Volume 4, n° 1 (décembre 2002)

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Volume 4, n° 1 (décembre 2002)
Vol. IV, n° 1, décembre 2002
Claudel Express
Bulletin de l’Association des anciens du Lycée Claudel
Les anciens à l’honneur
À
l’occasion du 40e, le Lycée a
décidé et de remettre à l’honneur
les tableaux contenant les photos de
toutes les promotions. Vous en
souvenez-vous? Ces cadres étaient jadis
affichés sur les murs du secrétariat
(lorsqu’il était encore au bâtiment du
secondaire) et plus récemment dans le
Cafétorium. Au fil des ans, malheureusement, plusieurs vitres s’étaient
cassées et les photos de certaines années
avaient même disparu!
La « galerie de portraits » a donc été
rafraîchie avec soin l’été dernier par
Brigitte Husson (gén. 75), qui a
démontré un talent et une minutie
remarquables. Pour accomplir cette
tâche, elle a dû faire bien plus
qu’épousseter les vieux cadres : en fait,
elle a carrément mis son chapeau de
détective non seulement pour ajouter
un nom sous chaque photo, mais aussi
pour retrouver les photos manquantes
dans les archives peu utilisées de
l’administration.
Cette collection de portraits fait la
fierté du Lycée, et avec raison.
Combien de personnages célèbres y
sont représentés! Merci au Lycée
d’avoir pris l’initiative et à Brigitte
pour son travail impeccable.
L’Association des anciens essaiera de
photographier les tableaux et de les
afficher dans son site Web dans les
prochains mois.
S
Moins de cinq mois avant le 17 mai!
i je me souviens bien, les premières
grandes retrouvailles du Lycée
devaient coïncider avec le 35e anniversaire
de l’établissement (1997). En raison de
difficultés logistiques, la fête n’a pourtant
pas eu lieu avant 1999, et on en a profité
pour la consacrer au lancement de
l’Association des anciens (AALC).
L’an 2002 a marqué les 40 printemps du
Lycée. Le proviseur, le conseil
d’administration, l’association des
parents d’élèves et le corps
professoral en ont profité pour
organiser un grand nombre
d’activités tout au long de
l’année. Pour sa part, l’AALC
jugeait que le véritable
anniversaire – et la meilleure date pour
une célébration – devait tomber à la fin
de l’année scolaire. C’est pourquoi nous
avons choisi le mois de mai pour nos
prochaines retrouvailles, qui
couronneront ainsi les 40 premières
années réussies du Lycée.
Je ne sais pas pourquoi, mais les chiffres
ronds sont synonymes de fête. C’est bête.
Nous faisons preuve de discrimination en
faisant l’éloge uniquement des chiffres qui
se terminent pas des zéros. Est-ce que le
passage à l’an 2000 a été plus spécial que
les autres? Vous êtes-vous sentis plus
importants à vos 10 ans qu’à vos 9 ans?
Pourtant, je n’y ai pas échappé. Nous
sommes en pleine organisation du 40e, et
je me surprends à dire à mes collègues
qu’il faut arrondir le budget (au millier
inférieur, bien sûr) pour le rendre parfait. Il nous faut 400 convives, pas 389,
pour que le prix du billet ne
dépasse pas 70 $. On nous propose une bouteille à 21,95 $,
mais je préférerais payer
seulement 20 $. Ah, mais
j’oubliais, il faut aussi ajouter les
taxes; en fait, je préférerais qu’elle ne
coûte pas plus de 19,05 $, ce qui donnera
un chiffre rond de 25 $. Et ainsi de suite.
Qu’à cela ne tienne, nous soulignerons
ce 40e en grande pompe! Et soyez sans
crainte, nous n’avons pas arrondi les
coins. La nourriture sera bonne (nous en
avons fait l’essai!), la salle est belle et la
compagnie sera agréable. Il ne manque
plus que la confirmation de votre présence!
Samy Khalid (88)
Comité de l’Association des anciens du Lycée Claudel
Samy KHALID
Christian MARTIN-LLAMES
Véronique MAUFFETTE
Catherine PODESZFINSKI
Diana VIDAL
(88)
(98)
(92)
(92)
(88)
directeur des communications
vice-président
présidente
secrétaire-trésorière
conseillère spéciale
Pour vous joindre à nous, ou si vous avez des questions, écrivez à :
Association des anciens du Lycée Claudel
1635, promenade Riverside
Ottawa ON K1G 0E5
Courriel : [email protected]
Site Web : www.claudel.org/association
Une invitation
à ne pas manquer!
C
’est long, 10 ans? Vous
souvenez-vous qu’il y a déjà
dix ans, nous étudions pour nos
épreuves du Bac? Les quelques mois
qui nous restaient avant l’Épreuve
nous semblaient s’étendre à l’infini!
Nous avions fait notre bal des
finissants dans un grand hôtel
d’Ottawa, pour finir la nuit en
campagne... Vive la liberté, disionsnous alors!
Nous sommes tous riches et
célèbres, bien entendu! Certains
d’entre nous se sont mariés, d’autres
ont eu des enfants... Quel héritage le
Lycée Claudel vous a-t-il laissé?
Pour moi, en plus d’avoir un bon
français écrit (je ne connais toujours
pas mes tables de multiplication, il
va sans dire!), ce fut sans contredit
la chance de vous avoir côtoyés dans
ces locaux exigus, surchauffés ou
gelés, vous qui arriviez ou partiez
souvent pour des pays exotiques,
parlant des langues aux consonances
de voyages fabuleux!
Voilà 10 ans que nous avons
entrepris des voyages tout aussi
passionnants vers des horizons si
divers, à travers nos rêves, nos
emplois, nos mariages et nos
amitiés. Que diriez-vous d’un retour
aux sources? C’est long, 10 ans?
Aura-t-on assez d’une soirée pour se
conter ces 10 ans? Comme dans la
chanson de Patrick Bruel,
retrouvons-nous à la Place des
Grands Hommes, je suis sure que ce
sera une soirée riche en rires, en
sourires...
Au plaisir de vous revoir très
bientôt, je vous donne rendez-vous
à Ottawa, le 17 mai.
Sophie Gagnon (93)
Que c’est bon de replonger dans ses souvenirs
Paris, le 26 juin 2002
J
e viens de recevoir le Claudel
Express (merci à Samy qui ne m’a
pas oubliée...), et tout m’est revenu
à la figure d’un seul coup!
Que de chemin parcouru depuis...
Je n’ai pas l’honneur de figurer parmi
les « diplômés » de Claudel car j’ai
quitté le Lycée en juin 1985, après
mon bac français, pour aller faire une
terminale en Bretagne et décrocher
mon bac dans l’académie de Rennes.
Ensuite, une année en Espagne m’a
permis de remettre à flot mon
espagnol tout en me donnant le temps
de réfléchir à mon orientation. Pas
très enthousiaste, j’ai entamé en 1987
à Strasbourg des études de Langues
étrangères appliquées. J’ai partagé
pendant deux ans un appartement
avec ma grande copine Laure
Galipeau (et au passage, si vous avez
des nouvelles d’elle, faites-moi signe!).
Au bout de ces deux années, j’ai
décidé de revenir à Québec, à
l’Université Laval, pour suivre des
cours et décrocher ma licence en
France par équivalence (encore une
obscure combine
typiquement française
pour obtenir ses
diplômes dans un programme de coopération
dont personne n’est au
courant!). En 1990, retour à Luxembourg, où
je me suis mariée avec
un ami luxembourgeois
oublié depuis longtemps
et redécouvert avec grand intérêt à
Strasbourg... La vie réserve bien des
surprises!
Ensuite, j’ai donné naissance à trois
enfants – Godefroi (1991), Quentin
(1992) et Calixte (1994) – à Luxembourg, où Patrick commençait sa
carrière de diplomate. En 1998, nous
sommes partis en poste à Paris, où est
née Charlotte (1999), peu de temps
après notre arrivée.
À présent, nous sommes à
nouveau sur le départ : retour à
Luxembourg où Patrick a été
rappelé pour aider à assurer la
prochaine présidence de l’Union
européenne. Nous avons acheté un
ancien moulin à la frontière
française, dans un village médiéval
fortifié, et nous réalisons là un
rêve de longue date : vivre à la
campagne, donner à nos enfants la
possibilité de s’épanouir dans la
nature et entourés d’animaux,
bref, le bonheur et le charme de la
vie bucolique... ce qui nous
changera de
Paris, où la vie
n’a pas toujours
été facile, malgré
les compensations (trop rares
mais bienvenues
tout de même!).
Me voilà donc « éducatrice
spécialisée en milieu familial
auprès d’enfants précoces » (un
détail de la nature que nous
n’avions pas prévu... mais qui
m’occupe à « plus-que-pleintemps »!), et très heureuse. Je n’ai
guère la possibilité (ni même
l’envie), d’envisager autre chose,
car j’ai assez à faire comme ça! De
plus, la vie de « nomade » me va
comme un gant, moi qui n’ai
jamais eu d’attaches dans la vie et
qui ai toujours transporté mes
racines avec moi.
Je vous félicite pour votre initiative de créer un site Internet pour
Claudel. C’est génial, et le bulletin
de l’association est formidable! Au
fait, que sont devenus les profs?!
(M. Tabet, M me Kérisit,
M. Théoleyre, M me Fleury, et j’en
oublie!?)
Merci encore à tous et bravo,
continuez!
Christine Bory
(génération 86)
Une bouffée d’air frais au pays d’Eldorado
C
’est avec beaucoup de plaisir que
je reçois la mission d’écrire un
article pour le journal des anciens du
Lycée. Plutôt que de faire une
rétrospective de souvenirs et
d’expériences vécues au Lycée, de plus
en plus flous et lointains (plus le temps
avance, plus trois ans dans une vie
paraissent infimes), je voudrais
partager avec vous une expérience de
travail qui dure depuis plus de deux
ans. Ceci pourra certainement
satisfaire cette curiosité inhérente à
tous les esprits sur le sort des gens qui,
d’une façon ou d’une autre, ont passé
par notre vie, et qui se perdent dans
l’immensité de la planète et du temps.
Le Centre d’enfouissement technique
(lire : décharge pour stockage de
déchets) Doña Juana reçoit tous les
jours 5 000 tonnes d’ordures
ménagères produites par les 6,5 millions d’habitants de Bogotá, capitale de
la Colombie. Sur un splendide site,
situé à 2 800 m d’altitude (sur la
cordillère des Andes), le terrain est
aménagé en continu, et rempli au fur
et à mesure des besoins, à un rythme
de 24 heures sur 24 de décharge de
véhicules qui font le ramassage dans
tous les coins de cette mégalopole.
Au premier coup d’œil, ce genre
d’activité présente un intérêt assez
limité, si on tient compte des
contraintes – la saleté, les odeurs, les
parasites – mais pour un ingénieur qui
aime l’environnement, ainsi que pour
les centaines de visiteurs que l’on
reçoit par an, ce site est un exemple de
toute la technique qui peut être mise
en place pour résoudre un problème
aussi compliqué avec des moyens
limités.
Le déversement de 800 000 tonnes
d’ordures dans la rivière Tunjuelo, à
l’origine de la plus grande situation
d’urgence sanitaire de la ville en 1997,
est désormais chose du passé. De nos
jours, la gestion en stabilité et
environnement, ainsi que tous les
autres procédés, vont permettre au
projet d’être certifié ISO 9001 en
2003.
Tout cela se fait sous l’œil vigilant de
la communauté voisine, qui, comme
la plupart des habitants de la région,
est vraiment défavorisée. La réalité
colombienne veut qu’une guérilla
héritée des révolutions socialistes en
Amérique latine et devenue terroriste
trouve des adeptes parmi les plus
démunis. Une certaine méfiance
appauvrit l’air car, beaucoup plus
qu’ailleurs, on respire l’insécurité…
Carolina Vidal (90)
Ndlr : Carolina est ingénieure civile.
Elle a fait sa maîtrise en génie
environnemental à Toulouse en 1997.
Citations
L
es ennuis, c’est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en
vient dix. – Woody Allen
L’expérience est une lanterne que l’on a accrochée dans le dos et qui
n’éclaire que le chemin parcouru. – Confucius
Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine... mais
pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue. – Einstein
La vie, c’est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on
va tomber. – Forrest Gump
L’ordre est le plaisir de la raison : mais le désordre est le délice de
l’imagination. – Paul Claudel
Grossira, grossira pas?
Q
uelle taille devrait avoir le
Lycée?
Cette question, le Lycée se l’est
sûrement posée plusieurs fois aux
cours de ses quelque 40 années
d’existence. Eh bien, les membres du
conseil d’administration se la sont
posée à nouveau cet automne en
réfléchissant aux investissements à
faire au cours des prochaines années
dans la rénovation des locaux
existants, voire dans la construction
de nouveau locaux. Il est en effet
impossible de bien répondre à la
question : « De combien d’espace
aurons-nous besoin? » sans avoir au
préalable décidé « Combien seronsnous? ». En 1998, il y avait
756 élèves au Lycée. En 2000, il y en
avait 802. Cette année, il y en a 883
(92 au pré-élémentaire, 343 à
l’élémentaire, 289 au collège et 159
au lycée).
Cette fois-ci, les membres du conseil
d’administration étaient unanimes.
Ils ont pesé les avantages et les
inconvénients d’un lycée dont les
effectifs oscillent autour de 900
élèves (un service plus personnalisé)
et ceux d’un lycée de 1 200 élèves
(requérrant plus de rénovation ou de
construction mais étant plus
imposant et plus profitable
financièrement) et ont conclu qu’ils
préféraient un lycée à taille humaine.
Par conséquent, ils ont opté pour le
statu quo. Le Lycée de notre enfance/
adolescence est donc sain et sauf…
jusqu’à la prochaine fois!
Véronique Mauffette (92)
Ndlr : Véronique Mauffette est conseillère
juridique à la Commission de la capitale
nationale. En plus de diriger
l’Association des anciens, elle a accepté de
siéger au conseil d’administration du
Lycée et d’y défendre les intérêts des
anciens.
La vie des Lycéens
riches et célèbres
Fiançailles et mariages
– Marie-Christine Lilkoff
(80), agente de relation avec les médias
au ministère des Affaires étrangères,
s’est mariée à l’hiver 2000-2001. Son
mari est originaire de Cuba. MarieChristine avait auparavant été agente
de presse du premier ministre Jean
Chrétien, secrétaire de presse du vicepremier ministre Herb Gray et
adjointe aux communications à la
Commission de la capitale nationale.
– Stefano Bertasi (83) s’est marié en
juin 2002. Il est gestionnaire de
politiques à l’ICC (Chambre de commerce internationale) à Paris.
– Catherine Podeszfinski (92) s’est
fiancée le 17 juin avec Carl Dubreuil,
ambulancier. Catherine est biologiste
et a récemment obtenu un emploi à
titre d’administratrice de programmes
au Conseil de recherche en sciences
naturelles et en génie du Canada.
– Catherine Hawara (93) s’est mariée
le 22 juin 2002 avec Stéphane Marleau.
Après deux ans de pratique privée à
Toronto comme avocate, Cathy est
revenue à Ottawa, où elle a trouvé un
poste au Bureau du Conseil privé.
Naissances
– Olivier Testelin Dumetz
(gén. 93) et son épouse ont eu
une fille, Émilie, le 15 janvier 2002.
– Christian Monteith (83), installé en
Martinique depuis quelque temps, est
nouveau papa, depuis mars 2002, d’un
garçon nommé Wesley.
– Isabelle Roux (83) est maman pour
la troisième fois. Son fils Augustin, né
en avril, fait la joie de ses grandes
sœurs, toutes deux élèves au Lycée.
– Nathalie Courtel (88) a eu un petit
garçon en avril aussi, Théodore. Elle
travaille comme conseillère en gestion
chez PriceWaterhouseCoopers à Paris.
– Dominique Hyde (gén. 90) a eu une
fille, Isabelle, en mai dernier. Dominique travaille pour l’ONU (Programme
alimentaire mondial) à Rome.
– Eric Wildhaber (87) et sa conjointe
Tanya Riley ont eu un second bébé,
Nikos, le 1er juillet 2002.
– Samy Khalid (88) et sa conjointe
Martine Leroux ont aussi eu un
deuxième bébé, Alexandrine, née le
17 juillet 2002 à Ottawa.
– Gabriel Chartier (93) a eu une fille,
Albane Chabot-Chartier, le
9 novembre dernier à Québec.
– Christine Aubry (93) et Jason
Kitchen viennent de donner naissance
le 19 décembre à un garçon de 4 kg,
qu’ils ont appelé Simon Jean Kitchen.
Félicitations aux nouveaux parents!
Décès
– Un confrère nous demande
de rappeler la mémoire de YuliStéphanie Hamel (91), décédée
un an après l’obtention de son
bac. Nos pensées sont avec sa famille.
Parcours extraordinaires
– Cet été, Brigitte Husson
(gén. 75) a quitté pour la
troisième fois le Canada, où
son père (diplomate dans les années
1970 puis ambassadeur de 1987 à 1989)
et enfin son mari ont été rattachés à
l’ambassade de France. Après trois ans
à Ottawa, elle repart avec ses six enfants pour Genève. Son mari,
Emmanuel Rousseau, est affecté à la
mission française des Nations unies.
– Sylvia Clarence Smith (77), qui a
enseigné au Lycée en 1982-84, transmet
ses salutations. C’est à Claudel qu’elle a
rencontré son mari, François Metayer
(alors professeur de math), avec qui elle
a eu trois enfants. Elle est aujourd’hui
chef de la direction de la société
Houghton Mifflin, une importante
maison d’édition située à Boston.
– Adel Zardi (88), qui a fait l’objet
d’un de nos avis de recherche, a été
retrouvé! Après sa Terminale à Ottawa
quand son père y était ambassadeur de
Tunisie, il a obtenu une maîtrise en
sciences économiques puis un MBA à
Grenoble. Là, il a rencontré une
Norvégienne, avec laquelle il est
installé à Oslo depuis sept ans. Il
travaille pour un armateur norvégien
comme directeur du marketing et
courtier maritime, et dirige
actuellement la succursale à Hong Kong.
– Isabelle Merny (93) nous donne
aussi de ses nouvelles. Après avoir fait
sciences po à Toulouse de 1994 à 1998
et travaillé deux ans dans un journal
puis une agence de publicité, elle est
aujourd’hui chargée de communication
chez Médecins sans frontières à Paris.
– Enfin, pour rappeler encore le
caractère international du Lycée,
mentionnons l’exemple de Stéphane
Jacoby (99), étudiant en génie logiciel à
l’Université d’Ottawa, qui vient de
faire un stage coop à Amsterdam au
sein de la société OTI (filiale d’IBM).
Pour nous faire part
des grandes nouvelles
de votre vie (études,
mariage, naissance,
distinctions), envoyeznous un message à :
[email protected]!
Soyez sympas!
O
uvrez vos vieux agendas, vérifiez vos listes d’adresses. Prenez le
temps de nous transmettre les coordonnées de vos frères et
sœurs, de vos collègues des 400 coups, de tous les anciens avec qui
vous êtes encore en contact. Nous voulons envoyer un carton
d’invitation pour les retrouvailles du 17 mai 2003 au plus grand
nombre possible d’anciens!