), XNP (ATR-X), ZDHHC9 (Lujan) ritardo posturale (cammina > 20 mesi) Régressione tra 1 e 2 anni Geni sopracitati + OPHN-1, SLC6A8 (créatine), CUL4B, MCT8, PDH, RSK2 (Coffin) MECP2 Livello di deficienza ** profondo MCT8, XNP, DCX leggero o intelligenza limitata FGD1, FRAXE, PHF8 Perturbazioni psichiatriche schizofrenia atipica MECP2. autismo FMR1, NLG4 (neuroligine), AGTR2, SLC6A8, UPF3B, Numerosi geni DMLX agressività MAOA, CUL4B Segni neurologici * spasticità MECP2 ; ARX, AP1S2, JARID1C, L1CAM, MCT8, XNP dystonia ARX, SLC6A8 (créatine), MCT8 ataxia SLC9A6, PLP, PDH, PRPPS1 Tremito intenzionale CUL4B dysprazia bocca- linguale ARX strabismo OPHN-1, SLC9A6, MED12, JARID1C, FMR1, ZDHHC9 Altri segni oftalmo PLP (nystagmus), PRPPS1 (atrophie opt), MED12 (colobome, at opt), PQBP1 (colobome), JARID1C et ZNF674 (miopia) sordità XNP, PRPPS1 (hyperactività) Epilepsia spasmi infantili ARX, STK9, DCX epilepsia di altro tipo FMR1, PDH, OPHN-1, SLC6A8, SLC9A6, AGTR2, ATP7A (Menkes), JARID1C, MECP2 dupli, PHF6 Crisi parziali motrici, CGTC OPHN-1, X fragile epilepsia myoclonica ARX IRM cerebrale pachygyrie, lissencéphalie DCX (Doublecortine), ARX (Sd XLAG) hétérotopie sous corticales agénésie calleuse DCX, ARX (Sd XLAG), L1CAM, MED12, Déficit PDH, (SLC6A8, corps calleux fin) hydrocefalia / ventriculomégalie L1CAM, AP1S2 (calcificazioni NG), OPHN1 (atrophie caudée) hypoplasia agénésie part. vermis OPHN-1 (agén partielle), PDH SLC6A9 et PLP (atrophie) Ritardo maturazione sost. bianca PLP ++, MCT8 spectroscopia SLC6A8 (créatine <), SLC9A6 (glutamate >), PDH (lactate >) * Altri segni clinici extra-neurologici (dysmorfia, piccola taglia, hypogénitalismo…) possono orientare la diagnosi etiologica. ** La maggior parte dei pazienti RMLX presentano una deficienza moderata (35<QI<50) a severa (20 < QI < 35). Tabella III. Particularità presso le donne portatrici Segni clinici mutazioni RMLX evocate Segni morfologici FMR1, OPHN1, Rsk2, FGD1 Difficoltà cognitive FMR1, OPHN1, RabGDI, SLC6A8, JARID1C, PDH, ZNF41 Biais completo MECP2 (dupli), ARHGEF6, CUL4B, FACL4, PHF6, XNP, d’inattivazione dei UBE2A, ZNF674 cromosomi X Congreso 2008, Turín (Italia) Deficiencias intelectuales ligadas al cromosoma X Aurore Curie, Gérald Bussy, Elisabeth André, Dorothée Ville, Vincent des Portes Centro de referencia « deficiencias intellectuales de causas raras : X frágil y otras RMLX » Neuropédiatrie, Hôpital Femme Mère Enfant, CHU de Lyon. RESUMEN Las deficiencias intelectuales ligadas al cromosoma X, antiguamente llamadas RMLX (retraso mental ligado al cromosoma X), forman un grupo heterogeneo de varias decenas de síndromes. Tras el X frágil y el síndrome de Rett conocidos desde hace tiempo, numerosos nuevos genes han sido identificados desde hace diez años, permitiendo la descripción de nuevos síndromes cuya clínica queda aún por precisar. Las presentaciones clínicas asociadas a las mutaciones de ciertos genes están descritas en este capítulo: Ologrofenina 1 (OPHN-1), ARX, MECP2, transportador de la creatina. Ciertos signos clínicos de orientación están descritos, así como las primeras manifestaciones para un diagnóstico por un médico. La deficiencia intelectual (o retraso mental, CI < 70) es una patología frecuente (2,5% de la población) y grave, de hecho repercuten sobre las facultades de adaptación al entorno en la edad adulta (handicap mental). La patogenia de las deficiencias intelectuales queda oscura y en el 50% de los casos la causa no es conocida (des Portes et al., 2002). El diez por ciento de los retrasos mentales estarían ligados a genes localizados en el cromosoma X (RMLX), con una mutación transmitida por las madres y afectan principalmente a los muchachos. No obstante, estos RMLX pueden afectar a las muchachas en caso de herencia dominante ligada al X (ej. Síndrome de Rett) donde esquemáticamente solo las muchachas están afectadas por esta patología, que es letal para los muchachos; o de herencia semi-dominante ligado al X (ej. Síndrome de X Frágil) donde las muchachas pueden ser sintomáticas, con una expresividad que depende del grado de inactivación del cromosoma X que porta la mutación. En caso de herencia recesiva ligada al X, las muchachas no son sintomáticas. Antecendentes de los retraso mentales ligados al cromosoma X (RMLX) El síndrome X Frágil fue durante mucho tiempo la única causa conocida de retraso ligado al cromosoma X. Utilizando extrapolaciones basadas sobre el desequilibrio de las frecuencias de retrasos mentales entre muchachos y muchachas, Herbst et Miller (1980) han estimado la frecuencia de los RMLX alrededor de 108 por 1000 muchachos. Este estudio basado sobre la ratio de sexo de los retrasos mentales, no tienen en cuenta numerosos retrasos mentales semi-dominantes ligados al X, donde las muchachas portadoras son ellas mismas deficientes. La prevalencia de los RMLX propuesta por estos autores es probablemente baja en estimación. Según Opitz (1986) la prevalencia de los RMLX en los dos sexos, sería del orden de 1/296, es decir 3,3/1000 nacimientos; en este estudio, el síndrome X frágil representa el 40% de los retrasos mentales RMLX. Se sabe ahora que la prevalencia de este síndrome es de 1/4000 a 1/9000 entre los muchachos y 1/7000 a 1/15000 entre las muchachas (Crawford et al., 2001), lo que aumenta proporcionalmente el número de RMLX “no X frágiles”. Gracias a estudios de conexiones genéticas realizados en grandes familias y a la caracterización molecular de microdelecciones o de translocaciones X / autosoma, unas decenas de genes implicados en estos retrasos mentales ligados al X han podido ser localizados y luego identificados . Según los datos del registro internacional sobre los RMLX (XLMR Genes Update WebSite http://xlmr.interfree.it/home.htm), 205 entidades clínicas de las que 53 con un gen identificado, estaban relacionadas en un índice en septiembre 2004. Sin embargo, estas otras formas de RMLX son raras, e incluso excepcionales, no afectando más que algunas familias en el mundo. Pero la mayor parte de estas afectaciones están totalmente infradiagnósticadas y/o de descubrimiento muy reciente. El estudio sistemático de ciertos genes debería permitir estimar mejor la frecuencia real de sus mutaciones. Las mutaciones del gen ARX (Bienvenu et al., 2002) estarían implicadas en el 0,2% dee los retrasos mentales esporádicos (de Brouwer et al., 2007). La prevalencia de las mutaciones del transportador de la creatina parece también elevada (Lion – François et al., 2006). Se distingue clásicamente entre los RMLX dos grandes grupos de pacientes : (i) los RMLX llamados « sindrómicos », reconocibles por unos signos clínicos, biológicos o radiologicos comunes (ex : Coffin – Lowry, ATR-X, Lowe, Menkès, Lissencéphalie / doble cortex…) cuyos signos clínicos específicos orientan el diagnóstico molecular, actualmente disponible para una treintena de ellos, (ii) los RMLX llamados “no específicos”, los más frecuentes, no son reconocibles sobre criterios clínicos bien identificados. Más de una treintena de genes están actualmente incriminados (http://xlmr.interfree.it/home.htm). Sin en embargo, esas ciertos formas genes no específicas conocidos como responsables de síndromes precisos están también incriminados en formas no específicas de deficiencia mental, demostrando la existencia de un continuo entre los retrasos mentales sindrómicos y no específicos. Ciertos fenotipos clínicos reconocibles están detallados en este capítulo. El X Frágil y el síndrome de Rett, bien conocidos actualmente, no serán descritos, para dejar lujar a síndromes descubiertos más recientemente. RETRARSOS MENTALES NO ESPECÍFICOS ET SINDROMICOS : UN CONTINUUM. Sabiendo el carácter muy evolutivo de los datos genéticos y clínicos en el campo de los RMLX, las presentaciones clínicas asociadas a algunos genes de retraso sindrómico (MRXS) o “no específico” (MRX) son presentados aquí, a título de ejemplo y sin ser exhaustivos. Si es necesario, una puesta al día regular de las novedades genéticas de RMLX se puede consultar en (http://xlmr.interfree.it/home.htm). Oligofrenina 1 (OPHN-1) : un gen implicado en un retraso aparentemente no específico « MRX», finalemente responsable de un síndrome clíniqco bien definido Después de la identificación de los genes responsables del síndrome X Frágil (MRQ y FMR2), OPHN-1 ha sido el primero de los genes MRX en ser identificado (Billuart et al., 1998), implicado inicialmente en un retraso mental “no específico”. En realidad, un estudio clínico y radiológico completo (IRM 3D) de estas dos primeras familias, ha permitido poner en evidencia un fenotipo clínico particular asociando una hipotonía neonatal seguida de un retraso postural sin ataxia en la edad adulta, un estrabismo bilateral muy pronunciado, crisis parciales complejas antes del año y cediendo a los seis años, un retraso mental de moderado a severo (des Portes et al., 2004). Los IRM cerebrales han puesto en evidencia entre todos los sujetos estudiados una misma anomalía comportando una displaxia con agnesia paralela de los lóbulos VI y VII (posterior superiores), con una dilatación ventricular de grado variables y una atrofia cerebral predominante den las regiones fronto temporales. Otros grupos han publicado presentaciones clínicas similares en tres familias no emparentadas (Bergmann et al., 2003 ; Philip et al., 2003). Además de los signos clínicos descritos anteriormente, Bergmann et col., describen una epilepsia de tipo monoclono astática, una ataxia y un hipogenitalismo. Philip et col., han informado una macrocefalia y una dismorfia con crecimiento de las órbitas y facies y mujeres portadoras afectadas más moderadamente. La anomalía vermienne podría aislarse (des Portes et al., 2004) o asociada a un quiste retro cerebeloso (Philip et al., 2003). Genes responsables de retraso sindrómico (MRXS) implicados dans en retraso no específicos. En casos raros, genes conocidos como responsables de formas sindrómicas de retraso mental están implicados en deficiencias mentales no o poco especificadas. Por ejemplo, en el gen RSK2 habitualmente mutado en el síndrome de Coffin Lowry que se caracteriza por una dismorfia craneo-facial y deformaciones esqueléticas específicas (Trivier et al., 1996), una mutación falsos sentidos (exon 14) ha sido encontrada en una familia de RMLX no específico (Merienne et al., 1999). Del mismo modo, en tres hermanos afectados por retraso mental no específico, se encontró un cambio (P312L) en el gen FGD1 (Lebel y al, 2002), responsable del síndrome de Aarskog (Pasteris y AL, 1994). Estos hermanos tenían, ciertamente, una pequeña estatura y pequeños pies pero no las anomalías craniofaciales, esqueléticas y genitales características de este síndrome. En cambio, su déficit cognoscitivo era más severo que el observado habitualmente en el síndrome de Aarskog. En el mismo registro, una mutación se describió en una familia de retraso ligero a moderado aislado (Yntema y AL, 2002) en el gen XNP, implicado generalmente en formas sindromicas de deficiencia mental, el síndrome ATR-X asociando alfa talasemia, retraso mental severo, hipogenitalismo, dismorfia facial característica y posible sordera (Gibbons y AL, 1995). Un gen, varios síndromes : ejemplos de MECP2 y ARX La situación del gene MECP2 (metil-CpG-binding proteina 2) es, también, particular. Este gen es, se sabe, mutado en un 80% de los síndromes de Rett, observado casi exclusivamente en las muchachas Además de las mutaciones encontradas en el Rett mutaciones diferentes, de tipo de falsos sentidos se han encontrado en muchachos afectados por deficiencia mental ligera a moderada, cuya presentación clínica era mucho menos grave (Couvert et al, 2001). Numerosos "polimorfismos" también se han puesto de relieve en el gen MECP2, apelando a una gran prudencia antes de afirmar que un cambio definido en un muchacho es responsable del retraso mental que presenta (Laccone y AL, 2002; de Moncla y AL, 2002). A pesar de todo, algunos cambios patógenos "consustanciales al muchacho", son recurrentes: es el caso del el más frecuente (A140V), que se asocia a cuadros clínicos cuya naturaleza varía: retraso mental aislado (Couvert et al, 2001; de Gomot et al, 2003) o asociado a una displegia espástica (Dotti et al, 2002) o a desordenes psiquiátricos delirantes de tipo esquizofrenia atípica (Cohen et al, 2002; de Klauck et al, 2002). Por último, más recientemente, gracias a un nuevas técnicas de genética molecular (chips de ADN para hibridación genómico comparativo: CGH array), se encontraron algunas duplicaciones recurrentes del gene MECP2 en muchachos que presentaban una encefalopatía severa con epilepsia de severidad variable e infecciones pulmonares repetidas, que no parecen vinculadas solamente a la inmovilidad observada en algunos pacientes muy discapacitados (Van Esch et al, 2005). Aún más heterogéneo en su presentación clínica, el cambio más frecuente del gen ARX (duplicación 24 Pb en el exon 2) se encontró en retrasos mentales al parecer no específicos, síndromes de West criptogénicos, casos de epilepsia mioclónica familiar, y en el síndrome de Partington caracterizado por una distonía distal de los miembros superiores muy particular (Bienvenu et al, 2002; Stromme et al, 2002). El carácter "no específico" de algunas familias podría discutirse y vincularse simplemente con un breve examen clínico que pasa junto a señales neurológicas específicas. La mayoría de los pacientes presentan en efecto a un grado variable, una dispraxia oral y gestual. Otros más graves cambios del gen ARX son responsables del síndrome XLAG, asociando una forma de lisencefalia y a un hipogenitalismo (Kitamura et al, 2002). Numerosos genes esperan un fenotipo reconocible El gene que cifra para el transportador de la creatina (SCL6A8/CT1) ilustra la dificultad de definir un fenotipo clínico reconocible y específico. Ciertamente, esta nueva enfermedad se diagnostica fácilmente sobre una espectroscopia IRM que pone de relieve una ausencia de pico de creatina en el cerebro (Salomons et al, 2001). Sin embargo, si la pérdida de función del transportador de la creatina causa un retraso postural y un retraso mental severo asociado a una epilepsia, de las características autísticas o una distonía (Cecil et al, 2001; de Hahn et al, 2002), estas señales clínicas no son bastante específicas para orientar al médico hacia este gen. En efecto, la epilepsia es poco severa y mal descrita, los desordenes autísticos son inconstantes, al igual que la distonía y las características dysmorficas discretas (hipoplasia medio facial, hiperextensibildad articular) descrita en una única familia (Hahn et al., 2002). En efecto, en las otras familias descritas, la clínica se reducía a un retraso mental aislado con problema de lenguaje expresivo severo (deGrauw et al, 2002; Lionn-Francois et al, 2006). En algunos pacientes, se observó un déficit muscular de las cinturas. El desarrollo progresivo de la espectroscopia IRM acoplada al IRM morfológica ante todo retraso inexplicado debería permitir el diagnóstico de todos los desordenes conocidos del metabolismo de la creatina, el déficit en transportador vinculado al X, pero sobre todo los dos déficit de síntesis de la creatina autosómcas recesivos (déficit en GAMT y AGAT), que son parcialmente reversibles por contribución exógena de creatina a condición de que se haya efectuado un diagnóstico precoz (Schulze, 2003). Numerosos otros genes permanecen implicados en deficiencias mentales al parecer aisladas: Rab-GDI, PAK3, AGTR2, TM4SF2, IL1RAPL, FRAXE (FMR2), ARHGEF6 &PIX, y el gen codificador para la Fatty Acid ligase (FACL4). La cuestión sigue estando abierta para saber si estos RM son realmente aislados o se califican "no específicos" en la espera estudios clínicos que permitan descubrir señales clínicas sutiles pero características. Por el momento, una investigación sistemática y a gran escala de cambios en estos distintos genes MRX plantea problemas de coste de Salud Pública, sabiendo que no se implica actualmente cada gen más que en algunas familias en el mundo (Chelly and Mandel, 2001). La misma cuestión se ha planteado hace ocho años para el lugar X frágil FRAXE, muy raro, cuya investigación sistemática se abandonó (Brown et al, 1996). Qué planteamiento diagnóstico clínico proponer ? A pesar del carácter poco específico de algunas formas de RMLX y la variedad de las presentaciones clínicas asociadas a algunos genes, un árbol diagnóstico de toma de decisiones basado en señales clínicas de orientación se dibuja progresivamente. Como ejemplo, se presentan en los cuadros I e II algunas señales clínicas observadas de manera constante o frecuente en pacientes portadores de un cambio en unos u otro de los genes RMLX. Estos datos no son exhaustivos y tienen que evolucionar regularmente, pero pueden sin embargo guiar al médico. Cada señal tomada separadamente no constituye un síndrome y no justifica inevitablemente el estudio molecular, que debe discutirse con los genetistas. Otro elemento útil al diagnóstico es la inclinación completa de inactivación de los cromosomas X observada para numerosos genes RMLX, en las mujeres portadores (heterozigotos) asintomáticas. No aleatorio, la inactivación observada en estas mujeres adultas interesa el cromosoma X transferido en la totalidad o casi de los leucocitos (95 al 100% de inclinación de inactivación). En una situación familiar evocadora de RMLX (dos muchachos afectados), tal fenómeno, fácil de poner de relieve, debe orientar preferencialmente hacia la implicación de algunos genes (cuadro III). No obstante, el estudio del perfil de inactivación en una mujer es una prueba genética delicada cuya indicación debe bien discutirse y el resultado otorgado en el marco de una consulta de genética. En conclusión, a pesar de los progresos importantes en la desmembración clínica de los RMLX, mutaciones en numerosos genes MRX permanecen aún asociados a un retraso mental no específico. Investigaciones clínicas, neuropsicológicas y radiológicas suplementarias deben proseguirse en estas familias para precisar el diagnóstico clínico. Toda exploración de un retraso mental familiar inexplicado que afecta a dos muchachos debería implicar en adelante un cariotipo normal, X frágil, duplicación 24pb el gen ARX, mutación A(140)V del gen MECP2, creatina urinaria y/o de una espectroscopia IRM. El estudio del perfil de inactivación de los cromosomas X en las mujeres portadoras debe discutirse. En caso de RM familiar "realmente" aislado, es probable que los progresos en las técnicas de búsqueda de mutaciones a gran escala permiten el cribage simultáneo de varias decenas de genes. Del mismo modo, la búsqueda de una reorganización genómica de pequeño tamaño por CGH array (hibridación genómica comparativo sobre chip ADN) debería convertirse en sistemática en caso de retraso mental familiar inexplicado. Sin embargo, un cribage molecular no sustituirá nunca a un buen examen clínico en busca de señales de orientación específicas de un gen dado. Tabla I. Signos clínicos morfológicos encontrados en ciertnas formas de RMLX (los genes y los signos clínicos no son exhaustivos) Signos clínicos mutaciones RMLX evocada Croissance RCIU CUL4B macrosomia GPC3 Pequeña talla FGD1, CUL4B, SOX3, JARID1C, PQBP1, Rsk2, XNP Gran talla FMR1 obesidad CUL4B, PHF6, UBE2A escoliosis Rsk2, FMR1, SLC6A9, SMS, XNP, ZDHHC9 (marfanoide) Périmetro craneal Microcefalia PQBP1, JARID1C, MCP2, XNP, AP1S2, SLC9A6, ZNF674 Macrocefalia FMR1, BRWD3, CUL4B, MED12, SMS Morfología / malformaciones Cara alargada/ prognatismo FMR1, AP1S2, BRWD3 implante Hte cabello, frente alta BRWD3, MED12, ARX hypertélorisme MED12, MID1, Rsk2, FGD1 Orejas FMR1 (larges), BRWD3 (larges), PHF6 (gds lobes) Hendidura palatine PHF8, FMR1, PQBP1 Cardiopatía FMR1 (Prolaps mitral), PQBP1 (situs inversus), GPC3, hipogenitalismo (ambiguedad, ARX (X-LAG), XNP, FGD1, BRWD3, CUL4B, JARID1C, PQBP1, cryptorchidie...) MID1, PHF6,UBE2A Macroorquia FMR1 Pies CUL4B (trappus, élargisst I-II) manos L1CAM (pouce adduct), FGD1 (courtes), GPC3 (polydactylie), MED12 (pouce large plat), PHF6 (doigts baguettes), RSK2 (idem), PHF8 (larges mains) atrésie / anteposición anal MED12, PQBP1 Tabla 2. Anomalias del desarrollo psicomotor y signos neurológicos encontrados en ciertnas formas de RMLX (lis genes y signos clínicos citados no son exhaustivos) Signos clínicos mutaciones RMLX evocada Desarrollo psicomotor hipotonía neonatal AP1S2, ATP7A (Menkes), ARX (X-LAG), DCX, MECP2 (duplication), MED12 (FG), PLP (Pelizaeus), PRPPS1 (Arts), XNP (ATR-X), ZDHHC9 (Lujan) Retrasso postural (marcha > 20 meses) regresión entre 1 y 2 años Gènes ci-dessus + OPHN-1, SLC6A8 (créatine), CUL4B, MCT8, PDH, RSK2 (Coffin) MECP2 Grado de deficiencia ** Profundo MCT8, XNP, DCX Ligero o inteligencia límiter FGD1, FRAXE, PHF8 Desorden psiquiátrico esquizofrenia atípica MECP2. autismo FMR1, NLG4 (neuroligine), AGTR2, SLC6A8, UPF3B, Numeroso genes DMLX agresividad MAOA, CUL4B Signo neurológico * espasticidad MECP2 ; ARX, AP1S2, JARID1C, L1CAM, MCT8, XNP Distonía ARX, SLC6A8 (créatine), MCT8 Ataxia SLC9A6, PLP, PDH, PRPPS1 tremblor intencional CUL4B dispraxia buco – lingual ARX estrabismo OPHN-1, SLC9A6, MED12, JARID1C, FMR1, ZDHHC9 Otro signo oftalmológico PLP (nystagmus), PRPPS1 (atrophie opt), MED12 (colobome, at opt), PQBP1 (colobome), JARID1C et ZNF674 (myopie) sordera XNP, PRPPS1 (hyperactivité) Epilepsia espasmos infantiles ARX, STK9, DCX Otra epilepsia FMR1, PDH, OPHN-1, SLC6A8, SLC9A6, AGTR2, ATP7A (Menkes), JARID1C, MECP2 dupli, PHF6 crisis parciales motrices, CGTC OPHN-1, X fragile epilepsia miocclónica ARX IRM cerebral pachygyrie, lissencéphalie DCX (Doublecortine), ARX (Sd XLAG) hétérotopies sous corticales agénésie calleuse DCX, ARX (Sd XLAG), L1CAM, MED12, Déficit PDH, (SLC6A8, corps calleux fin) hydrocéphalie / ventriculomégalie L1CAM, AP1S2 (calcifications NG), OPHN1 (atrophie caudée) hypoplasie agénésie part. vermis OPHN-1 (agén partielle), PDH SLC6A9 et PLP (atrophie) retard maturation subst blanche PLP ++, MCT8 Spectroscopie SLC6A8 (créatine <), SLC9A6 (glutamate >), PDH (lactate >) * Otros signos clínicos extra-neurológicos (dismofia, pequeña talla, hipogenitalismo …) pueden también orientar el diagnóstico etiológico. ** La mayor parte de los pacientes RMLX tienen una deficiencia moderada (35<CI<50) a severa (20 < CI < 35). Tabla III. Particularidades entre mujeres portadoras Signes cliniques mutations RMLX évoquées Signos morfológicos FMR1, OPHN1, Rsk2, FGD1 Problemas cognitivos FMR1, OPHN1, RabGDI, SLC6A8, JARID1C, PDH, ZNF41 Inactivación completa de los MECP2 (dupli), ARHGEF6, CUL4B, FACL4, PHF6, XNP, cromosmas X UBE2A, ZNF674